/ 50
1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
; et de celui-là Dante ne s’occupera pas. Les anges ni les animaux ne parlent . Les pies imitent la voix de l’homme, qui seul es
ètrent, le mortel ne peut échanger sa pensée que par le langage. Adam parla avant Ève. « Nulle personne dont l’esprit est sai
’elle fut la langue d’Adam ? Le latin aurait-il cet honneur, le latin parlé à Pietramala, ville amplissima sous ce rapport co
ns : aussi j’affirme que si les anciens papienses ressuscitaient, ils parleraient un autre langage que les papiens d’aujourd’hui. S
. Seuls des hommes peu différents des brutes croient qu’on a toujours parlé le même langage dans une même ville. « L’art de l
. « L’art de la grammaire, cette inaltérable conformité de manière de parler , est réglé d’un commun accord et n’est soumis à l
quoique les Bolonais du bourg Saint-Félix et ceux de la Grande-Rue ne parlent pas la même langue. Celle des Siciliens est la pl
érable conformité de manière, doit s’entendre de penser autant que de parler . L’oil a eu la traduction de la Bible, c’est-à-di
me s’applique à la doctrine. Sans cela, on ne comprendrait pas que le parler de la ville éternelle fût turpissimum ; les mœurs
ie et de leur prolongation doctrinale. Dante, d’après la tradition, «  parlait rarement, à moins qu’on ne l’interrogeât : sa fig
du repas ; Dante enlèvera deux taches à cette exposition : l’abus de parler de soi-même et l’irrationalité d’une exposition t
e qu’il connaît son vice et sa méchante nature : mieux vaut se taire. Parler de soi-même, c’est parler faux ou relativement à
t sa méchante nature : mieux vaut se taire. Parler de soi-même, c’est parler faux ou relativement à la chose dont on parle ou
ler de soi-même, c’est parler faux ou relativement à la chose dont on parle ou relativement à sa propre pensée. Louer quelqu’
ivant qu’il déclare ou qu’il admet l’appréciation. Il n’est permis de parler de soi que pour éviter une grande infamie ou un g
que pour éviter une grande infamie ou un grand péril. Ainsi Boëce se parla à lui-même pour effacer l’éternelle infamie de so
lui-même pour effacer l’éternelle infamie de son exil. On peut encore parler de soi, quand il en résulte un enseignement pour
puis lors j’ai parcouru, quasi mendiant, presque tous les lieux où on parle ma langue natale ; … j’ai paru vil aux yeux de be
sa lumière. S’il est quelque universitaire pour soutenir que le poète parle vraiment de la langue italienne, dans le sens où
inaire accent des effigies de Tintoret. Je crains aussi que lorsqu’il parle des Florentins, M. de Wyzewa n’ait pris trop aisé
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
riele d’Annunzio : Più che l’Amore. Fr. Treves. Milan Lorsque j’ai parlé ici-même de la dernière tragédie de Gabriel d’Ann
if, il ne pourra l’éteindre que dans ses propres veines bondées. » Il parle aussi de la nécessité de la mort, pour que cette
nunzio semble avoir compris cette vérité. Car dans sa Préface il nous parle de la nécessité dionysiaque du sacrifice de son h
tout il peut vraiment dire de tout son œuvre théâtral : « Ai-je voulu parler sur la scène du masque fidèle de l’homme éphémère
des manifestations très nobles, très profondes, de leurs pensées, ils parlent en rythmes, ils chérissent l’image, âme du rythme
oule, et s’affaissent dans la médiocrité que leur langage révèle, ils parlent en prose. Le monologue de Lear, au IVe acte, qui
qu’en une succession de prose et de vers, identique à l’original. Il parle « d’une loi occulte non encore explorée qui régit
3 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
les si étrange et si pittoresque : les éminents personnages dont j’ai parlé ont démissionné, ayant achevé leur œuvre. Tout ce
stes des campagnardes, toutes les superstitions de leur race semblent parler dans leurs cœurs angoissés, et semblent, comme da
ls qui vient pour ne jamais plus revenir… Ornella seule s’offre à lui parler , et lui parle. Aligi arrive avec tout le cortège
ur ne jamais plus revenir… Ornella seule s’offre à lui parler, et lui parle . Aligi arrive avec tout le cortège du supplice. O
e songent guère à déguiser, leurs joies et aussi leurs douleurs ; ils parlent longuement d’eux-mêmes. Et l’on pense que de pare
s mystérieuses, et qui, souvent, restent obscures. Le berger Aligi ne parle pas toujours avec simplicité, et, à maints de ses
rnel est absolu ; Aligi, son fils, doit lui obéir en aveugle ; Lazaro parle , il faut qu’Aligi se taise ; Lazaro frappe, il fa
de la valise. — Oh ! Minnai, te voilà, — dit Antine distraitement. Il parlait du nez, avec un accent désagréable, mais Minnai n
dant tout le temps qu’ils mirent à traverser la tanca. Le brave homme parlait en souriant, et donnait une grande importance à s
r m’a dit cela. Zio Félix écoutait bouche bée, tout fier que son fils parlât avec Monseigneur. — Et… — demanda soudain le vach
ui avait parfaitement compris de quelles distractions l’autre voulait parler , rougit un peu dans l’ombre, mais répondit ingénu
ux, — vous autres, prêtres, vous êtes toujours habillés en femmes. Il parlait sans ombre de malice, car il était un peu simple 
es yeux perdus dans la nuit. — Il ne pourra rien me dire, et, s’il me parle , je le laisserai chanter. Je le connais bien, cet
ême avant d’avoir reçu les ordres. Tiens, il y a un bandit à qui j’ai parlé de toi pour cela. Il suffit d’avoir le bréviaire
e messe, et il lui semblait être l’homme le plus content du monde. Il parlait avec les vaches, avec Minnai, avec les jeunes tau
imement avec les notables de Nuoro. Et avec Monseigneur, inutile d’en parler . — Monseigneur m’a dit ceci, Monseigneur m’a dit
s continuez à m’ennuyer, j’écris au maître. Et je lui écris que, sans parler du reste, vous ne lui laissez de ses amandes que
hevaux domestiqués, nageaient, jouaient aux cartes et à la morra sans parler comme deux portefaix. Le visage blanc et les vête
ux, d’autre part, étaient enthousiastes de leur jeune maître : ils ne parlaient que de lui, de ses richesses, de ses exploits. Qu
ents de chien, une note monotone de coucou, le trille des grillons, — parlaient avec des vibrations mystérieuses. Antine plongeai
ssi, parut embarrassé ! Après un long silence seulement il se remit à parler , les mains posées sur l’appui de la fenêtre et la
ur. La veille de son départ, au matin, Zio Pera lui dit : — J’ai à te parler entre trois yeux. C’était une de ses plaisanterie
tait une de ses plaisanteries favorites ; il la jugeait très bonne. —  Parlez , Zio Pera. — Tu sais, mon petit renard, elle a ré
nu fut obligé d’aller à Cagliari en témoignage ; il vit Antine et lui parla . Il rapporta à la bergerie de mauvaises nouvelles
ssenti dans ses derniers jours de repos à la tanca. Mais jamais il ne parlait de se repentir, de revenir sur ses pas ; au contr
nuit écoute, je suis descendu là-bas ; lui était sous un oléandre et parlait tout seul. Il disait : je le tuerai, je l’assomme
mbri ? Zio Pera fixait sur lui son œil métallique et continuait à lui parler  ; mais il ne recevait pas de réponse, il dut s’en
résence, et depuis quatre jours il ne buvait pas, ne mangeait pas, ne parlait pas, ne dormait pas. Le jour, il attendait avec a
allée d’Aoste où notre langue n’a pas encore complètement cessé de se parler . Lettres italiennes Ricciotto Canudo. Tome
mbre de celui-ci voit apparaître l’Ombre de son assassin mort, et lui parle de son fils : de celui qui, orphelin affamé, est
tivité. Il ne fera oublier aucun de ses prédécesseurs, car en voulant parler de tout on est obligé de tout résumer. Mais il ap
les lèvres. Le théâtre en vers est le théâtre des grands succès. Sans parler des drames d’Hugo, est-il nécessaire de rappeler
ux multiples faces, le théâtre poétique prendra une grande place : je parle du théâtre en vers, tragique, héroï-comique ou fa
jourd’hui à sa place dans le cœur et dans la couche de son père. Elle parle du flambeau caché sous le boisseau et elle ajoute
ons. En Italie, M. Giovanni Cena, l’auteur profond de Homo, dont j’ai parlé dans ma dernière chronique, et M. Sem Benelli, qu
es du Maître. Ils considèrent Mazzini comme un saint dont nul ne doit parler sans craindre de le profaner. Il fut républicain
héroïques sont innombrables. De l’œuvre de M. Antonio Beltramelli je parlerai d’ailleurs un jour plus longuement. Parmi les jeu
05, p. 590-599 [590-594]. Nous avons dû attendre jusqu’à ce jour pour parler du grand ouvrage dont l’éminent historien italien
s ».   Et c’est alors que surgirent les Individus, les « pauci » dont parle César, et au premier rang : Marius, Sylla et surt
out d’abord chez Lucullus, nous ne le pensons point. On ne peut guère parler de Scipion l’Africain, de son fameux « Allons ren
n des arts. Oui, tout en admettant que ce poète anglais avait souvent parlé le vrai langage de la passion, André Chénier se p
le Dieu qui pardonne ; Pour les héros et nous il a des poids divers, Parle -lui sans effroi : lui seul peut te comprendre, L’
t ses visites le jeudi et le dimanche soir au palais Lovatelli : nous parlâmes longtemps, avec la femme du grand écrivain, de l’
ès fécond” auteur de Fécondité eut pour l’auteur de Bel Ami . Nous parlâmes du grand mort, de ses dernières années, du procès
t qu’il faut radicalement abandonner l’idée de libre arbitre quand on parle de délits et de délinquants. Je le veux bien, et
ujours identiques. La musique allemande est musique barbare : elle ne parle pas au cœur ; la musique française (Gounod, Masse
rique, et, demeurant foncièrement mélodique, charme leur sentiment et parle au cœur. Elle est donc acceptée et imitée. Et l’a
i les grandes transformations des autres pays. On continue toujours à parler indifféremment de mélodrame et de drame musical,
e lettre, c’est des funérailles de Crispi qu’il s’agit quand la foule parle du tout puissant cordon-bleu Ripaille… Syphon, cu
anthéisme délicat et joyeux est résumé dans une strophe, où la nature parle  : Ce n’est pas vous, ô mortels, qui connaissez l
autorise-t-il à être conservateur ? 3. Dans Lorely, Gérard de Nerval parle d’un conservateur qui corrigeait les tableaux de
anglaise supérieure à la française et à l’italienne : au reste, j’en parle sans rien savoir et sur des fragments de Dryden e
respondance. Il écrivait à cette date à son ami de Virieu : « Je t’ai parlé de mes Méditations poétiques, je t’en ai même, je
dans cette carrière (poétique) où je me sens poussé, quoique, à vous parler franchement, je n’y espère pas de très grands suc
nous. Nous ne devons pas savoir de langues par principes. Nous devons parler comme la parole nous vient sur les lèvres. » (Vic
4 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
ure tous les détails qui semblent la réalité même, cette lèvre qui va parler et dont pourtant le contour est insaisissable, ce
ent marqués et délicats, en sorte que par toutes ses lignes le visage parle et pense ; rien n’est laissé à la vie intellectue
février 1914, p. 644-649. Ses origines. — Poesia On a beaucoup parlé du Futurisme à l’étranger, et surtout en France,
et ainsi donna le courage de l’adopter à ces jeunes poètes dont j’ai parlé et qui s’appelaient Govoni, Buzzi et Palazzeschi,
es haines furieuses et des enthousiasmes formidables. Désormais on ne parle plus d’autre chose dans les milieux intellectuels
ue, de tous les autres poètes italiens anciens et contemporains. J’en parlerai longuement, chacun à leur tour, aussitôt qu’ils p
volontiers sur les circonstances de sa vie aventureuse. Un matin, ils parlaient comme d’habitude, assis sur le rivage, et le méde
ndella, il s’empourpre. — Voici… Il hésite encore, et se décidant : —  Parlez -moi donc des Ceschini, et du rôle que joue Tebald
viennent-ils ? — Eh ! mon cher Antonio, de bien des endroits. Nina a parlé en anglais à Lady Dolingson ; en français à Bours
rora, toi et moi. Mais nous ne nous dénoncerons pas. — Comment ? — Je parle beaucoup, ce soir… — Tu penses à ce que tu as rac
encore couché, Wellseley ? Je vous apporte de bonnes nouvelles. J’ai parlé de vous à Stella-Lucente. — M’autorisera-t-il à f
— Il conclut, après un court silence : Vous avez peut-être eu tort de parler de cette femme comme vous l’avez fait, Aldramino.
sclave aussi belle et aussi silencieuse. Mais ce soir même, l’esclave parlera  !… » Il se dirige vers la porte, revient : « Comm
t cruel. Mais il ne peut pas résister au désir de voir Aurora, de lui parler , de la réveiller ou de surprendre, sur sa face, l
nzaine d’années. Antonio lui tendit la main : — Aldramino m’a souvent parlé de vous, Monsieur, fit-il avec hauteur. — Excusez
ter l’honneur de vous être présenté. — Oh ! oh !… en effet ! Enea m’a parlé d’une grâce… — Ma demande vous paraîtra singulièr
sse. Aurora est inquiète. Elle ne s’explique pas pourquoi Antonio lui parle sympathiquement de Wellseley. Antonio n’est pas a
ment, comme à l’atelier, j’allumai une cigarette. Tout à coup Antonio parla  : — Aurora, il est tard… on vous attend ! Elle se
es langues ne furent pas longues à se délier. Morga, légèrement gris, parla de lui-même. — Oui, Messieurs, je suis né sous un
modèle, poser devant un peintre comme devant un photographe ! Mais je parle d’une femme comme vous ! Elle s’approcha d’Aurora
. — Morga, vous me plaisez. — Je le sais ! Les hommes à qui vous avez parlé , comme vous venez de me parler, à moi, ne doivent
Je le sais ! Les hommes à qui vous avez parlé, comme vous venez de me parler , à moi, ne doivent pas être nombreux. — En effet,
able. Votre musique soutient mon inspiration. L’homme dont je vous ai parlé s’est enfin lassé de son rôle de garde-chiourme.
eur du violon : il se nomme Joachim Peter, c’est un Hongrois, mais il parle notre langue couramment. Quant à moi, je suis Sic
ignore que vous faites le portrait d’Aurora, et pendant qu’Antonio en parle comme d’une œuvre merveilleuse — car Antonio ne p
omme d’une œuvre merveilleuse — car Antonio ne peut pas s’empêcher de parler de ce qui le torture — j’observe la Nina. Elle so
tait dans ses palais, les jours de grande fête. M. Pompeo Molmenti en parle dans ses beaux ouvrages sur Venise dans la vie pr
t s’écoula, et Aurora sortit, à la fois honteuse et ravie d’avoir osé parler d’elle-même. * Le Peintre, le Barcarol et les de
llseley, à qui elle tendit la main : — Oh ! cher grand artiste, on ne parle , à Venise, que de votre chef-d’œuvre ! Est-il per
! C’est bizarre ! Il m’a été impossible de résister au besoin de vous parler … Il se tut. Il ne distinguait pas le visage d’Aur
e son mariage avec un homme qui l’avait misérablement abandonnée ? On parla de Wellseley : je jurai que mon ami était aussi i
ridor, écouta, et revint, ensuite, l’index à hauteur de la bouche : —  Parlons bas, murmura-t-il, parlons bas. De nouveau, il pr
nsuite, l’index à hauteur de la bouche : — Parlons bas, murmura-t-il, parlons bas. De nouveau, il prêta l’oreille : — Ce n’est
emportèrent. J’ai vécu avec Aurora. Elle était silencieuse. Je ne lui parlais pas ; et elle ne comprenait pas ce que j’éprouvai
à son futurisme. Ils affirment, chaque fois qu’ils ont l’occasion de parler de lui, que sa poésie n’est pas du tout futuriste
futuriste. Il ne ressemble à personne. Les mêmes critiques dont j’ai parlé tout à l’heure ont voulu reconnaître dans son œuv
une série d’aventures drôles et inexplicables. Tout le monde veut lui parler  ; les dames lui content leurs aventures les plus
é le même portefeuille dans le cabinet Salandra, disait fièrement (il parlait pour la Chambre de Montecitorio et aussi pour le
né dans les illustrations autre chose que des tombeaux, — alors qu’il parle de nombreuses œuvres de valeur, d’un caractère to
villa Adriana à Tibur. Avec sa série de fontaines italiennes, dont je parlerai plus loin, M. Ch. Boussois paraît tout désigné po
Il s’appelle Albert Savinio et j’ai idée que l’on entendra de nouveau parler de lui. Mais pour ce qui est du petit concert qu’
Gluck sous Louis XVI, ou de Wagner un siècle plus tard, — pour ne pas parler de nos contemporains, — l’union intime, la fusion
a réaliser, grâce d’abord à la collaboration d’un Calzabigi. Avant de parler de ce singulier collaborateur qui devait succéder
épeindre harmonieusement la terreur ou l’amour, que le Poète ait fait parler Pluton ou Cupidon, et que l’action ait été située
irez sa sagesse. Modeste en ses essais, Par respect pour la Grèce, Il parle mal français ; Même en pillant Racine, Son génie
ment exquis, à une époque où tous les snobs et toutes les cocottes ne parlent que d’élévation spirituelle et d’idéal héroïque,
nts où d’Annunzio est entraîné lui aussi par la vulgarité courante et parle de lui-même aux badauds avec le langage pompeux d
urtant rarement il a été aussi heureux. Entendons-nous bien ; nous ne parlons pas maintenant du bonheur de son expression, du m
le regardent dans la rougeur crue de l’aube ; on pense à l’autre, qui parle en Thucydide, d’une voix claire, durcie par l’int
5 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
ome XXXVII, numéro 135, 1er mars 1901, p. 770-776 [775-776]. […] Nous parlerons une autre fois, à moins d’abondance extrême, des
ar Enrico Corradini, La Corsa al Piacere, par E.  A. Butti, dont j’ai parlé dernièrement au Mercure, I Parassiti, par Camillo
amoureux de la grandeur sous toutes ses formes et ne craint pas d’en parler avec grandiloquence, mais il n’a pas la possibili
dicat est à peine toléré et, au nom de la liberté de la presse, on ne parle jamais de lui. La société des hommes de lettres f
rose entre experts, c’est-à-dire entre blasés, gens qui savent ce que parler signifie. L’amour-passion, ça ne se comprend plus
cet autre poète dédaigneux et solitaire, de ce Giulio Orsini dont on parle avec tant d’intérêt dans les cénacles artistiques
commisération douce. Cela suffit à nous assurer que cet essai dont je parle se détache vigoureusement de tout ce qui est bana
ont. Tome XXXIX, numéro 139, 1er juillet 1901, p. 178-185 [184-185]. Parler ici des deux conférences de M. Pierre de Bouchaud
lino di Nese, qui érigea le tombeau de Cino à Pistoie. M. de Bouchaud parle bien de ce poète qui fit, après Dante, quelques-u
s-lui reconnaissants du langage prestigieux que lui seul pouvait nous parler . Une anecdote suffira à démontrer l’importance qu
temps tous les bureaucrates de la critique, qui n’admettent pas qu’on parle d’un écrivain avant qu’il ait atteint quatre-ving
de la peinture, des arts mineurs, souvent si nombreuses qu’on ne peut parler que des principales, des œuvres de tout premier o
ut que par la couleur et que la plupart des monuments de Toscane dont parle M. Müntz demeureront toujours inconnus à quiconqu
i encore sur l’île ensoleillée. On fait le signe de la croix quand on parle du tyran païen dont la cruauté et la sensualité o
« du papier à chandelle et des souliers à clous de l’Auvergnat » dont parlait Huysmans ; — et encore nous n’en avons pas toujou
ils m’ont provisoirement conseillé la lecture des romans dont je vais parler . Ayant acquis par de longs mois de paix le droit
mières scènes, les personnages montrent leur physionomie : nous avons parlé du Roi, mais cette douce Princesse Béatrice, cett
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
, p. 93-109. Le Démon m’a dit…… I Dans toute ma vie je n’ai parlé au Démon que cinq fois, mais de tous les hommes a
onné même à Celui qui l’a condamné et chassé loin de lui. Quand il en parle , il reconnaît que le Tout-Puissant agit justement
lemande, sous un globe électrique à l’éclat impudent, les deux hommes parlaient et secouaient leurs têtes grises, sans regarder l
rs de folklore et des professeurs de poésie comparée. Ils vivaient et parlaient comme vous et moi, et leurs paroles m’arrivèrent
er. » Le vieux séducteur se tut alors et l’autre vieillard commença à parler d’une voix lointaine : « Ce que tu as dit est peu
n’écoutait pas le voyageur sentencieux, et à peine celui-ci cessa de parler qu’il reprit pour son propre compte : « Sous le m
us désormais ? Les souvenirs du passé lointain épuisés, je ne pouvais parler avec lui du passé proche, de tout mon univers plu
d’un nom, d’un bruit ne disaient rien à son âme. Il me priait de lui parler de moi, et si j’y consentais, il m’écoutait avec
celles-ci… Et maintenant que tu es avec moi, que je t’aime, que nous parlons des pâles souvenirs du passé, et de l’amour et de
e ne te laisserai pas partir. Je suis si heureux à présent de pouvoir parler à quelqu’un qui peut me comprendre, à quelqu’un q
ois encore je ne répondis pas et tout le jour je restai avec lui sans parler . Il me regardait en silence et me suivait toujour
7 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
ie, 17 seulement sont au superlatif. Olindo Guerrini Nous avons parlé récemment du poète italien Olindo Guerrini, qui m
e della guerra ». M. Colajanni a justement observé que, pour pouvoir parler aujourd’hui de guerre de races, il faudrait admet
. « On se rapprocherait davantage de la vérité, ajoute-t-il, quand on parle d’influences ethniques, — quand on oppose le slav
 CXX, numéro 450, 16 mars 1917, p. 327-332. Olindo Guerrini On a parlé à deux reprises, dans les Échos du Mercure, du po
. Gabriele d’Annunzio Je suis bien embarrassé, maintenant, pour parler de Gabriele d’Annunzio, surtout en France. On est
ai 1915, à Quarto, Gabriele d’Annunzio s’écriait : « Plus personne ne parle bas, parce qu’ont cessé le malheur et la honte ;
ui de nos propres rapports avec le monde slave, la question dont nous parlons peut aussi nous regarder. Ceux des Italiens qui s
es Power, vint s’établir à Messine. La petite bergère, qui maintenant parlait et écrivait plusieurs langues, éblouissait par sa
7 Bien qu’on conspue l’ancienne Internationale des socialistes, on parle maintenant de plus en plus d’internationalisation
t le plus difficile. Comment ne point comprendre l’absurdité de faire parler longuement des personnages dont on voit remuer le
mmentateur d’Edgar Poe par l’illustration. C’est des artistes dont il parle celui qui nous est le moins connu. Il nous présen
n de la clôture des cours universitaires d’Oxford, sir Herbert Warren parla en latin du peuple italien et de la guerre qu’il
sir d’apprendre des choses nouvelles, — ou du moins dont il a été peu parlé jusqu’alors, — il a encore l’agrément d’offrir un
. Le musée de l’Aéronautique sera donc constitué à Rome et l’on avait parlé de l’installer au Castel Saint-Ange. Pourtant il
stoire prochaine et contemporaine, favorise l’unité yougoslave. Je ne parle pas seulement des difficultés internationales qui
and public. M. Papini, qui fut chargé de cette dernière édition, nous parle de plusieurs lettres dont personne n’a jamais pu
tiendrai au courant de ce qui m’arrivera. Pour l’aumône dont je t’ai parlé , il n’y a rien à ajouter, car je sais que tu cher
C’est pourquoi il faut attendre qu’elle meure. Si Cepperello vient me parler , je lui dirai ce que je pense. Je ne suis pas prê
uilles. Quant à ton mariage, tu me dis qu’auparavant tu veux venir me parler de vive voix. À cause de ma maison j’ai beaucoup
es par mois. Je vis pauvrement mais je paie bien. Ces jours-ci on m’a parlé pour toi de la fille d’Altovito Altoviti ; elle n
[Rome, 20 février 1552.] Lionardo. Ces jours-ci avec ton oncle, j’ai parlé de ton mariage. Il m’a dit qu’il s’étonnait beauc
nant, pendant que j’écris, on m’apporte la lettre dans laquelle tu me parles de la fille de Carlo di Giovanni Strozzi. J’ai co
s que ce pourrait être une bonne chose. Quant aux domaines dont tu me parles , ils ne me plaisent pas parce qu’ils sont près de
ai vous faire cette réponse de vive voix, plus explicitement, et vous parler en détails de choses qui pour moi sont importante
écrirai rien : d’autre pour l’instant, parce qu’il me semble en avoir parlé suffisamment ces jours-ci. Je me suis ingénié, au
ppeler à son souvenir un nombre infini de fois. Quand vous m’écrirez, parlez -moi de lui pour me le tenir présent à l’esprit. S
our, les beautés secrètes, la saveur et la couleur. Linati, dont j’ai parlé autrefois ici même avec l’admiration à laquelle i
. Cela vient de l’obligation imposée aux Valdôtains, qui ont toujours parlé français, de connaître désormais l’italien. L’émi
ennes, le général Cadorna, n’a pas de prétentions d’écrivain, mais il parle bref et écrit brièvement dans un style dépouillé
t encore moins la théologie. Ils s’arrêtaient aux apparences. Dante a parlé de plusieurs papes avec une liberté, une violence
un orateur est toujours sûr d’avoir l’approbation générale, dès qu’il parle de l’écrasante responsabilité de l’Allemagne. Si
aro. M. Enrico Ferri, qui, lorsque je le vis au mois de janvier 1916, parlait avec émotion de la vieille amitié qui l’unissait
vénements eut la meilleure influence sur le moral du pays. À ceux qui parlaient d’impérialisme anglais, le message de M. Wilson d
ans ce curieux livre de germanophile impénitente qu’elle a intitulé «  Parla una donna »77. Tout en rendant furtivement hommag
compli par son pays. Si elle insiste sur l’espérance de la paix, elle parle aussi avec enthousiasme des « victoires civiles e
serrées qui ont été faites, en Italie, des méthodes allemandes. Sans parler de l’espionnage (et dans peu de pays on en a si b
re d’août 1914, est venu s’ajouter l’élan intellectuel. On a beaucoup parlé ces temps derniers d’alliance latine, de cohésion
ptôme le plus rassurant pour l’avenir de cette idée, c’est qu’on n’en parle plus comme autrefois en termes vagues et génériqu
nfluence irrésistible sur l’Amérique méridionale79 ». Parmi ceux qui parlent aujourd’hui plus volontiers d’alliance latine, il
istes comme M. Borgese et il y a les nationalistes tout court. Ils en parlent avec précaution en laissant volontairement de côt
férents : et la volonté de vaincre est devenue générale. D’Annunzio a parlé avec lyrisme du « printemps d’Italie, printemps d
i facile de rejeter sur les petits le poids des responsabilités. On a parlé de propagande défaitiste. Qu’on me permette quelq
écent. Nous nous bornerons à ces quelques réflexions. Nous évitons de parler à nouveau de la véritable cause qui, à notre sens
était alliée aux Empires du Centre, — peut-être parce qu’il n’en peut parler franchement, — mais le fait certain, c’est que ce
marchands de papier. Mais nous attendons autre chose de l’auteur. Il parle de la vanité des prévisions qui ont été faites su
on aurait pu souhaiter sans doute un autre personnage. Plus loin, il parle à nouveau de l’Allemagne reconstruisant le Saint-
s de la chapelle du Pape. 62. Tombeaux des Médicis. 63. Michel-Ange parle ici de ses poésies. 64. Tommaso dei Cavalieri.
le durante la guerra (Nuova Antologia, 16 mars 1917). 77. M. Serao : Parla una donna. Treves, édit., Milan. 78. Ettore Roma
8 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
qui est là, et mon lieutenant le prend et le porte. Personne ne leur parle que moi, mon officier, M. Vigneron (le confesseur
manière qu’il aurait assez d’air sans que personne pût le voir ni lui parler pendant la route, pas même mes soldats que je cho
it] […] Dans la Revue de l’Art ancien et moderne, M. G. Lafenestre parle de Tiepolo […]. Lettres allemandes. Stendhal 
e donnée se prête à des péripéties dramatiques, dont je me réserve de parler lorsqu’il m’aura été donné de lire le roman. Les
aples. Ce sentiment religieux donne naissance à de belles fêtes. J’ai parlé ailleurs du retour de Montevergine qui provoque u
ient une longue canne, de l’autre une fiasque de vin. Il s’arrête, il parle et il fait goûter à chacun du vin de sa fiasque,
pieds un ronflement sonore : il y a un matelas sur le trottoir. J’ai parlé des enfants nus ; ceux qui ne sont pas nus, mais
sa marchandise, il montre ses lèvres pour expliquer qu’il ne peut pas parler , et c’est les doigts levés qu’il indique le nombr
eau pour votre seigneurie… Il s’éloigne. Un autre s’approche. Il vous parle . Il a compris que vous ne vouliez pas acheter du
, les pâles sommets de l’Œuvre belle. Et il est tellement poète qu’il parle en vers, qu’il pense en vers, qu’il sent en vers,
e ce peintre ! Quelqu’un qui l’avait vu, aimé ou haï, allait enfin me parler de lui et me livrer, peut-être, le secret de cett
regard avec Daniel. La belle assurance de ce garçon nous amusait. Il parlait haut, d’une voix décidée et ne paraissait nulleme
s gens touchés par sa beauté ? Par la suite, chaque fois que nous lui parlâmes de son origine, il détourna l’entretien, mais il
celle de ses fils Valerio et Francesco… j’accomplis mon labeur… — Je parlerai de toi à Bellini, dit Daniel. * Notre grand Giova
our le tourmente, l’exalte et l’inspire comme un jeune aegipan. Il me parle , avec une fougue et un appétit qui me plaisent, d
Et il se tenait debout comme un pilier, ferme comme le campanile. Il parlait comme un prédicateur, chantait comme un moine ! V
l me remercia de mes exhortations. Aussi, n’était-ce pas folie que de parler ainsi à ce garçon merveilleux qui m’aurait certai
nt un intérêt plein d’insolence et, s’ils les interrogent et les font parler , c’est afin de divertir leurs hôtes. Mais si ces
attirant l’attention sur le coffret. Il permit ainsi à Barbarelli de parler de son art. Il le fit avec une fougue juvénile qu
orgione. Les yeux fixés sur les formes que dessinaient ses gestes, il parlait fougueusement, sans hâte, soulignant par des into
s des soldats et des orientaux sollicitèrent ma curiosité. Je ne vous parle ni des pavoisements, ni de la ville, qui frémissa
lie, ainsi que la relation du mémorable siège de Gênes, dont il a été parlé ici même. Il en est aujourd’hui à la Troisième Ca
nts, parmi lesquels je distingue Giorgio. Il les dominait de la tête, parlait fort et gesticulait. Dès qu’il m’aperçut, il dres
que je vous considérais comme mon protecteur, il m’a reproché de vous parler trop familièrement… — Je suis, avant tout, ton am
bons camarades. Un vrai peintre ne perd jamais son temps !   Quand il parlait ainsi, Giorgio, comme il me l’avoua lui-même, s’a
na la dispute. * Durant les mois qui suivirent cette victoire dont on parla longtemps dans les ateliers, Giorgio ne toucha qu
pleurer et à prier ! » Ses mains ébauchent des gestes onctueux. Elle parle à voix douce, marche à petits pas tranquilles, s’
, vous qui aimiez la guerre autant que moi j’aime la peinture… ? — Ne parlons plus de la guerre… mais de ta peinture… Qu’as-tu
rterai demain. Il me renseigna sur les travaux de ses camarades et me parla avec enthousiasme de Titian : — Il a fait le port
uffirait pas… Comme il avait raison ! Ma rage était visible, quand on parlait des batailles qui suivirent la catastrophe qui me
à comprendre qu’il était à leur service, la gravité avec laquelle il parlait de son art lui valurent des admirateurs solides e
ina soigneusement. — Que Titian médite, s’écria Ridolfi…, mais moi je parlerai … — C’est le jugement de Titian que nous voulons,
eillirent le discours de Ridolfi. Mais il ne les écouta pas. Il avait parlé avec fougue, ne s’interrompant que pour boire. Ti
ue la vie est belle, simple. — Elle l’est, en effet. — Giorgio, tu ne parlerais pas ainsi si tu n’étais beau et vigoureux comme l
qui tient son maître au courant de bien des choses dont on a souvent parlé ailleurs et depuis ; mais ici ce n’est pas sans q
quer des maniaques de vertu qui, tel le ministre italien Luzzatti, ne parlent rien moins que de « jeter à la mer avec une meule
t son existence d’aventures et de plaisirs. On ne songeait plus à lui parler de la Maurina, depuis qu’il entretenait, à sa tab
oit une lettre de lui, soit un avis du Conseil m’ordonnant de ne plus parler de Giorgio Barbarelli, mort accidentellement… et
de santé et de joie !… Vous avez connu la Maurina vivante. Je ne vous parlerai donc pas de sa beauté. Dès le premier regard, je
e nuit chacun, ou nous te tuons. Le capitaine poignarda celui qui lui parlait ainsi. Ses camarades le vengèrent et la Maurina s
loux de cette créature qui avait reçu les baisers de tous ceux qui me parleraient d’elle ! Je résolus que la Maurina vivrait avec m
me rendis dans une taverne et je remarquai un marin. Il était grand, parlait haut et sa figure exprimait l’intelligence et la
s son calme. Je luttais contre la tentation de la réveiller, pour lui parler , lui demander si des inquiétudes semblables aux m
r pondéré. Leurs actes sont le fruit du calcul… Puis, si je lui avais parlé de la Maurina, il m’aurait débité les conseils in
e exubérance qui me permit d’exécuter de belles peintures. Je ne vous parle pas des fêtes que j’organisai, des mascarades, de
asse ton arme, garçon, et, avant de venger ton maître, laisse-moi lui parler … Après, s’il y a lieu, je tendrai moi-même ma poi
que tu souffres… Giorgio… Ah ! laisse-moi te raconter cette chose… —  Parle devant ce Seigneur. Il doit tout savoir… Et, comm
busé par la confiance qu’elle me témoignait, de temps à autre, je lui parlais de tes succès, de ta gloire. Je lui vantais ta fi
e. Ses bras se détachèrent de mes épaules et je dus la porter… Je lui parlais , elle ne me répondait pas… Je baisais ses cheveux
es enfants et les femmes… s’ils en étaient capables… Et, lorsque vous parlerez de la beauté, réunis autour d’une table… laissez
œuvre de Fogazzaro est tarée par l’absence du style, de la beauté. On parle volontiers en France de grands écrivains étranger
tion et éviter la sécheresse des énumérations. Il sait tout à la fois parler excellemment de l’architecture de Ravenne et de l
dans une certaine mesure, retardée par la folie de Charles VI. Je ne parle pas des faits historiques brutaux et bien connus,
upferstichkabinett der k. Museen zu Berlin) dont nous avons également parlé ici. Parmi les quarante planches que contiennent
icain est très sévère pour « le chancelier de fer », surtout quand il parle de « son dédain des droits populaires et de son h
eu. On dit que le poète a lu beaucoup avant de composer son poème. On parle de quinze cents volumes. Qu’importe cela ? La vér
à leur Dieu en ingérant sa chair et son sang. Des bruits courent. On parle même de sacrifices humains, de petits enfants qu’
s, mais ceux du moyen-âge ou à peu près. Il s’est attaché à les faire parler selon leur foi et il a réussi, mais leur foi, ell
su encore les dénicher. Dernièrement encore j’ai vu un article où on parlait de ce casse-tête, destiné, je pense, à rester tel
s : Gustave Flaubert, à la page 10 de la Tentation de saint Antoine, parlait ainsi : « Les marchands d’Alexandrie naviguent l
s ça, mademoiselle. Il faut dire : en manzant lé doux frrouit dé víe. Parlez donc français, qué diable ! » L’idée d’associer p
ant, contre l’étrangère. Ce n’est pas au nom de son amour qu’elle lui parle , mais au nom de la race. Ô gens de ma race, ven
anquait de l’idée fixe indispensable à la vie d’une collectivité dont parle Stirner. L’idée fixe nationaliste remplace mainte
n’est qualifié que de « vieux prêtre ». Procuste consent que Mérimée parle de la vieillesse et même de la folie du pape, mai
du 7 août 1867, où il vise les annos Petri. Comme avec irrévérence, Parle des dieux ce maraud ! À Victor-Emmanuel, Mérimée
u cercueil de Richard Wagner. — Je le tiens contre mon oreille : Il parle , il chante, il est vivant ;    Toute l’âme du Lev
ang, c’est-à-dire au second plan. M. Schneider aime l’artiste dont il parle , et c’est trop naturel pour qu’on lui en fasse gr
mpte, chargé de construire la Colonnade. […] Voici comment M. Bertaux parle de Donatello : Le monde où Donatello a vécu est
e Donatello les captivantes figures de Botticelli. Mais l’auteur nous parle aussi des créateurs de ces œuvres, nous raconte l
on hors texte de la Madone de Neroccio di Bartolommeo dont nous avons parlé dans notre dernier article, commentée par M. Andr
Sébastien, — créations raffinées de coloriste dont M. Gustave Kahn a parlé ici même il y a un mois56. Memento bibliograph
lent submergea souvent le génie. C’est de la présente Joconde dont je parle . Elle ne ressemble plus guère à celle qui enthous
e croit obligé de faire connaître la page des plates histoires qui en parlent . Par ces raisons j’espère que les autres volumes
t reconnaître tout d’abord le génie épistolaire », Mme de Saint-Point parle de Catherine de Sienne. Puis vient Lucrèce de Méd
ssini et Tolstoï, il se montre si faible qu’il est juste de ne pas en parler , par respect pour toute son œuvre. Dans l’Hymne à
aordinaires, comme Bella Sguardo, l’Italien démolisseur, un poète qui parle de tout renverser pour régénérer son pays, lequel
le mépris des promiscuités, le dédain des basses camaraderies : elle parlait de pureté, de fierté, de labeur et de gloire. Apr
enlevée ? Allons déplorer la perte de la sœur devant le frère, allons parler de la Lise au Précurseur, afin que l’esprit de Lé
t, dont M. Angelo Conti est le plus décidé des chevaliers vivants. On parle de Ruskin à propos de lui. On en parlé, lorsque,
idé des chevaliers vivants. On parle de Ruskin à propos de lui. On en parlé , lorsque, ce qui est très fréquent, on ne connaît
thètes » trop violentement épris… des danseurs russes. Au surplus, on parle de Ruskin, à propos de Angelo Conti, lorsqu’on ne
qu’on le sache, est un être vivant. » 28. Acte II, p. 32. 29. Je parle ici selon la tradition, car en vérité la pécheres
9 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
llance gouvernementale est si évidente qu’il est presque honteux d’en parler  ? Trois évasions seules sembleraient échapper à l
— au théâtre on entend toujours ouvrir le cadenas. — Or, Casanova ne parle nulle part de cet appendice ; il n’aurait eu d’ai
vec un air de commisération dédaigneuse : Monsieur le Président, vous parlez de choses que vous ne connaissez pas. On comprend
nton n’a jamais pu entrer dans ces jointures, et chaque fois qu’il en parle c’est un mensonge ; son instrument n’a pu lui êtr
is cacher au public que j’étais trahi. — Ne m’en veuillez pas d’avoir parlé , mais accusez d’Ancona qui m’a mis au défi. De ce
ie tellement engoué et enthousiasmé de la France qu’il affectait d’en parler la langue le plus souvent qu’il le pouvait. Dans
Révolution de 1789. En tout cas, la Maçonnerie, où il est interdit de parler politique ou religion, peut être considérée, au x
r qui sert Balbi et le comte Asquin. C’est la seule fois que Casanova parlera de Bragadin à ce sujet. On peut affirmer que, pen
de la porte de l’escalier d’or, nous avions à gauche la chambre dont parle Casanova, le cabinet du Sage à l’Écriture, comme
us l’Empire romain » (à propos du Sénèque de M. René Waltz, dont on a parlé ici même), « les Polémiques de saint Jérôme », « 
vants d’ailleurs, mais qui ne comprenaient pas la langue spéciale que parlait le poète marin. » Tome XCV, numéro 352, 16 f
italien ? Combien entrent en contact direct avec le peuple ? Et je ne parle même pas ici de ces touristes drainés par les age
x par les musées et par les églises sous la conduite de ciceroni ; je parle des voyageurs intelligents qui se promènent par l
la connaissance des langues étrangères est très peu répandue, on n’y parle guère que le français et on le parle imparfaiteme
es est très peu répandue, on n’y parle guère que le français et on le parle imparfaitement, même dans les classes instruites.
x, l’Italie était une idée, et souvent même seulement un mot ; ils en parlaient à peu près comme en parlait Dante à une époque où
souvent même seulement un mot ; ils en parlaient à peu près comme en parlait Dante à une époque où elle était morcelée en mill
rieures à leur réputation : la plupart des écrivains étrangers qui en parlent ne les ont vues que de l’extérieur6 ; ils ont lu
es « camorristes » ont bruyamment manifesté leur patriotisme. Si l’on parle individuellement aux hommes du peuple, travailleu
fait passer pour fou afin d’atténuer l’effet de son acte. On ne peut parler d’une manière générale de l’Italie, car elle n’es
de de son savoir, contribuer à le rendre conscient ? Hélas ! ceux qui parlent au peuple, ceux que l’on voit et que l’on entend
bien qu’il n’ait pas dépendu de nous, dans une certaine mesure, d’en parler plus tôt) ; si tard même, que ce pourrait être ho
te est, dès les primitives périodes, enfin rendue visible. Si l’on ne parle pas du fameux épisode de la rencontre de Béatrice
ue nous ouvrent les premiers chapitres du livre de M. Gauthiez. Je ne parlerai pas d’érudition… Ici elle est parfaite, neuve, pu
lo, entrouvre un peu son Villani ; et cela me rappelle que j’aurais à parler du livre en critique d’histoire. Cela ne me chang
t posément, cherchait l’autorité dans l’allure et dans les regards, «  parlait rarement », à l’image de ses poètes vénérés. Il m
péninsule, la culture italienne s’intensifie considérablement. Je ne parlerai pas cette fois-ci du livre singulier et puissant
interroge ses souvenirs ; a-t-il été embarrassé à Bologne quand il a parlé allemand ou anglais ? Nos écoles secondaires exig
as dans leurs finesses, comme en France ; nous nous contentons de les parler , mal c’est entendu. Nous passerons aussi sur l’âp
ffaire. Je laisse donc à leur coupole respective les personnages dont parle à ce propos M. Mesnil : M. France à la coupole du
était de chez nous aussi. De vrai, M. Mesnil retarde un peu quand il parle de notre Dreyfusisme d’antan, et je crains qu’il
cuisinier du roi de Prusse ; mais il n’y trouve que son père qui lui parle pâtés — pâtés de dindon, de perdreau, de lièvre,
s rendîmes aussitôt chez le fondeur. Rapi le prit dans un coin et lui parla . Très simplement et pas longtemps, deux ou trois
é froidement une situation infâme. — On admet un crime passionnel, on parle à un assassin, dans un bagne, mais on se détourne
la ne fait pas 800 000 émigrants, comme ledit M. Fiorentino. Quant on parle de chiffres, il les faut justes. Mais, ainsi que
e en grande partie à la guerre ! En entendant « Giuseppe Fiorentino » parler de la « Justice italienne.… à laquelle tout le mo
action dans le pays ? Du reste, à propos du procès Murri, je n’ai pas parlé de l’influence du gouvernement sur la justice, ma
s aient pu commettre impunément leurs irrégularités en plein jour, ne parle certes point en faveur de l’élévation de la consc
génie de l’argot. Essai sur les langages spéciaux, les argots et les parlers magiques, par Alfredo Niceforo. Vol. in-18, 3,50.
trois mille victimes. Il est à remarquer que l’éruption terrible dont parle Strabon répond à la fin de ce que l’on appelle le
’empire, en des points rapprochés, à Pouzzoles, à Baia, à Capri, sans parler des rivages du Latium, des côtes romaines et tosc
re l’invasion italienne en Tripolitaine, dont les quotidiens ont déjà parlé , aura le même succès que les précédents. […] L
la génération française correspondante. Il est bien entendu que je ne parle point de la valeur intrinsèque, spirituelle et fo
briel d’Annunzio. Poésies. Hérelle tr. Calmann-Lévy Je ne puis pas parler aujourd’hui des poètes, et des tendances poétique
es, et point exceptionnelles, qu’ils manifestent. Je dois me borner à parler encore une fois de Gabriel d’Annunzio poète. On a
qu’elle brille partout. Du Bellay, à la même époque que Montaigne, ne parle de l’Italie que pour regretter « la douceur angev
imitation au chapitre des lettres, le premier littérateur n’ayant pas parlé de la Mère, le dernier ignore son magique royaume
on dans les ouvrages des écrivains et des poètes. Les guides mêmes ne parlent pas des paysages, aux xvie , xviie et xviiie  si
mann et à Chaalis porteront le nomde Musées Jacquemart-André. Nous en parlerons quand ils seront ouverts au public. Memento [e
e, soit à considérer comme ville d’art, — non plus que Dresde dont je parlais le mois dernier. Naples a surtout son admirable s
 au théâtre, on entend toujours ouvrir les cadenas. — Or, Casanova ne parle nulle part de cet appendice ; il n’aurait eu d’ai
nton n’a jamais pu entrer dans ces jointures, et chaque fois qu’il en parle , c’est un mensonge, son instrument n’a pu lui êtr
cience habituée aux douceurs de l’escarpolette ! » À moins, révérence parler , qu’il ne rende modestement son premier déjeuner
nt réussi à dissiper les obscurités dont la vie de Cagliostro — je ne parle pas ici de son origine, ni de sa jeunesse, — est
moires plus fréquents et d’archives mieux classées ? Au moins l’œuvre parle toute seule et tout de même l’homme vrai s’y refl
èmes publié en français par les soins de M. Hérelle, dont il eut à me parler à Settignano, il y a plusieurs années, et à m’écr
ne della morte, Treves, Milan Il est un peu fatigant, du reste, de parler si souvent de M. d’Annunzio. Mais cet écrivain es
nversion de M. Maurice Barrès, et d’avoir voulu imiter celui-ci. On a parlé de cela, en Italie, mais à tort, je crois. Arcach
le thème intérieur de sa vie, vécue avec tant de plénitude, et où il parle de son esprit tenu tra il tedio de la vita e la
ume Tell se rattache aussi manifestement au romantisme weberien. On a parlé des italianismes de Wagner, il ne serait pas diff
même ne l’habitant pas, ils entourent naturellement M. Marinetti. Je parlerai des uns et des autres, au fur et à mesure que les
Génie de l’Argot. Essai sur les Langages spéciaux, les Argots et les Parlers Magiques, 1 vol. in-18, 3,50, « Mercure de France
Génie de l’Argot, Essai sur les langages spéciaux, les argots et les parlers magiques, M. Alfredo Niceforo écrit ces lignes qu
x aphorismes, qu’il développe : « S’occuper différemment, c’est aussi parler différemment » et « différences de sentir, différ
ussi parler différemment » et « différences de sentir, différences de parler  ». Le dictionnaire de la langue normale ne suffir
nimé !… Eh ! ce n’est pas !a maison, ces pierres et ce mortier qui me parlaient déjà, c’est ceux qui l’habitaient ! La fenêtre re
e, éternellement durer. Il fallait enfin la connaître, il fallait lui parler . Quand je sortais, je regardais sans cesse autour
rables qui peuvent se présenter. Qu’elle soit occupée, par exemple, à parler à quelqu’un qui me connaisse, et me présente à el
us vif désir ; je pensais que, dans l’eau, il me serait facile de lui parler . Les bains, en été, sont la grande distraction de
sir. Mais, à son attitude, j’avais compris que je ne devais point lui parler , ni la saluer. Cependant, je me levai et la suivi
n et je m’arrêtai pour réfléchir… Ah ! je pourrais enfin la voir, lui parler  !… Ces deux planches allaient former un pont entr
auprès de vous, je risquerais cent fois la mort. Enfin, je puis vous parler , enfin, je puis vous entendre !… Il y a si longte
tude d’une modestie et d’une grâce touchantes, elle me regardait sans parler . Elle portait un léger peignoir blanc qui laissai
je lui assurai que je ne séjournais presque jamais à Paris, et je lui parlai de mes voyages. Elle m’écouta alors avec une atte
uriait délicieusement. Elle avait retrouvé ses esprits. Elle se mit à parler français d’une voix chaude et avec un accent qui
battements précipités de son cœur. Elle était trop émue pour pouvoir parler . Lorsqu’elle fut un peu remise, elle me dit à voi
e s’était tue ; elle pleurait maintenant silencieusement. Je me mis à parler doucement ; je lui expliquai que rien n’était plu
rdait de ses beaux yeux noyés de larmes ; mais bientôt, tandis que je parlais , elle cessa de pleurer ; elle me tendit ses lèvre
, et c’est là sa plus sûre vigueur, la certitude de sa durée. On peut parler des deux seules écoles picturales les plus récent
cturales les plus récentes, le Cubisme et le Futurisme, comme on peut parler de la littérature collective, en prose et en poés
» émeut le cœur de ces chantres de l’Énergie neuve. M. Corrado Govoni parle ainsi de tout ce qui passe dans une rue. Là, les
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
tion. M. Antonio Fogazzaro. Sénateur, Homme de lettres (Italie) Parlons d’abord du sentiment religieux, puisqu’il précède
é, ne cherchez-vous pas à tuer les grands ? Il pense que si un député parlait de la sorte, c’est qu’il manquait quelqu’un pour
vie est brève. Fugit irreparabile tempus. » Mais il s’émeut quand il parle des deux mois de prison préventive que fit son ca
devons à MM. Ladame et Régis. Le vendredi 25 avril 1905 il demande à parler au directeur de la prison, et lui explique que, v
Genevois font subir à leurs prisonniers des tortures atroces Puis il parle de la nourriture, notamment du café au lait et du
, de plénitude de formes, de franchise de modèle, de caractère. Je ne parle pas du coloris, qui est nul. C’est une œuvre qui
11 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
ns du poulet. Érasme aimait le grec, mais aussi la bonne chère, et de parler la langue de Lascaris ne le nourrissait pas suffi
arler la langue de Lascaris ne le nourrissait pas suffisamment. On ne parlait que grec chez les Alde, par une singulière affect
e superbe à traiter non moins dans les livres que dans la vie ; on en parle depuis des siècles et le thème n’est pas encore é
quait fort adroitement, à l’occasion de l’enquête du Marzocco dont je parlerai plus loin. Mais c’est dommage que peu à peu M. Fo
out à fait spéciaux, de ce mysticisme décidément catholique dont j’ai parlé  ; pour un païen, — et j’en suis un, — la forme se
ittorio Pica et autant à M. Ugo Ojetti pour les deux livres dont j’ai parlé dans le Mercure de décembre ; 500 fr. à M. Antoni
tion et, souvent, d’exécution. Il est certain qu’Anne, assez souvent, parle un peu comme une héroïne de M. Maeterlinck : mais
s traités qui sont à la Bibliothèque du Vatican et dont Luca Paccioli parle comme de pures merveilles dans son livre des Cose
émoires de Bourrienne sont, en tout ou en partie, apocryphes. Il nous parle de la simplicité extérieure de Napoléon, ce qui d
campagne de France a été un chef-d’œuvre de stratégie ! Et lorsqu’il parle des projets du jeune Bonaparte en Orient, comme d
s procès dont cinq sur trente lui valurent des condamnations. De quoi parlait -il ? Quelles sortes de choses épouvantables sorta
égosillait devant « l’audace inouïe de la critique allemande ». On ne parle point ici de Renan, le défroquat et « la vieille
atrocités ne nous éloignent point trop de l’Abyssinie dont on a fort parlé en ces derniers temps, bien au hasard et avec un
ée, Colbert se présente chez lui, ne souffre pas qu’il se lève et lui parle au lit ; le jour de la Fête-Dieu il voit le roi à
ajoute, en se tournant vers ceux qui faisaient cercle : « Qu’on ne me parle pas de rien qui soit petit ! » Mais Louis XIV a p
vint voir hier, et me fit connoistre que M. le card. Chigi luy avoit parlé , mais, de la manière dont il m’a dit la chose, je
nt il m’a dit la chose, je juge que ce card. ne luy a pas tout-a-fait parlé comme vous le souhaittiez. Je l’iray voir jeudy,
12 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
toyen latin un paysan de la Hague ou du Ponthieu, sous prétexte qu’il parle une langue, qui n’est que du latin modifié par la
le comme un organisme. L’Allemagne n’a pas de figure. Même quand on y parlait plusieurs langues et des centaines de patois, la
« Une vie circule à travers l’Europe centrale. Il est donc permis de parler d’anciennes voies de migrations et de commerce ay
as de limites précises ; dans leurs centres les plus tyranniques, les parlers d’oc sont clairement du français, et qui ne s’élo
que latin, pendant au portugais si rude et si condensé. Quelle langue parlerions -nous sans les missionnaires de l’Église romaine ?
langue ne signifie nullement parenté d’origine. L’Italie et la France parlent des langues évidemment sœurs. Ethnographiquement,
légende que les hommes de lettres sont des poseurs. Je trouve qu’ils parlent comme tout autre travailleur sans outrecuidance e
vient de trouver la forme la plus directe et la plus empoignante pour parler à un public jadis si défiant. On a vérifié ce phé
rogramme. G. Cena : Gli Ammonitori Je ne me rappelle pas avoir parlé ici de deux auteurs qui, sous des points de vue d
melli : Anna Perenna, Gli uomini rossi L’autre jeune dont je dois parler est Antonio Beltramelli, un esprit sauvage, que j
tri Je dois quelques mots à un poète, dont j’ai l’honneur d’avoir parlé le premier dans ces chroniques, il y a deux ou tr
’alarmait la prudente affection de Flaubert ; comme son jeune ami lui parle de malaises physiques et moraux, de fatigue et de
ueuse qui avait éveillé ses sens, la caresse des mains, le regard qui parle , le sourire qui promet les lèvres, les lèvres qui
l’instinct de leur race vers ces « sentiers obscurs de la mer » dont parlait Pindare, ont souvent porté leur observation sur l
un rire mécontent, en lui jetant par la figure : « Gros bête, va ! On parle , au moins ! » Il avait failli pleurer sans trouve
re logiquement vraie ; le More devient Othello, le traître Iago : ils parlent , au lieu d’être racontés. Fernand Caussy : Les
étails soient traités un peu trop sommairement. Page 124, M. Luchaire parle d’une connétablie instituée, pour le besoin de se
avec les Strozzi, qui sont bien, croyons-nous, les seules gens, sans parler de l’affection douloureuse de Marie Soderini, à a
bles œuvres, et d’autres créent à Florence tout un mouvement, dont je parlerai ensuite. Les Poètes comme d’Annunzio, Pascoli, de
tendances différentes dans un nœud de volontés rénovatrices. Je veux parler du mouvement impérialiste-nationaliste de M. Enri
nglotant et ondoyant, M. de Bosis exprime donc l’âme de son temps. Il parle à des convalescents, c’est-à-dire à tous les homm
13 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
uteur du Génie de Flaubert, mais je pense avec lui qu’au lieu de tant parler aux poilus du Droit et de la Justice, personnes u
la séance solennelle et très « union sacrée » du 14 novembre, n’a pu parler que dans le sens de la résistance énergique. Et c
es Garibaldiens étaient venus se ranger à nos côtés et les survivants parlent encore des combats de Dijon. — C’est qu’il est da
nyme, collective, — l’œuvre de la masse, — ce qui ne l’empêche pas de parler avec affection et même une certaine ferveur de no
ienne, — qui avait l’avantage d’un terrain d’attaque plus élevé, puis parle des villes italiennes qui ont eu à souffrir déjà
e les pays d’Europe, et avant qu’on ait pu donner satisfaction, je ne parle même que des satisfactions légitimes, à tous, la
s — et qu’entre les deux existe, sinon cette parenté de sang, dont on parle si souvent dans les discours officiels, tout au m
lie en France (quant à l’exportation inverse, celle dont on a souvent parlé aussi, celle de capitaux de France en Italie, je
es. L’avance ennemie, pendant les deux mois de lutte dont nous allons parler , a été très sensible. Elle s’est produite sous un
s et qui constituent la partie la plus remarquable de ce volume, s’il parle également de choses diverses et dont abuse peut-ê
ésident du Conseil, de prononcer quelques brèves paroles. M. Giolitti parle toujours très peu ; et lorsqu’il s’y décide, ses
étaient plus tout à fait aussi affirmatifs que par le passé quand ils parlaient du programme italien, exposé nettement par M. Son
r du Popolo d’Italia) ; les autres pensant qu’il valait mieux ne plus parler d’une Dalmatie italienne, et faire ainsi disparaî
ui était prêt à faire la révolution, à abattre la monarchie (on avait parlé de cela à Montecitorio comme d’une fatalité, le m
qui l’ont fréquenté naguère à Bruxelles. Il me reproche, lui, d’avoir parlé avec trop de ménagements de l’action des Lazzari
le second tableau, ce chien est supprimé et c’est à un Amour qui lui parle à l’oreille, que Vénus prête son attention), tand
vision plus large et plus précise de l’immense cataclysme. Quand j’ai parlé de l’Italie, j’ai pensé avant tout aux aspiration
nt ses discussions de philosophie sociale13… Il est donc difficile de parler de complète union sacrée dans un pays où tout un
ivre fort intéressant. Il était mieux qualifié que personne pour nous parler des Italiens : depuis l’invasion de la Belgique,
lemands soumettent le noble pays qu’ils ont odieusement attaqué. Il a parlé dans de nombreuses réunions, il a causé avec des
Virgile et d’Horace liront avec curiosité la façon dont le père Rocci parle , dans une langue antique, des plus récents engins
utres soldats qui la firent fumer le cigare et la pipe, sa crainte de parler de peur que sa voix ne révélât son sexe. Enfin el
as d’étudier la question, et de dire qui a raison. Nous en avons déjà parlé dans notre livre sur « l’Italie et le conflit eur
s. Défendant la politique qu’elle avait suivie depuis trois ans, elle parlait de la « position centrale que l’Italie devait pre
des légions tchéco-slovaques se dirigeaient vers le front italien. On parle aussi de la création de légions yougoslaves. Les
combinaison triplicienne, l’infortuné pèlerinage royal à Berlin, sans parler de menus airs, tout aussi ridicules, ou tragiques
i Perona a réduit à sa juste valeur l’argumentation de M. Pareto, qui parle non seulement du point de vue logique, mais aussi
ractères d’or, le nom de Guglielmo Oberdan. Depuis il n’en a plus été parlé … Le Père Angelo Secchi L’Italie a célébré c
ompte de l’Autriche-Hongrie et de la dynastie des Habsbourg. Quand on parle de l’opposition irréductible des Yougoslaves, il
Rien ne me touche plus profondément que de m’entendre nommer quand on parle de Lui… Celui qui admire a la meilleure part. L’a
palais Doria, dont il était le Doge. C’est la première fois que j’ose parler de lui dans une lettre. Vous voyez bien qu’il me
plume ne trouve pas les mots. Les yeux et les lèvres seuls pourraient parler . Il ne me vient que ce cri : Vive la France, bonn
ritains et de Marin Faliero, ce doge de Venise décapité en 1355, sans parler du cycle entier de Verdi, de Nabucco à Attila, à
t devenus presque introuvables, nous présente ses Poesie Scelte. J’ai parlé ici même de ce jeune poète qui compte parmi les m
14 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
orces primordiales et universelles, symbolisées dans leur œuvre, pour parler , pour agir et pour mourir au nom de leur propre c
sein des multitudes, réclament leurs perpétuelles transformations. Il parlera un langage de héros, au nom d’un besoin général d
as dans ce miroir. Mais les trois formes du théâtre à venir dont j’ai parlé trouveront seules leur place dans le temple. Déjà
uthiez a longuement habité Milan ; il connaît bien les choses dont il parle et l’on peut se fier à ses indications. Il est se
e lui aussi un des derniers romantiques. De M. Domenico Milelli je ne parlerai pas sans angoisse, car j’ai connu le sort misérab
poètes plus jeunes. Le livre des Élégies conclut par ce distique, qui parle de Rome : Rien n’est plus grand et plus sacré. E
ndroit peut-être, mais on sent que l’auteur connaît à fond ce dont il parle , ce qui n’est certes pas banal à l’heure actuelle
nfectionnés… Nous fûmes vite camarades, Vittorio Pica et moi. Il nous parla en excellent français et termes fort choisis de l
M. Delmoder énumère les livres du critique italien dans lesquels il a parlé des Français et des nôtres. Il en résulte que, da
es contradictions insolubles qui agitent l’âme humaine… J’ai beaucoup parlé à Paris, dans les conférences et dans les salons,
de M. S. Rocheblave sur la Jeunesse d’Henner, dont je n’aurais pas à parler ici, — malgré que certains portraits reproduits,
il s’agit des anciens, ne serait-il pas désirable de les entendre en parler avec cette simplicité et cette sincérité ? La Rev
t d’une grande bonhomie ». Son visiteur est plein de déférence ». Ils parlent de Weber et Beethoven. Rossini raconte comment le
Le Cantique (Il Cantico). C’est le dernier livre d’un jeune dont j’ai parlé souvent ici, M. Antonio Beltramelli. Encore une f
un moine dominicain du xve  siècle : voilà pour déconcerter ceux qui parlent de notre « manie critique contemporaine » comme d
fait remarquable. M. Gabriel d’Annunzio et l’anthropologie Nous parlions dernièrement de la sympathie de M. Lombroso pour
s le prophète, et dont l’avortement data la fin du Moyen-Âge ou, pour parler plus juste, la suspension du Nouvel-Âge et l’ouve
e 334). Son amant est devenu presque fou, ajouta la personne qui nous parlait … ajouta la personne qui me parlait La plupart d
e fou, ajouta la personne qui nous parlait… ajouta la personne qui me parlait La plupart de ces remarques sont d’un intérêt s
du plus grand intérêt historique. À la page 41 on lit : Je n’ai pas parlé d’un vice-légat qui fait des horreurs dans les en
tout de même, du brillant et ardent d’Annunzio. Et cela nous amena à parler de l’influence de la « mode » en matière littérai
de beaux livres, il faut s’entendre à les lancer. Il s’agit de faire parler beaucoup de soi avant que le public songe à ouvri
on de souvenirs devait le lui faire chérir. Ce n’était point façon de parler , quand il écrivait, cinq ans après, à son ami Cro
1, je devins amoureux de la comtesse Simonetta21 et de l’Italie. J’ai parlé d’amour à ce beau pays en faisant la grande ébauc
uteur italien, c’était revoir l’Italie dans son âme, c’était aussi se parler à lui-même la langue que parlait Angelina ; même
Italie dans son âme, c’était aussi se parler à lui-même la langue que parlait Angelina ; même à l’ennuyeuse besogne de traduire
e ébauche, mais une copie, et une copie corrigée et annotée : … J’ai parlé d’amour à ce beau pays en faisant la grande ébauc
écembre 1817. (Cor. inéd., I, 52.) Il y déclare qu’il n’a pas voulu «  parler comme auteur » ; qu’il écrit pour se « désennuyer
tutionnel et au Mercure l’article de Crozet ? — En attendant, faisons parler le Journal général, ou même les Lettres Champenoi
ses. Quant aux Débats, Maisonnette pourrait se réduire à les prier de parler , même en mal… Et le  novembre : Voyez donc si v
it sont là pour le prouver. C’est de cette dernière mise en œuvre que parlait Stendhal, un jour de découragement, quand il écri
quelques mandataires qui composent la Chambre (point n’est besoin de parler du Sénat), c’est à peine si une quarantaine se rè
, les reporters l’eussent découvert avec orgueil, les belles dames en parleraient , au thé de cinq heures, et son nom, en France, se
La Tragédie catholique de Gabriel d’Annunzio. 2. Vitruve aussi nous parle des trois genres de scènes, au point de vue purem
ait la purgation des passions par cette piété et cette crainte…… » Il parlait donc du drame. 4. J’emploie ce mot : ésotérique,
l admira à Florence plus que tout le reste, les seules œuvres dont il parle  : en sculpture, ce fut le tombeau de Marie-Christ
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
bles et que, dans l’espèce, les papes Paul V et Urbain VIII n’ont pas parlé ex-cathedrâ, c’est-à-dire n’ont point imposé une
t à réconforter le philosophe de Zarathoustra. Déjà malade, Nietzsche parlait encore parfois de Jacob Burckhardt, comme s’il av
ations, nos émotions, nos pensées. Non. C’est lady Macbeth. Le poète parle de Macbeth et de Duncan, histoires d’un temps loi
é le poignard, Kitchener, sois ferme ! Qui a dit Kitchener ? Le poète parle de Macbeth et de Duncan, histoires d’un temps loi
nt de sang les veines, vieux boër damné ! » Qui a dit boër ? Le poète parle de Banquo et de Duncan, histoires d’un temps loin
16 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
te pour son plaisir. Mais il ne faut pas confondre les espèces. Je ne parlerais point des comédies de l’Avare et du Joueur en tra
crits, c’est toujours le nom du Tasse qui se présente à lui, quand il parle des poètes italiens. Ainsi, dans les stances à la
, et injustes, comme il ne manque pas de le lui faire sentir : Il me parla da Dante et de Pétrarque, et tout le monde sait c
ait été si rapide et si peu chaleureux à propos d’un écrivain dont il parle en général avec un enthousiasme ardent, Goldoni,
uissesses, « nues jusqu’aux épaules à cause de la chaleur ». Voltaire parlait . Tout en feignant d’écouter, le prince ne se refu
en 1907 sont inconnus en Italie. En effet, et quoiqu’on ne puisse pas parler de « succès » de la Comédie Française pendant la
înés, sont encore moins remarquables, et de toute façon je ne saurais parler de leur art que je n’aime pas, et qui ne me sembl
17 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
suna imprudenza. Dans d’autres milieux, on s’étonne d’entendre ainsi parler des hommes qui représentent une partie de l’intel
t enfoncé jusqu’aux oreilles et maintenu par la mentonnière, et il me parlait . Le vent glacé éparpillait ses paroles, mais des
lège. Il est vrai que son aimable interlocuteur, s’il ne savait point parler d’autre langue que le grec, employait du moins ce
accessible à tous, les problèmes multiples que soulève la guerre. Je parlerai à l’occasion plus spécialement de l’une ou l’autr
phique et ne point dépasser la région où la majorité de la population parle l’italien ? Dans leurs dernières concessions, les
uerre déraison et de foi. » Et ceci est exact, si, bien entendu, l’on parle d’une minorité agissante et non de l’ensemble de
aletti Gaudenti dit avec beaucoup de justesse : Il est impossible de parler des idées économiques et sociales d’un homme qui
artînt. Un conférencier comme André de Fouquières, qui est venu nous parler de mondanité, de dandysme et de cotillons, ou com
iper, d’une façon directe ou indirecte, à la guerre. Il a cru pouvoir parler et agir en maître, ourdir des intrigues, créer de
ent ; il n’a pas vécu en Belgique sous la domination allemande, il ne parle de l’état de son pays depuis l’occupation étrangè
s, en une sorte de gloire mystique, comme une Terre promise. Quand il parle de la visite qu’il a faite sur le front en Flandr
confuse de l’exil. Il m’a confié ses doutes et ses angoisses… — Il ne parlait point le langage de M. Destrée, mais il avait vu
tte force se manifeste aussi chez beaucoup d’écrivains par le fait de parler ouvertement même des événements les plus contrair
ont produit sur le monde, savent qu’ils ont acquis par là le droit de parler franc et haut et d’être écoutés. Ils ne s’en font
uit que j’entends la nuit mon sang se glace dans mes veines. Je ne te parle pas de notre peur le jour où ils ont bombardé la
18 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
passionnément, réfutait et raillait parfois, — tandis que M. Péladan parle « du caractère déraisonnable que, de tout temps,
sse d’un réveil, « Enfin ! Enfin !… C’est le réveil, — dit-elle. — Ne parlez plus : je suis toute à vous !… » C’en est fait de
e manière étonnante : on n’a lu de lui que très peu d’articles qui ne parlent pas d’écrivains et de romans parisiens, car il es
i réclame un contre-poison des plus efficaces, ou il finira par faire parler français ses personnages romains. Dans Miraggio,
d’autres messieurs moins illustres en bon nombre d’autres villes ont parlé copieusement de la vie et de l’œuvre de Zola, pou
us nombreuses qu’on ne le croit. Dante n’aima pas que Béatrice. Je ne parle pas des femmes en lesquelles il voulut personnifi
plus tard ! Nullement : « Taine, dit M. Sorel, n’avait pas de goût à parler de ces temps douloureux. » Signe de grandeur. Com
o Pica, depuis quelques années, s’est donné tout entier à l’art. On a parlé ici de ses études sur l’Arte mondiale à l’Exposit
coratif qu’il a résumées en un synthétique épilogue. « On a beaucoup parlé et beaucoup écrit en Italie, dit M. Pica, sur l’a
qu’il connaît si bien et où est son royaume ; dans ce recueil dont je parle , un poème (le Bûcher) est absolument admirable et
ses Mémoires. Casanova mourut en 1798, mais on n’entendit aucunement parler des Mémoires (dans lesquels le prince de Ligne, à
ependant, chaque jour, Thérèse venait lui faire une visite . Casanova parle de quelqu’un qui avait, comme de raison, formé le
s que Casanova la nomme La Catai. Dans le présent manuscrit, Casanova parle de La Casacci ; La Catai est évidemment une des a
tre, entre tous, comprit le mieux ce que Shelley voulut dire quand il parle de « l’amour véritable qui diffère en ceci de l’o
pendant que Casanova s’y trouvait ; du procurateur Morosini, dont il parle dans ses Mémoires comme de son « protecteur » et
de la mort du comte, en 1792. Dans son Mémorial d’un Mondain, Lamberg parle de Casanova comme d’« un homme connu en littératu
mbien d’amour… Les voici à l’œuvre les mains et les yeux humbles dont parle d’Annunzio à propos de Segantini. Le grand artist
et inoubliable Retour au pays natal et La Foi réconfort de la Douleur parlent si éloquemment. Dans l’Ange de la vie, la mère ré
r épanouissement formel dans l’œuvre réalisé à Maloja. Si Segantini a parlé du Nirvânah au sujet de ses tableaux des Luxurieu
19 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
on ne la voit… Jacques, pardon, cela semble vous déplaire que je vous parle de Manon Balletti. Mais, je vois que vous avez qu
Vous songez au passé, les yeux dans le vide en m’écoutant. Eh bien ! parlons -en encore… On ne peut se la figurer qu’en longue
amené et veut retourner rue de Condé, laissez-moi l’accompagner pour parler une heure à Adnesse. Je vous reviens bientôt.   M
re Casanova et Bassadona, pas d’autres complices. Bragadin n’a jamais parlé et Casanova a scellé ses lèvres d’un cachet d’air
pas fait une petite apparition en Angleterre, dont vous n’avez jamais parlé  ? Qu’ils discutent, ça ne me louche plus, et je v
 ? Qu’ils discutent, ça ne me louche plus, et je viens vers vous pour parler une dernière fois des Plombs de Venise. Dans votr
’apercevais chaque jour, me considérait avec étonnement. Lorsqu’on me parlait , il m’arrivait de ne pas entendre ; ou, si je rép
ment, se mît à tourner avec la hâte dont battait mon pouls. Alors, je parlais , je parlais sans relâche, pour m’étourdir, pour m
à tourner avec la hâte dont battait mon pouls. Alors, je parlais, je parlais sans relâche, pour m’étourdir, pour me griser, po
er notre fuite ? Oui, certes, je le devais. Eh bien ! ce soir, je lui parlerais  ! Malgré mon amour, malgré mon désir passionné de
té m’ordonnait de dire. VII J’étais chez elle. Je n’avais point parlé encore. Dans les bras l’un de l’autre nous soupir
il m’est difficile de relever. — Eh ! signore, répliqua-t-il, vous me parlez sur un drôle de ton !… Mais je ne m’offenserai pa
ulagé. Mais point. Avec le même accent de cordialité charmante, il me parlait maintenant de ses enfants, de son fils qui vivait
et le regarda en face. Je restais silencieux, trop troublé pour oser parler . Enfin le marquis rompit les chiens ; comme si de
choses aimables sur les Français et sur moi-même. Et maintenant nous parlions musique, il me racontait que la saison du San Car
re visite, et il me recevait avec une bonne grâce infinie. Mais il ne parlait point de nos projets. Et je dus, lorsque je jugea
bait sur son épaule, elle pâlissait, elle était sans force. Et je lui parlais , j’essayais de la distraire, alors que, quelquefo
re de parcourir la même étape, celle de l’amour, dont nous avons déjà parlé . Faust devient amoureux d’Hélène après un épisode
esco, la porte Aurea et le souvenir tragique des Malatesta. — Mais on parle peut-être un peu trop de peinture dans les livres
ez romanesque, et le poète semble s’y complaire. Dans son Prologue il parle de ce qui fut sa villa, où il « retrouvait, dit-i
e l’a pas écrit dans une langue voisine de celle que Dante écrivit et parla , il ne l’a pas écrit en provençal ou en vieux fra
ant aux exigences, d’ailleurs modérées, de nos textes. Nous venons de parler du poggio alla Quercia : « poggio » veut dire col
s. De l’un des points culminants de vingt-neuf mètres dont nous avons parlé , de celui qui porte aujourd’hui un belvédère, on
Qu’est-ce que ce nom représentait pour ses contemporains ? L’Odyssée parle plusieurs fois de ses courants profonds et violen
nuit close, Ulysse débarque chez les Morts quelques heures après. 1° Parlons d’abord des Cimmériens. Ce sont, dit le texte, d
de Casanova. Le roman se termine brusquement et de façon inexplicable parle billet de rupture que Casanova a publié lui-même
p. 140-146 [140-142]. Les jeunes auteurs sont rares qui consentent à parler d’amour dans leurs livres, d’amour tout nu, d’amo
elle a senti que deux êtres assortis se cherchaient. Les familles, je parle des bonnes, ne se plaindraient jamais si elles se
as-Dubreton n’ait pas jugé « indispensable de monter en chaire » pour parler de Machiavel, ce me semble à merveille. Relatées
tion « en puissance et en fonction » de toute l’élite d’un pays. J’ai parlé ici de la mort de plusieurs « grands hommes » de
la, il parvient à diriger plus de 250 acteurs ou figurants dont il ne parle point la langue. Le geste suffit à M. Meyerhold,
la fenêtre — et elle — devant la table des magazines. Je m’amusais à parler seul, comme quand on rêve. Je disais : « Une dame
Ferson, quelque triste lied à traduire… je m’accoude à ma fenêtre… je parle de vous à la brise, au silence, au clair de lune…
tais assis au bord de son lit, je furetais dans ses dentelles, je lui parlais à voix basse… — Écoute… écoute ! chuchotais-je. É
pour toujours ? — Oui, pour toujours… pour toujours ! Mais je lui ai parlé à l’oreille… et elle a répondu : « Je vous détest
rence de ses gardiens actuels. C’est eux qui l’ont, le sourire ! On a parlé des privautés du duc de Morny ! Un amoureux trop
numéro d’octobre 1903 Mr Arthur Symons, le poète anglais bien connu, parlait longuement du séjour de Casanova au château du Co
nfant qui, ignorant les résultats d’événements dont on lui a beaucoup parlé et dont il n’a pu faire la comparaison, propose à
ur d’étoiles, et le docteur de Bologne et la dame Asphodèle devraient parler en vers. Aussi bien en trouve-t-on quelques-uns d
s entrepôts commerciaux de l’antiquité, Délos, Alexandrie, Pouzzoles, parlé des cultes qui s’y établirent à la suite des comm
ien, qui vient dans notre capitale, après avoir vu rouge à Rome, pour parler d’or, parmi toutes les grisailles de cette somptu
irai-je de l’intrigue du Transplanté ! Elle est une interaction, pour parler la langue de l’auteur ? Naturellement le héros Tr
t le héros Trismat ne pouvait que voir Hélène dans chaque femme, pour parler la langue du Satan de Faust. Hélène Saïvine est u
t libre de tout dessein qui ne contribuât au service de la beauté, il parla avec bonheur de la liberté de l’art, et du but où
mais il vaut mieux ne pas s’y arrêter, au moins pour le moment. Je ne parlerai pas de d’Annunzio, qui appartient, et pour bien d
qui appartient, et pour bien des côtés, à cette génération dont j’ai parlé (on a imprimé cette année un gros recueil de ses
re militante. Restent les jeunes. Je mets de côté les isolés, dont je parlerai au fur et mesure qu’ils publieront quelque chose
riste, allié avec celui qui est représenté par la revue Lacerba. J’en parlerai la prochaine fois. Memento À signaler, en c
ment, point de la banalité courante. Toutefois, je l’entendis un jour parler de ses jeunes années et ce récit d’un pérégrin m’
ouvrit et introduisit un monsieur maigre et grisonnant. Il demanda à parler à mon père. — Beppo est sorti, dit ma mère, mais
ut lu la lettre que lui tendait le visiteur, il regarda sa femme, lui parla à l’oreille. Elle éclata en sanglots. « Le cœur d
20 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
xpérimentale, sur la géologie soient des plus curieux, c’est quand il parle de peinture que malgré tout Vinci nous intéresse
t des mots à la mode, fatalement condamnés à un abandon prochain. Qui parle de la déesse de Lorette ne blasphème pas, il paga
otre philosophe fait sa prière, comme un homme du moyen âge. Avant de parler de l’optique : « Plaise au Seigneur, lumière de t
5). » Mais la méthode métaphysique se trouve malmenée ; « syllogisme, parler douteux, sophisme, parler confus, le faux pour le
physique se trouve malmenée ; « syllogisme, parler douteux, sophisme, parler confus, le faux pour le vrai, théorie science san
ancêtres ont envoyé Marie-Antoinette à la guillotine. Tout homme qui parle au nom de Dieu menace les autres et la violence d
oir ce qu’elle renfermait d’extraordinaire » (152). Le naturaliste ne parle pas seul ici. Nous voyons des savants nier ce qui
mettront en pratique et facétieusement il écrit : « D’autant plus on parlera avec les peaux vêtues de sentiment (manuscrits),
et tout l’univers pour satisfaire ses appétits (345). Les esprits qui parlent et agissent lui semblent particulièrement incompr
dans l’air serait bientôt démembré. Quant à savoir si un esprit peut parler , il suffit de définir la voix « mouvement d’air f
t de foi, Et j’y sens tout à coup mon âme en Dieu se fondre. Qui parle d’âge d’or à venir, ô mortels ? L’âge d’or est v
utes les façons, un être sans conséquence. Aussi, quand on vient nous parler de « la ronde orgiaque des empereurs », cela fait
de l’action. Ces deux œuvres, dans l’opposition de leurs caractères, parlent un même langage. Sous la coupole étroite de la ch
le. À Venise, le Colleone étonne davantage. Les poètes ont si souvent parlé de cette mollesse orientale où s’endort la ville
travailler vers 1470. Vasari, écrivant au milieu du seizième siècle, parle avec une émotion religieuse des premiers débuts d
nte, a une action de plus en plus grande sur son œuvre. Qu’on ne nous parle plus de l’ange qui lui a été attribué dans le tab
is », ne devient pas un maître de l’avenir. Léonard, dans ses écrits, parle avec indifférence de la mort de Ser Piero, son pè
vec un peu de la science de Verrocchio. Que de mystères encore ! On a parlé d’un autre artiste remarquable dont on ne retrouv
ions pour l’avenir, l’admirable Portrait de Rembrandt dont nous avons parlé à cette même place, n’a pas voulu reprendre son t
eption étrange il ramenait toute chose dans sa vie ; sans cesse il en parlait , et, comme, en dépit de l’absurdité du système, i
aissez ! Ne lui dites rien à présent, pour qu’elle ne pleure, Et ne parlez jamais de ceci. Que ce soit comme ce fut ! La Vie
ait toujours Dans l’abîme pour y frayer Son sentier ; et soudain elle parla , comme Les étoiles quand elles chantent dans leur
ille à une plume Flottant, loin, au fond de l’abîme ; et soudain Elle parla à travers l’air calme. Sa voix était comme la voi
ut-être, et sera muet : Alors je poserai ma joue Sur la sienne, et je parlerai de notre amour Sans en être une fois confuse ni f
use ni faible : Et la chère mère approuvera Ma fierté, et me laissera parler . « Elle-même nous conduira, la main dans la mai
vain des amis le pressèrent-ils ; il ne répondait pas lorsqu’ils lui parlaient de ses vers. Ses vers ! pour elle ils avaient été
rtueuses, étroites comme des couloirs ; parfaits coupe-gorges où tout parle encore d’attaque et de défense, entre de vieux pa
ando Pizzetti, baptisé par M. d’Annunzio : Ildebrando da Parma. Je ne parlerai pas ici de la tentative esthétique admirable de M
de notre mentalité méditerranéenne contemporaine. Lorsque M. Pizzetti parle du « Drame Musical Latin », vers lequel tendent,
ndoyer mon esprit dans le domaine ensoleillé des rythmes. Après avoir parlé de l’esthétique d’un musicien, il me plaît de par
hmes. Après avoir parlé de l’esthétique d’un musicien, il me plaît de parler de quelques jeunes poètes, parmi les meilleurs de
etrouvons l’étude de M. Arbelet : le Roman de Métilde, dont j’ai déjà parlé ici même. […] On trouvera encore dans ce volume u
abbé Thédenat sur le Forum Romain et les forums impériaux. Nous avons parlé abondamment de cet ouvrage25 qui a été surtout co
nue, notre pensée complète le balbutiement du vieil auteur ». De là à parler de véritables découvertes ou seulement de présomp
es preuves. « Léonard eût été bien empêché de donner les siennes. Il parle en philosophe dégagé des préjugés, non en savant.
nte à Pline le jeune des lignes vraies aujourd’hui, « actuelles ». Il parle d’Asinius Pollion qui, sous Auguste, eut l’idée d
cru à une autobiographie. Tous les écrivains du xive  siècle qui ont parlé de Dante sont cependant tous d’accord pour rappor
dule, distinguait mal la vérité de l’allégorie ; on lut le livre ; il parlait d’amour, les femmes le vantèrent, s’y plurent, s’
ir une culture pour être à l’abri de la pudeur. Ovide, puisqu’il faut parler latin, enseigne aux femmes que dans l’amour « non
familier ; même quand ils racontent une histoire vraie, ces artistes parlent une phrase cadencée et qui, aux motifs traditionn
’on appellerait aujourd’hui un homme de gouvernement. Il ne pense, ne parle et n’écrit que pour ses pairs ; jamais il ne jett
amené par l’imprimerie, l’architecture et ses succédanés continuent à parler théologie éloquemment. L’immaculée Conception se
ra nullement la conséquence du régime pacifiste et, puisque M. Faguet parle de l’Italie et de son unité récente, je veux le d
itudes politiques internationales, et des actes du gouvernement. » Il parle de Venise comme de « l’écrin du monde ». Tout siè
s gondoles. Une semblable mélancolie est dans le chapitre ou l’auteur parle de la Femme et de l’Amour, mais elle est rehaussé
ccupations, du même conflit de principes et d’intérêts : nous voulons parler des dissensions de la famille d’Auguste, de la mé
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
é [en italien dans le texte] ; car, si je les avais lues, j’en aurais parlé dans une très facétieuse préface où je rends just
parlé dans une très facétieuse préface où je rends justice à ceux qui parlent bien de ce qu’ils ont vu, et où je me moque beauc
lent bien de ce qu’ils ont vu, et où je me moque beaucoup de ceux qui parlent à tort et travers de ce qu’ils n’ont pas vu. Bast
ues jours avant et quelques jours après la visite de Casanova, ne lui parle pas de son compatriote. Mais, d’abord, je doute q
es qui le passionnaient particulièrement lorsqu’il avait trouvé à qui parler , car il ne détestait pas qu’on lui tînt tête, Vol
gé lui-même par ses confrères les vers6 ». Pourtant, lorsque Voltaire parle à Casanova d’Algarotti, on sent qu’il est moins d
magna pars de leur histoire ; Mais c’est un modeste vainqueur Qui ne parle point de sa gloire. Casanova, qui avait le triom
e, Casanova raconte les diverses tentatives de son hôte pour le faire parler  : « Au dessert, M. de Voltaire, sachant que je n’
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
vue pendant une demi-heure vraiment amoureuse et belle d’amour. Nous parlions sur un banc qui se trouve dans la boutique pendan
que the mother était occupée avec les commis. Nous étions obligés de parler par plaisanteries. Ce genre où il faut être plais
du naturel d’une grande âme sur un autre cœur du même genre. Elle m’a parlé de tout quitter et de me suivre en France. Elle m
23 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
tion de cette statue, accompagnée d’un texte dont je préfère ne point parler , puisqu’il me suffit de citer pour qu’on en juge.
ica conjugale, par Ugo Valcarenghi. Recueil de nouvelles dont il faut parler , parce que ce Valcarenghi est un type, dans son g
simplicité du ton et la facilité heureuse de l’image et du vers. On y parle de mères et d’enfants avec une tendresse qui ne g
rments dont il a été tenaillé jusqu’à hier, Silvia se présente et lui parle un langage si vrai, si ému, si inattendu, qu’il s
ena (Italie), les livres et publications dont ils désirent qu’il soit parlé dans notre Revue, sous la présente rubrique.
ensuelle, littéraire et artistique, Il Fauno (le Faune), Il faudra en parler sous peu, car fervei opus pour atteindre le but d
de politique qui paraissent dans la Nuova Antologia il ne sied pas de parler ici. Je remarque une élude vigoureuse et profonde
s 1900, p. 252-256 [255]. La Chronique des Arts (3 février). — « On parle beaucoup de notre admirable musée, en ce moment.
ées fortuitement au gré de son cerveau surexcité. Il écrit comme l’on parle au cours d’une discussion animée dans une réunion
ombroso était aussi profonde qu’elle est étendue, il y aurait lieu de parler du « péril Lombroso ». Heureusement il n’en est r
hée ? — dirent les Bacchantes — es-tu venu pour nous mépriser ? Elles parlaient , en restant immobiles dans leurs poses de statues
autres. — Il n’est plus temps. Orphée regarda la bouche de celle qui parlait , une bouche grande et superbe : sur sa peau blanc
e des hôtes. Stazia l’interrompit sans tourner la tête vers celle qui parlait  : — Personne ne le retient. Qu’il aille. Pourquoi
s, excepté Bicornide. — Qu’il reste notre prisonnier. ! — Pourquoi ne parles -tu pas, Orphée ? demanda Bicornide, la voix agité
jet avéré. Les intéressés se gardent de la répandre ; et lorsqu’on en parle à des Vénitiens, ces derniers rient, haussent les
t envoyé en quelque Sorrente gérer un consulat illusoire ! Qu’on nous parle plutôt des cochers, qui gagnent rarement plus de
re. De son côté, M. d’Annunzio avait tant écrit, tant travaillé, tant parlé pour sa petite candidature florentine, que le jou
Étranger aidant, une légère folie mégalomane lui monta à la tête ; il parla plusieurs fois au nom de l’Italie sans en avoir e
raine absolue ; à vingt pas du Roi, deux ou trois jeunes canailles en parlaient en ricanant. C’est de l’histoire ; on ne pousse p
pensée et la divination. Parfois aussi, la scène se modernise : on a parlé de Fiorilli et de la Commedia dell’arte… et dans
trer. Mais il ne faut pas oublier que ce prétexte moral et le goût de parler de Dieu et de sonner le tocsin aux oreilles des l
es ou glorieux, ont attiré l’attention du monde sur cette Italie dont parlent si mal ceux qui ne la connaissent qu’à travers le
as encore empoisonné. Du haut de cette poésie, riche et puissante, il parle en homme libre, sans préoccupations de la pose, a
onie bizarre et inattendue, qui à côté d’un hymne comme celui dont je parlais tout à l’heure, peut placer un Hymne de retour, a
ppeler que Giotto lui apprit à dessiner. Dans la Vita nuova, le poète parle d’une Annonciation exécutée par lui-même. 26. Da
 J’ay l’honneur de vous présenter ce petit tableau dont je vous avois parlé . L’idée de ce petit morceau m’est venue à l’occas
24 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
est de l’histoire agréablement écrite avec un bel amour de l’art dont parle l’auteur. M. Klaczko est un esprit sagace qui vau
orable. M. Quaglino, — il est mon ami, et j’ai presque le devoir d’en parler mal, — écrit sa prose comme de la poésie, en peti
mois de novembre et qui ne prendra fin qu’en avril. Le livre dont je parle peut faire les délices des érudits, lourd qu’il e
chiffrer la figure de femme qui la domine et l’emplit toute : je veux parler de cette inoubliable et captivante Cécilia Gonzag
mis même en fâcheuse posture sur ce point. Quant à l’opuscule dont je parle , il est la contribution que tout bon israélite (M
oderne n’a pas encore paru en volume : tout en me réservant donc d’en parler la prochaine fois, après lecture, je crois pouvoi
n les entend raconter par les personnages, et quoique ces personnages parlent souvent une langue admirable, ils n’arrivent pas
devant un troupeau de paysans ébahis, qui n’y comprenaient mot. Il y parlait de la Beauté Éternelle, des mœurs anciennes, et d
tragédies ; mais le théâtre ne se fait pas avec des pages. P.-S. — Je parlerai la prochaine fois, outre de la Gloria de d’Annunz
es Américains, et Verlaine est aujourd’hui dans le monde entier, — je parle du Verlaine expurgé de quelques excès — représent
pour ceux qui l’entouraient, il sembla comme écouter une voix qui ne parlait qu’à lui seul. C’est ainsi qu’il apprit l’art d’a
r la délicatesse de ses opérations, par cette subtilitas naturae dont parle Bacon. Aussi le voyons-nous souvent en relation i
Dans ses instructions, Bonaparte avait d’ailleurs permis à Gentili de parler aux habitants « de la Grèce, d’Athènes et de Spar
ivre dont, malgré son succès en Italie et en Allemagne, on a très peu parlé en France. Il est pourtant fort intéressant et pa
inintelligible, quand on y rencontre la naissance d’un enfant dont il parle , et que le lecteur n’a trouvé auparavant qu’un ba
. Delacour (Les Lettres de Noblesse de l’Anarchie, p. 310) va jusqu’à parler de la faiblesse, et de la tiédeur de la foi de Sa
25 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
ement toute une action. Pour le moment, ce réalisme idéiste dont j’ai parlé dans le courant de cet article, nous l’exprimons
er la question de la guerre à l’Allemagne. M. Barzilai se contenta de parler de la coordination des efforts italiens et du pla
ns une revue d’intellectuels et d’esthètes, se sent en leur présence, parle comme ils parlent, pense lui-même ainsi et ne tro
ntellectuels et d’esthètes, se sent en leur présence, parle comme ils parlent , pense lui-même ainsi et ne trouve aucun motif lo
oût à la manie du luxe et du colossal d’un peuple de parvenus. « Qui parle au xxe  siècle de peinture allemande, de musique
ècle de peinture allemande, de musique allemande, de poésie allemande parle d’une nébuleuse sans noyau et sans physionomie — 
Quant aux socialistes, aux catholiques et autres : « Alors qu’il faut parler et agir sérieusement, Bebel et Spahn, Hertling et
s masses et le mécanisme, est mesquine à d’autres point de vue. « Ils parlent de surhommes et de superpeuple, et ils n’ont pas
outé l’arme autrefois terrible de l’Excommunication ? Le nouveau Pape parle , écrit. Sa voix n’est pas celle des prophètes d’I
rien, si je pense à ce qui est ruiné à chaque instant, tandis que je parle , tandis que je pense, tandis que j’écris, sang et
itre : De l’autre côté des Alpes, sur le Front italien, et où il nous parle de Brescia la belliqueuse, de la campagne italien
gne. Ailleurs, il s’intéresse aux aspects de Venise, aussi en guerre, parle de Trévise et de Conegliano, d’Udine, — une des n
gréable aux Autrichiens. Ils ne lui pardonnent pas, en effet, d’avoir parlé , un des premiers, des frontières naturelles que l
presque bannie : elle a résisté dans les livres et les revues. Je ne parle pas de la « littérature de guerre » toujours débo
r en quelques lignes les résultats auxquels il est arrivé : il faudra parler longuement de cet écrivain qui mérite d’être conn
nons de la première heure qui ne se fussent un peu écartés de lui. Je parle bien entendu de ceux qui avaient de la valeur. Et
rop souvent la triste réalité ! Que nous resterait-il à admirer, — je parle au point de vue intellectuel, — si nous osions né
laide contre sa propre passion, il enchaîne son amour afin de laisser parler en soi la discipline intérieure, cette discipline
loyauté ? Son silence dura si longtemps que Franco lui dit : — Tu ne parles pas ? Elle recueillit toutes ses forces et parla.
o lui dit : — Tu ne parles pas ? Elle recueillit toutes ses forces et parla . — C’est vrai, mon âme n’a jamais été entièrement
insi que tu le crois. Mais peu lui importe que nous l’adorions et lui parlions . Ce qu’il veut de nous, on le comprend par le cœu
choses que nous pouvons comprendre, que nous pouvons sentir ! » Ainsi parle Luisa Maironi ; et que pourrions-nous dire de mie
e part, et, de l’autre, la servitude. Pascoli, sans doute, n’a jamais parlé aussi nettement sur ce point ; mais sa poésie, si
quelques héros de M. d’Annunzio se permettaient d’être « vrais », ils parleraient ainsi, et le roman se réduirait à quelques pages,
26 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
ividuel seul est réel et l’universel est un de ses attributs3. Platon parlait comme un métaphysicien, Aristote comme un savant,
, genre Lemaître, n’a pas ombre d’érudition, et pourtant, quoiqu’elle parle d’étrangers qui lui sont presque des inconnus, el
role facile, plaisante, claire et élégante était une compensation. Il parlait des faits de la journée et pour cela il intéressa
i hâte d’arriver aux pages sur les œuvres et les auteurs dont je vous parlais en commençant. Après avoir répété l’intérêt et l’
rnier, il a tort de nommer un arrangeur de spectacles dont on ne doit parler que dans les comptes rendus des tribunaux, mais i
l nomme Chérubin, de M. Morice, « qu’il n’a pas lu et dont il ne peut parler  » ; la Fille aux mains coupées, de M. Pierre Quil
s ferons bon accueil à la seconde de ces revues (dont nous avons déjà parlé ), tout en regrettant la première. […] Tome VI
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
lico, Ghirlandajo, le Pérugin, Francia, et, qui mieux est, il sait en parler avec intelligence. Cet Allemand d’autrefois mérit
ontemporaine. En dehors même du double mouvement français dont il est parlé plus haut, les autres recherches caractéristiques
’œuvre de M. Guido Gozzano est identique à celui des poètes dont j’ai parlé plus haut. Un irrésistible besoin de renouveler n
Wagner venait de remporter un nouveau triomphe en Allemagne. Elle en parla avec Nietzsche. Au début, dit-elle, il sembla ne
28 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
ompris dans la classe moyenne, il n’est que rarement et difficilement parlé  ; quant aux paysans et aux ouvriers, ils ignorent
sujet : Y a-t-il aujourd’hui une littérature italienne ? M. Ojetti a parlé le premier ; puis M. Carducci ; puis d’autres. Le
e la sua tragedia tradotta « Danton et Robespierre » Puisque nous parlons des œuvres où la patience tient le rôle de la fan
. D’Ancona est précieux. Cet érudit devient un artiste lorsqu’il nous parle du Comte Confalonieri. Celui-ci, beau, élégant, r
malveillance ! Les manuscrits de Giacomo Leopardi On peut bien parler de conquête à propos des manuscrits de Giacomo Le
ortance relativement à la vie privée du grand poète de la douleur. On parle aussi d’un poème satirique trouvé parmi les papie
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
ensée est l’acte propre de la raison : les bêtes ne pensent point, je parle aussi de celles qui ont figure humaine et souffle
érir argent et dignités. XI. — Allégoriquement donc, par amour qui me parle de ma dame dans mon esprit, j’entends l’étude. O
uissent à leur place, elle ne s’appellerait plus noble, mais vile. Je parle contre ceux qui errent, imitant le bon frère Thom
de Boëce, qui l’amenèrent à l’amour, c’est-à-dire à l’étude. Quand il parle aux intelligences du troisième ciel, s’adresse-t-
30 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
par Victor Barrucand. Tome X, numéro 50, février 1894, p. 116. Tu parles  ; et cédant à la molle brise de ta voix L’âme s’a
e brise de ta voix L’âme s’abandonne Sur les ondes caressantes de ton parler Et vogue vers d’étranges plages. Vogue en une t
e, italien, français ou allemand, il ne cesse jamais d’être Lui et de parler hautement à l’âme. Si Raphaël, si Vinci ont de la
déplacée, elle n’en a pas moins fait place à un autre abus ; je veux parler de l’idée littéraire qui semble avoir fait de tou
31 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
de liberté pour atteindre plus de richesse, Mme Gina Martegiani nous parle du petit Sturm-und-Drang florentin, résumé, il y
estaurateur du château des Sforza à Milan ; et M. Art. Yahn Rusconi y parle de L. Seitz, le peintre décorateur du sanctuaire
re de Lorette. La Rassegna Contemporanea (janvier). M. G. A. Cesareo parle de la publication faite par M. G. B. Siragusa du
xercer ainsi, même à distance, son autorité sur ses citoyens. Je n’ai parlé jusqu’ici que de la vie publique des Florentins,
de France » et aux « Richesses d’art de la Ville de Paris », pour ne parler que des séries qui ressortissent à notre rubrique
de constater la largeur de cette hospitalité si libre qu’on a même pu parler d’envahissement. L’Invasion 9, tel est même le t
en Italie autant que l’auteur de Zarathoustra ? Nous pourrions encore parler de M. Camille Lemonnier, de M. Élémir Bourges, de
médit avec tant d’injustice des Romantiques, ne voudraient-ils aller parler à Florence ou à Milan de ce que les Hugo, les Lam
une rapide étude sur Swift, « le grand humoriste ». M. Achille Loria parle dans la Nuova Antologia (1er mars, Rome) de Josep
e et qu’il ne l’a pas regardée avec cette sensibilité passionnée dont parle Stendhal. Il avoue lui-même que le plaisir qu’il
au contact de Rome, la ville des âmes, disait Veuillot, la ville qui parle à toutes les âmes, ajoute M. Gaspard Vallette, « 
qui nous séduit chez les Primitifs. Voici, par exemple, comme il fait parler sainte Dorothée de Cappadoce, au moment d’aller a
croire que tu le possèdes… Je pourrai interpréter ta rêverie et faire parler éloquemment ton silence. » Et cela nous renseigne
u plaisir de te regarder. Tes paroles sont si belles et si bonnes, tu parles une langue si mélodieuse… Tout ce que tu penses,
! Et ce sont eux qui auront raison contre la raison, parce qu’ils ont parlé les derniers, parce que le public accepte toujour
que nous le voyons dans l’œuvre d’Euripide. M. d’Annunzio ne fait pas parler la bruyante Vénus. Elle n’est même pas devant le
xcès et ses défauts de proportions, de lyrisme même, dont je n’ai pas parlé dans cette trop rapide chronique, elle est à coup
is canoniste ou grand docteur en Sainte Écriture ! De l’amour je n’en parle pas. Je suis un beau jeune homme, aux dents très
ci quand, se promenant à leur bras, on se penche vers elles pour leur parler d’amour. Et Garganello fait sa petite revue de la
e révèle l’esprit d’un maître de demain. Dans la préface, M. de Maria parle de son esthétique. Ses pages sont très méditées,
Simplement, il avait assez de tous ces vieux restes morts, qui ne lui parlaient que de morts, depuis trop longtemps morts et piét
sans avoir eu le temps de délibérer avec lui-même, il était installé parle garçon, d’autorité et fort mal, à coté de quelque
femme, qui avait laissé ses bras autour du cou de Bélisaire, se mit à parler d’elle-même. Ses malheurs avaient été nombreux et
iculière aux proches séparations. Pourtant le jeune homme n’avait pas parlé de départ. Bélisaire, malgré la désillusion du cr
er dans la dernière pièce, sûrement le cénacle où il trouverait à qui parler , enfin, de sa déesse. C’était une rotonde vert pâ
Edoardo Calandra. Alfredo Baccelli : Sull’ombra dei Vinti J’ai parlé du roman le Bal, de M. Alfredo Baccelli. La perso
bouge. Ô soir émouvant ! Suivant chacun notre rêve, Soudain nous ne parlons plus. Mais dans nos deux cœurs se lève Un chant q
e M. Erminio Troilo : Idee e Ideali del Positivismo, où le philosophe parle des rapports existant entre la philosophie et. la
taire. Il me plaît naturellement de m’occuper d’un poète, après avoir parlé des philosophes. Et ce poète est de ceux qui sont
re la crise du livre et une possible crise de la culture. Après avoir parlé de la Production de la culture en Allemagne et le
t un diminutif de Francesco. Je ne sais de quel messire François veut parler Garganello. 36. Gabriel de Panisse, baron de Mon
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
es heures du jour, elles sont pleines de gens occupés à gesticuler et parler très haut, et à regarder les passants. Les person
) Les Napolitains sont très soumis au gouvernement ; mais ils veulent parler de tout, décider de tout et ils le font en criant
33 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
art donne quelques preuves qu’on a discutées, mais non réfutées. Sans parler de la date des plus anciens manuscrits de Tacite
Alfred Vallette. Tome II, numéro 17, mai 1891, p. 261-268 [264]. […] Parlerai -je enfin de la Critica sociale, de Milan, qui s’e
mélange, dit M. Robiati, de Stendhal et de De Sade. Nulle critique ne parla jamais des livres de Banzole : cependant ils ont
34 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
ient plus qu’on ne croirait d’après ce titre, car il y est longuement parlé de l’action, sur cette section de l’enseignement
a (chapitres VIII, IX et X) et voudrais leur signaler une lacune. Ils parlent bien, en quelques pages, de ce qu’ils nomment les
ente et la taille inapte au corset. M. Francell chante mieux qu’il ne parle et M. Allard en barbon fut quelquefois lugubre. I
Mozart (Paris, 1801, in-8°) par Cramer, quand Stendhal, disions-nous, parlait de la sorte, il se moquait, au fond, de ses corre
et cela pendant longtemps sans doute découragera ceux qui voudraient parler encore du grand maître vénitien. Le critique et l
atives faites par M. Pascoli. Sa Chanson de l’Olifant, dont j’ai déjà parlé dans ces chroniques, est un des plus curieux exem
uelques poèmes, à quelques versions précédentes, dont les professeurs parlent beaucoup. La plus étonnante de ces visions était
soit pour des civilisés, c’est l’androgyne ou l’ange, selon que l’on parle grec ou chrétien. Ce type spiritualise tout, même
ire que celui des poètes ». Et voilà qui m’amène tout naturellement à parler d’un autre manifeste extravagant, celui des « Pei
rait d’un Membre de confrérie napolitaine de M. Émile Bernard ; je ne parlerais pourtant pas ici de cette belle et puissante pein
ncore, malgré le retard de six jours passés à Lyon et Turin. Je ne te parlerai de cette ville que dans quelques jours. Un cœur t
le. C’est là que j’use surtout de la liberté mélancolique d’errer, de parler , de pleurer, le long de ces rues désertes, de ces
arme et sa noblesse. Il faut donc la lire et l’entendre chanter, mais parler , c’est à fuir. Est-ce par cette raison que la voi
ver des poètes et des journalistes obstinés à « écrire ainsi que l’on parle  », convaincus que le dialecte toscan demeure le p
dans le vent. Vana se souviendra du « double destin » dont lui avait parlé le héros, elle s’en souviendra, lorsque, étreinte
urs pour suppléer au manque de pratique d’un art, et quand M. Péladan parle technique, il erre assez facilement. Léonard écri
arçons, Un moment laisseront tomber leurs ritournelles, Quand je leur parlerai des choses éternelles, Avec un doigt tendu vers l
nsi que le début du IVe chant de Childe Harold, nulle part on n’avait parlé avec cet accent de la volupté tragique qui se dég
plein droit à la Ville. Pourquoi a-t-on abandonné l’affaire ? Les uns parlent de discordes entre les actionnaires, les autres d
35 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
goût des somptuosités propre aux époques plus récentes, Venise lui a parlé d’une voix authentique et spontanée, Venise appar
lume. Le dernier livre de Guglielmo Ferrero Un livre dont on a parlé beaucoup, et justement, ces derniers mois, c’est
t sonore, sans faux brillants ni grâces vaines, M. Marcel Schwob fait parler aux héros de Francesca da Rimini ! La pièce a été
puyer trop sur cette imperfection organique, je me souhaite d’avoir à parler souvent des œuvres littéraires de M. Ojetti, et j
e vient de paraître ce Giulio Cesare, par Enrico Corradini, dont j’ai parlé dans ma dernière chronique, et que Ermeste Novell
é — s’impose à notre parole quand c’est de ce maître que nous voulons parler . Pas plus dans ses ouvrages incontestés que dans
ux très admirables portraits d’Holbein… L’esquisse du Corrège dont je parlais , deux têtes d’anges, étude pour la fameuse fresqu
d’Antiope, Io se donnant à Jupiter ou la Léda. Ici c’est l’audace qui parle , l’énergie, la vigueur. De ces deux anges en plei
36 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
ueilleux, ennemi des dieux, d’un Satan-puissance, tandis que Carducci parle d’un Satan-réalisation, symbole de la raison ; ce
archaïsmes des anthologies. En s’insurgeant contre Manzoni, Carducci parlait au nom du Dante, au nom de Machiavel et de l’Ario
vec sa prose et avec ses recherches d’instituteur sur la langue qu’on parle en Toscane et la langue que les Italiens doivent
a langue qu’on parle en Toscane et la langue que les Italiens doivent parler , je ne m’étendrai pas sur ces deux romans. Leur m
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
bloc de briques ou de pierres où chaque âge a maçonné ses vestiges. » Parler de la Ville Éternelle n’est donc plus un lieu com
et de reconstituer, le quadrige « très splendide » d’Herculanum dont parle Winckelmann. Par l’étude méticuleuse des restes d
38 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
paradigmes choisis le long de son chemin, sur le fleuve du Temps. Il parle des pays et de l’âme des pays qui ont frappé son
ences Modernes de Bocca frères, à Turin, son Histoire des Romains. Je parlerai dans une prochaine chronique de cet ouvrage très
39 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
contestables pour l’intelligence psychologique du sujet, si l’on peut parler de psychologie dans l’étude d’un cas qui n’a pres
Labicana, a été reconnue comme celle de la villa de Jules César, dont parle Suétone, où le grand conquérant fit son testament
40 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
iò si chiama. « La Pittura, Poetica che tace » « Poetica, Pittura che parla  »                                            Arme
tière les abritent, et au toucher délicat d’une âme elles revivent et parlent à l’amie visiteuse. « Je chanterai la Primavera,
bas on n’enseignait pas même le nom de Carpeaux. Si Medardo avait ouï parler de Bonnington, il ignorait complètement Manet et
41 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVII »
n véritable observateur et très juste. L’auteur napolitain n’a pas pu parler du goût du peuple pour toute espèce de vol domest
42 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIII »
onné par le gouvernement. Ils aimaient beaucoup le roi Ferdinand, qui parlait leur langue qui est pleine de vivacité, de comiqu
43 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LX »
ielmi et Anfossi sont ceux de ses disciples qui ont eu un nom. (Il ne parle pas de Cimarosa !… C’est qu’en 1803 il ne fallait
44 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXII »
’épouser. Les Napolitaines sont les premières épouseuses du monde. Je parle des filles honnêtes. Elles se livrent à tout, exc
45 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXI »
ligible for her ; chez une femme accoutumée à comprendre ceux qui lui parlent au premier mot, cela dut produire froideur. 1813.
46 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
iz) ; lire leurs préfaces et notes. [Le 19, son père, après dîner, me parle du départ devant elle. Tristesse, non pas sombre
47 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 242, 15 juillet 1907 »
s atteints très gravement. Quelques-uns cumulent, et, non contents de parler de l’immortalité de l’âme, en cherchent la preuve
48 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 233, 1er mars 1907 »
. Les étudiants et les auditrices chuchotaient en le regardant, il ne parlait à personne et restait silencieux, un peu solennel
49 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
une édition critique comportant des notes et des éclaircissements. On parle pour ce travail d’un jeune écrivain qui s’est fai
50 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
n’est pas à la portée de tous, et il est bien peu de gens qui peuvent parler avec compétence d’une telle poésie. Ce que l’on p
/ 50