; et de celui-là Dante ne s’occupera pas. Les anges ni les animaux ne
parlent
. Les pies imitent la voix de l’homme, qui seul es
ètrent, le mortel ne peut échanger sa pensée que par le langage. Adam
parla
avant Ève. « Nulle personne dont l’esprit est sai
’elle fut la langue d’Adam ? Le latin aurait-il cet honneur, le latin
parlé
à Pietramala, ville amplissima sous ce rapport co
ns : aussi j’affirme que si les anciens papienses ressuscitaient, ils
parleraient
un autre langage que les papiens d’aujourd’hui. S
. Seuls des hommes peu différents des brutes croient qu’on a toujours
parlé
le même langage dans une même ville. « L’art de l
. « L’art de la grammaire, cette inaltérable conformité de manière de
parler
, est réglé d’un commun accord et n’est soumis à l
quoique les Bolonais du bourg Saint-Félix et ceux de la Grande-Rue ne
parlent
pas la même langue. Celle des Siciliens est la pl
érable conformité de manière, doit s’entendre de penser autant que de
parler
. L’oil a eu la traduction de la Bible, c’est-à-di
me s’applique à la doctrine. Sans cela, on ne comprendrait pas que le
parler
de la ville éternelle fût turpissimum ; les mœurs
ie et de leur prolongation doctrinale. Dante, d’après la tradition, «
parlait
rarement, à moins qu’on ne l’interrogeât : sa fig
du repas ; Dante enlèvera deux taches à cette exposition : l’abus de
parler
de soi-même et l’irrationalité d’une exposition t
e qu’il connaît son vice et sa méchante nature : mieux vaut se taire.
Parler
de soi-même, c’est parler faux ou relativement à
t sa méchante nature : mieux vaut se taire. Parler de soi-même, c’est
parler
faux ou relativement à la chose dont on parle ou
ler de soi-même, c’est parler faux ou relativement à la chose dont on
parle
ou relativement à sa propre pensée. Louer quelqu’
ivant qu’il déclare ou qu’il admet l’appréciation. Il n’est permis de
parler
de soi que pour éviter une grande infamie ou un g
que pour éviter une grande infamie ou un grand péril. Ainsi Boëce se
parla
à lui-même pour effacer l’éternelle infamie de so
lui-même pour effacer l’éternelle infamie de son exil. On peut encore
parler
de soi, quand il en résulte un enseignement pour
puis lors j’ai parcouru, quasi mendiant, presque tous les lieux où on
parle
ma langue natale ; … j’ai paru vil aux yeux de be
sa lumière. S’il est quelque universitaire pour soutenir que le poète
parle
vraiment de la langue italienne, dans le sens où
inaire accent des effigies de Tintoret. Je crains aussi que lorsqu’il
parle
des Florentins, M. de Wyzewa n’ait pris trop aisé
riele d’Annunzio : Più che l’Amore. Fr. Treves. Milan Lorsque j’ai
parlé
ici-même de la dernière tragédie de Gabriel d’Ann
if, il ne pourra l’éteindre que dans ses propres veines bondées. » Il
parle
aussi de la nécessité de la mort, pour que cette
nunzio semble avoir compris cette vérité. Car dans sa Préface il nous
parle
de la nécessité dionysiaque du sacrifice de son h
tout il peut vraiment dire de tout son œuvre théâtral : « Ai-je voulu
parler
sur la scène du masque fidèle de l’homme éphémère
des manifestations très nobles, très profondes, de leurs pensées, ils
parlent
en rythmes, ils chérissent l’image, âme du rythme
oule, et s’affaissent dans la médiocrité que leur langage révèle, ils
parlent
en prose. Le monologue de Lear, au IVe acte, qui
qu’en une succession de prose et de vers, identique à l’original. Il
parle
« d’une loi occulte non encore explorée qui régit
les si étrange et si pittoresque : les éminents personnages dont j’ai
parlé
ont démissionné, ayant achevé leur œuvre. Tout ce
stes des campagnardes, toutes les superstitions de leur race semblent
parler
dans leurs cœurs angoissés, et semblent, comme da
ls qui vient pour ne jamais plus revenir… Ornella seule s’offre à lui
parler
, et lui parle. Aligi arrive avec tout le cortège
ur ne jamais plus revenir… Ornella seule s’offre à lui parler, et lui
parle
. Aligi arrive avec tout le cortège du supplice. O
e songent guère à déguiser, leurs joies et aussi leurs douleurs ; ils
parlent
longuement d’eux-mêmes. Et l’on pense que de pare
s mystérieuses, et qui, souvent, restent obscures. Le berger Aligi ne
parle
pas toujours avec simplicité, et, à maints de ses
rnel est absolu ; Aligi, son fils, doit lui obéir en aveugle ; Lazaro
parle
, il faut qu’Aligi se taise ; Lazaro frappe, il fa
de la valise. — Oh ! Minnai, te voilà, — dit Antine distraitement. Il
parlait
du nez, avec un accent désagréable, mais Minnai n
dant tout le temps qu’ils mirent à traverser la tanca. Le brave homme
parlait
en souriant, et donnait une grande importance à s
r m’a dit cela. Zio Félix écoutait bouche bée, tout fier que son fils
parlât
avec Monseigneur. — Et… — demanda soudain le vach
ui avait parfaitement compris de quelles distractions l’autre voulait
parler
, rougit un peu dans l’ombre, mais répondit ingénu
ux, — vous autres, prêtres, vous êtes toujours habillés en femmes. Il
parlait
sans ombre de malice, car il était un peu simple
es yeux perdus dans la nuit. — Il ne pourra rien me dire, et, s’il me
parle
, je le laisserai chanter. Je le connais bien, cet
ême avant d’avoir reçu les ordres. Tiens, il y a un bandit à qui j’ai
parlé
de toi pour cela. Il suffit d’avoir le bréviaire
e messe, et il lui semblait être l’homme le plus content du monde. Il
parlait
avec les vaches, avec Minnai, avec les jeunes tau
imement avec les notables de Nuoro. Et avec Monseigneur, inutile d’en
parler
. — Monseigneur m’a dit ceci, Monseigneur m’a dit
s continuez à m’ennuyer, j’écris au maître. Et je lui écris que, sans
parler
du reste, vous ne lui laissez de ses amandes que
hevaux domestiqués, nageaient, jouaient aux cartes et à la morra sans
parler
comme deux portefaix. Le visage blanc et les vête
ux, d’autre part, étaient enthousiastes de leur jeune maître : ils ne
parlaient
que de lui, de ses richesses, de ses exploits. Qu
ents de chien, une note monotone de coucou, le trille des grillons, —
parlaient
avec des vibrations mystérieuses. Antine plongeai
ssi, parut embarrassé ! Après un long silence seulement il se remit à
parler
, les mains posées sur l’appui de la fenêtre et la
ur. La veille de son départ, au matin, Zio Pera lui dit : — J’ai à te
parler
entre trois yeux. C’était une de ses plaisanterie
tait une de ses plaisanteries favorites ; il la jugeait très bonne. —
Parlez
, Zio Pera. — Tu sais, mon petit renard, elle a ré
nu fut obligé d’aller à Cagliari en témoignage ; il vit Antine et lui
parla
. Il rapporta à la bergerie de mauvaises nouvelles
ssenti dans ses derniers jours de repos à la tanca. Mais jamais il ne
parlait
de se repentir, de revenir sur ses pas ; au contr
nuit écoute, je suis descendu là-bas ; lui était sous un oléandre et
parlait
tout seul. Il disait : je le tuerai, je l’assomme
mbri ? Zio Pera fixait sur lui son œil métallique et continuait à lui
parler
; mais il ne recevait pas de réponse, il dut s’en
résence, et depuis quatre jours il ne buvait pas, ne mangeait pas, ne
parlait
pas, ne dormait pas. Le jour, il attendait avec a
allée d’Aoste où notre langue n’a pas encore complètement cessé de se
parler
. Lettres italiennes Ricciotto Canudo. Tome
mbre de celui-ci voit apparaître l’Ombre de son assassin mort, et lui
parle
de son fils : de celui qui, orphelin affamé, est
tivité. Il ne fera oublier aucun de ses prédécesseurs, car en voulant
parler
de tout on est obligé de tout résumer. Mais il ap
les lèvres. Le théâtre en vers est le théâtre des grands succès. Sans
parler
des drames d’Hugo, est-il nécessaire de rappeler
ux multiples faces, le théâtre poétique prendra une grande place : je
parle
du théâtre en vers, tragique, héroï-comique ou fa
jourd’hui à sa place dans le cœur et dans la couche de son père. Elle
parle
du flambeau caché sous le boisseau et elle ajoute
ons. En Italie, M. Giovanni Cena, l’auteur profond de Homo, dont j’ai
parlé
dans ma dernière chronique, et M. Sem Benelli, qu
es du Maître. Ils considèrent Mazzini comme un saint dont nul ne doit
parler
sans craindre de le profaner. Il fut républicain
héroïques sont innombrables. De l’œuvre de M. Antonio Beltramelli je
parlerai
d’ailleurs un jour plus longuement. Parmi les jeu
05, p. 590-599 [590-594]. Nous avons dû attendre jusqu’à ce jour pour
parler
du grand ouvrage dont l’éminent historien italien
s ». Et c’est alors que surgirent les Individus, les « pauci » dont
parle
César, et au premier rang : Marius, Sylla et surt
out d’abord chez Lucullus, nous ne le pensons point. On ne peut guère
parler
de Scipion l’Africain, de son fameux « Allons ren
n des arts. Oui, tout en admettant que ce poète anglais avait souvent
parlé
le vrai langage de la passion, André Chénier se p
le Dieu qui pardonne ; Pour les héros et nous il a des poids divers,
Parle
-lui sans effroi : lui seul peut te comprendre, L’
t ses visites le jeudi et le dimanche soir au palais Lovatelli : nous
parlâmes
longtemps, avec la femme du grand écrivain, de l’
ès fécond” auteur de Fécondité eut pour l’auteur de Bel Ami . Nous
parlâmes
du grand mort, de ses dernières années, du procès
t qu’il faut radicalement abandonner l’idée de libre arbitre quand on
parle
de délits et de délinquants. Je le veux bien, et
ujours identiques. La musique allemande est musique barbare : elle ne
parle
pas au cœur ; la musique française (Gounod, Masse
rique, et, demeurant foncièrement mélodique, charme leur sentiment et
parle
au cœur. Elle est donc acceptée et imitée. Et l’a
i les grandes transformations des autres pays. On continue toujours à
parler
indifféremment de mélodrame et de drame musical,
e lettre, c’est des funérailles de Crispi qu’il s’agit quand la foule
parle
du tout puissant cordon-bleu Ripaille… Syphon, cu
anthéisme délicat et joyeux est résumé dans une strophe, où la nature
parle
: Ce n’est pas vous, ô mortels, qui connaissez l
autorise-t-il à être conservateur ? 3. Dans Lorely, Gérard de Nerval
parle
d’un conservateur qui corrigeait les tableaux de
anglaise supérieure à la française et à l’italienne : au reste, j’en
parle
sans rien savoir et sur des fragments de Dryden e
respondance. Il écrivait à cette date à son ami de Virieu : « Je t’ai
parlé
de mes Méditations poétiques, je t’en ai même, je
dans cette carrière (poétique) où je me sens poussé, quoique, à vous
parler
franchement, je n’y espère pas de très grands suc
nous. Nous ne devons pas savoir de langues par principes. Nous devons
parler
comme la parole nous vient sur les lèvres. » (Vic
ure tous les détails qui semblent la réalité même, cette lèvre qui va
parler
et dont pourtant le contour est insaisissable, ce
ent marqués et délicats, en sorte que par toutes ses lignes le visage
parle
et pense ; rien n’est laissé à la vie intellectue
février 1914, p. 644-649. Ses origines. — Poesia On a beaucoup
parlé
du Futurisme à l’étranger, et surtout en France,
et ainsi donna le courage de l’adopter à ces jeunes poètes dont j’ai
parlé
et qui s’appelaient Govoni, Buzzi et Palazzeschi,
es haines furieuses et des enthousiasmes formidables. Désormais on ne
parle
plus d’autre chose dans les milieux intellectuels
ue, de tous les autres poètes italiens anciens et contemporains. J’en
parlerai
longuement, chacun à leur tour, aussitôt qu’ils p
volontiers sur les circonstances de sa vie aventureuse. Un matin, ils
parlaient
comme d’habitude, assis sur le rivage, et le méde
ndella, il s’empourpre. — Voici… Il hésite encore, et se décidant : —
Parlez
-moi donc des Ceschini, et du rôle que joue Tebald
viennent-ils ? — Eh ! mon cher Antonio, de bien des endroits. Nina a
parlé
en anglais à Lady Dolingson ; en français à Bours
rora, toi et moi. Mais nous ne nous dénoncerons pas. — Comment ? — Je
parle
beaucoup, ce soir… — Tu penses à ce que tu as rac
encore couché, Wellseley ? Je vous apporte de bonnes nouvelles. J’ai
parlé
de vous à Stella-Lucente. — M’autorisera-t-il à f
— Il conclut, après un court silence : Vous avez peut-être eu tort de
parler
de cette femme comme vous l’avez fait, Aldramino.
sclave aussi belle et aussi silencieuse. Mais ce soir même, l’esclave
parlera
!… » Il se dirige vers la porte, revient : « Comm
t cruel. Mais il ne peut pas résister au désir de voir Aurora, de lui
parler
, de la réveiller ou de surprendre, sur sa face, l
nzaine d’années. Antonio lui tendit la main : — Aldramino m’a souvent
parlé
de vous, Monsieur, fit-il avec hauteur. — Excusez
ter l’honneur de vous être présenté. — Oh ! oh !… en effet ! Enea m’a
parlé
d’une grâce… — Ma demande vous paraîtra singulièr
sse. Aurora est inquiète. Elle ne s’explique pas pourquoi Antonio lui
parle
sympathiquement de Wellseley. Antonio n’est pas a
ment, comme à l’atelier, j’allumai une cigarette. Tout à coup Antonio
parla
: — Aurora, il est tard… on vous attend ! Elle se
es langues ne furent pas longues à se délier. Morga, légèrement gris,
parla
de lui-même. — Oui, Messieurs, je suis né sous un
modèle, poser devant un peintre comme devant un photographe ! Mais je
parle
d’une femme comme vous ! Elle s’approcha d’Aurora
. — Morga, vous me plaisez. — Je le sais ! Les hommes à qui vous avez
parlé
, comme vous venez de me parler, à moi, ne doivent
Je le sais ! Les hommes à qui vous avez parlé, comme vous venez de me
parler
, à moi, ne doivent pas être nombreux. — En effet,
able. Votre musique soutient mon inspiration. L’homme dont je vous ai
parlé
s’est enfin lassé de son rôle de garde-chiourme.
eur du violon : il se nomme Joachim Peter, c’est un Hongrois, mais il
parle
notre langue couramment. Quant à moi, je suis Sic
ignore que vous faites le portrait d’Aurora, et pendant qu’Antonio en
parle
comme d’une œuvre merveilleuse — car Antonio ne p
omme d’une œuvre merveilleuse — car Antonio ne peut pas s’empêcher de
parler
de ce qui le torture — j’observe la Nina. Elle so
tait dans ses palais, les jours de grande fête. M. Pompeo Molmenti en
parle
dans ses beaux ouvrages sur Venise dans la vie pr
t s’écoula, et Aurora sortit, à la fois honteuse et ravie d’avoir osé
parler
d’elle-même. * Le Peintre, le Barcarol et les de
llseley, à qui elle tendit la main : — Oh ! cher grand artiste, on ne
parle
, à Venise, que de votre chef-d’œuvre ! Est-il per
! C’est bizarre ! Il m’a été impossible de résister au besoin de vous
parler
… Il se tut. Il ne distinguait pas le visage d’Aur
e son mariage avec un homme qui l’avait misérablement abandonnée ? On
parla
de Wellseley : je jurai que mon ami était aussi i
ridor, écouta, et revint, ensuite, l’index à hauteur de la bouche : —
Parlons
bas, murmura-t-il, parlons bas. De nouveau, il pr
nsuite, l’index à hauteur de la bouche : — Parlons bas, murmura-t-il,
parlons
bas. De nouveau, il prêta l’oreille : — Ce n’est
emportèrent. J’ai vécu avec Aurora. Elle était silencieuse. Je ne lui
parlais
pas ; et elle ne comprenait pas ce que j’éprouvai
à son futurisme. Ils affirment, chaque fois qu’ils ont l’occasion de
parler
de lui, que sa poésie n’est pas du tout futuriste
futuriste. Il ne ressemble à personne. Les mêmes critiques dont j’ai
parlé
tout à l’heure ont voulu reconnaître dans son œuv
une série d’aventures drôles et inexplicables. Tout le monde veut lui
parler
; les dames lui content leurs aventures les plus
é le même portefeuille dans le cabinet Salandra, disait fièrement (il
parlait
pour la Chambre de Montecitorio et aussi pour le
né dans les illustrations autre chose que des tombeaux, — alors qu’il
parle
de nombreuses œuvres de valeur, d’un caractère to
villa Adriana à Tibur. Avec sa série de fontaines italiennes, dont je
parlerai
plus loin, M. Ch. Boussois paraît tout désigné po
Il s’appelle Albert Savinio et j’ai idée que l’on entendra de nouveau
parler
de lui. Mais pour ce qui est du petit concert qu’
Gluck sous Louis XVI, ou de Wagner un siècle plus tard, — pour ne pas
parler
de nos contemporains, — l’union intime, la fusion
a réaliser, grâce d’abord à la collaboration d’un Calzabigi. Avant de
parler
de ce singulier collaborateur qui devait succéder
épeindre harmonieusement la terreur ou l’amour, que le Poète ait fait
parler
Pluton ou Cupidon, et que l’action ait été située
irez sa sagesse. Modeste en ses essais, Par respect pour la Grèce, Il
parle
mal français ; Même en pillant Racine, Son génie
ment exquis, à une époque où tous les snobs et toutes les cocottes ne
parlent
que d’élévation spirituelle et d’idéal héroïque,
nts où d’Annunzio est entraîné lui aussi par la vulgarité courante et
parle
de lui-même aux badauds avec le langage pompeux d
urtant rarement il a été aussi heureux. Entendons-nous bien ; nous ne
parlons
pas maintenant du bonheur de son expression, du m
le regardent dans la rougeur crue de l’aube ; on pense à l’autre, qui
parle
en Thucydide, d’une voix claire, durcie par l’int
ome XXXVII, numéro 135, 1er mars 1901, p. 770-776 [775-776]. […] Nous
parlerons
une autre fois, à moins d’abondance extrême, des
ar Enrico Corradini, La Corsa al Piacere, par E. A. Butti, dont j’ai
parlé
dernièrement au Mercure, I Parassiti, par Camillo
amoureux de la grandeur sous toutes ses formes et ne craint pas d’en
parler
avec grandiloquence, mais il n’a pas la possibili
dicat est à peine toléré et, au nom de la liberté de la presse, on ne
parle
jamais de lui. La société des hommes de lettres f
rose entre experts, c’est-à-dire entre blasés, gens qui savent ce que
parler
signifie. L’amour-passion, ça ne se comprend plus
cet autre poète dédaigneux et solitaire, de ce Giulio Orsini dont on
parle
avec tant d’intérêt dans les cénacles artistiques
commisération douce. Cela suffit à nous assurer que cet essai dont je
parle
se détache vigoureusement de tout ce qui est bana
ont. Tome XXXIX, numéro 139, 1er juillet 1901, p. 178-185 [184-185].
Parler
ici des deux conférences de M. Pierre de Bouchaud
lino di Nese, qui érigea le tombeau de Cino à Pistoie. M. de Bouchaud
parle
bien de ce poète qui fit, après Dante, quelques-u
s-lui reconnaissants du langage prestigieux que lui seul pouvait nous
parler
. Une anecdote suffira à démontrer l’importance qu
temps tous les bureaucrates de la critique, qui n’admettent pas qu’on
parle
d’un écrivain avant qu’il ait atteint quatre-ving
de la peinture, des arts mineurs, souvent si nombreuses qu’on ne peut
parler
que des principales, des œuvres de tout premier o
ut que par la couleur et que la plupart des monuments de Toscane dont
parle
M. Müntz demeureront toujours inconnus à quiconqu
i encore sur l’île ensoleillée. On fait le signe de la croix quand on
parle
du tyran païen dont la cruauté et la sensualité o
« du papier à chandelle et des souliers à clous de l’Auvergnat » dont
parlait
Huysmans ; — et encore nous n’en avons pas toujou
ils m’ont provisoirement conseillé la lecture des romans dont je vais
parler
. Ayant acquis par de longs mois de paix le droit
mières scènes, les personnages montrent leur physionomie : nous avons
parlé
du Roi, mais cette douce Princesse Béatrice, cett
, p. 93-109. Le Démon m’a dit…… I Dans toute ma vie je n’ai
parlé
au Démon que cinq fois, mais de tous les hommes a
onné même à Celui qui l’a condamné et chassé loin de lui. Quand il en
parle
, il reconnaît que le Tout-Puissant agit justement
lemande, sous un globe électrique à l’éclat impudent, les deux hommes
parlaient
et secouaient leurs têtes grises, sans regarder l
rs de folklore et des professeurs de poésie comparée. Ils vivaient et
parlaient
comme vous et moi, et leurs paroles m’arrivèrent
er. » Le vieux séducteur se tut alors et l’autre vieillard commença à
parler
d’une voix lointaine : « Ce que tu as dit est peu
n’écoutait pas le voyageur sentencieux, et à peine celui-ci cessa de
parler
qu’il reprit pour son propre compte : « Sous le m
us désormais ? Les souvenirs du passé lointain épuisés, je ne pouvais
parler
avec lui du passé proche, de tout mon univers plu
d’un nom, d’un bruit ne disaient rien à son âme. Il me priait de lui
parler
de moi, et si j’y consentais, il m’écoutait avec
celles-ci… Et maintenant que tu es avec moi, que je t’aime, que nous
parlons
des pâles souvenirs du passé, et de l’amour et de
e ne te laisserai pas partir. Je suis si heureux à présent de pouvoir
parler
à quelqu’un qui peut me comprendre, à quelqu’un q
ois encore je ne répondis pas et tout le jour je restai avec lui sans
parler
. Il me regardait en silence et me suivait toujour
ie, 17 seulement sont au superlatif. Olindo Guerrini Nous avons
parlé
récemment du poète italien Olindo Guerrini, qui m
e della guerra ». M. Colajanni a justement observé que, pour pouvoir
parler
aujourd’hui de guerre de races, il faudrait admet
. « On se rapprocherait davantage de la vérité, ajoute-t-il, quand on
parle
d’influences ethniques, — quand on oppose le slav
CXX, numéro 450, 16 mars 1917, p. 327-332. Olindo Guerrini On a
parlé
à deux reprises, dans les Échos du Mercure, du po
. Gabriele d’Annunzio Je suis bien embarrassé, maintenant, pour
parler
de Gabriele d’Annunzio, surtout en France. On est
ai 1915, à Quarto, Gabriele d’Annunzio s’écriait : « Plus personne ne
parle
bas, parce qu’ont cessé le malheur et la honte ;
ui de nos propres rapports avec le monde slave, la question dont nous
parlons
peut aussi nous regarder. Ceux des Italiens qui s
es Power, vint s’établir à Messine. La petite bergère, qui maintenant
parlait
et écrivait plusieurs langues, éblouissait par sa
7 Bien qu’on conspue l’ancienne Internationale des socialistes, on
parle
maintenant de plus en plus d’internationalisation
t le plus difficile. Comment ne point comprendre l’absurdité de faire
parler
longuement des personnages dont on voit remuer le
mmentateur d’Edgar Poe par l’illustration. C’est des artistes dont il
parle
celui qui nous est le moins connu. Il nous présen
n de la clôture des cours universitaires d’Oxford, sir Herbert Warren
parla
en latin du peuple italien et de la guerre qu’il
sir d’apprendre des choses nouvelles, — ou du moins dont il a été peu
parlé
jusqu’alors, — il a encore l’agrément d’offrir un
. Le musée de l’Aéronautique sera donc constitué à Rome et l’on avait
parlé
de l’installer au Castel Saint-Ange. Pourtant il
stoire prochaine et contemporaine, favorise l’unité yougoslave. Je ne
parle
pas seulement des difficultés internationales qui
and public. M. Papini, qui fut chargé de cette dernière édition, nous
parle
de plusieurs lettres dont personne n’a jamais pu
tiendrai au courant de ce qui m’arrivera. Pour l’aumône dont je t’ai
parlé
, il n’y a rien à ajouter, car je sais que tu cher
C’est pourquoi il faut attendre qu’elle meure. Si Cepperello vient me
parler
, je lui dirai ce que je pense. Je ne suis pas prê
uilles. Quant à ton mariage, tu me dis qu’auparavant tu veux venir me
parler
de vive voix. À cause de ma maison j’ai beaucoup
es par mois. Je vis pauvrement mais je paie bien. Ces jours-ci on m’a
parlé
pour toi de la fille d’Altovito Altoviti ; elle n
[Rome, 20 février 1552.] Lionardo. Ces jours-ci avec ton oncle, j’ai
parlé
de ton mariage. Il m’a dit qu’il s’étonnait beauc
nant, pendant que j’écris, on m’apporte la lettre dans laquelle tu me
parles
de la fille de Carlo di Giovanni Strozzi. J’ai co
s que ce pourrait être une bonne chose. Quant aux domaines dont tu me
parles
, ils ne me plaisent pas parce qu’ils sont près de
ai vous faire cette réponse de vive voix, plus explicitement, et vous
parler
en détails de choses qui pour moi sont importante
écrirai rien : d’autre pour l’instant, parce qu’il me semble en avoir
parlé
suffisamment ces jours-ci. Je me suis ingénié, au
ppeler à son souvenir un nombre infini de fois. Quand vous m’écrirez,
parlez
-moi de lui pour me le tenir présent à l’esprit. S
our, les beautés secrètes, la saveur et la couleur. Linati, dont j’ai
parlé
autrefois ici même avec l’admiration à laquelle i
. Cela vient de l’obligation imposée aux Valdôtains, qui ont toujours
parlé
français, de connaître désormais l’italien. L’émi
ennes, le général Cadorna, n’a pas de prétentions d’écrivain, mais il
parle
bref et écrit brièvement dans un style dépouillé
t encore moins la théologie. Ils s’arrêtaient aux apparences. Dante a
parlé
de plusieurs papes avec une liberté, une violence
un orateur est toujours sûr d’avoir l’approbation générale, dès qu’il
parle
de l’écrasante responsabilité de l’Allemagne. Si
aro. M. Enrico Ferri, qui, lorsque je le vis au mois de janvier 1916,
parlait
avec émotion de la vieille amitié qui l’unissait
vénements eut la meilleure influence sur le moral du pays. À ceux qui
parlaient
d’impérialisme anglais, le message de M. Wilson d
ans ce curieux livre de germanophile impénitente qu’elle a intitulé «
Parla
una donna »77. Tout en rendant furtivement hommag
compli par son pays. Si elle insiste sur l’espérance de la paix, elle
parle
aussi avec enthousiasme des « victoires civiles e
serrées qui ont été faites, en Italie, des méthodes allemandes. Sans
parler
de l’espionnage (et dans peu de pays on en a si b
re d’août 1914, est venu s’ajouter l’élan intellectuel. On a beaucoup
parlé
ces temps derniers d’alliance latine, de cohésion
ptôme le plus rassurant pour l’avenir de cette idée, c’est qu’on n’en
parle
plus comme autrefois en termes vagues et génériqu
nfluence irrésistible sur l’Amérique méridionale79 ». Parmi ceux qui
parlent
aujourd’hui plus volontiers d’alliance latine, il
istes comme M. Borgese et il y a les nationalistes tout court. Ils en
parlent
avec précaution en laissant volontairement de côt
férents : et la volonté de vaincre est devenue générale. D’Annunzio a
parlé
avec lyrisme du « printemps d’Italie, printemps d
i facile de rejeter sur les petits le poids des responsabilités. On a
parlé
de propagande défaitiste. Qu’on me permette quelq
écent. Nous nous bornerons à ces quelques réflexions. Nous évitons de
parler
à nouveau de la véritable cause qui, à notre sens
était alliée aux Empires du Centre, — peut-être parce qu’il n’en peut
parler
franchement, — mais le fait certain, c’est que ce
marchands de papier. Mais nous attendons autre chose de l’auteur. Il
parle
de la vanité des prévisions qui ont été faites su
on aurait pu souhaiter sans doute un autre personnage. Plus loin, il
parle
à nouveau de l’Allemagne reconstruisant le Saint-
s de la chapelle du Pape. 62. Tombeaux des Médicis. 63. Michel-Ange
parle
ici de ses poésies. 64. Tommaso dei Cavalieri.
le durante la guerra (Nuova Antologia, 16 mars 1917). 77. M. Serao :
Parla
una donna. Treves, édit., Milan. 78. Ettore Roma
qui est là, et mon lieutenant le prend et le porte. Personne ne leur
parle
que moi, mon officier, M. Vigneron (le confesseur
manière qu’il aurait assez d’air sans que personne pût le voir ni lui
parler
pendant la route, pas même mes soldats que je cho
it] […] Dans la Revue de l’Art ancien et moderne, M. G. Lafenestre
parle
de Tiepolo […]. Lettres allemandes. Stendhal
e donnée se prête à des péripéties dramatiques, dont je me réserve de
parler
lorsqu’il m’aura été donné de lire le roman. Les
aples. Ce sentiment religieux donne naissance à de belles fêtes. J’ai
parlé
ailleurs du retour de Montevergine qui provoque u
ient une longue canne, de l’autre une fiasque de vin. Il s’arrête, il
parle
et il fait goûter à chacun du vin de sa fiasque,
pieds un ronflement sonore : il y a un matelas sur le trottoir. J’ai
parlé
des enfants nus ; ceux qui ne sont pas nus, mais
sa marchandise, il montre ses lèvres pour expliquer qu’il ne peut pas
parler
, et c’est les doigts levés qu’il indique le nombr
eau pour votre seigneurie… Il s’éloigne. Un autre s’approche. Il vous
parle
. Il a compris que vous ne vouliez pas acheter du
, les pâles sommets de l’Œuvre belle. Et il est tellement poète qu’il
parle
en vers, qu’il pense en vers, qu’il sent en vers,
e ce peintre ! Quelqu’un qui l’avait vu, aimé ou haï, allait enfin me
parler
de lui et me livrer, peut-être, le secret de cett
regard avec Daniel. La belle assurance de ce garçon nous amusait. Il
parlait
haut, d’une voix décidée et ne paraissait nulleme
s gens touchés par sa beauté ? Par la suite, chaque fois que nous lui
parlâmes
de son origine, il détourna l’entretien, mais il
celle de ses fils Valerio et Francesco… j’accomplis mon labeur… — Je
parlerai
de toi à Bellini, dit Daniel. * Notre grand Giova
our le tourmente, l’exalte et l’inspire comme un jeune aegipan. Il me
parle
, avec une fougue et un appétit qui me plaisent, d
Et il se tenait debout comme un pilier, ferme comme le campanile. Il
parlait
comme un prédicateur, chantait comme un moine ! V
l me remercia de mes exhortations. Aussi, n’était-ce pas folie que de
parler
ainsi à ce garçon merveilleux qui m’aurait certai
nt un intérêt plein d’insolence et, s’ils les interrogent et les font
parler
, c’est afin de divertir leurs hôtes. Mais si ces
attirant l’attention sur le coffret. Il permit ainsi à Barbarelli de
parler
de son art. Il le fit avec une fougue juvénile qu
orgione. Les yeux fixés sur les formes que dessinaient ses gestes, il
parlait
fougueusement, sans hâte, soulignant par des into
s des soldats et des orientaux sollicitèrent ma curiosité. Je ne vous
parle
ni des pavoisements, ni de la ville, qui frémissa
lie, ainsi que la relation du mémorable siège de Gênes, dont il a été
parlé
ici même. Il en est aujourd’hui à la Troisième Ca
nts, parmi lesquels je distingue Giorgio. Il les dominait de la tête,
parlait
fort et gesticulait. Dès qu’il m’aperçut, il dres
que je vous considérais comme mon protecteur, il m’a reproché de vous
parler
trop familièrement… — Je suis, avant tout, ton am
bons camarades. Un vrai peintre ne perd jamais son temps ! Quand il
parlait
ainsi, Giorgio, comme il me l’avoua lui-même, s’a
na la dispute. * Durant les mois qui suivirent cette victoire dont on
parla
longtemps dans les ateliers, Giorgio ne toucha qu
pleurer et à prier ! » Ses mains ébauchent des gestes onctueux. Elle
parle
à voix douce, marche à petits pas tranquilles, s’
, vous qui aimiez la guerre autant que moi j’aime la peinture… ? — Ne
parlons
plus de la guerre… mais de ta peinture… Qu’as-tu
rterai demain. Il me renseigna sur les travaux de ses camarades et me
parla
avec enthousiasme de Titian : — Il a fait le port
uffirait pas… Comme il avait raison ! Ma rage était visible, quand on
parlait
des batailles qui suivirent la catastrophe qui me
à comprendre qu’il était à leur service, la gravité avec laquelle il
parlait
de son art lui valurent des admirateurs solides e
ina soigneusement. — Que Titian médite, s’écria Ridolfi…, mais moi je
parlerai
… — C’est le jugement de Titian que nous voulons,
eillirent le discours de Ridolfi. Mais il ne les écouta pas. Il avait
parlé
avec fougue, ne s’interrompant que pour boire. Ti
ue la vie est belle, simple. — Elle l’est, en effet. — Giorgio, tu ne
parlerais
pas ainsi si tu n’étais beau et vigoureux comme l
qui tient son maître au courant de bien des choses dont on a souvent
parlé
ailleurs et depuis ; mais ici ce n’est pas sans q
quer des maniaques de vertu qui, tel le ministre italien Luzzatti, ne
parlent
rien moins que de « jeter à la mer avec une meule
t son existence d’aventures et de plaisirs. On ne songeait plus à lui
parler
de la Maurina, depuis qu’il entretenait, à sa tab
oit une lettre de lui, soit un avis du Conseil m’ordonnant de ne plus
parler
de Giorgio Barbarelli, mort accidentellement… et
de santé et de joie !… Vous avez connu la Maurina vivante. Je ne vous
parlerai
donc pas de sa beauté. Dès le premier regard, je
e nuit chacun, ou nous te tuons. Le capitaine poignarda celui qui lui
parlait
ainsi. Ses camarades le vengèrent et la Maurina s
loux de cette créature qui avait reçu les baisers de tous ceux qui me
parleraient
d’elle ! Je résolus que la Maurina vivrait avec m
me rendis dans une taverne et je remarquai un marin. Il était grand,
parlait
haut et sa figure exprimait l’intelligence et la
s son calme. Je luttais contre la tentation de la réveiller, pour lui
parler
, lui demander si des inquiétudes semblables aux m
r pondéré. Leurs actes sont le fruit du calcul… Puis, si je lui avais
parlé
de la Maurina, il m’aurait débité les conseils in
e exubérance qui me permit d’exécuter de belles peintures. Je ne vous
parle
pas des fêtes que j’organisai, des mascarades, de
asse ton arme, garçon, et, avant de venger ton maître, laisse-moi lui
parler
… Après, s’il y a lieu, je tendrai moi-même ma poi
que tu souffres… Giorgio… Ah ! laisse-moi te raconter cette chose… —
Parle
devant ce Seigneur. Il doit tout savoir… Et, comm
busé par la confiance qu’elle me témoignait, de temps à autre, je lui
parlais
de tes succès, de ta gloire. Je lui vantais ta fi
e. Ses bras se détachèrent de mes épaules et je dus la porter… Je lui
parlais
, elle ne me répondait pas… Je baisais ses cheveux
es enfants et les femmes… s’ils en étaient capables… Et, lorsque vous
parlerez
de la beauté, réunis autour d’une table… laissez
œuvre de Fogazzaro est tarée par l’absence du style, de la beauté. On
parle
volontiers en France de grands écrivains étranger
tion et éviter la sécheresse des énumérations. Il sait tout à la fois
parler
excellemment de l’architecture de Ravenne et de l
dans une certaine mesure, retardée par la folie de Charles VI. Je ne
parle
pas des faits historiques brutaux et bien connus,
upferstichkabinett der k. Museen zu Berlin) dont nous avons également
parlé
ici. Parmi les quarante planches que contiennent
icain est très sévère pour « le chancelier de fer », surtout quand il
parle
de « son dédain des droits populaires et de son h
eu. On dit que le poète a lu beaucoup avant de composer son poème. On
parle
de quinze cents volumes. Qu’importe cela ? La vér
à leur Dieu en ingérant sa chair et son sang. Des bruits courent. On
parle
même de sacrifices humains, de petits enfants qu’
s, mais ceux du moyen-âge ou à peu près. Il s’est attaché à les faire
parler
selon leur foi et il a réussi, mais leur foi, ell
su encore les dénicher. Dernièrement encore j’ai vu un article où on
parlait
de ce casse-tête, destiné, je pense, à rester tel
s : Gustave Flaubert, à la page 10 de la Tentation de saint Antoine,
parlait
ainsi : « Les marchands d’Alexandrie naviguent l
s ça, mademoiselle. Il faut dire : en manzant lé doux frrouit dé víe.
Parlez
donc français, qué diable ! » L’idée d’associer p
ant, contre l’étrangère. Ce n’est pas au nom de son amour qu’elle lui
parle
, mais au nom de la race. Ô gens de ma race, ven
anquait de l’idée fixe indispensable à la vie d’une collectivité dont
parle
Stirner. L’idée fixe nationaliste remplace mainte
n’est qualifié que de « vieux prêtre ». Procuste consent que Mérimée
parle
de la vieillesse et même de la folie du pape, mai
du 7 août 1867, où il vise les annos Petri. Comme avec irrévérence,
Parle
des dieux ce maraud ! À Victor-Emmanuel, Mérimée
u cercueil de Richard Wagner. — Je le tiens contre mon oreille : Il
parle
, il chante, il est vivant ; Toute l’âme du Lev
ang, c’est-à-dire au second plan. M. Schneider aime l’artiste dont il
parle
, et c’est trop naturel pour qu’on lui en fasse gr
mpte, chargé de construire la Colonnade. […] Voici comment M. Bertaux
parle
de Donatello : Le monde où Donatello a vécu est
e Donatello les captivantes figures de Botticelli. Mais l’auteur nous
parle
aussi des créateurs de ces œuvres, nous raconte l
on hors texte de la Madone de Neroccio di Bartolommeo dont nous avons
parlé
dans notre dernier article, commentée par M. Andr
Sébastien, — créations raffinées de coloriste dont M. Gustave Kahn a
parlé
ici même il y a un mois56. Memento bibliograph
lent submergea souvent le génie. C’est de la présente Joconde dont je
parle
. Elle ne ressemble plus guère à celle qui enthous
e croit obligé de faire connaître la page des plates histoires qui en
parlent
. Par ces raisons j’espère que les autres volumes
t reconnaître tout d’abord le génie épistolaire », Mme de Saint-Point
parle
de Catherine de Sienne. Puis vient Lucrèce de Méd
ssini et Tolstoï, il se montre si faible qu’il est juste de ne pas en
parler
, par respect pour toute son œuvre. Dans l’Hymne à
aordinaires, comme Bella Sguardo, l’Italien démolisseur, un poète qui
parle
de tout renverser pour régénérer son pays, lequel
le mépris des promiscuités, le dédain des basses camaraderies : elle
parlait
de pureté, de fierté, de labeur et de gloire. Apr
enlevée ? Allons déplorer la perte de la sœur devant le frère, allons
parler
de la Lise au Précurseur, afin que l’esprit de Lé
t, dont M. Angelo Conti est le plus décidé des chevaliers vivants. On
parle
de Ruskin à propos de lui. On en parlé, lorsque,
idé des chevaliers vivants. On parle de Ruskin à propos de lui. On en
parlé
, lorsque, ce qui est très fréquent, on ne connaît
thètes » trop violentement épris… des danseurs russes. Au surplus, on
parle
de Ruskin, à propos de Angelo Conti, lorsqu’on ne
qu’on le sache, est un être vivant. » 28. Acte II, p. 32. 29. Je
parle
ici selon la tradition, car en vérité la pécheres
llance gouvernementale est si évidente qu’il est presque honteux d’en
parler
? Trois évasions seules sembleraient échapper à l
— au théâtre on entend toujours ouvrir le cadenas. — Or, Casanova ne
parle
nulle part de cet appendice ; il n’aurait eu d’ai
vec un air de commisération dédaigneuse : Monsieur le Président, vous
parlez
de choses que vous ne connaissez pas. On comprend
nton n’a jamais pu entrer dans ces jointures, et chaque fois qu’il en
parle
c’est un mensonge ; son instrument n’a pu lui êtr
is cacher au public que j’étais trahi. — Ne m’en veuillez pas d’avoir
parlé
, mais accusez d’Ancona qui m’a mis au défi. De ce
ie tellement engoué et enthousiasmé de la France qu’il affectait d’en
parler
la langue le plus souvent qu’il le pouvait. Dans
Révolution de 1789. En tout cas, la Maçonnerie, où il est interdit de
parler
politique ou religion, peut être considérée, au x
r qui sert Balbi et le comte Asquin. C’est la seule fois que Casanova
parlera
de Bragadin à ce sujet. On peut affirmer que, pen
de la porte de l’escalier d’or, nous avions à gauche la chambre dont
parle
Casanova, le cabinet du Sage à l’Écriture, comme
us l’Empire romain » (à propos du Sénèque de M. René Waltz, dont on a
parlé
ici même), « les Polémiques de saint Jérôme », «
vants d’ailleurs, mais qui ne comprenaient pas la langue spéciale que
parlait
le poète marin. » Tome XCV, numéro 352, 16 f
italien ? Combien entrent en contact direct avec le peuple ? Et je ne
parle
même pas ici de ces touristes drainés par les age
x par les musées et par les églises sous la conduite de ciceroni ; je
parle
des voyageurs intelligents qui se promènent par l
la connaissance des langues étrangères est très peu répandue, on n’y
parle
guère que le français et on le parle imparfaiteme
es est très peu répandue, on n’y parle guère que le français et on le
parle
imparfaitement, même dans les classes instruites.
x, l’Italie était une idée, et souvent même seulement un mot ; ils en
parlaient
à peu près comme en parlait Dante à une époque où
souvent même seulement un mot ; ils en parlaient à peu près comme en
parlait
Dante à une époque où elle était morcelée en mill
rieures à leur réputation : la plupart des écrivains étrangers qui en
parlent
ne les ont vues que de l’extérieur6 ; ils ont lu
es « camorristes » ont bruyamment manifesté leur patriotisme. Si l’on
parle
individuellement aux hommes du peuple, travailleu
fait passer pour fou afin d’atténuer l’effet de son acte. On ne peut
parler
d’une manière générale de l’Italie, car elle n’es
de de son savoir, contribuer à le rendre conscient ? Hélas ! ceux qui
parlent
au peuple, ceux que l’on voit et que l’on entend
bien qu’il n’ait pas dépendu de nous, dans une certaine mesure, d’en
parler
plus tôt) ; si tard même, que ce pourrait être ho
te est, dès les primitives périodes, enfin rendue visible. Si l’on ne
parle
pas du fameux épisode de la rencontre de Béatrice
ue nous ouvrent les premiers chapitres du livre de M. Gauthiez. Je ne
parlerai
pas d’érudition… Ici elle est parfaite, neuve, pu
lo, entrouvre un peu son Villani ; et cela me rappelle que j’aurais à
parler
du livre en critique d’histoire. Cela ne me chang
t posément, cherchait l’autorité dans l’allure et dans les regards, «
parlait
rarement », à l’image de ses poètes vénérés. Il m
péninsule, la culture italienne s’intensifie considérablement. Je ne
parlerai
pas cette fois-ci du livre singulier et puissant
interroge ses souvenirs ; a-t-il été embarrassé à Bologne quand il a
parlé
allemand ou anglais ? Nos écoles secondaires exig
as dans leurs finesses, comme en France ; nous nous contentons de les
parler
, mal c’est entendu. Nous passerons aussi sur l’âp
ffaire. Je laisse donc à leur coupole respective les personnages dont
parle
à ce propos M. Mesnil : M. France à la coupole du
était de chez nous aussi. De vrai, M. Mesnil retarde un peu quand il
parle
de notre Dreyfusisme d’antan, et je crains qu’il
cuisinier du roi de Prusse ; mais il n’y trouve que son père qui lui
parle
pâtés — pâtés de dindon, de perdreau, de lièvre,
s rendîmes aussitôt chez le fondeur. Rapi le prit dans un coin et lui
parla
. Très simplement et pas longtemps, deux ou trois
é froidement une situation infâme. — On admet un crime passionnel, on
parle
à un assassin, dans un bagne, mais on se détourne
la ne fait pas 800 000 émigrants, comme ledit M. Fiorentino. Quant on
parle
de chiffres, il les faut justes. Mais, ainsi que
e en grande partie à la guerre ! En entendant « Giuseppe Fiorentino »
parler
de la « Justice italienne.… à laquelle tout le mo
action dans le pays ? Du reste, à propos du procès Murri, je n’ai pas
parlé
de l’influence du gouvernement sur la justice, ma
s aient pu commettre impunément leurs irrégularités en plein jour, ne
parle
certes point en faveur de l’élévation de la consc
génie de l’argot. Essai sur les langages spéciaux, les argots et les
parlers
magiques, par Alfredo Niceforo. Vol. in-18, 3,50.
trois mille victimes. Il est à remarquer que l’éruption terrible dont
parle
Strabon répond à la fin de ce que l’on appelle le
’empire, en des points rapprochés, à Pouzzoles, à Baia, à Capri, sans
parler
des rivages du Latium, des côtes romaines et tosc
re l’invasion italienne en Tripolitaine, dont les quotidiens ont déjà
parlé
, aura le même succès que les précédents. […] L
la génération française correspondante. Il est bien entendu que je ne
parle
point de la valeur intrinsèque, spirituelle et fo
briel d’Annunzio. Poésies. Hérelle tr. Calmann-Lévy Je ne puis pas
parler
aujourd’hui des poètes, et des tendances poétique
es, et point exceptionnelles, qu’ils manifestent. Je dois me borner à
parler
encore une fois de Gabriel d’Annunzio poète. On a
qu’elle brille partout. Du Bellay, à la même époque que Montaigne, ne
parle
de l’Italie que pour regretter « la douceur angev
imitation au chapitre des lettres, le premier littérateur n’ayant pas
parlé
de la Mère, le dernier ignore son magique royaume
on dans les ouvrages des écrivains et des poètes. Les guides mêmes ne
parlent
pas des paysages, aux xvie , xviie et xviiie si
mann et à Chaalis porteront le nomde Musées Jacquemart-André. Nous en
parlerons
quand ils seront ouverts au public. Memento [e
e, soit à considérer comme ville d’art, — non plus que Dresde dont je
parlais
le mois dernier. Naples a surtout son admirable s
au théâtre, on entend toujours ouvrir les cadenas. — Or, Casanova ne
parle
nulle part de cet appendice ; il n’aurait eu d’ai
nton n’a jamais pu entrer dans ces jointures, et chaque fois qu’il en
parle
, c’est un mensonge, son instrument n’a pu lui êtr
cience habituée aux douceurs de l’escarpolette ! » À moins, révérence
parler
, qu’il ne rende modestement son premier déjeuner
nt réussi à dissiper les obscurités dont la vie de Cagliostro — je ne
parle
pas ici de son origine, ni de sa jeunesse, — est
moires plus fréquents et d’archives mieux classées ? Au moins l’œuvre
parle
toute seule et tout de même l’homme vrai s’y refl
èmes publié en français par les soins de M. Hérelle, dont il eut à me
parler
à Settignano, il y a plusieurs années, et à m’écr
ne della morte, Treves, Milan Il est un peu fatigant, du reste, de
parler
si souvent de M. d’Annunzio. Mais cet écrivain es
nversion de M. Maurice Barrès, et d’avoir voulu imiter celui-ci. On a
parlé
de cela, en Italie, mais à tort, je crois. Arcach
le thème intérieur de sa vie, vécue avec tant de plénitude, et où il
parle
de son esprit tenu tra il tedio de la vita e la
ume Tell se rattache aussi manifestement au romantisme weberien. On a
parlé
des italianismes de Wagner, il ne serait pas diff
même ne l’habitant pas, ils entourent naturellement M. Marinetti. Je
parlerai
des uns et des autres, au fur et à mesure que les
Génie de l’Argot. Essai sur les Langages spéciaux, les Argots et les
Parlers
Magiques, 1 vol. in-18, 3,50, « Mercure de France
Génie de l’Argot, Essai sur les langages spéciaux, les argots et les
parlers
magiques, M. Alfredo Niceforo écrit ces lignes qu
x aphorismes, qu’il développe : « S’occuper différemment, c’est aussi
parler
différemment » et « différences de sentir, différ
ussi parler différemment » et « différences de sentir, différences de
parler
». Le dictionnaire de la langue normale ne suffir
nimé !… Eh ! ce n’est pas !a maison, ces pierres et ce mortier qui me
parlaient
déjà, c’est ceux qui l’habitaient ! La fenêtre re
e, éternellement durer. Il fallait enfin la connaître, il fallait lui
parler
. Quand je sortais, je regardais sans cesse autour
rables qui peuvent se présenter. Qu’elle soit occupée, par exemple, à
parler
à quelqu’un qui me connaisse, et me présente à el
us vif désir ; je pensais que, dans l’eau, il me serait facile de lui
parler
. Les bains, en été, sont la grande distraction de
sir. Mais, à son attitude, j’avais compris que je ne devais point lui
parler
, ni la saluer. Cependant, je me levai et la suivi
n et je m’arrêtai pour réfléchir… Ah ! je pourrais enfin la voir, lui
parler
!… Ces deux planches allaient former un pont entr
auprès de vous, je risquerais cent fois la mort. Enfin, je puis vous
parler
, enfin, je puis vous entendre !… Il y a si longte
tude d’une modestie et d’une grâce touchantes, elle me regardait sans
parler
. Elle portait un léger peignoir blanc qui laissai
je lui assurai que je ne séjournais presque jamais à Paris, et je lui
parlai
de mes voyages. Elle m’écouta alors avec une atte
uriait délicieusement. Elle avait retrouvé ses esprits. Elle se mit à
parler
français d’une voix chaude et avec un accent qui
battements précipités de son cœur. Elle était trop émue pour pouvoir
parler
. Lorsqu’elle fut un peu remise, elle me dit à voi
e s’était tue ; elle pleurait maintenant silencieusement. Je me mis à
parler
doucement ; je lui expliquai que rien n’était plu
rdait de ses beaux yeux noyés de larmes ; mais bientôt, tandis que je
parlais
, elle cessa de pleurer ; elle me tendit ses lèvre
, et c’est là sa plus sûre vigueur, la certitude de sa durée. On peut
parler
des deux seules écoles picturales les plus récent
cturales les plus récentes, le Cubisme et le Futurisme, comme on peut
parler
de la littérature collective, en prose et en poés
» émeut le cœur de ces chantres de l’Énergie neuve. M. Corrado Govoni
parle
ainsi de tout ce qui passe dans une rue. Là, les
tion. M. Antonio Fogazzaro. Sénateur, Homme de lettres (Italie)
Parlons
d’abord du sentiment religieux, puisqu’il précède
é, ne cherchez-vous pas à tuer les grands ? Il pense que si un député
parlait
de la sorte, c’est qu’il manquait quelqu’un pour
vie est brève. Fugit irreparabile tempus. » Mais il s’émeut quand il
parle
des deux mois de prison préventive que fit son ca
devons à MM. Ladame et Régis. Le vendredi 25 avril 1905 il demande à
parler
au directeur de la prison, et lui explique que, v
Genevois font subir à leurs prisonniers des tortures atroces Puis il
parle
de la nourriture, notamment du café au lait et du
, de plénitude de formes, de franchise de modèle, de caractère. Je ne
parle
pas du coloris, qui est nul. C’est une œuvre qui
ns du poulet. Érasme aimait le grec, mais aussi la bonne chère, et de
parler
la langue de Lascaris ne le nourrissait pas suffi
arler la langue de Lascaris ne le nourrissait pas suffisamment. On ne
parlait
que grec chez les Alde, par une singulière affect
e superbe à traiter non moins dans les livres que dans la vie ; on en
parle
depuis des siècles et le thème n’est pas encore é
quait fort adroitement, à l’occasion de l’enquête du Marzocco dont je
parlerai
plus loin. Mais c’est dommage que peu à peu M. Fo
out à fait spéciaux, de ce mysticisme décidément catholique dont j’ai
parlé
; pour un païen, — et j’en suis un, — la forme se
ittorio Pica et autant à M. Ugo Ojetti pour les deux livres dont j’ai
parlé
dans le Mercure de décembre ; 500 fr. à M. Antoni
tion et, souvent, d’exécution. Il est certain qu’Anne, assez souvent,
parle
un peu comme une héroïne de M. Maeterlinck : mais
s traités qui sont à la Bibliothèque du Vatican et dont Luca Paccioli
parle
comme de pures merveilles dans son livre des Cose
émoires de Bourrienne sont, en tout ou en partie, apocryphes. Il nous
parle
de la simplicité extérieure de Napoléon, ce qui d
campagne de France a été un chef-d’œuvre de stratégie ! Et lorsqu’il
parle
des projets du jeune Bonaparte en Orient, comme d
s procès dont cinq sur trente lui valurent des condamnations. De quoi
parlait
-il ? Quelles sortes de choses épouvantables sorta
égosillait devant « l’audace inouïe de la critique allemande ». On ne
parle
point ici de Renan, le défroquat et « la vieille
atrocités ne nous éloignent point trop de l’Abyssinie dont on a fort
parlé
en ces derniers temps, bien au hasard et avec un
ée, Colbert se présente chez lui, ne souffre pas qu’il se lève et lui
parle
au lit ; le jour de la Fête-Dieu il voit le roi à
ajoute, en se tournant vers ceux qui faisaient cercle : « Qu’on ne me
parle
pas de rien qui soit petit ! » Mais Louis XIV a p
vint voir hier, et me fit connoistre que M. le card. Chigi luy avoit
parlé
, mais, de la manière dont il m’a dit la chose, je
nt il m’a dit la chose, je juge que ce card. ne luy a pas tout-a-fait
parlé
comme vous le souhaittiez. Je l’iray voir jeudy,
toyen latin un paysan de la Hague ou du Ponthieu, sous prétexte qu’il
parle
une langue, qui n’est que du latin modifié par la
le comme un organisme. L’Allemagne n’a pas de figure. Même quand on y
parlait
plusieurs langues et des centaines de patois, la
« Une vie circule à travers l’Europe centrale. Il est donc permis de
parler
d’anciennes voies de migrations et de commerce ay
as de limites précises ; dans leurs centres les plus tyranniques, les
parlers
d’oc sont clairement du français, et qui ne s’élo
que latin, pendant au portugais si rude et si condensé. Quelle langue
parlerions
-nous sans les missionnaires de l’Église romaine ?
langue ne signifie nullement parenté d’origine. L’Italie et la France
parlent
des langues évidemment sœurs. Ethnographiquement,
légende que les hommes de lettres sont des poseurs. Je trouve qu’ils
parlent
comme tout autre travailleur sans outrecuidance e
vient de trouver la forme la plus directe et la plus empoignante pour
parler
à un public jadis si défiant. On a vérifié ce phé
rogramme. G. Cena : Gli Ammonitori Je ne me rappelle pas avoir
parlé
ici de deux auteurs qui, sous des points de vue d
melli : Anna Perenna, Gli uomini rossi L’autre jeune dont je dois
parler
est Antonio Beltramelli, un esprit sauvage, que j
tri Je dois quelques mots à un poète, dont j’ai l’honneur d’avoir
parlé
le premier dans ces chroniques, il y a deux ou tr
’alarmait la prudente affection de Flaubert ; comme son jeune ami lui
parle
de malaises physiques et moraux, de fatigue et de
ueuse qui avait éveillé ses sens, la caresse des mains, le regard qui
parle
, le sourire qui promet les lèvres, les lèvres qui
l’instinct de leur race vers ces « sentiers obscurs de la mer » dont
parlait
Pindare, ont souvent porté leur observation sur l
un rire mécontent, en lui jetant par la figure : « Gros bête, va ! On
parle
, au moins ! » Il avait failli pleurer sans trouve
re logiquement vraie ; le More devient Othello, le traître Iago : ils
parlent
, au lieu d’être racontés. Fernand Caussy : Les
étails soient traités un peu trop sommairement. Page 124, M. Luchaire
parle
d’une connétablie instituée, pour le besoin de se
avec les Strozzi, qui sont bien, croyons-nous, les seules gens, sans
parler
de l’affection douloureuse de Marie Soderini, à a
bles œuvres, et d’autres créent à Florence tout un mouvement, dont je
parlerai
ensuite. Les Poètes comme d’Annunzio, Pascoli, de
tendances différentes dans un nœud de volontés rénovatrices. Je veux
parler
du mouvement impérialiste-nationaliste de M. Enri
nglotant et ondoyant, M. de Bosis exprime donc l’âme de son temps. Il
parle
à des convalescents, c’est-à-dire à tous les homm
uteur du Génie de Flaubert, mais je pense avec lui qu’au lieu de tant
parler
aux poilus du Droit et de la Justice, personnes u
la séance solennelle et très « union sacrée » du 14 novembre, n’a pu
parler
que dans le sens de la résistance énergique. Et c
es Garibaldiens étaient venus se ranger à nos côtés et les survivants
parlent
encore des combats de Dijon. — C’est qu’il est da
nyme, collective, — l’œuvre de la masse, — ce qui ne l’empêche pas de
parler
avec affection et même une certaine ferveur de no
ienne, — qui avait l’avantage d’un terrain d’attaque plus élevé, puis
parle
des villes italiennes qui ont eu à souffrir déjà
e les pays d’Europe, et avant qu’on ait pu donner satisfaction, je ne
parle
même que des satisfactions légitimes, à tous, la
s — et qu’entre les deux existe, sinon cette parenté de sang, dont on
parle
si souvent dans les discours officiels, tout au m
lie en France (quant à l’exportation inverse, celle dont on a souvent
parlé
aussi, celle de capitaux de France en Italie, je
es. L’avance ennemie, pendant les deux mois de lutte dont nous allons
parler
, a été très sensible. Elle s’est produite sous un
s et qui constituent la partie la plus remarquable de ce volume, s’il
parle
également de choses diverses et dont abuse peut-ê
ésident du Conseil, de prononcer quelques brèves paroles. M. Giolitti
parle
toujours très peu ; et lorsqu’il s’y décide, ses
étaient plus tout à fait aussi affirmatifs que par le passé quand ils
parlaient
du programme italien, exposé nettement par M. Son
r du Popolo d’Italia) ; les autres pensant qu’il valait mieux ne plus
parler
d’une Dalmatie italienne, et faire ainsi disparaî
ui était prêt à faire la révolution, à abattre la monarchie (on avait
parlé
de cela à Montecitorio comme d’une fatalité, le m
qui l’ont fréquenté naguère à Bruxelles. Il me reproche, lui, d’avoir
parlé
avec trop de ménagements de l’action des Lazzari
le second tableau, ce chien est supprimé et c’est à un Amour qui lui
parle
à l’oreille, que Vénus prête son attention), tand
vision plus large et plus précise de l’immense cataclysme. Quand j’ai
parlé
de l’Italie, j’ai pensé avant tout aux aspiration
nt ses discussions de philosophie sociale13… Il est donc difficile de
parler
de complète union sacrée dans un pays où tout un
ivre fort intéressant. Il était mieux qualifié que personne pour nous
parler
des Italiens : depuis l’invasion de la Belgique,
lemands soumettent le noble pays qu’ils ont odieusement attaqué. Il a
parlé
dans de nombreuses réunions, il a causé avec des
Virgile et d’Horace liront avec curiosité la façon dont le père Rocci
parle
, dans une langue antique, des plus récents engins
utres soldats qui la firent fumer le cigare et la pipe, sa crainte de
parler
de peur que sa voix ne révélât son sexe. Enfin el
as d’étudier la question, et de dire qui a raison. Nous en avons déjà
parlé
dans notre livre sur « l’Italie et le conflit eur
s. Défendant la politique qu’elle avait suivie depuis trois ans, elle
parlait
de la « position centrale que l’Italie devait pre
des légions tchéco-slovaques se dirigeaient vers le front italien. On
parle
aussi de la création de légions yougoslaves. Les
combinaison triplicienne, l’infortuné pèlerinage royal à Berlin, sans
parler
de menus airs, tout aussi ridicules, ou tragiques
i Perona a réduit à sa juste valeur l’argumentation de M. Pareto, qui
parle
non seulement du point de vue logique, mais aussi
ractères d’or, le nom de Guglielmo Oberdan. Depuis il n’en a plus été
parlé
… Le Père Angelo Secchi L’Italie a célébré c
ompte de l’Autriche-Hongrie et de la dynastie des Habsbourg. Quand on
parle
de l’opposition irréductible des Yougoslaves, il
Rien ne me touche plus profondément que de m’entendre nommer quand on
parle
de Lui… Celui qui admire a la meilleure part. L’a
palais Doria, dont il était le Doge. C’est la première fois que j’ose
parler
de lui dans une lettre. Vous voyez bien qu’il me
plume ne trouve pas les mots. Les yeux et les lèvres seuls pourraient
parler
. Il ne me vient que ce cri : Vive la France, bonn
ritains et de Marin Faliero, ce doge de Venise décapité en 1355, sans
parler
du cycle entier de Verdi, de Nabucco à Attila, à
t devenus presque introuvables, nous présente ses Poesie Scelte. J’ai
parlé
ici même de ce jeune poète qui compte parmi les m
orces primordiales et universelles, symbolisées dans leur œuvre, pour
parler
, pour agir et pour mourir au nom de leur propre c
sein des multitudes, réclament leurs perpétuelles transformations. Il
parlera
un langage de héros, au nom d’un besoin général d
as dans ce miroir. Mais les trois formes du théâtre à venir dont j’ai
parlé
trouveront seules leur place dans le temple. Déjà
uthiez a longuement habité Milan ; il connaît bien les choses dont il
parle
et l’on peut se fier à ses indications. Il est se
e lui aussi un des derniers romantiques. De M. Domenico Milelli je ne
parlerai
pas sans angoisse, car j’ai connu le sort misérab
poètes plus jeunes. Le livre des Élégies conclut par ce distique, qui
parle
de Rome : Rien n’est plus grand et plus sacré. E
ndroit peut-être, mais on sent que l’auteur connaît à fond ce dont il
parle
, ce qui n’est certes pas banal à l’heure actuelle
nfectionnés… Nous fûmes vite camarades, Vittorio Pica et moi. Il nous
parla
en excellent français et termes fort choisis de l
M. Delmoder énumère les livres du critique italien dans lesquels il a
parlé
des Français et des nôtres. Il en résulte que, da
es contradictions insolubles qui agitent l’âme humaine… J’ai beaucoup
parlé
à Paris, dans les conférences et dans les salons,
de M. S. Rocheblave sur la Jeunesse d’Henner, dont je n’aurais pas à
parler
ici, — malgré que certains portraits reproduits,
il s’agit des anciens, ne serait-il pas désirable de les entendre en
parler
avec cette simplicité et cette sincérité ? La Rev
t d’une grande bonhomie ». Son visiteur est plein de déférence ». Ils
parlent
de Weber et Beethoven. Rossini raconte comment le
Le Cantique (Il Cantico). C’est le dernier livre d’un jeune dont j’ai
parlé
souvent ici, M. Antonio Beltramelli. Encore une f
un moine dominicain du xve siècle : voilà pour déconcerter ceux qui
parlent
de notre « manie critique contemporaine » comme d
fait remarquable. M. Gabriel d’Annunzio et l’anthropologie Nous
parlions
dernièrement de la sympathie de M. Lombroso pour
s le prophète, et dont l’avortement data la fin du Moyen-Âge ou, pour
parler
plus juste, la suspension du Nouvel-Âge et l’ouve
e 334). Son amant est devenu presque fou, ajouta la personne qui nous
parlait
… ajouta la personne qui me parlait La plupart d
e fou, ajouta la personne qui nous parlait… ajouta la personne qui me
parlait
La plupart de ces remarques sont d’un intérêt s
du plus grand intérêt historique. À la page 41 on lit : Je n’ai pas
parlé
d’un vice-légat qui fait des horreurs dans les en
tout de même, du brillant et ardent d’Annunzio. Et cela nous amena à
parler
de l’influence de la « mode » en matière littérai
de beaux livres, il faut s’entendre à les lancer. Il s’agit de faire
parler
beaucoup de soi avant que le public songe à ouvri
on de souvenirs devait le lui faire chérir. Ce n’était point façon de
parler
, quand il écrivait, cinq ans après, à son ami Cro
1, je devins amoureux de la comtesse Simonetta21 et de l’Italie. J’ai
parlé
d’amour à ce beau pays en faisant la grande ébauc
uteur italien, c’était revoir l’Italie dans son âme, c’était aussi se
parler
à lui-même la langue que parlait Angelina ; même
Italie dans son âme, c’était aussi se parler à lui-même la langue que
parlait
Angelina ; même à l’ennuyeuse besogne de traduire
e ébauche, mais une copie, et une copie corrigée et annotée : … J’ai
parlé
d’amour à ce beau pays en faisant la grande ébauc
écembre 1817. (Cor. inéd., I, 52.) Il y déclare qu’il n’a pas voulu «
parler
comme auteur » ; qu’il écrit pour se « désennuyer
tutionnel et au Mercure l’article de Crozet ? — En attendant, faisons
parler
le Journal général, ou même les Lettres Champenoi
ses. Quant aux Débats, Maisonnette pourrait se réduire à les prier de
parler
, même en mal… Et le novembre : Voyez donc si v
it sont là pour le prouver. C’est de cette dernière mise en œuvre que
parlait
Stendhal, un jour de découragement, quand il écri
quelques mandataires qui composent la Chambre (point n’est besoin de
parler
du Sénat), c’est à peine si une quarantaine se rè
, les reporters l’eussent découvert avec orgueil, les belles dames en
parleraient
, au thé de cinq heures, et son nom, en France, se
La Tragédie catholique de Gabriel d’Annunzio. 2. Vitruve aussi nous
parle
des trois genres de scènes, au point de vue purem
ait la purgation des passions par cette piété et cette crainte…… » Il
parlait
donc du drame. 4. J’emploie ce mot : ésotérique,
l admira à Florence plus que tout le reste, les seules œuvres dont il
parle
: en sculpture, ce fut le tombeau de Marie-Christ
bles et que, dans l’espèce, les papes Paul V et Urbain VIII n’ont pas
parlé
ex-cathedrâ, c’est-à-dire n’ont point imposé une
t à réconforter le philosophe de Zarathoustra. Déjà malade, Nietzsche
parlait
encore parfois de Jacob Burckhardt, comme s’il av
ations, nos émotions, nos pensées. Non. C’est lady Macbeth. Le poète
parle
de Macbeth et de Duncan, histoires d’un temps loi
é le poignard, Kitchener, sois ferme ! Qui a dit Kitchener ? Le poète
parle
de Macbeth et de Duncan, histoires d’un temps loi
nt de sang les veines, vieux boër damné ! » Qui a dit boër ? Le poète
parle
de Banquo et de Duncan, histoires d’un temps loin
te pour son plaisir. Mais il ne faut pas confondre les espèces. Je ne
parlerais
point des comédies de l’Avare et du Joueur en tra
crits, c’est toujours le nom du Tasse qui se présente à lui, quand il
parle
des poètes italiens. Ainsi, dans les stances à la
, et injustes, comme il ne manque pas de le lui faire sentir : Il me
parla
da Dante et de Pétrarque, et tout le monde sait c
ait été si rapide et si peu chaleureux à propos d’un écrivain dont il
parle
en général avec un enthousiasme ardent, Goldoni,
uissesses, « nues jusqu’aux épaules à cause de la chaleur ». Voltaire
parlait
. Tout en feignant d’écouter, le prince ne se refu
en 1907 sont inconnus en Italie. En effet, et quoiqu’on ne puisse pas
parler
de « succès » de la Comédie Française pendant la
înés, sont encore moins remarquables, et de toute façon je ne saurais
parler
de leur art que je n’aime pas, et qui ne me sembl
suna imprudenza. Dans d’autres milieux, on s’étonne d’entendre ainsi
parler
des hommes qui représentent une partie de l’intel
t enfoncé jusqu’aux oreilles et maintenu par la mentonnière, et il me
parlait
. Le vent glacé éparpillait ses paroles, mais des
lège. Il est vrai que son aimable interlocuteur, s’il ne savait point
parler
d’autre langue que le grec, employait du moins ce
accessible à tous, les problèmes multiples que soulève la guerre. Je
parlerai
à l’occasion plus spécialement de l’une ou l’autr
phique et ne point dépasser la région où la majorité de la population
parle
l’italien ? Dans leurs dernières concessions, les
uerre déraison et de foi. » Et ceci est exact, si, bien entendu, l’on
parle
d’une minorité agissante et non de l’ensemble de
aletti Gaudenti dit avec beaucoup de justesse : Il est impossible de
parler
des idées économiques et sociales d’un homme qui
artînt. Un conférencier comme André de Fouquières, qui est venu nous
parler
de mondanité, de dandysme et de cotillons, ou com
iper, d’une façon directe ou indirecte, à la guerre. Il a cru pouvoir
parler
et agir en maître, ourdir des intrigues, créer de
ent ; il n’a pas vécu en Belgique sous la domination allemande, il ne
parle
de l’état de son pays depuis l’occupation étrangè
s, en une sorte de gloire mystique, comme une Terre promise. Quand il
parle
de la visite qu’il a faite sur le front en Flandr
confuse de l’exil. Il m’a confié ses doutes et ses angoisses… — Il ne
parlait
point le langage de M. Destrée, mais il avait vu
tte force se manifeste aussi chez beaucoup d’écrivains par le fait de
parler
ouvertement même des événements les plus contrair
ont produit sur le monde, savent qu’ils ont acquis par là le droit de
parler
franc et haut et d’être écoutés. Ils ne s’en font
uit que j’entends la nuit mon sang se glace dans mes veines. Je ne te
parle
pas de notre peur le jour où ils ont bombardé la
passionnément, réfutait et raillait parfois, — tandis que M. Péladan
parle
« du caractère déraisonnable que, de tout temps,
sse d’un réveil, « Enfin ! Enfin !… C’est le réveil, — dit-elle. — Ne
parlez
plus : je suis toute à vous !… » C’en est fait de
e manière étonnante : on n’a lu de lui que très peu d’articles qui ne
parlent
pas d’écrivains et de romans parisiens, car il es
i réclame un contre-poison des plus efficaces, ou il finira par faire
parler
français ses personnages romains. Dans Miraggio,
d’autres messieurs moins illustres en bon nombre d’autres villes ont
parlé
copieusement de la vie et de l’œuvre de Zola, pou
us nombreuses qu’on ne le croit. Dante n’aima pas que Béatrice. Je ne
parle
pas des femmes en lesquelles il voulut personnifi
plus tard ! Nullement : « Taine, dit M. Sorel, n’avait pas de goût à
parler
de ces temps douloureux. » Signe de grandeur. Com
o Pica, depuis quelques années, s’est donné tout entier à l’art. On a
parlé
ici de ses études sur l’Arte mondiale à l’Exposit
coratif qu’il a résumées en un synthétique épilogue. « On a beaucoup
parlé
et beaucoup écrit en Italie, dit M. Pica, sur l’a
qu’il connaît si bien et où est son royaume ; dans ce recueil dont je
parle
, un poème (le Bûcher) est absolument admirable et
ses Mémoires. Casanova mourut en 1798, mais on n’entendit aucunement
parler
des Mémoires (dans lesquels le prince de Ligne, à
ependant, chaque jour, Thérèse venait lui faire une visite . Casanova
parle
de quelqu’un qui avait, comme de raison, formé le
s que Casanova la nomme La Catai. Dans le présent manuscrit, Casanova
parle
de La Casacci ; La Catai est évidemment une des a
tre, entre tous, comprit le mieux ce que Shelley voulut dire quand il
parle
de « l’amour véritable qui diffère en ceci de l’o
pendant que Casanova s’y trouvait ; du procurateur Morosini, dont il
parle
dans ses Mémoires comme de son « protecteur » et
de la mort du comte, en 1792. Dans son Mémorial d’un Mondain, Lamberg
parle
de Casanova comme d’« un homme connu en littératu
mbien d’amour… Les voici à l’œuvre les mains et les yeux humbles dont
parle
d’Annunzio à propos de Segantini. Le grand artist
et inoubliable Retour au pays natal et La Foi réconfort de la Douleur
parlent
si éloquemment. Dans l’Ange de la vie, la mère ré
r épanouissement formel dans l’œuvre réalisé à Maloja. Si Segantini a
parlé
du Nirvânah au sujet de ses tableaux des Luxurieu
on ne la voit… Jacques, pardon, cela semble vous déplaire que je vous
parle
de Manon Balletti. Mais, je vois que vous avez qu
Vous songez au passé, les yeux dans le vide en m’écoutant. Eh bien !
parlons
-en encore… On ne peut se la figurer qu’en longue
amené et veut retourner rue de Condé, laissez-moi l’accompagner pour
parler
une heure à Adnesse. Je vous reviens bientôt. M
re Casanova et Bassadona, pas d’autres complices. Bragadin n’a jamais
parlé
et Casanova a scellé ses lèvres d’un cachet d’air
pas fait une petite apparition en Angleterre, dont vous n’avez jamais
parlé
? Qu’ils discutent, ça ne me louche plus, et je v
? Qu’ils discutent, ça ne me louche plus, et je viens vers vous pour
parler
une dernière fois des Plombs de Venise. Dans votr
’apercevais chaque jour, me considérait avec étonnement. Lorsqu’on me
parlait
, il m’arrivait de ne pas entendre ; ou, si je rép
ment, se mît à tourner avec la hâte dont battait mon pouls. Alors, je
parlais
, je parlais sans relâche, pour m’étourdir, pour m
à tourner avec la hâte dont battait mon pouls. Alors, je parlais, je
parlais
sans relâche, pour m’étourdir, pour me griser, po
er notre fuite ? Oui, certes, je le devais. Eh bien ! ce soir, je lui
parlerais
! Malgré mon amour, malgré mon désir passionné de
té m’ordonnait de dire. VII J’étais chez elle. Je n’avais point
parlé
encore. Dans les bras l’un de l’autre nous soupir
il m’est difficile de relever. — Eh ! signore, répliqua-t-il, vous me
parlez
sur un drôle de ton !… Mais je ne m’offenserai pa
ulagé. Mais point. Avec le même accent de cordialité charmante, il me
parlait
maintenant de ses enfants, de son fils qui vivait
et le regarda en face. Je restais silencieux, trop troublé pour oser
parler
. Enfin le marquis rompit les chiens ; comme si de
choses aimables sur les Français et sur moi-même. Et maintenant nous
parlions
musique, il me racontait que la saison du San Car
re visite, et il me recevait avec une bonne grâce infinie. Mais il ne
parlait
point de nos projets. Et je dus, lorsque je jugea
bait sur son épaule, elle pâlissait, elle était sans force. Et je lui
parlais
, j’essayais de la distraire, alors que, quelquefo
re de parcourir la même étape, celle de l’amour, dont nous avons déjà
parlé
. Faust devient amoureux d’Hélène après un épisode
esco, la porte Aurea et le souvenir tragique des Malatesta. — Mais on
parle
peut-être un peu trop de peinture dans les livres
ez romanesque, et le poète semble s’y complaire. Dans son Prologue il
parle
de ce qui fut sa villa, où il « retrouvait, dit-i
e l’a pas écrit dans une langue voisine de celle que Dante écrivit et
parla
, il ne l’a pas écrit en provençal ou en vieux fra
ant aux exigences, d’ailleurs modérées, de nos textes. Nous venons de
parler
du poggio alla Quercia : « poggio » veut dire col
s. De l’un des points culminants de vingt-neuf mètres dont nous avons
parlé
, de celui qui porte aujourd’hui un belvédère, on
Qu’est-ce que ce nom représentait pour ses contemporains ? L’Odyssée
parle
plusieurs fois de ses courants profonds et violen
nuit close, Ulysse débarque chez les Morts quelques heures après. 1°
Parlons
d’abord des Cimmériens. Ce sont, dit le texte, d
de Casanova. Le roman se termine brusquement et de façon inexplicable
parle
billet de rupture que Casanova a publié lui-même
p. 140-146 [140-142]. Les jeunes auteurs sont rares qui consentent à
parler
d’amour dans leurs livres, d’amour tout nu, d’amo
elle a senti que deux êtres assortis se cherchaient. Les familles, je
parle
des bonnes, ne se plaindraient jamais si elles se
as-Dubreton n’ait pas jugé « indispensable de monter en chaire » pour
parler
de Machiavel, ce me semble à merveille. Relatées
tion « en puissance et en fonction » de toute l’élite d’un pays. J’ai
parlé
ici de la mort de plusieurs « grands hommes » de
la, il parvient à diriger plus de 250 acteurs ou figurants dont il ne
parle
point la langue. Le geste suffit à M. Meyerhold,
la fenêtre — et elle — devant la table des magazines. Je m’amusais à
parler
seul, comme quand on rêve. Je disais : « Une dame
Ferson, quelque triste lied à traduire… je m’accoude à ma fenêtre… je
parle
de vous à la brise, au silence, au clair de lune…
tais assis au bord de son lit, je furetais dans ses dentelles, je lui
parlais
à voix basse… — Écoute… écoute ! chuchotais-je. É
pour toujours ? — Oui, pour toujours… pour toujours ! Mais je lui ai
parlé
à l’oreille… et elle a répondu : « Je vous détest
rence de ses gardiens actuels. C’est eux qui l’ont, le sourire ! On a
parlé
des privautés du duc de Morny ! Un amoureux trop
numéro d’octobre 1903 Mr Arthur Symons, le poète anglais bien connu,
parlait
longuement du séjour de Casanova au château du Co
nfant qui, ignorant les résultats d’événements dont on lui a beaucoup
parlé
et dont il n’a pu faire la comparaison, propose à
ur d’étoiles, et le docteur de Bologne et la dame Asphodèle devraient
parler
en vers. Aussi bien en trouve-t-on quelques-uns d
s entrepôts commerciaux de l’antiquité, Délos, Alexandrie, Pouzzoles,
parlé
des cultes qui s’y établirent à la suite des comm
ien, qui vient dans notre capitale, après avoir vu rouge à Rome, pour
parler
d’or, parmi toutes les grisailles de cette somptu
irai-je de l’intrigue du Transplanté ! Elle est une interaction, pour
parler
la langue de l’auteur ? Naturellement le héros Tr
t le héros Trismat ne pouvait que voir Hélène dans chaque femme, pour
parler
la langue du Satan de Faust. Hélène Saïvine est u
t libre de tout dessein qui ne contribuât au service de la beauté, il
parla
avec bonheur de la liberté de l’art, et du but où
mais il vaut mieux ne pas s’y arrêter, au moins pour le moment. Je ne
parlerai
pas de d’Annunzio, qui appartient, et pour bien d
qui appartient, et pour bien des côtés, à cette génération dont j’ai
parlé
(on a imprimé cette année un gros recueil de ses
re militante. Restent les jeunes. Je mets de côté les isolés, dont je
parlerai
au fur et mesure qu’ils publieront quelque chose
riste, allié avec celui qui est représenté par la revue Lacerba. J’en
parlerai
la prochaine fois. Memento À signaler, en c
ment, point de la banalité courante. Toutefois, je l’entendis un jour
parler
de ses jeunes années et ce récit d’un pérégrin m’
ouvrit et introduisit un monsieur maigre et grisonnant. Il demanda à
parler
à mon père. — Beppo est sorti, dit ma mère, mais
ut lu la lettre que lui tendait le visiteur, il regarda sa femme, lui
parla
à l’oreille. Elle éclata en sanglots. « Le cœur d
xpérimentale, sur la géologie soient des plus curieux, c’est quand il
parle
de peinture que malgré tout Vinci nous intéresse
t des mots à la mode, fatalement condamnés à un abandon prochain. Qui
parle
de la déesse de Lorette ne blasphème pas, il paga
otre philosophe fait sa prière, comme un homme du moyen âge. Avant de
parler
de l’optique : « Plaise au Seigneur, lumière de t
5). » Mais la méthode métaphysique se trouve malmenée ; « syllogisme,
parler
douteux, sophisme, parler confus, le faux pour le
physique se trouve malmenée ; « syllogisme, parler douteux, sophisme,
parler
confus, le faux pour le vrai, théorie science san
ancêtres ont envoyé Marie-Antoinette à la guillotine. Tout homme qui
parle
au nom de Dieu menace les autres et la violence d
oir ce qu’elle renfermait d’extraordinaire » (152). Le naturaliste ne
parle
pas seul ici. Nous voyons des savants nier ce qui
mettront en pratique et facétieusement il écrit : « D’autant plus on
parlera
avec les peaux vêtues de sentiment (manuscrits),
et tout l’univers pour satisfaire ses appétits (345). Les esprits qui
parlent
et agissent lui semblent particulièrement incompr
dans l’air serait bientôt démembré. Quant à savoir si un esprit peut
parler
, il suffit de définir la voix « mouvement d’air f
t de foi, Et j’y sens tout à coup mon âme en Dieu se fondre. Qui
parle
d’âge d’or à venir, ô mortels ? L’âge d’or est v
utes les façons, un être sans conséquence. Aussi, quand on vient nous
parler
de « la ronde orgiaque des empereurs », cela fait
de l’action. Ces deux œuvres, dans l’opposition de leurs caractères,
parlent
un même langage. Sous la coupole étroite de la ch
le. À Venise, le Colleone étonne davantage. Les poètes ont si souvent
parlé
de cette mollesse orientale où s’endort la ville
travailler vers 1470. Vasari, écrivant au milieu du seizième siècle,
parle
avec une émotion religieuse des premiers débuts d
nte, a une action de plus en plus grande sur son œuvre. Qu’on ne nous
parle
plus de l’ange qui lui a été attribué dans le tab
is », ne devient pas un maître de l’avenir. Léonard, dans ses écrits,
parle
avec indifférence de la mort de Ser Piero, son pè
vec un peu de la science de Verrocchio. Que de mystères encore ! On a
parlé
d’un autre artiste remarquable dont on ne retrouv
ions pour l’avenir, l’admirable Portrait de Rembrandt dont nous avons
parlé
à cette même place, n’a pas voulu reprendre son t
eption étrange il ramenait toute chose dans sa vie ; sans cesse il en
parlait
, et, comme, en dépit de l’absurdité du système, i
aissez ! Ne lui dites rien à présent, pour qu’elle ne pleure, Et ne
parlez
jamais de ceci. Que ce soit comme ce fut ! La Vie
ait toujours Dans l’abîme pour y frayer Son sentier ; et soudain elle
parla
, comme Les étoiles quand elles chantent dans leur
ille à une plume Flottant, loin, au fond de l’abîme ; et soudain Elle
parla
à travers l’air calme. Sa voix était comme la voi
ut-être, et sera muet : Alors je poserai ma joue Sur la sienne, et je
parlerai
de notre amour Sans en être une fois confuse ni f
use ni faible : Et la chère mère approuvera Ma fierté, et me laissera
parler
. « Elle-même nous conduira, la main dans la mai
vain des amis le pressèrent-ils ; il ne répondait pas lorsqu’ils lui
parlaient
de ses vers. Ses vers ! pour elle ils avaient été
rtueuses, étroites comme des couloirs ; parfaits coupe-gorges où tout
parle
encore d’attaque et de défense, entre de vieux pa
ando Pizzetti, baptisé par M. d’Annunzio : Ildebrando da Parma. Je ne
parlerai
pas ici de la tentative esthétique admirable de M
de notre mentalité méditerranéenne contemporaine. Lorsque M. Pizzetti
parle
du « Drame Musical Latin », vers lequel tendent,
ndoyer mon esprit dans le domaine ensoleillé des rythmes. Après avoir
parlé
de l’esthétique d’un musicien, il me plaît de par
hmes. Après avoir parlé de l’esthétique d’un musicien, il me plaît de
parler
de quelques jeunes poètes, parmi les meilleurs de
etrouvons l’étude de M. Arbelet : le Roman de Métilde, dont j’ai déjà
parlé
ici même. […] On trouvera encore dans ce volume u
abbé Thédenat sur le Forum Romain et les forums impériaux. Nous avons
parlé
abondamment de cet ouvrage25 qui a été surtout co
nue, notre pensée complète le balbutiement du vieil auteur ». De là à
parler
de véritables découvertes ou seulement de présomp
es preuves. « Léonard eût été bien empêché de donner les siennes. Il
parle
en philosophe dégagé des préjugés, non en savant.
nte à Pline le jeune des lignes vraies aujourd’hui, « actuelles ». Il
parle
d’Asinius Pollion qui, sous Auguste, eut l’idée d
cru à une autobiographie. Tous les écrivains du xive siècle qui ont
parlé
de Dante sont cependant tous d’accord pour rappor
dule, distinguait mal la vérité de l’allégorie ; on lut le livre ; il
parlait
d’amour, les femmes le vantèrent, s’y plurent, s’
ir une culture pour être à l’abri de la pudeur. Ovide, puisqu’il faut
parler
latin, enseigne aux femmes que dans l’amour « non
familier ; même quand ils racontent une histoire vraie, ces artistes
parlent
une phrase cadencée et qui, aux motifs traditionn
’on appellerait aujourd’hui un homme de gouvernement. Il ne pense, ne
parle
et n’écrit que pour ses pairs ; jamais il ne jett
amené par l’imprimerie, l’architecture et ses succédanés continuent à
parler
théologie éloquemment. L’immaculée Conception se
ra nullement la conséquence du régime pacifiste et, puisque M. Faguet
parle
de l’Italie et de son unité récente, je veux le d
itudes politiques internationales, et des actes du gouvernement. » Il
parle
de Venise comme de « l’écrin du monde ». Tout siè
s gondoles. Une semblable mélancolie est dans le chapitre ou l’auteur
parle
de la Femme et de l’Amour, mais elle est rehaussé
ccupations, du même conflit de principes et d’intérêts : nous voulons
parler
des dissensions de la famille d’Auguste, de la mé
é [en italien dans le texte] ; car, si je les avais lues, j’en aurais
parlé
dans une très facétieuse préface où je rends just
parlé dans une très facétieuse préface où je rends justice à ceux qui
parlent
bien de ce qu’ils ont vu, et où je me moque beauc
lent bien de ce qu’ils ont vu, et où je me moque beaucoup de ceux qui
parlent
à tort et travers de ce qu’ils n’ont pas vu. Bast
ues jours avant et quelques jours après la visite de Casanova, ne lui
parle
pas de son compatriote. Mais, d’abord, je doute q
es qui le passionnaient particulièrement lorsqu’il avait trouvé à qui
parler
, car il ne détestait pas qu’on lui tînt tête, Vol
gé lui-même par ses confrères les vers6 ». Pourtant, lorsque Voltaire
parle
à Casanova d’Algarotti, on sent qu’il est moins d
magna pars de leur histoire ; Mais c’est un modeste vainqueur Qui ne
parle
point de sa gloire. Casanova, qui avait le triom
e, Casanova raconte les diverses tentatives de son hôte pour le faire
parler
: « Au dessert, M. de Voltaire, sachant que je n’
vue pendant une demi-heure vraiment amoureuse et belle d’amour. Nous
parlions
sur un banc qui se trouve dans la boutique pendan
que the mother était occupée avec les commis. Nous étions obligés de
parler
par plaisanteries. Ce genre où il faut être plais
du naturel d’une grande âme sur un autre cœur du même genre. Elle m’a
parlé
de tout quitter et de me suivre en France. Elle m
tion de cette statue, accompagnée d’un texte dont je préfère ne point
parler
, puisqu’il me suffit de citer pour qu’on en juge.
ica conjugale, par Ugo Valcarenghi. Recueil de nouvelles dont il faut
parler
, parce que ce Valcarenghi est un type, dans son g
simplicité du ton et la facilité heureuse de l’image et du vers. On y
parle
de mères et d’enfants avec une tendresse qui ne g
rments dont il a été tenaillé jusqu’à hier, Silvia se présente et lui
parle
un langage si vrai, si ému, si inattendu, qu’il s
ena (Italie), les livres et publications dont ils désirent qu’il soit
parlé
dans notre Revue, sous la présente rubrique.
ensuelle, littéraire et artistique, Il Fauno (le Faune), Il faudra en
parler
sous peu, car fervei opus pour atteindre le but d
de politique qui paraissent dans la Nuova Antologia il ne sied pas de
parler
ici. Je remarque une élude vigoureuse et profonde
s 1900, p. 252-256 [255]. La Chronique des Arts (3 février). — « On
parle
beaucoup de notre admirable musée, en ce moment.
ées fortuitement au gré de son cerveau surexcité. Il écrit comme l’on
parle
au cours d’une discussion animée dans une réunion
ombroso était aussi profonde qu’elle est étendue, il y aurait lieu de
parler
du « péril Lombroso ». Heureusement il n’en est r
hée ? — dirent les Bacchantes — es-tu venu pour nous mépriser ? Elles
parlaient
, en restant immobiles dans leurs poses de statues
autres. — Il n’est plus temps. Orphée regarda la bouche de celle qui
parlait
, une bouche grande et superbe : sur sa peau blanc
e des hôtes. Stazia l’interrompit sans tourner la tête vers celle qui
parlait
: — Personne ne le retient. Qu’il aille. Pourquoi
s, excepté Bicornide. — Qu’il reste notre prisonnier. ! — Pourquoi ne
parles
-tu pas, Orphée ? demanda Bicornide, la voix agité
jet avéré. Les intéressés se gardent de la répandre ; et lorsqu’on en
parle
à des Vénitiens, ces derniers rient, haussent les
t envoyé en quelque Sorrente gérer un consulat illusoire ! Qu’on nous
parle
plutôt des cochers, qui gagnent rarement plus de
re. De son côté, M. d’Annunzio avait tant écrit, tant travaillé, tant
parlé
pour sa petite candidature florentine, que le jou
Étranger aidant, une légère folie mégalomane lui monta à la tête ; il
parla
plusieurs fois au nom de l’Italie sans en avoir e
raine absolue ; à vingt pas du Roi, deux ou trois jeunes canailles en
parlaient
en ricanant. C’est de l’histoire ; on ne pousse p
pensée et la divination. Parfois aussi, la scène se modernise : on a
parlé
de Fiorilli et de la Commedia dell’arte… et dans
trer. Mais il ne faut pas oublier que ce prétexte moral et le goût de
parler
de Dieu et de sonner le tocsin aux oreilles des l
es ou glorieux, ont attiré l’attention du monde sur cette Italie dont
parlent
si mal ceux qui ne la connaissent qu’à travers le
as encore empoisonné. Du haut de cette poésie, riche et puissante, il
parle
en homme libre, sans préoccupations de la pose, a
onie bizarre et inattendue, qui à côté d’un hymne comme celui dont je
parlais
tout à l’heure, peut placer un Hymne de retour, a
ppeler que Giotto lui apprit à dessiner. Dans la Vita nuova, le poète
parle
d’une Annonciation exécutée par lui-même. 26. Da
J’ay l’honneur de vous présenter ce petit tableau dont je vous avois
parlé
. L’idée de ce petit morceau m’est venue à l’occas
est de l’histoire agréablement écrite avec un bel amour de l’art dont
parle
l’auteur. M. Klaczko est un esprit sagace qui vau
orable. M. Quaglino, — il est mon ami, et j’ai presque le devoir d’en
parler
mal, — écrit sa prose comme de la poésie, en peti
mois de novembre et qui ne prendra fin qu’en avril. Le livre dont je
parle
peut faire les délices des érudits, lourd qu’il e
chiffrer la figure de femme qui la domine et l’emplit toute : je veux
parler
de cette inoubliable et captivante Cécilia Gonzag
mis même en fâcheuse posture sur ce point. Quant à l’opuscule dont je
parle
, il est la contribution que tout bon israélite (M
oderne n’a pas encore paru en volume : tout en me réservant donc d’en
parler
la prochaine fois, après lecture, je crois pouvoi
n les entend raconter par les personnages, et quoique ces personnages
parlent
souvent une langue admirable, ils n’arrivent pas
devant un troupeau de paysans ébahis, qui n’y comprenaient mot. Il y
parlait
de la Beauté Éternelle, des mœurs anciennes, et d
tragédies ; mais le théâtre ne se fait pas avec des pages. P.-S. — Je
parlerai
la prochaine fois, outre de la Gloria de d’Annunz
es Américains, et Verlaine est aujourd’hui dans le monde entier, — je
parle
du Verlaine expurgé de quelques excès — représent
pour ceux qui l’entouraient, il sembla comme écouter une voix qui ne
parlait
qu’à lui seul. C’est ainsi qu’il apprit l’art d’a
r la délicatesse de ses opérations, par cette subtilitas naturae dont
parle
Bacon. Aussi le voyons-nous souvent en relation i
Dans ses instructions, Bonaparte avait d’ailleurs permis à Gentili de
parler
aux habitants « de la Grèce, d’Athènes et de Spar
ivre dont, malgré son succès en Italie et en Allemagne, on a très peu
parlé
en France. Il est pourtant fort intéressant et pa
inintelligible, quand on y rencontre la naissance d’un enfant dont il
parle
, et que le lecteur n’a trouvé auparavant qu’un ba
. Delacour (Les Lettres de Noblesse de l’Anarchie, p. 310) va jusqu’à
parler
de la faiblesse, et de la tiédeur de la foi de Sa
ement toute une action. Pour le moment, ce réalisme idéiste dont j’ai
parlé
dans le courant de cet article, nous l’exprimons
er la question de la guerre à l’Allemagne. M. Barzilai se contenta de
parler
de la coordination des efforts italiens et du pla
ns une revue d’intellectuels et d’esthètes, se sent en leur présence,
parle
comme ils parlent, pense lui-même ainsi et ne tro
ntellectuels et d’esthètes, se sent en leur présence, parle comme ils
parlent
, pense lui-même ainsi et ne trouve aucun motif lo
oût à la manie du luxe et du colossal d’un peuple de parvenus. « Qui
parle
au xxe siècle de peinture allemande, de musique
ècle de peinture allemande, de musique allemande, de poésie allemande
parle
d’une nébuleuse sans noyau et sans physionomie —
Quant aux socialistes, aux catholiques et autres : « Alors qu’il faut
parler
et agir sérieusement, Bebel et Spahn, Hertling et
s masses et le mécanisme, est mesquine à d’autres point de vue. « Ils
parlent
de surhommes et de superpeuple, et ils n’ont pas
outé l’arme autrefois terrible de l’Excommunication ? Le nouveau Pape
parle
, écrit. Sa voix n’est pas celle des prophètes d’I
rien, si je pense à ce qui est ruiné à chaque instant, tandis que je
parle
, tandis que je pense, tandis que j’écris, sang et
itre : De l’autre côté des Alpes, sur le Front italien, et où il nous
parle
de Brescia la belliqueuse, de la campagne italien
gne. Ailleurs, il s’intéresse aux aspects de Venise, aussi en guerre,
parle
de Trévise et de Conegliano, d’Udine, — une des n
gréable aux Autrichiens. Ils ne lui pardonnent pas, en effet, d’avoir
parlé
, un des premiers, des frontières naturelles que l
presque bannie : elle a résisté dans les livres et les revues. Je ne
parle
pas de la « littérature de guerre » toujours débo
r en quelques lignes les résultats auxquels il est arrivé : il faudra
parler
longuement de cet écrivain qui mérite d’être conn
nons de la première heure qui ne se fussent un peu écartés de lui. Je
parle
bien entendu de ceux qui avaient de la valeur. Et
rop souvent la triste réalité ! Que nous resterait-il à admirer, — je
parle
au point de vue intellectuel, — si nous osions né
laide contre sa propre passion, il enchaîne son amour afin de laisser
parler
en soi la discipline intérieure, cette discipline
loyauté ? Son silence dura si longtemps que Franco lui dit : — Tu ne
parles
pas ? Elle recueillit toutes ses forces et parla.
o lui dit : — Tu ne parles pas ? Elle recueillit toutes ses forces et
parla
. — C’est vrai, mon âme n’a jamais été entièrement
insi que tu le crois. Mais peu lui importe que nous l’adorions et lui
parlions
. Ce qu’il veut de nous, on le comprend par le cœu
choses que nous pouvons comprendre, que nous pouvons sentir ! » Ainsi
parle
Luisa Maironi ; et que pourrions-nous dire de mie
e part, et, de l’autre, la servitude. Pascoli, sans doute, n’a jamais
parlé
aussi nettement sur ce point ; mais sa poésie, si
quelques héros de M. d’Annunzio se permettaient d’être « vrais », ils
parleraient
ainsi, et le roman se réduirait à quelques pages,
ividuel seul est réel et l’universel est un de ses attributs3. Platon
parlait
comme un métaphysicien, Aristote comme un savant,
, genre Lemaître, n’a pas ombre d’érudition, et pourtant, quoiqu’elle
parle
d’étrangers qui lui sont presque des inconnus, el
role facile, plaisante, claire et élégante était une compensation. Il
parlait
des faits de la journée et pour cela il intéressa
i hâte d’arriver aux pages sur les œuvres et les auteurs dont je vous
parlais
en commençant. Après avoir répété l’intérêt et l’
rnier, il a tort de nommer un arrangeur de spectacles dont on ne doit
parler
que dans les comptes rendus des tribunaux, mais i
l nomme Chérubin, de M. Morice, « qu’il n’a pas lu et dont il ne peut
parler
» ; la Fille aux mains coupées, de M. Pierre Quil
s ferons bon accueil à la seconde de ces revues (dont nous avons déjà
parlé
), tout en regrettant la première. […] Tome VI
lico, Ghirlandajo, le Pérugin, Francia, et, qui mieux est, il sait en
parler
avec intelligence. Cet Allemand d’autrefois mérit
ontemporaine. En dehors même du double mouvement français dont il est
parlé
plus haut, les autres recherches caractéristiques
’œuvre de M. Guido Gozzano est identique à celui des poètes dont j’ai
parlé
plus haut. Un irrésistible besoin de renouveler n
Wagner venait de remporter un nouveau triomphe en Allemagne. Elle en
parla
avec Nietzsche. Au début, dit-elle, il sembla ne
ompris dans la classe moyenne, il n’est que rarement et difficilement
parlé
; quant aux paysans et aux ouvriers, ils ignorent
sujet : Y a-t-il aujourd’hui une littérature italienne ? M. Ojetti a
parlé
le premier ; puis M. Carducci ; puis d’autres. Le
e la sua tragedia tradotta « Danton et Robespierre » Puisque nous
parlons
des œuvres où la patience tient le rôle de la fan
. D’Ancona est précieux. Cet érudit devient un artiste lorsqu’il nous
parle
du Comte Confalonieri. Celui-ci, beau, élégant, r
malveillance ! Les manuscrits de Giacomo Leopardi On peut bien
parler
de conquête à propos des manuscrits de Giacomo Le
ortance relativement à la vie privée du grand poète de la douleur. On
parle
aussi d’un poème satirique trouvé parmi les papie
ensée est l’acte propre de la raison : les bêtes ne pensent point, je
parle
aussi de celles qui ont figure humaine et souffle
érir argent et dignités. XI. — Allégoriquement donc, par amour qui me
parle
de ma dame dans mon esprit, j’entends l’étude. O
uissent à leur place, elle ne s’appellerait plus noble, mais vile. Je
parle
contre ceux qui errent, imitant le bon frère Thom
de Boëce, qui l’amenèrent à l’amour, c’est-à-dire à l’étude. Quand il
parle
aux intelligences du troisième ciel, s’adresse-t-
par Victor Barrucand. Tome X, numéro 50, février 1894, p. 116. Tu
parles
; et cédant à la molle brise de ta voix L’âme s’a
e brise de ta voix L’âme s’abandonne Sur les ondes caressantes de ton
parler
Et vogue vers d’étranges plages. Vogue en une t
e, italien, français ou allemand, il ne cesse jamais d’être Lui et de
parler
hautement à l’âme. Si Raphaël, si Vinci ont de la
déplacée, elle n’en a pas moins fait place à un autre abus ; je veux
parler
de l’idée littéraire qui semble avoir fait de tou
de liberté pour atteindre plus de richesse, Mme Gina Martegiani nous
parle
du petit Sturm-und-Drang florentin, résumé, il y
estaurateur du château des Sforza à Milan ; et M. Art. Yahn Rusconi y
parle
de L. Seitz, le peintre décorateur du sanctuaire
re de Lorette. La Rassegna Contemporanea (janvier). M. G. A. Cesareo
parle
de la publication faite par M. G. B. Siragusa du
xercer ainsi, même à distance, son autorité sur ses citoyens. Je n’ai
parlé
jusqu’ici que de la vie publique des Florentins,
de France » et aux « Richesses d’art de la Ville de Paris », pour ne
parler
que des séries qui ressortissent à notre rubrique
de constater la largeur de cette hospitalité si libre qu’on a même pu
parler
d’envahissement. L’Invasion 9, tel est même le t
en Italie autant que l’auteur de Zarathoustra ? Nous pourrions encore
parler
de M. Camille Lemonnier, de M. Élémir Bourges, de
médit avec tant d’injustice des Romantiques, ne voudraient-ils aller
parler
à Florence ou à Milan de ce que les Hugo, les Lam
une rapide étude sur Swift, « le grand humoriste ». M. Achille Loria
parle
dans la Nuova Antologia (1er mars, Rome) de Josep
e et qu’il ne l’a pas regardée avec cette sensibilité passionnée dont
parle
Stendhal. Il avoue lui-même que le plaisir qu’il
au contact de Rome, la ville des âmes, disait Veuillot, la ville qui
parle
à toutes les âmes, ajoute M. Gaspard Vallette, «
qui nous séduit chez les Primitifs. Voici, par exemple, comme il fait
parler
sainte Dorothée de Cappadoce, au moment d’aller a
croire que tu le possèdes… Je pourrai interpréter ta rêverie et faire
parler
éloquemment ton silence. » Et cela nous renseigne
u plaisir de te regarder. Tes paroles sont si belles et si bonnes, tu
parles
une langue si mélodieuse… Tout ce que tu penses,
! Et ce sont eux qui auront raison contre la raison, parce qu’ils ont
parlé
les derniers, parce que le public accepte toujour
que nous le voyons dans l’œuvre d’Euripide. M. d’Annunzio ne fait pas
parler
la bruyante Vénus. Elle n’est même pas devant le
xcès et ses défauts de proportions, de lyrisme même, dont je n’ai pas
parlé
dans cette trop rapide chronique, elle est à coup
is canoniste ou grand docteur en Sainte Écriture ! De l’amour je n’en
parle
pas. Je suis un beau jeune homme, aux dents très
ci quand, se promenant à leur bras, on se penche vers elles pour leur
parler
d’amour. Et Garganello fait sa petite revue de la
e révèle l’esprit d’un maître de demain. Dans la préface, M. de Maria
parle
de son esthétique. Ses pages sont très méditées,
Simplement, il avait assez de tous ces vieux restes morts, qui ne lui
parlaient
que de morts, depuis trop longtemps morts et piét
sans avoir eu le temps de délibérer avec lui-même, il était installé
parle
garçon, d’autorité et fort mal, à coté de quelque
femme, qui avait laissé ses bras autour du cou de Bélisaire, se mit à
parler
d’elle-même. Ses malheurs avaient été nombreux et
iculière aux proches séparations. Pourtant le jeune homme n’avait pas
parlé
de départ. Bélisaire, malgré la désillusion du cr
er dans la dernière pièce, sûrement le cénacle où il trouverait à qui
parler
, enfin, de sa déesse. C’était une rotonde vert pâ
Edoardo Calandra. Alfredo Baccelli : Sull’ombra dei Vinti J’ai
parlé
du roman le Bal, de M. Alfredo Baccelli. La perso
bouge. Ô soir émouvant ! Suivant chacun notre rêve, Soudain nous ne
parlons
plus. Mais dans nos deux cœurs se lève Un chant q
e M. Erminio Troilo : Idee e Ideali del Positivismo, où le philosophe
parle
des rapports existant entre la philosophie et. la
taire. Il me plaît naturellement de m’occuper d’un poète, après avoir
parlé
des philosophes. Et ce poète est de ceux qui sont
re la crise du livre et une possible crise de la culture. Après avoir
parlé
de la Production de la culture en Allemagne et le
t un diminutif de Francesco. Je ne sais de quel messire François veut
parler
Garganello. 36. Gabriel de Panisse, baron de Mon
es heures du jour, elles sont pleines de gens occupés à gesticuler et
parler
très haut, et à regarder les passants. Les person
) Les Napolitains sont très soumis au gouvernement ; mais ils veulent
parler
de tout, décider de tout et ils le font en criant
art donne quelques preuves qu’on a discutées, mais non réfutées. Sans
parler
de la date des plus anciens manuscrits de Tacite
Alfred Vallette. Tome II, numéro 17, mai 1891, p. 261-268 [264]. […]
Parlerai
-je enfin de la Critica sociale, de Milan, qui s’e
mélange, dit M. Robiati, de Stendhal et de De Sade. Nulle critique ne
parla
jamais des livres de Banzole : cependant ils ont
ient plus qu’on ne croirait d’après ce titre, car il y est longuement
parlé
de l’action, sur cette section de l’enseignement
a (chapitres VIII, IX et X) et voudrais leur signaler une lacune. Ils
parlent
bien, en quelques pages, de ce qu’ils nomment les
ente et la taille inapte au corset. M. Francell chante mieux qu’il ne
parle
et M. Allard en barbon fut quelquefois lugubre. I
Mozart (Paris, 1801, in-8°) par Cramer, quand Stendhal, disions-nous,
parlait
de la sorte, il se moquait, au fond, de ses corre
et cela pendant longtemps sans doute découragera ceux qui voudraient
parler
encore du grand maître vénitien. Le critique et l
atives faites par M. Pascoli. Sa Chanson de l’Olifant, dont j’ai déjà
parlé
dans ces chroniques, est un des plus curieux exem
uelques poèmes, à quelques versions précédentes, dont les professeurs
parlent
beaucoup. La plus étonnante de ces visions était
soit pour des civilisés, c’est l’androgyne ou l’ange, selon que l’on
parle
grec ou chrétien. Ce type spiritualise tout, même
ire que celui des poètes ». Et voilà qui m’amène tout naturellement à
parler
d’un autre manifeste extravagant, celui des « Pei
rait d’un Membre de confrérie napolitaine de M. Émile Bernard ; je ne
parlerais
pourtant pas ici de cette belle et puissante pein
ncore, malgré le retard de six jours passés à Lyon et Turin. Je ne te
parlerai
de cette ville que dans quelques jours. Un cœur t
le. C’est là que j’use surtout de la liberté mélancolique d’errer, de
parler
, de pleurer, le long de ces rues désertes, de ces
arme et sa noblesse. Il faut donc la lire et l’entendre chanter, mais
parler
, c’est à fuir. Est-ce par cette raison que la voi
ver des poètes et des journalistes obstinés à « écrire ainsi que l’on
parle
», convaincus que le dialecte toscan demeure le p
dans le vent. Vana se souviendra du « double destin » dont lui avait
parlé
le héros, elle s’en souviendra, lorsque, étreinte
urs pour suppléer au manque de pratique d’un art, et quand M. Péladan
parle
technique, il erre assez facilement. Léonard écri
arçons, Un moment laisseront tomber leurs ritournelles, Quand je leur
parlerai
des choses éternelles, Avec un doigt tendu vers l
nsi que le début du IVe chant de Childe Harold, nulle part on n’avait
parlé
avec cet accent de la volupté tragique qui se dég
plein droit à la Ville. Pourquoi a-t-on abandonné l’affaire ? Les uns
parlent
de discordes entre les actionnaires, les autres d
goût des somptuosités propre aux époques plus récentes, Venise lui a
parlé
d’une voix authentique et spontanée, Venise appar
lume. Le dernier livre de Guglielmo Ferrero Un livre dont on a
parlé
beaucoup, et justement, ces derniers mois, c’est
t sonore, sans faux brillants ni grâces vaines, M. Marcel Schwob fait
parler
aux héros de Francesca da Rimini ! La pièce a été
puyer trop sur cette imperfection organique, je me souhaite d’avoir à
parler
souvent des œuvres littéraires de M. Ojetti, et j
e vient de paraître ce Giulio Cesare, par Enrico Corradini, dont j’ai
parlé
dans ma dernière chronique, et que Ermeste Novell
é — s’impose à notre parole quand c’est de ce maître que nous voulons
parler
. Pas plus dans ses ouvrages incontestés que dans
ux très admirables portraits d’Holbein… L’esquisse du Corrège dont je
parlais
, deux têtes d’anges, étude pour la fameuse fresqu
d’Antiope, Io se donnant à Jupiter ou la Léda. Ici c’est l’audace qui
parle
, l’énergie, la vigueur. De ces deux anges en plei
ueilleux, ennemi des dieux, d’un Satan-puissance, tandis que Carducci
parle
d’un Satan-réalisation, symbole de la raison ; ce
archaïsmes des anthologies. En s’insurgeant contre Manzoni, Carducci
parlait
au nom du Dante, au nom de Machiavel et de l’Ario
vec sa prose et avec ses recherches d’instituteur sur la langue qu’on
parle
en Toscane et la langue que les Italiens doivent
a langue qu’on parle en Toscane et la langue que les Italiens doivent
parler
, je ne m’étendrai pas sur ces deux romans. Leur m
bloc de briques ou de pierres où chaque âge a maçonné ses vestiges. »
Parler
de la Ville Éternelle n’est donc plus un lieu com
et de reconstituer, le quadrige « très splendide » d’Herculanum dont
parle
Winckelmann. Par l’étude méticuleuse des restes d
paradigmes choisis le long de son chemin, sur le fleuve du Temps. Il
parle
des pays et de l’âme des pays qui ont frappé son
ences Modernes de Bocca frères, à Turin, son Histoire des Romains. Je
parlerai
dans une prochaine chronique de cet ouvrage très
contestables pour l’intelligence psychologique du sujet, si l’on peut
parler
de psychologie dans l’étude d’un cas qui n’a pres
Labicana, a été reconnue comme celle de la villa de Jules César, dont
parle
Suétone, où le grand conquérant fit son testament
iò si chiama. « La Pittura, Poetica che tace » « Poetica, Pittura che
parla
» Arme
tière les abritent, et au toucher délicat d’une âme elles revivent et
parlent
à l’amie visiteuse. « Je chanterai la Primavera,
bas on n’enseignait pas même le nom de Carpeaux. Si Medardo avait ouï
parler
de Bonnington, il ignorait complètement Manet et
n véritable observateur et très juste. L’auteur napolitain n’a pas pu
parler
du goût du peuple pour toute espèce de vol domest
onné par le gouvernement. Ils aimaient beaucoup le roi Ferdinand, qui
parlait
leur langue qui est pleine de vivacité, de comiqu
ielmi et Anfossi sont ceux de ses disciples qui ont eu un nom. (Il ne
parle
pas de Cimarosa !… C’est qu’en 1803 il ne fallait
’épouser. Les Napolitaines sont les premières épouseuses du monde. Je
parle
des filles honnêtes. Elles se livrent à tout, exc
ligible for her ; chez une femme accoutumée à comprendre ceux qui lui
parlent
au premier mot, cela dut produire froideur. 1813.
iz) ; lire leurs préfaces et notes. [Le 19, son père, après dîner, me
parle
du départ devant elle. Tristesse, non pas sombre
s atteints très gravement. Quelques-uns cumulent, et, non contents de
parler
de l’immortalité de l’âme, en cherchent la preuve
. Les étudiants et les auditrices chuchotaient en le regardant, il ne
parlait
à personne et restait silencieux, un peu solennel
une édition critique comportant des notes et des éclaircissements. On
parle
pour ce travail d’un jeune écrivain qui s’est fai
n’est pas à la portée de tous, et il est bien peu de gens qui peuvent
parler
avec compétence d’une telle poésie. Ce que l’on p
▲