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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
différentes, les diverses manières de voir la nature ! Cette lettre a paru détestable à A. « Est-ce que vous écririez comme
qui nous est arrivé, elle s’en moquerait comme d’un roman. Cette idée paraît l’avoir frappée. Elle m’a dit ce soir qu’à Novarr
le écrirait notre histoire. Ce matin, elle était vraiment alarmée. Il paraît qu’il y a des affaires d’intérêt entre Turenne et
t de me suivre en France. Elle m’a dit qu’elle détestait l’Italie. Il paraît qu’elle est trop sûre de l’effet produit par elle
re insensible à son mérite, mais une fois qu’on l’a goûté, comme elle paraît seule dans ce genre à Milan il faut rester à ses
ence est utile aux siens. On attend ce grand politique ce soir. Il me paraît probable qu’il n’arrive que demain. En attendant,
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
sez Burckhardt en France. Cet admirateur de la civilisation latine ne paraît sans doute pas assez germanique à nos intellectue
clatent dans les dernières publications de l’écrivain. Ensuite, Eros, paru sous un nom féminin : Gina d’Arco, contient des p
ue de M. Domenico Gnoli ; elle est la première du volume qui vient de paraître . C’est dans Fra Terra ed Astri qu’on retrouve l’é
e lui consacre : Giovanni Maria Guyau e la genesi dell’idea di tempo, parue d’abord dans une double importance. Elle résume n
esque luxueux, vendus à un prix ordinaire, que l’éditeur Laterza fait paraître les œuvres de sa Collection des philosophes class
n de sa Bibliothèque de Sciences et Lettres. Dans cette collection, a paru dernièrement le Problème de la liberté dans la pe
lla vita, B. Lux éditeur, Rome. — La maison Ars Regia, de Milan, fait paraître la traduction italienne de l’œuvre si remarquable
travail, dans son cabinet, où on ne le trouva que le lendemain, est, paraît -il, une pure légende. M. E. Sicardi déclare que c
3 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
le Poète a établi sa demeure. Avec d’Annunzio l’action des hommes ne paraît plus isolée dans la nature, et ne se déroule pas
Gabriel d’Annunzio. Une nouvelle édition, richement décorée, vient de paraître , alourdie par la traduction latine que M. Cesare
e de Titta fit des poèmes romains de M. d’Annunzio. Lorsque ce volume parut , le grand public ne l’aperçut presque point. La p
ele d’Annunzio : Prose Scelte ; Fr. Treves, Milan De M. d’Annunzio paraissent aussi, recueillis dans le volume Prose scelte, de
vre d’une très grande importance sociale est celui que vient de faire paraître M. Angelo Mosso. Il contient des essais sous le l
; Istituto Italiano d’Arti Grafiche. Bergame De Mme Grazia Deledda paraissent en français un recueil de nouvelles : Les Tentati
e de la langue, et en chantant l’antique gloire de la Patrie commune, parut unifier selon une formule simplement italienne le
ré à la mémoire de M. Domenico Milelli. — M. Alfredo di Collalto fait paraître à la librairie Roux et Viarengo (Turin) un gros p
merveilleuses caricatures. Une autre édition rare est celle que fait paraître la maison anglaise Methuen and Cie, exacte reprod
trer que les paroles absentes étaient suffisamment connues pour qu’il parût inutile de les transcrire, et ces mélodies popula
ée absolument dans les mémoires. L’observation de M. Brenet peut donc paraître , à tout le moins, généraliser à l’excès une proba
scène touchante voisine de celles inventées par notre grand Fouquet, paraissait à l’Exposition. Carlo Crivelli et son école au co
ec un grand amour et une très sûre compétence. M. Adolfo Venturi fait paraître le quatrième volume de son Histoire de l’Art ital
iorentina nel Seicento, R. Bemporad, Florence De M. Gaetano Imbert paraît un beau volume sur la Vie Florentine au xviie  si
partie de la production italienne… Cependant quelques bons livres ont paru dernièrement, romans et poèmes, d’écrivains connu
înés ou révèlent quelques tendances des jeunes. M. Luigi Capuana fait paraître un roman délicieux, un original conte de fée, qu’
erto Orsi : La Donna nuda, Renzo Streglio, Turin. — Chez Calmann-Lévy paraît le beau et profond roman : l’Amour triomphe ! de
ette occasion pour acquitter, sous les espèces d’un excellent article paru dans Petit Bleu, une partie de la dette de reconn
Beltramelli : Il Cantico, Fr. Treves, Milan Un livre, qui vient de paraître à Milan, me permet cette fois-ci de commencer ave
tro (vol. III), Remo Sandron, Palerme Deux volumes qui viennent de paraître montrent quel est l’état de la compréhension théâ
Collection de la Vita Letteraria, dirigée par M. A. M. Granelli, fait paraître une pièce de M. Domenico Milelli, C’ero anch’io.
et Cie, Rome. — L’Institut Italien des Arts Graphiques (Bergame) fait paraître dans la superbe collection de l’Italia-Artistica
de la Bibliothèque de Rome appartient à la troisième édition de 1826 parue chez Delaunay. La quatrième édition de Rome, Napl
parue chez Delaunay. La quatrième édition de Rome, Naples, Florence, parue chez Michel Lévy frères, à Paris, en 1854, contie
ur sous par des républiques héroïques, il est simple que leur produit paraisse sublime à des âmes étiolées par la plate… comme R
prime-le donc. Quelques modifications, parmi celles citées ici, ont paru dans l’édition de 1854, mais, comme je l’ai déjà
la nouveauté qu’on ne saurait nier dans l’Art. En d’autres termes, il paraît que ce que les artistes tiraient autrefois direct
s riches collections de l’Istituto Italiano d’Arti Grafiche (Bergame) paraît l’étude de Mme Elena Rossetti-Angeli sur son gran
uté de ses illustrations, peut être considéré comme le plus important paru sur le grand peintre préraphaëlite. — Umberto Bia
i dénonce le Saint comme un plagiat en règle de The Master Christian, paru à Londres, chez Methuen et Cie, en 1900. Tome
acré par René Pinon à l’Empire de la Méditerranée, recueil d’articles parus dans la Revue des Deux-Mondes et mis au point pou
combinaison des éléments d’art, et cette part, si importante qu’elle paraisse , est peu en comparaison de l’apport des artistes
Fiesole, parmi les plus importants que l’auteur ait écrits sur l’art, parut en trois volumes, de 1851 à 1853. Pour Ruskin les
Mascagni valut une popularité sans précédent. Mes petites adaptations parurent pour la première fois dans la Jeune Belgique, cet
r l’y faire imprimer. On me conseille de vous prier de l’annoncer. Il paraîtra en 2 vol. in-8° à la fin de 1812. « Si l’article
nuscrit que pour y travailler en chemin. Pour singulière qu’elle nous paraisse , l’idée était bien stendhalienne. Mais elle manqu
e impériale ne devaient pas rester sur l’œuvre définitive. Quand elle paraîtra , la morte et la vivante seront oubliées, et rempl
nt à son propos quantité de lettres. Le livre s’achève, s’imprime, va paraître . Pourquoi ? On peut dire que ce livre était mûr d
éditera encore une refonte complète le 4 avril 1830, vers le temps où paraît le Rouge et le Noir. Et le roman ne fut peut-être
 B. A. A., qui ne pouvaient le compromettre. Et si, le livre une fois paru , il se sent pris d’affection pour cet enfant qui
la chance, de risquer une aventure sans conséquence et anonyme, ne me paraît pas suffisant pour expliquer un travail aussi sér
l’idée du livre, se confond avec tous les détails de la publication, paraît et reparaît entre toutes les discussions sur le f
gagne-pain. Et voici pourquoi, apparemment, l’Histoire de la Peinture parut enfin en 1817, après six ans de gestation, et tan
e gestation, et tant de menaces d’avortement. Aussi, dès que le livre parut , Beyle s’ingénie pour le faire vendre. Il montre,
t de la lettre à Crozet, du 28 septembre 1816. Une partie seulement a paru dans les Souv. d’égot.) Un mois après, il se décl
milliers de francs35. Tant d’inquiétudes d’argent avant que le livre paraisse , tant de soins commerciaux quand il a paru renden
ent avant que le livre paraisse, tant de soins commerciaux quand il a paru rendent, il me semble, assez clairs les motifs qu
tableau pour une œuvre du Guercino (qu’il appelle Guerchino), et cela paraîtrait singulier, si l’on ne voyait ensuite que le nom m
4 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
nvier 1905, p. 160-168 [167-168]. Une revue internationale de poésie paraîtra dans les premiers jours de janvier, à Milan sous
est fondé. Son titre est un titre de guerre. Il Campo (le Camp) et il paraît chez un des plus grands éditeurs de l’Italie, la
coupés pour entrer dans des cadres prétendus de leur époque ; car il paraît que M. Adolfo Venturi voulait surtout se faire re
gerie de ce paysage sarde. Aux premiers rayons du soleil, les chaumes parurent se changer en grand tapis d’or, où les chardons s
it. Don Elia était beau et séduisant ; il avait vingt ans, mais il en paraissait seize, le teint blanc, pâle, avec des cheveux et
cent soixante-douze. Antine ne répondit pas, et don Elia, lui aussi, parut embarrassé ! Après un long silence seulement il s
vait entendu ; et cependant ce discours, ainsi prononcé par Elia, lui paraissait naturel et vrai. Ah ! oui, ce devrait être cela,
écria Antine abasourdi. — Mais comment a-t-elle réussi ? Quand ? — Il paraît qu’elle a réussi tout de suite, mais, dès qu’ils
qu’ils se sont aperçus du sort, ils ont voulu cacher la nouvelle. Il paraît qu’ils ont cherché tous les remèdes pour conjurer
ouvelles. — Il n’a pas d’argent : le patron ne lui en envoie plus. Il paraît qu’il n’en a pas même pour lui, parce que personn
ne dormait pas. Le jour, il attendait avec angoisse le moment où Elia paraîtrait , et il n’osait pas quitter les alentours de la be
pensées se mêlèrent, le fleuve, le ciel, la terre, toutes choses lui parurent encore plus voilées et sombres qu’elles ne lui se
tribution du musée de Douai est quelque peu hasardée, celle du Louvre paraît juste. L’artiste a signé l’un de ses tableaux auj
Italie, est un bienfait. Cette affirmation, si cruelle qu’elle puisse paraître , trouve l’atténuation de sa cruauté dans la fatal
mble résumer à lui seul une grande tendance contemporaine qui le fait paraître original et fort. M. Giovanni Cena, un jeune, a p
um Romain et la Voie Sacrée, Plon, 20 fr. Chez Plon, nous avons vu paraître en même temps le Forum Romain et la Voie Sacrée,
her de Saint-Marc, à Venise. L’Archithéâtre de M. D’Annunzio Il paraît que l’« Arciteatro » que Gabriel d’Annunzio pensa
es sentiments est d’une monotone convention, l’expression élégante ne paraît être le fruit que d’un vain exercice littéraire.
t sur une tragédie qui aura pour titre : le Dieu chassé, où le Poète, paraît -il, rendra un hommage à ce qu’on appelle « les vi
tuer, par Gabriele d’Annunzio fils, un jeune homme de vingt ans, qui paraît admirablement doué pour la scène tragique et qui
lmo Ferrero, vient de publier, dans notre langue, le deuxième volume. Paru vers la fin de l’année dernière, le premier volum
a manière un peu trop spirituelle de M. Gaston Boissier, que l’auteur paraît admirer beaucoup, ce en quoi, du reste, il n’a pa
le sujet un ouvrage plus important, — où l’illustration d’ailleurs me paraîtrait indispensable — et qui rendrait, surtout, pour l’
. Tome LVII, numéro 198, 15 septembre 1905, p. 161-181. I Quand parurent les Méditations, Charles Loyson, qui fut un des p
de l’Académie française et descendant de Pontus de Thiard, avait fait paraître , dès 1762, une version en prose de la première de
nce n’est pas plus grande d’Evirallin à Elvire15. Cependant Lamartine paraît avoir hésité à prendre le titre de Méditations 16
une ode remarquable17. Or, comme ses deux recueils de poésies avaient paru en 1817 et en 1819, qu’ils avaient fait un certai
ne l’eussent fait les poésies d’André (Chénier) quand elles auraient paru dix ans plus tôt27. » En effet, Lamartine écriva
t29. » Voilà pour les premières Méditations. Quant aux secondes, qui parurent trois ans plus tard, lorsque Lamartine était en I
Lamartine et M. Casimir Delavigne ont publiées sur le même sujet nous paraissent bien inférieures à l’ode de Manzoni. Tout est gra
agonie Devant l’éternité seul avec son génie, Son regard vers le ciel parut se soulever, Le signe rédempteur toucha son front
qu’il lui prit fut la division de son poème par couplets39. Que s’il paraît avoir emprunté si peu aux étrangers dont il s’éta
nest-Charles s’embarrassa, rougit, et il finit par déclarer qu’il lui paraissait très naturel qu’un écrivain célèbre comme Zola eû
t ainsi à elle les sympathies catholiques, la maison de Savoie. Il ne paraît pas, humainement parlant, qu’une telle solution s
cun, et ces imaginations hantaient même l’esprit des gouvernants : il paraît bien que Crispi ait été sincère quand il affecta
nt ces années, détaille en particulier l’aventure africaine. L’auteur paraît s’être servi des mémoires du général Baratieri et
Il Santo (le Saint), qui aura, je crois, très prochainement l’heur de paraître dans le solennel péristyle de la Revue des Deux M
pation catholique hante les rêves et déforme l’art. Le roman vient de paraître , et l’événement a été salué par toutes les trompe
oire, se mêlent dans une foule compacte, et aucun d’entre eux ne nous paraît aujourd’hui montrer une face plus lumineuse, une
point d’écoles, presque point de groupes. Cependant de beaux talents paraissent assez forts pour nous retenir, nous charmer, et n
, Milan Les éditeurs Roux et Viarengo, de Turin, viennent de faire paraître la première traduction intégrale italienne de Rom
grand et très réel intérêt pour les esthètes néo-romains. A Paris, a paru la traduction du Roland furieux, par M. Hector La
05, p. 645-650 [649]. Une nouvelle revue italienne, le Rinascimento, paraît à Milan (Libreria editrice Lombarda, de MM. Mohr
s images. Un exemple caractéristique : dans sa réponse à Némésis, qui parut dans le Mercure de France du 9 juillet 1831, la s
    Ésaü de la liberté ? 16. C’est le 24 août 1818 que nous voyons paraître pour la première fois le mot de Méditations dans
t alors d’autre titre que Méditation huitième. 17. L’Allée d’Ossian parut dans le Lycée français, année 1820, t. III, p. 45
à son tour une de ses dernières poésies, celle de l’Enthousiasme, qui parut dans le Lycée français au mois de mai 1820. On n’
5 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
Canaletto et les indications de Manet, les tableaux de M. Morrice me paraissent seuls rendre quelque chose de la ville de la lumi
nte, tout simplement avec le résumé des articles innombrables qui ont paru ce mois-ci sur la tragédie de D’Annunzio. Mais je
lamaient toute l’attention, et ces deux personnages sur l’avant-scène paraissaient des intrus dont les soupirs gâtaient l’effet du f
, dont plusieurs, comme les étoffes et les joyaux, ont l’âge qu’elles paraissent  ! (Les jolies femmes de chambre aussi.) Mais tout
utés poétiques et littéraires, d’avoir sous les yeux la Tragédie, qui paraîtra , comme d’habitude, à la Maison Treves, de Milan.
Naples, d’autres revues sont en formation à Rome et à Milan qui vont paraître prochainement avec un programme d’art et de litté
droit de ne pas en avoir par le raisonnement. Horreur ! Cette œuvre, parue en double, est cependant le chef-d’œuvre de Dmitr
io, Corradini, Butti, travaillent pour la scène ; Fogazzaro même, qui paraissait indifférent à cette vogue, vient de présenter au
ico Corradini : je me réserve de revenir sur l’argument, car le drame paraîtra aussi en volume. Le dernier livre de Guglielm
puis son roman Il Vecchio, qui remonte à cinq ou six ans, il n’a fait paraître que ses relations de voyage, où on trouve toujour
ntenant il met le comble à cette enviable agilité d’esprit en faisant paraître ce recueil de nouvelles qui ont le pouvoir d’amus
ti Dans une édition superbe de la Rassegna Internationale vient de paraître ce Giulio Cesare, par Enrico Corradini, dont j’ai
xcessivement notable lorsque tous les volumes qui la composent auront paru et il sera plus aisé d’en essayer un compte-rendu
e sur l’Imperio e le donne dei Cesari. Quoique le nom de cet écrivain paraisse pour la première fois dans ces humbles chroniques
’Empire. Mais cet intérêt devient extraordinaire lorsqu’on voit enfin paraître sur la scène les femmes des Césars, si funestemen
on et d’enseignement sur les Grands Artistes. Trois volumes déjà sont parus  : Watteau, par M. Gabriel Séailles ; Raphaël, par
s les temps condensés en un siècle, et c’est par une fiction qu’elles parurent se réduire au geste d’une seule main. Cela est su
acrant à l’étude des archives du Vatican ; travailleur acharné, il ne parut tout d’abord pas pressé de publier, mais on put a
, mais on put apprécier le résultat de ses patientes recherches quand parurent successivement les divers volumes des Arts à la c
6 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
éciales, parmi lesquels Verga et Capuana). — Du même Capuana vient de paraître chez Pedone-Lauriel, à Palerme, un roman, Il Prof
6, février 1892, p. 179-185 [180-181]. […] Un nouveau giornale d’arte paraît toutes les semaines à Florence ; titre : Germinal
s. « Âgé d’une trentaine d’années, dit M. Bianchi, il a l’œil vif et paraît assez intelligent. Je le vis, dans sa cabane, ass
s littéraires en France ; l’auteur, qui doit être M. Alberto Sormani, paraît bien renseigné et se rend bien compte que la lutt
, elle dit : En ton cœur est montée la concupiscence du mal. Et ne te paraît -il pas que c’est une laide chose pour l’homme jus
tant extrait d’un volume de G. Molmenti : Studi e Ricerche, lequel va paraître à Turin chez L. Roux ; dans la Critica Sociale (1
e Magnis ; la Madone de Signorelli ; un Luini : un Benvenuto Tisi. Il paraît que les fameux greniers du Louvre renferment, sou
st sans la Croix. Cette idée du supplice, il faut le dire en passant, paraît cependant exprimée dans une ancienne mosaïque de
uméro 32, août 1892, p. 366-372 [370]. […] La Cronaca d’Arte cesse de paraître  ; ses services sont, dès ce jour, assurés par la
e 1892, p. 268-275 [274]. Ce recueil de dialogues et monologues a eu, paraît -il, un certain succès ; que dis-je ? un immense s
7 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXI »
eur. Le soleil se levait environné de vapeurs. Les coteaux inférieurs paraissaient des îles au milieu d’une mer de nuées blanches. J
prouvent que mon amour pour Mme P.. Il y a une seule phrase qui a pu paraître ambiguë à l’aimable Angela. Mais je compte la lui
r et à convenir de tout pendant l’absence de the husband, j’ai dû lui paraître dur et pédantesque. Je sentais que je ne paraissa
usband, j’ai dû lui paraître dur et pédantesque. Je sentais que je ne paraissais pas aussi tendre que je l’étais. Mais la crainte
8 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
nsule, l’œuvre entamée en 1848, poursuivie en 1859, en 1866, en 1870, paraîtra incomplète. Et l’on se représente tout de suite p
er avril 1915, p. 776-784 [782-783]. La revue bolonaise Scientia, qui paraissait tous les deux mois, sera mensuelle pendant la dur
lemand G. von Below, de l’Université de Fribourg-en-Brisgau. En mars, paraîtront des articles de MM. Vilfredo Pareto, de l’Univers
ent prêté qu’une médiocre attention ». En effet, jusqu’au moment où a paru ce volume il n’y avait eu aucun ouvrage en anglai
s notes, à l’instar des docteurs allemands. Dois-je l’avouer ? Il m’a paru plus long que les autres, sans doute parce que c’
en de la santé publique et le soin des blessés. Chez Treves, à Milan, paraissent sous le titre générique de Quaderni della Guerra
des événements, si l’on fait abstraction de la côte de l’Adriatique, paraît moins emballé. Dans son volume Lembi di Patria (B
ganisme social. L’activité intellectuelle persiste aussi ; les revues paraissent  ; on y trouve beaucoup moins de rhétorique qu’on
ces envoyées par l’excellent écrivain au Corriere della Sera vient de paraître chez l’éditeur Treves à Milan. Il nous intéresse
re de la Révolution française et de l’Empire. Juillet-septembre 1914 ( paru en avril 1915). […] Octobre-décembre 1914. Robert
s le titre Nous et la guerre. Louant de Robertis de continuer à faire paraître l’édition littéraire de la Voce, Prezzolini dével
personnelle leur donna en ces termes une leçon salutaire. Ce ne nous parut pas chose digne que de se dissiper en vaines imag
, il se sent simplement l’égal de n’importe quel citoyen et qu’il lui paraît chose illicite de se prévaloir d’une autorité acq
crire, et d’ailleurs, M. Welschinger, dans sa brochure de cent pages, paraît avoir écrit sur ce chapitre tout ce qu’on en peut
ra après la guerre, d’autre part, par orgueil national, pour qu’il ne paraisse pas que la guerre ait fait perdre la tête à tout
rnier moment, elle a offert quoi ? L’île de Chypre. Mais Chypre doit paraître une offre dérisoire à qui vise à Constantinople e
9 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
nettoyer et vous présenter dans le monde. Vous étiez assez malpropre, paraît -il. Dans son travail de nettoyage, il vous a parf
r un autre de son goût. Il avait son goût, cet homme, il vous aurait, paraît -il, parfois présenté sous un costume ridicule, un
lo y Mori en Espagne, qui n’utilise pas les Mémoires parce qu’ils lui paraissent faux ; c’est Azevedo, historien portugais, qui pr
û être changé, quel après-midi d’impatience ! Je l’attendais, elle ne paraissait point : quelque retard ? une visite imprévue ? El
don de m’exciter à ce point-là. Mes meilleures heures — celles qui me paraissaient alors les meilleures, car, maintenant que je suis
is tant souffrir, mais pendant lesquels je vivais si ardemment, ne me paraissent pas moins beaux — mes meilleures heures, c’étaien
œurs avaient à se dire ; et nos interminables baisers ne nous avaient paru durer qu’un éclair. Mais comment faire ? Comment
er, à un étranger inconnu et de moyenne fortune. Le propos lui en eût paru baroque et insultant. Notre situation nous sembla
fond de la maison, des profondeurs muettes de la maison, un bruit me parut se lever. On eût dit que quelqu’un marchait. J’en
je croyais avoir affaire à des voleurs… Pendant ce monologue, qui me parut étrangement long, j’avais exécuté machinalement c
ardai si celle de Lina était ouverte, comme chaque matin. Elle allait paraître  ; elle allait me jeter un regard ardent et tendre
otidienne, le ciel était pur, le soleil rayonnant : mais tout cela me paraissait triste et sans raison d’être. Point de doute, ell
rchais à le cacher… Comme cinq heures sonnaient, le marquis di Baiano parut . Il était vêtu avec coquetterie et me sembla plus
oitié du jour, sans doute, en avais-je frôlé un. Aujourd’hui, tout me paraissait favorable, je n’avais point d’inquiétude. La fenê
toutes les choses couleur de bonheur. Mais, malgré que la conjoncture parût bien sérieuse, je ne pouvais m’empêcher de rire d
ns la conduite du marquis quelque chose d’invraisemblable, et cela me paraissait d’une fantaisie un peu vive. En vérité, j’étais c
is bien pour l’avoir souvent rencontrée dans la rue accompagnant Lina parut , à laquelle le marquis donna l’ordre d’aller cher
ar les autorités ecclésiastiques et par les autres. Ces formalités me paraissaient s’introduire là où elles n’avaient que faire. L’a
toutes ces souffrances qui, à présent qu’elles m’étaient retirées, me paraissaient pareilles aux plus grandes délices !… Cependant,
sentiment d’avoir commis une grande faute en se donnant à moi, il lui paraissait injuste que cette faute la rendît heureuse. Elle
es mots de leur goût et qu’on se répéta. Enfin mon futur beau-père me parut enchanté. Lina était plus amoureuse encore, parce
me de Lina vibrait, elle sentait la beauté. Et ce pays admirable, qui paraissait être le sien, dont elle semblait l’expression et
de quelques ouvrages comme la Puttana errante, etc., auxquels il lui paraît impossible que le Divin n’ait pas mis la main. Da
ssionnée de, soi-même donnée avec prodigalité à son roman l’Automate, paru en français aux éditions du Mercure, il mesura so
Cola di Rienzo. Deux biographies extrêmement littéraires viennent de paraître sur ces deux héros de l’histoire italienne. On pe
ie faite par Mme Espinasse-Mongenet ; et M. d’Annunzio vient de faire paraître , précédée d’un prologue de l’auteur, un volume bi
des premières lignes relatives aux deux bergers. Jusqu’ici elles ont paru à peu près incompréhensibles. Les uns y ont vu le
laham (en hébreu, viande) ; 15° Sauf Antiphatès (contradicteur), qui paraît ne présenter aucun sens utilisable, je crois avoi
a stèle) nous dressons sa rame bien faite44. Eh bien ! ce texte, qui paraît étranger à la topographie, n’est pas autre chose
dent de la Méditerranée, à un endroit où les terres du sud et du nord paraissent se rejoindre pour enclore définitivement cette me
ibule et le commencement des funèbres régions ; et, en fait, le récit paraît bien sous-entendre que la navigation océanienne e
trés. D’autre part, l’étymologie grecque de Tartaros, nom de l’Enfer, paraît donnée par la répétition du radical ταρ, qui évei
s mêmes de l’histoire locale, dans les archives du Palais ducal. Cela paraît bien improbable, à l’instant où Musset se meurt e
digieuse (février). […] Zeitschrift für Bücherfreunde (février) fait paraître une étude de M. Walter Graeff sur l’introduction
voir rempli mon devoir à l’égard de ce livre, en appréciant ce qui me paraît être, dans ses pages drues, l’essentiel. Les R
, au théâtre du Châtelet. De la pièce, rien à dire, sinon qu’elle m’a paru n’être qu’un drame romantique à contrastes violen
de Véronèses, qu’il faut bien que vous quittiez l’hôtel, aussitôt que paraît l’aurore, et n’y rentriez qu’à la brune ? Votre m
ure aimable, mais vigilante, de l’autorité militaire. Un seul journal paraît dans la ville : la Nuova Italia, feuille de petit
si mystérieux, éloigné de toute influence civilisatrice, au point de paraître plus lointain que les pays les plus éloignés de l
Le but de cette nouvelle revue France-Italie, revue mensuelle, a paru pour la première fois le 1er juillet. Le Comité
nt une étude des plus récentes sur l’unité italienne, un sujet qui ne paraît jamais vieillir. Dans sa préface, M. Thayer nous
encore un moment. On sait que c’est M. Aldo Ravà qui, le premier, fit paraître à Milan, l’an passé, les Lettere di donne a Giaco
urs en éveil devant les possibles fabuleux. Un monôme d’étudiants lui paraît la pittoresque reconstitution d’une généreuse éme
nold. Tome CV, numéro 392, 16 octobre 1913, p. 835-841 [835-837]. Il paraît que les Joyaux de la Madone ont eu beaucoup de su
i, rallié de l’année dernière au futurisme, rédige, dans Lacerba, qui paraît à Florence, un Journal de bord qui lui a valu de
ui est un peintre futuriste dont ses amis disent beaucoup de bien, me paraît être encore le futuriste dont l’estomac est le pl
se trouvaient, plaisanterie d’un goût douteux, deux dames charmantes, paraît -il, et qui sont de ferventes adeptes de l’amour l
un très copieux volume. On pourra d’ailleurs s’en convaincre lorsque paraîtra la Bibliothèque d’ensemble que préparent, avec un
riginairement publiée en allemand, traduction de G. de Schutz, et qui parut de 1822 à 1828. Peut-être, grâce à l’Intermédiair
es grecques. Un petit instrument pointu en bronze, d’un type inconnu, paraît être un cure-ongles. Une inscription en caractère
dis un jour parler de ses jeunes années et ce récit d’un pérégrin m’a paru assez saisissant et assez savoureux pour que j’ai
alité, italienne, à laquelle on sacrifie pour se donner les moyens de paraître  ; le caractère vindicatif des habitants, d’après
e. — Ajoutons, pour être impartial, que, depuis 1910, Portoferraio a, paraît -il, sa statue de Napoléon. 42. Il est vrai que l
10 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
ait née avec des intentions excessivement éclectiques, avait cessé de paraître . Devenue « moteur du Futurisme », elle aurait dû
oursuivi en justice deux écrivains pour des articles qui offensaient, paraît -il, la pudeur et la religion. L’école a soulevé d
CVII, numéro 399, 1er février 1914, p. 661-666 [661-664]. Il vient de paraître en Italie un Almanacco purgativo pour 1914. Cet A
hologue. — Tu me sembles, par contre, compliquer une situation qui me paraît fort simple. — Tu conclus à un ménage à trois ? —
nsez-vous du mari ? demanda Stella-Lucente. — Je vous répète qu’il me paraît être le plus intéressant des trois. Je l’ai obser
— Oh ! oh !… en effet ! Enea m’a parlé d’une grâce… — Ma demande vous paraîtra singulière et osée. Je la formule cependant.. — J
hante ma mémoire. L’attitude de cette femme et celle de cet homme me parurent tragiques. Nous étions silencieux. Je me pris à r
le. — Je posais. Je ne devais avoir aucune expression. — Tout cela me paraît étrange. Elle reprit son livre. — Vous ne savez p
, parce que tu as été réellement créée pour lui ! Aurora sonna, Beppo parut  : — Reconduisez Mme Ceschini. Dès son retour, Ant
Antonio et devant son père. Il essaya de travailler. Son tableau lui parut terminé, il le plaça dans un vieux cadre en bois
t, en vérité ! Vous ne mangez pas, après votre sortie matinale ! Vous paraissez lasse. N’auriez-vous pas assez dormi ? Il faut do
talités de mon fils ! Quand elle se promenait dans le jardin, elle ne paraissait pas malheureuse ; elle s’occupait des fleurs dont
s’occupait des fleurs dont elle remplissait sa chambre. Oui, elle ne paraissait pas souffrir. Jamais je n’entendis de scènes. Cel
estâmes, jusqu’au crépuscule, derrière cette porte ! Puis, la démente parut s’assoupir. Morga se retira, se trouva face à fac
914, p. 199-205 [205]. […] Les Süddeutsche Monatshefte (février) font paraître une conférence faite à Iena par Oscar Bulle sur «
é il y a quelques années un très beau livre sur la Savoie, dont il va paraître une traduction adaptée à Chambéry. Son nouvel ouv
re dans son œuvre les influences de D’Annunzio et de Pascoli. Il leur paraissait incroyable qu’un poète si jeune eût pu n’imiter p
crire, d’un ouvrage de Giuseppe Carpani : Le Haydine, ovvero lettere… paru deux ans avant. On trouvera, à l’appendice, la cu
hénomènes, l’auteur conclut en faveur de l’hypothèse spirite, qui lui paraît la plus commode et la plus vraisemblable. L’ouvra
ble. L’ouvrage de M. Bozzano est le premier travail important qui ait paru en français sur cette question. Tome CIX, num
peut aisément nous décevoir par certaine inconsistance spécifique qui paraît décidément particulière à nos voisins ultramontai
édition annotée sur le texte italien de la Divina Commedia, qui aura paru en Amérique. Bien que M. Grandgent soit né aux Ét
de fontaines italiennes, dont je parlerai plus loin, M. Ch. Boussois paraît tout désigné pour la grande médaille, et je serai
ion de Sainte Anne, de Tiepolo, m’a laissé à peu près indifférent. Il paraît qu’il a fallu la croix et la bannière pour faire
une tournure plus littéraire, d’établir enfin l’édition française qui parut de 1826 à 1838, ainsi que nous le disions plus ha
32, huit volumes seulement des Mémoires arrangés par Laforgue avaient paru , quatre à Leipzig et quatre à Paris, ceux-ci chez
les tomes IX et X, qu’il publia en 1837, complétant ses huit volumes parus en 1833… C’est tellement ainsi que le dernier cha
n que suivra Rozez en 1860. — Mais, en 1838, voici que Brockhaus fait paraître à Bruxelles les quatre derniers volumes des Mémoi
toire de Casanova, rompant avec des scrupules professionnels qui nous paraissent excessifs quand il s’agit de littérature plus ou
es (sic), Iphigénie en Aulide, tous sujets qui, à l’époque gluckiste, paraîtront sur la scène de l’Opéra de Paris, Dans les critiq
eur des Mémoires de Goethe. 9. Casanova à Corfou, trois feuilletons parus dans la Duxer Zeitung, nos des 2, 6 et 9 septembr
757 ; puis en brochure par le chevalier de Chastellux, en 1773. Il ne paraît pas que le texte italien ait été publié avant 176
, tout, dans cette composition (il s’agit d’Iphigénie en Aulide), m’a paru dans notre genre… » (Mercure de France, octobre 1
28. Parigi, Presso la Vedova Quillau. Le dixième et dernier volume ne parut qu’en 1769. 29. « M. Calzabigi, étant à Paris,
11 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
’Opéra. Mais M. Destelly, en Guillaume, outre qu’il semblait enrhumé, paraissait marcher sur des œufs et prêtait au rude héros hel
e, et le plus volontiers, d’ordinaire, où il faudrait glisser… Ils ne paraissent pas se douter du désastreux dommage que cause ain
n peu ingrat. Mlle Arné est pour notre Opéra une recrue précieuse. Il paraît qu’elle vient de province. On n’en est point surp
ture italienne. Chaque volume contient un essai sur un écrivain. Sont parus déjà : M. A. Viglio, Gasparo Gozzi ; Gustarelli,
ouveaux poètes. Une autre revue d’avant-garde, Avanscoperta, vient de paraître à Rome. Tome CXX, numéro 451, 1er avril 1917
-anglais de Salonique est constitué, les Italiens ne manquent pas d’y paraître . Ils s’empressent d’autant plus qu’ils ont discer
a vie. Au premier abord, les questions traitées dans ce nouveau livre paraissent assez disparates ; mais rapidement l’enchaînement
’œuvre de l’ancien répertoire, a étonné certains de nos confrères. Il paraît assez singulier, à première vue, que les arrière-
réalisme idéiste, en adoptant l’expression de Remy de Gourmont qui me paraît très exacte3. La hantise de pénétrer, de conquéri
re d’empirisme qui, issu de nos premières recherches réalistes, tend, paraît -il, à cette union des deux esprits d’inventions a
ie tendant à séparer le corps de l’esprit est anti-scientifique et me paraît absurde. L’effort que nous devons faire aujourd’h
facultés physiques et psychiques, maîtrisons l’instinct, car elle me paraît réaliser cet équilibre dont l’artiste a besoin po
ions ». J’appelle l’attention sur cette conclusion de Poincaré qui me paraît intéresser particulièrement les peintres. J’ajout
on d’une œuvre d’art. À cette tendance ultra-individualiste s’oppose, paraît -il, une autre tendance tout à fait impersonnelle,
ne faut s’attarder qu’aux résultats…, les moyens quels qu’ils soient paraîtront toujours honorables, et seront loués de chacun. C
e de l’admirer. Les temps ont changé. Les préceptes de Machiavel nous paraissent exécrables et d’une époque à jamais condamnée. Ce
aribaldien et Bersaglier, ne manquait aucune réunion officielle. Il y paraissait portant la bannière de sa société. Maintenant qu’
et l’on avait parlé de l’installer au Castel Saint-Ange. Pourtant il paraît que l’étroitesse des locaux, qui abritent déjà le
er octobre 1917, p. 437-459. [Présentation] Bien que cela puisse paraître fort étrange, et malgré tout l’intérêt qu’elles p
e Carteggio, en publie quelques autres ; mais ce n’est qu’en 1875 que parut le premier recueil sérieux publié par M. Milanesi
compère le forgeron Lazzero ; quant à sa valeur, sans aucun doute il paraissait excellent et capable de supporter quatre colonnes
u et avoir apprécié celle que votre Grâce m’a écrite. Bien loin de me paraître à peine né comme vous me le dites dans votre lett
nt je dois me conduire envers celui qui a fait la musique. Je tiens à paraître le moins possible ignorant et ingrat. De l’œuvre
e je ne vous ai pas écrit parce que je vous oubliais, ne m’aurait pas paru étrange et ne m’aurait pas étonné. Mais ce n’est
is quelque temps il est tombé dans la prose : deux volumes de contes, parus à peu de distance, témoignent de ses louables eff
ut à fait inconnus aux lecteurs de l’Occident : Poesie Giapponesi. Il paraît qu’au Japon il y a eu aux dernières années un ren
u, il n’a eu ni poète, ni prosateur célèbres. Ce n’est qu’en 1850 que parut une vraie nouveauté : une lettre en ce dialecte,
on service à la mer ne m’ont pas permis de lire avant aujourd’hui, me paraît nécessiter les observations suivantes : Dans son
’est ce dont je fais juge les lecteurs de notre Mercure. M. Cochin me paraît être dans la circonstance plus royaliste que le r
ne contribuait pas à rehausser leur prestige. Combien d’articles ont paru depuis le début de la guerre, mettant en parallèl
l’œuvre quotidienne d’empoisonnement ». Il est aussi grave de laisser paraître un article sournoisement favorable aux propositio
cédant aux mesures de salut imposées par les circonstances. — Elle ne paraît pas avoir été très inquiétée au cours de sa retra
6 décembre 1917, p. 718-732 [724-726]. Au cours d’une étude récemment parue sur le rôle et les ambitions de l’Italie dans la
cirer ses bottes. — Nous arrivons cependant à la conclusion, mais qui paraît plutôt diffuse. Si la guerre finit bien, les nati
s problématiques. Curieux à plus d’un titre toutefois, ce livre était paru avant l’agression qui a rejeté récemment nos alli
della Sera des 27 mai et 7 juillet 1916. 13. Au moment où ces lignes paraîtront , cette discussion n’aura plus, je l’espère, qu’un
12 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
rien d’inquiétant pour l’unité nationale. Quoi qu’il en soit, il nous paraît utile, après une enquête au front, à Rome, à Mila
el Friuli (Le Courrier du Frioul), rédigé par deux prêtres qui, quand parut la note du Pape parlant de l’inutile strage, du m
prisonnier autrichien un ordre d’opérations dont la précision extrême parut à nos amis d’Italie le signe d’une folie, d’une m
uale Villari L’apologue du « Chameau absolu » rapporté ici même a, paraît -il, pour auteur Pasquale Villari qui, au dire de
s par le détail qu’il accumule. Il est d’ailleurs exubérant, comme le paraîtra toujours le caractère italien à côté du nôtre. Lo
a guerre, sur invitation, et d’abord sur le front italien. Mais il me paraît excessif qu’il puisse dire n’avoir rencontré que
e dans les légions envahies ; 4° par la diminution de la natalité qui paraît être de près d’un tiers du nombre normal. Je ne v
ants de plus (je ne compte pas les 400.000 immigrés allemands), il me paraît très douteux que sa population pût égaler celle d
et, en mars 1859, un mois avant que le grand-duc fût détrôné, il fit paraître le célèbre opuscule de Celestino Bianchi : Toscan
: en tête des numéros des 20 et 23 novembre 1917 de l’Homme Libre ont paru deux articles intitulés « le Désastre italien » e
e vers allusifs et… salés que personne tout d’abord n’entendit et qui parut fort pieuse. Elle fut peinte sur une large bande
petit chien blanc à longs poils qui jappe furieusement. Les Viennois, paraît -il, ne sont pas contents de s’être laissé enlever
ques années le Caffè Metastasio. Le premier pâtissier, un Suisse, n’y parut qu’un siècle après. Les torréfacteurs de café s’é
Anvers. J’ai relaté ce qui se passait en Belgique, dans des articles parus dans l’Humanité à la fin de 1914 et au commenceme
ro, à la place d’honneur, un formidable article de trois colonnes, et paraissait disposer des confidences de hauts personnages mil
t vaines des polémiques comme celle que perpétue sa lettre du 5 mars, parue dans votre numéro du 1er avril. Je m’abstiendrais
blables, le cas échéant. Une telle attestation, il est vrai, ne peut paraître que suspecte à M. Jacques Mesnil. Celui-ci, faut-
elui que créait le militarisme germanique. M. Treves, dans un article paru en mars dans la Critica Sociale, a constaté la fa
ues de palais et d’églises, des grandes places à peu près désertes où paraissent les façades de basiliques frappées par un jour vi
ciologie générale de Vilfredo Pareto, dont le premier volume vient de paraître . C’est un travail énorme et qui intéressera le le
t lui demanda ses papiers. Ils ne correspondaient pas à l’âge qu’elle paraissait avoir et, comme on avait reçu un télégramme annon
inces assujetties à l’Autrichien. Quand l’Italie se mit en guerre, il parut aux survivants du comité constitué en 1882 que le
d’accord avec M. Orlando, président du Conseil. Cette polémique est, paraît -il, définitivement close à l’heure où nous écrivo
e sur la poitrine et les sourcils sévères, il regardait en dessous et paraissait toiser du regard un adversaire inconnu et redouta
hio dell’ Ora (Rome) qui sont maintenant les seules jeunes revues qui paraissent en Italie. On a fondé deux revues consacrées enti
 écrit M. Armando Tartarini — de chez nous, par la mesquine phobie de paraître rhéteurs et de déplaire aux « maîtres » tudesques
ardo Rosso a aujourd’hui plus de soixante ans. Il a cette verdeur qui paraît l’apanage des hommes de sa génération. Il y a de
liche Rundschau, 12 février 1918. 10. N° du 19 janvier. 11. Il peut paraître bizarre qu’on emploie encore les termes d’interve
us empruntons ce chiffre à un article signé g. s. (Gaetano Salvemini) paru dans l’Unità du 24 août 1918, article que nous ci
brochure du professeur Ettore Romagnoli : L’aurora classica boreale, parue l’an dernier à Bologne chez Zanichelli. Voir auss
13 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
es les scènes d’Italie, notamment à Rome et à Milan. L’auteur la fait paraître maintenant en brochure, et je constate, après lec
ée dans les mains d’un mari insatiable, dont le but unique du mariage paraît être celui de créer une idole magnifique pour sa
enne. Traductions Chez l’éditeur Barbèra, de Florence, vient de paraître en deux volumes la traduction italienne, par Mme 
te de la gloire. D’excellents articles d’économie et de politique qui paraissent dans la Nuova Antologia il ne sied pas de parler
atilde Serao, Suor Giovanna della Croce, dont je reparlerai lorsqu’il paraîtra en volume. Le théâtre de François de Corel inspir
s les coins des respectables maisons bourgeoises : Quo vadis vient de paraître en livraison et en brochure ; Quo vadis est une d
lles on triomphe. J’imagine que les raisonnements de Lombroso peuvent paraître « naturels » au premier degré de l’ébriété. Qu’on
, à l’objectivité : les eunuques règnent. Il faut être conforme ou le paraître sous peine de passer pour un « original » : le ti
elínek]. Tome XXXV, numéro 128, 1er août 1900, p. 559-566 [566]. Ont paru  : […] Scipio Sighele : Co stoleti amirà. Trad. de
t le reste de sa torche dans cette fournaise improvisée. Et l’exemple paraissait si contagieux, parmi cette bande de femmes, qu’el
uler dans leurs gosiers habiles un filet rouge de vin. Chaque exemple paraissait propager sa contagion, et à peine Bicornide eut-e
les mains, tendant le cou, les veines gonflées par l’effort. La fumée parut hésiter devant cette attaque inattendue ; elle se
oix partaient en chœur ; et la voix d’Orphée qui donnait les réponses paraissait être le chant, et entre le chœur et le chant, le
qui ne vous blesse pas ? — demanda Orphée en regardant Bicornide qui paraissait craindre pour lui. — Autre chose, à coup sûr, que
ses compagnes, Stérope parvint à fendre le cercle autour d’Orphée, et parut , tenant une coupe très haute dont les bords se fr
coupe très haute dont les bords se frangeaient de l’écume du vin qui paraissait y fermenter. — Veux-tu y tremper tes lèvres ? dem
veuve, tout est silhouetté d’un dessin ferme et pur. Aussitôt après, paraît l’armée des âmes qui se purifient du péché d’orgu
a soif. Quelques-unes de ces ombres sont si décharnées que leurs yeux paraissent « des chatons privés de leurs pierres ». Leur tro
ingénieurs, les architectes, les financiers, les barbares ? Le danger paraîtra d’autant plus pressant que de nombreuses commissi
es autres puissances se trouvent en collision, la France et la Russie paraissent une même nation, tant leurs intérêts sont nécessa
même et, à l’automne de 1756, Fragonard partait pour Rome, emportant, paraît -il, un dernier avis de Boucher à propos de Raphaë
t-Non a-t-il faites d’après le Fragonard de cette époque ! Basan fait paraître en 1761, les différentes vues dessinées d’après n
A. Butti n’a pas encore débordé dans le catholicisme ; sa religion me paraît du déisme pur, dépourvu des formes, peut-être int
grettable. Les Odes de d’Annunzio et de Pascoli devraient logiquement paraître dans cette grande Revue, et elles y paraissent, a
li devraient logiquement paraître dans cette grande Revue, et elles y paraissent , au contraire, en seconde édition, ou n’y paraiss
evue, et elles y paraissent, au contraire, en seconde édition, ou n’y paraissent pas du tout. Nous n’avons jamais compris pourquoi
certifie de nouveau aux lecteurs (précaution nécessaire, car la chose paraît à peine croyable), que je traduis littéralement e
ésion aux idées de Savonarole. 33. Dans le motif I de l’Enfer, Dante paraît cinq fois. Botticelli avait, d’ailleurs, usé de c
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
parées ici de ces faits, que nous avons exprimés autre part, pourront paraître paradoxales. 1° Le sentiment religieux varie fort
és humaines, telles que nous les connaissons. Même là où l’uniformité paraît le plus fortement établie, la religion est réalit
é plus ou moins différente selon les différentes classes sociales. Il paraît utile pour la société que les principes religieux
st guidé que par des motifs religieux, et pourtant son œuvre actuelle paraît , au point de vue scientifique, ce qu’il y a de pl
tant ce dernier fait, lui, si calme et toujours souriant, s’excite et paraît exaspéré par ce seul souvenir. C’est d’ailleurs c
15 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
supporte bien ses chaînes rigoureuses et, malgré quelques artifices, paraît pur, sans surcharge d’épithètes ; je l’aimerais m
lio, sur les Poèmes de Giovanni Pascoli, le plus beau recueil de vers paru cette année en Italie, et dont les deux qualités
t un bien pour la politique italienne ; mais en attendant, cela ne me paraît pas un mal pour sa carrière d’homme de lettres. M
la Sera de Milan des articles sur la littérature contemporaine ; sans paraître trop profond, ce qui aurait bouleversé les lecteu
que dans laquelle brille la figure de Confalonieri. Le livre, à peine paru , a déjà obtenu un grand succès dans tous les publ
t pas l’intérêt de travaux littéraires inédits, ils auront toutefois, paraît -il, une grande importance relativement à la vie p
ciété du Mercure de France, 1897. Roman sur une courtisane vénitienne paru en feuilleton dans le Mercure de France, d’août à
16 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
nt, forme une poche. Il fait acheter une bible in-folio qui venait de paraître  ; il s’aperçoit que son esponton, placé au dos, d
a fortune sans se déshonorer. Mais il y avait une accusation qui nous paraît beaucoup plus grave et plus sérieuse, et que d’An
les circonstances, semblera invraisemblable en plus d’un point. Il le parut , en effet, aux contemporains de Lechi, ce qui fit
duquel les plus perspicaces devaient s’arrêter. III L’imbroglio paraîtra au lecteur déjà assez compliqué. Mais voici qui n
Journal de prison dans sa poche. Par cette analyse de l’évasion, qui paraîtra peut-être un peu sèche, méticuleuse, et manquer d
ses phrases et ses rythmes, l’esprit de ses contemporains. Leur lutte parut créer à nouveau le magnifique dualisme originaire
e à toute cause anarchiste et que hante perpétuellement la crainte de paraître trop peu « modernes ». Avant que soient arrivés l
gner à blanc pour entretenir une armée et une flotte qui accroissent, paraît -il, le prestige de la nation, mais ne lui rapport
nt, de diriger toute son activité vers l’intérieur, de chercher non à paraître , mais à être une force, de préférer l’effort séri
capitaine Dreyfus. Et elle ne fit aucun retour sur elle-même, elle ne parut pas se demander un seul instant si elle ne commet
pas un Anatole France ; assurément l’on ne pouvait s’attendre à voir paraître des vertus civiques dans l’âme aride d’enchâsseur
s publies étaient interrompus ; à Milan, les journaux mêmes ne purent paraître . C’était la révélation soudaine et terrifiante de
il sera plus séant de signaler la belle étude de M. Ardengo Soffici, parue dans la Voce, sur Auguste Renoir, qu’il considère
tel sujet ne s’y seraient pas plus intéressés au moment du « vient de paraître  », et ne s’y intéresseront en aucun moment. Ceux,
ur égal dans sa puissance, l’ombre tranchée par un éclair qui la fait paraître plus bleue. Nulle part ou ne rêve ainsi, dans un
Dante fût assurément celle désormais d’un homme frappé de chagrin, — paraissent , si je ne me trompe, moins misérables que ne les
ance. Le poète, en lui, renchérissant sur ce bon saint François qu’il paraît avoir adoré, a pu, en passant, s’exprimer comme u
jours tenu en honneur, et excelle. C’est ainsi que les « novellieri » paraissent aujourd’hui plus intéressants, par le nombre comm
onale, est contenue dans les écrits de M. Luigi Orsini, dont vient de paraître le roman l’Allodola. Mais ici nous nous trouvons
ais, due à un écrivain italien distingué, M. Luigi Presutti, vient de paraître à Teramo. On peut juger combien la culture frança
e œuvre aussi intéressante que les Mémoires, il est à désirer de voir paraître enfin une édition absolument conforme au manuscri
qu’on appelle le coup du prisonnier Espagnol, escroquerie à laquelle, paraît -il, sont exposés plusieurs fois par an les consul
Il me demanda si je comptais faire un long séjour à Barcelone, et il parut surpris quand je lui dis qu’avec sa permission j’
l avait bien voulu se prêter une fois, mais qui, en somme, devait lui paraître chose futile. Renseignements pris dans la ville,
ons en admirant ou en dénigrant que le voyage, si romanesque soit-il, paraît presque trop court. Il en est de certaines vision
r Rapi, le professeur, celui qui, dans cette fameuse affaire Cuocolo, paraît avoir joué le principal rôle. J’ignorai qu’il fût
nt-Père ; il en avait altéré le bijou, et la portait en sautoir, pour paraître aux yeux des niais et des ignorants, porter les o
. Il tend cependant à l’imiter, bien qu’une partie de ses réponses me paraisse pourtant fondées. Ce qui l’est peut-être moins, c
que M. Canudo, qui habite dans un hôtel, n’y loge point en garni. Il paraît qu’en effet il est dans ses meubles. Ce sont : un
triotiques, ils m’ont tous pris pour un nationaliste français, ce qui paraîtra infiniment comique à tous les gens qui me connais
us profondément encaissé. Ulysse n’aura que quelques pas à faire pour paraître devant la vierge aux bras blancs. La scène qui su
. Tiepolo s’accroît sans cesse au détriment de celle de Domenico que, paraît -il, on expulserait froidement de sa signature qua
ent dans des conditions particulièrement brillantes. Le surlendemain paraissait dans les mêmes journaux une note émanant, semblai
n point par les mobiles qui la déterminent : le souci de la beauté ne paraît pas sans trahison, et s’il faut, comme dit un con
ment muets… M. Salvatore di Giacomo ajoute un peu plus loin : À qui paraît -il que Casanova a puisé les péripéties les plus i
rès réflexion, et sang nous exagérer l’importance du sujet, il nous a paru qu’il y avait une évidente opportunité à ne pas l
d’avouer que les débuts de l’école symboliste et instrumentiste ne me parurent pas sensiblement plus clairs. Il fut un temps où,
ue celle qu’elles avaient précédemment. M. Rignano cite ce fait, mais paraît l’attribuer à un autre auteur. D’une façon généra
eu connues, tirées de ses manuscrits et de quelques journaux où elles parurent dans le temps. Le volume est précédé d’un court a
encore la pression de la crainte, dont les dispositions de la nature paraissent les vouloir priver, qu’ils réclamaient autrefois
ons déjà signalé ici les cinq premiers fascicules65 ; cinq autres ont paru depuis et ne sont pas moins dignes d’éloges par l
, on avait dû me voir, on avait peut-être surpris un regard qui avait paru indiscret, qui avait effarouché… À Naples, il exi
qu’après avoir vu son chapeau je la verrais elle-même ? Mais elle ne parut pas. J’allai m’asseoir à ma place, dans le cabine
illât la prudence. Je m’installais à mon poste et j’attendais qu’elle parût . Elle ne tardait jamais fort, car elle ne se couc
tenir en haleine son intérêt. Le lendemain, à l’heure à laquelle elle paraissait généralement, j’entrouvris ma fenêtre de façon à
jour-là, afin de me faire un peu désirer. À l’heure habituelle, elle parut  ; elle lança comme la veille un regard vers ma fe
er ma moustache, choisir une tenue d’intérieur qui fût élégante et ne parût point trop recherchée. Quand je fus prêt, après m
is bien, si je pouvais plaire, j’attendis. J’étais ému. J’allais donc paraître aux regards de celle que, depuis tant de jours, j
se rencontrèrent ; je fis les miens les plus indifférents afin de ne paraître pas curieux ou indiscret. Ces yeux qui l’avaient
t elle persistât à laisser sa fenêtre ouverte. Mais ma vie devait lui paraître singulière ; sans doute, se demandait-elle à quoi
nt !… Ce n’était, plus le cas d’attendre et de temporiser… Quand elle parut , je lui souris ; elle répondit à mon sourire, pui
e que tout cela, mais témoignant d’une intelligence entre nous qui me paraissait du plus heureux augure… Bientôt, je m’enhardis ju
mplètent ce paysage de bonheur oriental. Mais la si belle Villa m’eût paru bien plus belle encore si j’y eusse rencontré Psy
dans la rue — elle passa ! Elle était accompagnée d’une femme qui me parut quelque vieille bonne ; — sa nourrice peut-être ?
ruelle. Le matin, heureusement, pas un souffle d’air. Quand ma Psyché parut , toute fraîche, charmante, belle comme un rêve, j
ez larges ! Toute la journée, je vécus dans la fièvre ; les heures me paraissaient interminables. Pour voir si mon projet était réal
; la nuit devenait plus claire. Le crépuscule du matin allait bientôt paraître . Nous nous arrachâmes l’un de l’autre. En passant
ature. Et quelqu’un d’eux fut maître à lui seul d’un potager, qui lui parut toujours si petit ! Voilà des voix, des expressi
17 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
urs rendus inintelligibles » ; — sans que l’un ni l’autre censeur ait paru songer que la seule hyperesthésie de « l’oreille 
ses rivaux ou émules. Pourtant, il n’use pas d’autres ressources ; il paraît ne rien inventer. Il n’est pas le créateur de l’o
[287]. Léonard de Vinci La seule édition des manuscrits du Vinci parue en français jusqu’à ce jour, due à M. Charles Rav
s, etc., et malgré cela, le récent volume Rossetti, par A. C. Benson, paru dans la série des English Men of Letters, ne fera
s du génie il étala l’orgueil naïf poussé jusqu’à l’outrecuidance, il paraît en avoir aussi possédé, au suprême degré, un parf
Un de nos journaux mondains les plus curieux, Verde e Azzurro, qui paraît à Milan, interviewait dernièrement les écrivains
publier simplement les manuscrits des autres, et voilà que récemment paraissait , dans la nouvelle Bibliothèque de la Nuova Antolo
les d’Art célèbres se continue. Rome était un sujet si vaste qu’il ne paraissait pas facile de le faire rentrer dans le cadre rest
lle faces, mais qui est plus simple, beaucoup plus simple qu’il ne le paraît , public facile à saisir pour un écrivain de talen
n’est pas exagéré : ces nouvelles sont très licencieuses, au moins le paraissent -elles, maintenant que nous sommes habitués à plus
Ce spécimen de la comédie italienne du xvie  siècle, que M. Gauthiez paraît priser beaucoup, et que Régnard utilisa, d’après
 Gauthiez est bien près d’être l’œuvre d’histoire la plus remarquable parue depuis longtemps ; la plus remarquable, du moins,
d’enthousiasme, certes, Rome nous envahit de sa vie passée ; il nous paraît légitime qu’elle ait conquis et séduit le monde p
souffrances soient au moins épargnées à ceux qui viennent, elles nous paraîtront moins cruelles. » À côté de cette péremptoire dé
nouveau roman en tout digne du grand romantique. Lorsque les Fiancés parurent , en 1827, l’Italie frémissait d’une volonté rebel
euse, devenue aujourd’hui extrêmement rare. Douze volumes en devaient paraître . Elle s’appelait du nom dantesque et fastueux : I
s premiers mois de cette année dans un article de M. E.-F. da Verona, paru dans le n° 26 du Tour du Monde (Les dernières fou
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
that I expected . J’étais à leur hauteur il y a quelques années ; il paraît que I have made some miles on the River of the Kn
miles on the River of the Knowing. Gaming et Louy. Bar. et Lam. m’ont paru manquer d’esprit. Il en est de même de Béat… Hier
onnaître ces dames et y fait 10 minutes de conversation. Cela ne leur paraît pas étrange. Civilisation moins avancée. J’écris
19 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
centuent ou excitent le réveil de la conscience artistique nationale, paraît -il. Leurs trompes, plutôt que des voix rauques et
par M. Hector Lacoche, le traducteur du Roland furieux de l’Arioste, paraîtront bientôt en France. Il faudra revenir sur l’œuvre
le petit volume sur Giosuè Carducci, que M. Pierre de Bouchaud a fait paraître chez Sansot, et où, en dehors de quelques légères
ge : La Vittima Deux femmes, Mmes Sibilla Aleramo et Sfinge, font paraître deux romans qui présentent des analogies très gra
rtes à l’activité d’une femme de la société ne sont point nombreuses, paraît -il, les protagonistes de ces deux romans aboutiss
osé avec tant de puissance logique et esthétique dans les deux romans parus de sa Trilogie de l’Amour et de la Mort. La femme
20 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
l’auteur. Nous extrayons de ces volumes quelques pages, qui nous ont paru particulièrement curieuses sur des peintres et de
à l’infini comme pour l’anatomiser (9). Mais les œuvres de nature lui paraissent plus dignes que les paroles. « Entre l’œuvre huma
tilité (67). » Ainsi la marque de la haute humanité, aristie, élite, paraîtra dans son rôle altruiste. Nul ne vaudra par lui-mê
nt littéraire, habitué aux grands effets des écrivains, ces principes paraissent d’une banalité et d’une insignifiance dérisoires 
ler ce paysage éminemment classique, dont chaque ligne, chaque touche paraît avoir été prise sur la palette de la civilisation
figure du Napolitain. S’il ne l’a pas fait, c’est que le paradoxe eût paru trop violent. Mais il a dû souvent y penser, car
la question de l’authenticité des Mémoires par une note interrogative parue précisément dans l’Intermédiaire vers 1867. Il pu
rge à l’autre. La société italienne qui se trouvait dans la salle m’a paru se plaire beaucoup à ces ébats rustiques et un pe
vitriole son amant. Je ne sais pas si c’est l’âge, mais la passion me paraît décidément avoir partout ses inconvénients. Chez
ent symbolistes. Si incroyable, et surtout si inutile que cela puisse paraître , le symbolisme, importé en Italie par M. d’Annunz
Lausanne, dont le public français connaît les travaux, vient de faire paraître un livre : Recherches sur les Paysans (Ricerche s
e par Juste d’Allemagne ; c’est enfin la cathédrale, San Lorenzo, qui paraîtrait sans doute une piètre bicoque à côté des monument
aut ajouter du reste qu’on retrouve dans la ville, comme à Vérone et, paraît -il, dans toute l’Italie du Nord, la décoration po
le. Ses chefs-d’œuvre, le Colleone, l’Incrédulité de saint Thomas 11, paraissent d’une beauté sobre. Tous les détails pourtant ont
tement le pinceau, et que quelques-unes de leurs œuvres de début nous paraissent encore des chefs-d’œuvre ! Mais c’est desservir L
l ». Il continue à peindre pendant toute sa vie. M. Marcel Reymond me paraît avoir mieux interprété le texte de Vasari12 : Ver
écrit sur ce groupe, si l’on met à part Gaudenzio Ferrari, et il m’a paru assez intéressant de remettre en lumière ces arti
, et la confusion entre ces travaux et ceux d’un primitif français ne paraît guère possible, ainsi que cela a pu se produire p
. Aussi est-il bien naturel que le premier ouvrage littéraire qui ait paru sous son nom soit une traduction universellement
i nouveau et si spécial, d’une facture si sûre et si personnelle, ont paru , pour la première fois, en 1870, dans le recueil
ta, l’amenda, y ajouta quelques poèmes nouveaux, et c’est ainsi qu’il parut , enfin, en 1870. Peu de livres ont obtenu du publ
beur de peintre, il reprit, il compléta son travail poétique. En 1881 parut l’édition complète, en deux volumes, le premier i
érance ! SONNET XCIX. La Mort nouveau-née. Aujourd’hui la Mort me paraît un petit enfant Que, lassée, la Vie, sa mère, sur
te compréhension musicale moderne. L’étude sur Ariane et Barbebleue a paru dans la Rivista Musicale. On peut remarquer, avan
r ; tel autre, sur le mouvement de la terre, à Galilée ; ailleurs, il paraît se douter de la circulation du sang ; puis, il in
Paladino. C’est sans aucun doute le recueil le plus important qui ait paru sur ce fameux médium. M. Morselli affirme l’authe
e, qu’il discute à fond du reste. L’attitude observée par M. Morselli paraît être la bonne. La plupart des phénomènes psychiqu
éatrice Portinari. Mais voici ce qui s’est passé : lorsque Dante fit paraître sa Vita nuova, il était peu connu comme écrivain,
nt en son honneur, ce qui est un des plus grands hommages que puisse, paraît -il, rendre l’humanité civilisée à une gloire de l
[559]. Cœnobium, la revue d’études philosophiques et religieuses qui paraît depuis deux ans, en français et en italien, à Lug
peintre et critique d’art. Le long poème Venere Agreste, qui vient de paraître , le révèle poète, et grand poète. Il faut naturel
, il y a quelque temps, une nouvelle de M. Zuccoli : Pasquina et Pif, parue dans la Nuova Antologia. L’émotion profonde, le p
œuvres spirituelles qu’on attribue au protestantisme, et devant qu’il parût . Que ces œuvres aient été souhaitables, licites,
tte et sainte Catherine de Sienne. En 1523, un opuscule du dominicain parut avec une préface de l’agitateur saxon où il salua
Pulci en miniature paradisiaque de Fra Angelico ! Saint François, qui parut au peuple comme un second Jésus, qui était thauma
ici des vers de M. Jules Romains, extraits du Commencement d’un poème paru dans Poesia (juillet), qui sont très représentati
tituer l’état naturel de notre espèce, comme le fait de respirer nous paraît constituer l’état naturel de notre organisme phys
servation, du comique, et loin de mériter les épithètes des sectaires paraîtrait fade à notre Comédie-Française. Un mot suffit à a
eçoit son directeur, M. Marinetti, à propos de ses ouvrages récemment parus en librairie. Et cela sera continué au prochain n
M. Boulenger avait déjà fait justice d’un pamphlet diffamatoire qui a paru cet été contre le grand poète italien. La presse
21 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
rofferio, que les éditeurs Streglio et Cie de Turin viennent de faire paraître pour le centenaire de la naissance de cet homme é
r soi-même avant les autres. Cela s’est vu ailleurs qu’à Tarascon. Il paraît que la muse de M. Leoncavallo déploya ses premier
s. »  » Dante prête à Hugues Capet ses pensées, et ses pensées ne me paraissent guère bienveillantes. Il est inutile de citer Alf
sous peu. G. D’Annunzio : Le Laudi À la même maison Treves ont paru Le Laudi de Gabriele d’Annunzio. C’est un livre m
ouvelles poésies sont presque toutes le pendant de ces autres qui ont paru il y a plusieurs années dans Myricæ, un livre trè
lque des vives couleurs de l’original. Quand les Mémoires de Casanova parurent , des doutes furent émis sur leur authenticité ; d
icles d’Alessandro d’Ancona sur Un Avventuriere del Secolo XVIII, qui parurent dans la Nuova Antologia du 1er février et du 1er 
-nous que le sujet est métaphysique. Un objet véritablement beau doit paraître beau à tous ceux dont les yeux tomberont dessus.
les pages sont numérotées 104-148 ; et malgré le titre d’Extrait, il paraît contenir, en tous cas, la plus grande partie des
Mascagni et Leoncavallo se manifestent candidement dépourvus. Mais on paraît être bigrement en retard au-delà des Alpes. M. Pu
r M. Arthur Symons. Dans le tome Ier de La Vogue, pages 100 et suiv., parut le Précis de ma vie, publié complètement pour la
e l’a été que là. Cette pièce est unique dans son œuvre. Cependant il paraît , — on l’a su après la catastrophe du Schafberg, —
’établir les variantes : nous avons vu tant de fois depuis Paris 1889 paraître ce motif dans les œuvres exposées par Segantini u
n, tente un curieux, celui de Segantini qui, parmi ceux des peintres, paraîtra au premier abord l’un des plus étranges, à plus a
s d’avoir sa séduction et il faut, la première surprise passée, qu’il paraisse assez amusant pour qu’une femme puisse se complai
ouvelles compositions auprès desquelles tout son travail jusqu’ici ne paraîtra , dit-il, — lui qui ne fit jamais d’études, — que
22 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
ançaise contemporaine et l’’influence étrangère (20 octobre). Flegrea paraît le 5 et le 20 de chaque mois. Tome XXXVII, nu
besoin de cette illusion de l’au-delà que le père a soigneusement et, paraît -il, cruellement empêchée de pousser dans son cœur
’homme de génie survenant et rompant la monotonie de leur cercle leur paraîtrait simplement un imbécile ou mieux un Monsieur en re
nique mérite), lorsqu’on ne lisait que les livres de France, et qu’il paraissait absurde d’attendre quelque chose d’une littératur
n de revenir à ces deux auteurs lorsque les Candidats à l’immortalité paraîtront en volume ; maintenant c’est la Rassegna Internaz
sinon des préfaces… aux livres des autres : plus tard, lorsqu’il fit paraître son roman Miraggio, qui venait après quelques piè
e plus pauvre pêcheur de l’île aura droit à ses richesses. Ce volume, paru , à la librairie Schleicher, a été imprimé à Leipz
souvent cet écrivain souple, fantastique, spirituel. Ses romans, qui paraissent d’avance dans les feuilletons des journaux romain
ire et naturelle gradation, tels de ses écrits en ces derniers genres paraissent légèrement inférieurs au reste de son œuvre. » M
cès, de ses revers et de son abdication. Le caractère de ce souverain paraît avoir frappé M. de Reiset qui lui consacre plusie
23 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
iciels s’occuperont de questions de cet ordre. Tout au plus y voit-on paraître quelques travaux sur l’Islam, ou du moins sur le
it critique et large, fondateur de la Rivista di Studi Religiosi, qui parut de 1901 à 1907, puis fut supprimée sur ordre venu
— la notice de F. Schlichtegroll au t. III pour 1793 de son Nekrolog, paru à Gotha de 1791 à 1806 et la traduction de l’alle
Carpaccio (Hachette, 40 fr.) La librairie Hachette vient de faire paraître une traduction du très bel et fort important ouvr
ent, à la suite d’études et de recherches nombreuses, ces sources ont paru s’étendre de plus en plus, point cachées, au-delà
e gamine, selon Platon. La femme grasse, un peu lourde, des Vénitiens paraît animale dans les tableaux sacrés, à côté de saint
. Nous n’avons qu’un dessin de Léonard fait par un élève, le maître y paraît vieux : mais Raphaël, que lui manque-t-il pour pa
ve, le maître y paraît vieux : mais Raphaël, que lui manque-t-il pour paraître un ange, voire une madone du Perugin ? Et cependa
nt dit les deux Iphigénie, Orphée, Alceste et Armide. M. Tiersot, qui paraît les savoir par cœur, n’est pas moins familier ave
isait écrire à Carducci, dans une préface à une anthologie italienne, parue chez Sansoni à Florence, ces lignes qu’on ne saur
e. Les trésors amoncelés dans cette vieille millionnaire, qui d’abord paraît tristement pauvre, sont incalculables. Le portiqu
es Sept-Douleurs dont la statue en bois, laissée sous un grillage, me paraissait tant souffrir que j’y restais des heures entières
t les yeux demi-fermés. Le corps est tombé au premier plan et le sang paraît devoir jaillir hors du tableau. Toutes les figure
t celle du bourreau qui regarde avec effroi la tête de la victime, et paraît dire à ceux qui l’entourent : « Vous m’avez fait
Sa robe blanche, très légère et très ample, m’effleura. Sa figure me parut très longue et très colorée, mais douce et calme.
et l’art campagnard avaient composé une ordonnance si simple qu’elle paraissait conduite par la flûte de trois notes taillée dans
e des images et des expressions cadencées. Tous vraiment, comme Aldo, paraissent « avoir bu le vin de quatre cents ans dans un de
e Concini montre effectivement, tout au moins, comment les choses qui paraissent les plus énormes (telle l’extraordinaire fortune
e enfin de 1019 ; la cour de Pilate (viiie  s.), avec un bénitier où, paraît -il, le procurateur de Judée se lava les mains apr
ant qu’on peut signaler avec joie des ouvrages et des gestes qui nous paraissent dans ce sens symptomatiques. Sir Olivier Lodge lu
sons sur dix (à 16 marks, composées chacune de dix planches) ont déjà paru . Toutes les écoles y sont représentées par des pi
s. Cette transformation en une sorte de mythe d’une belle ville d’art paraît assez curieuse et assez caractéristique du snobis
x sur les pierres vénitiennes ? À la vérité, on distingue bien ce qui paraît tout de suite incomparable à nos contemporains da
dernier point. Ajoutons tout de suite une raison d’ordre matériel qui paraîtra superficielle au premier abord, mais qui a sa val
de René Boylesve rencontre celle qu’il doit aimer à jamais et qui lui paraît si jeune, si fine, si vibrante dans la lumière do
is dans la Philosophie de Léonard de Vinci d’après ses manuscrits ont paru dans le Mercure de France et les lecteurs de cett
u temps des Antonins ? L’humanité ne change pas tant que ça ! Mais il paraît qu’admettre ici l’influence possible de Sénèque o
24 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
’ancien président du conseil reviendrait sous peu s’installer à Rome, parurent donner corps aux rumeurs répandues de la formatio
o qui rassemble des documents d’inspiration mystique, Cœnobium, avait paru un sien testament spirituel d’adhésion complète à
intemps de 1915, sous le ministère Sonnino-Salandra. M. Giolitti, qui paraît avoir subi, sans s’en douter, le contrecoup des i
’« énervant », je sens que la fameuse « combinazione » de M. Giolitti parut alors bien mesquine ! Il s’agissait bien de finas
tout des enfants sains et heureux. Je renvoie le lecteur à un ouvrage paru avant la guerre et reconnu excellent par beaucoup
ffisante sur notre puissante Alliée. Le premier ouvrage remarquable a paru il y a peu d’années : c’est La nuova Germania, de
le programme du congrès. Mais, pour ce qui regarde le Pontife, il me paraît évident que cette objection peut être éliminée po
xemple, donnèrent une large diffusion à un article du sénateur Valli, paru dans la Nuova Antologia et favorable à l’interven
e autre forme le caractère de Souverain politique ? Les réponses ont paru dans plusieurs numéros de l’intéressante revue et
zzana, où vécut Dante exilé, et dont le monument élevé à Trieste est, paraît -il, souverainement désagréable aux Autrichiens. I
e qui ne manquait pas d’un certain esprit. Dans le livre qui vient de paraître , Mimi Bluette (Milano, Baldini e Castoldi) il a c
tulé la Guerre en Italie et dont le volume En haute montagne vient de paraître . Le caractère principal de la guerre italienne ét
tat d’âme au sein d’une époque qui ne me semble pas moins curieuse, a paru dans le premier numéro de l’Italia futurista qui
ins curieuse, a paru dans le premier numéro de l’Italia futurista qui paraît à Florence. Où est le temps, mon cher Marinetti,
futuriste intitulé l’Irréligion futuriste que vous n’avez jamais fait paraître  ? Mais je me suis demandé en lisant le manifeste
, je préfère la vélocité qui est une déité plus moderne, bien qu’elle paraisse peu se soucier de la durée de la guerre. Nul dout
est à exprimer ces vibrations — combien subtiles ! — que Fogazzaro me paraît avoir le mieux réussi. Est-ce dans la notation de
et les ridicules, dont les pessimistes se détournent, la société lui paraît digne de toutes les rédemptions. C’est l’idéal ch
ploie, la splendeur de ses figures, le charme de ses descriptions, me paraissent dignes de louanges. On ne trouve pas un tel écriv
italien, Enrico Corradini. Dans un de ses livres, la Vita nazionale, paru en 1907, il précisait déjà avec vigueur et nettet
s grande et plus forte. Pour M. Corradini, une seule chose a toujours paru digne d’attention, c’est la possibilité d’une ren
onnée à tous les… profiteurs de guerre : « Je ne voudrais pas laisser paraître ce petit livre sans avertir le lecteur qu’il n’y
25 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
l artiste ; mais il est certes utile de signaler que le récent volume paru contient la reproduction de toutes ses œuvres et
tte sorte fait valoir toute sa beauté : en une plaine nue et plate il paraîtrait froid et monotone, n’engendrerait que l’ennui. Il
e et tout ce qui est construction à ce qui est construit. La ville ne paraît plus être qu’une seule masse, doucement nuancée,
é. Les institutions sociales — quelque défectueuses qu’elles puissent paraître d’un point de vue théorique — ne maintenaient pas
n était de même jadis : les appartements du xve  siècle nous auraient paru , je crois, des plus froids. Très simples, peu orn
rrection. Le caractère pathétique, sombrement interne, de la Passion, paraît mieux convenir au sentiment religieux moderne. Et
umble et insignifiant dans la vie de tous les jours, cet homme était, paraît -il, merveilleux de fierté et de noblesse pendant
e, auquel personne ne fait attention, tant il est fréquent et tant il paraît peu important. Au lieu de cela, nous devrions y v
calcitrante de ses compatriotes. Au cours des vingt années suivantes, parurent quatre autres volumes portant ce même titre, et,
ocial dans la littérature anglaise au xixe  siècle, en même temps que paraissent en traductions françaises les Sept Lampes de l’Ar
avec la collection de l’éditeur Laurens, les Musiciens célèbres. Il y parut plusieurs volumes d’assez disparates teneur et qu
lle bibliothèque d’un Cénobite composée de quarante volumes, vient de paraître en librairie. La farce intellectuelle, très intel
itions, certes point brillantes, du théâtre italien contemporain, ont paru dans la Vita Letteraria (février, Rome) sous la s
celle de Goethe, la conception que se fit de Rome Chateaubriand nous paraît morbide, chrétienne ; mais cette conception a pén
orence, toute la gloire et les plaisirs qu’y trouvaient les siens lui parurent vains et frivoles, comparés au paisible et consta
la célèbre maison d’édition, a donné dernièrement avec les Passagers, parus en librairie chez l’éditeur Ricciardi de Naples,
u scrupuleux. C’est la traduction française d’un de ces volumes qui a paru dernièrement à Paris, sous le titre : Terre Vierg
ps dans l’insouciance. Il passe encore à Barbentane un mois qui lui a paru un jour, tant la compagnie a été agréable et douc
mier volume, consacré aux objets exposés au Musée de Prague, vient de paraître  : Sammlung Lanna, Prag. Iter Band (Leipzig, K.-W.
e Pascoli est complète. Ce sont six beaux volumes, dont cinq ont déjà paru , et celui-ci, le dernier, porte le numéro ordinal
’érudition, ou plus exactement d’exégèse de Dante et de Virgile, fait paraître aussi la IIe chanson du Roi Enzo, la Chanson du P
logie, qui, aux pauvres âmes abruties par une culture hypocrite, doit paraître féroce, est humaine, simple, extrêmement perçante
et j’ai un rire un peu acerbe ; mordre me plaît plus que caresser, et paraître , plus que je ne le sois, superbe. Téresah (Té
pour s’accommoder de semblables gradins ! L’arrivée au premier étage parut à Bélisaire digne d’une étape. Il pria la bonne d
venceau croyait tenir dans ses bras. D’ailleurs, jamais Totila ne lui parut plus douce, ni plus attentive… Quand l’aube leur
Ce ne fut qu’au deuxième étage que le palais, malgré sa solitude, lui parut habité. Il attendit, se promena de long en large 
et de ses mouvements successifs, la genèse de sa fausse manœuvre nous paraît offrir toute la clarté désirable. La place nous f
des « Divisionnistes italiens ». À vrai dire, la prétention n’a point paru très justifiée ; sans nos impressionnistes les di
es Maîtres-chanteurs de Bologne, dont la corporation subsiste encore, paraît -il, avaient, dès 1666, acquis une certaine célébr
toute comprise dans cette cinquième ou sixième étape romantique, que, paraît -il, nous représentons. M. Buzzi veut avec violenc
iffusion de la littérature italienne. M. Guillaume Apollinaire a fait paraître son ouvrage sur le Divin Arétin, faisant suivre s
désormais consulter l’ouvrage que M. Pasquale de Luca vient de faire paraître dans une édition étonnante de documentation. I Li
tion du commerce livresque en Allemagne et en Belgique. Ses articles, parus dans la Nuova Antologia, devraient être médités p
. Cependant, les droits de M. Bideri, éditeur de la traduction Rocca, paraissaient bien établis, non seulement par la lettre de Wild
uit, sur cette tête antique, un savant article de Mrs. Eugénie Strong paru dans la Gazette des Beaux-Arts, du 1er janvier 19
e publique de Minghetti, le Socialisme catholique de Nitti. 17. Il a paru de lui en français les Classes pauvres, Giard et
e partie, consacrée aux dessins du Louvre, est en réalité la première parue  ; le volume ayant trait aux dessins du British Mu
i cite fréquemment les Souvenirs de cet officier, publiés en 1867, ne paraît pas cependant avoir eu connaissance de cette lett
26 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
ême masque social, et celui-ci, point martelé dans l’airain tragique, paraît vraiment pétri dans du papier mâché. Un seul type
éaction que les Visions du Bouddha, de M. Gian-Andrea Esengrini, nous paraissent avoir une certaine importance. Lorsque des livres
Journal d’Italie de Stendhal, jusqu’alors inédit, et qui va bientôt paraître , par les soins de M. Paul Arbelet. Voici le début
ante » Un domestique… lui vint offrir la preuve de son infidélité. Il parut triste : elle en voulut savoir la raison. Il la l
et significatives. La Terre tremblante, de M. Jean Carrère, vient de paraître sous le titre la Terra fremente, consciencieuseme
de ce garçon nous amusait. Il parlait haut, d’une voix décidée et ne paraissait nullement intimidé par le vêtement de mon parent
rcles décrits avec habileté, par des centaines de petites barques qui paraissaient lancées, à la suite l’une de l’autre, dans une po
que été excusables. Les mieux tournés de ceux qui étaient présents ne paraissaient que d’un aspect assez ordinaire, auprès de Giorgi
arbres et les collines étaient ceux de Castelfranco et que les fruits paraissaient naturels. On résolut de ne pas me contrarier et d
plaisait à son maître, dont il suivait docilement les conseils. Il me parut dans d’excellentes dispositions pour jouir de tou
ientifique s’est enrichie d’un volume qu’on ne s’attendait pas à voir paraître dans cette collection, réservée ordinairement à l
as le ciel, qui restait bleu. Une galère suivait le grand canal. Elle paraissait immense, au milieu des embarcations qui s’écartai
ses camarades qui ne l’enviaient point, comme Palma, par exemple. Il paraît qu’un apprenti répondit à Maître Bellini qui lui
ple avec un tel génie, un tel rayonnement d’intelligence et de beauté paraît une insolence aux gens communs et d’un savoir méd
ai envie de crier à ces femmes : « Sortez de vos toiles, quoique vous paraissiez heureuses, au milieu de vos paysages ! vous êtes
rs les cheveux et cela donnait une expression cruelle à ses yeux. Ils paraissaient sombres, mais, après les avoir examinés, on s’ape
n pour le « Re galantuomo » fut une chose de conséquence, puisqu’elle paraît , malheureusement, avoir dominé cette existence d’
lui venait ce précieux trésor ? Paul Mantz, dans un charmant article paru en 1886 dans la Gazette des Beaux-Arts 5, et acco
oua singulièrement de moi ! Seul l’amour du Dante pour sa Béatrice me paraissait aussi grand que le nôtre… et le nôtre était, cepe
i, Lorenzo était parti. Tous deux avec elle. Cette triple trahison me paraissait trop noire ! Vous savez, Seigneur, comme le cœur
s. M. Marinetti a traduit lui-même en italien son volume Destruction, paru à Paris en 1904. On sait que la vigueur et l’élan
des, de ressusciter les morts comme Jésus ressuscita Lazare, de faire paraître à leurs yeux la face du Christ, mais il s’y refus
sses. Son travail fut couronné de succès. Le premier volume qu’il fit paraître , consacré à l’étude de Sienne, est depuis longtem
e de l’ouvrage dont le deuxième tome, consacré à l’époque du baroque, paraîtra — espérons-le — bientôt. Dans un fort et beau vol
certain que les ouvrages de M. Chledowski, dont quelques-uns ont déjà paru en allemand, intéresseraient vivement le public e
table. Le Cri de Paris rapporte à ce propos une anecdote amusante. Il paraît que Mlle Ida Rubinstein ne parvenait pas à pronon
lus illustre poète d’Italie et le plus grand de nos musiciens pouvait paraître séduisante à première vue. Le malheur est qu’elle
aspirations littéraires nationales l’édition richissime qui vient de paraître de La Vita Nova de Dante, illustrée par l’œuvre d
ris. La première édition « préraphaélite » de la Vita Nova avait déjà paru , il y a quelques années, par les soins de M. Anto
ar Aurélien. Récit du combat et description somptueuse du triomphe où paraît la grande captive. Dans la mort de Longin, des di
4 gravures, H. Laurens, 2 fr. 50) Trois autres volumes viennent de paraître dans la collection des Grands Artistes. M. René S
ne indéniable verdeur, et parfois d’un ingénu sentiment populaire. Il paraît avoir fixé une forme, d’ailleurs transitoire, de
ous sommes en Espagne, signalons aussi aux travailleurs le catalogue, paru récemment chez Lacoste à Madrid, des sculptures d
ux, et j’ai oublié leur langue par mépris. » Voilà un mépris qui nous paraît un peu cousin de celui « du renard devant les rai
el débordement de littérature mêlé de tant de divagations57 et à qui, paraît -il, on adressait au Louvre des lettres d’amour, n
le déplacer. Arrivons maintenant aux périls d’incendie : ce sont eux, paraît -il, qui empêchent que des chefs-d’œuvre comme la
iani, et un petit volume de Mme Luigidi San Giusto sur Gaspara Stampa paru dans l’excellente collection « Profili » de l’édi
de Léonard de Vinci et dans la Crise organique de l’Église en France, parus chez l’éditeur Bernard Grasset, de fort précieux
est un article de foi, de science, que celui de ce grand esthéticien, paru dans la Revue Hebdomadaire (9 septembre). Mainte
s nous moquons fort des commentaires et de la documentation : il n’en paraît pas du reste d’extraordinaires : nous voulons la
uelque vingt ans, à cet infécond esthétisme anglais, dont l’influence paraît devoir se renouveler à Paris par la faute de quel
ur ses lecteurs, que je ne sais quel hasard éditorial lui a procurés, paraît -il, nombreux. Dans son nouveau roman : Dans le dé
intentionné ; les jeunes gens qui entrent au séminaire ne respirent, paraît -il, que superstition et paganisme. « Comme ils ne
e respirent, paraît-il, que superstition et paganisme. « Comme ils ne paraissent pas s’en douter, nous devons nous appliquer d’abo
ont été mis hors de cause ; le dernier, qui, à deux reprises, n’a pas paru au Louvre durant quinze jours, sera blâmé par le
soit dans le tableau du départ. » Cette peinture, qui ainsi expliquée paraît avant tout sentimentale et un peu puérile, les fu
nant de ce nom. Il y a le parfum, le corset Mona Lisa. Et personne ne paraît se douter qu’il n’est plus question de la Joconde
, la suppression du sentiment comme catégorie psychologique distincte paraît contestable. M. Croce n’admet en effet que des vo
dées et non les idées qui provoquent des sentiments. Cette thèse nous paraît plus juste que celle de M. B. Croce, qui fait déc
’Illustration théâtrale, 27 mai 1911, celui de Calmann-Lévy ne devant paraître que dans quelques jours. Ces exclamations des Gen
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
lo Conti : Sul Fiume del Tempo, R. Ricciardi, Naples Trois livres, parus presque en même temps, révèlent trois tendances d
et philosophique originale et d’un ordre supérieur, a fait également paraître un volume : le Pilote aveugle, de M. Giovanni Pap
français connaît par ses conférences à la Société de géographie, il a paru aussi un recueil de Proses et Poésies choisies da
28 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
i e Ricerche (Catane, N. Giannotta, éditeur) En un premier volume, paru en 1891, M. A. Amore avait étudié l’art de Bellin
t normal et fécond, patriotique ; les amours qu’il rêve et qu’il fait paraître dans ses œuvres sont de pures conceptions déliran
théories apprises dès l’enfance et rabâchées durant la vie entière — paraissait des plus embarrassantes aux hommes de ce siècle c
leitmotifs ne m’a point du tout choqué. À ce point de vue, Othello me paraît , dans une certaine mesure, démontrer que le leitm
29 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
ttore Zoccoli, à mon avis représente l’étude la plus complète qui ait paru en Italie sur le philosophe allemand. Absolument
de fait, il va très haut et très loin, sans qu’aucune mauvaise chance paraisse assez forte pour le renverser. Un des dessins du
es poésies latines : elle chantait « à voix de syrène » et ne pouvait paraître sans qu’aussitôt sa beauté ne fît sensation. Lion
ns bruit. Au moment où j’écris, cette tragédie moderne n’a pas encore paru en volume : tout en me réservant donc d’en parler
le-Adam et à Mallarmé, qui sont les Trois, notre Trinité. Victor Hugo paraissait — et était véritablement — exceptionnel à donner
ie nos monstres, et c’est pour cela que, écornés par les pierres, ils paraissent encore des monstres, alors que la foule devrait l
Dembowsky, ou encore de ces conspirateurs italiens pour qui Mathilde paraît avoir ressenti, jusqu’à la fin de sa vie, une sym
t désireux d’entendre ce nouveau prophète dont la foi violente devait paraître un extraordinaire phénomène, une chose imprévue e
viiie  siècle. Tomes I et II. Paris, 1830. Imprimerie Cosson — il n’a paru que ces 2 volumes. 2° Édition la seule complète,
e Mercure de France de janvier, et Flegrea du 5 mars. — Cet article a paru en italien dans Flegrea. 3. Combien majestueuse
mo est nulle. Qui n’en tient pas compte ne pèche pas. 9. Savonarole paraissait à ses adversaires dangereux au point de vue polit
es sectateurs d’une religion naissante. En ce sens elle peut en effet paraître faible et tiède. 11. Il avait la certitude d’y p
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVIII »
e que j’ai eue et peut-être que j’aie vue, c’est A., telle qu’elle me paraissait ce soir en promenant avec elle dans les rues à la
it qu’elle faisait peur. Cela est vrai. Elle était animée ce soir. Il paraît qu’elle m’aime. Yesterday and today she has had p
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
ni un maniaque de la tabulature, ni un esprit ingénu. Lorsqu’il nous paraît ridicule, c’est qu’il se moque de nous et son obs
endiant, presque tous les lieux où on parle ma langue natale ; … j’ai paru vil aux yeux de beaucoup et la dépréciation s’éte
s faisons pour un Filippo Lippi ou un Mantegna, Sano ait de quoi nous paraître le plus original ni le plus habile des maîtres si
à sa 15e édition ; l’année suivante elle frappait les Giambi ed epodi parus dès 1882, puis les Confessioni e battaglie ; en 1
ano. Ce recueil, rédigé partie en italien et partie en français, doit paraître tous les deux mois. Le premier numéro publié aux
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
Chapitre LXVI Le goût du pays pour les arts paraît dans les pompes funèbres. On se sert de caisses r
rérie. Les frères se rendent tour à tour le service de s’enterrer. Il paraît que, jusques aux rois français, les gens du pays
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
ire du Machiavélisme, plutôt que de Machiavel, dont le premier volume paraît aujourd’hui. Nous nous réservons de revenir avec
aré le terrain, et l’eût très efficacement préparé, lorsque Machiavel parut avec son réalisme humain, conçu dans l’observatio
 248, 15 octobre 1907, p. 738-743. M. Lionello Venturi vient de faire paraître sur les Origines de la peinture vénitienne un imp
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
là, il y fut reçu par Mme Denis ; Voltaire ne dîna pas avec eux et ne parut que le soir, à cinq heures : rien ne nous empêche
et d’une fortune incertaine ; mais il a le même souci d’étonner et de paraître et ce fut là en somme la grande affaire de son ex
naturelle soit l’italien, ne réclame-t-il pas une indulgence qui lui paraît obligatoire, puisque, dit-il, on a pardonné à Thé
es et les goûts communs qui les ont rapprochés : Ce fut quand je vis paraître sur le théâtre italien votre admirable Sémiramis,
itienne ne pouvaient avoir aucun succès. Avec une discrétion qui nous paraît , malgré tout, surprenante, Casanova raconte les d
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 229, 1er janvier 1907 »
sur ce dernier fait, qu’il rapporte d’après Dion Cassius, et qui lui paraît expliquer toute la conduite de Cléopâtre. Le « co
dont l’explication, complétée par les développements de Kromayer, lui paraît décisive, et « une des plus importantes découvert
36 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
cerner ses prix : 1.500 fr. à M. Primo Levi pour une série d’articles parus dans un journal florentin ; 1.000 fr. à M. Vittor
à de la brutale inharmonie, à de la lourdeur maladroite, des morceaux paraissent plus habilement traités. Dans le Square de la Pla
es fastes de l’indépendance italienne : le vocabulaire des invectives paraissait trop pauvre à Cavallotti pour accabler ce vieilla
oint trop vouloir que de leur réclamer des « illustrations » où elles paraissent susceptibles de contribuer à l’élucidation du tex
est arrivée à Florence, elle a fait répéter le spectacle et, à ce qui paraît , l’a vivement goûté. À Milan, on a pensé à élever
ie, souvenirs d’un officier, par P. de Lauribar. — M. P. de Lauribar, paraît , il, est une dame. Cela ne me déplaît point, d’ai
uver que c’est encore un beau chiffre, d’ailleurs ; mais les Abyssins paraissent avoir la vie dure. Le fer rouge, qu’ils emploient
alier récite plusieurs endroits de ses comédies, et fort plaisamment, paraît -il. L’Académie vient le voir, en corps. Et Chante
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
philosophie et de science, et c’est dans une de ses collections qu’a paru la traduction de la Physique de l’Amour, de M. Re
contemporain. Memento M. Fausto Mario Martini, duquel vient de paraître la traduction italienne de Bruges-la-morte, publi
38 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
nsée » les élucubrations factices d’un ingénieux truqueur, — ce rôle, paraît -il, tenta Pogge, l’auteur des Facéties. M. Hochar
per les cheveux ! » [N.-B.] M Antonio Zaccaria vient de faire paraître à Faenza une brochure In Memoria di sua altezza r
39 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
e. L’inconnue, morte il y a quelques mois, signataire du livre qui va paraître , a une éloquence, paraît-il, plus grande et plus
quelques mois, signataire du livre qui va paraître, a une éloquence, paraît -il, plus grande et plus sûre que celle de Mme Eli
40 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
dres se perdit et la nature humaine fut créée, pour les remplacer. Il paraît rationnel de croire que les moteurs du ciel de la
Cette façon de donner en sommaire une citation de chaque chapitre m’a paru , malgré son aridité, plus propre qu’un discours c
41 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
le vent chaud étouffe les poitrines et annonce l’orage imminent ; il paraît sombre comme un présage que l’oracle exprime dése
à l’étranger. Laissant à part la fameuse Passion d’Oberammergau, qui paraît s’industrialiser déplorablement, je mentionnerai
esthétique et littéraire de l’Italie contemporaine. On vient de faire paraître le Petit monde d’Autrefois, de M. Fogazarro et Ap
42 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
te. Il est paisible et souriant comme un philosophe antique, et il me paraît plus chrétien que tous les chrétiens qui sont au
e. La ride droite et profonde, qui s’élève au milieu de son front, me parut plus sombre. Après s’être arrêté quelques instant
r d’eux. Les deux apparitions légendaires avaient bu leur café, et ne paraissaient pas songer qu’il y ait au monde des amateurs de f
43 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
s, humilié et vaincu dans des circonstances où sa victoire ne pouvait paraître douteuse, en fut pour ses frais, et dut battre en
qui est célébrée le 21 avril en souvenir de la fondation de Rome. Il paraît en effet, selon M. G. Tommassetti, que, dans la t
44 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
-151. Le neuvième volume des Œuvres de Giosuè Carducci a dernièrement paru à Bologne. L’illustre poète y a recueilli, dans u
tion de M. d’Annunzio, publie à Rome l’éditeur Adolfo de Bosis ; elle paraîtra durant une seule année, en 12 fascicules de 80 pa
45 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVII »
’admire le théâtre de San Carlo. Le plafond est mauvais. La façade me paraît agréable à voir et annonçant bien un théâtre et n
46 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVII »
t qu’on ne compte pas plus de 40 meurtres par an. La langue du peuple paraît criarde d’abord et grossière ; elle est énergique
47 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LX »
ompositions. La musique qu’il fit sur le duo : Se mai più saro geloso paraît avec avantage au milieu de celles que les plus ex
48 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVIII »
Diane, qui allait faire le service auprès de lui, à Capo di Monte. Il paraît que c’est un homme aimable. Il a eu longtemps Mme
49 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXII »
aire à l’homme de bon ton, qui, d’ailleurs, après dîner, ne peut plus paraître à pied. Ainsi ceux qui n’ont pas de voiture atten
50 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIII »
pour que je vinsse à minuit ; que lundi elle serait à Milan. Elle m’a paru charmante en me disant cela. Voici ce billet qu’e
51 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
andis que celui qui s’est obstiné dans l’expérience du passé pourrait paraître irréligieux. Après avoir ainsi affirmé la vitalit
52 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
l est tout pénétré de notre littérature et de la plus récente. Il m’a paru que ses vers, où l’on rencontre de jolies images,
éenne ! Dans l’Emporium, importante revue d’art et de littérature qui paraît mensuellement à Bergame, M. Vittorio Pica a comme
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