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1 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
. Il est seulement regrettable qu’il n’ait su se garder aux dernières pages de son livre d’appréciations trop souvent acerbes
ès les œuvres de sa grande période historique. On goûtera de même les pages où il retrace la physionomie pittoresque de certa
t simple vulgarisation, contient les plus belles ou les plus célèbres pages des romans, nouvelles et autres écrits : les Idol
élicieusement fautive de ce bon vieux temps sourit et gronde dans ces pages , écrites, comme l’auteur même le dit, avec « gran
y a dans le livre de M. André Maurel de jolis tableaux de route, des pages curieuses d’histoire et d’art, et que même pour c
par une note. Parfois, la remarque est toute personnelle, comme à la page  112 (édition de 1826) où Stendhal, ainsi que M. P
s nombreuses. Dans le premier volume il n’y en a qu’une, la suivante, pages  129-180. Montesquieu n’a-t-il pas dit qu’il faut
ppartiennent les notes suivantes, contenues dans le second volume. ( Page  4). Un des grands et signalés bonheurs de la Fran
’est pas la France, c’est la…, qui a perdu cette bataille. royauté ( Page  12). Pour réussir, il s’agit à Bologne de plaire
vent il nie cette passion, car il est homme, mais il est p… prêtre ( Page  32). Que sera-ce des… actuels qui ont plus de peu
nt plus de peur de perdre leur place, que le moindre préfet ? rois ( Page  32). En France, depuis la Société de la… par laqu
il n’est pas trop sûr de faire l’aimable avec des inconnus. vierge ( Pages  40-41) que les impôts payés par ma terre C’est un
etite terre contribuent à payer. que les impôts payés par ma terre ( Page  93). Je ne veux pas du moins trahir les droits de
. Je ne veux pas du moins trahir les droits de l’hospitalité. lois ( Page  116). La contre-partie de ces habitudes sociales,
favorables au bonheur, c’est le pouvoir immense du p… du prétisme ( Page  132). S’il n’y avait pas d’intrigues et du p…e da
les petites villes de Toscane, on y vivrait fort heureux. prétisme ( Page  157). J’aurais eu beaucoup plus de plaisir étant
157). J’aurais eu beaucoup plus de plaisir étant seul. à être seul ( Page  158). Il me semble que je me mettrais à genoux, p
re fois, ils cessèrent de fuir après Trasimène… après le Trasimène ( Page  160). Les moines et la féodalité, qui sont mainte
furent d’excellentes choses en leur temps. la pire des absurdités ( Page  160, en note). Par exemple, le fameux Saint-Paul-
rebâtir au moyen d’un ordre de chevalerie. dont on vendra la croix ( Page  161)… Dès qu’il y a du saint Dominique et de l’in
ar une transition naturelle, les a…s de Nîmes en 1815. assassinats ( Page  181). Le héros que Ghita a tant aimé, et qu’elle
lle aime encore, est fort commun. et qu’elle aime peut-être encore ( Page  187). Est-ce la faute des gens bien élevés, si de
lait Samnite, et si pleutre depuis qu’il…… ? adore saint Janvier ? ( Page  194). Nous n’avons pas joui d’assez de sécurité p
r que la révolution pût entrer dans l’art ait eu le temps d’entrer ( Page  198). Je trouve chez M. Bianchi les deux hommes l
al Filangieri et le conseiller d’état Guoco. les plus remarquables ( Page  207). Presque pas de trace de civilisation, grand
e p… et ses r… font toute la civilisation. le papisme et ses rites ( Page  211). Ce pays-ci ne peut manquer d’avoir les deux
, et il se… onze. on le conquerra dix fois et il se révoltera onze ( Page  215). Le monde ayant commencé pour sous par des r
sublime à des âmes étiolées par la plate… comme Racine. monarchie ( Page  216). Le sort d’Alfieri fut de rugir contre les p
es à l’Europe et à l’Amérique, et faisait… révolution maison nette ( Page  217). L’insolence de quelques commis de la douane
de comprendre le mécanisme de la liberté. de la barrière de Pantin ( Page  233). Le roi sort effrayé de voir des cheveux san
marqué quinze ou vingt têtes noires. Elle dit un mot à l’officier… ( Page  245). Ces hommes illustres furent pendus al largo
lieu où Mazaniello commença sa révolution… c’est là que Mazaniello ( Page  247). Je voyageai à cheval avec un parasol et tro
à cheval avec un parasol et trois de mes nouveaux amis. voyageais ( Page  248). Il s’est mis à dire que la musique l’ennuie
eux qu’une statue de Canova. qui tourne les yeux et tire la langue ( Page  253). Lorsque Salicetti me remit ces 350 000 fran
ue Salicetti me remit ces 350 000 francs sans quittance… sans reçu ( Page  253). J’ai cru que l’enfant était tué : il peut a
ans, et jeta des cris horribles sous ma fenêtre… et jette des cris ( Page  259). Ce peuple a deux croyances : les rites de l
ux croyances : les rites de la… et la jetatura… de la superstition ( Page  263). Je sens désagréablement que je n’appartiens
privilégiées. que je n’appartiens pas à ces classes privilégiées. ( Pages  269-270). L’admission des femmes à l’égalité parf
humain et ses probabilités de bonheur. et ses chances de bonheur. ( Page  278). Salon délicieux à dix pas de la mer, dont n
rés par un bosquet d’orangers. dont nous ne sommes séparés que par ( Page  314). Ce qui est plus capital à mes yeux, peut-êt
u’elle verse sur les hommes… de bonheur qu’elle promet aux hommes. ( Page  320). Vous croyez que l’Italien est un hypocrite
qui songe le moins à son voisin. toujours marchant et dissimulant ( Page  323). Sans toutes ces qualités, le peuple romain
daignerait pas de rire de lui. et ne daignerait pas de rire de lui ( Page  324). Vous conviendrez que ce personnage n’est pa
aux mains de la… Qui songerait à prendre ombrage de Cassandrino ? ( Page  332). La pauvre Emma, qui redoutait peu les folie
ies de la comtesse sa protectrice… qui redoutait un peu les folies ( Page  333). La négociation fut conclue avec beaucoup d’
d’adresse par la comtesse cosmopolite. La négociation fut conduite ( Page  334). Son amant est devenu presque fou, ajouta la
ent parfois quelque révélation du plus grand intérêt historique. À la page  41 on lit : Je n’ai pas parlé d’un vice-légat q
re deux de ses aides de camp. Besini mourut de peur… depuis un an… ( Page  67). Voici Paris vu par un étranger, homme de pla
et les……, toute l’Europe ne rêve que Paris. vexations de sa police ( Page  67, en note). Le gouvernement s’oppose à l’établi
i caractère !… les gouvernans ne veulent ni faire ni laisser faire ( Page  68). Tout ce qui ne veut pas être vexé par… vient
veut pas être vexé par… vient à Paris. l’évêque ou le sous-préfet ( Page  93, en note). Malgré la peur des… on bâtit à Bolo
la peur des rois, qui retombe en tyrannie sur la tête des peuples ( Page  119). C’était, en revanche, un spectacle comique
s de faire un homme. moyens employés par l’avarice des chambellans ( Page  176). Je vais au cabinet littéraire. Le Journal d
e Journal des Débats a été arrêté, etc. Rue San Giaccomo (Napoli). ( Page  176, en note). Voyez la Biblioteca Italiana, de M
n, journal payé à M. Acerbi par… c’est tout dire. M. de Metternich ( Page  208). Vous êtes enrhumé, et vous voulez garder vo
R. F. [roi Ferdinand] ne reconnaît pas. J’ai à penser à ce sujet. ( Page  250). Quand des princes lorrains débarquèrent en
ser à un Lorrain qui se mettrait en tête de faire le Ferdinand VII ( Page  264). Une troupe nombreuse de cavalerie et d’infa
ur la compléter, ou notent an changement à apporter par la suite : ( Page  90). Semblables à leurs pères du moyen-âge, les I
eposer de cette métaphysique                          10 avril ( Page  158). Je réfléchis aujourd’hui sur mon émotion d’
usqu’à ces derniers temps… les aristocrates. Ah ! bene h aïr ( Page  182). La manière de sentir de l’Italie… est absur
leau sur lequel se détachent les mouvements de passion est triste… ( Page  215). Ce que j’ai vu de plus curieux dans mon voy
J’aime cette caserne, avec les mots écrits au charb. par un soldat ( Page  222). La naïveté est une chose fort rare en Itali
le goût littéraire, voir l’emphase de tous les prosateurs vivants ( Page  230). Les choses qu’il faut aux arts pour prospér
uperflu duquel on peut fort bien se passer. M. de Villemain ferait 10  pages de ceci, et ensuite 2 articles pour pousser ces 1
in ferait 10 pages de ceci, et ensuite 2 articles pour pousser ces 10  pages . Quelques notes, très rares, semblables à celle
pel pour l’Auteur même, ou, vraisemblablement, pour Romain Colomb. ( Page  69). Quand j’allais chez les gens à argent de Fra
voyais sensiblement plus estimé. je donnai un déjeuner magnifique ( Page  193). 14 mars. — Je sors du Joconde de Vestris II
e dans l’édition de 1826, et fut supprimée ensuite, nous rappelle les pages enlevées. Elle est ainsi conçue : Fragments refu
ttes. Cassandrino La Princesse Santavalle. L’autre note, écrite à la page intérieure de la couverture, indique d’autres cha
on : J’aurais dû supprimer les Articles danse à Naples et prendre 30 pages à la fin du volume de la première édition. L’Assa
’il y en a. Pour délasser du cliquetis, placer 10 descriptions d’une page ou d’une demie page.                             
lasser du cliquetis, placer 10 descriptions d’une page ou d’une demie page .                                                 
tion médicale il y a un discrédit inéluctable jeté, dès les premières pages , par le manque absolu de sens philosophique chez
nscription de décors, se trouve rejeté dans les coins de phrase ou de pages . Il ne développe pas le décor, mais les quelques
Gauthiez a décrit minutieusement ses œuvres et il a essayé, dans une page fort intéressante, de nous révéler les procédés d
ent Venise — ils sont nombreux — le liront avec plaisir. En voici une page . Antonio Canal et Bernardo Bellotto purent donc a
rise, M. Giacosa reprit le vers italien de onze pieds, et écrivit des pages très belles, où le sens de l’héroïsme antique est
dant des artistes d’élite pourront lire avec émotion plusieurs de ses pages , choisies en particulier dans la belle tragédie l
r commémorer la mort de son ami dans une lettre qui restera parmi les pages les plus mal écrites et les plus pauvres d’idées
titre est : Petit livre inutile (Piccolo libro inutile). La dernière page de la couverture porte ces quelques lignes : « Le
s’affermir : Milan, le 29 octobre 1811. … J’ai lu à la chambre… 150  pages de Lanzi13, qui, au milieu de son bavardage criti
ue je le craignais…… I have thought to translate Lanzi ; he has 1900  pages  ; and to make of that 2 vol of 450. That would ad
nture. J’ai vu 14 de ces volumes ; ils contiennent encore beaucoup de pages blanches. Pourtant l’idée première semble s’être
t quitté Milan au commencement de novembre), il écrit sur la première page de l’un des volumes verts :      Idée : Je compt
si nous voulons en comprendre tous les motifs, regardons encore à la page qui fait face à celle-ci, et ouvre le volume. Il
de le saisir. Datées de ce même 14 août 1814, on trouve déjà quelques pages de l’Introduction à l’Histoire de la Peinture. Il
boutades, suivant l’inspiration du moment. Et le décousu même de ces pages laisse assez voir comment elles furent écrites. P
écrit : « Beau idéal : made. » Et il apprend à Crozet28 que ces cent pages ont été écrites par lui « en 3 jours ». Ainsi fit
n, il en oublia pour un instant Angélina, et écrivit, sur la première page de son manuscrit : To the everlasting Memory o
. Beyle remplit la tristesse ou le vide des heures en noircissant des pages blanches, et bien peu lui importe, souvent, ce qu
trente ou quarante jours d’arrache-pied. Je réduisais par là à vingt pages ce qui en avait d’abord cinquante. J’ai usé le pe
le, et dont le sens serait : « J’ai pensé à traduire Lanzi (il a 1900  pages ), et à faire de cela un vol. de 450 (pages). Cela
traduire Lanzi (il a 1900 pages), et à faire de cela un vol. de 450 ( pages ). Cela m’amuserait, je pense, de dicter le frança
4. Tout un chapitre, et celui que Stendhal estimait le plus, les cent pages sur le Beau idéal, avait même totalement disparu.
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Introduction] »
l manquerait la première partie de ce voyage, comprenant dès lors les pages  1 à 98. La partie que nous donnons ici étant daté
à Naples et celle du départ de Milan, précisée dans le Journal, à la page  407, par cette phrase : “Je partis de Milan à 1 h
par la comtesse Simonetta, par prudence, après l’entrevue notée à la page  406 du Journal : “Le 21 septembre, à 11 h. 1/2, j
i comblera une lacune qui se trouve dans le Journal de Stendhal, à la page  410. Muet sur le séjour de Stendhal à Naples, ce
phes de Stendhal, ajoutées en 1813, augmentent considérablement les 8  pages du texte de l’édition du Journal, et forment envi
 pages du texte de l’édition du Journal, et forment environ cinquante pages des plus intéressantes, tant au point de vue des
3 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
-d’œuvre sur ce sujet si bon et si âpre à traiter, et à vrai dire les pages où le petit Plon-Plon se présente sont dignes d’a
. l’abbé Perosi ; mais je n’ai jamais pu lire à la file plus de trois pages de M. Mascagni ; de M. Puccini, plus de six ; et
on ne risque pas une méningite à persévérer un tantinet, on tourne la page , et ça recommence ou continue jusqu’au moment où
e l’Adriatique, Rimini, Ravenne, Sienne, jusqu’à Venise : trois cents pages des plus intéressantes, parce qu’elles sont simpl
Daumier, Gavarni, Forain, et les maîtres anciens, Callot, Raffet. Les pages où il commente Redon sont d’une critique très aig
er, du format ministre ; l’écriture recouvre le recto et le verso des pages qui sont réunies par mains ; ici et là, la pagina
able auteur des Mémoires était Stendhal, dont il se figurait à chaque page reconnaître « l’esprit, le caractère, les idées e
’un fait particulier. Ainsi, par exemple, débute un fragment de trois pages  : « Un compliment qui n’est pas fait que pour dor
ermittent, il se sert de fragments quelconques de papier, parfois, la page blanche d’une lettre au revers de laquelle se lit
ênes. » Puis, il redevient abstrait et scrutateur, et il rédige deux pages , pleines d’un savoir curieux et insolite, sur le
ristique Précis de ma vie, daté du 17 novembre 1797. Certaines de ces pages ont été imprimées dans Le Livre, en 1887. Mais de
du papier semblable à celui sur lequel les Mémoires sont écrits ; les pages sont numérotées 104-148 ; et malgré le titre d’Ex
érèse Pompeati que j’avais laissée à Londres6 ». Voici un extrait des pages  107 et 108 : « Nous y allons en pointe des pieds
Charpillon, quatre ans et demi auparavant, décrite dans le volume V, pages  482-85. Toute la narration est faite sur un ton d
’il est fait allusion dans le VIe volume des Mémoires. Nous y lisons ( page  60) comment, le jour de Noël 1759, Casanova reçut
nt au nombre de plus de deux cents et les plus courtes avaient quatre pages  », dit-il. Il n’en existe certainement pas deux c
examinés en 1899 par M. Arthur Symons. Dans le tome Ier de La Vogue, pages  100 et suiv., parut le Précis de ma vie, publié c
galt pour le Carnaval de l’an 1792 ; tome II, p. 164 : L’Icosameron ; page  168 : Essai d’égoïsme ; tome III : Le Polémoscope
anonyme. Enfin, M. Pierre Dufay nous a communiqué une brochure de 140  pages dont il a surveillé la réimpression, entreprise p
r son dos : LEONARD SNETLAGE, J. CASANOVA. « C’était la copie exacte, page pour page et ligne pour ligne avec tous les signe
: LEONARD SNETLAGE, J. CASANOVA. « C’était la copie exacte, page pour page et ligne pour ligne avec tous les signes accessoi
i riche organisation cérébrale de cet Italien qui se montre, dans les pages qui vont suivre, linguiste et grammairien françai
feuillet du début, et pourtant une minute aussi s’arrêter aux grandes pages où l’artiste, en puissance plénière, maîtrise les
le roumain. Remarquons ensuite une tentative de sujet historique, une page sombre, d’une horreur et d’une grandiloquence pro
4 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
on doit être rangée dans la catégorie des exceptions, ou si, à chaque page , n’abondent pas les preuves qu’elle rentre dans c
et aux événements inscrits d’avance dans le livre du Destin. À chaque page , on trouve que telle époque, telle date, tel sain
s simples ; il a à décrire un moyen très compliqué, qui forme une des pages les plus émouvantes du récit, et qui laisse le le
ue nous avons à opposer au récit de l’auteur, après l’avoir, à chaque page , pris en flagrant délit de mensonge, après avoir
et avait pris les grades de compagnon et de maître à Paris. Dans deux pages fort curieuses, il porte son jugement sur la Maço
il nous faut nous arrêter. Voici ces titres, qui disent l’intérêt des pages qu’ils assemblent : « Le mariage religieux », « l
, pouvaient faire bien penser d’elle. Mais qu’on ne m’envoie plus des pages comme celles-ci : la fantaisie a des bornes, et o
s importantes révolutions de Rome. J’ai bien insisté sur ces quelques pages , rédigées elles-mêmes d’après l’ouvrage de M. Alf
rt Guiscard et Tancrède passent et repassent continuellement dans ces pages intéressantes. Il faut ajouter que le volume cont
lle Palatine, le dôme de Monreale. On y trouvera encore d’excellentes pages sur Ravenne ; sur Castel del Monte, le château de
on du plus érudit des romanciers contemporains. C’est un in-8° de 107  pages . M. Jal, qui constatait avec admiration l’étendue
e qui concerne la marine, un ennemi de Rabelais et consacra plusieurs pages de son Archéologie navale aux navigations de Pant
statant non seulement des retranchements, mais encore en trouvant des pages évidemment ajoutées, qu’un éditeur n’a pas le dro
ui-même, nous donne en revanche un charmant itinéraire en France de 6  pages , qui doivent être au manuscrit. Ce ne sont plus l
s été coupés par Rozez qui, en revanche, va nous fournir une série de pages inattendues qui ne se trouvent pas dans l’édition
d’Espagne, et nous ne l’en laisserons pas partir avant de citer cette page , écrite il y a plus de 100 ans, et qui frappera c
miner ses jours chez nous, non pas à Paris, mais dans le midi ? Cette page n’a évidemment pas été écrite à Dux en Bohême, lo
rs dont les uns essayent de dépasser les autres est bien la maîtresse page du livre. Et on dit que l’on passe les descriptio
le titre de Pie X intime, cette biographie du Pape. L’éloge, dans ces pages , était de rigueur ; nous disons l’éloge, et non l
: l’auteur ne les a pas ménagés, ce qui rend facile la lecture de ces pages . Science sociale. Memento [extrait] Henri Ma
travail. L’édition de Garnier a VIII volumes. Au VIe volume (il a 552  pages ) il écrit à la page 484. Aujourd’hui, 1er janvie
Garnier a VIII volumes. Au VIe volume (il a 552 pages) il écrit à la page  484. Aujourd’hui, 1er janvier 1797, il me semble
s et un cinquième de volume à nous produire. Au VIIe volume (il a 563  pages ), il écrit à la page 313. Nous sommes aujourd’hu
olume à nous produire. Au VIIe volume (il a 563 pages), il écrit à la page  313. Nous sommes aujourd’hui au 1er de l’an 1798
volume ½ à nous composer. Au VIIIe volume, tout au commencement, à la page  17, rappelant une conversation avec le marquis d’
encore davantage. Le volume est près de finir, il n’y a plus que 100  pages de texte. Or, à la page 341 il relate des faits à
ume est près de finir, il n’y a plus que 100 pages de texte. Or, à la page  341 il relate des faits à l’âge de 47 ans, y ajou
’est son âge quand il est mort au mois d’août. On peut dire que cette page  341 a été écrite quelques mois avant sa mort. Cet
e raisonnement et nos preuves à l’extrême. Les autres volumes ont 552  pages , 563 pages ; le dernier volume n’a que 443 pages.
ent et nos preuves à l’extrême. Les autres volumes ont 552 pages, 563  pages  ; le dernier volume n’a que 443 pages. Cette anné
tres volumes ont 552 pages, 563 pages ; le dernier volume n’a que 443  pages . Cette année-là, il a produit un petit VIIIe volu
ui termine le chapitre XIV, l’avant-dernier. Nous n’avons plus que 20  pages avant de finir : Dix ans plus tard, il me fut ut
des cartes et des photographies ; mais nous ignorions ici la dernière page de l’histoire. Sans hésiter, comptant prendre lan
Athènè sa protectrice le jette sur la côte phéacienne30. Depuis cette page , de l’Odyssée, tout poète ayant le souci de son a
d’émaux profonde et variée. Peut-être le plus magnifique est-il cette page crépusculaire où les eaux lentes semblent marcher
sur l’émigration italienne dans l’Amérique du Sud et en Tunisie. Des pages encore traitent de la question « irrédentiste »,
ait évidemment incliner au paradoxe, et que l’on situera à côté de la page où Mme de Sévigné donnait en mille à découvrir la
ées de plaisir et d’abondance. On trouve un écho de ces idées dans la page qu’on va lire sur la Campanie, contrée entre tout
dix volumes de mes traductions, elles ne donneraient pas ensemble dix pages . Veuillez agréer je vous prie, monsieur le Direct
ctéristiques de sa discussion. I Dans le Mercure du 1er janvier, page  50, le Dr Guède écrit : Casanova, ayant ceint Ba
le faîte du toit… où il pouvait se mouvoir sans difficulté » (Fuite, pages  203, 204), aurait été très capable, — non sans de
ment les recherches d’une technique faite pour la mise en place de la page décorative ont donné à certaines œuvres du Tintor
clipsé par Bazzi, il est visible que la malveillance inspire à chaque page sa biographie du Sodoma. Mais, d’autre part, Vasa
 Hérelle. Cependant, celui-ci a tort de mesurer à la « quantité » des pages originaires de d’Annunzio, supprimées par lui dan
trop ce que l’auteur a voulu, on sent trop qu’il n’y a pas, dans ces pages , un coin émouvant, une ombre chère, où un esprit
x larmes de tous les regrets. Non. Le poète développe dans toutes ces pages consacrées au spectacle de la mort, plus qu’à la
nt. Et s’il nous plaît que le poète l’ait écrit, à cause de certaines pages d’une si belle littérature, un sentiment d’amertu
i tout ce qu’il a laissé. S’il est à peu près impossible d’isoler une page d’entre celles inspirées par Rome même, en voici
ours que chanter la claire mélodie d’Italie. Otello contient quelques pages des plus harmonieuses et des plus fortes qu’ait é
éro 368, 16 octobre 1912, p. 894-896 [896]. […] les plus plus belles pages de l’arétin. Avec un portrait. Notice de Guillaum
bais tout de suite dans l’incohérence. J’arrivai enfin à composer une page qui me semblât moins absurde que les autres. Tout
tti et Aldo Palazzeschi. Les extraits de leurs œuvres remplissent 422  pages . Et nous admirons enfin sans réserves, nous étonn
5 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
de l’action sur les hauteurs de Gorizia. Il avait 27 ans. Sa dernière page , envoyée peu de jours avant sa mort à un journal
losophe hégélien, a cru trouver dans d’anciens numéros du Mercure des pages qui lui ont plu touchant la théorie de l’État-Pui
ée au Giasone de Cavalli, — qui ne date d’ailleurs que de 1649. Cette page troublante n’est pas moins remarquable par son or
ions de M. Guglielmo Ferrero sur La Guerre européenne. Ce sont là des pages de tout premier ordre, des pages de philosophie h
La Guerre européenne. Ce sont là des pages de tout premier ordre, des pages de philosophie historique. Je ne vois pas le moye
de notre civilisation et la tragédie sanglante où elle se débat. Les pages sur « La Belgique, clef du monde », insistent sur
Les peuples ne valent pas plus cher les uns que les autres. Dans les pages sur l’Italie, M. Ferrero résume l’histoire de ce
en, — du moins les choses m’apparaissent de la sorte à la lecture des pages de l’éminent publiciste italien, — je crois bien
L’admiration des professeurs pour l’Allemagne se manifestait à chaque page dans leurs ouvrages, mais ils ne nous avaient don
i se donnent la peine de penser ; il y en a qui contiennent de bonnes pages de polémique du temps de la neutralité : pourquoi
pas le dernier ? Mais, si on doit avouer toute la vérité, les seules pages inspirées par la guerre à un écrivain italien qui
is ce qu’il a laissé, excepté peut-être l’Esame où l’on rencontre des pages de prose émue et colorée qui révèlent le poète à
allemand de culture, il était surtout italien : il a écrit de bonnes pages italiennes, il est tombé pour l’Italie. Guido
démarquage : il avait lu Maeterlinck et il s’était même approprié des pages entières du mystique belge. Il laisse, dit-on, un
é ou refoulé jusqu’ici. Il y a même du lyrisme et de la couleur : les pages qui racontent le voyage angoissant de la petite a
ureuse d’intuitions magnifiques. Il expliquait, il justifiait, en des pages inspirées par le noble souci de comprendre, les p
contraint à l’humiliation de soi, il leur a dédié, par le roman, des pages émouvantes qui me font penser à des chants religi
, et je suis obligé, chaque fois, de relire la « Bovary » ou quelques pages de la Princesse de Clèves, dans le but de me reme
ais m’offrira toujours mieux : il aura le goût, et la discrétion. Les pages somptueuses de Gabriele d’Annunzio m’ennuient enc
« vrais », ils parleraient ainsi, et le roman se réduirait à quelques pages , sobres et rapides. — Ce jugement est bien sommai
. Mais quelle force, et quel mépris du convenu, révèlent ses moindres pages  ! Il est naturel que M. Corradini, ayant le culte
ur qui réconforte et qui libère. Il a consacré à formuler ce rêve les pages les plus fortes que je connaisse. Le rêve de M. C
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
t M. Monnier s’est donc diverti tant qu’il a pu. Il a ramassé, en 400  pages , la collection complète des singularités vénitien
étourdi des grelots de ce long carnaval secoués pendant quatre cents pages , M. Monnier ne semble en avoir perçu. S’il y eut
tomba sans connaissance. Je cherche en vain cette scène aux dernières pages du livre. Cette minute suprême y manque. C’est qu
e île, — avec une érudition minutieuse et savoureuse aidant, à chaque page , aux trouvailles de plume, — le style de ce livre
7 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
s sur le théâtre chez les anciens et les étrangers, des variétés, des pages de littérature, enfin de fort belles gravures sur
40, avril 1893, p. 374-376. En une étude sur M. d’Annunzio, premières pages de Libri e Teatro, M. Luigi Capuana notait, à pro
ocent. Si le récit de si peu d’événements emplit près de quatre cents pages , c’est que l’auteur avait à dire, en même temps,
8 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
èvre individuelle, rend ardentes et même éloquentes quelques-unes des pages les plus récentes des jeunes prosateurs italiens.
rme l’originalité, sinon l’étrangeté, de M. Angelo Conti, remplit les pages nombreuses, en étend la signification, leur donne
r de la sorte contre elles, et pour exalter en quelque sorte à chaque page le courage de hautement les proclamer après les a
9 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
ls d’un peaussier de Pérouse, qui a nom Buoncompagni, après avoir été page du marquis de Tassi à Rome et lui avoir volé son
al, l’épée au flanc, une chaîne d’or au cou, naturellement suivi d’un page . Claude avait pour mission de soigner le cheval.
uiétudes réalisées, ce qui est, pour le moins, piquant. De même cette page magistrale, ces Arbres près d’une rivière ; de mê
et plates, au premier plan la mise en œuvre d’un récit antique, d’une page de la Bible, et, au fond, l’horizon très reculé d
e minutie psychologique très étrange ; toutefois, il compte de belles pages , et s’il n’est pas trop gai, il porte l’empreinte
mirable ; chaleur, conviction, mouvement, il y a tout ce qui fait une page d’art puissant. Mais pour le salut du jeune homme
ets de Pétrarque à Laure, par Fernand Brisset. Mais dès les premières pages de la préface je tombe sur ces lignes : « Je ne s
pables de faire du mal à une mouche et de lire une plaquette de vingt pages , qui ont lu trois fois le Quo vadis ; c’est le pr
ux, toujours pressé, ayant pour idéal de lire le plus grand nombre de pages en le plus court espace de temps possible ! il ch
-t-il joint à sa très belle étude sur Michel-Ange à Rome les diverses pages d’art de son livre augmentées encore de quelques
e sort guère de l’ambiguïté ou du contresens. Un roman abonde-t-il en pages psychologiques, la bonne représentation de ses pe
tes ses formes. Mais, pour créer des dessins où revécût le poème, des pages émouvantes et anagogiques, il eût fallu être un D
rations sourdes, cause un effet puissamment lugubre35. C’est l’unique page teintée de l’œuvre, mais, sans doute, le maître a
lépreuses dont ils sont couverts (XXIX). Dans un autre coin, sur une page très effacée, on reconnaît à son effrayante hydro
es les ombres se mordent, suffirait pour en faire une des très belles pages de cette illustration. Ailleurs, sur les feuilles
ent de telle sorte qu’il devient impossible de les noter en une seule page . Tandis que les yeux de l’aède purifié se fixent,
de Dante est, on le voit, inégale, mais très originale, et ses bonnes pages ne suscitent que des éloges. Toutes sont expressi
lière du merveilleux pays, aux œuvres quasi mortes et ruinées, qu’aux pages , peintes, laissées vivantes par les géants dispar
, — la morbidesse et l’esprit. Et chaque fois que, dans la suite, une page étincelante, inattendue, osée jusqu’au scandale e
ve ces lettres qui symbolisent les péchés capitaux. À gauche de cette page , en bas et en haut, volent les aigles, très décor
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
les. C’est là, je crois, la seule remarque à faire sur ces nombreuses pages , où le poète, avec art, et souvent avec un étonna
’Intermezzo et l’Exode, « motifs pour une symphonie », sont parmi les pages les plus belles du poète. Les strophes de Laus Vi
connue dans les termes précis de sa réalisation à travers les fortes pages récentes de M. Gabriel Boissy. W. Shakespeare 
11 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
eux, et, distrait que vous êtes, vous y aviez oublié pour marquer une page une photographie de première communiante. Ravà l’
enragé, et j’ai peut-être tort, car il y a, Seingalt, de bien divines pages dans votre jeunesse qui rivalisent avec celles de
te au péril de sa vie, il a même eu sa crampe ; je vous cède toute la page la plus pathétique du récit, la pièce la mieux mo
forts, Fulin et d’Ancona. Que dites-vous encore de cette lettre d’une page qu’en partant il éprouve le besoin d’écrire dans
ces observations secondaires, ces mensonges qui se coudoient à chaque page , je ne les ai pas signalés dans mon travail parce
armi les meilleurs sur ce sujet. Il y aurait à citer presque à chaque page  ; le chap. xvii est consacré à la question des Be
décors déjà tant chantés. Littérature. Collection des Plus Belles Pages  : L’Arétin, Notice de Guillaume Apollinaire, 1 vo
5, 1er février 1913, p. 583-589 [586-587]. En tête de ces Plus Belles Pages de l’Arétin, M. Guillaume Apollinaire a écrit une
Parme est la ville du Corrège — sur lequel M. Gabriel Faure donne des pages d’agréable critique ; c’est ensuite Modène, qui g
la Renaissance, entre chiens, chevaux et beaux atours ». Et certaines pages descriptives, où l’on retrouve le « paysage psych
rande beauté. La biographie de Cola di Rienzo abonde en de semblables pages . La vie du Tribun romain est représentée avec une
is que de force, que de poésie suggestive, dans un si grand nombre de pages . Je crois être d’accord avec l’auteur, en aimant
en qualité d’historienne. Et c’est pire encore si nous examinons les pages où elle s’évertue à indiquer la technique du méti
avec la mère de Manon. Il a écrit sur la vertu de Silvia Benozzi une page émue où il dit : « Sa conduite fut toujours sans
Casanova son ami, son amant et son cher mari, et lui jurait à chaque page , et presque à chaque ligne, une fidélité éternell
me plaintive, du martyr démonstratif. J’ai lu avec vive curiosité les pages relatives aux rapports célèbres du Secrétaire de
poraine de César Borgia), sous le jour de laquelle les plus terribles pages du livre admettent une interprétation plus relevé
à l’égard de ce livre, en appréciant ce qui me paraît être, dans ses pages drues, l’essentiel. Les Revues. Memento [extra
l’Adriatique, est curieuse par son ton passionné. On ne lira pas ces pages , en Italie, sans quelque frémissement. Memento
Où êtes-vous, à cette minute, ô voyageuse que j’attends ? Sur quelle page de l’atlas faut-il que je cherche le lac, la forê
ée, dessina ce petit arc rose — encore humide — au bas de la dernière page  ? VIII. À San-Zanipolo Ils dorment, couchés
dort, éternel, dans l’ombre des colonnades, comme une fleur entre les pages d’un livre ! Vous avez vu les sources d’Ilissus c
Croce, historien, philosophe et avant tout critique. Il faudrait des pages pour expliquer le développement de cet état d’esp
ds exploits européens. Ces deux volumes superbes, chacun de six cents pages , sont une étude des plus récentes sur l’unité ita
et celui-ci n’est pas une exception à cette règle excellente. Les 45  pages en deux colonnes et petits caractères de l’index
il avait évoqué les splendeurs et l’épopée guerrière de Venise en des pages enthousiastes, et Bologne où l’on conserve toujou
lorence, malgré les désordres de son histoire, et dans les nombreuses pages qu’il consacre à ses descriptions, indique non se
ifices, mais jusqu’à la couleur et la patine du temps. Ses meilleures pages ainsi sont sur les choses d’art, beaucoup sur la
implique un tel chiffre ? Je signalerai, parmi les autres essais, les pages pleines d’intérêt, de détails précieux, sur « le
Le Corriere della Sera les recueille religieusement dans sa troisième page et ils font le secret ennui de tous les bourgeois
risme toujours mêlé, mais parfois puissant, ne méconnaît les « belles pages  » que d’Annunzio a données à la littérature itali
ts de route, les récits de voyage, voire dans les romans. — Parmi les pages les plus intéressantes et avant les descriptions
Chioggia, par G. Rémond, et qui est peut-être une des plus curieuses pages du livre ; des choses humoristiques et jolies sur
que d’autres manquent à l’appel et l’on aurait pu y ajouter quelques pages de Taine, d’Eugène Muntz, qui comptent aussi comm
urieuse préface de M. de Wyzewa, dont nous avons encore d’excellentes pages sur Sienne et la peinture siennoise, indique enfi
12 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
duction par Sanfelice du Prométhée délivré de P. S. Shelley. Dans ces pages , il dit que le socialisme est une question sévère
Bosis ; elle paraîtra durant une seule année, en 12 fascicules de 80  pages gr. in-40, sur merveilleux vergé à la cuve timbré
princes, ni rois, ni empereurs. » (Les Médicis, édition Michel Lévy, pages  268 et 269.) » Lorsque Dante quitta Florence, il
à cause de son génie.” » (Une année à Florence, édition Michel Lévy, page  194.) 1. Cellini nous fait lui-même le réci
13 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
tait curieux de rapprocher des articles de critique actuelle quelques pages des grands critiques d’un passé encore récent. Le
e à part : il faudrait, au moins, pouvoir disposer d’une vingtaine de pages pour expliquer en quoi ils diffèrent, comme sensi
 : il me suffit de rappeler les Illuminations de Rimbaud et certaines pages de Mallarmé. Mais, dans les mots en liberté des f
ure de cette lettre. Vous ne devez pas ignorer ce que contiennent ces pages . — Inutile ! — Je le veux. J’ai reçu cette lettre
omets, pour bientôt, une nouvelle histoire. Les Journaux. Quelques pages inédites de François Coppée (Le Matin, 9 février)
ro 401, 1er mars 1914, p. 184-186 [184-185] Le Matin publie quelques pages inédites de François Coppée. Ce sont des notes ré
ir d’eau. Les phares. Nuit affreuse ; le roulis… etc. » Il y en a des pages de cette concision. Mais voici qu’il s’exalte dev
dans son milieu dès son enfance. Pascoli, dans une de ses plus belles pages , affirmait qu’on n’était poète que si on avait ga
euses de M. A. Dantier sur le monastère fortifié du Mont-Cassin ; des pages intéressantes d’un M. Gorani sur les Lazzaroni de
n beau portrait du cardinal, œuvre de Philippe Laszlo, accompagne ces pages . […] Tome CIX, numéro 405, 1er mai 1914
Brulard, a fait que j’ai cherché à noter les sons de mon âme par des pages imprimées. La paresse et le manque d’occasion d’a
ns de répliquer à Bombet qu’en premier lieu son livre n’avait pas 350  pages , mais 298, et que, sur ces 298, 200 avaient été r
its en bas-relief de l’école lombarde ; les statues en marbre de deux pages qui accompagnaient croit-on, dans une église véni
ckhaus, vous ne trouverez pas, à partir du chapitre v du tome VI, des pages entières, d’une décence parfaite ou d’une licence
titution définitive. Je m’empresse d’apporter deux exemples topiques. Page  1 du tome II des Mémoires (édition Garnier), on l
« Le général des galères ayant ordonné une revue générale à Gouyn… » Page  6, on lit… « Je m’arrachai de ses bras pour me re
rd’hui en ruines, et situé à l’ouest du golfe, près de l’île de Vido. Page  246 du tome VI, on lit : « … Je portai tout l’arg
ur les considérations personnelles que Laforgue a glissées entre deux pages des Mémoires ; mais Alessandro Ademollo et Aldo R
 — parce qu’il a surpris Laforgue en flagrant délit de falsification, page  450 du tome IV des Mémoires (édition Garnier), où
erbeer, les Halévy, les Auber, les Verdi, les Gounod, qui, malgré des pages remarquables et peut-être immortelles, ne parvien
bés dans l’atelier, cherche dans ses tiroirs les bouts de papier, les pages détachées, les notes, tout ce qui n’a pas été dév
14 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
es impressions, et voici justement le miracle. À parcourir ces jolies pages où la voyageuse s’efforça de traduire par des mot
si littérales attestent la filiation et, dans tels chœurs, en maintes pages dont presque tout le second acte d’Orphée, son ro
facile de le faire rentrer dans le cadre restreint d’un volume de 170 pages . M. Émile Bertaux s’y est résigné et son livre su
eur a beau nous avertir que ces Memorabilia sont tirés des cinq mille pages des manuscrits du Vinci, comme nuls guillemets, n
gretter que certains détails soient traités un peu trop sommairement. Page  124, M. Luchaire parle d’une connétablie institué
uissante famille placée entre l’Empire, les Ligues et le Saint-Siège. Page  164, un trait faux : « Si violente que fût son ir
de tels papes, à une telle époque, n’avaient point de ces scrupules. Page  95, nous trouvons cette expression anachronique :
ne. On a reproché à M. Gauthiez d’avoir placé ses notes (il y en a 70  pages ) à la fin du volume : il faut bien trouver quelqu
hose à reprendre. Cela peut déranger la disposition en usage pour les pages d’érudition ; mais cela permet mieux de lire, dan
à ce propos sur le Prix de Rome et l’Éducation des artistes quelques pages intenses, rares et vraies, d’une noble et logique
Ricciotto Canudo. Tome LII, numéro 180, décembre 1904, p. 813-820. Pages inédites des Fiancés de Manzoni Dans ces Chron
ent III et de ses contemporains. 3 vol. in-8°. 4. Voir, à ce propos, page  147, les conseils si caractéristiques de la belle
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVI »
pût être brillant. J’ai lu à la chambre Contrada, dei due Walls, 150  pages de Lanzi qui, au milieu de son bavardage critique
tomber dans l’erreur de cet homme extraordinaire, je viens d’écrire 4  pages de phrases plates. Cimbal était à la banque Borom
16 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
mours, de douleurs, passent sous nos yeux en ces quelques milliers de pages . L’Italie peut saluer son plus grand poète vivant
que j’y cherchais : le côté artistique est très marqué et les belles pages vives, claires, dramatiques, y abondent. Cela suf
aler les types représentés à cette exposition, certainement plusieurs pages du Mercure. Voici Rome avec Joannes Beplin, Alema
s qu’ils contiennent. Il ne faut point chercher dans ces quatre cents pages des impressions originales. L’auteur ne nous fait
our incoercible, qui finit avec la mort d’un des coupables. De belles pages  : je ne croyais pas Mme Jolanda capable d’arriver
Revue franco-italienne, Naples M. Gius. Gramegna consacre quelques pages véhémentement enthousiastes à un Statuaire italie
e temples abolis et replacés sur leur autel — son autel. Variétés. Pages de maîtres Charles Morice. Tome XLIV, numéro 1
des spécialistes, des compétents. Un tableau des Van Eyck, c’est une page maîtresse de l’histoire de l’art ; l’attribution
erre. M. Ernest Leroux, l’éditeur, a bien fait de réunir ces quelques pages où l’on peut trouver facilement un certain nombre
17 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
vrier de la Tribuna. Une photographie occupe le milieu de la première page . Elle représente M. Marinetti, inventeur du futur
’un point à l’autre de l’immense front occidental. J’ai lu de lui des pages incomparables rendant à merveille la physionomie
é faite des écrits de cet auteur ». En effet, elle remplit 40 grandes pages in-octavo composées en caractères très fins. C’es
« Chronologie biographique » et aussi une bibliographie de plus de 20  pages . Pour couronner le tout, un excellent index compl
ntensité du sentiment, par la beauté et la grandeur de la vision, des pages où l’auteur décrit les champs de bataille de la M
il des articles de Lavedan sur la guerre. Feuilletez les trois cents pages qui forment le nouveau volume de Lavedan et vous
« petites fleurs » de saint François. Récemment, il réimprimait cette page exquise de la légende franciscaine ; Comment sain
que à écrire, et d’ailleurs, M. Welschinger, dans sa brochure de cent pages , paraît avoir écrit sur ce chapitre tout ce qu’on
profondément humain, du peuple italien : on le voit, au cours de ces pages , s’exalter au récit des souffrances du peuple bel
18 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
vement d’avant-garde de la musique française et l’expliquent dans des pages qui ne demeureront pas stériles. L’ouvrage de M. 
. Ferrero me semble contenir la somme de vérité qui donne du prix aux pages écrites. Vous en jugerez d’après celle-ci : Un h
eue (30 janvier). « La pensée de la Renaissance », par M. Péladan. «  Pages libres » (30 janvier). Lettres de Calabre (août 1
l’a dit Carlyle, une nouvelle Renaissance, mais dans les innombrables pages qu’il continuera de consacrer à l’art et à la nat
nous montre en outre quelles circonstances ont inspiré telle ou telle page , nous en serons d’autant mieux éclairés. Quelques
êlées me repassaient toutes dans l’esprit pendant que je tournais les pages de l’album où André Rouveyre a construit son Gyné
s, littérateurs, ont répondu. Leurs réponses remplirent de nombreuses pages de la revue, et composent ce livre, qui se complè
mais le style en est alerte et clair, et elle se développe vingt-deux pages durant, sans arriver, selon nous, à nous convainc
appelle, des correspondants de l’enquête ? Il n’aurait pas écrit les pages de sa préface, et le livre dont il occupe le seui
s’il y a un portrait littéraire, une « confession », dans toutes ces pages , c’est bien dans le questionnaire qu’il faut les
tous les ouvrages de M. Beltramelli. Le dieu Faunus resurgit dans ces pages , à la manière du dieu Pan. « J’ai écouté la voix
, c’est lui qui a projeté sur Rome sa propre vision romantique. Cette page de Renan le fera comprendre : Vous ne sauriez cro
ouceurs de l’existence régulière et qui ne regrette rien du monde, la page suivante où, dans un de ses Poèmes légendaires, c
s les solitudes bénies et couvertes de forêts de Vallombreuse. Cette page , à mon sens, est vraiment significative. Rien de
e. Un souffle des Fioretti, venu d’Assise, est très sensible dans les pages de Dom Bruno. Il s’est arrêté sans doute de longu
sortis. On criait les journaux du soir, j’en ouvris un. À la première page s’y trouvait le compte-rendu de la quatrième conf
au. George Sand s’éprit de lui. Une nuit, après avoir griffonné trois pages , elle les mit dans une enveloppe sans adresse, qu
gello sourit finement et m’ouvrit Une Histoire d’amour, à la dernière page du Journal : Il l’ennuyait, cet Italien qui, ave
l’esprit, le caractère, les idées et le style se retrouvent, à chaque page , dans les Mémoires imprimés ( !) ». Voilà l’origi
s des remerciements pour des envois de volumes nous trouvons dans cas pages quelques curieux détails sur la vie de Nietzsche.
(août) contient une série d’articles d’art des plus intéressants. […] Pages vibrantes de M. Herman Bang sur Eleonora Duse, av
tiques opposés et discutés dans les colonnes des journaux et dans les pages des revues. En haine de d’Annunzio, triomphateur
de demain. Dans la préface, M. de Maria parle de son esthétique. Ses pages sont très méditées, et ses aperçus sur la nécessi
vures du format cartes postale, réunies dans un élégant album, avec 4  pages de notices. Une récente série, consacrée à notre
souvent appelé Piero della Francesca, sur la foi de Vasari, quelques pages précises. M. Émile Bertaux de son côté nous initi
bien tenir dans leurs balances, et qu’elle est impondérable. Une des pages de pensée les plus émues qu’il m’ait été donné de
19 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
) et voudrais leur signaler une lacune. Ils parlent bien, en quelques pages , de ce qu’ils nomment les « départements accessoi
in qui aime surtout Stendhal à travers Napoléon, mais lui a dédié des pages que l’historien doit connaître. Toutefois, nous p
connaissances les plus étendues et une parfaite compétence. Il a des pages remarquables sur le peintre religieux par excelle
rture da cours d’histoire des religions, de M. Alfred Loisy, quelques pages de M. Paul Gaultier sur l’Art de Saint-Sulpice et
67-374 [373]. […] La Revue Germanique (mars-avril) contient quelques pages de très justes réflexions sur Georges Moore, par
rmands et de la civilisation composite de la Sicile au Moyen-Âge, des pages attachantes et probes, pleines d’aperçus ingénieu
actère de celui-ci, en son hybridité troublante, transparaît à chaque page d’un récit qui semble s’attacher exclusivement à
plus la fraîcheur, la verve, le mélos savoureux et poignant de telles pages d’Orphée, mais, pour emperruquer décidément les d
le prise à l’arbre montant à la fenêtre de ma chambre. Platane. » Les pages , publiées ici, occupent les feuillets 54 à 83. Un
il. Mafarka se battant à côté de son frère Magamal, l’enragé, est une page fabuleusement saisissante. Le festin des monstres
artie de « Voyage du Condottiere », de M. André Suarès, où il y a des pages capitales sur Mantoue. […] Les Pages Modernes (j
M. André Suarès, où il y a des pages capitales sur Mantoue. […] Les Pages Modernes (juin). […] — « La Veillée », par M. Zuc
ux. Mais il revient à M. Fernand Hayem le mérite d’avoir fixé, en ces pages qui ont du mouvement et de la variété en leur pré
u, n’a-t-il pas découvert que Béatrice, sa femme, le trompait avec le page Lélio ? Astolphe se raille de sa mésaventure et «
rche d’une femme vertueuse et jolie et emmènent avec eux le Fou et le Page qui les ont trompés. Comme la chemise d’un homme
atoniques abonnés à des bibliothèques circulaires de province. De ces pages on ne rappelle que l’impudeur bravante et l’impié
on travail sur La Pensée ésotérique de Léonard de Vinci. Le nombre de pages a été plus que doublé. Il forme ainsi réellement
ment ; c’est le chapitre final des romans bien faits ou les cinquante pages d’essai du jeune auteur riche « qui vient de là-b
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 229, 1er janvier 1907 »
de la guerre de Pérouse jusqu’à la chute d’Alexandrie. Aux dernières pages de son précédent volume, où il a donné toute son
riage d’Antoine avec la reine d’Égypte. (Voir là-dessus la note de la page  96.) M. Ferrero s’est appuyé, ici, sur l’autorité
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
sicisme de réminiscences devient abstraction. Le poète écrit enfin la page qui doit rester dans l’histoire littéraire de son
, et le style n’a plus ce ton railleur qui souvent rendait de longues pages de vers semblables à de la polémique rythmée. L’é
l’esprit méditerranéen, dont la prophétie, faite aujourd’hui dans ces pages , un jour ne semblera peut-être pas simplement par
te plus connu sous le pseudonyme de Rastignac, a fait représenter des pages de politique contemporaine dramatisée sous le tit
22 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
s talents en même temps que l’analyse des œuvres. Dans les deux cents pages qui traitent de Verlaine, puis de Mallarmé, rien
sionnante gravité de ses consolantes paroles Pax vobis. Ces quelques pages ne suffisent pas, certes, à décréter cet oratorio
que chose. Je suis loin d’affirmer qu’on ne puisse pas rencontrer des pages superbes, magistrales, dans ces tragédies ; mais
strales, dans ces tragédies ; mais le théâtre ne se fait pas avec des pages . P.-S. — Je parlerai la prochaine fois, outre de
 Pica ; en Italie, puisque c’est Flegrea qui inséra les intéressantes pages de M. de Roberto ; en Russie, car Tolstoï est un
ment rien trouvé que des vers épars (à peine), des mots jetés sur des pages . Aurait-elle jamais été écrite ? On n’en sait rie
de l’Angleterre, l’esclave de l’opinion. Stuart Mill, qui a écrit des pages si belles et si amères sur la tyrannie de l’opini
ui ne se trouvent pas dans Garnier. En revanche, ce dernier donne des pages et des détails charmants de voyage, des enthousia
t dans le livre d’Hermann Grimm, das Leben Michelangelo’s. — Quelques pages admirables sur Savonarole dans Michelet. En revan
23 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
fatigué, très faible, de M. Fogazzaro, n’arrive pas à créer une seule page littéraire qu’on puisse lire avec profit, sinon a
l’universelle souffrance. Un grand souffle d’idéalisme passe dans ces pages . Le dernier livre de Paolo Mantegazza : l’Anim
Et si tous les auteurs se donnaient la peine de couper eux-mêmes les pages de leurs œuvres ! Nous serions trop heureux et la
uscrit. Je l’examinai et les noms de peintres que je trouvai à chaque page m’intriguèrent. J’appelai Enéa et lui montrai ma
cartes astronomiques, la vie de Giorgio Barbarelli. * Le cahier a 180  pages . Il a dû appartenir à Nicolas Aldramino, qui fut
ompagnies françaises, les chevau-légers, les lances, la multitude des pages et des couteliers composaient la plus magnifique
saurait marquer les bornes. Ce livre en fournira les preuves à chaque page . Son auteur est un savant célèbre habitué aux mét
en jouissait et dédaignait de l’analyser. On lira encore de curieuses pages inédites de Stendhal sur Florence, Venise, Padoue
ables. Tout de même, je trouve que Louvois le fait beaucoup poser (la page est jolie) ; et les secrets conseils d’audace et
la journée dehors… Quand je revins on m’annonça qu’un cavalier et son page avaient enlevé la Maurina… Je devinai que c’était
du poète, qui sont vraiment fort agréables : Gustave Flaubert, à la page  10 de la Tentation de saint Antoine, parlait ains
. Feuilletons au hasard la Tentation de saint Antoine. Nous lisons, page  38 : « Aux coins du dais étendu sur la tête quatr
coins du dais étendu sur la tête quatre colombes d’or sont posées. » Page  150 : « De la coupole pendant à des fils que l’o
ercevait pas, quatre grands oiseaux d’or, les deux ailes étendues. » Page 42. « Un dromadaire, chargé d’outres percées, pa
evient, laissant couler de la verveine pour rafraîchir les dalles. » Page 96 : « Des clochettes d’argent qu’ils portent so
o argento sotto la mascella spargean su i marmi essenza di verbena. Page  74 de la Tentation. « Le secret que tu voudrais
s sources avec le hennissement des licornes se mêlent à leur voix… » Page  17 des Élégies romaines : L’hanno in custodia i
paraîtra — espérons-le — bientôt. Dans un fort et beau volume de 600  pages , orné de belles reproductions d’œuvres d’art, don
en ce sens on ne peut que le louer. On lira également avec profit les pages de M.de Foville sur les terres cuites émaillées d
r de la revue, et dans lequel Leigh Hunt donna les soixante dernières pages de l’œuvre de Landor. Le fragment qu’a traduit M.
représente la dixième partie de l’ouvrage entier. Mais ces cinquante pages suffisent à justifier le choix du traducteur, et
ile. Paris, H. Fournier jeune, 1829, in-8. C’est un volume de xii-260  pages , qui se compose de cinq parties : 1° Avant-propos
couvent de Baïano, récit 81-122 ; 4° Chronique, 123-234 (y compris 4 pages d’index) ; 5° Notes, 235-260 (y compris 2 p. blan
vre qui l’avait vivement intéressé. On en trouve la preuve dans trois pages autographes nos 81, 82 et 83 qui font suite à ce
avec lequel elles sont reliées. » (A. Cordier.)   GRAPHIQUE DES TROIS PAGES AUTOGRAPHES DE STENDHAL FAISANT SUITE AU VOLUME I
s de ces artistes médiocres, il se croit obligé de faire connaître la page des plates histoires qui en parlent. Par ces rais
tresens. « 14 octobre 1841. » M. A. Paupe conclut par cette agréable page  : Il est à remarquer que, dans cette petite coll
ités de Gregorovius apparaissent d’une façon remarquable. En quelques pages le savant allemand nous refait l’historique de la
s réserve ce fabuleux cas de clinique d’où l’on peut extraire maintes pages de gracieuse poésie à l’usage des lectrices qui p
La position de l’Italie dans la question d’Orient est résumée en une page (p. 232) où le nom de Tripoli n’est pas écrit. Il
24 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
nnunzio. Les critiques voient le jeune maître partout ; à travers les pages des autres, surtout. Il suffit d’employer un adje
uteurs qui tremblent à l’idée de se voir mis à la queue de ses petits pages , font un effort surhumain pour fuir le soupçon de
is que je pourrais continuer de cette manière pendant trois ou quatre pages , et j’ai promis de ne pas discuter ; je me réserv
habituelles de son chemin. Toutefois, il faut être juste : de belles pages marquent la carrière politique de Cavallotti. En
ité énergique : en effet, tout le roman ne tient que deux cent trente pages , mais savoir être bref et pourtant significatif,
mpossible que je tâche avec des adjectifs de montrer la beauté de ces pages et d’autres ; on ne raconte ni l’eurythmie, ni le
et par son charme ingénu ; il l’a traitée avec amour. Les meilleures pages de sa partition se rapportent à elle : la scène d
25 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
ble de Jouy ne gênèrent nullement Rossini pour atteindre, en quelques pages de Guillaume Tell, à un lyrisme purement musical
me irrésistible. Parsemées dans le plus inégal des chefs-d’œuvre, ces pages vivront autant que la musique elle-même. On en re
es choses d’Italie. Autant qu’il le connaît, il aime ce pays ; et ses pages sont animées d’une belle chaleur latine, douce à
, G. Van Oest et Cie, 3 fr. 50 Que Jules Destrée a écrit de jolies pages sous le titre : En Italie pendant la guerre ! Ici
tuelle préface de Ferdinand Martini, ex-ministre des Colonies, et des pages autobiographiques (Bologna, N. Zanichelli). Il av
de réunir ses plaquettes de vers dans un volume de presque cinq cents pages (Le foglie dell’Alloro. 1898-1913. Bologna, Zanic
te dans l’histoire de cette science. Elle ne compte pas moins de 1700  pages remplies d’idées, de faits et de classifications
s lignes suivantes et dont nous voudrions pouvoir citer de nombreuses pages  : « Les civilisations antiques, dit-il, excellaie
nt, plus subtil et spiritualisé, Natures de feu. Il y a là-dessus une page prodigieuse dans la vie de Catherine. Un jeune ho
ù on ne pensait à la guerre que d’une façon très problématique. Cette page s’intitule : Les deux énergies. Germanie ou Franc
uses transcriptions ; à noter aussi une bonne étude sur Steinlen, des pages sur Zorn, sur Guys et Toulouse-Lautrec réunis en
sultat alors fut douteux, mais qui restera quand même une des grandes pages de la campagne d’Orient. Échos. Mort du poète
se faire religieuse fait à la jeune fille qui va devenir mère est une page de touchante beauté. Le dernier recueil de contes
censure : le numéro du 4 novembre offrit à ses lecteurs une première page entièrement blanche. MM. Lazzari et Serrati reste
e suivant de la brochure de M. Romain Rolland, Au-dessus de la Mêlée, page  40 : « Dans le numéro de novembre-décembre de la
26 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
écier le jugement de l’auteur. Nous extrayons de ces volumes quelques pages , qui nous ont paru particulièrement curieuses sur
s, bien des feuillets se perdirent : à cette heure plus de cinq mille pages ont trouvé un havre dans les grandes collections
e savait pas le grec et connaissait mal le latin, comme il appert des pages de lexique et de conjugaison, véritables devoirs
s’autoriser d’un texte sacré qui le justifierait. Saint Jean, dans sa page maîtresse, a dit : « La vie est la lumière des ho
ve dans une condition fort différente du contemporain qui destine ses pages à tout le monde. Le premier passe sous silence le
s et des fifres, parmi les étendards de soie, les belles dames et les pages , célébrait la Ligue éphémère de Florence, de Sixt
t Cie, Milan [extrait] […] On trouvera, dans ce gros volume de 538  pages , les chapitres les plus curieux, les plus typique
ut cela. Des générations entières se sont émues, s’émouvront, sur ses pages nombreuses, où tremble perpétuellement la petite
née d’or, avec le collier de la Toison d’Or au cou, et à qui un jeune page tend son casque. L’allure pleine d’orgueil et de
mieux que des antiquailles, c’est ce qui intéresse l’auteur. De bonne pages sont encore consacrées à la mort de Léon XIII. […
e et de la peinture italiennes. « Je voudrais citer, par exemple, les pages qui concernent Pérouse, vieille ville guerrière a
pelant qu’il a vécu longtemps dans ce pays et qu’il l’a décrit en des pages inoubliables. Un groupe d’écrivains, de lettrés e
sicien et esthéticien de la musique, très sérieux, montre en quelques pages rapides combien le génie musical italien est loin
as céder au mouvement d’une intransigeance légitime en nos temps. Ces pages ne tendent pas à une apologie de la Renaissance,
fade à notre Comédie-Française. Un mot suffit à accuser : il faut des pages pour justifier. Léon X entre Bibiena et Bembo ne
er-Riefstahl. Cette édition est accompagnée d’un supplément de quatre pages donnant en français un résumé des principaux arti
t les titres de deux opuscules). Ce recueil n’emploie pas moins de 18  pages de la revue. Elle contient pourtant des poèmes de
le culte du passé, notamment, observe M. Ferrero, en une remarquable page de psychologie historique, par toute cette jeune
uld sur le dernier volume de M. Anatole France ; de fortes et tendres pages de M. Charles-Louis Philippe Sur les maladies ; u
27 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
giques — qui surgissent, comme une volée d’oiseaux noirs, d’entre les pages de ce livre : Les Chants de Maldoror 1, leur nomb
hisciottino est un livre d’une jolie logique, — jusqu’à la pénultième page , — d’une fine observation. Je le vois, peuplier s
28 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
à la naissance de M. de Valois (le futur Louis-Philippe). Ce sont les pages les plus agréables à lire, et puisque la question
pays méditerranéens », qu’il voulut chérir avant tous les autres. Ces pages auront une saveur toute particulière. Car l’incon
29 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
affinés est capable de ressentir franchement la beauté des anciennes pages , écritures ou peintures. Au Louvre, les admiratio
ns hautes visées. C’est une histoire mélancolique où il y a de jolies pages . Les nouvelles et la scène symbolique réunies sou
de l’étude de M. Ojetti sur Fogazzaro sont à citer : « En chacune des pages de l’œuvre de Fogazzaro on sent la présence de l’
30 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
italiens et allemands, dont l’énumération ne remplit pas moins de 95  pages sur 102 du catalogue de la vente ; mais à cette b
ue. Ce qui s’est passé fin octobre sur l’Isonzo restera comme une des pages les plus curieuses, les plus émouvantes et les pl
i passe pour être l’organe de M. Sonnino, si ce n’est qu’en troisième page on y trouvait imprimée, en caractères microscopiq
Barzini : Scènes de la grande Guerre, qui contiennent les plus belles pages que l’on ait écrites sur la résistance des Belges
ces sont bien réduites chez nous depuis que les journaux ont moins de pages . […] Échos. Le Capitole est allemand Mercur
guerre, l’Avanti relègue les « communiqués » à la fin de la quatrième page (c’est à peine si on les distingue des annonces) 
eu autour de lui. C’est le procédé de M. Focillon. Nous y gagnons des pages intéressantes et justes sur l’Italie du xviiie  s
ard vêtu de noir était une figure « bien parisienne ». Dans une jolie page Henry Bauër, son compagnon à la Nouvelle-Calédoni
our d’amour, et l’on est tout surpris d’arriver à la dernière des 784  pages sans s’être ennuyé un instant et même en s’étant
ouvenirs grotesques et humoresques, Zingaresca, où l’on rencontre des pages alertes et piquantes et qui est peut-être le meil
depuis quelque temps, nous donne aussi, comme Govoni, les plus belles pages de son œuvre lyrique et une nouvelle collection d
, organe du ministère italien de l’Instruction publique, dont les 140  pages sont entièrement consacrées au rapport officiel d
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
a a pu appeler Dürer un Vénitien de Nuremberg. Mais quelques-unes des pages les plus remarquables de son ouvrage sont celles
nt, — outre l’exposition de ce programme, qui est elle-même une belle page de philosophie générale, — en français : une étud
ce et la foi, un aperçu de M. Buquet sur les Morales récentes, et des pages de M. Novicow ; en italien : une importante étude
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
veaux. Ceux qui ne se sont pas contentés de feuilleter les cinq mille pages des Mémoires ont certainement été récompensés d’u
nt l’attente énervée tient en haleine le lecteur pendant plus de cent pages . La scène de la séduction, la première visite de
33 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
et en le format étrange d’un étroit agenda de poche. Ces trop brèves pages sont un complet et fort juste résumé de l’actuell
’histoire de l’art dramatique moderne ». Mais j’ai hâte d’arriver aux pages sur les œuvres et les auteurs dont je vous parlai
ait point scellé dans l’austère granit de la Ville-Éternelle. Sur ces pages de pierre, ainsi dégagées, l’art pieux des Images
34 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
à s’affirmer que le jour où il se trouva révélé à lui-même devant une page de Baudelaire, qui se dresse, hautaine et méprisa
ivres d’Anatole France, surtout Thaïs, cette Tanagra parisienne ; les pages sincères de M. Paul Margueritte lui plaisent auss
on à faire. Il connaît Verlaine, l’aime et le juge comme il faut. Ces pages excellentes sont illustrées des plus curieux dess
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LIX. Musique à Naples »
. Je vais extraire ce qu’il dit de la musique et qui est assez court. Page  289 de l’original in-8°, mais je n’ai pas le temp
36 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVII »
me forlorn my time à Mocenigo but se (see four lines in the original page …)
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXII »
eds de terre, transportée sur des voûtes.] J’ai écrit une lettre de 8  pages . Hier mon trouble m’empêcha un peu d’être aimable
38 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIII »
ses. Dans ce moment, comme j’écrivais les dernières lignes de l’autre page , on est venu, en chantant, à ma porte d’entrée qu
39 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
arresti a cio che basta alla casa ? » Je dicterais actuellement 5 à 6  pages bonnes pour moi, mais je suis ennuyé d’écrire. Me
40 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
cuse d’une rétractation qui devait lui coûter, malgré tout : dans les pages du Dictionnaire philosophique qu’il consacre à l’
de compréhension de l’âme italienne contemporaine, révélé par les 300  pages de ce livre, est partagé en quelque sorte par le
41 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 233, 1er mars 1907 »
se seraient déjà signalés par la publication de quelques centaines de pages en prose ou en vers, de toucher la somme assez re
42 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
uté. Il faut une belle confiance en soi pour oser traiter en soixante pages ce sujet qui semble vaste comme un monde, la Scul
feuilletons des journaux romains, ont ce seul défaut d’avoir quelques pages trop voulues, comme si la crainte de n’être pas a
la réalité : les visions prennent une forme visible… Et il écrit des pages pleines de parfums, de nuances, de caresses. Au m
43 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
ue, — car c’est véritablement une entrevue, — occupe une trentaine de pages dans le tome IV des Mémoires, et il mérite, tant
e rôle de Gallus, le préfet d’Égypte, ou l’étudier (en de fort belles pages ) l’hellénisme en Asie-Mineure. Dans ces régions d
44 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
es plus vives qualités d’esthète-musicien. Il écrit sur Beethoven des pages remarquables de synthèse et de lyrisme. Le Leo
Livre, il feignait toujours de lire, et n’oubliait pas de tourner les pages . « Seigneur, écoute la parole de ton serviteur :
ir du grand agitateur génois a rempli des colonnes de journaux et des pages de revues. Le maître de l’insurrection italienne,
einement à ce sujet23. Lamartine a, en effet, écrit au crayon sur les pages blanches qui terminent le tome II de cette éditio
ne puisse en douter il sème comme à plaisir les négligences dans ses pages les mieux venues. Lamartine se corrigeait encore
des écrivains qui, seulement pour avoir écrit dans leur vie quelques pages remarquables, sont reconnus Maîtres, et dominent.
manuscrits, un sonnet de Pétrarque traduit à Brugg en 1824. Or, à la page  22 du tome II du petit Pétrarque qui m’a été grac
45 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
et la belle harmonie. Le second acte notamment contient d’admirables pages parmi lesquelles le « rêve de Cassio », supérieur
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