. Il est seulement regrettable qu’il n’ait su se garder aux dernières
pages
de son livre d’appréciations trop souvent acerbes
ès les œuvres de sa grande période historique. On goûtera de même les
pages
où il retrace la physionomie pittoresque de certa
t simple vulgarisation, contient les plus belles ou les plus célèbres
pages
des romans, nouvelles et autres écrits : les Idol
élicieusement fautive de ce bon vieux temps sourit et gronde dans ces
pages
, écrites, comme l’auteur même le dit, avec « gran
y a dans le livre de M. André Maurel de jolis tableaux de route, des
pages
curieuses d’histoire et d’art, et que même pour c
par une note. Parfois, la remarque est toute personnelle, comme à la
page
112 (édition de 1826) où Stendhal, ainsi que M. P
s nombreuses. Dans le premier volume il n’y en a qu’une, la suivante,
pages
129-180. Montesquieu n’a-t-il pas dit qu’il faut
ppartiennent les notes suivantes, contenues dans le second volume. (
Page
4). Un des grands et signalés bonheurs de la Fran
’est pas la France, c’est la…, qui a perdu cette bataille. royauté (
Page
12). Pour réussir, il s’agit à Bologne de plaire
vent il nie cette passion, car il est homme, mais il est p… prêtre (
Page
32). Que sera-ce des… actuels qui ont plus de peu
nt plus de peur de perdre leur place, que le moindre préfet ? rois (
Page
32). En France, depuis la Société de la… par laqu
il n’est pas trop sûr de faire l’aimable avec des inconnus. vierge (
Pages
40-41) que les impôts payés par ma terre C’est un
etite terre contribuent à payer. que les impôts payés par ma terre (
Page
93). Je ne veux pas du moins trahir les droits de
. Je ne veux pas du moins trahir les droits de l’hospitalité. lois (
Page
116). La contre-partie de ces habitudes sociales,
favorables au bonheur, c’est le pouvoir immense du p… du prétisme (
Page
132). S’il n’y avait pas d’intrigues et du p…e da
les petites villes de Toscane, on y vivrait fort heureux. prétisme (
Page
157). J’aurais eu beaucoup plus de plaisir étant
157). J’aurais eu beaucoup plus de plaisir étant seul. à être seul (
Page
158). Il me semble que je me mettrais à genoux, p
re fois, ils cessèrent de fuir après Trasimène… après le Trasimène (
Page
160). Les moines et la féodalité, qui sont mainte
furent d’excellentes choses en leur temps. la pire des absurdités (
Page
160, en note). Par exemple, le fameux Saint-Paul-
rebâtir au moyen d’un ordre de chevalerie. dont on vendra la croix (
Page
161)… Dès qu’il y a du saint Dominique et de l’in
ar une transition naturelle, les a…s de Nîmes en 1815. assassinats (
Page
181). Le héros que Ghita a tant aimé, et qu’elle
lle aime encore, est fort commun. et qu’elle aime peut-être encore (
Page
187). Est-ce la faute des gens bien élevés, si de
lait Samnite, et si pleutre depuis qu’il…… ? adore saint Janvier ? (
Page
194). Nous n’avons pas joui d’assez de sécurité p
r que la révolution pût entrer dans l’art ait eu le temps d’entrer (
Page
198). Je trouve chez M. Bianchi les deux hommes l
al Filangieri et le conseiller d’état Guoco. les plus remarquables (
Page
207). Presque pas de trace de civilisation, grand
e p… et ses r… font toute la civilisation. le papisme et ses rites (
Page
211). Ce pays-ci ne peut manquer d’avoir les deux
, et il se… onze. on le conquerra dix fois et il se révoltera onze (
Page
215). Le monde ayant commencé pour sous par des r
sublime à des âmes étiolées par la plate… comme Racine. monarchie (
Page
216). Le sort d’Alfieri fut de rugir contre les p
es à l’Europe et à l’Amérique, et faisait… révolution maison nette (
Page
217). L’insolence de quelques commis de la douane
de comprendre le mécanisme de la liberté. de la barrière de Pantin (
Page
233). Le roi sort effrayé de voir des cheveux san
marqué quinze ou vingt têtes noires. Elle dit un mot à l’officier… (
Page
245). Ces hommes illustres furent pendus al largo
lieu où Mazaniello commença sa révolution… c’est là que Mazaniello (
Page
247). Je voyageai à cheval avec un parasol et tro
à cheval avec un parasol et trois de mes nouveaux amis. voyageais (
Page
248). Il s’est mis à dire que la musique l’ennuie
eux qu’une statue de Canova. qui tourne les yeux et tire la langue (
Page
253). Lorsque Salicetti me remit ces 350 000 fran
ue Salicetti me remit ces 350 000 francs sans quittance… sans reçu (
Page
253). J’ai cru que l’enfant était tué : il peut a
ans, et jeta des cris horribles sous ma fenêtre… et jette des cris (
Page
259). Ce peuple a deux croyances : les rites de l
ux croyances : les rites de la… et la jetatura… de la superstition (
Page
263). Je sens désagréablement que je n’appartiens
privilégiées. que je n’appartiens pas à ces classes privilégiées. (
Pages
269-270). L’admission des femmes à l’égalité parf
humain et ses probabilités de bonheur. et ses chances de bonheur. (
Page
278). Salon délicieux à dix pas de la mer, dont n
rés par un bosquet d’orangers. dont nous ne sommes séparés que par (
Page
314). Ce qui est plus capital à mes yeux, peut-êt
u’elle verse sur les hommes… de bonheur qu’elle promet aux hommes. (
Page
320). Vous croyez que l’Italien est un hypocrite
qui songe le moins à son voisin. toujours marchant et dissimulant (
Page
323). Sans toutes ces qualités, le peuple romain
daignerait pas de rire de lui. et ne daignerait pas de rire de lui (
Page
324). Vous conviendrez que ce personnage n’est pa
aux mains de la… Qui songerait à prendre ombrage de Cassandrino ? (
Page
332). La pauvre Emma, qui redoutait peu les folie
ies de la comtesse sa protectrice… qui redoutait un peu les folies (
Page
333). La négociation fut conclue avec beaucoup d’
d’adresse par la comtesse cosmopolite. La négociation fut conduite (
Page
334). Son amant est devenu presque fou, ajouta la
ent parfois quelque révélation du plus grand intérêt historique. À la
page
41 on lit : Je n’ai pas parlé d’un vice-légat q
re deux de ses aides de camp. Besini mourut de peur… depuis un an… (
Page
67). Voici Paris vu par un étranger, homme de pla
et les……, toute l’Europe ne rêve que Paris. vexations de sa police (
Page
67, en note). Le gouvernement s’oppose à l’établi
i caractère !… les gouvernans ne veulent ni faire ni laisser faire (
Page
68). Tout ce qui ne veut pas être vexé par… vient
veut pas être vexé par… vient à Paris. l’évêque ou le sous-préfet (
Page
93, en note). Malgré la peur des… on bâtit à Bolo
la peur des rois, qui retombe en tyrannie sur la tête des peuples (
Page
119). C’était, en revanche, un spectacle comique
s de faire un homme. moyens employés par l’avarice des chambellans (
Page
176). Je vais au cabinet littéraire. Le Journal d
e Journal des Débats a été arrêté, etc. Rue San Giaccomo (Napoli). (
Page
176, en note). Voyez la Biblioteca Italiana, de M
n, journal payé à M. Acerbi par… c’est tout dire. M. de Metternich (
Page
208). Vous êtes enrhumé, et vous voulez garder vo
R. F. [roi Ferdinand] ne reconnaît pas. J’ai à penser à ce sujet. (
Page
250). Quand des princes lorrains débarquèrent en
ser à un Lorrain qui se mettrait en tête de faire le Ferdinand VII (
Page
264). Une troupe nombreuse de cavalerie et d’infa
ur la compléter, ou notent an changement à apporter par la suite : (
Page
90). Semblables à leurs pères du moyen-âge, les I
eposer de cette métaphysique 10 avril (
Page
158). Je réfléchis aujourd’hui sur mon émotion d’
usqu’à ces derniers temps… les aristocrates. Ah ! bene h aïr (
Page
182). La manière de sentir de l’Italie… est absur
leau sur lequel se détachent les mouvements de passion est triste… (
Page
215). Ce que j’ai vu de plus curieux dans mon voy
J’aime cette caserne, avec les mots écrits au charb. par un soldat (
Page
222). La naïveté est une chose fort rare en Itali
le goût littéraire, voir l’emphase de tous les prosateurs vivants (
Page
230). Les choses qu’il faut aux arts pour prospér
uperflu duquel on peut fort bien se passer. M. de Villemain ferait 10
pages
de ceci, et ensuite 2 articles pour pousser ces 1
in ferait 10 pages de ceci, et ensuite 2 articles pour pousser ces 10
pages
. Quelques notes, très rares, semblables à celle
pel pour l’Auteur même, ou, vraisemblablement, pour Romain Colomb. (
Page
69). Quand j’allais chez les gens à argent de Fra
voyais sensiblement plus estimé. je donnai un déjeuner magnifique (
Page
193). 14 mars. — Je sors du Joconde de Vestris II
e dans l’édition de 1826, et fut supprimée ensuite, nous rappelle les
pages
enlevées. Elle est ainsi conçue : Fragments refu
ttes. Cassandrino La Princesse Santavalle. L’autre note, écrite à la
page
intérieure de la couverture, indique d’autres cha
on : J’aurais dû supprimer les Articles danse à Naples et prendre 30
pages
à la fin du volume de la première édition. L’Assa
’il y en a. Pour délasser du cliquetis, placer 10 descriptions d’une
page
ou d’une demie page.
lasser du cliquetis, placer 10 descriptions d’une page ou d’une demie
page
.
tion médicale il y a un discrédit inéluctable jeté, dès les premières
pages
, par le manque absolu de sens philosophique chez
nscription de décors, se trouve rejeté dans les coins de phrase ou de
pages
. Il ne développe pas le décor, mais les quelques
Gauthiez a décrit minutieusement ses œuvres et il a essayé, dans une
page
fort intéressante, de nous révéler les procédés d
ent Venise — ils sont nombreux — le liront avec plaisir. En voici une
page
. Antonio Canal et Bernardo Bellotto purent donc a
rise, M. Giacosa reprit le vers italien de onze pieds, et écrivit des
pages
très belles, où le sens de l’héroïsme antique est
dant des artistes d’élite pourront lire avec émotion plusieurs de ses
pages
, choisies en particulier dans la belle tragédie l
r commémorer la mort de son ami dans une lettre qui restera parmi les
pages
les plus mal écrites et les plus pauvres d’idées
titre est : Petit livre inutile (Piccolo libro inutile). La dernière
page
de la couverture porte ces quelques lignes : « Le
s’affermir : Milan, le 29 octobre 1811. … J’ai lu à la chambre… 150
pages
de Lanzi13, qui, au milieu de son bavardage criti
ue je le craignais…… I have thought to translate Lanzi ; he has 1900
pages
; and to make of that 2 vol of 450. That would ad
nture. J’ai vu 14 de ces volumes ; ils contiennent encore beaucoup de
pages
blanches. Pourtant l’idée première semble s’être
t quitté Milan au commencement de novembre), il écrit sur la première
page
de l’un des volumes verts : Idée : Je compt
si nous voulons en comprendre tous les motifs, regardons encore à la
page
qui fait face à celle-ci, et ouvre le volume. Il
de le saisir. Datées de ce même 14 août 1814, on trouve déjà quelques
pages
de l’Introduction à l’Histoire de la Peinture. Il
boutades, suivant l’inspiration du moment. Et le décousu même de ces
pages
laisse assez voir comment elles furent écrites. P
écrit : « Beau idéal : made. » Et il apprend à Crozet28 que ces cent
pages
ont été écrites par lui « en 3 jours ». Ainsi fit
n, il en oublia pour un instant Angélina, et écrivit, sur la première
page
de son manuscrit : To the everlasting Memory o
. Beyle remplit la tristesse ou le vide des heures en noircissant des
pages
blanches, et bien peu lui importe, souvent, ce qu
trente ou quarante jours d’arrache-pied. Je réduisais par là à vingt
pages
ce qui en avait d’abord cinquante. J’ai usé le pe
le, et dont le sens serait : « J’ai pensé à traduire Lanzi (il a 1900
pages
), et à faire de cela un vol. de 450 (pages). Cela
traduire Lanzi (il a 1900 pages), et à faire de cela un vol. de 450 (
pages
). Cela m’amuserait, je pense, de dicter le frança
4. Tout un chapitre, et celui que Stendhal estimait le plus, les cent
pages
sur le Beau idéal, avait même totalement disparu.
l manquerait la première partie de ce voyage, comprenant dès lors les
pages
1 à 98. La partie que nous donnons ici étant daté
à Naples et celle du départ de Milan, précisée dans le Journal, à la
page
407, par cette phrase : “Je partis de Milan à 1 h
par la comtesse Simonetta, par prudence, après l’entrevue notée à la
page
406 du Journal : “Le 21 septembre, à 11 h. 1/2, j
i comblera une lacune qui se trouve dans le Journal de Stendhal, à la
page
410. Muet sur le séjour de Stendhal à Naples, ce
phes de Stendhal, ajoutées en 1813, augmentent considérablement les 8
pages
du texte de l’édition du Journal, et forment envi
pages du texte de l’édition du Journal, et forment environ cinquante
pages
des plus intéressantes, tant au point de vue des
-d’œuvre sur ce sujet si bon et si âpre à traiter, et à vrai dire les
pages
où le petit Plon-Plon se présente sont dignes d’a
. l’abbé Perosi ; mais je n’ai jamais pu lire à la file plus de trois
pages
de M. Mascagni ; de M. Puccini, plus de six ; et
on ne risque pas une méningite à persévérer un tantinet, on tourne la
page
, et ça recommence ou continue jusqu’au moment où
e l’Adriatique, Rimini, Ravenne, Sienne, jusqu’à Venise : trois cents
pages
des plus intéressantes, parce qu’elles sont simpl
Daumier, Gavarni, Forain, et les maîtres anciens, Callot, Raffet. Les
pages
où il commente Redon sont d’une critique très aig
er, du format ministre ; l’écriture recouvre le recto et le verso des
pages
qui sont réunies par mains ; ici et là, la pagina
able auteur des Mémoires était Stendhal, dont il se figurait à chaque
page
reconnaître « l’esprit, le caractère, les idées e
’un fait particulier. Ainsi, par exemple, débute un fragment de trois
pages
: « Un compliment qui n’est pas fait que pour dor
ermittent, il se sert de fragments quelconques de papier, parfois, la
page
blanche d’une lettre au revers de laquelle se lit
ênes. » Puis, il redevient abstrait et scrutateur, et il rédige deux
pages
, pleines d’un savoir curieux et insolite, sur le
ristique Précis de ma vie, daté du 17 novembre 1797. Certaines de ces
pages
ont été imprimées dans Le Livre, en 1887. Mais de
du papier semblable à celui sur lequel les Mémoires sont écrits ; les
pages
sont numérotées 104-148 ; et malgré le titre d’Ex
érèse Pompeati que j’avais laissée à Londres6 ». Voici un extrait des
pages
107 et 108 : « Nous y allons en pointe des pieds
Charpillon, quatre ans et demi auparavant, décrite dans le volume V,
pages
482-85. Toute la narration est faite sur un ton d
’il est fait allusion dans le VIe volume des Mémoires. Nous y lisons (
page
60) comment, le jour de Noël 1759, Casanova reçut
nt au nombre de plus de deux cents et les plus courtes avaient quatre
pages
», dit-il. Il n’en existe certainement pas deux c
examinés en 1899 par M. Arthur Symons. Dans le tome Ier de La Vogue,
pages
100 et suiv., parut le Précis de ma vie, publié c
galt pour le Carnaval de l’an 1792 ; tome II, p. 164 : L’Icosameron ;
page
168 : Essai d’égoïsme ; tome III : Le Polémoscope
anonyme. Enfin, M. Pierre Dufay nous a communiqué une brochure de 140
pages
dont il a surveillé la réimpression, entreprise p
r son dos : LEONARD SNETLAGE, J. CASANOVA. « C’était la copie exacte,
page
pour page et ligne pour ligne avec tous les signe
: LEONARD SNETLAGE, J. CASANOVA. « C’était la copie exacte, page pour
page
et ligne pour ligne avec tous les signes accessoi
i riche organisation cérébrale de cet Italien qui se montre, dans les
pages
qui vont suivre, linguiste et grammairien françai
feuillet du début, et pourtant une minute aussi s’arrêter aux grandes
pages
où l’artiste, en puissance plénière, maîtrise les
le roumain. Remarquons ensuite une tentative de sujet historique, une
page
sombre, d’une horreur et d’une grandiloquence pro
on doit être rangée dans la catégorie des exceptions, ou si, à chaque
page
, n’abondent pas les preuves qu’elle rentre dans c
et aux événements inscrits d’avance dans le livre du Destin. À chaque
page
, on trouve que telle époque, telle date, tel sain
s simples ; il a à décrire un moyen très compliqué, qui forme une des
pages
les plus émouvantes du récit, et qui laisse le le
ue nous avons à opposer au récit de l’auteur, après l’avoir, à chaque
page
, pris en flagrant délit de mensonge, après avoir
et avait pris les grades de compagnon et de maître à Paris. Dans deux
pages
fort curieuses, il porte son jugement sur la Maço
il nous faut nous arrêter. Voici ces titres, qui disent l’intérêt des
pages
qu’ils assemblent : « Le mariage religieux », « l
, pouvaient faire bien penser d’elle. Mais qu’on ne m’envoie plus des
pages
comme celles-ci : la fantaisie a des bornes, et o
s importantes révolutions de Rome. J’ai bien insisté sur ces quelques
pages
, rédigées elles-mêmes d’après l’ouvrage de M. Alf
rt Guiscard et Tancrède passent et repassent continuellement dans ces
pages
intéressantes. Il faut ajouter que le volume cont
lle Palatine, le dôme de Monreale. On y trouvera encore d’excellentes
pages
sur Ravenne ; sur Castel del Monte, le château de
on du plus érudit des romanciers contemporains. C’est un in-8° de 107
pages
. M. Jal, qui constatait avec admiration l’étendue
e qui concerne la marine, un ennemi de Rabelais et consacra plusieurs
pages
de son Archéologie navale aux navigations de Pant
statant non seulement des retranchements, mais encore en trouvant des
pages
évidemment ajoutées, qu’un éditeur n’a pas le dro
ui-même, nous donne en revanche un charmant itinéraire en France de 6
pages
, qui doivent être au manuscrit. Ce ne sont plus l
s été coupés par Rozez qui, en revanche, va nous fournir une série de
pages
inattendues qui ne se trouvent pas dans l’édition
d’Espagne, et nous ne l’en laisserons pas partir avant de citer cette
page
, écrite il y a plus de 100 ans, et qui frappera c
miner ses jours chez nous, non pas à Paris, mais dans le midi ? Cette
page
n’a évidemment pas été écrite à Dux en Bohême, lo
rs dont les uns essayent de dépasser les autres est bien la maîtresse
page
du livre. Et on dit que l’on passe les descriptio
le titre de Pie X intime, cette biographie du Pape. L’éloge, dans ces
pages
, était de rigueur ; nous disons l’éloge, et non l
: l’auteur ne les a pas ménagés, ce qui rend facile la lecture de ces
pages
. Science sociale. Memento [extrait] Henri Ma
travail. L’édition de Garnier a VIII volumes. Au VIe volume (il a 552
pages
) il écrit à la page 484. Aujourd’hui, 1er janvie
Garnier a VIII volumes. Au VIe volume (il a 552 pages) il écrit à la
page
484. Aujourd’hui, 1er janvier 1797, il me semble
s et un cinquième de volume à nous produire. Au VIIe volume (il a 563
pages
), il écrit à la page 313. Nous sommes aujourd’hu
olume à nous produire. Au VIIe volume (il a 563 pages), il écrit à la
page
313. Nous sommes aujourd’hui au 1er de l’an 1798
volume ½ à nous composer. Au VIIIe volume, tout au commencement, à la
page
17, rappelant une conversation avec le marquis d’
encore davantage. Le volume est près de finir, il n’y a plus que 100
pages
de texte. Or, à la page 341 il relate des faits à
ume est près de finir, il n’y a plus que 100 pages de texte. Or, à la
page
341 il relate des faits à l’âge de 47 ans, y ajou
’est son âge quand il est mort au mois d’août. On peut dire que cette
page
341 a été écrite quelques mois avant sa mort. Cet
e raisonnement et nos preuves à l’extrême. Les autres volumes ont 552
pages
, 563 pages ; le dernier volume n’a que 443 pages.
ent et nos preuves à l’extrême. Les autres volumes ont 552 pages, 563
pages
; le dernier volume n’a que 443 pages. Cette anné
tres volumes ont 552 pages, 563 pages ; le dernier volume n’a que 443
pages
. Cette année-là, il a produit un petit VIIIe volu
ui termine le chapitre XIV, l’avant-dernier. Nous n’avons plus que 20
pages
avant de finir : Dix ans plus tard, il me fut ut
des cartes et des photographies ; mais nous ignorions ici la dernière
page
de l’histoire. Sans hésiter, comptant prendre lan
Athènè sa protectrice le jette sur la côte phéacienne30. Depuis cette
page
, de l’Odyssée, tout poète ayant le souci de son a
d’émaux profonde et variée. Peut-être le plus magnifique est-il cette
page
crépusculaire où les eaux lentes semblent marcher
sur l’émigration italienne dans l’Amérique du Sud et en Tunisie. Des
pages
encore traitent de la question « irrédentiste »,
ait évidemment incliner au paradoxe, et que l’on situera à côté de la
page
où Mme de Sévigné donnait en mille à découvrir la
ées de plaisir et d’abondance. On trouve un écho de ces idées dans la
page
qu’on va lire sur la Campanie, contrée entre tout
dix volumes de mes traductions, elles ne donneraient pas ensemble dix
pages
. Veuillez agréer je vous prie, monsieur le Direct
ctéristiques de sa discussion. I Dans le Mercure du 1er janvier,
page
50, le Dr Guède écrit : Casanova, ayant ceint Ba
le faîte du toit… où il pouvait se mouvoir sans difficulté » (Fuite,
pages
203, 204), aurait été très capable, — non sans de
ment les recherches d’une technique faite pour la mise en place de la
page
décorative ont donné à certaines œuvres du Tintor
clipsé par Bazzi, il est visible que la malveillance inspire à chaque
page
sa biographie du Sodoma. Mais, d’autre part, Vasa
Hérelle. Cependant, celui-ci a tort de mesurer à la « quantité » des
pages
originaires de d’Annunzio, supprimées par lui dan
trop ce que l’auteur a voulu, on sent trop qu’il n’y a pas, dans ces
pages
, un coin émouvant, une ombre chère, où un esprit
x larmes de tous les regrets. Non. Le poète développe dans toutes ces
pages
consacrées au spectacle de la mort, plus qu’à la
nt. Et s’il nous plaît que le poète l’ait écrit, à cause de certaines
pages
d’une si belle littérature, un sentiment d’amertu
i tout ce qu’il a laissé. S’il est à peu près impossible d’isoler une
page
d’entre celles inspirées par Rome même, en voici
ours que chanter la claire mélodie d’Italie. Otello contient quelques
pages
des plus harmonieuses et des plus fortes qu’ait é
éro 368, 16 octobre 1912, p. 894-896 [896]. […] les plus plus belles
pages
de l’arétin. Avec un portrait. Notice de Guillaum
bais tout de suite dans l’incohérence. J’arrivai enfin à composer une
page
qui me semblât moins absurde que les autres. Tout
tti et Aldo Palazzeschi. Les extraits de leurs œuvres remplissent 422
pages
. Et nous admirons enfin sans réserves, nous étonn
de l’action sur les hauteurs de Gorizia. Il avait 27 ans. Sa dernière
page
, envoyée peu de jours avant sa mort à un journal
losophe hégélien, a cru trouver dans d’anciens numéros du Mercure des
pages
qui lui ont plu touchant la théorie de l’État-Pui
ée au Giasone de Cavalli, — qui ne date d’ailleurs que de 1649. Cette
page
troublante n’est pas moins remarquable par son or
ions de M. Guglielmo Ferrero sur La Guerre européenne. Ce sont là des
pages
de tout premier ordre, des pages de philosophie h
La Guerre européenne. Ce sont là des pages de tout premier ordre, des
pages
de philosophie historique. Je ne vois pas le moye
de notre civilisation et la tragédie sanglante où elle se débat. Les
pages
sur « La Belgique, clef du monde », insistent sur
Les peuples ne valent pas plus cher les uns que les autres. Dans les
pages
sur l’Italie, M. Ferrero résume l’histoire de ce
en, — du moins les choses m’apparaissent de la sorte à la lecture des
pages
de l’éminent publiciste italien, — je crois bien
L’admiration des professeurs pour l’Allemagne se manifestait à chaque
page
dans leurs ouvrages, mais ils ne nous avaient don
i se donnent la peine de penser ; il y en a qui contiennent de bonnes
pages
de polémique du temps de la neutralité : pourquoi
pas le dernier ? Mais, si on doit avouer toute la vérité, les seules
pages
inspirées par la guerre à un écrivain italien qui
is ce qu’il a laissé, excepté peut-être l’Esame où l’on rencontre des
pages
de prose émue et colorée qui révèlent le poète à
allemand de culture, il était surtout italien : il a écrit de bonnes
pages
italiennes, il est tombé pour l’Italie. Guido
démarquage : il avait lu Maeterlinck et il s’était même approprié des
pages
entières du mystique belge. Il laisse, dit-on, un
é ou refoulé jusqu’ici. Il y a même du lyrisme et de la couleur : les
pages
qui racontent le voyage angoissant de la petite a
ureuse d’intuitions magnifiques. Il expliquait, il justifiait, en des
pages
inspirées par le noble souci de comprendre, les p
contraint à l’humiliation de soi, il leur a dédié, par le roman, des
pages
émouvantes qui me font penser à des chants religi
, et je suis obligé, chaque fois, de relire la « Bovary » ou quelques
pages
de la Princesse de Clèves, dans le but de me reme
ais m’offrira toujours mieux : il aura le goût, et la discrétion. Les
pages
somptueuses de Gabriele d’Annunzio m’ennuient enc
« vrais », ils parleraient ainsi, et le roman se réduirait à quelques
pages
, sobres et rapides. — Ce jugement est bien sommai
. Mais quelle force, et quel mépris du convenu, révèlent ses moindres
pages
! Il est naturel que M. Corradini, ayant le culte
ur qui réconforte et qui libère. Il a consacré à formuler ce rêve les
pages
les plus fortes que je connaisse. Le rêve de M. C
t M. Monnier s’est donc diverti tant qu’il a pu. Il a ramassé, en 400
pages
, la collection complète des singularités vénitien
étourdi des grelots de ce long carnaval secoués pendant quatre cents
pages
, M. Monnier ne semble en avoir perçu. S’il y eut
tomba sans connaissance. Je cherche en vain cette scène aux dernières
pages
du livre. Cette minute suprême y manque. C’est qu
e île, — avec une érudition minutieuse et savoureuse aidant, à chaque
page
, aux trouvailles de plume, — le style de ce livre
s sur le théâtre chez les anciens et les étrangers, des variétés, des
pages
de littérature, enfin de fort belles gravures sur
40, avril 1893, p. 374-376. En une étude sur M. d’Annunzio, premières
pages
de Libri e Teatro, M. Luigi Capuana notait, à pro
ocent. Si le récit de si peu d’événements emplit près de quatre cents
pages
, c’est que l’auteur avait à dire, en même temps,
èvre individuelle, rend ardentes et même éloquentes quelques-unes des
pages
les plus récentes des jeunes prosateurs italiens.
rme l’originalité, sinon l’étrangeté, de M. Angelo Conti, remplit les
pages
nombreuses, en étend la signification, leur donne
r de la sorte contre elles, et pour exalter en quelque sorte à chaque
page
le courage de hautement les proclamer après les a
ls d’un peaussier de Pérouse, qui a nom Buoncompagni, après avoir été
page
du marquis de Tassi à Rome et lui avoir volé son
al, l’épée au flanc, une chaîne d’or au cou, naturellement suivi d’un
page
. Claude avait pour mission de soigner le cheval.
uiétudes réalisées, ce qui est, pour le moins, piquant. De même cette
page
magistrale, ces Arbres près d’une rivière ; de mê
et plates, au premier plan la mise en œuvre d’un récit antique, d’une
page
de la Bible, et, au fond, l’horizon très reculé d
e minutie psychologique très étrange ; toutefois, il compte de belles
pages
, et s’il n’est pas trop gai, il porte l’empreinte
mirable ; chaleur, conviction, mouvement, il y a tout ce qui fait une
page
d’art puissant. Mais pour le salut du jeune homme
ets de Pétrarque à Laure, par Fernand Brisset. Mais dès les premières
pages
de la préface je tombe sur ces lignes : « Je ne s
pables de faire du mal à une mouche et de lire une plaquette de vingt
pages
, qui ont lu trois fois le Quo vadis ; c’est le pr
ux, toujours pressé, ayant pour idéal de lire le plus grand nombre de
pages
en le plus court espace de temps possible ! il ch
-t-il joint à sa très belle étude sur Michel-Ange à Rome les diverses
pages
d’art de son livre augmentées encore de quelques
e sort guère de l’ambiguïté ou du contresens. Un roman abonde-t-il en
pages
psychologiques, la bonne représentation de ses pe
tes ses formes. Mais, pour créer des dessins où revécût le poème, des
pages
émouvantes et anagogiques, il eût fallu être un D
rations sourdes, cause un effet puissamment lugubre35. C’est l’unique
page
teintée de l’œuvre, mais, sans doute, le maître a
lépreuses dont ils sont couverts (XXIX). Dans un autre coin, sur une
page
très effacée, on reconnaît à son effrayante hydro
es les ombres se mordent, suffirait pour en faire une des très belles
pages
de cette illustration. Ailleurs, sur les feuilles
ent de telle sorte qu’il devient impossible de les noter en une seule
page
. Tandis que les yeux de l’aède purifié se fixent,
de Dante est, on le voit, inégale, mais très originale, et ses bonnes
pages
ne suscitent que des éloges. Toutes sont expressi
lière du merveilleux pays, aux œuvres quasi mortes et ruinées, qu’aux
pages
, peintes, laissées vivantes par les géants dispar
, — la morbidesse et l’esprit. Et chaque fois que, dans la suite, une
page
étincelante, inattendue, osée jusqu’au scandale e
ve ces lettres qui symbolisent les péchés capitaux. À gauche de cette
page
, en bas et en haut, volent les aigles, très décor
les. C’est là, je crois, la seule remarque à faire sur ces nombreuses
pages
, où le poète, avec art, et souvent avec un étonna
’Intermezzo et l’Exode, « motifs pour une symphonie », sont parmi les
pages
les plus belles du poète. Les strophes de Laus Vi
connue dans les termes précis de sa réalisation à travers les fortes
pages
récentes de M. Gabriel Boissy. W. Shakespeare
eux, et, distrait que vous êtes, vous y aviez oublié pour marquer une
page
une photographie de première communiante. Ravà l’
enragé, et j’ai peut-être tort, car il y a, Seingalt, de bien divines
pages
dans votre jeunesse qui rivalisent avec celles de
te au péril de sa vie, il a même eu sa crampe ; je vous cède toute la
page
la plus pathétique du récit, la pièce la mieux mo
forts, Fulin et d’Ancona. Que dites-vous encore de cette lettre d’une
page
qu’en partant il éprouve le besoin d’écrire dans
ces observations secondaires, ces mensonges qui se coudoient à chaque
page
, je ne les ai pas signalés dans mon travail parce
armi les meilleurs sur ce sujet. Il y aurait à citer presque à chaque
page
; le chap. xvii est consacré à la question des Be
décors déjà tant chantés. Littérature. Collection des Plus Belles
Pages
: L’Arétin, Notice de Guillaume Apollinaire, 1 vo
5, 1er février 1913, p. 583-589 [586-587]. En tête de ces Plus Belles
Pages
de l’Arétin, M. Guillaume Apollinaire a écrit une
Parme est la ville du Corrège — sur lequel M. Gabriel Faure donne des
pages
d’agréable critique ; c’est ensuite Modène, qui g
la Renaissance, entre chiens, chevaux et beaux atours ». Et certaines
pages
descriptives, où l’on retrouve le « paysage psych
rande beauté. La biographie de Cola di Rienzo abonde en de semblables
pages
. La vie du Tribun romain est représentée avec une
is que de force, que de poésie suggestive, dans un si grand nombre de
pages
. Je crois être d’accord avec l’auteur, en aimant
en qualité d’historienne. Et c’est pire encore si nous examinons les
pages
où elle s’évertue à indiquer la technique du méti
avec la mère de Manon. Il a écrit sur la vertu de Silvia Benozzi une
page
émue où il dit : « Sa conduite fut toujours sans
Casanova son ami, son amant et son cher mari, et lui jurait à chaque
page
, et presque à chaque ligne, une fidélité éternell
me plaintive, du martyr démonstratif. J’ai lu avec vive curiosité les
pages
relatives aux rapports célèbres du Secrétaire de
poraine de César Borgia), sous le jour de laquelle les plus terribles
pages
du livre admettent une interprétation plus relevé
à l’égard de ce livre, en appréciant ce qui me paraît être, dans ses
pages
drues, l’essentiel. Les Revues. Memento [extra
l’Adriatique, est curieuse par son ton passionné. On ne lira pas ces
pages
, en Italie, sans quelque frémissement. Memento
Où êtes-vous, à cette minute, ô voyageuse que j’attends ? Sur quelle
page
de l’atlas faut-il que je cherche le lac, la forê
ée, dessina ce petit arc rose — encore humide — au bas de la dernière
page
? VIII. À San-Zanipolo Ils dorment, couchés
dort, éternel, dans l’ombre des colonnades, comme une fleur entre les
pages
d’un livre ! Vous avez vu les sources d’Ilissus c
Croce, historien, philosophe et avant tout critique. Il faudrait des
pages
pour expliquer le développement de cet état d’esp
ds exploits européens. Ces deux volumes superbes, chacun de six cents
pages
, sont une étude des plus récentes sur l’unité ita
et celui-ci n’est pas une exception à cette règle excellente. Les 45
pages
en deux colonnes et petits caractères de l’index
il avait évoqué les splendeurs et l’épopée guerrière de Venise en des
pages
enthousiastes, et Bologne où l’on conserve toujou
lorence, malgré les désordres de son histoire, et dans les nombreuses
pages
qu’il consacre à ses descriptions, indique non se
ifices, mais jusqu’à la couleur et la patine du temps. Ses meilleures
pages
ainsi sont sur les choses d’art, beaucoup sur la
implique un tel chiffre ? Je signalerai, parmi les autres essais, les
pages
pleines d’intérêt, de détails précieux, sur « le
Le Corriere della Sera les recueille religieusement dans sa troisième
page
et ils font le secret ennui de tous les bourgeois
risme toujours mêlé, mais parfois puissant, ne méconnaît les « belles
pages
» que d’Annunzio a données à la littérature itali
ts de route, les récits de voyage, voire dans les romans. — Parmi les
pages
les plus intéressantes et avant les descriptions
Chioggia, par G. Rémond, et qui est peut-être une des plus curieuses
pages
du livre ; des choses humoristiques et jolies sur
que d’autres manquent à l’appel et l’on aurait pu y ajouter quelques
pages
de Taine, d’Eugène Muntz, qui comptent aussi comm
urieuse préface de M. de Wyzewa, dont nous avons encore d’excellentes
pages
sur Sienne et la peinture siennoise, indique enfi
duction par Sanfelice du Prométhée délivré de P. S. Shelley. Dans ces
pages
, il dit que le socialisme est une question sévère
Bosis ; elle paraîtra durant une seule année, en 12 fascicules de 80
pages
gr. in-40, sur merveilleux vergé à la cuve timbré
princes, ni rois, ni empereurs. » (Les Médicis, édition Michel Lévy,
pages
268 et 269.) » Lorsque Dante quitta Florence, il
à cause de son génie.” » (Une année à Florence, édition Michel Lévy,
page
194.) 1. Cellini nous fait lui-même le réci
tait curieux de rapprocher des articles de critique actuelle quelques
pages
des grands critiques d’un passé encore récent. Le
e à part : il faudrait, au moins, pouvoir disposer d’une vingtaine de
pages
pour expliquer en quoi ils diffèrent, comme sensi
: il me suffit de rappeler les Illuminations de Rimbaud et certaines
pages
de Mallarmé. Mais, dans les mots en liberté des f
ure de cette lettre. Vous ne devez pas ignorer ce que contiennent ces
pages
. — Inutile ! — Je le veux. J’ai reçu cette lettre
omets, pour bientôt, une nouvelle histoire. Les Journaux. Quelques
pages
inédites de François Coppée (Le Matin, 9 février)
ro 401, 1er mars 1914, p. 184-186 [184-185] Le Matin publie quelques
pages
inédites de François Coppée. Ce sont des notes ré
ir d’eau. Les phares. Nuit affreuse ; le roulis… etc. » Il y en a des
pages
de cette concision. Mais voici qu’il s’exalte dev
dans son milieu dès son enfance. Pascoli, dans une de ses plus belles
pages
, affirmait qu’on n’était poète que si on avait ga
euses de M. A. Dantier sur le monastère fortifié du Mont-Cassin ; des
pages
intéressantes d’un M. Gorani sur les Lazzaroni de
n beau portrait du cardinal, œuvre de Philippe Laszlo, accompagne ces
pages
. […] Tome CIX, numéro 405, 1er mai 1914
Brulard, a fait que j’ai cherché à noter les sons de mon âme par des
pages
imprimées. La paresse et le manque d’occasion d’a
ns de répliquer à Bombet qu’en premier lieu son livre n’avait pas 350
pages
, mais 298, et que, sur ces 298, 200 avaient été r
its en bas-relief de l’école lombarde ; les statues en marbre de deux
pages
qui accompagnaient croit-on, dans une église véni
ckhaus, vous ne trouverez pas, à partir du chapitre v du tome VI, des
pages
entières, d’une décence parfaite ou d’une licence
titution définitive. Je m’empresse d’apporter deux exemples topiques.
Page
1 du tome II des Mémoires (édition Garnier), on l
« Le général des galères ayant ordonné une revue générale à Gouyn… »
Page
6, on lit… « Je m’arrachai de ses bras pour me re
rd’hui en ruines, et situé à l’ouest du golfe, près de l’île de Vido.
Page
246 du tome VI, on lit : « … Je portai tout l’arg
ur les considérations personnelles que Laforgue a glissées entre deux
pages
des Mémoires ; mais Alessandro Ademollo et Aldo R
— parce qu’il a surpris Laforgue en flagrant délit de falsification,
page
450 du tome IV des Mémoires (édition Garnier), où
erbeer, les Halévy, les Auber, les Verdi, les Gounod, qui, malgré des
pages
remarquables et peut-être immortelles, ne parvien
bés dans l’atelier, cherche dans ses tiroirs les bouts de papier, les
pages
détachées, les notes, tout ce qui n’a pas été dév
es impressions, et voici justement le miracle. À parcourir ces jolies
pages
où la voyageuse s’efforça de traduire par des mot
si littérales attestent la filiation et, dans tels chœurs, en maintes
pages
dont presque tout le second acte d’Orphée, son ro
facile de le faire rentrer dans le cadre restreint d’un volume de 170
pages
. M. Émile Bertaux s’y est résigné et son livre su
eur a beau nous avertir que ces Memorabilia sont tirés des cinq mille
pages
des manuscrits du Vinci, comme nuls guillemets, n
gretter que certains détails soient traités un peu trop sommairement.
Page
124, M. Luchaire parle d’une connétablie institué
uissante famille placée entre l’Empire, les Ligues et le Saint-Siège.
Page
164, un trait faux : « Si violente que fût son ir
de tels papes, à une telle époque, n’avaient point de ces scrupules.
Page
95, nous trouvons cette expression anachronique :
ne. On a reproché à M. Gauthiez d’avoir placé ses notes (il y en a 70
pages
) à la fin du volume : il faut bien trouver quelqu
hose à reprendre. Cela peut déranger la disposition en usage pour les
pages
d’érudition ; mais cela permet mieux de lire, dan
à ce propos sur le Prix de Rome et l’Éducation des artistes quelques
pages
intenses, rares et vraies, d’une noble et logique
Ricciotto Canudo. Tome LII, numéro 180, décembre 1904, p. 813-820.
Pages
inédites des Fiancés de Manzoni Dans ces Chron
ent III et de ses contemporains. 3 vol. in-8°. 4. Voir, à ce propos,
page
147, les conseils si caractéristiques de la belle
pût être brillant. J’ai lu à la chambre Contrada, dei due Walls, 150
pages
de Lanzi qui, au milieu de son bavardage critique
tomber dans l’erreur de cet homme extraordinaire, je viens d’écrire 4
pages
de phrases plates. Cimbal était à la banque Borom
mours, de douleurs, passent sous nos yeux en ces quelques milliers de
pages
. L’Italie peut saluer son plus grand poète vivant
que j’y cherchais : le côté artistique est très marqué et les belles
pages
vives, claires, dramatiques, y abondent. Cela suf
aler les types représentés à cette exposition, certainement plusieurs
pages
du Mercure. Voici Rome avec Joannes Beplin, Alema
s qu’ils contiennent. Il ne faut point chercher dans ces quatre cents
pages
des impressions originales. L’auteur ne nous fait
our incoercible, qui finit avec la mort d’un des coupables. De belles
pages
: je ne croyais pas Mme Jolanda capable d’arriver
Revue franco-italienne, Naples M. Gius. Gramegna consacre quelques
pages
véhémentement enthousiastes à un Statuaire italie
e temples abolis et replacés sur leur autel — son autel. Variétés.
Pages
de maîtres Charles Morice. Tome XLIV, numéro 1
des spécialistes, des compétents. Un tableau des Van Eyck, c’est une
page
maîtresse de l’histoire de l’art ; l’attribution
erre. M. Ernest Leroux, l’éditeur, a bien fait de réunir ces quelques
pages
où l’on peut trouver facilement un certain nombre
vrier de la Tribuna. Une photographie occupe le milieu de la première
page
. Elle représente M. Marinetti, inventeur du futur
’un point à l’autre de l’immense front occidental. J’ai lu de lui des
pages
incomparables rendant à merveille la physionomie
é faite des écrits de cet auteur ». En effet, elle remplit 40 grandes
pages
in-octavo composées en caractères très fins. C’es
« Chronologie biographique » et aussi une bibliographie de plus de 20
pages
. Pour couronner le tout, un excellent index compl
ntensité du sentiment, par la beauté et la grandeur de la vision, des
pages
où l’auteur décrit les champs de bataille de la M
il des articles de Lavedan sur la guerre. Feuilletez les trois cents
pages
qui forment le nouveau volume de Lavedan et vous
« petites fleurs » de saint François. Récemment, il réimprimait cette
page
exquise de la légende franciscaine ; Comment sain
que à écrire, et d’ailleurs, M. Welschinger, dans sa brochure de cent
pages
, paraît avoir écrit sur ce chapitre tout ce qu’on
profondément humain, du peuple italien : on le voit, au cours de ces
pages
, s’exalter au récit des souffrances du peuple bel
vement d’avant-garde de la musique française et l’expliquent dans des
pages
qui ne demeureront pas stériles. L’ouvrage de M.
. Ferrero me semble contenir la somme de vérité qui donne du prix aux
pages
écrites. Vous en jugerez d’après celle-ci : Un h
eue (30 janvier). « La pensée de la Renaissance », par M. Péladan. «
Pages
libres » (30 janvier). Lettres de Calabre (août 1
l’a dit Carlyle, une nouvelle Renaissance, mais dans les innombrables
pages
qu’il continuera de consacrer à l’art et à la nat
nous montre en outre quelles circonstances ont inspiré telle ou telle
page
, nous en serons d’autant mieux éclairés. Quelques
êlées me repassaient toutes dans l’esprit pendant que je tournais les
pages
de l’album où André Rouveyre a construit son Gyné
s, littérateurs, ont répondu. Leurs réponses remplirent de nombreuses
pages
de la revue, et composent ce livre, qui se complè
mais le style en est alerte et clair, et elle se développe vingt-deux
pages
durant, sans arriver, selon nous, à nous convainc
appelle, des correspondants de l’enquête ? Il n’aurait pas écrit les
pages
de sa préface, et le livre dont il occupe le seui
s’il y a un portrait littéraire, une « confession », dans toutes ces
pages
, c’est bien dans le questionnaire qu’il faut les
tous les ouvrages de M. Beltramelli. Le dieu Faunus resurgit dans ces
pages
, à la manière du dieu Pan. « J’ai écouté la voix
, c’est lui qui a projeté sur Rome sa propre vision romantique. Cette
page
de Renan le fera comprendre : Vous ne sauriez cro
ouceurs de l’existence régulière et qui ne regrette rien du monde, la
page
suivante où, dans un de ses Poèmes légendaires, c
s les solitudes bénies et couvertes de forêts de Vallombreuse. Cette
page
, à mon sens, est vraiment significative. Rien de
e. Un souffle des Fioretti, venu d’Assise, est très sensible dans les
pages
de Dom Bruno. Il s’est arrêté sans doute de longu
sortis. On criait les journaux du soir, j’en ouvris un. À la première
page
s’y trouvait le compte-rendu de la quatrième conf
au. George Sand s’éprit de lui. Une nuit, après avoir griffonné trois
pages
, elle les mit dans une enveloppe sans adresse, qu
gello sourit finement et m’ouvrit Une Histoire d’amour, à la dernière
page
du Journal : Il l’ennuyait, cet Italien qui, ave
l’esprit, le caractère, les idées et le style se retrouvent, à chaque
page
, dans les Mémoires imprimés ( !) ». Voilà l’origi
s des remerciements pour des envois de volumes nous trouvons dans cas
pages
quelques curieux détails sur la vie de Nietzsche.
(août) contient une série d’articles d’art des plus intéressants. […]
Pages
vibrantes de M. Herman Bang sur Eleonora Duse, av
tiques opposés et discutés dans les colonnes des journaux et dans les
pages
des revues. En haine de d’Annunzio, triomphateur
de demain. Dans la préface, M. de Maria parle de son esthétique. Ses
pages
sont très méditées, et ses aperçus sur la nécessi
vures du format cartes postale, réunies dans un élégant album, avec 4
pages
de notices. Une récente série, consacrée à notre
souvent appelé Piero della Francesca, sur la foi de Vasari, quelques
pages
précises. M. Émile Bertaux de son côté nous initi
bien tenir dans leurs balances, et qu’elle est impondérable. Une des
pages
de pensée les plus émues qu’il m’ait été donné de
) et voudrais leur signaler une lacune. Ils parlent bien, en quelques
pages
, de ce qu’ils nomment les « départements accessoi
in qui aime surtout Stendhal à travers Napoléon, mais lui a dédié des
pages
que l’historien doit connaître. Toutefois, nous p
connaissances les plus étendues et une parfaite compétence. Il a des
pages
remarquables sur le peintre religieux par excelle
rture da cours d’histoire des religions, de M. Alfred Loisy, quelques
pages
de M. Paul Gaultier sur l’Art de Saint-Sulpice et
67-374 [373]. […] La Revue Germanique (mars-avril) contient quelques
pages
de très justes réflexions sur Georges Moore, par
rmands et de la civilisation composite de la Sicile au Moyen-Âge, des
pages
attachantes et probes, pleines d’aperçus ingénieu
actère de celui-ci, en son hybridité troublante, transparaît à chaque
page
d’un récit qui semble s’attacher exclusivement à
plus la fraîcheur, la verve, le mélos savoureux et poignant de telles
pages
d’Orphée, mais, pour emperruquer décidément les d
le prise à l’arbre montant à la fenêtre de ma chambre. Platane. » Les
pages
, publiées ici, occupent les feuillets 54 à 83. Un
il. Mafarka se battant à côté de son frère Magamal, l’enragé, est une
page
fabuleusement saisissante. Le festin des monstres
artie de « Voyage du Condottiere », de M. André Suarès, où il y a des
pages
capitales sur Mantoue. […] Les Pages Modernes (j
M. André Suarès, où il y a des pages capitales sur Mantoue. […] Les
Pages
Modernes (juin). […] — « La Veillée », par M. Zuc
ux. Mais il revient à M. Fernand Hayem le mérite d’avoir fixé, en ces
pages
qui ont du mouvement et de la variété en leur pré
u, n’a-t-il pas découvert que Béatrice, sa femme, le trompait avec le
page
Lélio ? Astolphe se raille de sa mésaventure et «
rche d’une femme vertueuse et jolie et emmènent avec eux le Fou et le
Page
qui les ont trompés. Comme la chemise d’un homme
atoniques abonnés à des bibliothèques circulaires de province. De ces
pages
on ne rappelle que l’impudeur bravante et l’impié
on travail sur La Pensée ésotérique de Léonard de Vinci. Le nombre de
pages
a été plus que doublé. Il forme ainsi réellement
ment ; c’est le chapitre final des romans bien faits ou les cinquante
pages
d’essai du jeune auteur riche « qui vient de là-b
de la guerre de Pérouse jusqu’à la chute d’Alexandrie. Aux dernières
pages
de son précédent volume, où il a donné toute son
riage d’Antoine avec la reine d’Égypte. (Voir là-dessus la note de la
page
96.) M. Ferrero s’est appuyé, ici, sur l’autorité
sicisme de réminiscences devient abstraction. Le poète écrit enfin la
page
qui doit rester dans l’histoire littéraire de son
, et le style n’a plus ce ton railleur qui souvent rendait de longues
pages
de vers semblables à de la polémique rythmée. L’é
l’esprit méditerranéen, dont la prophétie, faite aujourd’hui dans ces
pages
, un jour ne semblera peut-être pas simplement par
te plus connu sous le pseudonyme de Rastignac, a fait représenter des
pages
de politique contemporaine dramatisée sous le tit
s talents en même temps que l’analyse des œuvres. Dans les deux cents
pages
qui traitent de Verlaine, puis de Mallarmé, rien
sionnante gravité de ses consolantes paroles Pax vobis. Ces quelques
pages
ne suffisent pas, certes, à décréter cet oratorio
que chose. Je suis loin d’affirmer qu’on ne puisse pas rencontrer des
pages
superbes, magistrales, dans ces tragédies ; mais
strales, dans ces tragédies ; mais le théâtre ne se fait pas avec des
pages
. P.-S. — Je parlerai la prochaine fois, outre de
Pica ; en Italie, puisque c’est Flegrea qui inséra les intéressantes
pages
de M. de Roberto ; en Russie, car Tolstoï est un
ment rien trouvé que des vers épars (à peine), des mots jetés sur des
pages
. Aurait-elle jamais été écrite ? On n’en sait rie
de l’Angleterre, l’esclave de l’opinion. Stuart Mill, qui a écrit des
pages
si belles et si amères sur la tyrannie de l’opini
ui ne se trouvent pas dans Garnier. En revanche, ce dernier donne des
pages
et des détails charmants de voyage, des enthousia
t dans le livre d’Hermann Grimm, das Leben Michelangelo’s. — Quelques
pages
admirables sur Savonarole dans Michelet. En revan
fatigué, très faible, de M. Fogazzaro, n’arrive pas à créer une seule
page
littéraire qu’on puisse lire avec profit, sinon a
l’universelle souffrance. Un grand souffle d’idéalisme passe dans ces
pages
. Le dernier livre de Paolo Mantegazza : l’Anim
Et si tous les auteurs se donnaient la peine de couper eux-mêmes les
pages
de leurs œuvres ! Nous serions trop heureux et la
uscrit. Je l’examinai et les noms de peintres que je trouvai à chaque
page
m’intriguèrent. J’appelai Enéa et lui montrai ma
cartes astronomiques, la vie de Giorgio Barbarelli. * Le cahier a 180
pages
. Il a dû appartenir à Nicolas Aldramino, qui fut
ompagnies françaises, les chevau-légers, les lances, la multitude des
pages
et des couteliers composaient la plus magnifique
saurait marquer les bornes. Ce livre en fournira les preuves à chaque
page
. Son auteur est un savant célèbre habitué aux mét
en jouissait et dédaignait de l’analyser. On lira encore de curieuses
pages
inédites de Stendhal sur Florence, Venise, Padoue
ables. Tout de même, je trouve que Louvois le fait beaucoup poser (la
page
est jolie) ; et les secrets conseils d’audace et
la journée dehors… Quand je revins on m’annonça qu’un cavalier et son
page
avaient enlevé la Maurina… Je devinai que c’était
du poète, qui sont vraiment fort agréables : Gustave Flaubert, à la
page
10 de la Tentation de saint Antoine, parlait ains
. Feuilletons au hasard la Tentation de saint Antoine. Nous lisons,
page
38 : « Aux coins du dais étendu sur la tête quatr
coins du dais étendu sur la tête quatre colombes d’or sont posées. »
Page
150 : « De la coupole pendant à des fils que l’o
ercevait pas, quatre grands oiseaux d’or, les deux ailes étendues. »
Page
42. « Un dromadaire, chargé d’outres percées, pa
evient, laissant couler de la verveine pour rafraîchir les dalles. »
Page
96 : « Des clochettes d’argent qu’ils portent so
o argento sotto la mascella spargean su i marmi essenza di verbena.
Page
74 de la Tentation. « Le secret que tu voudrais
s sources avec le hennissement des licornes se mêlent à leur voix… »
Page
17 des Élégies romaines : L’hanno in custodia i
paraîtra — espérons-le — bientôt. Dans un fort et beau volume de 600
pages
, orné de belles reproductions d’œuvres d’art, don
en ce sens on ne peut que le louer. On lira également avec profit les
pages
de M.de Foville sur les terres cuites émaillées d
r de la revue, et dans lequel Leigh Hunt donna les soixante dernières
pages
de l’œuvre de Landor. Le fragment qu’a traduit M.
représente la dixième partie de l’ouvrage entier. Mais ces cinquante
pages
suffisent à justifier le choix du traducteur, et
ile. Paris, H. Fournier jeune, 1829, in-8. C’est un volume de xii-260
pages
, qui se compose de cinq parties : 1° Avant-propos
couvent de Baïano, récit 81-122 ; 4° Chronique, 123-234 (y compris 4
pages
d’index) ; 5° Notes, 235-260 (y compris 2 p. blan
vre qui l’avait vivement intéressé. On en trouve la preuve dans trois
pages
autographes nos 81, 82 et 83 qui font suite à ce
avec lequel elles sont reliées. » (A. Cordier.) GRAPHIQUE DES TROIS
PAGES
AUTOGRAPHES DE STENDHAL FAISANT SUITE AU VOLUME I
s de ces artistes médiocres, il se croit obligé de faire connaître la
page
des plates histoires qui en parlent. Par ces rais
tresens. « 14 octobre 1841. » M. A. Paupe conclut par cette agréable
page
: Il est à remarquer que, dans cette petite coll
ités de Gregorovius apparaissent d’une façon remarquable. En quelques
pages
le savant allemand nous refait l’historique de la
s réserve ce fabuleux cas de clinique d’où l’on peut extraire maintes
pages
de gracieuse poésie à l’usage des lectrices qui p
La position de l’Italie dans la question d’Orient est résumée en une
page
(p. 232) où le nom de Tripoli n’est pas écrit. Il
nnunzio. Les critiques voient le jeune maître partout ; à travers les
pages
des autres, surtout. Il suffit d’employer un adje
uteurs qui tremblent à l’idée de se voir mis à la queue de ses petits
pages
, font un effort surhumain pour fuir le soupçon de
is que je pourrais continuer de cette manière pendant trois ou quatre
pages
, et j’ai promis de ne pas discuter ; je me réserv
habituelles de son chemin. Toutefois, il faut être juste : de belles
pages
marquent la carrière politique de Cavallotti. En
ité énergique : en effet, tout le roman ne tient que deux cent trente
pages
, mais savoir être bref et pourtant significatif,
mpossible que je tâche avec des adjectifs de montrer la beauté de ces
pages
et d’autres ; on ne raconte ni l’eurythmie, ni le
et par son charme ingénu ; il l’a traitée avec amour. Les meilleures
pages
de sa partition se rapportent à elle : la scène d
ble de Jouy ne gênèrent nullement Rossini pour atteindre, en quelques
pages
de Guillaume Tell, à un lyrisme purement musical
me irrésistible. Parsemées dans le plus inégal des chefs-d’œuvre, ces
pages
vivront autant que la musique elle-même. On en re
es choses d’Italie. Autant qu’il le connaît, il aime ce pays ; et ses
pages
sont animées d’une belle chaleur latine, douce à
, G. Van Oest et Cie, 3 fr. 50 Que Jules Destrée a écrit de jolies
pages
sous le titre : En Italie pendant la guerre ! Ici
tuelle préface de Ferdinand Martini, ex-ministre des Colonies, et des
pages
autobiographiques (Bologna, N. Zanichelli). Il av
de réunir ses plaquettes de vers dans un volume de presque cinq cents
pages
(Le foglie dell’Alloro. 1898-1913. Bologna, Zanic
te dans l’histoire de cette science. Elle ne compte pas moins de 1700
pages
remplies d’idées, de faits et de classifications
s lignes suivantes et dont nous voudrions pouvoir citer de nombreuses
pages
: « Les civilisations antiques, dit-il, excellaie
nt, plus subtil et spiritualisé, Natures de feu. Il y a là-dessus une
page
prodigieuse dans la vie de Catherine. Un jeune ho
ù on ne pensait à la guerre que d’une façon très problématique. Cette
page
s’intitule : Les deux énergies. Germanie ou Franc
uses transcriptions ; à noter aussi une bonne étude sur Steinlen, des
pages
sur Zorn, sur Guys et Toulouse-Lautrec réunis en
sultat alors fut douteux, mais qui restera quand même une des grandes
pages
de la campagne d’Orient. Échos. Mort du poète
se faire religieuse fait à la jeune fille qui va devenir mère est une
page
de touchante beauté. Le dernier recueil de contes
censure : le numéro du 4 novembre offrit à ses lecteurs une première
page
entièrement blanche. MM. Lazzari et Serrati reste
e suivant de la brochure de M. Romain Rolland, Au-dessus de la Mêlée,
page
40 : « Dans le numéro de novembre-décembre de la
écier le jugement de l’auteur. Nous extrayons de ces volumes quelques
pages
, qui nous ont paru particulièrement curieuses sur
s, bien des feuillets se perdirent : à cette heure plus de cinq mille
pages
ont trouvé un havre dans les grandes collections
e savait pas le grec et connaissait mal le latin, comme il appert des
pages
de lexique et de conjugaison, véritables devoirs
s’autoriser d’un texte sacré qui le justifierait. Saint Jean, dans sa
page
maîtresse, a dit : « La vie est la lumière des ho
ve dans une condition fort différente du contemporain qui destine ses
pages
à tout le monde. Le premier passe sous silence le
s et des fifres, parmi les étendards de soie, les belles dames et les
pages
, célébrait la Ligue éphémère de Florence, de Sixt
t Cie, Milan [extrait] […] On trouvera, dans ce gros volume de 538
pages
, les chapitres les plus curieux, les plus typique
ut cela. Des générations entières se sont émues, s’émouvront, sur ses
pages
nombreuses, où tremble perpétuellement la petite
née d’or, avec le collier de la Toison d’Or au cou, et à qui un jeune
page
tend son casque. L’allure pleine d’orgueil et de
mieux que des antiquailles, c’est ce qui intéresse l’auteur. De bonne
pages
sont encore consacrées à la mort de Léon XIII. […
e et de la peinture italiennes. « Je voudrais citer, par exemple, les
pages
qui concernent Pérouse, vieille ville guerrière a
pelant qu’il a vécu longtemps dans ce pays et qu’il l’a décrit en des
pages
inoubliables. Un groupe d’écrivains, de lettrés e
sicien et esthéticien de la musique, très sérieux, montre en quelques
pages
rapides combien le génie musical italien est loin
as céder au mouvement d’une intransigeance légitime en nos temps. Ces
pages
ne tendent pas à une apologie de la Renaissance,
fade à notre Comédie-Française. Un mot suffit à accuser : il faut des
pages
pour justifier. Léon X entre Bibiena et Bembo ne
er-Riefstahl. Cette édition est accompagnée d’un supplément de quatre
pages
donnant en français un résumé des principaux arti
t les titres de deux opuscules). Ce recueil n’emploie pas moins de 18
pages
de la revue. Elle contient pourtant des poèmes de
le culte du passé, notamment, observe M. Ferrero, en une remarquable
page
de psychologie historique, par toute cette jeune
uld sur le dernier volume de M. Anatole France ; de fortes et tendres
pages
de M. Charles-Louis Philippe Sur les maladies ; u
giques — qui surgissent, comme une volée d’oiseaux noirs, d’entre les
pages
de ce livre : Les Chants de Maldoror 1, leur nomb
hisciottino est un livre d’une jolie logique, — jusqu’à la pénultième
page
, — d’une fine observation. Je le vois, peuplier s
à la naissance de M. de Valois (le futur Louis-Philippe). Ce sont les
pages
les plus agréables à lire, et puisque la question
pays méditerranéens », qu’il voulut chérir avant tous les autres. Ces
pages
auront une saveur toute particulière. Car l’incon
affinés est capable de ressentir franchement la beauté des anciennes
pages
, écritures ou peintures. Au Louvre, les admiratio
ns hautes visées. C’est une histoire mélancolique où il y a de jolies
pages
. Les nouvelles et la scène symbolique réunies sou
de l’étude de M. Ojetti sur Fogazzaro sont à citer : « En chacune des
pages
de l’œuvre de Fogazzaro on sent la présence de l’
italiens et allemands, dont l’énumération ne remplit pas moins de 95
pages
sur 102 du catalogue de la vente ; mais à cette b
ue. Ce qui s’est passé fin octobre sur l’Isonzo restera comme une des
pages
les plus curieuses, les plus émouvantes et les pl
i passe pour être l’organe de M. Sonnino, si ce n’est qu’en troisième
page
on y trouvait imprimée, en caractères microscopiq
Barzini : Scènes de la grande Guerre, qui contiennent les plus belles
pages
que l’on ait écrites sur la résistance des Belges
ces sont bien réduites chez nous depuis que les journaux ont moins de
pages
. […] Échos. Le Capitole est allemand Mercur
guerre, l’Avanti relègue les « communiqués » à la fin de la quatrième
page
(c’est à peine si on les distingue des annonces)
eu autour de lui. C’est le procédé de M. Focillon. Nous y gagnons des
pages
intéressantes et justes sur l’Italie du xviiie s
ard vêtu de noir était une figure « bien parisienne ». Dans une jolie
page
Henry Bauër, son compagnon à la Nouvelle-Calédoni
our d’amour, et l’on est tout surpris d’arriver à la dernière des 784
pages
sans s’être ennuyé un instant et même en s’étant
ouvenirs grotesques et humoresques, Zingaresca, où l’on rencontre des
pages
alertes et piquantes et qui est peut-être le meil
depuis quelque temps, nous donne aussi, comme Govoni, les plus belles
pages
de son œuvre lyrique et une nouvelle collection d
, organe du ministère italien de l’Instruction publique, dont les 140
pages
sont entièrement consacrées au rapport officiel d
a a pu appeler Dürer un Vénitien de Nuremberg. Mais quelques-unes des
pages
les plus remarquables de son ouvrage sont celles
nt, — outre l’exposition de ce programme, qui est elle-même une belle
page
de philosophie générale, — en français : une étud
ce et la foi, un aperçu de M. Buquet sur les Morales récentes, et des
pages
de M. Novicow ; en italien : une importante étude
veaux. Ceux qui ne se sont pas contentés de feuilleter les cinq mille
pages
des Mémoires ont certainement été récompensés d’u
nt l’attente énervée tient en haleine le lecteur pendant plus de cent
pages
. La scène de la séduction, la première visite de
et en le format étrange d’un étroit agenda de poche. Ces trop brèves
pages
sont un complet et fort juste résumé de l’actuell
’histoire de l’art dramatique moderne ». Mais j’ai hâte d’arriver aux
pages
sur les œuvres et les auteurs dont je vous parlai
ait point scellé dans l’austère granit de la Ville-Éternelle. Sur ces
pages
de pierre, ainsi dégagées, l’art pieux des Images
à s’affirmer que le jour où il se trouva révélé à lui-même devant une
page
de Baudelaire, qui se dresse, hautaine et méprisa
ivres d’Anatole France, surtout Thaïs, cette Tanagra parisienne ; les
pages
sincères de M. Paul Margueritte lui plaisent auss
on à faire. Il connaît Verlaine, l’aime et le juge comme il faut. Ces
pages
excellentes sont illustrées des plus curieux dess
. Je vais extraire ce qu’il dit de la musique et qui est assez court.
Page
289 de l’original in-8°, mais je n’ai pas le temp
me forlorn my time à Mocenigo but se (see four lines in the original
page
…)
eds de terre, transportée sur des voûtes.] J’ai écrit une lettre de 8
pages
. Hier mon trouble m’empêcha un peu d’être aimable
ses. Dans ce moment, comme j’écrivais les dernières lignes de l’autre
page
, on est venu, en chantant, à ma porte d’entrée qu
arresti a cio che basta alla casa ? » Je dicterais actuellement 5 à 6
pages
bonnes pour moi, mais je suis ennuyé d’écrire. Me
cuse d’une rétractation qui devait lui coûter, malgré tout : dans les
pages
du Dictionnaire philosophique qu’il consacre à l’
de compréhension de l’âme italienne contemporaine, révélé par les 300
pages
de ce livre, est partagé en quelque sorte par le
se seraient déjà signalés par la publication de quelques centaines de
pages
en prose ou en vers, de toucher la somme assez re
uté. Il faut une belle confiance en soi pour oser traiter en soixante
pages
ce sujet qui semble vaste comme un monde, la Scul
feuilletons des journaux romains, ont ce seul défaut d’avoir quelques
pages
trop voulues, comme si la crainte de n’être pas a
la réalité : les visions prennent une forme visible… Et il écrit des
pages
pleines de parfums, de nuances, de caresses. Au m
ue, — car c’est véritablement une entrevue, — occupe une trentaine de
pages
dans le tome IV des Mémoires, et il mérite, tant
e rôle de Gallus, le préfet d’Égypte, ou l’étudier (en de fort belles
pages
) l’hellénisme en Asie-Mineure. Dans ces régions d
es plus vives qualités d’esthète-musicien. Il écrit sur Beethoven des
pages
remarquables de synthèse et de lyrisme. Le Leo
Livre, il feignait toujours de lire, et n’oubliait pas de tourner les
pages
. « Seigneur, écoute la parole de ton serviteur :
ir du grand agitateur génois a rempli des colonnes de journaux et des
pages
de revues. Le maître de l’insurrection italienne,
einement à ce sujet23. Lamartine a, en effet, écrit au crayon sur les
pages
blanches qui terminent le tome II de cette éditio
ne puisse en douter il sème comme à plaisir les négligences dans ses
pages
les mieux venues. Lamartine se corrigeait encore
des écrivains qui, seulement pour avoir écrit dans leur vie quelques
pages
remarquables, sont reconnus Maîtres, et dominent.
manuscrits, un sonnet de Pétrarque traduit à Brugg en 1824. Or, à la
page
22 du tome II du petit Pétrarque qui m’a été grac
et la belle harmonie. Le second acte notamment contient d’admirables
pages
parmi lesquelles le « rêve de Cassio », supérieur
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