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1 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
e en même temps qu’à Venise, à Ancône, Tarente, Otrante et Valona, la nation italienne tient toute l’Adriatique. Tel est son p
e et endeuille l’Europe depuis huit mois, l’Italie se range parmi les nations neutres. Il semble qu’on s’attende en France à ce
a pusillanimité, ni par l’égoïsme, a une signification capitale ; les nations alliées peuvent en tirer cette conclusion très ne
sentent une partie de l’intellectualité italienne, et conseiller à la nation d’être attentive à ses intérêts matériels sans se
rontières, et l’Italie doit se fier, maintenant, moins que tout autre nation du monde, à une paix germanique ; elle ne doit pa
ion psychologique admirables, Barzini est entré dans l’âme même de la nation et il a décrit avec une exactitude irréprochable
que doit résoudre journellement : subvenir aux besoins du tiers de la nation , et cela sans ressources, sous l’œil malveillant
point capable de conquérir l’Univers ? Cette attitude convient à une nation qui n’a que 45 ans, l’extrême jeunesse pour une n
convient à une nation qui n’a que 45 ans, l’extrême jeunesse pour une nation . Et il est permis à la France, qui date du temps
e du danger de l’hégémonie prussienne. La pression de la partie de la nation qui conservait précieusement l’ancien idéal et cu
pulations disputées : car cette « conscience morale qui s’appelle une nation  » selon Renan, ne se constitue que grâce à des ci
éoccupation dominante, même en temps de paix ; dans aucune des autres nations , le militaire n’avait aussi manifestement le pas
tendu, l’on parle d’une minorité agissante et non de l’ensemble de la nation . Grâce à cette longue préparation, la vie italien
e entre l’Italie et la Grande-Bretagne : l’intérêt commun de ces deux nations est de s’opposer à ce qu’un État prenne sur les a
e prépondérante dans l’ensemble de la vie sociale. Dès que les autres nations ont constaté qu’une neutralité complète serait im
ou ne donnent que des sommes dérisoires pour soutenir l’effort de la nation en guerre ou pour soulager les infortunes et les
qui, par suite de la concurrence industrielle effrénée entre les deux nations (l’Allemagne et l’Angleterre) aspirant à la conqu
rvations aussi justes et aussi conformes à la pensée de l’élite de la nation française que celles formulées par Diego Angeli d
férieure, comme niveau intellectuel, à celle de la plupart des autres nations , se retrouve malheureusement jusque dans les haut
un grand peintre ne sont pas moins grands ni moins nécessaires à une nation qu’un grand général, si cette nation veut compter
rands ni moins nécessaires à une nation qu’un grand général, si cette nation veut compter pour quelque chose dans l’histoire d
l’art, de la philosophie, de la science, est la tâche des différentes nations  ; un peuple est destiné par ses aptitudes psychol
ec ses éléments divers, mais coopérante et interdépendante, et aucune nation n’a le droit de s’arroger n’importe quel don comm
olonté chez le peuple italien ; on s’aperçoit de quel effort suivi la nation est capable, on constate que l’esprit d’organisat
trie et firent appliquer avec la plus extrême rigueur près des autres nations européennes — c’est là, précisément, qu’est l’aff
international, ont pu paralyser l’œuvre défensive du prolétariat des nations destinées à l’invasion, au sac, à la terreur. Et
igne de conduite à tenir au moment le plus tragique de l’histoire des nations , au moment où l’Italie devait entrevoir sa grande
2 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
étude « sur les causes de fa guerre », qu’il publie dans la Revue des nations latines, analyse un mémoire lu à l’Académie des s
urd’hui de guerre de races, il faudrait admettre que les États et les nations actuels sont formés chacun d’une race unique. Nou
ns au contraire parmi les belligérants d’aujourd’hui des États ou des nations , comme la France et l’Italie, peuplés de trois ra
. En Angleterre, la race est plus pure, moins mélangée, et, parmi les nations neutres, l’Espagne et les États scandinaves. Cola
ne invention sainte voulue par Dieu comme remède suprême aux maux des nations . Cette idée n’est à vrai dire pas uniquement germ
re les idées sur la force, sur la guerre, sur l’inutilité des petites nations , sur la fonction de l’État, qui doit être un agra
seulement politiquement, mais moralement. Nous entendons que les deux nations s’efforceront de concert d’élever des populations
r revêtira de plus en plus la forme de la concurrence économique. Les nations qui sauront prendre au lendemain de la guerre les
ouvernements éviteraient, le moment venu, bien des froissements entre nations  ; des avantages territoriaux, qui leur eussent se
ond de leur programme national depuis quarante ans avait été pour les nations latines, pour l’Italie qui était devenue leur all
ple contagieux, et peu à peu leur façon d’envisager la grandeur de la nation , si contraire fût-elle à notre jugement à notre g
pas d’elle qu’il faut attendre la paix durable que nous désirons. Une nation humiliée n’oublie pas et l’humiliation n’est pas
’esprit et l’améliore. Il faut pour cela autre chose : il faut que la nation vaincue reconnaisse ses erreurs, passées et en vi
me CXXI, numéro 453, 1er mai 1917, p. 171-179 [171-173]. La Revue des Nations latines, de Florence, a demandé à quelques person
outes les barrières militaires, économiques qui s’élevaient entre les Nations de race germanique. Les intérêts spéciaux d’une B
liberté en face des masses ethniques slaves et germaniques. Celle des Nations latines qui s’agrégerait politiquement, économiqu
êts à entrer en relations avec les institutions similaires des autres Nations . Qu’il se forme un Comité Central prenant l’initi
dre du jour de tous ces congrès particuliers soit : La Fédération des Nations Latines. Échos. Pétrarque et le vin Mercure
jubilé de Dante et le Saint-Siège », par M. H. Cochin. […] Revue des Nations latines (1er mai) : M. E. Driault : « Les Napoléo
e américaine, l’autorité qui en résulte pour elle dans le concert des nations , ce sont là des faits immenses et qui permettent
Italie s’engage à nos côtés dans la grande croisade pour le droit des nations  ; il a donc, en sus de son mérite technique, un i
sophique, littéraire, artistique, scientifique, morale, etc., sur les nations qu’elle voulait soumettre à son joug ; ses deux d
tion de leur pays en abrégerait le cours, qu’on pouvait demander à la nation un effort considérable, mais de courte durée. Si
de ceux de l’Europe libérale, ont insensiblement fait comprendre à la nation entière ce que l’élite avait saisi d’emblée. L’« 
guerre. La vie du pays n’en souffrait pas au même degré que celle des nations qui en août 1914 avaient été brutalement précipit
et leur donner une conscience plus haute des intérêts généraux de la nation . Les Méridionaux ont l’espérance d’autant plus te
lle-ci était supérieure à la volonté des hommes71. » Ce qui divisa la nation en deux camps au mois de mai 1915, ce qui provoqu
un. Les journaux romains ont aussi une grande place dans la vie de la nation , surtout dans le sud et le centre de l’Italie. Bi
depuis le début de la guerre, mettant en parallèle le Parlement et la Nation , ou bien le Parlement et l’Armée ! À côté des att
a guerre », M. Malagodi exprima l’opinion de l’immense majorité de la nation . Y avait-il une intervention qui pût impressionne
ielle dont elle a le droit d’être fière, elle qui était jusqu’ici une nation essentiellement agricole75. La bonne volonté du g
et non dans le droit. Le droit à la conquête est illimité dans chaque nation . » Comme on peut le penser, les nationalistes ita
une fois forcée la ligne du Natizone, tout ce qui pouvait diviser la nation devait être annihilé, et l’a été en effet. Le pre
e de l’Italie s’est révélée semblable à celle de la France : les deux nations ont souffert, dans leur cœur et dans leur esprit,
son discours du 20 octobre, avait prévu cette fusion des forces de la nation , en disant : J’espère que la communion dans la d
ter si on leur demande des sacrifices ; le Parlement s’adressant à la nation  ; le Roi parlant un langage de sobre patriotisme 
eur bonne volonté. Ils n’ont pas signé le manifeste du Parlement à la Nation . Et c’est dans une revue qui n’est pas très lue,
, et voté par le Parlement, reflète parfaitement les sentiments de la nation entière. À l’étranger. À travers la presse. La
e ses forces à celles de l’Autriche pour l’écrasement des Serbes ? La nation de Cavour et de Garibaldi pouvait-elle se faire l
œu des peuples et les traditions de leur histoire. Mais quelle est la nation qui incarne à cette heure avec le plus de force c
onalités. La Suisse est une image réduite de cette société future des nations qui peut seule mettre un terme aux massacres et a
, aspire de tous ses vœux. Mais l’Allemagne nouvelle, seule parmi les nations , méprise tout idéal qui n’est pas celui de sa pro
clusion, mais qui paraît plutôt diffuse. Si la guerre finit bien, les nations coalisées auront échappé au danger de la servitud
disposer d’eux-mêmes ; et il examine l’état et l’avenir des diverses nations en guerre, la fédération des colonies anglaises,
riatique doit s’harmoniser avec les nécessités du développement de la nation serbe, l’amitié de cette nation pouvant devenir u
les nécessités du développement de la nation serbe, l’amitié de cette nation pouvant devenir un facteur précieux de défense co
ulgaire ajoute foi. 70. Le Midi de l’Italie et la guerre (Revue des Nations latines, 1er nov. 1916). 71. Francesco Nitti, La
3 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
ministère Salandra-Sonnino, que, par respect pour l’union sacrée des nations alliées, l’opinion ni la presse n’osaient constat
as ainsi, du jour au lendemain, les habitudes politiques d’une grande nation . Les rapprochements internationaux façonnent la m
tique et des terres de l’irrédentisme, non à les disperser contre des nations avec lesquelles l’Italie entretenait de correctes
ts pour l’avenir, jusqu’à ce que le but glorieux que la volonté de la Nation lui montre soit complètement atteint. Que l’on f
isorgimento fut l’œuvre d’une élite. Mais aujourd’hui, c’est toute la nation qui combat : le peuple entier non seulement a sub
posait son âpre volonté réaliste fortement étatiste qui obligeait les nations à se concentrer en elles-mêmes pour s’affronter e
la proclamation de Rome capitale. Ces fêtes, qui unirent vraiment la nation en un seul penser, tandis qu’elles invitaient la
e qualités maîtresses différentes mais également indispensables à une nation qui a des traditions de large humanité en même te
e de marcher l’étreint, d’agir lui-même, de participer à la vie de la nation , peut-être mieux, de sa région où il est enraciné
érieure. Jules Destrée, Lorand, Maeterlinck, interprètes d’une petite nation , non compromise politiquement dans notre passé (i
t parallèle, qui viennent de fonder une revue nouvelle : la Revue des Nations latines, se publiant en deux éditions, l’une fran
s nouvelles directions des factions et des organisations communes aux nations latines. Intéressantes, dans le premier numéro, l
de ces dernières décades Le caractère, l’instinct et l’idéal de notre nation ne sont pas si faciles à définir : l’histoire ne
s avons trouvé, il n’y a pas à s’en émerveiller, des reflets d’autres nations depuis longtemps puissantes et rayonnantes, des i
romancier pour tracer un tableau de la pénétration allemande dans les nations d’Europe. En Italie, ce fut une invasion. On conn
ls ? La domination de l’Allemagne a toujours été un bienfait pour les nations qu’elle a dominées. Au moyen-âge elle a créé la n
nom de l’Internationale. Nous eûmes déjà le « Saint Empire romain de nation germanique », nous pourrions avoir « l’Internatio
in de nation germanique », nous pourrions avoir « l’Internationale de nation allemande ». « N’a-t-on pas posé à Stuttgart le p
il essaye une inversion des lieux communs sur l’Allemagne et sur les nations de l’Entente. Barbares, ou peut bien les appeler
il pacifique ; de l’autre la force contre le droit, l’État contre les nations . Dans le champ des idées, l’Allemagne est déjà va
à se prononcer, et il le fait, finalement, en appelant « dilecta » la nation martyre et en bénissant un drapeau aux couleurs b
faisons appel aux sentiments de ceux qui passèrent les frontières des nations en guerre pour les conjurer de ne point dévaster
ans son mécanisme de fer, le pontife romain surgissait, défenseur des nations et de la Liberté humaine. Au-dessus de la mêlée,
Pape même, dans un élan de foi et d’amour, eût embrassé la cause des nations attaquées et flétri les auteurs de la guerre. Il
rs avant que les Italiens se fussent emparés de Gorizia, la Revue des Nations latines consacrait un article, de M. Amedeo Mazzo
r que la guerre a posé devant tant de nobles consciences, — à quelque nation qu’elles appartiennent, — ne pourra avoir été plu
, que désormais ils ne font plus qu’un avec la terre. Peuples, races, nations , depuis presque deux mille ans sont campés dans l
a destinée, le sacrifice de soi-même, l’obéissance à l’instinct de la nation . On dit que Serra a cherché la mort, sur le Carso
de quelques vélocités : « L’héroïsme est une vélocité que dirige une nation . » L’exagération est aussi sans doute une véloci
ec quelle véhémence accuse-t-il les rêves pacifistes d’entretenir les nations et les hommes dans un coupable optimisme ! « La v
ns d’humanité organisée qui durent des siècles et qui s’appellent des nations . C’est la première des solidarités : la solidarit
r, l’Europe de 1915 l’a entendue. Enrico Corradini savait bien qu’une nation n’arrive à avoir quelque importance intellectuell
mposée au peuple italien par sa raison de vivre et son rang de grande nation . Un premier devoir à remplir d’abord : la défense
ontre l’Allemagne », M. G. Papini trace un tableau, dans la Revue des nations latines, de ce que fut véritablement de 1870 à 19
gypte et songeait plutôt à agrandir son empire. Restait l’Allemagne, nation jeune dans l’expansion économique, presque sans c
s colonies, ambitieuse, et désireuse de séparer les deux plus grandes nations latines. Les techniciens allemands entrèrent donc
4 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
poète national résume l’instinct de conservation et d’expansion de la nation . Il en garde toute la noblesse même lorsque les c
t renouvelé le sens de sa vie, en réunissant ses États dans une seule nation , il fallait réveiller en elle la conscience, enco
éphémères : un culte national, capable de planer sur l’âme même de la nation , loin de toute possible atteinte des inévitables
il était l’officiant et les fidèles. Il voulait l’imposer à toute la nation , en lançant à la face des politiciens, et des que
préoccupation de l’unité nationale. Reconnu solennellement devant la nation enfin constituée, le dernier chantre, Carducci, s
 ; au nom de sa belle bravoure épique, il imposa à toute la vie de la nation la laideur de sa passion unilatérale, de son inte
nommée mondiale. Il est entré dans une zone lumineuse de la vie d’une nation , où un homme est élevé aux sommets héroïques du p
les contre l’absolutisme archaïque de l’école et des maîtres, dont la nation accepte aveuglément le culte. Leur œuvre a soulev
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
ion mêlée à de grandes luttes politiques et sociales. Dans toutes les nations européennes, et l’on pourrait presque dire dans t
es nations européennes, et l’on pourrait presque dire dans toutes les nations , la question religieuse est passée au premier pla
e-Orient, la victoire remportée par la civilisation japonaise sur une nation chrétienne. En présence de cette situation, il no
anticléricales qui se produisent avec plus ou moins d’acuité dans les nations catholiques, ne peuvent être considérées comme un
6 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
 CXXV, numéro 469, 1er janvier 1918, p. 128-136 [135]. […] Revue des Nations Latines (1er novembre) : M. Fraccaroli : « L’idée
grande croisade contre la monstrueuse puissance allemande, contre la nation de proie, violatrice des traités au bas desquels
XXV, numéro 471, 1er février 1918, p. 559-564 [559-561]. La Revue des Nations latines préconise, depuis sa fondation, une sorte
s latines préconise, depuis sa fondation, une sorte de fédération des nations française et italienne. M. Charles Gide apporte à
l y a eu des députés qui ont imaginé de collaborer à la défense de la nation en organisant — dans le dos du gouvernement, qui
 Sans un accord complet, sincère et durable entre l’Italie et l’autre nation adriatique, la formation d’un bloc des nationalit
Supposons en effet que puisse se constituer une espèce de « ligue des nations orientales ». « Si les Tchèques, les Roumains, le
mise du gouvernement sur tous les produits nécessaires à la vie de la nation en guerre devient une nécessité absolue ; dans le
vril dernier, pressentant l’importance du congrès tenu à Rome par les nations opprimées d’Autriche-Hongrie, le Fremdenblatt ess
e grandiose manifestation anti-autrichienne fut organisée. Toutes les nations opprimées y étaient représentées par de nombreux
raffinement d’une barbarie qui, chez eux, était innée, de même nous, Nations de l’Entente, peuples de liberté et de démocratie
ance. L’opinion publique, non plus celle d’une élite choisie des deux nations sœurs, s’oriente vers le concept de la nécessité
9-363]. Jusqu’ici, l’Angleterre n’a cessé de passer en Europe pour la nation individualiste par excellence. Qu’adviendra-t-il,
isme ? C’est à quoi répond une étude de M. E. Rota, dans la Revue des Nations latines. En voici quelques extraits. Deux forces
ence entre la patrie et les colonies ; et aujourd’hui on se bat entre nations pour le même objectif. L’Angleterre s’est peu à p
gir ; et quand une vérité a été comprise et est arrivée à l’âme de la nation , tous les partis, sans hésitation, la traduisent
nales et de celles des colonies, à la voix puissante de la guerre. La Nation , toujours unie pour la réalisation d’un idéal bie
toute l’Entente et avec elle sans doute tout le bloc des malheureuses nations opprimées par les Germano-Magyars d’Autriche-Hong
ation et de la police, confirme avec évidence l’unanimité de toute la nation . Les signatures affluent par centaines de millier
ile à trouver, par laquelle il sera possible d’obtenir entre les deux nations un accord durable, sincère et basé sur la justice
ir que leurs oppresseurs. Ils savent aussi qu’on ne peut libérer, une nation sans libérer les autres, c’est-à-dire en conserva
les Roumains serait assurer l’hégémonie germano-magyare sur ces deux nations et faire d’elles, et malgré elles, des ennemies d
s aujourd’hui plus que jamais cher, un noble embrassement. Gloire aux nations sœurs qui combattent ensemble… Le 20, j’ai eu la
ions entre la France et l’Italie, à l’égal de son aînée, La Revue des Nations Latines (Florence). L’entente intellectuelle entr
de la dite entente. Dans un fort judicieux article dans la Revue des Nations Latines du 16 octobre dernier19, M. Armando Tarta
7 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
Mario Rapisardi n’a pas eu le post mortem glorieux de Carducci. La nation ne l’avait pas adopté, à cause des littérateurs e
ourtant pas vécu en vain. Il a été et il demeure comme le poète de la nation insulaire, englobée dans la fédération italienne,
enses fresques qui décorent les cathédrales spirituelles du génie des nations . On sait que les littérateurs et les journalistes
réellement pour s’assurer le titre inexprimé de poète national de la nation renouvelée. C’est Carducci qui l’emporta. La post
é vaste et haute qui la domine, n’est pas dédaignable. Et si toute la nation italienne a pleuré des pleurs officiels aux funér
ituelle de la Cène de Léonard. Il admonesta ou exalta le peuple de sa nation , en différentes occasions, ému par des événements
e romaine à reconquérir de droit, et non la merveilleuse proie qu’une nation digne de ses destins nouveaux voudrait conquérir
. Dans l’immense trésor d’habitudes et de traditions séculaires de la nation , ce qu’il y a de plus respecté n’est pas toujours
une armée et une flotte qui accroissent, paraît-il, le prestige de la nation , mais ne lui rapportent, à lui, que misère et tri
fonde et des qualités intimes du peuple auquel ils appartiennent : la nation devrait les honorer comme les premiers de ses cit
ait les honorer comme les premiers de ses citoyens. Mais, hélas ! les nations ne jugent la valeur des citoyens que d’après la r
fique, qui amènera un relèvement du niveau intellectuel général de la nation , surtout si les savants ne s’enferment pas entre
s de Garibaldi, de Cavour et de Victor-Emmanuel. Mais nous sommes une nation jeune et nous n’avons pas le choix. N’avez-vous p
qui ont beaucoup d’adhérents en France. C’est que, voyez-vous, chaque nation a sa manière de sentir, et ce n’est pas quelques
nous avons une Dynastie dont les intérêts sont connexes à ceux de la Nation . Nous avons la stabilité, la sécurité de demain.
s plus belles époques de la poésie, son chant était celui de toute sa nation . Quoique un peu plus âgé que d’Annunzio, Pascoli
, bien qu’elles se manifestent en sens inverse. Après une défaite, la nation réagit avec une violence d’autant plus grande que
ision précise et large d’un lyrisme « national », à rythmer devant la nation totalement régénérée. Le Vatès était encore Cardu
sieur « Giuseppe Fiorentino » vante cela comme une supériorité de sa nation . Mais sa lettre est une mine inépuisable d’affirm
quel grand capitaliste a plus d’influence qu’eux sur la destinée des nations . En voilà assez, n’est-ce pas ? Quand les « natio
n. Ce parti, dont l’importance doit croître au fur et à mesure que la nation affermit ses assises — ainsi que la conscience de
Corradini a poursuivi, de son côté, sans défaillance, sa vision d’une nation vraiment consciente, d’une patrie digne d’être un
ision d’une nation vraiment consciente, d’une patrie digne d’être une nation et de le savoir, d’un pays capable donc d’avoir u
s écrivains fleuris de 1885 à 1895. Seulement, tandis qu’en France la nation parfaitement constituée depuis les temps les plus
d’autant que cette société les acoustume aux mœurs et langage de leur nation , et leur ote le moïen d’acquerir des connoissance
rt à la superficie du territoire est plus grand que pour aucune autre nation européenne. Sauf dans une partie de l’Italie sept
et dans le Sud. Ce qu’il reste, c’est l’impression nette que la jeune nation cherchait dans un fiévreux et grandiloquent retou
ussés, par le même rêve. Comme eux, les lyriques de l’Italie, devenue nation subissaient, en les adaptant, en les transformant
rayonnent aussi sur l’âme lyrique italienne. La conception même de la nation , chez les jeunes écrivains, a évolué. L’Italie n’
cient. L’élan qui les anime suffit à féconder le lyrisme de toute une nation . Cet élan n’est pas spécialement italien, et c’es
8 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
au xiie  siècle, par exemple, c’est la Provence assurément qui est la nation directrice, et l’Italie la nation imitatrice. Plu
t la Provence assurément qui est la nation directrice, et l’Italie la nation imitatrice. Plus tôt, ou plus tard, il en fut peu
uisse faire sérieusement penser à un printemps de renaissance dans la nation rénovée. La réponse n’est pas facile, et ne pourr
e de son talent, et en cela se trompèrent. Aujourd’hui, tandis que la nation rajeunie, poussée par une remarquable volonté de
el du groupe d’écrivains qui, entrés d’aplomb dans la politique de la nation , s’adressent à toutes les forces du pouvoir domin
orradini n’a pas créé un mouvement. On ne crée pas les mouvements des nations et des races. On canalise les volontés, on discip
, était du groupe. Il fallait renouveler l’éducation artistique de la nation . Il fallait donner à une foule sans nom et sans c
9 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
le complète du monde moderne, parce qu’elle est le centre de la seule nation européenne où toutes les forces essentielles de n
l’Italie, la culture intellectuelle n’a pas fini par amollir dans la nation l’énergie active. Son commerce, son industrie, se
tes les forces de l’histoire ; j’avais le sens de la vie complète des nations  ; il me semblait arriver avec la pensée jusqu’au
oujours réservé à cette ville, à ce pays, mais ce ne serait plus « la nation complète, véritable chef-d’œuvre de l’histoire du
x arts pour prospérer sont souvent contraires à celles qu’il faut aux nations pour être heureuses. De plus, leur empire ne peut
politesse anéantit les passions. Donc il est impossible de créer une nation pour les arts. Toutes les âmes généreuses désiren
s défenses militaires et navales, qu’elle se classe parmi les grandes nations , — c’est aussi par la valeur de sa production et
ers le pur militarisme. Il se brisa à la résistance de l’Éthiopie. La nation , humiliée devant les autres nations, arrêtée en s
à la résistance de l’Éthiopie. La nation, humiliée devant les autres nations , arrêtée en son élan, éprouva durement l’échec. A
ater chez elle l’industrie et le commerce, et à sauver tout ce qu’une nation contemporaine peut sauver de son agriculture. Sou
is cette fois ils l’accompliront au profit des masses profondes de la nation . L’intrusion du régime capitaliste, chez nos vois
bon plaisir, dans toutes les classes de la société et dans toutes les nations  ; ou s’il continuerait à être gouverné par des ma
10 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
que à peine modernisée au contact de la civilisation. Le devoir de la nation conquérante était d’y accroître l’hygiène et le c
vilayet. Son commerce y était supérieur à celui de toutes les autres nations . Or, Ibrahim pacha, bon administrateur, était un
ole. Des fils d’étrangers vivaient en outre à côté d’eux et la grande nation qui venait de s’établir sur le sol d’Afrique avai
blié et le gouvernement, imitant en cela l’exemple donné par d’autres nations européennes dans leurs colonies, a voulu développ
olonie limitrophe de nos provinces africaines appartenir à une grande nation de même race et de mêmes tendances civilisatrices
dain d’anarchie : « Vous verrez, me dit-il, les nuages entre nos deux nations se dissiperont bientôt et de concert nous pourron
de bonne volonté que le major Caprini la bonne entente entre les deux nations latines pourrait être facilement rétablie. La cas
pe faire des routes, percer des tunnels, extraire du minerai pour des nations étrangères. Le repos forcé sur la terre natale du
sans doute, du Maroc occidental aux frontières de l’Égypte, les deux nations latines pourront réaliser cette paix romaine qui
eurs de la ruine par sa stérilité ; tantôt, au contraire, elle est la nation éternellement jeune, toujours prête à rebondir de
de la France comme d’ailleurs à l’égard de toutes les autres grandes nations d’Europe, s’en est accrue. Moins que jamais, on n
d’être défavorable à la France. Dans sa conscience nouvelle de grande nation , dans sa vision d’une Europe où l’Italie apparaît
ns sa vision d’une Europe où l’Italie apparaît désormais comme grande nation , elle conçoit instinctivement l’entente franco-it
redonner à l’Italie une pensée originale et forte, digne de la grande nation qu’elle est devenue ; et la plupart de leurs coll
des cultes qui s’y établirent à la suite des commerçants des diverses nations méditerranéennes (dans les « stations » que ceux-
es vieux Romains laissaient, comme ils laissaient les gens des autres nations établis à leurs côtés, indifférents, et à qui éta
s de toutes, et enrichissent le patrimoine spirituel de leur nouvelle nation comme le chocolat et le café, par exemple, ont ét
es Italiens : l’une consacrée à la patrie et à Mazzini ; l’autre à la nation sœur et à l’Empereur ? Non pas, s’il vous plaît,
11 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
rceau » de la civilisation qui domine le monde. Il y avait jadis deux nations qui subsistaient à peu près en paix : la Suédoise
ue l’ambassadeur Mouravief expira. L’annexion de la Bosnie froissa la nation russe (beaucoup plus, je le répète, que les dirig
toutes les grandes circonstances. L’annexion de la Bosnie froissa la nation italienne dans ses espoirs immédiats, dans son lé
u le philosophe Giovanni Bovio, dont il semble avoir hérité devant la nation de la solennité doctorale. M. Croce, un érudit qu
C’est par l’action de cette force que les familles, les classes, les nations qui ne réussissent pas à augmenter leurs richesse
par l’action de cette force que les classes se renouvellent en chaque nation  : les familles riches, depuis plusieurs génératio
en sommes, il faudrait que les femmes fussent soldats dans toutes les nations . En moins de rien, la guerre en serait supprimée,
nt produites à une époque de crimes horribles ; que quelques-unes des nations les plus croyantes et les plus morales exprimèren
vie publique et privée sur le caractère des monuments élevés par une nation qu’il inspirait », et il constate que le bel enth
ntinuer à aimer pour sa grâce séduisante, tout en la méprisant, cette nation efféminée, aux arts galants, aux cités et aux fem
mpartial que l’ancien régime, mais la France reste, entre toutes, une nation travailleuse, économe sans âpreté, savante sans p
ment de ses grandes industries sportives, on loue la confiance que la nation s’applique à prendre peu en peu en soi, on s’enth
de la littérature italienne ; une préoccupation constante d’élever la nation au-dessus d’elle-même, chez un Manzoni sentimenta
ppeler à un notable sculpteur français : il eût été précieux aux deux nations sœurs de voir rendre un hommage au grand républic
le Roussillon. Jamais on n’a si fortement senti à quel point les deux nations étaient une même famille. Tandis que les maisons
nt en bloc non seulement la représentation de la forte majorité de la nation , mais son génie libéral et une activité républica
12 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
x grandiose et vibrante de l’âme nationale. Et c’est bien l’âme de la nation qui passe dans ses strophes : dans la vie qu’elle
le rôle fatidique qu’elle était appelée à jouer dans l’histoire de la nation . « Que Dieu te sauve, ô cher signe, notre amour e
13 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
e plus que de coutume, car Francesca occupait les représentants de la nation mieux que les discours des Ministres. Avec une op
ficatifs du monde, parce qu’on y convainc d’une façon tangible qu’une nation , c’est le résultat d’une éducation commune. Avec
gé de vingt-huit ans, vient de mourir de son impuissant amour pour sa nation , anoblit encore les fortes occupations où je vis
rser des ruines à l’œil ; c’est noble et généreux, digne de la grande nation qui veut être à la fois la Grèce et l’Italie mode
ficielle dans l’administration des richesses artistiques d’une grande nation offrait à un homme d’érudition et de goût ont col
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIII »
u ajouter que ce caractère est malheureusement le fond de celui de la nation . Personne, dans le peuple, ne pense au lendemain 
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
e. La passion religieuse qui agite, à présent comme jadis, toutes les nations , n’est pas, à mon avis, une simple question de ca
16 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
es paroles : « La négligence et le trop peu d’amour que ceux de notre nation ont pour les belles choses sont si grands qu’à pe
es. Mais je me contente de celui-ci, il est notoire3. L’intérêt de la nation est lié à celui de l’art, les chefs-d’œuvre sont
oulu la signaler ici, car je considère comme un tort fait à toute une nation le maintien au pouvoir didactique d’hommes vénéra
imposa, avec la Giovane Italia, à l’Italie entière c’est-à-dire à une nation qui politiquement n’existait pas, son grand rêve
a rancune, qui, à de certains moments, arment les citoyens d’une même nation , d’une même commune, les uns contre les autres. À
n le reconnaître, le Catholicisme traverse, particulièrement chez les nations latines, qui lui doivent pourtant leur gloire, un
ois ans plus tard, aboutirent à une entente avantageuse pour les deux nations . L’histoire de ce malentendu ruineux n’est pas sa
ient pas voir le vaste mouvement d’opinion qui rendait la masse de la nation de plus en plus indifférente à la cause pontifica
ssement des relations maritimes, enfin un accord commercial. Les deux nations arrivaient à se réconcilier après avoir subi de l
17 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
omme symbolique d’une Épopée religieuse qui n’était point celle d’une nation , mais celle d’une race. Et il est par cela même «
s inutiles, les encombrants sont en trop grand nombre au milieu d’une nation fiévreusement occupée à s’enrichir et à s’élever
assé le renouveau de la tradition de sa gloire ; et, en sa qualité de nation rajeunie par un renouveau politique total, elle s
imentalité s’accommodent mal, malgré tout, de l’union politique de la nation . Entre le Piémont et la Sicile, il existe autant
aration sentimentale très nette des régions que par la jeunesse de la nation politiquement constituée. En effet, le théâtre di
ateurs et de poètes récents, n’est pas plus représentatif de toute la nation qu’il ne le fut jadis par l’admirable affirmation
s nette d’une mission idéale à accomplir dans la vie renouvelée de sa nation , Alfredo Oriani, homme de lettres et surtout homm
18 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
a cause de l’humanité, en sauvant, en face du monde, la dignité de sa nation . Et la France peut ainsi se vanter aujourd’hui d’
et de jouer l’éternel refrain de l’union fraternelle entre toutes les Nations . Je remarque que ces jeunes gens modernes qui tre
se trouvent en collision, la France et la Russie paraissent une même nation , tant leurs intérêts sont nécessairement communs.
née future. Elle se fait sentir aussi entre les individus de ces deux nations qui se rencontrent à l’étranger.” » Lettres i
mblable ; quelqu’un vient-il se prétendre nécessaire au bonheur de la Nation , on lui tourne le dos, parce qu’on sait, d’après
bligatoire, cette douceur, cette bonté, ces faiblesses. Le cœur de la Nation , en voyant monter au trône un Prince jeune, série
19 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
ous, à quoi pouvait servir ce recueil d’usages amoureux de toutes les nations  ; il y en avait de drôles, il faut le dire, de si
te heureuse sympathie qui va chaque jour se fortifiant entre les deux nations , je ne pourrais pas rapporter les réponses, même
représentait volontiers l’Abyssinie « revendiquant sa place parmi les nations civilisées », selon la formule du Protocole. Il e
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
moment donné cette religion devienne la seule ancre de salut pour les nations minées par l’anarchie et chez lesquelles le patri
21 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
ande. Au fond, ce vitrier est un démocrate. L’Italie est pour lui une nation qui a droit à ses tableaux. ………………………………………………………
x et humiliant. F.-T. Marinetti rappelait aux jeunes Italiens que les nations ne se nourrissent pas uniquement de souvenirs et
er qu’ils auroient une belle occasion de contribuer à la gloire de la Nation , et de la venger du reproche qu’on lui a fait de
tée à la poésie soit la plus belle musique et que, par conséquent, la nation qui aura la poésie la plus expressive pour sa mus
Alpes, s’intéressent au problème des relations entre les deux grandes nations latines, qui sont attachées à leurs glorieux souv
22 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
estivement, serait, en peu d’années, une menace grandissante pour les nations chrétiennes. La Bible sert de contenance et de pr
onne la peine de généraliser ces faits. Sans la guerre, jamais aucune nation au monde n’aurait subi le moindre atome de contra
contrainte, n’aurait été lésée dans le moindre de ses droits. Chaque nation aurait toujours été libre et indépendante ; le jo
tranger et son despotisme eussent été inconnus ; l’Union fédérale des nations humaines eût été établie depuis des temps immémor
et les plus fastueuses des civilisations, à l’apogée des peuples, des nations , de l’histoire ». Puis M. Morasso chante un vérit
bon plaisir, dans toutes les classes de la Société et dans toutes les nations  ; ou s’il continuerait à être gouverné par des ma
23 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
zantin fut enclavé dans la grave architecture romane. Par rapport aux nations du Levant, Rome était le seuil de l’Occident ; el
24 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
t sacrifiée. Les États-Unis de l’Amérique du Nord constituent-ils une nation  ? À peine. C’est un empire romain qui attend l’he
e arrondissements. Les Allemands forment aux États-Unis une véritable nation qui, un jour, nécessairement, acquerra une existe
25 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
uvres les plus intéressantes et les plus caractéristiques dans chaque nation . Selon M. Pica, la question de savoir si « oui ou
leine la susceptibilité la plus vive à notre égard, est le fond de la nation italienne. Nous nous connaissons depuis trop long
26 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
e, œuvre de Michael Angelo. Louis XII, pour faire stigmatiser par les nations chrétiennes la défection du Pape, rassemble le co
u’on sentait partout la nécessité d’ôter cette charge des épaules des nations . » Et si les héritiers de Saint Pierre aimaient à
oète à Settignano, de cette vente dont la honte retombe sur toute une nation si peu soucieuse de ses plus grands représentants
t le lyrisme s’alimenta continuellement des éléments spirituels d’une nation qui réclamait son droit héroïque à la vie, et qui
gtemps de la jouissance des chefs-d’œuvre qui sont la propriété de la nation . Lettres allemandes. F. Gregorovius : Promenad
sépara en partie son sort littéraire de celui des deux autres grandes nations occidentales. La France et l’Italie, l’une s’enri
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