/ 34
1 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
« Influence de l’Italie sur la création de l’opéra français. » […] Musique . Opéra-Comique : Francesca da Rimini, drame de M
esca da Rimini, drame de M. Francis Marion Crawford et Marcel Schwob, musique de M. Franco Leoni Jean Marnold. Tome CVII, nu
r 1914, p. 623-629 [625]. Après avoir déposé Céleste en p. p. c. à la musique française, M. Carré a tenu à faire ses adieux à l
es. Plus tard le musicien Balilla Pratella publia son manifeste de la musique futuriste ; Russolo inventa le nouvel Art des bru
, long, mince et blond, ne parlant que par monosyllabes. Il aimait la musique , la peinture, et les États républicains. Quand il
reconnu, cependant, des airs de « Méfistofele ». Je n’aime pas cette musique  ; elle enchante, par contre, votre amie Nina Cesc
femme dans la nuit, les vagues, les fleurs, j’écrirais la plus belle musique du monde ! Mais je suis un malheureux ! Ces mélod
lu que de grands peintres travaillaient volontiers en écoutant de la musique . Mon idée me semble excellente, à moins que vous
i, délivré de cette présence, que je peins mon œuvre véritable. Votre musique soutient mon inspiration. L’homme dont je vous ai
rpris, murmurant à voix basse les notes mélancoliques de la populaire musique argentine, esquissèrent devant le Saint-Père atte
en l’air et les faisant tourner devant lui, comme dans la maxixe. La musique en est tantôt sautillante, tantôt lente. C’était
se, qui fait fureur, à Rome, a fait venir toutes les variations de la musique ancienne sur lesquelles les Vénitiens rythmaient
x arrangements. Morga jouait un allegro bruyant. — Je préférerais une musique plus sourde, dit Aurora, en se tournant vers Morg
e soir ; et ma mère joua, dans le salon, le nocturne de Chopin. Cette musique , cette odeur sont pour moi l’accompagnement de mo
par Wellseley, il lisait des traités d’harmonie, et déclarait que la musique serait bientôt enrichie de quelques sonates. — S’
: et, après un long silence que Morga et Lowsky enchantaient par leur musique , Wellseley dit simplement : — Je vous aime ! Il s
, à Londres ou à Rome, Je suis avec Tebaldo. J’errais en gondole ; la musique a attiré mes yeux vers la fenêtre où vous étiez a
et il a gagné ma sympathie par son dévouement. Il m’a affirmé que la musique était agréable aux pauvres insensés ; chaque aprè
e » ne lui fut sans doute suggestionnée que par le nom du peintre. Musique . Salle Gaveau : Concert de l’Association Chorale
ensuel, explique M. Romain Rolland, prédisposait Stendhal à goûter la musique . Il suffit d’une passion satisfaite pour que le p
musique. Il suffit d’une passion satisfaite pour que le pouvoir de la musique se volatilise. Il aime Angela, il est ou se croit
nces qui l’intéressaient à Milan pâlissent. Les cloches, les arts, la musique . Tout cela charmant un cœur inoccupé devient fade
nul quand une passion le remplit ». L’amour est à lui-même sa propre musique et sa propre poésie : il est comme l’éternité dan
rnité dans l’instant ; il n’a point besoin de se souvenir. « La bonne musique , écrit encore Stendhal, ne se trompe pas, et va d
tat habituel d’amant malheureux » que Stendhal a dit son besoin de la musique et son adoration reconnaissante pour elle. Sans d
ue et son adoration reconnaissante pour elle. Sans doute parce que la musique recréait, en son âme tourmentée l’état de légèret
aresse et le manque d’occasion d’apprendre le physique, le bête de la musique , à savoir jouer du piano et noter des idées, ont
été tout autre, si j’eusse trouvé un oncle ou une maîtresse aimant la musique . » Sans doute la musique est plus souple que la l
e trouvé un oncle ou une maîtresse aimant la musique. » Sans doute la musique est plus souple que la littérature et même que la
toute l’œuvre, toute l’âme stendhalienne ne serait pas traduisible en musique , et j’ai envie d’écrire : il était trop intellige
en y changer » ? Les jugements les plus stendhaliens, tels que : « en musique comme en amour, ce qui est beau, c’est ce qui pla
de ». Il traite l’art de Rameau de barbare, malgré qu’il ait pillé la musique italienne. Sur un seul sujet, il ose en musique t
ré qu’il ait pillé la musique italienne. Sur un seul sujet, il ose en musique tenir tête à Carpani qui n’admire pas Mozart sans
dhal reste fidèle à Pergolèse, à Cimarosa, à Rossini, c’est que cette musique est associée chez lui à ses émotions de jeunesse
et semblant trop faire de l’ouvrage le catalogue d’une nécropole. Musique . Théâtre des Champs-Élysées : Saison anglo-améri
ricaine de Grand Opéra : l’Amore dei tre Re, poème de M. Sem Benelli, musique de M. Italo Montemezzi Jean Marnold. Tome CIX,
ps à recevoir d’au-delà des Alpes. Le drame lui-même, pas plus que la musique , n’offre rien de commun avec la grossièreté niais
661 [656-661]. J’ai été invité par un jeune musicien à entendre de sa musique . C’est un homme bien élevé et plein de talent. Il
aitait si fort l’instrument qu’il touchait qu’après chaque morceau de musique on enlevait les morceaux du piano droit qu’il ava
l’union intime, la fusion en une œuvre d’art une, de la poésie, de la musique ou de la danse (ou de la plastique, du mouvement)
érité dramatique, ou, du moins, à créer, pour leur temps, le drame en musique qui donnerait l’illusion de cette vérité dramatiq
s été aussi spontanée que l’ont cru longtemps les historiens de notre musique . Si Gluck, comme notre Rameau, trente ou quarante
s’être faite la réforme gluckiste, ne concevait pas ses poésies sans musique  : musicien autant que poète, il se les chantait a
ux et Carlo Agostino Badia. Dans le chœur des prêtres de l’Olimpiade ( musique de Hasse, 1766), le musicien se montrait déjà pré
il donne peuvent se résumer ainsi : 1° Suprématie de la poésie sur la musique  : « les traits du visage », c’est la poésie ; « l
s du visage », c’est la poésie ; « les parures brillantes », c’est la musique . « La musique doit suivre les mots, avait déjà pr
c’est la poésie ; « les parures brillantes », c’est la musique. « La musique doit suivre les mots, avait déjà proclamé Scheibe
t déjà proclamé Scheibe, dans son Critischer Musicus… On doit, par la musique , non pas affaiblir les mots du poète, mais les ac
eurs par l’abbé Coltellini, — déclarera : Je pensai à restreindre la Musique à son véritable office, de servir la Poésie par l
qu’il n’y ait pas de trous dans le dialogue, pas d’airs inutiles. La musique doit être subordonnée à l’effet scénique. Scheibe
e dit rien de tel, et ne reconnaît pas encore ce pouvoir « à la bonne musique de traduire non seulement les paroles, mais l’âme
teur ne se montre pas moins perspicace : la cause du « désordre de la musique  » tient à ce que « le compositeur veut travailler
laire comme musicien… Aujourd’hui que les deux sœurs, la poésie et la musique , marchent séparément, il arrive souvent que l’une
de l’Opéra consiste en ce que l’on a fait d’un moyen d’expression (la musique ) le but et, réciproquement, du but de l’expressio
d’art de l’avenir, la réunion des trois « sœurs éternelles » : Danse, Musique et Poésie, qui « ne peuvent être séparées sans dé
dramatique et, notamment, sur l’opéra, dont notre Académie royale de musique lui avait révélé certainement une forme nouvelle
io, dépendent, à mon sens, la force, la variété et la beauté de notre musique , dit Calzabigi. L’harmonie qui se dégage de ses v
ue l’on ne peut révoquer en doute que la poésie la mieux adaptée à la musique soit la plus belle poésie, et que la musique la m
ie la mieux adaptée à la musique soit la plus belle poésie, et que la musique la mieux adaptée à la poésie soit la plus belle m
ie, et que la musique la mieux adaptée à la poésie soit la plus belle musique et que, par conséquent, la nation qui aura la poé
r conséquent, la nation qui aura la poésie la plus expressive pour sa musique , aura de même une musique plus riche d’effets, qu
i aura la poésie la plus expressive pour sa musique, aura de même une musique plus riche d’effets, qui pourra produire facileme
t plus facile dans les âmes des auditeurs. En vain, le compositeur de musique s’efforcera de réveiller la tendresse, la pitié,
« Il y a quelques personnes, poursuit Calzabigi, qui supposent que la musique soit indépendante de la poésie et que le composit
s, « il me pourra que mettre une grande rumeur et, par conséquent une musique bruyante (clamorosa), mais d’expression nulle ».
d’expression nulle ». Quinault, dont les tragédies lyriques, mises en musique par Lulli, balançaient encore au milieu du xviiie
allet, de la [mise en] scène, magistralement unie à la poésie et à la musique , il ne résulte un tout extrêmement agréable, où l
icatesse de la poésie ; et son cœur ravi doucement par les sons de la musique . » Ces diverses lignes devront enfin se diriger
objets hétérogènes, mais adéquats ; le poète et le compositeur de la musique , devraient toujours avoir, sous les yeux, à mon a
adressée à Arteaga, on lit que Calzabigi choisit Gluck pour mettre en musique son drame. « Ce fut donc Calzabigi qui finalement
son drame. « Ce fut donc Calzabigi qui finalement inspira à Gluck une musique merveilleuse sous une détestable poésie, tandis q
s lignes suivantes : J’ai pensé, il y a vingt-cinq ans, que la seule musique convenable à la poésie dramatique, et surtout pou
elle, animée, énergique ; que la déclamation n’étoit elle-même qu’une musique imparfaite ; qu’on pourroit la noter telle qu’ell
, pour ainsi dire, à l’infini, qu’on donne à la voix en déclamant. La musique , sur des vers quelconques, n’étant donc, d’après
gnemens, j’imaginai que c’étoit là tout le secret pour composer de la musique excellente pour un drame ; que plus la poésie éto
e excellente pour un drame ; que plus la poésie étoit serrée, plus la musique qui chercheroit à la bien exprimer, d’après sa vé
eroit à la bien exprimer, d’après sa véritable déclamation, seroit la musique vraie de cette poésie, la musique par excellence.
sa véritable déclamation, seroit la musique vraie de cette poésie, la musique par excellence. … J’arrivai à Vienne en 1761 remp
tout ce qu’on a mis de gothique, de barbare, d’extravagant dans notre musique . M. Gluck entra dans mes voies… Je cherchai des s
ant depuis pour Alceste. Cela est si vrai que, le succès de celle [la musique ] d’Orphée ayant été indécis aux premières représe
erot36, l’Iphigénie de Racine, et la lui préparer et découper pour la musique , selon les principes de Quinault. Il avait d’aill
comme Calzabigi, il y proclame que c’est dans l’accord complet de la musique et de la poésie que dépend un bon opéra ; il cons
sicien « toutes les ressources de montrer toutes les puissances de la musique d’expression ». La brochure de du Roullet n’était
illy ! On peut aimer la danse ? Hein… M. le Bailly ? Aussi bien, la musique du chevalier n’avait-elle plus besoin du soutien
faire oublier, pendant un autre demi-siècle, le chevalier et sa noble musique . Il ne fallut pas moins qu’une nouvelle révolutio
est à M. de Calzabigi qu’en appartient le principal mérite ; et si la musique a eu quelqu’éclat, je crois devoir reconnoître qu
musicale S.I.M., 15 avril 1912) ; cf., du même auteur, Stendhal et la Musique , dans la Revue du 15 décembre 1913. 15. Voir Eug
Écrits de musiciens, p. 395. Lettre de M. le Chevalier Gluck sur la musique (Mercure de France, février 1773). 19. Écrits d
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LIX. Musique à Naples »
Chapitre LIX. Musique à Naples Un prêtre qui avait quelque bon sens
en 1803, un itinéraire de Naples. Je vais extraire ce qu’il dit de la musique et qui est assez court. Page 289 de l’original in
r par moi-même. Naples, 10 octobre 1813. Naples a eu quatre écoles de musique , mais en 1803 il n’y en avait plus que trois où s
monde, et c’est bien naturel, c’est le pays où l’on aime le mieux la musique . Il y a plus de véritable amour, pour cet art, da
remiers Alexandre Scarlatti, qui est regardé comme le fondateur de la musique moderne parce qu’on lui doit la science du contre
3 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
dormir sans la réalisation de son rêve. Ce sont là jeux de poète. Musique . L’Orfeo de Monteverdi Jean Marnold. Tome L,
bstraction, dans Pelléas, de tout ce qui est, à proprement parler, la musique , et ne garder que la notation du discours. On tro
icales. Avec Orfeo, ressuscite une époque à jamais mémorable de notre musique , une phase de son évolution étrangement analogie
mogène. Pour la première fois peut-être, depuis les origines de notre musique occidentale, on constate formellement la réalité
oitée presque aussitôt pour la paraphrase nuancée des sentiments : la musique devient « moyen d’expression ». Vers 1480, l’évol
protecteur de Caccini, déclare : « Il y a aujourd’hui deux espèces de musique . L’une est celle appelée contrepoint. Nous défini
sa Nuove musiche, réprouve toute atteinte à la prosodie, blâme « une musique où on ne comprend pas bien les paroles » au lieu
sens et la portée du verbe, et conclut, en invoquant Platon : « … La musique n’est, avant tout, que langage et rythme, et seul
er. Et les arguments sont les mêmes. Comme, à peu près, Wagner à la «  musique pure », Caccini reproche au « contrepoint » d’êtr
nt du mélos et déterminait sa puissance émotive. Alors comme hier, la musique est proclamée « servante du drame » ; et les moye
lui qui semble avoir péroré le moins. Il se contentait de faire de la musique pendant que ses confrères élaboraient des système
our la mise en scène, de Gérard de Beaulieu et Jacques Salmon pour la musique , est de 1581. On y rencontre un orchestre beaucou
notre âme actuelle. Car, en dépit de Platon, Caccini et Wagner, « la musique n’est, après comme avant tout, que son ». Écho
’il faudrait entreprendre. Tome LI, numéro 175, juillet 1904 Musique . Opéra-Comique : Alceste. — Gluck et l’opéra Je
à M. Carré son privilège, on ne saurait assez proclamer ce que notre musique doit à son initiative entreprenante, et il sied d
ne donnaient qu’une intelligence incomplète, que M. Gluck composa sa musique . J’en fis autant depuis pour Alceste. Cela est si
s, jusqu’au jour où il connut Calzabigi, Gluck n’avait fait que de la musique italienne et des opéras italiens selon la formule
rahir la personnalité propre de l’un ou l’autre des protagonistes. La musique alors, par une sorte de série d’instantanés consé
nt « déclamée » de « l’opéra français », il installa le lyrisme de la musique pure. À première vue, pour la géniale et désinvol
s formes de danse, il les renouvelle, les transmue comme sublimées en musique pure. Le « menuet d’Orphée », avec sa célèbre « p
encore, comme avec Wagner ou Monteverdi, il se trouve que c’est la «  musique pure » qui doit de la reconnaissance à un « réfor
xpression n’était-elle pas pour eux une banale métaphore. De même, la musique provoque une excitation mystérieuse des sens et r
mêmes mélodies berçaient autrefois. Cette puissance dangereuse de la musique , le caractère particulier d’excitation nerveuse e
4 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
par M. Paul Sirven. […] Tome XXX, numéro 112, 1er avril 1899 Musique . La Résurrection du Christ, de don Lorenzo Peros
caux, à désinences en … istes ou en … ards. Bref, dans le monde de la musique , il y a actuellement une affaire Perosi. Que le j
ement d’opinion », chez des gens qui manifestent leur passion pour la musique dans les seuls cas où il est élégant et de bon to
s préventions ; une lecture superficielle ne leur ayant révélé qu’une musique pour ainsi dire improvisée et parfois rudimentair
ais, parmi les autres, beaucoup ont été contraints de s’avouer que la musique est faite aussi pour être entendue, et que la lec
ous, en dépit des sages décrets de la congrégation des rites, par une musique scandaleuse. Il tente dans son pays la réforme po
, dont il a déjà, au matin de sa vie, réglé toutes les étapes. Par la musique il veut répandre la Sainte Parole, et il a résolu
core qu’en artiste. Pour lui, comme pour Palestrina, chaque phrase de musique doit correspondre à une phrase du texte sacré, il
qu’il a voulu faire, mais parfois aussi par ce qu’il a fait déjà. Sa musique possède en effet, malgré ses défauts, une puissan
foi ; s’il parvient à libérer l’art religieux de son pays, et, par sa musique , à faire entendre ceux qui ont des oreilles et qu
n premier âge, fasciner tout le monde par sa beauté, improviser de la musique et des chansons, acheter les oiseaux captifs pour
t de l’église, vases à boire, troncs pour les aumônes, instruments de musique , les faisant tous beaux à voir, remplissant du re
. L’esprit capricieux de Ludovic était sensible aussi au charme de la musique , et il y avait dans la nature de Léonard comme qu
processus de sentiments, aussi subtil et aussi vague qu’un morceau de musique . Personne ne s’est jamais rendu maître de son suj
ts des plus curieux, surtout parmi les fameuses « Consultations ». Musique . Théâtre lyrique de la Renaissance : La Bohème, c
la Renaissance : La Bohème, comédie lyrique en quatre actes, poème et musique de R. Leoncavallo Pierre de Bréville. Tome XX
le seul effet de l’art. À les suivre dans leur existence cahotée, la musique bondit et rebondit, avec abnégation, avec déféren
qu’il s’efforce de peindre la vie réelle ; or, dans la vie réelle, la musique , en tant que musique, existe bien rarement : il l
indre la vie réelle ; or, dans la vie réelle, la musique, en tant que musique , existe bien rarement : il l’oblige donc à s’effa
concession au moins une fois par acte. Pour les mettre en lumière, la musique s’attarde à des morceaux en quelque sorte traditi
nnages dont l’outrance semble la vie normale. Ils sentent bien que la musique est sacrifiée inutilement — songeant aux Maîtres
5 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
plus populaire. Il a cuisiné la Fille de Jorio pour un opéra dont la musique vient d’être composée par le maëstro Franchetti,
torium » des Romains modernes qui commencent à désirer entendre de la musique . Dans quelques milieux d’artistes on fait des vœu
ts tragiques. Non. Le langage tragique et le rythme du corps, sont la musique subtile de la Tragédie ; par cette « musique » de
rythme du corps, sont la musique subtile de la Tragédie ; par cette «  musique  » de ses attitudes et de sa langue, l’acteur devi
rs rapports d’individu à individu, c’est-à-dire de leurs mœurs. Et la musique , qui accompagnait la comédie de Térence, étant mu
s mœurs. Et la musique, qui accompagnait la comédie de Térence, étant musique , ne pouvait être que grecque. Et est tota Græca
is, surtout et en dehors de ces hommes, si l’évolution complexe de la Musique et de la religiosité musicale n’indiquait déjà un
de surface que Maeterlinck suggère sans les définir, à la façon de la musique . Chaque tableau est comme un thème musical et ess
e mythe de l’Edda et le mythe du Christ lui donnèrent, agrandi par la musique , le pouvoir d’exaspérer les âmes. Wagner put ains
les exaltations, en prévoit la catastrophe, en proclame la mort5. La musique de Wagner a su la première dévoiler sur la scène,
su dramatiser le déterminisme le plus absolu6. Tout est prévu par la musique , qui suit le drame et se développe logiquement ve
éaliser, par l’idée ou par les gestes de ses drames, l’évidence de la musique wagnérienne. Ainsi l’affabulation pourra surgir d
ner, par exemple, peut nous satisfaire par les aspects infinis que la musique lui donne — mais ces drames demeurent insuffisant
t les deux véritables formes templaires de l’esprit contemporain. La musique exprime l’unanimité dans la Joie et dans la Doule
angage infiniment vaste et de plus en plus complexe. Par cela même la musique est identique à la religion. La musique, compliqu
us complexe. Par cela même la musique est identique à la religion. La musique , compliquant de science son expression et de haut
temple. Le « drame d’action7 », dans la prose de M. Sardou ou dans la musique de M. Massenet, restera longtemps l’agrément des
r d’une cosmogonie ou d’une morale nouvelle, par la vaste vertu de la musique , sera lui-même cosmogonie et morale, c’est-à-dire
oua dans son entreprise. Tome LX, numéro 209, 1er mars 1906 Musique Jean Marnold. Tome LX, numéro 209, 1er mars 19
e  » ; sans compter tout l’art antérieur, à n’en douter guère, car la musique descriptive ou « à programme » remonte aux plus l
us, il demeura pendant quelques instants penché sur une impression de musique qu’il achevait de corriger. Puis, relevant la têt
mes nouveaux amis. voyageais (Page 248). Il s’est mis à dire que la musique l’ennuie, que les tableaux lui donnent l’air cata
son auteur devait transporter plus tard sur la scène et à laquelle la musique de Mascagni valut une popularité sans précédent.
e des habitants ; 3° La peinture et les autres arts du dessin ; 4° La musique . Pour avoir du plaisir par ces deux derniers moye
faut sentir. J’ai donc résolu de faire un extrait de l’histoire de la musique de………, et un autre extrait de celle de la peintur
la peinture qui lui étaient « passées par la tête » en écoutant de la musique , le soir du 10 octobre 1814. C’est de cette époqu
eux à un excellent ami, je risque d’incendier mon rendez-vous avec la musique , et tout cela pour offrir du rôti à des gens qui
llets au théâtre et à l’hôtel, en voiture et en gondole, en rêvant de musique , de gloire ou d’amour. L’Histoire de la Peinture
théâtres plus que les musées, étudié le caractère italien plus que la musique et la peinture, et aimé Angelina Pietragrua plus
6 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
raphies, toutefois intéressantes, ne remplacent qu’imparfaitement. Musique Jean Marnold. Tome LXXXIII, numéro 303, 1er fé
attus. M. Saint-Saëns orna jadis ce livret puéril et calamiteux d’une musique déplorablement adéquate, la plus terne, la plus q
soupçonnais guère avoir à revenir ici sur un aussi piteux sujet. La «  musique  » de M. Leoncavallo, — si on doit s’exprimer ains
2) (chapitre de l’histoire du libéralisme italien, 1820-1821) […]. Musique . Collection des Maîtres de la Musique : Gluck, pa
n, le caractère pompeux et le style oratoire de la « tragédie mise en musique  » régnante ici depuis Lully et conservée avec Ram
t homme a été Gluck, le Gluck radieux et véhément qui révolutionna la musique par la seule vertu d’une harmonie dionysienne ; c
ril) : Suite du « Voyage du Condottiere », de M. André Suarès. […] Musique . Don Perosi et Gustav Malher [extrait] Jean Mar
au passage. L’effet est vraiment très curieux, et je ne sais guère de musique jouissant d’une aussi singulière inertie constitu
rale de Turin, qui me fit pleurer dans mon cœur ! À Milan, toutes les musiques que j’entends, le soir, dans les écoles, dans les
st pas la gaîté de mon cœur qui me fait ressentir et juger ainsi leur musique . Il faut que ce soit deux fois pour que je n’y tr
que. Il faut que ce soit deux fois pour que je n’y trouve pas à cette musique que j’adore quelque conformité avec mes tristes é
jaunes qui ruisselaient sur le parvis, les élèves du Conservatoire de musique , qui semble faire partie de l’église, poussaient
ts à moins d’un quart de lieue de la ville, est rempli de curieux, de musiques , de bals, de jeux, ce qui fait que jusqu’à cette
tous les arts, se développant dans un parallélisme absolu avec notre musique nouvelle. Une telle conception, faite en grande p
es Italiens, disent : vériste. Il est aussi « vériste » que la pauvre musique d’opéra italien contemporaine, où, en dépit de to
ne œuvre sur la Vie musicale de l’Esprit. Depuis quelques siècles, la Musique s’est affirmée comme l’art suprême, en continuell
du monde. M. Torrefranca essaie de créer un système esthétique où la musique garderait le secret matériel de toute inspiration
musique garderait le secret matériel de toute inspiration. Il met la musique à la base de toute l’architecture esthétique ou s
fantômes millénaires et éternels de l’œuvre spirituel. Il comprend la musique comme le paradigme parfait de l’harmonie universe
et Schelling. M. Torrefranca conçoit cependant, entre les arts et la musique , une différence essentielle, qui serait semblable
çu sans forme, et à l’image triangulaire des côtés et des sommets. La musique serait l’intuition pure de l’harmonie ; les autre
l’erreur, extrêmement répandue même parmi les musiciens, qui voit la musique comme essentiellement indéfinie, et exempte de to
précision de langage, qu’il soit poétique ou plastique. Tandis que la musique a la phraséologie très nette de ses rythmes, qui
rient d’ailleurs que fort peu dans les deux catégories pratiques : la Musique (et son complémentaire : la Poésie) et l’Architec
ques : des Rythmes du Temps et des Rythmes de l’Espace. Cependant, la Musique est l’Art suprême, en tant qu’elle permet les plu
chaque artiste veut et peut arrêter pour tous. C’est pour cela que la musique influence en même temps les hommes et les animaux
exégètes contemporains que l’incroyable et incessante évolution de la musique — le seul art, ai-je démontré ailleurs, qui se co
ements de dos de martins-pêcheurs, de gorge de ramier… Et puis quelle musique mêlée au silence suave de Venise ! Clapotis, grés
7 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
Segantini, Michetti, Sartorio, pour l’art, de Verdi, Puccini, pour la musique . Mais l’opinion étrangère est énormément plus fav
que Nietzsche appelait le tempo : chaque auteur a son tempo, comme en musique , et sait le varier. Machiavel était inégalable po
autels ». L’histoire de Cécile, vierge et martyre, et patronne de la musique sans qu’on sache pourquoi — n’est donc plus ici q
nt peut-être où on est appelé à voir comment elle va disparaître. Musique . Opéra-Comique : La Vie de Bohème, drame lyrique
a-Comique : La Vie de Bohème, drame lyrique de MM. Giacosa et Illica, musique de M. G. Puccini Pierre de Bréville. Tome XXV
profonds et complexes qui nécessitent de subtiles analyses. Drame et musique y sont également superficiels. L’épisode sentimen
vementés, sortes de pantomimes où disparaît l’action et auxquelles la musique demeure étrangère. Pour la plus grande partie de
plaît finit par lasser ; on souhaiterait qu’il s’arrêtât, et fît à la musique une place, fût-elle restreinte. Bizet, dans la sc
avec l’animation d’une foule chorale. Avec M. Puccini, l’apport de la musique à l’agitation générale n’est que de bruit et de r
re, les accents des mots italiens sur lesquels M. Puccini a modelé sa musique ne légitimeraient-ils pas bien souvent pour nous
se fatigue pas ; c’est bien la partition destinée à ceux pour qui la musique ne peut être qu’un art d’agrément, qu’un simple d
8 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
usicale, réalisée avec les suprêmes efforts de la parole pour devenir musique . Une tragédie catholique ne peut aujourd’hui qu’ê
maintenant. Et peut-être, débarrassée de discours inutiles, ornée de musique par Puccini ou Mascagni, la verrons-nous triomphe
olume Homo. Son ambition, a dit un de ses critiques, est de mettre en musique les conceptions religieuses et sociales les plus
de la beauté en perdant le vers, on a mêlé des arts voisins, comme la musique et la poésie, qui n’eussent jamais dû se confondr
Caroline, notamment, y apparaît plutôt supérieure à sa réputation. Musique . Théâtre Sarah-Bernhardt : Siberia, drame lyriqu
qui aspire à se noyer dans les grandes harmonies de l’univers que la musique a su révéler à son âme attentive. F. Nietzsche
vrait leur suffire, pour ne plus perpétuer dans les Conservatoires de Musique et dans les livres une confusion qui tarit toute
utre-monts s’efforcent d’affirmer l’évolution belle et complexe de la musique , que M. Romualdo Giani procure par son étude une
n de gentilshommes florentins la volonté de faire sortir du temple la musique et d’habiller de sons des actions et des passions
persiste à s’octroyer les droits absolus de marraine du drame mis en musique . Le souvenir religieusement gardé de la souverain
iteurs se suivent, et leurs ambitions restent toujours identiques. La musique allemande est musique barbare : elle ne parle pas
leurs ambitions restent toujours identiques. La musique allemande est musique barbare : elle ne parle pas au cœur ; la musique
usique allemande est musique barbare : elle ne parle pas au cœur ; la musique française (Gounod, Massenet et autres semblables)
iques. L’influence d’une telle tradition de l’éducation et du goût en musique s’est par trop révélée à l’univers entier convié
ns multiples de l’infériorité contemporaine de l’Italie en matière de musique peuvent et doivent se résumer dans le dilemme : «
ée — la fable pastorale, qui n’a aucune relation avec les modes de la musique nouvelle. Claudio Monteverdi, avec la violence p
es libretti que messieurs les poétes, les véritables proxénètes de la musique prostituée, envoyaient habituellement aux musicie
roit sur le quadrige impétueux de sa Tétralogie, renouvela livrets et musiques dramatiques, formes et substances, et créa la for
es jeunes musiciens. L’Italie pourra espérer ainsi un renouveau de la musique théâtrale digne de son passé éblouissant. Gius
mme deux échos à travers les siècles. On peut leur préférer une autre musique , mais il n’y en a pas de plus éthérée, de plus di
a plus d’âme qu’aucun autre. Eh bien, c’est par l’âme aussi et par la musique de l’âme que vaut surtout la poésie de Lamartine.
ient sur les lèvres. » (Victor Hugo raconté, t. II, p. 104.) 51. La Musique italienne contemporaine. Mercure musical, 1er et
9 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
dans ce but d’ingénieux parallèles avec la poésie, la sculpture et la musique . Assurément Léonard est là fort discutable, mais
nce se manifeste en dehors de la caste sacerdotale. Wagner a écrit la musique de l’Évangile et l’abbé Pérosi les plus profanes
subi en rampant les plus basses tyrannies et dont Ie dernier art, la musique , cet art de décadence4, a lui-même depuis longtem
art ; il en a écrit l’apologie et, le comparant à la sculpture, à la musique et même à la poésie, il le proclame incomparable.
ite pas de discussion. En soi la peinture est aussi inférieure que la musique  ; et aucun art n’a vu une si nombreuse suite d’im
i hante seul les portiques, Où, jadis, sous le lustre, au rythme des musiques , Retentissait l’orgie et tournoyait le bal.
des arcades, Des femmes dont les yeux respirent le plaisir. Une musique joue au milieu de la place ; La foule, en mouvem
la scène de ses œuvres. […] Le drame de Victor Hugo avait été mis en musique par Verdi sous le titre de Rigoletto. Or, en 1857
e représentation de Rigoletto Opéra en 3 actes Paroles de M. Piave, musique de Verdi « Je me suis arrangé de façon à me procu
trie dans leurs rapports avec la peinture, même goût prononcé pour la musique , même penchant à laisser un ouvrage inachevé pour
ère celui qu’on appelle le dernier grand poète italien, et entre deux musiques militaires et une dizaine de discours, Mlle Cæcil
à Paris, l’École des Hautes Études Sociales honorait, sans statues ni musiques militaires, devant le « monde intellectuel », le
ème. Cette exigence provient sans doute d’une habitude invétérée : la musique adoucit les mœurs ; un tableau est un précepte mo
e une essence plus enveloppante Que le jus écoulé de la vigne ; une musique ravissante Plus que la pulsation passionnée de Ph
veut soulager les tourments de Saül — soient préparées par une brève musique instrumentale, et soient dites avec « maestria et
théocratique », récite ses strophes sous forme de mélologue, sur une musique de séduction. Saül a aussi perdu dans l’adaptatio
re du droit divin. Et le Carnaval secouait de plus belle ses grelots, musique de folie et d’oubli. Malgré tout cependant, malgr
LXXIII, numéro 263, 1er juin 1908, p. 565-569. Un esthéticien de la musique  : M. Ildebrando Pizzetti, Ariane et Barbebleue, R
e découvrir, je crois, et de révéler, un jeune musicien sur lequel la musique contemporaine de l’Italie et d’ailleurs doit comp
ative esthétique admirable de M. Pizzetti. Il a créé pour la Nave une musique de scène toute particulière, une polyphonie vocal
tti, pour sa compréhension étonnante des dernières affirmations de la musique française, et par sa recherche ailée de la forme
nt de leurs propres affaires, comme s’ils assistaient à une séance de musique de chambre. Faut-il souhaiter aux poètes, à côté
n. M. Fausto Torrefranco, qui se révèle musicien et esthéticien de la musique , très sérieux, montre en quelques pages rapides c
élites des autres pays qui assistent à l’évolution très récente de la Musique , le plus ancien et le plus jeune des arts, et la
aliste vain, pour se jeter avec une ardeur féconde dans l’étude de la musique contemporaine d’outre-monts qui a hérité du scept
ages des Walkyries rompaient de leurs clameurs discordantes les sages musiques à quoi nos oreilles sont plus accoutumées. C’est
ques moments de leur vie, moments comparables à des points d’orgue en musique , où une phrase s’arrête, se prolonge dans l’atten
. Si elle fait partie d’un ensemble artistique comme en Allemagne, la musique est au contraire une richesse. Il est à remarquer
ontiers musiciens, tandis que les peuples forts se passent souvent de musique . 5. Voy. Mercure de France, n° 254. 6. Charpent
10 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
décembre). — M. Julien Luchaire : « La Guerre vue de Sicile. » […] Musique . [Opéra National : Guillaume Tell] Jean Marnold
voureux, démodés et candides, la puissance brute de l’harmonie, de la musique toute nue était irrésistible. J’avoue que le fame
ue des Écoles, à Paris. Tome CXV, numéro 431, 1er juin 1916 Musique Jean Marnold. Tome CXV, numéro 431, 1er juin 1
t aucun perceptible rapport avec ce qu’on peut décemment nommer de la musique . Pour il Trovatore, en revanche, opéra selon la f
ésence du résultat auquel aboutit cette virtuosité péremptoire. Si la musique de Verdi vaut quelque chose, c’est, outre par la
’ont pas toujours strictement tenu la promesse « de résumer ce que la musique a produit de plus remarquable » à tel ou tel mome
fragments qu’on nous servit tirés de plusieurs opéras du maestro, la musique de ce compositeur, chu depuis dans un opaque oubl
le de parvenus. « Qui parle au xxe  siècle de peinture allemande, de musique allemande, de poésie allemande parle d’une nébule
des Deux Mondes (1er juillet) : […] C. Bellaigue : « D’Annunzio et la musique . » […] Musées et collections. La Vénus de Cyrè
ses. Le communiqué ajoute un peu naïvement : « Les Italiens feront la musique , la France les livrets. » Et voilà, ce n’est pas
s. » Et voilà, ce n’est pas plus compliqué que cela. Il en est de la musique comme de la guerre. Le tout, entre les Alliés, es
étais content de m’aimer, d’aimer ta fille, l’Italie, tes fleurs, ta musique , les beautés du lac et de la montagne. Quant à un
couler à leurs pieds le large fleuve des faits pour n’écouter que la musique religieuse dont leur pensée retentit chaque jour.
milèrent et développèrent le cubisme de Picasso et de Braque. Dans la musique , l’influence allemande s’exerça sur la musique sy
et de Braque. Dans la musique, l’influence allemande s’exerça sur la musique symphonique et la musique de chambre ; dans le mé
ique, l’influence allemande s’exerça sur la musique symphonique et la musique de chambre ; dans le mélodrame, le wagnérisme eut
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
trompes, plutôt que des voix rauques et lugubres, jouent des airs de musique , quelques-unes des « mélodies » si chères aux fér
iques et pathétiques, qui enveloppent l’action dans une atmosphère de musique héroïque et sensuelle, d’où la vision de Venise s
traordinaire. Un jeune musicien, M. Ildebrando da Parma, a composé la musique de scène de l’œuvre, musique chantée de planus ca
en, M. Ildebrando da Parma, a composé la musique de scène de l’œuvre, musique chantée de planus cantus, qui semble remarquable.
12 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
s formes, place à l’Esprit dans son éclat. Écrit à Tantah en 1893. Musique . Othello Alfred Mortier. Tome XII, numéro 5
et tendre, et M. Saléza l’a chanté comme s’il se fût agi de Roméo, La musique et le livret l’y portaient. — Enfin Iago n’est pa
, parfaite de sobriété et de justesse (sauf en quelques endroits), la musique d’Othello manque pourtant de puissance, et ce n’e
13 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
succès de Postuma. Tome CXIX, numéro 447, 1er février 1917 Musique . Opéra National. — Guillaume Tell de Rossini J
té, et… de bien autre chose. Ce qu’on aime à l’Opéra, ce n’est pas la musique . Les femmes vont à l’Opéra pour être vues ; les h
ttache plus étroitement que ce qui le suivit, à la « tragédie mise en musique  » de Lully et de Rameau. L’auteur des paroles, l’
e au Dents gâtées qui sévissent en nos cinémas. Il était fatal que la musique en pâtît. Il y avait certes pas mal de temps que
ans le plus inégal des chefs-d’œuvre, ces pages vivront autant que la musique elle-même. On en rechercherait bien vainement l’é
de ce fatras truqué ; tout cela est dorénavant et à jamais rayé de la musique , à laquelle, au surplus, cela n’appartint guère q
son humeur rébarbative, parce qu’il était le seul qui ne fît point sa musique pour de l’argent. » Parole à retenir de la part d
et conserva dans son triomphe la haine de tous ceux « qui font de la musique pour de l’argent » — et les intrigues de leurs éd
nsterne, si, musicalement même, l’œuvre finit en queue de poisson, la musique pure ailleurs y prodigue maintes oasis ; un lyris
est un livre de vérité. Tome CXX, numéro 449, 1er mars 1917 Musique . Opéra National : Rigoletto de Verdi Jean Marn
le terme d’œuvre d’art. Techniquement, c’est à coup sûr de la fichue musique . Le métier ici est néant, et on se demande ce qu’
ait servir. En dépit de ses airs, romances, ballades ou cavatines, la musique de Verdi fait corps avec le drame. On peut même a
orie wagnérienne reçut application plus inconsciemment rigoureuse. La musique est ici vraiment « la servante du drame », hors d
à 1898, la Société française des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs de Musique avait perçus sur les œuvres de Donizetti, et nota
a fait gagner des millions à nos scènes lyriques et à nos éditeurs de musique  ? On peut être collectiviste (bien qu’en pense no
je vous prie, comment je dois me conduire envers celui qui a fait la musique . Je tiens à paraître le moins possible ignorant e
la première lettre de Cavalieri. 61. Madrigaux de Michel-Ange mis en musique par Costanzo Festa et Concilion, chanteurs de la
14 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
imables sur les Français et sur moi-même. Et maintenant nous parlions musique , il me racontait que la saison du San Carlo avait
tout brillant de feu, couvert de barques illuminées, retentissant de musique et de chants. Une foule claire, aimable et animée
ons le petit murmure des eaux que fendait la proue, c’était une jolie musique . La mer était toute bleue, avec de légers bouillo
âpretés s’imposeront par un charme fait de raison et d’éloquence, de musique et d’amour. Debout et resserré dans sa longue cap
’Heure présente, si trouble : donner une direction à l’élite. […] Musique . Opéra national : le Couronnement de Poppée, de C
377, 1er mars 1913, p. 192-197 [196-197]. Le troisième « spectacle de musique  » du Théâtre des Arts fut digne de ses aînés. Il
ie, libérée décidément des conventions intellectuelles, fait de cette musique un langage humain et le plus pathétique. L’inspir
oirées de Paris (avril). […] M. Ch. Perrès : « Ouna Ragazza. » […] Musique . Théâtre des Champs-Élysées : représentations it
solitaires font leur œuvre et la lancent à travers le pays. Et si la Musique et les Arts plastiques d’extrême avant-garde ont
e trouve que c’est justement cela, ces dames étant la Philosophie, la Musique , l’Astronomie, la Grammaire, la Rhétorique. Elles
le de mettre à mal des fils de famille que de diriger le temple de la musique  ; mais après tout s’il la connaît mieux que moi (
nt Hugo. » […] France-Italie (1er août) : — M. Lionel Dauriac : « La Musique et la psychologie musicale dans l’opéra de Verdi.
stes (septembre). — M. Fernand Divoire : « Dante en Flandre. » […] Musique . Opéra. — Les Joyaux de la Madone, musique de M.
ante en Flandre. » […] Musique. Opéra. — Les Joyaux de la Madone, musique de M. Wolf-Ferrari Jean Marnold. Tome CV, numé
s le succès brillamment remporté ailleurs. Malheureusement, il y a la musique de M. Wolf-Ferrari. J’ai grand peur que notre pub
es. M. Wolf-Ferrari en est aussi dénué qu’il regorge de platitude. Sa musique , si on ose ainsi s’exprimer, est la plus vide et
. S’il a tant de cordes à son arc, que n’en décroche-t-il celle de la musique  ? Il n’a que l’embarras du choix pour faire sûrem
centre. Personne, surtout en Italie, où nous avons pu goûter, dans sa musique native, son lyrisme toujours mêlé, mais parfois p
t encombré délivrés. Il y avait aussi des sphères, des instruments de musique et d’astronomie. Le moine était un beau garçon, q
uis remontaient brusquement pour mon étonnement. Le train faisait une musique de fer massif qui me berçait ; bourouboum boum bo
15 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
hœur sonne, la rue s’agenouille. Quelquefois, à Naples, on entend une musique joyeuse, un orphéon s’approche, faisant vacarme :
utes les petites fêtes de tous les saints, dans toutes les rues, avec musique , pétards, et le gros ballon de papier portant une
à un pieu et s’apprête à l’égorger. Mais voilà un rassemblement, une musique de flûte et de violon s’élève, cinq musiciens ave
sage, elle a une tête sinistre d’oiseau de proie. Cependant une autre musique s’approche, et c’est un tintamarre de tambours ac
e ; critique de la conception fataliste du socialisme de Marx. […] Musique . Musique ancienne : les Chanteurs de la Renaissan
que de la conception fataliste du socialisme de Marx. […] Musique. Musique ancienne : les Chanteurs de la Renaissance [extra
r dans la campagne. Il nous cita le nom du prêtre qui lui enseigna la musique , l’encouragea dans l’art du dessin et qui le crut
assait sous des fenêtres illuminées, et qu’il entendait des bruits de musiques , il décrétait que le but de l’existence était d’ê
t la cheminée. Son luth sur ses jambes croisées, il improvisait de la musique , sur les vers de Cassandra Fedeli. Parfois, il in
isait des tableaux aussi facilement et. avec autant de bonheur que sa musique . — Voilà, lui dit Daniel, des discours que je ne
vit le mouvement des canaux et des rues, les jeux, les masques et les musiques . Toutes se promirent d’assister aux fêtes. Elles
rs ; qui chantera comme lui, en s’accompagnant sur des instruments de musique , car ses doigts étaient aussi subitement inspirés
e lumière. Écouter se disputer deux Napolitains, c’est entendre de la musique . Écouter discourir deux ouvriers dans la rue, c’e
ittà morta ne l’avait pas fait encore. Il est certain que l’admirable musique de Debussy s’allie merveilleusement à l’œuvre du
e française (juillet) : M. H. Ghéon : « M. d’Annunzio et l’Art. » Musique . La Saison de Paris : Saint Sébastien Jean Ma
enant que l’auteur de Pelléas ait composé pour ce Saint Sébastien une musique qui n’ajoutera rien à sa gloire, et on doit plutô
gue, je ne me reconnais pas. La promenade du Pincio est charmante, la musique y jouait, mais peu de monde, quand nous y étions.
Bashkirtseff ; et c’est pourquoi elle est immortelle, peut-être ? Musique . Lionel de La Laurencie : Lully (Collection des M
sonore. Durant un tiers de siècle, ce pitre accapara et monopolisa la musique en France. Rivaux, émules ou confrères sont annih
l, Lully installe en souveraine la tragédie, aux côtés de laquelle la musique ne remplit qu’un rôle ancillaire ou du moins expr
le fondateur de « l’Opéra français » fut avant tout un amuseur, et la musique n’était qu’un élément, au fond presque accessoire
a jusqu’à la fin de cette patiente employé comme dérivatif suprême la musique . Il déchaîne les harmonies de son orgue lorsqu’il
enaissance contemporaine (24 novembre) : — M. Canudo : « Essai sur la musique comme religion de l’avenir. » […] Lettres polo
16 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
rt italien, voire même de l’architecture gothique florentine ou de la musique moderne… M. Gabriel d’Annunzio subit aussi, et à
l’ombre ? Son œuvre est belle et neuve, sa langue est précise et sa «  musique  » est émouvante. Le poète des jardins et des joie
à la vue glorieuse de ce port heureux ? Il traduit maintenant par sa musique la joie générale de ceux qui l’écoutent et qui, c
s les merveilles d’un art spirituel : l’Architecture, la Peinture, la Musique , la Poésie. Ah ! tout cela qui veut se survivre !
héticiens qui suivent et comprennent le mouvement d’avant-garde de la musique française et l’expliquent dans des pages qui ne d
tion de la matière vers la pensée, qui est en son essence harmonie et musique , aboutit en effet, et littéralement, à l’expressi
t, à l’expression musicale. Aussi, est-ce dans le développement de la musique depuis Palestrina jusqu’à Beethoven, Wagner et De
té inspirée par un type de vice détestable ; le plus beau temps de la musique coïncide avec une époque d’étrange affectation et
du peintre Paul Ranson, étaient, hélas ! en pure perte, délicieux. Musique . J.-G. Prod’homme : Paganini Jean Marnold. To
l’atmosphère de sa propre demeure et qu’on aime avoir sous la main la musique préférée, pour être sûr d’en goûter la profonde c
ans le silence de la cellule, au lieu des vaines rumeurs, entendre la musique intelligible que forment en nous, par l’écho loin
sé la belle jeunesse de Dom Destrée, épris uniquement de peinture, de musique et de poésie. Mais, au milieu d’un de ses voyages
ctoire, ce n’est pas seulement avec les violons que nous ferons de la musique , mais avec les poëles et les landiers. Que de tr
s rangs ; puis venaient les violons et les autres instruments dont la musique était si belle qu’on se serait cru au Paradis ter
plus « sérieuses », celles qui, au moins en littérature (car pour la musique les justiciers sont déjà nombreux, et, après le s
le philosophe parle des rapports existant entre la philosophie et. la musique , en se demandant « s’il n’est pas possible, même
17 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
l’imaginait dans les décors de la scène, à travers les beautés d’une musique puissamment personnelle, exceptionnellement profo
teur, n’est qu’un travail d’à côté, élagué de tous ces détails que la musique doit rendre avec son langage frémissant et infini
t la Tragédie, de me soustraire au pressentiment de la scène et de la musique . Sans doute, la vision telle que M. Boïto nous la
ce à cette convention, on a le double avantage de pouvoir entendre la musique de M. Boïto et de jouir pour trois ans encore d’u
18 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
Tome XLI, numéro 145, janvier 1902 Musique . Concerts [extrait] Jean Marnold. Tome XLI, nu
de tout discuter. Lui est un débutant, un inconnu dans le monde de la musique , et grande dut être la stupéfaction des membres d
c les vers de Dante. Je crois même que, enthousiasmé par cette divine musique , le garçon m’exposa, avec la concision qu’exigeai
crivait à propos de Chopin : « un jour viendra où l’on orchestrera sa musique sans rien changer à sa partition de piano… » Ce v
uée m’intéresse. Comme le papillon vole aux lumières, elle vient à la musique . Elle est fine, langoureuse et svelte, et tourne
19 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXI »
, on jouait la comédie dans un souterrain. Tout le monde pense que la musique est actuellement, à Naples, dans un état de décad
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVII »
Naples en dehors de la société. Tout y était mort pour moi. La bonne musique m’eût ranimé : je n’y ai entendu que de mauvaise,
21 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
ui qui écrit ces lignes. Tome XLV, numéro 158, février 1903 Musique . Théâtre national de l’Opéra : Paillasses, drame
; qu’ils aient supposé un instant faire œuvre d’art en écrivant cette musique à la fin du xixe  siècle et après ses conquêtes,
nent à l’égard de l’art musical, de s’occuper trop longtemps de la… «  musique  » de M. Leoncavallo. On entend assez, d’autre par
t puis, il faut savoir se contenter de peu, à l’Académie Nationale de Musique , pour tout ce qui se rapporte à la mise en scène.
on pèlerinage à Dux. Tome XLVIII, numéro 167, novembre 1903 Musique . Opéra-Comique : La Tosca, de MM. Sardou et Pucc
met, je n’ai rien à en dire ici ; mais ils devraient bien garder leur musique . Ce n’est pas que M. Puccini ne se distingue avan
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXV »
glises sont changées en une espèce de théâtre, décoré d’étoffes et de musique , et toutes les chaises sont tournées vers l’orche
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LX »
les. On l’aime à cause de la tendresse qui anime ses compositions. La musique qu’il fit sur le duo : Se mai più saro geloso par
24 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIX »
ement occupée. J’ai écrit la portée de sa voix pour lui envoyer de la musique de Mozart. J’ai tiré de son maître la confirmatio
25 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
a description d’un chef-d’œuvre de Titien : Vénus se récréant avec la musique et le joueur d’orgue. Ce tableau est depuis plusi
t fut inauguré le 11 juin 1751 avec l’Artaxerxès de Métastase dont la musique était de Baldassare Galuppi, dit il Buranello. Il
a soirée du 28 octobre 1917 avec La Loreley. La légende rhénane et sa musique très italienne de Catalani se déroulèrent devant
poésie et fit les livrets d’opéras de Verdi. Il écrivit encore de la musique et laisse un Néron inédit. Tome CXXVIII, num
rina aux prises avec la faim et vivant uniquement d’eau fraîche et de musique . Qui vit plus de quatre-vingt-dix ans ? Le
es tardifs remords. Tel est le libretto, dont nous ne dirons rien, la musique suffisant à épuiser nos commentaires. Et d’abord 
mort d’Arrigo Boito (1842-1918) n’est pas seulement une perte pour la musique à laquelle il avait donné un chef-d’œuvre : Mefis
ié en 1901 le poème dramatique Nerone, dont il a laissé — dit-on — la musique , que tous les Italiens attendent depuis longtemps
26 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
est pas Chicago. » […] Tome XXXIV, numéro 125, 1er mai 1900 Musique [extrait] Pierre de Bréville. Tome XXXIV, num
r… ils aboient et se mettent en fureur contre les trains, le gaz, les musiques , quand ils les rencontrent pour la première fois7
cruels devenait plus fort. Mais tout d’un coup Stazia interrompit sa musique et, élevant en l’air sa sambuca, s’écria : — Orph
noncer par ta bouche. La voix d’Orphée résonnait, en effet, comme une musique dans le silence humain. — Est-ce toi, Stazia ? re
vocateur par excellence, la Poésie crée ses images comme elle crée sa musique  ; il est aussi dangereux d’en tirer des illustrat
lier de la Trinité-du-Mont, tandis qu’autour de lui on danse, que des musiques résonnent, que des femmes, affranchies des mégère
bert, gagné par le lyrisme du décor lui chante, en lui traduisant, la musique de Virgile et d’Horace. Et alors, pour lui, s’ani
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
ésumés en Gasparo Gozzi, le critique et gazetier ; le chapitre sur la musique , le chapitre sur la peinture ; les trois chapitre
28 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
rithmétique servent à tous et l’œil ne peut les embrasser. Mars et la musique sont beaux et ardents, et attirent les vapeurs de
29 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
e Casablanca, de Fez, etc… ou plutôt non : vous avez les retraites en musique , et cela vous suffit pour exciter la fibre guerri
estueuses du monde, égale, supérieure peut-être à l’italienne pour la musique , si elle n’avait pas les trois lettres gutturales
t si complètement qu’on les entend sans réellement voir leur fin. Musique . Verdi, par Camille Bellaigue (Henri Laurens, éd
et fut Giuseppe Verdi. On le voit tout enfant possédé du démon de la musique et s’abandonner fougueusement au plus naïf et joy
tisme serin de l’irresponsable public d’un Bizet et d’un Massenet. La musique de Verdi est avant tout italienne, vocale et mélo
n décousu, son exubérance emballée, ce qu’on peut appeler la mauvaise musique de Verdi a mieux que ce M. Bellaigue dénomme « de
entamer le caractère national de l’art du « Maestro ». La « mauvaise musique  » de Verdi, c’est du génie tout cru, et peut-être
as s’aviser de se souvenir des Maîtres-Chanteurs en l’écoutant. Cette musique légère, fluide, limpide comme le ciel du pays qui
s ou extasiés, et créent les mouvements récents de la peinture, de la musique et de la prosodie nouvelles. Nulle part ailleurs
dans une discipline qui soit nôtre. Les discussions s’apaisent sur la musique de Debussy ou de Dukas, et on les rouvre sur cell
30 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
Tome XXI, numéro 86, février 1897 Musique [extrait] Charles-Henry Hirsch. Tome XXI, num
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
composition des éléments de réalisation empruntés à la poésie et à la musique . Le style y est imagé et rythmique. L’écrivain es
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
uère à la notion commune de la poésie « fiction de rhétorique mise en musique  ». Vraiment ce traité ne servira à personne pour
33 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
de la seconde année). M. Valcarenghi y commence un roman, Dedizione ; musique , très intéressante, de M. Celega ; une étude de M
34 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
ec seulement quelques braves carabiniers d’opéra-comique, beaucoup de musique , des fêtes, et la joie d’être libre, de penser à
/ 34