tu es morte, Depuis longtemps tu es morte, et moi je vis. Vivants ou
morts
, que nous importe ? Jusqu’à toi, le long des sièc
ons les vitres, Renouvelons l’air enfermé ! L’esprit antique ? Il est
mort
. Il est dans le suaire de l’histoire, Dans le mau
e sur la substitution de l’idée du temps au temps. L’année même de la
mort
de Guyau, en 1888, M. Bergson publiait ses aperçu
Inquisizione (Documents inédits). G. Barbera, Florence. Échos. La
Mort
de Pétrarque Mercure. Tome LXVII, numéro 239,
73-576 [574-575]. La vieille légende très romantique qui entourait la
mort
de Pétrarque, et qui a perpétué, de siècle en siè
Pétrarque, et qui a perpétué, de siècle en siècle, la vision du poète
mort
dans la solitude de son cabinet de travail, la tê
es Lettres de Cicéron. M. Léon Dorez pense en effet que Pétrarque est
mort
en travaillant à sa Vie de Cicéron, qui devait fa
affirment maintenant qu’on ne pourra jamais savoir sur quel livre est
mort
Pétrarque, car l’histoire de sa mort pendant le t
jamais savoir sur quel livre est mort Pétrarque, car l’histoire de sa
mort
pendant le travail, dans son cabinet, où on ne le
crite par Dondi, le médecin et l’ami de Pétrarque, le lendemain de la
mort
du poète. On sait que Pétrarque, vieux et fatigué
cience nationale : géniale, cultivée, enthousiaste et pure. Bovio est
mort
il y a deux ans. Carducci s’éloigne dans le silen
i. Une tragique douleur de famille, une terrible vision de sang et de
mort
, fit poète Giovanni Pascoli. Sa douleur s’épanoui
mme en un bruit d’eaux lointaines sangloter le fleuve invisible de la
mort
. C’est le leitmotiv des œuvres de cet écrivain qu
er, il faut. La tragique hérédité de l’hétaïre qui retrouve après sa
mort
les âmes difformes de ses enfants non nés qui la
t rayonnante de joie. Ici, comme dans tout l’Art de Pascoli, c’est la
Mort
qui domine, avec toutes ses hypostases de recherc
e, à mes sœurs — à mon frère exilé — à mon père enseveli — à tous mes
morts
— à tous mes gens d’entre la montagne et la mer —
par le poète pour nouer des vies dans l’amour et les dénouer dans la
mort
. Le catholicisme de la Figlia di Jorio est fait c
l d’une vengeance, et précisent dans quelques faits de violence et de
mort
la loi naturelle du crime et du châtiment. Dans l
ouverte sur le soleil, entre le souffle de l’Infini, la volonté de la
mort
, la raison du drame. Une étrangère voilée arrive
er de Saint-Blaise, le fleuve, sa maison… Mais le grand souffle de la
mort
, qui a poussé vers la maison tragique la femme po
ones. Toute leur haine contre l’intruse se résout dans une volonté de
mort
, égrainée par leurs bouches implacables, dans un
la manifestation d’un terrible destin. Son image dévoilée rayonne la
mort
dans la maison dont elle a franchi le seuil, pour
, car toutes les affinités de sa vie et toutes les possibilités de sa
mort
l’attirent vers la montagne. Là, il garde ses tro
art et frappe son père, le tue. Ornella revient ; elle voit son père
mort
, et crie en voyant le parricide : Ah ! Et moi je
n. Le fait tragique est accompli. Maintenant ce sont les chœurs de la
mort
. Aligi est jugé par le peuple. Il sera mutilé et
ue le cortège approche et que les pleureuses chantent leurs chœurs de
mort
autour du cadavre de Lazaro. Personne n’ose l’app
né, pour lui donner une ivresse qui calme les angoisses atroces de sa
mort
. Candia prend la tête de son fils, la presse d’un
endent. Il invoque la haine de son père et sa vengeance même après la
mort
. — Et voilà que la fille de Jorio arrive et deman
elle seule, a su attirer Lazaro sur la montagne et a su le frapper de
mort
, devant l’Ange muet. L’Ange muet est là couvert d
et active contre la force qui entraîne l’homme vers la vie ou vers la
mort
. Elle n’a pas, comme Sylvia, l’aspect d’un contre
nnunzio cela est angoisse, est tourment, et fatalité implacable de la
mort
. Par la constance de cette vision, grand thème co
a tragédie est une superbe voix collective de crainte, de haine et de
mort
. Les Théâtres. Œuvre : La Gioconda, tragédie
fet, au bout d’une heure son frère le vit rentrer à toute bride, plus
mort
que vif. En route on lui avait remis une lettre d
œil ! Zio Pera était un redoutable devin. Elia pensait justement à la
mort
, et un soir il descendit vers le fleuve. Zio Féli
efois sous le nom de Gentile, représente un événement postérieur à la
mort
de celui-ci : force était de se résigner à lui en
ardait en souriant ». À peine pouvons-nous fixer approximativement la
mort
du peintre par une lettre d’Isabelle d’Este écriv
icciotto Canudo. Tome LIV, numéro 187, 1er avril 1905, p. 448-452.
Mort
de Auguste Conti Auguste Conti, philosophe-péd
e Italie, a jeté la semence dans tous les cœurs. Pour ces raisons, la
mort
d’Auguste Conti, patriote et philosophe catholiqu
des Canti di Castelvecchio de Giovanni Pascoli, nous fait oublier la
mort
des philosophes, et « l’angoisse philosophique »
t une sorte d’exemple de la supériorité de l’action sur la parole. La
Mort
domine comme toujours la poésie de Pascoli ; elle
ensée. « La vie — dit le poète dans sa préface — sans la pensée de la
mort
, c’est-à-dire sans religion, sans ce qui nous dif
ulcres (les tombes de son père assassiné, de sa mère et de ses frères
morts
jeunes) et dresse son sommet vers un ciel ensolei
ppe du souper lorsque les gens de la maison se couchent, afin que les
morts
ne viennent pas dans la nuit noire s’asseoir auto
deux mains. À la fin de son recueil, le Poète évoque la vision de la
mort
de son père. Il écrit un poème où l’Ombre de celu
poème où l’Ombre de celui-ci voit apparaître l’Ombre de son assassin
mort
, et lui parle de son fils : de celui qui, orpheli
exercice littéraire. Les genres qui n’évoluent point sont des genres
morts
. L’auteur tragique qui, au xxe siècle, se condam
de ses prédécesseurs, a toute la valeur d’un collectionneur de choses
mortes
, il œuvre pour le musée non pour le théâtre. Afin
e au tombeau de sa mère ; elle pense à la vengeance à accomplir, à la
mort
nécessaire de Angizia di Fura. Dans toute la trag
t à considérer comme le centre perpétuel du monde, sans penser que la
mort
tue les villes et les races, comme elle tue tout
st un signe de l’avenir ou un râle du passé. Tout de suite après leur
mort
, et même avant, la légende les enveloppe en des v
officiellement et littérairement le centenaire de ce demi-dieu. Un
mort
: le poète Giovanni Camerana Il Campo, de Tur
nt que l’œuvre d’un inconnu, lorsqu’elle est rendue définitive par la
mort
de l’auteur, ne soit présentée que dans son ensem
exemple de Pétrarque qui avait fait les Triomphes de l’amour et de la
mort
, et de certains poètes latins du siècle d’Auguste
ait généralement sur lui, C’était sa façon de se familiariser avec la
mort
… des autres. On dit enfin que Camille Desmoulins
eare14. Or, comme les Nuits de Young, qui sont des méditations sur la
mort
, étaient généralement suivies dans les éditions d
e qui m’avait touché. C’est celui d’un vieillard qui pleure son chien
mort
. Je veux que mon premier chien s’appelle Gorban c
ssait alors chaque printemps à paris, avait lu l’Air natal, le Lit de
mort
, le Bannissement, le Retour à la vie, les épîtres
de trois ans avant de composer le Lac il avait rimé une élégie sur la
mort
de Parny qu’il avait lue à l’académie de Mâcon :
rque dont il s’inspira plus que d’aucun autre, à partir du jour où la
mort
de Julie changea son amour en une sorte de religi
e qui se flattait de l’avoir pénétré : « Il ne faut disséquer que les
morts
. Cette manière de chercher à ouvrir le cerveau d’
de l’année 1821, peu de mois après (!) qu’on eut appris en France la
mort
de Bonaparte à Sainte-Hélène ». La vérité certain
rachevé le Crucifix, en Italie ou en France, quelques années après la
mort
de Mme Charles, la chose est parfaitement admissi
qu’il ait composé cette Méditation quelques jours seulement après la
mort
de Julie, sous le coup du grand chagrin que lui c
mença vraiment à l’étudier que vers 1823 lorsqu’il songea à écrire la
Mort
de Socrate. Encore ne l’étudia-t-il qu’au point d
de Fécondité eut pour l’auteur de Bel Ami . Nous parlâmes du grand
mort
, de ses dernières années, du procès de Versailles
es, et en quelque sorte frappée d’une incurable paralysie. Ce qui est
mort
est bien mort : il faut aller vers l’Avenir. Quel
que sorte frappée d’une incurable paralysie. Ce qui est mort est bien
mort
: il faut aller vers l’Avenir. Quel avenir donc ?
s ravages !… Ne dites pas : « Nous mourrons demain… Je vis !… J’étais
mort
! » Mais dites plutôt : « Je suis une parcelle du
cisme, et sans encore vouloir reconnaître pour une religion la loi de
mort
, ou tout au moins de profonde métamorphose qui es
glais : quelques Nuits de Young et la superbe tragédie d’Addison : la
Mort
de Caton. » Le 24 mars 1811 : « Plongé tous les
) 20. Dans ces vers de l’Immortalité, par exemple : Je te salue, ô
Mort
! libérateur céleste, Tu ne m’apparais point sous
r lui dans Raphaël, que le docteur Alain qui avait soigné Julie était
mort
quelques années après elle, en tenant entre ses m
ne rien comprendre à cette interprétation. Si le docteur Alain était
mort
avant Julie, peut-être, en effet, Lamartine aurai
t, je fais une chose que je méditais depuis six ans : un chant sur la
mort
de notre ami Socrate. Le Phédon m’y a fait repens
iant le tableau comparatif de leur rendement depuis 1869 (année de sa
mort
) jusqu’à 1895 (1). Il résulte, en effet, de ce ta
oésie italienne avec ses Sonnets et ses Triomphes de l’amour et de la
mort
. Encore — j’en demande pardon aux Italiens — y a-
rie, et sa grandeur d’âme est impuissante à conjurer le malheur et la
mort
. En ouvrant le tombeau des Atrides, Léonard a att
e. Dans l’Enfant de Volupté, comme dans l’Intrus et le Triomphe de la
Mort
, M. d’Annunzio excelle à rendre le charme des fru
s bornes), ou comme Tolstoï ; il prêche la puissance des ténèbres, la
mort
de l’art, le triomphe du crétinisme ; et le pire,
thlètes, l’allégresse des Amants ; mais, tout à coup, la pensée de la
mort
imminente vient le troubler, et il en est poursui
ouré par des images de jeunesse, d’avenir, de vie, il sent partout la
Mort
, la Mort, la Mort ! Ce sentiment finit par altére
des images de jeunesse, d’avenir, de vie, il sent partout la Mort, la
Mort
, la Mort ! Ce sentiment finit par altérer tous le
s de jeunesse, d’avenir, de vie, il sent partout la Mort, la Mort, la
Mort
! Ce sentiment finit par altérer tous les autres,
gement infatigable de la matière ; et même en mourant on peut nier la
mort
… Un soir de printemps, le petit Gino monte dans l
autour d’un cercueil. Il y a plus d’un mois que Felice Cavallotti est
mort
, et le flot désordonné des tirades monte toujours
rrivent à dégrader la tragédie et à troubler la solennité calme de la
mort
. Felice Cavallotti était un homme de parti, et to
même qu’il se présentât. Le député Felice Cavallotti a disparu d’une
mort
logique, et la mort est si stupidement déraisonna
ntât. Le député Felice Cavallotti a disparu d’une mort logique, et la
mort
est si stupidement déraisonnable, qu’il faut sign
ère lui la foule qui s’exaltait et la foule qui l’attaquait. Après sa
mort
, bien des critiques, en croyant porter sur lui le
a langue et s’enfonça dans la gorge. Quelques minutes après, il était
mort
. Toute une carrière extraordinairement active, in
e qu’elle gagnait en violence. Toujours est-il qu’en disant qu’il est
mort
sur la brèche, l’épée à la main, ses biographes f
de Dieu et du Roi, dans notre foi catholique, Simon de Saint-Bon est
mort
. Le Grand Amiral en ce jour est mort. Navires à l
tholique, Simon de Saint-Bon est mort. Le Grand Amiral en ce jour est
mort
. Navires à l’ancre, navires veillant en armes sur
; que s’éteignent les feux des arsenaux î Silence et douleur ! Il est
mort
. Le Grand Amiral en ce jour est mort…. » Au nom d
ux î Silence et douleur ! Il est mort. Le Grand Amiral en ce jour est
mort
…. » Au nom de l’Italie, de Dieu et du Roi, ayant
ndement, dans son sang et dans les plis du drapeau victorieux. Il est
mort
. Le Grand Amiral, en ce jour, est mort. Par sa vo
du drapeau victorieux. Il est mort. Le Grand Amiral, en ce jour, est
mort
. Par sa volonté il sera enseveli dans la mer. Les
recia (Catane, Giannota), de Felice Cavallotti, vient d’avoir, par la
mort
soudaine de l’auteur, une importance qu’en tout a
lever un monument à la mémoire de l’abbé Giuseppe Parini, né en 1729,
mort
en 1799, un des plus illustres entre nos poètes s
eux amoureux « échangent leurs serments », et aussi le dénouement, la
mort
de Mimi qui passe doucement, dans un petit souffl
yncher, massacrer ; j’ai vu des scènes horribles en tout genre et des
morts
de toute espèce : je n’ai rien vu qui m’ait tant
malheureux abandonnés à leurs tortures durant une semaine à côté des
morts
auxquels il était interdit de donner la sépulture
rée, debout sur les moissons où l’amour avait entraîné le crime et la
mort
, debout sur la Terre où se brisaient violemment l
t à ses pieds ses vêtements impériaux et magnifiques de volonté et de
mort
, et plaintif se renfermait dans son cœur isolé, e
ristote. La volonté démagogique passait comme un souffle de feu et de
mort
, sur les rues d’Athènes, sur l’Hellade de l’Hella
pe le souvenir même du théâtre en bois, d’Eschyle, de l’artiste divin
mort
enterre lointaine. La foule, avec toute la lâchet
e ce simple fait qu’on met comme terme définitif de toute valeur : la
mort
. L’esprit tragique eschyléen était au-delà de la
ute valeur : la mort. L’esprit tragique eschyléen était au-delà de la
mort
, chevauchait la mort, acceptant et envisageant la
L’esprit tragique eschyléen était au-delà de la mort, chevauchait la
mort
, acceptant et envisageant la nécessité de l’acte.
mort, acceptant et envisageant la nécessité de l’acte. La peur de la
mort
n’était pas le principal motif de toute action ;
l’acte nécessaire. Le Christ réapparut aux multitudes chevauchant la
mort
, les regards fixés sur la nécessité de son acte.
s ses branches réunies, telles les mains dans une prière, rappelle la
mort
. Le Héros chrétien fut le chevalier de la mort. E
ne prière, rappelle la mort. Le Héros chrétien fut le chevalier de la
mort
. En lui l’esprit tragique revint. Et ce nouvel es
vie et selon les lois de sa personnelle nécessité. Et il acceptait sa
mort
, non comme une vengeance, mais comme un holocaust
se trouvèrent toujours étonnés devant les effets de souffrance et de
mort
dont ils étaient la cause. L’inconscience les dom
e siècle. Il comprit toute la vanité de la vie et la stupidité de la
mort
. Il se lança d’un bond sur le rêve, comme un féli
es pivots de la vie occidentale : la volonté d’amour et la peur de la
mort
. Mais cet insaisissable esprit tragique ne peut s
trent, se prennent et se repoussent, s’abîment dans la vie ou dans la
mort
. La souveraineté de l’Inconscient et la Seigneuri
en faveur d’un principe de vie, et une critique cinglante de toute la
mort
qui, du fond des traditions et des lâchetés de l’
e se lance résolument vers la joie et la vie ou vers la douleur et la
mort
, il s’est servi techniquement d’une série de peti
n. L’amour incestueux d’un frère amène le sacrifice de l’Aimée, et la
mort
, la stupide et terrible mort de Bianca Maria, prè
ère amène le sacrifice de l’Aimée, et la mort, la stupide et terrible
mort
de Bianca Maria, près de la fonte Perseja, le sac
e qui nous frappe. Pour un renouveau logique et satisfaisant, pour la
mort
de l’esprit simplement simiesque de nos scènes, e
et murmurent des prières incomprises devant l’impériale majesté de la
mort
. — Le dramaturge-orateur, celui du « Théâtre Orat
idèle ! Terre où pèse si peu l’ombre de tes cyprès ! Au portique la
mort
peint ses hideux secrets, L’art est grave : sans
o. Tome LIX, numéro 207, 1er février 1906, p. 464-469. Deux Poètes
morts
: M. Severino Ferrari et M. Domenico Milelli. — S
able, nous présente aujourd’hui une analogie étrange de malheur et de
mort
. Le pathétique de la folie et de la misère nous é
orde. MM. Severino Ferrari et Domenico Milelli, d’âge différent, mais
morts
en même temps, nous rappellent que la couronne d’
1880, ne présente pas de caractères assez synthétiques pour que leur
mort
soit une perte immense pour la littérature italie
uelque grand secret. Oui, un grand secret : il s’éloignait. Et il est
mort
fou à quarante-huit ans. Dans un recueil tout réc
thétiques de leur race. Les noms de M. Domenico Milelli, de ce vieux,
mort
de misère, et de M. Severino Ferrari doivent y fi
dames jaunes de l’Enfant de Volupté, Les Mendiants du Triomphe de la
Mort
, La Fontaine muette des Vierges aux Rochers, les
es eaux ta tétine et la mords Hargneusement. Les fils, ô Vorace, sont
morts
Dont la soif soulageait tes fiévreuses mamelles.
ut le vol d’un remord Martelez-lui la bouche et les bras. L’homme est
mort
Sans qu’elle ait de ses cris la Parque refoulée.
nt maintenant d’une rareté extrême. Seul Antonio da Fabriano, avec sa
Mort
de la madone au milieu des apôtres, scène touchan
e l’amour d’Alfieri et de la Comtesse d’Albany. Les amours des grands
morts
nourrissent largement la presse de maints livres
neta de son pays, comme par un geste magique qui évoquerait des dieux
morts
, ou tout au moins absolument inconnus, insoupçonn
ative man de toute une race, un héros infaillible. Avec lui, après la
mort
de sa mère, secoué par la perte pathétique de la
de leur marche, ni l’amour ni la haine, ni la joie, ni le sang, ni la
mort
. Sur toutes les routes, ils doivent traîner la do
eurs fois son jeune ami, Duccio della Bella. Et celui-ci connut mille
morts
, connut la vie de la capitale, les déboires et le
pas. Toute la vie se concentrait dans l’Urbe, pour entraîner dans la
mort
ou pour exalter dans quelque grande joie, Duccio
oin, sans savoir où, sûr de ne plus s’arrêter que dans la pause de la
Mort
. Pour la première fois les personnes tragiques de
enchant de l’âme nationale italienne vers les grandes passions de ses
morts
. L’autre, qui contient quelques pièces du Teatro
éhabilitation intellectuelle, à la gloire posthume du Poète calabrais
mort
de misère, dont il publiera ensuite la Trilogie t
rranéenne de M. Ricciotto Canudo : Dionysos (tragédie mythique) et la
Mort
d’Hercule (tragédie héroïque). — Giulio Provenzal
dernière révolution de la République romaine, celle qui commença à la
mort
de César pour finir, avec les derniers défenseurs
toine, avec ses suites désastreuses pour le parti aristocratique : la
mort
de Decimus Brutus, la défection de Lépide, la for
on ouvrage les Délinquants dans l’Art, ou à celles d’un anthropologue
mort
il y a quelques années, M. Ezio Sciamanna. Le typ
tie la plus considérable de l’ouvrage. Ensuite, c’est-à-dire après la
mort
du doge Tommaso Mocenigo en 1423, commence, pour
re 1906, p. 622-627. M. Giuseppe Giacosa M. Giuseppe Giacosa est
mort
. La littérature dramatique italienne a perdu un d
t dommage aussi que M. Antonio Fogazzaro ait cru devoir commémorer la
mort
de son ami dans une lettre qui restera parmi les
sance, à la fin de 1811. Mais quand il apprit, le 14 janvier 1815, la
mort
d’Alexandrine, la femme de son cousin, l’un des m
entes. Ce budget, même arrêté à une limite, reste un formidable poids
mort
pour l’industrie, pour la masse de la population.
ait vraiment moderne et beau et digne de l’écrivain du Triomphe de la
Mort
. Memento Le mois d’octobre dernier, M. Mari
« À la Mémoire éternelle de Milady Alexandra Z. Amour jusque dans la
mort
. » (Collect. Chaper, inéd.) 31. Souv. d’égot.
malaisée, eut encore, par-dessus le marché, maille à partir, après sa
mort
, avec les Naundorffistes, qui, s’ils ont octroyé
s’évanouissent les dernières voix des rhéteurs qui péroraient sur la
mort
de Carducci. Après l’exaltation presque exclusive
ent ils arrêtent l’âme du poète devant l’insupportable fatalité de la
mort
, ils demeurent purs et immobiles comme les tables
és de la vie intérieure. Contre l’image perpétuelle, tyrannique de la
mort
, contre le sens sceptique de la vie qui passe, il
ur valeur, de leur force et de leur beauté. Le poète dit aussi : « La
mort
est partout. Une force insidieuse couve en nous.
e ! » Plus que dans ce sentiment exaspéré de la vie qui passe, de la
mort
qui dure, l’art du poète est tout entier, et souv
Memento La jeunesse littéraire de Rome a perdu deux des siens,
morts
en pleine éclosion de leur talent. L’un est le po
eraria de Rome. L’autre est M. Enrico Sacerdote, rédacteur à la Nuova
mort
subitement à vingt-cinq ans, qui laisse des étude
va prendre des formes nouvelles, on s’est déjà demandé si, en cas de
mort
du titulaire de la chaire d’Histoire des Religion
à lord Palmerston et qui, resté dans l’atelier de l’artiste, fut à sa
mort
mis de côté par le commissaire-priseur comme n’ét
ntal qui meurt d’amour devant le couvent où la belle Aude, le croyant
mort
, s’était retirée et s’était éteinte sur les bords
c’est-à-dire l’histoire du travail de la pierre en général depuis la
mort
de Constantin jusqu’à la renaissance pisane en 12
blement dans la même journée le poids de ses renommées inutiles. Deux
morts
illustres débarrassent un peu le chemin vague et
ement aussi, j’exclus les « isolés » d’Annunzio et Pascoli ! Les deux
morts
que l’Italie a eu l’heur de saluer dans la même j
s ou pour qu’on s’aperçoive du dédain des autres. Cependant il y a la
mort
qui apporte toujours une grande promesse d’équili
om ou une haute volonté collective, doivent compter sur l’œuvre de la
mort
, la seule féconde, au moins en espoirs, et la sal
tique vénitienne, est disparue en beauté, car elle a entraîné dans sa
mort
l’être aimé. Le fait-divers a pris une significat
sacrée chez ceux que l’on élève aux sommets de la renommée. La double
mort
lui donne une auréole de beauté qui sans nous ébl
nous debout : c’est le 48 ! » Les âmes sensibles peuvent déplorer la
mort
de Vittoria Aganoor-Pompily, morte encore jeune e
te encore jeune et belle. Elles auraient mauvaise grâce à déplorer la
mort
de Rovetta. Échos. L’exposition rétrospective
elle à son amie Mme Pauline Du Chambge, pour guérir un cœur blessé et
mort
d’[amour]19, c’est étrange et fatal. » L’impressi
et repassaient alors devant une peinture à fresque qui représente la
Mort
en capuchon, et enveloppée d’une longue robe de m
chose devant les yeux dans ce moment qui me saisit. Je vis l’Empereur
mort
et le Roi de Rome, également comme une ombre, qui
irs, hâte peut-être et tourmente son agonie. J’ai le cœur serré de la
mort
de cet homme, parce qu’il a trop souffert et que
ir me rend plus fort. Aussi envoie-moi et dis-moi que je vais vers la
mort
, que j’aurai mon tertre funéraire dans une région
sans hésiter, en chantant. Le soir qu’arriva à Rome la nouvelle de la
mort
d’Eugène Ruspoli, le sentiment de l’envie dépassa
r Corrado Brando, n’aspirera qu’à laisser sur toutes les routes de la
mort
violente et inédite le sillon de gloire latine. §
omposent cette nouvelle œuvre d’amour, de déchirement, de folie et de
mort
. Le sens ambigu de l’œuvre est sur tous les perso
danse rapide et farouche de l’amour et du sang, de la folie et de la
mort
, les quatre dramatis-personæ disparaissent dans l
melle est domptée, l’ancien esclave la maîtrise et la dompte, dans la
mort
ou dans la folie. Encore une fois, à côté de la f
tion », que d’Annunzio consacre au triomphe de l’héroïsme latin, à la
mort
de Giulio Cambiaso, celui-ci disparaît pour ne la
ages. » Et il atteint la suprême hauteur d’où il se précipite dans la
mort
précédé par les feuilles de la pauvre rose jaune
elle s’en souviendra, lorsque, étreinte par son double amour pour le
mort
et pour Paolo Tarsis, le survivant, et incapable
s’anéantit dans la folie, c’est-à-dire dans une de ces visions de la
mort
dans la vie, qui renouvellent sans cesse dans le
, faites de bruits et d’air, de son appareil, les fantômes de son ami
mort
, de Vana morte, et de celle qu’il aime et qui est
nt que par fiction toute littéraire ils se transportent dans les âges
morts
, ils se font une âme diverse, cherchée et découve
un plaisir presque malsain à mélanger les choses vivantes aux choses
mortes
, à confondre les deux élégances, à fouiller les d
e l’autre côté, il y a les deux amis héroïques, vainqueurs jusqu’à la
mort
. La petite Lunella, la tendre et déjà douloureuse
umaine moderne, Gabriele d’Annunzio a composé une vision de vie et de
mort
. Il n’a pas pu fondre les éléments disparates de
a vie avec ceux qui devaient à la fois en briser quelques-uns dans la
mort
et en exalter d’autres dans une sorte d’hymne tri
nt. Philosophie. Benedetto Croce : Ce qui est vivant et ce qui est
mort
de la philosophie de Hegel, trad. par Henri Burio
ssant ouvrage de M. Benedetto Croce : Ce qui est vivant et ce qui est
mort
de la philosophie de Hegel, dont l’auteur, le rep
semblerait trop noire, on accuserait le gouvernement. On enterre les
morts
et l’on raccommode les blessés ; on balaie la pla
ion à laquelle est arrivé M. Fernand Hayem (dont il faut regretter la
mort
prématurée). Bien étudiée, la vie de Concini mont
c’est une révélation. L’hommage est rendu par un jeune écrivain à un
mort
trop longtemps méconnu, un mort à peine illustre,
est rendu par un jeune écrivain à un mort trop longtemps méconnu, un
mort
à peine illustre, et par la plume de M. de Frenzi
ggestion collective de la renommée le leur impose. Alfredo Oriani est
mort
, ai-je dit, à peine illustre. C’était un grand so
n’étaient pas non plus le silence respectueux qu’on garde devant les
morts
, ni le silence hostile par lequel souvent on bris
le mépris de tous ceux qui sont enfin capables d’apprécier l’écrivain
mort
que M. de Frenzi appelle savamment : un héros.
ofondément la vie par la vision de tant de beautés qui s’en vont à la
mort
». C’est une note entièrement nouvelle, qui n’est
ectacle vénitien un excitant pour neurasthéniques. « La volupté et la
mort
, avait-il dit, une amante, un squelette sont les
gnifiques pour alimenter dix années de littérature. Une fresque de la
Mort
et de la Volupté, voilà désormais l’aspect de Ven
se payer cette cure de sentimentalité exaspérée. Enfin cette idée de
mort
mêlée à la volupté flatte singulièrement l’âme bo
hateaubriand, dont l’un relatif aux fêtes italiennes « qui placent la
mort
à côté des plaisirs », ainsi que le début du IVe
que ces chapitres relatifs au chant d’une beauté qui s’en va vers la
Mort
ou aux Ombres qui flottent sur les couchants de l
l’adorent avec extase. M. d’Adelsward la baptise Notre-Dame des Mers
Mortes
et entonne à sa louange le plus laudatif des cant
ésirer connaître cette merveille où la vie est décuplée en face de la
mort
triomphante. Cette folie vénitienne était trop ca
nt entrer dans l’établissement qu’il dirigeait. Peu de temps avant sa
mort
, M. Dubois a fait don de cet album à la Bibliothè
nnement est de 25 francs par an. 35. M. Hayem note surtout, après la
mort
de Henri IV, la platitude de Sully devant les Con
Id. 1842 Paris. Not. Colomb. — Corr. Id. 23 mars ;
mort
Id. Trois nouvelles Giovanni Papini (Tra
n’avoir pas de demeure fixe, une tanière stable de sa naissance à sa
mort
, était la plus grande malédiction pour l’âme d’un
ait voulu de mon nom. Et Don Juan maintenant vit parmi ses souvenirs
morts
et ses espérances inutiles, et n’a d’autre plaisi
bassin I Uniquement afin de revoir mon visage dans un bassin
mort
, plein de feuilles mortes, au fond d’un jardin st
ment afin de revoir mon visage dans un bassin mort, plein de feuilles
mortes
, au fond d’un jardin stérile, pour cela seulement
els. Personne ne s’occupait de ce jardin, le vieux propriétaire était
mort
et sa fille, ennuyée et dévote, considérait les a
omme des mécréants et les fleurs comme des coquettes. Le bassin était
mort
aussi par sa faute. Aucun jet d’eau ne s’élançait
s sur un des rochers artificiels et de la main je remuai les feuilles
mortes
pour faire un miroir plus vaste à mon visage pâli
que tu es moi — un moi passé depuis longtemps, un moi que je croyais
mort
, mais que je revois ici comme je le quittai, sans
vec cette âme ; et, ce jour-là aussi, nous nous approchâmes du bassin
mort
, plein de feuilles mortes. Ce jour-là aussi nous
our-là aussi, nous nous approchâmes du bassin mort, plein de feuilles
mortes
. Ce jour-là aussi nous nous assîmes sur les roche
x moi du passé, mon ridicule et stupide moi des années passées, était
mort
pour toujours… Je sortis avec calme du jardin et
es les parties de l’Europe, il se fera une grande lamentation pour la
mort
d’un seul homme mort en Orient.” Et encore : “Bea
urope, il se fera une grande lamentation pour la mort d’un seul homme
mort
en Orient.” Et encore : “Beaucoup vendront en pub
des que doit-on inférer ? J’ai lu dans le carnet d’un pieux écrivain,
mort
en bienheureux, cette phrase : » “Une seule inju
la nourriture, un lieu de sépulture pour les animaux, une auberge de
mort
, une gaine de corruption et il ne conserve sa vie
de mort, une gaine de corruption et il ne conserve sa vie que par la
mort
d’autres créatures”, mais il proclame “que l’Âme
us prépare un paisible sommeil, une vie bien employée donne une douce
mort
.” Il ne supporte pas que des hypocrites blâment c
telles les Confessioni d’un ottuagenario d’Ippolito Nievo, un auteur
mort
tragiquement avant d’atteindre sa trentième année
brusquement, trouve son oasis, l’amour pour son enfant. La vie et la
mort
de cet enfant sont presque tout le roman de M. Lu
, Mme de Hatzfeld, et la tragédie se développe puissamment jusqu’à la
mort
du protagoniste, soigné dans ses derniers moments
es mystérieux et terrifiants : “Araignée en pleurs”, “le Masque de la
mort
rouge”, “Embryons et polypes”, “Désespérance”, “É
ette vision profonde de l’univers, de ses avatars, de la vie et de la
mort
, est digne de Shelley. Tome XLVII, numéro 16
d’un philosophe qui se trouve dans le cas de penser à se procurer la
mort
. À Dux, sortant du lit, 13 Xbre 1793, jour dédié
attitude. Une seule ignorance invincible aurait pu les garantir de la
mort
; et je ne pouvais pas la leur supposer. » Peu d
asanova, car une des lettres est datée de Bayreuth, 1798, année de la
mort
de Casanova. Elles sont particulièrement charmant
estimés. J’eus avec lui un échange de lettres qui ne prit fin qu’à sa
mort
, il y a quatre ans, en 1792. » Casanova dit qu’à
orrespondance que je trouvai ; elle se termine en effet l’année de la
mort
du comte, en 1792. Dans son Mémorial d’un Mondain
osca MM. Sardou et Massenet à la fois : ce serait la résurrection des
morts
. Malheureusement, il y a belle lurette que Michel
ement à Maloja dans l’Engadine et à Soglio du val Bregaglia, enfin sa
mort
inattendue au faîte de l’Alpe et de la célébrité.
couche funéraire tendue de rouge, derrière la chevelure rousse de ce
mort
à l’ossature noueuse et obtuse qui raconte le tyr
é le jour, et partout autour de lui il surprend la vie naissant de la
mort
. N’est-ce pas la maternité qui est en quelque sor
à l’allaitement de petits êtres appendus comme des fruits aux arbres
morts
de l’hiver, jusqu’à une expiation ou une résurrec
mythe de la nature, tour à tour mère et marâtre, donnant la vie et la
mort
, et captive de son crime de mort jusqu’à ce qu’el
ère et marâtre, donnant la vie et la mort, et captive de son crime de
mort
jusqu’à ce qu’elle l’ait expié par une nouvelle v
extraordinaire. Il ne s’agit pas encore d’une « imposante machine de
mort
» comme l’Hydre de Moreau, mais seulement d’un pe
le reste : il s’attelle au triptyque de la Nature, de la Vie et de la
Mort
… Et la mort l’y attend et le happe… Peut-être un
l s’attelle au triptyque de la Nature, de la Vie et de la Mort… Et la
mort
l’y attend et le happe… Peut-être un jour donnero
udissements, après le récit de « la messagère » annonçant à Orphée la
mort
d’Euridice. Une part légitime de l’ovation revien
e a remis à la mode quelques sottes manières de dire que l’on croyait
mortes
: sœurs latines, races latines, expressions aussi
que le plaisir et la joie c’est précisément de travailler jusqu’à la
mort
. Cela dit pour ne pas manquer à mes habitudes de
cure. Tome LI, numéro 175, juillet 1904, p. 280-288 [287]. Parmi les
morts
qu’il faut tuer figure, au premier rang, l’Académ
t cette tête revenait aux conservateurs. — On exécutait les arrêts de
mort
au haut du grand escalier, près d’un lion de marb
qui suit l’instinct. De même le triste Olivier Berlin (Fort comme la
mort
) n’aime plus d’amour la maîtresse de ses jeunes a
e, mille harmonies divines. Comme elle, l’Hippolyta du Triomphe de la
mort
, l’Hélène du Piacere sont de merveilleuses créatu
indissolublement lié à l’Ennemie, et auquel il n’échappera que par la
mort
. De cette volupté insatiable naissent en effet, c
même tristesse de vivre et le même sentiment du néant : l’idée de la
mort
domine toutes leurs créations. On se rappelle le
roitement enlacés, entendent soudain un roulement sinistre ; c’est la
Mort
qui passe en battant l’implacable rappel ; et une
Tullio Hermil (l’Innocente) et Georges Aurispa en précipitant dans la
mort
libératrice l’Intrus et l’Ennemie. La sensation d
e les forces vitales s’épuisent plus vite que le désir (Fort comme la
mort
). Rien ne fait mieux sentir l’inutilité absolue d
tolérable, du moment qu’elle est bornée, incomplète, impuissante ; la
mort
seule est capable d’arrêter l’élan du désir et d’
es réminiscences, comme si les senteurs gardaient en elles les choses
mortes
embaumées… » (Fort comme la mort). Aussi, lorsque
eurs gardaient en elles les choses mortes embaumées… » (Fort comme la
mort
). Aussi, lorsque les deux écrivains ont appelé le
n séjour attardé dans un milieu bourgeois, dans les cités étroites et
mortes
où tout événement se dramatise, dans une province
ndana, Turlendana le marin, le mari de ma femme, Turlendana qui était
mort
! Voici Turlendana ! Voici Turlendana ! La no
déclare, et le blessé rentre au port en assez bon état, avec le bras
mort
pieusement conservé dans la saumure. G. d’Annunzi
s passèrent. Mais voilà que chez la femme vieillie, déjà proche de la
mort
, à un âge où le roman de sa jeunesse n’était plus
plus imprévu le réveil : la mère a arraché à l’amant, sur son lit de
mort
, le secret qu’il ne peut plus lui refuser. Elle v
uite par M. Gauthiez) ; enfin le retour fatidique en Italie, après la
mort
du grand-oncle Soderini, le dernier séjour à Veni
sont formées sur des modèles français, les derniers romantiques sont
morts
, des idéalistes et des précieux égyptianistes (pl
lienne) du xviie siècle, dans un épisode d’amour, de violences et de
mort
. Ce fut un bouleversement. On reconnut en Manzoni
plein d’infatigable travail. Épris de Shelley, le « cœur des cœurs »,
mort
sur les rivages de l’Italie, enseveli à Rome, il
aurore ? » Silence, dans l’ombre. De la proue quelqu’un ricane… ? La
Mort
. Le Poète est « trop chargé de souvenirs, trop h
qui chante accablé par toute la tristesse des choses belles qui sont
mortes
, d’autres qui s’en vont, d’autres qui sont nées m
quel on fait tenir toujours masqué. Le journal de Dujonca annonce la
mort
du prisonnier en ces termes : Du lundi 19 novemb
mps, s’étant trouvé hier un peu plus mal, en sortant de la messe, est
mort
aujourd’hui sur les dix heures du soir. La feuil
e part, cette mention où le nom de Matthioli revient, mais écorché :
Mort
le 19 novembre 1703, âgé de quarante-cinq ans ou
, lorsque celui-ci adopte la jeune fille que son fils aima jusqu’à la
mort
, et au cas de cette jeune fille, vaniteuse et veu
, de toutes les choses ». Ce livre d’un octogénaire à la veille de la
mort
est touchant par la fraîcheur, sinon par la profo
té des chênes superbes, combien d’arbres mal venus, rabougris, à demi
morts
! § Le cortège du petit jeune homme blond me rapp
llés de draps éclatants. D’ailleurs, à Naples, tout ce qui tient à la
mort
ou à la religion est infiniment curieux. Il y a p
tellectuel de son second père, puisqu’elle reçut quinze mois après sa
mort
les papiers recueillis par sa veuve et triés par
arini, quoique, chez ce poète, l’on ne retrouve qu’un aspect du poète
mort
, l’aspect hellénique. C’est encore le « souvenir
euses, tragiques, désespérées, et de celles qui s’installaient sur la
mort
, tous ces chapitres parfaits, qui composent comme
its, qui composent comme le grand poème fantastique (et précis) de la
mort
d’une ville, deviennent une sorte de livre fondam
uvante qu’une biographie : « Giorgio Barbarelli, detto il Giorgione,
mort
d’amour à 34 ans. » Ne serait-il pas prudent de
ées à droite, sonorités de mandore à gauche. Cri déchirant ! Un corps
mort
tombe dans un canal… ! C’est bien cela, n’est-ce
sa famille, originaire de Castelfranco, y fit en 1477. Son père était
mort
au service de la République, et sa mère, après s’
mpèrent ses amis… Et moi-même, si on m’avait demandé, la veille de sa
mort
: — Quel est donc ce peintre de Castelfranco ? N’
rtel, et dans toutes nos mémoires chante le vers de Baudelaire sur la
mort
qui console et qui fait vivre. L’inspiration de M
Vigny et de Baudelaire. Il se voudrait assez aisément Prophète de la
mort
sur les têtes baisées. L’une des rares certitude
des chaînes de la Nécessité : Nous serons au delà des temps et de la
mort
. Les poèmes de M. Luca Rialcio ne sont dénués ni
pasteurs de Virgile, dont je lis les poésies divines. En attendant la
mort
, j’ai entrepris l’étude des langages anciens. * Q
omme un ordre… — Pauvre Verrocchio ! s’écria Leopardi. Pourquoi es-tu
mort
? — Et le mouvement du bras crispé en arrière… —
i et nous envoyons des troupes en Dalmatie. Le Roi Charles VIII était
mort
(janv. 1498). Son successeur Louis XII devient no
is vers Venise… — C’est exact. — J’y suis retourné pour assister à la
mort
de ma mère… — Tu l’aimais, Giorgio ? — Oui, je l’
La vie me plairait s’il n’y avait pas la maladie, la vieillesse et la
mort
… — La mort ne serait pas redoutable si les râles,
lairait s’il n’y avait pas la maladie, la vieillesse et la mort… — La
mort
ne serait pas redoutable si les râles, les sanglo
euse de poésie ! Que vos sens jouissent… et vous ne croirez plus à la
mort
… — Tu es un païen, Giorgio, et tu seras damné. Ti
oins scabreuses du Chevalier de Lorraine ; les dernières années et la
mort
de Madame ; les amours à demi ridicules de la Gra
e noire), d’où le légendaire détail. C’est à la Bastille qu’il serait
mort
, en 1703. Le registre de l’église Saint-Paul ment
avis du Conseil m’ordonnant de ne plus parler de Giorgio Barbarelli,
mort
accidentellement… et je frissonnais ! * Mon atten
… le plaisir est tout ce que je réclamais d’elle… et je songeais à la
mort
, à l’inutilité de la vie, du travail, de la gloir
u peintre, du portefaix ou du marin — comme une loi aussi dure que la
mort
. * — À me voir manier mes brosses, on affirmait q
our l’embrasser, Barbarelli le repoussa : — Ce baiser te donnerait la
mort
! Ah ! qu’as-tu fait, Zaratto ? Pourquoi as-tu tr
e cœur de Morto da Feltre, des remords qui le poursuivront jusqu’à la
mort
. Il baissa la tête. Soudain, il poussa un cri et
ontre le dossier du fauteuil et il fixa sur nous tous ses yeux que la
mort
étonnait ! * Les magistrats chargés de la salubri
sages ; faire du soleil, une couleur ! Il leur a tout appris t il est
mort
! Quand une fête nous rassemblera autour d’une
tune et la suprématie lui reviennent, maintenant que le Giorgione est
mort
. Il gagnera même, à cette mort, la réputation d’a
nnent, maintenant que le Giorgione est mort. Il gagnera même, à cette
mort
, la réputation d’ami fidèle. Il compte terminer l
œuvres de Giorgione. Un grand nombre de ses toiles disparut, après sa
mort
, car des malandrins pillèrent son atelier. Celles
on ne peut lire que les lignes suivantes :) … Comme je déplorais la
mort
de Barbarelli, L’Arétin, qui n’aime pas rester tr
lie. M. Michel lui-même y étudie spécialement la sculpture jusqu’à la
mort
de Michel-Ange, M. Marcel Reymond l’architecture
Ricciotto Canudo. Tome XC, numéro 331, 1er avril 1911, p. 652-658.
Mort
de Fogazzaro Antonio Fogazzaro est mort. Si l
avril 1911, p. 652-658. Mort de Fogazzaro Antonio Fogazzaro est
mort
. Si les horloges du monde littéraire italien n’on
ire ne vient donc pas de perdre un maître. Fogazzaro était réellement
mort
il y a plusieurs années. Il était poète et il éta
t intéressants. On ne doit pas lui pardonner de ne pas avoir senti sa
mort
véritable lorsqu’il acheva Daniel Cortis. On ne d
r et écrire pour une élite de notre temps. Et rien n’a changé avec la
mort
de ce vieillard obstiné dans son labeur vain, com
qu’aucun autre il eut ici pour compagnon secret Keats, enlevé par la
mort
à sa jeune gloire. Dans ces courtes pièces d’une
s’associe à son rêve désespéré : ………………… Les fils, ô farouche, sont
morts
Dont sa soif soulageait tes fiévreuses mamelles.
s. Au bord du Styx, les mères et les amants appellent en vain leurs
morts
et vainement aussi les oubliés pour qui ne coule
e ? Ô Secourables, la souffrance nous est neuve Et jeune on craint la
mort
et celle-là pâlit Surtout dont nul époux n’a trav
ceux, naguère appréciés ici même10, de Marcel Thibault, un historien
mort
trop jeune, sur Isabeau de Bavière ; voici mainte
filent comme un éclair. Pendant le Carnaval, ce ne sont que cris de «
mort
», et non sur un ton de gaieté ou de folie. Les R
cher sur des charbons ardents, mais le feu ne l’atteint point. Sur la
mort
de Sébastien, qui devait tant occuper l’imaginati
tures attentives, repenser l’œuvre. Le monde grec politiquement était
mort
, le monde romain était politiquement encore vivan
oi, toi, bel Archer, toi, si beau ! …… — Ô divin21 ! — Ton parfum est
mort
, Adonis. Même chez Sébastien, dans les images qu
donner des signes visibles, de guérir les malades, de ressusciter les
morts
comme Jésus ressuscita Lazare, de faire paraître
ur peu de foi. Il leur donne rendez-vous au-delà des frontières de la
mort
, quand apparaît tout à coup, traînée par un escla
us devant Lazare ressuscité, qui garde dans sa bouche « le goût de la
mort
», car elle est Madeleine aussi, la sœur de Lazar
s savaient éviter les flèches, il consacre maintenant des gestes à la
mort
du Dieu. Je danserai, je danserai, si je suis le
e par la présence de leur dieu… » Il se meurt, le bel Adonis ! Il est
mort
, le bel Adonis ! Ô vierges, pleurez Adonis ! Garç
l’âme avide des hommes cette foi en l’éternelle résurrection, que la
mort
et la renaissance du prisonnier de Perséphone ava
Le troisième acte est celui de la Tentation, le quatrième celui de la
Mort
, le cinquième celui de la Résurrection. On a prét
re déchirée entre ses fils, qui l’appellent à la foi nouvelle et à la
mort
, et ses filles, qui la retiennent à la foi ancien
e, avec toute ma géniture ……………………………………… Ô fécondité lamentable ! La
mort
, la mort, de toute part la mort. L’amour de toute
oute ma géniture ……………………………………… Ô fécondité lamentable ! La mort, la
mort
, de toute part la mort. L’amour de toute part l’a
……………………… Ô fécondité lamentable ! La mort, la mort, de toute part la
mort
. L’amour de toute part l’affronte. C’est moi qui
donner mieux encore à eux-mêmes et à nous la sensation directe de la
Mort
et de la Résurrection du Sauveur. Les germes de c
nière qu’on déplie et le tonnerre qui relie dans les tombes l’âme des
morts
aux os des morts49. et ailleurs : J’enfoncera
de la dynastie fut Obizzo II, qui fut élu maître de Ferrare après la
mort
de son grand-père Azzo VII, en 1264, et qui prit
ar la Voie Appienne, Plein de mélancolie ou de recueillement ; Et des
mortes
splendeurs de la Rome païenne, À la chrétienne al
. « Je veux un amour douloureux, lent, qui soit lent comme une lente
mort
, et sans fin, et je veux que sans trêve en un tou
ordinaire faiblesse, les commérages de sacristie d’Antonio Fogazzaro,
mort
trop tard. L’Italie intellectuelle ne semble poin
le jeune châtelain. Flamme jure de se venger, et pousse à un acte de
mort
un paysan qui languissait d’amour pour elle. C’es
e sa démence. Une sorcière avait dit qu’un embrassement d’amour ou de
mort
pouvait le sauver de la folie, et puisqu’il ne pe
u’il ne peut plus donner l’amour à la farouche Flamme il lui donne la
mort
en l’étranglant. Encore une fois on peut remarque
énagements qu’il écrit à un révolutionnaire italien, jadis condamné à
mort
par le parti clérical. Dans sa lettre du 21 septe
t une fois encore, le 3 juin 1864 (II, 31), il souhaite violemment la
mort
du pape ; pour émettre ce vœu, il use d’un terme
scription somptueuse du triomphe où paraît la grande captive. Dans la
mort
de Longin, des dialogues philosophiques un peu sé
sur l’esclavage. La servitude était elle-même un adoucissement de la
mort
, qui, dans les âges primitifs, était l’inévitable
s deux cents ans notre génie national traîne comme un boulet le poids
mort
, une éloquente émanation spontanée de ce « Grand
bliothèque que Stendhal possédait à Civita Vecchia fut dispersée à sa
mort
, mais celle qu’il possédait à Paris fut en grande
ur des poèmes Giobbe, Lucifero, et de tant d’autres, garde jusqu’à la
mort
la jouissance de sa maison. Un geste semblable, p
que, placée secrètement au milieu de la section des hommes et dont la
mort
leur fut soigneusement dissimulée, influe cependa
ordiales s’établirent entre les trois hommes, qui durèrent jusqu’à la
mort
de Lamberg, en 1792. La correspondance entre Opit
flammes de ses nombreuses passions, finissant dans le désespoir de la
mort
d’une belle fille, une fleur magnifique, mais vén
une bourgeoise chambre à coucher, ou dans cette image d’un condamné à
mort
, qui, entre une double rangée de gendarmes à chev
toire. Écorchés vivants, « ombres qui semblaient des choses deux fois
mortes
. Chacune d’elles avait les yeux obscurs et caves,
ur devant un autel dédié à Romulus. Le cardinal Bessarion écrit, à la
mort
de Gemiste Pléthon : « Notre père et maître, aprè
coulent les lois ou causes secondes ; on doit l’aimer, et accepter la
mort
et la nécessité du travail, car l’œuvre des six j
lation. Les cieux lui racontent la gloire du Très-Haut, et la tête de
mort
placée à côté d’un S. Jérôme ne signifie plus seu
tification. « Ô dormeur, qu’est-ce que le sommeil ? Il ressemble à la
mort
. Pourquoi donc n’accomplis-tu pas une œuvre qui t
aël. Il proclame heureux ceux qui prêteront l’oreille à la parole des
morts
, qui liront les bons ouvrages et les mettront en
réaliser, qui se cultive. Le premier est un produit fixé et désormais
mort
d’une culture ancienne ; le second est en culture
olère vraiment sainte. Pour alimenter ses désirs, l’homme déchaîne la
mort
, la douleur sur toute chose vivante. Dans son pro
aison (291). » Nous surprenons ici une croyance très ancienne sur la
mort
violente. Il estime, à plusieurs endroits, qu’une
droits, qu’une vie bien employée est toujours assez longue et rend la
mort
sereine ; il loue surtout le seigneur de bien com
riompher ceux qui n’en dépensent point d’autre et « que le mérite des
morts
donnât de l’embonpoint à beaucoup de vivants » (2
peut, que j’offre à ta ruine. Ni redore tes jours ni redresser les
morts
! VIII Le jour succède au jour, la semai
il était pressé de compter les tableaux du Titien et courait voir la
Mort
de saint Pierre, œuvre si précieuse qu’il était d
, œuvre si précieuse qu’il était défendu de la vendre « sous peine de
mort
». Un incendie l’a détruite en 1867. Peut-être la
de l’avenir. Léonard, dans ses écrits, parle avec indifférence de la
mort
de Ser Piero, son père. Il assiste, sans un mot d
e LXXII, numéro 259, 1er avril 1908, p. 551‑554. Anniversaire de la
mort
de Carducci L’Anniversaire de la mort de Card
1‑554. Anniversaire de la mort de Carducci L’Anniversaire de la
mort
de Carducci a été commémoré au Collège de France
ou moins stérile. Il y a donc entente et il y a aussi attente. La
mort
de Edmond de Amicis Par cela même, la mort de
a aussi attente. La mort de Edmond de Amicis Par cela même, la
mort
de Edmond De Amicis n’est pas passée inaperçue en
lus gros succès libraires de l’Italie contemporaine ». L’écrivain est
mort
peut-être riche, et certainement célèbre. La pres
l s’appliquèrent, auprès de Victor-Amédée Ier d’abord, puis, après sa
mort
soudaine en 1637, auprès de sa veuve Marie-Christ
ais la descendance est encore plus profondément atteinte ; il y a des
morts
précoces dans l’œuf, des retards du développement
grets et de leurs désirs conscients à l’égard de l’adolescente par la
mort
ravie ou de l’amante lointaine qui ne s’est pas l
es robes de naissance à ceux Qui tout juste viennent de naître, étant
morts
. « Il craindra peut-être, et sera muet : Alors
, dans son espérance renouvelée d’une existence sublime au-delà de la
mort
, où il serait accueilli par l’amour épuré, divini
imité étroite Où un double silence fut le chant de l’amour. Puis la
mort
est survenue et a brisé la coupe où se buvait tou
mbres succèdent à des jours sombres, il se blottit dans l’ombre de la
mort
; en vain il interroge la Nature et l’Art ; derri
out mirage s’est évanoui, de la suprême espérance ! SONNET XCIX. La
Mort
nouveau-née. Aujourd’hui la Mort me paraît un p
rême espérance ! SONNET XCIX. La Mort nouveau-née. Aujourd’hui la
Mort
me paraît un petit enfant Que, lassée, la Vie, sa
mon cœur fatigué pouvait être Avec tes yeux laiteux de nouveau-né, Ô
Mort
, avant toute fâcherie réconcilié ! Pour combien
Ô Mort, avant toute fâcherie réconcilié ! Pour combien de temps, ô
mort
? Et vont-ils se séparer, tes pas, Jeune enfant e
ndre notre baiser Tandis qu’aux vents nous jetions toute pensée de la
Mort
, — Ah, Vie ! et ne dois-je avoir de toi à la fin
ras enlacés sur les cous, comme souvent nous les surprîmes ; Sont-ils
morts
tous ceux-ci pour que tu puisses me porter la Mor
prîmes ; Sont-ils morts tous ceux-ci pour que tu puisses me porter la
Mort
? Rossetti, épuisé de douleur et de maladie, ro
ce qui intéresse l’auteur. De bonne pages sont encore consacrées à la
mort
de Léon XIII. […] Gabriel Faure : Heures d’Omb
izat l’a voulu. Alfieri arrêtait la catastrophe de la tragédie sur la
mort
solitaire, terrible, du grand roi qui se jeta sur
en secouant leurs flambeaux incendiaires, se précipitent vers le roi
mort
. C’était tout. Mais M. Poizat, qui a voulu adouci
is le droit d’ajouter sa propre personnalité à celle d’un grand poète
mort
; de même, aucun sculpteur, si génial soit-il, n’
poète élégiaque et tendre, s’exprime dans la langue pure des maîtres
morts
, très noblement. Aurelio Ugolini : Viburna, La
qui ont réuni en un volume : Viburna, les vers d’un jeune professeur
mort
, Aurelio Ugolini. Je suis l’adversaire de la piti
pitié comprise comme élément esthétique. Le sort de Aurelio Ugolini,
mort
trop jeune, a été peut-être triste. Sa poésie n’e
ie, l’Art, sont en dehors des contingences réelles de la vie ou de la
mort
. Il ne faut jamais profaner l’expression esthétiq
nt avec les expressions d’un plan simplement sentimental ou moral. La
mort
d’un artiste ne doit pas nous émouvoir, jamais. S
messe, nous attendrons d’autres artistes la réalisation esthétique du
mort
. Rien n’est détruit, jamais. Le talent est une se
astique de son inspiration, doivent nous permettre d’estimer le poète
mort
, sans nous forcer à le « pleurer ». Memento
ard de sa carrière ou de son chemin, se trouve une fois en face de la
mort
. J’appelle M. Paolieri un grand poète, parce que
es épisodes champêtres de l’amour, des moissons, des vendanges, de la
mort
. Ses visions sont toujours comme des fresques ori
par des clichés éternels de l’éternel pathétique de l’amour et de la
mort
, mais œuvre forte, œuvre de passion. Ô tourbillo
e-t-on, inauguré le 9 septembre prochain, neuvième anniversaire de la
mort
du peintre de l’Engadine. On érigera dans le vest
trois des œuvres les plus célèbres de Segantini : les panneaux Vie et
Mort
du Triptyque des Alpes, et le tableau Les Deux Mè
fut le véritable auteur de la boucherie de Franckenhausen. Cent mille
morts
, sept villes démantelées, mille monastères rasés,
oi, de prêcher contre de pareils drôles la ruine, l’extermination, la
mort
… L’Écriture les appelle des bêtes fauves. Si vous
r est à la fois fanatique, superstitieuse et fantaisiste : il veut la
mort
du dissident et, ne maniant que la plume, il insu
e la Ville Charnelle, tumultueux et frénétique aussi, où parfois « la
Mort
tient le volant », dans une folie de vitesse pare
oubliait pas les nombreux pays où se perpétue une figuration des âges
morts
, et qui par cela même à l’homme qui vit de rêve,
ni Venise. Mais il fallait à ce colosse le cadre colossal d’un Empire
mort
, et non la sainte fraîcheur de la verte Ombrie, n
s pas, j’irai le chercher moi seule : je veux rencontrer David, ou la
mort
. 23. Venise au xviiie siècle. V. Mercure de F
des de paysage ou d’animaux, qui fut vendue 25.000 francs ; un Christ
mort
entre des anges de Filippo Lippi (16.000 fr.), un
t été vendue par les héritiers directs du collectionneur peu après la
mort
de celui-ci, survenue en 1846 ; puis, en 1898, un
été sauvé en Italie par des hommes comme Filippo Corridoni, glorieux
mort
de Sagrado, comme Bissolati et Mussolini, blessés
lamations du général Diaz affichées dans toute l’Italie menacèrent de
mort
ceux qui ne rejoindraient pas leur corps dans les
e plus aujourd’hui que l’Isola dei morti, plus tragique que l’île des
morts
que nous devons à l’imagination romantique d’un B
nt, qui servait comme adjudant à la 10e compagnie, se trouva blessé à
mort
. Il y eut enfin le combat des Meurissons (8 janvi
au repos, à Grange-le-Comte, puis à Bar sur-Aube, à Avignon. Avec les
morts
, les blessés, les malades, ils étaient réduits à
aité de la Monarchie avait été publiquement brûlé à Bologne, après la
mort
de son auteur, par l’ordre du légat du pape. En e
se tordit de rire à ces funérailles du fameux castrat. Sur sa propre
mort
, Baratta fit une terrible épigramme. Il fut bless
Me couronna d’un chêne tout entier. Une seule personne accompagna le
mort
au cimetière. Mais elle en valait beaucoup. C’éta
1904, a été dispersée à Berlin en décembre dernier, à la suite de la
mort
de son propriétaire. La vente des tableaux a prod
VII, numéro 479, 1er juin 1918, p. 567-576 [569-570, 570-571, 576].
Mort
d’Amilcare Cipriani Il était né à Anzio le 18
y, à Montretout. Après la victoire des Versaillais, il est condamné à
mort
, puis voit modifier cette sentence et le voilà à
rat, ferme jubas ut sol exserit altus. Quatrième centenaire de la
mort
de Léonard de Vinci L’an prochain il y aura qu
to Le 10 juin, le célèbre musicien et librettiste Arrigo Boïto est
mort
à Milan dans la clinique de la via Bilanceri. Il
iement. Le docteur arriva quelques instants après. Arrigo Boïto était
mort
; il était midi. Aussitôt on télégraphia au roi,
oit vous être plus cher que vous-même et dont aucun n’a droit à votre
mort
. Je n’ai pas l’obligation de mourir pour un cito
mars, il devenait maître de chapelle à Sainte-Marie-Majeure. Après la
mort
de sa femme, il revint à la direction de la chape
ultiver, ni habitants à assujettir, où il n’y a en perspective que la
mort
, dans des solitudes désolées. C’est de l’histoire
il marche pour la Patrie avec un cœur valeureux. Et quand on le croit
mort
, il fait encore quatre bonds et le voilà ressusci
oslaves que tchèques, avaient été arrêtés, emprisonnés ou condamnés à
mort
. Le gouvernement comptait bien, par l’intimidatio
jouissance, jouissance sans écart et sans limite. Deux mois après la
mort
de Verdi, Arrigo Boïto adressait à M. Bellaigue «
vous répondre, car il fallait vous dire quelque chose de cette grande
mort
, et je ne le pouvais pas ; j’en souffrais, j’étai
ignez-moi, mon cher ami !) supérieur à ma courte vaillance. Verdi est
mort
. Il a emporté avec lui une dose énorme-de lumière
Nous étions tous ensoleillés par cette vieillesse olympienne. Il est
mort
avec magnificence, comme un lutteur formidable et
c magnificence, comme un lutteur formidable et muet. Le silence de la
mort
était tombé sur lui une semaine avant de mourir.
ais je ne me suis jamais surpris dans un sentiment de haine contre la
mort
et de mépris pour cette puissance mystérieuse, av
ce mystérieuse, aveugle, stupide, triomphante et lâche. Il fallait la
mort
de ce nonagénaire pour éveiller en moi cette impr
de l’héroïsme de la justice, de la gloire ! Trois semaines avant sa
mort
, le 14 mai 1918, le grand Boïto adressait à son a
petit chœur des enfants, pompeusement baptisé Sérénade des Fées, à la
mort
d’Antonio et au transfert de Lodoletta dans le li
même au troisième, dans toute la scène de la venue soudaine et de la
mort
de l’héroïne. Le second acte est décidément le pl
pini. Tome CXXX, numéro 489, 1er novembre 1918, p. 131-136. [I] La
mort
d’Arrigo Boito La mort d’Arrigo Boito (1842-19
89, 1er novembre 1918, p. 131-136. [I] La mort d’Arrigo Boito La
mort
d’Arrigo Boito (1842-1918) n’est pas seulement un
di G. Pascoli, Rome, Formiggini Giovanni Pascoli, six ans après sa
mort
, est déjà en train de devenir un de nos classique
manière de Maynard, au t. I, p. 70-71, de ses Mémoires, sonnet sur la
mort
de Mme de Nevers (1618), et qui est connu, d’aill
t haut, vous, Fulin, d’Ancona, Baschet, Lorédan Larchey, Maynial, les
morts
comme les vivants, di Giacomo peut-être. Il n’y a
sanova n’avait rien pour appuyer ses pieds, mais il traînait un poids
mort
de plus de 100 livres, le moine ; il lui fallait
ce n’était qu’un jeu… Cet homme ne pouvait que me haïr et désirer ma
mort
. Quand j’étais parti, et qu’il n’avait plus été f
ait bien, à la longue, échapper lui-même à la condition satanique. La
mort
des deux héros caractérise également un même mouv
nière scène qui le remet en contact avec la cohorte de ses amants. Sa
mort
et ses obsèques sont l’apothéose, non plus de son
et on possède du curé de San Luca, sa paroisse, une attestation de sa
mort
chrétienne. Si Jules III ne fit pas de lui un car
cciotto Canudo. Tome CI, numéro 375, 1er février 1913, p. 650-659.
Mort
de E. A. Butti Avec la mort de E. A. Butti, le
o 375, 1er février 1913, p. 650-659. Mort de E. A. Butti Avec la
mort
de E. A. Butti, les « cénacles » italiens en géné
pelle de la sorte, n’est qu’un « allumeur » de soifs. E. A. Butti est
mort
de cette terrible soif qui l’a consumé peu à peu
e terrible soif qui l’a consumé peu à peu depuis sa jeunesse ; il est
mort
d’avoir cru à la non-croyance, et d’avoir cherché
dans la plus cruelle, la plus implacable analyse de soi-même. Il est
mort
en invoquant en vain le nom et les attributs de D
iscours, ni fleurs. Silence ! Ma vie fut douleur. Je prie Dieu que ma
mort
soit paix. » E. A. Butti a été jusqu’à sa fin un
avec l’auteur, en aimant particulièrement les lignes consacrées à la
mort
de Fra Moriale. Il dit : « Soulever à nouveau je
locale », si l’on peut dire, jusqu’à le faire imprimer sur un papier
mort
, daté d’une date lointaine ? Et pourquoi a-t-il c
n enfant, pâmer comme une femme, retomber sur la terre comme un corps
mort
ou rire de bonheur au rayon de belles étoiles, il
s voici dans l’Au-delà, au milieu des Ombres et des « têtes vides des
morts
». En ces trois épisodes remplis de merveilleux,
ois rigoureuses, qui le relient à ses voisins ; et, comme du pays des
Morts
nous distinguerons le fleuve Océan, ce sera sur q
Et ainsi les cadres où apparaissent les Géants, la Magicienne et les
Morts
du vieil aède, de l’aède d’il y a bientôt trois m
ourber sur les rames ; ils font voler les flots dans la crainte de la
mort
. Ma nef s’échappe à travers une pluie de rochers
de la Magicienne, ont cessé d’être des hommes ! III. Le Pays des
Morts
A) Les données du texte L’île de Circé, m
L’île de Circé, maintenant Pianosa, a partie liée avec le Pays des
Morts
, qui reste à découvrir. Car une distance et une o
vestibule de ce Pays. Si bien qu’il va falloir trouver l’Océan et les
Morts
non loin de Pianosa et dans des conditions strict
ticulièrement embarrassante pour M. V. Bérard, qui place son pays des
Morts
, non pas au sud-ouest de sa Circé, mais à 90° de
orts48. Et alors il a bravement imprimé que l’on part non de chez les
Morts
, mais de chez les Laistrygons 49. N’est-ce pas un
t vers le sud et vers le nord sont donc considérées comme le pays des
Morts
; et le détroit aux grands courants est lui-même
urte54 : entré dans l’Océan à la nuit close, Ulysse débarque chez les
Morts
quelques heures après. 1° Parlons d’abord des Cim
rraine ; le soleil s’emploie à éclairer non pas les Vivants, mais les
Morts
, habitants des profondeurs. Il s’ensuit que la su
ompagnement obligé des idées d’Océan, d’Extrême-Occident, de pays des
Morts
, une sorte de décor infernal, et nous n’en retien
tre par ce même enjolivement cosmographique, les pays de Circé et des
Morts
sont, dans la pensée d’Homère, voisins l’un de l’
ipal64. Voici donc, dégagée de la lettre du texte pour l’Océan et les
Morts
, une série d’indications topographiques, dont la
la fin des terres, au fleuve Océan, qui précède et baigne le Pays des
Morts
, et aux derniers rivages occidentaux qui constitu
èbre séjour. Au-delà des Bouches de Bonifacio, le fleuve Océan et les
Morts
ont donc pu fréquenter, au moins un temps, les cô
arres que les indigènes appellent encore des maisons de Pluton ou des
Morts
, domos de Orcu. Pour les étrangers qui débarquaie
re, et les conditions du voyage sont à peu près surnaturelles. Les
Morts
. — Et maintenant, nous aussi, franchissons le dét
c le sens d’infernaux. D’où une nouvelle raison de placer un pays des
Morts
dans notre région. Remarquons-le d’ailleurs, que
topographie s’accordent à faire retrouver tout le pays homérique des
Morts
sur la côte nord-ouest de Sardaigne, aux alentour
de Sardaigne, aux alentours de l’embouchure du Coghinas. Le Pays des
Morts
est donc bien là. Comme le fleuve Océan est bien
les mots anciens, les mots sacrés, Qui font les vivants purs, et les
morts
délivrés. Ainsi, de jour en jour, par ta vertu se
Nanni di Banco ; le Carmine, avec les fresques de Masaccio, ce génie
mort
à vingt-sept ans, et celles du suave Masolino ; l
celui de Paris, le livre de Londres semble avoir appartenu, après la
mort
du peintre, à son fils Gentile. Tandis que celui
lletin du Metropolitan Museum, en reproduisant le portrait du défunt,
mort
le 31 mars dernier, rend un hommage ému et reconn
nce et en fonction » de toute l’élite d’un pays. J’ai parlé ici de la
mort
de plusieurs « grands hommes » de la troisième It
e point à rendre la vie aux choses qui se trouvent sur le seuil de la
mort
qu’il semble avoir usé en terre d’Afrique tous le
es strophes des Feuilles d’Automne ou les Stances à du Perrier sur la
mort
de sa fille. Le gouvernement italien a déjà satis
té — le plus combattu aussi — et par conséquent le plus lu, depuis la
mort
de Carducci, ne soit pas un poète, un créateur, m
se, mais toutes ces choses, les cruelles Destinées, pour me rendre la
mort
plus amère, me les ont montrées plutôt que donnée
ses amis, les portes de Florence. Il fut mis à la torture, condamné à
mort
, ainsi que ses quatre co-accusés, et, quoiqu’on s
de l’humanité — qui, à l’occasion, se traduisait par des sentences de
mort
— n’allait pas avec celui des humanités. Il avait
ent, qui mérite l’honneur d’être connue et appréciée à l’étranger. La
mort
a pris beaucoup d’écrivains de la vieille générat
didactique sur les papillons. Sergio Corazzini a été révélé après sa
mort
(il est mort très jeune) et son œuvre se résume d
ur les papillons. Sergio Corazzini a été révélé après sa mort (il est
mort
très jeune) et son œuvre se résume dans un petit
êtes dont les agitations, les courses, les bonds désordonnés avant la
mort
m’enchantaient. « Hors du temps de la Befana, ma
et contenant un petit morceau d’or, un autre d’argent, un petit os de
mort
et un aimant. Il recommanda à ma mère de ne point
é ; les pierres des monuments nous permettent d’évoquer le visage des
morts
. Je ne le chicanerai que sur un seul point : la f
539. Cette évocation fait défiler devant Ulysse d’abord une foule de
morts
les uns après les autres ; puis, devenue plus int
t été la place de confirmer les identifications de Circé, du Pays des
Morts
et des Laistrygons, et de montrer leurs relations
re des vivants (Porto Pozzo) et à Perséphoneia (Coghinas) au pays des
Morts
. Mais il y faudrait une démonstration demandant d
nts, au centre des évocations, au centre d’un rêve de langueurs et de
mort
. Le roi prisonnier des Bolonais, le roi vaincu, e
e télégraphique une belle tragédie. Vous souvenez-vous du récit de la
mort
du vieux Pline par son neveu ? M. DEL. — Oui. C’e
bleu. Plus loin, au large, je croyais assister à la résurrection des
morts
, tant les flots s’agitaient sous le blanc suaire
rester seul ; et la violation de cette solitude devait être cause de
mort
pour ceux qui voulurent s’approcher de cet esprit
. Florence était pour lui le monde. Aussi l’exil était-il pire que la
mort
et le vrai Florentin ne concevait-il pas de peine
nt, qu’il n’est point au milieu d’elle l’exilé d’un jardin de délices
mortes
. Il veut la connaître, il l’observe, il sent que
our de la divinité, par désir d’une vie plus pure. Saint François est
mort
depuis deux siècles seulement, et les ordres sont
semble que toute la nature célèbre le triomphe de la vie resurgie. La
mort
même a perdu son aspect effrayant : la mort est u
he de la vie resurgie. La mort même a perdu son aspect effrayant : la
mort
est un sommeil dans l’immortalité du souvenir, un
ns et ses espérances, jusqu’à la catastrophe, c’est-à-dire jusqu’à la
mort
de Judas, qui se supplicie pour ne pas assister à
supplicie pour ne pas assister à la fin de son Maître trahi ; et à la
mort
du Christ qu’on supplicie implacablement. Le Mal
, dans la dernière des quatre heures que dure le spectacle. Judas est
mort
, le Christ expire douloureusement, et la double m
tacle. Judas est mort, le Christ expire douloureusement, et la double
mort
est suivie d’une double apothéose : celle de Juda
ulatoire. — Abolition de la politesse, des arts, de la grâce ; mise à
mort
d’Isadora Duncan. — Réglementation de la vie expl
sonnables ou privés de raison, affrontent les dangers et courent à la
mort
. Les lions, les ours, les sangliers et les tigres
le et empêche la vertu raisonnable d’agir ; ainsi il cause souvent la
mort
. L’homme, séparé du parfait bien, ne peut jouir d
derrière le char : Orphée, que le désir d’Eurydice conduisit chez les
morts
; Alcée, qui chanta si doucement, et Anacréon et
, seule belle. Il ne s’agit plus de descendre farnienter sur les eaux
mortes
de Venise, mais d’entrer en contact à Milan, à Ro
ue, la clé du songe qui lui fit écrire tous ces poèmes. Il annonce la
mort
du grand Poète, le grand Croque-mort, le grand Pl
en uniformité on l’entend monter du fond des marais : d’Annunzio est
mort
au son des applaudissements ! On se demande : es
es aquarelles peu esthétiques mais assez photographiques d’un peintre
mort
dernièrement, Ettore Roesler Franz. Ce peintre, f
d a créé une beauté nouvelle, la beauté attristée des ruines et de la
mort
, la beauté fragile des choses vivantes qui vont m
thée de Cappadoce, au moment d’aller au martyre : Déjà, devançant la
mort
, mon esprit voit s’ouvrir de nouveau les royaumes
iques, et sous la direction du conservateur, le peintre Ludwig Seitz,
mort
malheureusement il y a quelques mois avant d’avoi
omme la Tête d’Annibal apportée à Prusias, le Jugement de Salomon, la
Mort
de la Vierge, Marie au Temple, le Palais d’Hérode
ue Sarcey publié, par une délicate attention, au lendemain même de la
mort
de Pagello. (Revue hebdomadaire, mars 1898.) Le M
et la Réforme de l’Église, Hachette, 7 fr. M. Achille Luchaire est
mort
le 13 novembre dernier, à l’âge de soixante-deux
cassette royale, et c’est dans une église anglaise que ses amis, à sa
mort
, élevèrent un monument à sa mémoire. Pourtant, c’
ie. C’est elle qui veut que tout s’accomplisse dans le feu et dans la
mort
, ainsi que nous le voyons dans l’œuvre d’Euripide
evaux fous qui passionnent l’ardent Hippolyte et l’entraînent vers la
mort
. M. Hugo von Hoffmannstal a vu Elektre tordue dan
le châtiment que Poséidon doit lui accorder. Et lorsque Hippolyte est
mort
, la grande et sombre flamme de l’amour luxurieux
Pâle, presque déjà immatérielle, elle invoque de la déesse chère à la
mort
, de la chaste Artémis, la vengeance inéluctable.
rit, Ô étoiles, sur l’entrée de la Nuit, Phèdre l’inoubliable. Cette
mort
est plus belle, certes, que le suicide par la pen
d’assister à sa catastrophe, présider à sa transfiguration devant la
mort
et dans la mort. Les épisodes multiples racontés
catastrophe, présider à sa transfiguration devant la mort et dans la
mort
. Les épisodes multiples racontés par les personna
Rerum insignium index, le poète a indiqué lui-même ces épisodes : la
mort
de Capanée, la danse d’Hélène nue devant l’autel
ormés, les maudits hérétiques ont fait de terribles progrès depuis la
mort
du roi Henri. « Un coup de lance fut cause de tou
iers des Farnèses. Il a dû rejoindre son maître et quitter Avignon la
mort
dans l’âme en se retournant de loin en loin pour
ent j’épuiserai mon sort, Une, donc toute à moi, toujours, jusqu’à la
mort
, Au-delà de la Mort, je demeurerai seule. Et Mll
sort, Une, donc toute à moi, toujours, jusqu’à la mort, Au-delà de la
Mort
, je demeurerai seule. Et Mlle Amalia Guglielmine
Pietro Lucini, qui chante un Chant d’Angoisse et d’Espérance, sur la
mort
de Messine, atteint aussi un lyrisme beau de haut
es d’exaltation ? Simplement, il avait assez de tous ces vieux restes
morts
, qui ne lui parlaient que de morts, depuis trop l
ait assez de tous ces vieux restes morts, qui ne lui parlaient que de
morts
, depuis trop longtemps morts et piétinés par l’ac
estes morts, qui ne lui parlaient que de morts, depuis trop longtemps
morts
et piétinés par l’activité stupide de la vie… la
s l’avait créée avec amour, il était beau, lui aussi ; mais depuis sa
mort
si lointaine, combien furent nombreux et divers c
d’amour saine et forte, et fait jaillir le bonheur, créant, après la
mort
du marchand de fromages, la famille que la nature
tout artiste moderne, dégagé et non libéré de l’esprit des religions
mortes
, et aspirant à d’autres naissances, ils poussent
eurs… Mais le monde officieux tient à honorer à sa manière les grands
morts
, et il veut voir dans la glorification parisienne
68 %. 9. Louis Bertrand, l’Invasion (Fasquelle éd.), le Jardin de la
mort
(Ollendorf), la Cina (id.), le Sang des races (id
chelieu, Paris. 21. Maurice Barrès : Du sang, de la volupté et de la
mort
, Fasquelle, éd. — Comtesse Anna de Noailles : la
’il faut accepter. 79. Charles de Bourbon-Vendôme, cardinal en 1548,
mort
en 1590. 80. Charles de Lorraine-Guise, cardinal
-Guise, cardinal en 1547. 81. François de Tournon, cardinal en 1530,
mort
en 1562. 82. Jean Bertrand, cardinal en 1557, ar
esse de Guido semble s’effondrer avec son bonheur ; près de ce lit de
mort
, il cherche en vain un espoir, il éprouve le beso
de ces deux âmes, le père et le fils athées, devant Ie mystère de la
mort
; acte superbe, je suis heureux de le constater,
yeux, et il a placé, comme entre deux infinis, la mer et le ciel, la
mort
et l’espoir, un couple d’amants qui, par hasard,
tout bonnement comme un excellent librettiste : même en France, à la
mort
de Giuseppe Verdi, lorsqu’il fallut nommer son su
son amour sauvage et violent, qui lui apporte enfin la volupté et la
mort
. On voit bien que M. Boïto n’a eu qu’une vision d
our. On savait sans doute déjà à la cour pontificale la vérité sur la
mort
de Monaldeschi, vérité qui n’a pas fait encore be
à la trahison. Christine ne le fit pas assassiner. Elle le condamna à
mort
et le fit exécuter. Les exécuteurs ne valaient pa
i ont permis de découvrir. Il analyse avec soin l’œuvre de l’artiste,
mort
prématurément avant d’avoir achevé sa tâche.
eligieuses et où Nicoletta arrive à pénétrer grâce au désordre que la
mort
d’un religieux produit dans la maison. Lutte viol
nière fois, le fortifier dans sa croyance. Nicoletta est vaincue : la
mort
avec toute sa majesté surnaturelle va le faire re
prend toutes les fois qu’il a peur de sombrer quelques mois avant sa
mort
naturelle. Le fait est que le Roi de Nirvanie a é
le peuple et la couronne. Quelques échauffourées ont pour épilogue la
mort
d’un enfant qui tombe le crâne ouvert sous une dé
r Lorenzo Stecchetti qu’il dépeignit sous les traits d’un jeune poète
mort
poitrinaire à la fleur de l’âge. Le public fit le
s le pressoir, donneront un doux nectar étincelant comme le rubis et,
mort
, j’aurai la consolation de rendre service aux viv
oles (en italien), qui se peuvent traduire en français par : « Il est
mort
à trente ans. » C’est dans ces termes que Olindo
cchetti. Lorsqu’on apprit que le vrai auteur de Postuma n’était point
mort
, qu’il se portait fort bien, qu’il atteignait l’â
ussi pour les lettres, Stecchetti, malgré sa métamorphose, était bien
mort
, mort comme poète. Guerrini, dans la suite, eut b
our les lettres, Stecchetti, malgré sa métamorphose, était bien mort,
mort
comme poète. Guerrini, dans la suite, eut beau fa
du poète Lorenzo Stecchetti, de son vrai nom Olindo Guerrini, qui est
mort
à Bologne le 21 octobre 1916, âgé de 71 ans. L’hi
e très violentes guerres, auparavant, n’avaient point vu cependant la
mort
de l’art. Chateaubriand écrivait Les Martyrs vers
t d’extermination, beaucoup plus vides de moyens de destruction et de
mort
que ne l’est le nôtre, notre maudit et exécrable
s pestes, des épidémies, incompréhensibles et paniques ; une odeur de
mort
se mêlant, dans les rues où brûlent les cierges,
ez singulier, à première vue, que les arrière-neveux d’un compositeur
mort
en 1848 prétendent toucher les droits d’auteur de
de vue, digne d’être médité. Sans doute l’Amérique avait à venger la
mort
de ses nationaux et à défendre son commerce menac
y paraissait portant la bannière de sa société. Maintenant qu’il est
mort
la municipalité va prendre possession de la banni
a jouissance pour toute sa vie, de sorte qu’elle y restera jusqu’à sa
mort
. Si Cepperello trouvait à la vendre maintenant, c
femme peut vivre, puisque l’on n’entrerait en jouissance qu’après sa
mort
. Il ne me semble pas que l’on doive conclure l’af
Un homme a eu un accident en la transportant, il a été écrasé et est
mort
sur le coup ; moi-même je risquai d’y perdre la v
t. Tous ceux qui étaient autour se trouvèrent en très grand danger de
mort
, et une admirable pierre est perdue. Ce carnaval-
Si je ne devais plus y penser, je crois qu’immédiatement je tomberais
mort
. XX. À messer Tommaso dei Cavalieri, à Rome.
tant de douceur que je ne peux sentir ni l’ennui ni la crainte de la
mort
, tant que je le garde en ma mémoire. Si mes yeux
long du Vardar, et ce sont d’autres paysages, d’autres épisodes : la
mort
d’un village ; la messe des Trépassés ; le récit
a quand même une des grandes pages de la campagne d’Orient. Échos.
Mort
du poète Bellotti Mercure [Guillaume Apollinair
ctobre 1917, p. 568-576 [569]. C’est dans un hôpital de Vienne qu’est
mort
le poète spalatin Arturo Bellotti qui pendant de
joug ; ses deux derniers grands hommes, Wagner et Nietzsche, étaient
morts
depuis longtemps et n’avaient pas été remplacés,
de gens illustres voit creuser dans les arts un trou profond avec la
mort
du père Odorisio Piscicelli, descendant d’une des
it éminemment latin, il racontait avec douleur, peu de jours avant sa
mort
, les dommages que l’occupation allemande avait fa
et nous produisons dans l’ombre. » Et ce savant modeste et actif est
mort
dans l’ombre du cloître où il vivait. Les Mais
nni Papini. Tome CXXIV, numéro 465, 1er novembre 1917, p. 147-151.
Mort
de Giovanni Boine La jeune littérature italien
revenant. On vient de réunir les lettres que le poète Guido Gozzano,
mort
l’année dernière, avait envoyées à un journal de
Patriot and Poet », par Beulah B. Amram, qui raconte l’histoire de la
mort
des soldats-poètes Byron et Brooke, anglais ; Koe
pour la célébration, le 14 septembre 1921, du 600e anniversaire de la
mort
de l’illustre poète florentin, Benoît XV s’écrie
s nations coalisées auront échappé au danger de la servitude et de la
mort
civile. Les peuples conserveront le droit de disp
œuvres qui se trouvaient dans la maison de l’artiste pour qu’après sa
mort
rien ne soit dérobé. 27. Vasari. 28. Pour la fa
esquels on bâtit. » 54. À la suite de cette lettre, San Gallo étant
mort
, le Pape chargea Michel-Ange de continuer les tra
relier le tout par un pont sur le Tibre conduisant à la Farnésine. La
mort
l’empêcha de réaliser ce projet. 55. D’après Rom
es mesures en faveur des familles des combattants, des blessés et des
morts
, sont appliquées dans un esprit bureaucratique ét
russe de naissance mais parisien d’élection, le baron de Schlichting,
mort
en août 1914, de toutes ses collections, magnifiq
lorieuse, quelque vétéran rendu vénérable et cher par l’âge et par la
mort
prochaine. Les luttes sociales attiraient moins l
bserve lui-même incessamment durant l’action avec un calme lucide. La
mort
interrompit trop tôt cette analyse qui, achevée,
zia. Il avait 27 ans. Sa dernière page, envoyée peu de jours avant sa
mort
à un journal de Cesena, l’Azione, est une des plu
iguée, après qu’elle aura bu le sang d’un pareil massacre ; quand les
morts
et les blessés, les torturés et les abandonnés do
vre leur chemin, à faire des enfants sur cette glèbe qui recouvre les
morts
? On les interrompt, ils recommencent ; on les éc
l’obéissance à l’instinct de la nation. On dit que Serra a cherché la
mort
, sur le Carso, où il l’a rencontrée le 20 juillet
a foncière noblesse de sa nature et surtout des possibilités qui sont
mortes
avec lui. Alfredo Panzini Parmi les amis de
rso (Firenze, La Voce) dont on a publié une deuxième édition après sa
mort
, était une espèce d’autobiographie physique et cé
lui valurent la rancune des Italiens de Trieste : il a racheté par sa
mort
ses sympathies pour sa race. On annonce de lui un
Guido Gozzano Il nous faut aussi dire quelques mots d’un troisième
mort
: mais celui-là n’a pas eu le bonheur de mourir d
de mourir devant l’ennemi : Guido Gozzano, bien que jeune encore, est
mort
de phtisie en août. Il jouissait d’une certaine r
puis la séparation de MM. Carrà, Palazzeschi, Papini et Soffici et la
mort
de Boccioni (tombé de cheval pendant qu’il faisai
to Boccioni Umberto Boccioni est-il le premier futuriste qui soit
mort
, semblable à Godeau qui rut le premier Académicie
r Académicien à trépasser ? Je ne sais. Il est en tout cas le premier
mort
d’entre les futuristes dont le nom est un peu con
e brisa dans cette chute. Futurisme italien À la suite de cette
mort
, il ne reste plus guère autour de Marinetti que d
peu partout. Dans un beau roman, autrement puissant que le Sens de la
mort
de Paul Bourget, Fogazzaro avait traité de cette
fait pas allusion à une survie où elle pourrait se retrouver avec ses
morts
. — C’est une réaliste. Entre deux êtres aussi dif
ion. Au goût des légendes héroïques, au mépris de la douleur et de la
mort
, il croit indispensable d’allier l’esprit de domi
pourrait créer l’unité morale de toutes les classes. Le mépris de la
mort
est le plus grand facteur de vie , dit M. Enrico
dit M. Enrico Corradini, — à une condition, c’est que le mépris de la
mort
soit un stimulant pour nos volontés, mais un stim
point à souffrir. Quand le général japonais Nogi s’écriait, après la
mort
de ses deux fils tués dans une bataille : « Leur
ini, il faut, quand c’est nécessaire, savoir atteindre, au-delà de la
mort
, un but caché dans l’ombre des siècles futurs. Vo
’est la première des solidarités : la solidarité nationale jusqu’à la
mort
. La formule est d’allure cornélienne. Dans le m
ins — je mentionnerai seulement Renato Serra, devenu célèbre après sa
mort
sur le Carso — sont absolument indemnes de toute
ète et la première que je lis était de M. Dandolo, qui m’annonçait la
mort
de M. de Bragadin. Je perdais un homme qui, depui
ciotto Canudo. Tome XCV, numéro 351, 1er février 1912, p. 655-661.
Mort
de Mario Rapisardi Mario Rapisardi n’a pas eu
stes qui l’avaient toujours suffisamment renié. Le poète sicilien est
mort
dans son île enflammée, aux pieds du sublime phar
ieds du sublime phare de destruction qu’il avait aimé : l’Etna. Et la
mort
du poète n’a pas distrait un seul instant les jeu
s au-delà de la Sicile, vers l’Afrique en guerre. Mario Rapisardi est
mort
en vain entre les yeux des Italiens qui convoiten
tude de fierté très farouche, que tous les deux ont gardée jusqu’à la
mort
. Mais, dans la lutte, Carducci fut le plus fort.
ux qui songeaient à la nouvelle renaissance de l’Italie. Carducci est
mort
plein de gloire, Rapisardi n’est pas mort solitai
e de l’Italie. Carducci est mort plein de gloire, Rapisardi n’est pas
mort
solitaire. Il est évident que si l’œuvre de Cardu
i, c’est la Sicile tout entière, qui a été profondément remuée par la
mort
de son plus grand poète, dont l’unité et l’étendu
s bibliothèques et nos musées, asiles de « traditions moisies », de «
morts
qui encombrent les chemins », doivent être voués
abnégation et du dévouement le plus désintéressé. En terminant par la
mort
de la femme, pourrait-on l’accuser, lui, le volup
çu par procès-verbal du commissaire Dorival, du 18 octobre. De Paris,
mort
le 31 octobre 176711. Le succès de cette recherc
d’une observation aiguë et très moderne ; […]. Lettres italiennes.
Mort
de Giovanni Pascoli12 Ricciotto Canudo. Tome
e, entraînant vers ses jeunes maîtres devenus orphelins un message de
mort
, l’image funèbre qui a demeuré dans l’esprit du p
me toute, on peut aisément s’habituer. Mais la constante vision de la
mort
tragique avait creusé dans son génie un puits san
ù, dans des lueurs livides, il ne pouvait entrevoir que la face de la
mort
. Aussi n’a-t-il jamais pu chanter à gorge déployé
bonté des promesses et des souvenirs, de la vie merveilleuse et de la
mort
immanente, telles que les choses humbles et solen
ant. Il chantait le foyer, devant lequel on se chauffe, au milieu des
morts
chers qui viennent s’y asseoir, Cherchant des fa
ombres inévitables des êtres qui viennent de tous les horizons de la
mort
, qui vont vers tous les horizons de la vie, répét
eux des moissons et ceux des vendanges, ceux de l’amour et ceux de la
mort
, sans trêve, sans trêve. Le poète a chanté toutes
sèdent aujourd’hui. Or, 47 + 26 = 73 ans. C’est son âge quand il est
mort
au mois d’août. On peut dire que cette page 341 a
. On peut dire que cette page 341 a été écrite quelques mois avant sa
mort
. Cet accident l’a empêché d’aller plus loin. En b
dû au sculpteur italien Luigi Betti. […] Une œuvre inconnue sur la
mort
de Louis XVI Un érudit italien, M. Aldo Ravà,
do Ravà, a découvert récemment un recueil de poésies inconnues sur la
mort
de Louis XVI, dont il a publié quelques curieux f
rs 1793 à Casanova : « Je suis en train de composer un ouvrage sur la
mort
de Louis XVI ! » L’exemplaire a été trouvé dans
sieur le Duc de Choiseul, et publiées à Londres par l’auteur après la
mort
de Louis XVI. — Londres, se vend pour un shilling
Au soi-disant fils d’un cocher n’est pas moins curieuse : Louis est
mort
! Que reste-t-il à ta fureur ? Que veux-tu ? Que
de vêtements et des ossements épars. Sous cette forme lamentable, les
morts
sont-ils donc maintenant les seuls habitants de l
ouche sous deux oliviers, après avoir amassé un épais lit de feuilles
mortes
. Il s’endort ensuite d’un sommeil profond et ne s
ir, il reste dans cette littérature de portraits, paysages et natures
mortes
, de tableaux portatifs, qui répond assez bien à l
t les riches collections que, de concert avec son mari, puis après la
mort
de ce dernier, elle avait réunies dans son hôtel
uelques feux d’étoiles ravis à l’éternel artifice de l’amour et de la
mort
. Je dis artifice, car ni l’amour ni la mort n’exi
ifice de l’amour et de la mort. Je dis artifice, car ni l’amour ni la
mort
n’existent réellement. Nous nous imaginons aimer
irable situation, la beauté de la mer ; des vestiges de civilisations
mortes
et quelques rares édifices, — malheureusement ret
me mécanique aux parties remplaçables qu’on délivrera de l’idée de la
mort
et partant de la mort elle-même, cette suprême dé
es remplaçables qu’on délivrera de l’idée de la mort et partant de la
mort
elle-même, cette suprême définition de l’intellig
s, sinon de chercher à se mieux vendre chez son libraire. Les entêtés
morts
ou devenus fous, on retrouva les autres en train
ans et les autres drames promis, un volume sur la Contemplation de la
Mort
. Si M. d’Annunzio n’appartenait pas, obstinément
e poète développe dans toutes ces pages consacrées au spectacle de la
mort
, plus qu’à la mort, les deux vers qui sont le thè
ans toutes ces pages consacrées au spectacle de la mort, plus qu’à la
mort
, les deux vers qui sont le thème intérieur de sa
ta e la paura de la morte, entre l’ennui de la vie, et la peur de la
mort
. Son âme oscille de la sorte, entre la mort loint
la vie, et la peur de la mort. Son âme oscille de la sorte, entre la
mort
lointaine de son ami Pascoli, le grand poète de s
e grand poète de sa patrie redressée dans sa force, et l’agonie et la
mort
présentes d’un voisin obscur, un vieillard qui fu
se nommait Adolphe Bermont. Entre l’ennui de la vie, et la peur de la
mort
… Le poète ne retrouve pas encore l’équilibre, le
n seul mot : Dieu. Mais il retrouve, devant le spectacle répété de la
mort
, le calme d’une résignation. Il courbe ta tête, b
iquement paisible, du frère et de la sœur, jetés dans la mêlée par la
mort
tragique de leur père assassiné. Pendant de très
ait, celui de Mario Rapisardi. Mais j’ai signalé ici même, lors de la
mort
de ce grand poète, les luttes « régionales » qui
t siciliens). Les étudiants milanais semblent perpétuer même après la
mort
du poète l’hostilité qu’il endura si fièrement to
Isle-Adam, est certes inépuisable ; celle des « concierges des grands
morts
», selon un mot de Moréas, est absolument féroce.
oyablement dans des papiers oubliés, dans les vieilles maisons que la
mort
ouvre à toutes les curiosités, on le cherche dans
et se déversent sur la librairie. Ils nous permettent d’assommer des
morts
avec notre infaillible psychologie, de les traite
és en disant : — Pour être auprès de vous, je risquerais cent fois la
mort
. Enfin, je puis vous parler, enfin, je puis vous
bservais les choses, immobiles et silencieuses comme si elles étaient
mortes
, et je fouillais d’un regard méfiant les coins tr
de symboles, se survit et a tort de se survivre. § Ce ne sont pas les
morts
qui vont vite. Ce sont les jeunes. Le phénomène d
, autour de lui, et il ne s’étonne pas que peu de place occupent les
morts
, bien moins que nature. Et quelqu’un d’eux fut ma
de lui : « Pisanus omnium pictorum hujusce ætatis egregius. » Et à sa
mort
, Fazio écrit : « In pingedis formis rerum sensibu
des Américains croyaient acheter des cartes transparentes d’art ! La
mort
et deux années ont changé la manière de voir, mêm
la forme d’une tête de cadavre, exerçant toutes les puissances de la
mort
. Ce qu’on peut appeler la fascination de la corru
e farouche pour s’échapper du cerveau de la Méduse. La teinte dont la
mort
violente est toujours accompagnée se retrouve dan
Béatrice d’Est, en qui Léonard semble avoir surpris quelque indice de
mort
prématurée, la peignant sévère et grave, pleine d
rt prématurée, la peignant sévère et grave, pleine de la pureté de la
mort
, en des vêtements tristes, couleur de terre, ench
ssai pensif de Goethe sur les tristes destinées de cette peinture. La
mort
en couches de la duchesse Béatrice fut suivie en
de Florence, abandonnées peut-être un peu aux légères pensées par la
mort
de Savonarole — le dernier racontar qui circula (
nouit pour fleurir en France sous une forme exotique. À l’égard de la
mort
de Léonard, deux questions restent entières, aprè
Puis-je espérer, à force d’amour, de ranimer un cœur qui ne peut être
mort
pour cette passion ? Mais peut-être suis-je ridic
écrit Henri Brûlart dans son autobiographie. Mais trois ans après la
mort
de la bien-aimée, nous le trouvons de nouveau ins
elles se redressèrent et étreignirent leur proie. Longtemps après la
mort
de Savonarole, les « piagnoni15 » demeurèrent éto
sion. Ses prédictions continuaient à se réaliser : Charles VIII était
mort
encore tout jeune ; l’Italie était accablée de ma
ts pour parsemer religieusement de fleurs à chaque anniversaire de sa
mort
l’endroit où s’était élevé son bûcher. Il ne m’ap
fauts. J’invoquai ainsi une œuvre digne de l’auteur du Triomphe de la
Mort
. La publication de la pièce en volume répond sur
ns ses propres veines bondées. » Il parle aussi de la nécessité de la
mort
, pour que cette vie héroïque, qui n’a pas pu se r
hume qui faisait dire à Ulysse des paroles de profonde pitié sur Ajax
mort
et lui faisait répondre fièrement à Agamemnon : «
au moins, le catalogue de ce tant bizarre éditeur, M. Isidore Liseux,
mort
récemment dans la misère ou presque, après avoir
ent au genre sombre ; l’amour y est exalté, mais comme le frère de la
mort
. Nous n’avons pas dans ce premier volume la concl
e de Dœnnigy, qui a été la cause du duel avec M. de Rakowitz et de la
mort
de Lassalle), des études sur Giacomo Leopardi, et
politiques, dans ses exils, dans les prisons du Spielberg, jusqu’à sa
mort
; on ne peut pas être un biographe plus amoureux,
tion que cette dernière n’entrât en possession des manuscrits qu’à la
mort
des deux femmes de chambre de M. Ranieri, usufrui
t côte à côte sur le dossier sculpté du siège et figés blêmes dans la
mort
, est à cet égard un modèle d’habileté et vraiment
« Mon intention, pour assurer la paix de l’Europe, était de frapper à
mort
l’Empire Russe. Je visai au cœur, mais — l’empere
de Beppo ? Retiens bien ceci : si, un jour ou l’autre, on annonce la
mort
soudaine de Stella- Lucente, nous serons trois à
t, et n’hésite plus entre un scandale, une existence lamentable ou la
mort
. Il l’avait épousée par amour. Elle appartenait
rmée. En continuant à lui obéir, sers-moi ! — Devrais-je y trouver la
mort
! Antonio pensait que Beppo était le seul être qu
n’était jamais retourné en Angleterre, sa patrie véritable, depuis la
mort
de ses parents, survenue il y avait une quinzaine
tragédies que nous révèlent les chroniques ;.dans ce décor pompeux et
mort
! Venise est belle comme une femme qui aurait exp
ntement. — Votre portrait ! s’écria-t-elle. Comme s’ils n’étaient pas
morts
ceux qui auraient pu rendre la beauté de ce front
e rio. Ne croyez-vous pas que les pensées de vengeance, d’amour et de
mort
peuvent atteindre, dans cette atmosphère, à leur
arrivé… un accident de chasse… — Ah ! s’écria Wellseley, Antonio est
mort
! Elle nous regarda, d’un air stupide : — C’est m
lle nous regarda, d’un air stupide : — C’est mon pauvre Beppo qui est
mort
! Voici la lettre. Antonio apprenait, en quelques
est Aurora ! Nous la délivrerons, Enea ! Antonio et le vieil Ugo sont
morts
peut-être ! Elle m’attend ! Elle est libre ! Le s
o me firent horreur ! Je n’osais plus réprimander mon fils. Depuis la
mort
de Beppo, il devint le maître ! Quelle fut l’exis
it pas souffrir. Jamais je n’entendis de scènes. Cela dura jusqu’à la
mort
d’Antonio. Les fièvres l’emportèrent. J’ai vécu a
que qui joue, un brave garçon. Il est entré à notre service, après la
mort
d’Antonio ; et il a gagné ma sympathie par son dé
ittant Venise, je me suis installé dans les environs de Mantoue. À la
mort
d’Antonio, je me suis proposé comme domestique. J
er ainsi un foyer d’art dont leurs concitoyens profiteront après leur
mort
. Tel fut le cas, par exemple, de M. Benjamin Altm
public qu’il est, à l’heure actuelle, notre meilleur poète. Depuis la
mort
de Giovanni Pascoli — dont les étrangers ignorent
Tome CVIII, numéro 404, 16 avril 1914, p. 861-865 [864, 864-865].
Mort
de Paul Heyse [extrait] […] L’idéalisme de Pau
ns la première, il étudie les cas d’auto-prémonition de maladie ou de
mort
; dans la deuxième, les prémonitions de maladie o
adie ou de mort ; dans la deuxième, les prémonitions de maladie ou de
mort
« regardant des tierces personnes » ; dans la tro
. Mais ceux qui pensent en leur cœur des choses défendues assument la
mort
et la captivité : surtout ceux qui aiment ce sièc
eur Boèce, Maître des Offices à la cour de Théodoric et qui fut mis à
mort
sur des accusations assez obscures portées contre
ne laisse rien qui puisse lui survivre. Avec lui, ses Causeries sont
mortes
. De son vivant, cette espèce de Marquis de la Sei
Comme une barque, perdues les rames, je ne vaux plus rien. Amour est
mort
. Vita Moderna (Milan) : une étude de Enrico A.
e de Saint-Étienne-le-Rond, lequel est du temps du pape Théodore Ier,
mort
en 649. Le style de cet ouvrage est bien byzantin
ude l’apprendra et ne s’en souciera pas… Et, un matin, on le trouvera
mort
, sur une planche, dans sa maison, près de l’Arc d
ivres sont opaques, sans éclairs, sans frisson ; ce recueil est né et
mort
presque le même jour sous cette guigne qui semble
dernier sanglot, l’angoisse de sa pudeur déchirée ». Le fantôme de la
mort
a disparu, et parmi les ténèbres de cette nuit, l
é ce livre curieux, où il raconte avec leurs détails tous les duels à
mort
de ce siècle, depuis 1801 jusqu’en juin 1899. Il
en causant, où est (celle qui est) ma vie, où est (celle qui est) ma
mort
? Pourquoi n’est-elle pas comme d’habitude avec v
e entrevoir de l’affection pour sa mère et pour sa patrie. Condamné à
mort
il écrivit, outre l’Épitaphe, ce quatrain : Je s
sur Baudelaire. Tome XXXV, numéro 129, 1er septembre 1900 La
Mort
d’Orphée Luciano Zùccoli. Traduit de l’italie
chantes, encore penchées au bord du gouffre, ne l’entendaient pas. La
mort
de Bicornide les grisait d’une effrayante ivresse
rquoi ne retournes-tu pas à la plage ? — Tu nous as toutes blessées à
mort
, répéta Dircé, les sourcils froncés. D’un geste r
e plaisir rêvé manquait à cette vengeance, comme si la rapidité de la
mort
avait empêché d’en jouir longtemps à l’avance, de
elle. Pourquoi ne fermes-tu pas les yeux, si je te déplais ? — Il est
mort
! Il est mort ! répétèrent en chœur les autres fe
ne fermes-tu pas les yeux, si je te déplais ? — Il est mort ! Il est
mort
! répétèrent en chœur les autres femmes. — Mainte
erres ». Leur troupe famélique exhibe ses formes vraiment « deux fois
mortes
», ses faces inoubliables, ses gestes lamentables
nt la tendresse rêveuse repose le cœur de l’homme. » Loin d’être les “
mortes
”, les villes anciennes, toutes jaillissantes de s
leil, à la lumière particulière du merveilleux pays, aux œuvres quasi
mortes
et ruinées, qu’aux pages, peintes, laissées vivan
libre cours à mon admiration pour l’Ode au nouveau roi, l’Ode pour la
mort
d’un destructeur (c’est Nietzsche, mais pourquoi
teur (c’est Nietzsche, mais pourquoi destructeur ?), l’Ode aux marins
morts
en Chine ; trois merveilles d’harmonie, d’images,
Martinelli, qui fabriqua un manche en bois pour la lime qui blessa à
mort
l’impératrice. Lucheni ne cesse de répéter que Ma
depuis la fuite en Espagne tout enfant, sous le coup d’une menace de
mort
portée par le roi Joâo II contre sa famille, jusq
irréalisable amour devait, hélas ! le conduire à la folie, puis à la
mort
. Cette passion fit de lui, dans le genre pastoral
simulent e mystère que par ce qu’ils contiennent de peur, l’amour, a
mort
, un dosage heureux de Pétrarque et de Léopardi. E
ureux de Pétrarque et de Léopardi. Enfants, semez des roses, voici la
mort
qui passe, mais sémerez-vous assez de roses pour
par la folie sénile d’un Mazarinet, vous qui du fond de la terre des
morts
alliez surgir, chêne dodonique, sonore de prophét
es feuilles vertes. Enfin, n’intitulez pas un roman le Triomphe de la
Mort
, cela appartient à Pétrarque ; ou les Vierges aux
lite de contes sur des sujets aussi différents l’un de l’autre que la
mort
dudit Orphée et des scènes de jeu dans les villes
e suprême sagesse, indifférente à tous les détails de la vie et de la
mort
du bétail humain, d’amour de la vie et de volonté
assez reconnaissable sur son génie. La dévotion de Ludovic, après la
mort
de Béatrice d’Este, hanta pour quelque temps le c
’espoir, au milieu d’un grand deuil, ou quelque terrible prophétie de
mort
au milieu d’une grande fête. Parfois, la parfaite
igieuse et des dogmes de leur Sagesse. Mais ces noms des dieux païens
morts
, ces attitudes du lointain paganisme amoureux et
lointain paganisme amoureux et orgiaque, qui nous reviennent après la
mort
du Christianisme, s’ils servent à témoigner de la
oldats gouvernaient encore ; ils commençaient, à peine fauchés par la
mort
, à disparaître des horizons politiques de l’Itali
aire est probablement de 1319 ou 1320, antérieur d’un an ou deux à la
mort
du poète. De nombreux commentaires ont été faits,
t pas été prédestiné au sceptre universel, Jésus-Christ ne serait pas
mort
pour le rachat de l’humanité au nom d’une sentenc
sitôt le pouvoir de les satisfaire. Encore Raphaël et Mozart sont-ils
morts
trop jeunes pour que cette poursuite acharnée de
tait en Autriche. En outre, deux discours du poète, dont celui sur la
mort
de Garibaldi, et une lettre ouverte à l’occasion
fané, l’élévation apportée à la langue par l’auteur du Triomphe de la
Mort
et de La Fille de Jorio, est devenue un phénomène
ux forces, celle qui évoque et crée la vie et celle qui administre la
mort
», Spencer proclama « la souveraineté du sentimen
lais obstiné qui voulait voir Voltaire à tout prix, même malade, même
mort
; finalement, Voltaire l’envoya au diable, qui, d
t abîme les dramatis personœ de tout drame historique dans un rêve de
mort
et de gloire. C’est dans ce rêve perpétuellement
hétique dans les deux romans parus de sa Trilogie de l’Amour et de la
Mort
. La femme de Un Amour et de Un Inceste, toute nou
ustement par ce Busolo, déjà admis dans l’hospice et qui, flairant la
mort
prochaine de sa femme, rôde dans la chambre pour
dernier élan de rancune et de haine, a eu la cruelle idée d’orner sa
mort
… Les caractères de la vieille dame, de Busolo, qu
va sans dire, catholique. Une jeune femme, Cecilia, dont le mari est
mort
depuis quelques jours, découvre dans le tiroir d’
captivantes et tragiques où les vaincus pouvaient trouver pis que la
mort
, la torture, témoin ce partisan de Gauthiot, le p
du grand conquérant romain, depuis le passage du Rubicone jusqu’à la
mort
, est le fruit de longues études historiques et ar
il de l’éternité), histoire d’un amour incoercible, qui finit avec la
mort
d’un des coupables. De belles pages : je ne croya
and peintre des Alpes. Segantini, qui était né à Arco (Autriche), est
mort
sur le Schafberg, en Engadine. Et tandis que l’Au
st pas exagéré ; j’ai vu Naples en dehors de la société. Tout y était
mort
pour moi. La bonne musique m’eût ranimé : je n’y
la Marche, ce qui le fit appeler Pergolèse. Il dit que Pergolèse est
mort
à 25 ans, by the Pox. C’est un sot, mais il nomme
perdue, en partie, il trouva d’autres hommages. Ceux que lui vaut sa
mort
ne sont pas, quoi que disent nos journaux dociles
l’idée religieuse et du sentiment religieux. La dissolution c’est la
mort
; et le sentiment religieux, dans le sens vaste e
t des cœurs humains, tant qu’il y aura la douleur, et qu’il y aura la
mort
. Lorsque je réfléchis aux événements de politique
x tournés vers ce grand exemple, que leur remémorait, hier encore, la
mort
de Carducci ! Pas de journal ou de périodique, si
ne belle gravure d’après une tête d’étude du peintre Andrea Gastaldi,
mort
à Turin il y a deux ans (30 août). Critica Socia
choses qu’elle tient occultes. XIV. — Oh ! votre état est pire que la
mort
, à vous qui fuyez l’amitié de cette Sagesse ! Ava
one, où le grand conquérant fit son testament quelques jours avant sa
mort
tragique. D’autres églises consacrées au même sai
ouloureuse mélancolie à l’entour d’âmes destinées par la Volupté à la
Mort
. Dirai-je pour terminer que, contrairement à quel
raisemblable. Le comte Georges, chargé par la mère de son ami intime,
mort
d’un accident de cheval, de mettre ordre à ses pa
s’être moqué de ceux qui ne voyaient dans l’Italie que la « terre des
morts
» couverte d’« un amas de ruines glorieuses », co
e nécessité sont excessivement chers. Chaque jour on entend parler de
mort
et de blessés. Le cousin Giovanni a déjà senti l
▲