ent une entrevue, — occupe une trentaine de pages dans le tome IV des
Mémoires
, et il mérite, tant par l’agrément de la mise en
étails de cet épisode. La vraisemblance et la valeur documentaire des
Mémoires
de Casanova ont maintes fois été discutées et sou
estissements sans pudeur auxquels s’est complu le premier éditeur des
Mémoires
, les aventures de Casanova, telles qu’il les raco
reçu chez lui Casanova et d’avoir eu avec lui ces entretiens dont les
Mémoires
nous donnent plusieurs spécimens. Veut-on une aut
tite circonstance précise qui peut nous éclairer sur la sincérité des
Mémoires
: — « Pourquoi, demande Voltaire à Casanova, Gold
ce fort intéressante entre le texte de la Correspondance et celui des
Mémoires
: que Voltaire ne fasse cette observation à Alber
ment, d’avoir établi par ces deux rapprochements la vraisemblance des
Mémoires
. Il est cependant encore un point sur lequel nous
e donc qu’on puisse accorder une confiance suffisante au chapitre des
Mémoires
où Casanova raconte ses visites chez Voltaire. Sa
tière des conversations et des dialogues qu’il nous rapporte dans ses
Mémoires
. § C’est le 21 août 1760, après-midi, au moment o
ui demandent le récit de son évasion. On sent, à travers le texte des
Mémoires
, que Casanova n’est pas insensible aux marques d’
r défendre son ami, ou du moins cela n’apparaît pas dans le texte des
Mémoires
; il serait sans doute naïf d’être surpris outre
que nul n’est prophète en son pays, et maintes fois, au cours de ses
Mémoires
, il laisse éclater une amère indignation contre s
ble qu’il ne veut l’avouer. Enfin, quand il présente aux lecteurs ses
Mémoires
écrits en français, bien que sa langue naturelle
: Mais si notre excellent auteur Voulait publier sur nos belles Des
mémoires
un peu fidèles, Il plairait plus à son lecteur. P
parce qu’elle n’avait pas voulu de lui ; quoi qu’il en dise dans ses
Mémoires
, Albergati, comme auteur comique, avait beaucoup
arrive fort à propos après l’entretien qui nous est rapporté dans les
Mémoires
et où Albergati est traité avec si peu d’indulgen
pas exactement dans l’ensemble du dialogue les amères réflexions des
Mémoires
sur le despotisme vénitien, nous y avons la confi
? ou n’est-il pas plus naturel de supposer que Casanova, écrivant ses
Mémoires
plus de vingt ans après la publication du Diction
t XXXI facsimilés de dessins et croquis. Vol. in-18, 3 fr. 50. 1.
Mémoires
, IV, 473. 2. Mémoires, IV, 228-229. 3. Mémoir
sins et croquis. Vol. in-18, 3 fr. 50. 1. Mémoires, IV, 473. 2.
Mémoires
, IV, 228-229. 3. Mémoires, IV, 444. 4. Ibid.,
3 fr. 50. 1. Mémoires, IV, 473. 2. Mémoires, IV, 228-229. 3.
Mémoires
, IV, 444. 4. Ibid., IV, 453. 5. Correspondanc
5. Correspondance, 8 septembre 1758. 6. Ibid., 7 mars 1760. 7.
Mémoires
, IV. 8. Mémoires, IV, 461-462. 9. Ibid., IV,
e, 8 septembre 1758. 6. Ibid., 7 mars 1760. 7. Mémoires, IV. 8.
Mémoires
, IV, 461-462. 9. Ibid., IV, 461. 10. Mémoires
Mémoires, IV. 8. Mémoires, IV, 461-462. 9. Ibid., IV, 461. 10.
Mémoires
, IV, 461. 11. Lettre du 5 septembre 1760. 12.
461. 10. Mémoires, IV, 461. 11. Lettre du 5 septembre 1760. 12.
Mémoires
, IV, 446. 13. Mémoires, VIII, 381. 14. Mémoir
461. 11. Lettre du 5 septembre 1760. 12. Mémoires, IV, 446. 13.
Mémoires
, VIII, 381. 14. Mémoires, IV, 454. 15. Essai
embre 1760. 12. Mémoires, IV, 446. 13. Mémoires, VIII, 381. 14.
Mémoires
, IV, 454. 15. Essai sur les mœurs, chap. 106. L
. Le même jugement est exprimé dans les mêmes termes, chap. 74. 16.
Mémoires
, IV, 469-471. 17. Section I. 18. Section V. 19
III, numéro 244, 15 août 1907 L’épisode de la Charpillon dans les
Mémoires
de Casanova Édouard Maynial. Tome LXVIII, numé
conteurs et nos romanciers du siècle dernier, ont lu avec profit les
Mémoires
de Casanova : ces confidences longues et précises
alait la mine prodigieusement riche en « sujets » que constituent les
Mémoires
: « Quel livre il y aurait à écrire sur ce drôle
x qui ne se sont pas contentés de feuilleter les cinq mille pages des
Mémoires
ont certainement été récompensés d’une lecture at
a. Je voudrais indiquer ici l’une de ces rencontres. § Le tome VI des
Mémoires
contient, entre autres épisodes, le récit du séjo
t ne pouvait être douteux. Nous renvoyons ici le lecteur au texte des
Mémoires
. Il y verra comment Casanova, dupé une fois de pl
nal ; il semble bien qu’il y ait quelque longueur dans ce passage des
Mémoires
. Mais voici le dénouement : après avoir vingt foi
le plaisir de la vengeance dont le récit occupe la fin du tome VI des
Mémoires
. § Nous ne croyons pas que le lecteur ait attendu
se développe de la même façon dans la Femme et le Pantin, et dans les
Mémoires
de Casanova ; les divers épisodes du roman de Pie
nnages au décor, toute la partie proprement descriptive du décor. Aux
Mémoires
de Casanova, Pierre Louÿs a emprunté l’idée premi
éteront sans difficulté notre observation par la lecture comparée des
Mémoires
et du roman. L’analogie est évidente. Que prouve-
une connaissance sûre et détaillée des littératures classiques ; les
mémoires
du xviiie siècle lui sont aussi familiers que l’
phie, d’un journal intime, que ce soit les Dialogues de Lucien ou les
Mémoires
de Casanova, l’intéresse particulièrement. Tout r
us la plume alerte de Pierre Louÿs, quelques nouvelles délicates, les
Mémoires
énigmatiques de Legrand de Beauvais n’auront pas
ent des souvenirs césariens. De même Sainte Marie Antiqua remplaça la
mémoire
de Vesta, et la Résurrection du Rédempteur celle
ure lui doit des poèmes, des comédies, des études admirables ; et ces
Mémoires
pleins de verve et de clairvoyance jettent une lu
zzi, écrivaient un livre, ne pouvant pas livrer une bataille : et ses
mémoires
reflètent ce caractère d’une loyale et rude simpl
on d’Henri VII, s’explique ainsi da se et n’a rien d’infamant pour la
mémoire
du poète. D’ailleurs, l’homme qui a jeté le cri d
avray. Tome XLVIII, numéro 166, octobre 1903, p. 66-88. [I] Les
Mémoires
de Casanova, bien qu’ils jouissent de la populari
térature et l’histoire, la justice qui leur est due. Et cependant ces
Mémoires
sont peut-être le document le plus précieux que n
qui écrivit parce qu’il avait vécu et quand il ne put plus vivre. Ses
Mémoires
transportent le lecteur à travers l’Europe, donna
xante-treize années de sa vie il voyagea, comme nous l’apprennent ses
Mémoires
, en Italie, en France, en Allemagne, en Autriche,
e Venise, il opère en 1700 la plus fameuse évasion de l’histoire. Ses
Mémoires
, tels que nous les avons, s’interrompent brusquem
assa les quatorze dernières années de sa vie à Dux, où il rédigea ses
Mémoires
. Casanova mourut en 1798, mais on n’entendit aucu
es. Casanova mourut en 1798, mais on n’entendit aucunement parler des
Mémoires
(dans lesquels le prince de Ligne, à qui Casanova
état de perplexité, et ainsi de suite. Il faut donc admettre que les
Mémoires
tels que nous les avons ne sont qu’une sorte de p
’une sorte de pâle calque des vives couleurs de l’original. Quand les
Mémoires
de Casanova parurent, des doutes furent émis sur
i insinua, ou plutôt exprima sa certitude que le véritable auteur des
Mémoires
était Stendhal, dont il se figurait à chaque page
es d’Armand Baschet intitulés Preuves curieuses de l’authenticité des
Mémoires
de Jacques Casanova de Seingalt, et publiés en ja
vrier et du 1er août 1882. Baschet n’avait jamais vu le manuscrit des
Mémoires
, mais il tenait de MM. Brockhaus tous les faits q
lle, après qu’il y fut revenu — tout cela de la même écriture que les
Mémoires
. F. W. Barthold, dans Die Geschichtlichen Persönl
sont maintenant certaines, d’abord, que Casanova écrivit lui-même les
Mémoires
publiés sous son nom bien que non pas textuelleme
ut les quatorze dernières années de sa vie à Dux, qu’il y écrivit ses
Mémoires
et qu’il y mourut. Pendant tout ce temps, on disc
. Pendant tout ce temps, on discuta l’authenticité et la véracité des
Mémoires
, on fit de divers côtés des enquêtes sur Casanova
’en avait à Amboise. » Voici une opinion qui se rapproche du ton des
Mémoires
: « Une folle jolie, sage, et vertueuse tant qu’
tinés sans doute à servir à la rédaction de cette dernière partie des
Mémoires
qui n’a jamais été écrite ou qui a été perdue. Vo
es Plombs, qui est la première esquisse de la plus fameuse partie des
Mémoires
, fut publié à Leipzig, en 1788 ; l’ayant lu à la
n arrivons maintenant aux documents qui se rapportent directement aux
Mémoires
; parmi les papiers se trouvent plusieurs tentati
s 4 et 5. Il est écrit sur du papier semblable à celui sur lequel les
Mémoires
sont écrits ; les pages sont numérotées 104-148 ;
j’ai déjà fait allusion, les chapitres IV et V du dernier volume des
Mémoires
. Dans ce manuscrit, nous retrouvons Armelline et
mort ; et je ne pouvais pas la leur supposer. » Peu de passages des
Mémoires
sont plus intimement caractéristiques de Casanova
rieux que ce très important manuscrit, qui comble une lacune dans les
Mémoires
, n’ait jamais été découvert par quelqu’une des pe
st relatée très brièvement et avec beaucoup moins de malice, dans les
Mémoires
(vol. III, p. 327). Les lecteurs des Mémoires se
ins de malice, dans les Mémoires (vol. III, p. 327). Les lecteurs des
Mémoires
se rappellent le duel de Casanova avec le comte B
par ce nom : Charpillon, qui, comme s’en souviennent les lecteurs des
Mémoires
, est le nom de la harpie par qui Casanova souffri
étails à l’histoire racontée dans les neuvième et dixième volumes des
Mémoires
et fait allusion à la rencontre avec les Charpill
ti et que c’est à elle qu’il est fait allusion dans le VIe volume des
Mémoires
. Nous y lisons (page 60) comment, le jour de Noël
vie. « Si elle meurt avant moi, j’ajouterai ces lettres aux présents
Mémoires
, mais aujourd’hui elle vit encore, et toujours he
il advint de ces lettres et pourquoi elles ne furent pas ajoutées aux
Mémoires
. J’en ai retrouvé un grand nombre, quelques-unes
e si les cinquante années qui se sont écoulées étaient effacées de sa
mémoire
fidèle. Combien d’amants plus discrets et moins v
bergati, auteur, acteur et excentrique, dont il est question dans les
Mémoires
, du marquis Mosca, « homme de lettres distingué q
sanova s’y trouvait ; du procurateur Morosini, dont il parle dans ses
Mémoires
comme de son « protecteur » et l’un de ceux par q
visite chez ce dernier, à Augsbourg, en 1761, Casanova écrit dans ses
Mémoires
: « Je passais très agréablement mes soirées che
s de Pittoni, de Bono, et d’autres mentionnés en diverses parties des
Mémoires
et d’une douzaine d’autres qui n’y sont pas menti
ince de Ligne et du comte Kœnig. IV Casanova nous dit, dans ses
Mémoires
, que, pendant les dernières années de son séjour
l était à l’œuvre sur une variété extraordinaire de sujets, outre les
mémoires
et les divers livres qu’il publia au cours de ces
retourne pour jeter un regard sur sa vie passée et la revivre dans sa
mémoire
tout en narrant ce qui l’a le plus intéressé. « J
comparaître devant nous un Casanova absolument semblable à celui des
Mémoires
. En retrouvant Casanova chez lui, ce fut comme si
eurs Chapman and Hall publiaient deux volumes de passages choisis des
Mémoires
, traduits excellemment par une dame qui a préféré
Guède : « En 1899, la lecture d’articles sur un des personnages des
Mémoires
de Casanova, que je travaillais depuis nombre d’a
de Blois. Quand les Casanovistes pourront-ils lire le texte exact des
Mémoires
? Tant de bonnes volontés pourraient s’unir pour
es ? Tant de bonnes volontés pourraient s’unir pour publier enfin les
Mémoires
conformes au manuscrit que détient Herr Brockhaus
rmine par ce vers : Non donna di provincia, ma bordello ! 3. Voir
Mémoires
, V, 2.38, le récit de cette visite en Hollande et
y : les Connaissances mathématiques de Casanova, Rome, 1883. 6. Voir
Mémoires
, IX, 221 et seq.
907, p. 630-645. Ces coïncidences que nous venons d’établir entre les
Mémoires
de Casanova et certains extraits de Voltaire ne s
sa critique et jusqu’aux passages qu’il cite sont les mêmes dans les
Mémoires
de Casanova et dans le Dictionnaire philosophique
une preuve nouvelle pour la vraisemblance et la valeur historique des
Mémoires
. Voltaire voulut témoigner, par une éclatante man
es morceaux qu’il cite est précisément rapporté par Casanova dans ses
Mémoires
, avec quelques variantes dues vraisemblablement à
que et Dante firent aussi le sujet d’un entretien ; mais l’auteur des
Mémoires
ne juge pas à propos de nous rapporter les appréc
ir en la commençant. On ne peut nier, tout au moins, que l’auteur des
Mémoires
ne se donne jusqu’au bout cet air d’impartialité
. 20. Voy. Mercure de France, n° 251. 21. Article Épopée. 22.
Mémoires
, IV, 448. 23. Lettre au R. P. Bettinelli, mars 1
elli, mars 1761. 24. Lettre au R. P. Bettinelli, de mars 1761. 25.
Mémoires
, IV, 455. 26. Correspondance, 5 septembre 1760
1er mai 1761, 2 février 1762, etc. 30. Correspondance, 1761. 31.
Mémoires
, IV, 468. 32. Mémoires, IV, 463. 33. Mémoires
1762, etc. 30. Correspondance, 1761. 31. Mémoires, IV, 468. 32.
Mémoires
, IV, 463. 33. Mémoires, IV, 420. 34. Mémoires
ndance, 1761. 31. Mémoires, IV, 468. 32. Mémoires, IV, 463. 33.
Mémoires
, IV, 420. 34. Mémoires, IV, 473-473. 35. Mémo
res, IV, 468. 32. Mémoires, IV, 463. 33. Mémoires, IV, 420. 34.
Mémoires
, IV, 473-473. 35. Mémoires, IV, 466. 36. Mémo
IV, 463. 33. Mémoires, IV, 420. 34. Mémoires, IV, 473-473. 35.
Mémoires
, IV, 466. 36. Mémoires, IV, 456. 37. Ibidem.
IV, 420. 34. Mémoires, IV, 473-473. 35. Mémoires, IV, 466. 36.
Mémoires
, IV, 456. 37. Ibidem. 38. Mémoires, IV, 458.
35. Mémoires, IV, 466. 36. Mémoires, IV, 456. 37. Ibidem. 38.
Mémoires
, IV, 458. 39. Desnoireterres, Voltaire et la Soc
evant moi ! Ce que vous m’avez révélé sur les Stella-Lucente hante ma
mémoire
. L’attitude de cette femme et celle de cet homme
se que Nina lui avait murmurée à l’oreille, une nuit, lui revint à la
mémoire
: « Méfie-toi de ton amour, de son amour et de mo
Était-ce le trouble, la vieillesse ? — Il s’appelait… ah ! ma pauvre
mémoire
… il s’appelait Wells… Wells… J’achevai : — Wellse
’essor légitime de l’Hellénisme jusque dans des régions qui, de toute
mémoire
, ont été dévolues à l’influence, à la civilisatio
. » […] Tome CX, numéro 411, 1er août 1914 Le vrai texte des
Mémoires
de Casanova J. Pollio. Tome CX, numéro 411, 1e
extraordinaire, qui caractérise les diverses éditions françaises des
Mémoires
de Casanova, chacune se proclamant à tort « la se
n’ait encore songé à écrire « une histoire complète des éditions des
Mémoires
casanoviens, et l’explication des différences que
our toutes, les métamorphoses bizarres de la rédaction originelle des
Mémoires
, la diversité des textes imprimés, les hypothèses
crits français de Casanova, parmi lesquels se trouvaient les insignes
Mémoires
. Il confia leur traduction en allemand et leur «
t le projet d’en tirer une édition française, la mode étant alors aux
Mémoires
et aux « Souvenirs », authentiques ou apocryphes.
es Nobles de Dresde, un sieur Jean Laforgue, de lire le manuscrit des
Mémoires
, de le réviser, de supprimer ou d’atténuer à sa g
s fut l’œuvre du libraire Paulin. En 1832, huit volumes seulement des
Mémoires
arrangés par Laforgue avaient paru, quatre à Leip
te : les années passèrent, on était à 1836, et la suite française des
Mémoires
restait au fond du secrétaire de Frédéric-Arnold
en 1828), mais sans permettre aucune mutilation, toute la partie des
Mémoires
qui manquait à son édition, c’est-à-dire les tome
e Brockhaus fait paraître à Bruxelles les quatre derniers volumes des
Mémoires
, d’après le texte français soumis à Jean Laforgue
uelquefois ; mais combien la reproduction fac-simile du manuscrit des
Mémoires
simplifierait toutes les recherches, confirmerait
e m’empresse d’apporter deux exemples topiques. Page 1 du tome II des
Mémoires
(édition Garnier), on lit : « Le général des galè
on photographique, ou de la communication du manuscrit autographe des
Mémoires
. II On a relevé, surtout en Italie, les gra
sidérations personnelles que Laforgue a glissées entre deux pages des
Mémoires
; mais Alessandro Ademollo et Aldo Ravà, quand il
ont une responsabilité équivalente, en ce qui regarde l’original des
Mémoires
. Ademollo et Ravà sont obligés de convenir, avec
Laforgue en flagrant délit de falsification, page 450 du tome IV des
Mémoires
(édition Garnier), où, Casanova, récitant à Volta
schet, pour nous apprendre son nom, absent de toutes les éditions des
Mémoires
. Eh bien ! pour moi, et pour ceux de mes collègue
de mes collègues qui sont « du métier », il est hors de doute que ces
Mémoires
, s’ils avaient été imprimés tels quels, dans leur
agréable souvent, attachante parfois, facile toujours, la lecture des
Mémoires
, Laforgue les a fait connaître à l’Europe entière
libertés dont il usa, dont il abusa, dans son travail de révision des
Mémoires
. Cet ouvrage, insupportable dans sa rédaction pri
s, sans « le coup de peigne » de Laforgue, disons-le franchement, les
Mémoires
auraient rebuté des milliers de lecteurs, et Sain
aus de Leipzig, propriétaire depuis près d’un siècle du manuscrit des
Mémoires
, le garde jalousement dans son coffre-fort. En at
va. La flamme casanovienne aura cessé de brûler, et les amateurs de «
Mémoires
» retourneront à Saint-Simon, qui avait le don d’
ptembre 1912. 6. Le Livre, livraison de mai 1881 : Authenticité des
Mémoires
de Casanova. 7. L’écrivain-photographe-aéronaute
ung ; les sept derniers l’ont été par Aubert de Vitry, traducteur des
Mémoires
de Goethe. 9. Casanova à Corfou, trois feuillet
Charpentier, éditeur ; Paris, 1881. 11. Comment furent publiés les
Mémoires
de Casanova, article du journal Il Marzocco, de F
epuis de longues années ce que je pouvais rencontrer sur l’auteur des
Mémoires
. J’avais fait un voyage à Venise pour y copier au
dont il raconte les détails dramatiques dans un des chapitres de ses
Mémoires
. Cette évasion, qui a été l’objet de plusieurs tr
ons évidemment mensongères de l’écrivain dans d’autres parties de ses
Mémoires
. Enfin celle de l’abbé de Bucquoy, ainsi que cell
t de M. de Bragadin. En octobre 1767, on trouve cette phrase dans les
Mémoires
: Mon frère m’avait remis plusieurs lettres, je
me le temple de la libre-pensée. Casanova qui, lorsqu’il écrivait ses
Mémoires
, traite ses pratiques de sublimes bagatelles, rec
son séjour sous les Plombs, cette omission ne peut être un manque de
mémoire
de sa part. Constatant de plus que la vérité hist
nous le croire dans un autre ; ou bien il dit la vérité, et alors ses
Mémoires
ne sont pas tels qu’ils sont sortis de sa plume e
ns sa rigueur absolue, ne peut être acceptée. Il y a à faire dans les
Mémoires
deux parts qui, bien que mêlées intimement et ave
problème historique qui ne manque pas d’importance, et sur lequel les
Mémoires
jettent peu de lumière, ou plutôt une lumière dis
e connu de ses compatriotes, au point que Foscolo, à l’apparition des
Mémoires
croyait que non seulement c’était un roman, mais
la vie de l’aventurier, postérieurs à celle qu’il a décrite dans ses
Mémoires
; les autres sur son incarcération et son évasion
quelques pièces séparément. Et puisque l’abbé Fulin nous présente les
mémoires
avec leurs règlements des artisans qui ont refait
’ils existent, et que certainement ces dégâts ont été faits ; mais le
mémoire
qu’il ne présente pas, et que nous aurions désiré
e Dépêche. On y trouvera, je pense, la preuve que les personnages des
Mémoires
sont bien des personnages historiques : Casanova
ont connues par ce que nous en apprend l’aventurier lui-même dans ses
Mémoires
. La plupart sont fort intéressantes et nous offre
r, à travers ces textes jusqu’ici inédits, à repérer des passages des
Mémoires
et à élucider si les lettres d’Henriette de Schuc
cits de l’aventurier constitue un des plus extraordinaires romans des
Mémoires
, qui ne sont qu’une suite de tableaux que ni l’Ab
les délicatesses féminines d’admettre que l’auteur de ces prodigieux
Mémoires
qui ont grisé l’imagination de toutes les générat
a fait éclore sont déjà abondants, mais ceux qui se sont dévoués à sa
mémoire
sont jeunes et ardents à la servir, tel M. Aldo R
ait, s’était aperçu de ce jeu déloyal : il l’a dit et répété dans ses
Mémoires
. S’il contribua quand même à l’avènement de Victo
oire. Tome XCVI, numéro 356, 16 avril 1912 Les Éditions des
Mémoires
de Casanova et le séjour en Espagne Docteur Guè
6, 16 avril 1912, p. 708-727. I Les deux meilleures éditions des
Mémoires
sont : l’une de Rozez en 6 volumes, éditée à Brux
teur qu’il présente et que, pour une œuvre aussi intéressante que les
Mémoires
, il est à désirer de voir paraître enfin une édit
ottes et le régime républicain démocratique, époque où il rédigea les
Mémoires
. L’édition Garnier, au lieu de l’envoyer brusquem
de la citadelle de Barcelone, où il composa au crayon, avec sa seule
mémoire
, sans documents, laissant les citations en blanc
nne Mme Manzoni, femme d’un notaire public à Venise. En sorte que les
Mémoires
étaient déjà presque écrits, sinon mis en ordre,
as été écrite à Dux en Bohême, lorsque Casanova, vieux, rédigeait ses
Mémoires
, ne pouvant quitter sa place de bibliothécaire du
nt, voyageant en chaise de poste, à Béziers même, et insérée dans les
Mémoires
telle qu’elle avait été rédigée ce jour-là. On pe
n induire, s’il eût mit ce projet à exécution, un autre sort pour les
Mémoires
. Au lieu d’être offerts à un éditeur allemand, il
moments quelque hésitation chez celui qui, voulant travailler sur les
Mémoires
, désire établir un index des noms de cette foule
ieurs, des lettres, des documents, qui, mis en confrontation avec les
Mémoires
, en éclairciraient la sincérité, et fourniraient
reçut et la classa, n’ayant jamais entendu parler de Casanova ni des
Mémoires
, y avait vu ce qu’on appelle le coup du prisonnie
u son complice, s’il se présentait. M. Ponsignon, qui connaissait les
Mémoires
, partagea notre gaieté lorsqu’il eut ces pièces e
d. Tome XCVII, numéro 358, 16 mai 1912 Pourquoi la suite des
Mémoires
de Casanova n’existe pas13 (1) 315-320 Docteur
pendante pour les Casanovistes, celle de la brusque interruption des
Mémoires
à l’année 1774, c’est-à-dire la veille de sa rent
rs raisons que nous allons exposer. Il est incontestable que dans les
Mémoires
le coté licencieux tient la plus grande place, qu
. Mais il en est un second, beaucoup plus sérieux. L’intérêt vrai des
Mémoires
n’est pas dans ces récits, mais dans la peinture
n’est qu’une charge, à fond de train contre ce philosophe. — Dans ses
Mémoires
, il avoue ne l’avoir fait que par vengeance, et c
e que quelque Armand Baschet, fouillant des archives, donnerait à ses
Mémoires
une suite aussi honteuse qu’inattendue. — Peut-êt
, il passait à une autre. Il n’a eu le temps que de lire une fois les
Mémoires
. Son genre de travail ne ressemblait pas à celui
voir trouvée en épluchant avec soin cette année le dernier volume des
Mémoires
, et j’apporte des affirmations dues à Casanova lu
e mètres de haut, un texte évocateur de Thucydide vous chante dans la
mémoire
: « Les Phéniciens, en leurs établissements comme
e sais si M. Ercole Rivalta connaît un roman français, de peu louable
mémoire
consacré à cette maladie qui provient d’un débord
tions équidistantes. Nous trouvons un exemple du premier cas dans les
mémoires
d’Hélène Keller. Hélène Keller, née en 1880, deve
cteur Guède, « l’homme de France qui connaît le mieux Casanova et ses
Mémoires
61 »… … Pour M. le docteur Guède, Casanova s’est
uons pas pour quel motif, de tabler sur le texte plus que suspect des
Mémoires
édités par la maison Brockhaus, et réimprimés par
e indication de cinquante pieds imprimée dans toutes les éditions des
Mémoires
est probablement le résultat d’une erreur matérie
t que M. Guède ne s’en soit pas douté. Plus loin, citant ce texte des
Mémoires
: Ne sachant que devenir, je grimpai de rechef s
ter. § Escalade du toit du Palais Ducal (Mercure, p. 48) — Texte des
Mémoires
: À genoux et à quatre pattes, j’empoignai mon e
prend une série d’études : la valeur synthétique du transformisme, la
mémoire
biologique en énergétique, de l’origine de la nat
de dont il témoigne. Le Dr Marc Haven s’est proposé de réhabiliter la
mémoire
de Cagliostro. À cet effet, il a réuni et compuls
, erronées, commérantes qu’on a sur des artistes nés dans un temps de
mémoires
plus fréquents et d’archives mieux classées ? Au
n Casanova ; Armand Baschet n’eût pas eu à prouver l’authenticité des
Mémoires
. Pourquoi, moi-même, ai-je attendu 46 ans avant d
uriosité, quand l’idée m’en était venue dès 1848, année où je lus les
Mémoires
pour la première fois ? Quand je publiai ma trouv
ts, in « Revue de l’Université de Bruxelles », mai 1911. 54. Goethe,
Mémoires
, trad. Carlowitz, 1885, deuxième partie, p. 284.
musant comme un roman et il est dommage que Pogge n’ait pas écrit ses
mémoires
; à leur défaut, nous avons les Facéties, et c’es
poque pour duper les gens. Il reconnaît bien la valeur littéraire des
Mémoires
, mais il ne s’avise pas d’y chercher la psycholog
, les retards avec la belle juive Lia (je cite au hasard et encore de
mémoire
). C’est l’énergie amoureuse de Casanova, tant phy
hors de cela il y a deux questions qui nous intéressent : Comment les
Mémoires
sont-ils tombés entre les mains des Brockhaus ? Q
ir leur publication intégrale ? On nous dit bien que le manuscrit des
Mémoires
a été acheté en 1820 par Frédéric Arnold Brockhau
it-il quitté Dux ? Il est assez indifférent de savoir si la suite des
mémoires
a été perdue ou si elle n’a jamais été écrite. Si
asse-Temps, nous renonçons volontiers à la connaître. Mais il y a les
Mémoires
publiés. Cette publication est tronquée et il fau
riorisé les deux caractères de ces jeunes gens qu’ils restent dans ma
mémoire
avec leurs couleurs : lui tout noir et sombre ; e
la parole du pardon chuchotée par la vierge mourante lui revient à la
mémoire
et il retombe dans l’hésitation de toute sa vie.
e du grand prédicateur dominicain. Les Journaux. Bibliographie des
Mémoires
de Casanova (L’Intermédiaire, 29 août) R. de B
ace ici. Le numéro du 22 août contient une notice excellente sur les
Mémoires
de Casanova ; la voici tout entière, Casanova ay
fidèles que Stendhal : « Casanova de Seingalt. — Bibliographie de ses
Mémoires
. Voici le relevé des éditions : i° Mémoires sur
. — Bibliographie de ses Mémoires. Voici le relevé des éditions : i°
Mémoires
sur les 50 dernières années du xviiie siècle. To
n dans l’esprit de l’écrivain, et qu’on ne trouve pas dans Rozez. Les
Mémoires
ont été primitivement édités par Brockhaus. Cette
etraduite en français l’édition suivante, fort difficile à trouver :
MÉMOIRES
du vénitien J. Casanova de Seingalt Extraits de
ver : MÉMOIRES du vénitien J. Casanova de Seingalt Extraits de ses
mémoires
originaux publiés en Allemagne par G. de Schutz P
euses : i° Un avertissement de l’éditeur français. 2° Un extrait des
Mémoires
du prince de Ligne, mais très écourté et tiré du
ni dans Garnier. Arrivée au 8e vol., la publication porte ce titre :
MÉMOIRES
du vénitien J. Casanova de Seingalt Publiés en A
ubliés en Allemagne et traduits par M. Aubert de Vitry Traducteur des
Mémoires
de Gœthe, etc. PARIS Tournachon-Molin 1828 Ce
mée de 14 vol. 1825-1828, 1829. Un casanoviste qui voudrait avoir les
Mémoires
complets, devrait donc être armé de ces trois édi
armé de ces trois éditions, et alors même il n’aurait pas encore les
Mémoires
de Casanova puisque Brockhaus, avant de publier c
éro, 97, janvier 1898, p. 313-322 [318]. Je ne fais que signaler pour
mémoire
le livre d’Ugo Ojetti. Je l’ai reçu, mais le comp
nnaire du journal littéraire de Florence, je citerai, au hasard de la
mémoire
, MM. Coppée, Zola, Lemaître, Claretie, de Vogüé,
ame de Rémusat et à Bourrienne, sans même supposer que la Rémusat des
Mémoires
est démentie, par la Rémusat des Lettres, et que
sat des Mémoires est démentie, par la Rémusat des Lettres, et que les
Mémoires
de Bourrienne sont, en tout ou en partie, apocryp
leau des sociétés militaires, à citer comme une source historique les
Mémoires
… de d’Artagnan ! Je ne veux pas nier le talent de
es… Il ne fut pas moins grand que malheureux, et à ce double titre sa
mémoire
éveille une admiration profonde et un profond res
de Cavallotti renoncent à cette prétention, dans l’intérêt même de la
mémoire
qu’ils veulent honorer. Memento M. Morasso
L’idée n’était pas heureuse. Voici ce que rapporte Perrault dans ses
Mémoires
. « Les murateurs bâtirent à leur manière, deux m
ta à 5 238 690 fr. le total des trois premières ventes. Échos. Les
Mémoires
de Casanova Mercure. Tome LXVII, numéro 240, 1
ig, s’est enfin décidée à publier intégralement le texte original des
Mémoires
de Casanova. Cette édition littérale sera en même
est ici, les oreilles doivent encore lui en tinter. A-t-on maudit sa
mémoire
! l’infortuné ! lui en a-t-on fait porter assez,
urd’hui. — Vous l’avouez, du reste, avec une noble franchise dans vos
Mémoires
. — Ce défaut vous a amené parfois à faire des réc
ait un jour de publier, l’ai donnée, pensant avoir l’évasion dans les
Mémoires
, où je supposais que Casanova l’avait insérée tex
cier le soir. C’est Catarelo y Mori en Espagne, qui n’utilise pas les
Mémoires
parce qu’ils lui paraissent faux ; c’est Azevedo,
t déshonorante en ne l’évoquant point, en ne la rappelant jamais à sa
mémoire
; il l’exilait, autant qu’il était possible, de l
e-Paul), et, d’autre part, des documents diplomatiques extraits des «
Mémoires
» du comte de Bray. Les Revues. L’Olivier : d
le voient d’un mauvais œil, chez nous les gens du monde accouplent sa
mémoire
à celle du marquis de Sade. M. Apollinaire appren
en français aux éditions du Mercure, il mesura son angoisse, dans les
Mémoires
d’Albert Sarcori, l’Anima, l’Âme, aperçu très émo
ès la tragédie douloureuse dont le souvenir est resté dans toutes les
mémoires
. Ils ont été composés en prison à Florence et ens
Ravà nous apporte une importante contribution à l’identification des
Mémoires
: il a découvert à Dux les lettres de femmes qui
ussi très importantes comme document pour corriger la chronologie des
Mémoires
tels que nous les possédons, ont surtout l’intérê
cable parle billet de rupture que Casanova a publié lui-même dans ses
Mémoires
. Mais ce billet, on est tenté d’accuser Casanova
Casanova, si cette note de police est exacte, aurait tenté dans ses
Mémoires
d’effacer le souvenir de cette liaison avec la mè
âme : j’emporte, Lumière qui, tout bas, à bien chanter, m’exhorte, La
mémoire
des yeux rencontrés, de tels yeux, Qu’il semble q
es augmentant de nombreux documents nouveaux, à la grande édition des
Mémoires
, entreprise par l’éditeur Georg Müller, de Munich
s’imagineront retrouver dans ces lettres une sorte de complément des
Mémoires
seront profondément désillusionnés. On y chercher
les yeux… » Que sont devenues les épîtres enflammées que l’auteur des
Mémoires
dit lui avoir été adressées ? Les a-t-il brûlées
w, septembre 1902). Or, il s’agit d’une autre Henriette que celle des
Mémoires
, de Henriette de Schnuckmann, qui ne rencontra Ca
le, il a identifié Caton M., dont il est question au chapitre iii des
Mémoires
et dont il publie des lettres datées de Vienne en
nventées à plaisir en apparence, pour faire suspecter la véracité des
Mémoires
. Le labeur critique auquel s’est livré M. Gaston
’on compte trop d’italianisants, parmi nos jeunes poètes, pour que sa
mémoire
risque de sombrer dans l’oubli. Le mariage, qui d
e du corps de ballet : chose qui n’advint certes jamais à l’Opéra, de
mémoire
d’abonné septuagénaire. Bref, tout cela formait,
. Tome CVI, numéro 393, 1er novembre 1913 Les Journaux. Les
Mémoires
de Casanova et Stendhal (l’Intermédiaire des Cher
p. 166-170 [168-169]. On persiste à vouloir attribuer à Stendhal les
Mémoires
de Casanova. Il semble singulier, écrit M. Octave
vrir des textes, y rechercher des éclaircissements de personnages des
Mémoires
ou y discuter de la curieuse diversité de textes
ne sont qu’un accident grand et cruel. Amour a son existence dans la
mémoire
où gît l’impression de la chose aimée, comme la l
cette cité bénie : il en a entendu chanter les carillons, et c’est en
mémoire
d’elle qu’il a écrit un de ses plus délicieux poè
: Je croyais réglée depuis longtemps la question de publication des
Mémoires
de Casanova, lorsque, tout récemment, dans le tom
transcris fidèlement : « Casanova de Steingalt (1725-1803) de Venise,
Mémoires
publiés en français en 1726-1832, par Henry Beyle
l. gr. in-18) — pp. 100 et 180 de la 1re série, cite des passages des
Mémoires
sans aucune allusion à la part qu’il aurait prise
uppose, si le fait était exact. Qu’en pensent les Stendhaliens ? Les
Mémoires
de Casanova furent, dans le temps, attribués à Be
heure. — Cependant, en rentrant chez moi, une ultime résistance de ma
mémoire
d’avant M. Doumic me fit atteindre Elle et lui, p
Intermédiaire à la question Stendhal et Casanova : L’attribution des
Mémoires
du célèbre aventurier, à Stendhal, est un « canar
ractère, les idées et le style se retrouvent, à chaque page, dans les
Mémoires
imprimés ( !) ». Voilà l’origine du « canard ». C
e tient à être renseigné, d’une façon précise, sur l’authenticité des
Mémoires
de Casanova, je l’engage à se procurer, et au bes
ssion de l’hommage qu’en ami fidèle de l’Histoire nous devons à cette
mémoire
. Cet hommage n’en est pas moins sincère, et quant
e église anglaise que ses amis, à sa mort, élevèrent un monument à sa
mémoire
. Pourtant, c’est en Italie que sa célébrité a sur
chez nos ennemis, commencent à l’être en France. Il n’est pas que la
mémoire
de Napoléon qui peut y gagner. Lettow-Vorbeck, un
er de longs extraits d’une œuvre posthume du col. Stoffel, de célèbre
mémoire
, sur la campagne de 1815. Stoffel avait fait de c
admirablement affirmée, écrit maintenant un recueil de nouvelles, Nos
Mémoires
, où la vie mystérieusement passionnée de la Ligur
érature italienne compte parmi ses meilleurs. Et les deux parties des
Mémoires
contiennent vraiment des études d’âme, dans des f
extérieur) au grand labeur de notre expression mystique de demain. Le
mémoire
présenté par M. Troilo, un des plus remarquables
a dit quelque part d’Avignon que c’était la ville des jolies femmes (
Mémoires
d’un touriste, Paris, 1838, I, p. 314). 28. Arch
urs après les événements, consigne des détails que la fraîcheur de la
mémoire
de son auteur pouvait permettre de fixer avec pré
e en alléguant l’autorité ne fait pas preuve de génie, mais plutôt de
mémoire
(188). »« Mes preuves sont nées de la simple expé
es jours qui s’exhalent et passent inutilement et sans laisser aucune
mémoire
dans l’esprit des mortels. Donc, que notre miséra
ient à quelque tempérance. Il trouve quatre puissances dans l’âme : «
mémoire
et intellect qui constituent la raison ; irascibi
au sens commun et celui-ci, en qualité de juge, propose le tout à la
mémoire
dans laquelle, selon sa puissance, tout est plus
Casanova : On est surpris d’entendre parler d’une clef, à propos des
Mémoires
du surprenant aventurier vénitien qui, sauf pour
le font estimer malgré tout. Les études sérieuses sur Casanova et ses
Mémoires
se sont multipliées depuis une vingtaine d’années
t à Venise, fut incité à travailler la question de l’authenticité des
Mémoires
par une note interrogative parue précisément dans
, sceptique, croyait pouvoir attribuer à Stendhal la paternité de ces
Mémoires
. Le brave bibliophile Jacob fut fort déçu dans se
e jour plus ou moins proche, la publication du Manuscrit original des
Mémoires
, qui appartient à la Maison d’Édition Brockhaus,
ciel d’azur ses ailes de vermeil ; Le tumulte passé revit dans ma
mémoire
; La place de Saint-Marc éclate en plein soleil,
n le publiant. Il contient un certain nombre de concordances avec les
Mémoires
de Thiébault, de Marmont, etc., ce qu’il est touj
étudié, décrit et chanté l’Italie ont eu des monuments rappelant leur
mémoire
, ou des plaques commémoratives indiquant les mais
XIV, numéro 268, 16 août 1908, p. 685-690 [687‑688]. On sait que les
Mémoires
de Benvenuto Cellini ont été traduits en français
si c’est dans cette traduction, — et publié à part la portion de ces
Mémoires
qui s’étend de 1540 à 1545, et qui comprend le sé
texte sous les rapports historique et archéologique. Cette partie des
Mémoires
de Cellini est, en effet, « un document de premie
n vrai document d’histoire parisienne que l’éditeur a su donner à ces
Mémoires
ainsi présentés. À côté, cet écrit donne une idée
e nécessairement fort diminuer la valeur proprement historique de ces
Mémoires
, il se dégage de ceux-ci une vérité d’impression
hafberg, en Engadine. Et tandis que l’Autriche honore de son mieux la
mémoire
de Segantini, l’Italie s’en désintéresse complète
était dans le genre de Duclos et n’aurait pas fait tache (?) dans les
mémoires
du comte de ***. Voyez ce que c’est que les école
s du Po : Da Comacchio ad Argenta. La littérature judiciaire : Les
Mémoires
de Linda Marri. Roux et Viarengo. Turin La lit
Turin La littérature judiciaire s’enrichit d’un fort volume : Les
Mémoires
de Linda Murri. La dramatique amoureuse se révèle
e un peu trop pathétique et femme experte en toutes les douleurs. Les
mémoires
nous font méditer encore sur la morale bourgeoise
le souvenir du texte y attaché jadis, fût périmée absolument dans les
mémoires
. L’observation de M. Brenet peut donc paraître, à
me très vibrante, toutes les significations tragiques du sol et de la
mémoire
de ses ancêtres, M. Antonio Beltramelli conçoit u
15 novembre 1906 Histoire. Comtesse Bonmartini : Non Coupable !
Mémoires
de Linda Murri, publiés par L. Di San Giusto, tra
6, 15 novembre 1906, p. 277-283 [281-282] L’on a présente encore à la
mémoire
la cause célèbre qui passionna l’Italie, ces dern
de prison. Cela seul donne une idée de l’incohérence du verdict. Des
mémoires
que la malheureuse comtesse Bonmartini (récemment
28. Man. inédit de la collection Chaper. 29. Man. inéd. 30. « À la
Mémoire
éternelle de Milady Alexandra Z. Amour jusque dan
ue lui fournissent ses lectures, tous les souvenirs que conservait sa
mémoire
précise. » C’est la manière de Montaigne : « Elle
ajouté les dates des événements auxquels fait allusion l’auteur de ce
mémoire
. Je ne discute pas ses préférences. Quant à ses i
don de sa vie, puisque le destin le fait immortel, et dans toutes nos
mémoires
chante le vers de Baudelaire sur la mort qui cons
in-18, 3 fr. 50, « Mercure de France » En rapprochant le texte des
Mémoires
de Casanova d’autres documents connus, historique
ment rapportées par Casanova. Mais, comme on le sait, le texte de ces
Mémoires
est tronqué : le manuscrit original n’a pas été p
si précieuse ». Suit l’histoire attristante des diverses éditions des
Mémoires
. Les éditions que nous possédons en France sont o
ynial, Si, comme nous espérons l’avoir établi, on peut attribuer aux
Mémoires
de Casanova une valeur documentaire réelle, si on
urs caractères me frappèrent à tel point que je les ai reproduites de
mémoire
… Le vieux prêtre est mon ami… le moine et le jeun
age en Italie, plus conforme à sa vraie pensée : « J’ai gravé dans ma
mémoire
une image singulière et riche que j’emporte avec
amusés de l’eunuque… Sans répit, ces scènes hideuses sortaient de ma
mémoire
… sans diminuer mon amour ! Je fouillai les locali
’aucun sacrifice funèbre crient vers ceux qui les ont effacés de leur
mémoire
; et les trois femmes qui sont évoquées dans les
té reconnus dans l’Île Sacrée, à l’embouchure du Tibre. L’un est à la
mémoire
d’un inconnu, le second est dédié à l’empereur Va
ministration. Laissons-les faire. Les Revues. La Revue de Paris :
mémoires
de l’adjudant Lecoq des grenadiers de la garde [e
dance échangée entre le comte Max de Lamberg, le spirituel auteur des
Mémoires
d’un Mondain, et un écrivain allemand de Bohême,
uelques extraits dont quelques-uns sont relatifs à la publication des
Mémoires
de l’aventurier vénitien qui cherchait vainement
qui cherchait vainement un éditeur. Que seraient devenus les célèbres
Mémoires
s’ils avaient été publiés en pleine Révolution et
ar l’Illustration du 20 mai 1911, p. 404. 15. Par Fr. Rabut dans les
Mémoires
de la Société Savoisienne d’histoire et d’archéol
les plus beaux noms des écrivains modernes : je cite, au hasard de la
mémoire
, d’Annunzio, de Gourmont, Rudolph Lothar, Mme Par
plusieurs talents qui lui sont dévoués et que je cite au hasard de la
mémoire
: Giacosa, d’Annunzio, Butti, Bracco, Rovetta, Co
mais il se borne à rectifier plusieurs exagérations et à absoudre la
mémoire
de l’Empereur des crimes qu’il n’a pas commis, ca
domaine à lui, la Renaissance italienne est devenue sa chose propre :
mémoires
et volumes se succèdent, tantôt savants, tantôt a
éniale. Il a écrit que le Poète jette dans la masse incandescente les
mémoires
et les gloires, le passé et l’avenir de ses pères
Giosuè Carducci a jeté dans le creuset de son âme les gloires et les
mémoires
de sa patrie ; il y a jeté aussi la douleur de la
i l’on aime mieux, treize nouvelles ou treize chapitres d’un livre de
mémoires
psychopathologiques. Les dérivations de ces écrit
Molière parmi leurs prédécesseurs. Mme Rachilde avait probablement en
mémoire
les fantômes de Banco et du roi de Danemark lorsq
omme près de cesser, voulait se définir, pour qu’il restât d elle une
mémoire
éternelle, en une glorieuse, en une impérissable
vrier 1917, p. 511-516. J’ai relu récemment un volume intitulé Petits
Mémoires
de l’Opéra par Charles de Boigne. La lecture en e
’Italie) : c’est un exposé des circonstances qui sont dans toutes les
mémoires
, et qui se peuvent résumer en trois noms géograph
guerre », qu’il publie dans la Revue des nations latines, analyse un
mémoire
lu à l’Académie des sciences morales et politique
sophe, qui a commencé sa carrière comme érudit, réimprime ses anciens
mémoires
sur les rapports intellectuels entre les deux pén
entir ni l’ennui ni la crainte de la mort, tant que je le garde en ma
mémoire
. Si mes yeux avaient aussi leur part, pensez en q
vous auriez dû, et vous devez penser que celui qui aime a très grande
mémoire
et peut autant oublier les choses qu’il aime arde
ssions finissent par jouer en Italie le même rôle que chez nous les «
mémoires
» des combattants. On comprend d’après cela qu’il
stori qui, ayant constaté que Michel-Ange avait complètement perdu la
mémoire
, demanda au Pape de faire dresser une liste compl
esse. ………………………………… Ô pères ! vous fûtes vous-mêmes, Bénie soit votre
Mémoire
! À nous, fils, maintenant Notre vie : nous voulo
être prudente, généreuse et affable. La prudence se forme d’une bonne
mémoire
des choses vues, d’une bonne connaissance des pré
endre le français, puis également l’allemand. Dante, que je connais à
mémoire
, je l’ai relégué sous le lit. — En outre, mais je
imagée et colorée, mais le poète qui a de l’imagination a aussi de la
mémoire
. En décrivant un vol de corbeaux : Con l’ali ape
rré y voulut humilier une direction déchue d’effarante et toulousaine
mémoire
, il réussit sans peine à ce soin superflu. La mis
ue tout cela rentre par une oreille et sorte par l’autre, sans que la
mémoire
puisse en retenir quelque bribe, ni l’attention y
ont l’Art sourit. Ce qui est resté le plus profondément gravé dans ma
mémoire
, n’est-ce pas le Bon Dieu flagellé, tombé dans l’
us d’histoire de France, etc., — il faut être reconnaissant envers la
mémoire
de feu M. Hayem, qui a ruiné définitivement ces l
ur son argent à la petite Française. Joli souvenir à épingler dans sa
mémoire
entre une excursion à Chioggia et une vue de la S
clame l’épopée ; c’est aussi la flèche qui se plante dans toutes les
mémoires
, et c’est la phrase musicale qui chante sur toute
nt librement et le rythme toujours pareil de ces cascatelles berce la
mémoire
. Mais, tandis qu’il s’en va, le voyageur les oubl
temps présent m’en a empêché31. Il brodait donc encore ici — mais sa
mémoire
était si oublieuse ! — lorsqu’il racontait dans l
en particulier l’aventure africaine. L’auteur paraît s’être servi des
mémoires
du général Baratieri et l’impression qui résulte
r plus d’importance qu’elles ont à ces pirateries involontaires de la
mémoire
, car, depuis que le monde est monde, j’entends de
en sera-t-on charmé » — Zanoni. a. [NdE] Hugues Rebell, La Nichina :
mémoires
inédits de Lorenzo Vendramin, Paris, Société du M
ris Id. Verrières Id. 10 avril Fontainebleau Id. Itinéraire de
Mémoires
d’un Touriste 11 — Montargis Id. Id. 12 — Ne
des. Précisément on vient de décider qu’un monument serait élevé à la
mémoire
des frères Cairoli. Pour contre-projet, Rosso pré
rtunes, cela ne témoigne pas seulement d’une lecture attentive, d’une
mémoire
complaisante et d’une méthode de travail un peu r
es superbes ouvrages de M. Pierre Gauthiez, sont, si nous avons bonne
mémoire
, celles que M. F. T. Perrens a réunies, en sept v
peuple dont sa « voix blanche » faisait les délices voulut honorer sa
mémoire
et l’on demanda à Baratta, qui appartenait au par
tard d’ailleurs, le Club parlementaire yougoslave, notamment dans le
mémoire
qu’il a adressé aux délégués de Brest-Litovsk, a
un beau sonnet dans la manière de Maynard, au t. I, p. 70-71, de ses
Mémoires
, sonnet sur la mort de Mme de Nevers (1618), et q
arrière (ils avaient dépassé les 70 ans), il faut rendre hommage à la
mémoire
des jeunes qui ont sacrifié à la patrie toutes le
es Nations latines consacrait un article, de M. Amedeo Mazzotti, à la
mémoire
d’un illustre enfant de la Romagne, tombé glorieu
▲