yrisme quiimpatiente et fatigue. » M. d’Annunzio est donc un écrivain
lyrique
et d’un lyrisme assez sensible, puisque M. Capuan
tative de poème, où la vie nous apparaît doucement ou douloureusement
lyrique
, synthétisée par un épisode caractéristique. Un h
ennemis. Ce poème devait être, selon l’auteur lui-même, une « satire
lyrique
» des mœurs contemporaines ; un tel genre de poèm
science et dans la connaissance moderne de l’être, quelque mouvement
lyrique
nouveau, quelque affirmation rythmée de la pensée
ques et géorgiques, qui résument et révèlent dans une grande noblesse
lyrique
les trois cycles de notre âme occidentale classiq
ccupations de la pensée de M. Cena ou de M. Chiesa, ni le classicisme
lyrique
de M. F. Pastonchi, de M. Francesco Gaeta ou de M
cilien, de l’élite ou du peuple, connaît son nom, son âme, sa volonté
lyrique
et sa fougue indomptable. Et tout Sicilien mettra
soubresauts guerriers et révolutionnaires du xixe siècle. La manière
lyrique
de Rapisardi présente sans doute quelques attitud
e la vision peut être dans la profondeur et dans la subtilité du vrai
lyrique
, qui s’observe et se découvre en ce qu’il y a en
qui voulurent l’humaniser en donnant une pince prépondérante au « moi
lyrique
», sans renoncer pourtant à l’ambiance collective
tous les grands poètes est la puissance de la vision, la multiplicité
lyrique
des groupements des êtres, des siècles et des mon
de la haine, au même degré que le génie, ou plus justement le talent,
lyrique
. Fort de sa volonté merveilleuse de libération pr
rosodie des deux langues néo-romanes. Carducci renouvela l’expression
lyrique
italienne, renouvela la prose, enrichit la langue
, un fouet à la main, et les Odes Barbares, où il reprenait la vision
lyrique
et épique du monde et de Rome, là où les Romains
tion, créait des modelés connus. Et malgré la brièveté de son souffle
lyrique
, Carducci enveloppait étroitement, avec ses phras
s », encore une fois, comme au Moyen-Âge, étaient à Bologne, et « les
lyriques
» en Sicile. Mais Rapisardi n’avait pas autour de
ait avoir qu’une existence virtuelle : c’était un thème à invocations
lyriques
, un beau motif de poème, non une réalité. Le Peup
lli. Il est curieux de constater que le jeune auteur, portraitiste et
lyrique
amoureux d’un minuscule milieu citadin, vienne no
ustré, dont les six chapitres renferment un programme aussi fortement
lyrique
que scientifique, consacré : aux générations alte
l’humanité d’une époque qui se tourne vers les plus larges synthèses
lyriques
de ses génies. Et l’œuvre de Pascoli est un feu d
ut qu’une bouche qui chante. Et il s’est trouvé que, par sa puissance
lyrique
digne des plus belles époques de la poésie, son c
poèmes latins de ce lauréat des concours d’Amsterdam, ses évocations
lyriques
, ses interprétations toutes modernes des héros he
. Professeur très « bourgeois », Giovanni Pascoli est le plus grand «
lyrique
», dans le sens tout subjectif attaché à ce mot,
éclaration de guerre ! Magnifique, à vrai dire, de verve et d’envolée
lyrique
. M. Marinetti est antiromantique comme M. Seilliè
mans de l’écrivain italien, est un piètre« transpositeur » de rythmes
lyriques
. On l’avait déjà remarqué pour la Fille de Jorio,
l’avait déjà remarqué pour la Fille de Jorio, dont toute la noblesse
lyrique
et rythmique a disparu dans sa transposition fran
e, c’est-à-dire toute la psychologie. Il convient d’avoir l’obsession
lyrique
de la matière et de donner la pesanteur et l’odeu
rtiste ;on n’a d’ailleurs aucun désir de se soustraire à cette vision
lyrique
et douce. « Admirable vie, dit M. Pichon, unique
« attitudes » encore, dédiées au dieu Mars. Et toutes ces invocations
lyriques
actuelles à l’Eros nouveau et formidable qui poss
alité définitive. Pendant vingt ans, Verdi régna ainsi sur les scènes
lyriques
sans cesser de produire un instant, mais insensib
Trouvère est une cime dans l’œuvre de Verdi et sans doute dans l’art
lyrique
tout entier. Verdi ne l’a pas dépassée. Cet art b
Lucien (de luce, lumière) Foudre, est du tout premier ordre. Le thème
lyrique
développé dans les sept parties de l’œuvre est co
erculéen de l’infini, contre le silence, contre les ténèbres… » Cette
lyrique
et philosophique définition de la vie, puissante
mains veulent forger pendant que la poitrine s’essouffle. Mais l’âme
lyrique
que les poèmes respirent se veut géante, et elle
lève à une conception en tous points admirable de l’unité de l’esprit
lyrique
et de la matière elle-même. J’entends un bourdon
er, l’heure venue, l’esprit de cette petite et volontaire phalange de
lyriques
amoureux de toutes énergies. Oreste Raule : Te
ont méticuleusement dantesques. C’est, comme reconstitution de l’état
lyrique
médiéval, absolument parfait. Une affirmation thé
chait dans un fiévreux et grandiloquent retour au passé sa conscience
lyrique
nationale. La tendance n’était pas toute neuve. L
été séduits, ou fatalement poussés, par le même rêve. Comme eux, les
lyriques
de l’Italie, devenue nation subissaient, en les a
quelque part dans le monde ou sur le monde, rayonnent aussi sur l’âme
lyrique
italienne. La conception même de la nation, chez
es pour cette « Rive-Gauche », qui est le foyer de toute la tradition
lyrique
et des forces esthétiques innovatrices. 1.
’extérieures et par suite moins musicales au sens habituel des œuvres
lyriques
; c’est aussi que l’inspiration manque certaineme
e mesure, démontrer que le leitmotif n’est pas indispensable au drame
lyrique
. De ce que Wagner en a fait la pierre angulaire d
t su chanter comme il disait. C’est en vérité cela, l’acteur du drame
lyrique
, et je voudrais que M. Maurel, qui incarne si ais
t on n’a pas dépassé ni atteint sa puissance d’émotion et d’évocation
lyrique
; il demeure comme le styliste-type de la langue
Conti, est un livre où frémit un véritable printemps des aspirations
lyriques
d’une race, et qui semble écrit par un enfant phé
ardonner en devenant l’éducateur au moins intermittent que nos scènes
lyriques
subventionnées ont à coup sûr le devoir d’être et
me naissant, outre l’éclosion des études romanistes après l’avènement
lyrique
du romantisme, d’autres raisons plus profondes on
n particulier en Sicile. Les seigneurs mêmes, à côté des déclamations
lyriques
des joculatorès, des jongleurs profanes et mystiq
s d’expression particuliers à l’Italie, dans les rythmes de sa langue
lyrique
. Dernièrement M. L. I. Benedetto, et maintenant M
st un des plus curieux exemples de transposition plus que d’imitation
lyrique
. Non seulement M. Pascoli a voulu rendre hommage
ne fut pas seulement un poète, un très grand poète, dont les accents
lyriques
se retrouvent étrangement dans la Divine Comédie,
é dans sa mort l’être aimé. Le fait-divers a pris une signification «
lyrique
», dans le sens que Baudelaire accordait à ce mot
ir l’attention des lettrés dignes de ce nom. Au surplus, l’expression
lyrique
de Vittoria Aganoor-Pompily était toujours très n
surèrent la popularité : la Légende éternelle (la Leggenda eterna) et
Lyriques
nouvelles (Nuove Liriche). Parfois, un élan éperd
bruyante ou hostile, seulement pleine de sa suffisance. L’atmosphère
lyrique
de l’Italie est troublée ou bouleversée par l’âpr
à sa stylisation, à un état définitif de synthèse, de cristallisation
lyrique
, de même que la forme et la couleur des choses ch
rale était déjà celle du Demetrios d’Aphrodite après celle des petits
lyriques
grecs et celle de Molière. On devine sous quel to
simples « traductions ». Cette sorte de contact direct avec le passé
lyrique
de la race, on peut le remarquer aussi pour la ch
de restaurer sous la norme d’un ordre inviolable la fureur divine des
lyriques
primitifs. Mais il n’aurait pas été frappé par la
de genre ou de tendance. En même temps qu’il libérait ainsi notre art
lyrique
et provoquait l’originalité des créateurs, il app
profondément expressive, plus dramatisée ; mais toujours elle reste «
lyrique
». Aussi cette mélodie n’est-elle pas étroitement
auxquelles se complaît son talent descriptif, ne sont qu’un intermède
lyrique
; dans leurs promenades sur l’Aventin ou à la Tri
est plus développé, et quelques détails où se complaît la description
lyrique
du poète ont été ajoutés. Dans la physiologie de
oète, M. Adolfo de Bosis fait entendre la voix triste et noble de ses
lyriques
: Amori ac silentio sacrum. L’Italie qui en garde
ient d’envoyer à ses amis le dernier volume du Convito, ce recueil de
lyriques
Amori ac Silentio sacrum, dédié à ses amis et à l
nom ni consistance. L’art de M. de Bosis est fait de ces deux forces
lyriques
: d’une grande vague sensation de souffrance et d
sans merci, aux vicissitudes disparues de la vie des hommes. Toute sa
lyrique
est faite de tristesse, de doute, de regret. Mais
révèle constamment par une « interrogation ». Presque toujours l’élan
lyrique
est brisé par une interrogation, et il se renouve
M. Paolo Savj-Lopez publie dans la même collection quelques études de
lyrique
ancienne, sous le titre Trovatori e Poeti. Édi
alpin, et on hésite à prévenir celui qui s’introduit ainsi dans l’art
lyrique
d’abandonner au seuil toute espérance d’avoir que
qu’on avait déjà remarqué en France comme promesses d’un tempérament
lyrique
puissant, était surtout animé, dans la création d
du vieux, mais elle eut son rôle important dans l’évolution de notre
lyrique
. Elle fit connaître tant bien que mal les meilleu
lange innombrable des fabricants de vers, qui possède une sensibilité
lyrique
tout à fait personnelle qui le distingue de tout
os hôtes passagers. Il semble, d’une façon générale, que les artistes
lyriques
étrangers jouent avec plus de naturel que les nôt
tout, sont rares, et qu’une « réforme » des us et coutumes du théâtre
lyrique
exige impérieusement, tout comme une réforme poli
e l’illustre et fécond librettiste Metastasio, « la question du drame
lyrique
n’a laissé indifférent aucun des grands musiciens
résente souvent comme le principal obstacle à rétablissement du drame
lyrique
moderne parce qu’il fut en opposition avec Gluck,
ne des œuvres de ce dernier, en 1755, exposait ses idées sur le drame
lyrique
, il faut donner parole au comte Algarotti. Ce gra
(clamorosa), mais d’expression nulle ». Quinault, dont les tragédies
lyriques
, mises en musique par Lulli, balançaient encore a
endiquer sa part de la « révolution » qui avait transformé le théâtre
lyrique
en Europe. § Quant à Gaud Lebland, bailli du Roul
plaisantent assez spirituellement la Lettre du bailli. De la scène
lyrique
Quinault n’est plus le roi. Lisez ma Poétique, Vo
asthénies intellectuelles et morales, qu’ils soient les bienvenus ces
lyriques
assagis, néo-romantiques, si vous le voulez, mais
urice Magre, l’auteur de l’Or, seconde M. Bour, M. Louis Payen, poète
lyrique
, organise des récitations poétiques hebdomadaires
t qui grimpe Sur les monts azurés des temps qui vont venir… Un poète
lyrique
de cette sorte, c’est-à-dire épris des réalités,
ant qu’une refonte des genres littéraires, le triomphe de l’émotivité
lyrique
et l’expansion de l’individualisme contemporain,
t une langue d’images et quoique hors de toute convention, une langue
lyrique
, passionnée, vivante. M. Joachim Gasquet, qui ava
sa réputation. Musique. Théâtre Sarah-Bernhardt : Siberia, drame
lyrique
en trois actes de MM. Illica et Umberto Giordano
nne, s’était nourri comme lui la moelle des poètes anglais et du plus
lyrique
de tous, d’Ossian, qu’il avait célébré l’année mê
trouve même qu’avec ses nobles proportions, ses élans, son mouvement
lyrique
et le souffle extraordinaire qui y circule d’un b
tionnelle des Italiens, ne bouleverse pas leur conception de la scène
lyrique
, et, demeurant foncièrement mélodique, charme leu
asme qu’il dédia à Manzoni. Mais quoiqu’elle soit d’un beau mouvement
lyrique
et qu’elle contienne quelques beaux vers, elle es
ressé cette harmonie en 1829 à Manzoni. Je venais de lire ses poésies
lyriques
où le grand poète éclate tout entier. » Il aurait
eux, et ainsi tour à tour du pathétique au terrible et du terrible au
lyrique
jusqu’à la fin qui se présente nettement à mon es
ivain : je trouve qu’après tout il faut lire ce petit recueil de vers
lyriques
; ça ne pourra que faire aimer davantage les roma
esure, du modus in rebus, qui est absolument rare aujourd’hui ; et sa
lyrique
se tient à l’écart des raffinements exagérés auss
ner des leçons de style. Mais cette composition régulière et ce style
lyrique
conviennent-ils à des personnages aussi complexes
eurs et des parfums : et il y a dans la Ville morte quelques couplets
lyriques
sur les oranges, les myrtes, et aussi sur l’eau,
va disparaître. Musique. Opéra-Comique : La Vie de Bohème, drame
lyrique
de MM. Giacosa et Illica, musique de M. G. Puccin
e formelles, extérieures et décoratives, à la manière des exaltations
lyriques
de l’aviation dans le dernier roman de M. d’Annun
est touchant par la fraîcheur, sinon par la profondeur, de la volonté
lyrique
qui l’anime. Un concours de romans L’Italie
pleur réelle d’un Pascoli ou d’un d’Annunzio. Mais les manifestations
lyriques
de la littérature italienne les plus récentes, po
rattachant par là à toute la tradition méditerranéenne de l’éloquence
lyrique
, amarra fortement le vaisseau romantique le long
oureux, érudit, et touffu, et quelquefois, par volonté ou par hasard,
lyrique
aussi. La partie essentielle, la plus importante,
plutôt appartenir à l’autre catégorie des jeunes poètes italiens, les
lyriques
néoromantiques, à la prosodie vers-libriste, qui
sie, aux organismes surchargés de la vie contemporaine, l’abstraction
lyrique
de quelques valeurs mécaniques toutes modernes, l
ent, chez les uns et chez les autres, admirablement asservis à l’élan
lyrique
, deux thèmes d’énergie, l’un charnel et l’autre p
n cœur aimant par les trépidations d’un moteur puissant. Et l’énergie
lyrique
de ces poètes est telle que leurs poèmes sont éne
omantique Manzoni, qui fut un poète, ou bien de l’admirable pédagogue
lyrique
néoclassique Carducci, qui fut poète à peine et a
aru à Paris en 1904. On sait que la vigueur et l’élan de ces « poèmes
lyriques
» signalèrent le jeune poète à la double attentio
L’autre est celle, néoclassique, qui revoit la vie comme la tradition
lyrique
le veut. La prosodie des premiers poètes est libr
oloso re… se rattache directement à la prosodie et à la sensibilité
lyrique
classique. Et si les poètes de l’énergie présente
t point d’étaler non pas des lieux-communs, mais toute une conception
lyrique
de sentiment et d’expression, déjà connue et clas
ar sa violence orgueilleuse, aux créatures de d’Annunzio ; la manière
lyrique
du dialogue, souvent même l’allure rythmique et i
’essor tant attendu de l’esprit théâtral italien vers une renaissance
lyrique
ne s’arrêtera certes pas là, désormais. C’est bie
ans une vue d’ensemble aussi vaste que profonde, la vision de l’œuvre
lyrique
accompli par la femme italienne, depuis les élans
des « Orti Oricellari », mais au milieu de la société même, épique et
lyrique
, violente et ordonnée, sanguinaire et amoureuse,
té que la poésie italienne n’avait plus connue après l’épanouissement
lyrique
de Gabriel d’Annunzio. Le « moi lyrique » entend
connue après l’épanouissement lyrique de Gabriel d’Annunzio. Le « moi
lyrique
» entend les eaux, toutes les eaux de la terre, c
moi… Et le poète révèle à son tour le mystère que son vibrant « moi
lyrique
» put saisir. Pourquoi ce ne fut-il qu’un insta
nement de son art fut certes plus beau et plus fécond, en un mot plus
lyrique
que celui de son maître. Cependant, l’œuvre de Ca
it la poésie dans ses domaines. Et après avoir tenté la transposition
lyrique
des gestes révolutionnaires italiens du xixe siè
enne. Et son poème, si exubérant de beauté et aussi de graves défauts
lyriques
, fera lentement un grand bien aux poètes italiens
te nouveau chante aussi pour deux peuples l’éternité de leur identité
lyrique
. Qu’importe si le souffle manque souvent à ce poè
que originaire, et si des tentatives sont faites pour montrer l’unité
lyrique
profonde des manifestations musicales des peuples
e un Garibaldi de Rodin, et le superbe talent méridional — martial et
lyrique
— d’Émile Bourdelle, si magnifiquement déployé da
it livre, et la volonté panique qui régit le mouvement de cette prose
lyrique
, expose sans profondeur, mais avec beaucoup de do
ranges et faciles, le poète semble donner l’explication de son énigme
lyrique
, la clé du songe qui lui fit écrire tous ces poèm
é, de force et de couleur qu’il faut espérer voir reprendre. Elle est
lyrique
et belle. Lettres allemandes Henri Albert.
e factice. Elle ne sépare pas deux esthétiques, mais deux expressions
lyriques
et, encore plus, deux noms. Pascoli n’est pas seu
sions sont plutôt des attitudes journalistiques, que des orientations
lyriques
. Dans la quantité assez considérable de la produc
jolie, fort généreuse surtout, ce qui ne veut pas dire forcément très
lyrique
. Mais le développement en est faible, forcé, peu
rsonnel, noble et touchant, dans toute la force de son épanouissement
lyrique
, révèle le poète que la jeune littérature italien
ature-mère provençale et la littérature italienne à peine née. L’élan
lyrique
de M. Buzzi est puissant et beau. J’ignore l’atti
sez libre non plus pour abandonner l’insignifiante et vaine tradition
lyrique
de « l’éternité de Rome ». Mais il sait sourire d
te poésie en quelque sorte, ou civique, qu’affectionnaient les grands
lyriques
de l’antiquité. Elle est d’une beauté savante et
rôle qu’il jouait devant les hommes, et avec un étonnement tendrement
lyrique
se retrouve devant la nature, et devant les senti
rement, par une vision de la vie, c’est-à-dire par une généralisation
lyrique
d’un complexe de faits. Cette généralisation élèv
de ce qu’on a nommé « la pourriture impériale », époque de notre art
lyrique
et de notre société parisienne à laquelle Wagner
, apparut nettement le métier de librettiste, commença sur nos scènes
lyriques
le règne de ces mercantis cyniques et roublards,
a guerre, qu’il appelait de toute son âme à la fois pantalonnesque et
lyrique
. Comme on ne peut assigner aux facteurs anthropo
ez nous la routine des pseudo-fonctionnaires que notre première scène
lyrique
hospitalise. Ensuite, il n’est guère niable qu’il
me suis toujours émerveillé, je l’avoue, que maintes de nos vedettes
lyriques
parisiennes, lorsqu’elles se risquent hors de nos
aux héritiers d’un auteur qui a fait gagner des millions à nos scènes
lyriques
et à nos éditeurs de musique ? On peut être colle
Je dois m’abstenir — et je le regrette — de juger mon dernier recueil
lyrique
(Opéra Prima. 1914-1916. Firenze, La Voce), car i
ie attentive, vient de réunir dans Orchestrine la fleur de ses poèmes
lyriques
en prose. Onofri a figuré parmi les théoriciens d
lus abstruse, je le préfère dans son Velo di Maya, un recueil de vers
lyriques
dont plusieurs pièces sont absolument charmantes.
es, c’est l’anecdote encore et le sentiment : la poésie qui n’est pas
lyrique
, qui conte des histoires, est la seule qui ait ja
ux, surtout parmi les fameuses « Consultations ». Musique. Théâtre
lyrique
de la Renaissance : La Bohème, comédie lyrique en
». Musique. Théâtre lyrique de la Renaissance : La Bohème, comédie
lyrique
en quatre actes, poème et musique de R. Leoncaval
lassique de la littérature italienne et la révélation d’une éloquence
lyrique
moderne, assez haute et assez nerveuse — ce qui à
oesia, Bianco Amore, reprend en vers blancs la tradition des conteurs
lyriques
italiens. Il « raconte » avec délicatesse et tor
e, les dramaturges exaltent les protagonistes de leurs fictions ; les
lyriques
purs les isolent de leur milieu. Dans le Sonnet s
nul poète n’a été, en Angleterre, plus limpidement, plus continûment
lyrique
que Rossetti. Dans le principe, son œuvre se ress
ue pour offrir au musicien « un thème convenable à des développements
lyriques
». M. Pizzetti se révolte contre l’idée d’un « th
image n’est plus telle — elle est la réalité pure et simple. Le « moi
lyrique
» souffrant et accablé, et cependant révolté, n’e
ano M. Massimo Bontempelli n’a pas la même puissance d’abstraction
lyrique
. Sa poésie est plus intime, sa langue est moins v
us des Champs a une importance certaine, qui s’affirme par un intérêt
lyrique
des plus puissants. Tandis que les jeunes poètes
othique, choisit pour dérouler en elle la mathématique de ses calculs
lyriques
. L’octave est simple, sans heurts, toujours close
Canti dell’Agonia, Sandron, Palerme Toute autre est l’inspiration
lyrique
de M. Peppino Carnesi, qui publie I Canti dell’Ag
uera le principal rôle. La Sotie de Bridoye, qui, sous une forme très
lyrique
, offre un mélange de farces rabelaisiennes, sera
je penche à croire que nous sommes des automates. Nos élans les plus
lyriques
, nos analyses les plus délicates sont d’un ordre
bîmes où semble se résorber toute la vie ; l’attitude nonchalante, et
lyrique
pourtant, d’un bel animal humain, à peine vêtu ;
tte passion fit de lui, dans le genre pastoral qu’il innova, l’un des
lyriques
les plus exaltés de tous les temps. Malgré l’opin
compliments, il convient de reconnaître et proclamer que les artistes
lyriques
italiens jouent incomparablement mieux que les nô
re prochain, la troupe de l’Opéra-Comique se fera entendre au théâtre
Lyrique
de Milan et au Costanzi de Rome. Les œuvres chois
simplement occasionnelle et nationale, mais, dans le plus large sens,
lyrique
et humaine, sont celles que nous a laissées Renat
un curieux album de Rarefazioni (Milano, Poesia) qui sont des images
lyriques
en prose entremêlées avec des images naïves dessi
son chef-d’œuvre : un album de « simultanéités » et de « chimismes »
lyriques
. (BIF§ZF+18, Firenze, La Voce). On y découvre l’i
que le théâtre de nos jours ait produite. Elle contient l’exaltation
lyrique
de la mer, du mare nostrum, de notre berceau de l
confidences les plus ardentes, les morceaux les plus passionnés de la
lyrique
passionnelle — je baisai, je caressai, je soupira
s ouvrages, on remarque bien clairement une confusion entre la poésie
lyrique
et la poésie dramatique, comme si l’on tentait d’
sique », et l’auteur se demande « s’il est possible que l’imagination
lyrique
de notre génération ne se trouve que sur les lèvr
r 1903 Musique. Théâtre national de l’Opéra : Paillasses, drame
lyrique
de M. Leoncavallo Jean Marnold. Tome XLV, numé
nce, on peut presque assurer que celui-ci sera bien gardé. Le « drame
lyrique
» de M Leoncavallo a été monté avec une sollicitu
Champs-Élysées à l’art du bel canto. Les pensionnaires de nos scènes
lyriques
subventionnées ne pourraient que tirer profit à n
le psychologisme russe. L’Amérique aussi, à travers le collectivisme
lyrique
de Walt Whitman, a touché quelques cœurs de la Pé
, Leonardo, La Voce, Lacerba, Poesia, Liriche De tous les centres
lyriques
ou simplement littéraires dont il nous a été donn
elle ne détermina aucun mouvement dans la pensée et dans l’expression
lyrique
du monde. Elle ne servit qu’à la cause prosodique
en de Caro-Delvaille est un joli livre de peintre, d’une forme un peu
lyrique
, mais très attrayante. M. Caro-Delvaille ne dédai
e semble malheureusement pas qu’il en soit de même sur celui de l’art
lyrique
. Sera-t-il besoin de rappeler qu’à des époques do
actère était loin d’égaler en splendeur tragique la nôtre, les scènes
lyriques
italiennes retentissaient des puissantes inspirat
s, nous donne aussi, comme Govoni, les plus belles pages de son œuvre
lyrique
et une nouvelle collection des anciens manifestes
he, mais on rencontre souvent sa signature dans les journaux sous une
lyrique
étincelante. Les difficultés de la vie l’ont empê
présenté à rebours. L’auteur place la scène dans un milieu d’artistes
lyriques
, de musiciens, d’imprésarios, de critiques, de jo
vraiment poétiques et savoureuses, tout ce qui constitue l’expression
lyrique
. Pétrarque écrit : « Voilà brisés la colonne supe
t pour quelque temps la publication de ses Nouvelles ou de ses Poèmes
lyriques
des Romagnes ; il écrit avec tout son grand amour
ès avoir cité une lettre de M. Marinetti qui n’est qu’une énumération
lyrique
de littérateurs italiens, écrit quelques lignes j
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