à signaler précisément le Michel-Ange de M. Romain Rolland. C’est un
livre
enthousiaste et clair où l’auteur suit son « héro
ement regrettable qu’il n’ait su se garder aux dernières pages de son
livre
d’appréciations trop souvent acerbes sur certaine
t excessif de dénigrement risque de mettre le lecteur en défiance. Un
livre
d’art n’est pas un article de journal. Les Vil
la capitale de la Toscane. C’est là l’œuvre qui nous manque, dont le
livre
actuel, peut-être un peu hâtif, n’est qu’une ébau
chant poète Casimir Delavigne, Shelley, Taine, René Bazin, etc. Petit
livre
consciencieux, mais d’importance minime. E. Ro
t dont se nourrissent voluptueusement d’autres poètes plus jeunes. Le
livre
des Élégies conclut par ce distique, qui parle de
ionale » qu’elles ne continrent pas, la retrouverons-nous dans le IVe
livre
des Laudi, dont on annonce la publication imminen
le volume Prose scelte, des morceaux choisis de toutes ses proses. Ce
livre
très pratique, mais de pure et simple vulgarisati
Angelo Mosso : Vita moderna degli Italiani ; Fr. Treves, Milan Un
livre
d’une très grande importance sociale est celui qu
y sont traitées par l’esprit d’un érudit plein d’intuition. C’est le
livre
d’un grand sociologue qui a vu et étudié les prob
des Romagnes ; il écrit avec tout son grand amour du sol un très beau
livre
, très riche d’intéressantes illustrations des lag
ant, si tous les condamnés se mettaient à faire de la littérature… Ce
livre
a été publié par les soins de Mme Luigi di S. Giu
je ne comprendrai jamais pourquoi un écrivain qui donne ses soins au
livre
d’une recluse, à la place des « œuvres du même au
uvres du même auteur » indique ses propres œuvres. Memento Deux
livres
de réel intérêt historique et littéraire : Dr Cir
leurs aguerries « par un état-major riche et adroit ». Éditions de
livres
très rares Le Pape a reçu de Mgr Ceriani un sp
Spontini, on est un peu surpris de l’absence du nom de Weber dans son
livre
, parmi ceux des inspirateurs possibles ou modèles
être sans réplique, ne diminuent en rien mon admiration pour le beau
livre
de Michel Brenet et n’en sauraient qu’imparfaitem
. Péladan, par M. Gabriel d’Annunzio et par d’autres. De son côté, le
livre
contribue largement à fournir des éléments de joi
atrie » ! Mais à part ces graves lourdeurs de rhétorique oratoire, le
livre
est un précieux document qui fait vivante et bell
Les amours des grands morts nourrissent largement la presse de maints
livres
et revues. Elles sont toujours à découvrir : un C
vec un véritable talent de découvertes. M. Emilio del Cerro, dans son
livre
Vittorio Alfieri e la Contessa d’Albany, qu’il ap
es. Evelyn, Antichi pittori itatiani, A. Solmi, Milan Encore un
livre
offert au passé est celui sur les Peintres italie
i inca, Cogliati, Milan. — Luigi Siciliani, Sogni pagani, Rome Les
livres
littéraires de documentation et de traduction occ
très large partie de la production italienne… Cependant quelques bons
livres
ont paru dernièrement, romans et poèmes, d’écriva
et qui ajoute des charmes à sa vaste renommée. Mme Yolanda publie un
livre
de nouvelles pleines toujours de subtile sentimen
: Sulla via degli incanti (Sur le chemin des enchantements). Un beau
livre
de vers d’une élégante robustesse païenne, et qui
et d’un très grand intérêt sociologique, il est bon de signaler deux
livres
, dignes de susciter les plus grandes et les plus
ure « par-delà le bien et le mal », guident le savant visionnaire. Le
livre
est écrit avec cette clarté, cette netteté rude e
r témoigne, en une phrase, une juste admiration. L’ordonnance même du
livre
fait penser au Principe du grand secrétaire de la
a aux environs de Naples, Demolder poursuit en ces termes : « Un des
livres
de Vittorio Pica porte pour titre All’ Avanguardi
était l’“initiateur”. Et c’est vrai ! Goncourt n’a-t-il pas dédié un
livre
“l’Italie d’hier” à Pica, pour le remercier de l’
n Faune” ait été faite par un étranger. » Et M. Delmoder énumère les
livres
du critique italien dans lesquels il a parlé des
n Rysselberghe. À une époque où nos bons quotidiens n’annonçaient les
livres
de nos meilleurs auteurs qu’en quelques lignes ba
s Merki. Tome LXI, numéro 214, 15 mai 1906, p. 267-272 [269-270]. Le
livre
de M. André Maurel, Petites villes d’Italie, se p
— Il me reste à ajouter qu’en dehors de ces recherches il y a dans le
livre
de M. André Maurel de jolis tableaux de route, de
465-469. Antonio Beltramelli : Il Cantico, Fr. Treves, Milan Un
livre
, qui vient de paraître à Milan, me permet cette f
ci de commencer avec joie ma Chronique. Il ne s’agit pas d’un dernier
livre
de M. Gabriel d’Annunzio, ou de M. Antonio Fogazz
oint au lecteur distrait : Le Cantique (Il Cantico). C’est le dernier
livre
d’un jeune dont j’ai parlé souvent ici, M. Antoni
iulio de Frenzi : L’Allegro Verità, Libr. Ed. Lombarda, Milan Deux
livres
, aussi de tendances tout à fait contraires, sont
aucoup de grâce, sinon avec une réelle puissance d’écrivain. C’est un
livre
plein de charme. L’Allegra Verità (La Joyeuse Vé
« dégénérés » de M. d’Annunzio le sont parfaitement, et que certains
livres
de l’écrivain italien peuvent être considérés com
te, l’hypocrite que le voilà malgré lui devenu : il le renverse et le
livre
au même bourreau. Je regrette seulement que M. Gi
n ami Romain Colomb, en vue probablement d’une nouvelle édition de ce
livre
, qui a une place toute particulière dans sa produ
et populaire, donc elle n’en est pas une. Que devons-nous penser d’un
livre
qui nous annonce des apophtegmes ainsi conçus :
ions catégoriques, aujourd’hui n’importe qui peut le trouver dans les
livres
de science, et peut faire de l’art scientifique,
es malades, et voilà tout. Un jour il pourra peut-être nous donner un
livre
sur les auteurs dont il examine aujourd’hui les œ
dans un fort volume une série d’études critiques de grand intérêt. Ce
livre
, Cercando la Grazia, est comme un résumé de quelq
reuses feuilles et revues, poursuit depuis des années la critique des
livres
et des événements littéraires du jour. Le premier
st bien à tort que l’on a voulu voir dans le tremblement de terre qui
livre
à nos recherches une ville du premier siècle de n
rranée, Perrin, 5 fr. À la librairie Perrin, il faut mentionner le
livre
consciencieux d’information et de discussion cons
ue la marche des événements depuis a pleinement mis en lumière et son
livre
demeure un travail de clairvoyance et de sain jug
cel Raymond : Verrocchio (Librairie de l’art ancien et moderne) Le
livre
de M. Marcel Raymond sur Verrocchio est le type p
est pas là, je le crains, l’avis de M. Pierre Gauthiez, qui, dans son
livre
sur Luini, copie complaisamment ceci : Ce mot d’
s de M. Gauthiez contre on sait quelle École empêchent de prendre son
livre
tout à fait au sérieux. Je n’en veux donner qu’un
nne ! Verga me remercia par une lettre charmante et m’envoya tous ses
livres
accompagnés de dédicaces. L’autre jour, me trouva
r se faire accueillir de la foule. Il ne suffit pas d’écrire de beaux
livres
, il faut s’entendre à les lancer. Il s’agit de fa
e faire parler beaucoup de soi avant que le public songe à ouvrir vos
livres
. Telle liaison avec une actrice célèbre ou tel pr
Léopardi (Esposizione del Sistema filosofico di Giacomo Leopardi). Ce
livre
a une valeur toute particulière, qui réside princ
mo Lo Forte publie la Place de l’Homme dans l’Univers, de Wallace. Le
livre
du grand savant anglais, qui démontre la supérior
la borne extrême que nos visions originaires peuvent toucher. Mais le
livre
de Wallace reste comme un document admirable de n
olo libro inutile (hors commerce) Je signale avec plaisir un petit
livre
de vers, écrit, certes, par de très jeunes poètes
qui renferme un charme exquis et vraiment rare. Le titre est : Petit
livre
inutile (Piccolo libro inutile). La dernière page
nes : « Les deux pauvres auteurs n’ont pas osé déclarer le prix de ce
livre
inutile, car, l’imaginant tel, ils ont pensé que
el, ils ont pensé que personne n’aurait jamais voulu l’acheter. » Ce
livre
n’est pas inutile, puisqu’il révèle deux personna
ours italiennes, au caprice d’un instant de loisir, — et en lisant le
livre
de Lanzi, — l’Histoire de la Peinture se ressenti
vécu « trois années de voyages et de recherches ». Et il présente son
livre
, qui n’est pas encore commencé, comme la lente él
ond tour en Italie). On voit en quelle petite estime Beyle tenait ce
livre
qu’il songeait si mollement à entreprendre. Il cr
ignant, il espère être moins ignorant des arts quand il aura écrit un
livre
sur l’histoire de l’art. C’est peut-être en effet
l faut bien en croire cette note, écrite pour lui seul : voici que le
livre
rêvé ne doit plus être qu’un modeste résumé, dest
en effet bien grand « besoin d’étudier les arts ». Ce résumé sera le
livre
d’un débutant qui veut s’instruire, et se faire d
est, nous le savons, prompt à s’irriter contre le cicerone, homme ou
livre
, qui vient troubler ses sensations. Il pourra ain
re 1811. Il offrait à son amie italienne, Angelina Pietra Grua19, ce
livre
qu’il avait rêvé en l’aimant. Comme il en est pou
ngue que parlait Angelina ; même à l’ennuyeuse besogne de traduire un
livre
ennuyeux, se mêlaient des pensées d’amour. Et c’e
neuf mois après que lui était venue, à Milan, la première idée de son
livre
, Beyle quittait Paris pour la campagne de Russie.
ut cela pour Beyle ? Avait-il abandonné l’idée première d’en faire un
livre
? Voulait-il seulement, ce qui avait été sa secon
e travail ne pouvait être perdu, et qu’il fallait finir et publier ce
livre
à moitié fait ? Rien absolument ne nous permet de
e, l’idée était bien stendhalienne. Mais elle manqua d’être fatale au
livre
. Dégoûté d’avoir perdu une partie de son travail2
nstances tout extérieures vînt lui donner une seconde fois la vie. Le
livre
, commencé jadis dans la fantaisie désœuvrée de qu
ittéraire, semble-t-il, ni goût particulier pour cette œuvre. Mais le
livre
était commencé, et, selon la loi du moindre effor
e 1814. C’est de cette époque que datent deux parties essentielles du
livre
, à peu près les seules où Beyle ait été original,
ont peut-être cette verve magnifique. Enfin, le 1er décembre 1814, le
livre
était déjà fort avancé, si l’on en croit un plan
emière ébauche, ce n’était pas encore un texte définitif. Et comme ce
livre
, dont l’histoire est si agitée, devait subir le c
vrai nom Angela Pietragrua. Il lui avait dédié, on s’en souvient, le
livre
à sa naissance, à la fin de 1811. Mais quand il a
élina devait encore longtemps s’exercer sur l’histoire troublée de ce
livre
. En 1814, l’ambition lassée, le vide d’une inacti
le continua, comme à la diversion nécessaire de ses amours. Le pauvre
livre
n’est jamais qu’un pis-aller. C’est Stendhal lui-
e. C’est donc toujours pour des causes extérieures à lui-même que ce
livre
est repris et poussé cahin-caha. Point de grand a
nt deux ans (fin 1814-fin 1816), je n’en puis rien croire. D’abord le
livre
était presque fait, nous l’avons dit, avant le 1e
meilleur ami, Crozet, échangent à son propos quantité de lettres. Le
livre
s’achève, s’imprime, va paraître. Pourquoi ? On p
ivre s’achève, s’imprime, va paraître. Pourquoi ? On peut dire que ce
livre
était mûr depuis plus d’un an. Il ne manquait que
t-ce pour se faire un nom dans la littérature ou dans l’art ? Mais le
livre
même, je viens de le dire, dément cette prétentio
stérieuses : M. B. A. A., qui ne pouvaient le compromettre. Et si, le
livre
une fois paru, il se sent pris d’affection pour c
et habituel de toute paternité, même non désirée. Il déclarera que ce
livre
peut « avoir 150 ans dans le ventre ». Mais, pour
é grands 33 ». Il préfère être grand lui-même. Ce demi-mépris pour le
livre
qu’il publie, ce détachement d’un homme supérieur
téraire, ce n’est point pour se créer auteur, que Stendhal publie son
livre
. Et le simple amusement de courir la chance, de r
voit que la grande préoccupation qui se mêle, sans cesse, à l’idée du
livre
, se confond avec tous les détails de la publicati
ans de gestation, et tant de menaces d’avortement. Aussi, dès que le
livre
parut, Beyle s’ingénie pour le faire vendre. Il m
es Souv. d’égot.) Un mois après, il se déclare prêt à mettre dans son
livre
toutes les platitudes, pour gagner quelque argent
in une liste de tous les personnages influents à qui l’on enverra son
livre
; pour préparer l’opinion, il faudra « n’afficher
elques milliers de francs35. Tant d’inquiétudes d’argent avant que le
livre
paraisse, tant de soins commerciaux quand il a pa
emble, assez clairs les motifs qui firent achever en quelques mois un
livre
qu’il avait pris l’habitude de ne pas finir. La n
Quand il n’a plus d’argent pour vivre, c’est alors seulement qu’il se
livre
à un labeur acharné, c’est alors qu’il débrouille
is ce travail final fut certainement aussi bref qu’il fut violent. Le
livre
et le manuscrit sont là pour le prouver. C’est de
aite. C’est à la vérité une histoire héroïque et comique que celle du
livre
de Stendhal. Il le commença presque sans le savoi
tions et les guerres eurent une singulière influence sur la vie de ce
livre
; ils l’arrêtèrent et le remirent en train ; ils
e celle de son auteur. Il ne faut donc pas s’étonner si l’histoire du
livre
sur la peinture a, tel qu’un roman mal fait, ses
ner et à agiter la société italienne. Ceci se lit entre les lignes du
livre
de la comtesse Bonmartini, qui est avant tout le
. Corneille, écrivant à l’abbé de Pure les trois préfaces à ses trois
livres
de poésie, dit : « … dans la seconde je traite le
initial même du fatal envoûtement des deux protagonistes. 7. Dans un
livre
de prochaine publication : Le Livre de l’Évolutio
s deux protagonistes. 7. Dans un livre de prochaine publication : Le
Livre
de l’Évolution, je définis les trois étapes du Dr
r ce travail ennuyeux, je te l’enverrai. » Il fallait deviner que ce
livre
, qu’il ne nomme pas, c’est Lanzi, et que, s’il tr
te lettre que Beyle songe, le 8 décembre, plus que le 4, à publier un
livre
. Au contraire, on voit déjà poindre le découragem
Angelo Conti : Sul Fiume del Tempo, R. Ricciardi, Naples Trois
livres
, parus presque en même temps, révèlent trois tend
ie une intéressante littérature de la vie intérieure. Un de ces trois
livres
est dû à un écrivain plus très jeune, et dont la
ques âmes d’élite. Sur le fleuve du Temps, de M. Angelo Conti, est un
livre
où frémit un véritable printemps des aspirations
Pilota cieco, R. Ricciardo, Naples Le même éditeur qui a publié le
livre
de M. Angelo Conti, Ricciardi, de Naples, un jeun
de, ou, si l’on aime mieux, treize nouvelles ou treize chapitres d’un
livre
de mémoires psychopathologiques. Les dérivations
es grands idéalistes individualistes du Nord, puis Edgar Poe, dont le
livre
de M. Papini semble parfois imiter de près l’anal
oins toutes ses aspirations, afin de mieux s’aimer ; pour que dans ce
livre
M. Papini haïsse et tue continuellement son moi p
onnues chez soi-même ou chez autrui. Cela constitue l’étrangeté de ce
livre
aux intentions et aux attitudes psychologiques pr
ons et aux attitudes psychologiques profondes. Ce n’est pas certes un
livre
d’affirmations ou de révélations ; la volonté d’ê
et de larmes. Au point de vue du subjectivisme qu’il révèle, c’est un
livre
d’analyse psychique, comme le livre de M. Angelo
jectivisme qu’il révèle, c’est un livre d’analyse psychique, comme le
livre
de M. Angelo Conti en est un de synthèse esthétiq
ti en est un de synthèse esthétique. Mais c’est sans nul contredit un
livre
d’imagination souvent fascinante et de subtilité
a Parola, Rome L’introspection de M. Arnaldo Cervesato, dans Petit
livre
des Héros d’Occident, a mûri loin des voies esthé
surgissent, comme une volée d’oiseaux noirs, d’entre les pages de ce
livre
: Les Chants de Maldoror 1, leur nombre et l’inco
ême volume (Le Génie et la Folie) que je ne puis vérifier. […] Les
Livres
. De l’Authenticité des Annales et des Histoires d
ont]. Tome II, numéro 14, février 1891, p. 123-125 [124-125]. En ce
livre
d’une bonne et curieuse érudition, il est démontr
ssant à son petit Don Quichotte. Déjà, quand tu allais à l’école, tes
livres
sous le bras, tu te croyais destiné à de grandes
se marie. Tel est, résumé en quelques-uns de ses épisodes, le dernier
livre
d’un humoriste très distingué et depuis longtemps
estrictions, que me dicte la naïve sincérité, Don Chisciottino est un
livre
d’une jolie logique, — jusqu’à la pénultième page
tas de baliveaux nains, — et c’est très beau qu’il nous vienne un tel
livre
d’Italie : il n’en vient pas souvent. Les dern
es fous de bibliothèques (I Mattoidi in biblioteca), ces maniaques du
livre
, compilateurs sans but, copistes par dilettantism
ur l’Argent de M. Zola, par Giuseppe Depanis : le critique prend à ce
livre
un intérêt qui nous étonne ; il suffirait peut-êt
tout à fait inconnu, Ottone di Banzole. Cet écrivain, dans ses trois
livres
, Al di là, No, Quartello, apparaît tel qu’un roma
obiati, de Stendhal et de De Sade. Nulle critique ne parla jamais des
livres
de Banzole : cependant ils ont été achetés et lus
emy de Gourmont]. Tome III, numéro 19, juillet 1891, p. 57-59. Les
Livres
G. Pipitone-Federico, Note di letteratura cont
la perspicacité, Là-Bas, de Huysmans, et non seulement rédige sur le
livre
d’intéressantes remarques, mais juge l’auteur ave
ncontrer des types mostruosi, n’est pas fâché, en sortant de ces deux
livres
, « de jouir de sourires et qui ne sont pas sur de
x de jadis En son inoublieuse pensée et les collines de jadis ! Et le
livre
ouvert de ses mains tombait sur l’herbe. Jou
eusement motivés et que l’on sente leur sincérité et leur logique. Le
livre
se tient, ce n’est pas une suite de monographies
ragédie et ayant tout ruiné autour de lui, il s’en va. Le héros de ce
livre
, Vittore Rodia, au lieu de se plier à la vie, vou
eux de Fogazzaro et de d’Annunzio. Moins touffu, Roberta est aussi un
livre
de moins hautes visées. C’est une histoire mélanc
es et aussi la pleine lumière du soleil. Vous n’êtes pas seul avec un
livre
qui vous raconte objectivement des faits vus ou i
s (7 août). — La jeune Europe, par Thomas Emery. — Critique du récent
livre
de Guillaume Ferrero ; le jeune sociologue italie
ciales et de charité héroïque. Cette vie, il faut la chercher dans le
livre
admirable que publia, il y a trois ans, M. Paul S
opos de ses articles. Je n’oserais pas dire que tous les chapitres du
livre
soient assez développés : il me semble, au contra
a pensée de M. Oliva, lequel n’a pas su prévoir que les lecteurs d’un
livre
ne peuvent pas s’en tenir aux à peu près qui suff
t vraiment se fermer la voie à exprimer des idées moins communes. Son
livre
fait soupçonner que l’auteur est resté en arrière
iculier des esprits. Il caresse généralement des médiocrités, dans ce
livre
et dans ses articles : à part quelques écrivains
l’idée ; il est bien loin, par exemple, d’être capable de composer un
livre
tout à fait captivant, — quoiqu’il s’agisse encor
peut-être pour cela que M. Ojetti n’a pas voulu oublier, même dans un
livre
de critique, qu’il est aussi un charmant conteur.
i un charmant conteur. On peut ne pas admettre ses opinions, mais, le
livre
fermé, on demeure son ami : M. Ojetti vous a donn
ntre dans le peintre. Je crois avoir ébauché le caractère de ces deux
livres
intéressants ; ce qui n’empêche que M. Pica et M.
qui a pour titre ce nom cher aux italiens : Federico Confalonieri. Le
livre
de M. D’Ancona est précieux. Cet érudit devient u
période historique dans laquelle brille la figure de Confalonieri. Le
livre
, à peine paru, a déjà obtenu un grand succès dans
ppelé, d’après lui, le machiavélisme, et ce qu’il a observé, dans son
livre
du « Prince », d’après nature, d’après ce César B
s ces exemplaires préparatoires, à partir du Sforza. Le gros œuvre du
livre
se compose du récit, très étudié, des relations d
sme qui lui a inspiré son œuvre. À la bonne heure ! C’est en quoi son
livre
est le bienvenu. — Ajoutez que M. Charles Benoist
pports de la couleur, le thème fécond, varié, inépuisable du charmant
livre
que voici : L’âme est hilare, remarque à son tou
diée, ou plutôt racontée, décrite (car rien de plus descriptif que ce
livre
) dans cette nuance d’âme qui fut la sienne, singu
s connaissance. Je cherche en vain cette scène aux dernières pages du
livre
. Cette minute suprême y manque. C’est qu’aussi, p
use aidant, à chaque page, aux trouvailles de plume, — le style de ce
livre
ignore un peu trop (j’entends bien qu’il ne pouva
tie, inséparable, du sujet n’est point traitée. Cela n’empêche pas ce
livre
d’être l’une des plus remarquables œuvres d’histo
est parfaitement acquitté de cette tâche délicate. Il rappelle en son
livre
non seulement tout ce qui est connu de la vie des
; en 1467, il avait été condamné à deux mois de prison et deux cents
livres
d’amende pour avoir enlevé Tarsia, femme de Franc
erne, aucune statue, aucun tableau ; c’était exclusivement l’homme du
livre
. L’énorme tome des Adages avait été imprimé en hu
nvier 1898, p. 313-322 [318]. Je ne fais que signaler pour mémoire le
livre
d’Ugo Ojetti. Je l’ai reçu, mais le compte rendu
our c’est sans doute une matière superbe à traiter non moins dans les
livres
que dans la vie ; on en parle depuis des siècles
perversions ; les pauvres dames qui ont été attirées par le titre du
livre
ne doivent pas y avoir compris grand-chose ; mais
ttant sous le nez des incrédules. M. de Roberto a pensé et composé un
livre
d’aventures amoureuses qui ont tout l’attrait de
n ; il n’arrivera, de mon avis, jamais au chef-d’œuvre, mais tous ses
livres
se recommandent par une noble indépendance, par u
orales, mais il n’encourage personne à s’y fier trop. Avec ce dernier
livre
, il nous permet d’admirer encore son style nerveu
ire trop, et ça déprécie la marque de fabrique ; la confection de ses
livres
est vertigineusement rapide ; coup sur coup il no
1.000 fr. à M. Vittorio Pica et autant à M. Ugo Ojetti pour les deux
livres
dont j’ai parlé dans le Mercure de décembre ; 500
atican et dont Luca Paccioli parle comme de pures merveilles dans son
livre
des Cose d’Architetture ; maître, il fait Lorenti
attista Sforza a la même ordonnance. Voici ce que l’on trouve dans le
livre
B, de la confrérie du Corpus Domini : « 1469 apr
898, p. 325-330. Guglielmo Ferrero : Il Militarismo Et voilà un
livre
sur lequel on pourrait discuter longtemps, en rel
t de M. Guglielmo Ferrero, ni contester une certaine importance à son
livre
; il y a de la chaleur, de la sincérité ; mais le
ement une foule d’épisodes, qui sont la partie vive et entraînante du
livre
, pour en donner le thème nu et simple. Toujours e
derniers. Son recueil de poésies, Il Libro delle imagini terrene (le
livre
des images terrestres ; Milan, Galli) est moins o
an, Galli) est moins obscur que Il Libro delle figurazioni ideali (le
livre
des figurations idéales) dont il est le pendant ;
endues à la librairie Retaux qui met en vente une huitième édition du
livre
plusieurs fois remanié de Dom Guéranger, défunt a
miste ; et le monde catholique, alors que Dom Guéranger refaisait son
livre
, s’égosillait devant « l’audace inouïe de la crit
ion catholique, ou simplement rechercher un peu de vérité, le présent
livre
reste des plus estimables. Les chapitres consacré
tance qu’en tout autre moment on ne lui aurait pas reconnue. Ce petit
livre
contient les discours que Cavallotti prononçait a
r sur une affaire de Bourse déguisée en guerre d’indépendance, et son
livre
reste comme un signe de ces temps, naïfs quand mê
tue de temps à autre, sans en faire une spécialité ethnographique. Le
livre
de M. Capuana est mouvementé et riche d’anecdotes
personnalité érigée en religion jalouse et fière, c’est le fond de ce
livre
comme c’est le fond de l’âme du jeune penseur qui
pathies plutôt que d’aider à la cause qu’il prêche. Comme le titre du
livre
nous le révèle, l’auteur tâche d’insuffler la vie
scènes charmantes qui manquaient d’un fort lien ; l’épine dorsale du
livre
était à peine marquée. La Verginità décèle au con
n des Pyrénées. J. de Crozals : L’Unité italienne, L.-H. May Le
livre
de M. J. de Crozals, l’Unité Italienne, est un ut
x, une fois au moins, d’en trouver une qui vaille de s’y arrêter. Son
livre
ensuite arrive à point pour nous fournir sur le n
ur les faits de l’occupation depuis 1885, on voudra bien consulter le
livre
même de M. de Lauribar. Mais on s’étonnera moins
uis XIV envoyait à l’architecte, cela en plus de la pension de 12.000
livres
par an et du brevet de 1.200 livres pour son fils
a en plus de la pension de 12.000 livres par an et du brevet de 1.200
livres
pour son fils. De retour à Rome, il déclarait à B
e Chamage. Il est facile de se rendre compte. Il suffit de prendre le
LIVRE
DES ORDONNANCES des Maîtres peintres, sculpteurs,
faire des invites, auxquelles il ne répondra pas, — et il rédigera le
Livre
de vérité. Ce Livre-là est d’une terrible éloquen
uxquelles il ne répondra pas, — et il rédigera le Livre de vérité. Ce
Livre
-là est d’une terrible éloquence. Il décèle bien l
deux neveux, et Agnès, sa fille adoptive. § Si les aides-mémoires du
Livre
de Vérité sont peu intéressants, les rares dessin
et toutefois il ne manque ni de talent ni d’esprit d’observation. Ses
livres
sont opaques, sans éclairs, sans frisson ; ce rec
revit la gaîté, les petites détresses, les câlineries de cet âge. Bon
livre
, bonne langue, bonne intention presque complèteme
t aux peuples que M. Brusa a donné le titre de Fiume Rosso à un petit
livre
de poésies ; lesquelles ont le but exclusif de st
e qui nous ont affligés jusqu’à l’humiliation. L’argument de ce petit
livre
si soigné en tous ses détails est un hymne à la N
ourrait, je le répète, chicaner sur le sens moral et philosophique du
livre
, mais à quoi bon, si je peux me réjouir d’avoir e
ogrès inappréciable : je le constate avec plaisir, et je fonde sur ce
livre
un de ces espoirs qui n’admettent pas de déceptio
ère chevaleresque est universellement reconnue en Italie, a rédigé ce
livre
curieux, où il raconte avec leurs détails tous le
genre de sport, c’est la loi. Je ne sais pas trop si la lecture de ce
livre
diligent conseillera quelque bretteur à ne pas em
rectement à notre collaborateur Luciano Zuccoli, Modena (Italie), les
livres
et publications dont ils désirent qu’il soit parl
uskinien, mi-partie journalistique, traduirait assez bien l’esprit du
livre
, si d’abord l’ouvrage était un livre et si ensuit
raduirait assez bien l’esprit du livre, si d’abord l’ouvrage était un
livre
et si ensuite chaque partie remplissait les prome
ensuite chaque partie remplissait les promesses de son titre. Mais ce
livre
qui est plutôt un répertoire fantaisiste — l’aute
és certainement à disparaître dans quelques siècles. S’il faut que le
livre
s’en mêle et renonce à cette unité sans laquelle
e chose de vibrant et de frais qu’on cherche parfois en vain dans les
livres
. Saluons, avant tout, un journal hebdomadaire qui
ent dans Quo vadis comptent pour beaucoup dans l’enthousiasme dont le
livre
a été salué partout. C’est enfin un hommage rendu
sont répétées par une foule de gens qui n’ont jamais ouvert un de ses
livres
. Il est considéré comme le chef de l’école anthro
nt de ceux qui corroborent telle hypothèse préférée ? La lecture d’un
livre
de Lombroso édifie bientôt à cet égard le lecteur
es soient-ils par eux-mêmes. Vous ne trouverez en tête d’aucun de ses
livres
un énoncé net de la question. Il se contente d’un
arde pas à nous le dire. Mais sa conception ressort clairement de son
livre
: elle est des plus simples, très populaire, à la
ut. Et il l’avoue ingénument : « Il me faut, ici, avouer que, dans ce
livre
, bien souvent, volontairement et involontairement
t manuel de graphologie, fidèle en cela à son habitude de grossir ses
livres
nouveaux en y reproduisant textuellement d’amples
aux en y reproduisant textuellement d’amples fragments de ses anciens
livres
. Je terminerai l’analyse des matériaux employés p
s paisibles, basés sur l’étude minutieuse et calme des faits. De tels
livres
sont presque toujours l’œuvre de ces véritables c
e qu’il n’a jamais fait de retours sur lui-même, qu’il n’a pas lu ses
livres
plus attentivement que les livres d’autrui. En ré
sur lui-même, qu’il n’a pas lu ses livres plus attentivement que les
livres
d’autrui. En résumé, Lombroso ne sait ni lire, ni
, d’un coup d’œil, la suite des idées ; il est obligé de lire tant de
livres
qu’il retrouve sans cesse les mêmes concepts avec
ît et passe outre. Mais les ravages produits par la surproduction des
livres
ne sont rien, comparés à ceux qui résultent de la
r qui suffit à faire passer un homme pour érudit dans les salons. Les
livres
de ces « vulgarisateurs » ont beaucoup plus de le
le pâture intellectuelle de la bourgeoisie « instruite ». Ce sont les
livres
favoris de la plupart des gens exerçant des profe
l’immense majorité des médecins : j’ai entendu l’un d’eux dire que ce
livre
était « son Évangile » ! Les « vulgarisateurs » s
urnalisme dont ils ont les procédés et le style : la lecture de leurs
livres
ne réclame ni plus d’intelligence, ni plus de réf
roso a lui-même donné à ce sujet des indications très nettes dans son
livre
Les Anarchistes : « La répression violente, écri
dès que se manifesteront en eux ces signes de dégénérescence que les
livres
de Lombroso permettent de reconnaître si aisément
n prend l’apparence d’un guide intelligent et sûr. Voilà un excellent
livre
d’éducation pour les grandes personnes, ce qui n’
ès belle étude sur Michel-Ange à Rome les diverses pages d’art de son
livre
augmentées encore de quelques autres ! Au lieu d’
93. Rien de plus délicat et de plus périlleux que l’illustration d’un
livre
, soit que l’illustrateur s’attache à suivre le te
odes dramatiques, il entraîne l’artiste au théâtral. Il est enfin des
livres
qu’on ne peut illustrer, ce sont les poèmes. On d
isants et d’effets plastiques25, les âmes ont, dans ses deux premiers
livres
, des formes si terrestres, les décors des aspects
eintre arrangeait ses groupes ; or, les principes de la décoration du
livre
sont les mêmes que ceux de la décoration murale.
poètes vont désormais cheminer de compagnie jusqu’à la fin du second
livre
. Au motif XXII, ils arrivent devant l’arbre de la
pour se consacrer, chacun selon ses dons, à l’interprétation d’un des
livres
du Poème sacré, et réjouissons-nous de ce que les
ins sont-ils un rare exemple d’illustration artiste, de décoration du
livre
. Ils prouvent l’inanité de l’image à effet théâtr
rande actrice, française, à laquelle M. d’Annunzio avait présenté son
livre
en hommage, l’a renvoyé à son auteur ; qu’une Aug
; il dédaignait le peuple, les socialistes et les républicains ; ses
livres
ont des passages admirables à ce sujet ; il dédai
’en bon imitateur de Frédéric Nietzsche M. d’Annunzio prêche dans ses
livres
et ses discours la religion de la joie. À moins q
nt suivis du succès dans un artiste qui a étudié son talent et qui se
livre
avec connoissance aux mouvemens de son génie. Tou
ble de Taine, comme penseur ? L’idée qui revient constamment dans ses
livres
, et qui les domine, dit M. Barzellotti, est celle
un sommet. Ce sont là les principales réflexions que suggère le beau
livre
de M. Barzellotti. Nous ne pouvons suivre ici l’é
li Anarchici, 2e édit., p. 120-121. — Une excellente réfutation de ce
livre
a été faite par R. Mella : Lombroso y los anarqui
rsch (Genie und Entartung), par le Dr Toulouse dans son consciencieux
livre
sur Zola, etc. 23. Absolue est de trop. 24. Th
ent de belles strophes. Tome IV, numéro 26, février 1892 Les
Livres
[extrait] R. G. [Remy de Gourmont]. Tome IV, n
dieuserie académique. […] Tome IV, numéro 28, avril 1892 Les
Livres
. R. G. [Remy de Gourmont]. Tome IV, numéro 28,
’une des meilleures revues socialistes et l’une des plus audacieuses.
Livres
nouveaux italiens annoncés par les revues : Per l
avec les paraboles évangéliques, écrivit, aux temps de saint Paul, un
livre
, le Pasteur, qui a servi de modèle à tout un cycl
Paul, un livre, le Pasteur, qui a servi de modèle à tout un cycle de
livres
. Le début en est tout à fait pur et plein de grâc
e Boèce provient du Banquet encore plus que du Pasteur, mais tous ces
livres
et d’autres ont des analogies de filiation. Dioti
et d’âne fabriqué par la Renaissance) estimaient au-dessus de tout le
livre
qui leur apportait soit des arguments de raisonne
nificato, par Federico Engels, et Il Quinto Stato, par I. Gherardini.
Livres
nouveaux annoncés par les revues italiennes : Eva
oulés céans ou céhaut ? […] Tome V, numéro 30, juin 1892 Les
Livres
. Arte aristocratica, par Vittorio Pica. (Naples,
Tome V, numéro 31, juillet 1892, p. 249-253. L’autre mois, parmi les
livres
que l’éditeur Giannotta de Catane prenait la pein
rice. Il y avait aussi une politesse à faire — elle est faite. Les
Livres
. La Messa a Psiche, di Emma (E. Viola Ferretti)
iser les symboles, un vieux rat de librairie matérialiste adresse [ce
livre
] par dilettantisme d’antithèse. — Milan, 18 avril
unzio, l’Innocente : « Comme œuvre d’art pure, c’est un des meilleurs
livres
publiés en Italie ; la forme est merveilleuse par
tant la première. […] Tome VI, numéro 33, septembre 1892 Les
Livres
[extraits] R. G. [Remy de Gourmont]. Tome VI,
des Cenci de Shelley. Tome VI, numéro 35, novembre 1892 Les
Livres
. Nudo, monologhi e scene, par Giuseppe Gramegna
était arrêté pendant quelques années devant le mystère dantesque. Ses
livres
sur la Divine Comédie firent un grand bruit dès l
us apparaissent presque nouveaux. M. Giovanni Vannicola dans son beau
livre
Sonata Patetica nous révèle ses plus belles et se
que et la tragédie, il y a la même différence qu’entre le journal, le
livre
et l’histoire. Pour qu’une œuvre soit digne d’êtr
e ses discours de mécréant : — L’as-tu déjà, le bréviaire ? Est-ce ce
livre
-là ou celui-ci ? L’année dernière, tu disais qu’o
je suis un menteur, moi, ou bien je radote ? — Mais non. — Enfin, des
livres
saints, tu en as. — Tous les livres que nous liso
radote ? — Mais non. — Enfin, des livres saints, tu en as. — Tous les
livres
que nous lisons sont saints, répondit l’autre ave
m’a dit une fois que, dans les séminaires, on lisait plus de mauvais
livres
que de bons. — Allons, ne me rompez pas la tête !
à se fâcher. Mais bientôt, Zio Pera, qui dévorait de son œil vif les
livres
du séminariste, revint à la charge. Il est malin,
pourquoi il te fait prêtre. Quand tu seras prêtre quand tu auras les
livres
saints, qui donc vous touchera ? Tu commanderas a
auras les livres saints, qui donc vous touchera ? Tu commanderas aux
livres
, et tu auras le plaisir d’excommunier qui tu voud
taisait. — L’homme toccato a libro, c’est-à-dire maudit au moyen des
livres
saints, qu’est-ce ensuite ? une corne, rien. Dis-
va une sensation d’étouffement. Il rêvait que Zio Pera lui volait ses
livres
, et que lui se mettait en colère et s’époumonait
emplissait son cœur. Il descendit dans la tanca, après avoir mis ses
livres
en sûreté dans sa valise, et il se mit à se prome
meil de ces nuits chaudes l’énervait. Il n’avait pas encore ouvert un
livre
: inutile d’ajouter que, depuis son départ du sém
u moins la soutane, mon petit veau. Nous ne te l’abîmerons pas. Et un
livre
. La soutane a des boutons rouges comme des baies
s pour une fin profane. Mais nous, ici, nous pouvons nous servir d’un
livre
quelconque, — et d’ailleurs je crois que des livr
s nous servir d’un livre quelconque, — et d’ailleurs je crois que des
livres
sacrés, tu n’en as pas ; — et ta soutane, on l’a
dres montait un gazouillement d’oiseau de marais. Antine possédait un
Livre
de la Semaine sainte relié en cuir noir, à tranch
lle du cierge sa jolie tête prit une grâce féminine. Antine ouvrit le
Livre
au hasard et lut : « Je suis pauvre et dans les t
nne foi, et croyait accomplir œuvre de justice en faisant frapper par
livre
son ennemi ; aussi s’enthousiasmait-il, et à mesu
ornes d’un bélier rongé par les vers. » À cet endroit Antine ferma le
Livre
et feignit de prier, les yeux au ciel : puis il p
ment, les mains en croix. Le bandit eut un frisson. Antine rouvrit le
Livre
, il feignait toujours de lire, et n’oubliait pas
es pierres ne puissent jamais le rassasier. » De nouveau, il ferma le
Livre
: de nouveau, il leva les yeux au ciel, pria ment
eau, il leva les yeux au ciel, pria mentalement et frappa du poing le
livre
fermé. Du cierge montait une longue flamme fumeus
désaltérer mon ennemi. » Pour la troisième fois il ferma et frappa le
Livre
. Puis il le rouvrit, lut encore au hasard cinq ou
s. Le bandit se releva, un peu surpris : il croyait qu’en touchant le
livre
on évoquait aussi les puissances infernales. Du m
e, — c’est ici qu’elle doit avoir été faite, et l’homme touché par le
livre
est prêt à donner deux cents écus si celui qui a
— cria l’autre, les yeux verts de colère, en empoignant au hasard un
livre
. Zio Pera s’en alla ; et il pensait : — Ce garçon
ue l’ennemi, informé qu’Antonio Francesco l’avait fait toucher par le
livre
, avait feint d’être malade pour échapper aux autr
er ses études ecclésiastiques ; on lui a confisqué plusieurs fois des
livres
profanes, et, en dernier lieu, une lettre signée
Barbari furent les instigateurs de ce mouvement trop éphémère. Le
livre
de M. Ugo Monneret de Villars sur Giorgione Ma
. « Son art, dit excellemment M. Ugo Monneret de Villars dans le beau
livre
qu’il vient de publier sur le peintre10, après MM
s’approchait de Platon et des Pères de l’Église, et il débuta par un
livre
dont le titre est tout un programme de philosophi
venu peut-être grand et immortel. Ce poème en terza rima, qui clôt le
livre
, est d’une sombre et terrible puissance. Pascoli,
Il est trop affectueux et amical. Il remercie les décorateurs de son
livre
, son éditeur, ses protes. C’est fatigant. Mais il
s fortunés, ne connaissant l’Italie que de nom et de la lire dans les
livres
, en auront au moins un aperçu par des reproductio
avi ad te, Florence, Revue du Nord De Profundis clamavi ad te, un
livre
de belle exaltation musicale et philosophique de
grandes ombres des maîtres : Beethoven, gagner, Chopin, Schumann. Le
livre
est une chaude prière théiste, et le poète musici
avec une netteté impressionnante, mais il faut que nous attendions un
livre
, tout un recueil définitif des travaux de Giovann
nettement toutefois pour intéresser le public. Une première partie du
livre
est occupée ainsi par un résumé historique, subdi
it, le 13 avril 1819, à Aymon de Virieu : Je reçois force cadeaux de
livres
que les auteurs, mes confrères, me font. Je suis
sprit nous donne de la répugnance ou du goût pour un homme ou pour un
livre
. Nous sommes vraiment de singuliers instruments,
sa vie. Remontez maintenant jusqu’au seizième siècle et feuilletez le
livre
aussi court que glorieux de la vie de Joachim du
et comme je m’occupais à ce moment de recueillir la matière pour mon
livre
sur Maupassant, nous causâmes de l’amitié que le
pour ne plus perpétuer dans les Conservatoires de Musique et dans les
livres
une confusion qui tarit toute fécondité. Mais c’e
Borgese, peut suffire à la gloire de la critique romantique. Dans son
livre
d’un intérêt tout particulier, M. G. A. Borgese s
na Trabalza publient la traduction de Little Men de Louise Alcott. Ce
livre
a pris le titre italien Piccoli Uomini (Petits Ho
nt par les plus grossiers et les plus larmoyants sentimentalismes. Le
livre
de Mme Alcott a fait depuis trente ans beaucoup d
fait de sentimentalismes de toutes sortes, le célèbre et intéressant
livre
: Cœur, de M. Edmond de Amicis, suffit largement
que préparer à la Vérité des résurrections plus magnifiques. Dans un
livre
écrit autant pour la France que pour l’Italie, et
ientôt. » Pour ce qui est de l’Italie, Mgr Briganti, à la fin de son
livre
, exprime l’espérance qu’une entière liberté y ser
eux disposés ont dû relever l’absurde puérilité de la construction du
livre
et la langue malheureuse d’un grand écrivain qui
vente ordinaire des romans de M. Fogazzaro. L’Église renie le nouveau
livre
. La Congrégation de l’Index l’examine pour l’exco
désordre, très souvent laid. La langue est impure. Mais, surtout, le
livre
entier a le tort de faire un grand mal à la cause
celui qui héritera de la force de ceux qui s’en vont. Ils produisent
livres
sur livres ; ils apportent avec une généreuse sin
héritera de la force de ceux qui s’en vont. Ils produisent livres sur
livres
; ils apportent avec une généreuse sincérité mill
ique d’une force subtile et personnelle, qui vient de publier un beau
livre
: I Canti delle Stagioni (Les Chants des Saisons)
tte sincérité exubérante que je retrouve dans les Chants des Saisons,
livre
d’une émotion et d’une expression précises et for
te. Il compose des fresques d’une décoration élégante et savante. Son
livre
, Filottete, contient des variations poétiques sur
tes sur les faibles ébauches que j’ai tracées depuis. » (Confidences,
livre
VI, § VI.) 18. En tout cas, si Lamartine s’ins
le culte pour Lamartine. Il lui a été légué avec deux ou trois autres
livres
du grand poète, dont son Gradus du collège de Bel
excellente de Mme Jean Darcy, et qui est peut-être un des plus beaux
livres
qu’on ait donnés sur ce sujet éternel. On a dit d
connu l’ardeur de la vie et la douceur du rêve. » — C’est en effet le
livre
d’une croyante qui s’est refaite simple tout en r
es, de costumes, de toutes les rencontres pittoresques du chemin, son
livre
est plus encore des sensations que des impression
on parfum idéal et toute voisine de ce que nous l’avons rêvée ; et le
livre
fini, on se surprend à dire que l’écrivain qui se
titre les quatorze fragments de vie générale qu’il rassemble dans son
livre
. J’y retrouve tout l’esprit original qui inspire
e… L’esprit d’observation, que l’auteur a largement semé dans ce beau
livre
, décèle une longue habitude des milieux et des ét
; le style bref et sobre ; personne ne dirait qu’il s’agit du premier
livre
d’un écrivain qu’on, jugeait jusqu’à hier comme u
celant la bonhomie de ces terribles révolutionnaires, que, dit-on, le
livre
satirique vient de provoquer un vrai scandale dan
brusque qu’on connaît chez les fils de la forte Romagne ; et les deux
livres
montrent une originalité de forme et de pensée, â
. De Frenzi, collection de types littéraires italiens vus de près. Le
livre
était attendu depuis longtemps, et je me rappelle
nt le bagage est déjà nombreux, ne s’est pas mis en peine d’écrire le
livre
qu’il était certes capable de nous donner ; il a
n’a pas cru devoir entreprendre, ne se rebute et ferme hâtivement un
livre
qui, malgré tout, est de grande valeur, et dans l
le de l’Italie unifiée. Nous ne pouvons nous arrêter davantage sur ce
livre
qui restera précieux à consulter pour la période
itre, l’île ancienne des temples grecs et de l’occupation romaine, un
livre
de promenades et d’observations, informé, agréabl
int d’un volume de 170 pages. M. Émile Bertaux s’y est résigné et son
livre
sur la Rome antique est une vulgarisation agréabl
ù les emprunts faits à Maupassant sont particulièrement nombreux ; ce
livre
pose précisément une question de milieu assez piq
et sans aucun des avertissements qu’on a coutume de trouver dans les
livres
de cet ordre. Quand nous disons : résumé, c’est q
lise, on peut dire qu’il y a pénurie d’ouvrages sur ce grand pape. Le
livre
de M. Achille Luchaire vient donc fort à propos.
bre vie, avant le coup de couteau final des sicaires de Cosme Ier. Le
livre
de M. Gauthiez est bien près d’être l’œuvre d’his
la personnalité de l’écrivain. Sous ce rapport, le Lorenzaccio est un
livre
typique. Il y a de l’envergure là-dedans ; une la
cile à obtenir dans la haute région des visions historiques. Voici un
livre
digne entre tous de la gagner. André Lebey : L
table de Bourbon, 1490-1527 ; Perrin et Cie Il faut, en ouvrant ce
livre
, ou en le refermant, jeter les yeux sur le portra
discussion abonde dans le récit, comme le comportait un tel sujet. Le
livre
aurait même gagné, comme œuvre d’art, à ce que di
au cours du xixe siècle, la partagèrent ; à présent encore, dans les
livres
classiques, on trouve des restitutions du Forum é
tel sacrifice, il est probable qu’on ne s’y mettra pas de sitôt. — Le
livre
de M. l’abbé Thédenat, on peut le répéter sans cr
en adoptant l’architecture grecque, la modifièrent à leur usage. — Le
livre
de M. Bertaux donne de très belles reproductions
ons de ses talents. La beauté naïve et pourtant complète des premiers
livres
imprimés par les Bénédictins de Subiaco, ou du su
es Bénédictins de Subiaco, ou du superbe Sogno de Polifilo, revêt les
livres
des derniers poètes. Des artistes les décorent en
unzio, entre autres, font une belle tâche décorative sur nos piles de
livres
jaunes, et le dernier volume de M. de Bosis, arri
inquiétudes modernes, rêveuse de tout l’absurde à venir, est dans le
livre
, répandue comme dans une artère secrète et palpit
uffeur (« ad un Macchinista »), est réellement la synthèse de tout le
livre
, de toutes ses faiblesses et de toutes ses forces
ce, p. 37. 2. Consulter Gluck et Piccini, par G. Desnoiresterres, un
livre
documenté, impartial et trop peu connu. 3. Hist
ous parlerons une autre fois, à moins d’abondance extrême, des autres
livres
annoncés, qui sont presque tous excellents. Le
es leçons de littérature aux élèves d’un Institut et écrivant quelque
livre
savant. Son fils, Guido, croit près de lui, athée
Vettori et la figure de ce pâtre académique se ressentent encore.
Livres
et romans Cette chronique étant prolixe plus q
es disparates, aux quelques réflexions mélancoliques suggérées par un
livre
sur un ensemble de livres d’un tout autre ordre,
es réflexions mélancoliques suggérées par un livre sur un ensemble de
livres
d’un tout autre ordre, et cependant déclarer que
idée particulière. C’est sa vision personnelle qu’il nous donne. Son
livre
, qui commence fort justement par un portrait pein
s, mais participent à la vie commune d’un État. Ce que j’aime dans le
livre
de M. André Lebey, outre ses qualités de forte pe
’il s’y intéresse entièrement, joyeusement et vivement. De là, en son
livre
, un entrain et une verve qui le parcourent d’un b
ans un autre sens, c’est un essai heureux, puisqu’il nous vaut un bon
livre
tout imprégné de ce que l’auteur appelle, dans la
rs d’entre nous ce sera l’unique mérite), lorsqu’on ne lisait que les
livres
de France, et qu’il paraissait absurde d’attendre
ment bien doués pour ce genre d’études. Ils ont déjà débuté avec deux
livres
remarquables : Il Corruttore, roman de M. de Fren
eux : il n’avait rien écrit encore, je crois, sinon des préfaces… aux
livres
des autres : plus tard, lorsqu’il fit paraître so
s d’une vie de bataille, il lui sera bien difficile de nous donner le
livre
qui puisse nous faire frissonner à notre tour. C’
ncelante. Les difficultés de la vie l’ont empêché de se résumer en un
livre
puissant : il n’a publié que des plaquettes, qui,
encore de nous profiter. J’insiste sur cet avantage immédiat, car les
livres
dans lesquels on peut apprendre quelque chose et
larer que la faute n’en est pas à moi : je me suis rencontré avec des
livres
et des auteurs qui me plaisaient, qui étaient don
ci que Piccolo mondo moderno… (Je demande la permission d’indiquer ce
livre
par ses initiales P. M. M., ce qui peut rappeler
roman de M. Fogazzaro. Il doit y avoir tout un monde que ce genre de
livres
excite à commettre un tas d’incroyables bêtises,
ir contre les théories, d’ailleurs bien dissimulées, qui inspirent ce
livre
, le roman de Remigio Zena ne peut pas être facile
signaler l’opinion tout opposée de M. Luciano Zuccoli, qui fait de ce
livre
un grand éloge dans l’Italie 1. Ce journal a ceci
ent au « divisionnisme de la forme ». Guillaume Apollinaire, dans son
livre
sur le Cubisme, appelle le cubisme de Picasso et
ue ses destinées, pour être moins apparent, plus obscur que celui que
livre
l’armée, n’est pas moins serré ni ardent. Ce sont
’est proposé sans compter ou craindre la somme du travail donné. » Le
livre
est superbement relié et imprimé. Tome CXIV,
olitique orientale des Empires du Centre. Lorsqu’on étudie de près le
Livre
Vert, les dépêches que la Consulta échangea avec
oignage de la force d’assimilation de la culture italienne. Son petit
livre
Il mio Carso (Éditions de la Voce, Florence) est
et d’un relief puissants. C’était un écrivain mûr et original, et ce
livre
, son seul livre, suffit à lui assurer une place d
puissants. C’était un écrivain mûr et original, et ce livre, son seul
livre
, suffit à lui assurer une place dans la littératu
rique. Je ne vois pas le moyen d’user d’autres mots après avoir lu ce
livre
. Tout y est (sinon développé, du moins puissammen
gence et une plénitude suprêmes ; et c’est l’intérêt pathétique de ce
livre
de nous faire voir cela avec une vivacité dramati
enflamment, atteignent à une sorte de lucidité concrète, pratique. Ce
livre
est un recueil d’études et de conférences, faites
ce qui a exaspéré les rivalités et fait éclater la Grande Guerre. Le
livre
intitulé Entre Deux Mondes, large synthèse sociol
nner au lecteur (à supposer qu’il en ait besoin) le désir d’ouvrir ce
livre
, — dont la lecture, ajouterai-je, en même temps q
aussitôt démenti. Je l’ai trouvé pourtant ces derniers jours dans un
livre
de 1909, la Russie d’aujourd’hui. L’auteur, un di
notre art ancien nuit à l’Italie moderne. Confrontez les centaines de
livres
que la France consacre aux villes artistiques et
onne maintenant de bons fruits et il y a lieu de signaler de nouveaux
livres
enfin sérieux et dignes d’attention. Voici Jacque
sie ! » Voilà un franc-parler qui nous plaît aussi à nous ! Un autre
livre
à lire est l’Italie depuis 1870 (Delagrave), où A
e relèvement économique et le déclin de la Triple-Alliance. Enfin, un
livre
qui sera une révélation pour beaucoup de Français
dans ces dernières années est sûre et documentée. Je ne connais aucun
livre
qui plus que celui-là soit un antidote contre les
nous le faisons, nous aussi, quoique nous en rapportions rarement un
livre
d’impressions. Nous savons que la France est le c
ubliciste, Giovanni Preziosi, a révélé cette vaste entreprise dans un
livre
d’un intérêt poignant : La Germania alla conquist
uisait l’éditeur italien (ou allemand italianisé). N’oublions pas les
livres
en couleurs pour enfants, d’un mauvais goût repou
péninsule était l’Isonzo ; et un P. D. Fischer, par exemple, dans un
livre
traduit et très estimé en Italie, d’ailleurs rema
bondance des nouvelles l’ont presque bannie : elle a résisté dans les
livres
et les revues. Je ne parle pas de la « littératur
rre, depuis deux sous jusqu’à dix francs. Il y a, dans le nombre, des
livres
utiles comme sources d’information ; il y en a qu
ur lui l’attentive affection des connaisseurs ; son second et dernier
livre
, Le Lettere (Roma, Bontempelli), sorte de révisio
de la dernière littérature ; même le grand public commence à lire ses
livres
et, ce qui est plus étonnant encore dans notre pa
ore dans notre pays, à l’acheter. Il a commencé en 1895 avec un petit
livre
sur l’évolution de Carducci ; depuis il a publié
neutralité. Il y a peu d’action ; beaucoup de causeries. Le charme du
livre
est surtout dans la psychologie des personnages,
lataper (1888-1915) un écrivain qui avait su s’affirmer avec un petit
livre
âpre et savoureux, inspiré des plateaux que les I
et d’égarements emphatiques une fondamentale aridité. Il y a dans ce
livre
un art saccadé et tordu qui parfois éclate en fus
racheté par sa mort ses sympathies pour sa race. On annonce de lui un
livre
sur Ibsen, thèse universitaire qu’il avait remani
andello et Mmes Serao et Deledda ont mis dans le commerce de nouveaux
livres
que le public ne s’arrache pas, mais qui font tou
stophanesque moderne qui ne manquait pas d’un certain esprit. Dans le
livre
qui vient de paraître, Mimi Bluette (Milano, Bald
s. Le groupe futuriste a beaucoup donné, mais la plupart des derniers
livres
de l’école ne sont pas — à l’exception de Piedigr
lettré. Prologhi (Milano, Studio Editoriale Lombardo) est son premier
livre
. Il avait collaboré à la Lirica de Rome et à la V
r aux premières places. Les journalistes ont beaucoup loué le dernier
livre
de M. Rosso di San Secondo (Ponentino, Milano, Tr
iture n’a rien d’étonnant. Pour être complet il faut citer aussi deux
livres
de critique : le premier volume de la Storia dell
sa valise, pendant sa mission journalistique en Italie, un excellent
livre
. Il a pour titre : L’Italie en armes. Peu ou pas
cela forme un tout amusant à lire et instructif. C’est évidemment le
livre
d’un homme de presse, mais aussi un document pour
ns que M. Serge Basset, que le journaliste a notées. C’est en plus un
livre
original et je n’en connais point beaucoup d’autr
st le cas d’un impérialiste italien, Enrico Corradini. Dans un de ses
livres
, la Vita nazionale, paru en 1907, il précisait dé
le pauvre acteur poète est incomparable. Il me semble, en ouvrant ce
livre
, que j’ouvre une fenêtre sur la rue morne et gris
profiteurs de guerre : « Je ne voudrais pas laisser paraître ce petit
livre
sans avertir le lecteur qu’il n’y trouvera rien q
porte aux événements actuels. » Non, en effet, il n’y a dans ce petit
livre
que l’immense histoire de l’humanité pensante et
el Letalle : Les Fresques de Florence, 5 fr. (A. Messein) Quant au
livre
de M. Abel Letalle sur les Fresques de Florence,
za dell’Arte, Perrella, Naples M. Aldo de Rinaldis publie dans son
livre
la Conscience de l’Art une longue variation idéol
seul compliment que nous pourrons leur adresser — d’avoir écrit leur
livre
en allemand, car chez nous ils auraient probablem
ait depuis bien longtemps). […] Philosophie. Ricciotto Canudo : Le
Livre
de l’évolution, l’Homme. Psychologie musicale des
fort scientifique des temps modernes apparaissent dans son ouvrage Le
Livre
de l’évolution : l’Homme, comme autant de manifes
’illustration, des planches tirées hors texte, le soin avec lequel le
livre
a été présenté et qui fait le plus grand honneur
our les rares voyageurs qui se soucient encore de ses monuments ». Au
livre
enthousiaste de M. de la Sizeranne, et à la magis
ales ; comme le dit fort justement le traducteur dans sa préface, son
livre
a « le mérite de s’adresser à un public moins res
en 1877, en fait l’aveu : « Les idées religieuses enseignées dans mes
livres
, et en raison même de leur sincérité, sont suscep
qui pourra rayer bien des vitres : « Tout écrivain à qui j’offre mon
livre
me donne envie de l’avoir écrit autrement. » A
e l’ouvrage eût été à la rigueur suffisant à passer en revue, dans un
livre
de vulgarisation comme celui-ci, les Niccolo Fior
stes, les critiques d’académiciens qui en accentuaient la portée, les
livres
et journaux des néo-royalistes confirmaient dans
atriotes, c’est de communiquer son admiration pour les maîtres et les
livres
qu’on a élus pour directeurs. § Depuis quelques a
Sibilla Aleramo dont M. Pierre-Paul Plan vient de traduire Une femme,
livre
féministe sobre, fort, angoissant de vérité, qui
ait, en quelques mois, publié tant d’aussi attentifs et bienveillants
livres
de critique sur notre production. Non seulement M
gi Pirandello et Alfredo Panzini. Nous serions curieux de savoir quel
livre
italien recueille parallèlement d’aussi intellige
supérieurs — à un Nietzsche non seulement pour la haute nouveauté de
livres
prestigieux comme le Bilatéral, Vamireh, l’Impéri
contemporain. L’œuvre critique que lui a consacrée Jean Dornis est un
livre
réfléchi, clair, méthodique, qui nous fait assist
s de les préciser et de les resserrer : comme il nous dévoila dans ce
livre
varié, aussi attachant que substantiel, l’effort
ondain où l’observation est plus facile. Il apparaît, quand on lit le
livre
de M. Maurice Muret, que la nouvelle littérature
portent dans leur communion même une condamnation de l’entreprise. Le
livre
semble s’adresser en effet plus aux Italiens, qui
ecueil plus ou moins hybride. Malheureusement le caractère hybride du
livre
n’est pas seulement, dans sa langue. Il est fonci
demandait de choisir quarante volumes « types » dans trois séries de
livres
: de philosophie, de morale, de littérature. Cent
réponses remplirent de nombreuses pages de la revue, et composent ce
livre
, qui se complète par une introduction, une préfac
s de l’enquête ? Il n’aurait pas écrit les pages de sa préface, et le
livre
dont il occupe le seuil aurait été classé dans le
’il faut les chercher. Les organisateurs ne se sont pas demandé si un
livre
de création artistique, à quelque genre qu’il app
de ses énergies dans l’oubli esthétique. L’opposé direct et absolu du
livre
de création d’art ou de création, tout court, est
absolu du livre de création d’art ou de création, tout court, est le
livre
de culture : l’un est fait par le talent d’un cré
teurs de l’enquête n’ont pas demandé à leurs correspondants le ou les
livres
capables de les élever au-delà des contingences,
sous sa main le flacon bienfaiteur. Ils n’ont pas demandé quel est le
livre
que l’intellectuel cénobite voudrait avoir toujou
éral qu’on ne le croit. Tel, qui connaît quelques titres immortels de
livres
dont le charme dans le monde s’exerce surtout par
réjouissent de leur initiative. Soit. Au moins qu’on épargne dans un
livre
moderne l’affirmation des tendances vers « le vra
auté et de culture, ainsi que l’a fait M. Henri Mazel. L’appendice du
livre
contient les listes paradigmatiques données par A
u jeune écrivain des Romagnes. Cependant, l’esprit qui anime ce petit
livre
, et la volonté panique qui régit le mouvement de
ont toujours dédaignés. Les jeux sont nombreux et forts. L’idée de ce
livre
a un défaut d’origine très grave : elle est symbo
a liberté est arrivée ! Est-ce là la signification morale de tout le
livre
? Et par quelle aberration esthétique y a-t-il de
ortira tout rafraîchi. Pour ma part, je garde une reconnaissance à ce
livre
qui m’a fait communier si divinement à ce que j’a
eur G. van Oest, à qui l’on doit depuis quelques années tant de beaux
livres
sur l’histoire de l’art — entre autres une somptu
ie25 ; in-folio, 100 planches avec notices, table et p. d’introd.) Ce
livre
de dessins, si précieux pour la connaissance des
Lacroix (Bibliophile Jacob) déclarait, dans une note du catalogue des
livres
de M. Dutacq, que Casanova était incapable d’écri
écessairement plus lent, nous font venir assez tard aux deux derniers
livres
de l’historien regretté et rendent également tard
à cette mémoire. Cet hommage n’en est pas moins sincère, et quant aux
livres
, c’est précisément faire leur éloge que de dire q
de la France sous les premiers Capétiens (987-1180) est peut-être le
livre
le plus fou qui se soit écrit sur les débuts de l
t caractérisé avec une netteté magistrale. Il faudrait citer aussi le
livre
de Luchaire sur les Communes françaises à l’époqu
de la sorte cinq ou six monographies successives, qui ne font pas un
livre
. Nous touchons ici du doigt, chez un historien po
Davray. Tome LXXX, numéro 290, 16 juillet 1909, p. 365-371 [367]. Un
livre
intéressant et bien fait est le volume de Mr Lacy
de Mr Lacy Collison Morley sur Giuseppe Baretti and his Friends, — un
livre
qu’il était malaisé de faire bien, car il y faut
rce qu’immuable du sort antique : la « norme » contre laquelle Phèdre
livre
son âpre combat romantique. Et autour de toutes l
emetti, Zanichelli, Bologne Entre une tragédie de d’Annunzio et un
livre
de poème de Pascoli, le public italien a à peine
que son dernier descendant prononce, la tête courbée toujours sur le
livre
de l’exil. Virgile pense à Mélibée fugitif.
ançaise et la nouvelle poésie féminine italienne m’est offerte par le
Livre
de Titania, de Mlle Térésah. Malheureusement, ici
rquer dans son drame : l’Autre rivage, et qui fait attendre d’elle un
livre
plus personnel, un lyrisme plus « dégagé », plus
un lyrisme plus « dégagé », plus sensuellement sincère, que celui du
livre
de Titania. Federico de Maria : La leggenda d
uquier ignorait la valeur de sa pièce rare et la lui vendait pour… 10
livres
? Mais, aussitôt, il se méprisa d’escompter une a
D’excellentes photographies viennent appuyer du reste le texte de ce
livre
, qui est plutôt une dissertation qu’un historique
er général de l’armée italienne, le général Pollio, qui, dans un gros
livre
sur Waterloo, le nomme le maître des maîtres de l
s officiels franco-italiens en quête de décorations ; et le marché du
livre
est fort habilement mené par quelques éditeurs et
rnalistes qui ne veulent voir en lui que le politicien. Cependant ses
livres
, traduits en plusieurs langues, témoignent d’une
Et l’on sait que d’Annunzio a repris son labeur de romancier avec le
livre
qu’il écrit : Peut-être que oui, peut-être que no
y et au peuple chez lequel il a trouvé une seconde patrie. Le nouveau
livre
de Gorky n’est pas seulement un remarquable docum
italien. Après les actes héroïques de nos marins lors du désastre, le
livre
de Maxime Gorky sera certainement signalé par les
é complète, ces « périodes historiques » de Bologne. On dirait que ce
livre
, qu’il a fallu dégager d’un amas de matériaux et
es qu’il m’ait été donné de lire ces derniers temps se trouve dans un
livre
récent de M. Erminio Troilo : Idee e Ideali del P
cteur ont toute l’importance d’un premier commentaire des Sonnets. Le
livre
se compose essentiellement des Ragionamenti. Il f
le élégant, précis et extrêmement nourri. L’édition admirable fait du
livre
de M. de Luca une sorte d’album que l’on peut con
ue l’on peut consulter avec intérêt. Angelo Sodini : Il « Musée du
Livre
» di Bruxelles, « Nuova Antologia ». Rome M. A
préoccupations au sujet des rapports existant entre la culture et le
livre
, entre la crise du livre et une possible crise de
des rapports existant entre la culture et le livre, entre la crise du
livre
et une possible crise de la culture. Après avoir
r parlé de la Production de la culture en Allemagne et le commerce du
livre
à domicile, M. Sodini s’est occupé du Musée du li
t le commerce du livre à domicile, M. Sodini s’est occupé du Musée du
livre
de Bruxelles. La thèse qu’il soutient, et qui dev
os universités et milieux artistiques de provinces sont méconnus, les
livres
qui ont le plus d’expansion sont des traités ou m
ié récemment (Plon). 87. M. H. Houssaye, après la publication de son
livre
, eut à soutenir les réclamations des descendants
r avec précision à ce moment, alors qu’ils ont pu disparaître dans un
livre
de souvenirs rédige un demi-siècle plus tard. Cet
s affirmations de la volonté d’être du peuple italien nouveau-né. Les
livres
: Juvenilia (1850-1860), Levia Gravia (1861-1871)
pendant les Odes Barbares, en résumant l’orgueil italien des premiers
livres
du Poète, sa joie de se savoir non indigne de la
font sonner toutes les trompettes habiles de la renommée autour d’un
livre
mal réussi, ainsi que le font M. Fogazzaro ou Mme
cs de neige. Le voile vert relevé sur les tresses cendrées, dans le
livre
une Anglaise cherche ces menaces des murailles ro
ane par cela même sur les Odes Barbares, une monotonie que les autres
livres
plus variés, sinon toujours plus profonds, n’enge
eau Poème-synthèse, une nouvelle Divine Comédie. Il n’a pas ajouté un
livre
à ce que j’appelle volontiers l’Évangile moral mé
o. De même que volontairement je ne me suis pas occupé ici du dernier
livre
de M. Edmondo de Amicis, qui a encombré pendant p
e labeur communs. Dans une revue qui leur est spéciale, et dans leurs
livres
déjà nombreux, ils poursuivent depuis quelques an
Papini : Il Tragico, F. Lumachi, Florence M. G. Papini a écrit un
livre
: le Crépuscule des Philosophes, où il chante l’h
’auteur donnerait un congé définitif à la Philosophie. Le style de ce
livre
, comme de tous les travaux de M. Papini, est celu
la Volonté de la Douleur, l’autre à la Volonté de Puissance. Dans son
livre
le Tragique Quotidien, dont le titre semble empru
mais plus ferme, plus cultivé, plus immédiatement précis. Son dernier
livre
: le Tailleur spirituel, révèle un esprit critiqu
éro 109, 1er janvier 1899, p. 197-201 [197-198]. Le seul défaut de ce
livre
est dans son titre. Meilleur que « Les Modernes B
r 1899, p. 242-251 [242-243]. Le Jules II de M. Julian Klaczko est un
livre
d’érudition et de pensée que j’ai eu grand plaisi
ls m’auront oublié et ils auront bien fait, après tout, — de quelques
livres
choisis dans le tas qui est venu s’amonceler sur
s, M. Quaglino s’est toujours gardé presque avec horreur de donner le
livre
clair, frappant, simple et profond. Il a l’imagin
; il s’arrêtera un jour sur ce chemin dangereux et il nous donnera un
livre
complet qui pourra honorer son nom et son talent.
dure depuis le mois de novembre et qui ne prendra fin qu’en avril. Le
livre
dont je parle peut faire les délices des érudits,
mystérieuses de son génie mélancolique et profond. C’est pourquoi ce
livre
de M. de Roberto, qui, patiemment, avec une riche
cher : mais, en dehors de ces raisons subjectives et égoïstiques, le
livre
de M. de Roberto a été salué à son apparition com
uit, il y a quelques années, en l’acclamant comme un jeune maître. Ce
livre
est sans doute remarquable, et son auteur connaît
que, inspirée elle aussi par les circonstances actuelles de l’Italie.
Livre
plein de desiderata, ce qui démontre en M. Vidari
sance ne devons-nous pas à ce marchand milanais de nous avoir cédé le
livre
qu’il avait su remarquer dans les archives d’une
tente où il se plaît depuis quelque temps. Après avoir lancé dans ses
livres
une mitraille d’adjectifs dédaigneux et détonants
s moins un grand mal pour nous tous, comme le dit M. Ferrero, dans un
livre
intitulé précisément : Le militarisme et la Socié
; en Russie, car Tolstoï est un argument universel (il y a aussi son
livre
terrible sur l’Art) ; partout enfin, s’il y a par
ables réputations. Je suppose que, dans l’état actuel de l’Europe, un
livre
de littérature véritable, d’art sincère, ne peut
de le dire en Italie. Et voilà où mène une querelle sur le titre d’un
livre
; — car il s’agit du titre : sur le livre même je
querelle sur le titre d’un livre ; — car il s’agit du titre : sur le
livre
même je suis d’accord avec M. de Roberto et avec
s. À d’autres reste le soin de donner une nouvelle édition des treize
livres
de ses manuscrits, et de distinguer par une criti
rre le protectorat des « États-Unis des Îles Ioniennes », en 1815. Le
livre
débute par une peinture des mœurs corfiotes sous
que grec, l’Odyssée à la main, dit aux Français : « Connaissez par ce
livre
ce que nous avons été. » Dans ses instructions, B
ont. Tome XXXI, numéro 117, 1er septembre 1899, p. 812-814. Voici un
livre
dont, malgré son succès en Italie et en Allemagne
ire ces mots fatidiques : LIQVOR Ce détail n’est pas consigné dans le
livre
de M. Ojetti. Il ne l’a su lui-même qu’en dévelop
lio. Stendhal écrit d’elle, dans Rome, Naples et Florence (ce curieux
livre
où il s’occupe d’ailleurs surtout de Milan), qu’e
’après les documents réunis par M. Barbiera, érudit italien, dans son
livre
récent Figures et figurines du siècle qui meurt.
rines qu’elles contenaient et ne fit de réserves qu’à l’égard de deux
livres
. On continua donc à imprimer librement la plupart
n une méthode personnelle les étapes d’un Voyage idéal en Italie. Son
livre
ne manque ni de logique, ni de largeur de compréh
i de-là des observations psychologiques originales, notamment dans le
livre
d’Hermann Grimm, das Leben Michelangelo’s. — Quel
du gardien. Son prisonnier lui ayant demandé de lui acheter certains
livres
: « Je vous ferai prêter des livres par quelqu’un
t demandé de lui acheter certains livres : « Je vous ferai prêter des
livres
par quelqu’un qui est ici, si vous voulez aussi e
immédiatement discutées entre eux. C’est ce qui arrive en effet : les
livres
deviennent une boîte aux lettres, dont Laurent es
ratiqué la cabale toute sa vie. Bien qu’affirmant vingt fois dans son
livre
son incrédulité pour cette science, et il avait l
la croyance à la fatalité et aux événements inscrits d’avance dans le
livre
du Destin. À chaque page, on trouve que telle épo
les démons de toutes les classes. « Ceux qui savaient que j’avais ces
livres
me croyaient un grand magicien, et je n’en étais
active avec le moine continue par l’envoi incessant et journalier de
livres
, d’un cachot à l’autre ; les projets sont ébauché
comment faire parvenir l’esponton au moine ? D’autres objets que les
livres
avaient déjà passé d’un cachot à l’autre, entre a
e semblable. Casanova songe à envoyer son instrument dans le dos d’un
livre
. Il est bon de savoir qu’en Italie les livres, gé
trument dans le dos d’un livre. Il est bon de savoir qu’en Italie les
livres
, généralement, sont reliés en parchemin, et de ma
que son esponton, placé au dos, dépasse de deux pouces la longueur du
livre
; il faut donc un moyen accessoire. Je dis à Lau
naître l’honnêteté de la personne qui avait la bonté de me prêter des
livres
, je voulais lui en faire un grand plat, et que je
parer moi-même. Laurent me dit que ce monsieur désirait lire le grand
livre
, c’était une affaire arrangée. — Fort bien, lui d
n grand plat, le couvre de beurre à le faire déborder, le pose sur le
livre
au dos duquel il a mis l’esponton1, élève le tout
fet sur le théâtre, rien de mieux ; qu’un romancier en fasse dans son
livre
un chapitre charmant, c’est parfait ; mais que l’
cit, par les manœuvres multiples et pleines de péril auxquelles il se
livre
pour faire entrer son échelle dans l’ouverture de
cachot : mensonge. Le jour de l’évasion indiqué par le destin dans un
livre
: mensonge. Le choix de l’époque de l’évasion hab
tous décrits et nommés à partir de son enfance jusqu’au moment où le
livre
se ferme si brusquement ; l’autre part, toute d’i
l’impossibilité. La dépense n’est pas minime, le total monte à 3 991
livres
vénitiennes, réduites par l’expert à 3 236. Et sa
voir, était un volcan. Qui en doute ? Rouvrez votre Énéide au viiie
livre
, et relisez la légende du monstrueux géant Cacus,
ions de Pantagruel. « J’ai montré, dit-il, en analysant le quatrième
livre
de l’immortel ouvrage du curé de Meudon, que le s
qui peut corroborer sa bonne foi et sa véracité. Voici, à propos d’un
livre
italien, Lettres de Femmes à Casanova, un article
n-Âge, l’« âme du Moyen-Âge », se fait plus ou moins chercher dans ce
livre
, où les généralisations psychologiques ne semblen
gie. Mais ce que je sais, c’est que l’on y trouve pleinement, dans ce
livre
, ce que l’on a expressément à lui demander ; c’es
out à fait cette région-là que nous ouvrent les premiers chapitres du
livre
de M. Gauthiez. Je ne parlerai pas d’érudition… I
là, M. Gauthiez est allé, pour Dante, les chercher, non plus dans les
livres
, mais sur place, à Florence et en Toscane. C’est
mis en lui le plus profondément son impression. Et voilà pourquoi son
livre
est non seulement quelque chose de très savant, c
vre un peu son Villani ; et cela me rappelle que j’aurais à parler du
livre
en critique d’histoire. Cela ne me changerait pas
ommençant. Avec une clarté parfaite qui ne fait jamais défaut dans ce
livre
où d’immenses lectures sont souvent résumées, rés
, tandis que M. Monicelli évoque celles du Nord baignée par le Pô. Le
livre
de M. Saponaro (Libero Ausonio), Rosolacci, est é
ne s’intensifie considérablement. Je ne parlerai pas cette fois-ci du
livre
singulier et puissant du Dr William Mackenzie, do
ienne C’est dans ce mouvement pro cultura qu’il faut comprendre le
livre
Mistici senesi de M. Piero MisciateIli, où se meu
le change dans une telle mesure que le Bibliophile Jacob affirmait le
livre
être l’œuvre de Stendhal. Si l’erreur est flatteu
nt Casanova, autrement intéressant que le récit de ses fredaines. Son
livre
fourmille de ces pensées qui montrent la lucidité
es prisons de l’Europe ; comme Silvio Pellico, il aurait pu écrire un
livre
intitulé Mes prisons. Emprisonné à Venise sous le
ans, des nouvelles ou un journal, des relations de voyages ? C’est un
livre
à coup sûr intéressant, attachant comme la galeri
les uns essayent de dépasser les autres est bien la maîtresse page du
livre
. Et on dit que l’on passe les descriptions dans u
re venue de se prononcer. On trouvera, dans les derniers chapitres du
livre
de M. de Colleville, un exposé, — sans critique n
e romaine, notamment en ce qui concerne la nomination des évêques. Un
livre
comme celui de M. de Colleville vaut surtout par
la plus profonde… chaque mot de lui est un trait et chaque pensée un
livre
. Or, pour mettre ses acteurs en scène, Casanova
nnaître l’écueil. S’il continuait, il allait nuire à l’attrait de son
livre
, et le faire fermer par le lecteur qu’il avait ta
t un chercheur dont la somme de travail étonne quand on a en mains le
livre
qu’a publié, sur son œuvre son ami le Dr Dufay. U
r, la tête auréolée du nimbe crucifère, tenant dans la main gauche le
livre
des Évangiles, tandis que la droite se dresse pou
: un petit lit, une table, une chaise et une étagère qui supporte des
livres
. Le lit, dit-on, est fort étroit et j’ai entendu
nzani, du président Dusio et tutti quanti n’ont qu’à lire l’excellent
livre
de Karl Federn sur le procès Murri, livre qui a é
n’ont qu’à lire l’excellent livre de Karl Federn sur le procès Murri,
livre
qui a été traduit en italien et en français. Que
jour le jour ses impressions de théâtre, en Italie. Aussi son récent
livre
: Plays and Players in Modern Italy, a-t-il le mé
’Ampère en épigraphe à la courte préface de Mme Mary E. Lacy pour son
livre
With Dante in Modern Florence. Et pourtant l’aspe
itable et systématique doctrine. Je ne serais nullement étonné que ce
livre
se vendît en Italie, à l’heure présente, par mill
n. Et ce qu’il y a de plus nouveau, aussi de plus discutable, dans le
livre
, ce sont les idées de l’auteur sur les rapports q
d’amour, avec d’identiques développements sentimentaux et bavards. Un
livre
inutile. Pierre de Bouchaud. Les Poésies de Mi
Poésies de Michel-Ange et de Vittoria Colonna. Grasset De même, le
livre
que M. Pierre de Bouchaud consacre à la Poésie de
aud consacre à la Poésie de Michel-Ange et de Vittoria Colonna est un
livre
sans signification. Si je comprends pourquoi M. M
ou Mme Jean Dornis sentent le besoin de donner de temps en temps des
livres
sur la littérature italienne qu’ils connaissent e
discours, synthétique comme les opérations de la conscience, qui nous
livre
la tension même de la vie mentale de l’orateur, e
ne sorte de catalogue, tout ce que l’on peut trouver dans le corps du
livre
: habitants, mœurs, villes, fleuves, montagnes, r
l’amour, tandis que la littérature hébraïque nous montre au début du
livre
de Jonas le goût passionné de l’arbre ornemental,
illet 1912, p. 400-406 [405]. […] La Revue critique des Idées et des
Livres
(10 juin). — Fragments d’une traduction de l’Enfe
e Geffroy aux Musées d’Europe, s’est accrue, elle aussi, d’un nouveau
livre
. Cette fois c’est Florence qu’étudie l’érudit cri
Joseph de Bonne : la Lumière de Sicile (1 vol. in-18, 3,50, Perrin).
Livre
plein de clarté, où l’auteur nous restitue, en ef
ines, — surtout de ruines romaines. Malheureusement tout cela dans un
livre
, même avec le secours de l’illustration, donne pe
s goût et des civilisations trop récentes. — À ce point de vue, si le
livre
de M. Ernest Lémonon donnait à de nouveaux curieu
à jet continu sur le marché scientifique ». La préface de son nouveau
livre
: Essais de synthèse scientifique, est un remarqu
l’auteur, ne serait qu’une simple conséquence de cette propriété. Le
livre
de M. Rignano comprend une série d’études : la va
ls qu’il s’attribuait ou qu’on lui attribuait. Quoi qu’il en soit, le
livre
du Dr Marc Haven est un apport précieux à l’histo
glais et de symbolisme français, fleurie il y a quelque vingt ans, ce
livre
pourrait apparaître d’une très particulière impor
lui, là où lui-même ne sait. De ces « coins d’âme » magnifiques, les
livres
des grands mystiques en sont remplis, ceux de Nov
On a parlé de cela, en Italie, mais à tort, je crois. Arcachon, où le
livre
a été écrit, est loin de Francfort, de l’Ombrie,
nous intéressent de moins en moins, au fur et à mesure qu’il nous les
livre
, à cause justement de l’esthétisme initial qui le
sans vraie joie, sans douleur vraie, qui aboutit, à travers tous ses
livres
, au Martyre de Saint-Sébastien. Sa dernière œuvre
st « l’attitude » qu’il s’était proposée, pour laquelle il a écrit ce
livre
. Elle est belle. Elle est riche de sons, comme un
naissons en nous, comme notre patrimoine. Nous nous apercevons que ce
livre
mystique n’apporte rien à notre réveil mystique,
ice Boutet de Monvel. Lettres scandinaves. Johannes Jœrgensen : Le
Livre
de la route, traduit par Teodor de Wyzewa, Perrin
t à la publication de l’ancienne revue symboliste Taarnet. Le premier
livre
d’inspiration catholique de M. Johannes Jœrgensen
Johannes Jœrgensen, avant sa conversion, fut publié en 1895. C’est le
Livre
de la route, dont M. Teodor de Wyzewa vient de no
e, est, au fond, un acte de volonté. Et le passage le plus curieux du
livre
est celui où son désir, avec une habileté subtile
ie, et ne cherche pas plus avant d’autres explications. Mais dans ses
livres
, on peut retrouver « la vérité psychologique » de
oman Colombes et Vautours, de Mme Grazia Deledda, qui revient avec ce
livre
à son « genre » frivole, régionaliste, après la m
pour faire comprendre la signification et la portée de son étude. Ce
livre
, dit-il, n’est pas un livre de philologie, et il
gnification et la portée de son étude. Ce livre, dit-il, n’est pas un
livre
de philologie, et il ne cherche pas à faire l’ana
à faire l’analyse et l’histoire des paroles. Il n’est pas non plus un
livre
de psychologie, car il ne se donne pas pour but «
qu’elle résulte de l’examen des mots que ces groupes ont créés ». Ce
livre
est un essai sociologique, qui, sans oublier le s
t les forces du milieu où vivent les hommes et le groupe lui-même. Ce
livre
se demande donc pourquoi les groupes sociaux crée
amaran : « Casanova fiancé. » […] La Revue critique des idées et des
livres
(10 octobre) : — « De quelques voyageurs français
es carreaux. Sur une petite table, un bouquet de roses fraîches et un
livre
; mais aucune tenture, qui, par la couleur, pût m
pouvait aussi bien servir à un homme pour se raser : un bouquet et un
livre
ne désignaient pas nécessairement une femme, et r
nagée, elle pouvait distinguer un coin de ma commode. Je disposai des
livres
, des gravures et des fleurs. Puis je me dissimula
ciproque. De temps en temps, pour allumer une cigarette et prendre un
livre
sur ma commode, je me levais, je jetais un regard
m’enfermais dans ma chambre et que ma table était toujours chargée de
livres
et de papiers, elle supposait que je travaillais
Angleterre, si différents cependant. Nous devons déjà à Mr Lucas des
livres
sur la Hollande, sur Londres, et sur Paris. Il no
e de fourrer sa canne dans le dos d’une semblable reliure verrait son
livre
rester obstinément ouvert et, le diable dût-il s’
es négations, des efforts de preuves. Foscolo n’eût pas avancé que le
livre
était un roman, et l’auteur un être imaginaire ;
e, est tout de même plus avancé, comme on peut voir par l’intéressant
livre
que viennent de publier L.-H. Jordan et Baldassar
inuant pourtant sa voie. Pour les détails, je renvoie à l’intéressant
livre
de Jordan et Labanca (chapitres VIII, IX et X) et
ui consacre à ce qu’il appelle la nuova arma , l’automobile, tout un
livre
particulièrement compréhensif. Mais, à son sens,
date de 1594. Les physionomies des papes sont assez incolores dans le
livre
de M. Rodocanachi ; ce n’est guère même qu’une no
diseuse à la Gaieté-Lyrique. Échos. À propos de « Stendhal et ses
livres
» (Mercure, 16-XII-1909.) Camille Pitollet, doc
67-569]. Dans l’intéressant article de M. Ad. Paupe : Stendhal et ses
livres
, il est dit, p. 656, que « Stendhal sollicitait d
ou cinq grandes littératures de l’Europe occidentale pour composer le
livre
qui nous manque encore sur Stendhal plagiaire ? D
t l’art comme miroir de la vie que comme un auxiliaire de la foi. Son
livre
, l’Art, la Religion et la Renaissance, n’est du r
e, telle délicieuse figure de la Dispute du Saint-Sacrement : pareils
livres
sont très précieux et pour les érudits et pour to
time. Mais ici le texte seul suffit à retenir le lecteur. Dire que le
livre
est mis au courant de toutes les découvertes de l
s lettrés. La réunion de ces dons lui a permis d’écrire sur Titien un
livre
unique et incomparable, et cela pendant longtemps
avais à lui faire un compliment au lieu de donner une critique de son
livre
, la Sicile, je dirais volontiers : c’est l’intell
sous des aspects que de suite on sent véritables. — J’ai dit que son
livre
sur la Sicile est une œuvre de pensée et de déduc
en faire un reproche, trop de pensées et trop de déductions. C’est le
livre
d’un raisonneur, qui s’écoute et se note, parfois
’aperçus ingénieux et de justes critiques. — C’est assez dire que son
livre
vaut d’être lu, et mérite d’être gardé. Les Re
antaine d’opéras, érudition assurément exceptionnelle aujourd’hui. Le
livre
de M. Tiersot fournit à cet égard des renseigneme
scuter ces défauts. Il ne semble pas que Mme Wiel ait voulu, dans son
livre
, épuiser le sujet. Le magnifique développement de
Vittoria Aganoor-Pompily était toujours très noble. Elle a écrit deux
livres
qui lui assurèrent la popularité : la Légende éte
t trop, la composition « musicale » de sa prose suffirait à mettre ce
livre
parmi les œuvres qui contiennent quelques bonnes
renouveau. Mais soit dans la forme, soit dans la matière même de son
livre
, l’écrivain ne donne ici véritablement que des «
x élégances, à fouiller les deux intimités ». Les qualités réelles du
livre
sont surtout dans la suggestion singulière qui se
amais ». Il ne faut pas chercher une signification d’ensemble dans ce
livre
précieux. Deux masses humaines sont en présence :
’en avertir. Cependant, malgré ma mauvaise humeur, j’ai voulu lire ce
livre
avec une attention d’autant plus grande que l’on
la raison, comme la vie quotidienne, nous ennuie encore plus dans les
livres
qu’entre nos quatre murs. Je ne recommande pas la
! » M’est avis, Messieurs, que cette phrase, copiée au hasard dans un
livre
où il s’en trouve beaucoup de la même valeur, dev
attendant on ne peut que louer M. Aldo Ravà de son excellent et beau
livre
sur Pietro Longhi, et souhaiter que les autres Vé
notes cursives, au jour le jour, selon la marche des événements. Son
livre
, alerte, verbeux, — peut-être un peu trop déclama
es-unes des délicieuses impressions qui charmèrent dans son précédent
livre
, Heures d’Ombrie. Ce sont encore des flâneries et
sise, dans Heures d’Italie ; le chapitre sur Montefalco dans les deux
livres
. — Au moins pouvait-il prévenir, car il semble qu
balafrée, il tue le remplaçant. Assunta Spina, héroïque par amour, se
livre
à la justice, en s’accusant d’avoir été la meurtr
vement ces légendes, et de plus nous a laissé l’œuvre d’art qu’est ce
livre
d’histoire. Ces « raisons simples », comme nous d
cellemment l’histoire mouvementée de Bologne, et il y a pour clore le
livre
de M. P. de Bouchaud une très bonne étude de la p
de lui une renommée vague de romancier bizarre et satanique, dont les
livres
— le terrible Non et le très immoral Au-delà — ne
illustre sa conception morale et philosophique de la famille dans ce
livre
fondamental qui est Mariage et Divorce ; qu’il él
plus étendue, et physiologique de la manière la plus entraînante. Le
livre
de M. Torrefranca a une importance certaine dans
ient de publier Giulio Nelli ou l’Atavisme dans la Foi socialiste, un
livre
assez singulier sur ce sujet. Quoique conçu dans
entimentale des lettres du goethien Werther ou du foscolien Ortis, ce
livre
se révèle moderne dans la large part que dans la
umaine exprimé par les mots : pardonne-leur… Mais la belle qualité du
livre
de M. Cosimo Noto, que préface fort savamment Gui
mme suprême élévation la croyance en l’immortalité de l’âme. C’est un
livre
de vulgarisation populaire de la science. Mais ce
ision vénitienne que grava Abel Hermant au début d’un de ses derniers
livres
, les Affranchis. On sait que cet excellent peintr
uvrement ? Ne finiras-tu point, et cette fillette deviendra-t-elle un
livre
? Fais-nous entendre un discours plus sensé. » Il
ein Unicum ist. » 7. M. Morasso, la Nuova Arma (la macchina), 1905.
Livre
extrêmement intéressant. Pour M. Morasso, l’homme
ualités incomparables d’un tel génie. Mais ce qui manquait c’était un
livre
qui nous mît en contact direct avec lui. Seuls le
torio Pica, dont tous les littérateurs ont apprécié, naguère, le beau
livre
de critique française Littérature d’exception, où
re prodigieux, un rénovateur audacieux et savant de l’illustration du
livre
et du journal ; il fut aussi un héros et un marty
ns les soixante petites effigies qui accompagnent les deux volumes du
Livre
des Masques de Remy de Gourmont, une technique qu
tion du malheur et que la protection des savants et l’acquisition des
livres
excellents sont parmi les plus nobles tâches », e
enal d’arguments pour les œuvres noires ou lumineuses. Il remplace le
livre
aux éternels litiges par le Cosmos. Il a raison,
t orienté autrement que l’humaniste, pour oser secouer l’hégémonie du
livre
et surtout du livre sacré. « La connaissance du
que l’humaniste, pour oser secouer l’hégémonie du livre et surtout du
livre
sacré. « La connaissance du temps passé et de l’
. L’Amoureuse dont on ne connaît que le chiffre, Ph., qui a laissé un
livre
de souvenirs sur Nietzsche, encore inédit, mais d
vant les objets transmettent leur impression à la sensibilité qui les
livre
au sens commun et celui-ci, en qualité de juge, p
onnaissaient les Vedas et l’Avesta, ils abandonneraient la défense du
livre
juif ; l’origine des croyances et leur mutation r
ctivité cérébrale, le dévot contre son pilier, le raisonneur avec ses
livres
et le savant en son laboratoire, font tous trois
nt dans l’Intermédiaire vers 1867. Il publia, sur ma demande, dans le
Livre
(année 1881), 4 articles remarquablement document
e lot de M. d’Ancona. J’en publiai une grande partie dans ma Revue le
Livre
en 1887 (février-août) et 1889 (mars, octobre, no
n voit sur la scène un personnage de jeune paysanne hystérique qui se
livre
en toute liberté à ses crises, le corps tordu, le
nt le public français connaît les travaux, vient de faire paraître un
livre
: Recherches sur les Paysans (Ricerche sui Contad
s remarquables. Il fait l’anthropologie des classes pauvres. Dans son
livre
récent, il montre avec une grande netteté le fond
Des Anecdotes italiennes, tirées de Rome, Naples et Florence, un des
livres
les moins connus de Stendhal, et peut-être le plu
e Stendhal pour la vie que l’on menait à Milan, et, en lisant ce beau
livre
, on se sent vraiment humilié de notre pudibonderi
on blanchâtre d’un mauvais Goldoni. On y publie de bons et de mauvais
livres
de documentation italienne. On y traduit des livr
ons et de mauvais livres de documentation italienne. On y traduit des
livres
médiocres et on remplit d’eux le feuilleton de qu
rgiens du xixe siècle. Edmond de Amicis put ainsi réaliser avec ses
livres
les plus gros succès de librairies de l’Italie, p
es livres les plus gros succès de librairies de l’Italie, puisque son
livre
Cœur, traduit même en japonais, a atteint, et je
rtout par la naïveté de sa psychologie. On ne peut pas lire un de ses
livres
sans être ému, ainsi qu’on ne peut pas assister à
ieuse. La réhabilitation entreprise par M. de Mun et l’intérêt de son
livre
, parce qu’elle renouvelle du même coup le sujet e
mbardi à qui nous devons des monuments d’un goût si pur. Voilà qui me
livre
décidément le secret de l’architecte vénitien. Il
lmo jusqu’à Dante, avec la traduction de la Vie Nouvelle de Dante. Ce
livre
fut plus tard réimprimé sous un titre plus simple
art italien, ou ils écoutaient le père Rossetti épiloguer sur quelque
livre
nouveau, dont il pouvait dire, éloge suprême ! qu
s poèmes nouveaux, et c’est ainsi qu’il parut, enfin, en 1870. Peu de
livres
ont obtenu du public lettré une faveur aussi immé
der quelque grand mystère de la philosophie. Après le triomphe de son
livre
, sans négliger son beau labeur de peintre, il rep
x étaient des mondes que Dieu a trouvés beaux ; Tous ceux-ci sur le
livre
de la Nature mêlaient leurs haleines, Leurs bras
volume d’impressions, point pédant, point sentimental ni érudit ; le
livre
d’un pèlerin mystique et dûment informé, mieux en
le livre d’un pèlerin mystique et dûment informé, mieux encore que le
livre
d’un curieux ; un volume de réflexions sincères e
c’est toute la vie en effet qui entre dans le domaine de l’art et le
livre
nous offre de précieuses observations sur les ten
de la vie du désert et des insertions du Cantique des Cantiques et du
Livre
des Proverbes » !… Lorsque les époques ont un hom
ait pas voir le péril, décrétait qu’il n’existait pas. Il y a un joli
livre
de M. Philippe Monnier là-dessus23. Pourtant, en
mon gré, en irritant le lecteur qui ne cherche que la poésie dans un
livre
de poèmes, et non les expressions de la pitié d’a
Hachette a publié une réédition très augmentée et remaniée du curieux
livre
de M. l’abbé Thédenat sur le Forum Romain et les
se 26, M. Remy de Gourmont nous prouve que la Vita nuova n’est pas un
livre
vécu : Après avoir écrit, au hasard de son cœur,
endance crédule, distinguait mal la vérité de l’allégorie ; on lut le
livre
; il parlait d’amour, les femmes le vantèrent, s’
, Soc. Tip. Ed. Nazionale, Turin On peut considérer aussi comme un
livre
de critique, mais point philosophique, et simplem
temps que son poème, la Ville charnelle, M. F. T. Marinetti publie un
livre
de critique : Les Dieux s’en vont, d’Annunzio res
t ou expriment des idées nouvelles. » Avec Raymond de Sebonde et son
Livre
des Créatures, la distinction des vérités naturel
ologie », ce sera un barbare et s’il abandonne l’interprétation de ce
livre
si lointain, si obscur, si disparate à la fantais
ant. Si, fermant le traité de la Religion chrétienne, nous ouvrons le
livre
de l’Immortalité des âmes, nous y trouverons la p
ait le rosaire. Le jeudi gras de 1498, un autodafé consuma un amas de
livres
, d’images et de tableaux, à l’instar du bûcher d’
et de tableaux, à l’instar du bûcher d’Éphèse, où saint Paul jeta le
livre
des mystères. Sa plus grande violence s’exerça co
cepte les annotations d’Érasme au Nouveau Testament et la dédicace du
livre
de Hutten sur la Donation de Constantin ; il obéi
ance, Heytmer en Allemagne, Bazzono en Vénétie cherchent pour lui les
livres
rares ; il paye cinq cents sequins un Tacite plus
is s’incorporer à elle. Le catholicisme ayant pour textes sacrés deux
livres
de langue morte, l’un hébreu et l’autre grec, tou
e de caste, le latin, il était fatal que l’étude s’étendît aux autres
livres
de ces trois langues pour en tirer des éclairciss
à l’irresponsabilité et au fatalisme moral. Ouvrons au hasard un des
livres
les plus purs : l’Imitation : « Préfère toujours
l. Tome LXXV, numéro 271, 1er octobre 1908, p. 510-516 [512-513]. Le
livre
de M. Ed. Gachot, le Siège de Gênes (1800), appar
p. 529-533. Mario Morasso : Domus Aurea, Bocca, Turin Le dernier
livre
de M. Mario Morasso est consacré à la glorificati
es éclats, a trouvé en M. Morasso un chantre digne de sa renommée. Le
livre
est en prose, mais il nous apparaît comme un énor
âtral et dramaturge italien, M. Edoardo Boutet. Ce qui caractérise ce
livre
est le souffle idéaliste qui l’anime tout entier.
p. 699-702 [700]. Il m’est resté une excellente impression du premier
livre
de M. André Maurel sur les Petites villes d’Itali
cela. Certains de nous étaient au régiment, d’autres en sortaient. Ce
livre
, « tout imprégné d’art », ce véritable bréviaire
leure, ainsi que de plusieurs autres poèmes de Rossetti, dans un joli
livre
, sur les Préraphaélites et l’Art décoratif anglai
esquels les portraits de famille, puis des faïences, des meubles, des
livres
, des bronzes, et enfin les antiques, où figuraien
passait la poche. « Un cadeau du roi, répondit Villari, sans doute un
livre
précieux. » Et tirant l’étui, il l’ouvrit et vit
c la presse d’outre-Rhin, nous dit d’autre part H.-G. Wells, dans son
livre
sur la Guerre et l’Avenir, c’est l’idée que les n
re poète Aventin dont il s’agit, je rappellerai que seul le troisième
livre
est classé dans la liste des livres proscrits, in
rappellerai que seul le troisième livre est classé dans la liste des
livres
proscrits, indiqués au catalogue connu sous le no
; le sort de tous les alliés y est en jeu. Dans l’intense lutte qu’on
livre
aujourd’hui entre la Brenta et la Piave, le Mont
tonne (Artois, Italie), et qui restera peut-être un de ses meilleurs
livres
. […] D’Italie, il a rapporté encore des impressio
trie affrontant les difficultés suprêmes ; — ou alors au carrefour se
livre
un combat décisif. On a proclamé la concorde nati
neutralité belge n’a rien à y voir : il n’en est question ni dans le
livre
vert, ni dans le traité de Londres du 26 avril 19
i fait connaître ici même et j’ai ensuite traduit les deux admirables
livres
de Luigi Barzini : Scènes de la grande Guerre, qu
e lumière de la péninsule, dont il a tiré des tableaux de valeur. Son
livre
est à lire et il reste que plusieurs de ses chapi
8, 348]. André Maurel : La Jeune Italie, Émile-Paul, 3 fr. 50 Le
livre
de M. André Maurel, la Jeune Italie, pourrait, pa
hn. Tome CXXVII, numéro 479, 1er juin 1918, p. 505-513 [509-511]. Le
livre
de M. Focillon sur Piranesi est un livre utile, c
18, p. 505-513 [509-511]. Le livre de M. Focillon sur Piranesi est un
livre
utile, car Giovanni Battista Piranesi, que nos ro
universellement connue, Piranesi avait sa légende. Elle est, dans ce
livre
, réduite de la façon la plus plausible. On admet
s duquel le cliché, pour assez longtemps, a été tenu pour valable. Le
livre
de M. Focillon n’est point une remise en place, e
ste, Figures italiennes d’aujourd’hui, M. Jules Destrée nous donne un
livre
fort intéressant. Il était mieux qualifié que per
es hommes politiques, et son ardeur à agir n’a point été stérile. Son
livre
n’est pas seulement, comme on pourrait croire, un
raiment d’intérêt faible. Au contraire les développements auxquels se
livre
l’auteur dans l’intérieur de ce cadre sont tout à
r une âme ! » Et ceci donne raison à Renan lui-même déclarant que son
livre
, dont les évêques du temps se scandalisaient si f
uestion, et de dire qui a raison. Nous en avons déjà parlé dans notre
livre
sur « l’Italie et le conflit européen » ; il nous
pour leur interdire de trafiquer des manuscrits, lettres, souvenirs,
livres
et autres documents connus sous la dénomination d
ments connus sous la dénomination d’Archives des Médicis. Ce sont des
livres
et des papiers du xie jusqu’au xviiie siècle, r
et autres maëstri. Il avait aussi publié dans sa jeunesse deux petits
livres
de vers (Libro dei versi ; Re Orso, 1865) où il y
ffici, Kobilek ; La Giostra dei Sensi, Florence, La Voce Parmi les
livres
de guerre — qui sévissent chez nous comme partout
M. Soffici est un des meilleurs prosateurs de nos jours ; son dernier
livre
, La Giostra dei Sensi, qui réunit ses notes et se
Dans le fatras de la littérature guerresque on peut relever aussi le
livre
de Mario Puccini, Dal Carso al Piave, qui raconte
sortir les rapports avec la poésie européenne moderne. Il y a dans ce
livre
beaucoup d’érudition et de bonne volonté, mais on
O. Govoni, Poesie Scelte, Ferrare, Taddei Corrado Govoni, dont les
livres
étaient devenus presque introuvables, nous présen
lé ici même de ce jeune poète qui compte parmi les meilleurs. Avec ce
livre
, il nous offre le moyen de le connaître dans son
za, Florence, La Voce Gente di Conoscenza est le titre du nouveau
livre
de Bruno Cicognani, dont nous avons signalé ici,
vec son premier roman fantaisiste, Sam Dunn è morto. Mais son nouveau
livre
, Io ti amo, qu’il appelle le roman de l’amour mod
cio. Écrits sur Mazzini et sur Marx Mazzini est à la mode : les
livres
de MM. Salvemini, Momigliano, Della Seta et Aless
ianze (dont un consacré à Maeterlinck et un autre à Paul Fort), et un
livre
sur l’Uomo Carducci, où il a tâché de faire reviv
tre à l’intention de prendre des mesures pour que soient éliminés les
livres
qui répugnent au sentiment national et que soient
saxon ! Mais nous ne nous en tiendrons qu’à ce qui est écrit dans ces
livres
: que ce soit science, ignorance ou pédagogie. Un
le côté éducatif, car ne serait-ce pas grotesque de supposer que des
livres
écrits par des gens qui jugent de la valeur de ci
tions aussi urgentes ne permettent pas aux Inspecteurs d’examiner les
livres
antipatriotiques en usage dans ces écoles. Mais,
illé la curiosité de Voltaire, qui voulait en faire usage et citer le
livre
de son ami au moins dans le second tome de son hi
de la lettre, il donne à son ami le conseil de faire passer tous les
livres
qu’il aurait à lui envoyer par l’intermédiaire du
moi, je lirai ses nouvelles pièces… Je vois avec peine, en ouvrant le
livre
, qu’il s’intitule poète du duc de Parme ; il me s
e un volume, dont je ne confie ici qu’un faible abrégé1. » Certes, ce
livre
devrait être curieux et il est regrettable que le
asanova sur la réputation d’Algarotti en Italie, sur le succès de ses
livres
et même sur la valeur de son style, qu’il ne peut
e vos productions qui n’étaient pas encore répandues, et de plusieurs
livres
anglais fort rares et fort estimables. Je compte
rdit pas à lui-même. À l’en croire, Amelot de la Houssaye a écrit son
livre
« en vrai ennemi des Vénitiens » ; son histoire e
ion du Dictionnaire philosophique, a pris plaisir à retrouver dans ce
livre
qu’il a certainement lu des idées qu’il avait osé
mo Ferrero avait tracé le programme des nouveaux travaux dont il nous
livre
aujourd’hui, avec ce premier tome sur Auguste, un
divine trinité si étrangère à notre humaine vérité. Mais de ce petit
livre
où les idées générales abondent je retiendrai sur
au public Lorenzo Stecchetti, poète et auteur de Postuma, en 1876. Le
livre
du pauvre phtisique obtint un succès énorme, inat
es vers une communauté de sentiments, les jeunes filles, parce que le
livre
était interdit. Tous déclamaient les vers de Lore
mort comme poète. Guerrini, dans la suite, eut beau faire, aucun des
livres
de Guerrini-Stecchetti ne connut le succès de Pos
. Cependant, s’il n’y fait guère que potiner d’un bout à l’autre, son
livre
n’est pas sans quelque valeur documentaire pour l
lazard : L’Italie et le conflit européen, Félix Alcan, 3 fr. 50 Le
livre
de M. Jean Alazard : L’Italie et le conflit europ
o-slaves et franco-italiens. On trouvera dans cette seconde partie du
livre
des vues qu’il faut connaître pour bien comprendr
long des voies de Rome et sur chaque pavé de la plus petite ville. Ce
livre
d’impressions est un livre de vérité. Tome C
ur chaque pavé de la plus petite ville. Ce livre d’impressions est un
livre
de vérité. Tome CXX, numéro 449, 1er mars 19
rs, précis, et ils donnent une haute idée de la valeur italienne. Son
livre
, Avec les armées de Cadorna, permettra de voir co
ils sont réunis dans Brandelli, qui est peut-être le meilleur de ses
livres
. On a de lui aussi des poésies politiques (il éta
rt, tout escompté, est triste ; mais il faut bien reconnaître que ses
livres
sont devenus bien lourds. Quand on les a lus jusq
e-cinq ans de labeur acharné et fortuné. Il vient de publier un petit
livre
en trois tomes qui s’appelle La Leda senza cigno
lés. Ce conte remplit avec ses ambages alambiqués le premier tiers du
livre
: le reste s’appelle Licenza. C’est une longue et
nt et réfléchi. Comme réaction à l’abondance verbeuse de ses premiers
livres
et à la manière décorative des dannunziens, il re
tte direction, par M. Baldini. M. Puccini vient de publier un nouveau
livre
: Piccolo Mastro Spirituale (Milano, Studio Edito
il sogno, Torino, Bocca, 1916). En Espagne nous reconduit le dernier
livre
de M. Benedetto Croce, La Spagna nella vita itali
nterprétation nouvelle de la morale originaire de Jésus dans un petit
livre
(Il Vangelo sconosciuto di Gesù, Firenze, Libreri
eau des Républiques italiennes, que trace M. Pierre-Gauthiez dans son
livre
, se compose de quantité de misères patentes, ou b
s que cette Catherine de Sienne, à qui M. Pierre-Gauthiez consacre un
livre
coloré comme une chronique et précis comme un doc
s de la vie. Au premier abord, les questions traitées dans ce nouveau
livre
paraissent assez disparates ; mais rapidement l’e
de de la mer a fasciné les imaginations. À cet égard, il y a, dans le
livre
de M. Perrier, une histoire merveilleuse, qui res
oïne, Lilli Villepreux, est d’ailleurs une compatriote de l’auteur du
livre
. Née dans un modeste bourg de la Corrèze en 1794,
u monde entier et qui s’étalent à cette heure avec insolence dans les
livres
et dans les actes de l’Allemagne impériale. Son m
par un particularisme maladroit, les résultats de l’œuvre commune. Un
livre
qui a fait beaucoup de bruit en Italie, La Nostra
l. Tome CXXIII, numéro 461, 1er septembre 1917, p. 137-151 [142]. Le
livre
du sénateur italien Ettore Ponti, La guerre des p
ombre au cours des relations qui ont été données jusqu’à présent. Son
livre
ensuite a été écrit, sobrement, mais dans une jol
nzoli racontait dernièrement une anecdote qu’il dit avoir lue dans un
livre
ou une revue dont le titre lui échappe : « En Cr
s’étend plus longuement et qui est d’ailleurs la meilleure partie du
livre
, — le témoignage qui doit demeurer en somme, à pr
on nous a tant rebattu les oreilles, se devait à lui-même d’écrire un
livre
sur Le Génie latin et le monde moderne. Pour lui
re des petits poèmes en prose (Frantumi) et de spirituelles revues de
livres
nouveaux (Plausi e Botte) qu’on va réunir en volu
pendant son voyage cinématographique et entomologique dans l’Inde. Ce
livre
, Alla Cuna del Mondo, n’ajoute absolument rien à
au fond, et sans complications de nobles aventures. Mais la saveur du
livre
réside toute dans la peinture des caractères et d
res de rues, de campagnes et de types qu’on peut glaner dans ce petit
livre
sont des chefs-d’œuvre de spirituelle fraîcheur.
tâche de réduire et atténuer le pessimisme de Leopardi dans un petit
livre
, Un Maestro di Vita, où il s’évertue à confirmer
er un aperçu, pendant la guerre, de la France contemporaine. Dans son
livre
, Lo Spirito Francese Contemporaneo, il prétend qu
Fondi : Chamfort, Pistoria, Rinascimento Il faut signaler un petit
livre
de M. Renato Fondi sur Chamfort, essai de reconst
respondants de guerre est beaucoup mieux organisée qu’en France : les
livres
où ils réunissent leurs impressions finissent par
elle-même a donné des conseils aux femmes de province dans ce curieux
livre
de germanophile impénitente qu’elle a intitulé «
seulement des pamphlets comme ceux d’Ezio-Maria Gray, mais aussi des
livres
de savants sérieux : celui d’Ettore Romagnoli78.
les. Je passerai sur des dissertations quelque peu accessoires de son
livre
, concernant l’influence que purent avoir sur la m
bler au moins problématiques. Curieux à plus d’un titre toutefois, ce
livre
était paru avant l’agression qui a rejeté récemme
ique ; rien de plus délicat que ce troisième acte, où la lecture d’un
livre
d’amour fait tomber Francesca dans les bras de so
te nouvelle orientation, je ne sais pas trop quel sort est réservé au
livre
, traqué comme une bête fauve entre le journal et
ie de libraires que je signale à tous les forçats de la chronique des
livres
en les engageant à faire comme moi. Dans le doute
sur l’argument, car le drame paraîtra aussi en volume. Le dernier
livre
de Guglielmo Ferrero Un livre dont on a parlé
îtra aussi en volume. Le dernier livre de Guglielmo Ferrero Un
livre
dont on a parlé beaucoup, et justement, ces derni
un relief puissant ; le monde romain fourmille de vie et d’action. Ce
livre
est le fruit de plusieurs années de recherches di
votes méditations de saint Bonaventure (Venise, 1487). Les bois de ce
livre
fort rare appartenaient à un livret xylographique
res Écoles et débuté par des chefs-d’œuvre dans l’illustration de ses
livres
. Je ne sais s’il est possible de voir quelque cho
voir quelque chose de plus parfait et d’aussi attrayant que ces deux
livres
: Medici (Lorenzo di). Ballatette del Magnifico L
Artistes oubliés, 179 illustr., 7 héliogr., Ollendorff, 20 fr. Le
livre
de M. Fournier-Sarlovèze, Artistes oubliés, donne
: timeo hominem unius libri ; c’est une bêtise : l’homme d’un seul
livre
n’est souvent qu’un sot, et l’homme d’une seule s
oire à la tragédie, quoiqu’il soit ami de M. d’Annunzio. Et alors son
livre
est frais, vif, malicieusement débonnaire, et on
ais il s’agit d’un défaut qu’on pourrait reprocher à presque tous les
livres
de ce genre, qui décèlent en même temps le talent
aujourd’hui la mesure de son talent historique et littéraire avec ce
livre
sur l’Empire et les femmes des Césars ; un sujet
onctuellement à l’échéance la lettre de change de trois mille tant de
livres
que vous avez tirée sur le sieur Marignier, premi
implement un poème épique : depuis René Ghil, qui s’imposait, dès son
livre
initial, tout un programme de travail qui peut em
t foncé du titre encerclé d’or. Le bel effort pour régénérer l’art du
livre
commence enfin à porter ses fruits ! Lettres a
, vous jugez si nous avons été alléchés et si nous avons sauté sur le
livre
. Les lettres de la princesse Palatine sont des le
s persisté et qu’elle s’est mariée. Vous aviez prêté à Ravà un de vos
livres
de chevet, le Portier des Chartreux, et, distrait
exprime une satisfaction absolue : c’est un petit bijou. Mais votre
livre
principal, mon cher Seingalt, a eu de singulières
répondu. J’ai répondu à l’invite de d’Ancona, qui, rendant compte du
livre
de Maynial, supposait bien que mes conclusions ét
pour appuyer ses pieds, mais il traînait un poids mort de plus de 100
livres
, le moine ; il lui fallait trouver une force, c’e
qui lui sortent des poches, entre dans une boutique acheter plusieurs
livres
de balles de plomb pour se rendre plus lourd, sem
me rappelle un soir, où, parce que j’avais lu sur la couverture d’un
livre
ce nom : « Marie de Hongrie », je songeai tout év
fiévreuse, où les as-tu vues ; Ces choses ? Elles ne sont pas Dans le
livre
, (Le Saint, p. 32.) Il est tout entier empoigné
s, le charme des récits et les délicates impressions qu’apportent les
livres
de M. Gabriel Faure. En suivant cette route antiq
Malatesta. — Mais on parle peut-être un peu trop de peinture dans les
livres
de M. Gabriel Faure, et il y a tout de même, dans
chez l’écrivain ; seulement, sa psychologie et son style ont dans ce
livre
une énergie prodigieuse. Le livre est composé, on
sychologie et son style ont dans ce livre une énergie prodigieuse. Le
livre
est composé, on peut dire, de deux « biographies
précise, troublante, comme la suprême parole d’un aveu. Vraiment, le
livre
tout entier résume et révèle les lignes physiques
lignes physiques et psychiques d’un homme, comme un visage ; tout le
livre
est un visage expressif, celui de Cola di Rienzo,
« Académie de la Crusca » florentine, qui l’autorisent à publier son
livre
. Mais que de force, que de poésie suggestive, dan
efs du parti nationaliste italien en pleine éclosion. Eu publiant son
livre
sur Casanova, l’Italien errant, M. Giulio de Fren
me et encore méconnu Cagliostro, jusqu’à Goldoni et tant d’autres. Ce
livre
de M. Giulio de Frenzi, romancier et critique de
écesseur d’Hildebrand, de Jules II et de Pie IX. Dans son remarquable
livre
Gregory the Great, Sir Henry H. Howorth retrace l
emps perdu en festins pendant le jour. Incontestablement donc, en son
livre
, George Sand, par négligence ou par inaptitude, n
hodique et implacable » des Occidentaux n’a pas atteint celle dont le
livre
des Juges nous raconte la sanglante épopée dans l
s Juges nous raconte la sanglante épopée dans la terre de Chanaan. Le
livre
de M. Ottolenghi n’en est pas moins très curieux
ublication en fac-similé, entreprise par M. Victor Goloubew, des deux
livres
d’esquisses de Jacopo Bellini que possèdent le Lo
otices et 5 p. d’introduction ; 100 francs). Comme celui de Paris, le
livre
de Londres semble avoir appartenu, après la mort
ampes sorties de ces premières presses. […] La Vie anecdotique. Un
livre
invraisemblable Guillaume Apollinaire. Tome CI
ublié, il n’y a pas longtemps, quelques curieux renseignements sur un
livre
bien singulier. C’est le Dizionario psyco-mystico
. lib. Mareggiani, 1912). Dans la préface, l’auteur considère que son
livre
, « est appelé à rendre de grands services aux gen
jeunes auteurs sont rares qui consentent à parler d’amour dans leurs
livres
, d’amour tout nu, d’amour tout cru et cependant d
ut de suite à M. Jean Lucas-Dubreton, uniquement connu de moi par son
livre
, La Disgrâce de Nicolas Machiavel, que cet ouvrag
Cela sort de l’ordinaire. C’est mon impression personnelle, et je la
livre
à M. Lucas-Dubreton en lui souhaitant de la prend
nt rapporté par M. Lucas-Dubreton. Répétons-le après la lecture de ce
livre
, il n’y a point dans Machiavel tout ce qu’y a vu
erini, ramène le Médicis. Machiavel est révoqué. Que devient alors ce
livre
du Prince, dont le germe sommeillait depuis le te
la vacillation, la brisure) : le tyran revenu, Machiavel révoqué, le
livre
assemble bien les éléments d’un statut politique
du Maître. Et pourquoi ? parce que, tel qu’il est à ce moment-là, le
livre
est celui d’un fonctionnaire révoqué, trop positi
e César Borgia), sous le jour de laquelle les plus terribles pages du
livre
admettent une interprétation plus relevée, oui, p
ui, presque glorifiante. Devenu « le roman de l’Italie mourante », le
livre
affirme le droit à la vie « en dehors de toute pr
l est la raison d’être de l’homme, l’État. De ce fait, il y a dans le
livre
« une passion patriotique toute nouvelle », et ce
nne foi. Il y aurait encore maintes choses à dire : sur l’économie du
livre
, sur la mise en œuvre des divers écrits de Machia
tés), etc. Qu’il me suffise d’avoir rempli mon devoir à l’égard de ce
livre
, en appréciant ce qui me paraît être, dans ses pa
juin 1913, p. 610-618 [618]. […] La Revue critique des Idées et des
Livres
(25 avril) : — « Machiavel et l’opinion », par M.
d tableau des Maremmes sans accent. De cette exposition comme du beau
livre
aux nombreuses reproductions qu’a publié récemmen
lle se teint les cheveux. VII. I Sonetti lussuriosi — Le vilain
livre
! m’a-t-elle dit, en me le rendant, ce matin… Vou
el, dans l’ombre des colonnades, comme une fleur entre les pages d’un
livre
! Vous avez vu les sources d’Ilissus couler, gout
36]. Dans la même collection, un Titien de Caro-Delvaille est un joli
livre
de peintre, d’une forme un peu lyrique, mais très
joliment et s’en sert pour éclairer les détails techniques ; c’est un
livre
écrit avec soin et tout à fait intéressant. Mu
us loyalement et plus sagement que ne le fit Camillo di Cavour ». Les
livres
importants en Amérique sont célèbres pour leurs b
oseph L’Hôpital, Italica, impressions et souvenirs, nous avons un bon
livre
de choses vues et senties, appréciées et raisonné
nsemble de théories philosophiques et théologiques contemporaines. Ce
livre
: Dante and Aquinas, habilement composé, sera for
Citons encore […] une traduction assez médiocre par William Davids du
livre
du prof. Hauvette : Dante, inleiding tot de studi
autre chose, il y a un climat, comme il n’y en a jamais eu dans aucun
livre
), — j’ai retrouvé là, diminuée quant à la sensibi
M. Robert de la Sizeranne nous l’apprend dans un des chapitres de son
livre
: les Masques et les Visages à Florence et au Lou
acrée à ce prodigieux effort. » Sur le Bernin comme sur l’Algarde, ce
livre
est très renseignant. Un livre est d’ailleurs tou
Sur le Bernin comme sur l’Algarde, ce livre est très renseignant. Un
livre
est d’ailleurs toujours très intéressant, quel qu
ichesse et d’une grande vivacité. C’est pourquoi cet amateur de vieux
livres
reste toujours jeune ; c’est pourquoi nous reconn
rer la peinture française moderne, de Courbet jusqu’aux cubistes (son
livre
sur le Cubisme, édité par la Voce, a été enlevé e
directeur de la Voce, vient de publier (chez Treves, à Milan) un gros
livre
, très renseigné, sur les Français du vingtième si
e son vivant il avait des difficultés à trouver des éditeurs pour ses
livres
: on le lisait très peu. Aujourd’hui on est en tr
, par G. Rémond, et qui est peut-être une des plus curieuses pages du
livre
; des choses humoristiques et jolies sur Ferrare
nnellement, qui, selon l’expression de F.-D. Guerrazzi, écrivaient un
livre
, ne pouvant pas livrer une bataille : et ses mémo
rrière de cet auteur ? J’en doute fort : je retrouve dans son dernier
livre
les mérites et les défauts de son premier roman,
d’Ambra est dédié à M. Hugues le Roux, et ses personnages lisent les
livres
de MM. Margueritte, admirent Verlaine et ils sont
mont. Tome XLV, numéro 159, mars 1903, p. 743‑750 [744]. — Voici un
livre
d’érudition à la fois et de charme, Les Femmes da
of Italy, cr. 8°, viii-364 p., 6 s., Macmillan Voici maintenant le
livre
d’un païen de la Renaissance : Little Novels of I
nt le livre d’un païen de la Renaissance : Little Novels of Italy, le
livre
, et Maurice Hewlett, le païen. C’est une réimpres
même maison Treves ont paru Le Laudi de Gabriele d’Annunzio. C’est un
livre
magnifique, imprimé en caractères rouges et noirs
nt de ces autres qui ont paru il y a plusieurs années dans Myricæ, un
livre
très original qui donna rapidement à M. Pascoli u
e Seingalt, et publiés en janvier, février, avril et mai 1881 dans le
Livre
que dirigeait alors M. Octave Uzanne. Ces preuves
es de fragments de ces manuscrits, qui furent publiés par lui dans le
Livre
en 1887 et 1889. Mais quand disparut le Livre, en
publiés par lui dans le Livre en 1887 et 1889. Mais quand disparut le
Livre
, en 1889, le Casanova inédit prit fin, et n’a jam
her Nachlass Casanova. » Ces casiers étaient placés debout, comme des
livres
, et ils s’ouvraient sur le côté. En les ouvrant l
voyées, des brouillons de lettres pleins de rature, des notes sur des
livres
, sur la théologie, les mathématiques, des calculs
ce ainsi : « Je parie qu’il n’est pas vrai qu’un homme qui pèse cent
livres
pèsera davantage si vous le tuez. « Je parie que
Venise (1770-78) ; de l’Histoire de Venise ; de l’Icosameron, curieux
livre
publié en 1787, prétendant être « traduit de l’An
ocument, que Casanova avait « laissé le soin de l’édition de ce petit
livre
à un jeune Suisse, qui eut le talent d’y mettre 1
du 17 novembre 1797. Certaines de ces pages ont été imprimées dans Le
Livre
, en 1887. Mais de beaucoup le manuscrit le plus i
ne variété extraordinaire de sujets, outre les mémoires et les divers
livres
qu’il publia au cours de ces années-là. Nous le v
ment d’hésitation qui naturellement peut lui venir. Mais si jamais un
livre
fut écrit pour le plaisir de l’écrire, ce fut cel
anova, continuera quelque jour la publication commencée jadis dans Le
Livre
, où fut reproduite la photographie d’un buste de
est le théâtre de l’amoureuse contemplation d’elle-même à laquelle se
livre
une svelte, gracieuse et narcisséenne jeune femme
s extraits mortuaires de Saint-Paul. Son enterrement a coûté quarante
livres
. Élucidée la question Matthioli, la légende du M
fr.) Chaque année la maison Hachette publie un de ces magnifiques
livres
d’art qui font sa renommée. Cette fois il est con
Tome LXXXIX, numéro 325, 1er janvier 1911, p. 200-203. Le dernier
livre
de M. Antonio Fogazzaro, Leila, Baldini-Castoldi,
Esengrini, nous paraissent avoir une certaine importance. Lorsque des
livres
semblables ne se bornent pas à des compilations é
nce. Un grand souffle d’idéalisme passe dans ces pages. Le dernier
livre
de Paolo Mantegazza : l’Anima delle Cose, S. T. E
couleurs, des fleurs, de tous les aspects, de toutes les choses ». Ce
livre
d’un octogénaire à la veille de la mort est touch
dans le cabinet du poète, une vingtaine des plus riches pièces de son
livre
« esgarées parmi de vieux papiers, et corrigées d
fois, l’Italie féodale et guerrière que l’on trouvera surtout dans ce
livre
, parmi des églogues ou des scènes de pèlerinages.
ompéi du Moyen-Âge ; à Subiaco, sur les plages latines, etc. C’est un
livre
d’excursions et un guide qu’il serait délicieux d
u de l’âpre solitude d’un pays des montagnes Apuanes. Là il écrit des
livres
d’histoire, il traduit les annales du Génois Caff
ean Carrère : Terra fremente, T. Landi, tr. Principato, Messine Un
livre
émouvant et beau, né d’une grande émotion ressent
, consciencieusement traduite par M. T. P. Landi. Cette traduction du
livre
du grand journaliste-poète, consacré à la catastr
ntastique (et précis) de la mort d’une ville, deviennent une sorte de
livre
fondamental de la ville nouvellement créée. Et le
des populations éprouvées, mais de celles de toute la péninsule. Son
livre
restera non seulement comme le document et le poè
e ne dit-il pas, dans la préface qui ouvre l’édition italienne de son
livre
: « Durant ces jours de deuil, où spontanément je
329, 1er mars 1911, p. 103-134. Quelques mots sur l’histoire de ce
livre
J’ai passé le printemps de 19.. chez Enéa Aldr
et qui communiquent. Dans l’une — très confortable — sont rangés des
livres
modernes. Brochures et revues traînent sur les fa
aint-Marc. Mais, encore une fois, je ne veux pas vous influencer… mes
livres
, mes cartons de gravures et d’estampes sont à vot
one. Il frémissait devant la vie et la beauté, comme un capitaine qui
livre
sa première bataille, comme un marin qui aborde e
remplacée par une crédulité dont on ne saurait marquer les bornes. Ce
livre
en fournira les preuves à chaque page. Son auteur
de berger. Lorsque mes yeux sont fatigués par la lecture, je pose mon
livre
sur mes genoux et je le contemple, sans jamais m’
n’est pas tenu quitte des promesses qu’il a faites et l’on attend le
livre
que seront les Îles dans la mer. Littérature.
. Pour goûter les architectures, les peintures, les sculptures et les
livres
, il est nécessaire d’être en un certain état d’ex
oir une maîtresse, et pour exprimer son manque de curiosité devant un
livre
, un voyage, etc., il emploie un terme, très carac
’Italie, que le but pratique d’écrire son Histoire de la peinture. Ce
livre
, il ne le composa qu’en des heures vides d’amour
l par M. Louis Matte, dans l’une des trois études dont se compose son
livre
intitulé Crimes et Procès politiques sous Louis X
ienne. Sous ce dernier rapport, il y a, de-ci de-là, à glaner dans ce
livre
. Victor-Emmanuel, qui sut toujours si bien utilis
[400-401]. Comme M. Vilfredo Pareto a raison, dans son amusant petit
livre
sur le Mythe vertuiste et la littérature immorale
Son lyrisme était simple et émouvant, fleur d’un talent très ému. Le
livre
sentimental de Miranda, sorte de Vita Nova très b
endant l’adolescence du romantisme, est un recueil assez répandu : un
livre
tendre et populaire et mondain comme du Coppée et
jeté sur une telle douleur, avec la production précipitée de quelques
livres
, trop discutés par les pauvres d’esprit du monde
et une indication. L’esprit et la forme des poèmes qui composent les
livres
futuristes répondent à l’appel violent des couver
urs cadences, apparaît curieuse et encore une fois indéniable dans ce
livre
traduit par son auteur. M. Marinetti chantait en
o Bellone), etc., et que M. Amedeo Tosti croit devoir publier tout un
livre
, Nemesi carducciana, sur un aspect de la pensée c
valeur documentaire de cette publication, qui constitue peu à peu le
livre
d’or des collections anglaises. Lettres anglai
colossaux, et c’est à ces travaux que Mr J.-A.-F. Orbaan consacre son
livre
: Sixtine Rome, qu’ornent trente-deux illustratio
l de Rome à la mer, dont il est encore question de nos jours. Le beau
livre
de Mr Orbaan reconstruit pour le lecteur la Rome
ro 335, 1er juin 1911, p. 655-661 [657]. La note dominante du nouveau
livre
de Mr Andrew D. White, Seven Great Statesmen, se
n justifiait dans ces termes : « Et se aucuns demandoit por quoi cist
livres
est escriz en romans selonc le langage des Franço
iteurs polonais, d’habitude si timides quand il s’agit de publier des
livres
chers, que les ouvrages sérieux et imprimés soign
e en même temps dans Fiamma, de MM. Pastonchi et Traversi, et dans ce
livre
de nouvelles de M. Saragat. Ce sont des études ré
gnifications importantes, recueillies sous le titre Popolo antico. Un
livre
de lecture facile, qui se rattache à cette littér
ome XCII, numéro 340, 16 août 1911, p. 880-884 [882-883]. Son dernier
livre
, Florence et l’Art, est la troisième partie d’une
séduisant Philippo Lippi et le délicat Andrea del Sarto. Ainsi de ce
livre
résulte une étude vaste et intégrale, intéressant
n-8° de 402 p., 9 gravures hors texte. Rome, 1839. « Stendhal a lu ce
livre
avec grande attention ; il est surchargé de notes
eaux et précis, ainsi qu’en font foi les nombreuses annotations de ce
livre
qui l’avait vivement intéressé. On en trouve la p
NDHAL FAISANT SUITE AU VOLUME I. — « 10 octobre 1840. » « J’achète ce
livre
estimable, raisonnable, mais bien ennuyeux. Tems
culière Mlle Amélia Guglielminetti, et surtout Mlle Térésah. Ce petit
livre
est, nous l’avons dit, le premier essai très comp
dants qui le condamnent. Il n’en reste pas moins que, d’un tout petit
livre
comme celui-ci sur l’Humanisme, une grande lumièr
n faisant, à la suite de la sirène, une Elda Galder ayant consacré un
livre
à la vigueur masculine, événement sensationnel ch
0 [850]. De M. Gaston Grandgeorge, voici encore Toscane et Ombrie, un
livre
de promenades à Pise, Florence, Pérouse, Assise,
ans ses voyages s’inquiète surtout des expositions et des musées. Son
livre
est en somme un guide d’art, — très libre de ses
isme de M. Angelo Conti révélait son essence libre et rayonnante. Ces
livres
étaient dominés par une idée de la Beauté qui, to
de soi demeure et se féconde. Ainsi M. Vincenzo Gerace a pu écrire un
livre
qui est un chant d’appel à tous les inquiets myst
mystiques de l’heure présente. Plus que par sa valeur idéologique, ce
livre
a cette forte et simple « qualité d’âme », qui ém
mente est un recueil au surplus extrêmement agréable à lire. C’est un
livre
de chevet, c’est-à-dire qu’on peut lire avec l’es
s noms de ces deux esprits apparaissent intimement liés dans tous les
livres
de l’un ou de l’autre. Leur fraternité se montre
ement, et qui sont presque toujours très beaux. Les préfaces de leurs
livres
sont dues à l’un ou à l’autre. L’exemple d’une te
ort élégamment à Tripoli. Profitons donc de l’occasion pour ouvrir le
livre
d’enquêtes sociales que sous le titre l’Italie co
ction française de l’Histoire de l’Italie moderne, de M. Pietro Orsi,
livre
où l’on trouve les qualités d’un bon exposé génér
er un, et considérable, en ce qui concerne l’agression italienne. Son
livre
était achevé quand elle s’est produite, et nous n
1er décembre 1911, p. 636-641 [637-638]. M. Jacques Mesnil, dans son
livre
sur l’Art au Nord et au Sud des Alpes à l’époque
d’en donner une excellente reproduction dans la version allemande du
livre
de Gobineau, la Renaissance, édité par Insel-Verl
hio : Il fenomeno della guerra et l’idea della pace. Bona, Turin. Les
livres
pacifistes devraient bien nous venir de l’autre c
onis, dont il sera encore question plus loin, voyez le précieux petit
livre
de M. Salomon Reinach, Orpheus, p. 61. 19. Rien
1911), sous la signature de M. Georges Bourgin. 63. Voir le curieux
livre
de M. J. Benda : Mon premier testament, dont il a
t Alcée qui revient des combats Vers les vierges lesbiennes ? Les
Livres
. Les Déclins, par Sfenosa (Lemerre) Y. Rambos
Wagner et la Walkyrie. […] Tome X, numéro 51, mars 1894 Les
Livres
[extraits] R. de Gourmont [Remy de Goumont].
et même en politique. […] Tome X, numéro 52, avril 1894 Les
Livres
[extraits] Zanoni [A. Zanoni]. Tome X, numéro
elle est infrangible. Tome XI, numéro 55, juillet 1894 Les
Livres
. Vie de saint François d’Assise, par Paul Sabati
ie de son saint, de jolis détails rédigés en style gris. La moitié du
livre
est remplie de laborieuses indications de sources
épanouie et chantante. […] Tome XI, numéro 56, août 1894 Les
Livres
. L’Arte dell’Estremo Oriente, par Vittorio Pica
ru découvrir tout d’abord que si la tête du poète était tombée sur un
livre
, ce livre ne pouvait nullement être un poème d’Ho
ir tout d’abord que si la tête du poète était tombée sur un livre, ce
livre
ne pouvait nullement être un poème d’Homère, mais
t le manuscrit inachevé de la Vita Cæsaris, s’arrête sur un rappel du
livre
VIII des Lettres de Cicéron à Atticus. M. Léon Do
rarque avait ouvert, ou qu’il s’apprêtait à ouvrir pour y chercher le
livre
VIII des Lettres à Atticus et continuer la rédact
iens nous affirment maintenant qu’on ne pourra jamais savoir sur quel
livre
est mort Pétrarque, car l’histoire de sa mort pen
s illusions et des colères, vient de verser un nombre considérable de
livres
aux mille formats et aux mille couleurs, se dégag
ère fois, est le meilleur témoignage de l’état d’âme qui a inspiré ce
livre
très remarqué, et qui est celui d’une grande part
idualisme que fut Nietzsche. On annonce la prochaine publication d’un
livre
d’une femme qui a été jusqu’ici et qui demeure in
té chancelante. L’inconnue, morte il y a quelques mois, signataire du
livre
qui va paraître, a une éloquence, paraît-il, plus
mer infinie et étincelante. Frédéric Nietzsche — dit un fragment du
livre
inédit — croyait, les premiers jours, que je ne c
même pénétrés de telle sorte que M. Max Nordau a cru devoir écrire un
livre
pour combattre cette tendance, qui prêche à l’hum
s d’hommes, n’est suivi par personne ». Pourquoi ? La cause en est au
livre
, « à tous ces moyens indirects de transmission de
stique ou « morbide » est un dérivatif qui sauve le monde moderne. Le
livre
« morbide » y devient « la meilleure défense con
anisme contre la maladie même dont ce bacille est la cause. On lit le
livre
, on y trouve la satisfaction de ses propres tenda
t par instants dans cette foule de demi-malades, si, par bonheur, les
livres
ne venaient continuellement faire dévier en tenda
oïstes, mystiques de toute espèce et de toute école ! En écrivant des
livres
malades, vous travaillez à maintenir dans un état
épique de l’ère chrétienne. Mais l’admiration se comporte en face du
livre
prodigieux comme à l’aspect des grandes cathédral
a eu la traduction de la Bible, c’est-à-dire la mise en critique des
livres
sacrés et en plus les ambages de la Table Ronde,
et méditée, et parfaitement conforme à la loi hébraïque. Le troisième
livre
du traité seul importe : Dieu ne veut pas de ce q
semblables emblèmes. Boccace, qu’on ne lit qu’au lycée, comme mauvais
livre
, avec les Contes de Lafontaine et Brantôme, pour
ons peut-être dans un sanctuaire. Le Convito devait-il avoir quatorze
livres
, comme l’auteur le dit ? Nous n’en possédons que
n possédons que quatre. En apparence, et pour les frelons, ces quatre
livres
ont été écrits pour expliquer trois chansons. Je
de l’agrément. Cette matière sera traitée, s’il plaît à Dieu, dans un
livre
que j’ai l’intention de composer sur la langue vu
er ces observations plutôt générales en une critique malveillante. Le
livre
de M. Roger Peyre, qui nous évoque avec les édifi
i 1907, p. 320-325 [322-323]. Si j’avais à caractériser brièvement le
livre
que M. René Schneider, après un travail qui fut t
e, vient de publier à propos de Rome, je dirais volontiers : c’est un
livre
de déduction, — et, pour m’expliquer mieux, de dé
a rien ici qui ressemble à ce que nous concevons d’habitude comme un
livre
de voyage, soit le récit plus ou moins pittoresqu
et la vie première avec la Villa d’Este à Tivoli. — Toutefois, si ce
livre
abondant et écrit avec le même soin que le précéd
ropéenne ». Ce rare personnage, M. T. de Wyzewa l’a découvert dans un
livre
de M. Piermarini : Ce que j’ai vu à Berlin et dan
rmes grecs qui pussent lui permettre de résumer le contenu des divers
Livres
jaunes ; et se rappelant un mot dont la significa
s avec leurs mensonges ? Tenez, Monsieur — conclut-il en montrant son
livre
de poche, — ne croyez-vous pas que nous ferions b
la biographie du célèbre dramaturge vénitien pour faire pendant à son
livre
sur Molière. Dès ce moment, M. Chatfield-Taylor s
esnil. Tome CXI, numéro 415, 1er juillet 1915, p. 595-599. Il y a un
livre
diplomatique de plus : le Livre vert italien. Tou
r juillet 1915, p. 595-599. Il y a un livre diplomatique de plus : le
Livre
vert italien. Toutes les couleurs de l’arc-en-cie
ement. Je me suis réveillé et j’ai lu avec courage, jusqu’au bout, le
Livre
vert. Vous me croirez si vous voulez, mais je vou
e journaux. Une autre collection de ce genre, intitulée Libri d’Oggi (
Livres
d’aujourd’hui), s’édite à Florence. Comme on le v
e. Le style des monuments, dont de belles reproductions illustrent le
livre
, atteste l’influence prépondérante des civilisati
Ouvrages sur la guerre actuelle. Les Pourparlers diplomatiques : Le
Livre
vert italien ; Berger-Levrault, 0 fr. 90 Edmond
my. Tome CXII, numéro 417, 1er septembre 1915, p. 133-155 [137]. Le
Livre
vert italien, qui embrasse une période allant du
. Tome CXII, numéro 419, 1er novembre 1915, p. 547-558 [547-549]. Ce
livre
du député socialiste belge est un recueil d’artic
pour la Belgique par les actes comme par les paroles. D’autre part ce
livre
est intéressant au point de vue de la psychologie
tendez donc point à trouver sur l’état des esprits en Italie, dans le
livre
de M. Destrée, des considérations générales qui a
péciaux qui sont parmi les plus neufs et les plus personnels des deux
livres
. Sa curiosité ne se limitait pas aux écrivains ou
avait mis l’Arioste à mal. « À quoi bon ? — répondait Voltaire ; mes
livres
sont tous excommuniés. » Mais il semble se souven
l’une et l’autre à propos de Merlin Cocci et de Martelli ; mais il se
livre
avec moins d’abandon, esquive bientôt la discussi
e temps un critique avisé et un romancier subtil et élégant. Quelques
livres
de M. Lipparini, traduits par M. Hector Lacoche,
r l’œuvre de cet écrivain, si peu ou si mal compris par l’auteur d’un
livre
superficiel, hâtif, dépourvu de toute idée généra
sion de l’âme italienne contemporaine, révélé par les 300 pages de ce
livre
, est partagé en quelque sorte par le petit volume
ité, travaillaient, on peut dire, dans une direction parallèle. Leurs
livres
— romans, essais, contes — leur avaient assuré un
Les mots en liberté et le lyrisme synthétique Presque tous les
livres
de poésie dont j’ai cité les titres sont écrits e
ait un roman français qu’il lui ôta des mains : — Qui vous a prêté ce
livre
? — Je l’ai acheté. — Oh ! oh ! sur les conseils
oir aucune expression. — Tout cela me paraît étrange. Elle reprit son
livre
. — Vous ne savez pas ce que je crois, Aurora ? Eh
passionné pour Venise et pour l’Italie M. Rafaël Errazuriz, dans ses
livres
documentés sur la Ciudad de los Dux, montre comme
uer, s’assit dans un fauteuil, à l’angle de la cheminée, et ouvrit un
livre
. John-Arthur travailla jusqu’à la nuit. Le lendem
n paquet qui contenait une mèche de cheveux pliée dans un feuillet de
livre
et où était griffonnée cette phrase : « Adio ! ad
Dans le grand fauteuil, Aurora était assise, les cheveux défaits, un
livre
sur les genoux ; et Pietro Morga jouait près d’el
ppelle que Miss Cangiani a publié il y a quelques années un très beau
livre
sur la Savoie, dont il va paraître une traduction
ans son adolescence et le retiendra toujours. Il a publié son premier
livre
à vingt ans (I Cavalli bianchi, Firenze, 1905). B
suivirent Lanterna (Firenze, 1907) et Poemi (Firenze, 1909). Dans ces
livres
-là — imprimés sur papier de luxe et à très peu d’
uré dans les plus mémorables manifestations futuristes ; ses derniers
livres
ont été édités par la direction du mouvement futu
, 1911). Il ne me reste pas assez de place pour donner une idée de ce
livre
qui est sans doute le roman le plus fantasque et
u’il y a déjà d’original dans ce premier ouvrage de Stendhal, dans ce
livre
qui n’est souvent qu’une traduction. Mais il nous
u’une traduction. Mais il nous expliquera d’abord pourquoi ce premier
livre
d’un romancier est une étude musicale. Ses confes
e constatation, accablante pour lui, que plus des trois quarts de son
livre
avaient été pillés dans Carpani. Le malheureux Ca
ani avait toutes raisons de répliquer à Bombet qu’en premier lieu son
livre
n’avait pas 350 pages, mais 298, et que, sur ces
our, ce qui est beau, c’est ce qui plaît… » etc., sont copiés dans le
livre
de Carpani. L’explication, M. Romain Rolland nous
à Quérard en 1841 ou 1842. Il ne voulait publier qu’une traduction du
livre
de Carpani ; ce fut Didot. son éditeur, qui lui o
s, groupes, reliefs, aussi bien que la personnalité des artistes. Son
livre
est surtout une étude d’art, — non seulement à Ve
et en utilisant ce que lui racontèrent des témoins dignes de foi. Son
livre
, accompagné de bonnes cartes et de nombreuses ill
Bohn. Tome CIX, numéro 407, 1er juin 1914, p. 592-596 [593]. […] Le
livre
consacré à Henri Poincaré dans la Nouvelle collec
parmi les peintures, un charmant tondo de Ghirlandajo, une Vierge au
livre
de Luini, un Portrait de Bianca Maria Sforza par
humaine, et donnent en pâture à leur solitaire intumescence certains
livres
de style ordurier, cachés derrière les autres. Ma
collection de Lacerba (1913-1914, 25, Via Nazionale, Florence) ; — le
livre
de F.-T. Marinetti, le Futurisme (Paris, Sansot)
1er août 1913, p. 638. 5. N° 39, daté du 29 septembre 1912. 6. Le
Livre
, livraison de mai 1881 : Authenticité des Mémoire
i, s’appuyant sur le règlement, ne l’avait autorisé à emprunter qu’un
livre
par semaine, au lieu de deux qu’il réclamait. Or
les insectes sont totalement inconnus dans cette prison, mais par des
livres
; des livres, non pas ordinaires, comme l’extérie
sont totalement inconnus dans cette prison, mais par des livres ; des
livres
, non pas ordinaires, comme l’extérieur de ma pers
ui se trouvent au 2e ; c’est à cet étage que se trouvent mes nombreux
livres
et cahiers d’école où j’ai le plaisir (sous les o
us strict ; bien des détails auraient pu être indiqués seulement : le
livre
pêche par abondance, mais ce défaut semble voulu,
es vols de papillons. […] Tome VIII, numéro 41, mai 1893 Les
Livres
. Distruzione ed altri Racconti, par Ugo Valcaren
lheureusement disparu. Tome IX, numéro 48, décembre 1893 Les
Livres
. Atlantide, Poema di Mario Rapisardi (Catane, Ni
lissent des branches d’oliviers. Il cheminait tout en lisant un petit
livre
relié de noir, et riait à part lui, comme lui seu
sait rire. Je me suis approché ; à peine m’a-t-il vu, il a fermé son
livre
, m’a pris le bras et s’est mis à me dire : « Je c
ras et s’est mis à me dire : « Je connais depuis des siècles ce petit
livre
: c’est la Bible, et je la relis de temps en temp
es minutieuses étudiées sur les modèles les plus parfaits, et sur les
livres
les plus célèbres. Je continuai à être incapable
eure ; quand les maîtres ne me réclamaient pas, je m’asseyais avec un
livre
auprès du bassin ; quand j’étais fatigué de lire
blement, est celle dont on jouit de la maison de l’hermite. Il y a un
livre
où nous trouvons une platitude signée Bigot de Pr
re de Bourgogne, dans chaque bouteille duquel on eût fait fondre deux
livres
de sucre. C’est cela et non pas un goût de muscat
. Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907, p. 212-228. Passons au second
livre
. I. — Les ouvrages peuvent avoir quatre sens : li
mes larmes, je découvris que la philosophie était la grande chose des
livres
et des sciences, et je me l’imaginai sous les tra
d’Aquin, lequel écrivit pour la confession de tous les hérétiques un
livre
intitulé : Contre les Gentils. Cette façon de don
regardez donc l’étalage de la maison. » Je regardai et je lus sur les
livres
exposés : Éliphas Lévi, Dogme et rituel de la hau
spiritualisme ; et ces mots alléchants : Bibliothèque diabolique. Ces
livres
, il est oiseux de le dire, ont disparu depuis lon
igieusement riche en « sujets » que constituent les Mémoires : « Quel
livre
il y aurait à écrire sur ce drôle ! » Ce livre n’
les Mémoires : « Quel livre il y aurait à écrire sur ce drôle ! » Ce
livre
n’a pas encore été écrit ; on attend toujours, en
de de Montesquieu. Il ne serait pas difficile de suivre à travers les
livres
de Pierre Louÿs la trace de l’influence que ce si
: on croirait que vous avez plus d’ambition que d’imagination. Les
Livres
. L’Arte europea a Venezia, par Vittorio Pica (Na
. jusqu’aux néo-impressionnistes, de Rossetti à Armand Seguin. Un tel
livre
, outre qu’il est agréable à lire, demeure, par la
x qui ont le sens et une vision originale de la beauté. Il admire les
livres
d’Anatole France, surtout Thaïs, cette Tanagra pa
rd. Mais, dans une galerie, le tableau de Bossi déplaira toujours. Un
livre
fait par l’auteur d’un tableau ôte à ce tableau l
Sans doute, dès Napoléon Ier, nous l’avons vu dans le compte-rendu du
livre
de M. Gonnard, Rome fut, pour la France, un princ
ent de paraître la traduction italienne de Bruges-la-morte, publie un
livre
de vers : le Piccole morte, qui le place parmi le
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