Dans le Leonardo, le seul périodique de philosophie digne d’être
lu
en Italie, de jeunes philosophes poursuivent une
non. — Enfin, des livres saints, tu en as. — Tous les livres que nous
lisons
sont saints, répondit l’autre avec une feinte onc
riccu (le jeune maître) m’a dit une fois que, dans les séminaires, on
lisait
plus de mauvais livres que de bons. — Allons, ne
s est le plus en sûreté. Sais-tu combien je lui dois ? Devine. — Cent
lire
9 ? — dit Antine, timidement, avec la crainte d’e
est pas vrai. Tiens, à Cagliari j’ai vécu un mois avec cinquante-cinq
lire
. Et à Naples, encore moins. Avec quarante-cinq li
ec cinquante-cinq lire. Et à Naples, encore moins. Avec quarante-cinq
lire
un étudiant à Naples vit en monsieur. Là, personn
combien j’ai dépensé à cette stupide fête de saint Elia ? Deux cents
lire
. On dit que j’ai des vices ; mais là, à cette stu
re après-demain, si demain je ne réussis pas à me procurer cinq cents
lire
dont j’ai absolument besoin. Toi, tu peux me les
lie tête prit une grâce féminine. Antine ouvrit le Livre au hasard et
lut
: « Je suis pauvre et dans les tourments depuis m
répondaient pleinement à ses pensées ! Antine feignit de continuer à
lire
, tout en prononçant ces versets arrangés à l’avan
r livre son ennemi ; aussi s’enthousiasmait-il, et à mesure qu’Antine
lisait
, ou feignait de prier en silence, ou levait les y
ndit eut un frisson. Antine rouvrit le Livre, il feignait toujours de
lire
, et n’oubliait pas de tourner les pages. « Seigne
ur la troisième fois il ferma et frappa le Livre. Puis il le rouvrit,
lut
encore au hasard cinq ou six versets, et, prenant
it frissonner : il s’attendait à quelque grand malheur. Son frère lui
lut
la lettre, avec lenteur, en épelant : « … J’en vi
if. En route on lui avait remis une lettre d’Antine. Il ne pouvait la
lire
, mais il sentait que sous cette enveloppe était q
ui attendait cette lettre avec une folle espérance au cœur, se la fit
lire
; mais Antine disait qu’il était content de sa no
nnête homme. Zio Basilio, le frère de Zio Félix, lui apportait et lui
lisait
ces lettres, et toutes les fois se lançait dans d
ilio rentrait au pays et tous les mois, en cachette, il envoyait deux
lire
à son neveu. Au mois d’août, environ trois ans ap
, — il a dans sa poche un couteau long comme ça. Méfie-toi, mon petit
lis
, crois-en Zio Pera. Elia le laissa dire. Un souri
tigant. Mais il donne au public italien la bonne et douce surprise de
lire
à la fin des Canti di Castelvecchio quelques poèm
et que de moins fortunés, ne connaissant l’Italie que de nom et de la
lire
dans les livres, en auront au moins un aperçu par
e la péninsule : Venise, Florence et Rome, et valent hautement d’être
lues
. — M. P. Jousset, en somme, a essayé pour la prem
it du théâtre leur champ de bataille. Puisque le public est rebelle à
lire
les vers, il faut bien que les poètes les lui fas
la terre comme l’eau de la fontaine, enchante le souvenir. Nous avons
lu
de Paul Souchon les Élévations poétiques, les Élé
vations poétiques, les Élégies parisiennes, la Beauté de Paris ; nous
lirons
le Soleil natal. Un amour serein de la vie et des
e invariable, cette alliance lui fut fatale. Ces deux gros volumes se
lisent
avec l’intérêt qui s’attache à l’étude précise et
dans les traductions de Letourneur et puis dans le texte original. On
lisait
beaucoup en France les écrivains d’Outre-Manche d
mois de janvier 1808, Lamartine écrivait à son ami de Virieu : « J’ai
lu
Ossian ces jours-ci, et, ne sachant que faire, j’
il est impossible qu’il ne s’en soit pas aperçu. Tous ceux qui savent
lire
en auraient été frappés. Non seulement on retrouv
oser que Lamartine, qui passait alors chaque printemps à paris, avait
lu
l’Air natal, le Lit de mort, le Bannissement, le
oser le Lac il avait rimé une élégie sur la mort de Parny qu’il avait
lue
à l’académie de Mâcon : preuve manifeste et sans
ritique perde tout à fait la trace de ses premières lectures. S’il ne
lisait
plus depuis quelque temps, s’il avait cessé de tr
ien et son plus illustre ancêtre21. » La vérité, c’est que Lamartine
lisait
Pétrarque et le traduisit dix ans avant de publie
elle Héloïse, et le 28 mars 1813, il écrivait à Aymon de Virieu : Je
lis
des sonnets de Pétrarque, que je n’entendais guèr
ais emporté ce jour-là sur la montagne un volume de Pétrarque dont je
lisais
de temps en temps quelques sonnets. » Eh bien, le
glaise en 2 volumes, sur laquelle j’ai relevé les vers qu’on vient de
lire
, est ainsi conçu : Valle che dé lamenti miei sé
s plus tôt27. » En effet, Lamartine écrivait, le 15 août 1814 : « Je
lis
Ducis et je trouve cela bien médiocre28. » Cela
Cinq-Mai, Lamartine écrivait à Aymon de Virieu (5 février 1827) : Je
lis
Manzoni, mais non son ode. Envoie-la-moi avec un
e lord Byron — car ce n’était pas le connaître que d’avoir simplement
lu
Manfred. Il ne commença vraiment à l’étudier que
le secret de l’art de Lamartine est là. M. Ernest Renan, qui l’avait
lu
beaucoup, aimait à répéter que l’Université aurai
ous ce rapport il est bien le fils du dix-huitième siècle46. Avait-il
lu
les poètes du seizième ? J’en doute, quoiqu’il fa
M. Romualdo Giani est comme un cri, un cri suprême de révolte contre
lu
fouie des maîtres qui entretiennent le mauvais go
ullus52 par l’éminent historien italien dans son Histoire Romaine. On
lira
avec intérêt la réponse suivante de M. Ferrero à
sainte Barbe. 8. Voir Mercure de France, n° 186. 9. On sait que la
lire
équivaut au franc. 10. Bergame. Instituto italia
les arts. 14. Il écrivait à Aymon de Virieu, le 3 mars 1809 : « Je
lis
Pope et j’en suis on ne peut plus content. Voilà
le préfère de beaucoup à Boileau pour la poésie. Quand pourrai-je le
lire
en anglais ? J’ai lu ces jours-ci Fielding et Ric
à Boileau pour la poésie. Quand pourrai-je le lire en anglais ? J’ai
lu
ces jours-ci Fielding et Richardson, et tous ces
un une poésie légère intitulée : Elvire et Azor. Lamartine l’avait-il
lue
? C’est possible, car il connaissait son dix-huit
nsot, 1905. 26. Ce n’est pas le seul qu’il ait traduit ou adapté. Je
lis
dans les Souvenirs de Charles Alexandre que Lamar
ttres : « J’ai adressé cette harmonie en 1829 à Manzoni. Je venais de
lire
ses poésies lyriques où le grand poète éclate tou
la Revue bleue le 8 août 1891, s’est efforcé d’établir que, si on ne
lisait
plus Lamartine, c’est qu’il n’avait apporté au mo
e que des chants déjà entendus ! Et d’abord est-il bien vrai qu’on ne
lise
plus Lamartine ? M. Émile Ollivier, qui préside a
assez appréciable. N’en déplaise à M. Rivière, on n’a jamais cessé de
lire
Lamartine. Les femmes, qui constituent sa princip
les il l’avait entendu la première fois, il disait : « M. de Fontanes
lisait
d’une voix universitaire ! » (Souvenirs et portra
so, — meilleure et mieux renseignée que la plupart de celles que nous
lûmes
en des journaux français (21mars). — Étude sur l’
parla jamais des livres de Banzole : cependant ils ont été achetés et
lus
, puisqu’épuisés en librairie (15 mars). La Criti
lès, le lettré du café François Ier… » (31 mai). Critica sociale : À
lire
les deux articles de M. Turati sur les Anarchiste
sparse isole belle. * Ahi, la Parca volo. Di monte in monte Pianse la
lira
de l’antico Orfeo E tramontan in buio mar le stel
ux guitaristes du xviiie siècle, et Métastase ne fut jamais détrôné.
Lire
Stendhal, âme tellement italienne qu’il donne enc
à Voltaire, qui lui reprocha de lui avoir fait perdre quatre heures à
lire
des sottises ; pour lui, il mettait le Macaronico
. Faut-il croire, comme Voltaire l’affirme à Casanova, qu’il n’avait
lu
l’Orlando furioso, lorsqu’il écrivit ces lignes,
rra entrer dans les bibliothèques des curieux, mais il ne sera jamais
lu
. On me vole toujours un tome de l’Arioste, on ne
s un homme en colère croit toujours avoir raison. La postérité qui me
lira
me mettra au nombre des zoïles, et la très humble
très humble réparation que je fais aujourd’hui ne sera peut-être pas
lue
. Si nous nous retrouvons chez Pluton, dégagés peu
i on le partageait en deux et que je visse d’un côté l’homme que j’ai
lu
, et de l’autre celui que j’entends, je ne sais au
t d’hiver, au milieu de péripéties divertissantes dont le récit est à
lire
. Pour plaire à Voltaire, à cette époque, il falla
mpher leur détenteur.” » De ces boutades que doit-on inférer ? J’ai
lu
dans le carnet d’un pieux écrivain, mort en bienh
u rivage ; une gloire de rayons l’entoure et une couronne à fleurs de
lis
plane sur la tête. À droite, une barque à voile d
littérature française qu’il connaît d’une manière étonnante : on n’a
lu
de lui que très peu d’articles qui ne parlent pas
de M. Lucio d’Ambra est dédié à M. Hugues le Roux, et ses personnages
lisent
les livres de MM. Margueritte, admirent Verlaine
les oratorios honorables de M. l’abbé Perosi ; mais je n’ai jamais pu
lire
à la file plus de trois pages de M. Mascagni ; de
, ont abusé de la complaisance des reporters. Je ne sais plus où j’ai
lu
que c’est dans une réunion ultra-select, d’aristo
ième siècle qui fut en Italie si brillant. Ceux qui, dans l’Européen,
lurent
la Madonne du Pêcher auront une idée du style et
de Gênes à Venise et de Milan à Naples, trouveront un égal plaisir à
lire
Wayfarers in Italy. C’est une relation de promena
nces-lectures de poésie française contemporaine, M. F. T. Marinetti a
lu
et analysé des poèmes de Baudelaire, Verlaine, Ma
Mémoires (dans lesquels le prince de Ligne, à qui Casanova les avait
lus
, trouva du dramatique, de la rapidité, du comique
le se rapportent à elle. En feuilletant le manuscrit, à Leipzig, j’ai
lu
quelques-uns des passages supprimés et j’ai regre
s pour contenir des papiers de grand format et sur le dos desquels se
lisait
: « Graff Waldstein-Würtenberg’sches Real Fideico
que sa traduction de l’Écossaise n’était pas bonne. Il est piquant de
lire
ces lignes justement indignées. « Voltaire, le h
t quand je suis las de rêver, je broie du noir sur du papier, puis je
lis
, et le plus souvent je rejette tout ce que ma plu
fameuse partie des Mémoires, fut publié à Leipzig, en 1788 ; l’ayant
lu
à la Bibliothèque Saint-Marc, à Venise, je ne sui
elle qu’il est fait allusion dans le VIe volume des Mémoires. Nous y
lisons
(page 60) comment, le jour de Noël 1759, Casanova
brûler. Au lieu de se conformer à ce désir, il permet à Esther de les
lire
, se proposant de les brûler après cela. Esther le
liothécaire de la ville de Blois. Quand les Casanovistes pourront-ils
lire
le texte exact des Mémoires ? Tant de bonnes volo
ête de son enfant et devenue Madone elle-même. « Ce jour-là, nous ne
lûmes
pas davantage. » Le Segantini de l’Ave Maria se r
transportant d’un point à l’autre de l’immense front occidental. J’ai
lu
de lui des pages incomparables rendant à merveill
ceux de ses concurrents, et non point en essayant de les assommer. À
lire
le Corriere della Sera, on aurait pu s’imaginer q
consacrés aux craintes de pluie pour le lendemain, ou à la qualité de
lu
récolte d’olives du mois passé. Mais bientôt M. P
ophie. Quant à moi, il y a deux ans que j’ai définitivement renoncé à
lire
des journaux. Homère, Anacréon, Hésiode, nos poèt
es les couleurs de l’arc-en-ciel seront bientôt représentées. Je l’ai
lu
comme j’avais lu tous les autres, consciencieusem
e l’arc-en-ciel seront bientôt représentées. Je l’ai lu comme j’avais
lu
tous les autres, consciencieusement, en prenant d
rminent pas toujours aussi pacifiquement. Je me suis réveillé et j’ai
lu
avec courage, jusqu’au bout, le Livre vert. Vous
Nicolò Fancello dans son article I’Idéal contre le Ventre : Quand on
lira
l’histoire des années qui en Italie ont précédé l
napoléoniennes, de placer leurs épargnes à un taux élevé. Mais j’ai
lu
naguère dans un journal financier, Il Commercio d
hées du contexte, dénaturent la pensée de l’auteur, mais dont on peut
lire
la traduction intégrale dans la Bataille syndical
u’ils avaient maudit leur vie durant. Aussi est-ce avec joie que j’ai
lu
la lettre de Giuseppe Prezzolini insérée dans le
as à la chasse, plus facile encore, de tout ce qui est allemand. J’ai
lu
dans un journal la lettre d’un individu qui voula
que leurs mobiles véritables justifieraient beaucoup mieux. Quand je
lis
les opuscules et les articles qui me viennent des
vant, qui méritait d’être mis en notre langue : Mon cher Morgari. Je
lis
aujourd’hui la rectification de M. Vandervelde su
l ne sait pas quels sont les chefs-d’œuvre. Idéaliste pur, il n’a pas
lu
les catéchismes où l’action politique est la sœur
succès) ; de Folgore (Canto dei motori) ; de Cangiullo (dont on doit
lire
surtout les dernières poésies parues dans Lacerba
ieux de connaître l’impression que lui avait produite Wellseley. Elle
lisait
un roman français qu’il lui ôta des mains : — Qui
llseley, les heures sont longues. Je vais appeler des musiciens. J’ai
lu
que de grands peintres travaillaient volontiers e
e, lit Wellseley, et bois à notre santé. — Accepte aussi ces quelques
lires
, s’écria magnifiquement Morga. C’est ton courtage
rêveur romanesque et amoureux de son art ! Stimulé par Wellseley, il
lisait
des traités d’harmonie, et déclarait que la musiq
omme de moi-même ! Ensuite, Antonio retourna auprès de sa femme. Elle
lisait
dans l’atelier. — Mauvaise idée que vous avez eue
ent la façade. Elle monta, frappa à la porte. Wellseley lui ouvrit. —
Lisez
! lui dit-elle en lui tendant le billet de Nina.
t de Nina. — Elle vous donne à moi ! s’écria John-Arthur, après avoir
lu
. — L’avez-vous aimée ?interrogea Aurora. — Pendan
t que tu as reçu ce matin ; ce billet que j’ai décacheté, et que j’ai
lu
avant toi ! Et qui disait : « Je t’avais avertie
omestique dévia l’entretien : — C’est de Beppo ! dit Wellseley. Et il
lut
: Illustre et honoré Seigneur ! Je vous écris pou
d’une chose : c’est qu’Antonio avait décacheté cette lettre, l’avait
lue
, et recachetée ensuite, comme il fait souvent. La
anni Pascoli — dont les étrangers ignorent presque tout tandis qu’ils
lisent
les moindres billets de M. Gabriele d’Annunzio —
qui le distingue de tout le monde. Il est maintenant le poète le plus
lu
, le plus discuté et le plus imité de la dernière
ous retrouvons le meilleur des trois premiers recueils : il suffit de
lire
ce volume pour avoir une idée tout à fait complèt
lazzeschiana. Je vais transcrire tout de suite, pour les fortunés qui
lisent
l’italien, une de ces premières pièces, dont le c
ts — et aussi dans l’intuition unique nouvelle qui les a fait naître.
Lisez
, par exemple, le Miroir des Chouettes : « Sur l’
est pas un de ces littérateurs avisés et très au courant qui ont tout
lu
ou tout feuilleté. Il connaît très peu la poésie
’accord avec les juges les plus éminents — qu’il n’avait sûrement pas
lus
. Et il pouvait admirer en toute confiance : comme
En somme le travail de M. Ch. Beck ne dispensera pas les amateurs de
lire
les écrivains qu’il cite, mais pourra les aider s
che-Hongrie, malgré son désir de revanche balkanique. C’est l’Italie.
Lisez
les discours prononcés par les hommes d’État diri
ombre de villes italiennes ou des possessions de la République, On le
lira
avec intérêt, et il est seulement regrettable qu’
ançaise à l’Académie des Nobles de Dresde, un sieur Jean Laforgue, de
lire
le manuscrit des Mémoires, de le réviser, de supp
indignes d’être traduites. Ce n’est pas tout. Laforgue et Schütz ont
lu
le manuscrit chacun à sa façon ; je veux dire par
Cosse casanovien immédiatement retrouvé ! Laforgue et Schütz ont mal
lu
tous deux. Casanova, peut-être, a écrit Rousse, q
retourneront à Saint-Simon, qui avait le don d’écrire, qui peut être
lu
dans la meilleure société, et qui nous fait en gr
ur l’Opéra (Saggio sopra l’opera in musica) qui fut très certainement
lu
et médité par le futur auteur d’Orphée et d’Alces
otti semble avoir produit un certain effet à son époque, et avoir été
lue
non seulement en Italie, mais encore en Angleterr
a Lettre du bailli. De la scène lyrique Quinault n’est plus le roi.
Lisez
ma Poétique, Vous direz comme moi. Nous n’avons q
/2 pour Varèse. Je suis arrivé à Varèse à 8 h. 1/2. Je n’avais jamais
lu
Ossian, j’ai lu Fingal pour la première fois dans
Je suis arrivé à Varèse à 8 h. 1/2. Je n’avais jamais lu Ossian, j’ai
lu
Fingal pour la première fois dans le voiturin. J’
é le projet de la mettre sur ma liste en passant à Milan. Je viens de
lire
attentivement les lettres de Félix, elles ne prou
oquence, une rhétorique, la rhétorique de Dante. Les patentés ont-ils
lu
cette institution oratoire ? Ils sont docteurs ès
complet ou n’a pas été achevé. Je l’ai résumé tel que chacun peut le
lire
en sa littéralité ; j’essayerai maintenant de le
. Pour le premier mot prononcé par le premier homme : eli. Faut-il le
lire
, avec Aroux, Enrico Luxemburghere Imperatori ? Le
e son auteur, aux lettrés de sa communion, pour leur apprendre à bien
lire
le Canzoniere et à généraliser la chanson maçonni
rre, et autres sujets bibliques. Ôtez le nom de l’auteur, personne ne
lira
ce lourd document, doublement ennuyeux parce qu’i
voilèrent l’hérésie du poète. Toutefois M. Rossetti, dont je n’ai pas
lu
les ouvrages, alla trop loin, à en juger sur le s
: J’aime surtout les vers, cette langue immortelle, — il n’a jamais
lu
un seul chant du Dante. Victor Hugo met sans cess
d’un enthousiasme touchant la Renaissance latine ; vous savez, ayant
lu
Tolstoï, Nietzsche, Ibsen, et les Français et les
de Rossetti à Armand Seguin. Un tel livre, outre qu’il est agréable à
lire
, demeure, par la suite, utile. Échos divers et
pense ; c’est un plaisir que peu de gens osent se donner, car je n’ai
lu
nulle part l’aveu de la satisfaction qu’éprouva i
cca S. Casciano, imp de Cappelli Très amusante, cette brochure, la
Lira
domestica. Il y est question des « Décadents, don
’arti grafiche » Il y a trois mois — mais je persiste à vivre et à
lire
à mon heure —, sans souci de la sommation, vraime
eure sans doute depuis la charmante notice de M. de Wyzewa. On aime à
lire
ses subtils commentaires, même contradictoires à
in-8°, Acireale, Tip. Ed. Saro Donzuso. Le Tasse n’est plus guère
lu
en France, où son nom seul est demeuré illustre.
ciel se pose, magistralement ; autour du disque en feu, des nuages se
lisent
, à peine perceptibles dans le halo, balbutiements
at, aux termes duquel, moyennant le payement d’une somme de 3.600.000
lire
, elle cède à celui-ci la célèbre collection de la
le résultat des trois estimations. Alors que M. Piancastelli évalue à
lire
l’ensemble des toiles, le directeur du musée de B
mble des toiles, le directeur du musée de Berlin les estime 7.294.930
lire
, et notre compatriote trouve qu’elles valent 11.9
.294.930 lire, et notre compatriote trouve qu’elles valent 11.903.585
lire
. Y a-t-il quelque chose de plus vain que ce jeu-l
s » de M. Tissot sont d’autant plus fâcheuses qu’elles sont faciles à
lire
, toujours agréables. On sent que la sensibilité d
e connais des personnes incapables de faire du mal à une mouche et de
lire
une plaquette de vingt pages, qui ont lu trois fo
du mal à une mouche et de lire une plaquette de vingt pages, qui ont
lu
trois fois le Quo vadis ; c’est le premier et le
que Lombroso emploie sont de cette force : en réalité, il ne sait pas
lire
, ses citations sont incomplètes ou altérées : il
incomplètes ou altérées : il est matériellement impossible qu’il ait
lu
tous les ouvrages qu’il cite ; il les a parcourus
à croire qu’il n’a jamais fait de retours sur lui-même, qu’il n’a pas
lu
ses livres plus attentivement que les livres d’au
attentivement que les livres d’autrui. En résumé, Lombroso ne sait ni
lire
, ni observer, ni expérimenter, ni raisonner ; enf
isme et la neurasthénie l’ont tué ! Aujourd’hui le lecteur capable de
lire
une œuvre scientifique ou littéraire de longue ha
ne est lui-même un être nerveux, toujours pressé, ayant pour idéal de
lire
le plus grand nombre de pages en le plus court es
ir rapidement, d’un coup d’œil, la suite des idées ; il est obligé de
lire
tant de livres qu’il retrouve sans cesse les même
rnaux. Il est effrayant de songer que la majorité des gens qui savent
lire
— non seulement dans les milieux populaires, mais
cteur de journaux doit-il éprouver lorsque sa situation lui permet de
lire
les ouvrages mêmes de Lombroso ! Comme il est bie
ux électriques pour remplacer les vaporetti actuels ». « Le danger —
lisons
-nous, — est que cette prospérité renaissante réve
u Lido avec gare plus ou moins invisible, à la place Saint-Marc… Vous
lisez
bien : à la place Saint-Marc ! » Ceux qui ne se s
tection, de profiter plus efficacement du voyage d’Italie et de mieux
lire
dans les productions des Raphaël et des Carraches
ue et à l’économie politique ; il est difficile désormais d’y pouvoir
lire
quelque chose de purement littéraire et artistiqu
XXXI. Une notice accompagne l’album de photogravures. On peut encore
lire
une description des dessins dans Waagen : Treasur
ype des Bourget et des Maupassant — mais enfin ce petit roman peut se
lire
. Il avait été remarqué, déjà, dans la Cronaca d’A
cembre 1893, p. 368-370 [368-369]. […] Dans la Gazetta Letteraria, on
lira
volontiers les Souvenirs d’enfance et de jeunesse
que les poètes italiens aient attendu le bon vouloir de Sonzogno pour
lire
et même pour démarquer les vers de Baudelaire. Ta
it de quoi s’emplir jusqu’à la gorge ; on criait au scandale, mais on
lisait
avec emportement ; enfin, il s’agissait de choses
pectueuse pour notre grand écrivain : je trouve qu’après tout il faut
lire
ce petit recueil de vers lyriques ; ça ne pourra
e une admiration profonde et un profond respect. J’ai fini à peine de
lire
une petite brochure de M. Ciro Annovi, Per la sto
te biographie de Leopardi. M. Annovi. — c’est la première fois que je
lis
son nom, — est simple dans son exposition, mais e
les plus incontestables témoignages exhalant une odeur de rose et de
lis
si pénétrante qu’on s’abstint de brûler de l’ence
g, 7.50 Les personnes qui s’intéressent à l’hagiographie médiévale
liront
avec fruit l’ouvrage documenté et développé que M
n scène extraordinairement habile qu’est M. A. Carré. Tout le monde a
lu
le roman de Mürger d’où est tiré ce drame ; les h
u métier de caruso, de porteur de minerai, vaut en Sicile de 50 à 300
lires
, selon l’âge et la force. M. Rossi descendit, il
ême à boire », ne peuvent guère passer que pour des barbares. Il faut
lire
aussi les détails de l’opération faite avec de ma
ui recouvre la médaille de Varin et s’en va. Mais ici, il faut encore
lire
Chantelou : « La cérémonie finie, le roi s’en es
est très attachante et peut bien donner des songes aux assassins qui
lisent
des romans. Il y en a. Lettres italiennes Lu
r la tragédie de D’Annunzio. Mais je dois avouer que je ne les ai pas
lus
, ce qui compliquerait énormément ma tâche de chro
aler les deux volumes sans les ouvrir. Le meilleur, c’est que j’en ai
lu
un malgré ma bonne volonté à ne pas être honnête.
e rappelle plus lequel, tant ils se ressemblaient ! Je dois les avoir
lus
tous les deux. Léonard de Vinci me fait l’effet d
yais pas obligé cette fois de me ranger du côté des spectateurs. J’ai
lu
ce drame dans une livraison de La Lettura qui le
peu près tout ce qui pouvait être dit, on trouvera quelque agrément à
lire
l’opuscule de M. Pierre de Bouchaud sur Raphaël à
storique complet sur Napoléon et son temps, dont je me rappelle avoir
lu
les éloges dans maints travaux historiques frança
recette pour tout le royaume était annuellement de 250 000 à 300 000
lires
; elle a atteint 479 482 lires dans l’exercice 18
tait annuellement de 250 000 à 300 000 lires ; elle a atteint 479 482
lires
dans l’exercice 1898-99 et est estimée 500 000 li
atteint 479 482 lires dans l’exercice 1898-99 et est estimée 500 000
lires
pour l’exercice présent. » Ainsi les Musées d’It
lit. Elle vous écrivait comme une petite enfant. Il est difficile de
lire
quelque chose de plus jeune, de plus naturel, de
lé en français sur la traduction, écourté, expurgé, moralisé !!! J’ai
lu
une édition qui pourrait être laissée dans les ma
lvatore di Giacomo que, naturellement, je n’ai pas eu la tentation de
lire
puisque moi, Français, j’avais le texte original
mmunications à l’Intermédiaire. Il était exactement comme vous l’avez
lu
, je n’y ai pas ajouté trente lignes nécessaires d
racontée. A. D’ANCONA J’ai possédé la réimpression de Bordeaux, l’ai
lue
il y a vingt ans, et, ne me doutant pas qu’il m’a
evais loin de la terre. Je me rappelle un soir, où, parce que j’avais
lu
sur la couverture d’un livre ce nom : « Marie de
que son âme était remplie par un grand amour ? Est-ce que cela ne se
lisait
pas dans ses yeux, sur son visage, à travers tous
comprendre, mais n’y parvenait pas. Elle, m’apportait une lettre. Je
lus
sur l’enveloppe mon nom : le nom du vicomte de Ga
grands et pesants sièges anciens, tout un mobilier de famille, où se
lisait
toujours le même blason, et qu’on se transmettait
aît à la manière gigantesque avec laquelle Michel-Ange, qui venait de
lire
Homère, vit tout le genre humain, il ne se sert v
découvert récemment le journal d’un inspecteur de police, où on peut
lire
: Actrices. – Comédie Italienne Noms Âges Dem
onais. Comme les filles du meilleur monde ont la mauvaise habitude de
lire
des romans pour savoir surtout ce qu’on portera c
é chercher son héroïne en Italie où, sans doute, les jeunes filles ne
lisent
plus d’Annunzio ? Mais dans quelle région de la F
l’à-côté. Et, dans ces conditions, l’on peut regretter qu’il ait trop
lu
Machiavel, selon le fin reproche de Sainte-Beuve,
ique subalterne de la victime plaintive, du martyr démonstratif. J’ai
lu
avec vive curiosité les pages relatives aux rappo
ls au Prince, moins cependant que ne le croient ceux qui ne l’ont pas
lu
, est le plus naïf des serviteurs remerciés, dégom
a Maîtrise de l’Adriatique, est curieuse par son ton passionné. On ne
lira
pas ces pages, en Italie, sans quelque frémisseme
e matin… Vous aviez raison de ne pas vouloir me le prêter… Je n’en ai
lu
, d’ailleurs, que les quatre premières lignes. Cel
t de mon mari… Regardez : « Une panne. Ne rentrerai que… » Et nous ne
lûmes
pas plus avant. XVII. L’itinéraire Au dire
ujours ! À toujours ! »… et, avant de baisser ta voilette, laisse-moi
lire
, dans tes yeux, — pour que je puisse, cette nuit,
t assez borné. C’est un homme d’une grande ignorance, sachant à peine
lire
et écrire. On comprend donc que son opinion n’ait
L’administration italienne a consacré une somme importante de 140 000
lires
à la bonne tenue des rues de Tripoli. Elle a orga
d’épidémies. La commission municipale a consacré une somme de 25 000
lires
à la construction d’un abattoir provisoire. Aux p
e le plus écouté — le plus combattu aussi — et par conséquent le plus
lu
, depuis la mort de Carducci, ne soit pas un poète
du grand statuaire florentin à l’État italien, qui l’a payée 400 000
lire
. Lettres américaines Theodore Stanton. Tome
nte and Aquinas, habilement composé, sera fort utile à quiconque veut
lire
la Divine Comédie sans que le sens lui en échappe
t pas avec celui des humanités. Il avait vingt-neuf ans. Après avoir
lu
ces lignes, nous retournerons, au Louvre, interro
et ils semblent sinon des frères au moins des cousins. Ils sont très
lus
et bien payés — et c’est tout. Il y en a qui affi
tiques faux naïfs, de ces ratés de l’art et de la vie. Ces poètes ont
lu
Laforgue et Jammes et surtout Rodenbach. Mais ils
es). Il a publié aussi un excellent essai sur Rimbaud, qu’on pourrait
lire
avec profit même en France. M. Prezzolini, l’acti
avait des difficultés à trouver des éditeurs pour ses livres : on le
lisait
très peu. Aujourd’hui on est en train de réimprim
ilement traduits par Harold Monro, et le manifeste futuriste, on peut
lire
ici un curieux Foreword to the Book of Arep, impr
de rire, baissa les yeux et répondit en rougissant : — Je ne sais pas
lire
. « À ce moment mon père rentra, il était légèreme
ment mon père rentra, il était légèrement émoustillé et dès qu’il eut
lu
la lettre que lui tendait le visiteur, il regarda
récent de la Critica Sociale, la revue de MM. Turati et Treves, j’ai
lu
un article intitulé : « À bas l’éloquence ! » dir
n dîner de vingt couverts, à la fin duquel on laissa au cameriere une
lire
soixante-quinze de pourboire… L’honneur du social
il fit dresser dans les champs de grandes pancartes sur lesquelles on
lisait
: « IIe Armée. Lieu de concentration de l’infante
tion de M. G. Marabini, sans être une histoire suivie, est curieuse à
lire
, car elle reste vivante, animée, — même avec la p
nniers restent aux mains de l’ennemi. Dans les journées des 16 et 17,
lu
bataille reprend. Le 18, les Autrichiens enlèvent
fortune. Barbera restera chez lui quatorze ans avec un salaire de 100
lires
toscanes par mois, ce qui équivalait à 84 lires i
vec un salaire de 100 lires toscanes par mois, ce qui équivalait à 84
lires
italiennes. Mais en ce temps-là, la vie était à b
nzo, rien n’entache l’honneur de ce peuple. Pour tous ceux qui auront
lu
objectivement mon article, il est bien évident en
hé les responsabilités d’une façon unilatérale. J’ai pris la peine de
lire
les deux très intéressants articles de l’Homme Li
’Homme Libre sur lesquels s’appuie M. Mesnil. Celui-ci les a bien mal
lus
, et en tout cas mal résumés. Je ne résiste pas au
urd’hui la Caisse d’Épargne. Il avait sa devanture sur le Corso. On y
lisait
les journaux, petits hebdomadaires que l’on déchi
la péninsule, dont il a tiré des tableaux de valeur. Son livre est à
lire
et il reste que plusieurs de ses chapitres se tro
’entrée se dressent des portiques de dimensions colossales… Puis nous
lisons
sur des stèles des inscriptions effrayantes, qui
Ceux qui entendent et goûtent encore la langue de Virgile et d’Horace
liront
avec curiosité la façon dont le père Rocci parle,
remière séance, avant même toute discussion, le député Korochets vint
lire
au nom du Club parlementaire yougoslave une décla
eves Ceux qui aiment le poète disparu des Colloqui, Guido Gozzano,
liront
avec plaisir ces mélanges posthumes (contes et so
une réponse écrite. À cette question faisait suite un article, où on
lisait
ceci : Le mal que peuvent causer les impressions
s denrées-là doivent en fournir la justification ? D’après ce qu’on a
lu
dans les journaux en ces temps de guerre, exalter
à Florence et extrêmement répandue dans les Écoles Normales, on peut
lire
, au t. I, p. 80, que la famille des Alighieri — «
dans une Scuola Regia Normale Femminile de Gênes, comme on pourra le
lire
dans le Sècolo XIX du 6 septembre, avec une recti
ant de cette Liste civile, place agréable. Volupté du roi Joseph : Il
lisait
et faisait lire Racine aux dames de la Cour, qui
civile, place agréable. Volupté du roi Joseph : Il lisait et faisait
lire
Racine aux dames de la Cour, qui se réunissaient
tement que celui de la Laus Vitae, poème qu’on ne lit pas, mais qu’on
lira
, qu’on ne comprendrait pas, mais qu’on comprendra
s jeunes, le sens de la nature et la recherche de soi. À l’instant je
lis
dans une toute récente préface de catalogue cette
. — La sculpture échappe, naturellement, aux critiques qu’on vient de
lire
. Des habiles, bien Italiens : Bugatti, Andreotti.
otto Canudo nous adresse la lettre suivante : Mon cher Directeur, Je
lis
dans le dernier numéro du Mercure un écho fort in
es maisons, où il fut ramassé par le voyou (Judas) ». A San Giuseppi
lu
vecchiarieddu ci abbulau lu cappieddu. Ci abbulau
é par le voyou (Judas) ». A San Giuseppi lu vecchiarieddu ci abbulau
lu
cappieddu. Ci abbulau supra li casi si lu pigghia
lu vecchiarieddu ci abbulau lu cappieddu. Ci abbulau supra li casi si
lu
pigghiau chiddu vastasi… Mais il existe dans les
e continuellement avec les grandes vues d’ensemble, et où le désir de
lire
, en chaque morceau de pierre ou feuille d’arbre,
ociales capable de produire des monuments d’éternelle beauté. On peut
lire
dans la belle monographie de Mr Frédéric Harrison
e anglomane, beaucoup plus salutaire aux Italiens, les Rosny sont-ils
lus
en Italie autant que l’auteur de Zarathoustra ? N
gue littéraire dans son dialecte triomphant. Mais le volume Ce qu’ils
lisent
n’est pas écrit réellement en une langue synthéti
entir l’appel à une vie plus haute. La longue citation qu’on vient de
lire
permet de saisir sa manière, il excelle à ces réc
ligieux. Mais j’en ai assez dit pour donner à plus d’un l’envie de le
lire
. Avec lui on se reposera des vaines complications
lètes d’Alfred de Musset publiée par Garnier frères, s. d. (1908), je
lus
en note, au bas de la p. 215, ce qui suit que je
endu de la quatrième conférence de M. René Doumic sur George Sand. Je
lus
: Musset avait été soigné par un jeune docteur,
ume. (On peut juger par là si ma foi en M. Doumic était profonde.) Je
lus
d’abord, dans les billets de George à Piétro : E
onde des Lettres d’un voyageur. » En vérité, où M. René Doumic a-t-il
lu
que Pagello fût stupide ? § Où il l’a lu ? Je le
té, où M. René Doumic a-t-il lu que Pagello fût stupide ? § Où il l’a
lu
? Je le sais : c’est dans un article de Francisqu
ique, aux complications inévitables, et il a tenu avant tout à « être
lu
», lu par le public, et non pas seulement par les
aux complications inévitables, et il a tenu avant tout à « être lu »,
lu
par le public, et non pas seulement par les érudi
ce paradis terrestre. On lui a dit que, sans le plaisir qu’il prend à
lire
ses lettres, son maître le ferait venir auprès de
t la consolation d’une légère ivresse, consolation offerte pour trois
lires
dans toutes les hôtelleries. Déjà, aux choux-fleu
Tome LXXXII, numéro 297, 1er novembre 1909, p. 154-161 [160-161]. À
lire
: Dans la Gazette des Beaux-Arts […] (avril et se
e LXXXII, numéro 298, 16 novembre 1909, p. 319-323 [322-323]. Je n’ai
lu
de M. Corrado Zacchetti que ses œuvres françaises
able. Une des pages de pensée les plus émues qu’il m’ait été donné de
lire
ces derniers temps se trouve dans un livre récent
ent discuté dans le monde des lettres et de la librairie. 1. On
lira
avec fruit, sur cette tête antique, un savant art
[NdE] Critique française : Jean de Gourmont, « Littérature. Ce qu’ils
lisent
. Cent-dix-sept réponses à l’Enquête sur la Biblio
e qui le premier eut cette curiosité de reconstituer la Rome antique.
Lire
le curieux chapitre que lui a consacré M. G. Vall
açon à se l’imaginer plus exactement et plus complètement. M. Lebey a
lu
beaucoup de chroniques du temps, travaux d’histor
s (pour plusieurs d’entre nous ce sera l’unique mérite), lorsqu’on ne
lisait
que les livres de France, et qu’il paraissait abs
qu’il publia en plaquette chez un éditeur obscur, m’a fait désirer de
lire
le poème, puisque, selon mon avis qui n’est pas i
de Florence, de Rome, de Naples… (voit-on assez que je suis un auteur
lu
dans les villes les plus intellectuelles d’Italie
dernier roman de M. Fogazzaro, Piccolo mondo moderno. J’avais à peine
lu
un roman français profondément catholique et voic
u’une honorable et parfaite froideur. De l’article, chacun pouvant le
lire
, nous ne détacherons que ce paragraphe : « Perso
nt que la censure désarme et que de quelque manière on puisse voir ou
lire
ce travail d’un talent original et personnel, je
anquer d’esprit. Il en est de même de Béat… Hier, ennuyé un peu, j’ai
lu
le Juvénal de Cesarotti. J’ai trouvé avec plaisir
uvrages de Cesarotti, Monti, Foscolo (l’auteur des lettres d’Ortiz) ;
lire
leurs préfaces et notes. [Le 19, son père, après
r beaucoup sacrifient la vie terrestre à la vie future. XI. — Dante a
lu
Boëce dans la tristesse ; Boëce, captif et banni
e pain ou explication ne suffit pas pour nous : mais en son temps, on
lisait
plus attentivement qu’aujourd’hui et la matière é
La grille qu’il faut appliquer au texte, c’est le littéral ; il faut
lire
en soulignant et, par les italiques seules, la cl
es vers qui avaient le sort de beaucoup de vers : ils n’étaient point
lus
. Guerrini plein de rancune résolut de se venger d
», qu’il publie dans la Revue des nations latines, analyse un mémoire
lu
à l’Académie des sciences morales et politiques d
n reconnaître que ses livres sont devenus bien lourds. Quand on les a
lus
jusqu’au bout, on a déjà payé la dette de respect
ertains services et établissements scientifiques. À ce sujet, il faut
lire
le fort intéressant appel aux savants, de M. Euge
st professeur dans une université, un lycée. Nullement, il enseigne à
lire
et à écrire comme maître d’école dans un village.
en Giulio Manzoli racontait dernièrement une anecdote qu’il dit avoir
lue
dans un livre ou une revue dont le titre lui écha
sion de la bannière et de la caisse sociale contenant une centaine de
lires
qui serviront à la constitution d’une nouvelle so
is dix ans je n’ai pas eu de plus mauvaise nouvelle que le soir où je
lus
votre lettre. Je croyais avoir arrangé leurs affa
r. J’ai plusieurs choses à vous dire. Ayez un peu de patience pour me
lire
, c’est important. Voici ce dont il s’agit. Je me
sera court parce que je suis trop vieux. Que vous dirai-je de plus ?
Lisez
le cœur et non la lettre, parce que « la plume ne
de vous. Combien plus depuis que j’ai reconnu mon audace, après avoir
lu
et avoir apprécié celle que votre Grâce m’a écrit
petites nouvelles fantastiques ou symboliques qu’on peut tout de même
lire
, surtout quand la guerre ne figure pas parmi les
que les circonstances de mon service à la mer ne m’ont pas permis de
lire
avant aujourd’hui, me paraît nécessiter les obser
es ne peuvent avoir l’attrait de l’inédit, puisque tout le monde en a
lu
les chapitres, écrits au jour le jour, dans le Co
llar américain venant s’ajouter à la livre sterling, au franc et à la
lire
sur le plateau de la balance où s’accumulent les
ut parfaitement dosé par le directeur du grand journal turinois. Très
lu
, parce que très bien informé, il utilisa sa puiss
ssait le découragement ; ils étaient heureusement peu nombreux et peu
lus
. Il y a quelques mois M. Palamenghi-Crispi, ancie
ns volontaires. Au mois de juillet 1916, Milan avait donné 17 370 040
lire
. Turin plus de 9 millions et Gênes près de 6 mill
à la politique de défense nationale a été détournée et incohérente. À
lire
les communiqués du groupe parlementaire d’une par
du Parlement à la Nation. Et c’est dans une revue qui n’est pas très
lue
, la Critica sociale, que MM. Turati et Treves ont
re : « L’homme a la faculté de se concevoir autre qu’il n’est. » On a
lu
: « L’homme a la faculté de se rendre autre qu’il
descendant, regardez donc l’étalage de la maison. » Je regardai et je
lus
sur les livres exposés : Éliphas Lévi, Dogme et r
s’est si noblement, mais à demi seulement, libérée. Tout le secret de
lu
politique actuelle des gouvernants italiens résid
ion (celle qui était née vers 1890) nourrie de récits héroïques. Elle
lisait
sur les bancs des lycées les strophes enflammées
numéro 431, 1er juin 1916, p. 528-540 [528-531]. Il est difficile de
lire
quelque chose de plus ample et de plus pénétrant,
historique. Je ne vois pas le moyen d’user d’autres mots après avoir
lu
ce livre. Tout y est (sinon développé, du moins p
Voilà un franc-parler qui nous plaît aussi à nous ! Un autre livre à
lire
est l’Italie depuis 1870 (Delagrave), où Albert P
eux. Nous pouvons l’affirmer, non pas parce que le roman français est
lu
chez nous comme en France, non pas parce que les
arbares était repoussée pour toujours ! Et hier, avec quelle angoisse
lisions
-nous chaque jour les communiqués de Verdun, et qu
os manuels, ses répertoires encyclopédiques, les atlas, etc. Ainsi on
lisait
des histoires de l’art où une part disproportionn
Quant aux auteurs du crime, silence. Timidité, ou froideur ? Il faut
lire
quelques lignes de l’allocution au Consistoire du
rsonnels de la dernière littérature ; même le grand public commence à
lire
ses livres et, ce qui est plus étonnant encore da
ans ces dernières années il était tombé dans le démarquage : il avait
lu
Maeterlinck et il s’était même approprié des page
e, La Voce), recueil d’essais polémiques et exégétiques, où l’on peut
lire
, à côté des éreintements célébrés de Croce, de d’
l’anecdote, le mouvement de la rue. Tout cela forme un tout amusant à
lire
et instructif. C’est évidemment le livre d’un hom
hilosophique ? C’est, du moins, l’impression que j’ai eue après avoir
lu
Daniele Cortis : l’auteur a essayé d’y noter avec
diculisé ses compatriotes selon la géographie. Les écrivains les plus
lus
et les plus admirés en Italie furent, excepté deu
avait remis plusieurs lettres, je les décachète et la première que je
lis
était de M. Dandolo, qui m’annonçait la mort de M
voulais le préparer moi-même. Laurent me dit que ce monsieur désirait
lire
le grand livre, c’était une affaire arrangée. — F
er, à un débardeur du port, à un ouvrier quelconque, qui ne sache pas
lire
, il vous rira au nez, haussera les épaules et vou
, par respect pour la magistrature de leur pays ; mais, pour qui sait
lire
entre les lignes, voici une phrase du travail de
explicite, de l’abbé Fulin qui vise déjà les personnages. Le critique
lisait
son travail Jacques Casanova et les Inquisiteurs
s. C’est dans un organe littéraire de Florence, le Marzocco, que j’ai
lu
cette significative constatation, à savoir que le
nile et vulgaire entreteneur. C’est une joie pour les Casanovistes de
lire
tous ces messages d’amour et d’affaires, d’intérê
trangers qui en parlent ne les ont vues que de l’extérieur6 ; ils ont
lu
les règlements qui les régissent et savent par ou
textes de notes et de citations d’auteurs dont ils n’ont souvent pas
lu
plus de quatre lignes, leur en impose beaucoup. L
Plus encore qu’au temps de l’affaire Murri, on dirait aujourd’hui, à
lire
les journaux, qu’un vent de folie a passé sur le
vril 1912, p. 665-672 [665-668]. Florence, 21 mars 1912. Monsieur, Je
lis
dans le Mercure de France du 16 mars courant un a
ous autres, nous avons besoin de voir d’une façon plus concrète. Nous
lisons
: « grande bataille ! 10 hommes tués ». Hé ! nous
ous savons ce que cela veut dire ; notre pays est du midi et demi. Ne
lisons
-nous pas : « grand succès électoral ! Un siège ga
un des successeurs du comte de Ricla. Cet aimable gentilhomme, qui ne
lira
jamais nos excuses et les remerciements que nous
é la réception de ses officiers. L’édition Garnier en mains, nous lui
lûmes
l’histoire des amours de Casanova et de la Nina,
éclara comte par la Grâce de Dieu. Ce fut la première pancarte que je
lus
dans son antichambre, sur un tableau couvert d’un
ace. Elle était placée là à dessein pour que ses visiteurs pussent la
lire
pendant le quart d’heure qu’il les faisait attend
euse qu’inattendue. — Peut-être ; mais, en tout, cas, ce lettré avait
lu
son La Fontaine, et pouvait dire avec le charlata
sa recherche faite, il passait à une autre. Il n’a eu le temps que de
lire
une fois les Mémoires. Son genre de travail ne re
mies réalisées par l’Italie sur les derniers budgets (194 millions de
lires
pour les quatre derniers exercices) lui permettro
d’instruction Stanzani, du président Dusio et tutti quanti n’ont qu’à
lire
l’excellent livre de Karl Federn sur le procès Mu
nant, semblait-il, de M. Gabriel d’Annunzio : De passage à Paris, je
lis
dans votre très honoré journal que M. Édouard Duj
de la nature le choix de l’affreux ermitage de l’Alverne dont on peut
lire
une belle description dans la traduction par Téod
et d’abondance. On trouve un écho de ces idées dans la page qu’on va
lire
sur la Campanie, contrée entre toutes florissante
cun sa foi dogmatique, il semble que l’église catholique pourrait les
lire
avec bienveillance, et peut-être même en faire so
ivain est nouveau. Son contact avec Rome est sans cesse fructueux. On
lira
ces lettres réunies avec un plaisir soutenu et l’
ignore presque absolument Verlaine, sauf ceux de ses écrivains qui le
lisent
dans sa langue originale : à peine quelques tradu
enant, préparait sans doute son dîner. Sur un balcon, une jeune fille
lisait
, paisiblement. J’entendais quelque ramage d’oisea
is ?… J’examinais les ramiers blancs de la terrasse et j’aurais voulu
lire
dans leur vol le présage de ma destinée. Mais ils
t fortuitement, se rencontraient et se disaient bonjour. Elle pouvait
lire
dans les miens que si je la respectais, du moins
a guetter, je ne la vis plus de la journée. Je songeais qu’elle avait
lu
toutes les folies que je lui avais écrites, et ma
ire ma curiosité, quand l’idée m’en était venue dès 1848, année où je
lus
les Mémoires pour la première fois ? Quand je pub
ère fois ? Quand je publiai ma trouvaille, en 1894, je n’avais encore
lu
que l’édition Rozez, et croyais avoir découvert l
est juste que nul n’ignore, de ce côté des Alpes, que le prix de 500
lire
de Poesia vient d’échoir à un grand poète. M. Pao
e même pour ceux qui ne goûteraient pas ses idées, il serait encore à
lire
. Les Revues. La Revue générale : Entrevue de
viglia ? Je vous en félicite. C’est un excellent opéra buffa, je l’ai
lu
avec plaisir et m’en suis réjoui. Tant qu’il exis
tre seul (Page 158). Il me semble que je me mettrais à genoux, pour
lire
avec plus de plaisir une inscription vraiment gra
logie criminelle n’étaient pas encore nées. Zola, de son aveu même, a
lu
les œuvres de Lombroso, et aucun des vrais et gra
implement une tyrannie novissima et immoralissima. M. Sighele n’a pas
lu
M. Seillière. Il ne sait pas non plus quelle est
déposer… Près d’une peinture représentant un homme accroupi, on peut
lire
: Redoute le châtiment, cacator ! Ailleurs, un m
style clair, et tous ceux qui aiment Venise — ils sont nombreux — le
liront
avec plaisir. En voici une page. Antonio Canal et
Tome LXIII, numéro 224, 15 octobre 1906, p. 614-616 [614-615]. J’ai
lu
avec infiniment de plaisir les lignes si justes d
tyn Streuvels, quoique probablement ce délicieux conteur n’ait jamais
lu
une ligne du grand écrivain italien. Cette analog
à Verga de chaleureuses sympathies en Belgique auprès de ceux qui le
lurent
en italien. Ses pêcheurs de Catane ou de Trezza s
on idéale du Théâtre italien. Cependant des artistes d’élite pourront
lire
avec émotion plusieurs de ses pages, choisies en
s idées chimériques fleurissent dans le vide des heures, tandis qu’il
lisait
, pour s’instruire, une histoire de l’art italien,
poindre, se préciser, s’affermir : Milan, le 29 octobre 1811. … J’ai
lu
à la chambre… 150 pages de Lanzi13, qui, au milie
l tira de sa malle les volumes verts. Sur la reliure du tome VIII, je
lis
: Plus d’happiness for me, without Travail26. 14
emède au doute, un calmant, et un refuge. Depuis qu’à douze ans j’ai
lu
Destouches, dit-il encore, je me suis destiné… à
n’aiment que le bouilli. Y a-t-il rien de plus bête ? § Ceux qui ont
lu
la Peinture en Italie s’étonneront moins de ses é
ogazzaro, n’arrive pas à créer une seule page littéraire qu’on puisse
lire
avec profit, sinon avec plaisir. M. Fogazzaro se
amatiques, dont je me réserve de parler lorsqu’il m’aura été donné de
lire
le roman. Les concours artistiques se multiplient
étranglée : “Carabiniers ! carabiniers !…” » Tel est le récit que je
lisais
, il n’y a pas longtemps, dans un journal de Naple
peut pas parler, et c’est les doigts levés qu’il indique le nombre de
lires
que, selon lui, vaut chaque objet. Mais ceci ne v
x chevalier ! Je l’ai vu, un jour, au café, tandis qu’un consommateur
lisait
son journal, s’approcher tout doucement. Il prend
femmes, elle prêchera l’égalité des sexes. Ces deux petits traités se
lisent
avec intérêt, moins pour la valeur des arguments
nt. J’appelai Enéa et lui montrai ma découverte. Les premières lignes
lues
, il s’écria : — Où avez-vous donc déniché ces cah
prouver que, pendant six mois ou un an, vous avez eu la constance de
lire
, de dépouiller, d’annoter une cinquantaine de vol
t-ce pas ?… Et vos héros donneront plus ou moins l’impression d’avoir
lu
Théophile Gautier ou Maurice Barrès… La Venise qu
suis heureux lorsque l’allégresse exalte le cœur de mon pays. J’aime
lire
sur les figures des portefaix, des matelots et de
olide à des études de détail. M. E. Gachot, pour établir ce précis, a
lu
environ 200 volumes ou brochures et examiné 7 456
haïr la vieillesse. Il est le frère des pasteurs de Virgile, dont je
lis
les poésies divines. En attendant la mort, j’ai e
qu’il l’avait trouvé, il en jouissait et dédaignait de l’analyser. On
lira
encore de curieuses pages inédites de Stendhal su
e possédais. (Sur les derniers feuillets fort détériorés on ne peut
lire
que les lignes suivantes :) … Comme je déplorai
sensible comme du Massenet imité par Puccini… Il est difficile de le
lire
sans être touché au coin des yeux, et les amants
a doit un acquittement et ensuite une condamnation. Il est inutile de
lire
ce compte-rendu pour se rendre compte de l’absurd
hes. Voilà ce qu’il y a d’identique. C’est peu. On dit que le poète a
lu
beaucoup avant de composer son poème. On parle de
in nous cache l’intérieur. Des magiciennes, enchaînées sur le parvis,
lisent
les présages au fond des creusets où bouillonnent
au premier acte ? Qu’on relise le texte de d’Annunzio, et puis qu’on
lise
dans le Manuscrit 1051 de la Bibliothèque Nationa
t postérieure au Pastor Fido, et du passage de cette œuvre où se peut
lire
la citation complète des deux vers ; jusque-là je
ome lune. Feuilletons au hasard la Tentation de saint Antoine. Nous
lisons
, page 38 : « Aux coins du dais étendu sur la tête
urtant de l’éloge excessif, et en ce sens on ne peut que le louer. On
lira
également avec profit les pages de M.de Foville s
Il a compulsé les archives, visité les notaires et les bibliothèques,
lu
et relu les partitions, tout contrôlé, vérifié, c
rand in-8° de 402 p., 9 gravures hors texte. Rome, 1839. « Stendhal a
lu
ce livre avec grande attention ; il est surchargé
i. » « 14 octobre. « Vu la galerie Borghese. Compte 5 et 7 ou 50, 60.
Lu
Rome antique de Nibby, fort estimée par l’auteur
oins, by Mingres. » III. — Cette note très nette est très difficile à
lire
; comme le n° II, elle est datée du 14 octobre 18
ette petite collection, les ouvrages sur l’Italie dominent : Stendhal
lisait
peu au hasard, il recherchait de préférence ce qu
nthèse de l’œuvre d’une époque permet à M. Paul Vulliaud, après avoir
lu
et vu les œuvres essentielles qui la distinguent,
ésumer une œuvre de M. Angelo Conti, car fort rares sont ceux qui ont
lu
ses œuvres. Mais le nom du seul esthéticien de l’
es, que Perdutamente est un recueil au surplus extrêmement agréable à
lire
. C’est un livre de chevet, c’est-à-dire qu’on peu
nt agréable à lire. C’est un livre de chevet, c’est-à-dire qu’on peut
lire
avec l’esprit doucement ensommeillé, mais instruc
sous une futaille », etc. Nous ne blâmons pas cela ; il faut se faire
lire
, nécessité qu’oublient à peu près toujours les ch
elconque, et, par le temps qui court, ceux qui valent la peine d être
lus
se font rares, même chez nous. Mais quel ne fut p
le du Théâtre d’Art, il nomme Chérubin, de M. Morice, « qu’il n’a pas
lu
et dont il ne peut parler » ; la Fille aux mains
Emma, a cru nous jouer un bon (ou mauvais) tour, en nous obligeant à
lire
cette historiette, et il ne s’est trompé qu’à moi
naient du Crucifiement, tous ces diptyques, à fond d’or, dont on peut
lire
la description dans Gori, et qui venaient orner l
suis fort contrarié [en italien dans le texte] ; car, si je les avais
lues
, j’en aurais parlé dans une très facétieuse préfa
remerciements entre vous et lui. Dès que j’aurai un moment à moi, je
lirai
ses nouvelles pièces… Je vois avec peine, en ouvr
et sa mauvaise humeur s’exhale en réflexions à peine polies. Il faut
lire
toute la scène, qui est des plus divertissantes.
phique, a pris plaisir à retrouver dans ce livre qu’il a certainement
lu
des idées qu’il avait osé soutenir contre son ill
it négliger ses textes : nous l’avons contemplée, nous ne l’avons pas
lue
. Ses artistes incomparables éclipsèrent ses pense
clame heureux ceux qui prêteront l’oreille à la parole des morts, qui
liront
les bons ouvrages et les mettront en pratique et
dans l’étude des cahiers de Léonard par des lacunes, étant habitués à
lire
des ouvrages composés pour la diffusion. Lorsqu’i
on corps qu’elle-même a construit et ni par colère, ni par malignité,
lu
ne détruiras sa belle vie. Car c’est de mauvais g
cure de France, me reviennent également à l’esprit. Casanova est plus
lu
et mieux interprété aujourd’hui qu’il y a cinquan
relier celles de Voltaire. La gloire littéraire, ce n’est pas d’être
lu
, c’est d’être relié. Les préfaces de cette nouvel
ntaisies, et surtout par la naïveté de sa psychologie. On ne peut pas
lire
un de ses livres sans être ému, ainsi qu’on ne pe
italien du siècle dernier. De Amicis fut un conteur que tous peuvent
lire
avec émotion. Dans l’artiste il y a l’homme, natu
tielle », dans le développement du délire royal, qu’on ne peut pas la
lire
sans haleter. Toute la puissance de cette tragédi
nt, « les anciens textes relatifs aux sciences sont très difficiles à
lire
froidement ; dès qu’ils semblent effleurer une vé
chacun les saura et les récitera ! Gloire plus belle que celle d’être
lu
en public par de jeunes personnes aux voix parfoi
c, de tendance crédule, distinguait mal la vérité de l’allégorie ; on
lut
le livre ; il parlait d’amour, les femmes le vant
même. L’œuvre de Boccace est d’ailleurs presque inconnue ; on ne veut
lire
de lui que le Décaméron : « la seule de ses œuvre
des lecteurs que vous aviez en vue… » En France, au xve siècle, on
lisait
beaucoup plus les Infortunes des Hommes Illustres
. Ouvrez un manuel de destination scolaire, à la date de 1517, vous y
lirez
que la Réformation émancipa l’Occident, affranchi
on écrit des mots et on s’exprime : c’est dans la création qu’il faut
lire
la pensée divine. Là, aucune interpolation : le t
rité, vous ne tarderez pas à voir des lueurs et des formes confuses ;
lisez
sans comprendre, vous concevez des notions fantas
ie de leurs œuvres ; toutefois ceux qui les vitupèrent ne les ont pas
lues
. Il en est de même de cette Calandria qui inaugur
opulation civile de 50 000 habitants, 525 décès le même jour. Il faut
lire
ces procès-verbaux mortuaires pour comprendre à q
eaucoup à Gabriele d’Annunzio. Il me souvient encore du temps où nous
lûmes
l’Enfant de Volupté. Il y a bien quatorze ans de
un démon, gravait à l’eau-forte, faisait des vers exquis, avait tout
lu
, savait tout, avec cela, s’habillait comme Brumme
ont mieux soigné leur dissertation ou leur version latine après avoir
lu
d’Annunzio. Et ne fût-ce que pour cette cause tou
cette édition soit mentionnée comme sans date, il est permis, par son
lis
d’or, d’en fixer l’impression à 1513, l’enseigne
i est jolie, on trouve une préface de M. Lucini et on est forcé de la
lire
, parce qu’elle est pleine d’idées agréables et ré
fier en France une telle aberration. Mais en Italie, si l’italien est
lu
et compris dans la classe moyenne, il n’est que r
est en nous, bien plus que tous les petits et gros traités qu’on peut
lire
à la bibliothèque universitaire de Heidelberg. Je
temps quand j’ai besoin de me remettre de bonne humeur. Celle que je
lis
maintenant est en anglais et je me suis aperçu qu
m’asseyais avec un livre auprès du bassin ; quand j’étais fatigué de
lire
et que le jour tombait, je cherchais à voir mes y
t son activité. Mais, jeune encore, il sut se soustraire au danger de
lire
et de publier simplement les manuscrits des autre
hie détaillée de Rome n’étant pas forcément familière à tous ceux qui
liront
M. Rodocanachi. Des monuments si nombreux, temple
u faune dans l’auteur du Canto Novo et de l’Intermezzo, il n’y a qu’à
lire
ses premiers vers pour s’en convaincre : les exig
secret. Elle s’était fait une couronne avec de grandes herbes et des
lis
d’eau, et lui avait demandé : « M’aimez-vous comm
précède l’œuvre choisie de chacun de ces conteurs. Le lecteur ne les
lira
guère, tenté d’abord par ces histoires d’amour, q
ition en usage pour les pages d’érudition ; mais cela permet mieux de
lire
, dans le sentiment voulu, ce texte où le savoir s
le roman dont Manzoni à grand’peine précisa les contours. Publiés et
lus
séparément, ils forment un nouveau roman en tout
combien, parmi nos conteurs et nos romanciers du siècle dernier, ont
lu
avec profit les Mémoires de Casanova : ces confid
cette analyse pour éprouver l’impression du « déjà vu » ou du « déjà
lu
» et pour voir surgir, à côté de cette figure fém
321 [320-321]. P. Duhem : Études sur Léonard de Vinci. Ceux qu’il a
lus
et ceux qui l’ont lu, Librairie scientifique A. H
hem : Études sur Léonard de Vinci. Ceux qu’il a lus et ceux qui l’ont
lu
, Librairie scientifique A. Hermann et fils, in-8°
rieu. Tome LXXXIV, numéro 307, 1er avril 1910, p. 523-527 [527]. […]
Lire
également le n° de novembre-décembre de la revue
s’écrie : Et toi, rebut du peuple, inconnu Caloandre. Il ne l’a pas
lu
ou n’a rien compris à ce vieux poème byzantin plu
et de justes critiques. — C’est assez dire que son livre vaut d’être
lu
, et mérite d’être gardé. Les Revues. Memento [
es entrés, cachés par des tentures mortuaires et un large cadre où se
lisait
, au milieu des symboles, cette brève oraison qui
ngue la plus renommée pour son charme et sa noblesse. Il faut donc la
lire
et l’entendre chanter, mais parler, c’est à fuir.
e d’en porter en lui la vie très ancienne et toute la gloire. Qui put
lire
sans un sanglot d’émotion supérieure le récit de
er. J’ignore le futurisme et même je ne connais aucun futuriste. J’ai
lu
la préface de l’auteur de Mafarka. Je n’ai rien c
ine de m’en avertir. Cependant, malgré ma mauvaise humeur, j’ai voulu
lire
ce livre avec une attention d’autant plus grande
à ce premier auteur du premier volume de l’humanité. Nous avons tous
lu
, en leur temps, les Chants de Maldoror, où nous a
uve personne qui fasse attention à lui. « Je suis l’écrivain le moins
lu
de l’Italie », dit-il avec une ironie amère et vr
mbera dans la peinture, sans équivoque, des scènes modernes — sans en
lire
le hautain caractère de désespoir ou l’ardente su
il constate que si François d’Assise bouleversa son temps, Tolstoï, «
lu
, discuté, admiré, critiqué par des millions d’hom
tre : Non e più speranza, etc… J’ai donc été réduit à me coucher et à
lire
Ossian. Je mourais de sommeil : je n’avais pas so
ngolo alla Contrada del Bochetto… Il y a une erreur de sa part. J’ai
lu
L[anzi] dans la chambre jusqu’à onze heures et de
nt lui convenait mieux qu’un autre, et qui, avec ses yeux pénétrants,
lisait
au fond de notre âme. Cette figure aurait fait un
ait agitaient trop l’esprit pour que le corps pût être brillant. J’ai
lu
à la chambre Contrada, dei due Walls, 150 pages d
aura donc ici le double intérêt d’une œuvre inconnue fort curieuse à
lire
et d’autographes dont les incorrections ont été s
mant le seul bruit que j’entende avec celui de mon petit feu. Je vais
lire
un volume d’Ossian qui fait tout mon bagage.
livre d’érudition et de pensée que j’ai eu grand plaisir et profit à
lire
. C’est de l’histoire agréablement écrite avec un
e Léonard de Vinci par Vasari différait quelque peu de celle que nous
lisons
aujourd’hui. Le peintre qui a fixé pour la suite
sa tombe grise et abandonnée, le visionnaire de l’épouvante pourrait
lire
ces mots fatidiques : LIQVOR Ce détail n’est pas
cateur qui le faisait frémir d’émotions inconnues, lui, le voyant qui
lisait
dans l’avenir, lui, le prophète inspiré de Dieu,
ait l’avocat de Savonarole (sic) ! — L’ouvrage de Villari dispense de
lire
la plupart des études très nombreuses écrites en
phrase au vol large. Il commentait la Vita Nuova : quand il en avait
lu
— admirablement — un morceau, il poussait un cri
ois (le futur Louis-Philippe). Ce sont les pages les plus agréables à
lire
, et puisque la question Chiappini nous a valu ce
Hokusai, Outamaro, Toyokuni, Kuniyoshi, etc., petit résumé agréable à
lire
, et qui, s’il n’apprend rien de bien nouveau, est
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