naît, il aime ce pays ; et ses pages sont animées d’une belle chaleur
latine
, douce à mon cœur, si douce ! on saura peut-être
sur les causes de fa guerre », qu’il publie dans la Revue des nations
latines
, analyse un mémoire lu à l’Académie des sciences
t amical entre les Italiens et nous. N’est-il pas évident que l’union
latine
ne peut se limiter aux seuls intérêts d’Occident
n’en serait que plus complète et plus efficace, et le bloc d’intérêts
latins
dont nous poursuivons la formation, en relation é
eur programme national depuis quarante ans avait été pour les nations
latines
, pour l’Italie qui était devenue leur alliée, et
et article d’une grande sûreté d’idée, et de foi en notre supériorité
latine
. ……………………………………………………………………… Mais à quelle école
et de clarté par la violence même de sa force, génie que notre esprit
latin
ne peut pénétrer qu’en partie, et devant lequel i
sur les masses européennes, quelle école, sinon celle qui a le génie
latin
pour inspirateur, et quel pays, sinon celui de Fr
son sentiment, mais encore des actes réels, ce n’est qu’à une énergie
latine
que nous ferons le sacrifice de nos antiques aspi
rons à l’école de l’énergie, mais à une seule, à l’école de l’énergie
latine
, dont la France tient très haut le noble drapeau.
numéro 453, 1er mai 1917, p. 171-179 [171-173]. La Revue des Nations
latines
, de Florence, a demandé à quelques personnalités
Florence, a demandé à quelques personnalités intellectuelles des pays
latins
leur opinion sur une Fédération de tous les États
sur une Fédération de tous les États dont la langue est qualifiée de
latine
. Donnons ces passages de la réponse de M. Victor
elle a été si envahissante dans la paix, c’est parce que, en face des
Latins
et des Slaves, elle avait su, tout en demeurant p
s l’avons trop constaté pour que la leçon ne nous profite pas à nous,
Latins
. Nous devons fatalement, en restant distincts pol
intérêt, et aussi dans celui de la paix européenne, à une fédération
latine
. Cette union est préparée d’avance, la communauté
ra plus aisément, surtout plus profondément, avec un Slave qu’avec un
Latin
, un Latin avec un Latin qu’avec un Germain. Les l
sément, surtout plus profondément, avec un Slave qu’avec un Latin, un
Latin
avec un Latin qu’avec un Germain. Les langues de
t plus profondément, avec un Slave qu’avec un Latin, un Latin avec un
Latin
qu’avec un Germain. Les langues de racine commune
ns une Europe remaniée pour obéir aux affinités nationales, le groupe
latin
, sans modifier les limites et l’indépendance inté
en face des masses ethniques slaves et germaniques. Celle des Nations
latines
qui s’agrégerait politiquement, économiquement à
luence, sinon prépondérante, au moins considérable dans notre famille
latine
, des facteurs d’ordre intellectuel et moral. Je m
, les maîtres de nos universités abdiquaient les méthodes et l’esprit
latins
, s’inclinaient devant la splendeur des université
établissements, du coup les échanges intellectuels entre les peuples
latins
se ralentirent. Alors qu’Espagnols, Français, Ita
saient les disciples des universités allemandes, inclinaient le génie
latin
devant la pensée allemande, les Français connaiss
e, les influences germaniques, dissociant les manifestations du génie
latin
, les laissant isolées les unes des autres. Person
e ne pourrait contester que cette attitude humiliée des intellectuels
latins
n’ait été une aide précieuse pour les entreprises
our de tous ces congrès particuliers soit : La Fédération des Nations
Latines
. Échos. Pétrarque et le vin Mercure. Tome
e Dante et le Saint-Siège », par M. H. Cochin. […] Revue des Nations
latines
(1er mai) : M. E. Driault : « Les Napoléons et l’
ons latines (1er mai) : M. E. Driault : « Les Napoléons et l’alliance
latine
». — M. L. Rosenthal : « L’expansion de l’art fra
constate M. Haumant, « proclament ce pays, les uns slave, les autres
latin
. » Sans essayer de les accorder, M. Haumant suit
, si l’on songe que les relations intellectuelles entre les deux pays
latins
deviendront plus étroites après la guerre. On pou
al, se proposaient pour fonder quelques chaires. Le Prix de poésie
latine
Dans une assemblée récente, l’Académie Royale
Académie Royale d’Amsterdam a décerné le prix international de poésie
latine
qui fut tant de fois remporté par Giovanni Pascol
tellectuelles. C’est de la critique large et judicieuse. Échos. Le
Latin
, l’Italie et la guerre Mercure. Tome CXXII, nu
lôture des cours universitaires d’Oxford, sir Herbert Warren parla en
latin
du peuple italien et de la guerre qu’il soutient.
em superare Timavi. Presque en même temps, l’illustre professeur de
latin
Ettore Stampini, pour célébrer le 40e anniversair
rer le 40e anniversaire de son doctorat, vient d’écrire une épigraphe
latine
: Post — XL — Annos, où il célèbre la jeunesse it
Deus — Rebus — Italiæ — Secundus. Il eût été étonnant que la langue
latine
fût restée muette quand la civilisation latine mê
étonnant que la langue latine fût restée muette quand la civilisation
latine
même est en jeu. Tome CXXIII, numéro 461, 1er
4, 16 octobre 1917 Science sociale. Guglielmo Ferrero : Le Génie
latin
et le monde moderne, Bernard Grasset, 3,50 Henr
ttu les oreilles, se devait à lui-même d’écrire un livre sur Le Génie
latin
et le monde moderne. Pour lui la terrible crise d
olo della Badia di S. Vincenzo del Volturno (1896). Esprit éminemment
latin
, il racontait avec douleur, peu de jours avant sa
icistes qui continuent leurs déclamations sur la fécondité du génie «
latin
», et qui l’opposent au « génie allemand », par a
’élan intellectuel. On a beaucoup parlé ces temps derniers d’alliance
latine
, de cohésion latine. Et le symptôme le plus rassu
On a beaucoup parlé ces temps derniers d’alliance latine, de cohésion
latine
. Et le symptôme le plus rassurant pour l’avenir d
mme autrefois en termes vagues et génériques. Jusqu’en 1914, l’amitié
latine
n’avait été pour beaucoup qu’un simple prétexte à
anger du Mitteleuropa suffit à grouper contre lui toutes les énergies
latines
. L’Angleterre, restant maîtresse des mers, étant
France, si elles étaient séparées, ne pourraient se défendre. L’idée
latine
perdrait ainsi de son individualité et de son ori
e cette observation, et à conseiller la formation d’un « immense bloc
latin
, formé de la France, de l’Italie et de l’Espagne,
e79 ». Parmi ceux qui parlent aujourd’hui plus volontiers d’alliance
latine
, il y a les anciens nationalistes comme M. Borges
veloppement le plus parfait par la création d’un grand et solide bloc
latin
opposé aux autres blocs ethniques d’Europe : voil
il verrait volontiers cependant une alliance ou fédération des États
latins
, — la France, l’Italie, l’Espagne, — proposition
re par un coup de hardiesse les avantages et la résistance du royaume
latin
qui a déserté leur cause, — et malgré ce qu’ils o
presque mot à mot sans toujours bien comprendre le sens exact du mot
latin
qu’il remplaçait, quelquefois un peu au hasard, p
ajoute foi. 70. Le Midi de l’Italie et la guerre (Revue des Nations
latines
, 1er nov. 1916). 71. Francesco Nitti, La guerra
que des mots. I. — Pourquoi ce traité de la langue vulgaire est-il en
latin
, puisque Dante prétend s’adresser, non seulement
tous que chacun est prêt à soutenir qu’elle fut la langue d’Adam ? Le
latin
aurait-il cet honneur, le latin parlé à Pietramal
nir qu’elle fut la langue d’Adam ? Le latin aurait-il cet honneur, le
latin
parlé à Pietramala, ville amplissima sous ce rapp
re des papes et nommément de Clément V. « Notre race » veut dire race
latine
, mais s’étend au spirituel ; notre communion, cel
de blé et non de froment, pourquoi ceci est-il en vulgaire et non en
latin
? Pour trois raisons, une de convenance, l’autre
. Or, ce commentaire des Canzones n’aurait pu accomplir sa mission en
latin
. (Le lecteur est prié d’entendre par le latin l’o
accomplir sa mission en latin. (Le lecteur est prié d’entendre par le
latin
l’orthodoxie romaine et par le vulgaire la doctri
fessée par Dante.) La langue ici signifie la communion religieuse. Le
latin
est souverain, éternel et incorruptible ; tandis
un livre que j’ai l’intention de composer sur la langue vulgaire. Le
latin
n’aurait pas été serviteur, mais souverain des la
du caractère du maître et la connaissance exacte de ses amis. Or, le
latin
ne connaît le vulgaire de chaque peuple, ni par c
rendre les Canzones sont beaucoup plus nombreux que les lettrés et le
latin
ne les aurait divulguées qu’à ceux-là. En revanch
eulent se servir. Boèce élève la voix contre ceux qui dédaignaient le
latin
de Rome pour vanter la grammaire grecque. J’affir
jeté sur l’état de notre littérature dramatique. […] Échos. « Les
Latins
» Mercure. Tome XLI, numéro 145, janvier 1902,
287-288]. C’est le 14 janvier prochain, au Nouveau Théâtre, que « les
Latins
» inaugureront leur saison dramatique. Sur la dem
à Amsterdam, et aussi dans les principales villes méridionales, « les
Latins
» donneront en seconde soirée Le Chien du Jardini
curieusement l’influence des philosophies du Nord sur l’âme des races
latines
. On souscrit pour les cinq représentations à l’Ad
s. On souscrit pour les cinq représentations à l’Administration des «
Latins
», 20, rue Victor-Massé, Paris-IXe ; direction et
M. F. Luigini, galeries Bernheim. Échos. Le second spectacle des «
Latins
» Mercure. Tome XLII, numéro 148, avril 1902,
, numéro 148, avril 1902, p. 287-288 [288]. Le second spectacle des «
Latins
» aura lieu le 5 avril prochain, au Théâtre de la
rold. Tome XLII, numéro 149, mai 1902, p. 509-514 [513, 513-514].
Latins
: La Mandragore, comédie en cinq actes, de Machia
ie La Mandragore, M. Berthon en a fort agréablement joué le rôle.
Latins
: Bilora, parade dramatique en un acte, d’Angelo
oit une œuvre vraiment belle et il sied de remercier la direction des
Latins
de l’avoir révélée à nombre de gens. Art anci
i) : Petit monde d’aujourd’hui, par A. Fogazzaro. […] La Renaissance
latine
, mensuelle, le 15 mai […]. Un article sur Napoléo
tine, mensuelle, le 15 mai […]. Un article sur Napoléon III et l’idée
latine
, de M. A. Lebey […]. Publications d’art Yvan
us croyons les pénétrer grâce à lui. Cette présentation sensuelle, si
latine
, est bien autrement incompatible avec l’intellige
ture. C’est par là qu’ils étonnent et souvent blessent la sensibilité
latine
. Leur pinceau semble indifférent. Ils tiennent un
xtérieurs, en quoi ils ne voient point l’humble matière dont l’esprit
latin
est la superbe matrice, ils retrouvent et poursui
uté. Ils sont des témoins respectueux qui regardent profondément. Les
Latins
sont des conquérants. La conception méridionale n
il ne correspond point du tout au christianisme anthropomorphique et
latin
qui a produit tant d’images du Beau-Dieu. Il n’es
pplaudi. Tome L, numéro 174, juin 1904 Épilogues. Les Sœurs
latines
Remy de Gourmont. Tome L, numéro 174, juin 190
mode quelques sottes manières de dire que l’on croyait mortes : sœurs
latines
, races latines, expressions aussi justes et aussi
ottes manières de dire que l’on croyait mortes : sœurs latines, races
latines
, expressions aussi justes et aussi claires que, p
langue. Mais c’est un peu bête, tout de même, de qualifier de citoyen
latin
un paysan de la Hague ou du Ponthieu, sous prétex
u du Ponthieu, sous prétexte qu’il parle une langue, qui n’est que du
latin
modifié par la forme des appareils vocaux. Peut-ê
sard d’une conquête a pu imposer aux habitants de la Gaule l’usage du
latin
, comme langue interprovinciale et internationale
centre, on éprouve au contraire l’étonnement des contrastes. Appeler
latine
cette belle figure géographique, c’est d’une rail
ler la France, un pays romanisé ; il est absurde de l’appeler un pays
latin
. L’empreinte fut double : de langue et de religio
gtemps aux efforts naturels de sa physiologie, commença de traiter le
latin
avec familiarité. Ainsi se forma le français. Cel
personnes qui croient que la Provence est une région particulièrement
latine
, et que le provençal est plus voisin de l’italien
nétique française sont entièrement applicables au provençal. Les mots
latins
, soit qu’ils aient passé les Alpes, soit qu’ils a
al ne peut être considéré que par métaphore, comme une étape entre le
latin
et le français. La vertu linguistique française s
’excès, comme pour faire, aux deux extrémités du domaine linguistique
latin
, pendant au portugais si rude et si condensé. Que
is (songer aux mots tels que : eau, feu), a gardé une forme nettement
latine
, il le doit à la culture et à la tutelle ecclésia
ques. Dans les siècles qui précédèrent la Renaissance, l’influence du
latin
est déjà prépondérante sur notre langue : le lati
ce, l’influence du latin est déjà prépondérante sur notre langue : le
latin
est le réservoir naturel où puisent les lettrés.
. Fernand Caussy : Les Nouvelles de Girolamo Morlini, traduites du
latin
, Sansot M. Fernand Caussy nous donne, à la Bib
l’œuvre complète d’un de ces mêmes conteurs, Morlini, qui écrivit en
latin
. La traduction, qui doit être exacte, puisque M.
aussy est un excellent latiniste, est encore élégante, et conserve du
latin
toute la hardiesse. Le mot n’est pas exagéré : ce
160 mètres sur une largeur de 50 m au plus, apparaît dans les auteurs
latins
, notre imagination aidant, du reste, cet espace é
Mistral. (Redresse-toi, race
latine
, sous le manteau du Soleil ! Le raisin brun bout
ciens, meneurs, gouvernants, ses chants dont le souvenir de la gloire
latine
alimentait presque toujours la violence. Il impos
et de la réalisation des Odes Barbares, plus encore que leur métrique
latine
, rappelle de trop près l’inspiration des poètes p
e de la langue, non seulement dans une prosodie empruntée à la langue
latine
, mais dans la valeur même des mots et des express
ècle, la réforme de la prosodie italienne dans le sens de la prosodie
latine
. Carducci, qui sur l’Italie, veule et aplatie apr
ien de onze syllabes, en mesurant son inspiration sur les rythmes des
Latins
, et la tentative commencée au xvie siècle par Da
s « barbares ». En même temps, cette reprise de la tentative poétique
latine
lui apporta tout son cortège d’images lointaines.
acteurs le sachent ou le veuillent, de tous les pays qui furent dits
latins
, et de tous les grands centres qui, dans le cercl
pour admettre la sincérité d’un enthousiasme touchant la Renaissance
latine
; vous savez, ayant lu Tolstoï, Nietzsche, Ibsen,
les Anglais, vous savez qu’il n’y a pas plus, à cette heure, d’esprit
latin
qu’il n’y a d’esprit russe ou d’esprit scandinave
uniques, personnels et entiers. Alors la prétention d’une Renaissance
latine
se dévêt et la voici nue : joujou mal fait avec l
nge sensation de l’Idée qui lui souffle dans les cheveux… Renaissance
latine
: la volupté pure et simple, la beauté plastique,
gorges les sanglots de la joie et les cris de la haine ?… Renaissance
latine
! Ainsi c’était vous, Monsieur, qui du fond de l’
ortège : nous célébrerons dignement les funérailles de la Renaissance
latine
. Pour ce que l’on vous reproche ? Non ; c’est si
, Baise-Main, que je publiai voilà six ans dans le Réveil du Quartier
Latin
(N° du 1er Décembre 1889). Je vous laisse juger s
du 16 mai, Une conversation avec M. Gabriel d’Annunzio qui, tout pur
latin
qu’il soit et original, est peut-être, en date, n
es, après un si long voyage. Le chevalier Lancelot et notre chevalier
latin
Guido de Montefeltro, nobles cœurs, renonçant à t
mon obéissance serait en partie commandée, en partie spontanée. » Le
latin
est la langue de l’Église, la langue ennemie ; il
, qui invoque Aristote plus que saint Thomas, a été la Muse des races
latines
depuis qu’il y a des langues latines ; elle a ins
Thomas, a été la Muse des races latines depuis qu’il y a des langues
latines
; elle a inspiré le chef-d’œuvre du dix-neuvième
o appelle, par une innovation hardie, le « Président de la République
latine
». Il y avait donc, à l’époque d’Auguste, deux co
deux conceptions relatives au gouvernement de celui-ci, la conception
latine
, encore républicaine, et la conception orientale,
iècle, elle était loin de contrebalancer, sous Auguste, la conception
latine
. L’Orient pouvait bien se croire dépendant d’un m
pendant d’un monarque (et, en fait, il en dépendait), mais l’Occident
latin
ne s’était pas encore dépris du type du magistrat
es sur l’État considéré « comme un organe de domination » (conception
latine
et républicaine) et non « comme un organe de cult
du pouvoir politique à Rome, sorte de transaction entre la conception
latine
de l’État et l’orientalisme dont le flux grandiss
es de Croatie, de Serbie, de Monténégro et d’Albanie. Mais notre sœur
latine
a, elle aussi, ses souvenirs historiques dont le
er avec insistance de certaines restrictions dans l’action de la sœur
latine
. Mieux encore, tout un parti, en Italie même, ser
cohabitation monstrueuse, au sein de la Triple-Alliance, de l’Italie
latine
et civilisée avec la brutale et sauvage Allemagne
de l’Adriatique, qui est le problème fondamental pour le grand peuple
latin
, eût été tranché à son détriment, si la chancelle
de famille, Giosuè Carducci. Quand il les publia, il les intitula en
latin
Scruta obsoleta (défroque importune), pour averti
moins que la France, sait fort bien que l’Italie mène, comme sa sœur
latine
, le bon combat pour le Droit et la Justice. Le
e de groupes d’études en vue « d’aider au développement de la culture
latine
et, d’accroître les échanges intellectuels entre
èle, qui viennent de fonder une revue nouvelle : la Revue des Nations
latines
, se publiant en deux éditions, l’une française, l
omme dans l’ordre économique et politique, d’approfondir la tradition
latine
et de soutenir les nouvelles idées et les nouvell
les directions des factions et des organisations communes aux nations
latines
. Intéressantes, dans le premier numéro, les glose
e germanique, on consultait des répertoires d’où était exilé le monde
latin
. La commodité des illustrations déjà faites sédui
n couleurs pour enfants, d’un mauvais goût repoussant. Les grammaires
latines
et grecques étaient traduites de l’allemand. Les
et le résultat de ces études purement philologiques était la haine du
latin
et du grec et l’ignorance de ce que furent nos aï
que les Italiens se fussent emparés de Gorizia, la Revue des Nations
latines
consacrait un article, de M. Amedeo Mazzotti, à l
, riche et magnifiquement colorée, combien d’odes sur la résurrection
latine
, de phrases et de mots odieusement vieux et faux…
t-elle aux côtés de l’Autriche, l’ennemie héréditaire, contre la sœur
latine
? L’apaisement momentané : c’est la neutralité. M
elle initiative aux chefs-d’œuvre anciens, de son histoire grecque ou
latine
qui n’a pas rêvé de se jeter à la tête d’un monst
Allemagne », M. G. Papini trace un tableau, dans la Revue des nations
latines
, de ce que fut véritablement de 1870 à 1915 l’inf
es, ambitieuse, et désireuse de séparer les deux plus grandes nations
latines
. Les techniciens allemands entrèrent donc en scèn
ssible chez Carducci son admirable divination du monde païen, grec et
latin
, qu’il ressuscite avec intensité dans les Odi bar
oute le culte des traditions de sa patrie. C’est un esprit éminemment
latin
qui entrevoit l’Urbs éternelle dans tout ce qui e
les pays, en Russie, en Allemagne, en Angleterre, même chez ces races
latines
dont le scepticisme était devenu presque proverbi
t défendu contre les Barbares les pénates intellectuelles de l’esprit
latin
. Tome XV, numéro 69, septembre 1895 La
uméro 469, 1er janvier 1918, p. 128-136 [135]. […] Revue des Nations
Latines
(1er novembre) : M. Fraccaroli : « L’idée de patr
ons qui appartient aux Italiens plus qu’à n’importe quel autre peuple
latin
. § Il n’est rien qui entache l’honneur de ce peup
éro 471, 1er février 1918, p. 559-564 [559-561]. La Revue des Nations
latines
préconise, depuis sa fondation, une sorte de fédé
uverait, du moins comme importance numérique, la première des notions
latines
. Le jour où on s’en apercevra, elle ne pourra man
, numéro 480, 16 juin 1918, p. 757-768 [766-767, 767-768]. Un poème
latin
à la gloire des marins d’Italie Il a été compo
donner à la célébration de ce centenaire la plus ample signification
latine
. Tome CXXVIII, numéro 481, 1er juillet 1918
sidant à Tacra en Libye qui porte sur la manchette cette fière devise
latine
: Hic Roma quondam, hic nos nunc et semper. Citon
t passionnément mis à leur école. Vainement Carducci, poète de l’Idée
Latine
, dévoilait-il le péril : L’Italie ressuscitée, é
’est à quoi répond une étude de M. E. Rota, dans la Revue des Nations
latines
. En voici quelques extraits. Deux forces morales
ions que la métaphysique du peuple allemand ou la logique des peuples
latins
observent sans cesse dans la vie anglaise, et qui
en pour en constituer une armée qui combattra aux côtés de nos frères
latins
. Après les efforts qu’ils ont faits, aussi bien d
une édition de grand luxe de ses Carmina, c’est-à-dire de ces poèmes
latins
qui lui ont valu plusieurs fois le prix d’Amsterd
re la France et l’Italie, à l’égal de son aînée, La Revue des Nations
Latines
(Florence). L’entente intellectuelle entre les Al
ite entente. Dans un fort judicieux article dans la Revue des Nations
Latines
du 16 octobre dernier19, M. Armando Tartarini s’e
ier19, M. Armando Tartarini s’est demandé d’où venait que les peuples
latins
, et plus spécialement les Italiens, eussent perdu
des et nos écoles, et qui ont entraîné la haine pour les grecs et les
latins
, en desséchant les jardins de notre latinité huma
ant, par exemple, de contrastes entre le Nord et le Sud, de décadence
latine
, dans des phrases dans le genre de celle-ci : « Q
hateur le professeur Mori, — « vainement vous exaltez la civilisation
latine
, car, en réalité, notre Société est barbare, ou s
nt pas à l’humanisme : il ne savait pas le grec et connaissait mal le
latin
, comme il appert des pages de lexique et de conju
nons-nous qu’un Pétrarque n’attendait l’immortalité que de ses œuvres
latines
. Aussi, trouverons-nous un accent d’humeur irrité
ues, il s’était rendu compte qu’aucun Allemand ne peut avoir de frère
latin
. Pour le Florentin, le docteur magicien n’eût été
oques, un autre ingénu, ingénu volontaire, qui, en face de l’Amfortas
latin
, a compati spirituellement et a juré de guérir la
été réuni à Florence dans le but de rapprocher les Églises grecque et
latine
. La religion n’y gagna rien, mais parmi les savan
ée de la forme dramatique de demain de notre race, du « Drame Musical
latin
» qui doit triompher à la place du vieux Mélodram
rame Musical latin » qui doit triompher à la place du vieux Mélodrame
latin
et du Drame Musical allemand, semble vraiment éga
rranéenne contemporaine. Lorsque M. Pizzetti parle du « Drame Musical
Latin
», vers lequel tendent, on le voit, tous ses effo
e Sévérac, de Roussel, les derniers arrivés. L’idéal du Drame Musical
Latin
complète, enveloppe, étreint notre idéal esthétic
e la renaissance de la race, des nouvelles affirmations esthétiques «
latines
». Une confiance absolue anime cet exégète, qui u
quiert des droits incontestables au triomphe, par son art, du « Drame
Latin
» nouveau. Quelques Poètes Il m’est agréabl
urplus, le style d’Aurelio Ugolini, très influencé par les classiques
latins
et par Carducci, et la sobriété presque scolastiq
aintenant de travaux analogues ; mais elles atténuent la brutalité du
latin
et s’adaptent très bien à une édition de vulgaris
es, intraduisibles de façon décente, ont été laissés dans leur nudité
latine
. Ce qui prouve qu’il suffit d’avoir une culture p
culture pour être à l’abri de la pudeur. Ovide, puisqu’il faut parler
latin
, enseigne aux femmes que dans l’amour « non omnes
celui qu’on est convenu d’appeler, d’un terme assez vague : l’esprit
latin
. La lumière même de Florence est identique à la l
’autres au rapprochement spirituel et politique des deux peuples dits
latins
. M. Fausto Torrefranco : Il futuro genio della
u et l’autre grec, tous deux transportés dans une langue de caste, le
latin
, il était fatal que l’étude s’étendît aux autres
lentes, lourdes et froides du Nord, qui ont cru s’émanciper du génie
latin
et reconquérir leur autonomie, en rejetant le cat
et que des moralistes timides estimeraient parfois obscènes ; ni les
Latins
des Catalecta, ni Karagheuz ne jugeraient comme e
ragheuz ne jugeraient comme eux et M. F.-T. Marinetti, en qui le sang
latin
ne répugne pas à des affinités africaines et leva
Rome avaient le sentiment, plus ou moins platonique, de la tradition
latine
; les autres servies, et beaucoup plus efficaceme
rcussions de cette législation sur les diverses classes de la société
latine
, — l’on a réussi à rendre sensible le grand confl
tante élégant, ce roman dont le héros montait en courses et citait du
latin
, voire du grec, se battait en duel comme un démon
e 1894 et 1900, auront mieux soigné leur dissertation ou leur version
latine
après avoir lu d’Annunzio. Et ne fût-ce que pour
bitudes, M. Marcel Boulenger répond, dans un mouvement de jolie verve
latine
: Il faut, dans l’intérêt même des choses belles
les logeait et les nourrissait de légères ou même d’obscènes poésies
latines
. C’est la contrepartie et souvent la parodie de l
ies latines. C’est la contrepartie et souvent la parodie de la poésie
latine
mystique du moyen-âge. Quelques-uns de ces poètes
un choix de cette bizarre littérature, mais il faudrait le texte ; ce
latin
a son charme que ne peut rendre nulle transpositi
e vigueur. À vrai dire, c’était l’art chrétien revenant à son berceau
latin
, mais magnifiquement développé, orné de tout ce q
mme à Constantinople, matérialisés avec un faste triomphal. Les Croix
latines
, de même que les Croix grecques, sont gemmées, ét
uves de pourpre. Mais cette idée, cette sensation est d’origine toute
latine
, et elle est antérieure au ive siècle. Dès le ii
e trouva là le décor du Haut-Empire, toujours debout dans sa sévérité
latine
, tout le solennel poème de marbre que le déferlem
re était vrai, si l’on devait reconnaître ici un « art » soi-disant «
latin
», il nous faudrait désavouer au plus vite un aus
nocchiero in gran tempesta… 2 a été un patriote enflammé. » Le
latin
, langue universelle (Vox Urbis, Kal Maüs) On l
e universelle (Vox Urbis, Kal Maüs) On lit dans Vox Urbis, journal
latin
publié à Rome : « Latinorum conventus Romæ die X
endum ; II) ut collegia cœtusque doctorum acta sua, compendio saltem,
latine
patefaciant ; III) ut universi discipuli sermonem
Septentrion, de l’Est et du Couchant, se croisent sur une tombe, un «
latin
épris de lumière » (selon le cliché inévitable) :
ous sa dictée. Il y avait aussi quelques copies de poèmes italiens et
latins
non tracés de sa main ; puis plusieurs gros paque
uillet suit cet exemple : « S’il est possible de composer un dystique
latin
de la plus grande beauté sans savoir ni la langue
r un dystique latin de la plus grande beauté sans savoir ni la langue
latine
ni la prosodie. Il faut examiner la possibilité,
En renouvelant la langue, en cherchant d’autres rythmes, des rythmes
latins
, à la poésie, reprenant en cela des tentatives qu
le, mais aussi une sorte de fierté de race où se trahit la fraternité
latine
, celle même d’ailleurs qui nous fait observer ave
lèbre le Sang des races 10, où il exaltait l’ardente fusion des races
latines
au rivage algérien de la Méditerranée. Cette fois
périeuse Bonté, les Xipehuz, chefs-d’œuvre d’un génie démocratique et
latin
, et leur lyrisme scientifique plus allier et ense
and air de famille. Cette concordance, cet accord entre les deux pays
latins
par la littérature, il appartient à Jean Dornis d
nt 1900 sont intoxiqués d’un germanisme qui déforme chez eux le génie
latin
subtil aux intuitions pénétrantes et vif aux inve
s œuvres vigoureuses des Seyssaud et des Bouche d’un si ardent accent
latin
, pour leur montrer comment s’est enrichi, exalté
: la bouillonnante sensualité de ce coloriste, dont le goût inné des
Latins
pour la mesure fait aussi un harmoniste du soleil
de la plus grande Italie, qui doit être notre alliée pour l’expansion
latine
dans le monde en loyale, mais énergique concurren
ation de la houille blanche rend la valeur économique maxima aux pays
latins
où dormaient les plus hautes montagnes à l’heure
e, dont le sort littéraire eût influencé bien autrement les deux pays
latins
, si le génie de Dante n’eût pas imposé à la pénin
st anima , et il n’est rien de plus mélodieux dans son onction que le
latin
d’une autre fille de saint Benoît, la grande moni
ait peu d’effort pour transcrire syllabe par syllabe cette strophe en
latin
ou en n’importe quelle langue néo-latine ; et san
: Ma Muse italienne avec tendre espérance De loin offre la main à sa
latine
sœur. Mais les vers libres, qui accompagnent ces
llée. Il y a aussi quatre troupes de violons qui jouent en grec et en
latin
, dont une de Placentins qui touchent un « Sant’Ar
ur le pain et le sel. « Donc, n’est pas recommencé le royaume du Dieu
latin
, de ce Dieu qui, juste, ensemence et moissonne ?
e force d’assimilation. Héritiers directs des puissances spirituelles
latines
, romaines, les Italiens ne sont point, en philoso
cci une manifestation d’affirmation de la race qu’il appelle toujours
latine
. Cependant, des érudits rendent à l’Italie des se
et le développement intellectuel, et 3 autres ouvrages de Mosso, les
Latins
et Anglo-Saxons de Colajanni, les Criminels dans
moins l’influence de la tradition byzantine que celle de la tradition
latine
; telle de ses fresques fait songer aux images po
r. Traduit en français pour la première fois par Antony Méray . Texte
latin
en regard. Paris, Isidore Liseux, 5, rue Scribe.
que manie si bien M. Carducci. L’italien est en Italie ce qu’était le
latin
dans l’Europe du xiiie siècle, la langue nécessa
ier 1910, p. 135-141 [141]. […] L’Italie et la France, Revue des pays
latins
(novembre-décembre) : l’Aéroplane de Léonard de V
ment dans la presse contre l’incontinente importation dont notre sœur
latine
submerge nos affiches. Paillasse après la Vie de
Sa narration est émaillée de mots italiens, voire même d’inscriptions
latines
, qu’elle n’a guère comprises, latin et italien so
iens, voire même d’inscriptions latines, qu’elle n’a guère comprises,
latin
et italien sont quelque peu fantaisistes. Cependa
a région inconnue, lorsque nous imprimâmes sur le sol vierge la trace
latine
!… Les trois motifs principaux de ce morceau, où
ace est toujours présente à l’esprit du poète italien. Sa race est la
latine
, comprise dans le sens le plus vaste de mentalité
toutes les routes de la mort violente et inédite le sillon de gloire
latine
. § Dans son dernier roman, d’Annunzio a voulu cha
eil des peuples d’où il surgit, l’aviateur. Paolo Tarsis est le héros
latin
qui oppose à la sagesse et au courage des Barbare
me de l’aviation », que d’Annunzio consacre au triomphe de l’héroïsme
latin
, à la mort de Giulio Cambiaso, celui-ci disparaît
en triomphant. Un héros anglo-saxon aurait souri de dédain. Le héros
latin
avait accepté l’offrande de la jeune fille qu’il
es de l’œuvre d’Annunzio, littérairement plus nordiques ou slaves que
latines
, est cependant bestialement sublime. Aldo dispara
’arrogance espagnole, sur un fond irrégulièrement composé de quiétude
latine
et d’inquiétude orientale. La résultante de tous
epuis la guerre. Tous les gens qui parviennent, en s’aidant du peu de
latin
qu’ils ont appris dans leur jeunesse, à déchiffre
res, sympathie de race et de tempérament pour les Français, tradition
latine
, rêves unitaires, désirs d’expansion, ambitions i
de faiblesse, ou tout au moins l’indice que les esprits dans les pays
latins
et slaves ne sont pas à la hauteur des événements
s une civilisation germanique opposée et supérieure à la civilisation
latine
, il y a une civilisation européenne avec ses élém
rreur d’opposer la latinité au germanisme au nom d’une prétendue race
latine
et montre tout ce qu’il y a d’analogue, comme esp
réaliste qui pense à l’interprétation de la nature, tempérament bien
latin
: il fait, en quelque sorte, du Segantini à rebou
e Ninfa, une sorte de Pompéi du Moyen-Âge ; à Subiaco, sur les plages
latines
, etc. C’est un livre d’excursions et un guide qu’
mptueusement classique. M. Roccatagliata-Ceccardi est un des poètes «
latins
» qui ont le culte profond de l’éloquence, à la m
sseau romantique le long de quais resplendissants de marbres grecs et
latins
. Notre époque, la période la plus actuelle de not
doute Virgile le guida parmi les monuments et les ruines de la ville
latine
, impériale et pontificale ; mais Goethe l’initia
illeurs, est pétrie de ce levain antique qui l’a fait germer en terre
latine
. Et alors il se fait qu’il agitera dans son œuvre
ie ne devienne pas un jour une pomme de discorde entre les deux sœurs
latines
, ce qui arriverait par la force des choses si nou
très forte, à l’âme violente et fière. Le milieu est celui d’un pays
latin
profondément secoué par tous les frissons répandu
s le travail libre, qui, chacun le sait, était couvert, dans le monde
latin
comme dans le monde hellénique, d’une véritable r
les vœux de Gabriel Tarde. Dans ses écrits sur le Rythme des peuples
latins
, le sociologue qui songea à puiser à cette inter-
de puissance littéraire, depuis que la langue maternelle commune, le
latin
, « eut définitivement effacé les idiomes indigène
lle due à la civilisation des deux Églises adverses, la Grecque et la
Latine
, et, par conséquent, à la petite phalange de pens
discuté l’Humanisme de ce grand poète vivant, à propos de ses poèmes
latins
. Une discussion semblable, absurde et ridicule, a
e pour l’autre, est tout près du génie. M. Pascoli est grand poète en
latin
autant qu’en italien. Il vient de livrer au publi
blic, en même temps que des poèmes italiens, Poemi italici, son Hymne
latin
, Hymnus in Romam, consacré aux fêtes du Cinquante
son époque. M. Pascoli a obtenu plusieurs premiers prix aux concours
latins
internationaux d’Amsterdam ; Rome ne lui a octroy
, pour garder intacte encore, la renaissance et le culte de la langue
latine
. M. Pascoli voit et entend dans une vision formid
sa voix nous blesse même par sa chaleur profonde. Une tendance, point
latine
, certes, mais parfaitement épanouie en pays latin
ne tendance, point latine, certes, mais parfaitement épanouie en pays
latin
, veut détruire toute préoccupation esthétique, to
eurs craintes et leurs vengeances dans le murmure sombre de la prière
latine
qui couvre tout le drame. La tragédie de M. d’Ann
ins de santé et qui nous restituent la forme populaire du classicisme
latin
. Ce souci d’amour plutôt que de littérature, cett
n enseignements imprévus que la réconciliation opérée avec notre sœur
latine
. Le Mercure ne fut point invité, en mon humble pe
tuation pour donner à l’hexamètre italien le mouvement de l’hexamètre
latin
. M. Catapano crée sur ces bases une métrique rimé
it fait les Triomphes de l’amour et de la mort, et de certains poètes
latins
du siècle d’Auguste, d’Ovide, entre autres, dont
e une ancienne tradition. Cependant je ne crois pas que ce soient les
latins
ni les poètes de la Pléiade qui lui en aient sugg
ode. Envoie-la-moi avec un bon Dante et quelque bon Virgile ou Horace
latin
, s’il en est par là du bon. Et le 26 du même moi
e par le ministère du Commerce ; celle des Méditerranéens, Gaulois et
Latins
, doit l’être par le ministère des Arts. Une formi
onnaître, le Catholicisme traverse, particulièrement chez les nations
latines
, qui lui doivent pourtant leur gloire, une crise
e xviie siècle, aussi italienne que française : celle de la métrique
latine
appliquée à la prosodie des deux langues néo-roma
tre des guerriers lancés sur la terre de convoitises à travers la Mer
Latine
, Mare Nostrum. La critique littéraire n’a pas ape
intelligence, grâce à la fusion intime de la clarté et de l’éloquence
latines
avec la patience et l’exactitude germaniques. Le
uée dans le peuple italien. Depuis la Renaissance l’alliance du génie
latin
et du génie germain a produit des individualités
e »). Les dangers, réels, eux, de la langue officielle de l’école, du
latin
, étaient, je crois, distincts de la théologie. L’
rement la menace de ceux-là. Que Dante n’ait pas écrit la Commedia en
latin
(comme il voulut le faire un instant), en ce lati
rit la Commedia en latin (comme il voulut le faire un instant), en ce
latin
« serf d’église », et qu’il lui ait substitué la
rais et printanier. Les études critiques sur Dante, les grands poèmes
latins
de ce lauréat des concours d’Amsterdam, ses évoca
ôtes tyrrhéniennes (jusqu’au Tibre) : un jour et une nuit au pays des
Latins
(jusqu’à Terracine). Puis, en deux fois un jour,
ne pas le rapprocher du phénicien Skra ? Évidemment, pour des gosiers
latins
destinés à devenir des gosiers napolitains, le pa
tandis que le style italien, gouverné dans sa forme par la rotondité
latine
de la période boccacienne, dans le fond se moule
trouve des marques sincères, dès le quinzième siècle, dans les œuvres
latines
de Sylvius Æneas. Mais les descriptions de paysag
Inn, qui se va rendre à Vienne, dans le Danube (sic). On l’appelle en
latin
Ænus. Il y a cinq ou six journées par eau d’Inspr
veugle et sourde à l’âge de dix-huit mois, put néanmoins apprendre le
latin
, le grec, le français, l’allemand, et sa langue m
e trouve flattée par la douceur de l’air méditerranéen. Déjà le poète
latin
craignait que les insinuantes blandices de l’air
mme fort vous salue ! Ô chantiers teutons de la prépotence sonore, Un
latin
vous épie ! Ô dock aux muscles d’acier impérial,
Calabre. Son recueil de traductions précises et belles du grec et du
latin
, qu’il appela : Verde Antico, demeure comme un té
ion, richement décorée, vient de paraître, alourdie par la traduction
latine
que M. Cesare de Titta fit des poèmes romains de
condamnation presque unanime de la critique a fait un succès chez les
Latins
, a eu la joie de provoquer l’enthousiasme des hab
ejettent et gardent leur autonomie sous des consuls. Toutefois, ville
latines
ou villes royales, elles se jalousent entre elles
t du Centre, l’industrialisme épand sa vague envahissante sur le Midi
latin
, sur les Péninsules du Sud, qu’alanguit leur clim
ercher les moyens, rêvait d’un État gigantesque qui referait l’Empire
latin
. Il n’avait jamais clairement exposé ses concepti
courants remplissent l’histoire de la Péninsule, celui de l’expansion
latine
, et celui de l’invasion gauloise ou germaine. Le
e sa trempe. Mais alors ceci se produisait : Faute par l’aristocratie
latine
d’occuper la place qui lui revenait dans l’État,
es donnant les principales statues historiques des époques grecque et
latine
, d’après les collections des musées d’Europe et m
ersonnification de l’inquiétude. Fils de cette race plus germaine que
latine
, qui, aux pieds des Alpes et dans les plaines lom
ambition n’est pas autre. Il s’efforce, dit-il, « de retrouver l’art
latin
de la biographie ». Il veut être un « portraitist
que se permettra Virgile en imitant ce passage. La tombe que le poète
latin
fait dresser à Misène par le pieux Énée est une m
culier. Mais l’antiquité a présenté ici et là, dans les pays grecs et
latins
, des sites infernaux et des pèlerinages à Pluton,
, p. 169-176 [173-174]. Si M. Garzon, dans son ouvrage sur l’Amérique
latine
, a suivi la méthode descriptive, illustrée de gra
re à l’abri de ses remparts. Il a fallu tout l’effort d’une puissance
latine
pour écarter les voiles dont elle se couvrait et
on s’intéresse en France à la Tripolitaine et il souhaite que l’union
latine
se réalise bientôt dans cette Afrique du Nord où,
volonté que le major Caprini la bonne entente entre les deux nations
latines
pourrait être facilement rétablie. La caserne des
ute, du Maroc occidental aux frontières de l’Égypte, les deux nations
latines
pourront réaliser cette paix romaine qui a réuni
eut dire ? Mais tournez les regards vers le bassin oriental de la Mer
latine
, considérez là les affaires de l’Islam en débâcle
des engrais très suffocants. Que si on y ajoute des parfums de roses
latines
, ça sera probablement plus agréable, sinon moins
s en presque tous les pays, jusqu’en Russie et jusque dans l’Amérique
latine
; elle en a partout, hormis en France même. J’ent
e le Camaldule en l’interrogeant, et composait couramment des poésies
latines
: elle chantait « à voix de syrène » et ne pouvai
que son pays supplante bientôt le nôtre à la tête de la civilisation
latine
, mais, tout de même, nous aurions souhaité plus d
pourrait bien être du Pisanello. Tito Strozzi, dans une pièce en vers
latins
qu’il adresse au Pisan, avec ce titre : « ad Pisa
de faire revivre en italien le système compliqué de la versification
latine
. La langue italienne, très accentuée, lui permit
lit pas assez Burckhardt en France. Cet admirateur de la civilisation
latine
ne paraît sans doute pas assez germanique à nos i
ux qui l’entoure : levantins, persans, tunisiens, caravelles à voiles
latines
, ourques de Biscaye, hauts bateaux grecs que les
ilà sa vie. De cette Rome encore prestigieuse du Belvédère à la porte
Latine
, du « Sépulchre de Néron » au Janicule, de cette
es chœurs légers des satyres unis aux nymphes qui séparaient le poète
latin
de la foule. C’est pourquoi, dans ce temps-là, so
mbre d’années, à gagner la grande médaille d’or au concours de poésie
latine
d’Amsterdam, nourrit dans son âme une harmonie bi
gogie, deux de philologie classique (remplaçant celle de littératures
latine
et grecque.et de grammaires latine et grecque), u
(remplaçant celle de littératures latine et grecque.et de grammaires
latine
et grecque), une de philologie gréco-italique ou
’intéressent au problème des relations entre les deux grandes nations
latines
, qui sont attachées à leurs glorieux souvenirs co
rant qui l’emporte le mène, de la beauté classique des vieilles cités
latines
, à l’immensité de la mer et de toute sa géniale f
o de Montefeltro, duc par Sixte IV, cultivant les lettres grecques et
latines
, amant passionné des arts, avait fait de la « pet
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