au prix de quels savants et consciencieux travaux s’est formée cette
langue
de bronze qui, mise en fusion à la flamme du géni
urellement ils n’y ont vu que des mots. I. — Pourquoi ce traité de la
langue
vulgaire est-il en latin, puisque Dante prétend s
e faire brûler, ad majorem Dei gloriam. Dante recherche quelle fut la
langue
primitive ? « La maternelle est si naturellement
urellement chère à tous que chacun est prêt à soutenir qu’elle fut la
langue
d’Adam ? Le latin aurait-il cet honneur, le latin
» Ensuite Dante raconte l’histoire de la tour de Babel et comment les
langues
se sont séparées selon les métiers, et comment, ô
élevé qui choisirent l’idiome le plus barbare. Ceux qui gardèrent la
langue
sacrée n’étaient pas là et ne commandaient pas ;
croit pas que les hommes aient été dispersés lors de la confusion des
langues
. Radix humanœ in oris orientalibus sit piantata.
glé d’un commun accord et n’est soumis à l’arbitraire de personne. La
langue
d’oil l’emporte ; pour sa facilité, elle peut rev
er tout ce qui a été traduit et Arturi regis pulcherrimæ ambages ; la
langue
d’oc, plus parfaite et plus douce comme vulgaire
langue d’oc, plus parfaite et plus douce comme vulgaire éloquent ; la
langue
de si s’appuye davantage sur la grammaire commune
du bourg Saint-Félix et ceux de la Grande-Rue ne parlent pas la même
langue
. Celle des Siciliens est la plus honorable parmi
rti romain. Le vrai titre de ce traité serait : De la libre pensée en
langue
vulgaire, en ayant soin de remarquer qu’au xiiie
ur communiquer, en leur enseignant à s’entretenir librement dans leur
langue
maternelle. Il n’est question du serpent de la Ge
tion donnait aux mots un triple sens. Aussi Dante ne s’occupe que des
langues
romanes, provençal, languedocien et italien. L’id
usique ». Vraiment ce traité ne servira à personne pour se former une
langue
de bronze. Il était destiné, dans l’esprit de son
t papienses les habitants de Pavie. Pour M. Labitte, « Dante prend sa
langue
splendide à tous les patois italiens qu’il émonde
ligion ? Le De Vulgari Eloquio enseigne à exprimer la libre pensée en
langue
vulgaire, le Convito va nous révéler la pensée de
eoir à mon banquet s’il n’a les organes bien disposés : les dents, la
langue
et le palais. Vienne quiconque, grâce aux labeurs
j’ai parcouru, quasi mendiant, presque tous les lieux où on parle ma
langue
natale ; … j’ai paru vil aux yeux de beaucoup et
maine et par le vulgaire la doctrine secrète professée par Dante.) La
langue
ici signifie la communion religieuse. Le latin es
l plaît à Dieu, dans un livre que j’ai l’intention de composer sur la
langue
vulgaire. Le latin n’aurait pas été serviteur, ma
ées qu’à ceux-là. En revanche il les aurait exposées à des peuples de
langue
étrangère et il aurait dépassé son mandat. Car le
e opposée à notre vulgaire est la vaine gloire de s’exprimer dans une
langue
étrangère ; la quatrième de ce que l’œuvre se tro
la parité, l’égalité que le vulgaire met entre les hommes d’une même
langue
; la cinquième vient de la bassesse d’âme. La mes
e bien. L’homme a deux perfections : l’être et l’accomplissement : ma
langue
maternelle a été pour moi la source de l’un et de
quelque universitaire pour soutenir que le poète parle vraiment de la
langue
italienne, dans le sens où Musset a écrit : J’ai
nne, dans le sens où Musset a écrit : J’aime surtout les vers, cette
langue
immortelle, — il n’a jamais lu un seul chant du
ouvrage comparable à ce récit tout vibrant d’émotion contenue, d’une
langue
claire, et sans recherche, mais chaude, prenante
moins que la foule incapables de séparer l’idée de race de l’idée de
langue
. Mais c’est un peu bête, tout de même, de qualifi
n un paysan de la Hague ou du Ponthieu, sous prétexte qu’il parle une
langue
, qui n’est que du latin modifié par la forme des
sme. L’Allemagne n’a pas de figure. Même quand on y parlait plusieurs
langues
et des centaines de patois, la France existait ;
’a trouvé que récemment une unité territoriale, peut-être factice. La
langue
est peu de chose. Le hasard d’une conquête a pu i
nquête a pu imposer aux habitants de la Gaule l’usage du latin, comme
langue
interprovinciale et internationale ; cet usage d’
a pu, par son utilité, s’imposer à presque tous et faire oublier les
langues
premières. Cela n’a pas eu d’autre importance ; l
aux Pyrénées. Elle a laissé de son passage une empreinte certaine, la
langue
. Reste à savoir comment cette empreinte s’est mar
oètes, les orateurs sont chrétiens. C’est la religion qui a imposé sa
langue
, comme elle le fait encore aujourd’hui en Orient.
l est absurde de l’appeler un pays latin. L’empreinte fut double : de
langue
et de religion, l’une et l’autre encore aujourd’h
issimilation s’opéra aussitôt. Tandis que l’Église gardait intacte la
langue
qui lui avait servi à dominer le peuple, le peupl
éserverait de cette faute Quant au provençal, ce n’est aucunement une
langue
italienne, mais bien une langue française. Les tr
au provençal, ce n’est aucunement une langue italienne, mais bien une
langue
française. Les travaux philologiques de M. Antoin
nts, à mesure que la population se trouvait initiée par l’Église à la
langue
sacrée. Les groupes langue d’oc, langue d’oïl, sa
tion se trouvait initiée par l’Église à la langue sacrée. Les groupes
langue
d’oc, langue d’oïl, sans être factices, n’ont pas
ait initiée par l’Église à la langue sacrée. Les groupes langue d’oc,
langue
d’oïl, sans être factices, n’ont pas de limites p
oc sont clairement du français, et qui ne s’éloigne pas plus de notre
langue
moyenne que le wallon, patois d’oïl contracté à l
nguistique latin, pendant au portugais si rude et si condensé. Quelle
langue
parlerions-nous sans les missionnaires de l’Églis
ibériques. Que le celtique ait entièrement disparu, cependant, de la
langue
française, cela donne à penser ou que ses dialect
si que l’effort destructeur des missionnaires se soit acharné sur une
langue
qui était la matrice de toutes les superstitions
était la matrice de toutes les superstitions populaires, Détruire une
langue
, c’est détruire la tradition. « L’œuvre des relig
disparition totale des dialectes indigènes. Ce qui en demeure dans la
langue
française est insignifiant ; ce qui en demeure da
qu’elle fut commencée. Irénée, à Lyon, avait formé un centre grec, de
langue
et de pensée. Rome, plus voisine, mieux outillée,
encore comment l’administration romaine a pu si rapidement imposer sa
langue
en de si vastes régions. Mais le doute n’est guèr
la Renaissance, l’influence du latin est déjà prépondérante sur notre
langue
: le latin est le réservoir naturel où puisent le
e : innocent, incompréhensibles pour le peuple. En résumé, parenté de
langue
ne signifie nullement parenté d’origine. L’Italie
gnifie nullement parenté d’origine. L’Italie et la France parlent des
langues
évidemment sœurs. Ethnographiquement, les habitan
échappe malheureusement à ceux qui ne connaissent pas profondément la
langue
dont le poète se sert. Il est tendre et désolé, r
élégamment drapé dans son inédit, réapparaît jeune et intéressant. Sa
langue
est pure et riche, son âme est tranquille, sa vis
rivages de l’Italie, enseveli à Rome, il traduisit dans la plus pure
langue
italienne l’âme du poète-philosophe anglais ; et
st celui qui regarde la nature avec la violence d’un forcené. Dans sa
langue
parfaite, dans son style tour à tour nerveux, sec
ique arrive au dernier degré de maturité. Il dit sa grande parole. La
langue
, l’esprit, le mode tout entier de manifestation e
nt comprendre et suivre ces deux poètes, que dans les rythmes de leur
langue
originaire. La plupart des poèmes de Carducci, tr
e le provençal peut être admirablement rendu en italien, car ces deux
langues
sont celles qui restent les plus étroitement atta
dans l’idée abstraite de Rome ; l’autre, la rénovation complète de la
langue
, non seulement dans une prosodie empruntée à la l
complète de la langue, non seulement dans une prosodie empruntée à la
langue
latine, mais dans la valeur même des mots et des
tre de toute poésie, et avouent ainsi leur impuissance esthétique. La
langue
italienne resplendissait de couleurs nouvelles, m
avoir été faite pour lui seul. Il continua l’œuvre de renouveau de la
langue
; suivant les traces de Carducci, il la porta à c
o-latin. Il a peut-être aussi le tort d’avoir poussé la réforme de la
langue
à un degré de raffinement qui l’a étrangement com
oser un vers « héroïque » qu’en se servant des vers mêmes acquis à la
langue
. Celle-ci est la règle suivie par Carducci, qui,
ujours plus profonds, n’engendraient pas. Seulement, dans les Odes la
langue
est toujours belle même si touffue, elle est neuv
italienne, avec sa prose et avec ses recherches d’instituteur sur la
langue
qu’on parle en Toscane et la langue que les Itali
s recherches d’instituteur sur la langue qu’on parle en Toscane et la
langue
que les Italiens doivent parler, je ne m’étendrai
ce serait en partie commandée, en partie spontanée. » Le latin est la
langue
de l’Église, la langue ennemie ; il aime le vulga
mandée, en partie spontanée. » Le latin est la langue de l’Église, la
langue
ennemie ; il aime le vulgaire parce que c’est sa
l’Église, la langue ennemie ; il aime le vulgaire parce que c’est sa
langue
de croyant autant que sa langue de poète. Si Dant
l aime le vulgaire parce que c’est sa langue de croyant autant que sa
langue
de poète. Si Dante était un philosophe, il ne dir
ue saint Thomas, a été la Muse des races latines depuis qu’il y a des
langues
latines ; elle a inspiré le chef-d’œuvre du dix-n
notre École Supérieure d’Alger. C’est à cet Institut que professe la
langue
et la littérature hébraïques Salvatore Minocchi,
ythmes larges, dans les accords mélodiques plus qu’harmoniques, de la
langue
italienne. L’importance d’une traduction de la Ch
littérateurs et grammairiens italiens vers l’étude des sources de la
langue
et de la littérature nationales. Au xixe siècle,
rythmes d’expression particuliers à l’Italie, dans les rythmes de sa
langue
lyrique. Dernièrement M. L. I. Benedetto, et main
nt non rimé. L’endécasyllabe est sans doute le vers fondamental de la
langue
italienne, comme l’alexandrin est celui de la lan
ondamental de la langue italienne, comme l’alexandrin est celui de la
langue
française depuis le xvie siècle. Mais, à l’insta
t, par cela même, elle rappelle de trop près les grands modèles de la
langue
, Dante en premier lieu, pour que l’émotion qu’ell
pour rendre le vers octosyllabique allitéré de l’épopée nordique. Sa
langue
est pure et forte. Les vicissitudes terribles et
connaître comme unique ton nom, que des bouches pieuses bénissent, la
langue
du juste sanctifie, le cœur de saints magnifie, e
s consacrés, dans ma dernière chronique, aux revues philosophiques de
langue
française, pour épuiser cette matière. J’y revien
sa beauté, le puceau, l’androgyne, céleste ou terrestre, qui, dans la
langue
lourde de la philosophie, s’appelle synthèse et q
o le plus mordant qu’il est impossible de croire que ce soit là cette
langue
la plus renommée pour son charme et sa noblesse.
sement, en pleine littérature moderne, des bourgeons séculaires de la
langue
; ce renouveau, ébauché furieusement par Carducci
e », convaincus que le dialecte toscan demeure le paradigme pur de la
langue
nationale, de laquelle il fut le levain. La langu
aradigme pur de la langue nationale, de laquelle il fut le levain. La
langue
et la prosodie italiennes ont été effectivement r
tiste leur synthèse représentative sur la palette. Le renouveau de la
langue
littéraire italienne fut accompli. Aux jeunes poè
cun disciple. Et s’il demeure le plus pur écrivain de son pays par sa
langue
, il en demeure aussi le plus fort par l’étendue e
ctement à la France sa pensée et sa plume, et les rythmes mêmes de sa
langue
littéraire, qui devient, pour le moment tout au m
nzien. C’est que ce virtuose du verbe se surpasse quelquefois ici. Sa
langue
est très pure, et les quelques cadences antiques
ouvelle convulsion ; enfin, on peut mentionner l’introduction dans la
langue
d’un nouveau mot, — le terme profuge, indiquant c
atavique sinon toujours ethnique, lie les différents peuples dont la
langue
, littéraire et officielle, que l’on pourrait appe
lle, que l’on pourrait appeler de parade, est la même. Les régions de
langue
italienne sont assez liées par leur littérature b
ui porte aux sommets les noms de Dante, Pétrarque et Boccace. Mais la
langue
intime de chaque région présente des diversités a
trop se renouveler, dans toute la péninsule. Tandis que le théâtre en
langue
italienne, malgré les efforts de prosateurs et de
ut les surprendre dans leur vie intime, et exprimer celle-ci par leur
langue
, on accepte de se servir du langage intime forgé
ue le travail des œuvres supérieures de l’esprit, se reflétant sur la
langue
, forge et renouvelle chaque jour. La représentati
Giacomo, récemment transportée de Naples à Rome, est intéressante. La
langue
populaire ne peut exprimer que des sentiments pop
i qui se rapproche le plus, dans son essence et dans ses modes, de la
langue
italienne, sans être aujourd’hui, ainsi que quelq
enne, sans être aujourd’hui, ainsi que quelques-uns le prétendent, la
langue
italienne elle-même. M. Paolieri, dont j’ai signa
l ne faut pas oublier que Gabriele d’Annunzio a puissamment écrit, en
langue
italienne, la Fille de Jorio. Tome LXXXVI, n
mbre de ces dernières villes. Depuis qu’on la célèbre dans toutes les
langues
et dans tous les arts, son image s’est modifiée b
et. Érasme aimait le grec, mais aussi la bonne chère, et de parler la
langue
de Lascaris ne le nourrissait pas suffisamment. O
n 1508 Venise était toute remplie de Grecs et le grec était encore la
langue
de l’Orient. Dans le reste de l’Italie et même à
critiques qui ne sont pas trop ferrés sur cette petite affaire de la
langue
italienne s’en mêlent : ce qui est étonnant, il f
nécessaire d’avoir une connaissance parfaite, profonde, exquise de la
langue
; on doit comparer, on doit connaître les sources
si on le découvre, c’est le poison qui sort ! M. d’Annunzio élève la
langue
italienne à une grande hauteur ; mais gare à qui
que ses critiques n’arrivent qu’à la surface des questions d’art ; la
langue
, pour eux, c’est le style : la forme c’est l’idée
art italien. En général, d’après l’enquête actuelle on apprend que la
langue
italienne est très peu cultivée à l’Étranger, et
e lorsqu’une littérature est riche, puissante, nourrie, l’étude de sa
langue
s’impose aux publics intellectuels. Je crois donc
à venir à eux. Dans l’attente, il est à souhaiter que le goût pour la
langue
de Dante et de Boccace se répande et qu’on puisse
vivante, à la scène. Certes, la composition en est harmonieuse, et la
langue
en est belle, bien qu’assez peu personnelle : au
rivant la Ville morte directement en français, n’écrivait pas dans sa
langue
maternelle, et je sais bien des auteurs français,
ant pas arrêté, le sabre de Macola lui entra dans la bouche, coupa la
langue
et s’enfonça dans la gorge. Quelques minutes aprè
avec une patience infinie et un art peu commun. Je pense aussi que la
langue
dont l’auteur se sert a beaucoup gagné, en oublia
développer tout ce qu’il sera plus tard, en quelque sorte malgré lui.
Langue
agréable et fort française. Histoire, sociolog
rs égale à elle-même dans ses révélations comme dans ses mystères. La
langue
en est parfaite. M. Pascoli, comme M. de Bosis et
Pascoli, comme M. de Bosis et M. d’Annunzio, s’efforce de donner à la
langue
italienne la souplesse infinie de la langue grecq
s’efforce de donner à la langue italienne la souplesse infinie de la
langue
grecque, en créant des adjectifs avec une couple
i choque avec la simplicité forcée du langage. Le Poète se sert d’une
langue
particulière, d’un italien méridional ; les perso
contre moi leur arc, et m’ont lancé leurs flèches empoisonnées : leur
langue
m’appelait assassin, et disait que j’avais dépoui
réussi ! Quelle ruse ? Qu’est-ce qu’il disait, le borgne, la mauvaise
langue
? Zio Félix se sentait comme assailli par un chie
rai tous les ans, nu pieds et nu tête, et je balaierai le sol avec ma
langue
. Il monta trois fois à l’autel en se traînant sur
neurs de Challant, les maîtres de cette jolie vallée d’Aoste où notre
langue
n’a pas encore complètement cessé de se parler.
les, est instituée à Florence pour fixer le dictionnaire-modèle de la
langue
italienne pure, et qui est bien loin d’avoir ache
es ; c’est la beauté hardie du style, l’élégance toute nouvelle de sa
langue
, et, surtout, l’heureuse recherche d’allitération
des vers antiques. Et même voyez, ce n’est déjà plus chez Phyllis la
langue
de Racine, pleine de pensée intense et concise, r
et concise, rasant la prose suivant le mot de Sainte-Beuve, c’est une
langue
d’images et quoique hors de toute convention, une
e, c’est une langue d’images et quoique hors de toute convention, une
langue
lyrique, passionnée, vivante. M. Joachim Gasquet,
rs libres Aujourd’hui, M. Alfredo Catapano enrichit la prosodie de sa
langue
avec ses sonnets en hexamètres. Et il le fait en
en fait une exégèse profonde. Il y est aidé par sa connaissance de la
langue
allemande et par la précieuse beauté de son style
historien italien, M. Guglielmo Ferrero, vient de publier, dans notre
langue
, le deuxième volume. Paru vers la fin de l’année
ont dû relever l’absurde puérilité de la construction du livre et la
langue
malheureuse d’un grand écrivain qui n’a pas encor
à côté du tragique y est une cause de désordre, très souvent laid. La
langue
est impure. Mais, surtout, le livre entier a le t
octète de Sophocle. La compréhension de l’âme grecque est belle et la
langue
y est harmonieuse et riche. Jolanda : Le Indim
r M. Hector Lacoche. En plus de la connaissance parfaite, rare, de la
langue
de l’Arioste, et la plus adéquate compréhension d
Grazia Deledda, MM. Pascoli, Colantti, et les meilleurs écrivains de
langue
italienne. Chaque fascicule du Rinascimento conti
n, et tous ces gens-là me donnent une furieuse envie d’apprendre leur
langue
. Je crois la poésie anglaise supérieure à la fran
ait essayé autrefois de traduire en vers avec l’aide de son maître de
langue
, je crois bien que personne ne s’en serait aperçu
. I, p. 335. 22. Corresp., t. I, p. 218. 23. Ce petit Pétrarque en
langue
italienne appartient à M. Émile Ollivier, dont on
mier jet. 25. Cf. notre édition de la Deffence et illustration de la
Langue
françoyse, par J. du Bellay, librairie Sansot, 19
La grammaire n’est pas faite pour nous. Nous ne devons pas savoir de
langues
par principes. Nous devons parler comme la parole
déjà si volontiers Robert Wace il y a un peu plus de sept siècles (la
langue
française n’est pas toute jeune) : E li Engleis b
paysans et aux ouvriers, ils ignorent quasi jusqu’à l’existence de la
langue
que manie si bien M. Carducci. L’italien est en I
est en Italie ce qu’était le latin dans l’Europe du xiiie siècle, la
langue
nécessaire mais non la langue familière : les dia
atin dans l’Europe du xiiie siècle, la langue nécessaire mais non la
langue
familière : les dialectes y vivent toujours et mê
douard Sansot-Orland. « Étant donné qu’en Italie on professe pour la
langue
et la littérature françaises un goût très marqué
publiera régulièrement à partir de ce mois (janvier) des articles en
langue
française. C’est notre collaborateur, M. Remy de
du Concours dramatique ne reconnaît à cette pièce que le mérite d’une
langue
pure et harmonieuse ; le public, plus juste, à re
deux héros artistes s’éprenant l’un de l’autre et s’exprimant en leur
langue
, on ne risque plus que des histoires malpropres.
rieux même dans la plaisanterie. À tout le moins, il la veut de bonne
langue
. Imaginez le Masque de fer, le Nain Jaune ou M. d
e vers les cieux limpides de la spiritualité et se purifie… Jamais la
langue
, a dit Saint-Victor, n’a été forcée à un plus hau
ance n’est maître de l’instrument formel. Il connaît l’histoire de la
langue
française, de ses vicissitudes et de ses transfor
: s’assimiler une pensée étrangère et exprimer leur jugement dans une
langue
étrangère. On sait avec quelle bravoure M. Zuccol
bre est Tête-d’Or, M. Zuccoli termine en regrettant l’obscurité de la
langue
et certaines dispositions scéniques qui empêchero
nt engoué et enthousiasmé de la France qu’il affectait d’en parler la
langue
le plus souvent qu’il le pouvait. Dans un roman s
vingt mille ducats à Lechi pour s’enfuir des Plombs, et les mauvaises
langues
disent qu’ils ont été partagés entre l’Excellenti
nçaise : celle de la métrique latine appliquée à la prosodie des deux
langues
néo-romanes. Carducci renouvela l’expression lyri
uvela l’expression lyrique italienne, renouvela la prose, enrichit la
langue
, remua les esprits, et de toute cette effervescen
ent faire oublier le sentimentalisme humanitaire et l’indigence de la
langue
prosodique. Les chansons épiques de M. Gabriel
interprètes, fort savants d’ailleurs, mais qui ne comprenaient pas la
langue
spéciale que parlait le poète marin. » Tome
Manon, qui était italienne, écrit en français. Elle trouve dans cette
langue
, qui est non moins celle de l’amour que la langue
e trouve dans cette langue, qui est non moins celle de l’amour que la
langue
de Pétrarque, des accents d’un naturel délicieux,
rieur qu’il a presque perdu. Rares sont ceux qui savent assez bien la
langue
pour s’entretenir avec le premier venu au hasard
ans les endroits publics. D’autre part, en Italie la connaissance des
langues
étrangères est très peu répandue, on n’y parle gu
qui surfont les prix dès qu’ils ont affaire à un étranger ignorant la
langue
et les usages du pays et vous trompent vulgaireme
le est nettement marquée dans la vie, dans les usages et même dans la
langue
: tout vrai bourgeois se croit supérieur par défi
lit, les frontières ne comptent plus, les distinctions de races et de
langues
s’effacent, des groupements nouveaux se dessinent
a portée de son « anticatholicisme »). Les dangers, réels, eux, de la
langue
officielle de l’école, du latin, étaient, je croi
nstant), en ce latin « serf d’église », et qu’il lui ait substitué la
langue
italienne, c’est un bienfait très littéralement i
italienne, c’est un bienfait très littéralement incalculable, dont la
langue
italienne, l’Italie et l’humanité se ressentiront
vous voulez bien, sur ce fait que les Italiens ne connaissent pas les
langues
étrangères, encore que je ne sache pas une petite
ou un Allemand ne puisse trouver quelqu’un pour lui répondre dans sa
langue
, tandis que je n’oserais affirmer que la réciproq
este de comparer notre pauvre idiome méridional, celui de Dante, à la
langue
que Voltaire introduisit en Prusse et qui est res
il a parlé allemand ou anglais ? Nos écoles secondaires exigent deux
langues
. Oh ! nous ne les apprenons pas dans leurs finess
lle des Abruzzes. Le traducteur, qui manie avec habileté et talent la
langue
et la prosodie, serre le texte de très près et a
ez la France pour écrire, plus tard, ses ouvrages en se servant de la
langue
de ce pays, dont il connaissait l’histoire dans s
Espagne ! Vient ensuite une digression savante et intéressante sur la
langue
espagnole, ses inflexions, ses aspirations de let
s désinences multiples en a venant de la domination maure. Il juge la
langue
espagnole « une des plus belles, des plus sonores
ge, qui est un dictionnaire avec commentaires des mots nouveaux de la
langue
française. Encore une fois, pourquoi ces détails
sa patrie à peine reformée, et qui avait renouvelé la prosodie et la
langue
littéraire italiennes, tout en demeurant plus gra
Schérie ne signifie rien d’acceptable en grec ; par contre, dans les
langues
sémitiques, il a un sens très clair : le radical
e sokeret, ce serait la roche noire (on sait d’ailleurs que, dans les
langues
sémitiques, les voyelles ne font pas partie du ra
péreia, c’est la haute ; Cyclopes ce sont les yeux cerclés ; dans les
langues
sémitiques, la Haute devient Cuma, et Cyclopes do
ns ici la dernière page de l’histoire. Sans hésiter, comptant prendre
langue
plus loin, nous franchissons le môle de 250 mètre
première main, d’autant plus valables que, par sa connaissance de la
langue
et de la littérature italiennes, l’auteur est rem
plus, à l’agrément de faire pressentir ce qui suit (« les mots d’une
langue
bien faite s’appellent naturellement l’un l’autre
sitions. Les lettres, la cour, la guerre avaient répandu en France la
langue
toscane et l’estime pour les ouvrages des artiste
néanmoins apprendre le latin, le grec, le français, l’allemand, et sa
langue
maternelle, l’anglais ; douée d’un esprit élevé e
nière ; sa pensée peu à peu s’affine et bientôt se mûrit, s’élève, sa
langue
s’assouplit et son style s’épure. À la fin, la mé
absolument Verlaine, sauf ceux de ses écrivains qui le lisent dans sa
langue
originale : à peine quelques traductions de pièce
tats de la péninsule. Manzoni avouait à Fauriel son grand amour de la
langue
française, qu’il estimait plus riche, plus vivant
nçaise, qu’il estimait plus riche, plus vivante, plus complète que la
langue
italienne, en particulier celle « écrite », momif
te Raule publie une Tearchia, des vers sacrés, en terza-rima, dont la
langue
, la forme, la conception générale et l’expression
différences de sentir, différences de parler ». Le dictionnaire de la
langue
normale ne suffirait pas à rendre l’expression ve
développement réside dans le même principe, et en fait une véritable
langue
. M. Niceforo étudie encore l’argot des couples, b
ant, en les transformant, les grands courants du lyrisme français. La
langue
s’assouplissait et se magnifiait, mais il fallait
ication historique qu’il ne faut point méconnaître. En renouvelant la
langue
, en cherchant d’autres rythmes, des rythmes latin
s, il les ait laissés dans l’ombre ? Son œuvre est belle et neuve, sa
langue
est précise et sa « musique » est émouvante. Le p
u temps où M. Alexandre Ular vivait parmi nous et écrivait dans notre
langue
, nous admirions ses judicieux travaux d’ethnograp
inépuisable de documents du plus haut intérêt. Signalons une étude en
langue
anglaise, de M. Sidney Churchill, sur Benvenuto
cident marquent tour à tour les étapes, M. Ricciotto Canudo, dans une
langue
enfiévrée d’images et de symboles, évoque les mom
me intégral et de la superexaltation appliquée : « Suppression de la
langue
et du verbe, utilisation exclusive de l’exclamati
du xixe siècle. Ruskin a exercé depuis soixante ans dans les pays de
langue
anglaise une influence dont il est difficile enco
otre élégance, elles conversent, écrivent et se confessent dans notre
langue
; mais soudain Paris prend l’initiative des révol
gne pour un Marinetti qui dépense de si riches dons et manie les deux
langues
avec une égale virtuosité, comme le prouvait hier
néralement, par nécessité littéraire indéniable, doivent connaître la
langue
française, qu’aux Français et aux littérateurs de
t autre pays, lesquels se passent facilement de la connaissance de la
langue
italienne. La prose française, qui se développe s
ression assez curieuse, qui évoque celle de cette singulière et forte
langue
franco-vénitienne, dont le sort littéraire eût in
le génie de Dante n’eût pas imposé à la péninsule l’unification de la
langue
littéraire dans son dialecte triomphant. Mais le
nt. Mais le volume Ce qu’ils lisent n’est pas écrit réellement en une
langue
synthétique. Il offre aux lecteurs internationaux
ureusement le caractère hybride du livre n’est pas seulement, dans sa
langue
. Il est foncièrement dans l’idée qui le composa e
atisfait et très frondeur. M. Enrico Cavacchioli a une maîtrise de la
langue
et des figurations rythmiques absolument remarqua
un chercheur extrêmement averti des jeux rythmiques et sonores que la
langue
italienne peut offrir à ses poètes, et que ceux-c
e te regarder. Tes paroles sont si belles et si bonnes, tu parles une
langue
si mélodieuse… Tout ce que tu penses, tout ce que
lli, en s’essayant à toucher la lyre française. Érudit et poète en sa
langue
, traducteur de Heine et de Shelley, M. Corrado Za
ire syllabe par syllabe cette strophe en latin ou en n’importe quelle
langue
néo-latine ; et sans audace ni outrecuidance l’au
r un mètre fixe, il saurait ordonner des paroles harmonieuses dans la
langue
de Ronsard et de M. Henri de Régnier. Lettres
alaisé de faire bien, car il y faut une connaissance parfaite de deux
langues
et de deux pays. Car Marcantonio Giuseppe Baretti
est créé deux réputations littéraires entièrement distinctes, en deux
langues
et en deux pays différents. Dans sa patrie, l’Ita
e l’amour ; par excellence, et, si l’on en croyait quelques mauvaises
langues
, la cité des papes ne serait point déchue de son
apprenne, l’émeuvent profondément. Il lit ceci, traduit en plusieurs
langues
: Je suis italien — je cherche du travail — j’ai
des révoltes d’esclaves craintifs, doit à l’œuvre féminine. Malgré sa
langue
point encore riche, et nombre de formes vieillies
irituelle de l’île qui donna, au moyen-âge, ses premiers rythmes à la
langue
italienne. Dans le poème le Chaos, le poète dit :
en lui que le politicien. Cependant ses livres, traduits en plusieurs
langues
, témoignent d’une tendance de notre esprit littér
François d’Assise, édité des cantiques du quinzième siècle et dans sa
langue
natals publié nombre de poèmes que l’on peut supp
ion nouvelle. L’expression poétique de la race, dans l’une ou l’autre
langue
, gagne en puissance, en noblesse et en significat
meurera comme une gloire de la littérature italienne, dont il fixa la
langue
, la prose et la prosodie modernes, préparant l’ét
uons pas cet aveuglement. Les mentalités plus diverses encore que les
langues
ne se transposent pas, comme elles, au moyen de l
d’après leur degré de communicabilité et il démontre aisément que la
langue
des formes et des couleurs entendue de tous les h
des jeunes je pense, dont un caractère au moins, celui du souci de la
langue
, une certaine volonté de style, rend l’effort en
accomplis par M. d’Annunzio, après Carducci, pour le renouveau de la
langue
, pour la formation d’un instrument d’expression n
on nouveau et riche, les Poètes italiens écrivent tous à peu près une
langue
impeccable. Ils montrent en général un assez gran
o, il est certain que ces deux écrivains ont nouvellement « fixé » la
langue
italienne. M. Pascoli a apporté de son côté une p
se montre une personnalité digne en tous points d’être remarquée. Sa
langue
est pure, et son esprit est nouveau. Sa poésie a
, recherche comment le xviiie siècle expliquait l’universalité de la
langue
française. Les uns l’attribuaient aux victoires d
semble l’excellence des armes et celle des lettres et qui fait que la
langue
des peuples est dans la plus haute splendeur sous
gnes des plus grands rois6 ». Mais il y eut à cette prérogative de la
langue
française d’autres causes : « Si la langue frança
à cette prérogative de la langue française d’autres causes : « Si la
langue
française est maintenant triomphante, écrivait un
expressions, elle est le langage de la société…, il faut revenir à la
langue
française quand on veut converser ; moins diffuse
reau, qui nous parait bien invraisemblable. Mais il y a des mauvaises
langues
à l’armée d’Italie ; il s’y trouve même des mécon
lande, le Maroc, Constantinople), se contenta de représenter dans une
langue
simple la simplicité touchante de ses sentiments.
é et établi à Londres, ayant pour ressources d’y donner des leçons de
langue
et de littérature italiennes. Sa maison était ouv
a même puissance d’abstraction lyrique. Sa poésie est plus intime, sa
langue
est moins vigoureuse, plus précise, plus classiqu
, le poète s’exprime dans la plénitude de ses moyens d’expression. Sa
langue
, son style, ne dérivent d’aucun des deux poètes «
M. Massimo Bontempelli, poète élégiaque et tendre, s’exprime dans la
langue
pure des maîtres morts, très noblement. Aureli
lité en subissant la critique de ces Florentins d’esprit prompt et de
langue
acérée, qui, peu enclins à se contenter d’ouvrage
: « Pour Dieu brûle notre cœur, pour Dieu notre poitrine soupire, la
langue
le chante, la tête, les mains, les genoux l’adore
loire de Dieu et les chefs-d’œuvre celle du catholicisme, et dans une
langue
vraiment universelle, celle des formes. En Occide
porer à elle. Le catholicisme ayant pour textes sacrés deux livres de
langue
morte, l’un hébreu et l’autre grec, tous deux tra
ue morte, l’un hébreu et l’autre grec, tous deux transportés dans une
langue
de caste, le latin, il était fatal que l’étude s’
, il était fatal que l’étude s’étendît aux autres livres de ces trois
langues
pour en tirer des éclaircissements et des confirm
même chez les gnostiques, le logos de saint Jean. Enfin il étudie la
langue
choisie entre toutes comme langue sacrée et en li
s de saint Jean. Enfin il étudie la langue choisie entre toutes comme
langue
sacrée et en lit les chefs-d’œuvre pour se prépar
, enfin une bibliothèque renfermant tout ce qui a été écrit en toutes
langues
sur le maître. Tome LXXV, numéro 270, 16 sept
Épîtres de saint Paul et que l’Écriture fût traduite dans toutes les
langues
. » On sait que Paul III eut l’intention de donner
ts ont tâché de faire croire que la Bible n’avait pas été traduite en
langue
vulgaire avant le saxon. Panzer compte seize vers
e avant le saxon. Panzer compte seize versions littéraires et cinq en
langue
vulgaire antérieures à Luther. En Italie, on trou
aractère atroce et qu’on ne compte pas plus de 40 meurtres par an. La
langue
du peuple paraît criarde d’abord et grossière ; e
été créée pour faire rire. Beaucoup d’ouvrages sont écrits dans cette
langue
. Les divers quartiers ont des dialectes, comme il
s la platitude générale, retrouvait quelques rythmes de fierté et une
langue
renouvelée ; après les affirmations tour à tour p
our à tour parnassiennes et symbolistes de l’art de d’Annunzio, où la
langue
devenait précieuse et incomparable œuvre de virtu
um, dévoilent de douces tristesses dans des rythmes tendres, dans une
langue
très pure. Ici, encore, c’est une volonté de ryth
ciété lui semblaient également intolérables. À quoi bon appauvrir une
langue
qui a fait ses preuves puisqu’elle a produit des
rigent les Essais et qui blâment leur auteur d’avoir fait usage de la
langue
entière tandis qu’eux n’en admettent que la moiti
ques, et on comprendra la rapide évolution qui s’était opérée dans la
langue
française. Cette évolution et cette épuration de
ée dans la langue française. Cette évolution et cette épuration de la
langue
firent négliger les grands poètes de la Renaissan
travers toutes les classes de la société napolitaine. Cette mauvaise
langue
de Gouvion Saint-Cyr, qu’il avait supplanté, nous
s liens qui unissaient les deux pays. Bajazet viole le pacte écrit en
langue
italienne et réduit les Vénitiens à l’esclavage.
sans style ? Figurons-nous M. Barrès ou M. Maurras, écrivant dans la
langue
de M. Bernstein ! Art ancien Tristan Leclère
double attention, admirative ou gouailleuse, de ses contemporains. La
langue
italienne y est très ferme, et son style garde, d
ion d’un esprit qui ne veut pas « se contrôler ». L’harmonie des deux
langues
, l’identité absolue de leurs mouvements profonds,
, enlevé par la mort à sa jeune gloire. Dans ces courtes pièces d’une
langue
tendue, concise, elliptique, s’exprime l’inquiétu
ort et celle-là pâlit Surtout dont nul époux n’a traversé le lit. La
langue
et les rythmes de M. Jean Schlumberger sont ferme
oses basses et laides, un … Florentin en exil, qui bégaye en
langue
d’oïl comme le bon Brunet Latin14 offre à nos m
ndu les reproches et j’ai vécu dans mon sommeil ce que je dis avec ma
langue
de chair. J’ai vu les sept planètes enchaînées,
bleue, auprès de la prodigieuse vision qu’évoquent, en une admirable
langue
, les rubriques. Le Paradis lui-même, qui devait ê
s entonnent leurs chants, ceux d’Italie les imitent, usant de la même
langue
d’oc. Les noms de Roland et d’Olivier se répanden
la « précellence du langage françoys », et l’existence même de notre
langue
. Mais l’influence persiste jusqu’à Marini. Alors
Perkin Warbeck ; voici que la « Fédération des Cercles dramatiques de
langue
française » nous donnera Savonarole, drame histor
homme honorable qui possède œil aigu, ouïe fine, jambe fine et pas de
langue
, peut devenir membre de la Guardana. Peuvent auss
zio, par surcroît, induit par des raisons obscures à délaisser ici la
langue
maternelle, se figura écrire en français parce qu
mande, attestant que Beyle fit une réelle tentative pour assimiler la
langue
de Goethe et de Schiller. Se trouvant à Trieste,
vait alors 48 ans — âge un peu avancé pour entreprendre l’étude d’une
langue
étrangère — et il n’avait pas cette facilité qui
si bêtes ! J’ai passé plusieurs années chez eux, et j’ai oublié leur
langue
par mépris. » Voilà un mépris qui nous paraît un
s néolatines. Quelques siècles de puissance littéraire, depuis que la
langue
maternelle commune, le latin, « eut définitivemen
idiomes indigènes de l’Italie, de l’Espagne et de la Gaule, et que la
langue
littéraire devint une pour ces trois pays », ains
nt créer, dans l’évolution admirable de leur capacité expressive, les
langues
romanes. L’Espagne, fécondée au Moyen-Âge par des
qui est simplement pastoral avec M. Pascoli ou M. Francis Jammes. La
langue
de M. Pascoli est d’une très forte beauté simple
es vivants réellement grands, l’effort nettement opposé à celui de la
langue
de M. d’Annunzio, toujours élevé à un diapason su
odernes, pour garder intacte encore, la renaissance et le culte de la
langue
latine. M. Pascoli voit et entend dans une vision
; R. Ricciardi, Naples MM. Scaglione et Biagio Chiara écrivent une
langue
très pure. M. Pascoli a raison d’affirmer, dans l
tatives modernes des différentes poésies régionales et romantiques en
langue
italienne, il imposa l’idéal d’un classique froid
ique froid et farouche, prudemment soutenu par la culture. Depuis, la
langue
littéraire italienne a des attitudes de noblesse
e I, p. 18. 50. Acte I, p. 1. 51. Nyrop. Grammaire historique de la
langue
française, 2e éd., t. I, p. 33. 52. Voyez l’étud
52. Voyez l’étude bien connue de M. Paul Meyer sur l’Expansion de la
langue
française en Italie pendant le moyen âge, 1904.
ater le Vers Barbare, en l’adaptant à la plastique particulière de la
langue
démotique. Nous ne croyons pas inutile de le fair
ais aussi parce que c’est une preuve des remarquables aptitudes de la
langue
vulgaire à recevoir l’empreinte du Latinisme, tou
ine Comédie par le Professeur Henry Johnson, qui occupe la chaire des
langues
modernes au collège Bowdoin en Maine. La traducti
mode de compatir comme on voudrait à des sentiments exprimés dans une
langue
qu’on ne comprend pas. Ouvrages sur la guerre
e l’opinion de notre ex-alliée nous est peu accessible, à cause de la
langue
; l’opinion anglaise peut nous être plus connue ;
e la langue ; l’opinion anglaise peut nous être plus connue ; mais la
langue
française est pour nous comme une seconde langue
lus connue ; mais la langue française est pour nous comme une seconde
langue
et rien ne nous échappe de ce qui s’écrit sur nou
ais, et les chefs-d’œuvre de toutes les littératures traduits dans sa
langue
si claire et accueillante, la librairie allemande
la Candidata, de Leoncavallo. Les opérettes seront données dans leur
langue
propre, conservant ainsi leur caractère et leur i
lano, Studio Editoriale Lombardo) où la précision et la minutie de la
langue
riche et fouillée ne détruisent pas l’atmosphère
es moyens matériels nécessaires pour faire connaître à des peuples de
langue
et de culture différentes l’histoire de notre pol
forme être cependant très belle. Le style de M. d’Annunzio, et cette
langue
magnifique qu’il emploie, la splendeur de ses fig
ibue. Et puis, j’y reviens encore, croyez-vous que d’avoir créé cette
langue
riche et somptueuse, dont il joue avec tant d’ais
aspirations, comme de nos actes ? — Cela, c’est encore un préjugé. La
langue
italienne d’hier — et même de jadis, exemple Dant
hme trop marqué dans la succession des phrases. Ensuite, je trouve la
langue
italienne assez harmonieuse, ses mots chantent tr
vivant, digne de ce beau nom trop profané, l’élévation apportée à la
langue
par l’auteur du Triomphe de la Mort et de La Fill
tion et d’évocation lyrique ; il demeure comme le styliste-type de la
langue
italienne renouvelée. Mais la vie spirituelle ita
ascalies, est cependant une oeuvre d’art d’une valeur très réelle, la
langue
y est toujours si belle qu’en plusieurs points el
tant l’esprit de l’œuvre shakespearienne s’y affirme et éclate, et la
langue
et le style du jeune poète italien sont admirable
ces méditerranéennes ; l’empire russe est une mosaïque de races et de
langues
, une véritable tour de Babel. En Angleterre, la r
visme au germanisme et celui-ci au latinisme. Le sentiment ethnique —
langue
, religion, coutumes, traditions, histoire faite d
Alloro. 1898-1913. Bologna, Zanichelli). M. Lipparini connaît bien sa
langue
, la métrique et les classiques anciens et moderne
avec succès dans bien des pays ; il maintient et répand l’usage de la
langue
italienne et, du même coup, entretient le prestig
pays latins leur opinion sur une Fédération de tous les États dont la
langue
est qualifiée de latine. Donnons ces passages de
lave qu’avec un Latin, un Latin avec un Latin qu’avec un Germain. Les
langues
de racine commune entraînent des modes de voir et
sine. La petite bergère, qui maintenant parlait et écrivait plusieurs
langues
, éblouissait par sa beauté et son esprit l’aristo
ervet — Deus — Rebus — Italiæ — Secundus. Il eût été étonnant que la
langue
latine fût restée muette quand la civilisation la
résent. Son livre ensuite a été écrit, sobrement, mais dans une jolie
langue
harmonieuse et claire — ce qui est bien un avanta
; mais l’ensemble est morne et sans relief, fatigant et sans vie. La
langue
est assez pure et sobre, mais avec des marbrures
rnaux, sa revue et sa librairie avec près de quatre mille ouvrages en
langue
d’oc, parmi lesquels ceux en patois valdôtain qui
esquels ceux en patois valdôtain qui y figurent « comme attenant à la
langue
d’oc ». Le Roumanille valdôtain fut le chanoine B
eu le piémontais et l’italien remplacent le valdôtain et le français,
langue
à laquelle, il faut le dire, les autorités italie
oudrait remanier la carte d’Europe, suivant d’abominables théories de
langues
, de races et de partage des eaux, et non pas d’ap
proprier les Polonais de Posnanie parce que, n’étant pas allemands de
langue
et de race, ils sont un danger pour l’État. Quel
a demandée. Cette annonce fait pendant à une autre identique mais en
langue
anglaise et destinée aux officiers de l’armée de
us êtes tous libres, Messieurs, nous dînons ensemble. On accepta. Les
langues
ne furent pas longues à se délier. Morga, légèrem
n : il se nomme Joachim Peter, c’est un Hongrois, mais il parle notre
langue
couramment. Quant à moi, je suis Sicilien, et je
831]. […] La Pensée de France (20 janvier) : […] M. J. Jallia : « La
Langue
et la littérature françaises dans les vallées vau
ployés pour transformer ou créer les mots que pour leurs emprunts aux
langues
voisines (français, provençal, italien, allemand)
on, il s’apprêtait à partir. — Tant mieux. Les Vénitiens ont mauvaise
langue
! Et, changeant de ton : — Il est étrange, vraime
ne guerre avec la Russie, et s’y prépare. Les officiers apprennent la
langue
russe, qui est, dit-on, le plus difficile des dia
aucun des thèmes compliqués et solennels de la poésie romantique ; sa
langue
n’est pas excessivement fastueuse, et ses images,
peut être un grand poète sans épuiser les dictionnaires de l’ancienne
langue
et les manuels d’histoire, de mythologie et d’arc
roman le plus fantasque et extraordinaire qu’on ait publié dans notre
langue
. Il s’agit d’un homme de fumée (« léger, très lég
et qui ne lui vint pas des cieux. Pour autant que mon ignorance de la
langue
italienne m’en permit de comprendre avec le secou
426 [423-424]. Le Professeur C. H. Grandgent, qui tient la chaire des
langues
romanes à Harvard, aura l’honneur d’avoir produit
uera le « lectorat » avec des lecteurs indigènes pour les principales
langues
étrangères, et des « séminaires » ou centres d’ex
, sur la recommandation d’on ne sait qui, il chargea le professeur de
langue
française à l’Académie des Nobles de Dresde, un s
ue Casanova n’écrivait du reste pas mieux en italien, — et c’était la
langue
de ses études ! Notez que je ne cherche pas chica
tuors également expressifs, touchants et déclamés ; la prosodie de la
langue
scrupuleusement observée, tout, dans cette compos
Casanova affirme qu’il est le premier Italien qui ait employé dans sa
langue
le mètre alexandrin, en traduisant le Rhadamiste
façon superficielle, par suite de sa connaissance insuffisante de la
langue
italienne ? S’est-il laissé influencer, ainsi qu’
ant à nous, nous n’en avons pas un seul, mais c’est la faute de notre
langue
. » Après quoi, il se hâte de changer le sujet de
voque, « Le joujou Patriotisme ». La traduction est élégante et d’une
langue
très fine. Cette expression italienne m’amusa bea
evivre en italien le système compliqué de la versification latine. La
langue
italienne, très accentuée, lui permit de réussir
lemand E. Mejer, de l’Université de Berlin. Tous les essais écrits en
langue
étrangère sont publiés, et dans leur forme origin
ai que son aimable interlocuteur, s’il ne savait point parler d’autre
langue
que le grec, employait du moins cet harmonieux et
ache de beaucoup plus près que les autres formes du grec moderne à la
langue
immortelle d’Homère et d’Eschyle. L’excellent pro
» Poussé par M. Chatfield-Taylor, le Dr van Steenderen, professeur de
langues
romanes au collège de Lake Forest, près de Chicag
rand magasin de nouveautés, marchandait une pièce d’étoffe dans cette
langue
pittoresque et imagée, si riche en termes précis
gari l’intéressant document suivant, qui méritait d’être mis en notre
langue
: Mon cher Morgari. Je lis aujourd’hui la rectif
tous les saints, — lui écrit-il en italien, et seul l’usage de cette
langue
peut excuser chez Voltaire une pareille formule,
il présente aux lecteurs ses Mémoires écrits en français, bien que sa
langue
naturelle soit l’italien, ne réclame-t-il pas une
upportent ni la lecture ni la représentation… ; il écrit bien dans sa
langue
, mais il s’écoute, est profixe, et n’a pas grand’
r les anciens, laissée en paradigmes par les écrivains glorieux de sa
langue
, lui apparaît définitive au milieu de la race, à
ux esprits du grand siècle eussent aimé. Il ne l’a pas écrit dans une
langue
voisine de celle que Dante écrivit et parla, il n
t souhaitées pour honorer le plus grand poète de la Chrétienté. Et sa
langue
simple et pleine, élégante et nerveuse, se crista
r le romantique et insupportable Don Juan. Échos. La question des
langues
et les progrès de l’italien en Suisse Mercure.
de lancer une idée originale : celle de faire adopter l’italien comme
langue
littéraire et scolaire par les populations romanc
aire par les populations romanches des Grisons. L’italien est déjà la
langue
nationale des autres populations rhéto-romanes, c
de ce même port un de ses compagnons, Elpénor, c’est-à-dire dans les
langues
sémitiques « celui qui est vers la lumière33 ». N
explications et l’origine orientale que nous lui attribuons. Dans les
langues
sémitiques, le radical K. m. r. exprime l’idée d’
n’impressionne sa sensibilité. En ses descriptions, la pauvreté de la
langue
égale la pauvreté du sentiment. La science qui fo
à diriger plus de 250 acteurs ou figurants dont il ne parle point la
langue
. Le geste suffit à M. Meyerhold, qui fonde tout l
encore lorsque les Italiens lui prêtent la sonorité cadencée de leur
langue
! Nom qui, pendant plus d’un an, a retenti des Al
pes italiennes : « Je suis content, nous répond-il, en usant de notre
langue
, cela roule, cela marche. Par malheur, le Baruhni
tact journalier avec leurs maîtres européens, devaient apprendre leur
langue
pour faciliter leurs offres de services et leurs
’ai entendu des jeunes Musulmans ignorant même le grec et l’arménien,
langues
dont l’usage aurait pu leur être familier, me sal
s et travaillaient par leurs efforts à maintenir le prestige de notre
langue
et de notre drapeau. À côté de l’école était un h
de Pascoli, — le respect de la forme dure et mesurée et de la vieille
langue
classique, — le goût de l’anoblissement du réel,
l’intrigue du Transplanté ! Elle est une interaction, pour parler la
langue
de l’auteur ? Naturellement le héros Trismat ne p
Trismat ne pouvait que voir Hélène dans chaque femme, pour parler la
langue
du Satan de Faust. Hélène Saïvine est une de ces
la réelle désharmonie d’une œuvre. Le langage de la ligne est devenu
langue
morte, et pourtant elle est la seule ossature rés
sque le français est bien décidément, aujourd’hui plus que jamais, la
langue
littéraire européenne ! Dans l’Emporium, importan
lon et A. Kempis le décadent de Sénèque ? Parce qu’ils écrivent d’une
langue
différente leurs amours ou leurs pensées ? Primit
ouvernement. Ils aimaient beaucoup le roi Ferdinand, qui parlait leur
langue
qui est pleine de vivacité, de comique et de gest
i veulent être unis à ceux qui leur sont frères par la race et par la
langue
. »« Les frontières de l’Italie, avait dit M. Wils
casa. À la maison ». Or quiconque possède les premiers éléments de la
langue
italienne sait que : aller à la maison se dit and
cit du retour des vainqueurs. Ceux qui entendent et goûtent encore la
langue
de Virgile et d’Horace liront avec curiosité la f
ace liront avec curiosité la façon dont le père Rocci parle, dans une
langue
antique, des plus récents engins de guerre. Voici
e le sénateur Albertini de décider si le Corriere doit être rédigé en
langue
italienne ou en langue croate ? Car qu’est-ce que
de décider si le Corriere doit être rédigé en langue italienne ou en
langue
croate ? Car qu’est-ce que Rieka ? C’est tout sim
au démocrate génois en ses passages caractéristiques : L’affinité de
langue
et de race, l’analogie des conceptions morales et
irent en héritage les formes essentielles de notre esprit et de notre
langue
». Sa réponse est la suivante : « Ce processus d’
cle : Corpus Scriptorum Latinorum dans la Revue de l’Enseignement des
Langues
Vivantes, de mars 1917, p. 110 seq., et notre éch
iversel Victorin de Feltre, elle savait à huit ans les éléments de la
langue
grecque, ainsi que s’en assure le Camaldule en l’
r par les personnages, et quoique ces personnages parlent souvent une
langue
admirable, ils n’arrivent pas à nous donner l’imp
ché de mœurs que de langage, amusé à corrompre et à torturer la belle
langue
que lui avaient léguée les sévères romantiques ;
rodiade est peut-être le poème le plus pur, le plus transparent de la
langue
française. Comme Verlaine, comme d’autres, Mallar
reste est suédois, polonais, italien, canadien-français, anglais. La
langue
anglaise, au total, ne représente guère, dans cet
tée bien plus large et bien plus tragique. La pièce est écrite en une
langue
somptueuse et imagée, même trop recherchée çà et
tile de la Tragédie ; par cette « musique » de ses attitudes et de sa
langue
, l’acteur devient ou peut devenir un lumineux réf
ité, fut un fait accompli, Carducci, en renouvelant la métrique de la
langue
, et en chantant l’antique gloire de la Patrie com
uca, sont les derniers de la série des romans de Wells, série dont la
langue
italienne compte déjà six volumes auxquels les de
urne les yeux qu’une statue de Canova. qui tourne les yeux et tire la
langue
(Page 253). Lorsque Salicetti me remit ces 350
et je crois l’avoir déjà constaté, que le réalisme de nos conteurs de
langue
française ou flamande s’apparenta beaucoup plus à
e sept pieds accouplés, ce qui, étant contraire à la robustesse de la
langue
, engendre une impression moelleuse insupportable
t revoir l’Italie dans son âme, c’était aussi se parler à lui-même la
langue
que parlait Angelina ; même à l’ennuyeuse besogne
moins bien l’italien que je me le figurais. Pour me remettre à cette
langue
, je traduis, en abrégeant, l’histoire de l’école
nue de l’émigrant fut grande en arrivant à Rome : son ignorance de la
langue
jointe à une gaucherie naturelle, à un émoi assez
est pas trop gai, il porte l’empreinte d’une étude consciencieuse. La
langue
assez inégale, selon la mode des jours où M. Oria
é, les petites détresses, les câlineries de cet âge. Bon livre, bonne
langue
, bonne intention presque complètement atteinte.
, il ne pense pas comme tout le monde ; d’autre part, souvent il a la
langue
déliée, il est capable de séduire, de convaincre,
e lumière succédait une obscurité complète et momentanée ; de subites
langues
de feu, traversant la fumée, éclairaient les corp
les mains ; quelques-uns ont la bouche tailladée. Curion n’a plus de
langue
, Bertrand de Born tient sa tête à la main « suspe
us le nom des âmes qu’elles revêtent. Le nom de Piero se lit sous une
langue
de feu dans le motif XXIV. On le retrouve dans le
ero in gran tempesta… 2 a été un patriote enflammé. » Le latin,
langue
universelle (Vox Urbis, Kal Maüs) On lit dans
composer un dystique latin de la plus grande beauté sans savoir ni la
langue
latine ni la prosodie. Il faut examiner la possib
ées devant les voisins du comte Waldstein ; écrivant des vers en deux
langues
, avec, à vrai dire, plus de patience que de succè
sans initiative, qui a tout vu et qui se souvient de tout, traduit en
langue
généralement compréhensible les façons de dire de
prosodie qu’il renouvelait, et souvent par les fortes qualités de sa
langue
. Depuis quelques années, M. Domenico Gnoli, sous
le et chenue fille de joie, les voluptés que décrivit l’Arétin. Et sa
langue
pointue, entre ses quelques dents, tremble comme
e sûr, et qui n’ignore rien de ce qui frappe le spectateur. Et quelle
langue
souple et forte, harmonieuse et sonore, sans faux
ième siècle jusqu’au dix-septième siècle. Les traductions sont en une
langue
agréablement archaïque, où le style des vieilles
Luigi Pierro) Ce sont des vers, disant de beaux sentiments en une
langue
imagée et colorée, mais le poète qui a de l’imagi
es images, la ciselure du style, la franche saveur d’italianité de la
langue
; quelques chapitres ont un relief et une force d
▲