ne peut s’apprendre, mais les faibles lumières acquises par la raison
humaine
renferment cependant plus de délectations que l’a
leur création, la dixième partie de ces ordres se perdit et la nature
humaine
fut créée, pour les remplacer. Il paraît rationne
: les bêtes ne pensent point, je parle aussi de celles qui ont figure
humaine
et souffle de bétail !… « Ma vie intime n’est aut
aux et ardents, et attirent les vapeurs de l’éther et celles de l’âme
humaine
. Jupiter le géomètre se meut entre Mars et Saturn
leure. VII. — Entre la nature angélique d’ordre intellectuel et l’âme
humaine
il n’existe aucun degré ! VIII. — Dans ses yeux e
alcons, se montre, bien que voilée. Six passions sont propres à l’âme
humaine
: grâce, zèle, miséricorde, envie, amour et pudeu
Aristote est donc celui qui a dirigé les regards et les pas du genre
humain
vers le but auquel il doit tendre. » Ô malheur à
. IX. — L’autorité impériale a été créée pour la perfection de la vie
humaine
, comme guide et régulatrice de nos actes : mais c
urer son office par une image, qu’il est le chevaucheur de la volonté
humaine
; la définition de la noblesse n’appartient point
, nous aussi. Aristote rirait s’il voyait faire deux espèces du genre
humain
comme des chevaux et des ânes ; en effet (qu’Aris
mpare la noblesse au ciel infini et la vertu aux étoiles. La noblesse
humaine
, si l’on considère la multitude de ses fruits, su
e. » XIX. — La noblesse opère diversement, selon les âges ou saisons
humaines
. XX. — Dans l’adolescence, qui dure jusqu’à vingt
in il nommera son art ; ensuite il nommera l’apogée de l’intelligence
humaine
. On trouvera dans la préface de M. Péladan l’his
, qui sait voir, avec une nette perspicacité d’observateur, la figure
humaine
, et sait la reproduire, en une synthèse efficace,
. Mais le peintre, tantôt pénétrant, tantôt malicieux, de la créature
humaine
, dont il a su — (comme il nous le fait voir dans
uvant la règle des frères mineurs, il la déclara au-dessus des forces
humaines
. Or, les forces humaines, qui sont la raison et l
mineurs, il la déclara au-dessus des forces humaines. Or, les forces
humaines
, qui sont la raison et l’expérience, chassées de
une couronne vivante s’inspire de Palmieri, qui prétend que les âmes
humaines
sont celles qui ne prirent point partie à la rébe
e l’actuelle justice pour recevoir l’épouvantable révélation du génie
humain
: il trouve en lui-même autant de logique et d’él
est bien l’œuvre authentique de Dieu et le phénomène défie la malice
humaine
de le travestir et de le fausser. La lecture de F
de nature lui paraissent plus dignes que les paroles. « Entre l’œuvre
humaine
et l’œuvre naturelle, il y a la même proportion q
ssé et de l’état de la terre sont l’ornement et l’aliment de l’esprit
humain
(65). » Mais la méthode métaphysique se trouve ma
vu avec une lucidité singulière que le grand élément de la souffrance
humaine
prend naissance entre le désir et l’espoir et nou
esprits élémentaires qui se trouvent enfermés par l’âme dans le corps
humain
; l’homme aspire sans cesse à retourner vers son
it, sacré ou profane, n’a qu’un rang d’annotation en présence du fait
humain
et de la réalité cosmique. Cette méthode porte av
ienne, qui met plus de distance d’un homme à un autre que de l’espèce
humaine
à l’espèce animale. Des génies du passé aucun ne
it l’homme à l’image de leur ombre. Léonard admire tellement le corps
humain
qu’il s’indigne que de vilaines âmes puissent l’h
ur l’homicide, et au lieu d’invoquer le décalogue ou quelque autorité
humaine
, il emprunte ses objurgations à l’esthétique. «
umboldt, personne au seuil du seizième siècle ne connaissait le corps
humain
aussi bien que le Vinci. « Sauf le système nerveu
onnel : comment raisonner si on rejette l’Aristotélisme ? Le dualisme
humain
peut-il être régi par une unique loi, comme on a
que Jésus, Marie et les Anges, les plus transcendantales que l’esprit
humain
ait conçues. Dans la spéculation, même aboutissem
ilà pourquoi ce grand analogiste voulait établir les lois de la série
humaine
sur des bases positives et ainsi arrêter les cour
complète de la science occulte : « C’est le plus stupide des discours
humains
(347). Si la Nigromantie était telle que les bas
rendre à ses désirs, remplissait sa chambre de crânes et d’ossements
humains
, de façon qu’il la changeait en cimetière ? » Ce
des Chartres qui ne soit prêt à baiser les pieds de cet ange à forme
humaine
? Les cardinaux veulent savoir si son invocation
homunculus dans une bouteille, alors que la merveille de la naissance
humaine
offre à notre étude son mystère inexpliqué ? Et q
langage saurait décrire ta véritable opération, œil, fenêtre du corps
humain
par où l’âme jouit de la beauté du monde et se co
onstration ou l’invention de la qualité. L’anatomiste étudie le corps
humain
au point de vue de l’espèce, et le peintre, par u
: une imitation littérale ne saurait la découvrir. En outre, le corps
humain
doit être traité par une considération philosophi
es annihile les facultés qui légitimeraient les deux autres. L’esprit
humain
ne s’apaise que par indifférence ; on pourrait pr
hommes et les anges se croisent dans une pénétration du divin et de l’
humain
, qui est le suprême accomplissement de l’idée rel
era demain un croyant dans les choses divines, un logicien en matière
humaine
et un expérimentateur dans le domaine naturel : a
ivité entrera comme un flot de vie dans le temple endormi et l’effort
humain
ramènera la bénédiction au lieu où l’on bénit imm
on. Le précurseur a jugé qu’il devançait de trop d’années l’évolution
humaine
, et Prométhée, sage comme Zeus lui-même, n’a pas
l’éternel, il a renouvelé les motifs de croire, il a rendu à l’esprit
humain
sa liberté qu’oppressait le cauchemar israélite.
leurs mouvements, leurs jeux de physionomie, qui ne sont presque pas
humains
parce qu’ils obéissent moins à des rudiments de p
rdu d’enthousiasme et de foi en présence de toutes les manifestations
humaines
de la beauté, il a affirmé, à maintes reprises, u
échapper à la fascination de sa causerie et de sa présence. Nul génie
humain
ne s’est jamais formé tout entier de ses seules r
ceptions les plus abstruses sous l’apparence harmonieuse de la beauté
humaine
et les peintres ont pu, grâce à ce goût du symbol
u divin poète, elle apparaît, dans toutes les circonstances de la vie
humaine
, comme l’unique inspiratrice, émanation de Dieu,
tion immobile devant la femme révélatrice de l’Infini ! Dans la forme
humaine
la beauté visible atteint son apogée ; elle est d
opice ; Browning s’arrête à l’excellence et à la grandeur de l’effort
humain
; Swinburne, le passionné puissant, clame ses ado
ueils rouges de la vie collective simplement patriotique ou vastement
humaine
, et ne prirent pas d’assaut les nuées fabuleuses
ndant pure poésie, le poète s’élève jusqu’à l’évocation d’un « type »
humain
: Saül. Le vieux roi nous apparaît dans toute son
emble, dans notre souvenir ému. Dans le tumulte de la superbe névrose
humaine
éternisée par Shakespeare, nous distinguons surto
es ont jusqu’ici le privilège de la création psychologique de « types
humains
» plus que de « figures humaines », de types éter
la création psychologique de « types humains » plus que de « figures
humaines
», de types éternels, ainsi qu’elles ont le don d
t écrire ce rêve étrange de la pierre, Minute tragique, où la passion
humaine
est écrasée sous le poids énorme de la vie, et de
l, le récit de ces procès et de ces supplices me fournit pour le cœur
humain
des données vraies et sur lesquelles on aime à mé
pas sous silence les autres conceptions à l’aide desquelles l’esprit
humain
tente de nouveau aujourd’hui d’escalader le ciel…
s de la bonne guerre éternelle. Il décrit ainsi l’amour de deux êtres
humains
dans une tempête : Serrés l’un contre l’autre, c
l’effort vers l’unité spirituelle, et c’est ne rien entendre à l’âme
humaine
que de s’en moquer. Chacun s’exagère la part de v
ité entière et d’un élan la révèle. Mais combien de tonnes de minerai
humain
faut-il traiter pour en extraire un atome, à l’ét
sans contredit aux écrivains originaux qui étendent les connaissances
humaines
, qui agrandissent une science, qui enrichissent u
n jugement sur cette théologie naturelle : « Il entreprend par raison
humaine
et naturelle d’établir et vérifier, contre les at
sans souffrance, sans lutte et la vérité subit le sort d’une fortune
humaine
. On a fait tort à la splendeur du dogme en le sol
t dans ses lettres il commence ainsi : « Marsile Ficin donne au genre
humain
le salut, savoir la connaissance et le respect de
du pape que par son caractère artificiel. Faut-il ignorer assez l’âme
humaine
pour attribuer à la parole la puissance de change
Il s’imagine que, pour éviter la guerre, ils veulent plonger le genre
humain
dans l’immobilité éternelle des momies d’Égypte.
et son despotisme eussent été inconnus ; l’Union fédérale des nations
humaines
eût été établie depuis des temps immémoriaux. San
tyrannie plutôt qu’à s’aventurer dans les Révolutions. Une communion
humaine
, basée sur un principe idéal, est perpétuellement
catholique n’a pas varié ; mais le clergé a eu, comme toute catégorie
humaine
, ses moments d’ombre et de lumière : les saints,
le suffrage des humanistes. Ils sont restés fidèles à cette religion
humaine
qui les accueillit. Ce qui rend difficultueux un
la campagne, toutes les formes de l’univers sont ramenées à la forme
humaine
et par conséquence les choses inertes participent
nsée véridique et aversion pour l’apparence et le simple semblant. » (
Humain
, trop humain, p. 263.) Ces traits sont-ils assez
e et aversion pour l’apparence et le simple semblant. » (Humain, trop
humain
, p. 263.) Ces traits sont-ils assez caractéristiq
olue, sa paissance de rêve étant composée non seulement par l’orgueil
humain
qui est éternisé dans sa construction, par le tri
orgueil humain qui est éternisé dans sa construction, par le triomphe
humain
qu’elle représente comme ville dans son incompara
, c’est le véritable domaine de l’homme, c’est le monde exclusivement
humain
, où l’effort humain est le seul pouvoir créateur,
domaine de l’homme, c’est le monde exclusivement humain, où l’effort
humain
est le seul pouvoir créateur, et la volonté de l’
toiles ensevelies dans leurs mausolées splendides, et en animant les
humains
allongés dans le sommeil bienheureux ». M. d’Annu
un théâtre qui ne soit pas la simple exposition de faits et de gestes
humains
, observés sans un à-priori spirituel, représentés
et que la Divine Comédie, rangée parmi les chefs-d’œuvre de l’esprit
humain
, est le seul poème épique de l’ère chrétienne. Ma
çon d’interrogation ou de réponse. Avant la prévarication de l’espèce
humaine
, tous les discours commençaient par a gaudio ; de
dix humanœ in oris orientalibus sit piantata. La racine de la lignée
humaine
fut plantée en Orient. Notre race poussant des re
e pour arriver à atteindre les pies (les pieux) imitateurs de la voix
humaine
et de l’homme raisonnable. Or, la raison varie d’
ance qu’on dédie aux doctrinaires prend sa raison dans l’imperfection
humaine
qui pousse toute activité jusqu’à l’excès. Or, le
quiconque, grâce aux labeurs domestiques et autres, aura subi la faim
humaine
. À leurs pieds viennent ceux qui par inertie ne s
e les hommes. L’envie engendre le mauvais jugement et puis l’impureté
humaine
toujours souillée de quelque passion. J’entrepren
t fortifié mon amour du vulgaire. La vertu la plus aimable et la plus
humaine
est la justice qui réside seulement dans la parti
érant comme la synthèse du mouvement en général, et de l’intelligence
humaine
en particulier. L’Hymne de Léopardi n’était pas c
tolérant, se retranchant hors des progrès de la pensée et de l’esprit
humain
. La libre spéculation religieuse n’en fut pas dim
des formes historiques de croyance et d’orientation pratique de l’âme
humaine
maintenant dépassées, et non les exigences perpét
sentiment religieux est tellement essentiel, à mon avis, à la nature
humaine
, que sa dissolution est impossible. Il a certaine
dra une très grande place, mais où les relations entre l’intelligence
humaine
et le dogme seront des relations de foi vivante d
s ; 3° La religion est le ciment indispensable de toutes les sociétés
humaines
, telles que nous les connaissons. Même là où l’un
écessaire, et Prométhée, le pathétique Titan, au nom de la conscience
humaine
, défièrent les dieux et l’impériosité occulte et
in, de Beethoven) disparaissait pour faire place aux troubles du cœur
humain
. La volonté de vivre selon ses instincts, malgré
égicien, repoussa la majesté du Destin, accepta la suprématie du cœur
humain
, et créa la tragédie satisfaisante, où la multitu
le (car de toute façon il exprime et révèle en caricature des aspects
humains
individuels ou collectifs), il demeure impuissant
se rire sceptique, d’une gigantesque ironie sur la vanité des efforts
humains
, et sur la stérilité de la nature, malgré la réde
donc presque toujours submergé sous le flot inlassable de la passion
humaine
, qui recouvre les âmes, qui engloutit la volonté
nt en réalité que couvrir de vêtements tragiques de simples créatures
humaines
, impulsives et farouches, lamentables devant les
s chocs, les actes et les vengeances. De là, le merveilleux dynamisme
humain
, exalté de temps en temps par la guerre : miracle
evêtrement exprime la genèse et l’évolution de l’homme et des actions
humaines
. Mais aujourd’hui, l’Inconscience et le Hasard do
n’indiquait déjà une prodigieuse transformation de l’esprit religieux
humain
, ainsi que je l’expliquerai plus loin. Ibsen, lui
ant la vie universelle, la vie des instincts, et devant « l’évolution
humaine
» qui ne peut tendre qu’à leur plus grande et plu
mâle primitivité, comme disait G. B. Vico, et a synthétisé le couple
humain
de la force insoucieuse et de la sagesse faite de
chœur, comme chez les Grecs, c’est-à-dire de l’unanimité d’un groupe
humain
dans un but d’exaltation commune. Les spectateurs
trouvera ses images scéniques, en écoutant, dans le profond de l’âme
humaine
, les aspirations qui sont les plus éloignées de l
presque dans l’occulte, c’est-à-dire dans l’inconscient, tout l’amour
humain
et toute la force passionnée et sentimentale de l
manifeste. Il faut que le théâtre soit digne de le recevoir. Le culte
humain
nouveau sera essentiellement musical, comme le pa
mogonie et morale, c’est-à-dire religion. La représentation de la vie
humaine
dans ses plus belles significations de souffrance
pensée jusqu’au fond des contradictions insolubles qui agitent l’âme
humaine
… J’ai beaucoup parlé à Paris, dans les conférence
plus à l’abri des lois ennemies de l’Instinct, des lois de la Justice
humaine
. Le frère de celle qu’il s’était pris à aimer ava
er que M. Giulio de Frenzi ne rit point lorsqu’il observe les aspects
humains
qu’il compose pour nous dans son style léger et f
il n’était pas possible d’avoir plus raison que Savonarole : mais nul
humain
n’a raison. Et M. Iwan Gilkin a enchaîné avec la
l fait. Et le peuple, subitement éclairé par cette mobilité de nature
humaine
aussi évidemment que de résultat cruel, aperçoit,
eure, tous les aspects des choses et toutes les attitudes de l’esprit
humain
se fondent dans un creuset, implacable et perpétu
la civilisation ; elle doublerait les forces intellectuelles du genre
humain
et ses probabilités de bonheur. et ses chances de
l’aspect que le Saint a pris devant nos esprits mûris par la douleur
humaine
des six siècles qui ont suivi l’avènement du « So
us les pays, pour que nous ne reconnaissions pas en cet homme un type
humain
que M. Bracco a pu représenter avec bonheur. G
rtistes qui l’ont précédé. On est un peu honteux, pour l’intelligence
humaine
, d’avoir encore à ressasser que le Vinci n’eût pa
tres brabançons, campinois ou west-flamands et, en général, bien plus
humains
que les paysans macabres, grotesques ou épileptiq
auf dans le cas où Molière reconnaît dans le grotesque d’une créature
humaine
une éternité harmonieuse et extériorise littérair
brutalement joyeuse, mais elle représente une nouvelle interprétation
humaine
de la grande harmonie de l’univers, au-delà de to
tre rêve qui aurait agi de la sorte, et ainsi de suite. Cela est très
humain
, et cela est très bestial. Les animaux s’entretue
s s’appuient sur une série d’erreurs qui viennent de quelques besoins
humains
, spécialement du besoin d’être protégés contre de
meut au centre même de la vie, devant les visions isochrones de l’âme
humaine
, de l’âme de la terre, de l’âme des astres perdus
e au contraire dans une prosodie rapide, libre, vigoureuse, où la vie
humaine
et la vie végétale se fondent joyeusement dans la
é de la vie, ni de négations trop radicales sur la vanité des efforts
humains
. Un aspect d’âme, que je retrouve déjà dans les O
nos jours. Un vampire suçant le cerveau d’une jeune fille. Le fiancé
humain
en devient presque fou, mais il en découvre l’imm
is de l’art, de la religion, de la couleur, des visages et des gestes
humains
. Et la Vierge de Saint-Sixte, que le modelé du vi
t jouir de tout, la nature offre les mêmes banalités qu’au commun des
humains
. Ce caractère est peut-être un peu trop « romanti
elle transposition de l’Aminta, « ce tableau de l’âme et de la nature
humaine
à leur printemps ». M. de Bouchaud a écrit une ch
e originalité farouche ; il n’y a peut-être pas eu une autre créature
humaine
aussi personnelle, aussi différente du troupeau q
émagogue et non le prophète menaçant. Nous avons ici, enfin, le drame
humain
, tandis que Robert Hamerling nous donne la tragéd
de feu, le principe de la lumière, le souffle primordial de la raison
humaine
, et par cela même l’âme occulte de toutes les cré
sa beauté, et qui est un intéressant témoignage pour une collectivité
humaine
, capable de vénérer un Poète au milieu des mervei
ne nouvelle Renaissance. Dans la formation inéluctable de fédérations
humaines
, dont aucun de nos plus intuitifs politiciens ne
anéenne, où tous nos dieux apparaîtront dans la lumière, où la pensée
humaine
, art, philosophie et science, se sublime dans ses
se bornerait à représenter seulement quelques complications de la vie
humaine
, et mettrait, comme but idéal à toute généralisat
à toute généralisation, la réalisation d’un type ou de quelques types
humains
. Le roman-poème ne représente plus des « types »
ttent les mains dans les entrailles éternellement chaudes d’une œuvre
humaine
pour en saisir la vérité ; cette signification es
êle qu’il ne peut pas supporter que le poids des ombres ou des images
humaines
? Que le spectateur doit avoir la conscience de s
énie boréal a voulu accorder aux différentes expressions du sentiment
humain
. Lorsque les personnages s’élèvent à des manifest
es font réfléchir les Italiens qui ont le sens de la valeur de la vie
humaine
. Une offensive dans les montagnes du Trentin sera
pour la liberté. Mais cette conscience claire de la vanité des choses
humaines
ne peut exister chez ceux qui sont engagés dans l
d écrivain français, qui a commis le crime de garder intact son idéal
humain
, je veux dire Romain Rolland. Tome CXII, numé
omme leur propre triomphe et comme la défaite des idées de solidarité
humaine
et de communion des intelligences et des cœurs au
ante le côté généreux, spontané, expansif, primesautier, profondément
humain
, du peuple italien : on le voit, au cours de ces
nsée, en un mot de civilisation ; mais le produit est quelque chose d’
humain
qui surpasse toute barrière nationale… Il n’y a p
eu de la démence des hommes en lutte l’unité persistante de la pensée
humaine
et l’union secrète de ses meilleurs représentants
dans la plus grande lutte qu’ait connue l’histoire de la civilisation
humaine
et l’on ne peut s’attarder aux petits artifices,
faction profonde ; ils ne comprennent pas qu’on exige de cet homme si
humain
qu’il renonce à son humanité, renie ses convictio
ule ancre de salut — ils sont et seront éternellement condamnés par l’
humaine
justice, par les honnêtes gens de l’univers entie
me CXIII, numéro 423, 1er février 1916, p. 466-476. Si la physiologie
humaine
et son produit l’intelligence sont immuables, la
e je faisais participer les formes des choses au mouvement des formes
humaines
, fut appelée par le peintre Dufy : « peinture una
des réalités dont la « représentation » peut avoir une signification
humaine
très vaste et complexe. Par exemple, j’ai tâché d
ncêtre, qu’ils sont tous de même nature et parties d’une même société
humaine
?… Depuis qu’on a cessé d’observer dans les organ
ulut émanciper de Dieu, créateur et maître de l’Univers, tout pouvoir
humain
et qu’on en voulut trouver l’origine dans la volo
le pontife romain surgissait, défenseur des nations et de la Liberté
humaine
. Au-dessus de la mêlée, lui seul aurait pu s’y me
ée chrétienne, qui joindrait à une connaissance profonde des passions
humaines
la hauteur d’âme suffisante pour les dominer, que
La Révélation évolue peut-être continuellement dans les renaissances
humaines
. Le Christianisme vit dans beaucoup d’idées de l’
tant de prêtres qui ne sont en ce moment que les apôtres de la pitié
humaine
. Mais le Pape est neutre ; il attend la paix, pou
supplicié dont personne n’a eu de nouvelles, le sang et le désespoir
humain
qui n’a servi à rien. Le bien des autres, de ceux
occasionnelle et nationale, mais, dans le plus large sens, lyrique et
humaine
, sont celles que nous a laissées Renato Serra, un
la lenteur, le souvenir, l’analyse, le repos et l’habitude. L’énergie
humaine
centuplée par la vélocité dominera le temps et l’
il faut connaître ces luttes entre le devoir et la passion dont l’âme
humaine
sort aveulie ou rassérénée, il leur faut comprend
de Dieu, des heures où il devina des tristesses et des joies presque
humaines
« dans le vent, dans les ondes, dans les forêts,
nelles » et de noter les sourdes rumeurs dont le désir emplit le cœur
humain
, on pourrait affirmer que l’auteur de Daniel Cort
té : d’une part, ceux qui agissent afin de justifier, au point de vue
humain
, leur raison d’être ; d’autre part, ceux qui lais
sentiments ; elle nous apprend combien peu de chose c’est qu’un acte
humain
, quand une grande pensée ne le consacre ; et c’es
sans le savoir. Pascoli ne voit pas seulement la projection d’un acte
humain
dans l’histoire, il voit aussi, — certes, avec pl
e sommet de l’expression esthétique une manifestation isolée du génie
humain
. La critique historique, trop étroite, et la crit
matière d’art. Sa pensée n’est pas seulement dans les formes plus qu’
humaines
modelées dans la pierre ou dans la couleur, mais
t avec leur famille du métier qu’ils exerçaient. C’est qu’à toute vie
humaine
on attribuait une valeur ; on ne jugeait pas alor
famines étaient fréquentes à cette époque, et elles rendaient la vie
humaine
bien plus incertaine qu’elle n’est aujourd’hui. L
mmortaliser dans le souvenir des générations futures : idéal purement
humain
. La vision des béatitudes éternelles goûtées dans
ion n’entrave en rien l’expansion de cette activité aux fins purement
humaines
. Le haut clergé, les cardinaux, les papes mêmes s
ousiaste de l’antiquité marche de pair avec la libération de l’esprit
humain
: l’on reconnaissait dans la vie antique la voie
ouait une tradition ; l’on revoyait cette image parfaite de la beauté
humaine
, perdue durant des siècles, et elle apparaissait
où les spectacles sacrés eurent un éclat de fête et une signification
humaine
tout particuliers, comme en Ombrie (je pense à la
st, élevé au ciel par la complainte unanime de la piété extatique des
humains
. Le caractère pathétique du drame est bouleversé
. Mais le drame ne cesse pas de se développer dans toute son angoisse
humaine
, et surtout d’exalter au même degré acteurs et sp
a, nous devrions y voir une des grandes forces motrices de l’histoire
humaine
, dont l’action, dans de plus grandes ou de plus p
mars 1909, p. 325-330 [328-329]. À travers l’évolution de l’histoire
humaine
dont les races diverses de l’Orient ou de l’Occid
vre de l’évolution : l’Homme, comme autant de manifestations du génie
humain
assemblant en une convergence les forces obscures
ur le débit des conférenciers : 2 000 mots à la minute ; pour le cœur
humain
: 150 pulsations à la seconde. — Extermination de
de l’art de construire et montrent comment la beauté de tout travail
humain
, de tout édifice, dépend du degré de bonheur de l
l’Amour, du désir enraciné dans les cœurs. Pâris représente la nature
humaine
, Minerve la contemplation, Junon l’action, Vénus
rançais du Centre la femme italienne, plus courageuse, plus noblement
humaine
et plus délicate que le mâle italien. Le drame et
venteurs de presque toutes les connaissances dont s’embellit l’esprit
humain
. » Cette aspiration à l’originalité nationale fai
rdant le noble lyrisme géorgique, l’amour des énergies rudimentaires,
humaines
et naturelles, qui caractérisent l’œuvre de M. Be
qui ne sont que des fantômes et à se plonger dans l’étude de la forme
humaine
, « qui est le non plus ultra de tout savoir et de
aine, « qui est le non plus ultra de tout savoir et de toute activité
humaine
… ». La contemplation de l’art antique, même mutil
our des temps révolus, se dresse comme une synthèse et comme un signe
humain
, telle la figure de Napoléon. La poésie « psychol
es âmes abruties par une culture hypocrite, doit paraître féroce, est
humaine
, simple, extrêmement perçante et précise. La poét
ndément ému la geste de Roland, est le prototype national d’une série
humaine
, que la littérature canalise bien ou mal, et cont
pression et de peinture et de sentiments d’affection et de solidarité
humaine
qui font grand honneur et à Gorky et au peuple ch
toriens comme une des plus intéressantes manifestations de solidarité
humaine
et de rapprochement des deux peuples. Tome LX
e sont les mouvements trop spécialisés où se déséquilibre l’eurythmie
humaine
. L’originalité, disait Goethe, provoque l’origina
ser sur l’utilité de semblables réunions, elles répondent à un besoin
humain
assez ancien, où les éléments de bavardage et d’u
s d’années que Hæckel se plut à appeler « l’ère de Darwin », l’esprit
humain
s’élance vers d’autres synthèses que celles promi
pollinaire. Il faut le louer d’avoir compris la portée de ce document
humain
non singulier, qui témoigne de l’exubérante sensu
e, de même que les héros idéologiques et sectaires, ou bien les types
humains
des romans de la littérature provençale, impressi
tude et l’athée n’en a point. Opposer son idée personnelle à l’esprit
humain
, cela manque vraiment de gaîté, comme plaisanteri
princesse, reste la vision la plus belle et la plus pure de l’espèce
humaine
. Cette hésitation sur le sexe irrite et scandalis
sur moi ce qu’il y a de pire sur la terre, décidé même aux sacrifices
humains
. Toi, envoie-moi là où j’ai laissé ma valeur, ens
lle maîtrise dans l’exposé, l’esthétique de ses observations de l’âme
humaine
est si serrée parfois que tout ce qu’il a observé
nous « représenter » un personnage ; il ne fait qu’évoquer des forces
humaines
en lutte, en triomphe, en détresse. Il ne décrit
cher une signification d’ensemble dans ce livre précieux. Deux masses
humaines
sont en présence : les deux sœurs et le frère, ch
ours disposé, et l’élément nouveau de son enthousiasme pour l’énergie
humaine
moderne, Gabriele d’Annunzio a composé une vision
de leur état social, et que les grands conflits dramatiques de l’Âme
humaine
ne se résument pour le peuple que dans quelques m
lle-même, au milieu de laquelle il laisse distinguer quelques figures
humaines
, telles des fleurs au milieu d’un opulent feuilla
prince allait tenter. Oriani aurait chanté la gloire du grand effort
humain
accompli par un prince de sa race, tandis que les
hommes et les animaux ; l’expression animale autant que l’expression
humaine
est contenue dans ses « révélations ». Elle est,
complique progressivement, dans le sens de l’accroissement du nombre
humain
— étonne et fait réfléchir. Emil Zilliacus : G
gue agonie du Christ aboutissant au premier grand geste de solidarité
humaine
exprimé par les mots : pardonne-leur… Mais la bel
érents de ceux dont nous nous servons pour qualifier les autres cités
humaines
: tantôt leur âme correspond à une impulsion préc
lture d’un amour à la fois sensuel et sentimental, un amour gradué et
humain
. « Le climat de Venise, s’exclame un des personn
e le « commun réservoir » de beauté. L’orner, c’est embellir le genre
humain
. La nature et l’art y semblent deux frères jumeau
moins, n’a-t-elle pour but que de nous faire rire de quelques travers
humains
, de quelques imperfections sociales, et, si elle
rit désormais réglé par lui-même » ; il dut, « à ce monument du génie
humain
de s’être senti, dans une seule minute, plein de
ont inspiré ce qu’il y a de plus pur et de plus haut dans les œuvres
humaines
. Entre l’audace de Claude Lorrain et Turner, on n
en tire, c’est avant tout une indulgente commisération pour la bêtise
humaine
, tellement colossale que souvent on est tenté d’e
semblable comparaison : l’anatomiste disséquant une série de cadavres
humains
rencontrera toujours aux mêmes endroits les mêmes
ets sur la nature desquels aucun doute ne s’élève, à savoir des corps
humains
. Au contraire, celui qui étudie le criminel au po
en rien comparable, psychologiquement parlant, à un attentat à la vie
humaine
par exemple ; d’autre part, une foule de crimes t
ui travaille et qui mange17 ». Il réfléchit peu, les grands problèmes
humains
ne le préoccupent guère : c’est un être inerte, c
qu’on n’aurait pas cru possible de lui adresser la parole en langage
humain
. — Évohé ! répétèrent Cypris et Dircé, Polybie et
r de la soif apportait un intolérable supplice dans cet amas de corps
humains
. Souple et légère comme la tige d’une fleur, Trit
souple comme un jonc et lascive comme une chèvre, qu’aucune puissance
humaine
ou céleste ne surpasse celle de la liqueur chère
voix d’Orphée résonnait, en effet, comme une musique dans le silence
humain
. — Est-ce toi, Stazia ? reprit Orphée. — Et mon n
par l’ingénieuse présentation de la mise en scène et par le caractère
humain
du drame. Ce sont les mouvements d’une populace f
erait en vain dans l’œuvre de Callot ou de quelque autre chantre de l’
humaine
misère des scènes d’où suinte plus de tristesse,
n précieux fardeau ; enfin le sémaphore le signala. Il y a une bêtise
humaine
qui a du tragique ; ces petits détails nous prouv
lérables aux Ames artistes, païennes et indépendantes, d’une religion
humaine
et organisée. Il est à souhaiter qu’il ne franchi
ié dans le Marzocco de Florence, est une vision hautement tragique et
humaine
des derniers instants du souverain assassiné, une
ges restés neutres entre Dieu et Satan seraient devenus des créatures
humaines
et, partant, auraient pu se réhabiliter par le bo
e l’harmonie. L’événement était depuis longtemps à prévoir. L’oreille
humaine
ne s’accoutuma que graduellement à la simultanéit
s d’âme » successifs mais abstraits, les variations d’une sensibilité
humaine
anonyme, et cela, précisément dans les situations
n cœur mortel, les germes de toutes les vies bouillonnent dans sa vie
humaine
: quand il s’étend au fond de sa barque, livré au
e la mort). Rien ne fait mieux sentir l’inutilité absolue de l’effort
humain
que l’impuissance finale de la sensibilité (Notre
nattendues qu’un caprice d’un jour peut faire peser sur toute une vie
humaine
, les souvenirs, les regrets qui envahissent l’âme
il et un talisman pour les gens de métier, elles sont un enseignement
humain
qui doit servir à mieux faire entendre à tous la
tistes. Le passé n’est qu’un renseignement sur l’étendue des facultés
humaines
. Nous savons par lui ce dont les hommes sont capa
l’incohérence, les plus belles et les plus fécondes années de la vie
humaine
? Je connais par mon expérience personnelle, par
e que le vulgaire larmoyant résume ainsi : « L’auteur connaît le cœur
humain
. » Dans l’élan terrible de son orgueil de poète,
es, et sur une généreuse invocation à l’absurde de la grande sérénité
humaine
, ferme le cercle de ses poèmes, où maints aspects
se, indifférente à tous les détails de la vie et de la mort du bétail
humain
, d’amour de la vie et de volonté à tout moment pl
formidables, l’une géniale, l’autre seigneuriale, de la même poussée
humaine
qui engendra la Renaissance, demeurent donc liées
ant vingt ans, vous en souvenez-vous ? Je viens vous dire combien les
humains
s’occupent en ce moment de vous et exhument les s
, les encyclopédistes qui ont passé en revue toutes les connaissances
humaines
, en être arrivés à ce degré d’abaissement, que j’
t d’Annunzio ont commencé tous deux par parcourir le cycle de l’amour
humain
, et ils en ont ressenti à la fois l’orgueil et le
et de l’impuissance à rencontrer une formule définitive dans l’amour
humain
. Soit que l’effort fût trop puissant pour ne pas
grandes lignes en sont toujours les mêmes, car les problèmes du cœur
humain
sont d’essence éternelle. Quels que soient le phi
onnelle qu’il imprime à son œuvre, toutes les productions de l’esprit
humain
nées dans ces conditions présenteront de telles a
ux hommes qui nous occupent. Il leur fallait cette conception plus qu’
humaine
de leur personne pour échapper aux multiples entr
à l’amour en soi, il a bien éprouvé toutes les joies de la puissance
humaine
, mais il reste inquiet, et il suffit d’un inciden
e temps, les époques et la différence de civilisation même, les types
humains
, il est curieux de voir combien ces êtres si anci
dans une époque de trouble spirituel, qui dure, où l’affranchissement
humain
de toute croyance leurre l’esprit d’un adolescent
de et la Vie ne finissent certainement pas là où commence l’ignorance
humaine
; au contraire, le Vrai, le Vrai absolu peut comm
capable d’indiquer les souffrances profondes et actuelles de l’esprit
humain
, et d’attirer vers elles des masses émues. Avec F
re, il présenta aux Italiens l’ébauche d’une scène où tous les droits
humains
, de la chair et de la pensée, se trouvent exaltés
ec laquelle Michel-Ange, qui venait de lire Homère, vit tout le genre
humain
, il ne se sert volontairement que de quelques lig
tre de la flamme et du nombre, et ses attributs héraclides de vengeur
humain
désigné à la fois par les Dieux antiques et par l
acle de la vie sociale les différences, et y connaître les inutilités
humaines
: cette fièvre, inutile peut-être mais certes car
issent résumer la sensibilité de plusieurs siècles. Car le nerveux et
humain
Jacques Casanova attend le grand artiste qui lui
de l’Odyssée, des êtres fantastiques. Les Laistrygons sont tantôt des
humains
, et tantôt des géants hauts comme des montagnes,
ent des conventions intellectuelles, fait de cette musique un langage
humain
et le plus pathétique. L’inspiration est d’une in
iavel a pris à Borgia de plus certain, c’est ce sens de la définition
humaine
, cette faculté de précision brutale qui illumine
eul moyen de s’emparer de l’ex-vilayet, sans grandes dépenses de vies
humaines
. Tous les jours, les chefs de territoires lointai
veaux occupants. Ils accusent à peine le sort, sachant que la volonté
humaine
est incapable de s’opposer au courant sans cesse
ière que toute cette crasse ne semble pas sale et que ce grouillement
humain
donne une impression d’agitation pittoresque et d
nsidère la foi chrétienne comme la force qui vivifie toute l’activité
humaine
; saint Thomas d’Aquin considère toute l’activité
l’activité humaine ; saint Thomas d’Aquin considère toute l’activité
humaine
, tous les événements de ce monde comme des manife
nnel, mais un laïque qui a vécu pleinement au milieu des vicissitudes
humaines
dont il eut sa large part, et qu’il a trouvé dans
de son être toute la sérénité de ces âges disparus. Il appelle l’âme
humaine
à la rescousse. « Les jours sombres sont passés :
te glorieuse élite. L’œuvre de Carducci, toutefois, comme toute œuvre
humaine
, n’est pas exempte de défauts. On ne pourrait cer
ts qu’il avait traités avaient rapport aux vicissitudes de la fortune
humaine
. Le seigneur traitait à sa table Dante Alighieri,
sse serait égale à une extraordinaire expérience de l’art et de l’âme
humaine
. M. Angelo Conti est-il vraiment le frère idéal d
les Mystiques se révèlent identiques, compris en tant que puissances
humaines
, comme forces de la nature. Jésus, Marc-Aurèle, S
dans cette immense enquête qu’il poursuit sur l’évolution de l’esprit
humain
en fonction des mœurs et des civilisations. Il pr
s ? » Et l’autre de s’échauffer, de s’indigner, d’en appeler au genre
humain
, à la postérité : « Quand je délivre l’humanité d
ace ?… Horrible blasphème dont l’avenir fera justice. J’aime le genre
humain
, je voudrais le voir comme moi libre et heureux,
doute pourquoi nous sentons cette divine trinité si étrangère à notre
humaine
vérité. Mais de ce petit livre où les idées génér
e manifestation de la Beauté ; et c’est aller aux confins de l’Esprit
humain
que de la saisir dans toute sa pureté, comme l’on
iel, comme une prière, le rythme de ses feuilles, jusqu’à la créature
humaine
la plus parfaite, car il y a autre chose que l’as
t profond qui a déjà souffert comme un vieillard, qui a jugé la farce
humaine
et sait que le mieux est de s en gausser pour s’y
suivre les expressions de la réalité, les mouvements de la mécanique
humaine
, la coloration, le proportionnement des êtres et
égories, la finesse des satires, une connaissance approfondie du cœur
humain
, les grâces du comique, qui succèdent sans cesse
en êtres typiques, et c’est là que le poète doit chercher les « types
humains
» dignes de devenir par l’art créatures tragiques
. Ce recueil, Poemi e Elegie, nous montre un aspect plus intime, plus
humain
, du jeune et très noble poète, qui est en même te
t à l’univers. Souvent ces sonnets sont des hymnes d’une belle fierté
humaine
, souvent ils arrêtent l’âme du poète devant l’ins
ans l’humanité, de la terre dans l’immensité. Ce sens des relativités
humaines
, et de l’immensité du concevable, est si étroitem
très efficacement préparé, lorsque Machiavel parut avec son réalisme
humain
, conçu dans l’observation aiguë des hommes et des
Commedia dell’arte ; le deuxième étudiant la comédie plus large, plus
humaine
et cependant toujours essentiellement vénitienne,
sée philosophique et d’une philosophie éprise d’un rêve de fraternité
humaine
de paix, d’amour presque panthéiste. Devenu philo
le rêve hellénique, qui est l’expression la plus complète du symbole
humain
éternisé par l’art. Il s’était arrêté pendant que
pessimisme chrétien, P. Souchon, chantre des choses mortelles et de l’
humaine
beauté, adressait une ardente invocation au dieu
l’eussent beaucoup moins préoccupé que le souci de nourrir sa pièce d’
humaine
psychologie, de la rendre émouvante et d’habiller
st de répéter des procédés inamovibles et de s’éloigner de la réalité
humaine
. La tragédie dès lors cesse d’être la vraie inter
n horreur les théories de résignation et de mortification de l’esprit
humain
telles que la littérature des premiers romantique
re, le doux Ballanche estimait, en 1801, en nous montrant les misères
humaines
Ed. Young nous faisait soupirer après l’immortali
es, des plus purs, des plus harmonieux qui soient tombés d’une bouche
humaine
, éclaire, embrase, embellit tout, comme le soleil
heures implacables, soit, mais, c’est là faire le procès de la nature
humaine
, et les juges de profession sont des hommes comme
u temple la musique et d’habiller de sons des actions et des passions
humaines
, d’inventer, en un mot, la forme moderne de la Tr
élan, en se compliquant (comme il le fait dans Claude Debussy) de vie
humaine
intérieure et profonde. M. Romualdo Giani montre
otre génération arrivera à rechercher les « causes » d’une expression
humaine
, non seulement dans celles du passé pour deviner
vancée ne feront jamais qu’étourdir un moment, sans l’assouvir, l’âme
humaine
, que préoccupe avant tout le problème de sa desti
eurs récentes demeures. — En vérité, prêche le P. Bedaine, l’Estomac
humain
n’a jamais cru que sa faim présente fût normale.
» de tous les théâtres du monde en distribuant à des milliers d’êtres
humains
le réconfort de la beauté, tandis que tout l’entr
tuelle ; ce sont des passions et des intérêts que je n’appellerai pas
humains
, mais terrestres ». On pourrait faire observer à
mais plutôt les sentiments inspirés par la civilisation et le progrès
humain
. « Il est vrai, observe l’auteur déjà cité, que,
squ’ici, les plus actifs dans cette branche de l’histoire de l’esprit
humain
. M. Gilardi nous offre une interprétation nouvell
d’initiative et d’action. La civilisation moderne a exalté l’énergie
humaine
, en la libérant de tous les freins, et l’a rendue
sans précédent, cette réalisation intensive de tout ce que la nature
humaine
contient, mêlé à ses aspirations vers le bien, de
res n’ont jamais complètement démenti — comme aujourd’hui, — l’espoir
humain
. Comment cela ? Par la Sainteté. Voilà une puissa
cédent (Mercure de France, 1er février 1916) que « si la physiologie
humaine
et son produit l’intelligence sont immuables, la
enue dès lors une chose formidable et neuve ; le principe de la marée
humaine
, — sur laquelle comptaient les Allemands, — est d
l’attribut de toute monade ; il ne faut donc pas s’étonner que l’être
humain
cherche à aller à l’extrême dans toutes les direc
’engage, pacifisme ou bellicisme notamment ; mais le propre de l’être
humain
est également de raisonner, purifier et harmonise
valdôtaine Un peu partout maintenant on s’est aperçu de l’intérêt
humain
que présentaient les dialectes. On les étudie, on
ienne : « Bien au-dessus de tous les calculs, de toutes les tactiques
humaines
, il existe une loi morale que les peuples ne viol
uivant la mesure d’une certaine partie, car de même que dans le corps
humain
il y a un rapport, une convenance entre le coude,
gueur des bras de levier qu’il avait à mouvoir, il n’est pas de force
humaine
capable d’exécuter les mouvements qu’il décrit. E
ivre, mais au nom de quelques idéaux nouveaux, humanitaristes plus qu’
humains
. Les deux professeurs poètes, le professeur de la
plaît ou non avec lui, on est ou on n’est pas d’une certaine qualité
humaine
. On peut certainement être conseiller municipal o
ce qu’il y a de vil ou de laid et d’exalter tout ce qu’il y a de plus
humain
; on dirait qu’on respire autour d’eux une atmosp
e impression aussi forte et aussi directe de la puissance de l’esprit
humain
. Dans la multitude enchevêtrée des faits résultan
s’ordonnait : c’était le miracle de la création réalisé par la raison
humaine
, qui, dans la masse nébuleuse de l’Univers, dans
, mais pour ce qu’ils apportent d’élargissant et de fécondant à l’âme
humaine
, pour l’accroissement de force et de joie qui en
point de vue théologique, ceci est, ici, secondaire. Le point de vue
humain
et poétique, c’est-à-dire le point de vue éternel
n scepticisme très amer serpente dans les récits et révèle une colère
humaine
qui veut se cacher, une colère acerbe contre « le
nde tristesse aussi se dégage de cette figure inaccomplie, de ce type
humain
inachevé qu’on rencontre si souvent perdu dans le
t, des campagnes sans fin. Le souffle de l’espérance et de la crainte
humaine
passe sur les moissons, disperse un peu les semen
« les rudes du peuple ». Le poète a résumé l’espérance et la terreur
humaines
dans quelques espérances, dans quelques terreurs
le est suffisamment grande pour nourrir les quelques milliers d’êtres
humains
dont se compose, au plus, la colonie. Il est clai
Loria, dont il faut louer, en effet, l’effort d’expliquer l’histoire
humaine
par l’économie sociale ; mais dans ce genre-là le
eindre. On peut donc changer son nom à volonté, car c’est un spécimen
humain
tiré à l’heure actuelle à des millions d’exemplai
n’avoir pas fait cette synthèse, restait étranger à l’élément le plus
humain
du paysage, à sa poésie même. Le mérite de chacun
ogue, et solliciter son explication, c’est l’existence d’un sentiment
humain
, et non pas son absence. Ce qu’il faudrait expliq
toute la somptueuse défroque du romantisme sur une charpente vraiment
humaine
qu’il prend le lecteur au piège de ses reflets ch
us, en les juxtaposant de la manière la plus inattendue, deux figures
humaines
des plus opposées, deux des personnages les plus
nous apparaissent représentatives de deux états extrêmes de l’esprit
humain
: l’état d’inquiétude et l’état de satisfaction,
vision moderne, toute combative, de la vie, de l’énergie nationale et
humaine
qui se veut suprême et féconde. Le volume Il Cant
e existant parmi les hommes déterminent ainsi la formation de groupes
humains
, très différents les uns des autres, et poussent
es plus riches et les plus savoureux, développe en beauté les plantes
humaines
les plus séduisantes. Tout ce qui compte de quato
eux sont frénétiques. Et l’art, qui est leur plus haute manifestation
humaine
, brise ses formes, étouffe ses foyers, cherche de
acas des autres Mondes que les Poètes seuls écoutent, seuls entre les
Humains
! C’est la mer, surtout, l’océan grave de toutes
n’est-ce pas le nec plus ultra du donquichottisme oiseux ? Mais l’âme
humaine
est pleine de mystères, disait mon professeur de
le de révéler les sources dans le sol, ou l’expression dans la figure
humaine
, de distinguer des caractères occultes dans les c
dans l’étude de la nature ; mais encore dans celle de la personnalité
humaine
, et il devint surtout un peintre de portraits, de
i, en certains cas privilégiés, on les voyait travailler sur la chair
humaine
. Nerveuses, électrisées, défaillantes, toujours p
romper la lenteur des années : ce sont de grands casques, des figures
humaines
et des morceaux d’armure ; au milieu de tout cela
e ; des « lunes » électriques s’allument. Personne ne sait, parmi les
humains
de Baltimore, qu’il y a là les restes d’un grand
riel, visible, palpable. Dès que le héros a révélé sa nature purement
humaine
, il est abandonné de tous, et ses adorateurs devi
, seul, repenti : et le choc immédiat entre cet homme réel, cet amour
humain
, et le fantôme et l’idylle cérébrale qu’Edoarda a
guerre civile ou guerre religieuse, extrêmes déploiements de la folie
humaine
. Le christianisme, cette religion d’amour, renfer
tiare couronnée d’une fleur ronde, qui n’est autre qu’une pâle figure
humaine
, aux yeux pensifs, et d’une expression immensémen
ope. Il n’a pas non plus négligé de cueillir sur les misérables faces
humaines
les rides les plus profondes de la douleur et de
it, sans risquer de perdre son caractère, être ramené aux proportions
humaines
. La Divine Comédie, voilà tout Dante. C’est un év
e mélancolique, une douce tristesse pour l’incertitude de la destinée
humaine
. De temps à autre, soudainement, il plane sur ce
r séparable de l’idée de famille, et les préludes idylliques du poème
humain
l’intéressent moins que la poignante épopée de la
in tragique, paraît vraiment pétri dans du papier mâché. Un seul type
humain
manque au milieu de cette nouvelle combinaison li
pour qu’il restât dans la littérature, d’où il jaillit, comme un type
humain
puissamment créé. Et il serait absurde d’évoquer,
hropologie de Florence, où les attitudes les plus complexes de la vie
humaine
sont établies en quelques catégories simples et v
imples et vastes, qui rappellent la suprême psychologie de la passion
humaine
représentée par les sept péchés capitaux, tout en
es personnages bizarres sont légion. Il y a ici une végétation de vie
humaine
prodigieuse, mais ce n’est pas un jardin ni un pa
un souvenir extérieur, je veux dire collectif, national ou simplement
humain
. Ce n’est point, certes, de « l’art social », de
de l’énergie nationale, mais il se souvient aussi des grandes figures
humaines
, telle celle de Beethoven ou celle de Wagner. Son
Dieu pour le Giorgione ? N’a-t-il pas fixé dans la plus belle matière
humaine
les dons les moins communs ? Son caprice n’est-il
avait été seul, dans son atelier. Car jamais, je le répète, créature
humaine
ne vibra aussi violemment devant la beauté. Celle
arement dessiné, que personne ne lui avait enseigné à copier le corps
humain
, qu’il n’avait jamais étudié de marbres antiques
éroïques avec le même calme. Rien de ce qui peut manifester la nature
humaine
, dans sa grandeur ou sa bassesse, ne le surprendr
… si elle était paisible et sereine et ne transformait pas une figure
humaine
en un masque hideux… — Au diable de pareilles ter
té !… » L’art, selon lui, ne peut reproduire que des états de passion
humaine
, et les mysticités religieuses se confondent avec
ahison me paraissait trop noire ! Vous savez, Seigneur, comme le cœur
humain
s’habitue difficilement au malheur et quelle rési
hologique, de la représentation dramatique d’un homme sinon d’un type
humain
. Et la décadence de l’écrivain commence, évidente
sa chair et son sang. Des bruits courent. On parle même de sacrifices
humains
, de petits enfants qu’on égorge et d’horribles dé
28. Elle porte sur ses pauvres épaules tout le fardeau de la douleur
humaine
et du péché originel ; elle est celle qui, à trav
re du regard de la Lise : étonnement un peu superficiel, car le génie
humain
, dans la même recherche, rencontrera toujours le
’art, et les aspects formels de tous les cultes comme les figurations
humaines
et sensibles des dieux innombrables du monde. M.
evant l’éclosion, dans les airs, des grandes fleurs ailées du courage
humain
: les machines empennées, les aéroplanes. Et lors
se révèle à nous par la plus profonde et la plus féconde des énergies
humaines
, l’énergie de l’Inquiétude. On sait combien grave
travers les labyrinthes de l’art, de la pensée, et de tout le délire
humain
. Cet avertissement universel et secret, dit-il, d
oque d’alcoolisme et de névroses générales, les études sur le cerveau
humain
dégénéré ou régénéré et les théories les plus ava
au besoin, éveiller l’inspiration des écrivains en quête de documents
humains
. Dans un de ses derniers romans, H. de Régnier no
uffit pas à entretenir ; il y faut une documentation plus riche, plus
humaine
aussi. Un conteur de cette trempe se double néces
e de l’onomatopée, alors qu’il est capable de traduire par le langage
humain
les appels stridents des vagues et son Hola hé !
estés que dans ce panneau probablement authentique ne cherchez l’être
humain
beau en soi, la femme « délicieuse », l’enfant «
e « délicieuse », l’enfant « ravissant », cette fleur enfin de la vie
humaine
qui devant Raphaël, devant le Corrège, mêle à not
mour des hommes, d’autant plus sublimement divin que plus modestement
humain
. Mais la Mère sait qui est le Fils ; elle le tien
la vie ; l’attitude nonchalante, et lyrique pourtant, d’un bel animal
humain
, à peine vêtu ; on devine un corps d’androgyne ;
douce au soleil ! J’ai tâché d’en donner une transcription en formes
humaines
. Un chant de chair, de matériel amour, de jeune
istes » sont en contradiction avec la constance démontrée de l’animal
humain
, de sa physiologie et de ses facultés, le bovarys
uelle je viens de faire allusion. C’est la réaction de l’intelligence
humaine
de plus en plus libre, contre des formules et des
t profonde, s’élèvera vers l’Être Suprême tant que battront des cœurs
humains
, tant qu’il y aura la douleur, et qu’il y aura la
aitement les iniquités, les malhonnêtetés, les saletés et bestialités
humaines
, que rien ne l’étonne ni ne l’irrite. Il est pais
i les usent. Et pas un seul parmi tous ces grands révélateurs du cœur
humain
n’a découvert la cause désespérée de toutes mes a
chute soudaine de tout son édifice, murmure, égaré, la grande parole
humaine
: Chi sa ? Qui sait ?… En quelques lignes, voilà
ce par un art mystérieux qui est celui de la Destinée. Ce noble poème
humain
a tenté M. André Lebey, qui en a rendu la beauté
et il faut absolument que l’un des plus beaux monuments de la passion
humaine
soit connu dans son intégralité. Il y a même une
toute la hiérarchie médiévale, qui pèse lourdement sur la conscience
humaine
, en voulant se conserver comme théocratie en deho
totalité des êtres, dans l’infini. Les grands et profonds sentiments
humains
de douleur comme de joie, d’attraction comme de r
ent à des dieux qui savent tout et méprisent doucement les vulgarités
humaines
. Quelle fixité inquiétante et quel sardonisme sur
délimitation du front. Sans cette ligne, le visage perd son caractère
humain
. Les esprits littéraires, les beaux phraseurs ont
euls êtres vraiment libres sont les enfants trouvés. La chose la plus
humaine
que puisse donc faire un père est d’abandonner se
uturisme, qui n’a point dédaigné d’entrer dans l’histoire de l’esprit
humain
parmi les risées du public et ses propres éclats
nière des vieux maîtres italiens qu’émerveillait la beauté des formes
humaines
. À un mouvement d’Aurora, il murmura : — Oh ! Mad
vinité et la beauté peuvent faire naître de plus idéal dans la pensée
humaine
, je l’ai vu, de mes yeux vu, réalisé sur cette to
goût de dépravation, à la description vulgaire des scènes d’animalité
humaine
, et donnent en pâture à leur solitaire intumescen
onduite par le Saxon Richard Wagner, pour rendre à son art « purement
humain
» la place éminente qu’on n’aurait jamais dû lui
déclare que c’est « une vigoureuse œuvre d’art et d’art profondément
humain
» ; I. Furlani, dans la Cronaca, estime qu’il n’é
y a des motifs plus proches, d’une saine psychologie, des motifs plus
humains
de haïr l’Allemagne et de la vouloir détruire que
ignes, dans les prés ou les potagers « avec une joie de liberté quasi
humaine
». Le train allait lentement et mit vingt-deux he
uteur a raison, a bien son droit de cité dans la science des sociétés
humaines
. Illemo Camelli : Du socialisme au sacerdoce (
son proche parent, le sophisme — sont l’un des éléments de la pensée
humaine
. Nul ne songera, d’ailleurs, à l’établissement, a
ic, preuve suprême des traditions aristocratiques et de la solidarité
humaine
en Angleterre, et d’autant plus significative si
alisme anglais contient des trésors d’énergie sociale et de sympathie
humaine
? On ne peut expliquer l’histoire anglaise par la
ompeusement grotesques manières de gouverner et de diriger l’activité
humaine
qui caractérisent les institutions jusqu’ici sacr
cessaire d’un personnage. Tous les yeux, et non seulement des figures
humaines
, mais des animaux, sont ordonnés de même (cela s’
herchée, il n’atteint pas moins son but de faire revivre la figure si
humaine
et touchante du poète immortel. Memento Il
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