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1 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
ropos de Léonard est toujours vrai : « Je ne crois pas que plus grand homme vint jamais au monde. » Et depuis que M. Gabriel
passionnés du même objet. Le Vinci figure un miroir enchanté où tout homme peut trouver des motifs de courage et d’espoir. P
oi. Le Vinci nous réconcilie avec notre espèce, avec nous-mêmes ! Cet homme pour qui rien n’a été propice et qui ne fut trait
t continuellement, sous le jeu variable de la lumière, la nature, les hommes , les bêtes, les plantes, et même les objets en ap
ie de portraits de gens de lettres, peintres, musiciens, philosophes, hommes d’état ou souverains qu’il s’est plu à dessiner s
’aurait jamais dû sortir du langage mathématique pour s’appliquer aux hommes . Les premières batailles que livra l’orthodoxie f
de paganisme (si fausse puisqu’elle désigna d’abord les paysans, les hommes de la glèbe entêtés de superstitions et résistant
se dresse devant le théologue, émule ou rival. Désormais, en face des hommes de la révélation il y aura les hommes de la raiso
u rival. Désormais, en face des hommes de la révélation il y aura les hommes de la raison et ceux de l’expérience. La théocrat
se trouvent toutes dans des ouvrages antérieurs : il a rang parmi les hommes d’action ; son œuvre rentre dans le domaine tempo
e », et aussi « le feu détruit sans cesse l’air qui le nourrit ». Cet homme , qui devançait Galilée, Harvey, Lavoisier, était
toutes les sciences, suivant sa définition de l’artiste qu’il veut «  homme universel », on se trouve en face de véritables g
ent le terme. Elles constituent la grande charte de l’émancipation. L’ homme , ainsi placé en face de l’univers, va faire la pr
oïse au Sinaï. Le nouveau théurge n’est plus un intermédiaire entre l’ homme et Dieu, mais un interprète entre la nature et l’
diaire entre l’homme et Dieu, mais un interprète entre la nature et l’ homme  ; moderne sacerdoce d’une croyance encore inexpri
oyance encore inexprimée. Il existe une vérité et tout l’honneur de l’ homme consiste à la rechercher. « Elle est fille du tem
(19). « Qu’est-ce que la vérité ? » a dit Pilate, qui figure bien l’ homme civilisé, le haut dignitaire sceptique et désabus
int Jean, dans sa page maîtresse, a dit : « La vie est la lumière des hommes . » Mais il a eu la tête rompue par les arguties e
r sa stérilité. On dirait qu’il pressent Luther. « La pire erreur des hommes est dans leurs opinions. — Rien au monde n’est pl
s le ciel à témoin, le ciel astronomique et la terre géologique, et l’ homme anatomique, et d’un seul coup chassant théologast
utrice de la nature, son frein et sa règle éternelle » (228). Ainsi l’ homme n’a qu’à s’observer, pour saisir la loi qui le ré
n de Moïse ou du Pape, mais il dirait au buveur de Vittemberg : «  L’ homme a grand raisonnement, mais en majeure partie vain
le plus puissant adversaire du rationalisme. Il importe de séparer l’ homme qui étudie la Création de celui qui mâche des tex
e de chacun de ses traités, notre philosophe fait sa prière, comme un homme du moyen âge. Avant de parler de l’optique : « Pl
omie : « Plaise à Notre Auteur que j’aie bien démontré la nature de l’ homme et ses facultés (7). » Il croit en Dieu et il don
te porter, ensuite parce que tu sais abréger ou prolonger la vie aux hommes (4), enfin parce que tu leur vends tous les biens
t en nous et autour de nous. Dieu est toute la lumière, l’auteur de l’ homme , il est le principe d’où découlent les lois ou ca
uvre humaine et l’œuvre naturelle, il y a la même proportion que de l’ homme à Dieu (235). » Cet esprit si audacieux se rencon
t digne, il en résulte de l’excitation, joie et sérénité (85). » Les hommes de sciences nous ont déshabitués d’entendre ces e
lément ? » le Codex atlantico répond : « Il n’est pas au pouvoir de l’ homme de définir la quiddité d’un élément : mais une gr
ssions exprimées abstraitement et une vraie critique doit défalquer l’ homme du système ; lorsque le philosophe ne met pas en
héorie science sans pratique ». S’il y a une prédestination parmi les hommes , elle se manifeste par le désir de savoir : et le
ompose de devoirs et que, loin d’émanciper, elle engage et soumet. Un homme libre prend son point d’appui en lui-même et s’of
nol et nos ancêtres ont envoyé Marie-Antoinette à la guillotine. Tout homme qui parle au nom de Dieu menace les autres et la
utre texte sacré que la création. C’est en lui et autour de lui que l’ homme cherchera et trouvera Dieu : et le nouvel interpr
érience qui sont les modes à discerner le vrai du faux persuadent aux hommes de ne se promettre que des choses possibles et av
essons. Ces êtres fiancés aux mystères échappent à notre jugement ; l’ homme est maître de faire de lui ce qui lui plaît, surt
point de départ. « La sagesse de l’âme est le souverain bien pour l’ homme conscient : rien ne peut lui être comparé (64). »
r à son premier état agissent comme la lumière sur le papillon ; et l’ homme d’un continuel désir aspire toujours au nouveau p
es années. Quand les choses désirées arrivent, il est trop tard, et l’ homme ne s’aperçoit pas qu’il a aspiré ainsi à sa ruine
mentaires qui se trouvent enfermés par l’âme dans le corps humain ; l’ homme aspire sans cesse à retourner vers son mandataire
e désir et cette quintessence sont les complices de la nature comme l’ homme est le modèle du monde ! Sa souveraine démence le
41). » Il n’y a pas de meilleur commentaire du souhait des anges aux hommes  : la paix descend à l’appel de la bonne volonté.
t-elle bonne ? Quand elle ne veut ni biens, ni honneurs consentis des hommes , quand elle renonce à Satan, à ses pompes et à se
 » Pour le maître, science est synonyme de conscience. L’honneur de l’ homme consiste à se connaître soi et le monde. « ¨Ô pro
nnaître soi et le monde. « ¨Ô profonde erreur de ceux qui blâment les hommes d’apprendre directement de la nature, laissant là
iple du pédant comme du théologue : pour lui, il n’y a qu’un texte, l’ homme et son ambiance phénoménale ; ce qu’on a écrit, s
s ; et la peur de l’inconnu et de l’ombre est ce grand sentiment de l’ homme ou encore ingénu ou tout à fait subtil, en face d
pendant de si longs siècles, a méprisé la terre pour mieux orienter l’ homme vers le ciel, et n’a vu dans la nature qu’un foye
des mots assez forts pour blâmer ceux que veulent louer et adorer les hommes plutôt que le Soleil, ne voyant pas, dans l’unive
e niera la personnalité de l’auteur. « Ceux qui ont voulu adorer les hommes comme dieux, Jupiter, Saturne, Mars et autres, on
nt ? Comment n’a-t-il pas compris que, devant ce Grand-Grec exquis, l’ homme du Nord n’avait pas à rougir ? Le pêcheur est au
ppe. Beaucoup d’objections se présentent et d’abord le grand nombre d’ hommes illustres dont les traits ne correspondent pas au
ids. Nos opinions ont leur source en nous-même ; Léonard, le plus bel homme de son temps, pouvait croire que l’âme forme le c
« Il semble à l’âme de l’artiste que la meilleure façon de figurer un homme est de recommencer le travail qu’elle fit pendant
formes qu’elle choisit alors, en modelant son propre habitacle. » L’ homme qui écrit pour lui-même ou pour des disciples se
ets dédaignés par les autres et met sur eux son mince pécule, car les hommes nés avant lui semblent avoir épuisé les thèmes ut
rs organes (162). » La souffrance morale accomplit le même office : l’ homme serait vite consumé par ses passions si les peine
de s’il n’y a pas d’autres saints que ceux de la canonisation et si l’ homme qui marche dans la double lumière de la conscienc
, n’a pareillement vociféré contre la brutalité et la perversité de l’ homme . Il s’indigne que les êtres grossiers, de mœurs b
ntres, sépultures d’autres animaux ». « Si on ne rencontrait quelques hommes inventeurs sages et savants, je ne sais où on ver
instinct des bêtes plutôt que dans l’injuste et perverse avidité des hommes . » Quoique je me sois proposé de présenter les i
a souffert que dans sa fortune, et non dans son cœur. Son mépris de l’ homme ordinaire n’exprime pas une rancune : c’est bien
ut platonisant, puisqu’il ignore la théorie du daïmon qui considère l’ homme inventeur, savant et sage comme un être intermédi
rait aussi la formule aristotélicienne, qui met plus de distance d’un homme à un autre que de l’espèce humaine à l’espèce ani
mier, nous la trouvons chez tout humaniste, de Pétrarque à Érasme ; l’ homme de haute culture méprise l’inculte, naturellement
satisferaient pas encore le désir de l’âme inique qui est celle de l’ homme  », il pense à César Borgia, à Sforza et aux tigre
de proie, d’une colère vraiment sainte. Pour alimenter ses désirs, l’ homme déchaîne la mort, la douleur sur toute chose viva
si impitoyable (48) ? » Allez dire à ce cœur vraiment vertueux que l’ homme a été créé à l’image de Dieu : il rira ou s’indig
ui calomnie la Bible. Les Œlohim ne sont que des anges qui ont fait l’ homme à l’image de leur ombre. Léonard admire tellement
as que c’est un crime de la détruire. Quel attentat d’ôter la vie à l’ homme dont la composition se révèle à toi comme une mer
y voit comme une flamme, et Berkeley, les mêmes notions que tous les hommes professent précisément sur les mêmes choses. Pour
caractère hypothétique, cette description du mouvement réceptif de l’ homme se recommande par sa plausibilité et ne contredit
du reste, en a donné plusieurs énoncés. § « Dans la description de l’ homme doivent être compris les animaux de même espèce,
in, le singe, et les nombreux similaires (26). » Ailleurs, il place l’ homme parmi les quadrupèdes. À sa première enfance ne m
urs, on a tiré de cette constatation des conclusions fantaisistes ; l’ homme a passé pour un singe évolué ; ce qui n’est pas p
système nerveux inutile à son immobilité », il trouvait le monde et l’ homme semblables. « Les os servent d’armature à la cha
e. « En douze figures, je te montre la cosmographie du petit monde (l’ homme ) et sa structure dans le même ordre que suivit Pt
N’est-ce pas la première fois qu’un philosophe étudie si exactement l’ homme physiologique ? Il disséqua plus de trente cadavr
en ses besoins, le penseur attribue le mal à la mauvaise volonté de l’ homme  ; persuadé qu’en son animalité, il vaut mieux que
science a vu les mêmes passions que la foi s’agiter à son ombre, et l’ homme de l’expérience prétendre à l’autorité pontifical
gnare, « le génie, une névrose » ? Pour le Vinci, le génie seul est l’ homme et l’humanité n’a d’autre raison que d’être l’occ
nce et de son rayonnement. Créateur de formes ou inventeur de lois, l’ homme « est vraiment un demi-dieu terrestre et qui méri
ation dans la science et la poésie dans l’observation, ce rêveur de l’ homme volant, ce descripteur du déluge. Nul ne fut plus
ne l’égalerait en importance : et si elle n’est pas restée parmi les hommes , leur étant si nécessaire, c’est qu’elle n’a jama
phrase de ses répliques rayonne de clarté, de mesure, de génie ; quel homme des Chartres qui ne soit prêt à baiser les pieds
euples et aucun génie ne résistera à ses implacables forces ! Ainsi l’ homme abolirait Dieu et tout l’univers pour satisfaire
accorde que certains traits montrent le tempérament et les vices de l’ homme et en donne seulement quatre exemples ? Quant à l
proclame incomparable. Le peintre, selon sa définition, doit être un homme universel. Avec quelle indignation il se plaint q
isément que la langue des formes et des couleurs entendue de tous les hommes , quels que soient leur race ou leur degré de cult
, sans trop de peine. Le soleil ne luit que pour montrer à l’œil de l’ homme cette beauté partout répandue. » Les amants se to
n peut dire qu’elle est cachée dans les œuvres de la nature et dans l’ homme , car bien peu l’aperçoivent. L’artiste est son in
 ; ses œuvres peu nombreuses, mais pleines de qualités arrêteront les hommes en contemplation (74). » Le jugement ici a le se
edit à l’exactitude des formes, comme la maladie et la vieillesse. Un homme au masque animal, aux membres déformés, à l’allur
uves matérielles appartient, de droit, à la libre interprétation de l’ homme et la Genèse en cosmologie ne représente qu’une o
niversel quoique incessamment muable. Je pense, avec Pythagore, que l’ homme , à l’état accompli, croit avec la religion, raiso
tion rétrospective nous permet d’atteindre à une nouvelle évidence. L’ homme passionnel offre peu de différences, malgré la di
en analysant l’Égyptien nous nous retrouvons à peu près ; de même, l’ homme intellectuel se présente avec une identité singul
illes mêmes de l’espèce et il est scientifique de dire que ce que les hommes crurent, tous et toujours, est vrai, comme l’inst
ment la plus belle échelle de Jacob qu’on ait jamais conçue et où les hommes et les anges se croisent dans une pénétration du
de tracer même un profil, comme Léonard. La qualité s’incarne dans un homme  ; elle ne connaît ni passé, ni futur, elle est, t
e série sa couleur essentielle pour former un étendard synthétique. L’ homme accompli sera demain un croyant dans les choses d
offrir la nouvelle charte consentie par la Divinité à l’activité de l’ homme . Le Moïse de l’expérience a fait pour nous un pac
les seules sont le salut et l’unique justification de Dieu devant les hommes et des hommes devant Dieu. Voilà pourquoi Léonard
t le salut et l’unique justification de Dieu devant les hommes et des hommes devant Dieu. Voilà pourquoi Léonard de Vinci est
1), 4 articles remarquablement documentés, affirmant la véracité de l’ homme invraisemblable dont l’Histoire de la vie apparaî
i loin de mon goût que l’est de ma façon de sentir l’état mental d’un homme qui tue sa femme infidèle, ou d’une femme qui vit
physique des pauvres correspond à l’affirmation métaphysique que les hommes en contact avec la matière brute (l’ouvrier) sont
brute (l’ouvrier) sont d’une essence forcément inférieure à celle des hommes en contact avec la matière subtile et vibrante co
nter de l’explication. Esprit curieux, avide de se renseigner sur les hommes qui formaient autour de Bonaparte une cohorte d’u
rd), Bonifazio (Diane et Actéon, même galerie), Giorgione (Portrait d’ homme et Adoration des bergers, de la collection Beaumo
Présentation de la Vierge au Temple de la Madonna dell’Orto. Le même homme étonne par la largeur de son dessin, par la vérit
endus. Les traits anguleux, les rides profondes montrent l’usure de l’ homme de guerre, dur pour soi-même comme pour les autre
douloureusement dans son cadre de marbre. Ici, c’est le plein air, un homme à cheval, l’esprit ferme au milieu de l’action. C
ons. Il représente honnêtement la nature comme il la voit. Il peint l’ homme avec tous ses muscles, les veines saillantes sous
lles éditions de Vasari et on croit le reconnaître dans un portrait d’ homme de Lorenzo di Credi, conservé au Musée des Office
calmeront point ses rancunes. Il a l’air d’une ombre plutôt que d’un homme vivant, tant les jeûnes l’ont amaigri. Dans sa ce
es qualités fut celle d’être, pendant la période virile de sa vie, un homme plein de dédain pour tout apparat officiel, eût c
rcée par une telle littérature sur la sensibilité générale, il fut un homme en Italie qui leva sa voix avec un dédain furieux
acilitent énormément et quotidiennement les descentes de leurs grands hommes , en les flattant dans leurs menus instincts et en
n conteur que tous peuvent lire avec émotion. Dans l’artiste il y a l’ homme , naturellement : tout artiste subit les ondoiemen
rellement : tout artiste subit les ondoiements de la sensibilité de l’ homme qui est en lui ; tout artiste peut donc dédaigner
et peut en même temps contribuer à son succès, en s’en émouvant comme homme . En le comprenant dans ses justes proportions, en
ar cette somme de travail et d’années d’effort et de volonté que tout homme très âgé représente, et qui est au fond du culte
gage anticlérical de tout pays. M. Robert Ardigò est, à l’étranger, l’ homme représentatif de la philosophie italienne. Il a é
on mystérieuse et rituelle où se tissent les péripéties du drame. Les hommes d’à présent sont tristement persuadés de la néces
vie : — quelle chose étrange ! Quelle chose étrange, être ce que l’ homme ne peut connaître Que comme un secret sacré ! L’é
r bat pleinement et vite, J’errai, jusqu’à ce que les habitations des hommes fussent dépassées, Avec qui en de beaux lieux je
française et italienne, nous représente ainsi la douleur typique d’un homme très puissant. Cet homme, nous l’avons rencontré
ous représente ainsi la douleur typique d’un homme très puissant. Cet homme , nous l’avons rencontré plusieurs fois le long de
t il est vraiment dantesque plus que shakespearien : ce n’est plus un homme dans le monde des hommes, c’est un grand damné da
que plus que shakespearien : ce n’est plus un homme dans le monde des hommes , c’est un grand damné dans un monde rouge d’impit
e très vague, presque flottant comme un pur symbole plus que comme un homme réel, autour du roi délirant. On le voit tour à t
s Cantiques et du Livre des Proverbes » !… Lorsque les époques ont un homme de grand talent, on voit les chefs-d’œuvre ancien
in du xiiie  siècle, par Remy de Gourmont. Vol. in-16 (Collection Les Hommes et les Idées) 0,75. Tome LXXIII, numéro 263,
t rien à faire, mais absolument rien », ne posait pas précisément son homme . Ajoutez la vieille habitude inquisitoriale du go
st que la femme ne remplira jamais, officier par exemple, ou patron d’ hommes (pourtant, au moyen âge, il y eut des monastères
receveurs d’impôts, notaires, bureaucrates ; même parfois mieux que l’ homme  : professeurs de jeunes enfants ou visiteurs de l
emme est faite pour être la collaboratrice affectueuse et docile de l’ homme , mais son concours sera d’autant plus efficace qu
s grand’chose de bon et que la moindre amélioration du caractère de l’ homme , trop brutal et trop ivrogne, et de la femme, tro
imple : Liriche, M. Chiesa affirme encore davantage sa puissance. Cet homme , certes très jeune, est un grand poète. Il sait q
e de la vie, et devient un lourd rocher. Les éléments psychiques de l’ homme et des minéraux fusionnent dans la flamme de l’in
sme dans l’horreur funèbre, vraiment dignes de Shakespeare. Carne, un homme de lettres qui collabora occasionnellement avec W
En voici deux autres qui n’ont pas été relevés, croyons-nous : « Si l’ homme a en lui un lac de sang où croît et décroît le po
t-il souhaiter aux poètes, à côté de la collaboration avec les grands hommes de tous les temps, cette collaboration du public
rès. Elle a atteint la perfection, mais elle l’a dépassée. Beaucoup d’ hommes de talent écrivent, mais ils ne savent pas se ser
juillet 1908, p. 289-294 [292-293, 293-294]. Remy de Gourmont : Les Hommes et les Idées. Dante, Béatrice et la Poésie amoure
exaltée ? » E. Rodocanachi : Boccace, poète, conteur, moraliste, homme politique, 1 vol. in-8° illustré de 6 planches ho
l’historien de Boccace et l’étudie comme poète, conteur, moraliste et homme politique, nous dit que la passion de Dante pour
En France, au xve  siècle, on lisait beaucoup plus les Infortunes des Hommes Illustres et la Généalogie des Dieux, que le Déca
e, et de tant d’autres ouvrages où vibre une passion intense pour les hommes et les choses de la péninsule, ne possède pas à R
dépit de tout. Ce merveilleux artiste et vaillant compagnon était un homme trivial à force de vanité. On sourit de ses vanta
dramatiques ou décoratives ; l’Adam et l’Ève de Jean van Eyck sont un homme et une femme nus, d’une vérité brutale ; à la mêm
à la légende et la fantaisie à l’histoire ?… Le Pinturicchio c’est l’ homme des apparences, et qui se réjouit et se complaît
ale. Chateaubriand lui-même n’écrit-il pas : « La réformation porta l’ homme à s’enquérir, à chercher, à apprendre. Ce fut, à
être un pécheur. Quel rêve ont donc fait ceux qui se figurèrent que l’ homme incurable en ses vices deviendrait et se maintien
dicée il passe à la cosmologie, étudie l’œuvre des six jours ; puis l’ homme et les œuvres de l’homme, sciences et arts. Car,
logie, étudie l’œuvre des six jours ; puis l’homme et les œuvres de l’ homme , sciences et arts. Car, pour lui, les sciences co
sciences et arts. Car, pour lui, les sciences contribuent à ramener l’ homme déchu vers Dieu et à relever du péché originel :
 : le texte est bien authentique. De la contemplation des créatures l’ homme s’élève à la connaissance de Dieu, et les perfect
it, sans en avoir l’intelligence. » Pour saint Thomas lui-même, « les hommes doivent avancer, avec la succession des temps, da
it nombre des penseurs qui ont mérité et obtenu de l’autorité sur les hommes , le suffrage universel, en matière de causes prem
été proférée, formait des séditieux et sur les bûchers montaient des hommes qui étaient peut-être des saints, hormis un point
l’humaniste est un aristocrate et que l’on appellerait aujourd’hui un homme de gouvernement. Il ne pense, ne parle et n’écrit
irandole, et un adolescent robuste, c’est Michel-Ange, enfin un petit homme qui semble commander à tous, Marsile Ficin. Voilà
e le chante, la tête, les mains, les genoux l’adorent, les œuvres des hommes le reflètent. Si Dieu n’entend pas cela, il est i
ulations en écarte non seulement la multitude, mais encore beaucoup d’ hommes instruits ; elle ne modifie ni la discipline, ni
ut légitime, elle fut d’ordre temporel. Le pape-pécheur n’était ni un homme ordinaire, ni même sans piété ; il acceptait que
« quoiqu’il y ait encore de la fange théologique au pied de ce saint homme  ». Savonarole mourut dans le sein de l’Église, pu
esse passagère et qui ne laissa de trace que dans le souvenir ému des hommes d’exception. L’art, à Santa Maria Novella, à San
e usurpateur de son entêtement, et son exemple rendit manifeste que l’ homme ne doit pas prétendre à se substituer au temps et
e ; il n’y eut jamais de pontife aussi scandaleux que Borgia ; pour l’ homme  ; on n’en citerait pas de plus exemplaire en son
l’âme humaine pour attribuer à la parole la puissance de changer les hommes en anges et que la voix d’un moine transformerait
où Grégoire IX vint à Assise pour la canonisation du Stigmatisé. Tout homme qui se flatte de remplacer la Providence est un p
égal des plus illustres qui coule aux veines de Médicis, Léon X est l’ homme le plus cultivé de son temps, le plus généreux, l
Que signifie ce mot exaspérant ? comment paganus s’applique-t-il aux hommes les plus policés ? Les premiers chrétiens désignè
able au pied d’un éléphant (pouvoir spirituel) et la main gauche d’un homme (négation du pouvoir temporel) ; avec un pied dro
qu’à la sélection rigoureuse des fidèles et des moyens. Le pêcheur d’ hommes ne fait pas le tri des poissons, suivant leur qua
e précise chaque jour davantage. Le commerce réunit momentanément des hommes d’origines très diverses et ils échangent leurs i
verser le vin nouveau dans le vieux vase, c’est-à-dire proposer à des hommes ignorants de la scolastique ses vénérables formul
congrégations et en cela il manqua au pacte humaniste, quoiqu’il fût homme de tradition et qu’il exhortât à souffrir la tyra
tal, tel que le veut l’exigence légitime : honnête homme et non saint homme , il mérite les lauriers, et non l’encens. S’il dé
la sève théocratique. La religion ne sera plus le seul lien entre les hommes . Aucune réforme désormais ne modifiera la marche
elle abandonne les textes sacrés pour d’autres, souvent profanes. Les hommes de la Renaissance italienne n’ont pas la puérilit
aigne la tradition. Pour un Allemand, Luther proclame les droits de l’ homme en matière de foi, il distribue le bonnet de doct
es couleurs brilleraient d’un plus vif éclat sans la faute du premier homme  ! Et que serais-tu donc, si notre père n’avait pa
aîne. Sainte ou impie, sa colère voit plus rouge que celle des autres hommes  : espèce de taureau vainqueur dans une arène théo
iante. Sa grossièreté le sert et déconcerte le prélat italien comme l’ homme en carmagnole méduse le gentilhomme de Versailles
Versailles. L’époux de Catherine de Bora offre un autre aspect : cet homme bouillant de passions a une vision étonnante de l
xemple, dans ses rapports avec le roi d’Angleterre pour reconnaître l’ homme d’État, caché derrière l’énergumène. Le moine qui
créateur et qu’à mesure que la nature déposait en faveur de Dieu les hommes l’aient d’autant moins senti. Ce sont là des acci
que excessive. Ainsi, il a pu animer d’une vie semblable à la vie des hommes , la Ville d’Orient, luxurieuse dans le soleil et
e et par conséquence les choses inertes participent aux passions de l’ homme et à l’attrait sexuel. Lorsque les vieilles forte
la lignée, enthousiasme pour la science et le passé scientifique des hommes , libération de l’individu, chaleur de pensée véri
e son mouvement, de continuité dans l’illusion qu’elle répand sur les hommes et par quoi elle les retient. Le charme de Venise
tonte romantique. Elle garde donc en puissance le rêve dont tous les hommes sentent le besoin impérieux à quelques moments de
ù se perpétue une figuration des âges morts, et qui par cela même à l’ homme qui vit de rêve, comme la plupart vivent de calcu
ropre à côté du monde commun… Venise, c’est le véritable domaine de l’ homme , c’est le monde exclusivement humain, où l’effort
, où l’effort humain est le seul pouvoir créateur, et la volonté de l’ homme la seule loi ; et la nature se transforme ici dan
est inutile, dangereux, encombrant, ennuyeux. Mais un jour, quelques hommes de talent et d’âme tiendront fatalement la tête d
la lignée, enthousiasme pour la science et le passé scientifique des hommes , libération de l’individu, chaleur de pensée véri
ille aimée d’un moine se substituer à la Madone invoquée par le saint homme qui luttait contre son amour profane, et descendr
te qui les inspira : Encore une fois, il a jeté dans le souvenir des hommes plus de merveilles visibles et sensibles que le s
r Étienne Rabaud, Maître de Conférences à la Sorbonne (Collection Les Hommes et les idées, n° 9). Vol. in-16, 0,75. Le Sott
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
est-il en latin, puisque Dante prétend s’adresser, non seulement aux hommes , mais aux femmes et aux enfants ? Le poète promet
lui du ciel avec cette destination ? Ce serait déjà trop présumer des hommes d’élite. En outre, il définit le langage vulgaire
s. Les anges ni les animaux ne parlent. Les pies imitent la voix de l’ homme , qui seul est doué de la parole. Tandis que les i
a nôtre, des révérends inquisiteurs qui certes, avec deux lignes d’un homme , se chargeaient fort bien de le faire brûler, ad
, peu nombreux, étaient de la race de Sem. Dante ne croit pas que les hommes aient été dispersés lors de la confusion des lang
parleraient un autre langage que les papiens d’aujourd’hui. Seuls des hommes peu différents des brutes croient qu’on a toujour
et potestate ). Sa puissance est telle qu’il peut changer le cœur des hommes , les amener à vouloir ce qu’ils ne veulent pas, c
iome illustre ne convient pas même aux meilleurs poètes ; il veut des hommes qui lui soient assimilés, consimiles viros  ; il
? Aliud dignum, aliud dignius, aliud Dignissimum , car il y a dans l’ homme trois esprits et il va par trois chemins à l’util
qu’aujourd’hui il ne pense rien, simple négateur sans doctrine. Tout homme a besoin de communier avec ses semblables, c’est-
atteindre les pies (les pieux) imitateurs de la voix humaine et de l’ homme raisonnable. Or, la raison varie d’individu à ind
la liberté de la pensée. Pour le premier mot prononcé par le premier homme  : eli. Faut-il le lire, avec Aroux, Enrico Luxemb
aise pierre), Rome, est amplissima et patrie du plus grand nombre des hommes . Cela est clair. L’initiation vint d’Orient, appo
, antithétique à odeur de sainteté. Un idiome, qui change le cœur des hommes et les amène à vouloir ce qu’ils ne veulent pas,
e qu’à des gens du monde. Nous avons vu que le premier mot du premier homme pouvait signifier Henri de Luxembourg Empereur et
ro bonum , l’être par sa nature produit l’unité et l’unité le bien. L’ homme asservi à l’autorité (sous-entendue spirituelle)
stème ; et comme on ne ment jamais aussi bien qu’à soi-même, certains hommes parviennent à se persuader qu’ils servent une idé
par l’ampleur et la beauté du tableau ; mais de tous les périls que l’ homme puisse courir, aucun ne cause autant d’effroi que
cabilité. La critique des doctrines commence par la connaissance de l’ homme  : car l’homme ajoute à l’idée qu’il épouse une pa
ritique des doctrines commence par la connaissance de l’homme : car l’ homme ajoute à l’idée qu’il épouse une part de fange, d
n du pouvoir temporel, Dante était meilleur catholique que le Pape. L’ homme a été créé pour une double fin, également heureus
identielle, tend à sa perfection et la science est la perfection de l’ homme . Aussi le désir de savoir se manifeste-t-il en lu
esses éphémères, vite amis, vite ennemis, ce sont des enfants que les hommes . L’envie engendre le mauvais jugement et puis l’i
t de révéler le sens des Canzones. Ce sens a pour but de conduire les hommes à la science et à la vertu. L’amour nous porte à
vre se trouve dans la parité, l’égalité que le vulgaire met entre les hommes d’une même langue ; la cinquième vient de la bass
; la cinquième vient de la bassesse d’âme. La mesure, qui a servi à l’ homme pour se juger, lui sert pour toutes choses qui le
urs et j’aime notre idiome parce qu’avec lui seul je m’énonce bien. L’ homme a deux perfections : l’être et l’accomplissement 
 Angelico ». Florence a produit le bienheureux Jean de Fiesole, cet «  homme de Dieu » ; à Milan, dans les dernières années du
mpressaient à imiter le nouveau style de Léonard de Vinci, un autre «  homme de Dieu », Ambrogio Borgognone, obstinément plong
d’un Tintoret. Mais du fait même de la supériorité de leur génie, les hommes de cette sorte sont plus exposés que d’autres à s
es croûtes de la grande galerie du Louvre comme les portraits de deux hommes  ; mais le trop vanté Balthazar Castiglione, si mo
, qui remue et perfectionne la nature dans le sens de la volonté de l’ homme . Cœnobium Revue internationale de libres
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
éry. Corr. Id. avril-juill. Paris. Not. Colomb. — Journ. — Corr. Homme du monde, écrivain dilettante août Milan. Not.
s toute ma vie je n’ai parlé au Démon que cinq fois, mais de tous les hommes aujourd’hui vivants, c’est certainement moi qui l
r la terre. Un jour il me l’a avoué d’un air triste : « Désormais les hommes ne m’intéressent plus. On les achète pour peu, ma
il vient parmi nous. Personne, à la vérité, ne s’en aperçoit, car les hommes ne le reconnaissent plus et passent auprès de lui
plus au sein de la béatitude céleste. » Il est animé, même envers les hommes , d’une certaine bonhomie un peu ironique, laquell
l a décidément compris que la tentation est parfaitement inutile. Les hommes pèchent d’eux-mêmes, naturellement et spontanémen
faire prier. De là lui est née, ces derniers temps, pour nous autres hommes une certaine pitié, qui ne détruit pas le mépris,
ne, mais je crois que vous êtes celui auquel on peut dire ce qu’aucun homme ne pourrait imaginer de lui-même. Je vous confess
ter au fruit défendu, je n’avais aucune intention de faire tomber les hommes en disgrâce. Mon seul dessein était de me venger
naissance et la puissance. Aussi ne voulais-je aucunement tromper les hommes en leur indiquant le moyen de se rendre semblable
i quand il est léger, et exalté et récompensé quand il est grand. « L’ homme , en ce jour lointain, perdit donc une magnifique
je crois, mon excellent ami, et je vous le dis, bien que vous autres hommes ne prêtiez guère foi aux conseils du Démon, je cr
à l’allemande, sous un globe électrique à l’éclat impudent, les deux hommes parlaient et secouaient leurs têtes grises, sans
aucune de ces palpitations qui font pâlir brusquement les visages des hommes . Je n’eus pas de sursauts et de frissons à la vue
de toute mon âme cette affection puissante et terrible dont tous les hommes sont saisis au moins une fois. Mais en face de mo
bien quel enseignement ressort de ta lamentable histoire. Ce que les hommes ont voulu condamner et tuer en ta personne, c’est
’est pour cela, ô Don Juan, que tu es mon frère… Car en moi aussi les hommes ont exprimé leur horreur et leur terreur du chang
naissance à sa mort, était la plus grande malédiction pour l’âme d’un homme . Moi, au contraire, j’ai converti leur punition e
sion philosophique des paroles de Don Juan, mais à ce moment un petit homme obséquieux, tout habillé de noir, et marqué d’une
rmait, Don Juan tira de sa bourse une large pièce d’or, mais le petit homme la regarda et la refusa. C’était un doublon d’Esp
té de la mienne, une autre image. Je me retournai impétueusement : un homme s’était assis près de moi et se mirait à côté de
t-être cela m’aurait épouvanté et j’aurais certainement crié comme un homme enfermé dans le cercle d’une invincible obsession
l ; c’est pourquoi je ne fus nullement atterré. Je tendis la main à l’ homme qui me la serra et je lui dis : — « Je sais que t
uoi que tu me demandes, je ne saurai peut-être pas te le refuser. » L’ homme me regarda avec une certaine stupeur, comme si j’
es plus singulières de ma vie, déjà si différente de celle des autres hommes . Je vécus avec moi-même — avec un moi passé — des
sans se lasser, cherchant à se rappeler les choses qu’ils virent, les hommes qu’il connurent, les sentiments qui les agitèrent
ésormais défuntes, d’enthousiasmes provinciaux pour des choses et des hommes que je ne me rappelais même plus. Il prêtait foi
s mon mépris qui se changeait en haine. « Et pourtant, pensai-je, cet homme duquel je ris, ce jeune homme ridicule et ignoran
ndant, en ce temps-là, je croyais, plus encore qu’aujourd’hui, être l’ homme supérieur, l’être noble et grand, le sage univers
méprisés ont eu le même nom, ont habité le même corps, ont apparu aux hommes comme un seul vivant. Terrible et perfide pensée.
oie me saisit, avec ses rires stupides, je me dis que je suis le seul homme qui se soit assassiné soi-même et vive encore. Ma
4 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
et le jardin pierreux où se tordent des ceps de pinot, une femme, un homme et cinq enfants : le feu d’Anne Padoue et de Jean
us extraordinaire sinon le plus fou des princes de son temps. C’est l’ homme aux trois femmes, Nicole de Lorraine, Louise-Marg
tes et les fenestres des yeux étonnés » ; il se liera avec Poussin, l’ homme à la couleur fausse et au dramatique conventionne
nnel ; il sera l’ami de Sandrart, qui écrira : « c’était un excellent homme , excessivement droit, qui n’aimait pas les cérémo
e IV d’Espagne voudra de ses ouvrages, Louis XIV, ce grand flaireur d’ hommes , lui fera faire des invites, auxquelles il ne rép
ns sont d’une maîtrise incomparable. Il faut bien distinguer en lui l’ homme des lignes et l’homme de la couleur. Il y a, à la
incomparable. Il faut bien distinguer en lui l’homme des lignes et l’ homme de la couleur. Il y a, à la National Gallery, je
efusé, à l’heure voulue, le viatique nécessaire. Que n’eût pas fait l’ homme qui possédait un tel secret, s’il eût été à même
de la chemisette. De Giovanni Bellini, c’est l’Adam et c’est l’Ève, l’ homme avec ce grand coup de lumière sur la jambe gauche
antureuse milanaise ; puis, le même modèle en Vierge et un portrait d’ homme assez mou. Et encore, oubliés dans mon énumératio
rtrait d’homme assez mou. Et encore, oubliés dans mon énumération, un Homme qui louche du Bronzino, un Guerchin très heurté,
en. C’est une des très rares grandes choses qui soient en peinture. L’ homme qui a fait cela a à peine trente ans. Il vient de
es éléments de la société moderne. Lombroso est certainement l’un des hommes les plus universellement connus qui soient aujour
es livres un énoncé net de la question. Il se contente d’un titre : l’ Homme de génie, l’Homme criminel. Ces mots sont aussi v
é net de la question. Il se contente d’un titre : l’Homme de génie, l’ Homme criminel. Ces mots sont aussi vagues que possible
dessus. Lombroso se tait, et il jette pêle-mêle dans la catégorie des hommes de génie des savants, des généraux, des artistes,
orie des hommes de génie des savants, des généraux, des artistes, des hommes d’église, voire même des journalistes, des gens p
gens superficiels, des volontés fermes et des caractères faibles, des hommes de toutes races et de tous genres, mais surtout d
ibles, des hommes de toutes races et de tous genres, mais surtout des hommes qui ont eu du succès ; car en somme, pour Lombros
succès est la mesure du génie. À le croire, nous serions encombrés d’ hommes de génie ! Qu’est-ce que le crime ? Lombroso ne s
s simples, très populaire, à la portée de toutes les intelligences. L’ homme criminel est l’homme qui a été condamné par les t
aire, à la portée de toutes les intelligences. L’homme criminel est l’ homme qui a été condamné par les tribunaux. Cette défin
jections ne le troublent point. Dans la préface de la 4e édition de l’ Homme criminel, on trouve ceci : « L’on se demande com
quelques-unes au hasard dans le tas : « Dire qu’un alcoolique est un homme libre comme les autres, c’est dire qu’un linge im
queue une compensation de la supériorité intellectuelle acquise par l’ homme est déjà une idée d’un grotesque irrésistible. Ma
ance, au cours de l’évolution, à la dégénérescence qui frapperait les hommes à raison de la puissance de leur intellect, est u
leur délire une grande lucidité d’esprit et présentent avec certains hommes de génie quelques analogies d’allure ; donc le gé
ral et le criminel à l’épileptique, qui fait, en dernier ressort, des hommes de génie, de tous les criminels et d’une bonne pa
victorieuse de la chose dans l’expérience suivante : on suggère à un homme normal, placé dans l’état d’hypnose, qu’il est un
s entre les deux allures du sujet qu’il n’y en a entre la marche de l’ homme normal et celle du criminel (si l’on suppose exac
o) : ainsi l’écartement latéral droit étant en moyenne de 5,46 chez l’ homme sain et 7,4 chez le criminel, il est chez le suje
suggestion de 12,8 ; le pas gauche, qui mesure 63 centimètres chez l’ homme normal et 72 chez le criminel, est chez le sujet
i, reproduit in extenso, le paragraphe qu’il consacre à Villon dans l’ Homme criminel 14 : « Villon, poète et voleur, peignit
res théories, c’est incontestablement un mattoïde. Et ce passage de l’ Homme de génie 16 s’applique exactement à lui et à ses
t à ses œuvres : « … L’analogie que les mattoïdes présentent avec les hommes de génie, dont ils gardent seulement les phénomèn
énie, dont ils gardent seulement les phénomènes morbides, et avec les hommes sains, dont ils ont l’habileté et le sens pratiqu
lant surtout dans les sciences abstraites ou incertaines, grâce à des hommes non compétents ou étrangers au sujet qu’ils abord
e légion ! Le lecteur d’autrefois appartenait à une élite, c’était un homme instruit, sérieux, patient, lisant moins qu’on ne
ireux de se procurer ce vernis de savoir qui suffit à faire passer un homme pour érudit dans les salons. Les livres de ces « 
opinions qui courent les rues ? Ne sont-elles pas la propriété de « l’ homme moyen », de « l’homme normal », celui dont l’hori
es rues ? Ne sont-elles pas la propriété de « l’homme moyen », de « l’ homme normal », celui dont l’horizon intellectuel est b
remiers ; les génies sont des dégénérés, les médiocres sont les seuls hommes sains. Quelle joie le lecteur de journaux doit-il
déliée, il est capable de séduire, de convaincre, de subjuguer les «  hommes normaux » qui, selon les théories de Lombroso, ne
» qui, selon les théories de Lombroso, ne sont pas des plus malins. L’ homme normal en effet « n’est ni le lettré, ni l’érudit
. L’homme normal en effet « n’est ni le lettré, ni l’érudit : c’est l’ homme qui travaille et qui mange17 ». Il réfléchit peu,
ère : c’est un être inerte, conservateur par essence, misonéiste. « L’ homme , naturellement, éternellement conservateur, n’aur
ulager d’autres douleurs plus grandes, et de l’apparition de quelques hommes singuliers comme les fous de génie et les mattoïd
sont les vues de Lombroso sur la philosophie de l’histoire ! Ainsi l’ homme médiocre est proclamé le seul normal, le seul rai
e la vérité19 », ils le peuvent encore. Comment garantir contre eux l’ homme normal ? C’est ici que l’utilité pratique des thé
e. Car les martyrs sont vénérés, tandis que l’on rit des fous — et un homme ridicule n’est jamais dangereux20. » Observez co
aux petites maisons les gens qui dérangent la digestion paisible des hommes normaux. Aussi cette idée a-t-elle été accueillie
’exécutent en peu de mots. Quant à son succès chez les bourgeois, les hommes médiocres, les journalistes, il n’est inquiétant
a longtemps permis les doutes et même la négation. François était un homme simple. Le pape ayant acquiescé, il s’en allait,
rius. — « Tanto basta solamente la vostra parola », répondit-il. Quel homme charmant que M. Paul Sabatier de pouvoir se passi
ouleurs différentes. — Monte donc, divin Orphée, — cria Hippolyte à l’ homme qui levait la tête vers le sommet. — Monte, Orphé
ez des baisers ? — reprit-il avec un sourire calme.— Où sont donc vos hommes des bois, les Faunes agiles, les Satyres velus, l
en cercles autour d’Orphée, aucune n’avait omis de porter un coup à l’ homme étendu à terre, lui ouvrant d’autres plaies rouge
n des pleurs, les spectres de ceux qui semèrent la discorde parmi les hommes exhibent leurs atroces mutilations, leurs plaies
lendit la rose belle entre toutes dans laquelle le Verbe Divin se fit homme , est suggéré par de traditionnelles flammes, chaq
ses cheminées, tout lui est indifférent. Il s’appelle volontiers « l’ homme de l’Avenir », se croit une mission, dédaigne le
agère, mais d’une Marie dont la tendresse rêveuse repose le cœur de l’ homme . » Loin d’être les “mortes”, les villes anciennes
’État, etc., en un mot le véritable maître du grand-duché. C’était un homme intelligent, courtois, sceptique : il avait servi
portrait très ressemblant : » “Le comte Fossombroni, dit-il, est un homme âgé, mais non fini. Élevé à l’école des philosoph
agacité merveilleuse pour les affaires, une profonde connaissance des hommes et des choses, une main facile et douce dans l’ad
d’Amiens, émigré dès l’enfance, il avait adopté ce pays pour patrie. “ Homme d’esprit, mais d’un esprit superficiel et léger,
» Le ministre de Russie, M. Svertchkof, était un aimable et excellent homme , très agréable au grand-duc et aux Toscans. “Les
ise. Il y a, dans cette morale, un article observé par la plupart des hommes , qui leur défend de prononcer le nom de leur maît
lles et les dons physiques. Je constate, je ne discute pas ; chez les hommes et un peu aussi chez les femmes modernes, on appr
es distractions qu’on est toujours enclin à pardonner chez les grands hommes , un jour il débita un discours énorme aux électeu
veut que le Roi en devienne patron, bienfaiteur et parrain. Parmi les hommes qui constituent ces ministères dont l’incapacité
ssible », Natoire s’employait assidûment, Natoire, qui était un brave homme quoi qu’en ait pu dire Pydansat de Mayrobert, ce
mégères et la figure nue, s’échevèlent en des rondes lentes, que les hommes chantent, que les cordes des instruments s’énerve
tion soignée et de l’étude qu’on remarque dans la figure académique d’ homme peinte par le sieur Fragonard, cependant on crain
u fait jusqu’ici, je crois. Et ils seront guidés tous les deux par un homme qui partagera leur intimité, un homme d’infinimen
ont guidés tous les deux par un homme qui partagera leur intimité, un homme d’infiniment d’esprit, de sens artistique supérie
er ce que durent être les mois passés dans l’intimité parfaite de cet homme de qualité, aimable, bon et savant qu’était Saint
Palma, le Tintoret, les Bellini et le Giorgione, mais surtout avec l’ homme de la fresque des Carmélites, de Saint-Dominique,
empoisonné. Du haut de cette poésie, riche et puissante, il parle en homme libre, sans préoccupations de la pose, avec un se
’un talent indéniables, semble ne pouvoir se débarrasser de son âme d’ homme parlementaire ; sa Revue va gagner de cette maniè
ne pense pas à confier la direction littéraire de la Revue à quelque homme de lettres, en se réservant la direction politiqu
a direction du Marzocco pour entrer dans un journal politique. 4. L’ Homme de génie. Introduction à la 6e édition, p. xxiii
de l’italien, au risque d’écrire de très mauvais français. Je cite l’ Homme criminel de préférence à l’Homme de génie, le pre
de très mauvais français. Je cite l’Homme criminel de préférence à l’ Homme de génie, le premier de ces ouvrages passant géné
., I, xlvi, xlvii. 7. Ibidem, I, 21. 8. Ibidem, I, 617-18. 9. L’ Homme de génie. Édit. citée, p. xx. 10. L’Homme de gé
Ibidem, I, 617-18. 9. L’Homme de génie. Édit. citée, p. xx. 10. L’ Homme de génie. Éd. citée, p. 488. 11. L’Uomo delinqu
s erreurs et les omissions qui sautent aux yeux. 16. P. 491. 17. L’ Homme de génie, xxlv. 18. L’Uomo delinquente, I, 67.
delinquente, I, 67. 19. Ce singulier aveu est fait par Lombroso : l’ Homme de génie, p. 493. 20. Gli Anarchici, 2e édit.,
38. À gauche, dans le motif XXV se voit l’étonnante métamorphose d’un homme en serpent et du serpent en homme. 39. Ces ombre
voit l’étonnante métamorphose d’un homme en serpent et du serpent en homme . 39. Ces ombres sont disposées de manière à dess
el-Ange à la chapelle Sixtine. C’est un peintre nommé Stéphano Possi, homme de mérite, qui, après bien des représentations po
5 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
e, le Vin, Seigneur de l’Ivresse, donateur de Joie, avait conduit les hommes à danser leur grande lamentation sur le sort du d
mne. Chaque grain de raisin contenait une goutte de sang du Dieu. Les hommes en enflammaient leurs rêves, ils plaignaient le s
me, d’où l’ode tragique et la tragédie sont nées. Eschyle racheta les hommes de la servitude du vin. Son génie résuma à lui se
xer une telle impulsion de fureur de vie, que le sens orgiastique des hommes , fort de lui-même, se retrouva éloigné de la seig
se retrouva éloigné de la seigneurie animatrice du grand captif. Les hommes , angoissés du sort des hommes en lutte perpétuell
gneurie animatrice du grand captif. Les hommes, angoissés du sort des hommes en lutte perpétuelle contre toute la nature : enn
onc maudit, debout sur le sommet chauve où la suprême expression de l’ homme , Prométhée, le Titan humanisé, souffrait, lorsque
gé par la rage que son foie par le vautour. La Fatalité dominait. Les hommes surgissaient beaux sur l’ondoiement implacable de
ornes contre toute détresse et contre toute faiblesse. Mais Oreste, l’ homme , par la fatalité de son acte nécessaire, et Promé
éfièrent les dieux et l’impériosité occulte et suprême de la vie. Les hommes , éloignés de l’ivresse du dieu captif, s’éloignèr
La Diké mourait, vaincue non par la volonté, mais par la passion des hommes . La beauté héroïque des Sept contre Thèbes (la pl
malgré les hostilités souveraines des volontés extérieures, élevait l’ homme jusqu’au héros, comme l’exaltation de toutes ses
e, en un seul flambeau de désir et de puissance, l’avait créé dieu. L’ homme descendait de son piédestal. L’orgiasme dionysien
orgiasme dionysien et la terreur eschylienne devaient être oubliés. L’ homme refoulait à ses pieds ses vêtements impériaux et
La Passion avait tué la Justice et le Destin. Le Héros était devenu l’ homme . L’inconscience et l’impulsion, sources de satisf
e, et la fureur des Euménides domptées par la logique souveraine de l’ homme qui sait vouloir. Et le chœur prit chez Euripide
La décadence du théâtre remonte donc presque à son origine, lorsque l’ homme , qui luttait contre la Destinée, fut devenu l’hom
rigine, lorsque l’homme, qui luttait contre la Destinée, fut devenu l’ homme qui subit tous les chocs de ses sentiments, toute
diocres et les faiblesses emportées des génies. Les situations où les hommes étaient placés, les gestes qu’ils faisaient, n’at
cle. Elles les éloignaient du culte tragique presque religieux où les hommes se retrouvaient ensemble et mêlaient leurs âmes,
en plus tard, après l’avènement du Christ, le héros judaïque, que les hommes retrouvèrent l’esprit tragique, la véritable néce
tragique revint. Et ce nouvel esprit fut augmenté de la Volonté de l’ homme . Le Héros n’obéissait pas à la volonté du Destin,
grotesque κόρδαξ. En répondant à sa tâche, qui consiste à reposer les hommes par le rire, s’il ne reste pas stérile (car de to
eure impuissant devant la nécessité d’un essor héroïque de l’âme de l’ homme . L’esprit tragique fut représenté avec grâce, et
istorique, absurde et enfantin. En des temps plus proches de nous, un homme puissant, Goethe, réalisa une tragédie gigantesqu
imés, de ceux qui sont à la dernière marche de l’échelle animique des hommes , de ceux qui sont serviles et presque bestiaux, i
u’elle ait pu créer une religion, une philosophie et un art. Pour les hommes elle ne devait créer qu’une législation digne d’ê
ns ne fut souvent qu’une justification à priori de tous les actes des hommes , de toutes les résignations plates et de toutes l
it-motiv, dont l’enchevêtrement exprime la genèse et l’évolution de l’ homme et des actions humaines. Mais aujourd’hui, l’Inco
el et d’Annunzio n’existaient pas ; mais, surtout et en dehors de ces hommes , si l’évolution complexe de la Musique et de la r
igions et de la vie de l’âme. Il a créé Brand, merveilleux poème de l’ homme qui se reconnaît impuissant à réaliser un rêve pl
oïnes, Ibsen représente en général le contraste entre la volonté de l’ homme libre et l’esclavage des habitudes et des convent
voulu rendre simplement ces états d’âme synthétiques et rares, d’où l’ homme se lance résolument vers la joie et la vie ou ver
iésole, où le Poète a établi sa demeure. Avec d’Annunzio l’action des hommes ne paraît plus isolée dans la nature, et ne se dé
e avec tout l’orage de ses pompes rouges, est toujours extérieure aux hommes , mais elle encadre leur action d’une façon si par
the semble conserver son triomphe non pour une élévation suprême de l’ homme , mais pour une destruction. Le feu de la barque d
eaux millénaires ouverts par l’inlassable et sacrilège curiosité de l’ homme . Le Destin tragique revient s’appesantir sur les
l’ensemble d’harmonies ou de désharmonies qui constituent la vie d’un homme et d’un monde. Il faut que le dramaturge s’élance
e parlerai pas sans angoisse, car j’ai connu le sort misérable de cet homme doué cependant d’un fort et libre talent. Il a ét
encor ses deux mamelles flasques ; Déjà tu n’en peux plus d’y téter ! Homme vain, Rougis ! La mosaïque, en des flaques de vin
tardive eut le vol d’un remord Martelez-lui la bouche et les bras. L’ homme est mort Sans qu’elle ait de ses cris la Parque r
un professeur d’anthropologie, qui, dans une étude, présente le grand homme comme « un psychopathe par dégénérescence hérédit
rt, c’est plus encore dans ses dernières toiles comme les portraits d’ hommes du musée Brera qu’il faut le reconnaître. Lett
seraient engendrés par une multitude d’artistes, plus que par un seul homme de génie, l’Italie ne détourne jamais les yeux de
de la société telle qu’elle est, de « la vie telle qu’elle est, de l’ homme tel qu’il est », selon l’aspiration même de l’aut
descendant cet escalier délabré, je ressentis de ma visite à ce grand homme une impression tellement pénible — songeant à son
nces mondaines, je me disais mélancoliquement qu’à ce moment le grand homme achevait peut-être, dans l’isolement du réduit où
on à une liberté toujours plus grande et plus parfaite, au milieu des hommes , et au-delà même de la vie des hommes. Oméro, le
et plus parfaite, au milieu des hommes, et au-delà même de la vie des hommes . Oméro, le vieux vagabond, fort comme un Hercule,
ce humaine. Le frère de celle qu’il s’était pris à aimer avait tué un homme dans un magnifique duel, et s’était tué ensuite.
’unique dogme de l’honneur pour tous : « Ne sois jamais lâche ! si un homme te donne un soufflet, tue-le ! » avait ravagé une
on adversaire par la tempête des lagunes, son camarade avait crié à l’ homme qui devait mourir : Prends ton fusil, et vise ! E
ps, au-dessus de la tempête, dans l’orage et dans les ténèbres. Et un homme était tombé, foudroyé. Où allaient maintenant les
èrent à Rome, dans la volonté de vengeance d’une femme, la fille de l’ homme tué, qui ne pardonnait pas. Toute la vie se conce
s, même si l’on admet qu’elle était morte, il faut considérer que les hommes s’aperçoivent très souvent des transformations so
écu. Voilà qui rend le fait à ses origines mêmes, les caractères, les hommes , et c’est ce caractère des hommes de la dernière
origines mêmes, les caractères, les hommes, et c’est ce caractère des hommes de la dernière révolution romaine que M. Ferrero
erres aux seuls vétérans de Jules César, « c’est-à-dire à un nombre d’ hommes relativement restreint ». C’est ainsi que Lucius
r, l’inégalité se marquait d’autant plus, — mais caractère énergique, homme d’action de premier ordre, M. Ferrero nous le mon
egmatique, par là stoïcien, n’a pas le sentiment de la réalité. Ni un homme de génie, ni un sot, il est, somme toute, inférie
ondamentale des pays et des paysages, des cités, des campagnes et des hommes qu’il vit en lui-même, toujours. Cette unité nous
ant quelque service. Il faut donc connaître la passion dominante de l’ homme qui a le pouvoir, et souvent il nie cette passion
l’homme qui a le pouvoir, et souvent il nie cette passion, car il est homme , mais il est p… prêtre (Page 32). Que sera-ce d
eu le temps d’entrer (Page 198). Je trouve chez M. Bianchi les deux hommes les plus forts du royaume, le général Filangieri
u vingt têtes noires. Elle dit un mot à l’officier… (Page 245). Ces hommes illustres furent pendus al largo del Mercato. C’e
avec la liberté et tous les trésors du bonheur qu’elle verse sur les hommes … de bonheur qu’elle promet aux hommes. (Page 32
u bonheur qu’elle verse sur les hommes… de bonheur qu’elle promet aux hommes . (Page 320). Vous croyez que l’Italien est un h
t de peur… depuis un an… (Page 67). Voici Paris vu par un étranger, homme de plaisir, mais très fin. Malgré la malpropreté
es chambellans de la princesse Elisa, pour être dispensés de faire un homme . moyens employés par l’avarice des chambellans
as réellement existé ? Le Saint-Soleil redeviendra-t-il simplement un homme , un simple moine hérétique qui eut un certain tal
les œuvres. Il n’oubliera point aussi, je pense, le type moderne de l’ homme de science, le fils d’Ahriman, diraient les Perse
st la petite nature qui ne demande qu’à s’effacer pour la gloire de l’ homme auquel elle a voué sa vie. Le troisième personnag
ent, a accueilli dans sa maison pour le sauver de la misère. Le grand homme sent que pour créer il a besoin d’un amour autre
ousser jusqu’à cet état de rupture avec tous les rapports communs des hommes , qu’on appelle : folie. Pourtant cette remarque n
vérité » de tous les pays, pour que nous ne reconnaissions pas en cet homme un type humain que M. Bracco a pu représenter ave
bien connue : Défense de déposer… Près d’une peinture représentant un homme accroupi, on peut lire : Redoute le châtiment, c
être justes. Mais la belle construction de l’œuvre et sa science de l’ homme en font un tel écrivain que, dans cette excursion
l’ensemble de donner l’impression d’une chose très grande. Mais trois hommes l’un sur l’autre ne font pas un géant. Une série
e édition des plus soignées, M. Giacomo Lo Forte publie la Place de l’ Homme dans l’Univers, de Wallace. Le livre du grand sav
lui : il est, nous le savons, prompt à s’irriter contre le cicerone, homme ou livre, qui vient troubler ses sensations. Il p
n’était point un oisif, mais souvent fort occupé, et aux ordres d’un homme qui savait faire travailler ceux qui l’entouraien
i l’on se souvient que jamais Beyle ne fut aussi mondain, élégant, et homme à la mode, qu’à cette époque de sa vie, — qu’il m
-même. Ce demi-mépris pour le livre qu’il publie, ce détachement d’un homme supérieur à son œuvre, et qui presque en rougit,
madversion du frère de celle-ci. Au cours d’une altercation, les deux hommes en vinrent aux mains : Tullio Murri, au dernier d
plus une association, un système de comités secrets, un groupement d’ hommes désireux de soustraire leur pays aux dominations
ttaient sa vanité, mais dont elle discernait vaguement les profits. L’ homme qui la gouvernait avec une dictatoriale et quasi
bard ou du Vénétien habituellement préposé à la gestion financière, l’ homme des Calabres ou de la Sicile, qui y apportera ses
e comptant guère à Montecitorio ; et souvent une combinaison formée d’ hommes médiocres, sans passé et sans services, se mainti
enthousiastes qui soient au monde, — la grève générale d’un million d’ hommes en fait foi, — sont à coup sûr divisés pas des co
cosmopolite, la carrière gouvernementale ouverte par le monarque aux hommes intelligents et énergiques de tout l’empire, sans
où il déclare la confiance qu’il a en son génie et sa haine pour les hommes gouvernementaux qui ne semblent pas la partager,
l’être souverainement dédaigneux. Il ne tue pas et il ne vole pas un homme , car tuer ou voler un autre c’est le mettre au mê
ur est indifférent aux coups de la fortune adverse, à l’hostilité des hommes , à leur méchanceté, à leurs haines. C’est l’être
ut autre. Sa psychologie n’est pas indéniablement coloniale. C’est un homme fort, qui se butte contre tous les obstacles, qui
ment moderne. Il tue, parce qu’il a besoin de posséder ce qu’un autre homme possède, parce qu’il juge que son rêve vaut plus
rer de l’argent de la première victime, et aurait pu trouver un autre homme épris d’un autre rêve qui aurait agi de la sorte,
cela est très bestial. Les animaux s’entretuent pour leur pâture, les hommes aussi. Cela a été de toujours. C’est une des plus
6 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
erveux et saccadés d’Eschyle, peut éternellement émouvoir le cœur des hommes . Chez d’Annunzio, la Loi se précise, tyrannique,
nt es litanies. Il dépose la croix sur le seuil et ouvre la porte aux hommes ivres de vin, de soleil, de mauvaise envie et d’i
’Annunzio. Mais, dans la Gioconda, le charme de l’étrangère attire un homme hors du cercle domestique, hors de l’âme du foyer
’est pas une force contraire et active contre la force qui entraîne l’ homme vers la vie ou vers la mort. Elle n’a pas, comme
ons des individus et le milieu ambiant, la lutte entre la volonté des hommes et la volonté collective, l’impératif catégorique
Après avoir écrit des drames qui devaient souligner la victoire de l’ homme sur le destin, Gabriele d’Annunzio, avec la Fille
ancas 4 de son maître, un jeune cavalier du Marghine5. Félix était un homme dans les cinquante ans, petit, glabre et chauve.
la taille par une corde. Il avait l’air d’un moine. C’était un de ces hommes que la crainte de Dieu empêche de faire fortune.
it pour lui, chaque année, un événement très important. Il aperçut un homme à cheval. Zio Félix aussi l’aperçut, et, croyant
— C’est lui ? demanda Zio Félix. Il fit signe que oui. Alors le brave homme et l’enfant s’abandonnèrent à leur joie : ils sou
Antine rougit, devint pourpre. On aurait dit qu’il avait honte de cet homme à lunettes noires, en capote bleue, et de cet enf
né pendant tout le temps qu’ils mirent à traverser la tanca. Le brave homme parlait en souriant, et donnait une grande import
le vacher, un jeune homme pâle, bouffi, et le gardien des chevaux, un homme aux jambes arquées ; ils fêtèrent Antine comme un
, et, s’il me parle, je le laisserai chanter. Je le connais bien, cet homme -là ! Quand j’étais enfant, il m’envoyait chercher
e séminariste, Zio Pera se leva en secouant ses vêtements. C’était un homme grand, maigre, avec de longs cheveux gris, et un
tu voudras, et de faire du mal à tes ennemis. L’autre se taisait. — L’ homme toccato a libro, c’est-à-dire maudit au moyen des
en lui-même : il se sentait déclassé, triste, humilié ; il se sentait homme . La grande solitude mystérieuse de la tanca dans
au jour où Antine dirait sa première messe, et il lui semblait être l’ homme le plus content du monde. Il parlait avec les vac
ur te faire plaisir à toi. Je suis un cavalier, et toi qui es-tu ? Un homme qui se fait prêtre ! Bien qu’ivre, Antine rougit
e Zio Félix. Ah ! si ce n’avait pas été par crainte de Dieu, le brave homme aurait maudit le patron, pour la vie désordonnée
savoir, toi, comme on sent le besoin d’argent quand on n’en a pas. Un homme indépendant, d’une certaine condition, a toujours
veux-tu ? J’ai besoin d’argent : sans argent je ne peux pas vivre. Un homme sans argent, qu’est-ce que c’est ? C’est comme qu
qu’un qui aurait des souliers crevés : quand ce serait le plus galant homme du monde, tous le méprisent. Sais-tu combien j’ai
on pas son existence sotte et mesquine. Ah ! oui, ceux-là étaient des hommes  ! Et lui, lui, qu’est-ce qu’il pouvait être ? Un
à étaient des hommes ! Et lui, lui, qu’est-ce qu’il pouvait être ? Un homme sans argent, oui, un pauvre diable, un homme aux
qu’il pouvait être ? Un homme sans argent, oui, un pauvre diable, un homme aux souliers crevés. Ah ! oui, c’était cela, la v
 a dit cette personne, — c’est ici qu’elle doit avoir été faite, et l’ homme touché par le livre est prêt à donner deux cents
re ? — demanda le paysan, les yeux fixés sur le visage pâli du pauvre homme . — Relis bien, explique-moi bien tous les mots, j
e croyez pas que j’aille courir le monde. Je vais étudier, devenir un homme , et j’espère un jour vous récompenser de tout ce
n chien. — On n’enchaîne pas l’âme ! — répondit en pleurant le pauvre homme . Et peu à peu il reprit tout son bon sens, sa sim
eillard caressait sa chère espérance. Toutes les fois qu’il voyait un homme arriver du pays, il le regardait avidement, — peu
uil pour que Bellini entrât enfin réellement au Louvre. Le portrait d’ homme qui est mis au catalogue tous le nom de Giovanni
re un peu sec et du reste très différent de l’exécution du portrait d’ homme du musée de Douai que le même auteur attribue éga
que belle œuvre de ce merveilleux peintre, quelque vigoureux visage d’ homme comme celui du musée civique de Milan, qui soit d
ouvelles générations italiennes. Chaque jour décime cette catégorie d’ hommes d’un autre temps. Dans les discours d’occasion pr
dable volonté, cette vie pensive et glorieuse, dont Carducci, le seul homme représentatif de la troisième Italie, a jeté la s
e un tort fait à toute une nation le maintien au pouvoir didactique d’ hommes vénérables à tous points de vue : de l’âge, du la
et réduire la vision du monde à celle de la terre de la famille, de l’ homme qui raccompagne. Et le poème lumineux se clôt com
t terrible puissance. Pascoli, poète, est malheureusement doublé d’un homme bon, serviable, qui, par un excès de reconnaissan
olter à ses profondes désharmonies, et réparer d’elle-même ce que les hommes considèrent comme ses fautes. Et c’est justice.
aintenant elle trame des faisceaux de nerfs et tisse des rayons. Et l’ homme s’étonne des créatures qui fleurissent de lui dan
du poète d’ouvrir les fenêtres sur la nature et de se rapprocher des hommes . Ainsi, les porteurs du flambeau antique se trans
ment fixés vers le Futur : Ô Parménon, disait Ménandre, j’appelle un homme heureux et le plus heureux de tous, celui qui s’e
, cette compréhension des liens invisibles et puissants qui relient l’ homme aux autres hommes et aux mille choses familières
sion des liens invisibles et puissants qui relient l’homme aux autres hommes et aux mille choses familières ou infinies du mon
lic, c’est l’amoureux d’une amante qui n’existe qu’en songe, c’est un homme sans descendance. Les poètes ont donc escaladé la
n cœur est pénétré de douceur hellène. Et il est silencieux comme les hommes qui ont longtemps regardé la mer… Enfin ce qui sé
ongtemps regardé la mer… Enfin ce qui séduit, par-dessus tout, chez l’ homme et dans l’œuvre, c’est cette modestie quasi timid
au dieu Pan : Car seul des anciens dieux, seul de l’antique Olympe, Homme et bête, ô grand Pan, tu ne saurais mourir. Je vo
que de la raison et de la logique sont les qualités primordiales de l’ homme de théâtre. Et il était curieux de voir comment S
eur tragique qui, au xxe  siècle, se condamne à ne point regarder les hommes et les passions de son temps et prend pour modèle
e comme un éclat sur les êtres, les idées… les choses… la poésie de l’ homme dans la nature… la poésie de l’homme dans la soci
dées… les choses… la poésie de l’homme dans la nature… la poésie de l’ homme dans la société… la poésie de l’homme dans sa pro
dans la nature… la poésie de l’homme dans la société… la poésie de l’ homme dans sa propre pensée… Ainsi l’atmosphère du dram
, et toujours aimables révérences. Tant d’émoi panaché vous ahurit un homme , quand on n’en a pas l’habitude et qu’on n’est pa
vengeances du Destin. Angizia di Fura domine réellement sur tous les hommes de la maison par sa luxure et par ses artifices o
des flammes de luxure, de vice et d’envie, qui rongent le cœur de ces hommes . Par les rythmes vastes et sombres qui revêtent t
s caché des choses et des actes, la philosophie des événements et des hommes , pour les représenter en œuvres d’art. Ce tempéra
que nous retrouvons dans ce poème : Un fils des temps, où la vie d’un homme , depuis son enfance, se détache de l’ombre commun
feu. Le poème est le cycle d’une vie, vie devenue parfaite, dès que l’ homme sait suivre son âme dans ses angoisses, sait s’en
rès beau poème en prose, c’est le cri de détresse et d’espérance d’un homme qui aspire à se noyer dans les grandes harmonies
devant les cœurs d’outre-monts. L’Italie jeune en a frémi. Il est des hommes qui, dans certaines périodes de l’histoire esthét
ées, ils deviennent intangibles et sacrés. Le xixe  siècle a vu trois hommes disparaître ainsi, transfigurés par la légende qu
un idéal ; selon les lois inflexibles de son programme il poussa les hommes de sa race. Il fut trahi et méconnu, mais il mour
a de nombreuses, et très heureuses, qui, pour plusieurs groupements d’ hommes , devinrent et restent immuables comme des dogmes.
ement sur l’harmonie des aspirations et des possibilités. Il conçut l’ homme supérieur comme une force rayonnante et non comme
il et sa foi l’empêchaient de voir qu’autour de lui les choses et les hommes manquaient misérablement. Et si sa plus grande fa
te le tableau d’« un club de nobles, de dilettanti de la politique, d’ hommes d’affaires, d’avocats ambitieux, de lettrés, de p
us : c’est très curieux ce que M. Ferrero est arrivé à en faire : « l’ homme le plus étrange de l’histoire romaine », dit-il ;
son favori. Lucullus, cet aristocrate de vieille roche, ne fut pas un homme de révolution, et les procédés de sa conquête du
re des Gaules, ils furent, par rapports ce cours des choses, l’un « l’ homme fatal », l’autre l’événement fatidique. Pour mieu
n France divers airs notés, que Pope, dont il traduisit l’Essai sur l’ Homme , et que Dryden et Gray, dont il imita le Barde et
e l’âme ou de l’esprit nous donne de la répugnance ou du goût pour un homme ou pour un livre. Nous sommes vraiment de singuli
Dieu seul et le poète savent comment naît et se forme la pensée. Les hommes ne peuvent ouvrir ce fruit divin et y chercher l’
à cette nouvelle s’arrête. Muette, elle pense à la suprême heure de l’ homme du destin, et ne sait quand un pied mortel viendr
, Racine finit par l’emporter. Quand il composa son ode fameuse sur l’ Homme (septembre 1819), Lamartine ne connaissait pas en
ner, l’assouplir, mais non le détruire. L’oreille est une partie de l’ homme , et l’harmonie une des lois secrètes de l’esprit,
r Lamartine à Aymon de Virieu43. Quoiqu’il eût passé sous la férule d’ hommes qui mettent au-dessus de tous les principes et la
l semble n’être venu au monde que pour prêcher la paix et l’amour aux hommes . Son verbe, un des plus nobles, des plus purs, de
sent déjà couvert de gloire ! Comme il prétendait avoir l’étoffe d’un homme d’action, — et la suite montra qu’il se connaissa
mploi de ses facultés actives, car lui aussi se croyait l’étoffe d’un homme d’action. Le rôle d’intendant qu’on lui destinait
e le procès de la nature humaine, et les juges de profession sont des hommes comme les jurés d’élection. La cruauté de ceux-ci
définitivement relégué parmi les formes embryonnaires auxquelles les hommes s’essayent avant d’arriver à quelque formule sati
sque une histoire des civilisations vue à travers la littérature. Cet homme fut Francesco de Sanctis ; son nom, dit M. G. A. 
ouise Alcott. Ce livre a pris le titre italien Piccoli Uomini (Petits Hommes ), et par-ci par-là s’est étrangement habillé d’it
donc ? Un Avenir de science et de liberté croissante, un Avenir où l’ homme sera plus homme que jamais et, s’inquiétant seule
r de science et de liberté croissante, un Avenir où l’homme sera plus homme que jamais et, s’inquiétant seulement d’embellir
t dépositaire ? C’est soutenir un non-sens que de le prétendre, car l’ homme , au fond, n’a pas changé et il est appelé, aujour
phique et non dans son sens littéraire, la doctrine qui prétend que l’ homme , né bon, se suffit à lui-même et peut, dans les l
oit que la simple observation suffit à réfuter une telle doctrine ? L’ homme est imparfait et il a besoin de lutter sans cesse
a besoin de lutter sans cesse pour se rapprocher de la perfection ; l’ homme aspire à la possession de l’Absolu et, dans la me
aspire à la possession de l’Absolu et, dans la mesure même où il est homme , il ne peut se contenter du fini. La civilisation
re que les Français de cette situation économique : certains de leurs hommes d’État ne s’en montrèrent que plus acharnés, et i
quand, plus tard, il se persuadait que la France avait massé 100 000  hommes sur la frontière des Alpes. Avec un tel état d’es
ro, saint François d’Assise s’appelle (horreur !) Pietro Maironi. Cet homme pense que l’Église doit être sauvée par la puissa
s 1809 : « Je lis Pope et j’en suis on ne peut plus content. Voilà un homme à qui je voudrais ressembler, bon poète, bon phil
que le Vallon soit inspiré du Retour à la solitude, de Lebrun ; que l’ Homme , l’Immortalité, la Providence à l’homme, l’Ode au
a solitude, de Lebrun ; que l’Homme, l’Immortalité, la Providence à l’ homme , l’Ode aux Français, la Foi, Dieu, renferment des
ernardin de Saint-Pierre, à l’Incrédulité, de Soumet, à l’Essai sur l’ homme , de Pope, au Génie de l’homme, de Chênedollé, à q
Incrédulité, de Soumet, à l’Essai sur l’homme, de Pope, au Génie de l’ homme , de Chênedollé, à qui et à quoi encore ? que le L
en publier. La réputation de poète est la pire de toutes aux yeux des hommes qui possèdent ce monde matériel. » Et le même jo
7 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
s les espèces de l’instinct sexuel en amour, et regrette que chez les hommes , où l’instinct se rehausse de sentiment et d’inte
en ou moderne, aucune statue, aucun tableau ; c’était exclusivement l’ homme du livre. L’énorme tome des Adages avait été impr
t bravement à l’idée symétrique d’en faire le meilleur compagnon de l’ homme . Chamfort n’était pas de son avis. Cependant, M. 
M. Mantegazza n’est pas aveugle ; il a un penchant pour la femme, en homme de science qui en connaît toutes les faiblesses p
de féliciter hautement le Louvre et ses Amis de cette acquisition, L’ homme et l’œuvre sont considérables : il remplit sa vie
nature, il enferme la pensée mystique qui le guide dans le corps des hommes et des femmes qu’il a sous la main : la fille du
e fortement intéressé par celle de Sigismondo Pandolfo Malatesta. Cet homme de sang, qui restera comme le type le plus achevé
à troubler la solennité calme de la mort. Felice Cavallotti était un homme de parti, et tout un parti s’est dressé soudainem
enir compte. Du reste, dans ce cas, ceux qui se battaient étaient des hommes qui aimaient tour à tour à écrire, à discuter, à
es causes sans importance, des querelles sans conséquences entre deux hommes qui représentent deux partis opposés, qui ont cha
upules : même avec la plume, on ne se bat pas, on s’assomme ; dans un homme on écrase une faction, et le pêle-mêle des haines
être dans cet esprit de combativité poussé à la dernière exagération. Homme exubérant, passionné, redoutable, il pouvait insp
s ou une aversion invincible, parce qu’il n’oubliait jamais d’être un homme de parti, ni à la Chambre, ni dans ses œuvres lit
e de Jephté, La lune de miel, Sic vos non vobis, étaient l’œuvre d’un homme qui, en compensation à un excès de violence, s’ab
Cavallotti s’était attaché à la question morale avec la ténacité d’un homme qui a trouvé enfin son filon. D’une activité fiév
ement l’ancien pamphlétaire du Gazzettino Rosa. Il ne voulait que des hommes honnêtes, et il chérissait souvent d’honnêtes imb
e, quand elle s’en mêlera, le soin de rétablir les proportions de cet homme , maintenant grandi à l’excès par ses coreligionna
p insignifiant, et ils se seraient gardés de répondre aux ordres d’un homme que l’opinion publique désignait comme le ministr
e concluait de cette manière émouvante et sombre. Cavallotti était un homme qui aurait pu marcher libre et tout seul. Il voul
ent la populace de Rome ; qu’il y avait parmi eux des patriciens, des hommes de savoir et de jugement, lesquels ne devaient po
ne ne pensait à exploiter les sentiments directifs de ces deux grands hommes pour en établir une religion philosophique, impra
rêche l’avent des « lions qui rient », mais on ne comprendrait pas un homme d’État, un politicien, même un simple bourgeois,
impérieux. Mais, en le plaçant dans la vie ardente et mouvementée des hommes de lettres et des gens de théâtre, l’auteur se ga
la foi dont Attilio l’entoure, elle devient à son tour l’esclave de l’ homme conquis. Ils vivent, les deux amoureux, dans une
tiste un sujet inépuisable de tableaux délicats ; et Ercole Grabba, l’ homme blasé, l’écrivain célèbre dont l’amour sauvage po
Ercole et Saveria ; il y a des traits singulièrement vigoureux ; cet homme qui hait et qui aime, qui veut arracher l’enfant
par B. A. Butti, traduit de l’italien par M. Lécuyer. L’histoire d’un homme , sans plus. Ce n’est pas flatteur pour les hommes
yer. L’histoire d’un homme, sans plus. Ce n’est pas flatteur pour les hommes . Très bons premiers chapitres où l’on voit l’enfa
’on ne soumette jamais à leur appréciation les actes et les idées des hommes libres. On ne s’est guère indigné en France de la
bre 1898, p. 193-199 [194-196]. Je ne crois pas beaucoup au type de l’ homme criminel, imaginé par Lombroso ; cependant il y a
s yeux rouges et les mains noires, sont indignes de vivre. Il y a des hommes qui ne travaillent pas ; je crois qu’il y en a pe
ois qu’il y en a peu, car ne rien faire est encore peut-être, pour un homme , de tous les métiers le plus dur et le plus fasti
me, de tous les métiers le plus dur et le plus fastidieux. Il y a les hommes qui travaillent peu et volontairement ; mais au l
mme est absolument faite pour ne pas travailler et, contrairement à l’ homme , elle ne vit pleinement sa vie que si elle ne tra
au dernier Salon campé sur le cheval du Maréchal Prim, c’est un gros homme chauve, très noir et très grêlé, à la physionomie
on réfléchit à ce que représente de besoins un simple corps de 10.000  hommes , par exemple, en vivres, eau, vêtements, armes, m
ement condamnées comme « contraires à la bienséance ». Il faut donc l’ homme dont Paul V avait dit qu’il serait le Michel-Ange
s du Panthéon, la façade de Barberini, la sainte Thérèse de Comaro, l’ homme que quatre papes s’étaient légués, que s’étaient
ient auprès de lui le vieux François Mansart et Libéral Bruant ?… Cet homme -là n’était pas facilement déplaçable. Aussi, l’am
e un équipage de voyage ; il fait signe d’arrêter : d’une litière, un homme est descendu, d’une taille médiocre, maigre, au v
que ces deux gaillards causent, l’envoyé du roi, l’ami du Poussin, l’ homme de goût, et le « divin maître » qui vient de trav
des ordres de l’Architecture a procédé de la différence du corps de l’ homme et de la femme… ». C’est exquis. Le Bernin avait
8 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
ultat fut merveilleux. Ce public parisien de 1904 vibra comme un seul homme , transporté au point d’interrompre l’exécution pa
on aux halles, et cela signifie : de qualité médiocre. Il en est de l’ homme de France comme du gibier de France : le sol lui
e de la Blessed Damozel et le peintre préraphaélite a exercée sur des hommes aussi grands que lui sinon même plus grands : Mad
aient devaient se soumettre ; et pourtant, s’il fut indéniablement un homme de génie, son œuvre n’est pas ce qu’on aurait pu
sens pratique avisé que de cœur, plus d’entregent que de franchise. L’ homme , au fond, est peu sympathique et n’inspire pas co
de douter de l’entière sincérité du polémiste, et ce qu’on sait de l’ homme n’est pas pour en dissuader. L’épître dédicatoire
ent que ce cycle de confessions finit par démentir la légende que les hommes de lettres sont des poseurs. Je trouve qu’ils par
talienne. J’ai nommé Gabriele d’Annunzio et sa dernière tragédie. Cet homme qui prêche continuellement la religion de la joie
de Nietzsche qui prêchait la conquête des plus belles femmes par les hommes les plus forts, et qui, lui, vivait presque dans
plus rigoureux. C’est peut-être l’idée la plus courante, et tous les hommes tomberaient des nuages si on leur expliquait que
tas et incate, et il publie d’un coup un roman, Gli uomini rossi (Les Hommes rouges) et un recueil de nouvelles, Anna Perenna,
é surpassés et presque absorbés par les socialistes. En province, les hommes rouges peuvent encore s’illusionner d’être quelqu
portent de leurs voyages assez de l’aspect des choses et de l’âme des hommes pour nous aider à notre tour à les expliquer et l
uver le fond, c’est bon tout de même, mais il y en a trop peu. » Et l’ homme déjà cherche ailleurs l’ivresse qui n’est pas dan
t de la jouissance limitée leur apparaît, quand les sens sont las ; l’ homme songe que toute sa jeunesse « barbare et forte »
z Maupassant dès ses premiers vers (Au bord de l’Eau) : l’amour tue l’ homme , parce qu’on ne peut pas le limiter, et que les f
ée du suicide naît, se précise et s’impose : épuisé de jouissances, l’ homme s’anéantit dans l’oubli souverain. Pour rendre l’
tient aussi une grande place dans la vie et l’œuvre de d’Annunzio : l’ homme qu’une passion insatiable torture va chercher au
des flots. L’isolement entre le ciel et l’eau, loin des villes et des hommes , l’illusion de se détacher de tout, d’oublier tou
comiques ou tragiques pouvait créer cette vie nomade qui soustrait l’ homme à toutes les contraintes habituelles de la vie ci
ouve en présence du quatrième mari de sa femme. La rencontre des deux hommes toute simple, vaut la peine d’être citée : G. 
poisson, il buvait une gorgée de vin. — Comment vous appelez-vous ? L’ homme , interrogé, releva la tête de son assiette et rép
scarais navigue entre la côte italienne et la côte dalmate ; l’un des hommes d’équipage s’aperçoit qu’il porte au cou une plai
procédés servent à peindre l’horreur spéciale de cette situation : l’ homme gravement malade en mer, privé de tout soin intel
prédilection : c’est l’espèce de timidité qui souvent fait reculer l’ homme devant la satisfaction d’un instinct qu’il n’ose
ir qui fait tout l’intérêt du récit, la promenade en tête à tête de l’ homme timide et de la femme, plus clairvoyante, plus dé
la coquetterie provocante de la femme et la timidité maladroite de l’ homme sont identiques, dans les deux nouvelles ; chez d
it son fils, quand l’envie de le revoir la torturait plus âprement. L’ homme , prétextant des raisons de prudence, la nécessité
ot plus spirituel que juste : « En littérature, quand on dépouille un homme , il faut avoir soin de l’assassiner. » Litté
i mène cette misérable existence de prince pauvre et dépendant est un homme fin, délicat, instruit, capable d’enthousiasme ;
Il n’est rien pire que l’eau qui dort. » C’est bien là le visage de l’ homme qui, aux coups les plus poignants, aux atteintes
« plus qu’il n’en fait de démonstrations ». Les impressions d’un tel homme doivent être aussi profondes que peu manifestées.
vaste orgueil rentré sous toute cette pâleur ; visage de maître et d’ homme supérieur, certes, mais sans le mouvement et l’ai
opre destinée psychologique. Ces conditions étant données, ajoutez un homme chevaleresque, mais léger et assez ingrat comme F
r là nos idées modernes et comprendre, à la suite de l’historien, les hommes et les choses de ce temps. Cependant, l’on pense
us entourent et, certes, en pensant à mes enfants et ainsi à tous les hommes , je déclare que ce n’est pas par le Prix de Rome
doué de vraie sensibilité de s’en préserver à jamais… « Rome, pour l’ homme préparé à la comprendre, est une jouissance de ré
de communion avec eux ? Le poids n’est-il pas lourd, aussi, pour des hommes jeunes, d’un privilège qui les sépare de leur gén
d’un privilège qui les sépare de leur génération et de l’ensemble des hommes dispersés dans la lutte confuse, mais fraternelle
sur l’étendue des facultés humaines. Nous savons par lui ce dont les hommes sont capables. Mais aussi nous apprenons à quels
es)… Que l’on compare cette forme d’apprentissage et d’éducation de l’ homme et de l’artiste à ce qui existe de nos jours : le
es talents les plus étincelants, un des esprits les plus vifs, un des hommes les plus sympathiques de la jeune Italie, a suivi
race, observée dans les représentations symptomatiques de ses grands hommes contemporains. Je ne puis la donner ici. Depuis l
neux. Pour M. de Bosis, il est le principe même de son amour pour les hommes , pour la nature, pour toute la vie. Cet amour le
es normes éternelles de la Beauté, étudiée dans les chefs-d’œuvre des hommes et surprise dans l’émotion personnelle devant la
d’aucun mal, il ne fait à la vie aucun reproche. Tous les maux de l’«  homme crépusculaire », l’homme qui meurt à sa religion
la vie aucun reproche. Tous les maux de l’« homme crépusculaire », l’ homme qui meurt à sa religion et à son culte et ne voit
tain, à la lutte sans merci, aux vicissitudes disparues de la vie des hommes . Toute sa lyrique est faite de tristesse, de dout
e de son temps. Il parle à des convalescents, c’est-à-dire à tous les hommes , et les accuse de se laisser courber sous le faix
mme un essaim à travers l’écheveau des fils qui portent la pensée des hommes … » La vision de notre activité collective, généra
ante la nouvelle géorgique, l’hymne à la mer, l’hymne à la force de l’ homme , l’hymne à l’amour des hommes, et sur une généreu
’hymne à la mer, l’hymne à la force de l’homme, l’hymne à l’amour des hommes , et sur une généreuse invocation à l’absurde de l
ù maints aspects de l’âme contemporaine sont noblement résumés par un homme et exaltés par un Poète. 1. Vidal de La Bla
9 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
sentants de l’humanité, les Héros, dans le sens de Carlyle, comme des Hommes représentatifs, dans le sens d’Emerson. L’évocati
es de notre temps permettent à M. Alfredo Baccelli de créer un type d’ homme moderne, dont les racines très anciennes, d’une v
rs, à ses études et à ses détracteurs, mais il est surtout celui d’un homme qui veut se réaliser dans la plénitude des forces
en lui puissamment, et que son temps et son milieu lui réclament. Cet homme est devant l’humanité avec une arme puissante, pr
regards du point terminus de ses aspirations. Umberto Savelli est un homme de science. Il est un de ces héros modernes, qui
s qu’il faut arrêter d’un geste, ce qui forme le suprême orgueil de l’ homme en lutte avec la perpétuelle hostilité de la natu
développé selon la norme parfaite de sa logique ternaire, préparent l’ homme de science, et le montrent tout aguerri pour sa r
savant, sa lutte âpre et son triomphe composent les trois étapes d’un homme qui sait vouloir, qui sait surtout se donner. Et
sait vouloir, qui sait surtout se donner. Et lorsque l’hostilité des hommes frappe contre sa poitrine et s’y acharne, il a as
l’amant d’un amour farouche et malheureux, est dans tout son éclat l’ homme de science victorieux. Il a atteint le But. De M.
e de science victorieux. Il a atteint le But. De M. Alfredo Baccelli, homme politique et poète, que le public français connaî
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
it que Casanova relève sèchement ou brusquement, les erreurs du grand homme  : ainsi Voltaire ayant dit que, malgré l’intérêt
s inférieur au véritable Poème épique. Il en est des écrits comme des hommes . Les caractères sérieux sont les plus estimés, et
cité qui lui était naturelle et toute la justesse du génie d’un grand homme . Il aurait été injuste de s’attendre à quelque ch
l’Italie de sa juste admiration. — Et moi, Monsieur, reprit le grand homme , j’informerai toute l’Europe de la réparation que
orgueil qu’il fait, plusieurs années après sa visite aux Délices : L’ homme qui a fait l’éloge le plus beau et le plus vrai d
que je lui ai dit ce que je consigne ici, ou à peu près, et le grand homme me crut. Il eut peur et fit bien. Toutes les im
nt ce qu’il en pensait. Je me contentai de lui dire que si ces grands hommes ne méritaient pas l’estime de tous ceux qui les é
anchise que de bienveillance : « M. de Voltaire, avait-il dit, est un homme qui mérite d’être connu, quoique, malgré les lois
il aimait pourtant peu : « Il faut se mettre à genoux devant ce grand homme , déclare-t-il avec emphase. — Je le pense comme v
en tout. Cette réflexion seule aurait dû m’imposer silence ; mais un homme en colère croit toujours avoir raison. La postéri
i envoyer son jugement sur Voltaire aussitôt qu’il aurait vu le grand homme  ; Casanova tint sa promesse et nous voudrions bie
qu’il escomptait le prochain départ de son hôte : « Il plut au grand homme d’être ce jour-là frondeur, railleur, goguenard e
ue bon poète. Si on le partageait en deux et que je visse d’un côté l’ homme que j’ai lu, et de l’autre celui que j’entends, j
la réception qu’on leur réserva observent l’air « renfermé » du grand homme . D’autres n’eurent pas la faveur d’être reçus ; t
t en éveil, — conquérir, à force d’esprit, de gaieté et de malice, un homme qui souffrait et s’ennuyait. C’est ainsi que s’y
lic les a mal comprises, car M. Enrico Corradini, polémiste ardent et homme d’idées, rêve d’une organisation politique nation
l’humanitarisme de la rue sur les autels consacrés à la sainteté de l’ homme en blouse et en casquette. M. Enrico Corradini es
e féministe. Son « héroïne » s’aperçoit de l’abîme qui la sépare de l’ homme qui l’avait épousée, et s’en éloigne, en lui lais
11 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
il y a des Moliéristes qui enregistrent tout ce qui a trait au grand homme . Il y a des déceptions, des discussions, on affir
e comme exemplaire unique (c’est une erreur, j’en connais six) par un homme d’un grand mérite, M. Charles Henry, qui a été un
vous en adresse devant vous, pour si peu que je sois juge, en humble homme du métier, les compliments les plus sincères et v
 ! Le plus grand accident a été qu’on vous a mis entre les mains d’un homme pour vous nettoyer et vous présenter dans le mond
eaux et l’a remplacé par un autre de son goût. Il avait son goût, cet homme , il vous aurait, paraît-il, parfois présenté sous
isage avec un mouchoir de la demi-douzaine y jointe, car vous êtes un homme délicat, même en prison, et vous aviez un rude ba
ntre cette audacieuse fantaisie que vous avez eue quand, depuis que l’ homme est sorti des cavernes, il a eu, sans avoir besoi
sse, je vous cède l’échelle. Vous me laisserez bien la péripétie de l’ homme suspendu sur ses coudes au bord de la gouttière e
ment sur le devant de sa voiture en habit rouge galonné d’or, c’est l’ homme à l’éperon d’or porté en sautoir avec un large ru
l’homme à l’éperon d’or porté en sautoir avec un large ruban, c’est l’ homme qui, prétend-il, allant se suicider pour une p…,
s à celle que je ne puis refuser à de grands noms, savants, artistes, hommes d’état dont les bronzes décorent nos places, les
e tant de leçons pour conduire la mienne, j’étais si peiné de voir un homme tel que vous, mes types préférés si rares, les en
ématicien, l’écrivain, le philosophe, le lettré, l’érudit, j’aimais l’ homme , et Henri Roujon a bien deviné le lien qui nous u
ative ; ce trait de génie inspiré par ce qu’il y a de meilleur dans l’ homme , la tendresse et la reconnaissance pour ceux qui
en vous, c’est cette résolution d’emmener avec vous et quand même cet homme , que vous saviez ne pouvoir être pour vous qu’un
. Que ceux qui vous méprisent avouent que vous avez été ce jour-là un homme de grand cœur. Les Noces folles. Première part
partie de l’humanité. Je respirais dans un autre monde, au-dessus des hommes , pareil à un dieu, dans un astre où tout était ra
les choses de l’univers, ma Psyché existait ; que le reste, tous les hommes , toute la vie, s’était écarté autant de mon espri
serrure. Je n’en eus pas le temps. Déjà la porte s’était ouverte. Un homme en costume de soirée, tenant une lampe de la main
de l’outrager gravement, il était clair que ce n’était qu’un jeu… Cet homme ne pouvait que me haïr et désirer ma mort. Quand
me la vanter, tout en pensant à elle. Son père, un si parfait galant homme , un si aimable seigneur, non ! il ne l’avait pas
ce sujet. J’étais rassuré sur elle. Et pour ce qui me regardait, cet homme du monde au léger sourire, aux propos d’une si fi
peu que je l’avais vu m’avait persuadé qu’il y avait du goût chez cet homme -là, et qu’il remarquerait aussitôt la moindre err
ommença le marquis. Je le regardais. J’avais peine à imaginer que cet homme , qui me disait des paroles si obligeantes, était
is sur Naples ; il m’écoutait dans l’attitude aisée et courtoise d’un homme du monde. Peu à peu, une grande gêne m’avait pris
donc, jouant mon rôle de mon mieux, et avec, comme lui, un sourire d’ homme du monde sur les lèvres, et en remerciant de l’ho
Alors, que signifiait cela ?… Et n’avais-je pas tout à craindre d’un homme qui savait si parfaitement dissimuler ?… Comment
u mieux. Le marquis a raison, il a choisi le meilleur parti, c’est un homme sage. S’il eût été plus beau qu’il me tuât, il es
que par ma mère. Il prit la chose mieux que je n’osais l’espérer. Cet homme était décidément incompréhensible. Était-il vrai
core, après des années, je ne suis guère plus avancé à son sujet. Cet homme -là m’est resté une énigme. Enfin, ni l’aveu de ma
ttres polonaises. Kazimierz Chledowski : Rzym — Ludzie baroku (Rome —  Homme du barocco), H. Altenberg Michel Mutermilch. T
de la Renaissance italienne. Après Sienne, la Cour à Ferrare, Rome —  Hommes de la Renaissance, dont j’ai déjà rendu compte, i
rendu compte, il nous donne aujourd’hui un nouvel ouvrage : Rome : —  Hommes du Barocco. C’est encore un travail d’un amoureux
lui-même que la vie, l’atmosphère ambiante où naît une œuvre d’art, l’ homme qui la crée. L’auteur nous donne un tableau très
ines idées ou institutions, il n’a pour les défauts et les péchés des hommes qu’un sourire indulgent de philosophe. Les ouvrag
sous la haine, Et Florence restait son incessant désir : Mais de tels hommes n’ont, ici-bas, qu’à souffrir, En promenant parto
re des œuvres scientifiques elles sont essentiellement fonctions de l’ homme qui les crée. Alors que l’importance même d’une d
ces anciennes, après avoir chanté la gloire du mécanisme qui enlève l’ homme matériellement et moralement au-dessus de ses mis
évadent en montant plus haut. Plus haut : c’est Dieu. Or l’idée qu’un homme se peut faire de Dieu n’est que la projection ext
course au martyre de l’illuminé Sébastien ne sont que l’histoire d’un homme qui cherche à sortir du cadre étroit des limites
rières conventionnelles et des régimes différents qui empêchaient les hommes de mentalités analogues de se rapprocher, et parf
dée exigeaient, pour être un peu libres, une valeur assez grande de l’ homme qui les soutenait pour que cet homme fût relative
es, une valeur assez grande de l’homme qui les soutenait pour que cet homme fût relativement affranchi des contingences et de
ait entre les deux côtés des montagnes, à toute la masse du peuple. L’ homme qui pense risque donc infailliblement un conflit
condition nécessaire à la libre manifestation du génie chez les deux hommes qui nous occupent. Il leur fallait cette concepti
la fois d’un crépuscule et d’une aurore ; tous deux sont comme cet «  homme dont la maison tombe en ruines ; il l’a démolie p
r à Faust les satisfactions de sa présence, mais Euphorion — ombre et homme  — sent le besoin de jouir des facultés de lévitat
’un comme l’autre au seuil de mystères plus voisins des dieux que des hommes . Goethe à 38 ans s’était échappé de la cour grand
ue, à l’époque des Grecs ou de la Renaissance, « Goethe aurait aimé l’ homme et la femme sensuellement et également ». C’est c
t de la critique, qui est la manifestation suprême de la liberté de l’ homme . Les Romans. Henri de Régnier : Images vénitie
achantes du xvie  siècle…, les plus mal connues » aussi. Il demeure l’ homme des postures, non pas à cause de ses sonnets, « m
rangers. L’Arétin plaisante et rit souvent à gorge déployée. Il est l’ homme le plus libre du monde, il ne craint personne. Il
connus est celui de Périclès. D’ailleurs, on ne représente alors les hommes que sous leur angle de beauté, si l’on peut ainsi
conventionnel ainsi que celui d’Homère, — figuré sous les traits d’un homme vénérable, avec une longue barbe et des yeux clos
face tourmentée d’ambition ; Auguste, avec l’expression ambiguë de l’ homme qui a réussi ; puis, c’est le masque tourmenté de
peintre de la fresque et le portraitiste. Le premier ne considère les hommes que dans le plus vaste mouvement des faits comple
re. » Il veut donc faire jaillir de son cerveau la figure totale d’un homme illustre ou d’un homme obscur, par l’harmonisatio
e jaillir de son cerveau la figure totale d’un homme illustre ou d’un homme obscur, par l’harmonisation toute particulière de
tout entier résume et révèle les lignes physiques et psychiques d’un homme , comme un visage ; tout le livre est un visage ex
in des plaies, qui se trouvait à côté de lui avec d’autres intimes. L’ homme de l’art chercha la jointure de l’os, et l’indiqu
s l’esprit de l’écrivain, le premier d’une série consacrée aux Vies d’ hommes illustres et d’hommes obscurs, pourquoi porte-t-i
in, le premier d’une série consacrée aux Vies d’hommes illustres et d’ hommes obscurs, pourquoi porte-t-il une date si récente 
sique » est dans l’imitation des formes abandonnées par l’esprit de l’ homme  ? Pourquoi a-t-il poursuivi un tel grand travail
effigie laurée d’or pourrait servir à désigner tout autre maître des hommes , guide politique ou chef militaire : volonté de J
ce caractère au type abstrait du maître entier, du chef essentiel, l’ homme et non l’homme qui s’appelle Callias (modèle qui
u type abstrait du maître entier, du chef essentiel, l’homme et non l’ homme qui s’appelle Callias (modèle qui n’a pas été inv
e Dante avec des mains fermes et pleines d’amour, pour nous montrer l’ homme médiéval, passionné et superbe, esclave et roi de
nfaiteurs, les Esprits demi-dieux… Le plus fier et le plus noble des hommes de parti actuels vient de le prononcer sur le seu
ir ce que de supérieurement beau et rare enrichit le caractère de cet homme prestigieux, qui fut appelé le premier des hommes
le caractère de cet homme prestigieux, qui fut appelé le premier des hommes modernes, et qui n’eut d’autre rêve que d’errer,
nd, comme on aurait dû s’y attendre, un pays réel. Mais à côté de ces hommes de chair et d’os, voici, en d’autres épisodes de
terriblement inquiétante : d’un coup de sa baguette, elle change les hommes en pourceaux ; elle a d’ailleurs peuplé les abord
n berger rentrant interpelle un berger sortant qui entend sa voix (un homme vigilant gagnerait leurs deux salaires à faire pa
sur une hauteur bien découverte ; de là je n’aperçois, ni travaux des hommes , ni travaux des bœufs. J’envoie alors deux compag
appelle en hâte son époux, qui était à l’agora. Saisissant un de mes hommes , Antiphatès le dévore. Puis il pousse un cri à tr
aistrygons accourent, de ci de là, innombrables ; non avec l’aspect d’ hommes , mais de géants. De la côte, ils lancent des roch
urtrières, et aussitôt parmi les vaisseaux c’est un affreux tumulte d’ hommes mourants et de nefs fracassées. Puis, perçant mes
rins regardent les habitants comme apparentés à des géants mangeurs d’ hommes  ; 13° Reste à trouver le sens des premières ligne
Aujourd’hui encore, de son sommet on découvrirait peu de travaux des hommes , peu de travaux des bœufs : des maquis, des pâtur
s de ces sépultures étaient associés aux Orci, monstres dévorateurs d’ hommes qui avaient construit les nuraghes. C’est là une
n’est pas en face d’un monument élevé, au moins en partie, de mains d’ homme . Évidemment c’est l’aspect de cette roche qui a s
à aussi, comme les prisonniers de la Magicienne, ont cessé d’être des hommes  ! III. Le Pays des Morts A) Les données
après. 1° Parlons d’abord des Cimmériens. Ce sont, dit le texte, des hommes enveloppés de ténèbres et de brumes : jamais le s
plus m’en aller, Figline ! Ton pèlerin arrive à cet âge sévère, Où l’ homme sent qu’il a sa meilleure œuvre à faire. Il lui f
ndiront, triomphants. Reproduisant mon geste, et respirant mon âme, L’ homme sera plus doux pour l’inquiète femme. Les mères m
yeux comme un oiseau. Je serai plus léger du fardeau que j’enlève Aux hommes , travaillés par leur orageux rêve. Je leur dirai 
stinés au mariage naturel ou légal. C’est là une religion d’auteur, d’ homme bien portant… et cette jolie mode-là est de nos j
aussi sûr de la justesse du témoignage, d’un témoignage porté par un homme trop enclin à ne voir nulle part de sincérité. Il
rt opportunément M. Lucas-Dubreton, « Machiavel est tout bonnement un homme de son temps, c’est-à-dire un singulier mélange d
stinée sans merci. Stendhalise qui voudra ! Moi, je ne vois pas ici l’ homme fort. Que je remercie M. Jean Lucas-Dubreton de m
reste du temps cherche de quoi vivre. » Un point, c’est tout. Voilà l’ homme littéral, avec sa sécheresse. Ce même homme sans
oint, c’est tout. Voilà l’homme littéral, avec sa sécheresse. Ce même homme sans illusion, sans irradiation, demeure froid de
rète de Machiavel. Le tragique parfois atroce de ses maximes est d’un homme conscient des duretés de son destin, et ravagé pa
orgia. Borgia, c’est la maladie, le poison, le virus qui transforme l’ homme . De là ce Machiavel-Janus. » M. Lucas-Dubreton n’
égommés. » Ceci n’est pas beau, quoique poignant, quand on pense à l’ homme et quelle intelligence, quelle capacité c’était.
te préoccupation métaphysique », la légitimité du crime pour sauver l’ homme et ce qui pour Machiavel est la raison d’être de
our sauver l’homme et ce qui pour Machiavel est la raison d’être de l’ homme , l’État. De ce fait, il y a dans le livre « une p
ment choisi par M. Dubreton pour combiner, à l’intention de son grand homme , une fin, une péroraison, où s’ajoute, au chœur p
jeunes harmonies. C’était le Sacrifice auguste, et c’était nous, Les hommes , devenus plus ardents et plus doux, Puis je suis
te l’élite d’un pays. J’ai parlé ici de la mort de plusieurs « grands hommes  » de la troisième Italie, de ces nombreux tyrans
à Milano, et vous montrer, demain, le Musicien de l’Ambrosienne et l’ Homme à la Hallebarde ! Ils ont le temps !… Au lieu que
brasser l’autre, son voisin, l’Antonello da Messina, qui, lui, est un homme , un gaillard robuste et râblé… Mais ce gamin, ce
 Boccioni appelle l’Anti-gracieux ne puisse être construit que par un homme de talent, de science et de verve, et, comme je l
us trouver dans la grande salle faisant suite à son cabinet. C’est un homme encore jeune, de taille moyenne, bien prise, l’œi
mois à peine que la garnison de Ghat, composée d’un officier et de 76  hommes , est arrivée sur la côte. Après cent vingt jours
C’était pour lui l’exil. Beaucoup de ces administrateurs étaient des hommes honorables, épris d’idées modernes. Beaucoup d’au
ontaient les troupes d’occupation en Tripolitaine ? Cinq ou six mille  hommes , semble-t-il, d’après les données les plus précis
éagir contre l’état d’anarchie dont périssait sa province. C’était un homme d’un certain âge, de race albanaise, très énergiq
es pays, où la foi religieuse est à la base de la vie et accompagne l’ homme dans toute son existence pour répandre un peu de
es pays où la condition de la femme est plus misérable que celle de l’ homme , où, claustrée dans le harem des familles bourgeo
les deux premiers, Monsieur, il y a une différence. Racine peint les hommes tels qu’ils sont, Corneille tels qu’ils devraient
e profonde de l’Islam turc, de ses coutumes et de ses idées. C’est un homme jeune encore, d’une belle allure. « Nos Zaptiés,
 » Sur ces mots, nous nous sommes quittés et j’ai compris qu’avec des hommes aussi pleins de bonne volonté que le major Caprin
e bonne moralité et d’une bonne conduite. Il se compose d’environ 800  hommes . Il est commandé par un capitaine assisté d’un li
ère rêvée, à laquelle auparavant il n’eût jamais songé. En effet, des hommes qui gagnaient péniblement leur vie en effectuant
ination turque. Son rôle, il faut l’avouer, est assez borné. C’est un homme d’une grande ignorance, sachant à peine lire et é
réalisation de M. Luchaire est considérable. Sous la conduite de cet homme éminentissime, la revue France-Italie ne peut que
rique, d’une précision, d’une connaissance réaliste des choses et des hommes , tout à fait remarquables. Il est bien symptomati
lusieurs des survivants de la période cavourienne, des représentants, hommes et femmes, de tous les partis, des témoins qui m’
merveilleux : saint Thomas d’Aquin, théologien, philosophe et surtout homme d’Église ; et Dante Alighieri, poète, prophète et
c’est de se dire que la manière, totalement perdue en fait, dont des hommes ont vécu, elle est là, grâce à l’évocation scient
ressaillant, qu’à un éloignement colossal dans le temps il y a eu des hommes tout comme en ce moment, il y a eu des civilisati
ident et de protecteur, de bon oncle arrangeur d’affaires, plutôt bon homme qu’homme dangereux. Ceux donc qui s’imagineront r
de protecteur, de bon oncle arrangeur d’affaires, plutôt bon homme qu’ homme dangereux. Ceux donc qui s’imagineront retrouver
e pas trop. Il aime les roses, les couchers de soleil ensanglantés, l’ Homme qui marche de Rodin (dont la tête s’est d’ailleur
ercer son talent que des thèmes laissés en friche par ces deux grands hommes qui représentent le génie et la culture. Mais il
chez un de ses oncles, épicier à Montmartre. Giovanni Moroni était un homme d’une trentaine d’années, râblé, rieur et indécis
it entrer dans une pièce meublée de quelques chaises neuves ; puis un homme entra. Il était maigre, assez mal vêtu, ses yeux
je saisis les jupes de ma mère ; mais elle se jeta à genoux devant l’ homme qui menaçait et commandait. Je m’évanouis et ne r
nt : Ceci est un morceau de miroir dans lequel s’est miré Torlonia, l’ homme le plus riche de l’Italie. Et sachez que lorsqu’o
12 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
re et précise donne par surcroît tous les renseignements utiles sur l’ homme et sa carrière. Abel Letalle : Les Fresques de
eu d’une multitude, de l’épopée littéraire, sentie et exprimée par un homme seul, un poète. Il y a donc la manière pathétique
rait pas, mais qu’on comprendra. M. Pascoli a créé deux symboles : un homme et une ville, le roi Enzo, le malheureux fils du
ement à toutes les épopées, dont les événements semblent encercler un homme , le héros, et en l’encerclant le soulèvent au som
, plutôt que de races, partagent les quelques centaines de millions d’ hommes qui vivent du détroit de Gibraltar à l’Oural et a
paules. M. DESM. — La fin de Messine contée par Rosny… Quand donc les hommes comprendront-ils que les choses n’existent, que l
qui « achèvent les cadavres ». Il y a des malheurs si grands que les hommes n’arrivent pas à les comprendre, pas même à les s
. Auprès du port, non loin d’une laide baraque, attire la statue d’un homme nu, qui semble surgir de la mer, tant sa blancheu
tte belle mer d’azur ! § Visite médicale à bord. Deux ou trois piteux hommes de science, laids comme leur science elle-même, e
ors que, dans nos républiques démocratiques, la distance qui sépare l’ homme d’esprit de la brute est méconnue. Ce palais m’en
ù l’art et l’amour divin avaient pris toute la place dans le cœur des hommes . Aujourd’hui ces splendides leçons, ces exemples
fait un si beau cadre à ce port et à ces monts élevés, je me dis : l’ homme , si peu qu’il semble par lui-même, est vraiment u
est vraiment un être dont la présence prouve la grandeur de Dieu. Cet homme , si petit, si effacé du point d’où je le regarde,
ue je viens de faire quant au caractère de la couleur, du pays et des hommes , m’est encore confirmée par la cuisine italienne.
père ; ce dernier d’allure brutale et sanguine. Dans le costume de l’ homme , rien que de l’ouvrier, et une assez laide casque
our, ils se sont endormis et les voici dans un profond sommeil. Notre homme alors a tiré sa guitare, et, assis auprès de sa f
oins de sa bouche sont retroussés par des tics nerveux. Qu’a fait cet homme  ? Je l’ignore, et personne n’a pu me le dire. Il
nd des forces actives de l’époque et des époques qui se nouent dans l’ homme de génie, en rythment la conscience et s’exprimen
tratures et les remplissait à nouveau, y mettant seulement les noms d’ hommes favorables au parti triomphant. On donnait à pein
n’eût osé ambitionner le titre de prince) devait connaître à fond les hommes , savoir tous les moyens de se les attacher, user
ixante ans durant une souveraineté dont tous avaient conscience. Deux hommes l’accomplirent, Côme et Laurent de Médicis. Tous
nombre de ces palais avaient une loggia ouverte qui donnait abri aux hommes négociant les affaires et aux jeux des enfants, e
ne on attribuait une valeur ; on ne jugeait pas alors que la vie d’un homme ne compte pas par elle-même et qu’elle n’acquiert
toute la vie. À ce besoin satisfaisait une foule d’artisans-artistes, hommes de goût, et, dans les limites où s’exerçait leur
érait, outre la dextérité de la pensée, une profonde connaissance des hommes . À la fin du xve  siècle, les qualités ainsi assi
uvres capables d’accroître l’éclat et la réputation de leur race. Les hommes passaient le meilleur de leur temps hors de chez
ement prises par la maternité, elles ne partageaient point la vie des hommes et ne pouvaient comme eux développer en tous sens
ce, de jouir. On y sent partout la tension des énergies en lutte. Les hommes veulent la vie terrestre avec ses bonheurs et ses
y est substituée, celle du Panthéon, où l’humanité adorera ses grands hommes . Princes, artistes, lettrés, tous y envient une p
t pour la première fois. La nature commence à révéler ses secrets : l’ homme sent qu’il lui appartient, qu’il n’est point au m
e ne s’exprime point dans le langage des idées. Mais elle possède des hommes qui agissent et qui créent, des hommes qui vont d
s idées. Mais elle possède des hommes qui agissent et qui créent, des hommes qui vont droit comme la force qu’ils portent en e
. L’esprit scientifique commence à peine à se développer. Autour de l’ homme , le mystère demeure dense : une foule de phénomèn
qui rende mieux l’impression d’ensemble de l’époque. Il semble que l’ homme se réveille d’un long rêve pénible qui l’avait te
atin court à travers les feuillages ; tout est net, lumineux, réel. L’ homme est debout, les fantômes de la nuit se sont évano
marbres vivants qui faisaient naître en eux la vision d’un âge où des hommes vigoureux et bien faits développaient à l’air lib
quinze ans. Humble et insignifiant dans la vie de tous les jours, cet homme était, paraît-il, merveilleux de fierté et de nob
nne du prix aux pages écrites. Vous en jugerez d’après celle-ci : Un homme est né dans une certaine condition sociale et a r
jusqu’à un certain point, après lequel il s’est arrêté. Il y a peu d’ hommes qui puissent indéfiniment accroître leurs propres
s). […] Philosophie. Ricciotto Canudo : Le Livre de l’évolution, l’ Homme . Psychologie musicale des civilisations, E. Sanso
ps modernes apparaissent dans son ouvrage Le Livre de l’évolution : l’ Homme , comme autant de manifestations du génie humain a
la planète et en tirant des thèmes nouveaux. Par l’intermédiaire de l’ Homme , tous les éléments chaotiques de la nature, et qu
ntrer que cette conclusion ne soit encore très discutable : Ce que l’ homme fait quelquefois avec sa force morale est grandio
à une misère individuelle, est également touchante. Je trouve que les hommes devraient tenir un plus grand compte de cette pro
s la créature féminine, insouciante et légère, qui vit à ses côtés, l’ homme devrait honorer la reine en puissance, la consola
’est pourquoi la pire d’entre elles méritera toujours le respect de l’ homme , — ce respect que beaucoup de celles-ci tiennent
primée, — non qu’elles soient, les femmes, plus lâches que les lâches hommes , mais elles s’accommoderaient mal de l’uniforme e
, s’allie à l’observation des lois génératrices de la Beauté. Mais l’ homme aussi a créé des choses belles ; Ruskin les comme
e et la société moderne, il considère comme son devoir de ramener les hommes aux sentiers de jadis, vers une ère de vertus soc
er à un public moins restreint, parce que, tout en étant l’œuvre d’un homme qui est à la fois un philosophe, un littérateur e
a plus parfaite des idées, des sentiments et de la nature morale de l’ homme . Mais, étendre cette loi à toutes les formes de l
ciens ont soutenu que les femmes ont beaucoup plus de plaisir que les hommes  : l’homme a trois onces de plaisir et la femme ne
outenu que les femmes ont beaucoup plus de plaisir que les hommes : l’ homme a trois onces de plaisir et la femme neuf. Cepend
le est un instinct, et comme tel il se trouve départi diversement aux hommes . Chez l’un le désir est simplement naturel, chez
pêche la vertu raisonnable d’agir ; ainsi il cause souvent la mort. L’ homme , séparé du parfait bien, ne peut jouir de la vie,
presse italienne : Les Familiers du fastueux poète Abel Bonnard ou l’ Homme de peine de Charles Géniaux, émouvante épopée hér
on » pour remise à neuf de l’organisme. Nous voyons, au contraire, un homme de la valeur de Ferrero, parce qu’il fut imbu de
les maisons de commerce participent à la souscription nationale, les hommes de lettres n’auront-ils aucune initiative ? Ne ve
problèmes, plus pathétiques qu’une biographie de courtisane, voire d’ homme de lettres, de la renaissance de notre commerce,
Venise, mais d’entrer en contact à Milan, à Rome, à Trieste avec les hommes nouveaux de la plus grande Italie, qui doit être
le bien, le bien qui enveloppera le conscient et le subconscient de l’ homme , qui conciliera la raison et le sentiment et les
. En réalité, ces sortes d’ouvrages sont fort intéressants, lorsqu’un homme seul déclare ses préférences et développe son élo
avec beaucoup de douceur, ce sens primitif et pur de la nature et des hommes rudes de la campagne, qu’on retrouve dans tous le
sain lyrisme géorgique, et le vieillard peut achever ses conseils aux hommes , en leur disant avec un dédain antique : « Toi au
age que nous nous faisons actuellement de Rome est la création de ces hommes de génie qui nous apprirent à la connaître et à l
u. Il était nécessaire que ces champs désolés soient regardés par cet homme de génie pour être vivifiés : Je suis accablé, p
ille ! quels souvenirs ! Mais Chateaubriand a vu Rome avec une âme d’ homme du Nord : Rome ne s’est pas reflétée en lui, c’es
si son extase au concert des astres. L’Église le met au nombre de ces hommes rares qui, instruits par l’Esprit-Saint, eurent l
d’or et de porphyre, de Saint-Paul-hors-les Murs. Elle est bien d’un homme qui a profondément éprouvé ces austères douceurs
pour les reproduire et les montrer au monde les vertus du Sauveur des hommes  ; et qui, dédaignés du grand nombre, renonçant à
ux, promettait d’ailleurs la devise des Musset. « Smith n’était qu’un homme ordinaire, mais il était bon et dévoué ; ses qual
est qu’il sait, c’est qu’il est sûr ! parbleu, M. Doumic n’est pas un homme léger. Même pour faire sourire les jolies bouches
grand’mère, tante et maîtresse, — j’ai nommé George Sand : Certes l’ homme que tu as choisi ne peut avoir changé ta vie qu’e
gua au précepteur de ses enfants, à M. Boucoiran, « ce brave et digne homme de votre trempe » ? L’ombre de Pagello sourit fin
un romanesque, non un romantique. Mais sa psychologie est celle d’un homme sain et non d’un sot. Il est l’auteur notamment d
Barine, Francisque Sarcey et quelques autres, le stupide Pagello, — l’ homme du Clysterium donare, postea saignare, ensuita pu
à une œuvre d’imagination et de style, et qu’il avait fallu un habile homme pour mettre ses manuscrits en œuvre. Et M. Lacroi
ettre ses manuscrits en œuvre. Et M. Lacroix concluait : « Cet habile homme fut, nous en avons la certitude morale, Stendhal,
nier, à l’âge de soixante-deux ans, et la disparition soudaine de cet homme vigoureux a été une stupeur pour tout le monde. L
enton invincible chaude comme la bave de la mer qui te jeta entre les hommes . Elle l’appelle : « ô Concubine de l’imberbe » e
spiller mon temps et ma jeunesse. Il est vrai que le même jour notre homme écrivait au secrétaire du cardinal, Francesco Ghe
e Farnèse y va-t-il pour prendre ses grades en droit canon ? Et notre homme de rire : Avant que vous ayez terminé vos études
t plus las que la Philippine de sa grossesse. Et puisque voilà notre homme , de par cette transition inattendue, sur le chapi
aveurs que j’ai reçues en ces lieux de Madame de Mondragon, je suis l’ homme le plus heureux du monde. Je suis bien sûr qu’ave
ler dîner et après avoir entendu la messe aux Frères Prêcheurs, tous, hommes et femmes, s’en allèrent chez ; Madame Fortia72,
e tierce ? C’est une maladie tout à fait cardinalice qui assure à son homme une longue santé. Mais ménagez-vous, et, si vous
avez eu l’heureuse idée de céder la légation au cardinal de Bourbon, homme de sang royal et catholique. On dit que, grâce à
is, au fait, qui était-ce donc ce bon vivant incorrigible doublé d’un homme d’esprit, auquel allait si bien ce nom truculent,
ues préjugés) ne suffit pas pour devenir, à Mantoue comme à Paris, un homme heureux ou même simplement un grand personnage. P
’espace d’un matin, le temps d’une comparaison. Celui qui a dit que l’ homme était un ange déchu qui se souvenait des cieux au
ches voluptés, on veut opposer Pascoli, le poète des campagnes et des hommes puissants et simples, du soleil, des montagnes bl
ès complexe, où les aspects de la légende et de la réalité immédiate, hommes et choses, se confondent et se subliment, au mili
s blés superbes qui s’offrent à la moisson. La nature le reconnaît, l’ homme ne le voit pas, ne l’entend pas. Virgile écoute l
nale, où les gestes du moyen âge méditerranéen seront évoqués par les hommes et les faits les plus représentatifs de ce formid
l’hôtel, d’un geste flegmatique, las et tout à fait dans la note de l’ homme qui s’ennuie, il se gratta la tête, en relevant s
sale. La serviette dépliée sentait le rance. Bélisaire mangea, car l’ homme est fait de telle manière que d’avoir un couvert
e âme qui confiait à la solitude sa désespérance et son martyre. Quel homme de vingt ans eût entendu tout cela de sang-froid 
uvait la visiter que la nuit. Dans le jour, il « tuait le temps ». En homme ivre d’amour — et un peu fatigué aussi — il parco
sa grâce et sa noblesse, pouvait tenir tout entière dans la main d’un homme . Du fond de la vitrine, où elle avait passé bien
Signor. — Et pensez-vous qu’elle y tienne beaucoup, cette famille ? L’ homme eut un sourire dont l’expression énigmatique écha
ietole. — Ils demeurent ? — Mais au palazzo Barbabietole ! répondit l’ homme , ahuri de tant d’ignorance. Bélisaire regarda l’h
ant la force, et avec saint François, on l’a dit, « le Sauveur se fit homme pour la seconde fois » ; l’apostolat du « petit p
e peut plus s’agir de faire sa cour au pseudo-neveu couronné du grand Homme . Celui-là s’est écroulé aussi, et quelle chute !
encre n’est pas sèche que le déclenchement de cette masse de 120 000  hommes se produit : mise en branle à 2 h. du matin, le 1
anterie, mise en marche sans son ordre, n’avait que 10 cartouches par homme . * La conduite du Corps de d’Erlon, pendant la jo
octobre 1909, p. 541-545 [542]. Cette idée de la fatalité poussant l’ homme au malheur et au crime M. van Schendel l’a repris
laissera point de traces. Plus qu’éblouis par l’éclat de l’œuvre d’un homme de génie, les épigones ne sont souvent qu’étourdi
mari, pour se laisser étreindre dans l’étreinte fécondatrice, par un homme supérieur, un homme de sa même race métaphysique,
er étreindre dans l’étreinte fécondatrice, par un homme supérieur, un homme de sa même race métaphysique, celui que sa chair
ès avoir gaspillé le sien, et détermine la catastrophe le jour où cet homme révèle au père légal l’adultère. Et toutes les én
dans sa maison, et qui ne semble devoir servir qu’à l’amusement d’un homme enrichi, accueillera les tentatives meurtrières d
ent d’un homme enrichi, accueillera les tentatives meurtrières de cet homme contre l’amant qui fait des armes avec lui en ami
celli, Dans l’Ombre des Vaincus, est la brève et claire histoire d’un homme synthétique, représentant d’idées politiques avan
; assez tôt les lèvres désapprennent le sourire, quand la cruauté des hommes enfonce dans les cœurs ses griffes farouches et c
llards ont été nombreux à ce Congrès, ainsi qu’à toute réunion où des hommes d’opinions diverses, point poussés par le besoin
rte plus sur un point de doctrine, mais sur une opinion d’un groupe d’ hommes , n’ont pu enlever au Congrès de Rome son caractèr
effréné des orgueils et la plus décidée des attitudes de combat de l’ homme contre les hommes. Le caractère nouveau de notre
eils et la plus décidée des attitudes de combat de l’homme contre les hommes . Le caractère nouveau de notre romantisme, pensif
inaire : Le Divin Arétin, Bibliothèque des Curieux, Paris Quelques hommes , politiciens et littérateurs, s’efforcent à faire
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
un tournant de l’histoire cadence l’âme d’une race, ont fait de lui l’ homme synthétique et représentatif de l’état national q
n organisme national complexe, non encore parfaitement harmonisé, les hommes qui avaient fait la révolution italienne, les rud
État naissant ne peut demander qu’à la volonté et à l’initiative des hommes nouveaux les premiers principes de sa stabilité D
ilité Dans ce désordre, qui se révélait par les pires erreurs, si des hommes de talent régirent le sort du pays, ils furent en
. Un à un, il avait choisi dans l’histoire littéraire de l’Italie les hommes les plus typiques, les temps les plus significati
e l’âme occulte de toutes les créations, de toutes les conquêtes de l’ homme . On rappela à son propos les incomparables Litani
upations politiques semblent assoupies dans les douces angoisses de l’ homme qui oublie le rôle qu’il jouait devant les hommes
ouces angoisses de l’homme qui oublie le rôle qu’il jouait devant les hommes , et avec un étonnement tendrement lyrique se retr
Soit qu’au joug te courbant content, Tu secondes l’œuvre agile de l’ homme . Il t’exhorte et te pique, et toi, tu lui réponds
renouveau de toute son esthétique, rebelle enfin, par la volonté d’un homme seul, à toutes les cristallisations de l’école, à
ue régnait sans discipline dans les écoles. L’esprit des fameux Mille hommes , qui débarquèrent en Sicile avec Garibaldi, en 18
et il murmurait un chant lent saturnien) ; Fièvre, écoute-moi. Les hommes nouveaux chasse d’ici avec leurs choses mesquines
me. Leconte de Lisle, Vigny, Hugo, s’élancent vers les triomphes de l’ homme légendaire avec une hardiesse que la puissance n’
e. Il est entré dans une zone lumineuse de la vie d’une nation, où un homme est élevé aux sommets héroïques du pays, où il en
où il entre vivant dans le Walhall. On ne discute plus le talent de l’ homme , ni la somme de ses bienfaits répandus sur la col
Son génie devient un dogme, il faut l’admettre. On ne discute plus l’ homme ni son œuvre, car on n’a plus besoin de les admir
intérieurs, idées et sentiments, les pôles profonds, seront ces deux hommes représentatifs de toute la dernière volonté d’êtr
de l’hyposcène, et devint presque exclusivement, au moins jusqu’ici, homme de théâtre. L’action de réveil, le grand appel au
vitas philosophorum, centre du monde méditerranéen moderne. Déjà deux hommes très puissants, Carducci et Mistral, ces deux poè
s grand, l’espace de ses rêves, il peut évoquer, toujours autour d’un homme ou d’un couple, l’âme vigilante, sympathique ou h
14 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
de l’Europe, il se fera une grande lamentation pour la mort d’un seul homme mort en Orient.” Et encore : “Beaucoup vendront e
rédulité.  » Certes, il a la note réaliste, quand il (Vinci) dit : “L’ homme , comme l’animal, est un canal pour la nourriture,
lève au-dessus d’eux quand elle opère. La vertu est le vrai bien de l’ homme . “Comme une journée bien remplie nous prépare un
te porter, ensuite parce que tu sais abréger ou prolonger la vie des hommes .” M. Péladan conclut en ces termes ; « Richter
grand maître des beaux-arts, en concentrant sur eux son activité. Nul homme ne s’est pareillement dispersé, et c’est toujours
ne âme immortelle.  » En donnant les dessins et les opinions du grand homme sur les sciences occultes, je conclus que le titr
viennent de faire paraître pour le centenaire de la naissance de cet homme éminent. Angelo Brofferio, né le 6 décembre 1802
ntoure tout de suite, Edoarda se voue au culte de cet amour et de cet homme qui est loin, loin, et elle l’attend, car il a pr
evient en effet ; veuf, seul, repenti : et le choc immédiat entre cet homme réel, cet amour humain, et le fantôme et l’idylle
qui est devant elle n’a rien de commun avec son rêve ; elle a aimé un homme qui n’existait pas, et aujourd’hui elle le repous
est à Rome, tandis que son cerveau vit à Paris, et il voit tout, les hommes , les passions et la société, selon le dernier mot
qu’il n’y a plus rien à faire, la femme de Maurice Clarena revient. L’ homme , fou de douleur pour la perte de son enfant, avec
chien pour son maître. Ce n’est pas déraisonnable. Le dévouement des hommes à une idée ou à un homme, à une vérité ou à un se
n’est pas déraisonnable. Le dévouement des hommes à une idée ou à un homme , à une vérité ou à un sentiment, c’est toujours r
ait légué d’illustres exemples, et d’abord celui de Galilée. Mais les hommes grossiers qui imitaient l’Église la dépassèrent d
nébreuse et monotone, l’aspiration perpétuelle et pourtant vaine de l’ homme à expliquer le suprême problème des philosophies,
e composition et merveilleuse opposition des tons noirs et blancs. Un homme minuscule traîne derrière lui, d’une main vigoure
lon Redon, d’un symbolisme qui, pour exprimer la profonde misère de l’ homme et son avide aspiration vers l’idéal, a recours a
da se et n’a rien d’infamant pour la mémoire du poète. D’ailleurs, l’ homme qui a jeté le cri douloureux : Ahi serva Italia,
drame passionnel dans un milieu littéraire. Ses personnages sont des hommes de lettres italiens bien connus ; trop connus, mê
ques ont éclaté. Un auteur a-t-il le droit de porter sur la scène des hommes en vue ? Un acteur peut-il se déguiser parfaiteme
côté, je voudrais lui dire que cela n’arrive jamais dans le monde : l’ homme qui se contente d’un seul baiser est indigne de d
près le scandale Butti, nous avons eu le scandale d’Annunzio, car les hommes n’ont pas encore appris que le seul moyen de tuer
t assassiné ; il connut la misère et la faim ; mais, loin de haïr les hommes , ceux mêmes qui lui ont fait tant de mal, le poèt
nts qui furent écrits à leur imitation. Ils racontent l’histoire d’un homme qui aima la vie passionnément et pour elle-même ;
sexe », comme il le dit lui-même, et né aussi pour être vagabond, cet homme , dont on ne se souvient maintenant que parce qu’i
s agglomérations minières. Parfois, nous croisions, sur la route, des hommes et des femmes revêtus de leurs habits du dimanche
examiner la possibilité, et l’impossibilité, et après voir quel est l’ homme qui se dit auteur du dystique, car au monde il y
el est l’homme qui se dit auteur du dystique, car au monde il y a des hommes étonnants. Mon frère enfin doit avoir composé le
elle se lit encore l’adresse ; et c’est un trait caractéristique de l’ homme à l’esprit infiniment curieux qu’était en réalité
geures », qui commence ainsi : « Je parie qu’il n’est pas vrai qu’un homme qui pèse cent livres pèsera davantage si vous le
oins. « Je parie que la poudre de diamant n’a pas la force de tuer un homme . » À côté de ces excursions fantaisistes dans le
est persan. Ce lieu voluptueux fut fait par Dieu avant que de créer l’ homme . » On se rappelle que Casanova se querella avec
vertueuse tant qu’il vous plaira, ne doit point trouver mauvais qu’un homme séduit par ses charmes se mettre à l’entreprise d
r ses charmes se mettre à l’entreprise d’en faire la conquête. Si cet homme ne peut lui convenir par aucun rapport, quand mêm
a qui n’est pas tout à fait celui du monde ? Selon moi, elle révèle l’ homme réel, qui, peut-être, entre tous, comprit le mieu
entrique, dont il est question dans les Mémoires, du marquis Mosca, «  homme de lettres distingué que j’étais anxieux de voir 
Zulian, le frère de la duchesse de Fiano ; de Richard Lorrain, « bel homme , ayant de l’esprit, le ton et le goût de la bonne
ans son Mémorial d’un Mondain, Lamberg parle de Casanova comme d’« un homme connu en littérature, un homme de profond savoir 
Lamberg parle de Casanova comme d’« un homme connu en littérature, un homme de profond savoir ». Dans la première édition, qu
ans la première édition, qui est de 1774, il se lamente de ce qu’« un homme tel que M. de S. Galt » ne soit pas encore rentré
eurs, et tenant à jour une correspondance étendue, à la fois avec des hommes distingués et des femmes délicieuses. Son activit
on propos un impresario romain récemment interviewé. Et voici que cet homme intrépide nous rapporte la Tosca MM. Sardou et Ma
aussi bien que physique de la dure vie de tout ce qui vit là-haut, l’ homme et l’arbuste, les troupeaux et l’edelweis ? Cela
ort à l’ossature noueuse et obtuse qui raconte le tyranneau féodal, l’ homme de proie, un visage de femme, douloureux et songe
t de lumière ? En honnête homme, puissant de corps et d’esprit, et en homme qui vit en pleine nature, témoin journalier des l
elles. Et si les deux porteurs d’une coquille dont pend à mi-corps un homme tenant un serpent de Giovanni Bellini à l’Académi
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
présent et l’optimisme immanent, forme le rythme du Poème, qui met l’ Homme dans ses âges, dans ses contingences, dans ses sy
 ! le Poète résume sa mélancolie et sa nostalgie. Il dit : Lorsque l’ homme se délivra de son effroi et orna le monde de déit
onna des peines éternelles. Ô, qu’aujourd’hui sur ses membres beaux l’ homme se relève, et qu’il exalte sa terrestre forme de
me de ce poète n’est que la révolte moderne contre l’éloignement de l’ homme de sa mâle puissance que les siècles chrétiens on
rt, contre le sens sceptique de la vie qui passe, il voudrait que les hommes se lèvent dans une confiance renouvelée de leur v
entier, et souvent tout vibrant de belle énergie, dans la vision de l’ homme dans l’univers, de la femme dans l’humanité, de l
moderne : depuis le signe éternel d’angoisse et de joie laissé par l’ homme dans ses cathédrales, jusqu’au brouillard animiqu
oi, sonore, les feuilles antiques qu’il agite et qu’élance un chœur d’ hommes , et de l’encens et de la poussière des marbres.
tout demeure comme en des entraves de fer. Les armes, les croix, les hommes , les tempêtes demeurent, ô Temple, et ils sont te
e de ses aïeux, la mélancolie des choses simples, de la nature et des hommes . La critique italienne a salué avec des cris de j
uvage de la nature, une compréhension farouche des rapports entre les hommes et les choses, une signification singulièrement i
]. Un journal italien donne des renseignements assez inattendus sur l’ homme affectueux qui se cachait sous le farouche apôtre
16 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
ts confrères la tache ineffaçable d’avoir été et d’être avant tout un homme de lettres. Gare aux littérateurs, — aux jeunes,
eaux, chiens, chevaux, sangliers, si curieusement notés. C’est bien l’ homme que Fazio célébrait pour son talent extraordinair
illes, malheureusement d’une qualité relative, mais beaux encore. § L’ homme fut peintre, médailleur, architecte à n’en pas do
mots des légendes sont entremêlés de branches d’olivier, parfois des hommes nus de l’âge d’or portent sur leurs têtes des cor
es contradictions voulues ne sont pas trop favorables au poète. Comme homme politique on ne connaît de lui que son discours é
un mot qui trahisse une sensation d’art ; ce qui chatouille ce brave homme ou cette jeune fille, c’est l’anecdote, c’est ce
cette belle robe, ce beau cri de bravoure que profère dans la fumée l’ homme à panache ; dans les poèmes, c’est l’anecdote enc
s fraîches ; ne mettez pas à même de choisir entre les deux toiles un homme sans éducation : si vous croyez, comme Tolstoï, à
uliers ; mais, tandis qu’elle devient de plus en plus différente, les hommes la voient de plus en plus conforme : cela est dû
onde, cette joie doit être donnée à tous. Le Poète doit restituer aux hommes cette félicité qu’il leur a empruntée. L’œuvre d’
si difficiles pourtant à goûter pleinement. C’était l’illusion de cet homme trop intelligent de croire que les hommes étaient
t. C’était l’illusion de cet homme trop intelligent de croire que les hommes étaient à la hauteur de son oreille ; comme il co
monde que la façon consacrée par l’âge de formuler un jugement sur un homme ayant des pensées à lui seul, une indifférence ha
tragiques événements qui accablent son pays et ses amis, ainsi qu’un homme qui les rencontrerait par hasard au milieu de que
des fragments de l’antiquité, qui venait seulement d’être révélée aux hommes . Un autre élève se trouvait là, que Léonard a pu
rbres et chaque fleur dans le gazon, où se tenaient debout le premier homme et la première femme. Et c’est précisément parce
a-t-il dans l’étude de la nature. Et en cela il suivit la méthode des hommes d’étude qui l’avaient précédé ; il méditait sur l
lumière altérée du soir sur les routes solitaires, la structure de l’ homme dévoilée dans l’embryon ou dans le squelette ? To
nt de la légende. Car il n’y est pas question du travail sérieux d’un homme , mais de l’essai d’un enfant. Ces lézards, ces la
ecret d’un élixir qui prolongerait indéfiniment la vie naturelle de l’ homme , mais plutôt le moyen d’immortaliser les effets l
fantastiques, peuple mobile et visionnaire. Léonard était le dernier homme qui pût trouver un poison dans les fleurs exotiqu
parle Bacon. Aussi le voyons-nous souvent en relation intime avec des hommes de science : avec Fra Luca Paccioli, le mathémati
e rencontrer le moment heureux — ce moment de bien-être, qui pour les hommes à l’imagination féconde est un moment d’invention
favori et son serviteur. De tous les attachements aux contemporains, hommes ou femmes, qui ont pu remplir sa vie à Milan, cel
e bien la manière dont Léonard choisissait ses élèves : c’étaient des hommes que distinguait quelque charme naturel du corps o
x Balances, où, sur le sein de sa mère, le Christ pèse les péchés des hommes avec les pierres du ruisseau, nous sentons une ma
de voir le Christ non comme la pâle Hostie de l’autel, mais comme un homme qui prend congé de ses amis. Cinq ans après, le j
qui s’élève ainsi étrangement auprès des eaux, exprime tout ce que l’ homme a pu désirer à travers un millier d’années. Cette
ation qui l’avait hanté toute sa vie, et l’avait rendu semblable à un homme sous le charme, pesait alors sur lui avec une dou
irer à conséquence. Nous en ferons abstraction en étudiant comment un homme qui avait toujours brûlé d’un si vif amour de la
ome XXXII, numéro 118, 1er octobre 1899, p. 178-190. L’action que les hommes héroïques exercent sur la masse apparaît aux yeux
se apparaît aux yeux de celle-ci revêtue d’un caractère surnaturel. L’ homme médiocre ne saurait se rendre compte du pouvoir q
L’homme médiocre ne saurait se rendre compte du pouvoir que possède l’ homme vraiment fort : le sentiment intérieur de ce pouv
’être laissé subjuguer, jusqu’à perdre possession d’eux-mêmes, par un homme , par leur semblable ! Ces réflexions viennent spo
à l’influence d’une foule de puissances occultes sur la destinée des hommes . Il croyait à l’astrologie, à la géomancie, à la
ranciscains par une cloison. À côté de la Loggia quelques centaines d’ hommes armés, prêts à défendre Savonarole si l’on tentai
bon ordre, chantant « Saluum fac populum tuum, Domine ». Une troupe d’ hommes armés les protégeait. Partout sur leur passage on
Ils en chassent les fidèles à coups de pierre. Seuls une trentaine d’ hommes tiennent bon et s’arment, décidés à résister jusq
i racontait et assista passivement à l’atroce montée au calvaire de l’ homme dont il était naguère si enthousiaste ; des moine
ole n’est point le prophète inspiré par Dieu ; Savonarole n’est qu’un homme . Et c’est pour cela que la foule ne peut lui pard
d’avoir pris sur elle un si grand ascendant, c’est pour cela que les hommes vulgaires lui en veulent de s’être laissé fascine
, 8 vol. in-8 (1879), et in-18, 1880, avec table analytique. Les deux hommes qui se sont le plus occupés de Casanova, Armand B
ace de l’éditeur qui est un jugement fort bien fait du caractère de l’ homme et de l’œuvre. Cette édition est expurgée de tous
17 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
de travaux d’aiguille et ignorent absolument les secrets de ceux des hommes  ; on peut donc tromper des marquises ; de même pl
conter toutes les bourdes, ils ne savent pas — ils croient. Mais tout homme qui a tenu un outil, qui s’est complu à regarder
cette occasion, dans tous les cas, il est averti qu’il a affaire à un homme adroit et déterminé qui n’a pas abandonné son idé
nt. » Il est impossible de douter un instant que, si bête que soit un homme , il le soit assez pour n’être pas convaincu qu’à
eue pour son fils. Cette affection a duré toute la vie entre ces deux hommes qui ne devaient pas se revoir. Après la fuite et
M. Dandolo, qui m’annonçait la mort de M. de Bragadin. Je perdais un homme qui, depuis vingt-deux ans, me tenait lieu de pèr
de son arrestation. Qu’on ne s’étonne pas de cette crédulité chez un homme d’un esprit distingué, et qui avait exercé les ha
t été appelés par l’accusé comme témoins à décharge, c’est-à-dire des hommes à sciences exactes. Or, aux insistances du présid
ait ; mais que l’histoire inscrive une stupidité aussi lourde chez un homme dont les fonctions sont obligatoires, sans y voir
que le plâtre, une fois délayé, se solidifie, prend, comme disent les hommes du métier, et que, pour l’usage, l’ouvrier maçon
rbre, il s’agit d’une échelle de maçon, c’est-à-dire devant porter un homme , le gâcheur, chargé d’un poids fort lourd, l’auge
rtes, une douzaine d’échelons, parce que, trop longues, le poids de l’ homme chargé pourrait faire courber les montants et met
omme chargé pourrait faire courber les montants et mettre la vie de l’ homme en danger. À mesure que l’ouvrier maçon s’élève d
, donnent encore plus de 19 mètres ou 57 pieds. Veut-on se figurer un homme seul, élevant verticalement une semblable masse p
ement, non, — il reste une chose qui fait le plus grand honneur à cet homme si méprisable à certains égards. Ces mensonges ét
s dévotes de Venise devaient ouvrir les jeux sur les agissements d’un homme ayant séjourné dans le pays des idées nouvelles,
étude que j’avoue avoir faite des actes du fameux tribunal. Mais les hommes , si grands qu’ils soient, sont toujours fils de l
Tome XCV, numéro 351, 1er février 1912 Histoire. René Pichon : Hommes et choses de l’ancienne Rome. Fontemoint et Cie,
14 [611-614]. De cette série d’études de critique historique romaine, Hommes et choses de l’ancienne Rome, nous nous contenter
parents de renchérir et de dire : « La grandeur romaine ? Les grands hommes de Plutarque ? De la blague ! C’est la “haute ban
ingenèse, Lucifer, Prométhée, l’Atlantide, s’efforçant de pousser les hommes à travers l’expérience des mythes et de légendes,
er et des Héros, consacré à l’exaltation des forces essentielles de l’ homme et de la légende totale de son Pays. M. d’Annunzi
ue les chansons épiques de M. d’Annunzio ont touché plus le monde des hommes d’action que la « critique littéraire » italienne
n eut pas une aussi grande. Un pays qui peut envoyer des milliers d’ hommes mourir sur une terre de conquête, et qui a un poè
uatrième livre de l’immortel ouvrage du curé de Meudon, que le savant homme savait tout peut-être, excepté ce qui touche à la
un fait de la plus grande évidence. Voilà pourquoi je pense que tout homme qui s’occupe de la marine moderne doit s’enquérir
ro 352, 16 février 1912, p. 850-854 [850-853]. M. Octave Uzanne est l’ homme de France qui connaît le mieux Casanova et qui es
ne se lassa jamais de les adorer. Diderot affirmait que le cœur de l’ homme est tour à tour un sanctuaire et un cloaque. Le s
générations intellectuelles au siècle passé n’ait été qu’un vulgaire homme à femmes. Certainement, il fut mieux. Le génie qu
objets disparates s’y mêlent : une bouteille, un faux-col, une tête d’ homme jovial, etc., ce désordre est intitulé le Rire.
voient couchés, à la façon des « gisants » du Moyen-Âge, sur l’un un homme en costume sacerdotal, sur l’autre une femme voil
de l’art. La moindre statue les intéresse plus vivement que tous les hommes qu’ils croisent. Ils ignorent le peuple ou ne che
omparaisons singulièrement défavorables à sa production actuelle. Les hommes qui ont le plus contribué à la formation de l’uni
avour est le véritable instaurateur de la monarchie actuelle, c’est l’ homme selon les vœux de ceux qui gouvernent aujourd’hui
e sens le plus large et le plus élevé du terme : j’entends par là des hommes qui ne se contentent pas d’instruire la jeunesse,
une atmosphère plus pure. J’ai eu le bonheur de connaître l’un de ces hommes  : ceux qui, comme moi, ont été de ses élèves ne p
et chez qui le spectacle de la grandeur ne provoque que l’envie. Cet homme , c’est Augusto Murri. Jamais je n’oublierai les h
us beaux dons de l’orateur dans le meilleur sens du mot, non pas de l’ homme des assemblées populaires qui cherche de gros eff
sées plus larges et possédés d’un plus grand amour de la science. Les hommes qui inspirent de tels sentiments rendent le meill
s’étaient élevées pour combattre l’injustice, et c’étaient celles des hommes les plus éminents dans la littérature et dans les
en Italie par les théories de Lombroso et de son école, qui font de l’ homme médiocre le prototype de l’homme normal, du bon c
broso et de son école, qui font de l’homme médiocre le prototype de l’ homme normal, du bon citoyen, et identifient le génie a
montre combien il y a peu de logique dans l’esprit de la plupart des hommes , Lombroso tint dans cette occurrence pour le géni
certain point la responsabilité de cette explosion de haine contre un homme supérieur. En outre, Augusto Murri se distingue p
amment manifesté leur patriotisme. Si l’on parle individuellement aux hommes du peuple, travailleurs de l’industrie ou de la t
un autre bourgeois, il ne remploiera jamais quand il s’adressera à un homme du peuple, mais il dira voi, ou, avec une nuance
isante, tu. Habitué dès son enfance à cette séparation des classes, l’ homme du peuple accepte en général ces distinctions soc
alisme, la propriété, Garibaldi, Tolstoï, Nietzsche et n’importe quel homme ou quel principe que les caprices de la mode exal
ec la vie ambiante et essayent d’éveiller chez le plus grand nombre d’ hommes possible le désir de la connaissance, l’esprit de
296 » ? Il y a l’immense poète Dante, le héros Dante. Au demeurant, l’ homme Dante, dans sa vie de citoyen et de magistrat, se
e citoyen et de magistrat, se silhouette à peu près ainsi : Ce petit homme noir, qui affectait la gravité du penseur, se ten
toujours ceux-là qui font les frais des convulsions politiques. Comme homme , d’ailleurs, il était orgueilleux, et l’avait mon
espoir, la malheureuse entreprise de l’empereur Henri VII, on voit un homme jeté hors du toutes les carrières régulières, mai
loyé volontiers par les grandes maisons italiennes, qui utilisaient l’ homme docte, habitué aux affaires et à la politique. Le
années, — quoique la vie de Dante fût assurément celle désormais d’un homme frappé de chagrin, — paraissent, si je ne me trom
si souvent perdu dans le fond d’une province, et qui est l’érudit, l’ homme épris d’études et de méditations, le savant qui s
ro nous montre ses lutteurs d’amour dans toute la saine brutalité des hommes de son pays ensoleillé, très païen, de cette terr
une guerre coloniale sans que le change monte. De plus, cela fait des hommes énergiques et avisés. Ils n’ont certes ni l’aisan
voir d’une façon plus concrète. Nous lisons : « grande bataille ! 10  hommes tués ». Hé ! nous savons ce que cela veut dire ;
t et à eux-mêmes. On peut deviner ce que devint le libéralisme de cet homme , qui avait vécu sa jeunesse sous Louis XV, qui po
l’élévation de son jugement. L’attendrissement du début est bien de l’ homme qui adorait assez la France pour écrire, plus tar
maigre, lui font des réflexions sur l’irrégularité de la conduite des hommes , lorsqu’ils n’ont pas la religion pour guide, et
fus seul, je réfléchis que si je n’oubliais pas Charlotte j’étais un homme perdu. Je résolus d’y penser ! » N’est-ce pas là
tais un homme perdu. Je résolus d’y penser ! » N’est-ce pas là tout l’ homme  ? Comment un éditeur a-t-il laissé perdre une aus
ssi jolie phrase ? Voici maintenant pour le Casanova gourmand, pour l’ homme qui avait fait un Dictionnaire des fromages. Il s
pas chose à retrancher que cette appréciation sérieuse écrite par un homme aussi lettré que Casanova, un passionné linguiste
sanova nouveau, non plus le coureur de filles et de femmes faciles, l’ homme aux sens qui commandent, mais un Amadis, un Don Q
’il rencontrait, inscrivant même ce que sont devenus par la suite des hommes qu’il n’a rencontrés qu’une fois sur sa route. Da
onstances de son élargissement, les trouve si étranges vis-à-vis d’un homme qu’on a retenu six semaines en prison, et qui doi
par l’autorité d’un jaloux puissant ? Pourquoi ne pas le croire ? Les hommes dont il cite les noms y vivaient certainement cet
ces primitives de la terre, des sentiments primitifs et éternels de l’ homme , Pascoli ne devait considérer la vie que comme un
nte, telles que les choses humbles et solennelles, les campagnes, les hommes et les traditions des campagnes, les révèlent à t
urs paradigmatiques, découvertes au fond du cœur des plus simples des hommes . Pascoli a renouvelé ainsi « la matière » de l’Ép
te. On sourit devant ces ruses de femmes déjouées par la rouerie de l’ homme , ou devant la déconfiture de l’homme mystifié par
mes déjouées par la rouerie de l’homme, ou devant la déconfiture de l’ homme mystifié par un adversaire plus fort que lui ; ma
est absente, où l’on ne plaint ni les uns ni les autres, parce que l’ homme est un simple débauché, un voluptueux, qui n’a ja
te une époque admirablement représentée et qui a pu faire écrire à un homme tel que le Prince de Ligne des phrases comme cell
le Prince de Ligne des phrases comme celle-ci : J’ai connu Casanova homme célèbre par son esprit, ses ouvrages, l’érudition
e et rit de lui-même ; il ne recule pas devant l’aveu de ce que peu d’ hommes consentent à admettre : avoir été sot et ridicule
e ne l’avoir fait que par vengeance, et combien il était ridicule. Un homme , dans une confession publique, peut avouer avoir
ation de la guerre, seule hygiène du monde ; le Mépris de la Femme, l’ Homme multiplié et le règne de la Machine. Ce n’est pas
e la politique a pu influencer. Les uns et les autres ne sont-ils pas hommes  ? Nous n’avons aucun intérêt, en France, à incrim
illustres navigateurs dont les nefs ont la science et les pensées des hommes  », et qui, au dire de Zeus lui-même, « sont les t
telle, celle qui vivra, grâce à lui, aussi longtemps qu’il y aura des hommes . [I] 1° Schérie, la patrie de Nausicaa, est
is tous les volcans de cet ensemble sont entrés en repos bien avant l’ homme , et se trouvent, par là même, hors de cause. Plus
s, n’a pas cessé d’être en activité ici ou là depuis l’existence de l’ homme  ; l’histoire et l’archéologie le prouvent, chacun
st au sein de la mer retentissante que nous habitons, loin des autres hommes et tout à fait à l’écart. Personne ne peut pénétr
que, tirée ainsi à quatre diables, la pauvre nef d’Ulysse a jeté son homme à la mer sur place, et sans l’emporter loin de Sc
ndant qu’Ulysse demande à la jeune fille de lui indiquer la ville des hommes qui habitent cette terre ; en effet à Casamicciol
e veut le texte, la route traverse aujourd’hui encore les travaux des hommes , c’est-à-dire une région cultivée. Nos gens appro
elle elles débouchaient jadis. Avant d’être un port, ouvert de main d’ homme en 1856, le cratère de Bagno était un lac saumâtr
mme toujours, n’est qu’une variation du grand thème double imposé à l’ homme depuis les débuts de sa vie sociale. Mais l’Or es
itelets des rédactions, il ne suffit pas, vraiment, de représenter un homme que quelques femmes aident à parvenir où il veut,
istes de la péninsule. C’est pourquoi Matecoulon, sans doute « de ces hommes auxquels ma condition, dit Montaigne45, me mesle
principal personnage ? Nous ignorons si le silence de ces deux grands hommes recèle un hommage à l’élévation de la passion mat
où nous entendons ce mot leur échapper. Le président de Brosses était homme d’esprit, et d’une intelligence dont la diversité
s », disait Napoléon49. Et ailleurs : « Tout est convention parmi les hommes , jusqu’à des sentiments qui sembleraient ne devoi
la maison paternelle la consentent parfois les oiseaux du ciel. — Les hommes laids montrent souvent une conception pessimiste
publique, n’est pas grand. On s’accorde à dire que la beauté chez un homme demeure sans importance. On ne craint pas de témo
qu’une beauté basse, en ajoutant que la bêtise est commune parmi les hommes beaux. Enfin, le souci manifeste de la beauté per
es beaux. Enfin, le souci manifeste de la beauté personnelle, chez un homme , inspire, sous une forme ironique, la réprobation
ffrir pour être belle, l’art doit exiler l’effort. On conçoit que les hommes tiennent à grief un air noble et charmant. Ils on
entende la plus poétesse, sinon la plus poète, dire : « Pourvu qu’un homme ne soit pas trop laid, pourvu qu’il soit droit, b
ntemplez les traits de Léonard de Vinci, qui passait pour le plus bel homme de son temps. Ils ne peuvent inspirer que l’admir
ntinoüs, à supposer qu’on le reconnût. Léonard serait rébarbatif. Les hommes , en effet, ne voient de la beauté que les caractè
eur à la lecture, avait subi indirectement l’influence de Rousseau, l’ homme de lettres qui a exercé le plus d’influence sur l
u’à sa technique qui ne gagnât dans cette objectivité, exercent sur l’ homme moderne la fascination de la nature, l’attirance
consiste en ce qu’il donne du plaisir ou du bonheur aux passions de l’ homme . Bien qu’il ne faille point se méprendre sur le p
mme horribles et dont tout l’intérêt vient de la lutte soutenue par l’ homme contre leur aspect ou leurs éléments, si l’on rés
que le divin aède professe à l’égard des objets sortis de la main des hommes , et contemporain de la faible estime où le monde
artout son sein au commerce et empressée de seconder les efforts de l’ homme , étend ses bras bien avant dans la mer56. On pou
veloppant en lui-même les dons et les méthodes du spécialiste et de l’ homme de bonne compagnie, qui font de lui un complément
isation, l’Italie pour les. individus. C’est en Italie qu’on a vu ces hommes universels, Giotto, Dante, Thomas d’Aquin, Pic de
, plus beau que les formes de l’adolescent, — celui, sans doute, de l’ homme même. La patrie du bonheur reste conforme, dans l
eignement essentiel. Mais ce n’est pas à cette variété que ses grands hommes doivent celle de leurs facultés. La sobriété du f
un peuple opprimé ; son action n’a pas été précédée par la révolte d’ hommes résolus à tout pour obtenir leur autonomie. Le ca
cabinet Giolitti, sentant son corps expéditionnaire, fort de 125 000  hommes cependant, arrêté sur le littoral africain par la
tre véridique. Un seul Casanoviste la conteste, le docteur Guède, « l’ homme de France qui connaît le mieux Casanova et ses Mé
que le plâtre, une fois délayé, se solidifie, prend, comme disent les hommes du métier, et que, pour l’usage, l’ouvrier maçon
rbre, il s’agit d’une échelle de maçon, c’est-à-dire devant porter un homme , le gâcheur, chargé d’un poids fort lourd, l’auge
rtes, une douzaine d’échelons, parce que, trop longues, le poids de l’ homme chargé pourrait faire courber les montants et met
omme chargé pourrait faire courber les montants et mettre la vie de l’ homme en danger. À mesure que l’ouvrier maçon s’élève d
l’adjectif, l’adverbe. Chaque substantif doit avoir son double, ex. : homme torpilleur, femme rade, foule ressac, place enton
du laid, tuer la solennité, haïr l’intelligence et, enfin, préparer l’ homme mécanique aux parties remplaçables qu’on délivrer
estinés à enrichir l’industrie. Je crois fermement que le propre de l’ homme de génie est de préparer l’avenir sans se douter
tra-moderne. C’est toujours très difficile de se débarrasser du vieil homme , même quand il est jeune ! Je ne vous raconterai
mieux classées ? Au moins l’œuvre parle toute seule et tout de même l’ homme vrai s’y reflète, tel qu’il fut, ou au moins tel
libre, le sublime équilibre de toutes les forces de l’esprit, que les hommes invoquent, évoquent, résument en un seul mot : Di
osité, il était naturel que celle d’un écrivain libre penseur et d’un homme du Nord attirât particulièrement l’attention, et
s. Mais quand je songe à toute la vertu esthétique qu’elle ajoute aux hommes et aux choses, on est tenté de l’admettre. La cha
d’heure de bruyante célébrité. Mais tout est contraire chez les deux hommes , le caractère, la conception de la vie et la vie
désirer, de trop désirer, sans jamais avoir l’illusion que ce que les hommes et la vie lui donneraient pourrait le satisfaire.
seule incomparable mélancolie : soi-même. Et il a tellement peur des hommes , du mal qu’on peut lui faire et qu’il croit inévi
dit à tel point avec son personnel pathétique de l’inquiétude que les hommes ne comprirent plus ses paroles, et la chaîne tort
e lui cinquante ans après, fut le plus calme et le plus satisfait des hommes . Sa psychologie est facile à faire ; si facile qu
des individus formant le groupe et les forces du milieu où vivent les hommes et le groupe lui-même. Ce livre se demande donc p
penser, de juger ». Les différences de tout ordre existant parmi les hommes déterminent ainsi la formation de groupes humains
italienne par des œuvres de Giovanni Bellini (un magistral Portrait d’ homme ), du Pérugin, de Raphaël (Vierge avec l’Enfant et
i occupait cette chambre. La coiffeuse pouvait aussi bien servir à un homme pour se raser : un bouquet et un livre ne désigna
is, tous les bonheurs me sembleront petits ! Il n’est pas au monde un homme qui porte en lui-même une lumière pareille à cell
’art et la littérature d’avant-garde de la Rive-Gauche. En Italie, un homme étrange, énergique, volontaire et à coup sûr géni
mes futuristes, et les font sonner faux. Mais toutes les énergies des hommes d’aujourd’hui et de demain, et celles des luttes
hapsodes. M. Paolo Buzzi s’écrie à Kiel : Ô forteresse de la mer, Un homme fort vous salue ! Ô chantiers teutons de la prépo
héose du chemin de fer, de l’automobile, de toutes les énergies que l’ homme a créées pour l’homme. Oh ! le fracas du pont-le
, de l’automobile, de toutes les énergies que l’homme a créées pour l’ homme . Oh ! le fracas du pont-levis qui résonne et qui
que antinomie de a série : en cela tout à l’opposé de l’antéisme, « L’ homme , dit-il, ne peut obtenir l’affection des autres h
l’antéisme, « L’homme, dit-il, ne peut obtenir l’affection des autres hommes qu’autant qu’il la désire ardemment… Dans ma prem
18 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
oique le genre en soit tout à fait démodé depuis quelques lustres. Un homme aime une femme, la femme fatale, et ayant étreint
chose de simple et de suranné qui est tout à fait inattendu pour les hommes modernes que nous sommes. J’estime que la rue à N
ses, devant leurs portes, tandis que les mouches les dévorent, et des hommes en caleçon fument leur pipe sur les balcons. La n
il exprime que ce n’est pas bien de se moquer ainsi d’un aussi pauvre homme que lui, et qu’il est désolé vraiment, car c’est
eux qui veulent que je passe dans Toledo, tandis qu’y passe aussi cet homme , lequel, allant livrer un palmier de trois mètres
sur le siège de laquelle se trouve un carabinier, et dans le fond un homme enchaîné. Une femme, aux cheveux épars, suit la v
ce, qui consacre un volume à Marie de Gournay et publie l’Égalité des hommes et des femmes, et le Grief des Dames, nous révèle
 Mario Schiff, d’avoir défendu la femme contre « l’injuste dédain des hommes  ». Sa culture et son œuvre demeurent le meilleur
rée d’un jeune Anglais de trente-huit ans qui, dit-on, n’est point un homme commun. Il l’a aimée par galanterie, il y a deux
Ceccardi. Dans les Odi, M. Bontempelli se souvient de quelques grands hommes de l’énergie nationale, mais il se souvient aussi
’expression d’un psychisme rythmique particulier à une époque et à un homme . M. Lipparini, dont la forme est plus que chez to
 ; sur l’Arsenal et sur les flottes. Vous donnerez à entendre que les hommes d’État et les Ambassadeurs de cette époque avaien
esques, les fragments de marbres et d’onyx.   Daniel Dorsevigo est un homme surprenant. Sa maison est une des plus belles de
Venise, où la valeur ne demeurait pas longtemps inconnue. Grâce à cet homme , Giorgio, riche de quelques ducats, fut envoyé à
contre, elle célébrait la vaillance de Carlo ; — Lui est vraiment un homme  ! Regarde, comme il boit bien ! Un verre après ch
. Il parlait comme un prédicateur, chantait comme un moine ! Voilà un homme . Et toi, Giorgio, tu es un enfant, un petit enfan
je t’aime, parce que tu es fort et beau et jeune… parce que tu es un homme  ; parce que tes caresses me brisent autant que le
nnement ou la moindre colère en s’apercevant qu’Emilia n’était pas un homme  ? Non ! elle l’enlaça avec une fureur terrible et
ublique. Les oriflammes sont rouges, bleues, blanches, violettes. Six hommes qui les suivent embouchent leurs longues trompett
niel Dorsevigo. J’avais, en outre, réuni des femmes admirables et des hommes valeureux.   La fréquentation des peintres m’a en
lles étaient rangées en demi-cercle. Derrière elles se penchaient les hommes . Giorgio était assis devant la cheminée. Son luth
le sentirent et elles décernèrent à l’artiste de tels éloges que les hommes y mêlèrent les leurs. Ils n’en avaient aucune env
me comme des êtres dont l’essence est divine, ils rendent furieux des hommes comme Angelo R… Sa colère fut à son comble lorsqu
ui attacha définitivement la sympathie des femmes et la curiosité des hommes dépourvus des médiocres sentiments de jalousie et
e spectacle ! comparable à ceux que nous offre la Nature. D’abord les hommes en habits somptueux, les femmes parées, les figur
ance et l’orgueil d’avoir séduit les femmes et vaincu l’hostilité des hommes imprimèrent à la beauté de Barbarelli, son charme
ai senti comme si je l’avais tenu dans mes mains, battre le cœur d’un homme . Je sais ce que signifient ces mots : amour, jalo
t, les cuirasses bouchées sur d’éclatants pourpoints. Cinquante mille hommes suivent leurs bannières et les panaches de leurs
le moindre sentier, où se faufilèrent tel jour, à telle heure, quatre hommes et un caporal de la 22e légère pour aller débusqu
croyance, le savant ne dépasse pas l’ignorant. La circonspection de l’ homme de laboratoire est bientôt remplacée par une créd
n de son hilarité : — Il n’y a pas de progrès à accomplir auprès d’un homme dont tout l’enseignement se borne à répéter : « I
ypre, mon garçon… — Bonne traversée ? — Oui, par la grâce de Dieu. Un homme assis sur les marches d’un escalier, les pieds da
té du visage intelligent. Les manières polies manquent d’aisance. Cet homme ne dira que ce qu’il jugera opportun de dire. Nul
garçon, voilà l’œuvre la plus vivante qui soit sortie des mains d’un homme . — N’avais-je pas raison de vous affirmer, avant-
laraient partisans de sa peinture. On l’entourait comme on entoure un homme riche dont on espère des libéralités et dont on c
ien chez Mario. — Et les couleurs ? — Les couleurs aussi !.. Diable d’ homme . — As-tu remarqué une chose, Titian ?… Il n’y a n
sentai Titian à certains de mes amis et parents. Pour la plupart, les hommes le préférèrent à Barbarelli, car sa nature sérieu
ne qu’une face, un profil, un dos… Le marbre et le bronze expriment l’ homme tout entier. Essayez de reproduire les différents
que ta peinture représentait, par une allégorie, les trois âges de l’ homme … — Non. La vie m’a offert ce spectacle… — Et, san
mplacable revanche se préparait l’amour !   Avec la désinvolture d’un homme qui peut tout exiger, il me contait des aventures
catastrophe qui me laissa infirme.   Sforza avait chassé, avec 20 000  hommes de troupe, les Français de Milan. Louis XII le po
ies de Cadorin qui savait — quoiqu’il gardât sa dignité — flatter les hommes influents et leur donner à comprendre qu’il était
avec laquelle il vantait le talent de Titian le desservait aussi. Les hommes envieux de sa beauté et de sa désinvolture, les f
pas ainsi si tu n’étais beau et vigoureux comme le seraient tous les hommes , sans le péché d’Adam. Tu apportes les visions du
ha : — Tu veux savoir, ô Titian, pourquoi ces femmes sont nues et ces hommes habillés, je vais te le dire : c’est parce que Gi
vais te le dire : c’est parce que Giorgio de Castelfranco trouve les hommes plus imposants et décoratifs habillés que nus et
s poignards jaillirent hors des fourreaux. Il fallut séparer les deux hommes furieux. Le lendemain, la Maurina et le Génois av
e journal qu’autant que cela peut t’aider à vivre da grande (en grand homme ). On trouvera dans ce volume le texte intégral d
ntéressant, on le voit, en ses aperçus, il y a, dans l’ambassadeur, l’ homme de cour qui tient son maître au courant de bien d
Fer), par la vengeance du cabinet de Versailles poursuivant en lui l’ homme qui avait dénoncé les projets de la France sur Ca
anuel II, ce curieux Victor-Amédée II qui demeure, en somme, le grand homme de sa Maison. Il faut remercier M. Jean Lemoine d
cée à la fin de son grand ouvrage sur Foucquet, une autre solution. L’ homme au masque de fer serait un certain Eustache Dange
solution. L’homme au masque de fer serait un certain Eustache Danger, homme à tout faire, exécuteur de quelque besogne louche
s sincère qu’adroite. On ne se faisait bien venir de Victor-Emmanuel, homme point méchant, mais violent et autoritaire, qu’en
Ce tableau de la Cour piémontaise ne manque pas d’amusement. Le même homme menait, dans le même temps, sa belle lutte de l’i
reux. Giorgio se prit à rire et se déclara encore loin de l’âge où un homme dépérit pour une ombre. — Vous avez raison, mon m
t parade devant Barbarelli. La haine aurait fini par séparer ces deux hommes , si Titian n’était parti de Venise, appelé à Pado
’amitié la plus étroite l’unissait à Morto da Feltre. Morto8 était un homme dont l’intelligence étrange et la vie aventureuse
de. Il m’avoua qu’une inexplicable mélancolie faisait de lui un autre homme , mais qu’il espérait se guérir de son mal. * Soud
t, dans ses manières, une morgue, une autorité qui lui aliénaient les hommes  : — Giorgiaccio ! murmuraient-ils. — Giorgione !
tention, dis-je aux magistrats… Le désespoir a égaré la raison de cet homme … — La Maurina est morte, murmura-t-il… et moi je
 Piétro est généreux et bon client, pourquoi ne l’aimerais-je pas ? L’ homme arracha les bijoux et les foula aux pieds. Piétro
à bord d’un bâtiment vénitien. — Saint Marc t’envoie, lui répondit l’ homme à qui elle s’adressa. J’entreprends, sur mon prop
rna dans les auberges qui entourent l’arsenal. Elle avait le goût des hommes vigoureux et jeunes. Celui du luxe lui vint plus
lui demandai-je. — Si c’est pour un assassinat, je ne suis pas votre homme , — Il ne s’agit pas de tuer, mais de rire. Veux-t
és… Je me disais : — « C’est afin de conquérir leur maîtresse que les hommes veulent la fortune et la gloire… C’est afin de je
ion. Elle acceptait naturellement son existence d’esclave, savait les hommes plus jaloux de leur maîtresse que de leur honneur
fs inquiétaient la Maurina. Elle exigea bientôt des explications. — L’ homme que tu as abandonné pour me suivre nous espionne 
ais follement, m’enseigna la douleur… Elle avait appartenu à bien des hommes . Les nécessités de leur carrière les obligeaient
es heures s’écoulaient, dans cette atmosphère excessive où les autres hommes ne peuvent s’élever que lorsque les passions les
st affreux. Mais lorsque vous ne vous représentez pas les traits de l’ homme , l’image qui s’acharne contre votre esprit, contr
votre chair est moins précise et moins terrifiante !… Mais quand cet homme est votre ami, votre frère ! J’avais l’impression
Maurina… Avant qu’il eût achevé sa phrase, la tenture s’écarta et un homme de haute stature, barbe noire, regards vifs, appa
e, barbe noire, regards vifs, apparut… Et, dès qu’il vit Giorgio, cet homme , sans prononcer un mot, éclata en larmes. — Appro
Morto. Je te le jure, sur mon salut éternel… — C’est impossible I Un homme tel que toi, Zaratto, ne tolère pas qu’une femme
… et une femme comme elle, ajouta-t-il sombrement, ne vit pas avec un homme sans lui appartenir ! Elle t’aimait ! — Non. — Tu
t pas jugé ton accoutrement assez honorable pour te présenter chez un homme aussi opulent que Mercatin, je t’avais prêté un p
ononcer de semblables phrases, Giorgio… toi qui as eu ton existence d’ homme libre et heureux métamorphosée par son seul aspec
, suppliai-je… — Beaucoup plus tard… quand j’aurai fait de Giorgio un homme heureux de m’avoir, fier de ma beauté… — Je lui r
vous êtes tous là… je vous reconnais… Comme il était beau de voir ces hommes rangés autour de leur maître ! On eût dit des sol
ats chargés de la salubrité publique firent enlever le cadavre de cet homme divin et, pour échapper à leur surveillance, je m
tion, d’évocation psychologique, de la représentation dramatique d’un homme sinon d’un type humain. Et la décadence de l’écri
par quelques protestants ; mais elle a le bonheur de compter quelques hommes semblables à ceux-ci, dans toute son étendue. Et
. C’est la Tamise. Rome n’a pas aujourd’hui dans son enceinte un seul homme célèbre auquel elle ait donné le jour. Le plus gr
te, Seven Great Statesmen, se trouve dans le sous-titre : Sept grands hommes d’État dans la lutte de l’humanité contre l’injus
et aussi dans la dédicace du volume à Goldwin Smith, le très libéral homme de lettres anglo-américain, « dont la longue vie
stice, à la liberté raisonnable et à l’équité véritable ». Les sept «  hommes représentatifs », comme aurait dit Emerson, chois
s ». C’est ainsi qu’il prodigua journellement ses consolations à deux hommes éminents, Marcellien et Marc, frères jumeaux, qu’
Et des confusions inouïes se produisaient. Dans le jeune Dieu qui fut homme et qui est ressuscité, les fidèles d’Adonis, les
teindre les paupières ? L’un de ces Anges qui choisirent des filles d’ homme et se souillèrent avec elles… et il n’y aura plus
mant qui veut, d’un bourreau qui égorge. Et j’attendais : « Ô fille d’ homme  », il cria, « je te mortifie, te purifie, te glor
e Dieu. Il le plia sur ma poitrine. Et il dit : « Tu le garderas. » Hommes , sous la croix de mes bras, Je ne suis qu’une pla
s paroles étouffées, le Confesseur exprime le haut drame du Fils de l’ homme autour de la chlamyde étendue comme autour d’une
élas ! pleurez ! Jésus va renaître et continuer pour l’âme avide des hommes cette foi en l’éternelle résurrection, que la mor
ur s’avance vers Sébastien et lui offre l’empire sur les dieux et les hommes . Il fait miroiter à ses yeux les cortèges de la t
anuscrits feuilletés avec dévotion, renaître les claires déesses. Les hommes du xvie  siècle verront, aux lueurs blanches des
vides des philosophes et des poètes — à Ferrare et ailleurs. Rome —  Hommes de la Renaissance forme la première partie de l’o
de noblesse et de détachement, Méditant la grandeur avec le rien de l’ homme , Qui sont ici venus s’inscrire également, Tandi
sein, comme au fond d’un sépulcre : l’infini. » Malheureusement les hommes qui sont ainsi les « forçats de leurs sensations 
able » de l’association actuelle italienne : Article premier. — Tout homme honorable qui possède œil aigu, ouïe fine, jambe
sychologique » de l’Occident. Ici, le protagoniste n’est pas l’ancien homme de race qui se barricade — âme et biens — contre
alte en l’appelant Flamme. Mais des nobles de France, une femme et un homme , arrivent en Sardaigne. Et le drame tourne nettem
érir ce monde, le sculpteur a appris tout ce que pouvait apprendre un homme de son temps. Les marbriers de Santa Maria del Fi
retrouvé dans la statuaire romaine : la solidité robuste d’un corps d’ homme . D’autres marbriers et des orfèvres lui ont ensei
nsformations économiques elles-mêmes, était encore pourchassé par les hommes qui, à tour de rôle, se hissaient au gouvernement
rs provisoires aimaient mieux commander à des centaines de milliers d’ hommes qui leur devaient tout, et qui, sustentés par leu
re se convertit en un mécanisme aux rouages infiniment ramifiés. Tout homme a sa mission délimitée impérativement, d’où il ne
Il y eut de fort bonne heure, et très probablement de tout temps, des hommes de métier qui appartenaient à la plèbe, et qui ép
habitudes, s’il était intervenu pour doter d’un culte un groupement d’ hommes plus ou moins compact. Selon toute vraisemblance,
guerre. Ce qui est sûr, c’est que toutes se composaient à l’origine d’ hommes libres ; et comment, avec les idées qui régnaient
x femmes, on ignore si l’entrée leur fut accordée dans les sociétés d’ hommes . Celles-ci continrent jusqu’à 1 200 et 1 500 memb
On a dit que la figure était masculine, on y a même vu un portrait d’ homme . Ce n’est ni un homme ni une femme, mais un exemp
e était masculine, on y a même vu un portrait d’homme. Ce n’est ni un homme ni une femme, mais un exemple de peinture analyti
analytique, un problème de psychologie picturale à demi résolu par un homme dont le talent submergea souvent le génie. C’est
al et rejoint ses camarades : Nous étions un transport de cinq cents hommes , et nous repartîmes pour Gorissia ;… l’on nous lo
ute l’armée, toute la journée. Nous étions au camp soixante-dix mille hommes de toute arme, et, après la revue, nous repartîme
e de rigueur prise brutalement, sans imputations formelles, contre un homme de la valeur de l’ancien directeur de notre École
’il faut à la tête de nos musées nationaux, c’est, comme à Berlin, un homme d’énergie et d’initiative, d’une intelligence trè
e va être très complexe et très complète, chair de femme et cerveau d’ homme , être au double destin. Donc, avant d’invoquer le
Femme, celle qui résumait toutes les femmes, l’idéal féminin que tout homme porte en son âme. Elle était pour eux le but inta
la révélation de leur féminité restée si mystérieuse, parce qu’aucun homme , si psychologue soit-il, n’a pu la déchiffrer ».
nistes seraient les premiers à le reconnaître aujourd’hui, ces grands hommes , puisqu’ils étaient les premiers ouvriers d’une t
onne des conseils, souvent des leçons, mais il est par-dessus tout un homme bien élevé. Il représente l’ancienne France, cell
octobre 1911, p. 855-861 [855-856]. Il est bon, quelquefois, que les hommes les mieux qualifiés pour entretenir le public d’u
on y fasse de la copie, comme dans un ministère, et qu’il n’y ait des hommes instruits et qui écrivent selon leur spécialité :
, sous lesquels il s’assied, pleure et prie. Il écrit l’histoire d’un homme , évoquée dans une succession vive et vivante de m
nt sans cesse aux perplexités de Lorenzo. La banalité de la lutte des hommes , la brutalité de son frère et de son père, qui on
régit tous les gestes, qui anime tous les sentiments des bêtes et des hommes . Lorenzo passe à travers des épreuves. Celles de
brûlant. Il ne savait pas qu’il marchait sur la fange inévitable de l’ homme social, la fange originaire, dont il se libérait
e ne sais de paroles qui en refassent l’écho ? Je retournai parmi les hommes , plus aveugle, après avoir clos un infini en moi.
dans les plaines ! Que de cadavres tu devras rouler, et de pays et d’ hommes et de rêves, avant que tu arrives au terme auquel
cet instant de gloire, sur moi, sur toi, sur l’infini, je descendis, homme , je me macérais homme, je me rendis homme à la gu
, sur moi, sur toi, sur l’infini, je descendis, homme, je me macérais homme , je me rendis homme à la guerre, et je voulus la
sur l’infini, je descendis, homme, je me macérais homme, je me rendis homme à la guerre, et je voulus la victoire petite, que
clergé dans l’ancien royaume des Deux-Siciles est grave, venant d’un homme aussi bien intentionné ; les jeunes gens qui entr
nous appliquer d’abord à leur former une conscience, une conscience d’ hommes , entendez bien, sachant discerner ce qu’il faut e
ert bouteille. Cette coquetterie florentine l’expose à passer pour un homme très distrait, et il avoue que les garçons de caf
puisqu’il s’agit de soigner des malades trop bien portants) des gens, hommes , femmes, qui ont entre eux d’involontaires commun
ont des chefs doués d’un sensorium plus puissant que ceux des autres hommes . La plus puissante, naturellement, de ces influen
Une femme hystérique, placée secrètement au milieu de la section des hommes et dont la mort leur fut soigneusement dissimulée
ions : une Turquie constitutionnelle plus ou moins incapable, aussi «  homme malade » que la Turquie hamidienne et sur laquell
donnée à des fins économiques ou éthiques. Il est à remarquer que les hommes doués d’une sensibilité profonde et qui ont par s
lui étaient adressées. Le 30 juin 1786, Lamberg, lui mandait : « Un homme célèbre est célébré M. Casanova de Saint-Gall. Vo
il s’est chargé pour Mme d’Opitz et pour Vous. La Connoissance de cet homme aimable et rare fera époque dans Votre vie. Faite
relations très suivies et fort cordiales s’établirent entre les trois hommes , qui durèrent jusqu’à la mort de Lamberg, en 1792
proclamait la rupture avec la Turquie stupéfaite, une armée de 30 000  hommes , sous la protection d’une escadre nombreuse, trav
19 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
riche et à l’Allemagne et ce serait faire injure à l’intelligence des hommes politiques italiens que de supposer qu’ils pussen
s suspendus. Les grands États en campagne doivent compter cent, mille hommes hors de combat par mois, et ces pertes font réflé
enza. Dans d’autres milieux, on s’étonne d’entendre ainsi parler des hommes qui représentent une partie de l’intellectualité
ouvel équilibre qui résultera pour le monde du formidable entrechoc d’ hommes auquel on assiste. C’est d’un patriotisme trop ét
par ce cri, et nous regardait avec le visage stupéfait et alarmé d’un homme qui se réveille en sursaut. Nous passions en coup
s tiennent sous leur contrôle direct, individu par individu, tous les hommes capables de porter les armes. Et cependant ils la
l signalait les effets de cette critique intelligente exercée par des hommes compétents, à propos d’une question dont la porté
q ans tous les colorants dont ils auraient besoin à cette société. En hommes pratiques, la plupart des industriels anglais s’y
outer de l’attitude que prendraient des journaux comme le Secolo, des hommes comme Prezzolini, le fondateur de la Voce, ou Lab
. Il y avait encore au monde, en février 1915, voilà trois mois, « un homme instruit et de bonne compagnie qui se trouvait ig
rini a vu entrer dans son compartiment et s’asseoir en face de lui un homme d’une soixantaine d’années, dont la mise et les m
e rêverie : — Eh bien, non, vraiment, je n’aurais point pensé que les hommes fussent encore restes aussi sots ! Ici, Monsieur,
le même sens, et, si tant est que le choix soit indispensable, aucun homme épris de liberté et considérant l’autonomie de l’
giolittienne et la crise suprême qui a amené la chute définitive de l’ homme néfaste. J’ai expliqué moi-même dans le dernier n
: Il est impossible de parler des idées économiques et sociales d’un homme qui n’a jamais eu aucun principe et qui a subordo
patrie ; une lamentation théâtrale plutôt que le sanglot sincère de l’ homme ému. Au fond, Henri Lavedan, après Maurice Barrès
i Lavedan, après Maurice Barrès, nous offre l’habituel plat fade. Ces hommes , qui, pendant trente ans, ont prêché la nécessité
r de bon. D’après Diego Angeli le cas de M. Barrès est typique : cet homme robuste, président de la Ligue des patriotes, qui
plus haut encore le courage moral dont les Italiens font preuve. Les hommes qui ont des convictions basées sur la raison ou s
er avec les loups, rien n’est plus réconfortant que de rencontrer des hommes qui ne se sont pas reniés eux-mêmes ou n’ont pas
st chose géniale et il n’y a pas de doute qu’un grand général soit un homme de génie à l’égal d’un grand homme d’État ; mais
doute qu’un grand général soit un homme de génie à l’égal d’un grand homme d’État ; mais il est bon de rappeler en ces temps
pourquoi, en ce moment même, l’Italie n’envoie-t-elle pas cent mille hommes à Salonique ? Ouvrages sur la guerre actuelle.
s entraîner dans la lutte contre les empires centraux. Écrites par un homme doué d’une grande sensibilité esthétique, ces imp
t plus injuste à son égard, tant il est vrai que l’expérience que les hommes font de l’injustice ne suffit pas à leur enseigne
si les Belges n’avaient pas exagéré : après la résistance de Liège, l’ homme le plus scrupuleux n’eût pu leur faire un grief d
compliquer ou aggraver les raisons de conflits entre les peuples. Les hommes de science et les philosophes feraient mieux de s
tiques, qui n’ont d’autre résultat que d’accroître la haine entre les hommes , haine qui est le seul et le vrai ennemi à combat
combats, fraternisent avec les soldats « ennemis ». Au contraire les hommes d’étude qui restent chez eux voudraient enseigner
nous le pourrons, à tout acte qui montre au milieu de la démence des hommes en lutte l’unité persistante de la pensée humaine
article de Tosatti est d’autant plus frappant qu’il est écrit par un homme qui a été dès le début, comme les autres collabor
le et de Paris pour créer cet hellénisme dont les journalistes et les hommes politiques de France ont usé sans modération pour
urée par l’inconscience commune. On ne peut concevoir en Italie qu’un homme soit vilipendé pour avoir tenté d’élever son espr
une stupéfaction profonde ; ils ne comprennent pas qu’on exige de cet homme si humain qu’il renonce à son humanité, renie ses
20 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
ras et chantent. Sa haste enfoncée dans l’arène-patrie, Atterrit un homme en armes splendide : N’est-ce point Alcée qui rev
t un simple dégoût inspiré par les turpitudes et infamies de quelques hommes . » Comme bien d’autres, il semble moins choqué de
âchées durant la vie entière — paraissait des plus embarrassantes aux hommes de ce siècle commençant, qui, épris de perfection
cette question du Beau. N’y a-t-il pas eu — avant la Renaissance — d’ hommes sentant et pensant ? n’y a-t-il pas eu des souffr
abominables et des féeries délicieuses. Rien n’entravait l’Esprit des hommes  ; le Doute n’était point né ; et des millions d’ê
condamné — il était trop haut ; il ne pouvait satisfaire l’analyse d’ hommes qui descendaient de ces pions, de ces chrétiens à
outrepasser : au nom du style, tout est permis, car le style c’est l’ homme , et c’est l’homme que nous voulons avant tout dan
nom du style, tout est permis, car le style c’est l’homme, et c’est l’ homme que nous voulons avant tout dans l’œuvre d’art, l
e, et c’est l’homme que nous voulons avant tout dans l’œuvre d’art, l’ homme moral, l’homme spirituel, l’homme créature de Die
omme que nous voulons avant tout dans l’œuvre d’art, l’homme moral, l’ homme spirituel, l’homme créature de Dieu enfin. Un mau
ns avant tout dans l’œuvre d’art, l’homme moral, l’homme spirituel, l’ homme créature de Dieu enfin. Un mauvais tableau est pl
’est pas en vain que Shakespeare a élu pour victime de la jalousie un homme mûr, un rude soldat ignorant l’amour léger des da
pervers, cruel et dissimulé. La forte et curieuse physionomie de cet homme disparaît dans le livret de M. Boito pour laisser
21 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
une période de vingt-cinq ans. Vers les cinquante ou soixante ans, l’ homme se plaît à regarder les jours déjà écoulés de sa
les libertés politiques, religieuses et morales. À côté du citoyen, l’ homme point en lui, l’homme qui aime le beau, la nature
s, religieuses et morales. À côté du citoyen, l’homme point en lui, l’ homme qui aime le beau, la nature, le sourire des vierg
l a été banni des temples chrétiens : le Dieu crucifié a crucifié les hommes . Mais le poète sent rejaillir des sources de son
es attraits éternels de la nature ont droit au partage de la vie de l’ homme , laquelle doit se passer dans l’action et non pas
et devint une chose de luxe. Des intrigants comme Baccio Bandinelli, homme de talent encore, mais surtout homme d’érudition,
rigants comme Baccio Bandinelli, homme de talent encore, mais surtout homme d’érudition, comme San Gallo, se dressant contre
ance, qui prêche à l’humanité une évolution à rebours : un retour des hommes civilisés aux idées, aux coutumes, aux institutio
on temps, Tolstoï, « lu, discuté, admiré, critiqué par des millions d’ hommes , n’est suivi par personne ». Pourquoi ? La cause
les causes de cette abjection, le Convito ajoute : Il y a encore des hommes qui vivent et qui ne désespèrent pas, confiants d
ous l’iconoclastie des Caligula et des Tibère. Néron, ce monstre fait homme , se croyant Dieu, veut se glorifier dans un colos
la fortune humaine. Le seigneur traitait à sa table Dante Alighieri, homme très illustre alors, et qu’il vénérait à cause de
22 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
t Trente et Trieste. M. Giolitti, avec la finesse qui caractérise les hommes politiques italiens, comprit immédiatement qu’il
ipliciens. La présence de M. Barzilai ne suffit pas à neutraliser les hommes qui n’ont pas la mentalité voulue pour diriger no
patriotes en appelaient au pays de leur duplicité. Et le pis pour les hommes au pouvoir, c’est qu’ils devaient souffrir sans s
e sa diplomatie. Aux graves soucis et aux rancœurs qui assaillent les hommes habiles qui la dirigent, il est inutile et injust
ent perspicaces et fins. Son dernier écrit, Examen de conscience d’un homme de lettres, travail hâtif noté entre une besogne
petit volume, avec l’Examen (Treves édit. à Milan), nous montrent un homme en une période critique, qui s’observe lui-même i
usé que d’Histoire Romaine. Que la même idée se soit présentée à deux hommes qui ne se connaissaient pas, ou qui n’avaient enc
ce. La France envoie en Italie trop de gens de lettres en vacances. L’ homme en vacances est égoïste. Musées, monuments et pay
nthropologues allemands qui s’annexaient notre histoire et nos grands hommes , de Michel-Ange à Garibaldi ; mais il y avait aus
Dans un style brillant et quelquefois insolent de gamin florentin, l’ homme du midi ne peut s’empêcher de comparer la pauvret
Ils parlent de surhommes et de superpeuple, et ils n’ont pas un grand homme , et ils n’ont à offrir au monde qu’un joug… Le ha
entre les Alliés, est de faire coordonner les efforts. L’un donne des hommes et l’autre des canons. La France fournira des mun
uvoir humain et qu’on en voulut trouver l’origine dans la volonté des hommes , etc… Depuis qu’avec l’école pervertie, avec la m
ise presse, on a fait pénétrer dans les âmes la mortelle erreur que l’ homme ne doit pas mettre son espoir dans la félicité ét
um, au sein des peuples meurtris. Pour cela, il aurait fallu un grand homme , apôtre et poète, c’est-à-dire un génie. C’est ra
amnés à s’engouffrer dans la violence pour repousser la violence, les hommes se fussent réconfortés à cette source de bonté di
coup d’idées de l’Entente, comme il vit dans les sacrifices de tant d’ hommes qui s’immolent non pour l’hégémonie d’un peuple,
logie, en philosophie et en lettres où se complaisait son existence d’ hommes de lettres, et où il était devenu « une espèce de
expliquer l’élan d’amour instantané qui célébra, en même temps que l’ homme et le soldat, le nom de l’écrivain et du philosop
s sillons, cachée dans ces rides, indestructible. On ne voit plus les hommes , et on sent leur fourmillement : ils sont petits,
je parle, tandis que je pense, tandis que j’écris, sang et douleur d’ hommes pris dans ce tourbillon. Que deviennent les résul
iverselle et immanente qui, venue des fonds obscurs de l’être, lie un homme à n’importe quel autre. Elle ne peut lui donner n
t pauvre de philosophie. C’était la rhétorique et le plaqué de tant d’ hommes de lettres, d’historiens, que la guerre n’avait c
un piédestal massif, et n’étaient pas soutenus par l’orgueil de tout homme qui a atteint l’immortalité ? Ceux qui vivaient d
, qu’il n’est pas séparé du monde, qu’il n’est pas éternel, qu’il est homme lui aussi, et destiné à mourir. Et lui, Renato S
Au-delà, il y avait d’autres soldats, et une position à conquérir. L’ homme de lettres ne percevait pas autre chose que la ma
’information ; il y en a qui témoignent qu’ils ont été écrits par des hommes qui se donnent la peine de penser ; il y en a qui
ns la Voce, avant la déclaration de guerre, analyse l’état d’âme d’un homme nourri de bonnes lettres et de hauts sentiments,
’une âme qui connaît le monotone passé et les immuables destinées des hommes , la radicale inutilité de la guerre. Il y a, dans
s, les conquêtes ont bouleversé la surface, ont changé les noms : les hommes , avec leur grandeur et leur misère, sont toujours
incial et mélancolique tel qu’il était vu par les yeux ironiques d’un homme qui en avait assez des fausses grandeurs des roma
d’un groupe qu’on pourrait nommer des « poètes moralistes ». C’est un homme tourmenté qui se connaît très bien et qui a la co
un tout amusant à lire et instructif. C’est évidemment le livre d’un homme de presse, mais aussi un document pour ceux qui s
st-il dit dans le Manifeste, défendit la structure physiologique de l’ homme des excès de la sensualité. Elle modéra ses insti
modéra ses instincts et les équilibra. La morale futuriste défendra l’ homme de la décomposition déterminée par la lenteur, le
cetti marinettiens. Et puis comment ne pas regarder avec sympathie un homme qui ne cesse d’insuffler le courage au cœur de se
e n’aurait aucun intérêt pour eux si les doutes et les angoisses de l’ homme n’en rehaussaient la valeur. La précision des joi
ses héros : il est si facile d’appeler indécision les angoisses qu’un homme peut éprouver en présence de l’infini, s’il veut
qui meurent parfois de n’avoir pas été comprises : en vérité, pour un homme positif, y a-t-il rien de plus ridicule ? Il sava
Cortis aime sa cousine Elena, et, bien que celle-ci soit mariée à un homme indigne, il s’applique à triompher de sa passion
er en soi la discipline intérieure, cette discipline qui interdit aux hommes de sacrifier les ordres de leur conscience à l’ép
igure de Daniele Cortis traduit assez bien les traits principaux d’un homme comme Fogazzaro, d’un esprit qui ne peut s’affran
ntemple l’infini, il ne sent pas crier en lui la douleur immense de l’ homme épouvanté par le néant, il n’est point accablé co
causes ; mais il est certain qu’il eût mieux aimé que l’histoire des hommes fût moins glorieuse au point de vue militaire et
nception de l’histoire basée sur cette philosophie ? Pascoli aime les hommes  ; c’est pourquoi sa poésie est pleine de leur sou
nt se terminer, la poésie d’un Pascoli ne finit pas dans l’esprit des hommes . § La guerre n’a pas beaucoup nui à la renommée d
les folles jalousies, les subtils désirs qui énervent et brisent les hommes et les femmes les mieux constitués. Il a voulu de
t d’abord la maîtrise de soi ; puis c’est la profonde discipline de l’ homme cherchant à dominer son démon intérieur, c’est au
ence accuse-t-il les rêves pacifistes d’entretenir les nations et les hommes dans un coupable optimisme ! « La vie des peuples
but caché dans l’ombre des siècles futurs. Voilà où est la vertu de l’ homme , et la puissance de la vie apparaît seulement en
’eux qui ne veuille ennoblir l’évolution intellectuelle et morale des hommes et adoucir la rigueur de faits. N’est-ce pas l’es
t de la voix sur lui, est justement ce qui doit inquiéter le moins un homme bâti pour être habité par le rêve. Si Tito Bassi,
la bataille de la Marne. Certes, entre ces milliers et ces milliers d’ hommes qui, héroïques de volonté tenace, active, avaient
23 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
qu’elle reprendra passagèrement quelque force. Un très petit nombre d’ hommes cultivés et affinés est capable de ressentir fran
ère partie d’une « Trilogie romantique », la Joie est l’histoire d’un homme qui s’est trop analysé, qui a trop réfléchi, et q
sée dans les humbles gobelets et dans les larges cratères, et qu’à un homme qui peut comprendre tout et jouir de tout, la nat
s informe qu’en France dans quatre-vingt-dix-neuf mariages sur cent l’ homme seul aime sa femme, tandis qu’à la femme son mari
candide dont les légendes ont conservé le souvenir. C’était aussi un homme d’une volonté admirable et d’une originalité faro
té, il dut y avoir quelque rumeur dans les régions de la Logique : un homme mettait d’accord, jusqu’à l’extrême, jusqu’à l’ab
murmure contre toi ; il faut faire la paix ; tu n’offenseras plus les hommes et les hommes te pardonneront. » Le Loup fit des
toi ; il faut faire la paix ; tu n’offenseras plus les hommes et les hommes te pardonneront. » Le Loup fit des signes de soum
n nourri ne fera plus aucun mal et qu’il vivra comme un ami parmi les hommes . Cet apologue est admirable. Il semble la traduct
 ; mais en attendant, cela ne me paraît pas un mal pour sa carrière d’ homme de lettres. M. Oliva publie, — ou mieux, publiait
le lecteur légèrement désappointé. Il fallait dire quelque chose de l’ homme , de sa vie, de ses œuvres. On sait qu’entre la vi
volume : des études sur Giordano Bruno, sur le Tasse considéré comme homme et poète moderne, sur Ferdinand Lassalle (dont M.
mi : M. Ojetti vous a donné une heure de distraction, il s’est montré homme d’esprit et de goût. C’est, d’autre part, un tabl
rir les papiers de Giacomo Leopardi et les confier à une commission d’ hommes de lettres et d’érudits qui en surveilleront l’éd
24 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
ie de lauriers-tins. — Qu’est-ce ? Qu’y a-t-il ? s’écrièrent les deux hommes accourant vers elle. — Rien, rien, répondit-elle
paraissaient des intrus dont les soupirs gâtaient l’effet du fond. L’ homme gâte le paysage, c’est connu. Puis il y avait les
e de figuier, par laquelle les jeunes filles innocentes croient que l’ homme appartient au royaume végétal. Et quelles émotion
e encore, simplement, loin des tapages et il est aujourd’hui encore l’ homme droit et modeste de ses premiers jours de bataill
littérature assez aristocratique. Cette floraison, provoquée par des hommes pratiques, froids, experts, décèle un mouvement i
jet d’admettre dans l’institut cette canaille de mari, ce Busolo, cet homme abominable qui l’a ruinée. Le docteur arrive, sui
de ne pas tourmenter ses derniers jours à elle avec la présence de l’ homme qui l’a traitée si indignement pendant toute la v
oire à la comtesse, se trahisse. L’aveugle, en entendant la voix de l’ homme haï, en écoutant de nouveau ses menaces, a une cr
un événement littéraire. L’Egoista, qui, tout en étant l’étude d’un homme à l’égoïsme implacable et souriant, abonde en sit
tions dramatiques, présente en des raccourcis audacieux la vie de cet homme dans ses phases principales, en conflit avec ses
arion Crawford a le plus curieusement dessiné est Giovanni. Ce pauvre homme , estropié, laid, qui n’a dû qu’à une assez basse
t aperçu d’histoire qui explique les œuvres par les événements et les hommes , puis une description topographique de la ville e
rer dans les petites fentes de son gaufrier, qui continue à dresser l’ homme au sommet de la pyramide animale. Il n’y a pas de
as d’Aquin a dit : timeo hominem unius libri  ; c’est une bêtise : l’ homme d’un seul livre n’est souvent qu’un sot, et l’hom
st une bêtise : l’homme d’un seul livre n’est souvent qu’un sot, et l’ homme d’une seule science n’est souvent qu’un maniaque.
habitués à le considérer avec plaisir comme un simple journaliste. En homme d’esprit, il doit gâter au plus tôt le plaisir de
t défiler sous les yeux. Si je ne savais pas que Jules César a été un homme extraordinaire, le drame de M. Corradini me laiss
de reconstruire ce monde, de peindre dans ces souverains méprisés les hommes politiques qui, à travers les bassesses des sens
ement. Un beau type d’aventurière, que les circonstances plus que les hommes finissent par démasquer. La Settimana de Mati
avoit, outre son monde, une garde que le Pape luy avoit donnée de 200  hommes . Nous avions quitté l’Académie par les conseils d
livre initial, tout un programme de travail qui peut emplir une vie d’ homme , une telle aventure n’avait pas été tentée et si
nistration des richesses artistiques d’une grande nation offrait à un homme d’érudition et de goût ont collaboré avec l’« Amo
erche des attributions. Elle est un épisode de la lutte acharnée de l’ homme contre le temps, cette lutte que si étrangement n
statuaire. Un instant vient où les générations, héritières d’un grand homme , comme lui se dégagent, instruites par lui, des p
C’est alors que les grandes signatures s’effacent. Mais plus tard des hommes aux yeux moins ouverts, aux esprits moins largeme
ine. Leur pinceau semble indifférent. Ils tiennent un compte égal des hommes et des choses : un visage, une nature morte. Ils
on divine de la vie, un reflet de Dieu et non pas une dépendance de l’ homme . Ils ne se croient point, il leur serait impossib
Van Eyck nous affirme que l’Être suprême se réduisit pour l’amour des hommes , d’autant plus sublimement divin que plus modeste
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
e Parme ? » Et Casanova de répondre : « Pour prouver sans doute qu’un homme d’esprit a son côté faible tout comme un sot. » O
Monsieur. Vieillesse et maladie sont deux fort sottes choses pour un homme qui aime comme moi le travail et le plaisir. » Ic
msterdam, à Cologne, à Bonn, à Stuttgart, à Zurich, à Berne, il est l’ homme à la mode, celui que se disputent certains salons
lui communique une narration bien faite2. » En revanche, Choiseul, en homme toujours pressé, ayant eu l’impardonnable distrac
tier a formé, lancé à travers le monde, adulé plus que tout autre : l’ homme à la mode. Dans un siècle où les femmes, suivant
lles que les Chérubin, cette séduction irrésistible qui s’attache à l’ homme pour le prestige de ses aventures passées, pour l
solennelle ; et il ajoute : « Il s’en fallait bien que chez ce grand homme cette solennité pût m’être favorable3. » Ce n’est
hose de plus sous la sévérité de ce jugement : c’est l’animosité d’un homme à succès, d’un homme à bonnes fortunes, contre un
sévérité de ce jugement : c’est l’animosité d’un homme à succès, d’un homme à bonnes fortunes, contre un rival heureux et adu
le ciel qui vous a inspiré l’amour du plus divin passe-temps dont les hommes de goût et les femmes vertueuses puissent jouir q
mme les plus ingénieux et les plus patients de nos interviewers : cet homme , qui court le monde depuis tant d’années, qui se
, qui court le monde depuis tant d’années, qui se plaît « à étudier l’ homme en voyageant12 », qui a eu dans son pays des aven
rti-pris de touches ternes, de traits étroits. Ce n’est pas un pauvre homme , il s’en faut, que l’historien nous présente là ;
homme, il s’en faut, que l’historien nous présente là ; mais c’est un homme positif, désenchanté, jusqu’à la platitude ; reve
les armes lui avaient donné ; elle comprenait qu’elle avait besoin d’ hommes d’État prudents, de diplomates avisés, d’admirate
26 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
plus notre manque d’objectivisme qui nous fait nous lancer les grands hommes à la tête pour des considérations philosophiques
ccident de Caporetto, il nous arriva plusieurs fois de rencontrer des hommes éminents qui comptent parmi les plus fougueux « i
quatre grands établissements de crédit où l’Allemagne a conservé des hommes de paille. D’autres ramifications partaient de la
trante font apparaître les choses sous un aspect à l’égard duquel les hommes sont aveugles. Pour agir sur eux, il faut leur pr
socialisme officiel italien. Mais combien je fus navré d’entendre un homme de la valeur de Turati me dire à Milan, même aprè
ire… L’honneur du socialisme italien aura été sauvé en Italie par des hommes comme Filippo Corridoni, glorieux mort de Sagrado
envoyer alors au front, en manière de châtiment, quelques centaines d’ hommes employés jusqu’alors dans les usines de guerre. Q
s semaines le théâtre de furieuses offensives autrichiennes. Un petit homme aux joues roses, à la barbe fourchue, aux manière
de la campagne, les petits-fils de Garibaldi réunirent bientôt 12.000  hommes qui furent convoqués dès le 31 juillet. Le capita
Avec les morts, les blessés, les malades, ils étaient réduits à 1500  hommes . — Le récit indique cependant les honneurs rendus
re italien à côté du nôtre. Lorsqu’ils s’avancent pour se battre, les hommes crient, gesticulent, prennent la pose héroïque ;
ste, et sans appuyer, que les circonstances n’ont produit aucun grand homme , — Hindenburg excepté, où l’on enfonce des clous,
is l’Italie a une natalité assez forte pour ne pas se montrer avare d’ hommes , d’autant plus que ses économistes peuvent lui dé
la guerre, sera au moins de 37 millions après la guerre, les pertes d’ hommes au feu ayant été (relativement aux autres pays be
é, sans avoir su seulement comprendre la tâche héroïque à laquelle un homme de génie l’avait convié. Si M. Paul Guiton reconn
ité tout à fait remarquables. À une situation nouvelle, il fallait un homme nouveau. Le gouvernement italien a eu la sagesse
italiennes ont souffert de leur côté ; mais l’Italie a appelé 800.000  hommes sous ses drapeaux. Chaque jour gagné améliore sa
manque un César Borgia Dernièrement un de nos grands, très grands, hommes de guerre disait à un de ses pairs : « Il nous ma
a, ce poison mystérieux qui tue sans laisser de traces. » Et les deux hommes de guerre, autrefois on disait « foudres », conti
tant manqué avant le mois d’octobre. Du même cabinet font partie des hommes de tendances très variées : M. Nitti, ex-giolitti
scours de M. Lloyd George (5 janvier) et Wilson (8 janvier). Les deux hommes d’État avaient fait allusion aux désirs de l’Ital
e de Mazzini, le jugeant meilleur et plus sensé que celui de bien des hommes politiques passés maîtres dans l’art des combinai
e M. Clemenceau : en tête des numéros des 20 et 23 novembre 1917 de l’ Homme Libre ont paru deux articles intitulés « le Désas
ositions même les mieux fortifiées ne valent qu’autant que valent les hommes et ceux-ci ne valent qu’autant que valent leurs c
valent leurs chefs ». À ces notations précises, à ces remarques d’un homme compétent que confirment entièrement les paroles
. J’ai pris la peine de lire les deux très intéressants articles de l’ Homme Libre sur lesquels s’appuie M. Mesnil. Celui-ci l
illages entiers, peuplés de déserteurs. C’étaient pour la plupart des hommes venus en permission, qui refusaient de retourner
u total, 16 millions de francs. […] Citons encore : […] un portrait d’ homme par le Tintoret, 230.000 ; un autre par Moretto d
elges à l’invasion et à la domination allemande, et je m’étonne qu’un homme qui tient école de patriotisme à l’usage des autr
t mis à la torture par Ser Villano da Gubbio, cavalier du Podestat et homme très énergique. Dolce disait : « Messer, que voul
s. » Cet éloge de la politique de M. Nitti est mérité, car, parmi les hommes d’État de l’Italie contemporaine, il en est peu q
attaqué. Il a parlé dans de nombreuses réunions, il a causé avec des hommes politiques, et son ardeur à agir n’a point été st
dre à merveille le rôle des divers partis, les classes diverses : les hommes qu’il a choisis pour les décrire marquent dans le
e grandes solennités artistiques et scientifiques en l’honneur de cet homme de génie. En Italie, le ministre de l’Instruction
ctuellement secrétaire d’État au ministère des Pensions. C’est un des hommes qui connaissent le mieux l’œuvre de Vinci à laque
victoire est le seul qui soit digne de vivre. La peur peut vaincre un homme , mais la voix du devoir fait vaincre la peur. Ris
fois pour toutes l’État a inscrit au fronton du Panthéon : Aux grands hommes , la patrie reconnaissante ! Arrigo Boïto, fils de
était peut-être pas si faible. Il a pu s’apercevoir que si, parmi les hommes que réunissait le Congrès de Rome, tous n’étaient
voir si on voulait faire des concessions assez importantes. Plusieurs hommes politiques comprenaient que, pour faire disparaît
gheria », qui réunissait, sous la présidence du sénateur Ruffini, des hommes aussi divers que MM. Torre, Barzilai, Arcà, Marav
à la suite du motu proprio de Paul IV qui excluait de la chapelle les hommes mariés. Il passa à Saint-Jean-de-Latran, où il re
e plus de 90 ans. En voici le tableau instructif : Professions Hommes Femmes Agriculteurs et pasteurs 1 887 621 Hôt
profession de propriétaire convient beaucoup mieux aux femmes qu’aux hommes  ; par contre les laboureurs et les bergers vivent
talia. Je me demande, dit-il, s’il est licite — pendant que tous les hommes cultivés s’efforcent d’éclairer l’opinion publiqu
solennellement et auquel, chaque jour, nous demandons des secours en hommes et en moyens… Sans doute, le paradoxe — et son p
leur l’individu, élément permanent du progrès futur, extraire de tout homme son maximum de capacité créatrice afin que chacun
es colonies. C’est une faute qui n’est pas imputable à la volonté des hommes , mais à la pensée, qui n’a pas compris de prime a
ch, lui-même victime du régime contre lequel il s’élevait ; Tous les hommes aux sentiments nationaux, conscients et honnêtes
Ils l’ont d’ailleurs montré en chassant de leurs rangs les très rares hommes politiques, comme M. Susterchitch, qui rêvaient d
à l’Entente en Macédoine et en Russie, en fournissant au moins 80.000  hommes à ses armées18, ils n’ont pas fait moins sur le f
r programme devrait donc sans tergiversation être adopté par tous les hommes d’État de l’Entente. Si même les Yougoslaves d’Au
ce, tienne et mienne aussi. Je maudis l’infâme assassin de millions d’ hommes , qui, l’ayant préparée depuis trente ans, a décha
hui plus de soixante ans. Il a cette verdeur qui paraît l’apanage des hommes de sa génération. Il y a de ses œuvres au Luxembo
27 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
de 9,000 fr. ; ce qui serait une fiche de consolation si la vie de l’ homme n’était constituée d’un si petit nombre de trienn
eux méthodes, deux buts différents. Tandis que M. Corradini montre un homme qui n’a confiance qu’en soi et qui, lentement, to
vers de celui que Giacomo Vettori rêvait dans sa naïve complaisance d’ homme d’action. Il a vite gaspillé son argent, en Améri
la gondole somptueuse de son imagination, s’il pouvait être un autre homme que l’artificier imaginifique, il serait surpris
(vous le verrez tout à l’heure) tellement de talent à eux tous, que l’ homme de génie survenant et rompant la monotonie de leu
de la liberté de la presse, on ne parle jamais de lui. La société des hommes de lettres français devient donc une société indu
touche très intelligente et très libre, avec, pour fond à la vie de l’ homme , la vie du temps en sa variété et son pittoresque
style souple et coloré. M. Lebey a intitulé Essai cette étude sur un homme et sur un temps. En tout cas, et dans un autre se
s Mémoires, mais il ne s’avise pas d’y chercher la psychologie de cet homme extraordinaire. Sans doute le Vénitien était joue
dire de cet amoureux singulier qui avait fait de l’amour son métier, homme à bonnes fortunes si jamais il en fut, et qui, lo
endre s’appelaient F. Genzel et C. Angiolini. Mais Brockhaus était un homme trop avisé pour acheter au hasard, sans connaître
rand public. M. Ceccardi jouit d’une renommée sûre et claire près des hommes de lettres et des gourmets littéraires : je voudr
is trente ans. Les jugements que portent sur lui les critiques et les hommes de lettres oscillent entre l’admiration inconditi
ce et la Toscane, Hachette, 15 fr. M. Eugène Müntz est peut-être l’ homme de France qui connaît le mieux l’art italien des
e sympathie très marquée. J’ai entendu, encore dernièrement, quelques hommes politiques, — (voit-on assez que je vis, à Rome,
Rome, dans les coulisses du monde parlementaire ?) — j’ai entendu des hommes politiques rappeler les vers de Remigio Zena avec
écrivain plein de goût et de verve, avec cet aimable scepticisme des hommes qui ont beaucoup vu et vécu, il cherche le beau o
passe tandis que les huées de la foule montent et le désarroi de ces hommes politiques devient de plus en plus clair et signi
e rancune : elle échange quelques mots avec Achille Lucchi, un de ces hommes qu’on lui a indiqués comme les plus résolus, et s
28 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
o Peruggia, voleur de la Joconde. Il est de la race des conducteurs d’ hommes . Il ne lui manquait que de bien connaître sa doct
incenzo Peruggia sait le lien étroit entre la terre et les œuvres des hommes . Il ne lui suffit pas que l’Italie soit aux Itali
, ne les reconnaîtra-t-il pas ? Ne lui a-t-on pas dit que le sol, les hommes et les œuvres ne sont que trois aspects d’une mêm
eure du thé aux belles dames et aux camarades dans les brasseries. Un homme de tradition ne devait même pas s’arrêter devant
lus grande liberté, rapidité et énergie la vie multiple et mêlée de l’ homme moderne, qui vit et voit plus intensément l’agité
faire cocu, ce qui sera enfin digne de moi. » Les pensées des grands hommes données par l’Almanach purgatif ne sont pas moins
i ne sont ni dans le ciel ni sur la terre. Shakespeare. J’ai connu un homme tellement peureux que, bien que bon catholique, i
re. La famille est une chose si déprimante et si embarrassante pour l’ homme que les seuls êtres vraiment libres sont les enfa
fants dès leur naissance. J.-J. Rousseau. Les bouchers sont les seuls hommes que l’on puisse comparer aux esprits libres : les
rien à dire contre la femme, sinon qu’elle ne ressemble pas assez à l’ homme . Oscar Wilde. La dernière forme de la foi consist
usqu’au seuil de ses appartements. — Cette brute sait jouer le galant homme , murmura Mondella. Ses manières abusent, certaine
a Paolo Mondella. — Allons dans le fumoir, répliqua Antonio. C’est un homme de quarante-cinq ans, de haute taille, mais mal p
me choquaient. Je souffrais presque de me voir traité en ami par cet homme . Mais je me plaisais chez lui, les soirs de récep
plait Tebaldo, affirma Paolo. Je gage qu’il est son amant. Il est bel homme , il a une belle voix, de beaux yeux… — Il est bie
. Sa physionomie a perdu sa douceur : ses yeux intimident presque cet homme dont elle redoute les visites nocturnes. — Qu’y-a
? — Non ! — Et si j’ajoutais : « Pour éviter un scandale — je suis un homme qui ne recule devant rien — tuez-vous, en expiati
a-Lucente hante ma mémoire. L’attitude de cette femme et celle de cet homme me parurent tragiques. Nous étions silencieux. Je
posai : — Allons les écouter. Le pianiste Pietro Morga était un petit homme . Tête de tzigane, teint de terre cuite, yeux rond
un autre âge ! Mon cœur est déchiré par des sentiments que les autres hommes n’éprouvent plus ! Qui de nous oserait être amour
s imaginé Morga s’il avait pu voir se dessiner, ainsi, cette, ombre d’ homme  ? Rien de plus âpre que la réalité, sans doute !
félicite de les avoir exécutés. Aldramino me l’avait dépeint comme un homme du monde, et ne voilà-t-il pas qu’il fume devant
la porte d’eau, au moment où Wellseley quittait le palais. — J’ai les hommes qu’il te faut, dit le peintre. — Je l’ai compris,
y ? — Comme de moi-même. — Morga, vous me plaisez. — Je le sais ! Les hommes à qui vous avez parlé, comme vous venez de me par
s. J’ai mon modèle, devant moi, mais je ne suis pas seul avec lui. Un homme est là qui se promène de long en large, épiant me
peins mon œuvre véritable. Votre musique soutient mon inspiration. L’ homme dont je vous ai parlé s’est enfin lassé de son rô
a et de cet immortel ouvrage ! — On ne saurait trop se méfier avec un homme comme Stella-Lucente ! — Vous avez raison. Et par
, dans les couloirs, j’ai surpris un grave député de Venise, illustre homme d’État, qui, d’une jambe hésitante, essayait d’ap
lais Stella-Lucente, Antonio fit venir Beppo : — Tu me réponds de ces hommes  ? demanda-t-il. — Je vous en réponds. — Tu les co
manche de son corsage. Brusquement, elle pensa qu’il y avait d’autres hommes dans la pièce, et que l’harmonie n’était pas la v
s la pièce, et que l’harmonie n’était pas la voix des parfums. Et ces hommes ^ elle ne savait pas qui ils étaient. Beppo l’avai
me dit-on. — C’est exact ! certifia Antonio. — Existe-t-il un modèle, homme ou femme, qui ne soit pas curieux de savoir ce qu
 : Je t’avais avertie ! Maintenant prends garde ! Nous aimons le même homme  ! Nina. Elle se leva, s’habilla, sortit par la pe
: « Je t’avais avertie ! Maintenant prends garde. Nous aimons le même homme  ! » Tu n’as pas suivi les conseils de la Nina ! E
e son maître, un paquet volumineux. — C’est pour le peintre, ajouta l’ homme . J’envoyai Morga aux Zattere. Vingt minutes plus
… Je pensais bien qu’après le billet de la Ceschini tu irais chez cet homme …si je t’avais suivie, je t’aurais tuée ! Mais tue
irait obtenir de la cour papale : l’annulation de son mariage avec un homme qui l’avait misérablement abandonnée ? On parla d
dans l’humanité. Je suis anéanti par ce voyage à travers le cœur de l’ homme  ! Ce fut une tempête : le dernier éclair m’a foud
musements ; dans ses sensations plus sincères devant la vie. Il est l’ homme qui collectionne sans honte et sans pose masques
nciers. Il adore, comme tous les enfants, les bêtes qui vivent avec l’ homme et qui lui ressemblent : les chiens et les perroq
res — explique le poète — des autres poésies. » Et il conclut : « Les hommes ne demandent plus rien aux poètes — Laissez-moi d
et extraordinaire qu’on ait publié dans notre langue. Il s’agit d’un homme de fumée (« léger, très léger ») qui tombe dans u
code de lois nouvelles. À la fin, on le jette dans une prison, mais l’ homme de fumée s’échappe dans le ciel comme un petit nu
nche balkanique. C’est l’Italie. Lisez les discours prononcés par les hommes d’État dirigeants et responsables de la Péninsule
conquis, au prix de 1 100 millions et en envoyant en Afrique 120 000  hommes , la Cyrénaïque et la Tripolitaine ; non seulement
budget. Le cabinet a déjà dû renoncer à accroître l’armée de 120 000  hommes , selon la formule de l’état-major, et il s’est en
i été invité par un jeune musicien à entendre de sa musique. C’est un homme bien élevé et plein de talent. Il s’appelle Alber
pre mal à propos la forte et la chaleur de l’action21. Métastase, en homme respectueux des usages établis, plein de goût et
osé, quels sujets seront favorables à ce genre de spectacle dont « un homme de goût un peu sévère a dit en France que l’opéra
rivait vers 1776, Algarotti était « le philosophe le plus érudit et l’ homme du goût le plus exquis qui nous ait raisonné sur
mme le xviiie  siècle en possède une amusante et pittoresque galerie. Homme d’affaires, inventeur d’un système de loterie qu’
es plans d’actions théâtrales imaginables31. Ces idées, qui sont d’un homme de théâtre, Calzabigi, longtemps plus tard, les e
rra termine par ces lignes : Et nous nous sommes demandé de quoi cet homme pouvait encore être capable, qui peut tracer les
29 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
aire comprendre à tous le mot de Montaigne, « la véritable étude de l’ homme , c’est l’homme », et celui de De Brosses, « ce n’
à tous le mot de Montaigne, « la véritable étude de l’homme, c’est l’ homme  », et celui de De Brosses, « ce n’est pas dans le
lui de De Brosses, « ce n’est pas dans les possibilités, c’est dans l’ homme même qu’il faut étudier l’homme ; il ne s’agit pa
s dans les possibilités, c’est dans l’homme même qu’il faut étudier l’ homme  ; il ne s’agit pas de regarder ce qu’il aurait pu
que M. A. Lumbroso nous déclare venir « pourtant en ligne droite d’un homme qui habite sous la Coupole, ou du moins s’y trouv
ns d’un siècle après la rédaction définitive de la célèbre Chanson. L’ homme symbolique, le guerrier béni par le Seigneur des
in que de voir en Charlemagne le héros national de l’Italie. Ce fut l’ homme symbolique d’une Épopée religieuse qui n’était po
trop attachée à ses formes acquises, données de temps en temps par un homme génial, pour se décider à s’en détourner tout d’u
incapable d’en inventer une différente, est contraint d’idéaliser, un homme pour faire un Dieu, malgré l’absurdité d’attribue
té et d’ancienneté l’emporte sur la raison. Pour Jésus qui s’est fait homme l’anthropomorphisme va de soi : mais le Saint-Esp
a l’aspect de la vieillesse, pour satisfaire à la notion filiale de l’ homme . Sans doute Dieu pourrait employer ses élus, ceux
sidérer les fables comme de grossières imaginations proposées par des hommes tyranniques à la masse qu’ils voulaient dominer.
pèce sont des faits. Dieu et l’âme sont vivants, depuis qu’il y a des hommes et alors même que les définitions qu’on a données
nce et qui supprime les points d’interrogation posés par les premiers hommes et que poseront encore les derniers, celui-là est
dans leur ronde enivrée. Partout l’ange relie le ciel à la terre et l’ homme à Dieu ; sa radieuse apparition est la seule preu
. Une femme de lettres du xive  siècle. Austère philosophe et presque homme d’État, elle est forcée de vivre chez un vainqueu
à la carrière de l’artiste et où éclatent à la fois l’arrivisme de l’ homme et le génie du musicien. La compétence des plus f
dur à autrui qu’indifférent en apparence à son art. Et cependant cet homme a été Gluck, le Gluck radieux et véhément qui rév
randes visions, des paysages d’orages, des orages de la nature et des hommes  ; mais le souffle était court. Et où la poétesse
tombes ; quelques jolies femmes bien fières, bien froides ; quelques hommes grands et droits comme des peupliers, s’élevant a
s immobiles comme des statues. On ferait le portrait à la course d’un homme en carrosse. Un modèle ne pose pas avec plus d’im
[manque]. Deux portes d’airain présentent tout ce que le travail des hommes peut offrir de plus admirable, l’art, la patience
quand on me rappela de l’intérieur de l’église où il n’y avait qu’un homme du peuple malade et en prières. Nous tournâmes al
ierges allumés. Un prêtre ouvrant la marche avec un crucifix d’or. Un homme portant sur son épaule une petite botte vernissée
mpuissance contre les rayons du soleil dans sa force. Des femmes, des hommes , des enfants, tous portant leurs cierges funèbres
parmi les prêtres, silencieux comme le cortège nombreux de femmes, d’ hommes et d’enfants, qui suivaient tous avec leur lumièr
nne et comme on les décrit dans les contes des fées. Les chevaux et l’ homme qui les dirige fendent l’air si rapidement qu’ils
qui se succède sur cette route pour aller voir le camp de douze mille hommes qui vient d’être élevé comme par un coup de bague
ut-être et tourmente son agonie. J’ai le cœur serré de la mort de cet homme , parce qu’il a trop souffert et que c’est une nou
nisera les sons profonds et vagues qui remuent obscurément son cœur d’ homme moderne. Ce pèlerinage d’un grand poète à la rech
ue j’aurai mon tertre funéraire dans une région jamais piétinée par l’ homme blanc. J’irai sans hésiter, en chantant. Le soir
rêve gonflaient le cœur des terrestres tournés vers l’Assomption de l’ Homme . » Tandis « qu’une race entière fut nouvelle et j
Cantelmo. D’Annunzio s’est plu encore une fois à enrouler autour de l’ homme typique et beau l’innombrable filet de la féminit
lle vengeance à jamais inassouvie de la nature biforme, à annihiler l’ homme fort, l’homme type, le « Vir » ; et encore une fo
à jamais inassouvie de la nature biforme, à annihiler l’homme fort, l’ homme type, le « Vir » ; et encore une fois la femelle
de la mort dans la vie, qui renouvellent sans cesse dans le cœur des hommes l’image et l’angoisse de l’éternelle stérilité. U
par cela même une précision satisfaisante et joyeuse. Et le rôle de l’ homme de génie, s’il est vraiment tel, consiste dans l’
éalité de notre histoire contemporaine. Du reste, César Borgia fut un homme dans toute l’acception du mot… Je ne lui reproche
avec eux le Fou et le Page qui les ont trompés. Comme la chemise d’un homme heureux du conte arabe, la femme vertueuse et jol
ne réalité, mais leur vertu n’est qu’un mensonge de comédie. Tous les hommes sont trompés. Ils n’ont qu’à se résigner à l’être
éale à accomplir dans la vie renouvelée de sa nation, Alfredo Oriani, homme de lettres et surtout homme d’idées, fut amené pa
renouvelée de sa nation, Alfredo Oriani, homme de lettres et surtout homme d’idées, fut amené par l’intolérance de son carac
silence indifférent, aux apparences involontaires, qu’on accorde aux hommes et aux choses sans signification. Cependant l’écr
elle-même. On le dirait content de briser ses derniers liens avec les hommes . Il voit peut-être dans l’impossibilité d’être co
nu ; une lourde pierre semble baissée pour toujours sur son tombeau d’ homme vivant. Alfredo Oriani était enfin sorti de cet
qu’elle permet les plus larges expressions de toute l’émotion que les hommes peuvent ressentir devant ces révélations incessan
pour tous. C’est pour cela que la musique influence en même temps les hommes et les animaux ; l’expression animale autant que
Birmingham a besoin d’une chaire de littérature grecque, puisque les hommes ne sont pas nés pour construire des machines, mai
eur de Faust : … Ce qui lui plaît le plus à Venise, et ce qui, comme homme du Nord, l’attire déjà par le contraste, c’est la
u de la Montagne Pelée. Tout tremble, tout s’effondre et il reste des hommes qui menacent le ciel de leur poing, des femmes pl
la macchina), 1905. Livre extrêmement intéressant. Pour M. Morasso, l’ homme de l’avenir est le chauffeur ou wattman, l’uomo
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
Renaissance : Ludovic le More. Si la recherche des restes d’un grand homme honore, comme on le dit ordinairement, les épigon
l chercha à triompher d’eux, jusqu’au jour où il fut le vaincu. Comme homme et comme souverain, il ne fut point le Mécène, da
e le vulgaire attache à ce mot. Il ne protégeait pas les artistes, en homme qui donne pour que d’autres le servent en beauté.
seule joie de vivre, d’un tout petit souverain, et peut-être de tout homme qui en commandait quelques autres, faisait un Cés
Michel-Ange, et l’on oublie surtout que les rapports extérieurs d’un homme de génie ne doivent être envisagés qu’au point de
bien plus qu’un artiste asservi à un Mécène. Ludovic voyait en lui l’ homme étrange et puissant, au génie inépuisable, en tou
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
ntelligences sont en plus grand nombre que les effets concevables aux hommes . Elles possèdent toute béatitude ; ce qui compren
Le titre de noble s’accorde à quiconque est fils ou neveu de quelque homme puissant, fût-il lui-même un personnage de rien.
uissant, fût-il lui-même un personnage de rien. Moi je déclare vil un homme méchant qui descend d’un juste. En supprimant un
une quadrature ; en supprimant la raison, il ne reste plus rien de l’ homme . VIII. — Le plus noble rameau de la raison est le
ui qui les possède est semblable aux dieux. Car de même qu’il y a des hommes bestiaux, il y en a d’autres nobles et divins. Qu
rte, aimante, courtoise et loyale. Placé dans un cercle méridional, l’ homme jeune doit regarder en arrière le passé et en ava
rtus naquirent. Hortensius mourut et Martia retourna à Caton. Et quel homme terrestre fut jamais plus digne que Caton de repr
le de son audace : il voulut purifier la foi, elle s’est éteinte. Des hommes pratiques se sont emparés du pouvoir spirituel. A
32 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
n’est pas la musique. Les femmes vont à l’Opéra pour être vues ; les hommes pour voir, lorgner les femmes dans la salle, les
-Cyr pour s’apercevoir que l’auteur a personnellement la pratique des hommes et des choses d’Italie. Autant qu’il le connaît,
s connaissons encore mal — et c’est un plaisir d’être instruit par un homme qui possède bien la question — les détails de la
ces prouesses avec une conviction peu banale. M. Arturo Vigna est un homme ostensiblement énergique qui, outre par aventure
t vient de perdre un œil et sa mère. On ne peut être méchant avec cet homme dont le sort, tout escompté, est triste ; mais il
, comme sur terre, les vallées, le contour des massifs montagneux : l’ homme peut les parcourir à son gré en tous sens. C’est
is en d’autres temps et que n’ont jamais possédé les Germains. Un des hommes qui de nos jours ont le mieux exprimé ces choses
ages : « Les civilisations antiques, dit-il, excellaient à refréner l’ homme au point de l’empêcher de commettre des folies tr
sse antique qu’elle a oubliée, à soumettre l’énergie désordonnée de l’ homme à l’influence modératrice de règles et de princip
ut ce qui n’est pas germanique. L’expression suprême en est dans leur homme de génie, Richard Wagner, en qui Arminius lui-mêm
otre tendance à partir d’idées générales, avec la culture de tous nos hommes d’État, l’entente dans l’ordre matériel serait fa
ner, par notre propre activité, l’activité des forces universelles, l’ homme en général et l’artiste en particulier la portent
que Machiavel a développé les maximes qui l’ont rendu célèbre : « Les hommes sont plus portés à ménager celui qui se fait aime
ne. Tour à tour chapelier, pâtissier, gantier, maçon et tailleur, cet homme aux cheveux crépus a d’abord fait partie de la tr
cer d’avance la gloutonnerie impérialiste d’un peuple conduit par des hommes si habiles, et prudents. Ils sauront bien trouver
pris pour les deux Brefs ; si tu vois que tu peux les envoyer par un, homme de confiance qui me les remette, envoie-les : sin
trozzi. J’ai connu Giovanni Strozzi quand j’étais enfant ; c’était un homme de bien, je n’ai rien d’autre à t’en dire. J’ai c
Une fois là je ne pus continuer comme j’en avais l’intention, car un homme me fut mandé en poste pour que je retourne à Rome
je n’aurais pas de compte à rendre. Je choisirais ici trois ou quatre hommes parmi les meilleurs qui soient et leur commandera
ose bien plus difficile que je ne pensais que de la mettre en bas. Un homme a eu un accident en la transportant, il a été écr
pas fait. Le lieu où l’on tire la pierre est ici très escarpé, et les hommes sont très ignorants en cette matière. C’est pourq
quelques mois, jusqu’à ce que les montagnes soient civilisées, et les hommes instruits. Après, cela ira plus vite ; l’importan
elle œuvre qui fut jamais faite en Italie. Depuis que j’ai écrit, les hommes de Pietrasanta, qui prennent à la carrière une ce
aites pour recevoir les récoltes. Tout autres doivent être celles des hommes , d’affaire ; tout autre celles des gens riches et
r je fus. On doit tout autant s’émerveiller de voir Rome produire des hommes divins, que de voir Dieu faire des miracles. [Il
— de janvier. Il serait juste de nommer par leur nom les choses qu’un homme donne à celui qui les reçoit, mais par bienséance
e ardemment qu’un affamé la nourriture qui le fait vivre ; et même un homme oubliera-t-il beaucoup moins l’objet aimé que l’a
ce sont des combats sur ce territoire hostile que défendent, avec les hommes , des maladies répugnantes ; les impressions atroc
tions qu’elle voulait soumettre à son joug ; ses deux derniers grands hommes , Wagner et Nietzsche, étaient morts depuis longte
peinture des caractères et des milieux de cette ville étrange, où les hommes sont presque toujours saouls de vin fort et de po
volutionnaire et les femmes des victimes bavardes ou résignées de ces hommes à demi fous. M. Moretti aime surtout à peindre le
à la nation un effort considérable, mais de courte durée. Si quelques hommes prévoyants soupçonnèrent les difficultés de la tâ
ec ironie ; ses interventions dans une discussion étaient celles d’un homme férocement sceptique. Or, le voici devenu mainten
tant les obstacles les plus imprévus, il sut réunir autour de lui des hommes politiques de toute nuance, depuis le républicain
15. Ils croyaient seulement faire arriver au pouvoir quelques-uns des hommes n’ayant jamais pris nettement position et capable
ait et il est encore très puissant. « Vous verrez qu’il redeviendra l’ homme nécessaire. Il attend son heure », dit-on souvent
t pu être qu’à la condition d’un complet renoncement ; et cela, aucun homme politique éminent ni ne l’a voulu ni ne l’a propo
fiait pour l’Italie la guerre. Je suis certain, dit M. Nitti, que les hommes qui représentèrent devant le pays le programme de
prendre ce qui se passait alors. Le ministère Boselli, présidé par un homme très âgé dont on résumait volontiers les qualités
au lendemain on fit un ministère : et on appela, pour le présider, l’ homme d’État qui avait été accusé d’avoir laissé s’accu
ational », celui de « l’Union sacrée ». La présence au gouvernement d’ hommes si différents que MM. Orlando, Sonnino, Bissolati
ouvent équivoque, tient à peu près ce langage : elle rend hommage à l’ homme « qui depuis mai 1915 s’est renfermé dans un dign
jouit encore en Italie pour le bien de son pays… Si nous passons des hommes politiques aux théoriciens, aux philosophes qui,
lus mauvais en nous, nous redonne la pure, la religieuse conscience d’ hommes qui défendent des choses sacrées, et qui savent q
e est accablée, quand l’envahisseur la menace, les colères contre les hommes et les événements qui amenèrent cet état de chose
Mais rendrons-nous tout un peuple responsable de l’erreur de quelques hommes  ? Laissons tout ce passé. Ne voyons que le présen
que la raison est stérile et que l’unique vérité est dans le cœur des hommes . Les Allemands à Bellune et demain peut-être à Tr
re à Trévise, à Vicence, à Padoue, à Venise, merveille du monde… Tout homme , si neutre qu’il soit, s’il est capable d’une pen
oncernant l’influence que purent avoir sur la mentalité allemande des hommes comme Fichte, qu’il qualifie de Machiavel d’outre
e doute. 4. Delacroix disait qu’un peintre devait savoir dessiner un homme tombant du 6e étage. 5. La déformation est en el
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 242, 15 juillet 1907 »
ualistes voient le monde animé séparé en deux castes : les animaux, l’ homme . Ils en sont à l’astronomie d’avant Copernic : il
omme. Ils en sont à l’astronomie d’avant Copernic : ils croient que l’ homme est le but de la nature, comme on croyait que la
ichons en triturant le marc de café et en recoupant le grand jeu. Les hommes n’abandonnent une absurdité qui a fait ses preuve
vez les racines du pragmatisme. Il était bien dangereux de dire : « L’ homme a la faculté de se concevoir autre qu’il n’est. »
homme a la faculté de se concevoir autre qu’il n’est. » On a lu : « L’ homme a la faculté de se rendre autre qu’il n’est. » Le
34 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
re épouvantablement squelettique. Il travaillait sans arrêt, comme un homme sûr de lui-même et dont la main est faite à la be
s Saltus, littérateur américain ; Cesare Lombroso note que beaucoup d’ hommes de génie furent épileptiques et se hâte de conclu
is. Et l’Esprit me ravit et m’enleva vers la droite, en un lieu où un homme n’aurait pu marcher. Car c’était un lieu plein de
cence du mal. Et ne te paraît-il pas que c’est une laide chose pour l’ homme juste que la concupiscence du mal soit montée dan
ontée dans son cœur ? C’est un péché pour lui, un très grand péché. L’ homme juste en effet pense des choses justes. Et c’est
nceschi, la liberté pour la femme. Mais la femme, en comparaison de l’ homme , est scandaleusement libre dans la société actuel
ait comme le spectacle d’un camp d’Homère, où les dieux se mêlent aux hommes , et où la foudre de Jupiter et les javelots d’Ach
nitiales et indécises épreuves d’apparitions qui ne se révélaient aux hommes que par un lent dévoilement. Les lampes, allumées
elief bronze attribué à Francia. Une statuette bronze représentant un homme nu (école vénitienne, h. 0,40). Tome VI, numé
me archaïque par où elle pût présenter ses premières affirmations aux hommes , sous le bénéfice de je ne sais quel air doucemen
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
tendances contraires aux instincts mêmes et aux besoins naturels de l’ homme . Tous ceux qui veulent le progrès de l’humanité d
ste débarrassée de tout vêtement religieux. M. Gian Pietro Lucini. Homme de lettres (Italie) I. La Foi, comme manifesta
re en évolution. Car l’humanité souhaite son Dieu à son image (même l’ homme de Blanqui, qui n’a ni Dieu ni Maître) décorative
aître) décorativement représentatif de ses aspirations. — Avec Dieu l’ homme hypothèque sur l’avenir et sur l’immortalité la p
36 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
ureux mouvement de reconstitution. M. Antonio Fogazzaro. Sénateur, Homme de lettres (Italie) Parlons d’abord du sentime
aimer. Nous n’allons pas vers la conception religieuse rêvée par des hommes de science, une conception où le surnaturel ne gê
interprétés différemment selon les différentes fonctions sociales des hommes  ; 4° L’effet social d’une religion n’a que peu de
surtout des sentiments qu’elle développe ou qu’elle fortifie chez les hommes . Son succès est dû à cet effet social, et non à d
joute « qu’il regrette davantage l’emprisonnement de deux mois de cet homme , dont il fut cause, que sa condamnation à perpétu
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXII »
, qui ne sait pas trop bien écrire dicte une déclaration d’amour à un homme de loi qui se trouve là par hasard. On dit que be
yle officiel, aux lettres aimables qu’on leur écrivait. À Naples, les hommes sont plus beaux que les femmes. Les femmes de bon
matin ; mais, vers le soir, cette suite est absolument nécessaire à l’ homme de bon ton, qui, d’ailleurs, après dîner, ne peut
38 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
animer sa pensée. La Forme, seule, a le pouvoir de contenir ce que l’ homme conçoit de plus grand ; par elle, l’artiste, avec
ancœur quotidienne de la vie, disparaît dans ce nouvel Éden. Où est l’ homme , où est la femme, qui oserait opposer, tout nus,
, la fleur, le nuage, l’ombre et la lumière, la montagne et la mer, l’ homme dans toute la nature, te révèlent toujours à mon
issants de gros fauve ; au repos, c’est la carrure vaste de ces rudes hommes de pierre que le Piémont nous fournit pour les pl
obscure décoration façonnée en impression de portail ; — le Sportman, homme de belle santé, pris en plein soleil sur un champ
i que, transportés en votre jardin, il admire ces œuvres, il aime ces hommes  ! Cette aventure ne vous grandit pas, mais elle d
ême dans toutes les parties de l’Europe un peu civilisées, où, si les hommes avaient le courage d’obéir à la vérité de leurs s
l’espace, de la substance, de l’évolution, de la perfectibilité de l’ homme , etc. On voit combien M. Lucini est sérieux et pl
39 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVI »
ème et à 3 ou 4 heureux hasards qui me sont arrivés, je serais un des hommes les plus heureux.] This morning, I have made that
ours faire des chefs-d’œuvre. Pour ne pas tomber dans l’erreur de cet homme extraordinaire, je viens d’écrire 4 pages de phra
40 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVIII »
de la Cour, qui se réunissaient le soir, 8 ou 10 auprès de lui, sans hommes . Quant aux jeunes filles jolies qui n’étaient pas
ire le service auprès de lui, à Capo di Monte. Il paraît que c’est un homme aimable. Il a eu longtemps Mme Miller. Il a su s’
41 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
el parut avec son réalisme humain, conçu dans l’observation aiguë des hommes et des choses de son temps, d’un César Borgia not
oi son livre est le bienvenu. — Ajoutez que M. Charles Benoist est un homme politique distingué, une des têtes perspicaces du
ui n’appartiennent qu’à elle, et frappent l’étranger de surprise. À l’ homme du continent, tout apparaît curieux, singulier, d
42 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
er husband avait appris mon second voyage à la Madona del Monte, de l’ homme même qui m’avait accompagné. Notre amour est pers
t persécuté par tous les hasards possibles, les deux religieuses, cet homme qui se trouve faire une longue conversation with
43 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 229, 1er janvier 1907 »
rero, qui a déjà écarté bien des explications simplistes, n’était pas homme à se contenter de celle-ci non plus, qui lui semb
tre ; d’un plan conçu, en tant qu’héritier politique de César, par un homme qui pouvait à bon droit s’attribuer cette qualité
44 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
y voyent, recueil qui peut être fait en moins de trois années par un homme studieux; 3° la science des architectes consiste
mment Nietzsche a pu être amené à appeler le spirituel napolitain « l’ homme le plus malpropre de son siècle ». Or, dans la pr
45 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
uloureusement lyrique, synthétisée par un épisode caractéristique. Un homme , fort coupable, lui aussi, envers sa femme, pardo
nce, est entièrement consacré à Verdi : études sur le musicien, sur l’ homme , autographes inédits, portraits caricatures ; pui
46 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
rriver malheur… » — « Je le sais, dit Luciette, qu’importe ! » Mais l’ homme timide et bon s’entête dans ses scrupules. Plus t
eur et d’un mariage nul, tout en se demandant s’il agit réellement en homme de devoir et de sacrifice, ou si c’est l’amour qu
47 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
de cette extatique est porté vers le réel. Elle possédait un talent d’ homme d’État, qui se révèle dans la forte logique, dans
tticus et continuer la rédaction définitive de la biographie du grand homme romain, pourrait, si on le retrouvait, disputer c
48 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
iner la fille : Prenant alors cet air caressant et entreprenant d’un homme amoureux qui veut atteindre à l’apogée de la joui
vre qui reflète avec précision la vie multiforme d’une époque ou d’un homme . À ce titre, tout ce qui a le caractère d’une con
49 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIV »
beaucoup de ces animaux, tristement raisonnables, qui, sous le nom d’ hommes sensés, font la base de la société dans les ville
50 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVII »
ent de même. Le bas peuple n’a aucune espèce d’éducation. Ce sont les hommes de la nature. (Tout ce paragraphe est d’un vérita
51 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIX »
ant plus grande qu’elle n’est pas détruite par l’esprit. Judas est un homme bon qui a le malheur d’avoir les cheveux rouges.
52 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXV »
n trouve dans chaque maison et quelques-uns méritent l’attention d’un homme de goût. L’architecture, les habitations rustique
53 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LX »
urante fut son maître et il mourut à 25 ans. Vous connaissez ce grand homme . Ses chefs-d’œuvre sont : le Stabat Mater, l’air
54 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
Contraste parfait : Genève et Naples. 1813.) Cela seul, aux yeux d’un homme attentif, prouve combien la civilisation y est pe
55 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXI »
our qui agitait mon âme et me laissait la froideur et le coulant d’un homme qui veut parvenir à une chose difficile, je suis
56 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 241, 1er juillet 1907 »
impuissance à expliquer le mystère qui nous enveloppe — permettra aux hommes d’appeler du nom de Dieu ce que Spencer nommait l
57 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
ution ou à une évolution du sentiment religieux serait un aussi grand homme que celui qui, sous Vespasien, aurait prévu qu’un
58 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
re théâtral : « Ai-je voulu parler sur la scène du masque fidèle de l’ homme éphémère ? Est-il nécessaire de répéter encore qu
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