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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
Casanova sur son pays, sur Venise, sur ses sentiments à l’égard d’un gouvernement dont il n’avait pas lieu d’être fort satisfait. L
ssime république ; qu’un Amelot de la Houssaye écrive son Histoire du Gouvernement de Venise qu’un Voltaire se permette quelques dou
del governo Veneto : les raisons qu’il peut avoir de se plaindre d’un gouvernement dont les chefs l’avaient persécuté par leur pouvo
rt, M. de Voltaire, sachant que je n’avais pas lieu d’être content du gouvernement de Venise, m’engagea sur ce sujet ; mais je tromp
rouvez-vous bien libres à Venise ? — Autant qu’on peut l’être sous un gouvernement aristocratique. La liberté dont nous jouissons n’
que j’avais abusé sciemment de la liberté, je trouvais parfois que le gouvernement avait eu raison de me faire enfermer sans les for
n point de vue fort différent. Les aristocrates, les membres mêmes du gouvernement ne sont pas libres chez vous ; car, par exemple,
milées ; c’est de lui qu’il s’inspire lorsqu’il écrit : « De tous les gouvernements de l’Europe, celui de Venise était le seul réglé,
nt continuée par les successeurs d’Alexandre) appliquée simplement au gouvernement qui siège à Rome. L’alexandrin Appien et le grec
ous servira, par rapprochement, à mieux concevoir ce que l’idée de ce gouvernement put être à Rome même. « Un certain nombre d’inscr
urs d’Alexandre. Ces formules ont été imposées aux populations par le gouvernement impérial et elles indiquent vis-à-vis de l’empere
à un simple « princeps senatus », à un simple chef constitutionnel de gouvernement , à ce que M. Ferrero appelle, par une innovation
Il y avait donc, à l’époque d’Auguste, deux conceptions relatives au gouvernement de celui-ci, la conception latine, encore républi
2 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
ouloureuse expérience des sauvages procédés de guerre germaniques, le gouvernement italien, il est vrai, avait pris, dès la première
ti socialiste officiel, les neutralistes à faux nez et, même, vers le gouvernement et le haut commandement militaire. L’exagération,
ecrétaire du comité central, qui, sans être inquiété autrement par le gouvernement et la police, prêcha aux organisations locales et
is et des Sénégalais auraient fait feu sur la foule ! On a dit que le gouvernement et le commandement suprême auraient dû connaître
la question de la naturalisation des immigrés italiens, au cas où le gouvernement italien prendrait pour politique de l’empêcher. S
t l’Église dans l’Empire et non l’Empire dans l’Église ». L’idéal des gouvernements — la monarchie, d’après Dante — ayant été réalisé
marquables. À une situation nouvelle, il fallait un homme nouveau. Le gouvernement italien a eu la sagesse et le courage de l’impose
la séance du 14 novembre, où M. Giolitti avait donné carte blanche au gouvernement , on avait d’ailleurs vu renaître la propagande qu
arlementaire », assez nettement giolittien, la rendait suspecte. « Le gouvernement , disait le Resto del Carlino, nous a mis en prése
dresser contre l’ennemi une barrière infranchissable, pendant que le gouvernement vivait de cœur et d’esprit plus au front qu’à Rom
e collaborer à la défense de la nation en organisant — dans le dos du gouvernement , qui nécessairement regardait ailleurs — le mouve
guerre, et empêcher que le revers d’octobre ne fût exploité contre le gouvernement qui jouissait de la confiance des Alliés. À peine
une bataille décisive. Mais, continuait le Corriere, il y a encore un gouvernement qui peut montrer de l’énergie, et dans la Chambre
d qu’il faut ou ruiner les calculs infâmes de l’ennemi ou périr ». Le gouvernement sur lequel comptaient le Corriere et avec lui l’o
’était peut-être la preuve qu’il ne désapprouvait pas la politique du gouvernement … Une fois que le Ministère Orlando eut pu consoli
hé jusqu’à présent cette union. » Ceux qui en ont profité ont été les gouvernements d’Autriche et d’Allemagne. Il faut en finir avec
alité, le mois dernier) se retrouve aujourd’hui tout entier autour du gouvernement , de son Parlement et de son roi. Il y avait, avan
ssé ce délai, aucune tentative d’acquisition n’ayant été faite par le gouvernement ou des particuliers, on dut laisser partir la Vén
elle de tous les collaborateurs que je connais (il faut croire que le gouvernement allemand subsidie bien médiocrement la revue !) D
s. Ce traité a été conclu à l’insu du parlement. Par l’article 16, le gouvernement italien s’engageait à entrer en guerre dans un mo
n février-avril 1915. J’y stigmatisais de telle façon les procédés du gouvernement et des militaires allemands en Belgique que le jo
Fascio a eu à la Chambre des Députés de nombreux succès. Sans lui, le Gouvernement pouvait difficilement compter sur une majorité sû
té « interventiste11 », qui a contribué à mieux asseoir l’autorité du gouvernement de M. Orlando. À la session parlementaire du mois
contrebande de guerre est en ce moment la principale préoccupation du gouvernement et de divers « fascii ». À ce point de vue, le di
a haute industrie milanaise. Un autre symptôme de la confiance que le gouvernement a désormais en sa force a été la condamnation de
. Aussi le problème alimentaire est-il celui qui préoccupe le plus le gouvernement italien. Lorsque M. Orlando est allé en février à
n contrôle rigoureux de l’État en matière économique : la mainmise du gouvernement sur tous les produits nécessaires à la vie de la
ordre : l’auteur, peintre, longtemps agitateur socialiste redouté du gouvernement italien, raconte comment il en est arrivé à deven
ncourager les Tchèques et même les Yougoslaves à faire bloc contre le gouvernement absolutiste de Vienne. Et si les Polonais s’y joi
er acte officiel qui marquât une nouvelle phase de relations entre le gouvernement italien et les sept millions de Serbes, de Croate
rbes, de Croates et de Slovènes opprimés par l’Autriche-Hongrie ». Le gouvernement italien se montrait décidé à favoriser tout mouve
ec cordialité, et s’entendre sur les principes. C’est beaucoup que le gouvernement ait approuvé ces discussions et que M. Orlando ai
de tous ceux qui, en Autriche-Hongrie, luttent contre la tradition du gouvernement absolutiste et centralisé. Échos [extraits]
ent part tous les journaux italiens. Il s’agissait de la politique du gouvernement italien à l’égard des nationalités opprimées de l
du cerveau de M. Sonnino ». Nous connaissions d’ailleurs les actes du gouvernement italien à l’égard des Tchécoslovaques et nous sav
ne reviendrons pas sur les persécutions que, même avant la guerre, le gouvernement austro-hongrois fit subir aux Yougoslaves. On nou
ue tchèques, avaient été arrêtés, emprisonnés ou condamnés à mort. Le gouvernement comptait bien, par l’intimidation, avoir raison d
tions nationales non pas comme des questions d’ordre intérieur que le gouvernement peut régler à son gré, mais comme des problèmes d
ue le Conseil National tchécoslovaque, n’attend que l’autorisation du gouvernement italien pour en constituer une armée qui combattr
bre 1918, p. 562-576 [568]. C’est à Londres que le roi d’Italie et le gouvernement intentent un procès au marquis Cosimo de Medici T
3 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
ouble de l’opinion en émettant sur l’action politique et militaire du gouvernement de la péninsule des critiques si virulentes et si
ensation, les griefs que le peuple italien lui-même formule contre le gouvernement  : 1) L’absence de déclaration de guerre à l’Alle
e à l’Allemagne déterminant un état d’inquiétude et de soupçon que le gouvernement n’a jamais voulu dissiper. 2) Sa faiblesse dans l
ont été prises l’ont été trop tardivement et sont mal appliquées. Le gouvernement tolère toutes les spéculations. Ses mesures fisca
meté à couper court à toutes les menées politiques et économiques. Le Gouvernement de M. Salandra a-t-il le sentiment de toutes ces
ent à la charge, précise et grossit ses récriminations : Pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas fait à la Turquie et à la Bulgarie l
arente, son illusoire union sacrée. Nul doute que le sincère désir du gouvernement et du roi n’eût été de donner à l’action italienn
nçais, la fermeture du trafic du Gothard, attestent simplement que le gouvernement italien saisit toutes les occasions de manifester
ans la péninsule. Le mouvement de mauvaise humeur qui jadis poussa le gouvernement italien dans les bras perfides des Habsbourg et d
es destinées intégrales. Un se souvient dans quelles circonstances le gouvernement du roi se rangea militairement aux côtés de la Fr
x qui gémissent sur le renchérissement de la vie, sur l’incapacité du gouvernement à arrêter la spéculation, qui déplorent avec un b
largir le ministère jusqu’à la concentration nationale, d’admettre au gouvernement le chef du neutralisme et quelques-uns de ses Le
rent. La crainte d’une crise, déterminée par la position équivoque du gouvernement entre les neutralistes très puissants et les part
aquer violemment la politique extérieure, intérieure et financière du gouvernement et pour orienter son action dans le sens des déli
s sur lesquels il compte. Dans de telles conditions, non seulement le gouvernement était bridé dans son action et dans son désir de
ement anti-triplicienne. Du fait de ses amis comme de ses ennemis, le gouvernement se trouva souvent en posture inquiétante. L’oppos
ome, parurent donner corps aux rumeurs répandues de la formation d’un gouvernement aux bases plus larges, où tous les partis seraien
rs-ci à la suite du désir des interventionnistes de voir renforcer le Gouvernement  ? En tout cas, s’il doit y avoir un remaniement,
oment l’Idea Nazionale, organe du jeune parti nationaliste, alliée du gouvernement , mais alliée un peu « brouillonne et compromettan
opinion moyenne réagissait seule contre ce soupçon outrageant pour le gouvernement . On conçoit quelle était, au milieu de cette lutt
a, le sentiment de défiance inspiré par l’Italie et ses Alliés. Si le gouvernement , pour des raisons que nous ne voulons ni ne pouvo
ntre les barbares. Il faut l’affirmer : il n’y a dans la politique du gouvernement ni réticences, ni arrière-pensée. Il n’y a qu’une
cité et aux manœuvres tortueuses des amis italiens de l’Allemagne. Le gouvernement a fait tout ce qui lui était humainement possible
effet, on découvre d’un coup d’œil de quelle inébranlable volonté le gouvernement attaqué, entravé, abreuvé d’injustices et de four
s bien que la bizarrerie même de la situation où se trouvait ainsi le gouvernement de la Péninsule vers le printemps de 1916, fut la
ait introduit dans le système représentatif l’anomalie d’un véritable gouvernement personnel. À de certaines époques, d’après une ta
dables, et qui d’ailleurs avait toujours dénoté ce que le système, de gouvernement avait, selon les expressions de M. Ferrero, d’« a
moderne, et l’on ne comprend pas comment il espère que la volonté des gouvernements puisse la suspendre si aisément. Ce document aura
pu s’y mettre. Au-dessus par l’Esprit, au-dessus des empereurs et des gouvernements  ; au dedans, par le cœur, cor cordium, au sein de
s Erzberger allemands, ont embrassé les torts et les raisons de leurs gouvernements  ? Ou bien une adhésion instinctive aux principes
éputés ; c’est la formule. Dernièrement, l’opportunité de composer un gouvernement à large base nationale fit appeler au ministère u
rembler le monde entier. Il faut une propagande suivie, comme seul le gouvernement peut en organiser. Il ne faut ni beaucoup de mond
. Mais d’autres chapitres intéressent davantage. L’auteur a obtenu du Gouvernement allemand l’autorisation de visiter la Belgique en
4 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
l’Allemagne et l’Autriche. Implicitement, cela revient à dire que les gouvernements austro-hongrois et allemand sont les fauteurs de
ment souffert de l’échec moral et matériel infligé par la décision du gouvernement italien, et dont il rumine sans doute de se venge
mande une intervention du côté des Alliés et les calculs minutieux du gouvernement qui pèse, avec une stricte logique, le pour et le
iquant ce colorant par synthèse chimique, et des efforts faits par le gouvernement anglais pour créer une industrie nationale des co
lus petits villages se propagèrent les échos de l’épique querelle. Le gouvernement dut interdire les manifestations qui se terminaie
la conservation de la neutralité et disposée à soutenir en ce sens le gouvernement , mais à la condition que par la neutralité on pui
ul subi par l’élément italien par suite de la pression exercée par le gouvernement des oppresseurs ? Faut-il enfin se placer à un po
à la ligne de partage des eaux ? La seconde solution est celle que le gouvernement italien proposa à l’Autriche en réclamant les fro
matisé les gens qui, au lieu de prêter le concours de leur fortune au gouvernement qui défend leur patrie envahie, réservent leur ar
émocratie : si l’on considère la participation directe de la masse au Gouvernement de l’État, la France et l’Angleterre sont plus dé
ement peut-être erroné ou partiellement inexact, qu’il transmet à son gouvernement , etc. Il y a encore les ouï-dire, les nouvelles n
mettre à part. Elles sont insuffisantes, pour traduire la pensée des gouvernements , de l’Allemagne d’abord, de l’Autriche-Hongrie et
lement dans les dernières années, non seulement grâce à l’aide que le gouvernement autrichien a prêtée à son expansion, mais encore
le droit de disposer ainsi d’eux-mêmes, n’y a-t-il pas excès quand un gouvernement dispose d’un peuple, même pour une attitude subli
issance britannique dans tout le monde méditerranéen et islamique. Le gouvernement anglais se défend en prétendant qu’il veut restit
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
e, les débats sur l’enseignement ; en Allemagne, la querelle entre le gouvernement et le Centre catholique ; en Italie et en Espagne
des conditions outrepassant certainement les intentions premières du gouvernement français, lequel se trouva engagé de telle sorte
poussé, par un entourage ultramontain, à prendre Rome, à détruire le gouvernement républicain de Mazzini et à couper court aux négo
stile à l’idée d’une guerre avec la Prusse. Peut-être, après tout, le gouvernement impérial se rendait-il compte de ce qu’avait de c
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
mblées à Rome et à Naples. 1813.) Les Napolitains sont très soumis au gouvernement  ; mais ils veulent parler de tout, décider de tou
du vin. Le grand défaut des conversations de Naples est l’ennui. — Le gouvernement et les circonstances ne sont pas arrangés de mani
de là au salon de Mme du Deffand. À Naples, on examine la conduite du gouvernement , on se plaint de l’extrême chaleur, on se met à j
7 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
ns fermement que l’entente serait possible sur ces terrains entre les Gouvernements intéressés. De cette manière les intérêts de l’It
e fait les mieux préparées pour la lutte. Pénétrés de cette idée, les Gouvernements éviteraient, le moment venu, bien des froissement
difficiles affaires. De grands personnages appelèrent la vierge, des gouvernements l’écoutèrent ; tout ce qui avait charge d’âmes de
réclame ; des savants de tous les pays, envoyés aux frais des divers gouvernements , vinrent y travailler ; la discipline y était un
nération. Dès le début de la guerre, dans les paroles et les actes du gouvernement impérial, dans la conduite des armées allemandes
t toutes les conférences par lesquels on a voulu l’éclairer. Quand le gouvernement a rendu les décrets « luogotenenziali » qui restr
ps de paix, étaient si peu favorisées au point de vue économique. Les gouvernements qui ont précédé le ministère Salandra avaient nég
s paysans, des riches terrains qui restaient incultes par la faute du gouvernement central. Malgré cette pénible situation, la décla
este un isolé. § Au temps où M. Salandra avait encore la direction du gouvernement , c’était M. Ettore Ciccotti qui s’était attribué
, il s’obstine dans son internationalisme intransigeant. Il a créé au gouvernement toutes sortes de difficultés. Il en est même arri
mpa fourmilla pendant longtemps de sous-entendus malveillants pour le gouvernement  ; un habile choix de titres à effets, la mise en
majorité des grands organes a toujours soutenu très énergiquement le gouvernement . Certains journaux de province ont cependant lais
!… » § Si nous avons insisté sur les difficultés qu’a rencontrées le gouvernement et sur les hypocrites propagandes qui ont entravé
jusqu’ici une nation essentiellement agricole75. La bonne volonté du gouvernement et du pays s’est manifestée également dans l’orga
Sera. M. Orlando, écrirait-il le 4 septembre 1917, a une théorie de gouvernement qui, pour la politique intérieure d’un pays en gu
e « ministère national », celui de « l’Union sacrée ». La présence au gouvernement d’hommes si différents que MM. Orlando, Sonnino,
la séance du 14 novembre montre qu’il donne tout son appui au nouveau gouvernement et qu’il usera de toute l’autorité dont il jouit
s écouter, à faire trêve aux discussions politiques, et à soutenir le gouvernement . Ils n’ont pourtant pas eu assez d’esprit de déci
ère, qu’un caractère archaïque : il semble bien que l’accord des deux gouvernements italien et serbe ait été conclu à la conférence d
8 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
le monde artiste font depuis quelques années des démarches auprès du gouvernement italien, afin de pousser le plus possible les fou
d beaucoup des fouilles de la célèbre ville romaine. Dernièrement, le gouvernement italien a accepté de reprendre activement ces fou
9 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
a reconnue est une région administrative, accessible aux employés du gouvernement , et, nous supposons, aussi aux citoyens de Venise
. C’est par une véritable équivoque qu’on a qualifié de démocratie le gouvernement de certaines villes italiennes au moyen-âge, tell
ment de certaines villes italiennes au moyen-âge, telle Florence. Ces gouvernements n’avaient même pas les apparences démocratiques q
is que le parti au pouvoir se dispensait de payer les taxes. Aussi le gouvernement actuel n’est-il pas populaire en Italie : je me r
rces de la terre et de celles que leur apportaient les étrangers ; le gouvernement des Bourbons les laissait tranquilles et ne les s
tranquilles et ne les surchargeait pas d’impôts ; le premier soin du gouvernement italien fut de leur envoyer des soldats et de met
e mensonges et les journalistes qui ont l’audace de révéler ce que le gouvernement veut cacher au public sont expulsés. En dépit des
hique que subit l’immense multitude des inconscients : il suffit à un gouvernement de faire agir ses policiers en bourgeois et ses a
e dons naturels, c’est qu’il est ignorant et mal gouverné. Le mauvais gouvernement , telle est la source de tous les maux dont souffr
n du parlement à collaborer directement ou indirectement à l’œuvre du gouvernement bourgeois et le temps n’était pas loin où certain
sous la direction de M. Dante Vaglieri, grâce à l’appui financier du gouvernement italien. Les crédits alloués annuellement sont au
on de vos admirables ouvriers français, mais il y a progrès malgré un gouvernement que vous trouvez détestable. Sans doute le vôtre
s, nous vous aurons dépassés, en quantité s’entend, à moins que notre gouvernement ne change et ne nous rende plus… disons « civilis
us… disons « civilisés ». Est-ce pour cela que M. Mesnil trouve notre gouvernement si arriéré : « de grâce, tournez-vous », eût dit
re part, à aucun moment les débats n’ont eu lieu au grand jour. Votre gouvernement , — vos gouvernements, — pour des raisons que je n
ent les débats n’ont eu lieu au grand jour. Votre gouvernement, — vos gouvernements , — pour des raisons que je n’apprécie pas, a évit
acchino, parce que c’est un mâle, parce qu’il tient en échec tous les gouvernements de l’Europe, gouvernements bourgeois, effarés ; p
mâle, parce qu’il tient en échec tous les gouvernements de l’Europe, gouvernements bourgeois, effarés ; parce qu’il passe à travers
u as les caprices populaires, et la République, vraie reine publique, gouvernement affreux et qui ne saurait convenir aux peuples mo
modernes, trop riches, trop savants et trop dépravés, surtout pour un gouvernement qui suppose l’abnégation, la sobriété et toutes l
t quatre lettres furibondes du détenu aux autorités de la ville et du gouvernement . L’un des éditeurs les donne entre guillemets. El
sant les citations en blanc son ouvrage : Réfutation de l’histoire du gouvernement de Venise par Amelot de la Houssaye. Cette incarc
spection de mes papiers, et comme il n’y a rien qui puisse blesser le gouvernement ni l’orgueil espagnol, on me les rendra avec ma l
coupâmes immédiatement notre lecture, et nous abstînmes de donner au gouvernement connaissance du jugement que portait notre indisc
reste, à propos du procès Murri, je n’ai pas parlé de l’influence du gouvernement sur la justice, mais, ce qui est plus grave encor
actuel, parce que c’est un mâle, parce qu’il tient en échec tous les gouvernements de l’Europe, gouvernements bourgeois, effarés, pa
mâle, parce qu’il tient en échec tous les gouvernements de l’Europe, gouvernements bourgeois, effarés, parce qu’il passe à travers l
at, placer l’égalité dans les discordes anarchiques ; chercher un bon gouvernement parmi l’ignorance ; de tout Érostrate faire un Nu
plutôt qu’au lyrisme ; de là, en politique, la tendance à attendre du gouvernement tous les biens, et à le rendre responsable de tou
10 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
it-il changé ? Comment aurait-il pris intérêt aux aspects modernes de gouvernement , d’oppression et de révolte, lui qui, de toute l’
précisément son homme. Ajoutez la vieille habitude inquisitoriale du gouvernement de Venise, qui traitait en intrus, en suspects, l
trement que sous le masque (on connaît cette coutume de précaution du gouvernement vénitien). Mais là-dessus les événements se préci
taphysique, le panthéisme conduisant nécessairement à la panarchie ou gouvernement organisé de tous par tous. C’est à cette œuvre à
te est un aristocrate et que l’on appellerait aujourd’hui un homme de gouvernement . Il ne pense, ne parle et n’écrit que pour ses pa
emble de ses vicissitudes politiques internationales, et des actes du gouvernement . » Il parle de Venise comme de « l’écrin du monde
entiel de l’histoire extérieure de Rome durant la dernière période du gouvernement d’Auguste, objet de ce nouveau volume de M. Ferre
lement en vertu de ses idées conservatrices et aristocratiques sur le gouvernement , qu’Auguste entreprit la conquête de la Germanie.
ique ». M. Ferrero insiste sans cesse sur ce point, dans son étude du gouvernement d’Auguste. En effet (nous avons déjà signalé cett
itoyens romains, d’après les règles fixées par les anciennes lois… Le gouvernement monarchique… aurait signifié la formation d’une b
souciaient pas davantage des vieux principes qui étaient l’essence du gouvernement républicain ; elles ne demandaient qu’à augmenter
s qu’il était nécessaire, pour sauver l’empire, de rendre sa force au gouvernement  ; l’on avait pour cela tenté l’impossible restaur
ue aristocratique ; mais cette tentative désespérée avait affaibli le gouvernement au lieu de le fortifier ; si bien que, à mesure q
plus d’un demi-siècle, devait sauver l’empire. Dans l’impuissance du gouvernement d’Auguste, on vit encore une fois réapparaître la
véritable, la Rome classique, celle qui savait simplifier partout les gouvernements fastueux, accapareurs et encombrants. Par suite 
gouvernements fastueux, accapareurs et encombrants. Par suite : Ce gouvernement , si faible, si incertain, si minuscule en face de
faible, si incertain, si minuscule en face de cet immense empire, ce gouvernement dirigé par une famille en proie à la discorde et
out, dans l’épanouissement de l’activité sociale non exploitée par un gouvernement qui en somme gouvernait peu, partout, « un travai
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
possible atteinte des inévitables transformations des esprits et des gouvernements . Cet idéal était celui même des premiers néo-ital
es, venant du champ de bataille, apportaient en grand désordre à leur gouvernement ces soucis et des passions, inévitables lorsqu’un
rèrent à Rome. Mais le Poète continua à lancer ses foudres contre les gouvernements lâches, en faisant toujours appel aux énergies du
12 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
e la chambre Italienne, par le député toscan Rosadi, pour demander au gouvernement « si et comment il pense préserver les œuvres d’a
d’art qui sont mal gardées dans les églises et chapelles dépendant du gouvernement et qui se trouvent exposées à des vols continuels
pe ne rêve que Paris. vexations de sa police (Page 67, en note). Le gouvernement s’oppose à l’établissement de la société commandi
e pour l’établir. Ils feront d’abord, comme il est indispensable, des gouvernements révolutionnaires, mais jamais ne pourront renvoye
aires, mais jamais ne pourront renvoyer ceux-ci pour faire marcher un gouvernement constitutionnel : leur jactance les empêchera d’i
aux États-Unis d’Amérique, et non le siècle de Périclès. On arrive au gouvernement de l’opinion ; donc l’opinion n’aura pas le temps
de France, devant un nombreux auditoire, un cours sur Auguste et son gouvernement . L’éminent historien a traité ce vaste sujet avec
n de Tibère ; enfin les grandes idées directrices et les résultats du gouvernement d’Auguste. Nous aurons l’occasion de revenir avec
ontre imbu de l’importance énorme que conserve l’aristocratie dans le gouvernement de l’empire. Elle avait été le principe même de l
es, au sens politique et romain du mot. Tel est le point de départ du gouvernement d’Auguste, et c’est la conception tout entière de
itoyens romains, d’après las règles fixées par les anciennes lois… Le gouvernement monarchique n’aurait pas signifié seulement rétab
e part, que trop d’intérêts avaient besoin d’être protégés pour qu’un gouvernement fort ne s’établît point tout de même. Or, par un
13 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
[204]. […] Grâce aux sommes prodiguées par un archéologue anglais, le gouvernement italien a pu reprendre les fouilles du Forum. On
, pour qui M. Ferrero est si sévère. « Il importe peu, dit-il, que ce gouvernement ait parfois, comme en 1859, suivi un but de progr
u lieu des folles rondes du carnaval, Florence libérée, se donnant un gouvernement entièrement démocratique et proclamant roi Jésus-
jets de luxe, les parures dont il était vain, réforma complètement le gouvernement , s’humilia, pria, jeûna. Savonarole, devenu prieu
. Sa volonté forte et constante s’imposait à la cité, et tout dans le gouvernement et dans la vie publique se faisait sous son inspi
virent combien la colère du pape pouvait léser leurs intérêts. Et le gouvernement de Florence devait obéir au courant d’opinions ve
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIII »
e de corps et qu’ils élisent un Roi qui est toujours pensionné par le gouvernement . Ils aimaient beaucoup le roi Ferdinand, qui parl
15 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
nale et une collection qui était une des parures de Venise ; aussi le Gouvernement italien fait-il jouer en ce moment tous les resso
Palatin, une fort belle villa historique, qui a été expropriée par le Gouvernement italien en vue des fouilles relatives au Triclini
ina en Italie, n’a eu en vue que son intérêt personnel en imposant au gouvernement le tarif de 1887. Il n’en est pas moins hors de d
du chef-d’œuvre n’en demeure pas moins une honte ineffaçable pour le gouvernement de la République. Lorsqu’on songe que de farouche
vement. Ils traversèrent la ville, la tête haute, en rangs serrés. Le Gouvernement italien avait pris soin de leurs personnes. Il le
ernes. Beaucoup d’autres étaient des fonctionnaires indélicats que le gouvernement ottoman avait cru nécessaire d’éloigner, parfois
s soldats était payée non sans de grands retards et cette pratique du gouvernement turc augmentait encore le dénuement des troupes.
n mois il négligea de donner de ses nouvelles. On le crut perdu et le gouvernement consterné s’apprêtait à prendre le deuil de ses m
r les règles de courtoisie élémentaire. Certes, à cette époque, si le gouvernement de Rome l’eût voulu, le prétexte du coup d’éventa
ivile des indigènes et à établir des lois régulières et des règles de gouvernement précises. En outre, plusieurs populations allaien
tificat d’études. L’élément ouvrier n’a pas non plus été oublié et le gouvernement , imitant en cela l’exemple donné par d’autres nat
us les pays d’Islam avaient établi des missions d’enseignement, et le gouvernement français, quelles que fussent les opinions qui le
les d’Automne ou les Stances à du Perrier sur la mort de sa fille. Le gouvernement italien a déjà satisfait aux besoins primordiaux
es à ceux qu’auraient rendus des troupes africaines bien exercées. Le gouvernement , dans un espace de temps très court, a créé deux
ies. Il était nécessaire, dans l’intérêt de la santé publique, que le gouvernement prît des mesures pour enrayer le fléau. Aussi ras
t disparurent. D’autres nomades revinrent et prirent leur place et le gouvernement décida alors d’établir dans l’oasis, non loin des
16 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXII »
t jamais vu le soleil de Naples réfléchi dans cette mer charmante. Le gouvernement de Naples a souvent changé et n’a jamais, je croi
17 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 242, 15 juillet 1907 »
otons, enfin, une précieuse acquisition du Musée National de Rome. Le gouvernement italien vient de se rendre acquéreur, pour la som
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 233, 1er mars 1907 »
craint pas de déclarer dans les colonnes d’un grand quotidien que le gouvernement a le devoir de penser à la fortune des poètes. Il
19 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 229, 1er janvier 1907 »
e sortir quelque chose de la dissolution où les guerres civiles et le gouvernement violent et stérile du triumvirat avaient jeté le
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
est la monarchie universelle qui laisse subsister dans chaque pays le gouvernement en usage, une confédération occidentale présidée
le sont d’ailleurs empruntés aux choses publiques : les Effets du bon gouvernement en sont l’un des exemples les plus curieux. Malhe
21 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
bourg et Vienne. Ainsi se resserre le cercle des hostilités autour du gouvernement de François-Joseph, ou mieux du gouvernement de l
des hostilités autour du gouvernement de François-Joseph, ou mieux du gouvernement de l’archiduc François-Ferdinand, devenu, dit-on,
é, il présente encore une idée grandiose de la conception antique, du gouvernement ancestral, où le goût était le fondement des œuvr
n et disposer à son gré de la République. Alors on nommait une balia, gouvernement exceptionnel, disposant de pouvoirs dictatoriaux,
e la tyrannie. Cet esprit avait inspiré l’instabilité systématique du gouvernement , la courte durée des magistratures, la multiplici
uement parlant, le peuple n’avait qu’un très faible pouvoir légal. Le gouvernement était aux mains de la grosse bourgeoisie. Les sep
mis en œuvre pour rendre impossible le sultan, ami de l’Allemagne. Le gouvernement des jeunes-turcs, c’est la tyrannie d’une minorit
nce : c’est une occasion de regretter que près de notre Luxembourg le gouvernement voisin n’entretienne point une maison d’Italie où
e ces gens d’Avignon ! Ils verront bien quelle différence il y a d’un gouvernement à l’autre ! Quelle extrême douleur est la mienne
liés. Wellington et Blücher choisissent ce moment pour écrire à leurs gouvernements et à leurs familiers que le « Bonaparte » n’osera
rini (objets d’art antiques de toute espèce) récemment acquise par le gouvernement italien pour le Musée Kircher de Rome ; […] — (se
22 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
t puis, si je ne veux pas continuer ma carrière, j’aurai une place du gouvernement . C’est un avenir modeste,… et ce n’est pas cela q
uve, l’Etna, sur la république de Saint-Marin ou l’État de Savoie, le Gouvernement , l’armée italienne, etc… Des études beaucoup plus
te Camille Boïto, frère du grand musicien, a décidé de demander à son gouvernement la démolition immédiate du clocher historique de
une fois, le saint progrès ?… Une nausée générale d’Estomacreux et du gouvernement provisoire rejette debout, devant leur épuisement
s utilité pour apprendre aux peuples ce que peuvent leur coûter leurs gouvernements surtout quand l’action malfaisante des gouvernant
lheureux que coupable. Actif, clairvoyant, il ne cessa de dénoncer au Gouvernement les dangers de sa situation. Le seul tort qu’on p
reprocher est d’avoir consenti à se rembarquer, après avoir exposé au Gouvernement l’impossibilité de faire face, avec les ressource
pôtre. L’Église le hait à cause de son indépendance rationaliste ; le gouvernement le hait et le poursuit à cause de son apostolat.
23 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
ranler à Waterloo, et s’éteindre à Sedan, en restituant de nouveau le gouvernement suprême à une liberté actuelle, qui arriva, même
gile Josz. Tome XXXIII, numéro 122, 1er février 1900, p. 527-531. Le gouvernement italien vient de déposer sur le bureau des Chambr
, fût-ce le plus illégal, pour la sauver, — d’accord en cela avec les gouvernements . Mais son idée favorite, sa plus… géniale idée es
les, comme un pays enfin où il a été employé et honoré par le dernier gouvernement  ; il l’aime surtout de toute la haine qu’il a con
leurs intérêts sont nécessairement communs. Cette sympathie des deux gouvernements qui pèsent aux deux extrémités de l’Europe semble
a maison, continuant la tradition de la « bonne maman Wleughels ». Le gouvernement de cette jeunesse n’était pas précisément chose f
24 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
x, et même agréablement distrait par des fêtes, des spectacles, qu’un gouvernement , grave d’ailleurs, mais qui avait des vues d’édil
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
ni par étude propre, ni par un conseil, ne se marie à vos procédés de gouvernement . Le titre de noble s’accorde à quiconque est fils
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
essives, ou quand soldat — et bon soldat — il demanda un emploi à son gouvernement et n’eut jamais de réponse. Une note de police di
27 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
 : Aristocratie et Liberté. Il appelle Aristocratie le triomphe et le gouvernement des meilleurs. On reconnaît là l’inspiration de M
28 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
emps les plus reculés la grandeur et l’esprit historiques du pays. Le gouvernement italien, qui avait les mains liées par la Convent
29 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
’est seulement après un long débat et grâce à une ruse légale, que le Gouvernement italien a pu reconquérir les papiers de Giacomo L
30 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
mps de décembre 1901 que la galerie Borghèse avait été acquise par le Gouvernement italien grâce au droit d’entrée. Dans Le Petit Te
ailleurs importante, ses recherches de l’année scolaire 1902-1903. Le gouvernement qui n’est pas, et bien au contraire, ennemi d’une
31 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
t de mon parent qui indiquait les fonctions qu’il remplissait dans le gouvernement de la République. Au moment où Daniel lui tendait
iques banquets. Il devait enfin occuper une charge importante dans le gouvernement de la République, car il désirait demeurer inconn
a trahison lors de l’affaire de Casal avait désigné à la vengeance du gouvernement de Louis XIV. Enlevé, enfermé à Pignerol en 1679,
r, en scrutant toujours l’affaire de Casal et ses suites, pourquoi le gouvernement de Louis XIV, ici, voulut un tel secret (la préca
encore pourchassé par les hommes qui, à tour de rôle, se hissaient au gouvernement . Il n’était pas seulement inutile, il était dange
ence très large, d’un savoir artistique étendu, et qui trouve dans le gouvernement un appui inébranlable. Le ministre le comprendra-
mille Murat sur le trône de Naples furent désavouées, en 1861, par le gouvernement de l’Empereur. Que conclure ? Peut-être l’Empereu
ainsi l’on liquidait lestement le passé, et l’on restait bien avec le gouvernement républicain. René Pinon : L’Europe et la Jeune
32 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
Elle ramenait les esprits sur la terre, à des objets plus précis. Le gouvernement passait aux laïques. L’administration romaine ren
33 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
trimoine que de maintenir son pouvoir de contrôle sur la formation du gouvernement bourgeois. » On peut regretter que certains déta
lever, des endroits où l’on expose quelque chose, cette « garantie du Gouvernement  » qui semble commander l’admiration. Lettres i
34 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
rtout par représailles contre des farces anticatholiques et contre le gouvernement français, que Souvarov allait combattre. Mais bie
au plus, le jour où la guigne semblerait trop noire, on accuserait le gouvernement . On enterre les morts et l’on raccommode les bles
ur, c’est le bandit, le criminel qui reprendra forcément les rênes du gouvernement . On ne peut pas gouverner sans commettre, en effe
35 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
nements politiques proprement dits, et par l’allure libertaire que le Gouvernement prend toutes les fois qu’il a peur de sombrer que
36 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
nation des hauts-plateaux, achat, embarquement, transport, coûtait au gouvernement la somme de 80 francs !… » Tome XXVIII, numé
37 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
tel que M. de S. Galt » ne soit pas encore rentré en grâce auprès du gouvernement vénitien, et dans la seconde édition, de 1770, il
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