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1 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
journaux d’Italie ont grand succès à Paris depuis la guerre. Tous les gens qui parviennent, en s’aidant du peu de latin qu’i
cit des péripéties de ce voyage fantastique, car il dépeint choses et gens avec un relief extraordinaire. D’Anvers à Bruxell
s partis, même les plus avancés, même les plus pacifistes. On vit les gens qui s’étaient rebellés le plus énergiquement cont
ormistes, de républicains, de démocrates, de radicaux, de modérés, de gens de toutes nuances et de toutes classes formant un
stes italiens, assez imprudents pour avoir cédé aux sollicitations de gens , qui n’étaient que des instruments de l’Empire dé
nœuvres louches de von Bülow, qui chercha surtout à s’appuyer sur les gens sans parti, sur les faiseurs d’affaires qui corro
louvoyé si habilement et avait réussi à donner satisfaction à tant de gens qu’il passait pour un profond politique. Papini,
rançais et les étrangers, de multiplier les brochures écrites par des gens compétents et tirées à un nombre considérable d’e
ui encore ces égoïsmes se manifestent dans la conduite de beaucoup de gens riches qui ne donnent rien ou ne donnent que des
Ribot l’a dénoncé ici même du haut de la tribune. Il a stigmatisé les gens qui, au lieu de prêter le concours de leur fortun
aires. Les succès militaires de l’Italie lui conquièrent l’estime des gens pour qui la valeur d’un peuple se mesure à la pui
guerre. Ils entendent l’« Union sacrée » comme doivent l’entendre des gens qui n’ont pas perdu la tête : union temporaire da
chacun avec ses idées et ses responsabilités. » En ces temps, où les gens pensent en masse, où il n’est pire crime que de n
ncore, comme nous le vîmes faire aussitôt par un très grand nombre de gens sous couleur d’anxiété généreuse pour les destins
on plus de nous étendre commodément, comme le font d’autres parmi ces gens qui divaguent, en attendant que surgissent après
es et des plus burlesques qui soient. Donc, pour M. Gargano, tous ces gens qui partent en guerre ne savent pourquoi et deman
aire de ses facultés en ce moment : tenter de ramener à la raison les gens qui divaguent. La besogne est rude et, tout bien
peut que tirer profit de ces discussions pondérées par lesquelles les gens vraiment compétents s’efforcent de porter leur co
liens a été plutôt froid. Les raisons en sont multiples : beaucoup de gens se souviennent de ce qu’a coûté dans le Trentin,
nstitutions sanitaires, etc. Sur la frontière du Trentin, beaucoup de gens vivent de la contrebande et comme le déplacement
lusif : Spiritus ubi vult spirat. L’auteur se moque avec raison des gens qui veulent faire remonter la responsabilité de l
térieur. On ne sait où les caser ; il n’y a pas de travail ; tous ces gens chassés de leur maison après que tous leurs plus
gnant : « On prend toutes mes chairs » (tous mes enfants). Il y a des gens qui passent à côté de telles douleurs sans trouve
re mieux, à l’instant présent. Qui vivra verra… 1. C’est-à-dire, gens qui veulent conserver leur panse pour les figues.
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
service de s’enterrer. Il paraît que, jusques aux rois français, les gens du pays aimaient à se vêtir d’étoffes précieuses.
et très juste. L.) À toutes les heures du jour, elles sont pleines de gens occupés à gesticuler et parler très haut, et à re
e pendant quelque temps maison ouverte : c’est-à-dire que beaucoup de gens viennent la voir et qu’elle leur fait distribuer
3 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
eur pensée est plus haute et ne s’abaisse pas à ces vulgarités. À ces gens -là, on peut conter toutes les bourdes, ils ne sav
leur conduite aux trois vieillards, empêche des mariages, éloigne les gens qui peuvent lui nuire, imposant ceux qui lui conv
int depuis longtemps, comme nos volcans d’Auvergne, écarta de lui les gens comme il faut tenant à leur confortable. Ces gens
, écarta de lui les gens comme il faut tenant à leur confortable. Ces gens , en l’espèce les patriciens vieux-romains, logeai
fut depuis le Cirque-Maxime, le mont mal famé attirait à lui tous les gens sans aveu, tous les miséreux, trouvant à s’y gîte
s jusqu’alors dans ces parages et désireux d’un établissement stable, gens qu’il fallait ménager, car ils pouvaient affamer,
a fut d’installer, parmi les plébéiens de l’Aventin, un état-major de gens d’argent. Mais une telle hypothèse était par trop
umeur réelle du Nord et du Sud italiens, et plus particulièrement des gens du continent et des gens de l’île, le peu de symp
u Sud italiens, et plus particulièrement des gens du continent et des gens de l’île, le peu de sympathie, l’ébauche de consp
e qu’il n’y a point que les académiques qui se fâchent, mais même des gens assez accoutumés aux plus vigoureuses nouveautés.
eurs entrent-ils presque uniquement en contact avec les catégories de gens qui exploitent professionnellement les étrangers,
mployé, servant sans intérêt personnel une entreprise dirigée par des gens s’efforçant de trouver des sources de bénéfice, n
ils n’ont pas remportée. L’Italie a été gouvernée depuis lors par ces gens -là : poursuivant sans largeur de vues leur intérê
e l’Allemand pour qu’il puisse y avoir assimilation complète chez des gens doués d’une personnalité. En ce cas l’influence a
! À peine quelques voix s’élevèrent-elles faiblement ; la plupart des gens qui avaient conscience de l’injustice que l’on co
en bourgeois et ses agents provocateurs, renforcés, s’il le faut, de gens de mauvaise vie prêts à tout faire pour de l’arge
t soit peu intelligents qui résident longtemps en Italie traitent les gens du peuple avec bonté et avec égards, et pour ains
tuels serait désirable. J’entends ici par élite des intellectuels les gens qui aiment l’Art et la Science, non pour ce qu’il
ais athées qu’aujourd’hui. Je n’aurais jamais cru qu’il y eût tant de gens religieux. Mais la fréquence du sentiment religie
ans insincérité sinon sans ennui, tremper sa plume dans l’encrier des gens qu’il décrit. Un incroyant, pourvu qu’il atteigne
langue que Voltaire introduisit en Prusse et qui est restée celle des gens policés. Mais que M. Mesnil interroge ses souveni
quement, on commençait par supprimer le De aux enfants trouvés, comme gens peu aptes à porter la particule. Ainsi, dans l’ac
ques, d’avoir excité dans le monde où il est reçu les confidences des gens bien nés, pour en faire ensuite une lâche délatio
ement m’attirer la colère des « nationalistes » de la péninsule : des gens aussi fiers d’eux-mêmes, aussi infatués de leurs
upporter qu’on les juge à leur juste valeur et qu’on leur préfère des gens qui font moins de bruit qu’eux, mais dont la cond
gulière mentalité que révèle l’attitude de ces « nationalistes ». Ces gens sont si bornés qu’ils sont incapables de concevoi
nationaliste français, ce qui paraîtra infiniment comique à tous les gens qui me connaissent de près ou de loin. Je me suis
ertes pas faite pour relever le crédit du « nationalisme » auprès des gens qui réfléchissent et ne se laissent pas éblouir p
e, de l’influence de l’opinion publique déterminée par une coterie de gens mal intentionnés. Ceux qui voudront savoir ce que
cès Murri, livre qui a été traduit en italien et en français. Que ces gens aient pu commettre impunément leurs irrégularités
proche d’elle, la touche du doigt et la soude au fond sous-marin. Les gens du port sont frappés de stupeur et « se répandent
ns en grec : ἀκη sommet, φαίος noir nous donnent les habitants ou les gens de la Roche Noire. Voilà deux noms géographiques
n sur les alentours de Naples. Avant de se transporter à Schérie, nos gens « habitaient Hypéreia à la vaste campagne, auprès
réens. Voici donc trois identifications qui s’accordent à montrer nos gens établis d’abord à Cumes, sur le continent italien
ons de recueillir, cherchons l’île dans laquelle ils sont devenus les gens de la Roche Noire. Passons en revue les Parthénop
levait, il y a trois mille ans bientôt, la cité noire habitée par les gens du sommet noir ?   C’est ce que nous nous disions
les bourrasques de la Méditerranée, presque toujours rectilignes. Les gens s’en sont rapportés de confiance au chantre d’Ion
encore les travaux des hommes, c’est-à-dire une région cultivée. Nos gens approchent : à une portée de voix de la ville, Na
auxquels ma condition, dit Montaigne45, me mesle plus ordinairement, gens qui ont peu de soing de la culture de l’âme, et a
rer et la terre trembler sous mes pieds. Il semble étrange à bien des gens que j’aie pu être impressionnée par les merveille
tenant un lien de subordination nominale entre l’île et la Porte. Les gens de la Tripolitaine et de la Cyrénaïque n’avaient
e la vieille syntaxe héritée de Homère. » Il est certain que tous les gens qui se servent de la vieille syntaxe en question
dre son parti. Moi, j’en ai pris mon parti sagement, médisant que ces gens -là finiraient, hélas ! par écrire comme tout le m
me laissaient indifférent ? Et pourquoi eus-je envie de découvrir les gens qui y logeaient et de connaître leur existence ?…
ne et que je découvre si petite partie que ce soit de l’existence des gens qui s’agitent derrière ce mur invisiblement ! Cet
nasse, l’idée me vint de tirer d’elle quelques renseignements sur les gens de la maison d’en face ; je la mis donc sur le ch
4 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
utres vignes qui s’étagent sur les collines lentes, des vignes où des gens courbés besognent du chavrot et de la houe, où vo
elles filles, d’un commerce facile, à l’aide desquelles il payait les gens de sa maison. Passeri est formel : « Quelle sue f
rraine ou au « Petit Enfer » où on vendait, à huis-coupé, le vin, aux gens de chevaux et aux chemineaux qui n’avaient trouvé
iformes, les charpenteries massives contre lesquelles se pressent les gens avides. Et, dans la foule excitée et verveuse, pa
le premier et le dernier effort intellectuel de classe d’excellentes gens , qui ne pourraient faire tort à Quo vadis que pou
férentes idées qui courent les rues et sont répétées par une foule de gens qui n’ont jamais ouvert un de ses livres. Il est
, des artistes, des hommes d’église, voire même des journalistes, des gens profonds et des gens superficiels, des volontés f
ommes d’église, voire même des journalistes, des gens profonds et des gens superficiels, des volontés fermes et des caractèr
inels ne sont pas en prison et que les prisons renferment souvent des gens qui n’ont commis aucun crime, sous peine de faire
lication des journaux. Il est effrayant de songer que la majorité des gens qui savent lire — non seulement dans les milieux
absurdes ou mensongères, d’informations provenant presque toujours de gens incompétents, de littérature de bas étage, le tou
t de mettre la science à la portée des intelligences médiocres et des gens désireux de se procurer ce vernis de savoir qui s
urgeoisie « instruite ». Ce sont les livres favoris de la plupart des gens exerçant des professions dites libérales. Force e
t tout d’un coup et s’épanouissent ! Lombroso a fourni à une foule de gens des idées correspondant à leur désir ; il les a r
… géniale idée est assurément celle d’envoyer aux petites maisons les gens qui dérangent la digestion paisible des hommes no
ts actuels : il ne saurait avoir de conséquences lointaines, tous ces gens n’exerçant, de l’aveu même de Lombroso, aucune ac
de Boucher à propos de Raphaël et de Michel-Ange : « Si tu prends ces gens -là au sérieux, tu es un garçon f…. ! » À en juge
abbés qui cachent les menus bourgeois, les curiali, les médecins, les gens d’affaires ; jeunes gens aux allures louches, vie
regagnant l’Académie et laissé là pour donner quelque occupation aux gens de la police… tout cela doit bien aussi lui prend
ntrevues dans l’échappée des pins parasols, sites toujours habités de gens qui conversent, qui font la sieste ou qui admiren
élites seulement soucieux d’or) ; les politiciens de la constitution, gens n’ayant aucune intuition de la beauté, y restant
5 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
out ce qu’il faut pour justifier un « mouvement d’opinion », chez des gens qui manifestent leur passion pour la musique dans
splendeur ; et en bas, dans les rues de Milan, passaient un peuple de gens aussi fantastiques, peuple mobile et visionnaire.
tres moments n’en sont qu’une préparation, ou un arrière-goût. Peu de gens font si jalousement cette distinction. De là tant
ce illustre et des habitudes princières, comme Francesco Melzi, — des gens ayant juste assez de génie pour recevoir l’initia
saient encore pour tenir du miracle ; pendant deux jours une foule de gens de toute sorte passaient naïvement étonnés dans l
e jour-là, non seulement tous les Florentins, mais un grand nombre de gens de la campagne et des cités environnantes, afflua
etentissant miracle rendît sa sainteté évidente à tous ; le reste des gens , par frivolité d’esprit et désir de nouveauté13.
acci, maîtres du terrain, sûrs désormais de l’impunité, insultent les gens qui vont à la cathédrale entendre le sermon d’un
6 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
u Marché ; elles se chamaillaient : non loin il y avait une tablée de gens qui jouaient au loto. D’abord les joueurs s’étaie
lot passant de bouche en bouche. Il annonce le vin nouveau. Parmi les gens qui l’entourent, j’en vois un qui, sur sa tête, p
et par l’espace, car nous sommes en plein midi, c’est-à-dire avec des gens totalement différents, tout à fait lointains des
à-dire avec des gens totalement différents, tout à fait lointains des gens du nord, parmi une race qui commence à Marseille
ui commence à Marseille et ne finit qu’à Ceylan, avec cette espèce de gens dont les mœurs sont celles des êtres habitués à v
les et qui le resteront ? » Elle souriait, ajoute le critique, de ces gens qui corrigent les Essais et qui blâment leur aute
t-il fils d’un capitaine et d’une courtisane, recueilli par de braves gens touchés par sa beauté ? Par la suite, chaque fois
ne Barbarelli méritait que l’on s’occupât de lui ! Hélas ! il est des gens de haute naissance qui sont condamnés, par la mes
son carton, Giorgio me dit à l’oreille : — Vous le présenterez à des gens qui pourront lui être utiles, n’est-ce pas, Seign
r, comme des affaires, les choses de l’art. Mais l’approbation de ces gens -là ne diminua en rien la notoriété du Giorgione.
tel rayonnement d’intelligence et de beauté paraît une insolence aux gens communs et d’un savoir médiocre qui ont besoin de
on, sa vie régulière en faisaient une personnalité importante que les gens riches et peu habitués au délicieux commerce des
one. — Fou ! s’écria-t-il, avec un enjouement qui passa, aux yeux des gens mal intentionnés pour une colère contenue. Fou, j
’une épigraphe de Stendhal ; « — C’est un usage immémorial, parmi les gens affectés d’être émus en arrivant ici et j’ai pres
respectées. Il recommença à jouer du luth et à chanter. Au milieu de gens attentifs, il improvisait, sans vergogne, sur l’a
errogeait pas sur les soirées perdues loin d’elle. — Je vais chez des gens riches qui me fournissent du travail, lui disais-
arlé de la Maurina, il m’aurait débité les conseils insensés dont les gens raisonnables abreuvent, en pareil cas, nos cervel
s étaient éveillés… Dans nos tête-à-tête, elle m’interrogeait sur les gens qui te recherchaient, sur leur fortune. Elle voul
ts, évoquant des bains de mer, sont bien peints, mais théâtraux ; les gens ont l’air d’évoluer auprès du flot comme pour fai
as au nom de son amour qu’elle lui parle, mais au nom de la race. Ô gens de ma race, vengez-moi. Je ne suis pas seule l’of
ion sur la puissance publique, elles s’étaient attiré l’animosité des gens au pouvoir, par la menace perpétuelle qu’elles fa
franchissement des incapacités qui frappaient les célibataires et les gens sans enfant. Claude, le premier, décida que les n
entrés au Louvre ; 2° ceux qui n’y sont entrés qu’une fois. Voilà les gens compétents à la fois en peinture et en administra
[824-825]. Études d’art et de psychologie ou marivaudage savant entre gens qui ont le respect des lettres et d’eux-mêmes. Ah
op l’impression de la pédanterie. C’est amusant parce qu’on est entre gens du même monde, amateurs ou auteurs, et c’est asse
lace, puisqu’il s’agit de soigner des malades trop bien portants) des gens , hommes, femmes, qui ont entre eux d’involontaire
e la sexualité. Qu’en faut-il conclure ? Je crois que la prudence des gens de science a l’horreur de la conclusion. En ma qu
onnelle des fous me porterait de plus en plus à les traiter comme des gens raisonnables, c’est-à-dire à les mettre en prison
7 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
liens appellent le Dante divin mais c’est une divinité cachée, peu de gens entendent ses oracles ; il a des commentateurs, c
de Madona Beatrice. On trouve chez nous, dans le xviiie  siècle, des gens qui s’efforcent d’admirer des imaginations aussi
érite d’être connu, quoique, malgré les lois de la physique, bien des gens l’aient trouvé plus grand de loin que de près33. 
8 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
mon frère exilé — à mon père enseveli — à tous mes morts — à tous mes gens d’entre la montagne et la mer — ce chant du sang
qu’elles disent le but de leur visite et payent l’obole des noces aux gens de la maison. Et les femmes disent les paroles sa
n courant, essoufflée, tremblante, demandant hospitalité et secours. Gens de Dieu ! Sauvez-moi ! La porte ! fermez la porte
u contraire, c’est quand je suis au pays que je dépense : beaucoup de gens disent que j’agis de la sorte pour faire enrager
eneziano représente insuffisamment l’époque naïve et charmante où les gens de Venise et ceux de Cologne ou de Nuremberg comm
familial, une compréhension entière et tendre des choses simples, des gens simples, de la terra patrum. Il connaît et il veu
simples, sur des choses simples, dans l’évocation calme et douce des gens simples dont il aime à fouiller le sentiment éter
recommande à la bonne ménagère d’ôter la nappe du souper lorsque les gens de la maison se couchent, afin que les morts ne v
ils écrivaient en lignes inégales… Mais, les poètes de ce temps sont gens heureux ; ils ont un palais, un théâtre, les Bouf
cès incongrus autant qu’irrésistibles, au spectacle désopilant de ces gens éplorés abandonnant presto leur mine tragique ou
et des fournitures militaires furent plus fréquentes, et beaucoup de gens de la classe moyenne qui avaient rapporté un peti
minologie actuelle : « Conservateurs », « Opposition », « Salons », «  Gens du monde », « Monde officiel », etc. Cela rappell
s négliger sans erreur… je voudrais encore que M. Beyle expliquât aux gens durs d’oreille que le siècle ne prétend pas être
la Sardaigne. 6. Zio, nom familier que l’on donne en Sardaigne aux gens du peuple déjà âgés. 7. Saint Élias et sainte Ba
en anglais ? J’ai lu ces jours-ci Fielding et Richardson, et tous ces gens -là me donnent une furieuse envie d’apprendre leur
9 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
rmée de reporters ahuris. M. DELARUE. — Vous êtes dur. M. DESM. — Ces gens gâtent par leur verbiage télégraphique une belle
, l’air natal. Voilà un spectacle qui ne se voit qu’ici ; car quelles gens pourraient vivre chez nous du seul amour du chant
n de passagers, et nous sommes envahis. Ce sont, pour la plupart, des gens du peuple, des travailleurs, qui vont à Gênes che
ples régis par les mêmes lois, gouvernés d’une manière neutre par des gens indifférents. L’État, qui signifie pour nous stab
oire présente, tout en leur faisant espérer cette immortalité que les gens du xve  siècle se promettaient si volontiers. Ils
s particuliers ; elle servait aux cérémonies officielles. Les pauvres gens ne devaient pas jeter des regards furtifs par des
sément comme se trouvant en déficit, et par suite non imposables, des gens qui vivaient parfaitement avec leur famille du mé
qués à la grosse, mécaniquement, d’après des modèles dessinés par des gens qui ne connaissent rien à la fabrication, pour un
us les siens. Dès que la moria, comme on disait alors, sévissait, les gens aisés s’empressaient de fuir, si les affaires le
t les ordres sont pleins d’ambitieux, de fainéants, de vauriens et de gens qu’on y a séquestrés de force. Aussi tous les esp
on qu’on renie, on ne se sent plus chrétien, on perd la foi. Bien des gens ne pratiquent plus ou vont à la messe pour se con
er deux jours à Avignon. On lui fait la grande chère qui convient aux gens de son rang et Garganello, persuadé dans sa modes
e ! Monsieur le Prieur44 est passé par ici, pour mon malheur, car ses gens ont emporté la robe fourrée qui m’était si utile
es seulettes ; dans sa tristesse il trouve une consolation à voir les gens de Barbentane faire le guet nuit et jour, tout ar
récriminations qu’il ne peut se tenir de déverser. Quels sots que ces gens d’Avignon ! Ils verront bien quelle différence il
araissent comme des créatures dignes de respect et les amis comme des gens sincères incapables d’aucune trahison. Il lui fau
. Les propriétaires d’un aussi placide palais devaient être de braves gens . Et quelle chance, s’ils pouvaient ne pas tenir à
Moyen-Âge qui eut de la condescendance non seulement pour les pauvres gens , mais pour les bêtes, pour les plantes ; on sait
r un procès, qu’il gagna… Je n’ai cité sur Bourmont que l’opinion des gens de son parti. Rappelons que l’amiral de Rigny ref
10 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
assuré dans certains milieux peu suspects de tendresse à l’égard des gens de l’Avanti ou des amis de M. Giolitti. Certes, i
n. Mais il me paraît excessif qu’il puisse dire n’avoir rencontré que gens dont le regard demandait : Pourquoi le conflit, p
e de réflexion et servent à couvrir les responsabilités multiples des gens , toujours si nombreux, dont la conscience et les
t politique » n’a à opposer que des racontars provenant évidemment de gens qui font des efforts désespérés pour endosser à a
gende : ce journal laisse toute liberté à ses correspondants qui sont gens instruits et habitent généralement depuis longtem
plus légères sont de m’exposer aux calomnies et aux insinuations des gens dont la guerre a obscurci la conscience. Veuillez
ti répond avec hauteur qu’il « n’unira jamais ses forces à celles des gens qui n’ont jamais su empêcher l’Allemagne de vainc
sont venues que du problème yougoslave ; et s’il y a encore bien des gens hostiles à l’idée d’une politique slavophile, c’e
s ne fut que 6,30 pour cent, tandis qu’il montait jusqu’à 14 pour les gens des autres nationalités. Les Français sont restés
euplades slaves. Dans la Péninsule Balkanique et en Russie vivent des gens que l’on peut considérer comme barbares. » (Vol. 
ne serait-ce pas grotesque de supposer que des livres écrits par des gens qui jugent de la valeur de civilisation d’un peup
pour laquelle ils ne se sentaient ni vocation ni amour et ce sont ces gens -là qui dirigent l’éducation nationale ! Un autre
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
t, dès qu’il peut distinguer les mots ». « L’autre langage où peu de gens parviennent est appelé grammaire par les Grecs » 
plus honorable parmi toutes celles que Dante a passées au crible. Les gens d’Apulie barbarisent honteusement, à cause du voi
resse que parce qu’elle fut la sienne. Pour une certaine catégorie de gens qui connaissent les coulisses et les dessous du t
12 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
par exemple, psychologue clairvoyant, dans une série de portraits de gens de lettres, peintres, musiciens, philosophes, hom
nombre des écoles des Beaux-Arts, des récompenses, des commandes, des gens qu’on envoie à Rome ou en voyages, comme le prix
assion me paraît décidément avoir partout ses inconvénients. Chez les gens à imagination (théâtre de Victor Hugo) elle s’emp
le s’emporte à de tels discours qu’on a peine à ne pas rire. Chez les gens affinés (théâtre de MM. Hervieu et consorts) elle
lle provoque des dialogues si réjouissants qu’ils endorment. Chez les gens simples, enfin, les naïfs, le peuple (exemple : l
odin de l’époque, si elles n’eussent été employées contre eux par des gens dont la rancune corsait cet usage en le transport
es œuvres de Victor Hugo, ce qui prouve au moins qu’il y a encore des gens qui croient au définitif. C’est une maladie tenac
naperçu. Il prit en haine le luxe, les richesses par lesquels tant de gens indignes s’élevaient au-dessus de lui. Il sentait
cère, comment ne l’eût-elle pas été, puisque c’était là neutralité de gens qui veulent malgré tout s’amuser ? Bonaparte, alo
d’ailleurs encore un peu jacobin, dut trouver bien légers ces pauvres gens  ; et, résolu, aussi bien, à mettre politiquement
e aux prémices matérialistes est si abandonnée que personne parmi les gens de bonne foi ne nie cette évidence : le culte de
plus loin : « Le protestantisme s’introduisit, par les savants et les gens de lettres. » De pareilles assertions ne sont pl
êvait rien moins qu’une expédition militaire contre Rome. Beaucoup de gens admirent comme prouesse les clameurs contre les a
ommes les plus policés ? Les premiers chrétiens désignèrent ainsi les gens des campagnes qui restèrent plus longtemps attach
laves et saint Paul établit des règlements pour ceux que le droit des gens a réduits en servitude. » Il affirme que les droi
mées par Rome), emplies de dignitaires, de courtisans, de scribes, de gens de lettres, de parasites.
13 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
certaine partie, n’est pas à la portée de tous, et il est bien peu de gens qui peuvent parler avec compétence d’une telle po
Muses pour les poètes, Mercure pour la peinture, le Paradis pour les gens d’église, et pendant les repas des bouffons, des
14 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
s, culs-de-jatte, manchots, réduits à la mendicité, bousculés par les gens de police. Comme devise : « Aux frères. Cairoli,
s vivant dans le musée et de vraiment intéressant à bien copier : les gens qui s’y promènent, comme mon ami et moi. Certes,
vie qu’à dire presque ce que l’on pense ; c’est un plaisir que peu de gens osent se donner, car je n’ai lu nulle part l’aveu
15 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
toresque, nous envoyons des études sociales habilement torchées à des gens qui nous retournent des portraits individuels sup
ément, ce qui demeure du talent, du savoir-faire, chez nous, chez des gens peut-être plus naïfs, est du simple génie. Gabrie
es. L’amour est une névrose entre experts, c’est-à-dire entre blasés, gens qui savent ce que parler signifie. L’amour-passio
rie qui profita de l’inquiétude qui agitait son époque pour duper les gens . Il reconnaît bien la valeur littéraire des Mémoi
16 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
d de remercier la direction des Latins de l’avoir révélée à nombre de gens . Art ancien. Au Louvre : les nouvelles salles
est peintre ou on ne l’est pas. L’amateur fait toujours penser à ces gens qui n’ont pas le courage — peut-être pas la force
e (jour gratuit) par 2 à 3 000 personnes qui s’y donnent rendez-vous, gens du peuple, militaires, etc. » Le Palais des Doge
quelques affreux désordres. » Tous les palais ont esté gardés par des gens armés pendant dix à onze jours. Mme Poërson, qui
eine, ne peut répondre aux idées que l’on a eues de former d’habilles gens et d’en tirer de belles copies, tant d’architectu
17 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
n ancienne place dans le monde. Malgré l’hostilité de la majorité des gens de lettres italiens et l’indifférence narquoise d
ue j’espérais. Il ricana : — Ah ! ah ! Ils sont encore chez vous, ces gens -là ! Quel plaisir avez-vous à les recevoir ? Ils
Il va à la poste restante, écrit des lettres anonymes et espionne les gens que lui signale la Ceschini. — Il conclut, après
a. J’aurais dû lui dire, une fois pour toutes, que cette catégorie de gens ne franchit pas le seuil de mon palais. Pourquoi
e disais, hier encore, à Mondella, elles abusent les trois quarts des gens  ! Il vous a accordé, immédiatement, de faire le p
mon café au Florian, avec Mondella. L’après-midi, je divague chez des gens , sur la pluie et le beau temps ; je me passionne
du champagne et du bourgogne dans la tête. Que demandez-vous donc aux gens que vous recevez ? — De pouvoir être reçus sans t
s, si cela te semble suffisant. Nous nous sommes rencontrés là où des gens de notre sorte se rencontrent et se lient : à la
es plus illustres de l’antique patriciat romain. Et les deux jeunes, gens , émus et surpris, murmurant à voix basse les note
e Wellseley, que Joachim Peter et Emmanuel Delphino étaient de braves gens qui lui étaient dévoués, mais elle avait peur. We
pierres y sont évoquées surtout comme cadre à la vie actuelle et les gens y vivent réellement. […] M. de Monard et Mlle Zam
18 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
e de mes concessions. Je ne vais pas chercher les interprétations des gens qui tiennent une plume ou la lancette du médecin,
e, n’ont pas attiré l’attention des membres du Conseil des Dix et des gens ayant affaire à eux qui sont au-dessous, dans la
stoire de grandes amours qui avaient fini misérablement ?… Il y a des gens qui disent que l’amour ne dure pas toujours. C’es
bravis. Il n’était pas difficile ici, c’est probable, de trouver des gens pour faire cette besogne-là, bien, discrètement.
mbien ces êtres si anciens physiquement se rapprochent de nous, — des gens que nous pouvons voir passer dans la rue et que d
bœufs. J’envoie alors deux compagnons et un héraut reconnaître quels gens mangent le blé de cette terre. Ils suivent une ro
faut constamment changer de direction. Voilà évidemment pourquoi nos gens rament beaucoup. Ainsi s’expliquent les six jours
dessine sur le ciel une silhouette d’Ours très reconnaissable22 : aux gens de mer qui arrivent du sud, il signale l’aiguade
rt avec les ténèbres imaginaires du pays : ce sont, dit le texte, des gens « en proie à la terreur, tremblants d’effroi ». N
i et celui de Tartessos en Espagne, et supposait un établissement des gens de ce dernier pays au nord de la Sardaigne. Sa th
considère que son livre, « est appelé à rendre de grands services aux gens d’études, parce qu’on y trouve l’explication d’un
tous ces monuments. » Énormes monuments publics pour une immensité de gens toujours hors de chez eux : vue juste sur Rome. E
ne matrone à l’époque agitée du second triumvirat ; et le chiffre des gens de la maison d’Auguste : 6 000, « chiffre extraor
y avait, des Chrétiens, au Transtévère, parmi les commerçants et les gens des petits métiers. Là, le culte de « Chrestus »
que les cultes des vieux Romains laissaient, comme ils laissaient les gens des autres nations établis à leurs côtés, indiffé
t si bien déguisés que, toujours pour une fois, ils avaient l’air des gens qu’ils étaient censés représenter. Que n’en font-
font-ils autant pour Tannhaeuser et Lohengrin ? Et, pour comble, ces gens marchaient, remuaient, couraient, gesticulaient.
19 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIV »
, font la base de la société dans les villes du Nord de l’Europe. Les gens d’ici sont très adonnés à la paresse, à la molles
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVII »
Chapitre LXVII Ces gens -ci sont extrêmement portés au tapage. Ils se mett
21 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
transport, de dévouement, qui peut être aussi ennuyeux que celui des gens du Nord, mais qui vaut en tout cas la peine d’êtr
Cette propension chorégraphique n’est pas sans inconvénient chez des gens peu disposés à affronter la céphalalgie pour inve
son talent d’artiste exquis est irrésistiblement attiré. Les pauvres gens qui font son entourage ont un vocabulaire spécial
lecteur à travers l’Europe, donnant, sur maintes affaires et maintes gens intéressants, pendant deux tiers du xviiie  siècl
triomphale. Nous traversâmes à toute bride la grande place pleine de gens venus pour le marché du lundi ; des ustensiles, d
Casanova sur parole. Mais, il n’est pas toujours facile de croire les gens sur parole, quand ils écrivent sur eux-mêmes, et
22 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
réservoir naturel où puisent les lettrés. Dès le onzième siècle, les gens d’Église mettent en circulation des mots, tels qu
de profondément dramatique dans les mœurs primitives et brutales des gens de mer. Ils se sont demandé, quand ils n’avaient
tte dans le fleuve. Lorsqu’il a porté son observation sur les petites gens et sur les petites aventures de sa ville natale,
oils raides sous la lèvre inférieure… Il avait cet œil vif qu’ont les gens tracassés par des inquiétudes légitimes et les bê
e Lorenzino avec les Strozzi, qui sont bien, croyons-nous, les seules gens , sans parler de l’affection douloureuse de Marie
aussi hautes ne sont pas seulement un conseil et un talisman pour les gens de métier, elles sont un enseignement humain qui
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIII »
eau de gros drap de laine dont ils se font une espèce de manteau. Ces gens , comme on le voit, n’ont pas de besoins. On les v
24 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
ent pas une idée à lui, ce qui est d’ailleurs généralement le cas des gens réputés « fins et spirituels » en conversation, m
démographique l’Allemagne prétend que la terre entière est peuplée de gens de sa race, ainsi elle prétend, en économie, que
Lombardo). Mélanges, souvenirs fantastiques et militaires, croquis de gens de lettres, pensées : on y retrouve tout. Il y a
Gauthiez s’ouvre sur un tableau qui fait comprendre ces destinées des gens d’Italie, à la fois monotones et abruptes. Furibo
eurs de Toscane enguirlandant les autels. Abattement, fièvre, menace, gens et choses intraitables. Et pourtant, je l’ai dit
res doivent être celles des hommes, d’affaire ; tout autre celles des gens riches et délicats ou des seigneurs dont les fonc
763-764, 767]. Oderisio Piscicelli 1917 qui a vu mourir tant de gens illustres voit creuser dans les arts un trou prof
s l’article en question, je relève la phrase suivante : En somme les gens qui interprétaient contre l’Église la pensée de D
e propagande intempestive en faveur de la paix prouve la ténacité des gens qui étaient uniquement soucieux de retrouver le «
usages domestiques d’une telle propriété. La maison qu’on bâtit pour gens d’affaire doit être autrement disposée que celle
d’affaire doit être autrement disposée que celle qu’on fait pour des gens heureux et délicats ou pour des grands personnage
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXII »
it encore plus ressembler à la nature que ce qu’impriment à Paris des gens qui n’ont jamais vu le soleil de Naples réfléchi
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 242, 15 juillet 1907 »
iendra à bout d’autant plus difficilement que la plupart des savants, gens tout aussi médiocres que les autres, en sont eux-
27 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
er, il le fait comme bien peu en seraient capables. Il n’y a guère de gens qui puissent se vanter de connaître l’œuvre compl
coupent leur pain quotidien en tartines, mais je prie les poètes, ces gens si heureusement doués de folie, de s’arrêter un i
ie, de la haine, de la part aussi d’une certaine catégorie candide de gens de bien, à des suppositions fantastiques et ténéb
dans une étrange nostalgie de doute et d’espoirs, de laquelle peu de gens s’expliquent le pourquoi. Une fois calmée la clam
lu de l’Italie », dit-il avec une ironie amère et vraie. La foule des gens cultivés, ou de ceux qui se croient tels, se nour
hnique, il erre assez facilement. Léonard écrit : Il y a beaucoup de gens qui ont le désir et l’amour du dessin, mais qui m
distinguer : si les romantiques étaient des peintres, nous sommes des gens de lettres. S’ils étaient pris par la couleur, no
e l’antichambre d’un temple sacro-saint. Puisqu’il y a encore tant de gens ridicules, n’existe-t-il donc plus personne pour
s ou faux, tous les concierges épris de littérature et tous les vrais gens de lettres y surgissent, y passent, s’y donnent r
28 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
açant dans la vie ardente et mouvementée des hommes de lettres et des gens de théâtre, l’auteur se garde de donner à son pro
nne partie de l’humanité pense, exactement, comme l’assassin, que les gens qui ne travaillent pas, et notamment les femmes q
truelle, l’estafier du Cavalier l’en empêchait. Il est survenu force gens pour les entrepreneurs. J’ai dit aux uns et aux a
ingt ans des papes : ce qui ne l’avait pas empêché de reprendre à ses gens les gratifications royales, et de donner libérale
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
vœu est unanime et personne n’en tient compte ! Et il est encore des gens qui croient que l’Humanité est susceptible d’amél
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
une sottise, une vengeance mesquine, d’autant plus révoltante que les gens qui ont présidé à cette oeuvre néfaste ne se sont
31 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
l’autre… » En tout cas, Rossini ne fut point l’imbécile que bien des gens se figurent aujourd’hui : il était de la race des
n. et qu’elle aime peut-être encore (Page 187). Est-ce la faute des gens bien élevés, si des moines ont corrompu le bas pe
mblablement, pour Romain Colomb. (Page 69). Quand j’allais chez les gens à argent de France et d’Angleterre, qui ne savent
ne sois pas encore écroulée, sous le poids des insanités dont tant de gens te couvrent ! — M. l’abbé Thédenat, dont les trav
il faudrait que les ministres d’un pays en fussent en même temps les gens les plus amusants. Alors j’irais les voir assez s
n rendez-vous avec la musique, et tout cela pour offrir du rôti à des gens qui n’aiment que le bouilli. Y a-t-il rien de plu
s montagneux des deux Siciles, où la misère effrayante prédispose les gens à toutes les capitulations, et où d’ailleurs le r
d lui prépare l’affranchissement matériel. C’est sur l’initiative des gens du Septentrion que tomberont les antagonismes de
32 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
avides de savoir à un degré ignoré de notre siècle de lassitude, les gens de ces temps (si pleinement lumineux pour qui n’a
ligions, n’eût pas été plus terrible. Qu’allaient devenir les pauvres gens , ainsi privés de leurs chères enluminures ? Le pl
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
la publication de sa Vie de Jésus, au poète Mœrike, à tous ces braves gens qui formaient l’élite de la société wurtembergeoi
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
 les Femmes, l’amour et le cavalier servant » ; le chapitre dédié aux gens d’esprit, résumés en Gasparo Gozzi, le critique e
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
xiome : Motus in fine velocior. Monsieur, il y a dans la jeunesse des gens heureux un instant précis où la chance tourne, où
36 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
t en dehors de nous, mais en nous, car il n’y a pas, que je sache, de gens qui aillent demander aux autres leur colère propr
37 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
yankees, et il semble bien que nous nous divulguions à cet égard les gens les plus « civilisés » du vieux continent même. P
ce qui s’écrit sur nous en France. La France envoie en Italie trop de gens de lettres en vacances. L’homme en vacances est é
déal est l’Allemagne. Le peuple n’a jamais fait de distinction et les gens cultivés n’en font pas non plus. Nos souvenirs hi
devant les attentats contre les peuples, les violations du droit des gens et le sentiment très net que le moment est venu d
38 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
vie et sa croyance. Quelle leçon et comme cela apprend à sourire des gens qui s’apitoient confortablement sur la misère du
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