nde près du rivage ; une gloire de rayons l’entoure et une couronne à
fleurs
de lis plane sur la tête. À droite, une barque à
vain et cherche à se détacher. Voici encore le frontispice pour les “
Fleurs
du mal” de Baudelaire : d’une corbeille en fer ci
ciselé, d’une étrange mais artistique facture, s’élève une touffe de
fleurs
bizarres et de feuilles épineuses, qui semblent p
ant aimés de notre artiste, se dresse une mince tiare couronnée d’une
fleur
ronde, qui n’est autre qu’une pâle figure humaine
nt la Déesse qui reviendra de la mer dont elle est née, pure comme la
fleur
du sel, portée par les zéphirs riches de pollen e
’il faille deviner, comme l’a dit M. de la Sizeranne : « Qu’à la fine
fleur
du clocher qui monte là-bas fleurit la fleur de l
zeranne : « Qu’à la fine fleur du clocher qui monte là-bas fleurit la
fleur
de l’Angelus », mais c’est qu’au son de l’Angelus
avit un sommet il voit de bas en haut, détachée sur le ciel bleu, une
fleur
, une fleur si harmonieuse, si ornementale qu’il e
met il voit de bas en haut, détachée sur le ciel bleu, une fleur, une
fleur
si harmonieuse, si ornementale qu’il en veut fair
ique, dit l’Église dans les Litanies de la Vierge, — et au fond de la
fleur
, dans le giron de la femme, le pollen aura fructi
boutées par des œuvres réalistes. L’arbre qui deviendra la tige de la
fleur
alpestre, le support de la mère, n’est-d pas en g
nt de l’air ; puis une femme, presque étreinte par lui, expectore des
fleurs
; puis une autre grande femme sourit, la robe par
fleurs ; puis une autre grande femme sourit, la robe parée des mêmes
fleurs
; ensuite trois grâces aux tuniques diaphanes ; p
alors quoi ? L’amour ! L’amour et le printemps ! Les rhododendrons en
fleurs
! Toute cette série d’œuvres de douleur épuisée,
à la fontaine de joie, d’abord exposé lors de la fête de l’Art et des
Fleurs
en 1898 à Florence, où il passa presque inaperçu…
ques ondulations, à la phosphorescence de ses yeux dardés vers elle à
fleur
d’eau, à sa tête en grelot, à son rire de crapaud
ou rose, tout est rose et bleu chez M. Zandomeneghi, les femmes, les
fleurs
, les oranges et les pommes. Tout est doux, lisse
êtres du Rêve que je vais évoquer. Il faut Ie parfum d’amour de leurs
fleurs
étoilées avec le charme du fruit que l’on peut cu
et limpide comme les yeux d’une jeune vierge. Dans cette chapelle de
fleurs
et de verdure, j’évoquerai la Princesse du Rêve.
ose rêver que de l’Adolescent timide et fier, qui triste cueillera la
fleur
d’amour pur, laissant de son casque ailé s’envole
ante au souffle du mâle Zéphyr, et sa fuite ne sera qu’un jeu, et les
fleurs
écloses sur sa bouche diront son attente de la ma
uelles tu gouvernes l’Univers entier. » Et que l’arbre, le rocher, la
fleur
, le nuage, l’ombre et la lumière, la montagne et
l’universelle angoisse, réduire à des jeux d’amour et à des pluies de
fleurs
tout le spectacle intellectuel ? Prenez un lys et
vous reproche ? Non ; c’est si peu de chose. M. de Vogüé haïssait les
Fleurs
du mal, mésestimait la Tentation, ignorait Maeter
: celui qui vous est dû suffira à vous tenir en joie avec ses petites
fleurs
roses et ses belles feuilles vertes. Enfin, n’int
uise aquarelle, M. Segantini expose un mâle hymne à l’Existence : Une
fleur
des Alpes, avec cette épigraphe : J’ai rencontré
vec cette épigraphe : J’ai rencontré en haut, près des glaciers, une
fleur
étonnante. Qu’elle était belle et harmonieusement
sans emblèmes. La figure se détache sur des épais buissons fleuris de
fleurs
tristes, grands œillets de chartreux et ancolies,
ons, âmes naïves, que c’était juste le contraire !) et en couvrant de
fleurs
la civilisation anglo-saxonne, qui pourtant, si e
re (ceci est, je pense, incontestable) à tel cadre où fleurissent les
fleurs
les plus fraîches ; ne mettez pas à même de chois
tine, en mettant avec minutie chaque feuille sur les arbres et chaque
fleur
dans le gazon, où se tenaient debout le premier h
mbole, par son efflorescence tardive et son soudain épanouissement en
fleurs
et en fruits à la fois, d’une sagesse qui économi
re. Léonard était le dernier homme qui pût trouver un poison dans les
fleurs
exotiques de sentiment qui s’y épanouissaient. C’
osphère singulière où se jouent des lumières variées. Il peignait les
fleurs
avec un bonheur si surprenant que divers critique
critiques lui ont attribué une affection particulière pour certaines
fleurs
, comme Clément pour le cyclamen, et Rio pour le j
t lui-même. Des lieux secrets d’un tempérament unique il rapporta des
fleurs
et des fruits étranges, et jusqu’alors inconnus ;
e toujours dans des formes si définies et si précises, les mains, les
fleurs
, les cheveux, portait ses yeux sur les régions va
dernier des adorateurs assez fervents pour parsemer religieusement de
fleurs
à chaque anniversaire de sa mort l’endroit où s’é
e aux cheveux blonds relevés qui se profile sur un fond de ciel et de
fleurs
, œillets et ancolies ; tout autour, des vols de p
ue M. Riccardo Sonzogno vient de traduire, pour la première fois, les
Fleurs
du mal. On ne connaissait encore, en italien, que
de toutes ses moindres manifestations, des odeurs, des couleurs, des
fleurs
, de tous les aspects, de toutes les choses ». Ce
es enfants Jésus en plâtre à la chevelure blonde, de gros bouquets de
fleurs
en papier, des petits personnages pour les crèche
te, porte tout un reposoir : une statue de la Madone, des bouquets de
fleurs
et des lampes ; à côté de celui-ci, un nain à fig
. Il a quitté les métropoles où il souffrit beaucoup. Il vit dans les
fleurs
et dans le calme des sommets, au milieu de l’âpre
f m’abusa, étaient simplement peints. Il y avait là des guirlandes de
fleurs
auxquelles se mêlaient des grenades ouvertes et d
n’étais qu’un moineau qu’enivrerait une goutte de rosée bue dans une
fleur
parfumée ; une grive à qui un grain de raisin noi
nt aux lumières qui donnaient les tons de la nacre et de l’ivoire aux
fleurs
cueillies à Muran et aux chairs des femmes. Elles
uffes de narcisses, des gerbes de lilas, des bouquets d’anémones, des
fleurs
de pavot évasées comme des coupes, des roses, des
e des coupes, des roses, des buissons de roses ! Et ces fruits et ces
fleurs
étaient vendus par la fille du paysan : une vraie
u vert, du bleu et du jaune, je pourrais reproduire ces fruits et ces
fleurs
. — Je les reproduisis. Au lieu de les disposer su
colère de ce dieu fessant un amour et la volupté de Vénus offrant des
fleurs
à Mars. Il répéta ce motif, mais en le traitant d
les tempêtes ; la voracité de certaines plantes qui, pour créer leurs
fleurs
et leurs parfums, se nourrissent d’autres plantes
o Ridolfi, je l’entends !… Plus loin une femme nue, debout. C’est une
fleur
! Les jambes entourées et serrées par une draperi
es qui entourent les iris des jardins ? Avec quelle nonchalance cette
fleur
ne s’offre-t-elle pas au soleil en se penchant su
; les narines mobiles restaient longtemps dilatées pour respirer une
fleur
ou le fumet d’un plat. Elle portait, à ses chevil
laquelle il peignait les grotesques et enlaçait les feuillages et les
fleurs
. Cet immense labeur absorba l’activité de Giorg
na étendue, paresseuse, fraîche comme une nymphe, embaumant comme une
fleur
, enveloppante comme une flamme et belle comme les
relles… la beauté telle que la décriraient les arbres, le soleil, les
fleurs
, les eaux vivantes, les enfants et les femmes… s’
it poète et il était romancier. Son lyrisme était simple et émouvant,
fleur
d’un talent très ému. Le livre sentimental de Mir
e toute force de lyrisme vrai : LES ORCHIDÉES Hernies bariolées des
fleurs
, Bains de siège des papillons, Éteignoirs des luc
liquées et obscènes, Bonnets de nuit des gnomes, Pétales des sylphes,
Fleurs
de stupre, Fleurs de lupanar, Fleurs homosexuelle
s, Bonnets de nuit des gnomes, Pétales des sylphes, Fleurs de stupre,
Fleurs
de lupanar, Fleurs homosexuelles. Palette de l’ar
des gnomes, Pétales des sylphes, Fleurs de stupre, Fleurs de lupanar,
Fleurs
homosexuelles. Palette de l’arc-en-ciel. Pénis bo
ne de Milan, de cette belle, douce et raisonnable Italienne, de cette
fleur
déjà de la Renaissance, brisée, elle aussi, sous
elle voit Sébastien : Tu es beau dans ta
fleur
comme le dieu qui m’aima, le dieu bondissant port
… Pleurez, ô femmes de Syrie ! Il va dans la pâle Prairie, Toutes les
fleurs
se sont flétries hélas ! pleurez ! Jésus va rena
et il ordonne, parce qu’il est beau, de l’ensevelir étouffé sous les
fleurs
et les parfums : de nouveau le chœur syrien éclat
usiasme M. Angelo Conti devant l’éclosion, dans les airs, des grandes
fleurs
ailées du courage humain : les machines empennées
palpiter en amours indistinctes ; quelle pourriture de feuilles et de
fleurs
te jetteront les liserons et les sapins ! Et de l
ssions, finissant dans le désespoir de la mort d’une belle fille, une
fleur
magnifique, mais vénéneuse, fauchée par la peste.
de ses sœurs et le précise dans une strophe. D’un nœud de jeunesse en
fleur
rayonne une blanche lumière. Et la mère vient et
u blé, symbole de l’abondance, est un pain, et au milieu du pain, une
fleur
. Les femmes arrivent, et, triomphantes et sereine
ant. Ses rives blanches, sablonneuses, étaient couvertes de menthes à
fleurs
violettes ; de vrais petits bois de sureaux et d’
nt se changer en grand tapis d’or, où les chardons secs brodaient des
fleurs
violettes ; le fleuve étincela, aussi bleu que le
es roses et violets des oléandres et des menthes qui secouaient leurs
fleurs
et leurs feuilles sur les eaux tranquilles. Les p
nières pour qu’il l’aidât dans ses sorcelleries. — Dis-moi, ma petite
fleur
, alors je la fais venir, cette personne ? — Quell
jambes pendant à l’extérieur. Il chantait : « Ô toi qui es là sur les
fleurs
de la colline toscane, avec ton père à ton côté…
que chose d’inconnu. Ce soir-là, l’âme du séminariste était comme une
fleur
ouverte vers le ciel, et qui attend la rosée. Eli
arence bleue. Le sureau commençait à répandre l’odeur délicate de ses
fleurs
de cire. Les petits veaux au museau rose, aux ore
erai, faites-le-moi venir ici, saint Elia ! — Tu vois bien, ma petite
fleur
, même en dormant il te hait. Il est féroce, tu sa
s. Un grand frisson énamouré court dans le verger et l’enserre, les
fleurs
ont un air de mystère, elles semblent murmurer un
s, son verbe et sa pensée, comme la brise en passant sur un verger en
fleurs
, ne s’étaient pas moins imprégnés à jamais de leu
uel est le gourmet assez fin pour dénombrer dans un rayon de miel les
fleurs
multiples dont l’abeille a pris le suc et l’arôme
lui devons, avec les Regrets et les Méditations, les deux plus belles
fleurs
qui aient illustré, au seizième et au dix-neuvièm
Sainte Pourriture, reine de la Terre : — C’est moi qui accouple les
fleurs
obscènes, plus chaudes et désirantes que des vulv
u-dessous, une fleurette : « Herbe du dôme de Milan. » Plus loin, une
fleur
et une grappe de cosses, cytise ou genêt : « Laza
des et toutes favorisées d’une cour avec plus ou moins d’arbres et de
fleurs
. Les balcons où pendent toutes sortes de verdures
léger cercueil recouvert de damas blanc brodé d’argent et couvert de
fleurs
et de couronnes admirablement belles. Les jeunes
e ? Chacune de ses paroles les saisissait de joie. On l’a couverte de
fleurs
, on lui a crié : Divina ! Divina ! Angel ! Angel
d’honneur de M. Vedel nous a jetés. Mlle Mars est consternée sous les
fleurs
, les sonnets et les couronnes qui viennent de ple
e et d’épée, fleuri au milieu des temps de mœurs militaires, comme la
fleur
du sang généreux de la race. Notre héros s’élève
incitation à se surpasser. « C’est la première fois que je porte une
fleur
dans le ciel. Croyez-vous qu’elle soit légère ? E
e laquelle il laisse distinguer quelques figures humaines, telles des
fleurs
au milieu d’un opulent feuillage, ce poète peut é
eurs de manière originale. Astolphe, roi de Lombardie, joignait « aux
fleurs
de la jeunesse une si parfaite beauté » que les d
Tombaient les angélus tendres et pénétrants. J’ai connu la Cité des
Fleurs
, l’auguste Dôme, Le fleuve aux quais joyeux, et c
but de sa carrière, aborde au Lido avec son héros de Sainte-Marie des
Fleurs
. Son talent n’est pas encore mûr, mais il n’a pas
le décor sentimental avec ses yeux, et il reste que Sainte-Marie des
Fleurs
nous fournit la vision charmante d’une Venise amo
bid., p. 131. 22. Ibid., p. 135. 23. Ibid., p. 204. 24. Pauvres
fleurs
, 1839, p. 259, 319, 323. — Bouquets et prières, 1
pousser de l’épaule dans la fosse commune. J’ai voulu jeter quelques
fleurs
sur votre tombe. L’adieu que je vous ai fait, et
ination et mon cœur embrassaient. Et je m’exaltais à la pensée que la
fleur
parfaite pour laquelle tous les yeux n’avaient qu
tte pensée déprimante la traversait, on eût dit que tout d’un coup la
fleur
avait manqué de sève, sa tête tombait sur son épa
monde. Nous étions les enfants de la terre, comme les animaux et les
fleurs
, et nous étions animés du même souffle. Je me rap
mandé des funérailles de pauvre. « Ni convoi funèbre, ni discours, ni
fleurs
. Silence ! Ma vie fut douleur. Je prie Dieu que m
omère, qui place le Bouvier de ce côté. Évidemment les seize roches à
fleur
d’eau indiquées en face à l’occident par l’Hydrog
osa possède des brèches osseuses en assez grand nombre : elles sont à
fleur
de terre, d’un accès facile, très riches en ossem
ne où l’esprit gothique, allié à un humanisme encore naïf, créait une
fleur
d’art d’un charme tout particulier… Lionello aima
rase les espérances et les volontés. Une expression singulière, une «
fleur
de génie », peut s’épanouir de ce feuillage, soli
s, qui mourut, étant encore au collège, non sans avoir pris la petite
fleur
de ses deux cousines — Angélique, la joueuse de l
sé à votre ceinture… Effeuillez-le… Jonchez-en ce tombeau ! Jetez des
fleurs
à cette fleur ! HIC LILIUM JACET 1740-1758 Elle s
ture… Effeuillez-le… Jonchez-en ce tombeau ! Jetez des fleurs à cette
fleur
! HIC LILIUM JACET 1740-1758 Elle s’appelait Zerl
pieds, son jupon, ses dentelles, sa chemise, — comme une corbeille de
fleurs
blanches autour d’une statue d’albâtre. XIX. T
d’Athéna Polias dort, éternel, dans l’ombre des colonnades, comme une
fleur
entre les pages d’un livre ! Vous avez vu les sou
mon amie ! XX. Nuage Au-dessus de son front, dans la buire, une
fleur
se pavanait. — Pourquoi rester comme ça, disais-j
mmencement de sa carrière sont en général « trop ornées de toutes les
fleurs
de rhétorique du romantisme ». Parmi ceux que l’a
marcheur célèbre, mais il transplante en notre pays un peu terne une
fleur
brillante d’exagération qui nous donnera la force
élégamment décorée, et deux couvercles en majolique blanche, ornés de
fleurs
et de têtes d’animaux, qui provenaient des fabriq
tout criblé de ces petits points chatoyants comme on en voit dans la
fleur
minuscule dite : l’œillet du poète. Et cet œillet
etite laitue, de pourpier, de feuilles de radis, de pimprenelle et de
fleurs
de capucines que ces religieux ont coutume d’alle
vé » qui sait par quels artifices : « Très bien, observa l’auteur des
Fleurs
du mal, ce soir, c’est un ministre de Dieu qui vi
, ils s’étaient introduits dans des maisons, portant des torches, des
fleurs
et des présents. Bref, ils avaient réussi à intri
s qu’éveillent en moi une voix de femme dans la nuit, les vagues, les
fleurs
, j’écrirais la plus belle musique du monde ! Mais
iste enfant, une Madone avec l’Enfant Jésus sur un fond de rosiers en
fleurs
, et un buste de Jeune héros cuirassé à l’antique
fit sourire. Le bras se posa avec plus de naturel et de mollesse. Les
fleurs
d’une gerbe que l’on délie s’étalent ainsi, avec
orait, Aurora se leva, ouvrit la fenêtre et s’y accouda. Une odeur de
fleurs
envahit l’atelier, et rendit plus impressionnante
e l’odeur du printemps cette année, dit-elle. Des barques chargées de
fleurs
montent vers le Rialto, et des gondoles les suive
tella-Lucente qu’elle garderait la chambre. Et Antonio lui envoya des
fleurs
par le barcarol. — N’avez-vous pas d’ordres à me
r monumental, et, sous les lumières dissimulées par des guirlandes de
fleurs
, elle avait l’air de descendre vers lui. Elle pas
s le jardin, elle ne paraissait pas malheureuse ; elle s’occupait des
fleurs
dont elle remplissait sa chambre. Oui, elle ne pa
. « Le parfum des jonquilles, me répondit-elle. Une barque chargée de
fleurs
vient de passer sous le Rialto ! » Je l’interroge
ité protestante. Le travail de Laforgue ne se limita point à orner de
fleurs
de rhétorique la prose déshonnête de Casanova, ni
, et Jacques Bellange… Cette Lorraine des derniers ducs sera comme la
fleur
, l’épanouissement de ce vieux pays studieux et ar
femme au sourire franc, au regard profond, à la chevelure étoilée de
fleurs
, où le grand fresquiste se retrouve. Botticelli a
dans cet amas de corps humains. Souple et légère comme la tige d’une
fleur
, Tritonia se délivra de Nauplie aux cheveux rouge
Dante et ses guides gagnent la forêt divine aux frais ombrages et aux
fleurs
délicieuses. Ils y écoutent la vierge si belle qu
vertus. D’autres vieillards vénérables et des personnages diadémés de
fleurs
ferment la marche. La tête de cette procession se
et d’où ne cessent de jaillir d’étincelantes topazes, se dressent des
fleurs
aux volutes si naturellement ornementales qu’on n
et il aime à nous faire croire qu’il entend le langage des eaux, des
fleurs
, du vent, des oiseaux, des regards, des pierres e
promène à cheval ; on pouvait lui donner une supplique, un bouquet de
fleurs
, une poignée de main. L’Anarchie militante en a p
tis de sa pointe agile ces jeux et ces danses, ces Bacchanales, pures
fleurs
païennes où le corps nu et souple des filles sacr
le motif XXX, les étincelles lancées par le fleuve de lumière sur les
fleurs
du rivage, ces étincelles étant un emblème de la
nt le crépuscule, et qui dorment dans les troncs des arbres, dans les
fleurs
, au-dessus des montagnes, des fleuves et des mers
issent ; sous Léon X, tout ce qui promettait tient, tout ce qui était
fleur
devient fruit ; sous Côme Ier arrivé au sommet de
on chef-d’œuvre est l’Artaxerce de Metastaso. Il mourut en 1732, à la
fleur
de l’âge, et, à ce qu’on dit, par l’effet du pois
l enserre ; flèches, tours, clochers, dômes le dominent ainsi que des
fleurs
gracieuses jaillissant d’une corbeille. § Tout à
onfirmée par la cuisine italienne. En cette cuisine, tout est pour la
fleur
du goût. Ainsi, telle soupe composée de légumes v
; il ressemble un peu au Charles Baudelaire qui est gravé en tête des
Fleurs
du Mal. Il tient sa tête très relevée et regarde
e entouré d’images heureuses : figures souriantes, enfants joueurs et
fleurs
en guirlandes. Les Revues. Memento [extrait]
de ses montagnes, de ses océans, de ses lacs, de ses arbres et de ses
fleurs
, où la minutieuse analyse des formes et des coule
t les racines d’un arbre puissant dont les beaux-arts ne sont que les
fleurs
». Cette prétention que tout grand art est essent
ir de nouveau les royaumes célestes, et les jardins azurés, pleins de
fleurs
et de fruits, du Paradis. Des anges blancs voient
dessus les jardins paisibles ; sur les trônes formés de verdure et de
fleurs
, auréolés et nimbés de lumière éblouissante, les
et le chant des rossignols nous faisait cortège. Nous cueillions des
fleurs
et des feuillages, et la mère de ce cardotto, qui
a renommée de ces deux, en faisant de la poésie avec l’esthétique des
fleurs
en aquarelles. Assez libres dans la vie en généra
les hôtelleries. Déjà, aux choux-fleurs, qui n’avaient guère connu la
fleur
, et dont les côtes saillaient sous une sauce coll
commis-voyageurs, des jeunes gens de la ville, et, sur la table, des
fleurs
prétentieuses. Le patron de l’hôtel fit son entré
hésitant. Il y avait le salon laqué rouge, le salon laqué vert où les
fleurs
peintes s’insinuaient sous les vieux bois dorés d
reflète dans l’eau. Du haut de cette terrasse Tombe une glycine en
fleur
Et l’eau qui passe et repasse En montre au ciel l
c’est une vieillerie. Pour les Italiens, c’est une nouveauté dans sa
fleur
. Ils sont en retard de quinze ou vingt ans, voilà
les fraises pâmée… Au thuya se perd l’oiseau… Il fait beau. Et la
fleur
qui se redresse le sait. Musées et collectio
ro 95, novembre 1897 Romania, folklore. I Fioretti. Les Petites
Fleurs
de la vie du petit pauvre de Jésus-Christ, saint
récits, et peut-être pour cela, les Fioretti ont gardé leur parfum de
fleurs
ombriennes. Il n’est pas bien certain que Françoi
euse, et elle regrette les beaux jardins fertiles où il y a de larges
fleurs
et où mûrissent des fruits voluptueux. Si donc le
e la Mort, M. d’Annunzio excelle à rendre le charme des fruits et des
fleurs
, la volupté des saveurs et des parfums : et il y
it adopté le premier, et en jouait intarissablement, semant les mêmes
fleurs
de rhétorique, tulipes vulgaires, pour repousser
ne travaille pas. C’est à ne rien faire qu’elle fleurit de toutes ses
fleurs
. Les femmes qui ne travaillent pas sont la beauté
nt, pauvre et simplement vêtue, mais ayant pour parure cette première
fleur
de la jeunesse et de la beauté qui charme les rêv
bre de la dame. Celle-ci est aveugle, mais elle seul le parfum de ces
fleurs
maudites : elle se rappelle que jadis son mari, l
œillet rouge, et depuis lors la vieille comtesse a pris en horreur la
fleur
innocente. En causant avec la femme de chambre qu
n beau en soi, la femme « délicieuse », l’enfant « ravissant », cette
fleur
enfin de la vie humaine qui devant Raphaël, devan
ennuyée et dévote, considérait les arbres comme des mécréants et les
fleurs
comme des coquettes. Le bassin était mort aussi p
nnerre et de tambours, et son cœur s’égarait en ce pathos germanique (
fleurs
bleues, lune entre les nuages, tombes de chastes
épandent dans l’air leurs pollens invisibles et parfumés. La vigne en
fleurs
embaume. Sur le faîte de la vieille église Sainte
doux. Elle rappelle ces breuvages de la sorcellerie où il entrait des
fleurs
et des reptiles, du miel et du sang de tigre. » “
ent de concéder à l’occasion de mariage, et le peuple l’a couverte de
fleurs
et de bénédictions. Le roi Othon est fier du succ
isme de ses vierges, la fidélité de ses représentations de fruits, de
fleurs
et d’oiseaux, le bel équilibre décoratif de sa co
u’il dépeignit sous les traits d’un jeune poète mort poitrinaire à la
fleur
de l’âge. Le public fit le meilleur accueil à l’œ
mporte qu’elle soit belle, je désire qu’elle soit utile à autrui. Les
fleurs
ne réveillent pas à la vie l’âme du défunt qu’ell
e mort se mêlant, dans les rues où brûlent les cierges, à l’odeur des
fleurs
de Toscane enguirlandant les autels. Abattement,
alibran, dépouilla tous les jardins de Milan pour amasser la pluie de
fleurs
sous laquelle sembla disparaître la grande artist
elle même aux lecteurs de Dickens et Dostoïevski. Le dénombrement des
fleurs
d’un petit jardin qu’une jeune fille qui va se fa
vie avec une sympathie attentive, vient de réunir dans Orchestrine la
fleur
de ses poèmes lyriques en prose. Onofri a figuré
rt une flore vivante ! IX Ici l’Art a poussé comme une belle
fleur
Qui, jaillie un matin de l’écume azurée, Sous
de Véronèse à vaincre la Douleur. Oui, le Génie au front ceint de
fleurs
et d’étoiles, Qui, d’un souffle puissant, anime,
L’ombre fraîche des bois, les vertes promenades, Les parterres de
fleurs
recréés du zéphyr, Venise ! tu m’en as ôté le so
heveux étaient sept. Sa robe flottante du fermoir à l’ourlet, Nulle
fleur
brodée ne l’ornait, Sauf une blanche rose, présen
g gazon frais ; — Les pointes des doigts ressemblent au travers à des
fleurs
roses : Vos yeux sourient le calme. Le pâturage é
— Être tout ceci dans un seul doux gonflement du sein, Ce qui est la
fleur
de la vie : — quelle chose étrange ! Quelle cho
p sévère envers les poètes. Il ne faut point les battre même avec des
fleurs
. Tout les blesse trop profondément ; et puis ils
rps merveilleux, dépouillé de tout voile, se dresse comme une blanche
fleur
aux délicates inflexions, avec une pureté de lign
triompher sur leurs faiblesses mondaines, et qui ont su cueillir les
fleurs
du contentement parmi les buissons les plus épine
ns les forêts, dans les eaux courantes, dans les formes délicates des
fleurs
, dans les lignes expressives des rochers et des m
ais pas. Tu étais content de m’aimer, d’aimer ta fille, l’Italie, tes
fleurs
, ta musique, les beautés du lac et de la montagne
mal à se faire accepter lors de la mobilisation. Rome était égayée de
fleurs
et de drapeaux ; partout la foule exultait ; c’ét
venu outreia ou ultreja . L’Archevêque de Milan Anselme rassembla la
fleur
de la noblesse lombarde l’incitant à prendre la c
fête. Tous préparent pour elle des cadeaux et ses compagnes ornent de
fleurs
une antique image de la madone qui lui est chère.
tte joie : Antonio, qui était monté sur un pêcher pour y cueillir des
fleurs
, tombe de l’arbre et meurt dans sa chute. Lodolet
t entier se reconnaît en lui et l’exalte, est aussi mystérieux que la
fleur
, dont le lien visible qui la rattache à la plante
otre joie moderne, Renoir a su trouver encore et cueillir les simples
fleurs
de la calme allégresse ; c’est un peintre, en som
oète des Élégances et des Attitudes, qui, lui, n’avait chanté que les
fleurs
rares des serres patriciennes. On en est arrivé,
ait cueilli et foulé ; et parmi les grappes, les unes perdaient leurs
fleurs
, tandis que d’autres mûrissaient23. » 12° Et mai
me si l’École Normale Supérieure ne suffisait pas à démontrer, par la
fleur
de ses élèves, depuis de nombreuses promotions, l
es ; à droite, le long de la ruelle qui allait jusqu’à la colline, la
fleur
de feu, de place en place, des réverbères ; puis,
vie devait lui apparaître comme à une enfant, toute pleine de belles
fleurs
inconnues à cueillir, toute pleine de parfums eni
er un coin de ma commode. Je disposai des livres, des gravures et des
fleurs
. Puis je me dissimulai derrière mon volet ; je n’
et voici, dans la plaine, Que les arbres fruitiers sont tout roses de
fleurs
; Bientôt l’âpre ravin succède aux terres grass
Frêle et profond, en pleine extase se poursuit Dans le cloître où des
fleurs
parent l’Unique Terre, La Sainte Terre prise au
Hamlet, qui se révèle tout entier et à tout instant comme une énorme
fleur
de lotus rouge ondoyant sur un lac de sang ; si l
sée, l’Avanti ! publie comme article de fond quelqu’une des « petites
fleurs
» de saint François. Récemment, il réimprimait ce
e en mai dans la forêt, sur la mer, sur les moissons et les vignes en
fleurs
; et ce chant est en lui, les vibrations éternell
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