plus meurtri et désabusé que satisfait et glorieux. En vérité, cette
fille
hardie et adroite qui, la première, fit douter de
ler ; il resta, dîna mal, se fit voler au jeu, et partit après que la
fille
se fût invitée à souper chez lui pour le surlende
réponse positive après souper, et, en attendant, se met à lutiner la
fille
: Prenant alors cet air caressant et entreprenan
urieux, il fait offrir à la mère de la Charpillon cent guinées, si la
fille
consent à passer avec lui une seule nuit. Dès le
fille consent à passer avec lui une seule nuit. Dès le lendemain, la
fille
était chez lui. Avec un air de dignité outragée,
ance. Le lit du sacrifice est dressé : l’amant empressé se couche, la
fille
se déshabille avec une lenteur calculée, éteint l
esta insensible à ce spectacle, comme aux larmes et aux prières de la
fille
: elle dut s’en retourner comme elle était venue,
s les dispositions sont prises ; et voici enfin Casanova maître de la
fille
. On le croirait tout au moins. Mais la première n
is de meubles et de vaisselle, mêlée générale, râclée méthodique ; la
fille
presque nue s’enfuit en hurlant à travers les rue
gravement malade. Une comédie trop bien jouée lui fait croire que la
fille
est à l’agonie. Désespéré, torturé par le remords
te la série des subterfuges, des prétextes, des ruses imaginés par la
fille
pour refuser, après l’avoir promise sans cesse, l
ages. La scène de la séduction, la première visite de l’amant chez la
fille
, les premières tentatives et les premières promes
ro 184, 15 février 1905, p. 489-506. I En tête de sa tragédie la
Fille
de Jorio, qu’il appelle « Tragédie Pastorale », M
lanche lumière. Et la mère vient et sourit au bonheur charmant de ses
filles
. Aligi, le frère, arrive. Alors la chambre des pr
e. Et c’est alors que le chœur intérieur reconnaît la femme. C’est la
fille
de Jorio, la fille d’un sorcier, sorcière elle-mê
ue le chœur intérieur reconnaît la femme. C’est la fille de Jorio, la
fille
d’un sorcier, sorcière elle-même, coupable de mil
ce… La croix a vaincu. Cependant ils ont révélé que Mila de Codra, la
fille
de Jorio, a été la cause d’une dispute entre Laza
la fin. Des paysans amènent à la maison tragique Lazaro blessé. Mes
filles
, mes filles, c’était vrai, c’était vrai ! Pleuron
paysans amènent à la maison tragique Lazaro blessé. Mes filles, mes
filles
, c’était vrai, c’était vrai ! Pleurons, mes fille
. Mes filles, mes filles, c’était vrai, c’était vrai ! Pleurons, mes
filles
. Le deuil est sur nous. Ainsi crie Candia della
Or, la nouvelle arrivée est Ornella. Elle vient en suppliante vers la
fille
de Jorio, pour qu’elle dégage Aligi de son charme
plus mal, ah, combien plus mal ! et répond à ses supplications : La
fille
de Jorio connaît ses chemins ; et son âme s’était
connut point. Le chœur des femmes chrétiennes était féroce contre la
fille
de Jorio que personne n’avait plus retrouvée. Une
ine de son père et sa vengeance même après la mort. — Et voilà que la
fille
de Jorio arrive et demande à être entendue. Elle
issamment. M. D’Annunzio lui apporte ses tentatives, telles que cette
Fille
de Jorio et la Nef, à peine achevée, qui présente
raire, imposée par la volonté du Poète trop souvent sensible. Dans la
Fille
de Jorio les personnes du drame agissent sans le
au qu’il ajoute à la représentation scénique est celui qui fait de la
Fille
de Jorio, cette œuvre imparfaite, une des plus ha
e ne dois pas ajouter que je fais abstraction du drame pastoral de la
Fille
de Jorio. J’ai analysé le drame dans tous ses déf
er la victoire de l’homme sur le destin, Gabriele d’Annunzio, avec la
Fille
de Jorio, nous montre le Destin lui-même, sons le
ticisme ; de cela, en effet, naît la grande désharmonie apportée à la
Fille
de Jorio par la banalité du drame qui, malgré l’a
Tome LIV, numéro 185, 1er mars 1905 Les Théâtres. Œuvre : La
Fille
de Jorio, tragédie pastorale en trois actes, de G
185, 1er mars 1905, p. 129-133 [132-133]. Il semble qu’en écrivant la
Fille
de Jorio Gabriele d’Annunzio ait voulu renouveler
s s’exaspèrent jusqu’à une brutalité presque animale. Il y a, dans la
Fille
de Jorio, une suite de scènes violentes qui, parf
inement, avec une étrange volupté, que Gabriele d’Annunzio a écrit la
Fille
de Jorio ? On serait tenté de le croire à étudier
rait tenté de le croire à étudier certains moments de la tragédie. La
Fille
de Jorio ne diffère qu’en apparence des autres pi
er Mila di Codra ; et Mila di Codra est aimée d’Aligi, et l’aime. La
Fille
de Jorio est, semble-t-il, la plus dramatique des
as pu renoncer au goût qu’il a pour les morceaux de bravoure. Dans la
Fille
de Jorio, abondent les couplets brillants, — trop
n virtuose, un grand virtuose ? Je ne serais pas étonné qu’un jour la
Fille
de Jorio séduisît un de ces musiciens que les Ita
sticana. M. Lugné-Poe a fait les plus louables efforts pour monter la
Fille
de Jorio. Mme Suzanne Després a été fort belle da
urses avec son cheval blanc comme le lait, faisait la cour aux belles
filles
, et s’enivrait. Don Elia était beau et séduisant
vangélique forme la seconde partie d’une trilogie qui commence par La
Fille
de Jorio. La troisième pièce aura pour titre Il D
briele d’Annunzio lui-même est né. La Tétralogie, dont fait partie la
Fille
de Jorio, finit sur une tragédie qui aura pour ti
ites par la brutalité des « certitudes » modernes. Contrairement à la
Fille
de Jorio, qui dans des violences populaires et da
dès la première heure, se dresse, et reste debout même en mourant, la
fille
de Tibaldo et de celle qui fut assassinée : Gigli
l emprunta le nom d’Elvire. On se souvient qu’Ossian avait épousé une
fille
de Branno nommée Evirallin. Or, au mois de janvie
ou de secte, aucune morgue, aucune de ces haines étroites et basses,
filles
de la peur, de la jalousie, de la rancune, qui, à
é née de l’Évangile, mais elle anathématise cette liberté fausse qui,
fille
des sophismes du xviiie siècle et de la Révoluti
petit être angélique traversant cet interminable défilé de gotons, de
filles
achetées par vous, bourse en main, de cabotines,
ée et qui vous a fait coucher pratiquement entre elle et votre propre
fille
à tous deux, y compris cette Henriette que vous a
harmants de vérité et de naturel. Ces polissonneries avec les petites
filles
au milieu desquelles vous viviez, la satisfaction
Europe. Pas une seconde, il ne se fût arrêté à la pensée de donner sa
fille
à un étranger, à un étranger inconnu et de moyenn
en s’inclinant comme dans un salon. Je me souvins alors de ce que sa
fille
m’avait dit, touchant sa superstition nobiliaire,
tenant, j’y découvre bien des inconvénients ; le scandale d’abord, ma
fille
déshonorée… Puisque vous êtes si bien dans la mai
ano, colonel aux guides en retraite. — Je m’inclinai. — Vous aimez ma
fille
, Monsieur, dit-il en tournant les yeux vers Lina,
cette solution… Voici le meilleur : vous ferez Adelina di Baiano, ma
fille
, vicomtesse de Gardanne. Il me demanda, là-dessus
errons. Dans trois mois, monsieur le Vicomte, vous pourrez épouser ma
fille
. Là-dessus, je le quittai ; je craignais un peu q
ute, le père de Lina avait-il pensé à sauvegarder la réputation de sa
fille
, et renonçant, par crainte du scandale, à me tuer
les, ce projet de mariage, ses compliments, là, devant le corps de sa
fille
évanouie, et quand je venais de l’outrager gravem
ent sans doute brillé ! Pourvu que, dans sa colère, il ait épargné sa
fille
! Mais si elle était encore vivante, c’était sûr
ez rare dans l’aristocratie de ce pays, et qu’il avait un fils et une
fille
, l’un et l’autre d’une grande beauté. Je savais m
d deviendrait public, officiel, et, dans peu de mois, j’épouserais sa
fille
. Je me sentais l’âme légère. J’eusse envoyé des b
on de son revolver, m’ayant surpris à moitié nu dans la chambre de sa
fille
. Mais, apparemment, la scène de l’autre nuit ne c
rlait maintenant de ses enfants, de son fils qui vivait à Rome, de sa
fille
. Il s’interrompit : — Au fait, monsieur le Vicomt
rrompit : — Au fait, monsieur le Vicomte, vous ne connaissez point ma
fille
Adelina. Je m’en vais vous présenter à elle. Inte
t Lina parut, à laquelle le marquis donna l’ordre d’aller chercher sa
fille
. J’attendais, ému. Revoir ici, devant son père, d
re, toujours le regard fixé sur le sol. Alors M. di Baiano dit : — Ma
fille
Adelina, monsieur le Vicomte de Gardanne. Lina le
it, impassible, admirable, il reprit la conversation. Il raconta à sa
fille
comment il avait fait ma connaissance hier au Caf
comme il me citait un air de Pergolèse que je ne connaissais pas, sa
fille
se mit au piano et commença de le jouer. Elle cha
avait pas été ! J’étais un cavalier français, j’aimerais peut-être sa
fille
, et peut-être qu’un jour je lui demanderais sa ma
comte de Gardanne ! Et soudain je compris ce que c’était d’épouser la
fille
du marquis de Baiano. La magnificence de mon inst
mande en règle. Quand il eut entendu que je sollicitais la main de sa
fille
, le marquis de Baiano me remercia poliment de l’h
it en garçon, n’était-il pas fâché de se délivrer de l’embarras d’une
fille
? Je n’en sais rien, ma foi, et aujourd’hui encor
rendait d’habitude l’été, consentit pour nous à ne point l’ouvrir. Sa
fille
et moi le lui demandâmes ; ici nous nous sentions
ection. Elle était pareille à ce pays de Syracuse. Je l’en sentais la
fille
. Et contempler les lignes du paysage ou bien cell
aust va chercher équivaut au voile empreint de la Sainte Image que la
fille
malade des fièvres ; cache dans son sein : l’un e
mutilation par renonciation aux joies du monde. Ce que lui apporte la
fille
malade des fièvres n’est en rien la parole frater
ité, ils croisent une jeune fille qui va chercher de l’eau : c’est la
fille
du laistrygon Antiphatès, descendant vers Artakiè
t se déprennent avec une habileté d’équilibristes japonais. Comme les
filles
du meilleur monde ont la mauvaise habitude de lir
e simulacre de viol ne doit pas avoir de résultats, au moins pour les
filles
de la maison où l’on danse par invitation sur car
nts par derrière, par devant… on ne marche pas. Et voilà pourquoi nos
filles
sont muettes, je veux dire privées de tout esprit
de plusieurs écoles royales élémentaires pour les garçons et pour les
filles
. Des écoles primaires existent aussi qui, prenant
le dans la vie sociale, les sœurs qui voulaient instruire les petites
filles
se heurtaient à des préjugés nombreux. Les cathol
reflet des idées musulmanes, hésitèrent tout d’abord à confier leurs
filles
à des étrangères et à les tenir éloignées pendant
rd’hui encore, elle est particulièrement prospère. Près de deux cents
filles
y reçoivent sans distinction de religion une inst
considérable. Aussi l’Alliance israélite a-t-elle établi une école de
filles
et de garçons sous la direction d’un directeur et
des Feuilles d’Automne ou les Stances à du Perrier sur la mort de sa
fille
. Le gouvernement italien a déjà satisfait aux bes
e, unie aux Médicis par des liens d’amitié, elle était l’une des onze
filles
de Maso degli Albizzi, podestat de Prato, gonfalo
e qui vaut mieux que d’en manquer. Lorsque, après son mariage avec la
fille
du Prince des poètes, M. Gino Severini se rendit
étès, et comme lui née du Soleil qui éclaire les vivants et de Persé,
fille
de l’Océan » (Od., X, 137.) Cette généalogie s’in
s’ils n’entendaient rien, ils avaient repris leur partie, une petite
fille
tirait paisiblement les numéros d’une bouteille d
sonnier. Ce sont eux qui, un soir, m’ont permis d’être racolé par une
fille
toute parée qui portait son petit enfant dans ses
conduire à leur bord par la police. Littérature. Mario Schiff : La
Fille
d’alliance de Montaine, Marie de Gournay, 1 vol.
e voua à Montaigne, on ne connaît guère les œuvres personnelles de la
fille
d’alliance du philosophe. Il était intéressant, e
rriger et à rajeunir le texte de ses œuvres. Que l’on songe que cette
fille
d’alliance de Montaigne fréquenta Racan, Colletet
des buissons une chanson d’amour. Je m’approche : c’est Glycère, la
fille
du jardinier. Elle cueille un grand panier de ros
en souriant une pièce d’argent, Barbarelli salua, sans vergogne, une
fille
du peuple qui traversait un pont : — Combine-moi
îna chez elle et me présenta à sa mère. Comme je la félicitais sur sa
fille
, elle me déclara qu’elle avait une nombreuse fami
ille, elle me déclara qu’elle avait une nombreuse famille composée de
filles
aussi jolies que Barbara. Je la complimentai et,
Il me renseigna sur Barbara et, dès que je sus ce qu’elle était : une
fille
publique fort amoureuse des ducats des riches mar
buissons de roses ! Et ces fruits et ces fleurs étaient vendus par la
fille
du paysan : une vraie déesse, pour moi ! Elle seu
age, sous un ciel orageux. Comme je ne parvenais pas à représenter la
fille
du paysan, je la changeai en paon. — Un paon ? Po
astelfranco ? N’aurais-je pas répondu : — « Giorgio Barbarelli qu’une
fille
de Venise salua du nom de Giorgione est un artist
usquement, il m’annonça qu’il éprouvait le plus violent amour pour la
fille
qui l’appela « Giorgione », le jour où Zuccatto l
t le Carnaval… si je peux patienter jusque-là… — Ziorzio, Ziorzio, la
fille
d’un batelier te séduit, quand tu as la faculté d
d’une branche. « Quand il sera mûr, je le mangerai », se dit-elle. La
fille
du jardinier passe, au même instant, cueille le f
à certains signes que ne savent pas distinguer les princesses. — Les
filles
du peuple t’enthousiasment donc bien ! — Moins qu
s peu fortunés ou accablés d’une nombreuse famille lui confient leurs
filles
les moins jolies et celles qu’ils n’aiment pas. N
ncendie. Leur tentative avorta. Le couvent — qui renfermait aussi des
filles
naturelles de patriciens — était surveillé et nul
t de l’aventure et résolut de procurer un dédommagement à ces pauvres
filles
. En compagnie de quelques seigneurs amateurs de p
s entourés de peaux de moutons, de Saints Pauls… — Relevez vos têtes,
filles
chéries du ciel, s’écria Ridolfi vêtu en Saint Th
nuit, les Saints du Paradis dansèrent et banquetèrent avec les belles
filles
de la Terre. Après de tendres adieux, ils les qui
étoffes et les visages que j’aime. — Qui a posé pour la Madone ? — La
fille
du paysan qui m’enseigna la peinture en arrangean
o aurait fait la grimace… « Ce que j’écris n’est pas pour les petites
filles
— dont on coupe le pain en tartines… » Mais les v
s être reconnues, mais en voyant Giorgione prodiguer ses baisers à la
fille
du gondolier, elles jurèrent de se venger et se d
à un capitaine albanais dont la galère appareillait. Il séquestra la
fille
dans sa cabine. Elle n’en sortait que la nuit. Pe
eur le duc d’Orléans est jeune et joue volontiers aux dés et aime les
filles
. » Il avait tout net la réputation d’un « putier
es de la mort, quand apparaît tout à coup, traînée par un esclave, la
fille
malade des fièvres. C’est dans le mystère de sain
Tes yeux sont fardés, tes ongles sont peints. LA
FILLE
Ah, seigneur j’effacerai,
ard pour teindre les paupières ? L’un de ces Anges qui choisirent des
filles
d’homme et se souillèrent avec elles… et il n’y a
s d’un amant qui veut, d’un bourreau qui égorge. Et j’attendais : « Ô
fille
d’homme », il cria, « je te mortifie, te purifie,
cela et il y a bien plus encore dans cette formidable création de la
fille
malade des fièvres. Ce n’est pas quelques lignes
i est sur la poitrine de la fiévreuse, et l’image divine apparaît. La
fille
maintenant délivrée est devenue LA SAINTE Voyez
ification du deuxième acte, le symbole de la Chambre magique et de la
Fille
malade des fièvres, qui est peut-être le plus bea
it des miracles. Au deuxième acte, ce n’est qu’après avoir reçu de la
Fille
malade des fièvres le Linceul que s’ouvriront pou
ntre ses fils, qui l’appellent à la foi nouvelle et à la mort, et ses
filles
, qui la retiennent à la foi ancienne et à la vie.
la mort. L’amour de toute part l’affronte. C’est moi qui vous traîne,
filles
, c’est moi42. Je me rappelle involontairement le
d’Euripide, au moment où elle va tuer ses enfants. Et quand les cinq
filles
supplient leur mère de les laisser à la vie et qu
plu de couler sa pensée. L’intensité dramatique de l’apparition de la
Fille
malade des fièvres, du linceul déroulé, de la vis
rtrières, il a fallu les intrigues d’une femme vindicative et tenace,
fille
d’ErcoIe II, Lucrèce, pour que le rêve de Jules I
que. J’ai eu l’occasion de le remarquer dans une étude au sujet de la
Fille
de Jorio 55. Dans Fiamma, cette différence se mon
ns la tragédie de MM. Traversi et Pastonchi aussi absolue que dans la
Fille
de Jorio ou que dans le Flambeau sous le boisseau
e personne. Une constitution de 371 établit que quiconque épousera la
fille
d’un pêcheur de pourpre sera incorporé à la profe
septembre). Maintenant, où le jeune homme ira-t-il apprendre que la
fille
n’est pas la femme, que l’amour est saint et subl
Paolo Giovio qui possédait à Côme une galerie de tableaux célèbre. La
fille
d’Alexandre VI y apparaît au déclin de sa beauté,
un peintre par l’étude de ses œuvres où domine l’amour de la couleur,
fille
du soleil. Le Barbarelli, enfant et favori de Ven
tifiquement l’énigme de ce sourire et du charme ambigu de la Joconde,
fille
de l’intelligence théoricienne de Léonard bien pl
’aux pédants de Naples de se réjouir de ce qu’il n’y a presque pas de
filles
; mais c’est qu’elles ne feraient pas leurs frais
Les Napolitaines sont les premières épouseuses du monde. Je parle des
filles
honnêtes. Elles se livrent à tout, excepté the **
sse, voulant absolument un héritier mâle, auraient fait le troc d’une
fille
, au jour de la naissance, contre un autre enfant,
arçon, le fils du Chiappini en question, né vers le même temps. Cette
fille
, baptisée Marie-Stella Chiappini et devenue lady
après avoir assisté à ses cours de philologie en Allemagne. C’est la
fille
de cette dame qui informe M. Angelo Flavio Guidi
nement d’assaut la palissade qui défendait encore à la vue les quatre
filles
de l’eau et, avec l’aide volontaire de quelques o
la déconvenue avec le Charpillon à Londres, les hésitations avec « la
fille
d’un savetier gentilhomme » en Espagne, les retar
emprunte la citation qui va suivre, appelle Christine « la criminelle
fille
du vainqueur de Lutzen ». Propos de religionnaire
nt, donc, qu’il approuve les fiançailles de la Princesse Béatrice, sa
fille
, avec le Prince de Muringie, en obéissant à la ra
e de fleurs et de bénédictions. Le roi Othon est fier du succès de sa
fille
: tout le monde entoure la fiancée, heureuse enfi
à l’épouse de l’empereur du ciel, épouse qui est aussi sa sœur et sa
fille
bien-aimée. XII. — Cet amour se manifeste dans l’
uoique très vraie en soi, ne vise pas exclusivement l’Église romaine,
fille
dégénérée et vile des nobles apôtres, si la disse
là pour un rendez-vous non avec la femme du grand poète, mais avec sa
fille
. Ascoli lui impose de l’épouser au plus tôt. Le l
; et nous retrouvons aussi Jaconine, que Casanova reconnaît comme sa
fille
« beaucoup plus belle que Sophia que j’avais eue
s en pointe des pieds. Je vois deux lits ; dans un dormaient ses deux
filles
cadettes, dans l’autre je vois Guillelmin, et ma
ient ses deux filles cadettes, dans l’autre je vois Guillelmin, et ma
fille
toutes les deux endormies sur leurs dos, toutes l
et animées par des roses qui souvent ne brillent sur les joues d’une
fille
ou d’un garçon que quand il dort. La couverture l
couverture laissait voir les poitrines des deux tendrons. Celle de ma
fille
était démeublée ; mais l’autre ressemblait aux bo
ais ne l’a été Segantini, le maître roumain, M. N. I. Grigoresco. Une
fille
des champs, affalée tout du long dans l’herbe, da
ut le monde, — il s’en faut ! — entretenait chez lui nombre de belles
filles
, d’un commerce facile, à l’aide desquelles il pay
roi des Romains, perd, reprend et reperd son duché, s’amourache de la
fille
d’un apothicaire, vend ses états pour deux cent m
e Vannius qui partagera ses biens entre ses deux neveux, et Agnès, sa
fille
adoptive. § Si les aides-mémoires du Livre de Vér
e la tête : sa démarche incertaine la faisait ressembler à une petite
fille
qui ne saurait pas encore marcher. Soutenue par s
assombrit soudain. Qui vous rend si hardies d’oser vous comparer à la
fille
de Nérée et de Doride ? Allons, laissez-moi redes
t Maïa. — Allons, choisis parmi nous celle qui diffère le moins de la
fille
de Nérée, et chante-lui tes divines lamentations.
lus graves. Et Venise n’avait cessé de s’allonger en pleine eau vive,
fille
absolue de la mer : vouloir la rendre terrienne,
ieux à têtes d’apôtres qui mendient ou racolent pour les sœurs et les
filles
qui se cachent ; ces fricasseurs en plein vent qu
, ces Bacchanales, pures fleurs païennes où le corps nu et souple des
filles
sacrées se joue si imprudemment parmi les chèvre-
d’Abiron, et cette Vie de Moïse qu’illumine le délicieux épisode, des
filles
de Jethro, « mélange de poésie héroïque et de poé
d’Hélène, demanda aux Crotoniates de lui présenter plusieurs de leurs
filles
, parmi les plus belles. Ils le firent en son honn
ent encore trop longtemps, s’étiolent dans la compagnie exclusive des
filles
, des souteneurs, des étrangères de garnis, des da
’est rien de plus mélodieux dans son onction que le latin d’une autre
fille
de saint Benoît, la grande moniale Gertrude. Leur
ance mystérieuse, dans laquelle se meut, se débat et s’abat l’ardente
fille
de Pasiphaé amoureuse d’Hippolyte. La fureur, la
illissant dans le sexe maternel, apaisant la monstrueuse luxure de la
fille
du Soleil et de l’Océanide, agite les membres dou
…………………………… Tu as la honte dans les yeux, le mal néfaste sur la joue,
fille
de Pasiphaë. Hippolyte ne tue pas l’épouse de so
papes ne serait point déchue de son passé glorieux. Insinuer que les
filles
y sont toujours d’humeur facile serait impertinen
lle42. Pauvres dames ! Quels galants ! La mère un misérable vieux, la
fille
une grosse bedaine43 ! Il m’écrit toutes ses perf
is, est grosse. Mademoiselle d’Oraison a eu un fils et la Falette une
fille
. La marraine sera Madame Falette, sœur du préside
autre évêque d’Alet70, sa bru, la vicomtesse de Cheylane, et ses deux
filles
, très belles. L’une est mariée et s’appelle Madem
que Monsieur Philippe avait invitée à faire honneur au baptême de sa
fille
. Le prince fut parrain et Madame de Lestrange mar
la porte de communication, qu’il trouva close. Il ordonna alors à une
fille
de chambre qui, curieuse, les avait suivis, « de
e mouchoir des mains de son hôte, et le présenta à la servante. Cette
fille
, cachant sa tête avec son tablier, fondit en larm
uite en masse, par enchantement, devant le poète qui devait écrire la
Fille
de Jorio. L’entente franco-italienne a servi à qu
: lorsque Léonard la peignit (1499), elle venait de perdre une petite
fille
et Léonard aurait essayé de la distraire de sa mé
e à la France. Sa femme était, d’après Pithon-Curt, Yolande de Perez,
fille
de Marc, espagnol d’origine, et de Jeanne de Mart
s figures de femme, à traduire l’expression canaille et effrontée des
filles
du trottoir. Son dessin : Passeggiata nocturna, e
sseggiata nocturna, est un petit chef-d’œuvre réaliste : cette petite
fille
de quinze ans, en jupe courte, qui lance une œill
ité et tout l’honneur de l’homme consiste à la rechercher. « Elle est
fille
du temps (18) » : Léonard se rend bien compte qu’
quérants les plus injustes, et lorsque Léonard dit que la sagesse est
fille
de l’expérience (54), il nous invite à prévoir qu
science qui toujours témoigne en faveur de son créateur, car elle est
fille
de celui qui la généra et non filiâtre comme le p
la peinture ne figurait pas au nombre des arts libéraux, elle, vraie
fille
de la nature qui opère par le plus digne de nos s
enne : Feudalismo, pièce en 3 actes de Angel Guimera (11 janvier). La
Fille
de Jorio, tragédie pastorale en trois actes de Ga
, vers cette époque, à Ferrare, un adolescent d’humeur sombre aima la
fille
d’un exilé florentin. Leurs maisons étaient voisi
à Gerolamo Giovenone de lui verser 125 écus d’or pour la dot de leur
fille
Apollonia. Le groupe des Giovenone est presque au
encore, des miens ? Ou vas-tu demeurer, Dans ta toute croissance, la
fille
secourable de mon cœur, Jusqu’au temps où avec
mbres comme la nuit et rayonnants comme une aube d’été. Michol est la
fille
et l’amante, elle est la consolation, la fidélité
r in utero, disaient nos pères ; in vaginâ, rectifient assez de leurs
filles
; celles-ci ne veulent plus d’enfants, sans crach
jamais eu tant de faveurs de cette grande dame (elle passait pour la
fille
naturelle du roi Robert) comme il en a écrit et q
à Vérone, rue San Paolo, avec sa mère Isabetta, âgée de 70 ans, et sa
fille
Camilla, enfant de 4 ans. Antonio Pisano, né en 1
xandre et de Blanchemarie : d’ailleurs, loin d’être farouche comme la
fille
de Priam, elle aspire au sacrifice. Mais, comme C
uide dans le corps des hommes et des femmes qu’il a sous la main : la
fille
du peuple qui a quelque peu de front pose une Vie
it. Ses comédies modernes, généralement des levers de rideau comme La
fille
de Jephté, La lune de miel, Sic vos non vobis, ét
rès grêlé, à la physionomie douce et intelligente, grand trousseur de
filles
devant l’Éternel, l’air d’un bon vivant et d’un b
tuer les esclaves qui osaient lever leurs yeux sur le passage de leur
fille
. M. Marinetti est un barbare aussi de laisser le
doit à son climat, à son sol à ses rivières abondantes. Une race est
fille
du sol exactement comme les arbres. Lièvres d’All
andale dans les cercles républicains de la Romagne. Dans le roman, la
fille
d’un révolutionnaire, sourde à l’idéal politique,
est laissé gagner ; son désir meurtri, mal satisfait, se confie à une
fille
docile et simple. La morale du roman n’est pas, c
harles-Quint penche décidément en faveur du bâtard, à qui il donne sa
fille
naturelle, Marguerite d’Autriche. Les proscrits f
l a pratiqué la cabale au Palais Royal, chez la duchesse de Chartres,
fille
du prince de Conti, pour la guérir d’un eczéma. I
ns pas les rapports de police qui le représentent comme un coureur de
filles
et de femmes mariées, un pourvoyeur pour les patr
alheur de commettre par impulsion généreuse un crime passionnel et sa
fille
ayant été impliquée dans le procès, toute la pres
ure d’auberge à la Casanova. Il se contient vis-à-vis des deux jolies
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de son hôtelier, qui ont soupé avec lui, — et sav
les deux éditions, c’est un Casanova nouveau, non plus le coureur de
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et de femmes faciles, l’homme aux sens qui comman
avec des raisonnements tirés de loin, tout simplement pour séduire la
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d’un savetier-gentilhomme, chez lequel il loge, s
efusai toutes les parties de plaisir que Peralada me proposa avec des
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, tant à la campagne que chez lui. La lecture se
, il aborde chez Calypso. M. Victor Bérard a bien montré que Calypso,
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d’Atlas (le mont aux Singes de Mauritanie), doit
dication ayant tout à fait le même sens. Calypso, dit ce dernier, est
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de Thétys, la mer, et de l’Océan. Cette généalogi
serait d’ailleurs au débouché du val Οliva. 4° Le lendemain·matin, la
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du puissant Alcinoos, Nausicaa aux bras blancs, a
se réjouit des sangliers et des cerfs rapides ; les Nymphes agrestes,
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de Zeus tempêtueux, jouent avec elle, et Latone s
transpositeur » de rythmes lyriques. On l’avait déjà remarqué pour la
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de Jorio, dont toute la noblesse lyrique et rythm
a Manne, de Romanelli ; l’Enlèvement d’Hélène, du Guide ; Loth et ses
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, du Guerchin, et, du même, Hersilée séparant Romu
Busseto, chez un épicier mélomane, son patron dont il épousa la jolie
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, il fait connaissance avec Haydn et Porpora, mass
nombre exact de leurs enfants, et l’âge de ceux-ci. Je connus que la
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aînée de l’avocat était mariée à un juge au tribu
e n’est donc pas la déesse marine qu’ont imaginée les mythologues : «
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de Cadmus », elle est à Ischia l’éponyme ou le sy
ion apportée à la langue par l’auteur du Triomphe de la Mort et de La
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de Jorio, est devenue un phénomène organique nati
oît la somme d’expérience idéale répandue par le monde. Le sort de la
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de Poljola, le lyrisme de Wainamoinen, la puissan
nts étaient de 7 000 francs. Il partit, emmenant sa femme et ses deux
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, laissant son fils Hippolyte en pension, à Grenob
’exemple, en peignant pour son compte des tableaux comme son École de
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du Louvre. Tandis que Canaletto et Guardi retrac
s et de méchantes combinaisons voulaient lui enlever. La jeune Marie,
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de bons paysans, est désirée par le paysan Cencio
que Gabriele d’Annunzio a puissamment écrit, en langue italienne, la
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de Jorio. Tome LXXXVI, numéro 315, 1er août
ntré l’oiseau rare sous les espèces d’une accorte paysanne, Isabelle,
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du fermier Léonard, jolie comme l’amour et sage c
ats que forment Juliette et son ami Pierre. Juliette est « une petite
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qui croit que Venise conserve les liaisons malade
nçois Ier. Elle épousa Jean de Peigney, seigneur de Pré. Elle eut une
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qui, également, se nomma Cassandre, et qui fut ma
l’ail, la sueur et le musc. Elle me propose, la lamentable et chenue
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de joie, les voluptés que décrivit l’Arétin. Et s
apprendra avec plaisir la publication de son étude complète sur cette
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droite et passionnée, dont la pauvreté fit une ac
notre passage. Près de Malines, dans un petit village, trois petites
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vêtues de noir (combien de deuils sur cette terre
connaître une intonation subversive, car il a lancé aux trois petites
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son impérieux : « Che fais fous apprentre, à fous
érieux : « Che fais fous apprentre, à fous ! » — et les trois petites
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se sont tues, épouvantées. Puis, se retournant ve
]. […] Dans la Revue des Revues (15 juillet), Mlle Paula Lombroso, la
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du professeur, publie un article sur la Cérébrati
fut chargée de créer une toilette splendide destinée au mariage de la
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du roi de Naples. Un riche Irlandais, de passage
n 1848 prétendent toucher les droits d’auteur de la Favorite ou de la
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du Régiment, derniers vestiges d’une carrière glo
perçus sur les œuvres de Donizetti, et notamment sur la Favorite, la
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du Régiment, fort goûtés jadis tant à Paris qu’en
auvrement mais je paie bien. Ces jours-ci on m’a parlé pour toi de la
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d’Altovito Altoviti ; elle n’a ni père ni mère et
que j’écris, on m’apporte la lettre dans laquelle tu me parles de la
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de Carlo di Giovanni Strozzi. J’ai connu Giovanni
onds de bienfaisance, où il avait même impliqué la personnalité de la
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de l’écrivain Fogazzaro. M. Enrico Ferri, qui, lo
ique et dédaigneux se fait de plus en plus populaire. Il a cuisiné la
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de Jorio pour un opéra dont la musique vient d’êt
ssante conception d’une Tétralogie des Abruzzes, qui commence avec la
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de Jorio. Wagner a surtout rêvé la renaissance de
e transportèrent à Rome, dans la volonté de vengeance d’une femme, la
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de l’homme tué, qui ne pardonnait pas. Toute la v
s la personne de son chef, visé par-dessus les têtes du fils et de la
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, aux haines réactionnaires et cléricales. Tom
ais ceci semble impossible. Auguste ne peut sacrifier ainsi sa propre
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. Tibère s’exile à Rhodes. Il y passe huit ans, pe
et, plus récemment, à l’Humanité. Peu avant la guerre, il retrouva sa
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qu’il n’avait plus vue depuis 1870 et qu’il avait
r et, comme on avait reçu un télégramme annonçant à l’autorité qu’une
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voyageait vêtue en soldat, elle finit par tout av
’elle s’exprime, et de façon si crue, dans ses écrits, publiés par sa
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Bianca, particulièrement dans une lettre du 10 dé
ndais ; au troisième, à Paris. Au premier acte, Lodoletta, orpheline,
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adoptive d’Antonio, célèbre sa fête. Tous prépare
comme manière de vie le Dédain, et comme dogme spirituel la Volonté,
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du Souvenir, le Poète ouvrait le chemin à tous le
e de l’exil et de la pauvreté. Car, aux citoyens de la belle et chère
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de Rome, Florence, il a plu de me jeter hors de s
ne ne s’occupait de ce jardin, le vieux propriétaire était mort et sa
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, ennuyée et dévote, considérait les arbres comme
in, de M. Morice, « qu’il n’a pas lu et dont il ne peut parler » ; la
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aux mains coupées, de M. Pierre Quillard, « qui p
ntoine, qui la cherchait pour la ramener à sa famille, car elle était
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de grande maison et seul un coup de tête l’avait
e mettre en lumière le type de beauté féminine particulier à Léonard.
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d’Hérodias, aux coiffures fantastiques étrangemen
suggestions ou de ses esquisses. Parfois, comme dans les sujets de la
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d’Hérodias, et de la Tête de Jean-Baptiste, les o
, avec des courtisanes, des actrices, et, tout dernièrement, avec une
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de chambre qu’il dota, et fit épouser, ensuite, à
Lady Dolingson, et sa sœur, Miss Florence April ; Mme Aranguez et sa
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, les Boursault-Coudray ; Nina Ceschini, splendide
s trésors. Tu n’agissais pas. Tu étais content de m’aimer, d’aimer ta
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, l’Italie, tes fleurs, ta musique, les beautés du
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