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i très appétissant ; en outre un des archers ouvrit de suite les deux fenêtres  ». À partir de ce moment, on va constater un chan
dans du plomb ; il joue de l’esponton, arrache la grille et rompt la fenêtre vitrée. « À l’aide de mon esponton, suivant ma pr
rte sur l’escalier de la Chancellerie. Pour avoir fait de nouveau une fenêtre . Eh ! certainement on a fait un trou, on a brisé
veau une fenêtre. Eh ! certainement on a fait un trou, on a brisé une fenêtre et défoncé une porte pour simuler une fuite, dans
à faire, et, de toutes façons, cela importe peu ; en face de nous, la fenêtre à laquelle Casanova se montra, et de laquelle il
s après, la possibilité de deux autres locaux avec, dans le fond, une fenêtre sur les coupoles de Saint-Marc. Les jugeant à l’œ
ane ; elles ont été installées, à droite et à gauche, devant les deux fenêtres du milieu, et des bustes d’empereurs ou de philos
untée à quelque mauvais drame de l’Ambigu : Casanova a, en face de sa fenêtre , une Espagnole qui, derrière sa jalousie, lui a f
ans laquelle il reste pourtant un autel ; puis une sacristie dont les fenêtres ravagées encadrent de leur misère des vues idéale
commode tirés, et je rangeais. Je m’interrompis pour regarder par la fenêtre . Qu’y avait-il par là ? Hier je n’y avais jeté qu
ite ; en face, une maison, dans la muraille de laquelle je voyais une fenêtre fermée, située à peu près en face de la mienne. A
ison d’en face ?… J’abandonnai ma terrasse et j’allai m’accouder à la fenêtre de ma chambre. Ce matin, un des battants de l’uni
der à la fenêtre de ma chambre. Ce matin, un des battants de l’unique fenêtre percée dans le mur était ouvert. Je distinguai un
orme de femme ; mais sans doute on s’était aperçu de ma présence ; la fenêtre fut tout de suite poussée par une main invisible,
heure, il me fallut me déranger pour aller voir si cette diablesse de fenêtre était toujours poussée ! Je pense, à présent, à l
et ce mortier qui me parlaient déjà, c’est ceux qui l’habitaient ! La fenêtre resta fermée toute la journée ; et aussi tout le
deux jours après, étant allé, aussitôt levé, jeter un coup d’œil à ma fenêtre , je trouvai, à ma vive surprise, cette fenêtre d’
ter un coup d’œil à ma fenêtre, je trouvai, à ma vive surprise, cette fenêtre d’en face ouverte à deux battants. J’eus un mouve
vait être appliqué contre le mur donnant sur la ruelle. À cause de la fenêtre , qui était coupée à hauteur d’appui, je ne pouvai
chambre et, en même temps, je m’autorisai à jeter un coup d’œil à la fenêtre . Rien de nouveau. Ce jour-là, convaincu qu’il fal
t aux Survivances antiques en fumant un cigare. En passant près de ma fenêtre , je lançai, par la rainure, un regard. Émotion !
je les conservai, et je passai de longs moments immobile derrière ma fenêtre , retenant mon souffle, aux aguets. C’était l’affû
oiffait devant la glace. Comme il faisait chaud, elle avait laissé sa fenêtre ouverte. Je ne vis pas son visage ; elle avait le
lantes. Enfin, la lumière s’éteignit, et je ne distinguai plus par la fenêtre ouverte qu’un rectangle noir. Alors, étouffant et
ne petite plante grasse qui végétait dans un pot, sur le rebord de sa fenêtre . C’est ce jour-là que je vis son visage pour la p
e-même. Ma tête s’enflammait. Là-dessus, je rentrais. Je courais à ma fenêtre , ou plutôt à mon volet, qu’à la faveur de la nuit
rs c’était le hasard plus ou moins heureux des soirs. Quelquefois, la fenêtre était grande ouverte, et je la voyais se décoiffe
rs passionnés dont je débordais. D’autres fois, un des battants de la fenêtre était fermé et me dérobait une partie de ce que j
gorge superbe devinée dans un furtif passage à contre-jour devant la fenêtre , et des reflets vagues dans la vitre, des mouveme
r… Il y avait aussi le matin, quand elle allait se lever, que, par la fenêtre ouverte, je distinguais le pied de son lit, et qu
e songeais qu’il valait mieux essayer de faire sa connaissance par la fenêtre  ; mais je me rappelais le malheureux incident du
incident du début ; que, d’abord, comme j’avais agi sans prudence, sa fenêtre était restée fermée deux jours, et la maison deve
j’allais perdre le peu que j’avais ; si, maintenant, elle fermait sa fenêtre  ; si je ne la voyais plus ; si elle me privait de
oment où elle relevait la tête, un rapide regard dirigé du côté de ma fenêtre  ; j’en eus un tremblement d’émoi. J’y pensai tout
ention était donc éveillée ! Elle s’inquiétait donc, à son tour de ma fenêtre obstinément fermée Évidemment, elle connaissait l
ocataires qui avaient occupé mon appartement avant moi ouvraient leur fenêtre . Cette personne, maintenant, qui redoutait à ce p
n, à l’heure à laquelle elle paraissait généralement, j’entrouvris ma fenêtre de façon à lui permettre de voir un peu dans ma c
habituelle, elle parut ; elle lança comme la veille un regard vers ma fenêtre , et je remarquai son expression de surprise en la
’habitude. Je m’étais placé derrière mon volet et je l’attendais ; ma fenêtre était entrouverte comme la veille. De mon poste c
ller et venir dans le fond de sa chambre. Enfin elle s’approcha de la fenêtre portant un vase plein d’eau pour arroser sa petit
ommérages infinis du petit peuple de Naples. Je regardais d’en bas sa fenêtre , elle devait être au deuxième étage, comme mon ap
bonheur, mais j’avais confiance… Chaque jour, j’ouvris un peu plus ma fenêtre et je demeurai dans ma chambre, en me privant ave
ssais-je ainsi ? Pourquoi vivais-je maintenant dans ma chambre, et la fenêtre ouverte ? Pour l’habituer à ma présence, pour lui
it, et il n’y avait plus de costumes. Moi, de mon côté, je fermais ma fenêtre pour ne la rouvrir que le lendemain. J’expliquera
qui permet d’agréables collations entre deux baignades. Je fermais ma fenêtre à partir de dix heures, parce que je ne voulais p
ir, pour qu’au moment de se mettre au lit elle persistât à laisser sa fenêtre ouverte. Mais ma vie devait lui paraître singuliè
quelle idée me poussant, j’allume à mon tour ma lampe, et j’ouvre ma fenêtre . Alors, j’ai la surprise ravie de voir un battant
si un reflet de ma lumière, ou bien elle avait entendu le bruit de ma fenêtre qui s’ouvrait ; elle s’était dit : « Tiens, il re
ésiter, j’envoyai un baiser dans sa direction. Là-dessus je fermai ma fenêtre et me déshabillai. IV Dire ma joie devant c
t disparut… Maintenant, chaque matin, je m’asseyais sur le bord de ma fenêtre et je lui souriais. Au bout de quelques jours, el
ais je distinguai qu’elle n’était point fâchée. Elle s’approcha de la fenêtre et, tout en épiant de l’oreille pour entendre si
me rendre compte de la disposition du jardin, et de la hauteur de la fenêtre  ; elle ne s’était jamais déclarée, elle n’avait p
ières s’étaient éteintes ; tout reposait. J’ouvris avec précaution ma fenêtre , en prenant soin de ne faire aucun bruit. Puis je
on, jamais, jamais, je ne pourrais l’appliquer sur le bord de l’autre fenêtre , son poids m’emporterait !… Enfin je me mis au tr
iverais à rien. Je rentrai donc ma planche et réfléchis… Je voyais la fenêtre ouverte, en face : pas un mouvement ; elle dormai
il me fallait m’y prendre !… Je plaçai ma planche sur le rebord de la fenêtre  ; puis poussai, de façon à la faire glisser horiz
ds sur le sol, je parvins enfin à lui faire atteindre le rebord de la fenêtre d’en face. Le pont était bâti ; j’étouffai un cri
rent point, et, une seconde après, j’étais debout sur le rebord de la fenêtre d’en face. V J’y étais donc dans cette cham
accessible. J’avais posé le pied par terre, j’étais debout près de la fenêtre et je cherchais à percer l’obscurité qui m’envelo
cer ma planche. Elle avait compris. Elle avait eu l’idée d’aller à la fenêtre et de me dire encore que non. Mais l’énergie l’av
e causer ma chute. C’est pourquoi elle n’avait pas même osé fermer sa fenêtre . Elle se disait : C’est mal, — et comment l’évite
connaissais, je ne lui cachai rien. Je lui dis comment, en voyant sa fenêtre fermée, j’avais cru qu’elle se défiait de mon ind
chemin hasardeux par où j’étais venu, et je repassai chez moi. De sa fenêtre elle m’envoya un baiser, puis elle disparut. J’ét
résent. Je réfléchissais à cette aventure, au hasard de la vie. Si sa fenêtre n’avait pas été d’abord fermée, et que je n’eusse
… Jésus, je fais mal ! je serai punie !… Je m’étais assise près de la fenêtre , je t’ai vu arriver. Que tu es imprudent ! Mais f
une de ces sortes de mélopées arabes que chantent les Napolitains. La fenêtre était ouverte. Je me rendis compte que l’on pouva
e descendis dans ma chambre. Il était temps. J’avais à peine fermé ma fenêtre que j’entendis des pas dans la ruelle. Histoi
2 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
ma maîtresse, il y a quelques années. Je l’ai abandonnée… J’ouvris la fenêtre qui donnait sur un canaletto sombre. Nous nous ac
hée, et je. me levai… pour… pour je n’en savais rien… le jeter par la fenêtre … le chasser ou partir ! Il épaississait l’air. Il
moi ! Ici à Venise, c’est tout naturel. Je n’ai qu’à me pencher à la fenêtre de ma chambre qui s’ouvre sur un canaletto grandi
ini, Lorédan, Rezzonico, Foscari… Voici le Palais Stella-Lucente. Une fenêtre est éclairée au premier étage. Sur le store baiss
Au crépuscule, comme la lumière se dorait, Aurora se leva, ouvrit la fenêtre et s’y accouda. Une odeur de fleurs envahit l’ate
ets encombraient une chaise : ma valise était ouverte devant l’unique fenêtre  : sur la table, écoutez bien ceci : des enveloppe
it heureux. L’atelier des Zattere que le soleil inondait, et dont les fenêtres étaient ornées de vignes vierges et de chèvrefeui
ait, dans la salle, une odeur de nuit orientale. Aurora s’appuya à la fenêtre  : et, après un long silence que Morga et Lowsky e
c Tebaldo. J’errais en gondole ; la musique a attiré mes yeux vers la fenêtre où vous étiez accoudée : nous avions l’air songeu
 ? — Dans l’escalier. Mais la Signora Nina avait vu Donna Aurora à la fenêtre , et… — Beppo ! interrompit Stella-Lucente, tu me
. — Mauvaise idée que vous avez eue, Aurora, de vous accouder à cette fenêtre , mauvaise idée ! fit-il, moitié souriant, moitié
ucement, Beppo. Stella-Lucente lève les yeux, Il aperçoit Aurora à la fenêtre de sa chambre. Elle est vêtue d’un peignoir clair
it la porte de la chambre d’Aurora. Elle était toujours accoudée à la fenêtre . Un ruban retenait ses cheveux dénoués et qu’enve
oches. Il jeta l’œillet qui ornait le revers de son smoking, ferma la fenêtre , se campa devant sa femme, la tête basse : — Tout
l la conduisit dans la serre déserte. La jeune femme s’assit près des fenêtres que voilait un store. Et, comme disent les vieux
oyez, ce soir, à partir de dix heures, un mouchoir blanc attaché à la fenêtre de ma chambre, cela voudra dire : « à demain ! »
is Stella-Lucente, il leva les yeux. Le mouchoir ne flottait pas à la fenêtre d’Aurora. La grande porte était close. Dix heures
tait apparue la face de la Ceschini. Le mouchoir ne flottait pas à la fenêtre d’Aurora et la lune éclairait, en diagonale, la f
emeure de Stella-Lucente était sombre. Le signal ne flottait pas à la fenêtre . * En rentrant chez elle, après sa visite chez We
 ! Et je déclarai : — Le signal ne, flottera probablement jamais à la fenêtre d’Aurora. — Que voulez-vous dire ? — Attendez-moi
trouva seule dans sa chambre, située au second étage, elle ouvrit les fenêtres qui dominaient le parc. Elle apercevait des allée
le. Il posa, sur une table, la lampe qu’il tenait à la main, ferma la fenêtre , et sortit une enveloppe de sa poche : — Vous n’a
st-ce que je suis fou ? Est-ce que je rêve ! Enea, regardez… Les deux fenêtres de la chambre d’Aurora venaient de s’illuminer. —
venaient de s’illuminer. — Arrête ! ordonnai-je au gondolier. Et une fenêtre s’ouvrit, lentement. Une jeune femme apparut. Ell
ayant aperçu, la veille, au milieu de la nuit, des lumières à une des fenêtres … Il m’interrompit d’un geste, se dirigea vers la
’enfuit. Ce fut le printemps. Une nuit, j’errai le parc, et je vis sa fenêtre s’ouvrir. Comme dix heures survenaient, elle sais
3 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
tre, une lettre de passion débordante, folle, qu’elle me jetait de sa fenêtre . Je passais la journée avec ma lettre… Elle avait
Le matin, je ne bougeais pas de chez moi ; je pouvais toujours de ma fenêtre la voir un peu et lui faire des signaux tendres.
nguait à peine les choses. Nous nous taisions, nous écoutions, par la fenêtre ouverte, le grand silence de la nuit, auquel s’op
par lequel vous êtes venu ici ? Cela m’intrigue… Je le conduisis à la fenêtre . Il vit la planche qui traversait la ruelle. — Pu
s’était bien déroulée ainsi, cette nuit. Je me levai. J’entrouvris ma fenêtre , et je regardai si celle de Lina était ouverte, c
le allait me jeter un regard ardent et tendre. Mais non, ce matin, la fenêtre était close. J’éprouvai un malaise. Je la revis é
lle repris ses sens ?… Et que se passait-il maintenant derrière cette fenêtre  ?… J’étais anxieux ; je fixais ces vitres aveugle
, absorbé dans mes réflexions. Je ne quittais presque pas de l’œil la fenêtre d’en face ; mais tout demeurait immuable ; je reg
déjà partie ; et peut-être que cette chambre, dont je considérais la fenêtre close, était maintenant vide pour toujours. Celle
débitait. Ma foi ! ce n’était pas mal joué ! Je regardais toujours la fenêtre de Lina. Nul mouvement ne s’y trahissait. J’étais
sprit. Alors je ne songeai plus qu’à rentrer chez moi pour voir si sa fenêtre était toujours close. Je dis à Carrera : « Peut-ê
out à l’heure. On eût dit que la vie avait abandonné cette maison. Sa fenêtre , qui maintenant demeurait obstinément fermée !… A
s eu la candeur de m’y rendre. Je réfléchissais donc, assis devant ma fenêtre , tandis que l’ardeur du soleil décroissait peu à
on ! il ne l’avait pas envoyée loin de Naples ! Pour quelle raison sa fenêtre , de toute la journée, ne s’était-elle pas ouverte
IX Le matin, en m’éveillant, je souriais à la vie. Je me mis à la fenêtre , tout enchanté du soleil et des colombes dans l’a
’hui, tout me paraissait favorable, je n’avais point d’inquiétude. La fenêtre de Lina demeurait close comme la veille. Je ne m’
e que j’ignorais, et voilà tout… Aussi, un peu plus tard, quand cette fenêtre s’entrouvrit, ne me sentis-je pas autrement surpr
stant, ne pouvait m’étonner. La veille j’avais souffert de voir cette fenêtre fermée, aujourd’hui, elle s’ouvrait ; c’est ainsi
ais m’empêcher de rire de cette façon qu’on avait ici d’entrer par la fenêtre dans une grande famille. Il se montrait dans la c
aître. La salle où je me trouvais était haute et vaste. Trois grandes fenêtres encadrées de rideaux de damas rouge l’éclairaient
sans qu’elle soit à moi ! Et je ne la verrais plus chaque matin à sa fenêtre . Et je n’entrerais plus la nuit, dans sa chambre,
été si heureux et où j’avais vécu des heures si folles ! J’allai à la fenêtre , je considérai les colombes de Lina, là-haut, sur
ai les colombes de Lina, là-haut, sur le rebord de la terrasse, et sa fenêtre à elle ! Mon cœur se gonfla. Ah ! que de souvenir
quelle région de la France arriverait-on, aujourd’hui, à passer de sa fenêtre à celle de sa voisine, sur une simple planche pos
de Il n’y avait plus, dans le bar de l’hôtel, que moi — près de la fenêtre  — et elle — devant la table des magazines. Je m’a
e, dans Mac-Ferson, quelque triste lied à traduire… je m’accoude à ma fenêtre … je parle de vous à la brise, au silence, au clai
oivent la lumière comme dans toutes les maisons tripolitaines par des fenêtres et des portes donnant sur une grande cour. Le sty
ntenant : il serait bien difficile à l’Italie, comme à qui n’a qu’une fenêtre , de n’avoir pas de point de vue sur la Méditerran
4 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
rale), un large cloître avec deux tours carrées percées de charmantes fenêtres à la Giotto ; et, derrière cela, des forts sur de
un peuple. Il est certain qu’en elles-mêmes ces surfaces, percées de fenêtres symétriques et divisées par des colonnes, n’ont r
ces portes royales, ayant pour front ces colonnes, ces pilastres, ces fenêtres ornées de festons. Plus haut, elle est dominée pa
présente en vérité que l’image d’une enceinte agréablement décorée de fenêtres et de pilastres, de portes et d’architraves ; alo
vus, le plus souvent, de tentures et de tapis, ils n’avaient point de fenêtres à carreaux de vitres qui eussent laissé passer to
s moralistes sévères ne leur permettaient même pas de se montrer à la fenêtre . Mariées ordinairement très jeunes, sans avoir re
pas le chemin de l’autel au portail. Il observa le jour versé par les fenêtres Et comment il faudrait et dompter et soumettre Le
son mouchoir pour s’épousseter. Au même moment, une rafale ouvrit la fenêtre avec fracas, tourbillonna et éteignit la bougie.
ia-t-il. Et prenant le chat brusquement, il le jeta sans façon par la fenêtre . Ce geste d’énergie avait remonté Bélisaire, qui,
luma son bougeoir et entra dans sa chambre. Elle était grande, à deux fenêtres , à deux lits et nue. Un lavabo de collège et troi
ait le renfermé. Comme il avait la migraine, Bélisaire ouvrit une des fenêtres , et, machinalement, s’y accouda. Spolète ne bouge
r près de lui… Un gamin dans la rue, un ivrogne attardé ? Il ferma la fenêtre . Les plaintes persistèrent, plus nettes. Elles ve
ssant, la poussière des consoles, renversa l’escabeau, se pencha à la fenêtre par où il avait précipité le chat. Rien ! Que pou
violette traînait dans l’air ; et quand, enfin, le jour entra par les fenêtres ouvertes, la première chose qu’il vit fut, sur la
est vrai que ces perles gasconnes lui étaient apparues à travers les fenêtres d’un wagon ! Aujourd’hui, en allant demander la m
tit enfin en confiance. Parvenu au premier étage, il s’approcha d’une fenêtre en arcade sur le rebord de laquelle il s’accouda,
s avait fait pénétrer jusque dans la salle. Il vit en face de lui les fenêtres du salon où les trente demoiselles de Gubbio camb
5 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
entre les deux chœurs. Tout d’un coup, un moissonneur grimpe sur une fenêtre , et montre sa face bestiale entre les barres de f
la Antine, une fois seul. — Quel tas de crétins ! Et il se remit à la fenêtre , un peu dégoûté de tout et de tous. Combien était
s promenades qu’il comptait faire au village. Il resta longtemps à la fenêtre  ; peu à peu, il distinguait mieux les choses dans
x amandiers du verger enveloppaient silencieusement la maison ; de sa fenêtre , Antine dominait la masse compacte de leur feuill
veiller de très bonne heure, il fut debout à l’aube. Il se remit à la fenêtre , sifflant et chantant. Les mauvaises impressions
n’avaient pas de lumière, et Elia s’était témérairement assis sur la fenêtre , les jambes pendant à l’extérieur. Il chantait :
ce seulement il se remit à parler, les mains posées sur l’appui de la fenêtre et la tête tournée vers l’intérieur de la chambre
c une froideur méprisante, les mains appuyées aux deux montants de la fenêtre . — Ne rage pas comme cela. Puisque tu ne veux pas
urer. Elia comprit qu’il lui avait fait mal ; d’un bond, il quitta la fenêtre , et fut debout à côté de son ami ; ils se tenaien
à tout prix refusé à jouer cette comédie sacrilège. Zio Pera ferma la fenêtre . Au dehors, c’était l’accablement de midi : certa
fraîches, mais pâlies. Les coudes appuyés sur le rebord usé de cette fenêtre devant laquelle, dans une nuit lointaine, il avai
le rêve, ils ont compris que c’était l’instinct du poète d’ouvrir les fenêtres sur la nature et de se rapprocher des hommes. Ain
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 233, 1er mars 1907 »
sur l’unique chaise d’une salle d’attente, blanchie à neuf, dont les fenêtres ouvraient sur la cour pittoresque de la vieille u
7 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
contenter d’une chambre, donnant sur une cour, éclairée par une seule fenêtre . Pour horizon, un platane et des murs ruisselants
Au feuillet 53 : « À Milan. Une feuille prise à l’arbre montant à la fenêtre de ma chambre. Platane. » Les pages, publiées ici
re dans les drames au théâtre, dont les foyers donnent par de petites fenêtres sur le jardinet où s’ouvre mon unique croisée, vo
toutes les églises, la gravité est rompue par un décor familier. Les fenêtres , qui y versent l’air, sont des fenêtres d’apparte
ue par un décor familier. Les fenêtres, qui y versent l’air, sont des fenêtres d’appartement, avec des rideaux de mousseline à f
e moderne, en marbre blanc, éclairée d’une lampe éternelle et de deux fenêtres qui y versent un grand jour sur les fresques écla
eur qu’un vieux platane et un jeune acacia mêlant leurs branches à ma fenêtre sans rideau, au fond d’une cour humide, dans la l
l’architecture bolonaise ont peu d’agrément : le type par exemple des fenêtres arrondies au sommet et divisées par un meneau. Ce
nul apprêt romantique : il n’y a plus de fantômes pour se pencher aux fenêtres des palais en ruines, et nul bruit suspect ne se
8 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
aisai, je caressai, je soupirai, je passai de longues heures sous une fenêtre  ; j’attendis des nuits entières, enveloppé dans m
on où j’habitais pendant les années de mon noviciat scientifique. Mes fenêtres ne donnaient pas sur la place, mais sur un grand
9 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
vers et exquis de Enrico Panzacchi : Une petite ville, le soir ; une fenêtre où se colle le front d’une femme qui rêve, ou pri
10 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
inerve à Rome, enterré à demi et dans lequel on a percé les portes et fenêtres d’une habitation ; […] Les Journaux. Christine
qui tombe et s’écrase sur le pavé. Nicoletta vient de se jeter par la fenêtre . Sincèrement, en dépit des préventions qu’on peut
11 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
’étages apparaissant et disparaissant. Jamais une surprise venant des fenêtres ou des portes cochères qui manquent de malice, et
sonnage de Goethe : sans doute, mais une prison merveilleuse dont les fenêtres laissent voir, quand il fait beau, un coin de cie
pas qu’un peu d’elle fût ailleurs, elle ne la cherchait point, par la fenêtre donnant sur le couchant, dans les petites étoiles
est incomparable. Il me semble, en ouvrant ce livre, que j’ouvre une fenêtre sur la rue morne et grise de cet hiver parisien p
12 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
t mes premiers baisers. — Je faillis jeter cet animal de Carlo par la fenêtre , car nous entendîmes ses pas, juste au moment où
dre de sa gondole et entrer dans un palais. Quand il passait sous des fenêtres illuminées, et qu’il entendait des bruits de musi
eaux et les bannières, qui pendaient au sommet des mâts ou contre les fenêtres se déploient. La brise du large souffle. Il n’y a
te l’a dit ? — Ses yeux… Je la vois à l’Église. J’ai chanté sous ses fenêtres , mais son père et ses frères m’ont poursuivi. — S
, tes torsades, tes lèvres chaudes. Comme j’écartai les rideaux de la fenêtre , je remarquai, dans la rue, un vieillard accompag
oir, à un signal convenu, elles les enflammèrent, les jetèrent par la fenêtre , contre la porte ; elles espéraient la brûler et
mourir ici… C’est un secret que je vous confierai. Lorenzo ouvrit la fenêtre  : — Venez, messer Giorgio vous attend. Tous furen
Mare », d’Annunzio possède un cabinet de travail « spacieux dont les fenêtres , les portes, les murs sont garnis d’épaisses tent
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
n’adoucissait nul chimérique espoir : et gravant sur une vitre de la fenêtre le dernier mot de leurs deux destinées qui se dés
14 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
basses du plafond qui est blanchi à la chaux. Dans le coin d’une des fenêtres est pendu un beau portrait gravé de Casanova. Apr
retapa les vieux souliers, ses débuts chez un barbouilleur de fausses fenêtres et ses déboires, mêlés de succès, à Brera ; à pei
15 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
ais qui n’a même pas été habité. Il fut, à peine fini, abandonné, les fenêtres clouées de planches. C’est pour cette sorte de ru
a coiffe sur le nez, un sigisbée dans leur ombre ; ces autres à leurs fenêtres , glorieuses volontaires et fainéantes, une branch
t de bouquets de peupliers hirsutes, fabriques aux toits plats et aux fenêtres étroites entrevues dans l’échappée des pins paras
16 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
dont Baroccio, de Milan, sculptait les chambranles des portes et des fenêtres , dont maëstro Jacomo, de Florence, faisait les ma
17 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
s tombe en ruines et le Louvre n’a même pas de quoi faire réparer ses fenêtres et acquérir des stores pour protéger ses chefs-d’
18 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
Quel génie, quel langage saurait décrire ta véritable opération, œil, fenêtre du corps humain par où l’âme jouit de la beauté d
tout parle encore d’attaque et de défense, entre de vieux palais aux fenêtres grillées et dont les dalles n’ont pas bougé depui
des Artistes Français. » — M. E. Pilon : « Le Sourire de Paris : les Fenêtres fleuries. » Échos. Léonard de Vinci précurseu
19 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
s gens, par frivolité d’esprit et désir de nouveauté13. La place, les fenêtres des maisons, les toits mêmes étaient noirs de mon
20 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
côté du Monte Caprino, près duquel se tenait un marché, s’ouvrait une fenêtre d’où le Sénateur était tenu, selon sa charge, d’a
21 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
it tué : il peut avoir quatre ans, et jeta des cris horribles sous ma fenêtre … et jette des cris (Page 259). Ce peuple a deux
22 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
and par exemple le propriétaire ne remettait pas à neuf les portes ou fenêtres trop gâtées (ostias fenestrasque nimium corruptas
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