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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
scule. Celui qui ne put pas aimer…… Depuis que Don Juan a pris femme , il est presque impossible de le rencontrer hors
arlaient et secouaient leurs têtes grises, sans regarder la foule des femmes aux lèvres trop rouges et des jeunes gens anémiqu
lus pur que moi. Je songeais à l’amour comme à une chose sacrée et la femme était pour moi une sorte de mystérieuse récompens
ps vint, et les étoiles tremblèrent, et les arbres reverdirent et les femmes se vêtirent de leurs belles robes claires. Mais l
s ardeurs de la passion. Je sentis alors que je pourrais posséder des femmes , que je pourrais me faire aimer d’elles, mais que
à la beauté et à la grandeur de l’amour et je ne voulais pas que les femmes fussent pour moi seulement un jeu et un divertiss
il n’était pas né en moi parce que je n’avais pas encore rencontré la femme qui devait faire sourdre et jaillir la source int
intérieure de ma passion. Et je me mis à chercher désespérément cette femme , et je parcourus tous les pays, toutes les villes
inquiet, infatigable, triste, mécontent ; toujours à l’affût de cette femme unique, de cette libératrice inconnue, qui devait
trer, qui devait me faire connaître l’amour immortel. Et il y eut des femmes qui m’aimèrent et des femmes qui fuirent avec moi
naître l’amour immortel. Et il y eut des femmes qui m’aimèrent et des femmes qui fuirent avec moi et des femmes qui pleurèrent
t des femmes qui m’aimèrent et des femmes qui fuirent avec moi et des femmes qui pleurèrent pour moi et des femmes qui mourure
mes qui fuirent avec moi et des femmes qui pleurèrent pour moi et des femmes qui moururent pour moi… et jamais je n’eus la joi
ire battre mon cœur et désemparer mou esprit. Je possédai le corps de femmes innombrables, et sentit battre sur ma poitrine d’
r du corps et méprisait l’amour. Au lieu de cela, je passais ainsi de femme en femme, d’aventure en aventure, à la recherche
s et méprisait l’amour. Au lieu de cela, je passais ainsi de femme en femme , d’aventure en aventure, à la recherche de l’amou
cruel, alors que le sort était cruel envers moi. Je recherchais mille femmes , parce que je ne réussissais pas à en aimer une s
la triste rage de l’amant repoussé par l’amour. De nombreux cœurs de femmes souffrirent par ma faute, mais aucune ne connut,
rsité et de la mutabilité, et les dévots de la maison unique et de la femme unique ont voulu nous cracher à la face leur mépr
vieux et je ne saurai jamais ce qu’est l’amour. Dans aucun chemin, la femme que je cherchais n’est venue au-devant de moi, et
tait restée la même. Dans les mêmes rues étroites passaient les mêmes femmes courtes et jaunes, aux coiffes froissées ; et les
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en soit tout à fait démodé depuis quelques lustres. Un homme aime une femme , la femme fatale, et ayant étreint sa femme légit
ut à fait démodé depuis quelques lustres. Un homme aime une femme, la femme fatale, et ayant étreint sa femme légitime sous l
ustres. Un homme aime une femme, la femme fatale, et ayant étreint sa femme légitime sous l’obsession de l’image de l’autre,
ants. Il y a des nuées d’enfants, à Naples, qui courent partout : une femme a donné une taloche au petit d’une voisine, celui
les prises de bec durent souvent fort longtemps. Je me rappelle deux femmes , dans le quartier du Marché ; elles se chamaillai
lles des êtres habitués à vivre au soleil. Après déjeuner, de grosses femmes dorment assises, devant leurs portes, tandis que
uelle se trouve un carabinier, et dans le fond un homme enchaîné. Une femme , aux cheveux épars, suit la voiture en courant et
re un volume à Marie de Gournay et publie l’Égalité des hommes et des femmes , et le Grief des Dames, nous révèle sa manière :
, s’écartant de la doctrine de son maître, qui faisait peu de cas des femmes , elle prêchera l’égalité des sexes. Ces deux peti
alité est bien, comme le proclame M. Mario Schiff, d’avoir défendu la femme contre « l’injuste dédain des hommes ». Sa cultur
et des raisins. À demi cachées par les feuillages, apparaissaient des femmes . Une d’elles, allongée sur un monceau de roses qu
coffret, si celui qui avait uni, en dépit de toute vraisemblance, des femmes à des roses, peindrait des madones ou des anges,
a dehors, par les épaules : — Va au diable, Giorgiaccio ! Une voix de femme répondit : — Tu es dans l’erreur, maître Sébastia
appeler, celui-là, mais Giorgione !… J’approuvai la remarque de cette femme .   Giorgione était, à cette époque et malgré son
es matériaux qui composent les arbres, les soieries et les chairs des femmes . * Dans une des salles du palais habité par Danie
esse que possède un de ces camarades : — J’ai envie de caresser cette femme et de peindre son portrait. Elle est si belle. — 
arbara me souriait sans motif, mais, n’ayant jamais été l’amant d’une femme , je ne comprenais pas la signification de ce rega
eint blanc, aux manières timides. Cet adolescent n’était autre qu’une femme déguisée. Elle s’appelait Emilia, servait de maît
jamais boire outre mesure, lorsque, dans une assemblée, se trouve une femme qu’on aime. J’ai appris aussi qu’il faut se défie
it que le but de l’existence était d’être admiré par une assemblée de femmes qui auraient conscience que le génie est un don d
ses fêtes et de ses mascarades. — Regardez le cadre que font à cette femme blonde, là-bas, cette tenture et ces figures basa
cale. Elles sont remplies de marchands, d’étrangers, de soldats et de femmes . Des masques cachent certains visages. Des draper
ier au manteau vert de Daniel Dorsevigo. J’avais, en outre, réuni des femmes admirables et des hommes valeureux.   La fréquent
a nacre et de l’ivoire aux fleurs cueillies à Muran et aux chairs des femmes . Elles étaient rangées en demi-cercle. Derrière e
urait chassé avec bonheur, lorsqu’il s’installa, au milieu des jeunes femmes qui l’admiraient, absolument comme s’il avait été
c une fougue juvénile qui lui attacha définitivement la sympathie des femmes et la curiosité des hommes dépourvus des médiocre
e lui dois l’exécution de ce coffret. Ces arabesques de feuilles, ces femmes ne sont pas autre chose que l’étalage de Castelfr
que nous offre la Nature. D’abord les hommes en habits somptueux, les femmes parées, les figures des soldats et des orientaux
rmures, des jeunes gens vêtus de pourpoints se rencontraient avec des femmes nues. Il improvisait des tableaux aussi facilemen
que la jeunesse du génie. L’assurance et l’orgueil d’avoir séduit les femmes et vaincu l’hostilité des hommes imprimèrent à la
elier te séduit, quand tu as la faculté d’admirer les plus belles des femmes chez Dorsevigo et Mercatin… — Ah ! seigneur, ces
endit quelques études au crayon rouge. Je m’aperçus que les corps des femmes vivantes, malgré leurs défauts, l’émouvaient plus
, les déesses sont créées uniquement par le marbre et pour l’art… les femmes sont créées par la vie et pour la peinture. Il fa
sur des draperies ou à l’ombre des arbres. — La nature produit peu de femmes belles. Le devoir de l’art est de les rendre parf
e la trouvent pas sans rivale, les jeunes gens qui se disputent cette femme à coups de dague et les vieux marchands qui lui o
ises renfermées dans une galère… — Il est difficile d’affirmer qu’une femme est belle. — Elle l’est, quand elle se dépouille
un poème où serait exprimée la douleur sublime d’un dieu épris d’une femme et qui ne lui peut faire le don de sa vie, puisqu
M. Ernest Tissot nous donne une seconde série de ses portraits de femmes  : Nouvelles Princesses de lettres. Voici : Julia-
éminine, voici quelques-unes des conclusions de M. Ernest Tissot : la femme qui écrit cherche d’abord à plaire. Dès qu’elles
il avait supplanté, nous le dépeint flattant les curés, caressant les femmes , passant ses nuits au théâtre, ne dormant jamais.
ons improvisées. Sa verve égayait les plus hostiles. Pour charmer les femmes , il jouait du luth et chantait. — Que tu es beau,
s avirons le poussèrent à quai. — Regardez, dans cette gondole, cette femme . — Qui est-elle ? — Alexandra Vellani. — As-tu dé
de vous affirmer, avant-hier, que les enfants surpassent parfois les femmes , en beauté ! — Titian connaît-il ce tableau ? — P
Et quand nous nous serons bien égayés, nous essayerons de faire à nos femmes un enfant aussi beau que celui-là ! Je rapportai
 : « Je n’ai rien inventé, mes amis. Je soigne mes tableaux comme les femmes soignent leurs chevelures. Que font-elles, afin d
 Vous ne connaissez pas Nina, Seigneur ?… Évidemment non !… C’est une femme admirable et elle offre, par la politesse de ses
r la richesse de son talent. Sous de vastes ombrages, il assembla des femmes , des enfants et des animaux. Il improvisait ses s
rtante de leur camarade. — Giorgio, que vas-tu mettre auprès de cette femme nue ? — Ce qui te plaira, Lorenzo !… un ruisseau,
r tes yeux… Il exécutait ce qu’on lui commandait. Ainsi, autour de la femme nue, il lança un vol de colombes et d’amours tira
in d’attirer l’attention sur leurs faibles mérites. L’approbation des femmes valut à Giorgio plus d’ennemis que son talent, ca
en entendant tes camarades décrire la beauté d’une peinture ou d’une femme  ?… — Je préférerais mourir, Seigneur. — Non, tu t
de Giorgio. Je me souviens d’une Vénus endormie, d’une Judith, d’une femme assise attirant un amour armé d’une flèche. La ré
ait aussi. Les hommes envieux de sa beauté et de sa désinvolture, les femmes qu’il dédaignait et que piquaient ses façons haut
la plus célèbre de Titian, à cette époque, était, certainement, deux femmes assises auprès d’une fontaine sur laquelle se pen
auprès d’une fontaine sur laquelle se penche un enfant. L’une de ces femmes est vêtue de satin blanc. L’agrafe de sa ceinture
igne du torse et des jambes. L’ordonnance de cette œuvre, le type des femmes , l’ardente couleur de leur chair sont inspirés pa
l ne lest pas, quand il réunit, dans de calmes décors champêtres, des femmes nues et des femmes habillées, des jeunes seigneur
d il réunit, dans de calmes décors champêtres, des femmes nues et des femmes habillées, des jeunes seigneurs et des bergers !
, tu ne serais pas le peintre que tu es !… Quelle volupté ! Comme les femmes qui sont à notre table doivent en être pénétrées…
r un arbre. Ah ! il tient à la terre, Giorgio, sois tranquille !… Une femme nue montre son dos. Elle est assise et tournée de
s le paysage… et moi, Bernardo Ridolfi, je l’entends !… Plus loin une femme nue, debout. C’est une fleur ! Les jambes entouré
rayons ne la nuancent-ils pas ! Comme elles attirent la lumière, ces femmes  ! comme elles brillent, sur la pelouse bordée par
une éminence, aux pieds d’un bouquet d’arbres et de broussailles, une femme presque nue et qui allaite son enfant… Elle ne l’
esque nue et qui allaite son enfant… Elle ne l’allaite pas, comme une femme , en le berçant entre ses bras. Regardez le bambin
On dirait une faunesse et son faunillon !… J’ai envie de crier à ces femmes  : « Sortez de vos toiles, quoique vous paraissiez
e de représenter les choses de la nature. Je veux qu’en regardant ces femmes vous disiez avec Ridolfi : « Descendez dans mes b
muet. Ridolfi l’apostropha : — Tu veux savoir, ô Titian, pourquoi ces femmes sont nues et ces hommes habillés, je vais te le d
rouve les hommes plus imposants et décoratifs habillés que nus et les femmes plus belles nues qu’habillées. Les jeunes seigneu
s esclaves amoureuses, silencieuses comme elles… ce qui est, pour les femmes , la meilleure façon de rester dans leur rôle et d
ous ces artistes, légèrement pris de vin, prononcèrent alors, sur les femmes , des discours dont la fantaisie m’amusa, mais que
me la Maurina, acquiescèrent la plupart des convives… — Qui est cette femme  ? interrogea Giorgio… — Nous sommes plusieurs qui
Elle possède, et au plus haut point les vertus que tu prises chez une femme , compléta Ridolfi… — Nous te la ferons connaître,
à la garde un poignard dans le cœur de Giorgione. * On appelait cette femme la Maurina à cause de sa chair brune et on ne lui
me assez curieuse que celle de ce roi juponnier, qui ne laissait à sa femme que la ressource d’être un modèle de vertu (vertu
ve étaient moindres. Seul, Giorgio pouvait peindre des cavaliers, des femmes , des enfants et des animaux dans un apparent déso
ait, à sa table, les courtisanes fameuses et entourait d’hommages des femmes respectées. Il recommença à jouer du luth et à ch
manteau, et, pour nous persuader que tu achevais la nuit auprès d’une femme , tu as laissé, dans la salle à manger, des flambe
rgiaccio ! murmuraient-ils. — Giorgione ! répondaient secrètement les femmes . Sa maison était le centre des intrigues galantes
tes insensés. Elle profita du carnaval pour s’introduire, déguisée en femme du peuple, place San Silvestro. Elle y trouva sa
ton… Il souleva la tenture : — Entrez. Et je vis, sur une couche, une femme étendue, morte et déjà défigurée. — Qui est-ce ?
etour… Y a-t-il un verre de vin, pour les camarades, des pâtés et des femmes  ?… Tu dois avoir de belles choses à raconter, Gio
ubres bonshommes ont enlevée d’ici, pour la livrer aux flammes… — Une femme … — Et une radieuse créature !.. Je l’aimais ! Un
œur et de mes entrailles et moi, habituellement si heureux auprès des femmes , je devins morne. En sortant de chez elle, Ridolf
La présence de la Maurina exaspéra les marins : — Pourquoi as-tu une femme à toi seul ? dirent-ils au capitaine. Elle doit ê
t amoureux et jaloux de la Maurina… lui, le Giorgione… Amoureux d’une femme possédée par tous… une femme dont le corps est au
urina… lui, le Giorgione… Amoureux d’une femme possédée par tous… une femme dont le corps est aussi public que le Campanile,
rina ; elle m’aimait et j’avais l’impression affreuse que l’amour des femmes n’anéantit pas les désirs qu’elles éveillent. Des
nts des cavaliers contournant les pilastres figurés du Fondaco. Cette femme m’obsédait, à tel point que je crus avoir prononc
es âmes vierges et d’autant plus vulnérables… J’avais séduit bien des femmes . Je les avais aimées sans angoisses ni tourments 
i m’étreignaient, quand je me découvrais indissolublement lié à cette femme dont je n’aurais pu prononcer le nom sans exciter
t en orgies. Je mangeais, je buvais avec fureur. Je jouais auprès des femmes illustres, afin de les séduire, de me les attache
avaient transformé cette créature paisible et facilement heureuse en femme jalouse et taciturne. J’installai Lorenzo auprès
affirmé, bien souvent, à des camarades malheureux : « Il n’est pas de femme qu’une autre femme ne fasse oublier »…… et cela e
nt, à des camarades malheureux : « Il n’est pas de femme qu’une autre femme ne fasse oublier »…… et cela est vrai, pour toute
ne autre femme ne fasse oublier »…… et cela est vrai, pour toutes les femmes , sauf pour la Maurina… Pourtant, ils étaient nomb
’est impossible I Un homme tel que toi, Zaratto, ne tolère pas qu’une femme se joue de lui… et une femme comme elle, ajouta-t
l que toi, Zaratto, ne tolère pas qu’une femme se joue de lui… et une femme comme elle, ajouta-t-il sombrement, ne vit pas av
arce qu’elle l’a voulu !… Je le comprends : elle l’a voulu… c’est une femme qui, d’un regard, d’un sourire, transforme un lâc
je t’aime, Zaratto… Tu m’aimes… tu me délivreras… Tu as entendu cette femme prononcer de semblables phrases, Giorgio… toi qui
arbres, le soleil, les fleurs, les eaux vivantes, les enfants et les femmes … s’ils en étaient capables… Et, lorsque vous parl
a composé pour les Épigrammes Romaines un frontispice où des jeunes femmes assises, près d’un clair bassin, par une limpide
e crient vers ceux qui les ont effacés de leur mémoire ; et les trois femmes qui sont évoquées dans les Idylles ne connaissent
à, le pauvre Marcel Thibault m’avait clairement donné à penser qu’une femme comme Isabeau ne se comprend que par la folie du
ux obstacles cruels rencontrés par cette transformation que l’aimable femme fait penser en ses infortunes. Cette folie de Cha
a contre la seconde les superstitions populaires. Valentine de Milan, femme du duc Louis d’Orléans, devint, on l’a vu, la sor
en antique, donne par faste, non par charité. Le pauvre est fier ; la femme du mendiant ne raccommode jamais les haillons de
étiens. En vain leur père Transquilin et leur mère Marcie, avec leurs femmes et leurs enfants, viennent les supplier de sacrif
u nom du Christ. Ils meurent et tous les leurs se convertissent. Zoé, femme de Nicostrate, recouvre la parole et loue le Seig
s comme un hérisson. » Mais il ne mourut point de ses blessures. Une femme , nommée Irène, voulant l’ensevelir, le trouva enc
e Dieu qui fut homme et qui est ressuscité, les fidèles d’Adonis, les femmes de Byblos, croient reconnaître l’anémone de chair
combinaison des signes. ………………………………………… — La Vierge à l’Épi d’or, la femme couchée sur le cercle, la tête en avant, est bien
gorges du Liban, des confins de l’Euphrate, des oasis du désert. Les femmes syriennes tressaillent comme par la présence de l
vierges, pleurez Adonis ! Garçons, pleurez ! ……………………………… Pleurez, ô femmes de Syrie ! Il va dans la pâle Prairie, Toutes les
ive sept fois plus ardent38. Saint Sébastien a une vision. Les trois femmes agenouillées, qui évidemment rappellent les Trois
mes tant pleins et de tristesse ! Ayez pitié de vos jeunesses, de vos femmes et vos enfans, que laissez tristes et dolans sans
interventions des démons, les plaisanteries infâmes du vilain, de sa femme et de la tavernière, qui, à chaque instant, dans
agit de peindre une fête où sont assis des satrapes, des éphèbes, des femmes très belles, les matériaux de l’œuvre sont encore
du peuple par les guerres meurtrières, il a fallu les intrigues d’une femme vindicative et tenace, fille d’ErcoIe II, Lucrèce
Léon Baptiste Alberti. Il y avait même un temps où Renata di Francia, femme d’Ercole II, apporta à Ferrare un souffle de libe
lord Byron et Carlyle — sont des égoïstes inouïs. Pour d’Annunzio la femme ne compte qu’autant qu’elle sert à sa gloire. Il
nne qu’il exalte en l’appelant Flamme. Mais des nobles de France, une femme et un homme, arrivent en Sardaigne. Et le drame t
rappez-la. Car elle est plus terrible que le sanglier de la forêt, la femme de Paris. Cette œuvre, que les auteurs le veuil
nt. Les affranchis étaient parfois admis dans les collèges. Quant aux femmes , on ignore si l’entrée leur fut accordée dans les
re. Elle m’a dit d’appeler celui que je veux. J’ai appelé A… et cette femme m’a dit qu’il ne pouvait vivre sans moi ; qu’il s
istesse et de jalousie et il est jaloux surtout parce qu’une méchante femme lui a dit que j’en aimais un autre que lui. Que t
line, on y a même vu un portrait d’homme. Ce n’est ni un homme ni une femme , mais un exemple de peinture analytique, un probl
y trouve ; les habitants ne sont pas méchants, comme en Piémont ; les femmes y sont très fraîches, belles et bonnes ; pour ma
ataire de ces lignes, organisateur du cours, on entendit parler de la Femme dans la Littérature italienne, par Mme Valentine
conférences, les deux premières parues en librairie sont celle sur la Femme dans la Littérature italienne, et celle sur l’Hum
italienne, et celle sur l’Humanisme. Valentine de Saint-Point : La Femme dans la Littérature italienne, E. Figuière, Paris
ussi vaste que profonde, la vision de l’œuvre lyrique accompli par la femme italienne, depuis les élans de la singulière Comp
de ses romans, ainsi qu’on le sait, le reste dans cette exégèse de la Femme intellectuelle italienne. Une des volontés les pl
dans une sorte de manifeste publié par le Figaro sur le Théâtre de la Femme , c’est que la psychologie féminine soit enfin étu
’est que la psychologie féminine soit enfin étudiée et révélée par la femme . Avec un extrême bonheur, elle applique cette vol
à l’observation synthétique de la littérature d’au-delà des Alpes. La femme italienne y est considérée d’abord comme Inspirat
minines, des préjugés et des devoirs auxquels, durant des siècles, la femme a été soumise, dominée plus par l’imagination que
ivaut à dire qu’elle va être très complexe et très complète, chair de femme et cerveau d’homme, être au double destin. Donc,
ulement dans son intégralité, pourra être appréciée l’influence de la femme dans la littérature italienne. Mme de Saint-Poin
vinise dans l’œuvre d’art. C’est que leur donna Angelicata était une femme réelle, qui, un jour, passait sur leur chemin, et
n, et dont la beauté éveillait en leur cœur l’amour. Elle devenait la Femme , celle qui résumait toutes les femmes, l’idéal fé
r cœur l’amour. Elle devenait la Femme, celle qui résumait toutes les femmes , l’idéal féminin que tout homme porte en son âme.
si psychologue soit-il, n’a pu la déchiffrer ». En affirmant « qu’aux femmes il faut reconnaître tout d’abord le génie épistol
tit livre est, nous l’avons dit, le premier essai très complet sur la femme dans la littérature italienne. Il est accompagné
enant, où le jeune homme ira-t-il apprendre que la fille n’est pas la femme , que l’amour est saint et sublime ; et qu’il faut
provincial, la parole morale, c’était elle qui la prononçait. Sainte femme  ! Que de consciences elle a remuées de son regard
dmiration tous ceux qui se sentent plus seuls, parce que cette divine femme a été enlevée ? Allons déplorer la perte de la sœ
épand de lui, tout autour de lui, durant l’heure de son Golgotha, Une femme qu’il aima, et dont il fut aimé, disparaît de sa
l s’agit de soigner des malades trop bien portants) des gens, hommes, femmes , qui ont entre eux d’involontaires communications
dénommer ces possessions à distance de la cérébralité sensuelle. Une femme hystérique, placée secrètement au milieu de la se
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porcherie et le jardin pierreux où se tordent des ceps de pinot, une femme , un homme et cinq enfants : le feu d’Anne Padoue
e sinon le plus fou des princes de son temps. C’est l’homme aux trois femmes , Nicole de Lorraine, Louise-Marguerite d’Aspremon
senza qu’il devait épouser du vivant de Nicole et qu’il appelait sa «  femme de campagne » ; c’est le brouillon et chevaleresq
maillent, non loin d’autres qui mettent rapière au vent à cause d’une femme qui pleure ; cris, clameurs, rires, pleurs, hoque
zza, roman, par Guglielmo Anastasi. — Si je me connaissais en fait de femme , j’aurais probablement des observations à adresse
urais pas supposé si philogine ou ginophile. Le symbole suranné de la femme qui éloigne à jamais l’artiste de son chemin est
e seuil de l’alcôve… ni sur le bord du lit. La corruption d’une jeune femme tombée dans les mains d’un mari insatiable, dont
endit ses antiques à son beau-frère Napoléon, et dont l’effigie de sa femme se dresse encore, en son indiscrète nudité, dans
ola, Francia Bigo. Du Sodoma, c’est une Pietà superbe ; de Luini, une femme au sourire franc, au regard profond, à la chevelu
s, — un second plus magistral, où est, au premier plan, une figure de femme dont les lignes de la robe rappellent l’enveloppe
maître, cette morbidesse qui lui est particulière sont là avec cette femme couchée la bouche entr’ouverte par la surprise et
ailles d’amour. Mais l’orgueil de ce Musée Borghèse, ce sont ces Deux femmes assises auprès d’une fontaine où se mire un enfan
hes de la nuit. Ce crépuscule ajoute à l’antithèse puissante de cette femme , toute lumière sur les frondaisons alourdies, de
de cette femme, toute lumière sur les frondaisons alourdies, de cette femme enrobe de satin blanc, les cheveux égayés de jasm
À l’autre extrémité de la fontaine où se mire le bambin, cette autre femme , toute splendeur dans sa nudité aux lignes harmon
figure-là, vous l’avez vue, au Louvre, dans le Salon Carré : c’est la femme du grand Giorgio, celle du Concert champêtre de B
trarque chantait : « Ma sublime flamme… » ; M. Brisset préfère : « La femme adorée… » (XXI, à L. m.). Pétrarque en sa qualité
a sinistre lueur n’avait jamais éclairé un aussi superbe spectacle de femmes ivres et nues, enguirlandées de pampres, titubant
corps, fouettés par le vent et enveloppés par la fumée, avaient de la femme les formes exquises, et tenaient de la bête par l
provisée. Et l’exemple paraissait si contagieux, parmi cette bande de femmes , qu’elles accouraient de toute part, apportant de
one de la mer ; et de nouveau le sifflement des flammes, les cris des femmes , l’embrasement du bûcher par la violence du vent.
supplice volontaire. — Quand viendra Orphée, cria Stérope aux autres femmes , nous lui ferons chanter les beautés du feu. Cell
le feu, qu’il ne s’éteigne pas. Apportez du bois. Alors, un groupe de femmes , qui se tenaient loin de la fournaise, et qui, go
roduisaient un bruit sourd en tombant sur le feu. Bicornide, la jeune femme aux yeux longs, apporta, en titubant, de nouvelle
isait-elle en riant ; — ne me regarde pas, ne ris pas. Mais la grosse femme , étendue par terre, s’appuyant sur les mains et r
la mer, et Cypris fut contrainte d’abandonner sa victime. Toutes les femmes se tenaient en rond autour de l’ardente fournaise
lumière mille fois plus forte, d’un rouge effrayant. En ce moment les femmes étendues sur le ventre, avec leurs cheveux sembla
e membres immobiles et de longs cheveux, montrait le repos des autres femmes , chez qui la fatigue avait agi plus encore que l’
i appuyait sa tête sur sa poitrine, et apporta les amphores. Pour ces femmes exténuées, une nouvelle vie semblait découler de
rauques. Et le frisson, le vent de la folie effleurait les têtes des femmes avec une nouvelle violence ; c’étaient comme des
comme des élans terribles, sous lesquels tombait ce qui restait de la femme , pour pousser aux dernières limites la matière de
diquait en bas la route sinueuse. Ce fut comme un cri de guerre : les femmes se pressèrent derrière Stazia, pointant leurs reg
it Stérope en battant des mains dans un élan de joie. Puis toutes les femmes se turent. Et à l’instant où elles caressaient de
oportionné, d’une élégance incomparable ; et les formes arrondies des femmes qui entouraient le poète, leurs seins gonflés fai
quittant soudain son air enjoué. Mais il n’obtint aucune réponse. Les femmes , charmées par sa voix mélodieuse, continuaient à
nt tout d’un coup — sa peau de tigre était tombée à ses pieds, et les femmes n’avaient pour tout voile que leur chevelure en d
certaine distance. Il n’y eut alors qu’un seul cri ; et le groupe des femmes se précipita en avant, se serra en une masse comp
du danger. Il fixait son regard devant lui, admirant la beauté de ces femmes en furie, devant lesquelles s’avançait Stérope, l
, demandèrent les Bacchantes, pour qui te réserves-tu ? Du groupe des femmes , les voix partaient en chœur ; et la voix d’Orphé
— s’écrie Bicornide en étendant les bras d’un air suppliant. La jeune femme était enveloppée, depuis la taille jusqu’aux pied
limpide, couleur de topaze. Encore indécises à l’égard d’Orphée, les femmes suivirent d’un œil attentif sa façon de porter la
tu quelquefois goûté l’amour ? Cette demande plut beaucoup aux autres femmes qui la répétèrent comme un écho sur des tons diff
eur, s’étendait à l’infini, et il se trouvait encerclé par les jeunes femmes , acharnées dans leurs questions. Orphée resta un
r avec ces jaillissements d’écume. Puis, reportant son regard sur les femmes , il vit le cercle se resserrer sans cesse autour
s se précipiter dans l’abîme. Alors il perdit courage, et regarda les femmes avec inquiétude. — Que voulez-vous encore ? deman
lace et cessez cette plaisanterie. Il y eut un long murmure parmi les femmes  ; déjà chez quelques-unes les yeux avaient des re
barrière des vagues tantôt énormes, tantôt basses. La respiration des femmes était devenue lourde et sortait avec peine de leu
pper ; mais à peine le thyrse fut-il dans la main de la furie que les femmes reculèrent toutes ensemble, l’arme s’abaissa, fut
la nuit ; et quand la lumière fumeuse couvrit le corps d’Orphée, les femmes le regardèrent en silence, tandis que ses yeux à
s yeux à lui, un peu voilés d’une ironique tendresse, regardaient les femmes . Les membres du poète avaient une splendeur d’ivo
éplais ? — Il est mort ! Il est mort ! répétèrent en chœur les autres femmes . — Maintenant, il contemple d’autres images. — Vo
urieuses, s’étendait en une plaine infinie. — Adieu, Orphée ! cria la femme en élevant son fardeau. — Adieu ! Adieu ! répondi
ropisie, maître Adamo de Brescia, et l’on devine, non loin de lui, la femme de Putiphar et le fourbe Sinon aux corps fumant «
lys précèdent le char, qu’entourent le Tétramorphe évangélique et des femmes symbolisant les vertus. D’autres vieillards vénér
onstate, je ne discute pas ; chez les hommes et un peu aussi chez les femmes modernes, on apprécie beaucoup celui qui entoure
ouvenirs d’alcôve, toutes les folies et les postures amoureuses d’une femme , dont on lit clairement le nom sous le pseudonyme
prétexte d’étudier d’après nature, amène trop fréquemment des modèles femmes  ; ce sont Moreau et Guillard qui sont houspillés
pouilleux, pour une écuellée de soupe, au guichet d’un couvent ; ces femmes qui vont sans rouge et la coiffe sur le nez, un s
tandis qu’autour de lui on danse, que des musiques résonnent, que des femmes , affranchies des mégères et la figure nue, s’éche
n arriva à Rome. Depuis l’abbé de Choisy, qui passa sa vie habillé en femme , jusqu’au moins joyeux abbé Terray, dans toute la
t la vie et le plaisir, notamment sous la forme souple et tactile des femmes jeunes et jolies ; trouvant le temps d’aimer auss
tile des femmes jeunes et jolies ; trouvant le temps d’aimer aussi sa femme à lui, sa vieille mère et les pauvres diables san
pas vertigineux, il s’aperçoit trop tard qu’il a ouvert les yeux à sa femme , qu’il a tué sa mère malade, dont les plus douces
4 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
, dans L’Oasis, l’auteur nous donne un pendant, avec l’adultère de la femme , Camille, qui abandonne sa maison, son mari et un
de tous ses espoirs, dans le désert sentimental où la trahison de sa femme le jette brusquement, trouve son oasis, l’amour p
me une Claire Bregh ; et alors, puisqu’il n’y a plus rien à faire, la femme de Maurice Clarena revient. L’homme, fou de doule
tère. Il est seul ; il a peur du monde, de l’avenir ; il reprendra sa femme , il traversera avec elle la vie lourde et inutile
a mort du protagoniste, soigné dans ses derniers moments par les deux femmes , la comtesse de Hatzfeld et Mlle Donniges, qui lu
e XLV, numéro 159, mars 1903 Littérature. Lucie Félix Faure, Les Femmes dans l’œuvre de Dante (Perrin) Remy de Gourmont
3‑750 [744]. — Voici un livre d’érudition à la fois et de charme, Les Femmes dans l’œuvre de Dante. Elles y sont bien plus nom
qu’on ne le croit. Dante n’aima pas que Béatrice. Je ne parle pas des femmes en lesquelles il voulut personnifier, comme en Ma
ndaire de victime, et non dans un mouvement de colère, dans un mot de femme qui veut toujours avoir raison. Voilà une belle h
une chaîne de fer, on entrevoit, debout sur un piédestal en bois, une femme nue, autour de laquelle s’enroulent les monstrueu
qui semblent prendre racines dans le cerveau d’une cadavérique petite femme aux paupières douloureusement baissées. “La Fleur
douleur et de la maladie pour les reporter sur des tristes visages de femmes ou d’enfants, précocement flétris, qu’il évoque é
sache écrire des vers admirés sinon admirables. Le poète vit avec sa femme Olga et une jeune fille, née d’un mariage antécéd
crivain lui répond qu’il se trouve là pour un rendez-vous non avec la femme du grand poète, mais avec sa fille. Ascoli lui im
n homme qui aima la vie passionnément et pour elle-même ; pour qui la femme fut, à vrai dire, la chose la plus importante au
ns minières. Parfois, nous croisions, sur la route, des hommes et des femmes revêtus de leurs habits du dimanche ; puis, un lo
ai trouvé une histoire inachevée sur Roland, et une aventure avec des femmes dans une cave ; puis une « Méditation à mon lever
oits divers, souvent « poste restante ». Beaucoup sont des lettres de femme  ; certaines, d’une superbe écriture et sur du pap
, écrit l’une, Carissimo e amatissimo écrit une autre. Ces lettres de femmes sont en grand désordre et elles auraient besoin d
J’en ai retrouvé un grand nombre, quelques-unes signées de son nom de femme , tout au long : « Henriette de Schnetzmann, » et
sé, il n’est pas séparé ». Mais bien que naturellement les lettres de femmes m’aient surtout intéressé, elles ne formaient qu’
e correspondance étendue, à la fois avec des hommes distingués et des femmes délicieuses. Son activité cérébrale jusqu’à l’âge
qu’il disait la vérité, quand il nous raconte ses aventures avec les femmes . Mais les lettres contenues dans ses manuscrits n
mes. Mais les lettres contenues dans ses manuscrits nous montrent les femmes de Casanova lui écrivant avec toute la ferveur et
btuse qui raconte le tyranneau féodal, l’homme de proie, un visage de femme , douloureux et songeur, mais de femme endurcie po
l’homme de proie, un visage de femme, douloureux et songeur, mais de femme endurcie pour n’avoir jamais été heureuse et n’av
; puis la facture ; enfin, une composition inattendue et des types de femmes et de bestiaux qui stylisent en beauté les plus h
taine de montagne. C’est aussi puissant, frais et rose que la tête de femme alitée intitulé Pétale de rose. Comme dans ce fam
es : et l’évocation de la Madone existe encore, du seul fait de cette femme priant, inclinée sur la tête de son enfant et dev
sera un tronc, les feuilles deviendront des branchages, le calice une femme , — vase d’élection, rose mystique, dit l’Église d
Litanies de la Vierge, — et au fond de la fleur, dans le giron de la femme , le pollen aura fructifié en un adorable enfant t
une sorte de cadavre verdâtre s’enlève, soufflant de l’air ; puis une femme , presque étreinte par lui, expectore des fleurs ;
resque étreinte par lui, expectore des fleurs ; puis une autre grande femme sourit, la robe parée des mêmes fleurs ; ensuite
et peinte, pourrait être présenté désormais comme le type parfaite la femme chez le maître. Il existe une version nocturne de
nt exact où le péché s’embranche, il le découvre dans le moment où la femme prend pour elle-même conscience de sa beauté. Dès
-même à laquelle se livre une svelte, gracieuse et narcisséenne jeune femme . Elle éploie sa chevelure rousse au-dessus du mir
ner le monde. Renversé sur le clos à l’endroit de l’image de la jeune femme , il en imite bestialement les grâces ; il se fait
la première surprise passée, qu’il paraisse assez amusant pour qu’une femme puisse se complaire à ses yeux, à la vivacité de
out est bleu ou rose, tout est rose et bleu chez M. Zandomeneghi, les femmes , les fleurs, les oranges et les pommes. Tout est
use s’agita patrialement dans l’atmosphère que respiraient ces quatre femmes fausses d’élégance, aux roturières ligues. Mais v
es se composent mélodiquement, quel fond grave donne aux trois jeunes femmes en pleine lumière — roses et bleues — la dame en
5 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
se serait épargné la peine d’écrire sur sa liste trois mille noms de femmes  ; il n’en aurait tracé qu’un, et les ailes de son
ntaire ? Il n’est pas de beau visage sans cils et sans sourcils — les femmes y ont elles-mêmes toujours attaché la plus grande
ais le diable, qui est méchant, pourrait se formaliser. » Sterne. Les femmes ne s’habillent que pour exciter le désir de les d
ère Adam, quand il consentit que Dieu prît une côte pour en former la femme . Emerson. Je n’ai rien à dire contre la femme, si
côte pour en former la femme. Emerson. Je n’ai rien à dire contre la femme , sinon qu’elle ne ressemble pas assez à l’homme.
r, quelques instants, avec lui ; puis nous le vîmes s’avancer vers sa femme , Aurora, qui traversait le palier. Il lui baisa l
t en réalité, répondis-je. — Crois-tu ? demanda Paolo. — Une pareille femme ne saurait se toquer d’un individu pareil ! L’as-
ît être le plus intéressant des trois. Je l’ai observé, tandis que sa femme chantait… criait un désir, plutôt. Le masque d’un
ute ; et, s’il ne martyrisait par sa seule présence la plus belle des femmes , il ferait ma joie ! Où puis-je te mener ? — À la
vous à Stella-Lucente. — M’autorisera-t-il à faire le portrait de sa femme  ? — Je l’espère ! Je lui décrivis la fête à laque
rès un court silence : Vous avez peut-être eu tort de parler de cette femme comme vous l’avez fait, Aldramino. La Ceschini ne
t est-il physiquement ? » Cela seul intéresse Antonio. Il sait que sa femme porte un cœur irrité, qui ne s’est jamais révolté
d’un violent caprice. Elle en est, à vingt-sept ans, au point où une femme joue le tout pour le tout, et n’hésite plus entre
que l’amour d’un audacieux pouvait toucher le cœur d’Aurora ; qu’une femme se moque, si bon lui semble, des cruautés d’une n
dans ses propriétés de Lombardie. Antonio s’appliqua à reconquérir sa femme . Il s’y appliqua avec la maladresse des brutaux q
pour épier tout ce que pouvait susciter en elle la fréquentation des femmes heureuses, et des jeunes gens qui auraient pu lui
de loup, gravit les deux étages qui conduisent aux appartements de sa femme . Son cœur bat. Il ouvre doucement la porte. Il ig
, déclara-t-il à John-Arthur qui s’inclina. Puis, se tournant vers sa femme  : — Vous aviez l’intention de sortir, Aurora, dit
s gens ! Il vous a accordé, immédiatement, de faire le portrait de sa femme et cela vous émerveille ! Je connais mon Antonio,
sir étrange : il joue avec sa jalousie. Faire faire le portrait de sa femme est contre tous ses principes. Il a refusé, très
proche-t-il de ne s’être pas indignée à la pensée de rester, elle, la femme d’un Stella-Lucente, sous les regards, inquisiteu
nnoncé, et devant la Ceschini, qu’il avait commandé le portrait de sa femme à mon ami Wellseley. Quant à ce dernier, contrari
s deux embarcations se heurtent, parfois. Au moment où le chant d’une femme jaillissait en un cri qui se brisa en vocalises,
tonio le priait, fort poliment ma foi, de commencer le portrait de sa femme . Voici le récit de cette première séance. — J’arr
Lorsque j’eus disposé ma toile, Antonio s’éclipsa, et revint avec sa femme  : « Nous allons nous mettre au travail », fit-il.
z révélé sur les Stella-Lucente hante ma mémoire. L’attitude de cette femme et celle de cet homme me parurent tragiques. Nous
oile perdue dans un ciel d’orage, voilà mon démon qui m’emporte ! Une femme attend ! J’échafaude une tragédie d’amour. Que di
roniques ;.dans ce décor pompeux et mort ! Venise est belle comme une femme qui aurait expiré en prononçant un mot d’amour, e
balcons avec des échelles de soie, pénètrent dans des chambres où des femmes sont fatalement infortunées… L’arrivée de Mondell
la réalité, sans doute ! Après le dîner, Antonio était monté chez sa femme , qui avait prétexté une migraine pour demeurer se
e, avec ses yeux verts et sa crinière rousse, à Lucrezia del Fede, la femme d’Andrea del Sarto ! — C’est exact, répondit Well
sa chambre. Elle entra sans se faire annoncer, et, avant que la jeune femme ait eu le temps de se lever, elle l’embrassa sur
pirer un chef-d’œuvre ! Oh ! ne vous révoltez pas ! Il faut aimer une femme pour l’immortaliser ! Il faut l’aimer avec son cœ
il ferait le mien ! Je vous parais exagérer. Certes n’importe quelle femme peut servir de modèle, poser devant un peintre co
r devant un peintre comme devant un photographe ! Mais je parle d’une femme comme vous ! Elle s’approcha d’Aurora, les sourci
… je sais ce que signifient certaines expressions sur les figures des femmes  ! J’ai vu du mystère sur vos traits, pendant que
t : — Reconduisez Mme Ceschini. Dès son retour, Antonio reprocha à sa femme de demeurer en relation avec Nina Ceschini. — Je
Si je parvenais à noter les mélodies qu’éveillent en moi une voix de femme dans la nuit, les vagues, les fleurs, j’écrirais
e moi. J’entends ses mouvements d’impatience : c’est le mari de cette femme  ! Je ne peux lever les yeux sur elle, sans le voi
-chiourme. Il n’ose pas, cependant, me laisser en tête à tête avec sa femme . Il a, à son service, un gondolier du nom de Bepp
e encore la destinée de votre divin modèle ! J’ai un culte pour cette femme , un culte de chevalier ! Parfois, j’approuve ce f
s-reliefs de Donatello, de Luca della Robbia, de Laurana (une Tête de femme aux yeux baissés, sœur de celle du Louvre), de Mi
gauche, la souleva, et la laissa retomber sur les genoux de la jeune femme , que ce manège fit sourire. Le bras se posa avec
urora d’ôter son collier. Et il dessina, pour lui, le cou de la jeune femme , l’ovale de son visage et les mouvements de ses c
. — C’est exact ! certifia Antonio. — Existe-t-il un modèle, homme ou femme , qui ne soit pas curieux de savoir ce qu’on a tir
arades ? — Comme de moi-même ! Ensuite, Antonio retourna auprès de sa femme . Elle lisait dans l’atelier. — Mauvaise idée que
gements étaient survenus dans les rapports de Stella-Lucente et de sa femme . Je désirais, surtout, la voir, elle, car l’attit
vai-je cependant. — Aurora a les mêmes craintes. Que peut faire cette femme contre nous ! — Dans le monde, mon cher Antonio,
te. Elle n’entendit pas. — Aurora ! Et, comme il répétait ce nom, une femme , accompagnée par des tambours de basque et des ca
lé ! Et, avec une maladresse brutale et douloureuse, il interrogea sa femme sur Nina : — Elle est trop souvent ici ! Elle ent
ornait le revers de son smoking, ferma la fenêtre, se campa devant sa femme , la tête basse : — Toute blanche, sur le balcon,
auparavant, au moment de fuir avec le Comte Janish. Elle n’était plus femme , aujourd’hui, à redouter le scandale ou le drame.
pprocher d’Aurora, et il la conduisit dans la serre déserte. La jeune femme s’assit près des fenêtres que voilait un store. E
à plus tard ? » Il avait peur que le courage, la révolte de la jeune femme ne s’évanouissent devant Antonio et devant son pè
à s’installer dans l’embarcation. — Où allons-nous ? demanda la jeune femme . — À l’aventure. Cela vous ennuie-t-il ? — Non. V
-t-il ? — Non. Voici le Rialto, la Ça d’Oro… L’irritation de la jeune femme s’accentue. Elle n’ose pas regarder son compagnon
es exact, mon père. J’ai les billets. Il n’adressa pas la parole à sa femme , qui interrogea : — Nous partons ? — Que vous en
mit en marche. — Vos effets ont été emballés, dit alors Antonio à sa femme . J’ai vidé vos armoires, et n’ai rien oublié ! — 
ment, réunit les rideaux sous la lampe et dit : — Laisse dormir cette femme  ! * Le jour suivant, vers midi, un domestique d’A
s avec les vêtements de la Signora. Il m’a fait, ensuite, écrire à ma femme  : « Informe-la de ton départ, ordonna-t-il, et di
la mettra à la poste, à Padoue. Nous nous dirigeons vers Mantoue. Ma femme demeure à Chioggia, 367, calle Olivatti. Je lui é
la place, répondis-je. C’est évidemment mieux que rien. Attendons la femme de Beppo. * Quand Aurora se trouva seule dans sa
les Arranguez et les Boursault-Coudray. Nous reçûmes la visite de la femme de Beppo : — Je vais à Mantoue, gémit-elle. Beppo
en pleine poitrine. L’accident avait été constaté. Antonio priait la femme de Beppo (son ancienne maîtresse) de venir prendr
! murmura Aldramino. Il a été vite en besogne ! Wellseley confia à la femme du gondolier une lettre pour Aurora. — Ne craigne
donnai-je au gondolier. Et une fenêtre s’ouvrit, lentement. Une jeune femme apparut. Elle avait un flambeau à la main. Elle é
ent des joies d’émaux autour de l’allure blanche des Mauresques. Deux femmes , une Espagnole jeune et une vieille Maugrabine, d
rmes, d’élans d’amour et de mélancolie que j’ai passés en Italie sans femmes , sous ce climat, à cette époque de la vie, et san
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
ans sa carrière amoureuse jusque-là exceptionnellement brillante. Une femme , la plus étrange et la plus terrible, peut-être,
n et cette démarche noble et gracieuse qui donne tant de charme à une femme ordinaire. La physionomie douce et ouverte avait
rpillon, il eut la surprise de retrouver auprès d’elle trois vieilles femmes , sa mère et ses tantes, qui n’étaient pas pour lu
e de Conchita Perez de Garcia, l’héroïne du roman de Pierre Louÿs, la Femme et le Pantin. Lorsque Casanova, lorsque Don Mateo
leur singulière infortune et content leur première rencontre avec la femme qui devait ravager leur vie, tous les deux font,
mes différents, une réflexion identique : Le jour où je connus cette femme fut un jour néfaste pour moi, mes lecteurs pourro
’action se prépare, s’engage et se développe de la même façon dans la Femme et le Pantin, et dans les Mémoires de Casanova ;
rs. Par-delà notre littérature réaliste et romantique, l’auteur de la Femme et le Pantin se rattache à la lignée des Crébillo
e harmonie des caresses, la préoccupation constante, exclusive, de la femme et de l’amour, tels sont les motifs essentiels qu
documents personnels, de lettres, de confidences, cette Histoire des femmes que j’ai connues, dont l’auteur, en la dissimulan
7 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
e souhaite à M. de Roberto qu’elle existe réellement, à Sienne, cette femme spirituelle), où l’on traite des cas amoureux, où
trop d’histoire naturelle comparative, M. Mantegazza est un ami de la femme , à la Michelet ; il pense toujours qu’on peut tir
Cependant, M. Mantegazza n’est pas aveugle ; il a un penchant pour la femme , en homme de science qui en connaît toutes les fa
es personnages de M. Fogazzaro sont trop enclins à la sacristie ; ses femmes sont raides, arquées par la vertu chrétienne pous
is : car Alexandre aime Blanchemarie, et pour elle il oublie Anne, sa femme , la voyante aveugle prête à se sacrifier au bonhe
emble qu’il n’y ait pas lieu pour ce tableau d’exister. Ailleurs, une femme dans un fauteuil s’étire avec une pose tragique e
ferme la pensée mystique qui le guide dans le corps des hommes et des femmes qu’il a sous la main : la fille du peuple qui a q
tresse du duc. Pour elle, Sigismond avait déjà empoisonné sa première femme , Geneviève d’Este, comme il devait, dans peu, étr
se, en l’obligeant à faire son portrait, celui de Battista Sforza, sa femme , et leur Triomphe à tous les deux. Frederico de M
qui conservait comme une merveille, dans sa bibliothèque, le Bain des femmes de Van Eyck. Il semble qu’il y ait mis toute sa s
s et immémorables pour lui. Il en arrive à déchirer le portrait de sa femme dont le jeune André lui avait fait cadeau ; sa fe
e portrait de sa femme dont le jeune André lui avait fait cadeau ; sa femme est morte, et ce tableau, toujours devant ses yeu
rèce ancienne lui inspira plusieurs pièces de théâtre : Alcibiade, La femme de Ménéclès, Nycarete, etc., où rien ne manque, h
passion. Plus heureux que tant d’autres, qui apprennent l’amour et la femme dans des lieux à peine tolérables, Attilio trouve
me, qui veut arracher l’enfant naïf aux tendresses empoisonnées de la femme et la femme aux transports fiévreux de l’enfant,
arracher l’enfant naïf aux tendresses empoisonnées de la femme et la femme aux transports fiévreux de l’enfant, est une figu
révoltes de Milan. Vous avez insulté l’armée par vos cris ! La pauvre femme interpellée par le militaire répond : J’ai crié «
crié « du pain ! du pain ! » Cinq ans de réclusion. Des centaines de femmes , d’ouvriers sans travail, ont été ainsi envoyées
intelligence, car il est plus facile, certainement, de poignarder une femme qui se promène toute seule que l’empereur d’Allem
mme l’assassin, que les gens qui ne travaillent pas, et notamment les femmes qui n’ont pas les yeux rouges et les mains noires
c’est sans doute le rêve socialiste, ce n’est pas le mien. Quant aux femmes , il n’est pas exagéré de dire que l’oisiveté est
exagéré de dire que l’oisiveté est la mère de toutes leurs vertus. La femme est absolument faite pour ne pas travailler et, c
pas. C’est à ne rien faire qu’elle fleurit de toutes ses fleurs. Les femmes qui ne travaillent pas sont la beauté du monde et
t la beauté du monde et la terre ne sera habitable que lorsque aucune femme n’aura de labeurs que ceux qu’elle s’imposera ell
paraît, il, est une dame. Cela ne me déplaît point, d’ailleurs ; les femmes ont si peu coutume de fournir une lecture substan
’Architecture a procédé de la différence du corps de l’homme et de la femme … ». C’est exquis. Le Bernin avait fait, au reste,
age mentionné pour certain pays d’Allemagne, au moyen âge. — Pour les femmes en Abyssinie, voir le curieux chapitre : Madames
8 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
s est dû à l’acquisition qu’il vient de faire d’une admirable tête de femme en marbre de l’art attique, vers 460 avant J.-C.,
lque sorte le lieu où on le place, comme la parure enjolive une belle femme , comme un costume traditionnel s’adapte à un peup
u du mélange est éprouvé ; et il ne reste que malaise et dégoût : Les femmes italiennes, sans doute, ont les mêmes inconvénien
l japonais de deux sous, que l’on trouve à cette heure aux doigts des femmes du monde entier. Avec ce bibelot elle a des airs
ien que de l’ouvrier, et une assez laide casquette ; dans celui de la femme , rien que de la campagnarde ; et pourtant on sent
sommeil. Notre homme alors a tiré sa guitare, et, assis auprès de sa femme , qui allaitait le plus petit, il s’est mis à chan
ant qu’il était ainsi plongé dans les délices de l’art instinctif, sa femme le voulait interrompre de paroles et de gestes, l
nstrument, pour voir une dernière fois Messine. Parmi les visages des femmes siciliennes, je retrouve un lointain air arabe et
que la culture féminine est moins grande en ce pays qu’en Orient ; la femme n’est pas un objet de luxe, mais d’utilité, elle
onnaient ces Florentins naturellement doués du talent de conteur. Les femmes seules restaient à la maison. Elles vivaient dans
s plus ardents n’entraînent plus guère que les masses ignorantes, des femmes , des enfants, des simples d’esprit ; leur influen
admirable. La Passion compte trente-cinq personnages masculins et dix femmes . Mais les chœurs aussi ont voix au chapitre, car
à la librairie Plon. Les Revues. La Revue : La force morale de la femme , d’après Mlle Paola Lombroso Charles-Henry Hirs
uméro 282, 16 mars 1909, p. 348-355 [353-354]. La force morale de la femme trouve un éloquent défenseur dans Mlle Paola Lomb
ent coudées par ses effets, par ses résultats sociaux, tout ce que la femme peut faire pour un individu. Mais la force morale
n seulement quelquefois, mais toujours, déploie, quand besoin est, la femme pour consoler, servir un seul individu (parfois i
hommes devraient tenir un plus grand compte de cette propension de la femme à être héroïque et se montrer plus indulgents env
ir toutes, sans exception, des reines sages et fécondes. Telle est la femme en général. Elle ne prétend et n’aspire à être au
rt d’être d’un avis diamétralement contraire. Aussi bien le but de la femme n’est pas « la force morale ». Toutes celles qui
veuglement pitoyable. Au point où nous en sommes, il faudrait que les femmes fussent soldats dans toutes les nations. En moins
ns de rien, la guerre en serait supprimée, — non qu’elles soient, les femmes , plus lâches que les lâches hommes, mais elles s’
r des anarchistes, les belles idées qui tuent ; c’est le mépris de la femme  ». Arrêtons-nous. M. Marinetti, avec ses airs de
e H. J. Brunhes sur Ruskin et la Bible, de G. F. Hue sur Ruskin et la Femme , de Jacques Bardoux sur John Ruskin et le mouveme
, dont la nature est humide. Plusieurs physiciens ont soutenu que les femmes ont beaucoup plus de plaisir que les hommes : l’h
us de plaisir que les hommes : l’homme a trois onces de plaisir et la femme neuf. Cependant, un fâcheux fit observer que cela
er. § Il a été tenu pour certain que les incubes se mêlaient avec les femmes . L’amour, a-t-on dit, maîtrise aussi les plantes
ynécée signifie peut-être que ce ne sont pas toujours les très belles femmes qui incitent le désir. § Zeuxis, voulant tracer l
terrifiants portraits est bien une synthèse. Voilà comment toutes ces femmes dardent de leurs appas non le gentil Cupidon, mai
nts amoureux. C’est ainsi que, stylées à la leçon rusée de Vénus, ces femmes dressent ses pièges, ses stratagèmes, manient les
ctualité de l’ouvrage ; et il déshabille à son tour tous ces corps de femmes trop véridiques. Puis il nous invite aussi à y ch
(février-mars) publie sous ce titre : « L’émotion nouvelle. Propos de femmes  », des pensées de Mme Aurel. Elles sont exquises.
a de Rome, figura ensuite à Anvers sur le tombeau de sa mère et de sa femme , œuvre non moins superbe que le Saint Georges qui
méprisant, cette nation efféminée, aux arts galants, aux cités et aux femmes galantes, aux écrivains et aux officiers galantin
et de crédulité, quelle attirance exerce sur le Français du Centre la femme italienne, plus courageuse, plus noblement humain
à Mme Sibilla Aleramo dont M. Pierre-Paul Plan vient de traduire Une femme , livre féministe sobre, fort, angoissant de vérit
vérité, qui est la plus saisissante confession de la passivité de la femme en même temps qu’une revendication pathétique con
e, parmi dix autres20, M. Andreotti, modeleur fiévreux et ferme de la femme moderne en ses gestes d’un décoratif à la fois na
de Noailles et nos Henri de Régnier21 ; Mme Cousturier est parmi les femmes le poète le plus chaleureux de la lumière méditer
ominant les cris et les rires des enfants qui jouaient au dehors, une femme appelait, avec de longues et tendres inflexions,
e sa « bonne fortune ». Au fait, en est-ce une jamais que d’aimer une femme de lettres, ou même d’en être aimé ? Tome LXX
immédiatement au lecteur que l’évocation de la malheureuse Crétoise, femme de Thésée, n’est pas tout à fait celle de notre l
du Soleil et de l’Océanide, agite les membres douloureux de la jeune femme . Phèdre n’est plus la blonde souffrante éprise de
ts sont de formidables hennissements. Phèdre n’est donc plus la jeune femme fatiguée, lasse de trop aimer, d’Euripide et de R
emme fatiguée, lasse de trop aimer, d’Euripide et de Racine. C’est la femme qui aime et qui convoite brusquement, sans se las
n’abaisse pas la hache meurtrière que sa fureur avait levée contre la femme . Il part, mais pour ne plus revenir. Car à Thésée
acine, proclamer l’innocence de l’adolescent. Mais elle n’est plus la femme qui s’excuse et se traîne sans noblesse ni lyrism
e offrande printanière. Dans Phèdre, de Racine, c’est la mélancolique femme qui domine, la faible femme éprise d’un amour qu’
Phèdre, de Racine, c’est la mélancolique femme qui domine, la faible femme éprise d’un amour qu’elle n’est pas digne de supp
cloches — il n’y fut pas trois jours sans tomber amoureux, « car les femmes y jouent volontiers du serrecroupière ». Il sembl
professeur. À Avignon, l’automne finissant a ses charmes encore. Les femmes ne laissent point d’y être belles sous les rayons
notre homme, de par cette transition inattendue, sur le chapitre des femmes , il y reste et s’y étend avec complaisance. L’oi
et après avoir entendu la messe aux Frères Prêcheurs, tous, hommes et femmes , s’en allèrent chez ; Madame Fortia72, qui demeur
ités premières qui n’étonnent guère nos collégiens d’aujourd’hui. Les femmes lui apparaissent comme des créatures dignes de re
pathétisme socialiste de Mme Ada Negri, comme de la poésie. D’autres femmes , très nombreuses, s’acharnaient à atteindre la re
t d’un coup à la hauteur déjà atteinte en deçà des Alpes par quelques femmes poètes, dont le lyrisme contient des principes de
e à l’antique, et l’eurythmie parfaite des gestes simples de la jeune femme . Dans les vapeurs du vin et la fumée de la cigare
bre voisine et la bouche qui les proférait était sûrement celle d’une femme douce, résignée, pitoyable. Tout attendri, Bélisa
nankin, tout contre la cloison de sa chambre, se tenait une admirable femme brune, les cheveux répandus en pèlerine sur ses é
ent, les mains unies, sur le sofa nankin. Et, tout de suite, la jeune femme , qui avait laissé ses bras autour du cou de Bélis
à sa prison et qu’il fût venu précisément à l’heure même où la jeune femme s’était, pour la première fois, livrée à un déses
t ce qui, de près ou de loin, pouvait ramener sa pensée vers la jeune femme , il retrouvait partout son souvenir. Jamais fils
re, il devait retrouver Totila. À genoux, les mains jointes, la jeune femme égrenait un lourd rosaire, avec une dévotion si a
èrent aussitôt monter deux : fines colonnes d’albâtre. Puis, la jeune femme , souriante, admira l’intimité de ce coin de verdu
au du Clitumne balançait près du moulin la barque vide ; au loin, une femme cueillait du cresson sur la berge… c’était elle,
pprocha-t-il du sofa nankin avec une sorte de solennité. C’était « la femme  » tout entière que le jouvenceau croyait tenir da
e crise de désespoir dont Bélisaire s’effraya. Que ferait-il de cette femme , le jour proche où il lui faudrait la quitter déf
nes verts et sacrés, il composa une ode à la Nature, à l’Italie, à la Femme . Après l’avoir recopiée, il s’endormit doucement,
crut sincèrement rencontrer pour la première fois le type idéal de la femme . Que pensait-il alors de Totila ? Il n’en pensait
t de tout.… « pour elle ! » — Monsieur, cette statuette ? — La petite femme verte ? une belle pièce, n’est-ce pas ? — « Une b
tincelant della Robbia. Bélisaire entra et, s’adressant à une vieille femme coiffée d’un foulard ocre à roses pourpres, il de
a mésaventure. Il se rappela sa jeunesse triomphale et le cortège des femmes , aussi, qu’il avait aimées un peu, beaucoup, plus
menace d’un destin mauvais et de même que lui il a sous sa garde une femme qu’il aime passionnément, Mevena, la fiancée de s
ésir de cette naissance suffit à mouvoir des énergies, à donner à une femme , qui sera sa mère, la volonté âpre et indomptable
. M. Giustino Ferri, dans La Camminante, compose un être étrange, une femme , qui sort du mystère de sa vie vagabonde et pauvr
e conduire le plus indécemment encore que légalement du monde avec sa femme . Il la détraque à plaisir, en somme, comme il fer
Stendhal a dit quelque part d’Avignon que c’était la ville des jolies femmes (Mémoires d’un touriste, Paris, 1838, I, p. 314).
ice-légat d’Avignon de 1554 à 1560. 40. Peut-être Marguerite d’Urre, femme de Faulquet de l’Espine, seigneur d’Aulau. 41. P
llus Itala majus habet. 46. Sans doute Jeanne de Baroncelli-Javon, femme de Pierre de Doni. 47. Jeanne de Lascaris ou de
-Javon, femme de Pierre de Doni. 47. Jeanne de Lascaris ou de Tende, femme de Paul d’Albert de Mondragon. 48. Georges d’Arm
evet du 24 août 1556, lors de la réunion de cette île à la France. Sa femme était, d’après Pithon-Curt, Yolande de Perez, fil
comte de Suze. 70. François de Lestrange. 71. Suzanne de Lestrange, femme de Jean de Montcalm, seigneur de Tresques. 72. S
9 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
195 [194]. Loulou, par G. Rovetta. « Histoire italienne d’une petite femme  ». Tome XLIX, numéro 171, mars 1904 Arch
ès le phénomène de Nietzsche qui prêchait la conquête des plus belles femmes par les hommes les plus forts, et qui, lui, vivai
se mal définie, le sage de Croisset répond : « Vous vous plaignez des femmes qui sont monotones. Il y a un remède bien simple,
ux écrivains il y a la même inquiétude perpétuelle, absorbante, de la femme , une sorte d’obsession non pas même de l’amour, m
sir est vain ; toute complication psychologique est fausse. Aussi les femmes qui occupent une si grande place dans les romans
rmi les caresses dont il fait distraitement aumône aux autres. De ces femmes qui ne sont que fines, élégantes et spirituelles,
Maupassant fait dire assez joliment à l’un de ses personnages : « Ma femme est charmante, provocante, seulement… elle ne vou
agile qui finira peut-être par souffrir et s’humilier devant la vraie femme , celle qui suit l’instinct. De même le triste Oli
des tendresses lointaines tourmentent vainement son âme auprès de la femme qui n’a plus à lui offrir que de l’amitié ; celle
toute sa jeunesse « barbare et forte » se consume entre les bras des femmes , qu’une bouche ardente suce infatigablement sa vi
souvenir et provoque un désir. L’ardent parfum qu’exhale un corps de femme fait songer à un fruit mûr : « Il y avait dans ce
s choses impures. » (Intermezzo, Preludio). « Que de fois une robe de femme lui avait jeté au passage, avec le souffle évapor
ister à la naissance et à l’évolution du désir que le voisinage de la femme aimée provoque chez le dilettante. « La dame est
ouve les souvenirs de sa passion déclinante, et refait avec une autre femme le rêve d’amour que ces mêmes mélodies berçaient
u néant. La vision de l’Adriatique, toujours associée à l’image d’une femme , traverse souvent les vers du poète des Odes nava
it perdu. Après trente ans d’absence, il revient au pays et trouve sa femme remariée. Dans Turlendana ritorna, G. d’Annunzio
ramène avec lui. Pendant les trente ans qu’a duré la disparition, sa femme , la « Cecata », s’est remariée trois fois. Turlen
ue par la « Cecata » et se trouve en présence du quatrième mari de sa femme . La rencontre des deux hommes toute simple, vaut
il-en-six, de la bonne, c’est Martin qu’est r’venu, Martin celui à ma femme , tu sais ben, Martin des « Deux Sœurs », qu’était
tant, criant : — Voici Turlendana, Turlendana le marin, le mari de ma femme , Turlendana qui était mort ! Voici Turlendana ! V
par indécision ; et soudain il comprend, trop tard, qu’il a aimé une femme , sans se l’avouer, il devine qu’il a dû être aimé
érêt du récit, la promenade en tête à tête de l’homme timide et de la femme , plus clairvoyante, plus décidée, est par les deu
es menus faits qui mettent en lumière la coquetterie provocante de la femme et la timidité maladroite de l’homme sont identiq
tatore (le Passeur). La donnée des deux nouvelles est identique : une femme , mariée à un vieil officier que le hasard des cam
e toutes les épouses » ; des années passèrent. Mais voilà que chez la femme vieillie, déjà proche de la mort, à un âge où le
nstatation par des voies légèrement différentes : chez Maupassant, la femme s’en va au bras de son amant, dans l’atmosphère é
’un mari trompé. Après avoir fait secrètement étrangler l’amant de sa femme , qui était son ami, il le fit embaumer, et ordonn
t embaumer, et ordonna qu’on le plaçât tout habillé dans le lit de sa femme . Il alla ensuite trouver celle-ci, et, la prenant
a volonté, vous en ayez la possession, car je ne veux pas qu’il y ait femme au monde qui puisse se vanter d’avoir plus que vo
eresque, mais léger et assez ingrat comme François Ier ; une terrible femme comme Louise de Savoie, la vieille maîtresse, reb
s qui couvre désormais toute la terre privilégiée où Léonard créa ses femmes impérieuses, et Michel-Ange ses héros indomptable
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
liens. Sibilla Aleramo : Una Donna. — Sfinge : La Vittima Deux femmes , Mmes Sibilla Aleramo et Sfinge, font paraître de
rconstances étrangement analogues, tendent à la création d’un type de femme libre, consciente, maîtresse de sa volonté et de
se de sa volonté et de sa force. Le roman de Mme Sibilla Aleramo, Une Femme , est un cri puissant de révolte féminine, plus qu
s’en éloigne, en lui laissant l’enfant. Elle ose ce que jusqu’ici les femmes osaient peu. Elle ose se regarder, se reconnaître
une intellectuelle. Puisque les carrières ouvertes à l’activité d’une femme de la société ne sont point nombreuses, paraît-il
liberté et de labeur, avec son fils, pour elle et pour son fils. Des femmes , passées à travers les mêmes épreuves, trouvent l
ité de travailler, elles se réalisent en travaillant, et plus que des femmes fortes elles sont des consciences sûres parce qu’
’est pas là le type très supérieur, et par cela même très étrange, de femme unique, que Mme de Saint-Point a composé avec tan
ans les deux romans parus de sa Trilogie de l’Amour et de la Mort. La femme de Un Amour et de Un Inceste, toute nouvelle dans
e dogme de vie : sans regret et sans espoir. Les protagonistes de Une femme et de la Victime ne sont pas dans la grande styli
taliens. Et on doit à Mme Sibilla Aleramo d’avoir su créer un type de femme très complet, que la littérature italienne n’avai
11 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
dans quelques œuvres du musée et, ce qui est pire, des portraits. Une femme du Parmesan et un saint Michel de l’école flamand
s les vies étonnées, en les engloutissant dans ses flots mortels. Les femmes de la famille arrivent, avec leurs cadeaux de noc
ole de l’abondance, est un pain, et au milieu du pain, une fleur. Les femmes arrivent, et, triomphantes et sereines, les épous
leur visite et payent l’obole des noces aux gens de la maison. Et les femmes disent les paroles sacrées de paix et les souhait
le grand souffle de la mort, qui a poussé vers la maison tragique la femme poursuivie, hurle contre la porte fermée. Les moi
t sortie… Dans la maison, autour de l’étrangère voilée, le chœur des femmes crie contre le malheur apporté par l’inconnue. À
e. À Candia, la mère, à Aligi, le jeune homme irrésolu et rêveur, les femmes demandent de la chasser, de libérer la maison en
érer la maison en fête de ce cauchemar terrifiant, de jeter dehors la femme étrangère comme un morceau de viande au milieu d’
lorsque Aligi, poussé par les injonctions peureuses et farouches des femmes , arrête son rêve sur la brebis galeuse, fait un g
sser, Ornella s’interpose. Elle apporte un cratère de vin à la pauvre femme tremblante. Ornella meut sa sérénité hospitalière
soleil flamboyant, sur le champ à peine moissonné… Alors le chœur des femmes devient de plus en plus farouche. Toutes les crai
e fer. « La femelle y est ! » crie-t-il à ses compagnons. Il voit les femmes et le jeune pâtre. Tous les moissonneurs somment
ors la suppliante. Et c’est alors que le chœur intérieur reconnaît la femme . C’est la fille de Jorio, la fille d’un sorcier,
n sorcier, sorcière elle-même, coupable de mille fautes mystérieuses, femme dont les compagnies de moissonneurs se disputent
faveurs, tour à tour, dans les champs, sur les bords des fossés… Les femmes réclament le sacrifice de la femme perdue qui les
ps, sur les bords des fossés… Les femmes réclament le sacrifice de la femme perdue qui les met en danger, et implorent leurs
l détache de l’inconnue enchanteresse ses yeux remplis de rêve. Cette femme est le feu central des grandes flammes de haine.
ourte paille leur tour d’amour et reviennent plus furieux réclamer la femme . Ils veulent abattre la porte. Devant le danger,
énite du foyer, la croix du seuil infranchissable. Il l’embrasse. Les femmes tombent à genoux, en se signant et en murmurant e
oursuivie par la haine ivre des mâles, et accueillie par la haine des femmes , par la pitié d’Ornella, par l’amour sombre d’Ali
lendemain même des noces, Aligi s’en va. Il part sans avoir touché sa femme , la vierge qui sera vierge et veuve. Aligi est su
onneurs envieux, et la vision de l’ange muet qui pleurait derrière la femme et lui fit plier les genoux. Il touche le sommet
s, eux qui ensemble ont couché dans la grotte et sont restés purs, la femme croit qu’elle renaît. Elle se sent impure, mais e
e renaissance, devient lumière et joie, devient la beauté qu’elle, la femme de tous, ne connaît pas. Elle dit à la Madone :
ense : Avant de me voir il verra Que la lampe est éteinte… Mais une femme arrive, et lui donne de l’huile, mais trop tard e
rs les supplications de celle qu’il aime, il voit son père rué sur la femme , qui, à bout de forces, se tient au fond de la gr
complit le geste de pitié que le Christ ne connut point. Le chœur des femmes chrétiennes était féroce contre la fille de Jorio
oce contre la fille de Jorio que personne n’avait plus retrouvée. Une femme avait dit : Que les corbeaux la trouvent encore
u’il aimait et la maudit. Mila, Mila — dit Ornella — pour consoler la femme promise au sacrifice. Mila, Mila, c’est l’ivress
apparaît étrange, stylisée, et nous ne voyons, en définitive, qu’une femme publique anxieuse d’une régénération dont elle dé
indigne et sait être humble. Elle est encore une incarnation de la «  femme fatale » chère à d’Annunzio. Mais, dans la Giocon
au nom du Christ. Par le sacrifice volontaire de Mila, c’est ici la «  femme fatale » qui est vaincue. Vienda, la chaste et in
errible vision philosophique, qui surprend nos sens : la vision de la femme . D’Annunzio comme Rodin fait reposer tout son sys
ctions vulgaires. Il n’en est rien. Les actes de Louis Settala, de sa femme Silvia, de sa maîtresse Gioconda Danti ne sortent
de sa maîtresse Gioconda Danti ne sortent point de l’ordinaire. Toute femme dédaignée pour une autre agira — au théâtre, du m
utre, âgé de douze ans, sourd-muet, aidait son père à la bergerie. La femme était morte. Un soir d’août, on attendait l’arriv
u ne comprit guère, mais ricana à l’idée des séminaristes habillés en femmes . — Pourquoi ris-tu ? — cria Antine en colère. — T
noines, et tout le monde nous applaudissait. — Vous étiez habillés en femmes  ! — Eh bien ! dit Zio Félix, — et puis après ? Si
n des chevaux, — vous autres, prêtres, vous êtes toujours habillés en femmes . Il parlait sans ombre de malice, car il était un
c, portait un petit chapeau de paille qui avait l’air d’un chapeau de femme , garni de tulle rose, attaché à la boutonnière du
l’amitié, de l’admiration, de la soumission. S’il avait rencontré une femme , il ne l’aurait pas aimée avec une passion pareil
r. — Il ne s’agit pas de crier, il ne s’agit pas de pleurer comme une femme . Lève-toi donc ! À ta place, je le poursuivrais,
M. Berenson donne à Bartolommeo Veneto un charmant portrait de jeune femme (n° 1673) en robe rouge, d’un faire un peu sec et
a Judith, de la Madone de Castelfranco ; le tronc d’arbre derrière la femme debout est trop semblable à celui du tableau de M
épars dans le paysage où se trouvent Dafné et Apollon ; les types des femmes , le dessin des oreilles et des mains me font plei
ite une peinture aujourd’hui perdue de Giorgione où l’on voyait « une femme nue et avec elle un berger qui jouait de la flûte
er dans une atmosphère ardente une noble famille des Abruzzes, qu’une femme seule domine par les obscures fascinations d’un g
me seule domine par les obscures fascinations d’un grand crime. Cette femme , Angizia di Fura, est la plus parfaite incarnatio
ine en prêtresse de sa chair et de ses charmes pervers. Elle a tué la femme de la maison, Monica di Sangro, et, poussée par l
dimanche soir au palais Lovatelli : nous parlâmes longtemps, avec la femme du grand écrivain, de l’auteur de l’ Assommoir  ;
’en déplaise à M. Rivière, on n’a jamais cessé de lire Lamartine. Les femmes , qui constituent sa principale clientèle, l’ont u
urrence sérieuse à Elvire, mais cette vogue malsaine dura peu, et les femmes , qui sont, avant tout des idéalistes, retournèren
on des lettres d’Elvire prouve que Lamartine a toujours l’oreille des femmes . Voilà qui donne un démenti formel à M. Rosières.
ontagnes, les chevaux, la conversation intérieure avec la nature, une femme à adorer, un ami à entretenir, de longues nonchal
12 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
ts et de leur voix ; et cette précoce grâce parisienne de ces petites femmes en miniature ! Ces nombreuses scènes doivent sans
commis torturés par une foule fastidieuse, pétulante et exigeante de femmes  ; — dans cette autre scène des Folies-Bergère, où
se trouve enveloppé, curieux et embarrassé, dans un cercle de petites femmes galantes qui, devinant en lui un pigeon à plumer,
cette différence que M. Chahine a plutôt cherché, dans ses figures de femme , à traduire l’expression canaille et effrontée de
s Mémoires du surprenant aventurier vénitien qui, sauf pour certaines femmes laissées dans l’ombre par galanterie, a pris le s
t que l’est de ma façon de sentir l’état mental d’un homme qui tue sa femme infidèle, ou d’une femme qui vitriole son amant.
e sentir l’état mental d’un homme qui tue sa femme infidèle, ou d’une femme qui vitriole son amant. Je ne sais pas si c’est l
umes, qui étaient une remarquable promesse. — Neera : Les Idées d’une femme sur le féminisme.  Mlle H. Dornstetter tr., Giard
long soupir, Et l’on frôle, en passant, à l’ombre des arcades, Des femmes dont les yeux respirent le plaisir. Une musiq
es. Politien met en rimes la beauté de Simonetta, la belle Simonetta, femme de Marco Vespucci, aimée de Julien. Julien venait
dantesque de la luxure. L’imprécation de Forèse de Donati contre les femmes de Florence (Audition du chant XXII du Purgatoire
, qui s’annonçaient comme les maîtres de demain. Il ne néglige ni les femmes , accourues avec Joséphine et qui se trouvaient fo
le croire. Vasari raconte que Verrocchio dessina « quelques têtes de femme d’une si grande élégance, surtout dans l’arrangem
M. Marcel Reymond ne laissent pourtant plus de doute. Ces visages de femmes , d’une beauté si douce, avec des yeux aux paupièr
nfranchi de Ferrariis, de Milan, peintre », Francesco Bagnatemi et sa femme Dorotea promettaient à Gerolamo Giovenone de lui
co Chiesa : Liriche, Nuova Antologia, Rome. — Neera : Les Idées d’une femme sur le Féminisme, Giard et Brière, Paris. — Aurel
es aspects plastiques si séduisants. Mais le culte intellectuel de la femme était, en ces époques de confuses et d’enthousias
ns tout le prestige caressant de ses poèmes les plus beaux. C’est une femme de taille élancée, flexible, dont le visage pâle,
l’avait dès longtemps pressenti, il l’achève à la ressemblance de sa femme , comme, plus tard, il le reconnaîtra chez Mme Wil
ne force d’amour montait de son cœur dans l’adoration terrestre de la femme , parce que, par le rayonnement que projettent sur
eur absolu. Mais l’union ne fut pas, hélas ! de durée bien longue. Sa femme était languissante, et, deux ans à peine après qu
. D’abord, cette extase dantesque en contemplation immobile devant la femme révélatrice de l’Infini ! Dans la forme humaine l
s’évoquent les réflexions d’un vivant devant le sommeil d’une pauvre femme de plaisir. Tout au plus pourrait-on y joindre la
urrait-on y joindre la Dernière confession, histoire du meurtre d’une femme par son amant délaissé, en Lombardie, pendant une
té ; la beauté en est le symbole positif et visible, et c’est dans la femme qu’il est incarné : SONNET LVI.  La Femme Vraie
visible, et c’est dans la femme qu’il est incarné : SONNET LVI.  La Femme Vraie. Être une suavité plus désirée que le Pri
r Qui mouchète le perce-neige au-dessous de la neige. Ainsi avec la femme bien-aimée s’est identifié l’amour, on ne saurait
hée nerveux, et par trop gémissant, d’Eschyle, qui s’écrie devant des femmes  : « Ô ciel, lumière où roule l’immensité, voyez c
l (le Passé) et la sérénité lumineuse de David (l’Avenir), Michol, la Femme , le présent éternel, passe dans l’ondoiement de s
édiaire entre les deux forces en conflit tragique : Saül et David, la femme , a été doublé pour M. Poizat. Le jeune « adaptate
at. Le jeune « adaptateur » a cru devoir ajouter à la pièce une autre femme , Abigaïd, qui non seulement ne sert pas à l’actio
rablement le caractère de Michol, et fait de celle-ci une toute autre femme que celle rêvée et arrêtée par Alfieri. Michol es
ute autre femme que celle rêvée et arrêtée par Alfieri. Michol est la femme juive des temps héroïques, des temps de mœurs mil
Michol », ainsi que M. Poizat le dit. Elle est, dans la tragédie, la femme , avec ses plaintes et ses décisions. La première
de la jalousie. Et M. Poizat lui-même a été peut-être gêné par cette femme inutile, puisqu’elle apparaît pendant deux actes
s sacrifier à l’Autriche. Science sociale. Nééra : Les Idées d’une femme sur le féminisme, Giard et Brière Henri Mazel.
II, numéro 263, 1er juin 1908, p. 520-525 [523-524]. Les idées d’une femme sur le féminisme sont à connaître quand cette fem
Les idées d’une femme sur le féminisme sont à connaître quand cette femme est Nééra, une des plus célèbres romancières de l
l’étude ou de n’importe quelle compensation. » Et je crois qu’aucune femme , ayant l’âme un peu bien située, ne s’inscrira en
en faux contre lui. Malheureusement il se trouve de plus en plus des femmes ayant ce que j’ai dit mal situé. Tota mulier in u
omme presque toutes les fillettes ont leur poupée, presque toutes les femmes auront un baby ; ce n’est pas bien brillant, je l
eint son but, puisque toutes les professions libres sont ouvertes aux femmes . Un autre travaille à leur donner les fonctions p
ne vois, pour ma part, aucun inconvénient, au contraire, à ce que la femme soit électrice et même éligible. Pour les fonctio
rice et même éligible. Pour les fonctions publiques, il en est que la femme ne remplira jamais, officier par exemple, ou patr
mixtes où les religieux obéissaient à une abbesse) et d’autres que la femme remplirait très bien : receveurs d’impôts, notair
la magistrature c’est plus délicat ; je crois pourtant que certaines femmes d’un sang rassis siégeraient fort bien dans un tr
exe, qui ne veut pas avant tout son bonheur est un monstre, et qu’une femme qui fait consister son bonheur à elle dans du pap
e dans l’amour et tout ce qui s’en suit, est une sotte. Maintenant la femme ne pourrait-elle pas, tout en étant épouse et mèr
Assurément si, pourvu que ce travail ne fût pas trop prolongé. Si la femme pouvait quitter l’atelier vers 4 h. ou 5 h. ce se
lutaire souvent que l’oisiveté brouillonne et potinière du dedans. La femme est faite pour être la collaboratrice affectueuse
préfacier de Nééra quand il avance que la récente loi qui donne à la femme mariée la disposition de son salaire va augmenter
ration du caractère de l’homme, trop brutal et trop ivrogne, et de la femme , trop acariâtre et trop bornée, serait cent fois
endres, intact. On dut l’inonder de résine pour le consumer. Les deux femmes recueillirent les cendres des cœurs de leurs mari
la vérité de l’allégorie ; on lut le livre ; il parlait d’amour, les femmes le vantèrent, s’y plurent, s’intéressèrent à cett
idéal : « idéal de beauté, idéal de lumière, sainte du Paradis, cette femme n’est vraiment pas de ce monde. Fut-elle jamais a
l’abri de la pudeur. Ovide, puisqu’il faut parler latin, enseigne aux femmes que dans l’amour « non omnes una figura decet ».
u décoratives ; l’Adam et l’Ève de Jean van Eyck sont un homme et une femme nus, d’une vérité brutale ; à la même date, les m
relief et de charme. Cette fresque est animée par amour de Loredana, femme humble par sa naissance et divine par sa beauté,
rescousse des vaines parures : au nom de Jérôme, ils attaquaient les femmes dans la rue et leur arrachaient les boucles avec
t un pied gauche en griffon (canonistes) ; avec ventre et poitrine de femme écailles de poisson aux bras ; tête de vieillard
t-il pas de même de la doctrine de Jésus-Christ ? Je voudrais que les femmes les plus simples lussent l’Évangile et les Épître
re, il note que les maris italiens sont peu empressés auprès de leurs femmes , que les prêtres disent la messe trop vite, il vo
êtres disent la messe trop vite, il voit dans les rues des statues de femmes avec les insignes de la Royauté : d’après la stat
mblablement les limites du monde en les tordant sur les courbes d’une femme , ou qui, à Venise, les assouplit le long des cana
Une semblable mélancolie est dans le chapitre ou l’auteur parle de la Femme et de l’Amour, mais elle est rehaussée par l’exal
ssée par l’exaltation du « type vénitien » et du type classique de la femme vénitienne, qui, selon l’auteur, tout au moins, s
, s’habillait comme Brummell et ne laissait pas de séduire toutes les femmes , et quelles femmes ! — ah ! comment eussions-nous
Brummell et ne laissait pas de séduire toutes les femmes, et quelles femmes  ! — ah ! comment eussions-nous résisté à ce nouve
de l’esprit n’étaient pas inutiles à quiconque voulait enchanter les femmes et mener dans le monde une vie inimitable. Il fut
13 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
ermo à Vérone, un saint Georges à la National Gallery, un portrait de femme au Louvre, sur lequel je vais revenir, et quelque
ental, le vêtement entr’ouvert laissant voir le col, — trois têtes de femmes et des têtes d’enfant, graves et réfléchies, — un
— avant, toutefois, d’admirer et d’essayer de déchiffrer la figure de femme qui la domine et l’emplit toute : je veux parler
, entière, en un petit panneau peint, un croquis à peine indiqué (une femme vue à mi-corps assise de profil à droite, bandeau
Pendant qu’il s’y embesoignait, mourut Madame Marguerite de Gonzague, femme de Lionel. Elle laissait une sœur, Cécilia1, qui,
anneaux de fer. Le directeur du bagne, bon militaire taciturne, a une femme et un enfant, deux créatures délicates qui s’étio
un jour la voiture du petit enfant, malgré la répugnance de la jeune femme . Ici, le romancier, très habile, a évité l’inévit
ancier, très habile, a évité l’inévitable passion romanesque entre la femme du directeur et ce forçat, très jeune, très beau 
lle, fort simple et révèle une grande puissance de conception chez la femme qui l’écrivit, car elle arrive à exprimer tout ce
modelages en relief dont quelques-uns, selon Vasari, représentent des femmes au visage souriant. Son père, voyant les promesse
dans le gazon, où se tenaient debout le premier homme et la première femme . Et c’est précisément parce qu’il ne faisait que
pé dans son enfance au-delà de la mesure ordinaire : les sourires des femmes et le mouvement des grandes eaux. Et par de telle
; et d’abord, un de ceux qui se trouvent à Florence : les têtes d’une femme et d’un petit enfant, placées côte à côte, mais c
son serviteur. De tous les attachements aux contemporains, hommes ou femmes , qui ont pu remplir sa vie à Milan, celui-là seul
chercher dans le désert la chair brune et délicate et les cheveux de femme , et dont le sourire énigmatique nous fait saisir
iomphe de Cimabuë. Mais son œuvre s’attachait moins aux saints qu’aux femmes vivantes de Florence ; car il passait toujours so
isons qu’il rencontra Ginevra di Benci et Lisa, la jeune et troisième femme de Francesco del Giocondo. De même que nous l’avo
res, de même il manifeste son propre état d’âme en prenant une de ces femmes languissantes et en l’élevant comme Léda ou Pomon
ne sur l’œuvre. Nous connaissons tous le visage et les mains de cette femme , assise sur son siège de marbre, dans ce cirque f
nstant auprès d’une de ces blanches déesses grecques ou de ces belles femmes antiques : comme elles seraient troublées par cet
1899, p. 823-827 [823-825]. Matilde ou Metilde Viscontini, milanaise, femme du général Dembowsky, fut un des amours malheureu
tait-il mis en tête que toutes les Milanaises devaient ressembler aux femmes de Léonard, de même qu’on voit aujourd’hui des dé
 Milanais » de seconde main. Et jamais plus il ne devait revoir cette femme , dont l’amour, nous dit-il, « avait été jusqu’à l
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXII »
les qu’on leur écrivait. À Naples, les hommes sont plus beaux que les femmes . Les femmes de bon ton ont beaucoup de liberté. E
ur écrivait. À Naples, les hommes sont plus beaux que les femmes. Les femmes de bon ton ont beaucoup de liberté. Elles sortent
nts. Ce n’est que parmi les artisans que les maris accompagnent leurs femmes . Il ne tiendrait qu’aux pédants de Naples de se r
rès peuplée, pleine de célibataires et sous un tel climat. Il y a des femmes entretenues qui, comme ailleurs, se contentent de
15 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
ius, au château de Louvenstein, en sort enfermé dans un coffre par sa femme qu’on laissait le visiter. En 1635, Isaac Arnauld
i courageuses. En 1785, Lechi s’échappe des Plombs de Venise, mais sa femme lui faisait des envois dans une caisse, et les ci
at. En 1815, le comte de Lavalette est sorti sous les vêtements de sa femme , qui venait lui faire ses derniers adieux. Les pr
e. Si le mot n’a pas été dit, il n’en est pas moins vrai que bien des femmes ne se sont préoccupées que de travaux d’aiguille
se flatte de gagner la récompense sans s’exposer, en obtenant par sa femme votre élargissement de M. Diedo. » Voici la troi
aillons ! Je me doutais bien qu’elle mentait parfois, comme une vraie femme , mais je fermais les yeux et me bouchais les orei
sie amoureuse, Casanova jeune, et Condulmer vieux, courtisant la même femme , la belle Mme Zorzi. Casanova partageait avec l’a
ntât Casanova ; il y avait le noble Marc Antonio Zorzi, le mari de la femme qu’il courtisait. Il y avait les trois jeunes Mem
pports de police qui le représentent comme un coureur de filles et de femmes mariées, un pourvoyeur pour les patriciens, un jo
l en use avec le tour le plus heureux. Ce sont alors des histoires de femmes invraisemblables, des déconvenues amoureuses, où
ne foi et sa véracité. Voici, à propos d’un livre italien, Lettres de Femmes à Casanova, un article des plus curieux trouvé da
s dans cette bibliothèque du duc de Waldstein, où le vieux coureur de femmes , l’aventurier cosmopolite avait pris sa retraite,
volume intitulé : Lettere di Donne a Giacomo Casanova. Ces Lettres de femmes adressées au grand-prêtre du Dieu des Jardins ont
le. Il y a dans cet ouvrage des lettres précieuses d’une trentaine de femmes environ, dont plusieurs nous sont connues par ce
moins étonné à l’extrême que de rencontrer ici dans ces médaillons de femmes de Casanova la figure de claire innocence, pleine
Baletti, qui sont le bouquet demeuré le plus frais de ces épîtres de femmes , toutes d’un intérêt indiscutable pour les admira
e la tombe, car elle était entourée d’un léger grillage et toutes les femmes en passant y laissaient des fragments de jupes dé
anté jusqu’à sa dernière heure. Le châtiment de ceux qui ont aimé les femmes , a-t-on dit, est de les aimer toujours. Ce faune
é, ses inconstances et ses folies. Il fut, à sa façon, un dévot de la femme , à la façon des Polythéistes qui multiplient les
ions intellectuelles au siècle passé n’ait été qu’un vulgaire homme à femmes . Certainement, il fut mieux. Le génie qu’il déplo
n surhomme de proie d’une essence absolument anormale. Ces Lettres de femmes le prouvent. Ce qui est curieux, c’est que, après
beauté lumineuse de cette toile, la fermeté si nuancée des formes de femmes encapuchonnées, le mouvement vigoureux, ardent de
e groupe central, la joliesse, de l’épisode de gauche, l’entrée d’une femme par l’escalier (à la mode futuriste amalgamés dan
u Moyen-Âge, sur l’un un homme en costume sacerdotal, sur l’autre une femme voilée. Sur les magnifiques fontes de statues ant
nt au Louvre (deux lunettes acquises en 1863, et la charmante tête de femme qui pose un doigt sur sa bouche, provenant de la
nt être au manuscrit. Ce ne sont plus les sempiternelles histoires de femmes , les polissonneries dans lesquelles il se complaî
elle cadrait bien avec le rôle fort bête que joue l’auteur auprès des femmes pendant tout ce séjour en Espagne ? Toujours est-
tions, c’est un Casanova nouveau, non plus le coureur de filles et de femmes faciles, l’homme aux sens qui commandent, mais un
confiait ces précieux cahiers ; probablement à la bonne Mme Manzoni, femme d’un notaire public à Venise. En sorte que les Mé
r la véracité de son récit, invite le lecteur à chercher le nom d’une femme qu’il ne nomme pas, et en donne les moyens. Il s’
et du dévouement le plus désintéressé. En terminant par la mort de la femme , pourrait-on l’accuser, lui, le voluptueux qui n’
s le coté licencieux tient la plus grande place, que les aventures de femmes (il y en a 122 de nommées), contées d’une façon a
ation, mais une chose vraie et vivante. On sourit devant ces ruses de femmes déjouées par la rouerie de l’homme, ou devant la
simple débauché, un voluptueux, qui n’a jamais aimé, et qu’aucune des femmes n’est respectable, appartiennent toutes à la jeun
nt révolter le sentiment, que la passion d’un cinquantenaire pour les femmes devient crapuleuse, et va exciter chez son lecteu
f, la Dusmesnil, l’Électeur de Bavière, Favart l’auteur comique et sa femme , Fielding l’auteur de Tom Jones, Mme Riccoboni, l
mmes consentent à admettre : avoir été sot et ridicule. Il aimait les femmes , mais il n’était pas irrésistible et avoue ses dé
ales, des clairs de lune nostalgiques et surtout leur apothéose de la femme avec la féminisation de l’esprit public qui en a
: l’exaltation de la guerre, seule hygiène du monde ; le Mépris de la Femme , l’Homme multiplié et le règne de la Machine. Ce
qu’on l’a payée ; puis une autre toile importante du même Corot : La Femme à la perle qu’on avait vue à l’Exposition de 1889
un usage plus utile eût pu être fait des 150.000 francs qu’a coûté la Femme à la perle (vendue 4 000 francs en 1876), des 38 
rt étroit et j’ai entendu un habitant d’Auteuil dire en parlant d’une femme maigre : « Elle ressemble au lit de M. Canudo. »
s « sourires infinis de la vague » tyrrhénienne, qu’Homère a placé la femme la plus attirante qu’ait créée son génie ; celle
soient toutes belles. Ainsi la jeune vierge brillait au milieu de ses femmes . « Mais quand il fallut plier les beaux vêtements
lle des Phéaciens. Alors la jeune reine jeta une balle à l’une de ses femmes , et la balle s’égara et tomba dans le fleuve esca
es : arrêter Ulysse auprès d’une fontaine ordinaire, à l’heure où les femmes viendraient puiser pour le repas du soir, ce ne s
ol et de stupre, malgré la diversité significative des trois types de femmes que le Bel-Ami italien meut autour de lui dans la
ons, il ne suffit pas, vraiment, de représenter un homme que quelques femmes aident à parvenir où il veut, par la « thune » qu
ermet à une esclave, plus volontiers qu’à son compagnon. Mais que les femmes acquiescent au truisme la plus contraire à leur i
tes sont à la fois de la vie brutale et de l’imagination intense. Une femme fatale, un amoureux sincère, mais vaincu dans ses
rbe. Chaque substantif doit avoir son double, ex. : homme torpilleur, femme rade, foule ressac, place entonnoir, etc… Plus de
tous ceux qu’indigne le misérable spectacle quotidien offert par les femmes , les mères, les amantes, les sœurs des écrivains,
d’une maison, sur une terrasse couverte d’une treille, je voyais une femme , probablement une vieille femme, qui, allant et v
couverte d’une treille, je voyais une femme, probablement une vieille femme , qui, allant et venant, préparait sans doute son
isons étagées devant moi. Sur la terrasse, où, hier soir, une vieille femme allait et venait, des enfants, ce matin, jouaient
glace au fond de la pièce, et je crus voir s’y refléter une forme de femme  ; mais sans doute on s’était aperçu de ma présenc
raser : un bouquet et un livre ne désignaient pas nécessairement une femme , et rien, nul vêtement, ne traînait dans la pièce
eu la berlue, l’autre jour, quand j’avais cru distinguer une forme de femme reflétée dans la glace, ou c’était une servante.
à un juge au tribunal. Je fus instruit du dernier accouchement de la femme de l’ingénieur : il avait été difficile, et elle
il ne représentait pas pour moi une chose d’importance, un chapeau de femme était posé : un large chapeau de paille fine garn
rompé l’autre jour, j’avais bien vu passer dans la glace une forme de femme  : une femme habitait là. J’attendis : peut-être q
e jour, j’avais bien vu passer dans la glace une forme de femme : une femme habitait là. J’attendis : peut-être qu’après avoi
abinet. Mais il était bien question des Survivances, à présent ?… Une femme  ! Elle devait être jolie, cette femme, son chapea
s Survivances, à présent ?… Une femme ! Elle devait être jolie, cette femme , son chapeau était charmant… Une jeune femme ? Un
devait être jolie, cette femme, son chapeau était charmant… Une jeune femme  ? Une jeune fille ?… Une jeune femme aux yeux pen
hapeau était charmant… Une jeune femme ? Une jeune fille ?… Une jeune femme aux yeux pensifs, à l’amour savoureux comme un be
liennes que la nature n’a point voulu brunes… J’adore les cheveux des femmes  ; ils me semblent le plus bel attribut de leur se
ent le plus bel attribut de leur sexe délicieux, et pour moi la vraie femme , la femme d’amour, la femme à la passion riche et
s bel attribut de leur sexe délicieux, et pour moi la vraie femme, la femme d’amour, la femme à la passion riche et puissante
leur sexe délicieux, et pour moi la vraie femme, la femme d’amour, la femme à la passion riche et puissante doit avoir une lo
ela est arrivé déjà ; — il arrive qu’un cheval emballé va écraser une femme  ; on se trouve là, on la sauve… Il arrive qu’une
ontrer jamais dans la rue — elle passa ! Elle était accompagnée d’une femme qui me parut quelque vieille bonne ; — sa nourric
ontemplais, j’étais fou. Et ces différences qui se marquent entre une femme chez elle, seule, libre et abandonnée, et une fem
arquent entre une femme chez elle, seule, libre et abandonnée, et une femme en public, dans la rue, qui tient la tête haute e
rue, qui tient la tête haute et marche avec dignité… C’était la même femme et c’était une femme nouvelle… Elle était vêtue d
te haute et marche avec dignité… C’était la même femme et c’était une femme nouvelle… Elle était vêtue de blanc ; elle portai
Le meilleur de l’exposition de M. Vitteleschi, ce sont des études de femmes , à la fois véhémentes et méditatives, à tons divi
16 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIX »
lady Gaybut Grabu, à une activité extrême. Pour se faire aimer d’une femme ennuyée, il faut cacher la théorie, mais, peu à p
tôt pour elle une source de plaisirs. Faire la cour directement à une femme qu’on désire est la plus grande des sottises ; ce
st la plus grande des sottises ; cela ne pourrait réussir qu’avec une femme pure de vanité, et la vanité des femmes est un li
e pourrait réussir qu’avec une femme pure de vanité, et la vanité des femmes est un lieu commun de tous les philosophes. Soien
17 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
t être née aux environs de notre siècle ; elle a toute l’allure d’une femme névrotique et vicieuse, tandis que Paolo semble u
onard de Vinci me fait l’effet d’un décadent moderne n’aimant pas les femmes , et pour ce créant la Joconde par un effort du ce
o, déjà admis dans l’hospice et qui, flairant la mort prochaine de sa femme , rôde dans la chambre pour mettre la main sur ses
une étude d’âme féminine et, cela va sans dire, catholique. Une jeune femme , Cecilia, dont le mari est mort depuis quelques j
ques jours, découvre dans le tiroir d’un secrétaire le portrait d’une femme masquée, qui appartenaient (tous les deux, portra
it d’une femme masquée, qui appartenaient (tous les deux, portrait et femme ) au mari de Cecilia. (Je me suis toujours en vain
st-ce qu’il est nécessaire de cacher dans un tiroir le portrait d’une femme qu’on peut posséder en original tant qu’on veut ?
, laid, qui n’a dû qu’à une assez basse tromperie la possession de sa femme , parvient à nous intéresser. On sent que lui auss
e Van Dyck « qu’il avait plus appris en conversant avec cette vieille femme aveugle qu’en suivant les leçons de tous les pein
de la suivre dans sa conclusion et d’approuver son conseil aux jeunes femmes du monde de se livrer à la peinture et de mettre
er nos Salons annuels qu’elles envahissent de plus en plus. Quand une femme a du talent, elle n’a pas besoin que la mode soit
son talent historique et littéraire avec ce livre sur l’Empire et les femmes des Césars ; un sujet à enivrer le plus apathique
devient extraordinaire lorsqu’on voit enfin paraître sur la scène les femmes des Césars, si funestement ambitieuses, si curieu
auches les plus effrénées et aux desseins les plus vastes. Depuis les femmes d’Auguste jusqu’aux femmes de Claude et à la mère
t aux desseins les plus vastes. Depuis les femmes d’Auguste jusqu’aux femmes de Claude et à la mère de Néron, cette formidable
es l’on redit. Le réalisme flamand offusque notre premier regard. Ces femmes sans beauté, c’est-à-dire dans lesquelles nous ne
au probablement authentique ne cherchez l’être humain beau en soi, la femme « délicieuse », l’enfant « ravissant », cette fle
poser aux épaules du jeune homme ou pour le caresser, une toute jeune femme avance ses mains, d’un geste câlin et noble, tand
18 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
t les a publiées. Ce rusé Ravà a intitulé sa publication : Lettres de femmes à Casanova. Or, vous savez que lettres de femmes,
ication : Lettres de femmes à Casanova. Or, vous savez que lettres de femmes , cela veut dire lettres d’amour. Vous connaissant
Les lettres de la princesse Palatine sont des lettres écrites par une femme , mais ne sont pas des lettres de femmes. Cette se
nt des lettres écrites par une femme, mais ne sont pas des lettres de femmes . Cette sempiternelle écriveuse de Mme de Sévigné
e écriveuse de Mme de Sévigné n’a de sa vie écrit une seule lettre de femme . Ravà, dans son ouvrage, a donc publié, en réalit
a donc publié, en réalité, plutôt des lettres écrites à vous par des femmes , à part une seule qui vous a écrit de vraies lett
ar des femmes, à part une seule qui vous a écrit de vraies lettres de femme . Ah ! pour celle-là, le titre est bien exact. Vou
Vous ne l’avez pas fait, et ce n’est pas gentil. Quand on quitte une femme ou qu’on en est quitté, l’usage et l’équité veule
in, et d’échanger avec elle une caresse des yeux, sans que la vieille femme qui l’accompagnait remarquât rien. Mais si, par h
nt dissimuler toujours ? Comment cacher que maintenant elle était une femme et que son âme était remplie par un grand amour ?
t du jour, de l’allégresse des rues vivantes, de la beauté chaude des femmes et du bourdonnement de ruches joyeuses qui sortai
mour frais et enivrant, elle, plus belle et plus jolie que toutes les femmes , elle, ma Psyché, elle, pareille à Diane !… On fr
s, et en remerciant de l’honneur. Il appuya sur un bouton. La vieille femme que je connaissais bien pour l’avoir souvent renc
i à déménager. Il était mieux séant d’habiter moins près de ma future femme . Et comme il me faudrait peut-être recevoir quelq
à Naples. Je voulais prendre congé du marquis avant que d’emmener ma femme en France. Ce fut encore délicieux. Nous fîmes av
ire, Faust, Stellio Effrena ne savent ni l’un ni l’autre conserver la femme qu’ils ont choisie et fuient tous deux vers des d
si ; mais ils ne l’ont guère jugé assez puissant pour transférer à la femme aimée la matérialité même de son amant. Faust aim
qu’il l’aime il en tire non seulement les mêmes sensations que d’une femme réelle, mais encore en a un enfant : Euphorion. E
ue des Grecs ou de la Renaissance, « Goethe aurait aimé l’homme et la femme sensuellement et également ». C’est cette unisexu
choisis du théâtre, tragédie et comédie : l’Orazia, le Philosophe, la Femme de Cour, enfin des Lettres qui sont une des parti
émosthène du Vatican est d’une réalité saisissante. Mais les têtes de femmes resteront jusqu’à la fin des effigies conventionn
iale ne seront plus que les Romains de la décadence. Les portraits de femmes expriment la droiture, mais aussi l’intelligence
nté et de la raison fondre en larmes comme un enfant, pâmer comme une femme , retomber sur la terre comme un corps mort ou rir
de l’anax son père. Dans cette noble demeure, les voilà en face d’une femme grande comme une montagne, et la terreur les sais
’une femme grande comme une montagne, et la terreur les saisit. Cette femme appelle en hâte son époux, qui était à l’agora. S
n geste, et respirant mon âme, L’homme sera plus doux pour l’inquiète femme . Les mères me feront bénir quelque berceau : J’ai
Tome CII, numéro 380, 16 avril 1913 Littérature. Lettres de femmes à Casanova, recueillies par Aldo Ravà, traduites
à l’identification des Mémoires : il a découvert à Dux les lettres de femmes qui furent adressées à Casanova et que celui-ci c
ts du cœur. Des écrivains, peu ou point expérimentés, ont inventé les femmes bien modernes, les jeunes filles savantes, scient
s académies et à marcher avec les précautions que doivent prendre les femmes qui sentent craquer leurs vêtements par derrière,
osition de la peinture en chair, de la personnification vivante d’une femme sortant du cadre pour vagabonder dans le siècle q
t trop artiste pour ne point la retrouver. Échos. Les « Lettres de Femmes à Casanova » Henry-D. Davray. Tome CIV, numéro
numéro 386, 16 juillet 1913, p. 444-448 [447-448]. Les « Lettres de Femmes à Casanova » Mon cher Vallette, Dans sa chroni
il dernier, M. Jean de Gourmont rend compte d’un ouvrage : Lettres de Femmes à Casanova, dont le compilateur, M. Aldo Ravà, au
e sert aux besoins de la vie de ce quartier important de la cité. Les femmes arabes et juives, les soldats y vont puiser l’eau
de Saint-Joseph de l’Apparition. Dans ces pays où la condition de la femme est plus misérable que celle de l’homme, où, clau
es filles ont conservé la charmante coiffure et le costume coloré des femmes israélites. J’ai constaté que chez elles, par un
que et de gaieté. Au milieu du camp quelques fontaines s’élèvent. Les femmes arabes et les négresses y vont puiser l’eau pour
e leurs tentes conjugales. Là, mieux que partout ailleurs, j’ai vu la femme indigène dans ses attitudes et ses travaux. Conta
ent on entend de petits cris et de petits gazouillements. Ce sont les femmes qui, effarouchées à la vue des Européens qui les
es survivants de la période cavourienne, des représentants, hommes et femmes , de tous les partis, des témoins qui m’ont donné
retrouvons de vieilles connaissances : la mère des Gracques, Fulvie, femme d’Antoine, Clodia, sœur du fameux Clodius ; Livie
il d’une sorte de séminariste, un jouvenceau en soutane, qu’une jeune femme , aux airs penchés, amène par le bout des doigts v
e, aux airs penchés, amène par le bout des doigts vers un aéropage de femmes assises en demi-cercle, dans quelque bois sacré…
e fresque sur les murs de sa villa, neuf ans après qu’il eût perdu sa femme , il se trouva engagé dans une bien fâcheuse avent
a d’après des documents du temps, ainsi qu’une curieuse silhouette de femme inconnue, retrouvée à Dux, et sous laquelle il n’
éreuse émeute. Il rencontre des courtisanes dans les moindres petites femmes , voit des déesses assises aux tables de café, des
Naturellement le héros Trismat ne pouvait que voir Hélène dans chaque femme , pour parler la langue du Satan de Faust. Hélène
ut tomber ainsi. Elle mourra d’aller trop vite comme il convient à la femme moderne et elle sera brûlée… comme elle aura brûl
ives à la vie de Louis I, duc d’Orléans, et de Valentine Visconti, sa femme , publiées par M. F. Graves, Honoré Champion, 7 fr
enchantements font rêver toutes les têtes. Un nom, un nom charmant de femme , évoque cet émerveillement de la gaie science, ce
(Giannino Antona-Traversi, Marco Praga, Sabatino Lopez, etc.) et les femmes auteurs (Mmes Sérao, Negri, Deledda, etc.), mais
u bout desquels il comparut devant ses juges en compagnie de sa jeune femme  ; parmi les juges se trouvaient, plaisanterie d’u
l’amour libre. Les accusations furent violentes. Severini et sa jeune femme , pâles tous les deux, les écoutaient, non sans im
pierre étroites et gauchies étaient devenues glissantes. Une vieille femme nous fit entrer dans une pièce meublée de quelque
à parler à mon père. — Beppo est sorti, dit ma mère, mais je suis sa femme . « Le monsieur lui tendit une enveloppe en disant
dès qu’il eut lu la lettre que lui tendait le visiteur, il regarda sa femme , lui parla à l’oreille. Elle éclata en sanglots.
gracieuses figures du Printemps de Botticelli ; Lucrezia Tornabuoni, femme de Pierre de Médicis ; la poétesse et courtisane
19 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
ise, elle se dresse, vipère, elle siffle, elle dénonce. C’est vers la femme , la seconde femme de son père, que la jeune femme
e, vipère, elle siffle, elle dénonce. C’est vers la femme, la seconde femme de son père, que la jeune femme voit se tourner s
once. C’est vers la femme, la seconde femme de son père, que la jeune femme voit se tourner son mari ; elle écrit à son père,
que soit son aspect, il n’est pas mystérieux : bénie entre toutes les femmes , c’est cependant une femme. L’ange n’a point de s
t pas mystérieux : bénie entre toutes les femmes, c’est cependant une femme . L’ange n’a point de sexe, il a celui de ses aile
aphie de Gavarni où la Débardeuse semble une gamine, selon Platon. La femme grasse, un peu lourde, des Vénitiens paraît anima
ible. Aux vitrines, vous ne verrez point un antique parmi les petites femmes enchiffonnées ; le passant n’a point affaire d’un
, parce qu’il est androgyne. Il a la douceur des traits, le col d’une femme , il séduit au point qu’un Léon X ébloui ne voit p
achilde. Tome LXXXV, numéro 309, 1er mai 1910, p. 119-123 [122]. Une femme de lettres du xive  siècle. Austère philosophe et
politicien doublé d’un lettré, s’est suicidé devant le cadavre de sa femme . La plus grande poétesse vivante de l’Italie s’es
, le plus à la portée de tous aussi. Sa sensibilité était celle d’une femme romantique, mais paisible, qui a trop regardé la
louir nous charme. J’ai le regret très vif d’associer le nom de cette femme , qui en somme fut une poétesse pure, au nom d’un
-607. [Introduction] Au printemps de l’année 1838, Valmore et sa femme se trouvaient dans une situation désespérée. Valm
es. Les appointements étaient de 7 000 francs. Il partit, emmenant sa femme et ses deux filles, laissant son fils Hippolyte e
u ive  siècle, encombrées de richesses et de tombes ; quelques jolies femmes bien fières, bien froides ; quelques hommes grand
une triste impuissance contre les rayons du soleil dans sa force. Des femmes , des hommes, des enfants, tous portant leurs cier
s, portant sur leur tête des herbages et de grands paniers. L’une des femmes , courbée sous son fardeau, blonde et demi-nue, co
oir-là, et parmi les prêtres, silencieux comme le cortège nombreux de femmes , d’hommes et d’enfants, qui suivaient tous avec l
is me faire au son des cloches, qui déchirent l’air comme la voix des femmes en Italie. Elles semblent en fureur quand elles c
con, général de Théodose, qui, ayant abjuré, s’y fit enterrer avec sa femme . On ne peut rien voir de plus extraordinaire que
fort, sans manquer aux convenances, pour faire retourner un peu cette femme immobile. Elle n’en vint pas à bout. Quand je la
e Barbarj, bien connue des visiteurs de cette galerie, le Portrait de femme attribué à Léonard, le Christ chez Marthe et Mari
rticulièrement heureuses : […] un Guardi : Concert dans un couvent de femmes à Venise […]. Memento bibliographique [extrait
te voûte, la lumière bleue de la nuit se retirait peu à peu comme une femme cérémonieuse qui sort à reculons par la terrasse
fense, une explosion du « point d’honneur », heurté par le viol de la femme aimée, plus qu’il n’y avait de véritable amour ex
16 août 1910, p. 687-693 [687-688]. Le soir du meurtre de Concini, sa femme , Léonora Galigaï, maréchale d’Ancre, pensait qu’e
’à l’intermédiaire plus ou moins bénévole et parfois défaillant de la femme du « favori », Léonora Galigaï, véritablement aim
ux de l’Arioste et en occupe le xxviiie  chant, qui débute ainsi : —  Femmes aimables ! et vous dont le bonheur est de les ado
Avant de quitter son château, n’a-t-il pas découvert que Béatrice, sa femme , le trompait avec le page Lélio ? Astolphe se rai
Astolphe se raille de sa mésaventure et « assez semblable aux jolies femmes , qui louent facilement celles dont elles ne craig
ure de Sganarelle ! Astolphe s’aperçoit que la reine de Lombardie, sa femme , est la maîtresse de son bouffon. Un même destin
ulement de quitter la cour et de courir l’Italie à la recherche d’une femme vertueuse et jolie et emmènent avec eux le Fou et
s ont trompés. Comme la chemise d’un homme heureux du conte arabe, la femme vertueuse et jolie est introuvable. Après bien de
i ont voulu ainsi décourager les maris présomptueux. L’infidélité des femmes est une réalité, mais leur vertu n’est qu’un mens
placable matérialisme s’élance à travers la douleur de la perte de la femme aimée, vers les spéculations progressives de son
fondre et il reste des hommes qui menacent le ciel de leur poing, des femmes pleurantes. Peu à peu les habitants se reprennent
20 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
sinait sur un morceau de carton un Christ en croix entre deux saintes femmes et il soignait le buste avec une grande minutie,
delli (Bruxelles, J. Morel). Sonnets d’amour où le poète pleure sa femme morte. Le présent opuscule ne contient que les tr
t, je me disais en mon cœur : Je serais heureux de posséder une telle femme , si belle et si honnête. Je pensais cela et pas d
mes péchés. Et comme je priais, le ciel s’ouvrit, et j’aperçus cette femme que j’avais désirée, me saluant du haut du ciel e
fragment de la scène du second acte, entre Paul Dartigny, Lucie et la Femme voilée. L’étude se termine par des considérations
a Sociale réclame, article de M. G. de Franceschi, la liberté pour la femme . Mais la femme, en comparaison de l’homme, est sc
me, article de M. G. de Franceschi, la liberté pour la femme. Mais la femme , en comparaison de l’homme, est scandaleusement l
sous le péristyle du Grand-Palais, la Porte-d’Airain, avait guéri une femme hémoroïdesse, qui l’avait palpée de la même foi q
din des Oliviers, aurait à peine pâli et affiné la chaude beauté. Les femmes de Byzance, lorsque, extasiées, elles serraient c
21 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
pisode caractéristique. Un homme, fort coupable, lui aussi, envers sa femme , pardonne à la créature qui l’a trompé, mais ne p
ion : une peinture, école italienne du xve  siècle, portrait de jeune femme attribué à Vittore Pisano, peintre, sculpteur et
i que quelques dessins. Ce portrait semble représenter l’une des deux femmes de Lionel d’Este, duc de Ferrare, une pâle tête a
p richement, de lourdes railleries contre les carducciens, contre les femmes de lettres, etc., le tout orné d’invocations à Da
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
ant de belle énergie, dans la vision de l’homme dans l’univers, de la femme dans l’humanité, de la terre dans l’immensité. Ce
ude de critique impitoyable et d’épigrammiste farouche. Tandis qu’une femme , Mme Amalia Guglielminetti, dans ses Vergini Foll
e fut Nietzsche. On annonce la prochaine publication d’un livre d’une femme qui a été jusqu’ici et qui demeure inconnue, sur
se voyaient plus. Nietzsche vivait volontiers dans sa solitude, où la femme amoureuse allait parfois le trouver pour l’entret
23 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
e de la vie, disparaît dans ce nouvel Éden. Où est l’homme, où est la femme , qui oserait opposer, tout nus, leur corps et leu
les de nu, uniquement masculins ; qu’on admît aux séances des modèles femmes et enfants ; enfin que l’on cessât d’enseigner l’
réaliser des effets de plein air : une Servante riant et une Vieille Femme campée au Soleil. Une autre étude est, je crois,
de bohème qui défie la mauvaise fortune. Puis vient une Impression de femme sous un parapluie. Puis deux morceaux de haute im
lance dans des études d’un ordre nouveau et d’une extrême audace : La Femme sortant de l’Église : figure gazée d’une longue v
palpite hors de la chemise froissée ; — la Cantatrice, impression de femme faite pour un éclairage très spécial, blanche fig
s du Piémontais : le Sportman, le Malade d’hôpital, la Cantatrice, la Femme à la Voilette ; puis sans tourner autour de la fi
24 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
jette aux genoux du religieux qui vient de sortir de la chambre de sa femme pour en annoncer le trépas, et il lui demande cet
sauf d’en choisir une, et il n’a appris qu’à aimer cette pauvre jeune femme avec qui il revient, pâle et avili, à la maison d
dans ses fermes et dans ses établissements. Le fils s’en va, avec sa femme , il vit dans la chaumière d’un vieux pâtre, un ph
sard, savent jusqu’où peut aller la passion. J’ai demandé à une jeune femme de France, douée de beaucoup d’esprit, ce qu’elle
 Je voudrais qu’il fût plus simple », m’a-t-elle répondu. Cette jeune femme ne le trouvait-elle pas trop simple, au contraire
1er août 1901, p. 526-533 [531-533]. Christine de Suède est la seule femme qui ait jamais mangé officiellement à la table du
s un anachronisme, et l’amour n’y joua aucun rôle. Et après tout, une femme telle que Christine, l’une des plus extraordinair
s, il s’abîme en un océan peuplé de fantômes, de chérubins, de belles femmes . C’est ainsi. Le mysticisme n’est, en fait, à le
du faubourg, un rendez-vous a lieu entre divers anarchistes, quelques femmes de joie et quelques esprits ignorants enflammés p
25 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
une génération irréligieuse. Ibsen, lui, a rêvé la régénération de la femme , a révélé ‘es plus grands drames de la pensée et
mentalismes qui nous rapetissent et nous font semblables à de petites femmes qui larmoient et murmurent des prières incomprise
hirent ; pendant de longues années il a traîné dans toute l’Italie sa femme , ses enfants, son art, sa misère et sa rébellion,
rri. La dramatique amoureuse se révèle mère un peu trop pathétique et femme experte en toutes les douleurs. Les mémoires nous
, R. Bemporad, Florence M. Isidoro Del Lungo évoque de son côté la Femme florentine du bon temps antique, des premiers tem
use, leur tendre primitivité, dans l’âme beaucoup plus complexe de la femme de la Renaissance. Malheureusement le style de M.
document qui fait vivante et belle devant nos esprits la vision de la femme florentine, telle que nous l’imaginons par les im
ens Anciens de Mme Evelyn, une Anglaise devenue une des plus fécondes femmes écrivains italiennes. Ce volume, le dernier de la
du sang se transportèrent à Rome, dans la volonté de vengeance d’une femme , la fille de l’homme tué, qui ne pardonnait pas.
en Italie, après Philippes, fomentée contre Octave par le frère et la femme d’Antoine, guerre qui fut l’origine de la rupture
ns pas à ces classes privilégiées. (Pages 269-270). L’admission des femmes à l’égalité parfaite serait la marque la plus sûr
end pas très exactement ce genre d’état d’âme. Le type de cette jeune femme , pas très jeune, pas très belle, qui rêve d’une e
e de M. Roberto Bracco : La Piccola fonte (la Petite source). Ici une femme devient folle parce que son mari semble ne pas l’
les êtres de son entourage, évidemment nés pour servir son génie. Sa femme l’aime tendrement, mais elle est la petite nature
omme sent que pour créer il a besoin d’un amour autre que celui de sa femme . Il aime une aventurière ; il en est dégoûté ; ma
mais ni avant ni après il n’a pu canaliser sa suprême impuissance. Sa femme , consciente des besoins supérieurs de son mari qu
ich. Les dessins peu nombreux, la tête d’ange des Offices, la tête de femme du British Museum sont des merveilles et ceux du
ers ce moment de changer d’inspiratrice, et de porter un autre nom de femme , beaucoup plus illustre assurément que celui de c
. Mais quand il apprit, le 14 janvier 1815, la mort d’Alexandrine, la femme de son cousin, l’un des ministres de Napoléon, il
Stendhal et de sa vie. Et, comme il convient, on y trouve des noms de femmes . Tome LXIV, numéro 226, 15 novembre 1906
it le propre beau-frère de la victime. Le comte Bonmartini rendait sa femme , Linda Murri, très malheureuse, d’où l’animadvers
t indiscutable de véracité. Dans cette protestation frémissante d’une femme affolée de souffrance, les circonstances se recom
lourd et inéduqué, autoritaire et vaniteux, compagnon disparate d’une femme , Linda Murri, fine, instruite, grandie dans un mi
s du livre de la comtesse Bonmartini, qui est avant tout le cri d’une femme et d’une mère, tout en contenant, sous le premier
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVIII »
ilan, 2 novembre 1811, Albergi della cita. [Sans doute, la plus belle femme que j’ai eue et peut-être que j’aie vue, c’est A.
endez-vous ordinaire ; je l’ai accompagnée jusque chez sa belle-sœur, femme d’un chimiste célèbre, Porta Tecinese, je crois,
27 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
scrupules. Plus tard, il entreprend de réconcilier des ménages où la femme se contenterait de consolations effectives et tie
c’est l’histoire de cette Bianca Maria, veuve d’Hermès Visconti, puis femme de René, comte de Challant, qui chercha à faire a
 : Une petite ville, le soir ; une fenêtre où se colle le front d’une femme qui rêve, ou prie… « Es-tu celle qui demande la
28 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
agnie d’un capitaine hongrois et n’avait eu aucune peine à la deviner femme sous son travesti ; de longs mois, il vécut avec
est pas assurément pour y rechercher le pâle et triste souvenir d’une femme adorée, mais pour y voir Voltaire ou, plus exacte
adulé plus que tout autre : l’homme à la mode. Dans un siècle où les femmes , suivant l’observation de Galiani, aiment plus av
piré l’amour du plus divin passe-temps dont les hommes de goût et les femmes vertueuses puissent jouir quand ils sont plus de
use n’était pas moins brillante. Casanova n’aime pas les histoires de femmes , quand elles ne sont pas son fait. De plus, il vo
29 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
par le charme de la reine Marguerite. Celle-ci est, certainement, une femme supérieure, d’un esprit cultivé et érudit, quoiqu
se rencontre, au moment de l’accomplissement de cette tâche, avec sa femme , qui fut la maîtresse du marquis et vient pour re
llini nous fait lui-même le récit d’un joyeux festin où il habilla en femme son élève Diego et s’amusa des madrigaux et des b
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
s, tendrement amoureux, qui semblent écrits vraisemblablement par une femme dont la nostalgie sensuelle serait cultivée par d
us poignante composition du poète, l’évocation de Jacovella, la jeune femme de la Renaissance, qui joua du luth devant Raphaë
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
La Vie légère » ; « les Fêtes, le Carnaval, la Villégiature » ; « les Femmes , l’amour et le cavalier servant » ; le chapitre d
ois de prison et deux cents livres d’amende pour avoir enlevé Tarsia, femme de Francesco Cortese, et l’avoir tenue cachée plu
32 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
e tes courtisanes. Amant du vrai, grand Titien… il s’est trompé. Les femmes qui, dans les tableaux de notre Vecellio, étalent
nce dans quatre-vingt-dix-neuf mariages sur cent l’homme seul aime sa femme , tandis qu’à la femme son mari est parfaitement i
dix-neuf mariages sur cent l’homme seul aime sa femme, tandis qu’à la femme son mari est parfaitement indifférent. Supériorit
33 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
en autre chose. Ce qu’on aime à l’Opéra, ce n’est pas la musique. Les femmes vont à l’Opéra pour être vues ; les hommes pour v
mes vont à l’Opéra pour être vues ; les hommes pour voir, lorgner les femmes dans la salle, les femmes sur le théâtre. Assuré
re vues ; les hommes pour voir, lorgner les femmes dans la salle, les femmes sur le théâtre. Assurément cela allait avec le r
dont il sut pesamment abîmer la gracieuse et alerte chanson. Souvent femme varie, précisément à la mesure, où Verdi, dans sa
meurt en une allégresse surhumaine sous le regard de la vierge (de la femme  ?). Mais attendez : son sang jaillit sur elle, et
lo veut vendre la ferme voisine des nôtres à Settignano, et que cette femme en a la jouissance pour toute sa vie, de sorte qu
ntenant, ce ne serait qu’à un prix en rapport avec le temps que cette femme peut vivre, puisque l’on n’entrerait en jouissanc
a venue des nôtres était la manne enfin tombée du ciel, — et dont les femmes , que convoitent les soldats et même les officiers
ue toujours saouls de vin fort et de politique révolutionnaire et les femmes des victimes bavardes ou résignées de ces hommes
au bonheur, presque toujours malchanceuse, auxquelles se livrent les femmes de notre temps. Bruno Cicognani : 6 Storielle
les bras font défaut. Malgré leur dévouement, qui est admirable, les femmes ne réussissent pas à pourvoir aux besoins de la r
inistre spécial, qui est M. Comandini. L’État fournit des secours aux femmes des mobilisés ; ils sont en général insuffisants 
nde la plus active. Mathilde Serao elle-même a donné des conseils aux femmes de province dans ce curieux livre de germanophile
tre. 20. Frère cadet de Michel-Ange. 21. Neveu de Michel-Ange. 22. Femme de Lionardo. 23. Quarante jours environ. 24. Ro
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
puisque Dante prétend s’adresser, non seulement aux hommes, mais aux femmes et aux enfants ? Le poète promet de leur faire bo
tionner l’ornement à la matière et ne point parer d’or et de soie une femme hideuse à moins qu’on ne sache séparer au besoin
-dire avec ceux qui croient, aiment et espèrent comme lui et même les femmes et les enfants (néophytes). Combien, semblables à
35 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
voir compter sur le sérieux de ses savants comme sur la pudeur de ses femmes . Et répondant au reproche qui lui a été fait de
son expansion, mais encore grâce à l’extraordinaire fécondité de ses femmes , fait à peu près équilibre à l’élément italien. D
t bombardé la ville à quatre heures du matin. Au pont della Zilla les femmes se sont enfuies de leurs maisons en chemise, en s
ien, les allocations sont minimes (60 à 70 centimes par jour pour les femmes des mobilisés), les aliments de première nécessit
rès que tous leurs plus chers sont partis pour la guerre, vieillards, femmes et enfants sans refuge, souffrant la faim. Une m
36 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
antegna (Judith tenant la tête d’Holopherne) et un Rembrandt (Vieille femme lisant). De ces quatre œuvres, seul le Mantegna f
u’il n’en est réellement. Le premier portier d’hôtel venu à Rome, une femme du peuple à Milan, une gentille « ragazza » de Gê
ancophobes qui s’en allèrent distiller goutte è goutte dans l’âme des femmes demeurées au foyer le poison du découragement et
l’arrière s’était complètement transformé et des paysannes, mères ou femmes de soldats, firent honte aux sbandati, les renvoy
t en retraite, dans leur petite maison montagnarde, embrassèrent leur femme et leurs enfants, puis allèrent mettre le feu aux
rich Museum. Le tableau, d’après la presse berlinoise, représente une femme nue étendue sur une couche ; à ses pieds est assi
e révélât son sexe. Enfin elle s’enhardit jusqu’à chanter : « Souvent femme varie », et fut fort applaudie. Elle leur raconta
venait maître de chapelle à Sainte-Marie-Majeure. Après la mort de sa femme , il revint à la direction de la chapelle de Saint
de 90 ans. En voici le tableau instructif : Professions Hommes Femmes Agriculteurs et pasteurs 1 887 621 Hôteliers
ait un peu. La profession de propriétaire convient beaucoup mieux aux femmes qu’aux hommes ; par contre les laboureurs et les
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIII »
ue ce fléau disparaisse de longtemps. Il est autorisé de la sorte. La femme de l’ouvrier n’est à proprement parler, que la fe
38 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
on s’occupe ensuite d’objets plus intéressants. Il est d’usage qu’une femme qui est accouchée tienne pendant quelque temps ma
39 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVIII »
heure du matin, nous partons pour le Vésuve, le Vicomte, M. Long, sa femme et moi. Mme Long se trouve mal au milieu de la mo
40 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
le sur tout ce qui l’entoure. Elle est tellement au-dessus des autres femmes qu’aucun de ses amis ne peut avoir l’idée de la n
41 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXI »
(Je crois que je fus plusieurs fois inintelligible for her ; chez une femme accoutumée à comprendre ceux qui lui parlent au p
42 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 242, 15 juillet 1907 »
ses origines ni sur ce qu’elle représente. C’est une figure de jeune femme enveloppée d’un ample chiton qui tombe de son épa
43 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 229, 1er janvier 1907 »
est une ambitieuse intelligente qui fait servir les séductions de la femme à la réalisation de ses projets. Antoine, digne d
44 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
le front que dans les foyers des villes et des campagnes où même les femmes montrent non seulement du calme et de la fierté,
lier cette préoccupation de la génération précédente — en donnant aux femmes italiennes une plus grande conscience de soi et p
sons pas impressionner par les calomnies contre la famille, contre la femme française : nous admirons au contraire le sentime
tait pénétré. Alors, cette philosophie se serait prostituée comme une femme de la rue, avec les idées d’Humanité et de Justic
eux et plus emporté. Il croit aux idées, à la vertu, aux anciens, aux femmes  : il est en butte aux caprices d’un enfant malici
lousies, les subtils désirs qui énervent et brisent les hommes et les femmes les mieux constitués. Il a voulu devenir un acteu
vauder, et on le galvaude quand on l’invoque à tout venant. — Mais la femme , mais l’art, c’est ici ce qui importe plus encore
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