scule. Celui qui ne put pas aimer…… Depuis que Don Juan a pris
femme
, il est presque impossible de le rencontrer hors
arlaient et secouaient leurs têtes grises, sans regarder la foule des
femmes
aux lèvres trop rouges et des jeunes gens anémiqu
lus pur que moi. Je songeais à l’amour comme à une chose sacrée et la
femme
était pour moi une sorte de mystérieuse récompens
ps vint, et les étoiles tremblèrent, et les arbres reverdirent et les
femmes
se vêtirent de leurs belles robes claires. Mais l
s ardeurs de la passion. Je sentis alors que je pourrais posséder des
femmes
, que je pourrais me faire aimer d’elles, mais que
à la beauté et à la grandeur de l’amour et je ne voulais pas que les
femmes
fussent pour moi seulement un jeu et un divertiss
il n’était pas né en moi parce que je n’avais pas encore rencontré la
femme
qui devait faire sourdre et jaillir la source int
intérieure de ma passion. Et je me mis à chercher désespérément cette
femme
, et je parcourus tous les pays, toutes les villes
inquiet, infatigable, triste, mécontent ; toujours à l’affût de cette
femme
unique, de cette libératrice inconnue, qui devait
trer, qui devait me faire connaître l’amour immortel. Et il y eut des
femmes
qui m’aimèrent et des femmes qui fuirent avec moi
naître l’amour immortel. Et il y eut des femmes qui m’aimèrent et des
femmes
qui fuirent avec moi et des femmes qui pleurèrent
t des femmes qui m’aimèrent et des femmes qui fuirent avec moi et des
femmes
qui pleurèrent pour moi et des femmes qui mourure
mes qui fuirent avec moi et des femmes qui pleurèrent pour moi et des
femmes
qui moururent pour moi… et jamais je n’eus la joi
ire battre mon cœur et désemparer mou esprit. Je possédai le corps de
femmes
innombrables, et sentit battre sur ma poitrine d’
r du corps et méprisait l’amour. Au lieu de cela, je passais ainsi de
femme
en femme, d’aventure en aventure, à la recherche
s et méprisait l’amour. Au lieu de cela, je passais ainsi de femme en
femme
, d’aventure en aventure, à la recherche de l’amou
cruel, alors que le sort était cruel envers moi. Je recherchais mille
femmes
, parce que je ne réussissais pas à en aimer une s
la triste rage de l’amant repoussé par l’amour. De nombreux cœurs de
femmes
souffrirent par ma faute, mais aucune ne connut,
rsité et de la mutabilité, et les dévots de la maison unique et de la
femme
unique ont voulu nous cracher à la face leur mépr
vieux et je ne saurai jamais ce qu’est l’amour. Dans aucun chemin, la
femme
que je cherchais n’est venue au-devant de moi, et
tait restée la même. Dans les mêmes rues étroites passaient les mêmes
femmes
courtes et jaunes, aux coiffes froissées ; et les
en soit tout à fait démodé depuis quelques lustres. Un homme aime une
femme
, la femme fatale, et ayant étreint sa femme légit
ut à fait démodé depuis quelques lustres. Un homme aime une femme, la
femme
fatale, et ayant étreint sa femme légitime sous l
ustres. Un homme aime une femme, la femme fatale, et ayant étreint sa
femme
légitime sous l’obsession de l’image de l’autre,
ants. Il y a des nuées d’enfants, à Naples, qui courent partout : une
femme
a donné une taloche au petit d’une voisine, celui
les prises de bec durent souvent fort longtemps. Je me rappelle deux
femmes
, dans le quartier du Marché ; elles se chamaillai
lles des êtres habitués à vivre au soleil. Après déjeuner, de grosses
femmes
dorment assises, devant leurs portes, tandis que
uelle se trouve un carabinier, et dans le fond un homme enchaîné. Une
femme
, aux cheveux épars, suit la voiture en courant et
re un volume à Marie de Gournay et publie l’Égalité des hommes et des
femmes
, et le Grief des Dames, nous révèle sa manière :
, s’écartant de la doctrine de son maître, qui faisait peu de cas des
femmes
, elle prêchera l’égalité des sexes. Ces deux peti
alité est bien, comme le proclame M. Mario Schiff, d’avoir défendu la
femme
contre « l’injuste dédain des hommes ». Sa cultur
et des raisins. À demi cachées par les feuillages, apparaissaient des
femmes
. Une d’elles, allongée sur un monceau de roses qu
coffret, si celui qui avait uni, en dépit de toute vraisemblance, des
femmes
à des roses, peindrait des madones ou des anges,
a dehors, par les épaules : — Va au diable, Giorgiaccio ! Une voix de
femme
répondit : — Tu es dans l’erreur, maître Sébastia
appeler, celui-là, mais Giorgione !… J’approuvai la remarque de cette
femme
. Giorgione était, à cette époque et malgré son
es matériaux qui composent les arbres, les soieries et les chairs des
femmes
. * Dans une des salles du palais habité par Danie
esse que possède un de ces camarades : — J’ai envie de caresser cette
femme
et de peindre son portrait. Elle est si belle. —
arbara me souriait sans motif, mais, n’ayant jamais été l’amant d’une
femme
, je ne comprenais pas la signification de ce rega
eint blanc, aux manières timides. Cet adolescent n’était autre qu’une
femme
déguisée. Elle s’appelait Emilia, servait de maît
jamais boire outre mesure, lorsque, dans une assemblée, se trouve une
femme
qu’on aime. J’ai appris aussi qu’il faut se défie
it que le but de l’existence était d’être admiré par une assemblée de
femmes
qui auraient conscience que le génie est un don d
ses fêtes et de ses mascarades. — Regardez le cadre que font à cette
femme
blonde, là-bas, cette tenture et ces figures basa
cale. Elles sont remplies de marchands, d’étrangers, de soldats et de
femmes
. Des masques cachent certains visages. Des draper
ier au manteau vert de Daniel Dorsevigo. J’avais, en outre, réuni des
femmes
admirables et des hommes valeureux. La fréquent
a nacre et de l’ivoire aux fleurs cueillies à Muran et aux chairs des
femmes
. Elles étaient rangées en demi-cercle. Derrière e
urait chassé avec bonheur, lorsqu’il s’installa, au milieu des jeunes
femmes
qui l’admiraient, absolument comme s’il avait été
c une fougue juvénile qui lui attacha définitivement la sympathie des
femmes
et la curiosité des hommes dépourvus des médiocre
e lui dois l’exécution de ce coffret. Ces arabesques de feuilles, ces
femmes
ne sont pas autre chose que l’étalage de Castelfr
que nous offre la Nature. D’abord les hommes en habits somptueux, les
femmes
parées, les figures des soldats et des orientaux
rmures, des jeunes gens vêtus de pourpoints se rencontraient avec des
femmes
nues. Il improvisait des tableaux aussi facilemen
que la jeunesse du génie. L’assurance et l’orgueil d’avoir séduit les
femmes
et vaincu l’hostilité des hommes imprimèrent à la
elier te séduit, quand tu as la faculté d’admirer les plus belles des
femmes
chez Dorsevigo et Mercatin… — Ah ! seigneur, ces
endit quelques études au crayon rouge. Je m’aperçus que les corps des
femmes
vivantes, malgré leurs défauts, l’émouvaient plus
, les déesses sont créées uniquement par le marbre et pour l’art… les
femmes
sont créées par la vie et pour la peinture. Il fa
sur des draperies ou à l’ombre des arbres. — La nature produit peu de
femmes
belles. Le devoir de l’art est de les rendre parf
e la trouvent pas sans rivale, les jeunes gens qui se disputent cette
femme
à coups de dague et les vieux marchands qui lui o
ises renfermées dans une galère… — Il est difficile d’affirmer qu’une
femme
est belle. — Elle l’est, quand elle se dépouille
un poème où serait exprimée la douleur sublime d’un dieu épris d’une
femme
et qui ne lui peut faire le don de sa vie, puisqu
M. Ernest Tissot nous donne une seconde série de ses portraits de
femmes
: Nouvelles Princesses de lettres. Voici : Julia-
éminine, voici quelques-unes des conclusions de M. Ernest Tissot : la
femme
qui écrit cherche d’abord à plaire. Dès qu’elles
il avait supplanté, nous le dépeint flattant les curés, caressant les
femmes
, passant ses nuits au théâtre, ne dormant jamais.
ons improvisées. Sa verve égayait les plus hostiles. Pour charmer les
femmes
, il jouait du luth et chantait. — Que tu es beau,
s avirons le poussèrent à quai. — Regardez, dans cette gondole, cette
femme
. — Qui est-elle ? — Alexandra Vellani. — As-tu dé
de vous affirmer, avant-hier, que les enfants surpassent parfois les
femmes
, en beauté ! — Titian connaît-il ce tableau ? — P
Et quand nous nous serons bien égayés, nous essayerons de faire à nos
femmes
un enfant aussi beau que celui-là ! Je rapportai
: « Je n’ai rien inventé, mes amis. Je soigne mes tableaux comme les
femmes
soignent leurs chevelures. Que font-elles, afin d
Vous ne connaissez pas Nina, Seigneur ?… Évidemment non !… C’est une
femme
admirable et elle offre, par la politesse de ses
r la richesse de son talent. Sous de vastes ombrages, il assembla des
femmes
, des enfants et des animaux. Il improvisait ses s
rtante de leur camarade. — Giorgio, que vas-tu mettre auprès de cette
femme
nue ? — Ce qui te plaira, Lorenzo !… un ruisseau,
r tes yeux… Il exécutait ce qu’on lui commandait. Ainsi, autour de la
femme
nue, il lança un vol de colombes et d’amours tira
in d’attirer l’attention sur leurs faibles mérites. L’approbation des
femmes
valut à Giorgio plus d’ennemis que son talent, ca
en entendant tes camarades décrire la beauté d’une peinture ou d’une
femme
?… — Je préférerais mourir, Seigneur. — Non, tu t
de Giorgio. Je me souviens d’une Vénus endormie, d’une Judith, d’une
femme
assise attirant un amour armé d’une flèche. La ré
ait aussi. Les hommes envieux de sa beauté et de sa désinvolture, les
femmes
qu’il dédaignait et que piquaient ses façons haut
la plus célèbre de Titian, à cette époque, était, certainement, deux
femmes
assises auprès d’une fontaine sur laquelle se pen
auprès d’une fontaine sur laquelle se penche un enfant. L’une de ces
femmes
est vêtue de satin blanc. L’agrafe de sa ceinture
igne du torse et des jambes. L’ordonnance de cette œuvre, le type des
femmes
, l’ardente couleur de leur chair sont inspirés pa
l ne lest pas, quand il réunit, dans de calmes décors champêtres, des
femmes
nues et des femmes habillées, des jeunes seigneur
d il réunit, dans de calmes décors champêtres, des femmes nues et des
femmes
habillées, des jeunes seigneurs et des bergers !
, tu ne serais pas le peintre que tu es !… Quelle volupté ! Comme les
femmes
qui sont à notre table doivent en être pénétrées…
r un arbre. Ah ! il tient à la terre, Giorgio, sois tranquille !… Une
femme
nue montre son dos. Elle est assise et tournée de
s le paysage… et moi, Bernardo Ridolfi, je l’entends !… Plus loin une
femme
nue, debout. C’est une fleur ! Les jambes entouré
rayons ne la nuancent-ils pas ! Comme elles attirent la lumière, ces
femmes
! comme elles brillent, sur la pelouse bordée par
une éminence, aux pieds d’un bouquet d’arbres et de broussailles, une
femme
presque nue et qui allaite son enfant… Elle ne l’
esque nue et qui allaite son enfant… Elle ne l’allaite pas, comme une
femme
, en le berçant entre ses bras. Regardez le bambin
On dirait une faunesse et son faunillon !… J’ai envie de crier à ces
femmes
: « Sortez de vos toiles, quoique vous paraissiez
e de représenter les choses de la nature. Je veux qu’en regardant ces
femmes
vous disiez avec Ridolfi : « Descendez dans mes b
muet. Ridolfi l’apostropha : — Tu veux savoir, ô Titian, pourquoi ces
femmes
sont nues et ces hommes habillés, je vais te le d
rouve les hommes plus imposants et décoratifs habillés que nus et les
femmes
plus belles nues qu’habillées. Les jeunes seigneu
s esclaves amoureuses, silencieuses comme elles… ce qui est, pour les
femmes
, la meilleure façon de rester dans leur rôle et d
ous ces artistes, légèrement pris de vin, prononcèrent alors, sur les
femmes
, des discours dont la fantaisie m’amusa, mais que
me la Maurina, acquiescèrent la plupart des convives… — Qui est cette
femme
? interrogea Giorgio… — Nous sommes plusieurs qui
Elle possède, et au plus haut point les vertus que tu prises chez une
femme
, compléta Ridolfi… — Nous te la ferons connaître,
à la garde un poignard dans le cœur de Giorgione. * On appelait cette
femme
la Maurina à cause de sa chair brune et on ne lui
me assez curieuse que celle de ce roi juponnier, qui ne laissait à sa
femme
que la ressource d’être un modèle de vertu (vertu
ve étaient moindres. Seul, Giorgio pouvait peindre des cavaliers, des
femmes
, des enfants et des animaux dans un apparent déso
ait, à sa table, les courtisanes fameuses et entourait d’hommages des
femmes
respectées. Il recommença à jouer du luth et à ch
manteau, et, pour nous persuader que tu achevais la nuit auprès d’une
femme
, tu as laissé, dans la salle à manger, des flambe
rgiaccio ! murmuraient-ils. — Giorgione ! répondaient secrètement les
femmes
. Sa maison était le centre des intrigues galantes
tes insensés. Elle profita du carnaval pour s’introduire, déguisée en
femme
du peuple, place San Silvestro. Elle y trouva sa
ton… Il souleva la tenture : — Entrez. Et je vis, sur une couche, une
femme
étendue, morte et déjà défigurée. — Qui est-ce ?
etour… Y a-t-il un verre de vin, pour les camarades, des pâtés et des
femmes
?… Tu dois avoir de belles choses à raconter, Gio
ubres bonshommes ont enlevée d’ici, pour la livrer aux flammes… — Une
femme
… — Et une radieuse créature !.. Je l’aimais ! Un
œur et de mes entrailles et moi, habituellement si heureux auprès des
femmes
, je devins morne. En sortant de chez elle, Ridolf
La présence de la Maurina exaspéra les marins : — Pourquoi as-tu une
femme
à toi seul ? dirent-ils au capitaine. Elle doit ê
t amoureux et jaloux de la Maurina… lui, le Giorgione… Amoureux d’une
femme
possédée par tous… une femme dont le corps est au
urina… lui, le Giorgione… Amoureux d’une femme possédée par tous… une
femme
dont le corps est aussi public que le Campanile,
rina ; elle m’aimait et j’avais l’impression affreuse que l’amour des
femmes
n’anéantit pas les désirs qu’elles éveillent. Des
nts des cavaliers contournant les pilastres figurés du Fondaco. Cette
femme
m’obsédait, à tel point que je crus avoir prononc
es âmes vierges et d’autant plus vulnérables… J’avais séduit bien des
femmes
. Je les avais aimées sans angoisses ni tourments
i m’étreignaient, quand je me découvrais indissolublement lié à cette
femme
dont je n’aurais pu prononcer le nom sans exciter
t en orgies. Je mangeais, je buvais avec fureur. Je jouais auprès des
femmes
illustres, afin de les séduire, de me les attache
avaient transformé cette créature paisible et facilement heureuse en
femme
jalouse et taciturne. J’installai Lorenzo auprès
affirmé, bien souvent, à des camarades malheureux : « Il n’est pas de
femme
qu’une autre femme ne fasse oublier »…… et cela e
nt, à des camarades malheureux : « Il n’est pas de femme qu’une autre
femme
ne fasse oublier »…… et cela est vrai, pour toute
ne autre femme ne fasse oublier »…… et cela est vrai, pour toutes les
femmes
, sauf pour la Maurina… Pourtant, ils étaient nomb
’est impossible I Un homme tel que toi, Zaratto, ne tolère pas qu’une
femme
se joue de lui… et une femme comme elle, ajouta-t
l que toi, Zaratto, ne tolère pas qu’une femme se joue de lui… et une
femme
comme elle, ajouta-t-il sombrement, ne vit pas av
arce qu’elle l’a voulu !… Je le comprends : elle l’a voulu… c’est une
femme
qui, d’un regard, d’un sourire, transforme un lâc
je t’aime, Zaratto… Tu m’aimes… tu me délivreras… Tu as entendu cette
femme
prononcer de semblables phrases, Giorgio… toi qui
arbres, le soleil, les fleurs, les eaux vivantes, les enfants et les
femmes
… s’ils en étaient capables… Et, lorsque vous parl
a composé pour les Épigrammes Romaines un frontispice où des jeunes
femmes
assises, près d’un clair bassin, par une limpide
e crient vers ceux qui les ont effacés de leur mémoire ; et les trois
femmes
qui sont évoquées dans les Idylles ne connaissent
à, le pauvre Marcel Thibault m’avait clairement donné à penser qu’une
femme
comme Isabeau ne se comprend que par la folie du
ux obstacles cruels rencontrés par cette transformation que l’aimable
femme
fait penser en ses infortunes. Cette folie de Cha
a contre la seconde les superstitions populaires. Valentine de Milan,
femme
du duc Louis d’Orléans, devint, on l’a vu, la sor
en antique, donne par faste, non par charité. Le pauvre est fier ; la
femme
du mendiant ne raccommode jamais les haillons de
étiens. En vain leur père Transquilin et leur mère Marcie, avec leurs
femmes
et leurs enfants, viennent les supplier de sacrif
u nom du Christ. Ils meurent et tous les leurs se convertissent. Zoé,
femme
de Nicostrate, recouvre la parole et loue le Seig
s comme un hérisson. » Mais il ne mourut point de ses blessures. Une
femme
, nommée Irène, voulant l’ensevelir, le trouva enc
e Dieu qui fut homme et qui est ressuscité, les fidèles d’Adonis, les
femmes
de Byblos, croient reconnaître l’anémone de chair
combinaison des signes. ………………………………………… — La Vierge à l’Épi d’or, la
femme
couchée sur le cercle, la tête en avant, est bien
gorges du Liban, des confins de l’Euphrate, des oasis du désert. Les
femmes
syriennes tressaillent comme par la présence de l
vierges, pleurez Adonis ! Garçons, pleurez ! ……………………………… Pleurez, ô
femmes
de Syrie ! Il va dans la pâle Prairie, Toutes les
ive sept fois plus ardent38. Saint Sébastien a une vision. Les trois
femmes
agenouillées, qui évidemment rappellent les Trois
mes tant pleins et de tristesse ! Ayez pitié de vos jeunesses, de vos
femmes
et vos enfans, que laissez tristes et dolans sans
interventions des démons, les plaisanteries infâmes du vilain, de sa
femme
et de la tavernière, qui, à chaque instant, dans
agit de peindre une fête où sont assis des satrapes, des éphèbes, des
femmes
très belles, les matériaux de l’œuvre sont encore
du peuple par les guerres meurtrières, il a fallu les intrigues d’une
femme
vindicative et tenace, fille d’ErcoIe II, Lucrèce
Léon Baptiste Alberti. Il y avait même un temps où Renata di Francia,
femme
d’Ercole II, apporta à Ferrare un souffle de libe
lord Byron et Carlyle — sont des égoïstes inouïs. Pour d’Annunzio la
femme
ne compte qu’autant qu’elle sert à sa gloire. Il
nne qu’il exalte en l’appelant Flamme. Mais des nobles de France, une
femme
et un homme, arrivent en Sardaigne. Et le drame t
rappez-la. Car elle est plus terrible que le sanglier de la forêt, la
femme
de Paris. Cette œuvre, que les auteurs le veuil
nt. Les affranchis étaient parfois admis dans les collèges. Quant aux
femmes
, on ignore si l’entrée leur fut accordée dans les
re. Elle m’a dit d’appeler celui que je veux. J’ai appelé A… et cette
femme
m’a dit qu’il ne pouvait vivre sans moi ; qu’il s
istesse et de jalousie et il est jaloux surtout parce qu’une méchante
femme
lui a dit que j’en aimais un autre que lui. Que t
line, on y a même vu un portrait d’homme. Ce n’est ni un homme ni une
femme
, mais un exemple de peinture analytique, un probl
y trouve ; les habitants ne sont pas méchants, comme en Piémont ; les
femmes
y sont très fraîches, belles et bonnes ; pour ma
ataire de ces lignes, organisateur du cours, on entendit parler de la
Femme
dans la Littérature italienne, par Mme Valentine
conférences, les deux premières parues en librairie sont celle sur la
Femme
dans la Littérature italienne, et celle sur l’Hum
italienne, et celle sur l’Humanisme. Valentine de Saint-Point : La
Femme
dans la Littérature italienne, E. Figuière, Paris
ussi vaste que profonde, la vision de l’œuvre lyrique accompli par la
femme
italienne, depuis les élans de la singulière Comp
de ses romans, ainsi qu’on le sait, le reste dans cette exégèse de la
Femme
intellectuelle italienne. Une des volontés les pl
dans une sorte de manifeste publié par le Figaro sur le Théâtre de la
Femme
, c’est que la psychologie féminine soit enfin étu
’est que la psychologie féminine soit enfin étudiée et révélée par la
femme
. Avec un extrême bonheur, elle applique cette vol
à l’observation synthétique de la littérature d’au-delà des Alpes. La
femme
italienne y est considérée d’abord comme Inspirat
minines, des préjugés et des devoirs auxquels, durant des siècles, la
femme
a été soumise, dominée plus par l’imagination que
ivaut à dire qu’elle va être très complexe et très complète, chair de
femme
et cerveau d’homme, être au double destin. Donc,
ulement dans son intégralité, pourra être appréciée l’influence de la
femme
dans la littérature italienne. Mme de Saint-Poin
vinise dans l’œuvre d’art. C’est que leur donna Angelicata était une
femme
réelle, qui, un jour, passait sur leur chemin, et
n, et dont la beauté éveillait en leur cœur l’amour. Elle devenait la
Femme
, celle qui résumait toutes les femmes, l’idéal fé
r cœur l’amour. Elle devenait la Femme, celle qui résumait toutes les
femmes
, l’idéal féminin que tout homme porte en son âme.
si psychologue soit-il, n’a pu la déchiffrer ». En affirmant « qu’aux
femmes
il faut reconnaître tout d’abord le génie épistol
tit livre est, nous l’avons dit, le premier essai très complet sur la
femme
dans la littérature italienne. Il est accompagné
enant, où le jeune homme ira-t-il apprendre que la fille n’est pas la
femme
, que l’amour est saint et sublime ; et qu’il faut
provincial, la parole morale, c’était elle qui la prononçait. Sainte
femme
! Que de consciences elle a remuées de son regard
dmiration tous ceux qui se sentent plus seuls, parce que cette divine
femme
a été enlevée ? Allons déplorer la perte de la sœ
épand de lui, tout autour de lui, durant l’heure de son Golgotha, Une
femme
qu’il aima, et dont il fut aimé, disparaît de sa
l s’agit de soigner des malades trop bien portants) des gens, hommes,
femmes
, qui ont entre eux d’involontaires communications
dénommer ces possessions à distance de la cérébralité sensuelle. Une
femme
hystérique, placée secrètement au milieu de la se
porcherie et le jardin pierreux où se tordent des ceps de pinot, une
femme
, un homme et cinq enfants : le feu d’Anne Padoue
e sinon le plus fou des princes de son temps. C’est l’homme aux trois
femmes
, Nicole de Lorraine, Louise-Marguerite d’Aspremon
senza qu’il devait épouser du vivant de Nicole et qu’il appelait sa «
femme
de campagne » ; c’est le brouillon et chevaleresq
maillent, non loin d’autres qui mettent rapière au vent à cause d’une
femme
qui pleure ; cris, clameurs, rires, pleurs, hoque
zza, roman, par Guglielmo Anastasi. — Si je me connaissais en fait de
femme
, j’aurais probablement des observations à adresse
urais pas supposé si philogine ou ginophile. Le symbole suranné de la
femme
qui éloigne à jamais l’artiste de son chemin est
e seuil de l’alcôve… ni sur le bord du lit. La corruption d’une jeune
femme
tombée dans les mains d’un mari insatiable, dont
endit ses antiques à son beau-frère Napoléon, et dont l’effigie de sa
femme
se dresse encore, en son indiscrète nudité, dans
ola, Francia Bigo. Du Sodoma, c’est une Pietà superbe ; de Luini, une
femme
au sourire franc, au regard profond, à la chevelu
s, — un second plus magistral, où est, au premier plan, une figure de
femme
dont les lignes de la robe rappellent l’enveloppe
maître, cette morbidesse qui lui est particulière sont là avec cette
femme
couchée la bouche entr’ouverte par la surprise et
ailles d’amour. Mais l’orgueil de ce Musée Borghèse, ce sont ces Deux
femmes
assises auprès d’une fontaine où se mire un enfan
hes de la nuit. Ce crépuscule ajoute à l’antithèse puissante de cette
femme
, toute lumière sur les frondaisons alourdies, de
de cette femme, toute lumière sur les frondaisons alourdies, de cette
femme
enrobe de satin blanc, les cheveux égayés de jasm
À l’autre extrémité de la fontaine où se mire le bambin, cette autre
femme
, toute splendeur dans sa nudité aux lignes harmon
figure-là, vous l’avez vue, au Louvre, dans le Salon Carré : c’est la
femme
du grand Giorgio, celle du Concert champêtre de B
trarque chantait : « Ma sublime flamme… » ; M. Brisset préfère : « La
femme
adorée… » (XXI, à L. m.). Pétrarque en sa qualité
a sinistre lueur n’avait jamais éclairé un aussi superbe spectacle de
femmes
ivres et nues, enguirlandées de pampres, titubant
corps, fouettés par le vent et enveloppés par la fumée, avaient de la
femme
les formes exquises, et tenaient de la bête par l
provisée. Et l’exemple paraissait si contagieux, parmi cette bande de
femmes
, qu’elles accouraient de toute part, apportant de
one de la mer ; et de nouveau le sifflement des flammes, les cris des
femmes
, l’embrasement du bûcher par la violence du vent.
supplice volontaire. — Quand viendra Orphée, cria Stérope aux autres
femmes
, nous lui ferons chanter les beautés du feu. Cell
le feu, qu’il ne s’éteigne pas. Apportez du bois. Alors, un groupe de
femmes
, qui se tenaient loin de la fournaise, et qui, go
roduisaient un bruit sourd en tombant sur le feu. Bicornide, la jeune
femme
aux yeux longs, apporta, en titubant, de nouvelle
isait-elle en riant ; — ne me regarde pas, ne ris pas. Mais la grosse
femme
, étendue par terre, s’appuyant sur les mains et r
la mer, et Cypris fut contrainte d’abandonner sa victime. Toutes les
femmes
se tenaient en rond autour de l’ardente fournaise
lumière mille fois plus forte, d’un rouge effrayant. En ce moment les
femmes
étendues sur le ventre, avec leurs cheveux sembla
e membres immobiles et de longs cheveux, montrait le repos des autres
femmes
, chez qui la fatigue avait agi plus encore que l’
i appuyait sa tête sur sa poitrine, et apporta les amphores. Pour ces
femmes
exténuées, une nouvelle vie semblait découler de
rauques. Et le frisson, le vent de la folie effleurait les têtes des
femmes
avec une nouvelle violence ; c’étaient comme des
comme des élans terribles, sous lesquels tombait ce qui restait de la
femme
, pour pousser aux dernières limites la matière de
diquait en bas la route sinueuse. Ce fut comme un cri de guerre : les
femmes
se pressèrent derrière Stazia, pointant leurs reg
it Stérope en battant des mains dans un élan de joie. Puis toutes les
femmes
se turent. Et à l’instant où elles caressaient de
oportionné, d’une élégance incomparable ; et les formes arrondies des
femmes
qui entouraient le poète, leurs seins gonflés fai
quittant soudain son air enjoué. Mais il n’obtint aucune réponse. Les
femmes
, charmées par sa voix mélodieuse, continuaient à
nt tout d’un coup — sa peau de tigre était tombée à ses pieds, et les
femmes
n’avaient pour tout voile que leur chevelure en d
certaine distance. Il n’y eut alors qu’un seul cri ; et le groupe des
femmes
se précipita en avant, se serra en une masse comp
du danger. Il fixait son regard devant lui, admirant la beauté de ces
femmes
en furie, devant lesquelles s’avançait Stérope, l
, demandèrent les Bacchantes, pour qui te réserves-tu ? Du groupe des
femmes
, les voix partaient en chœur ; et la voix d’Orphé
— s’écrie Bicornide en étendant les bras d’un air suppliant. La jeune
femme
était enveloppée, depuis la taille jusqu’aux pied
limpide, couleur de topaze. Encore indécises à l’égard d’Orphée, les
femmes
suivirent d’un œil attentif sa façon de porter la
tu quelquefois goûté l’amour ? Cette demande plut beaucoup aux autres
femmes
qui la répétèrent comme un écho sur des tons diff
eur, s’étendait à l’infini, et il se trouvait encerclé par les jeunes
femmes
, acharnées dans leurs questions. Orphée resta un
r avec ces jaillissements d’écume. Puis, reportant son regard sur les
femmes
, il vit le cercle se resserrer sans cesse autour
s se précipiter dans l’abîme. Alors il perdit courage, et regarda les
femmes
avec inquiétude. — Que voulez-vous encore ? deman
lace et cessez cette plaisanterie. Il y eut un long murmure parmi les
femmes
; déjà chez quelques-unes les yeux avaient des re
barrière des vagues tantôt énormes, tantôt basses. La respiration des
femmes
était devenue lourde et sortait avec peine de leu
pper ; mais à peine le thyrse fut-il dans la main de la furie que les
femmes
reculèrent toutes ensemble, l’arme s’abaissa, fut
la nuit ; et quand la lumière fumeuse couvrit le corps d’Orphée, les
femmes
le regardèrent en silence, tandis que ses yeux à
s yeux à lui, un peu voilés d’une ironique tendresse, regardaient les
femmes
. Les membres du poète avaient une splendeur d’ivo
éplais ? — Il est mort ! Il est mort ! répétèrent en chœur les autres
femmes
. — Maintenant, il contemple d’autres images. — Vo
urieuses, s’étendait en une plaine infinie. — Adieu, Orphée ! cria la
femme
en élevant son fardeau. — Adieu ! Adieu ! répondi
ropisie, maître Adamo de Brescia, et l’on devine, non loin de lui, la
femme
de Putiphar et le fourbe Sinon aux corps fumant «
lys précèdent le char, qu’entourent le Tétramorphe évangélique et des
femmes
symbolisant les vertus. D’autres vieillards vénér
onstate, je ne discute pas ; chez les hommes et un peu aussi chez les
femmes
modernes, on apprécie beaucoup celui qui entoure
ouvenirs d’alcôve, toutes les folies et les postures amoureuses d’une
femme
, dont on lit clairement le nom sous le pseudonyme
prétexte d’étudier d’après nature, amène trop fréquemment des modèles
femmes
; ce sont Moreau et Guillard qui sont houspillés
pouilleux, pour une écuellée de soupe, au guichet d’un couvent ; ces
femmes
qui vont sans rouge et la coiffe sur le nez, un s
tandis qu’autour de lui on danse, que des musiques résonnent, que des
femmes
, affranchies des mégères et la figure nue, s’éche
n arriva à Rome. Depuis l’abbé de Choisy, qui passa sa vie habillé en
femme
, jusqu’au moins joyeux abbé Terray, dans toute la
t la vie et le plaisir, notamment sous la forme souple et tactile des
femmes
jeunes et jolies ; trouvant le temps d’aimer auss
tile des femmes jeunes et jolies ; trouvant le temps d’aimer aussi sa
femme
à lui, sa vieille mère et les pauvres diables san
pas vertigineux, il s’aperçoit trop tard qu’il a ouvert les yeux à sa
femme
, qu’il a tué sa mère malade, dont les plus douces
, dans L’Oasis, l’auteur nous donne un pendant, avec l’adultère de la
femme
, Camille, qui abandonne sa maison, son mari et un
de tous ses espoirs, dans le désert sentimental où la trahison de sa
femme
le jette brusquement, trouve son oasis, l’amour p
me une Claire Bregh ; et alors, puisqu’il n’y a plus rien à faire, la
femme
de Maurice Clarena revient. L’homme, fou de doule
tère. Il est seul ; il a peur du monde, de l’avenir ; il reprendra sa
femme
, il traversera avec elle la vie lourde et inutile
a mort du protagoniste, soigné dans ses derniers moments par les deux
femmes
, la comtesse de Hatzfeld et Mlle Donniges, qui lu
e XLV, numéro 159, mars 1903 Littérature. Lucie Félix Faure, Les
Femmes
dans l’œuvre de Dante (Perrin) Remy de Gourmont
3‑750 [744]. — Voici un livre d’érudition à la fois et de charme, Les
Femmes
dans l’œuvre de Dante. Elles y sont bien plus nom
qu’on ne le croit. Dante n’aima pas que Béatrice. Je ne parle pas des
femmes
en lesquelles il voulut personnifier, comme en Ma
ndaire de victime, et non dans un mouvement de colère, dans un mot de
femme
qui veut toujours avoir raison. Voilà une belle h
une chaîne de fer, on entrevoit, debout sur un piédestal en bois, une
femme
nue, autour de laquelle s’enroulent les monstrueu
qui semblent prendre racines dans le cerveau d’une cadavérique petite
femme
aux paupières douloureusement baissées. “La Fleur
douleur et de la maladie pour les reporter sur des tristes visages de
femmes
ou d’enfants, précocement flétris, qu’il évoque é
sache écrire des vers admirés sinon admirables. Le poète vit avec sa
femme
Olga et une jeune fille, née d’un mariage antécéd
crivain lui répond qu’il se trouve là pour un rendez-vous non avec la
femme
du grand poète, mais avec sa fille. Ascoli lui im
n homme qui aima la vie passionnément et pour elle-même ; pour qui la
femme
fut, à vrai dire, la chose la plus importante au
ns minières. Parfois, nous croisions, sur la route, des hommes et des
femmes
revêtus de leurs habits du dimanche ; puis, un lo
ai trouvé une histoire inachevée sur Roland, et une aventure avec des
femmes
dans une cave ; puis une « Méditation à mon lever
oits divers, souvent « poste restante ». Beaucoup sont des lettres de
femme
; certaines, d’une superbe écriture et sur du pap
, écrit l’une, Carissimo e amatissimo écrit une autre. Ces lettres de
femmes
sont en grand désordre et elles auraient besoin d
J’en ai retrouvé un grand nombre, quelques-unes signées de son nom de
femme
, tout au long : « Henriette de Schnetzmann, » et
sé, il n’est pas séparé ». Mais bien que naturellement les lettres de
femmes
m’aient surtout intéressé, elles ne formaient qu’
e correspondance étendue, à la fois avec des hommes distingués et des
femmes
délicieuses. Son activité cérébrale jusqu’à l’âge
qu’il disait la vérité, quand il nous raconte ses aventures avec les
femmes
. Mais les lettres contenues dans ses manuscrits n
mes. Mais les lettres contenues dans ses manuscrits nous montrent les
femmes
de Casanova lui écrivant avec toute la ferveur et
btuse qui raconte le tyranneau féodal, l’homme de proie, un visage de
femme
, douloureux et songeur, mais de femme endurcie po
l’homme de proie, un visage de femme, douloureux et songeur, mais de
femme
endurcie pour n’avoir jamais été heureuse et n’av
; puis la facture ; enfin, une composition inattendue et des types de
femmes
et de bestiaux qui stylisent en beauté les plus h
taine de montagne. C’est aussi puissant, frais et rose que la tête de
femme
alitée intitulé Pétale de rose. Comme dans ce fam
es : et l’évocation de la Madone existe encore, du seul fait de cette
femme
priant, inclinée sur la tête de son enfant et dev
sera un tronc, les feuilles deviendront des branchages, le calice une
femme
, — vase d’élection, rose mystique, dit l’Église d
Litanies de la Vierge, — et au fond de la fleur, dans le giron de la
femme
, le pollen aura fructifié en un adorable enfant t
une sorte de cadavre verdâtre s’enlève, soufflant de l’air ; puis une
femme
, presque étreinte par lui, expectore des fleurs ;
resque étreinte par lui, expectore des fleurs ; puis une autre grande
femme
sourit, la robe parée des mêmes fleurs ; ensuite
et peinte, pourrait être présenté désormais comme le type parfaite la
femme
chez le maître. Il existe une version nocturne de
nt exact où le péché s’embranche, il le découvre dans le moment où la
femme
prend pour elle-même conscience de sa beauté. Dès
-même à laquelle se livre une svelte, gracieuse et narcisséenne jeune
femme
. Elle éploie sa chevelure rousse au-dessus du mir
ner le monde. Renversé sur le clos à l’endroit de l’image de la jeune
femme
, il en imite bestialement les grâces ; il se fait
la première surprise passée, qu’il paraisse assez amusant pour qu’une
femme
puisse se complaire à ses yeux, à la vivacité de
out est bleu ou rose, tout est rose et bleu chez M. Zandomeneghi, les
femmes
, les fleurs, les oranges et les pommes. Tout est
use s’agita patrialement dans l’atmosphère que respiraient ces quatre
femmes
fausses d’élégance, aux roturières ligues. Mais v
es se composent mélodiquement, quel fond grave donne aux trois jeunes
femmes
en pleine lumière — roses et bleues — la dame en
se serait épargné la peine d’écrire sur sa liste trois mille noms de
femmes
; il n’en aurait tracé qu’un, et les ailes de son
ntaire ? Il n’est pas de beau visage sans cils et sans sourcils — les
femmes
y ont elles-mêmes toujours attaché la plus grande
ais le diable, qui est méchant, pourrait se formaliser. » Sterne. Les
femmes
ne s’habillent que pour exciter le désir de les d
ère Adam, quand il consentit que Dieu prît une côte pour en former la
femme
. Emerson. Je n’ai rien à dire contre la femme, si
côte pour en former la femme. Emerson. Je n’ai rien à dire contre la
femme
, sinon qu’elle ne ressemble pas assez à l’homme.
r, quelques instants, avec lui ; puis nous le vîmes s’avancer vers sa
femme
, Aurora, qui traversait le palier. Il lui baisa l
t en réalité, répondis-je. — Crois-tu ? demanda Paolo. — Une pareille
femme
ne saurait se toquer d’un individu pareil ! L’as-
ît être le plus intéressant des trois. Je l’ai observé, tandis que sa
femme
chantait… criait un désir, plutôt. Le masque d’un
ute ; et, s’il ne martyrisait par sa seule présence la plus belle des
femmes
, il ferait ma joie ! Où puis-je te mener ? — À la
vous à Stella-Lucente. — M’autorisera-t-il à faire le portrait de sa
femme
? — Je l’espère ! Je lui décrivis la fête à laque
rès un court silence : Vous avez peut-être eu tort de parler de cette
femme
comme vous l’avez fait, Aldramino. La Ceschini ne
t est-il physiquement ? » Cela seul intéresse Antonio. Il sait que sa
femme
porte un cœur irrité, qui ne s’est jamais révolté
d’un violent caprice. Elle en est, à vingt-sept ans, au point où une
femme
joue le tout pour le tout, et n’hésite plus entre
que l’amour d’un audacieux pouvait toucher le cœur d’Aurora ; qu’une
femme
se moque, si bon lui semble, des cruautés d’une n
dans ses propriétés de Lombardie. Antonio s’appliqua à reconquérir sa
femme
. Il s’y appliqua avec la maladresse des brutaux q
pour épier tout ce que pouvait susciter en elle la fréquentation des
femmes
heureuses, et des jeunes gens qui auraient pu lui
de loup, gravit les deux étages qui conduisent aux appartements de sa
femme
. Son cœur bat. Il ouvre doucement la porte. Il ig
, déclara-t-il à John-Arthur qui s’inclina. Puis, se tournant vers sa
femme
: — Vous aviez l’intention de sortir, Aurora, dit
s gens ! Il vous a accordé, immédiatement, de faire le portrait de sa
femme
et cela vous émerveille ! Je connais mon Antonio,
sir étrange : il joue avec sa jalousie. Faire faire le portrait de sa
femme
est contre tous ses principes. Il a refusé, très
proche-t-il de ne s’être pas indignée à la pensée de rester, elle, la
femme
d’un Stella-Lucente, sous les regards, inquisiteu
nnoncé, et devant la Ceschini, qu’il avait commandé le portrait de sa
femme
à mon ami Wellseley. Quant à ce dernier, contrari
s deux embarcations se heurtent, parfois. Au moment où le chant d’une
femme
jaillissait en un cri qui se brisa en vocalises,
tonio le priait, fort poliment ma foi, de commencer le portrait de sa
femme
. Voici le récit de cette première séance. — J’arr
Lorsque j’eus disposé ma toile, Antonio s’éclipsa, et revint avec sa
femme
: « Nous allons nous mettre au travail », fit-il.
z révélé sur les Stella-Lucente hante ma mémoire. L’attitude de cette
femme
et celle de cet homme me parurent tragiques. Nous
oile perdue dans un ciel d’orage, voilà mon démon qui m’emporte ! Une
femme
attend ! J’échafaude une tragédie d’amour. Que di
roniques ;.dans ce décor pompeux et mort ! Venise est belle comme une
femme
qui aurait expiré en prononçant un mot d’amour, e
balcons avec des échelles de soie, pénètrent dans des chambres où des
femmes
sont fatalement infortunées… L’arrivée de Mondell
la réalité, sans doute ! Après le dîner, Antonio était monté chez sa
femme
, qui avait prétexté une migraine pour demeurer se
e, avec ses yeux verts et sa crinière rousse, à Lucrezia del Fede, la
femme
d’Andrea del Sarto ! — C’est exact, répondit Well
sa chambre. Elle entra sans se faire annoncer, et, avant que la jeune
femme
ait eu le temps de se lever, elle l’embrassa sur
pirer un chef-d’œuvre ! Oh ! ne vous révoltez pas ! Il faut aimer une
femme
pour l’immortaliser ! Il faut l’aimer avec son cœ
il ferait le mien ! Je vous parais exagérer. Certes n’importe quelle
femme
peut servir de modèle, poser devant un peintre co
r devant un peintre comme devant un photographe ! Mais je parle d’une
femme
comme vous ! Elle s’approcha d’Aurora, les sourci
… je sais ce que signifient certaines expressions sur les figures des
femmes
! J’ai vu du mystère sur vos traits, pendant que
t : — Reconduisez Mme Ceschini. Dès son retour, Antonio reprocha à sa
femme
de demeurer en relation avec Nina Ceschini. — Je
Si je parvenais à noter les mélodies qu’éveillent en moi une voix de
femme
dans la nuit, les vagues, les fleurs, j’écrirais
e moi. J’entends ses mouvements d’impatience : c’est le mari de cette
femme
! Je ne peux lever les yeux sur elle, sans le voi
-chiourme. Il n’ose pas, cependant, me laisser en tête à tête avec sa
femme
. Il a, à son service, un gondolier du nom de Bepp
e encore la destinée de votre divin modèle ! J’ai un culte pour cette
femme
, un culte de chevalier ! Parfois, j’approuve ce f
s-reliefs de Donatello, de Luca della Robbia, de Laurana (une Tête de
femme
aux yeux baissés, sœur de celle du Louvre), de Mi
gauche, la souleva, et la laissa retomber sur les genoux de la jeune
femme
, que ce manège fit sourire. Le bras se posa avec
urora d’ôter son collier. Et il dessina, pour lui, le cou de la jeune
femme
, l’ovale de son visage et les mouvements de ses c
. — C’est exact ! certifia Antonio. — Existe-t-il un modèle, homme ou
femme
, qui ne soit pas curieux de savoir ce qu’on a tir
arades ? — Comme de moi-même ! Ensuite, Antonio retourna auprès de sa
femme
. Elle lisait dans l’atelier. — Mauvaise idée que
gements étaient survenus dans les rapports de Stella-Lucente et de sa
femme
. Je désirais, surtout, la voir, elle, car l’attit
vai-je cependant. — Aurora a les mêmes craintes. Que peut faire cette
femme
contre nous ! — Dans le monde, mon cher Antonio,
te. Elle n’entendit pas. — Aurora ! Et, comme il répétait ce nom, une
femme
, accompagnée par des tambours de basque et des ca
lé ! Et, avec une maladresse brutale et douloureuse, il interrogea sa
femme
sur Nina : — Elle est trop souvent ici ! Elle ent
ornait le revers de son smoking, ferma la fenêtre, se campa devant sa
femme
, la tête basse : — Toute blanche, sur le balcon,
auparavant, au moment de fuir avec le Comte Janish. Elle n’était plus
femme
, aujourd’hui, à redouter le scandale ou le drame.
pprocher d’Aurora, et il la conduisit dans la serre déserte. La jeune
femme
s’assit près des fenêtres que voilait un store. E
à plus tard ? » Il avait peur que le courage, la révolte de la jeune
femme
ne s’évanouissent devant Antonio et devant son pè
à s’installer dans l’embarcation. — Où allons-nous ? demanda la jeune
femme
. — À l’aventure. Cela vous ennuie-t-il ? — Non. V
-t-il ? — Non. Voici le Rialto, la Ça d’Oro… L’irritation de la jeune
femme
s’accentue. Elle n’ose pas regarder son compagnon
es exact, mon père. J’ai les billets. Il n’adressa pas la parole à sa
femme
, qui interrogea : — Nous partons ? — Que vous en
mit en marche. — Vos effets ont été emballés, dit alors Antonio à sa
femme
. J’ai vidé vos armoires, et n’ai rien oublié ! —
ment, réunit les rideaux sous la lampe et dit : — Laisse dormir cette
femme
! * Le jour suivant, vers midi, un domestique d’A
s avec les vêtements de la Signora. Il m’a fait, ensuite, écrire à ma
femme
: « Informe-la de ton départ, ordonna-t-il, et di
la mettra à la poste, à Padoue. Nous nous dirigeons vers Mantoue. Ma
femme
demeure à Chioggia, 367, calle Olivatti. Je lui é
la place, répondis-je. C’est évidemment mieux que rien. Attendons la
femme
de Beppo. * Quand Aurora se trouva seule dans sa
les Arranguez et les Boursault-Coudray. Nous reçûmes la visite de la
femme
de Beppo : — Je vais à Mantoue, gémit-elle. Beppo
en pleine poitrine. L’accident avait été constaté. Antonio priait la
femme
de Beppo (son ancienne maîtresse) de venir prendr
! murmura Aldramino. Il a été vite en besogne ! Wellseley confia à la
femme
du gondolier une lettre pour Aurora. — Ne craigne
donnai-je au gondolier. Et une fenêtre s’ouvrit, lentement. Une jeune
femme
apparut. Elle avait un flambeau à la main. Elle é
ent des joies d’émaux autour de l’allure blanche des Mauresques. Deux
femmes
, une Espagnole jeune et une vieille Maugrabine, d
rmes, d’élans d’amour et de mélancolie que j’ai passés en Italie sans
femmes
, sous ce climat, à cette époque de la vie, et san
ans sa carrière amoureuse jusque-là exceptionnellement brillante. Une
femme
, la plus étrange et la plus terrible, peut-être,
n et cette démarche noble et gracieuse qui donne tant de charme à une
femme
ordinaire. La physionomie douce et ouverte avait
rpillon, il eut la surprise de retrouver auprès d’elle trois vieilles
femmes
, sa mère et ses tantes, qui n’étaient pas pour lu
e de Conchita Perez de Garcia, l’héroïne du roman de Pierre Louÿs, la
Femme
et le Pantin. Lorsque Casanova, lorsque Don Mateo
leur singulière infortune et content leur première rencontre avec la
femme
qui devait ravager leur vie, tous les deux font,
mes différents, une réflexion identique : Le jour où je connus cette
femme
fut un jour néfaste pour moi, mes lecteurs pourro
’action se prépare, s’engage et se développe de la même façon dans la
Femme
et le Pantin, et dans les Mémoires de Casanova ;
rs. Par-delà notre littérature réaliste et romantique, l’auteur de la
Femme
et le Pantin se rattache à la lignée des Crébillo
e harmonie des caresses, la préoccupation constante, exclusive, de la
femme
et de l’amour, tels sont les motifs essentiels qu
documents personnels, de lettres, de confidences, cette Histoire des
femmes
que j’ai connues, dont l’auteur, en la dissimulan
e souhaite à M. de Roberto qu’elle existe réellement, à Sienne, cette
femme
spirituelle), où l’on traite des cas amoureux, où
trop d’histoire naturelle comparative, M. Mantegazza est un ami de la
femme
, à la Michelet ; il pense toujours qu’on peut tir
Cependant, M. Mantegazza n’est pas aveugle ; il a un penchant pour la
femme
, en homme de science qui en connaît toutes les fa
es personnages de M. Fogazzaro sont trop enclins à la sacristie ; ses
femmes
sont raides, arquées par la vertu chrétienne pous
is : car Alexandre aime Blanchemarie, et pour elle il oublie Anne, sa
femme
, la voyante aveugle prête à se sacrifier au bonhe
emble qu’il n’y ait pas lieu pour ce tableau d’exister. Ailleurs, une
femme
dans un fauteuil s’étire avec une pose tragique e
ferme la pensée mystique qui le guide dans le corps des hommes et des
femmes
qu’il a sous la main : la fille du peuple qui a q
tresse du duc. Pour elle, Sigismond avait déjà empoisonné sa première
femme
, Geneviève d’Este, comme il devait, dans peu, étr
se, en l’obligeant à faire son portrait, celui de Battista Sforza, sa
femme
, et leur Triomphe à tous les deux. Frederico de M
qui conservait comme une merveille, dans sa bibliothèque, le Bain des
femmes
de Van Eyck. Il semble qu’il y ait mis toute sa s
s et immémorables pour lui. Il en arrive à déchirer le portrait de sa
femme
dont le jeune André lui avait fait cadeau ; sa fe
e portrait de sa femme dont le jeune André lui avait fait cadeau ; sa
femme
est morte, et ce tableau, toujours devant ses yeu
rèce ancienne lui inspira plusieurs pièces de théâtre : Alcibiade, La
femme
de Ménéclès, Nycarete, etc., où rien ne manque, h
passion. Plus heureux que tant d’autres, qui apprennent l’amour et la
femme
dans des lieux à peine tolérables, Attilio trouve
me, qui veut arracher l’enfant naïf aux tendresses empoisonnées de la
femme
et la femme aux transports fiévreux de l’enfant,
arracher l’enfant naïf aux tendresses empoisonnées de la femme et la
femme
aux transports fiévreux de l’enfant, est une figu
révoltes de Milan. Vous avez insulté l’armée par vos cris ! La pauvre
femme
interpellée par le militaire répond : J’ai crié «
crié « du pain ! du pain ! » Cinq ans de réclusion. Des centaines de
femmes
, d’ouvriers sans travail, ont été ainsi envoyées
intelligence, car il est plus facile, certainement, de poignarder une
femme
qui se promène toute seule que l’empereur d’Allem
mme l’assassin, que les gens qui ne travaillent pas, et notamment les
femmes
qui n’ont pas les yeux rouges et les mains noires
c’est sans doute le rêve socialiste, ce n’est pas le mien. Quant aux
femmes
, il n’est pas exagéré de dire que l’oisiveté est
exagéré de dire que l’oisiveté est la mère de toutes leurs vertus. La
femme
est absolument faite pour ne pas travailler et, c
pas. C’est à ne rien faire qu’elle fleurit de toutes ses fleurs. Les
femmes
qui ne travaillent pas sont la beauté du monde et
t la beauté du monde et la terre ne sera habitable que lorsque aucune
femme
n’aura de labeurs que ceux qu’elle s’imposera ell
paraît, il, est une dame. Cela ne me déplaît point, d’ailleurs ; les
femmes
ont si peu coutume de fournir une lecture substan
’Architecture a procédé de la différence du corps de l’homme et de la
femme
… ». C’est exquis. Le Bernin avait fait, au reste,
age mentionné pour certain pays d’Allemagne, au moyen âge. — Pour les
femmes
en Abyssinie, voir le curieux chapitre : Madames
s est dû à l’acquisition qu’il vient de faire d’une admirable tête de
femme
en marbre de l’art attique, vers 460 avant J.-C.,
lque sorte le lieu où on le place, comme la parure enjolive une belle
femme
, comme un costume traditionnel s’adapte à un peup
u du mélange est éprouvé ; et il ne reste que malaise et dégoût : Les
femmes
italiennes, sans doute, ont les mêmes inconvénien
l japonais de deux sous, que l’on trouve à cette heure aux doigts des
femmes
du monde entier. Avec ce bibelot elle a des airs
ien que de l’ouvrier, et une assez laide casquette ; dans celui de la
femme
, rien que de la campagnarde ; et pourtant on sent
sommeil. Notre homme alors a tiré sa guitare, et, assis auprès de sa
femme
, qui allaitait le plus petit, il s’est mis à chan
ant qu’il était ainsi plongé dans les délices de l’art instinctif, sa
femme
le voulait interrompre de paroles et de gestes, l
nstrument, pour voir une dernière fois Messine. Parmi les visages des
femmes
siciliennes, je retrouve un lointain air arabe et
que la culture féminine est moins grande en ce pays qu’en Orient ; la
femme
n’est pas un objet de luxe, mais d’utilité, elle
onnaient ces Florentins naturellement doués du talent de conteur. Les
femmes
seules restaient à la maison. Elles vivaient dans
s plus ardents n’entraînent plus guère que les masses ignorantes, des
femmes
, des enfants, des simples d’esprit ; leur influen
admirable. La Passion compte trente-cinq personnages masculins et dix
femmes
. Mais les chœurs aussi ont voix au chapitre, car
à la librairie Plon. Les Revues. La Revue : La force morale de la
femme
, d’après Mlle Paola Lombroso Charles-Henry Hirs
uméro 282, 16 mars 1909, p. 348-355 [353-354]. La force morale de la
femme
trouve un éloquent défenseur dans Mlle Paola Lomb
ent coudées par ses effets, par ses résultats sociaux, tout ce que la
femme
peut faire pour un individu. Mais la force morale
n seulement quelquefois, mais toujours, déploie, quand besoin est, la
femme
pour consoler, servir un seul individu (parfois i
hommes devraient tenir un plus grand compte de cette propension de la
femme
à être héroïque et se montrer plus indulgents env
ir toutes, sans exception, des reines sages et fécondes. Telle est la
femme
en général. Elle ne prétend et n’aspire à être au
rt d’être d’un avis diamétralement contraire. Aussi bien le but de la
femme
n’est pas « la force morale ». Toutes celles qui
veuglement pitoyable. Au point où nous en sommes, il faudrait que les
femmes
fussent soldats dans toutes les nations. En moins
ns de rien, la guerre en serait supprimée, — non qu’elles soient, les
femmes
, plus lâches que les lâches hommes, mais elles s’
r des anarchistes, les belles idées qui tuent ; c’est le mépris de la
femme
». Arrêtons-nous. M. Marinetti, avec ses airs de
e H. J. Brunhes sur Ruskin et la Bible, de G. F. Hue sur Ruskin et la
Femme
, de Jacques Bardoux sur John Ruskin et le mouveme
, dont la nature est humide. Plusieurs physiciens ont soutenu que les
femmes
ont beaucoup plus de plaisir que les hommes : l’h
us de plaisir que les hommes : l’homme a trois onces de plaisir et la
femme
neuf. Cependant, un fâcheux fit observer que cela
er. § Il a été tenu pour certain que les incubes se mêlaient avec les
femmes
. L’amour, a-t-on dit, maîtrise aussi les plantes
ynécée signifie peut-être que ce ne sont pas toujours les très belles
femmes
qui incitent le désir. § Zeuxis, voulant tracer l
terrifiants portraits est bien une synthèse. Voilà comment toutes ces
femmes
dardent de leurs appas non le gentil Cupidon, mai
nts amoureux. C’est ainsi que, stylées à la leçon rusée de Vénus, ces
femmes
dressent ses pièges, ses stratagèmes, manient les
ctualité de l’ouvrage ; et il déshabille à son tour tous ces corps de
femmes
trop véridiques. Puis il nous invite aussi à y ch
(février-mars) publie sous ce titre : « L’émotion nouvelle. Propos de
femmes
», des pensées de Mme Aurel. Elles sont exquises.
a de Rome, figura ensuite à Anvers sur le tombeau de sa mère et de sa
femme
, œuvre non moins superbe que le Saint Georges qui
méprisant, cette nation efféminée, aux arts galants, aux cités et aux
femmes
galantes, aux écrivains et aux officiers galantin
et de crédulité, quelle attirance exerce sur le Français du Centre la
femme
italienne, plus courageuse, plus noblement humain
à Mme Sibilla Aleramo dont M. Pierre-Paul Plan vient de traduire Une
femme
, livre féministe sobre, fort, angoissant de vérit
vérité, qui est la plus saisissante confession de la passivité de la
femme
en même temps qu’une revendication pathétique con
e, parmi dix autres20, M. Andreotti, modeleur fiévreux et ferme de la
femme
moderne en ses gestes d’un décoratif à la fois na
de Noailles et nos Henri de Régnier21 ; Mme Cousturier est parmi les
femmes
le poète le plus chaleureux de la lumière méditer
ominant les cris et les rires des enfants qui jouaient au dehors, une
femme
appelait, avec de longues et tendres inflexions,
e sa « bonne fortune ». Au fait, en est-ce une jamais que d’aimer une
femme
de lettres, ou même d’en être aimé ? Tome LXX
immédiatement au lecteur que l’évocation de la malheureuse Crétoise,
femme
de Thésée, n’est pas tout à fait celle de notre l
du Soleil et de l’Océanide, agite les membres douloureux de la jeune
femme
. Phèdre n’est plus la blonde souffrante éprise de
ts sont de formidables hennissements. Phèdre n’est donc plus la jeune
femme
fatiguée, lasse de trop aimer, d’Euripide et de R
emme fatiguée, lasse de trop aimer, d’Euripide et de Racine. C’est la
femme
qui aime et qui convoite brusquement, sans se las
n’abaisse pas la hache meurtrière que sa fureur avait levée contre la
femme
. Il part, mais pour ne plus revenir. Car à Thésée
acine, proclamer l’innocence de l’adolescent. Mais elle n’est plus la
femme
qui s’excuse et se traîne sans noblesse ni lyrism
e offrande printanière. Dans Phèdre, de Racine, c’est la mélancolique
femme
qui domine, la faible femme éprise d’un amour qu’
Phèdre, de Racine, c’est la mélancolique femme qui domine, la faible
femme
éprise d’un amour qu’elle n’est pas digne de supp
cloches — il n’y fut pas trois jours sans tomber amoureux, « car les
femmes
y jouent volontiers du serrecroupière ». Il sembl
professeur. À Avignon, l’automne finissant a ses charmes encore. Les
femmes
ne laissent point d’y être belles sous les rayons
notre homme, de par cette transition inattendue, sur le chapitre des
femmes
, il y reste et s’y étend avec complaisance. L’oi
et après avoir entendu la messe aux Frères Prêcheurs, tous, hommes et
femmes
, s’en allèrent chez ; Madame Fortia72, qui demeur
ités premières qui n’étonnent guère nos collégiens d’aujourd’hui. Les
femmes
lui apparaissent comme des créatures dignes de re
pathétisme socialiste de Mme Ada Negri, comme de la poésie. D’autres
femmes
, très nombreuses, s’acharnaient à atteindre la re
t d’un coup à la hauteur déjà atteinte en deçà des Alpes par quelques
femmes
poètes, dont le lyrisme contient des principes de
e à l’antique, et l’eurythmie parfaite des gestes simples de la jeune
femme
. Dans les vapeurs du vin et la fumée de la cigare
bre voisine et la bouche qui les proférait était sûrement celle d’une
femme
douce, résignée, pitoyable. Tout attendri, Bélisa
nankin, tout contre la cloison de sa chambre, se tenait une admirable
femme
brune, les cheveux répandus en pèlerine sur ses é
ent, les mains unies, sur le sofa nankin. Et, tout de suite, la jeune
femme
, qui avait laissé ses bras autour du cou de Bélis
à sa prison et qu’il fût venu précisément à l’heure même où la jeune
femme
s’était, pour la première fois, livrée à un déses
t ce qui, de près ou de loin, pouvait ramener sa pensée vers la jeune
femme
, il retrouvait partout son souvenir. Jamais fils
re, il devait retrouver Totila. À genoux, les mains jointes, la jeune
femme
égrenait un lourd rosaire, avec une dévotion si a
èrent aussitôt monter deux : fines colonnes d’albâtre. Puis, la jeune
femme
, souriante, admira l’intimité de ce coin de verdu
au du Clitumne balançait près du moulin la barque vide ; au loin, une
femme
cueillait du cresson sur la berge… c’était elle,
pprocha-t-il du sofa nankin avec une sorte de solennité. C’était « la
femme
» tout entière que le jouvenceau croyait tenir da
e crise de désespoir dont Bélisaire s’effraya. Que ferait-il de cette
femme
, le jour proche où il lui faudrait la quitter déf
nes verts et sacrés, il composa une ode à la Nature, à l’Italie, à la
Femme
. Après l’avoir recopiée, il s’endormit doucement,
crut sincèrement rencontrer pour la première fois le type idéal de la
femme
. Que pensait-il alors de Totila ? Il n’en pensait
t de tout.… « pour elle ! » — Monsieur, cette statuette ? — La petite
femme
verte ? une belle pièce, n’est-ce pas ? — « Une b
tincelant della Robbia. Bélisaire entra et, s’adressant à une vieille
femme
coiffée d’un foulard ocre à roses pourpres, il de
a mésaventure. Il se rappela sa jeunesse triomphale et le cortège des
femmes
, aussi, qu’il avait aimées un peu, beaucoup, plus
menace d’un destin mauvais et de même que lui il a sous sa garde une
femme
qu’il aime passionnément, Mevena, la fiancée de s
ésir de cette naissance suffit à mouvoir des énergies, à donner à une
femme
, qui sera sa mère, la volonté âpre et indomptable
. M. Giustino Ferri, dans La Camminante, compose un être étrange, une
femme
, qui sort du mystère de sa vie vagabonde et pauvr
e conduire le plus indécemment encore que légalement du monde avec sa
femme
. Il la détraque à plaisir, en somme, comme il fer
Stendhal a dit quelque part d’Avignon que c’était la ville des jolies
femmes
(Mémoires d’un touriste, Paris, 1838, I, p. 314).
ice-légat d’Avignon de 1554 à 1560. 40. Peut-être Marguerite d’Urre,
femme
de Faulquet de l’Espine, seigneur d’Aulau. 41. P
llus Itala majus habet. 46. Sans doute Jeanne de Baroncelli-Javon,
femme
de Pierre de Doni. 47. Jeanne de Lascaris ou de
-Javon, femme de Pierre de Doni. 47. Jeanne de Lascaris ou de Tende,
femme
de Paul d’Albert de Mondragon. 48. Georges d’Arm
evet du 24 août 1556, lors de la réunion de cette île à la France. Sa
femme
était, d’après Pithon-Curt, Yolande de Perez, fil
comte de Suze. 70. François de Lestrange. 71. Suzanne de Lestrange,
femme
de Jean de Montcalm, seigneur de Tresques. 72. S
195 [194]. Loulou, par G. Rovetta. « Histoire italienne d’une petite
femme
». Tome XLIX, numéro 171, mars 1904 Arch
ès le phénomène de Nietzsche qui prêchait la conquête des plus belles
femmes
par les hommes les plus forts, et qui, lui, vivai
se mal définie, le sage de Croisset répond : « Vous vous plaignez des
femmes
qui sont monotones. Il y a un remède bien simple,
ux écrivains il y a la même inquiétude perpétuelle, absorbante, de la
femme
, une sorte d’obsession non pas même de l’amour, m
sir est vain ; toute complication psychologique est fausse. Aussi les
femmes
qui occupent une si grande place dans les romans
rmi les caresses dont il fait distraitement aumône aux autres. De ces
femmes
qui ne sont que fines, élégantes et spirituelles,
Maupassant fait dire assez joliment à l’un de ses personnages : « Ma
femme
est charmante, provocante, seulement… elle ne vou
agile qui finira peut-être par souffrir et s’humilier devant la vraie
femme
, celle qui suit l’instinct. De même le triste Oli
des tendresses lointaines tourmentent vainement son âme auprès de la
femme
qui n’a plus à lui offrir que de l’amitié ; celle
toute sa jeunesse « barbare et forte » se consume entre les bras des
femmes
, qu’une bouche ardente suce infatigablement sa vi
souvenir et provoque un désir. L’ardent parfum qu’exhale un corps de
femme
fait songer à un fruit mûr : « Il y avait dans ce
s choses impures. » (Intermezzo, Preludio). « Que de fois une robe de
femme
lui avait jeté au passage, avec le souffle évapor
ister à la naissance et à l’évolution du désir que le voisinage de la
femme
aimée provoque chez le dilettante. « La dame est
ouve les souvenirs de sa passion déclinante, et refait avec une autre
femme
le rêve d’amour que ces mêmes mélodies berçaient
u néant. La vision de l’Adriatique, toujours associée à l’image d’une
femme
, traverse souvent les vers du poète des Odes nava
it perdu. Après trente ans d’absence, il revient au pays et trouve sa
femme
remariée. Dans Turlendana ritorna, G. d’Annunzio
ramène avec lui. Pendant les trente ans qu’a duré la disparition, sa
femme
, la « Cecata », s’est remariée trois fois. Turlen
ue par la « Cecata » et se trouve en présence du quatrième mari de sa
femme
. La rencontre des deux hommes toute simple, vaut
il-en-six, de la bonne, c’est Martin qu’est r’venu, Martin celui à ma
femme
, tu sais ben, Martin des « Deux Sœurs », qu’était
tant, criant : — Voici Turlendana, Turlendana le marin, le mari de ma
femme
, Turlendana qui était mort ! Voici Turlendana ! V
par indécision ; et soudain il comprend, trop tard, qu’il a aimé une
femme
, sans se l’avouer, il devine qu’il a dû être aimé
érêt du récit, la promenade en tête à tête de l’homme timide et de la
femme
, plus clairvoyante, plus décidée, est par les deu
es menus faits qui mettent en lumière la coquetterie provocante de la
femme
et la timidité maladroite de l’homme sont identiq
tatore (le Passeur). La donnée des deux nouvelles est identique : une
femme
, mariée à un vieil officier que le hasard des cam
e toutes les épouses » ; des années passèrent. Mais voilà que chez la
femme
vieillie, déjà proche de la mort, à un âge où le
nstatation par des voies légèrement différentes : chez Maupassant, la
femme
s’en va au bras de son amant, dans l’atmosphère é
’un mari trompé. Après avoir fait secrètement étrangler l’amant de sa
femme
, qui était son ami, il le fit embaumer, et ordonn
t embaumer, et ordonna qu’on le plaçât tout habillé dans le lit de sa
femme
. Il alla ensuite trouver celle-ci, et, la prenant
a volonté, vous en ayez la possession, car je ne veux pas qu’il y ait
femme
au monde qui puisse se vanter d’avoir plus que vo
eresque, mais léger et assez ingrat comme François Ier ; une terrible
femme
comme Louise de Savoie, la vieille maîtresse, reb
s qui couvre désormais toute la terre privilégiée où Léonard créa ses
femmes
impérieuses, et Michel-Ange ses héros indomptable
liens. Sibilla Aleramo : Una Donna. — Sfinge : La Vittima Deux
femmes
, Mmes Sibilla Aleramo et Sfinge, font paraître de
rconstances étrangement analogues, tendent à la création d’un type de
femme
libre, consciente, maîtresse de sa volonté et de
se de sa volonté et de sa force. Le roman de Mme Sibilla Aleramo, Une
Femme
, est un cri puissant de révolte féminine, plus qu
s’en éloigne, en lui laissant l’enfant. Elle ose ce que jusqu’ici les
femmes
osaient peu. Elle ose se regarder, se reconnaître
une intellectuelle. Puisque les carrières ouvertes à l’activité d’une
femme
de la société ne sont point nombreuses, paraît-il
liberté et de labeur, avec son fils, pour elle et pour son fils. Des
femmes
, passées à travers les mêmes épreuves, trouvent l
ité de travailler, elles se réalisent en travaillant, et plus que des
femmes
fortes elles sont des consciences sûres parce qu’
’est pas là le type très supérieur, et par cela même très étrange, de
femme
unique, que Mme de Saint-Point a composé avec tan
ans les deux romans parus de sa Trilogie de l’Amour et de la Mort. La
femme
de Un Amour et de Un Inceste, toute nouvelle dans
e dogme de vie : sans regret et sans espoir. Les protagonistes de Une
femme
et de la Victime ne sont pas dans la grande styli
taliens. Et on doit à Mme Sibilla Aleramo d’avoir su créer un type de
femme
très complet, que la littérature italienne n’avai
dans quelques œuvres du musée et, ce qui est pire, des portraits. Une
femme
du Parmesan et un saint Michel de l’école flamand
s les vies étonnées, en les engloutissant dans ses flots mortels. Les
femmes
de la famille arrivent, avec leurs cadeaux de noc
ole de l’abondance, est un pain, et au milieu du pain, une fleur. Les
femmes
arrivent, et, triomphantes et sereines, les épous
leur visite et payent l’obole des noces aux gens de la maison. Et les
femmes
disent les paroles sacrées de paix et les souhait
le grand souffle de la mort, qui a poussé vers la maison tragique la
femme
poursuivie, hurle contre la porte fermée. Les moi
t sortie… Dans la maison, autour de l’étrangère voilée, le chœur des
femmes
crie contre le malheur apporté par l’inconnue. À
e. À Candia, la mère, à Aligi, le jeune homme irrésolu et rêveur, les
femmes
demandent de la chasser, de libérer la maison en
érer la maison en fête de ce cauchemar terrifiant, de jeter dehors la
femme
étrangère comme un morceau de viande au milieu d’
lorsque Aligi, poussé par les injonctions peureuses et farouches des
femmes
, arrête son rêve sur la brebis galeuse, fait un g
sser, Ornella s’interpose. Elle apporte un cratère de vin à la pauvre
femme
tremblante. Ornella meut sa sérénité hospitalière
soleil flamboyant, sur le champ à peine moissonné… Alors le chœur des
femmes
devient de plus en plus farouche. Toutes les crai
e fer. « La femelle y est ! » crie-t-il à ses compagnons. Il voit les
femmes
et le jeune pâtre. Tous les moissonneurs somment
ors la suppliante. Et c’est alors que le chœur intérieur reconnaît la
femme
. C’est la fille de Jorio, la fille d’un sorcier,
n sorcier, sorcière elle-même, coupable de mille fautes mystérieuses,
femme
dont les compagnies de moissonneurs se disputent
faveurs, tour à tour, dans les champs, sur les bords des fossés… Les
femmes
réclament le sacrifice de la femme perdue qui les
ps, sur les bords des fossés… Les femmes réclament le sacrifice de la
femme
perdue qui les met en danger, et implorent leurs
l détache de l’inconnue enchanteresse ses yeux remplis de rêve. Cette
femme
est le feu central des grandes flammes de haine.
ourte paille leur tour d’amour et reviennent plus furieux réclamer la
femme
. Ils veulent abattre la porte. Devant le danger,
énite du foyer, la croix du seuil infranchissable. Il l’embrasse. Les
femmes
tombent à genoux, en se signant et en murmurant e
oursuivie par la haine ivre des mâles, et accueillie par la haine des
femmes
, par la pitié d’Ornella, par l’amour sombre d’Ali
lendemain même des noces, Aligi s’en va. Il part sans avoir touché sa
femme
, la vierge qui sera vierge et veuve. Aligi est su
onneurs envieux, et la vision de l’ange muet qui pleurait derrière la
femme
et lui fit plier les genoux. Il touche le sommet
s, eux qui ensemble ont couché dans la grotte et sont restés purs, la
femme
croit qu’elle renaît. Elle se sent impure, mais e
e renaissance, devient lumière et joie, devient la beauté qu’elle, la
femme
de tous, ne connaît pas. Elle dit à la Madone :
ense : Avant de me voir il verra Que la lampe est éteinte… Mais une
femme
arrive, et lui donne de l’huile, mais trop tard e
rs les supplications de celle qu’il aime, il voit son père rué sur la
femme
, qui, à bout de forces, se tient au fond de la gr
complit le geste de pitié que le Christ ne connut point. Le chœur des
femmes
chrétiennes était féroce contre la fille de Jorio
oce contre la fille de Jorio que personne n’avait plus retrouvée. Une
femme
avait dit : Que les corbeaux la trouvent encore
u’il aimait et la maudit. Mila, Mila — dit Ornella — pour consoler la
femme
promise au sacrifice. Mila, Mila, c’est l’ivress
apparaît étrange, stylisée, et nous ne voyons, en définitive, qu’une
femme
publique anxieuse d’une régénération dont elle dé
indigne et sait être humble. Elle est encore une incarnation de la «
femme
fatale » chère à d’Annunzio. Mais, dans la Giocon
au nom du Christ. Par le sacrifice volontaire de Mila, c’est ici la «
femme
fatale » qui est vaincue. Vienda, la chaste et in
errible vision philosophique, qui surprend nos sens : la vision de la
femme
. D’Annunzio comme Rodin fait reposer tout son sys
ctions vulgaires. Il n’en est rien. Les actes de Louis Settala, de sa
femme
Silvia, de sa maîtresse Gioconda Danti ne sortent
de sa maîtresse Gioconda Danti ne sortent point de l’ordinaire. Toute
femme
dédaignée pour une autre agira — au théâtre, du m
utre, âgé de douze ans, sourd-muet, aidait son père à la bergerie. La
femme
était morte. Un soir d’août, on attendait l’arriv
u ne comprit guère, mais ricana à l’idée des séminaristes habillés en
femmes
. — Pourquoi ris-tu ? — cria Antine en colère. — T
noines, et tout le monde nous applaudissait. — Vous étiez habillés en
femmes
! — Eh bien ! dit Zio Félix, — et puis après ? Si
n des chevaux, — vous autres, prêtres, vous êtes toujours habillés en
femmes
. Il parlait sans ombre de malice, car il était un
c, portait un petit chapeau de paille qui avait l’air d’un chapeau de
femme
, garni de tulle rose, attaché à la boutonnière du
l’amitié, de l’admiration, de la soumission. S’il avait rencontré une
femme
, il ne l’aurait pas aimée avec une passion pareil
r. — Il ne s’agit pas de crier, il ne s’agit pas de pleurer comme une
femme
. Lève-toi donc ! À ta place, je le poursuivrais,
M. Berenson donne à Bartolommeo Veneto un charmant portrait de jeune
femme
(n° 1673) en robe rouge, d’un faire un peu sec et
a Judith, de la Madone de Castelfranco ; le tronc d’arbre derrière la
femme
debout est trop semblable à celui du tableau de M
épars dans le paysage où se trouvent Dafné et Apollon ; les types des
femmes
, le dessin des oreilles et des mains me font plei
ite une peinture aujourd’hui perdue de Giorgione où l’on voyait « une
femme
nue et avec elle un berger qui jouait de la flûte
er dans une atmosphère ardente une noble famille des Abruzzes, qu’une
femme
seule domine par les obscures fascinations d’un g
me seule domine par les obscures fascinations d’un grand crime. Cette
femme
, Angizia di Fura, est la plus parfaite incarnatio
ine en prêtresse de sa chair et de ses charmes pervers. Elle a tué la
femme
de la maison, Monica di Sangro, et, poussée par l
dimanche soir au palais Lovatelli : nous parlâmes longtemps, avec la
femme
du grand écrivain, de l’auteur de l’ Assommoir ;
’en déplaise à M. Rivière, on n’a jamais cessé de lire Lamartine. Les
femmes
, qui constituent sa principale clientèle, l’ont u
urrence sérieuse à Elvire, mais cette vogue malsaine dura peu, et les
femmes
, qui sont, avant tout des idéalistes, retournèren
on des lettres d’Elvire prouve que Lamartine a toujours l’oreille des
femmes
. Voilà qui donne un démenti formel à M. Rosières.
ontagnes, les chevaux, la conversation intérieure avec la nature, une
femme
à adorer, un ami à entretenir, de longues nonchal
ts et de leur voix ; et cette précoce grâce parisienne de ces petites
femmes
en miniature ! Ces nombreuses scènes doivent sans
commis torturés par une foule fastidieuse, pétulante et exigeante de
femmes
; — dans cette autre scène des Folies-Bergère, où
se trouve enveloppé, curieux et embarrassé, dans un cercle de petites
femmes
galantes qui, devinant en lui un pigeon à plumer,
cette différence que M. Chahine a plutôt cherché, dans ses figures de
femme
, à traduire l’expression canaille et effrontée de
s Mémoires du surprenant aventurier vénitien qui, sauf pour certaines
femmes
laissées dans l’ombre par galanterie, a pris le s
t que l’est de ma façon de sentir l’état mental d’un homme qui tue sa
femme
infidèle, ou d’une femme qui vitriole son amant.
e sentir l’état mental d’un homme qui tue sa femme infidèle, ou d’une
femme
qui vitriole son amant. Je ne sais pas si c’est l
umes, qui étaient une remarquable promesse. — Neera : Les Idées d’une
femme
sur le féminisme. Mlle H. Dornstetter tr., Giard
long soupir, Et l’on frôle, en passant, à l’ombre des arcades, Des
femmes
dont les yeux respirent le plaisir. Une musiq
es. Politien met en rimes la beauté de Simonetta, la belle Simonetta,
femme
de Marco Vespucci, aimée de Julien. Julien venait
dantesque de la luxure. L’imprécation de Forèse de Donati contre les
femmes
de Florence (Audition du chant XXII du Purgatoire
, qui s’annonçaient comme les maîtres de demain. Il ne néglige ni les
femmes
, accourues avec Joséphine et qui se trouvaient fo
le croire. Vasari raconte que Verrocchio dessina « quelques têtes de
femme
d’une si grande élégance, surtout dans l’arrangem
M. Marcel Reymond ne laissent pourtant plus de doute. Ces visages de
femmes
, d’une beauté si douce, avec des yeux aux paupièr
nfranchi de Ferrariis, de Milan, peintre », Francesco Bagnatemi et sa
femme
Dorotea promettaient à Gerolamo Giovenone de lui
co Chiesa : Liriche, Nuova Antologia, Rome. — Neera : Les Idées d’une
femme
sur le Féminisme, Giard et Brière, Paris. — Aurel
es aspects plastiques si séduisants. Mais le culte intellectuel de la
femme
était, en ces époques de confuses et d’enthousias
ns tout le prestige caressant de ses poèmes les plus beaux. C’est une
femme
de taille élancée, flexible, dont le visage pâle,
l’avait dès longtemps pressenti, il l’achève à la ressemblance de sa
femme
, comme, plus tard, il le reconnaîtra chez Mme Wil
ne force d’amour montait de son cœur dans l’adoration terrestre de la
femme
, parce que, par le rayonnement que projettent sur
eur absolu. Mais l’union ne fut pas, hélas ! de durée bien longue. Sa
femme
était languissante, et, deux ans à peine après qu
. D’abord, cette extase dantesque en contemplation immobile devant la
femme
révélatrice de l’Infini ! Dans la forme humaine l
s’évoquent les réflexions d’un vivant devant le sommeil d’une pauvre
femme
de plaisir. Tout au plus pourrait-on y joindre la
urrait-on y joindre la Dernière confession, histoire du meurtre d’une
femme
par son amant délaissé, en Lombardie, pendant une
té ; la beauté en est le symbole positif et visible, et c’est dans la
femme
qu’il est incarné : SONNET LVI. La Femme Vraie
visible, et c’est dans la femme qu’il est incarné : SONNET LVI. La
Femme
Vraie. Être une suavité plus désirée que le Pri
r Qui mouchète le perce-neige au-dessous de la neige. Ainsi avec la
femme
bien-aimée s’est identifié l’amour, on ne saurait
hée nerveux, et par trop gémissant, d’Eschyle, qui s’écrie devant des
femmes
: « Ô ciel, lumière où roule l’immensité, voyez c
l (le Passé) et la sérénité lumineuse de David (l’Avenir), Michol, la
Femme
, le présent éternel, passe dans l’ondoiement de s
édiaire entre les deux forces en conflit tragique : Saül et David, la
femme
, a été doublé pour M. Poizat. Le jeune « adaptate
at. Le jeune « adaptateur » a cru devoir ajouter à la pièce une autre
femme
, Abigaïd, qui non seulement ne sert pas à l’actio
rablement le caractère de Michol, et fait de celle-ci une toute autre
femme
que celle rêvée et arrêtée par Alfieri. Michol es
ute autre femme que celle rêvée et arrêtée par Alfieri. Michol est la
femme
juive des temps héroïques, des temps de mœurs mil
Michol », ainsi que M. Poizat le dit. Elle est, dans la tragédie, la
femme
, avec ses plaintes et ses décisions. La première
de la jalousie. Et M. Poizat lui-même a été peut-être gêné par cette
femme
inutile, puisqu’elle apparaît pendant deux actes
s sacrifier à l’Autriche. Science sociale. Nééra : Les Idées d’une
femme
sur le féminisme, Giard et Brière Henri Mazel.
II, numéro 263, 1er juin 1908, p. 520-525 [523-524]. Les idées d’une
femme
sur le féminisme sont à connaître quand cette fem
Les idées d’une femme sur le féminisme sont à connaître quand cette
femme
est Nééra, une des plus célèbres romancières de l
l’étude ou de n’importe quelle compensation. » Et je crois qu’aucune
femme
, ayant l’âme un peu bien située, ne s’inscrira en
en faux contre lui. Malheureusement il se trouve de plus en plus des
femmes
ayant ce que j’ai dit mal situé. Tota mulier in u
omme presque toutes les fillettes ont leur poupée, presque toutes les
femmes
auront un baby ; ce n’est pas bien brillant, je l
eint son but, puisque toutes les professions libres sont ouvertes aux
femmes
. Un autre travaille à leur donner les fonctions p
ne vois, pour ma part, aucun inconvénient, au contraire, à ce que la
femme
soit électrice et même éligible. Pour les fonctio
rice et même éligible. Pour les fonctions publiques, il en est que la
femme
ne remplira jamais, officier par exemple, ou patr
mixtes où les religieux obéissaient à une abbesse) et d’autres que la
femme
remplirait très bien : receveurs d’impôts, notair
la magistrature c’est plus délicat ; je crois pourtant que certaines
femmes
d’un sang rassis siégeraient fort bien dans un tr
exe, qui ne veut pas avant tout son bonheur est un monstre, et qu’une
femme
qui fait consister son bonheur à elle dans du pap
e dans l’amour et tout ce qui s’en suit, est une sotte. Maintenant la
femme
ne pourrait-elle pas, tout en étant épouse et mèr
Assurément si, pourvu que ce travail ne fût pas trop prolongé. Si la
femme
pouvait quitter l’atelier vers 4 h. ou 5 h. ce se
lutaire souvent que l’oisiveté brouillonne et potinière du dedans. La
femme
est faite pour être la collaboratrice affectueuse
préfacier de Nééra quand il avance que la récente loi qui donne à la
femme
mariée la disposition de son salaire va augmenter
ration du caractère de l’homme, trop brutal et trop ivrogne, et de la
femme
, trop acariâtre et trop bornée, serait cent fois
endres, intact. On dut l’inonder de résine pour le consumer. Les deux
femmes
recueillirent les cendres des cœurs de leurs mari
la vérité de l’allégorie ; on lut le livre ; il parlait d’amour, les
femmes
le vantèrent, s’y plurent, s’intéressèrent à cett
idéal : « idéal de beauté, idéal de lumière, sainte du Paradis, cette
femme
n’est vraiment pas de ce monde. Fut-elle jamais a
l’abri de la pudeur. Ovide, puisqu’il faut parler latin, enseigne aux
femmes
que dans l’amour « non omnes una figura decet ».
u décoratives ; l’Adam et l’Ève de Jean van Eyck sont un homme et une
femme
nus, d’une vérité brutale ; à la même date, les m
relief et de charme. Cette fresque est animée par amour de Loredana,
femme
humble par sa naissance et divine par sa beauté,
rescousse des vaines parures : au nom de Jérôme, ils attaquaient les
femmes
dans la rue et leur arrachaient les boucles avec
t un pied gauche en griffon (canonistes) ; avec ventre et poitrine de
femme
écailles de poisson aux bras ; tête de vieillard
t-il pas de même de la doctrine de Jésus-Christ ? Je voudrais que les
femmes
les plus simples lussent l’Évangile et les Épître
re, il note que les maris italiens sont peu empressés auprès de leurs
femmes
, que les prêtres disent la messe trop vite, il vo
êtres disent la messe trop vite, il voit dans les rues des statues de
femmes
avec les insignes de la Royauté : d’après la stat
mblablement les limites du monde en les tordant sur les courbes d’une
femme
, ou qui, à Venise, les assouplit le long des cana
Une semblable mélancolie est dans le chapitre ou l’auteur parle de la
Femme
et de l’Amour, mais elle est rehaussée par l’exal
ssée par l’exaltation du « type vénitien » et du type classique de la
femme
vénitienne, qui, selon l’auteur, tout au moins, s
, s’habillait comme Brummell et ne laissait pas de séduire toutes les
femmes
, et quelles femmes ! — ah ! comment eussions-nous
Brummell et ne laissait pas de séduire toutes les femmes, et quelles
femmes
! — ah ! comment eussions-nous résisté à ce nouve
de l’esprit n’étaient pas inutiles à quiconque voulait enchanter les
femmes
et mener dans le monde une vie inimitable. Il fut
ermo à Vérone, un saint Georges à la National Gallery, un portrait de
femme
au Louvre, sur lequel je vais revenir, et quelque
ental, le vêtement entr’ouvert laissant voir le col, — trois têtes de
femmes
et des têtes d’enfant, graves et réfléchies, — un
— avant, toutefois, d’admirer et d’essayer de déchiffrer la figure de
femme
qui la domine et l’emplit toute : je veux parler
, entière, en un petit panneau peint, un croquis à peine indiqué (une
femme
vue à mi-corps assise de profil à droite, bandeau
Pendant qu’il s’y embesoignait, mourut Madame Marguerite de Gonzague,
femme
de Lionel. Elle laissait une sœur, Cécilia1, qui,
anneaux de fer. Le directeur du bagne, bon militaire taciturne, a une
femme
et un enfant, deux créatures délicates qui s’étio
un jour la voiture du petit enfant, malgré la répugnance de la jeune
femme
. Ici, le romancier, très habile, a évité l’inévit
ancier, très habile, a évité l’inévitable passion romanesque entre la
femme
du directeur et ce forçat, très jeune, très beau
lle, fort simple et révèle une grande puissance de conception chez la
femme
qui l’écrivit, car elle arrive à exprimer tout ce
modelages en relief dont quelques-uns, selon Vasari, représentent des
femmes
au visage souriant. Son père, voyant les promesse
dans le gazon, où se tenaient debout le premier homme et la première
femme
. Et c’est précisément parce qu’il ne faisait que
pé dans son enfance au-delà de la mesure ordinaire : les sourires des
femmes
et le mouvement des grandes eaux. Et par de telle
; et d’abord, un de ceux qui se trouvent à Florence : les têtes d’une
femme
et d’un petit enfant, placées côte à côte, mais c
son serviteur. De tous les attachements aux contemporains, hommes ou
femmes
, qui ont pu remplir sa vie à Milan, celui-là seul
chercher dans le désert la chair brune et délicate et les cheveux de
femme
, et dont le sourire énigmatique nous fait saisir
iomphe de Cimabuë. Mais son œuvre s’attachait moins aux saints qu’aux
femmes
vivantes de Florence ; car il passait toujours so
isons qu’il rencontra Ginevra di Benci et Lisa, la jeune et troisième
femme
de Francesco del Giocondo. De même que nous l’avo
res, de même il manifeste son propre état d’âme en prenant une de ces
femmes
languissantes et en l’élevant comme Léda ou Pomon
ne sur l’œuvre. Nous connaissons tous le visage et les mains de cette
femme
, assise sur son siège de marbre, dans ce cirque f
nstant auprès d’une de ces blanches déesses grecques ou de ces belles
femmes
antiques : comme elles seraient troublées par cet
1899, p. 823-827 [823-825]. Matilde ou Metilde Viscontini, milanaise,
femme
du général Dembowsky, fut un des amours malheureu
tait-il mis en tête que toutes les Milanaises devaient ressembler aux
femmes
de Léonard, de même qu’on voit aujourd’hui des dé
Milanais » de seconde main. Et jamais plus il ne devait revoir cette
femme
, dont l’amour, nous dit-il, « avait été jusqu’à l
les qu’on leur écrivait. À Naples, les hommes sont plus beaux que les
femmes
. Les femmes de bon ton ont beaucoup de liberté. E
ur écrivait. À Naples, les hommes sont plus beaux que les femmes. Les
femmes
de bon ton ont beaucoup de liberté. Elles sortent
nts. Ce n’est que parmi les artisans que les maris accompagnent leurs
femmes
. Il ne tiendrait qu’aux pédants de Naples de se r
rès peuplée, pleine de célibataires et sous un tel climat. Il y a des
femmes
entretenues qui, comme ailleurs, se contentent de
ius, au château de Louvenstein, en sort enfermé dans un coffre par sa
femme
qu’on laissait le visiter. En 1635, Isaac Arnauld
i courageuses. En 1785, Lechi s’échappe des Plombs de Venise, mais sa
femme
lui faisait des envois dans une caisse, et les ci
at. En 1815, le comte de Lavalette est sorti sous les vêtements de sa
femme
, qui venait lui faire ses derniers adieux. Les pr
e. Si le mot n’a pas été dit, il n’en est pas moins vrai que bien des
femmes
ne se sont préoccupées que de travaux d’aiguille
se flatte de gagner la récompense sans s’exposer, en obtenant par sa
femme
votre élargissement de M. Diedo. » Voici la troi
aillons ! Je me doutais bien qu’elle mentait parfois, comme une vraie
femme
, mais je fermais les yeux et me bouchais les orei
sie amoureuse, Casanova jeune, et Condulmer vieux, courtisant la même
femme
, la belle Mme Zorzi. Casanova partageait avec l’a
ntât Casanova ; il y avait le noble Marc Antonio Zorzi, le mari de la
femme
qu’il courtisait. Il y avait les trois jeunes Mem
pports de police qui le représentent comme un coureur de filles et de
femmes
mariées, un pourvoyeur pour les patriciens, un jo
l en use avec le tour le plus heureux. Ce sont alors des histoires de
femmes
invraisemblables, des déconvenues amoureuses, où
ne foi et sa véracité. Voici, à propos d’un livre italien, Lettres de
Femmes
à Casanova, un article des plus curieux trouvé da
s dans cette bibliothèque du duc de Waldstein, où le vieux coureur de
femmes
, l’aventurier cosmopolite avait pris sa retraite,
volume intitulé : Lettere di Donne a Giacomo Casanova. Ces Lettres de
femmes
adressées au grand-prêtre du Dieu des Jardins ont
le. Il y a dans cet ouvrage des lettres précieuses d’une trentaine de
femmes
environ, dont plusieurs nous sont connues par ce
moins étonné à l’extrême que de rencontrer ici dans ces médaillons de
femmes
de Casanova la figure de claire innocence, pleine
Baletti, qui sont le bouquet demeuré le plus frais de ces épîtres de
femmes
, toutes d’un intérêt indiscutable pour les admira
e la tombe, car elle était entourée d’un léger grillage et toutes les
femmes
en passant y laissaient des fragments de jupes dé
anté jusqu’à sa dernière heure. Le châtiment de ceux qui ont aimé les
femmes
, a-t-on dit, est de les aimer toujours. Ce faune
é, ses inconstances et ses folies. Il fut, à sa façon, un dévot de la
femme
, à la façon des Polythéistes qui multiplient les
ions intellectuelles au siècle passé n’ait été qu’un vulgaire homme à
femmes
. Certainement, il fut mieux. Le génie qu’il déplo
n surhomme de proie d’une essence absolument anormale. Ces Lettres de
femmes
le prouvent. Ce qui est curieux, c’est que, après
beauté lumineuse de cette toile, la fermeté si nuancée des formes de
femmes
encapuchonnées, le mouvement vigoureux, ardent de
e groupe central, la joliesse, de l’épisode de gauche, l’entrée d’une
femme
par l’escalier (à la mode futuriste amalgamés dan
u Moyen-Âge, sur l’un un homme en costume sacerdotal, sur l’autre une
femme
voilée. Sur les magnifiques fontes de statues ant
nt au Louvre (deux lunettes acquises en 1863, et la charmante tête de
femme
qui pose un doigt sur sa bouche, provenant de la
nt être au manuscrit. Ce ne sont plus les sempiternelles histoires de
femmes
, les polissonneries dans lesquelles il se complaî
elle cadrait bien avec le rôle fort bête que joue l’auteur auprès des
femmes
pendant tout ce séjour en Espagne ? Toujours est-
tions, c’est un Casanova nouveau, non plus le coureur de filles et de
femmes
faciles, l’homme aux sens qui commandent, mais un
confiait ces précieux cahiers ; probablement à la bonne Mme Manzoni,
femme
d’un notaire public à Venise. En sorte que les Mé
r la véracité de son récit, invite le lecteur à chercher le nom d’une
femme
qu’il ne nomme pas, et en donne les moyens. Il s’
et du dévouement le plus désintéressé. En terminant par la mort de la
femme
, pourrait-on l’accuser, lui, le voluptueux qui n’
s le coté licencieux tient la plus grande place, que les aventures de
femmes
(il y en a 122 de nommées), contées d’une façon a
ation, mais une chose vraie et vivante. On sourit devant ces ruses de
femmes
déjouées par la rouerie de l’homme, ou devant la
simple débauché, un voluptueux, qui n’a jamais aimé, et qu’aucune des
femmes
n’est respectable, appartiennent toutes à la jeun
nt révolter le sentiment, que la passion d’un cinquantenaire pour les
femmes
devient crapuleuse, et va exciter chez son lecteu
f, la Dusmesnil, l’Électeur de Bavière, Favart l’auteur comique et sa
femme
, Fielding l’auteur de Tom Jones, Mme Riccoboni, l
mmes consentent à admettre : avoir été sot et ridicule. Il aimait les
femmes
, mais il n’était pas irrésistible et avoue ses dé
ales, des clairs de lune nostalgiques et surtout leur apothéose de la
femme
avec la féminisation de l’esprit public qui en a
: l’exaltation de la guerre, seule hygiène du monde ; le Mépris de la
Femme
, l’Homme multiplié et le règne de la Machine. Ce
qu’on l’a payée ; puis une autre toile importante du même Corot : La
Femme
à la perle qu’on avait vue à l’Exposition de 1889
un usage plus utile eût pu être fait des 150.000 francs qu’a coûté la
Femme
à la perle (vendue 4 000 francs en 1876), des 38
rt étroit et j’ai entendu un habitant d’Auteuil dire en parlant d’une
femme
maigre : « Elle ressemble au lit de M. Canudo. »
s « sourires infinis de la vague » tyrrhénienne, qu’Homère a placé la
femme
la plus attirante qu’ait créée son génie ; celle
soient toutes belles. Ainsi la jeune vierge brillait au milieu de ses
femmes
. « Mais quand il fallut plier les beaux vêtements
lle des Phéaciens. Alors la jeune reine jeta une balle à l’une de ses
femmes
, et la balle s’égara et tomba dans le fleuve esca
es : arrêter Ulysse auprès d’une fontaine ordinaire, à l’heure où les
femmes
viendraient puiser pour le repas du soir, ce ne s
ol et de stupre, malgré la diversité significative des trois types de
femmes
que le Bel-Ami italien meut autour de lui dans la
ons, il ne suffit pas, vraiment, de représenter un homme que quelques
femmes
aident à parvenir où il veut, par la « thune » qu
ermet à une esclave, plus volontiers qu’à son compagnon. Mais que les
femmes
acquiescent au truisme la plus contraire à leur i
tes sont à la fois de la vie brutale et de l’imagination intense. Une
femme
fatale, un amoureux sincère, mais vaincu dans ses
rbe. Chaque substantif doit avoir son double, ex. : homme torpilleur,
femme
rade, foule ressac, place entonnoir, etc… Plus de
tous ceux qu’indigne le misérable spectacle quotidien offert par les
femmes
, les mères, les amantes, les sœurs des écrivains,
d’une maison, sur une terrasse couverte d’une treille, je voyais une
femme
, probablement une vieille femme, qui, allant et v
couverte d’une treille, je voyais une femme, probablement une vieille
femme
, qui, allant et venant, préparait sans doute son
isons étagées devant moi. Sur la terrasse, où, hier soir, une vieille
femme
allait et venait, des enfants, ce matin, jouaient
glace au fond de la pièce, et je crus voir s’y refléter une forme de
femme
; mais sans doute on s’était aperçu de ma présenc
raser : un bouquet et un livre ne désignaient pas nécessairement une
femme
, et rien, nul vêtement, ne traînait dans la pièce
eu la berlue, l’autre jour, quand j’avais cru distinguer une forme de
femme
reflétée dans la glace, ou c’était une servante.
à un juge au tribunal. Je fus instruit du dernier accouchement de la
femme
de l’ingénieur : il avait été difficile, et elle
il ne représentait pas pour moi une chose d’importance, un chapeau de
femme
était posé : un large chapeau de paille fine garn
rompé l’autre jour, j’avais bien vu passer dans la glace une forme de
femme
: une femme habitait là. J’attendis : peut-être q
e jour, j’avais bien vu passer dans la glace une forme de femme : une
femme
habitait là. J’attendis : peut-être qu’après avoi
abinet. Mais il était bien question des Survivances, à présent ?… Une
femme
! Elle devait être jolie, cette femme, son chapea
s Survivances, à présent ?… Une femme ! Elle devait être jolie, cette
femme
, son chapeau était charmant… Une jeune femme ? Un
devait être jolie, cette femme, son chapeau était charmant… Une jeune
femme
? Une jeune fille ?… Une jeune femme aux yeux pen
hapeau était charmant… Une jeune femme ? Une jeune fille ?… Une jeune
femme
aux yeux pensifs, à l’amour savoureux comme un be
liennes que la nature n’a point voulu brunes… J’adore les cheveux des
femmes
; ils me semblent le plus bel attribut de leur se
ent le plus bel attribut de leur sexe délicieux, et pour moi la vraie
femme
, la femme d’amour, la femme à la passion riche et
s bel attribut de leur sexe délicieux, et pour moi la vraie femme, la
femme
d’amour, la femme à la passion riche et puissante
leur sexe délicieux, et pour moi la vraie femme, la femme d’amour, la
femme
à la passion riche et puissante doit avoir une lo
ela est arrivé déjà ; — il arrive qu’un cheval emballé va écraser une
femme
; on se trouve là, on la sauve… Il arrive qu’une
ontrer jamais dans la rue — elle passa ! Elle était accompagnée d’une
femme
qui me parut quelque vieille bonne ; — sa nourric
ontemplais, j’étais fou. Et ces différences qui se marquent entre une
femme
chez elle, seule, libre et abandonnée, et une fem
arquent entre une femme chez elle, seule, libre et abandonnée, et une
femme
en public, dans la rue, qui tient la tête haute e
rue, qui tient la tête haute et marche avec dignité… C’était la même
femme
et c’était une femme nouvelle… Elle était vêtue d
te haute et marche avec dignité… C’était la même femme et c’était une
femme
nouvelle… Elle était vêtue de blanc ; elle portai
Le meilleur de l’exposition de M. Vitteleschi, ce sont des études de
femmes
, à la fois véhémentes et méditatives, à tons divi
lady Gaybut Grabu, à une activité extrême. Pour se faire aimer d’une
femme
ennuyée, il faut cacher la théorie, mais, peu à p
tôt pour elle une source de plaisirs. Faire la cour directement à une
femme
qu’on désire est la plus grande des sottises ; ce
st la plus grande des sottises ; cela ne pourrait réussir qu’avec une
femme
pure de vanité, et la vanité des femmes est un li
e pourrait réussir qu’avec une femme pure de vanité, et la vanité des
femmes
est un lieu commun de tous les philosophes. Soien
t être née aux environs de notre siècle ; elle a toute l’allure d’une
femme
névrotique et vicieuse, tandis que Paolo semble u
onard de Vinci me fait l’effet d’un décadent moderne n’aimant pas les
femmes
, et pour ce créant la Joconde par un effort du ce
o, déjà admis dans l’hospice et qui, flairant la mort prochaine de sa
femme
, rôde dans la chambre pour mettre la main sur ses
une étude d’âme féminine et, cela va sans dire, catholique. Une jeune
femme
, Cecilia, dont le mari est mort depuis quelques j
ques jours, découvre dans le tiroir d’un secrétaire le portrait d’une
femme
masquée, qui appartenaient (tous les deux, portra
it d’une femme masquée, qui appartenaient (tous les deux, portrait et
femme
) au mari de Cecilia. (Je me suis toujours en vain
st-ce qu’il est nécessaire de cacher dans un tiroir le portrait d’une
femme
qu’on peut posséder en original tant qu’on veut ?
, laid, qui n’a dû qu’à une assez basse tromperie la possession de sa
femme
, parvient à nous intéresser. On sent que lui auss
e Van Dyck « qu’il avait plus appris en conversant avec cette vieille
femme
aveugle qu’en suivant les leçons de tous les pein
de la suivre dans sa conclusion et d’approuver son conseil aux jeunes
femmes
du monde de se livrer à la peinture et de mettre
er nos Salons annuels qu’elles envahissent de plus en plus. Quand une
femme
a du talent, elle n’a pas besoin que la mode soit
son talent historique et littéraire avec ce livre sur l’Empire et les
femmes
des Césars ; un sujet à enivrer le plus apathique
devient extraordinaire lorsqu’on voit enfin paraître sur la scène les
femmes
des Césars, si funestement ambitieuses, si curieu
auches les plus effrénées et aux desseins les plus vastes. Depuis les
femmes
d’Auguste jusqu’aux femmes de Claude et à la mère
t aux desseins les plus vastes. Depuis les femmes d’Auguste jusqu’aux
femmes
de Claude et à la mère de Néron, cette formidable
es l’on redit. Le réalisme flamand offusque notre premier regard. Ces
femmes
sans beauté, c’est-à-dire dans lesquelles nous ne
au probablement authentique ne cherchez l’être humain beau en soi, la
femme
« délicieuse », l’enfant « ravissant », cette fle
poser aux épaules du jeune homme ou pour le caresser, une toute jeune
femme
avance ses mains, d’un geste câlin et noble, tand
t les a publiées. Ce rusé Ravà a intitulé sa publication : Lettres de
femmes
à Casanova. Or, vous savez que lettres de femmes,
ication : Lettres de femmes à Casanova. Or, vous savez que lettres de
femmes
, cela veut dire lettres d’amour. Vous connaissant
Les lettres de la princesse Palatine sont des lettres écrites par une
femme
, mais ne sont pas des lettres de femmes. Cette se
nt des lettres écrites par une femme, mais ne sont pas des lettres de
femmes
. Cette sempiternelle écriveuse de Mme de Sévigné
e écriveuse de Mme de Sévigné n’a de sa vie écrit une seule lettre de
femme
. Ravà, dans son ouvrage, a donc publié, en réalit
a donc publié, en réalité, plutôt des lettres écrites à vous par des
femmes
, à part une seule qui vous a écrit de vraies lett
ar des femmes, à part une seule qui vous a écrit de vraies lettres de
femme
. Ah ! pour celle-là, le titre est bien exact. Vou
Vous ne l’avez pas fait, et ce n’est pas gentil. Quand on quitte une
femme
ou qu’on en est quitté, l’usage et l’équité veule
in, et d’échanger avec elle une caresse des yeux, sans que la vieille
femme
qui l’accompagnait remarquât rien. Mais si, par h
nt dissimuler toujours ? Comment cacher que maintenant elle était une
femme
et que son âme était remplie par un grand amour ?
t du jour, de l’allégresse des rues vivantes, de la beauté chaude des
femmes
et du bourdonnement de ruches joyeuses qui sortai
mour frais et enivrant, elle, plus belle et plus jolie que toutes les
femmes
, elle, ma Psyché, elle, pareille à Diane !… On fr
s, et en remerciant de l’honneur. Il appuya sur un bouton. La vieille
femme
que je connaissais bien pour l’avoir souvent renc
i à déménager. Il était mieux séant d’habiter moins près de ma future
femme
. Et comme il me faudrait peut-être recevoir quelq
à Naples. Je voulais prendre congé du marquis avant que d’emmener ma
femme
en France. Ce fut encore délicieux. Nous fîmes av
ire, Faust, Stellio Effrena ne savent ni l’un ni l’autre conserver la
femme
qu’ils ont choisie et fuient tous deux vers des d
si ; mais ils ne l’ont guère jugé assez puissant pour transférer à la
femme
aimée la matérialité même de son amant. Faust aim
qu’il l’aime il en tire non seulement les mêmes sensations que d’une
femme
réelle, mais encore en a un enfant : Euphorion. E
ue des Grecs ou de la Renaissance, « Goethe aurait aimé l’homme et la
femme
sensuellement et également ». C’est cette unisexu
choisis du théâtre, tragédie et comédie : l’Orazia, le Philosophe, la
Femme
de Cour, enfin des Lettres qui sont une des parti
émosthène du Vatican est d’une réalité saisissante. Mais les têtes de
femmes
resteront jusqu’à la fin des effigies conventionn
iale ne seront plus que les Romains de la décadence. Les portraits de
femmes
expriment la droiture, mais aussi l’intelligence
nté et de la raison fondre en larmes comme un enfant, pâmer comme une
femme
, retomber sur la terre comme un corps mort ou rir
de l’anax son père. Dans cette noble demeure, les voilà en face d’une
femme
grande comme une montagne, et la terreur les sais
’une femme grande comme une montagne, et la terreur les saisit. Cette
femme
appelle en hâte son époux, qui était à l’agora. S
n geste, et respirant mon âme, L’homme sera plus doux pour l’inquiète
femme
. Les mères me feront bénir quelque berceau : J’ai
Tome CII, numéro 380, 16 avril 1913 Littérature. Lettres de
femmes
à Casanova, recueillies par Aldo Ravà, traduites
à l’identification des Mémoires : il a découvert à Dux les lettres de
femmes
qui furent adressées à Casanova et que celui-ci c
ts du cœur. Des écrivains, peu ou point expérimentés, ont inventé les
femmes
bien modernes, les jeunes filles savantes, scient
s académies et à marcher avec les précautions que doivent prendre les
femmes
qui sentent craquer leurs vêtements par derrière,
osition de la peinture en chair, de la personnification vivante d’une
femme
sortant du cadre pour vagabonder dans le siècle q
t trop artiste pour ne point la retrouver. Échos. Les « Lettres de
Femmes
à Casanova » Henry-D. Davray. Tome CIV, numéro
numéro 386, 16 juillet 1913, p. 444-448 [447-448]. Les « Lettres de
Femmes
à Casanova » Mon cher Vallette, Dans sa chroni
il dernier, M. Jean de Gourmont rend compte d’un ouvrage : Lettres de
Femmes
à Casanova, dont le compilateur, M. Aldo Ravà, au
e sert aux besoins de la vie de ce quartier important de la cité. Les
femmes
arabes et juives, les soldats y vont puiser l’eau
de Saint-Joseph de l’Apparition. Dans ces pays où la condition de la
femme
est plus misérable que celle de l’homme, où, clau
es filles ont conservé la charmante coiffure et le costume coloré des
femmes
israélites. J’ai constaté que chez elles, par un
que et de gaieté. Au milieu du camp quelques fontaines s’élèvent. Les
femmes
arabes et les négresses y vont puiser l’eau pour
e leurs tentes conjugales. Là, mieux que partout ailleurs, j’ai vu la
femme
indigène dans ses attitudes et ses travaux. Conta
ent on entend de petits cris et de petits gazouillements. Ce sont les
femmes
qui, effarouchées à la vue des Européens qui les
es survivants de la période cavourienne, des représentants, hommes et
femmes
, de tous les partis, des témoins qui m’ont donné
retrouvons de vieilles connaissances : la mère des Gracques, Fulvie,
femme
d’Antoine, Clodia, sœur du fameux Clodius ; Livie
il d’une sorte de séminariste, un jouvenceau en soutane, qu’une jeune
femme
, aux airs penchés, amène par le bout des doigts v
e, aux airs penchés, amène par le bout des doigts vers un aéropage de
femmes
assises en demi-cercle, dans quelque bois sacré…
e fresque sur les murs de sa villa, neuf ans après qu’il eût perdu sa
femme
, il se trouva engagé dans une bien fâcheuse avent
a d’après des documents du temps, ainsi qu’une curieuse silhouette de
femme
inconnue, retrouvée à Dux, et sous laquelle il n’
éreuse émeute. Il rencontre des courtisanes dans les moindres petites
femmes
, voit des déesses assises aux tables de café, des
Naturellement le héros Trismat ne pouvait que voir Hélène dans chaque
femme
, pour parler la langue du Satan de Faust. Hélène
ut tomber ainsi. Elle mourra d’aller trop vite comme il convient à la
femme
moderne et elle sera brûlée… comme elle aura brûl
ives à la vie de Louis I, duc d’Orléans, et de Valentine Visconti, sa
femme
, publiées par M. F. Graves, Honoré Champion, 7 fr
enchantements font rêver toutes les têtes. Un nom, un nom charmant de
femme
, évoque cet émerveillement de la gaie science, ce
(Giannino Antona-Traversi, Marco Praga, Sabatino Lopez, etc.) et les
femmes
auteurs (Mmes Sérao, Negri, Deledda, etc.), mais
u bout desquels il comparut devant ses juges en compagnie de sa jeune
femme
; parmi les juges se trouvaient, plaisanterie d’u
l’amour libre. Les accusations furent violentes. Severini et sa jeune
femme
, pâles tous les deux, les écoutaient, non sans im
pierre étroites et gauchies étaient devenues glissantes. Une vieille
femme
nous fit entrer dans une pièce meublée de quelque
à parler à mon père. — Beppo est sorti, dit ma mère, mais je suis sa
femme
. « Le monsieur lui tendit une enveloppe en disant
dès qu’il eut lu la lettre que lui tendait le visiteur, il regarda sa
femme
, lui parla à l’oreille. Elle éclata en sanglots.
gracieuses figures du Printemps de Botticelli ; Lucrezia Tornabuoni,
femme
de Pierre de Médicis ; la poétesse et courtisane
ise, elle se dresse, vipère, elle siffle, elle dénonce. C’est vers la
femme
, la seconde femme de son père, que la jeune femme
e, vipère, elle siffle, elle dénonce. C’est vers la femme, la seconde
femme
de son père, que la jeune femme voit se tourner s
once. C’est vers la femme, la seconde femme de son père, que la jeune
femme
voit se tourner son mari ; elle écrit à son père,
que soit son aspect, il n’est pas mystérieux : bénie entre toutes les
femmes
, c’est cependant une femme. L’ange n’a point de s
t pas mystérieux : bénie entre toutes les femmes, c’est cependant une
femme
. L’ange n’a point de sexe, il a celui de ses aile
aphie de Gavarni où la Débardeuse semble une gamine, selon Platon. La
femme
grasse, un peu lourde, des Vénitiens paraît anima
ible. Aux vitrines, vous ne verrez point un antique parmi les petites
femmes
enchiffonnées ; le passant n’a point affaire d’un
, parce qu’il est androgyne. Il a la douceur des traits, le col d’une
femme
, il séduit au point qu’un Léon X ébloui ne voit p
achilde. Tome LXXXV, numéro 309, 1er mai 1910, p. 119-123 [122]. Une
femme
de lettres du xive siècle. Austère philosophe et
politicien doublé d’un lettré, s’est suicidé devant le cadavre de sa
femme
. La plus grande poétesse vivante de l’Italie s’es
, le plus à la portée de tous aussi. Sa sensibilité était celle d’une
femme
romantique, mais paisible, qui a trop regardé la
louir nous charme. J’ai le regret très vif d’associer le nom de cette
femme
, qui en somme fut une poétesse pure, au nom d’un
-607. [Introduction] Au printemps de l’année 1838, Valmore et sa
femme
se trouvaient dans une situation désespérée. Valm
es. Les appointements étaient de 7 000 francs. Il partit, emmenant sa
femme
et ses deux filles, laissant son fils Hippolyte e
u ive siècle, encombrées de richesses et de tombes ; quelques jolies
femmes
bien fières, bien froides ; quelques hommes grand
une triste impuissance contre les rayons du soleil dans sa force. Des
femmes
, des hommes, des enfants, tous portant leurs cier
s, portant sur leur tête des herbages et de grands paniers. L’une des
femmes
, courbée sous son fardeau, blonde et demi-nue, co
oir-là, et parmi les prêtres, silencieux comme le cortège nombreux de
femmes
, d’hommes et d’enfants, qui suivaient tous avec l
is me faire au son des cloches, qui déchirent l’air comme la voix des
femmes
en Italie. Elles semblent en fureur quand elles c
con, général de Théodose, qui, ayant abjuré, s’y fit enterrer avec sa
femme
. On ne peut rien voir de plus extraordinaire que
fort, sans manquer aux convenances, pour faire retourner un peu cette
femme
immobile. Elle n’en vint pas à bout. Quand je la
e Barbarj, bien connue des visiteurs de cette galerie, le Portrait de
femme
attribué à Léonard, le Christ chez Marthe et Mari
rticulièrement heureuses : […] un Guardi : Concert dans un couvent de
femmes
à Venise […]. Memento bibliographique [extrait
te voûte, la lumière bleue de la nuit se retirait peu à peu comme une
femme
cérémonieuse qui sort à reculons par la terrasse
fense, une explosion du « point d’honneur », heurté par le viol de la
femme
aimée, plus qu’il n’y avait de véritable amour ex
16 août 1910, p. 687-693 [687-688]. Le soir du meurtre de Concini, sa
femme
, Léonora Galigaï, maréchale d’Ancre, pensait qu’e
’à l’intermédiaire plus ou moins bénévole et parfois défaillant de la
femme
du « favori », Léonora Galigaï, véritablement aim
ux de l’Arioste et en occupe le xxviiie chant, qui débute ainsi : —
Femmes
aimables ! et vous dont le bonheur est de les ado
Avant de quitter son château, n’a-t-il pas découvert que Béatrice, sa
femme
, le trompait avec le page Lélio ? Astolphe se rai
Astolphe se raille de sa mésaventure et « assez semblable aux jolies
femmes
, qui louent facilement celles dont elles ne craig
ure de Sganarelle ! Astolphe s’aperçoit que la reine de Lombardie, sa
femme
, est la maîtresse de son bouffon. Un même destin
ulement de quitter la cour et de courir l’Italie à la recherche d’une
femme
vertueuse et jolie et emmènent avec eux le Fou et
s ont trompés. Comme la chemise d’un homme heureux du conte arabe, la
femme
vertueuse et jolie est introuvable. Après bien de
i ont voulu ainsi décourager les maris présomptueux. L’infidélité des
femmes
est une réalité, mais leur vertu n’est qu’un mens
placable matérialisme s’élance à travers la douleur de la perte de la
femme
aimée, vers les spéculations progressives de son
fondre et il reste des hommes qui menacent le ciel de leur poing, des
femmes
pleurantes. Peu à peu les habitants se reprennent
sinait sur un morceau de carton un Christ en croix entre deux saintes
femmes
et il soignait le buste avec une grande minutie,
delli (Bruxelles, J. Morel). Sonnets d’amour où le poète pleure sa
femme
morte. Le présent opuscule ne contient que les tr
t, je me disais en mon cœur : Je serais heureux de posséder une telle
femme
, si belle et si honnête. Je pensais cela et pas d
mes péchés. Et comme je priais, le ciel s’ouvrit, et j’aperçus cette
femme
que j’avais désirée, me saluant du haut du ciel e
fragment de la scène du second acte, entre Paul Dartigny, Lucie et la
Femme
voilée. L’étude se termine par des considérations
a Sociale réclame, article de M. G. de Franceschi, la liberté pour la
femme
. Mais la femme, en comparaison de l’homme, est sc
me, article de M. G. de Franceschi, la liberté pour la femme. Mais la
femme
, en comparaison de l’homme, est scandaleusement l
sous le péristyle du Grand-Palais, la Porte-d’Airain, avait guéri une
femme
hémoroïdesse, qui l’avait palpée de la même foi q
din des Oliviers, aurait à peine pâli et affiné la chaude beauté. Les
femmes
de Byzance, lorsque, extasiées, elles serraient c
pisode caractéristique. Un homme, fort coupable, lui aussi, envers sa
femme
, pardonne à la créature qui l’a trompé, mais ne p
ion : une peinture, école italienne du xve siècle, portrait de jeune
femme
attribué à Vittore Pisano, peintre, sculpteur et
i que quelques dessins. Ce portrait semble représenter l’une des deux
femmes
de Lionel d’Este, duc de Ferrare, une pâle tête a
p richement, de lourdes railleries contre les carducciens, contre les
femmes
de lettres, etc., le tout orné d’invocations à Da
ant de belle énergie, dans la vision de l’homme dans l’univers, de la
femme
dans l’humanité, de la terre dans l’immensité. Ce
ude de critique impitoyable et d’épigrammiste farouche. Tandis qu’une
femme
, Mme Amalia Guglielminetti, dans ses Vergini Foll
e fut Nietzsche. On annonce la prochaine publication d’un livre d’une
femme
qui a été jusqu’ici et qui demeure inconnue, sur
se voyaient plus. Nietzsche vivait volontiers dans sa solitude, où la
femme
amoureuse allait parfois le trouver pour l’entret
e de la vie, disparaît dans ce nouvel Éden. Où est l’homme, où est la
femme
, qui oserait opposer, tout nus, leur corps et leu
les de nu, uniquement masculins ; qu’on admît aux séances des modèles
femmes
et enfants ; enfin que l’on cessât d’enseigner l’
réaliser des effets de plein air : une Servante riant et une Vieille
Femme
campée au Soleil. Une autre étude est, je crois,
de bohème qui défie la mauvaise fortune. Puis vient une Impression de
femme
sous un parapluie. Puis deux morceaux de haute im
lance dans des études d’un ordre nouveau et d’une extrême audace : La
Femme
sortant de l’Église : figure gazée d’une longue v
palpite hors de la chemise froissée ; — la Cantatrice, impression de
femme
faite pour un éclairage très spécial, blanche fig
s du Piémontais : le Sportman, le Malade d’hôpital, la Cantatrice, la
Femme
à la Voilette ; puis sans tourner autour de la fi
jette aux genoux du religieux qui vient de sortir de la chambre de sa
femme
pour en annoncer le trépas, et il lui demande cet
sauf d’en choisir une, et il n’a appris qu’à aimer cette pauvre jeune
femme
avec qui il revient, pâle et avili, à la maison d
dans ses fermes et dans ses établissements. Le fils s’en va, avec sa
femme
, il vit dans la chaumière d’un vieux pâtre, un ph
sard, savent jusqu’où peut aller la passion. J’ai demandé à une jeune
femme
de France, douée de beaucoup d’esprit, ce qu’elle
Je voudrais qu’il fût plus simple », m’a-t-elle répondu. Cette jeune
femme
ne le trouvait-elle pas trop simple, au contraire
1er août 1901, p. 526-533 [531-533]. Christine de Suède est la seule
femme
qui ait jamais mangé officiellement à la table du
s un anachronisme, et l’amour n’y joua aucun rôle. Et après tout, une
femme
telle que Christine, l’une des plus extraordinair
s, il s’abîme en un océan peuplé de fantômes, de chérubins, de belles
femmes
. C’est ainsi. Le mysticisme n’est, en fait, à le
du faubourg, un rendez-vous a lieu entre divers anarchistes, quelques
femmes
de joie et quelques esprits ignorants enflammés p
une génération irréligieuse. Ibsen, lui, a rêvé la régénération de la
femme
, a révélé ‘es plus grands drames de la pensée et
mentalismes qui nous rapetissent et nous font semblables à de petites
femmes
qui larmoient et murmurent des prières incomprise
hirent ; pendant de longues années il a traîné dans toute l’Italie sa
femme
, ses enfants, son art, sa misère et sa rébellion,
rri. La dramatique amoureuse se révèle mère un peu trop pathétique et
femme
experte en toutes les douleurs. Les mémoires nous
, R. Bemporad, Florence M. Isidoro Del Lungo évoque de son côté la
Femme
florentine du bon temps antique, des premiers tem
use, leur tendre primitivité, dans l’âme beaucoup plus complexe de la
femme
de la Renaissance. Malheureusement le style de M.
document qui fait vivante et belle devant nos esprits la vision de la
femme
florentine, telle que nous l’imaginons par les im
ens Anciens de Mme Evelyn, une Anglaise devenue une des plus fécondes
femmes
écrivains italiennes. Ce volume, le dernier de la
du sang se transportèrent à Rome, dans la volonté de vengeance d’une
femme
, la fille de l’homme tué, qui ne pardonnait pas.
en Italie, après Philippes, fomentée contre Octave par le frère et la
femme
d’Antoine, guerre qui fut l’origine de la rupture
ns pas à ces classes privilégiées. (Pages 269-270). L’admission des
femmes
à l’égalité parfaite serait la marque la plus sûr
end pas très exactement ce genre d’état d’âme. Le type de cette jeune
femme
, pas très jeune, pas très belle, qui rêve d’une e
e de M. Roberto Bracco : La Piccola fonte (la Petite source). Ici une
femme
devient folle parce que son mari semble ne pas l’
les êtres de son entourage, évidemment nés pour servir son génie. Sa
femme
l’aime tendrement, mais elle est la petite nature
omme sent que pour créer il a besoin d’un amour autre que celui de sa
femme
. Il aime une aventurière ; il en est dégoûté ; ma
mais ni avant ni après il n’a pu canaliser sa suprême impuissance. Sa
femme
, consciente des besoins supérieurs de son mari qu
ich. Les dessins peu nombreux, la tête d’ange des Offices, la tête de
femme
du British Museum sont des merveilles et ceux du
ers ce moment de changer d’inspiratrice, et de porter un autre nom de
femme
, beaucoup plus illustre assurément que celui de c
. Mais quand il apprit, le 14 janvier 1815, la mort d’Alexandrine, la
femme
de son cousin, l’un des ministres de Napoléon, il
Stendhal et de sa vie. Et, comme il convient, on y trouve des noms de
femmes
. Tome LXIV, numéro 226, 15 novembre 1906
it le propre beau-frère de la victime. Le comte Bonmartini rendait sa
femme
, Linda Murri, très malheureuse, d’où l’animadvers
t indiscutable de véracité. Dans cette protestation frémissante d’une
femme
affolée de souffrance, les circonstances se recom
lourd et inéduqué, autoritaire et vaniteux, compagnon disparate d’une
femme
, Linda Murri, fine, instruite, grandie dans un mi
s du livre de la comtesse Bonmartini, qui est avant tout le cri d’une
femme
et d’une mère, tout en contenant, sous le premier
ilan, 2 novembre 1811, Albergi della cita. [Sans doute, la plus belle
femme
que j’ai eue et peut-être que j’aie vue, c’est A.
endez-vous ordinaire ; je l’ai accompagnée jusque chez sa belle-sœur,
femme
d’un chimiste célèbre, Porta Tecinese, je crois,
scrupules. Plus tard, il entreprend de réconcilier des ménages où la
femme
se contenterait de consolations effectives et tie
c’est l’histoire de cette Bianca Maria, veuve d’Hermès Visconti, puis
femme
de René, comte de Challant, qui chercha à faire a
: Une petite ville, le soir ; une fenêtre où se colle le front d’une
femme
qui rêve, ou prie… « Es-tu celle qui demande la
agnie d’un capitaine hongrois et n’avait eu aucune peine à la deviner
femme
sous son travesti ; de longs mois, il vécut avec
est pas assurément pour y rechercher le pâle et triste souvenir d’une
femme
adorée, mais pour y voir Voltaire ou, plus exacte
adulé plus que tout autre : l’homme à la mode. Dans un siècle où les
femmes
, suivant l’observation de Galiani, aiment plus av
piré l’amour du plus divin passe-temps dont les hommes de goût et les
femmes
vertueuses puissent jouir quand ils sont plus de
use n’était pas moins brillante. Casanova n’aime pas les histoires de
femmes
, quand elles ne sont pas son fait. De plus, il vo
par le charme de la reine Marguerite. Celle-ci est, certainement, une
femme
supérieure, d’un esprit cultivé et érudit, quoiqu
se rencontre, au moment de l’accomplissement de cette tâche, avec sa
femme
, qui fut la maîtresse du marquis et vient pour re
llini nous fait lui-même le récit d’un joyeux festin où il habilla en
femme
son élève Diego et s’amusa des madrigaux et des b
s, tendrement amoureux, qui semblent écrits vraisemblablement par une
femme
dont la nostalgie sensuelle serait cultivée par d
us poignante composition du poète, l’évocation de Jacovella, la jeune
femme
de la Renaissance, qui joua du luth devant Raphaë
La Vie légère » ; « les Fêtes, le Carnaval, la Villégiature » ; « les
Femmes
, l’amour et le cavalier servant » ; le chapitre d
ois de prison et deux cents livres d’amende pour avoir enlevé Tarsia,
femme
de Francesco Cortese, et l’avoir tenue cachée plu
e tes courtisanes. Amant du vrai, grand Titien… il s’est trompé. Les
femmes
qui, dans les tableaux de notre Vecellio, étalent
nce dans quatre-vingt-dix-neuf mariages sur cent l’homme seul aime sa
femme
, tandis qu’à la femme son mari est parfaitement i
dix-neuf mariages sur cent l’homme seul aime sa femme, tandis qu’à la
femme
son mari est parfaitement indifférent. Supériorit
en autre chose. Ce qu’on aime à l’Opéra, ce n’est pas la musique. Les
femmes
vont à l’Opéra pour être vues ; les hommes pour v
mes vont à l’Opéra pour être vues ; les hommes pour voir, lorgner les
femmes
dans la salle, les femmes sur le théâtre. Assuré
re vues ; les hommes pour voir, lorgner les femmes dans la salle, les
femmes
sur le théâtre. Assurément cela allait avec le r
dont il sut pesamment abîmer la gracieuse et alerte chanson. Souvent
femme
varie, précisément à la mesure, où Verdi, dans sa
meurt en une allégresse surhumaine sous le regard de la vierge (de la
femme
?). Mais attendez : son sang jaillit sur elle, et
lo veut vendre la ferme voisine des nôtres à Settignano, et que cette
femme
en a la jouissance pour toute sa vie, de sorte qu
ntenant, ce ne serait qu’à un prix en rapport avec le temps que cette
femme
peut vivre, puisque l’on n’entrerait en jouissanc
a venue des nôtres était la manne enfin tombée du ciel, — et dont les
femmes
, que convoitent les soldats et même les officiers
ue toujours saouls de vin fort et de politique révolutionnaire et les
femmes
des victimes bavardes ou résignées de ces hommes
au bonheur, presque toujours malchanceuse, auxquelles se livrent les
femmes
de notre temps. Bruno Cicognani : 6 Storielle
les bras font défaut. Malgré leur dévouement, qui est admirable, les
femmes
ne réussissent pas à pourvoir aux besoins de la r
inistre spécial, qui est M. Comandini. L’État fournit des secours aux
femmes
des mobilisés ; ils sont en général insuffisants
nde la plus active. Mathilde Serao elle-même a donné des conseils aux
femmes
de province dans ce curieux livre de germanophile
tre. 20. Frère cadet de Michel-Ange. 21. Neveu de Michel-Ange. 22.
Femme
de Lionardo. 23. Quarante jours environ. 24. Ro
puisque Dante prétend s’adresser, non seulement aux hommes, mais aux
femmes
et aux enfants ? Le poète promet de leur faire bo
tionner l’ornement à la matière et ne point parer d’or et de soie une
femme
hideuse à moins qu’on ne sache séparer au besoin
-dire avec ceux qui croient, aiment et espèrent comme lui et même les
femmes
et les enfants (néophytes). Combien, semblables à
voir compter sur le sérieux de ses savants comme sur la pudeur de ses
femmes
. Et répondant au reproche qui lui a été fait de
son expansion, mais encore grâce à l’extraordinaire fécondité de ses
femmes
, fait à peu près équilibre à l’élément italien. D
t bombardé la ville à quatre heures du matin. Au pont della Zilla les
femmes
se sont enfuies de leurs maisons en chemise, en s
ien, les allocations sont minimes (60 à 70 centimes par jour pour les
femmes
des mobilisés), les aliments de première nécessit
rès que tous leurs plus chers sont partis pour la guerre, vieillards,
femmes
et enfants sans refuge, souffrant la faim. Une m
antegna (Judith tenant la tête d’Holopherne) et un Rembrandt (Vieille
femme
lisant). De ces quatre œuvres, seul le Mantegna f
u’il n’en est réellement. Le premier portier d’hôtel venu à Rome, une
femme
du peuple à Milan, une gentille « ragazza » de Gê
ancophobes qui s’en allèrent distiller goutte è goutte dans l’âme des
femmes
demeurées au foyer le poison du découragement et
l’arrière s’était complètement transformé et des paysannes, mères ou
femmes
de soldats, firent honte aux sbandati, les renvoy
t en retraite, dans leur petite maison montagnarde, embrassèrent leur
femme
et leurs enfants, puis allèrent mettre le feu aux
rich Museum. Le tableau, d’après la presse berlinoise, représente une
femme
nue étendue sur une couche ; à ses pieds est assi
e révélât son sexe. Enfin elle s’enhardit jusqu’à chanter : « Souvent
femme
varie », et fut fort applaudie. Elle leur raconta
venait maître de chapelle à Sainte-Marie-Majeure. Après la mort de sa
femme
, il revint à la direction de la chapelle de Saint
de 90 ans. En voici le tableau instructif : Professions Hommes
Femmes
Agriculteurs et pasteurs 1 887 621 Hôteliers
ait un peu. La profession de propriétaire convient beaucoup mieux aux
femmes
qu’aux hommes ; par contre les laboureurs et les
ue ce fléau disparaisse de longtemps. Il est autorisé de la sorte. La
femme
de l’ouvrier n’est à proprement parler, que la fe
on s’occupe ensuite d’objets plus intéressants. Il est d’usage qu’une
femme
qui est accouchée tienne pendant quelque temps ma
heure du matin, nous partons pour le Vésuve, le Vicomte, M. Long, sa
femme
et moi. Mme Long se trouve mal au milieu de la mo
le sur tout ce qui l’entoure. Elle est tellement au-dessus des autres
femmes
qu’aucun de ses amis ne peut avoir l’idée de la n
(Je crois que je fus plusieurs fois inintelligible for her ; chez une
femme
accoutumée à comprendre ceux qui lui parlent au p
ses origines ni sur ce qu’elle représente. C’est une figure de jeune
femme
enveloppée d’un ample chiton qui tombe de son épa
est une ambitieuse intelligente qui fait servir les séductions de la
femme
à la réalisation de ses projets. Antoine, digne d
le front que dans les foyers des villes et des campagnes où même les
femmes
montrent non seulement du calme et de la fierté,
lier cette préoccupation de la génération précédente — en donnant aux
femmes
italiennes une plus grande conscience de soi et p
sons pas impressionner par les calomnies contre la famille, contre la
femme
française : nous admirons au contraire le sentime
tait pénétré. Alors, cette philosophie se serait prostituée comme une
femme
de la rue, avec les idées d’Humanité et de Justic
eux et plus emporté. Il croit aux idées, à la vertu, aux anciens, aux
femmes
: il est en butte aux caprices d’un enfant malici
lousies, les subtils désirs qui énervent et brisent les hommes et les
femmes
les mieux constitués. Il a voulu devenir un acteu
vauder, et on le galvaude quand on l’invoque à tout venant. — Mais la
femme
, mais l’art, c’est ici ce qui importe plus encore
▲