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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 229, 1er janvier 1907 »
aité de Brindes (où est indiquée pour la première fois la division en empire d’Orient et en empire d’Occident), il voulait, en
t indiquée pour la première fois la division en empire d’Orient et en empire d’Occident), il voulait, en vue de sa future conq
il voulait, en vue de sa future conquête de la Perse, reconstituer l’ empire d’Alexandre, avec un royaume égyptien pour centre
énigme qu’est la bataille d’Actium ». C’est, en effet, l’idée de cet empire égyptien, idée impliquant la possibilité de conti
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
[728-730]. L’histoire des rapports de l’ultramontanisme et du second Empire , déjà éparse en maints ouvrages et dans les docum
de conclure, en étudiant de son côté l’essai de triple alliance de l’ Empire finissant. Dans son histoire de l’expédition de R
olitique. Telle fut l’origine de la politique ultramontaine du second Empire . Tandis qu’en Italie le général Oudinot, envoyé c
adiction, et cette cause a contribué à fausser la politique du second Empire . Cependant, pas plus que Rome n’a été pour tout d
3 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
t en tirer cette conclusion très nette que si l’Italie, liée aux deux empires du centre par une alliance défensive, refusait de
d’eux-mêmes, non en tant qu’individus, mais en tant que citoyens de l’ Empire , leur enlève toute possibilité d’autocritique. L’
ls sont contraires à une intervention armée, combattent l’esprit de l’ empire allemand. Sur ce point l’accord est général entre
he et soutiens inébranlables du principe d’autorité symbolisé par les empires centraux, restaient seuls à l’écart du courant de
dé aux sollicitations de gens, qui n’étaient que des instruments de l’ Empire désireux d’influencer la presse de la péninsule.
rencontrées de la part des gouvernants français tant en 1867, quand l’ Empire était venu au secours du pape pour empêcher que l
). Devenue grande puissance européenne, l’Italie aspire à posséder un empire colonial comme les autres : rien de plus naturel.
. 96-101 [101] […] Revue histoire de la Révolution française et de l’ Empire . Juillet-septembre 1914 (paru en avril 1915). […]
susceptibilités nationales, à les entraîner dans la lutte contre les empires centraux. Écrites par un homme doué d’une grande
oce, partisan de l’intervention de l’Italie dans la guerre contre les Empires centraux. Joint à beaucoup d’autres manifestation
s une semblable politique conduirait logiquement au démembrement de l’ Empire britannique. Pourquoi ne pas rendre en effet Gibr
erre européenne a été partisan de l’intervention italienne contre les empires centraux, l’éminent professeur de l’université de
aïr n’est pas italien. Et si mes amis allemands m’ont mis au ban de l’ Empire , ce n’est pas une raison pour que j’aille exploit
4 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
anfred ; nous savons que le parti des noirs ou gibelin est celui de l’ empire . Abordons la politique de Dante avec une estimati
t-elle nécessaire ? Le peuple romain a-t-il le droit de l’exercer ? L’ empire universel relève-t-il de Dieu ou des vicaires ? L
libre. Le droit (jus) n’est que la volonté de Dieu. Or, Dieu voulut l’ empire du peuple romain, donc le peuple romain a droit à
u voulut l’empire du peuple romain, donc le peuple romain a droit à l’ Empire . L’argument semble si pauvre qu’il nous en donne
nt semble si pauvre qu’il nous en donne un autre, bien étonnant. Si l’ empire romain n’avait pas été prédestiné au sceptre univ
l la déclare illicite : l’empereur n’avait pas le droit de morceler l’ empire . Le seul argument valable pour nous, et que l’aut
5 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
enoît Labre scrutant sa vermine à la lueur des nimbes. La gloire de l’ Empire et la splendeur du Paradis se confondaient, à ses
u du Christ. Mais c’était aussi et surtout comme la majesté même de l’ Empire que l’impiété iconoclaste comprenait dans cet out
avagés par le glaive d’Omar. Alors les Moines fomentèrent dans tout l’ empire grec une formidable agitation. Sous le narthex de
lvaires plus souvent qu’elles n’escaladaient des citadelles. Tout cet empire , sous l’action gourde des Moines, se penchait com
e, et, par lui-même, il était si peu de chose : ce que l’avait fait l’ Empire Romain, ce qu’il ne voulait plus être, en cette b
r auprès du Pape, dans le siècle suivant, les ordres monastiques de l’ Empire Grec, les moines de la règle de Saint Basile, env
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
ie ; Voltaire travaillait alors au second volume de son Histoire de l’ Empire de Russie sous Pierre le Grand ; Algarotti, dont
it pas sans grandeur, sans éclat. On pouvait lui associer les idées d’ empire , de souveraineté, de domination monarchique dont
ort belles pages) l’hellénisme en Asie-Mineure. Dans ces régions de l’ Empire , l’on se représente à l’orientale le pouvoir d’Au
ce puissant instrument de domination, pour conserver et gouverner un empire que les armes lui avaient donné ; elle comprenait
intenant tombée, des généraux et des diplomates qui avaient conquis l’ empire . Si Auguste avait voulu fonder une monarchie, il
7 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
6-520 [520]. […] Revue historique de la Révolution française et de l’ Empire (janvier-mars 1915). […] Roberto Cessi : Émile Ga
ussi dans le giolittisme nombre de paysans, habitués à écouler vers l’ empire les produits de leur culture et de leur élevage o
et Sonnino était en relation étroite avec la politique orientale des Empires du Centre. Lorsqu’on étudie de près le Livre Vert
e littoral oriental de la « mare amarissima » devait être arraché à l’ Empire danubien : or cet Empire ne se contentait même pl
« mare amarissima » devait être arraché à l’Empire danubien : or cet Empire ne se contentait même plus de la portion de côtes
ent de forces très supérieur à celui que la Porte pouvait assurer aux Empires du Centre. Comment fut-elle appréciée à Constanti
cile). La France a contraint l’Italie à l’alliance défensive avec les empires centraux (on sait désormais que les pactes de la
idées unitaires ? L’Italie est chose nouvelle dans le monde depuis l’ empire romain : elle est en devenir, elle est au commenc
s images et des formules nombreuses contre le spectre ressuscité de l’ empire germanique. On pourrait en composer un florilège
raient impérialistes au nom de l’Internationale. Nous eûmes déjà le «  Saint Empire romain de nation germanique », nous pourrions avo
i l’intervention du Pape au Congrès de la Paix était demandée par les Empires centraux afin de rouvrir la Question Romaine et d
de l’Autriche, les a payés en essayant de poignarder traîtreusement l’ empire des Habsbourg au moment du danger. Les faits qui
on radieuse rêvant au bord des mers qui chantent ; c’était vouloir un empire colonial, afin de soustraire la main-d’œuvre ital
eterre, elle était toute à l’Égypte et songeait plutôt à agrandir son empire . Restait l’Allemagne, nation jeune dans l’expans
8 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
Il écrit dans un style de conversation de salon des débuts du Second Empire , dont l’humour rondouillard est ostensiblement sa
Germains, de Slaves et de Celtes, surtout dans l’Allemagne du Sud ; l’ empire austro-hongrois comprend des Germains, des Finnoi
des Germains, des Finnois, des Slaves, des races méditerranéennes ; l’ empire russe est une mosaïque de races et de langues, un
qui concerne l’Allemagne. Il expose toute l’évolution économique de l’ empire allemand, démontrant que l’Allemagne était devenu
à ses dépens : la Grèce, la Bulgarie, la Serbie, la Roumanie ; dans l’ empire austro-hongrois, entre les diverses nationalités
cal, celui de la République de Venise, l’autre horizontal, celui de l’ Empire romain. Les voiles rouges de la flotte des doges
ltrait peu à l’intérieur des terres. L’Adriatique était son principal empire . Les Romains n’avaient pas considéré l’Adriatique
lon germanique la fameuse devise : « N’oublie pas, Allemagne, que ton empire est sur la mer ! » L’esprit de domination, tel es
sur les bras un million de baïonnettes de plus ; grâce à notre second empire , ce million-là travaille pour nous tous sur le do
 », s’efforçaient de rappeler l’attention italienne sur son véritable empire maritime qui est d’abord adriatique. Il y aurait
ent qu’à dévorer leurs sujets comme en Orient, et Napoléon n’a rêvé l’ empire universel que pour faire régner les idées de libe
idole, et votre affreux délire Des dieux et des forfaits multiplia l’ empire . Ô honte ! ô sacrilège ! ô temps infortunes ! Con
pagne n’ait pas fait de mal. Après la retraite de Roumanie, quand les Empires Centraux firent leurs premières propositions de p
eterre, restant maîtresse des mers, étant soutenue par son magnifique empire des dominions, sera un pôle d’attraction. L’Allem
guerre doit être de fournir à l’Italie les moyens de se constituer un empire colonial important, et il est à souhaiter qu’on «
médiocres raisons pour expliquer pourquoi l’Italie s’était alliée aux Empires du Centre, — peut-être parce qu’il n’en peut parl
pour et par elle-même, — non plus à la remorque, dans le sillage des Empires de l’Europe centrale qui restaient ses suzerains.
9 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
les hommes de la raison et ceux de l’expérience. La théocratie perd l’ empire spirituel, ce qui n’empêchera nullement les Sienn
que habitude des choses d’Orient sait bien cela. — À Rome, où, sous l’ Empire , l’orientalisme (qui était exactement alors ce qu
Sur toutes les puissances de la raison et du cœur l’Amour établit son empire  ; mais ce n’est plus un amour capricieux et éphém
ie  siècle et s’exprimait comme Léon X : « Les premiers rangs, dans l’ empire des lettres, appartiennent sans contredit aux écr
itique gibeline ou césarienne, déjà deux fois fatale à Byzance et à l’ Empire Allemand. Fallait-il rester quand même attaché à
angement de combinaison. Et Dante était de ceux-ci. Ils rêvèrent d’un Empire qui serait guelfe et… se réveillèrent confondus,
mbrie, ni Venise. Mais il fallait à ce colosse le cadre colossal d’un Empire mort, et non la sainte fraîcheur de la verte Ombr
errero : Grandeur et décadence de Rome. Tome VI : Auguste et le Grand Empire  ; Plon, 3 fr. 50 Edmond Barthèlemy. Tome LXXV,
a tradition républicaine et aristocratique, les moyens de gouverner l’ empire , Auguste s’était donc arrêté sur les bords de l’E
faisait partie intégrante de l’organisation militaire. Pour durer, l’ empire avait besoin d’une armée, et où, sinon dans l’ari
nserver la vieille noblesse qui constituait la meilleure défense de l’ empire , en soit venu à penser que la paix finirait par l
struments à employer pour gouverner. La question était de savoir si l’ empire serait gouverné, comme les monarchies asiatiques
lettrée, la première dans cette galerie des grandes voluptueuses de l’ empire , sans qu’on puisse cependant accepter tout ce qui
affreuse convulsion des guerres civiles, la société en dissolution, l’ empire sur le point de s’écrouler », n’ayant pas reçu de
ens traditionaliste qu’il eût fallu. Déjà devenaient visibles, dans l’ Empire , les caractéristiques, les stigmates du « monstre
outât, un acheminement de plus vers les futurs usages politiques de l’ empire proprement dit : en effet, on avait déjà, de la s
tout le monde avait été d’avis qu’il était nécessaire, pour sauver l’ empire , de rendre sa force au gouvernement ; l’on avait
en que, à mesure qu’Auguste vieillissait, tout le monde croyait que l’ Empire allait à sa ruine. Et justement, cet affaiblissem
ile de la république, qui dura plus d’un demi-siècle, devait sauver l’ empire . Dans l’impuissance du gouvernement d’Auguste, on
rnement, si faible, si incertain, si minuscule en face de cet immense empire , ce gouvernement dirigé par une famille en proie
re la destinée politique d’Auguste, le rôle de celui-ci dans le Grand Empire . Ce point de vue final est saisissant. Ces deux t
e l’administration romaine était, encore dans les premiers temps de l’ Empire , tout à fait sommaire, rudimentaire, du moins sou
10 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
aliste. Chaque Romain était Rome, et couvait en lui seul le rêve d’un empire . Aussi Rome n’eut-elle pas d’aristocratie ni de d
ure, la conciliation entre les deux forces opposées qui ont déchiré l’ Empire romain. M. Ferrero craint que cet équilibre ne]s
a de son œuvre fédérative et tendit, par la conquête, à l’unité que l’ empire réalisa. Lorsque l’empire vint à se disloquer, le
et tendit, par la conquête, à l’unité que l’empire réalisa. Lorsque l’ empire vint à se disloquer, le pape devint le champion d
es à celles qu’il faut aux nations pour être heureuses. De plus, leur empire ne peut durer ; il faut beaucoup d’oisiveté et de
, après tant de siècles, étant devenu bien inutile. René Pinon : L’ Empire de la Méditerranée, Perrin, 5 fr. À la librair
sciencieux d’information et de discussion consacré par René Pinon à l’ Empire de la Méditerranée, recueil d’articles parus dans
ns rechercher les moyens, rêvait d’un État gigantesque qui referait l’ Empire latin. Il n’avait jamais clairement exposé ses co
portance énorme que conserve l’aristocratie dans le gouvernement de l’ empire . Elle avait été le principe même de la puissance
ue l’aristocratie historique le secondât dans la tâche de gouverner l’ empire , à moins, énormité contre laquelle se levait tout
onstitution intime de l’État romain. La question était de savoir si l’ empire serait gouverné, comme les monarchies asiatiques
verte par le monarque aux hommes intelligents et énergiques de tout l’ empire , sans distinction de nationalité ni de race, la f
s d’Orient, était trop petit maintenant par rapport à l’énormité de l’ empire . C’était là une des significations des guerres ci
11 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
se avoir l’histoire de Rome depuis les origines jusqu’à la chute de l’ Empire d’Occident. Il faut déplorer que M. Ferrero appar
fait classique ; l’auteur a emprunté aux plus grands historiens de l’ empire romain le secret d’une forme lapidaire. Umbert
la mesure de son talent historique et littéraire avec ce livre sur l’ Empire et les femmes des Césars ; un sujet à enivrer le
ces souverains, mais à définir avec précision la grandeur morale de l’ Empire , sa nécessité historique, et à contrôler scrupule
et extérieur, de la mission, des transformations, de la grandeur de l’ Empire . Mais cet intérêt devient extraordinaire lorsqu’o
12 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
e les Celtes. Elle fut facilement victorieuse, grâce au prestige de l’ Empire , grâce à la débilité qui atteint tous les vaincus
exactement à l’opposite de l’ancien Capitole de la République et de l’ Empire . Les monuments antiques s’élevaient en perspectiv
ife à Rome même et en Italie. La grande querelle du sacerdoce et de l’ empire , moins active sous ce pontificat, est surtout rap
ombarde, et où se trouvaient mêlées, par surcroît, des créatures de l’ Empire , fut un des caractères essentiels du règne d’Inno
s détails sur le rôle joué par cette puissante famille placée entre l’ Empire , les Ligues et le Saint-Siège. Page 164, un trait
e que fût son irritation contre Markward (la principale créature de l’ Empire en Italie), Innocent III avait conscience que la
13 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
je vous ai fait, et que je croyais être le dernier, a été fait sous l’ empire d’une émotion sincère ; j’étais navré de vous qui
contemporain à la fois de la fin de la monarchie et de la chute de l’ empire , après avoir exprimé dans Werther la « désespéran
politique, après les tourmentes successives de la révolution et de l’ empire  ; il y avait donc un malaise considérable, dû à l
o a cherché à rappeler la tentation du Christ quand Satan lui offre l’ empire de la terre. Cependant Méphisto a donné à Faust c
ui offre l’empire de la terre. Cependant Méphisto a donné à Faust cet empire de la terre ; seulement il a peuplé cette terre d
’était, comme nul ne l’ignore, sans doute, une des voies d’accès de l’ Empire romain, et à Plaisance débouchaient trois des rou
. 813-820 [820]. Revue Historique de la Révolution française et de l’ Empire (octobre-décembre 1912). […] Léon-G. Pélissier :
), embrassa la vie religieuse. C’était à l’époque où la capitale de l’ Empire Romain avait été transférée des bords du Tibre au
noms et propagent leur gloire dans les cantons les plus éloignés de l’ Empire . Après avoir passé devant la tour dite de l’Horlo
de la rive. Quant aux forces maritimes, elles étaient inexistantes. L’ empire avait trop peu de navires pour protéger ses propr
omme l’Angleterre avait à plusieurs reprises soutenu l’intégrité de l’ empire ottoman et que Sa Hautesse désirait rendre hommag
utre part, avec leur apogée. En juin et juillet, c’était l’étude de l’ Empire . C’était, dans le silence des jours brûlants, la
rviteurs d’Auguste : cela jetterait un jour sur l’administration de l’ Empire  : y avait-il donc déjà une « bureaucratie » aussi
ls précieux, sur « le Commerce et la propagation des Religions dans l’ Empire Romain ». Celui-là fut un des plus actifs véhicul
es Romains » ; « la Vie de garnison et la religion des soldats dans l’ Empire romain » ; « Naufrage d’objets d’art dans l’antiq
sation hellénique avait pénétré profondément l’Italie centrale sous l’ Empire romain. C’est une tombe grecque somptueuse qui a
14 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
es donations de Constantin et de Charlemagne, mettant l’Église dans l’ Empire et non l’Empire dans l’Église ». L’idéal des gouv
Constantin et de Charlemagne, mettant l’Église dans l’Empire et non l’ Empire dans l’Église ». L’idéal des gouvernements — la m
gouvernements — la monarchie, d’après Dante — ayant été réalisé par l’ Empire romain, il fallait remettre cet idéal entre les m
ges suivants : On ne peut encore évaluer ce que Caporetto a valu aux Empires centraux, ce qu’il a coûté à l’Entente. Les respo
e se compteront bientôt plus dans les musées allemands. La presse des empires centraux mène grand bruit autour de ce « riche jo
quement dédaignée en Italie, cependant qu’on se la disputait dans les Empires Centraux. D’autres indices— et, ce qui est plus g
e temps que le sentiment de la solidarité de la race à travers tout l’ empire . Il a été reproché au peuple anglais de ne pas av
e de protectionnisme au régime de la porte ouverte, comme de l’idée d’ empire à celle de la libre communauté. Plus d’impérialis
êts des Alliés, surtout avec ceux de l’Italie, voisine immédiate de l’ Empire des Habsbourg. Nous croyons savoir qu’on le recon
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 242, 15 juillet 1907 »
héologues en font honneur à un artiste romain des premiers temps de l’ Empire , et d’autres l’ont comparée à la Victoire de Samo
16 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
ns le grand point d’orgue de la vie médiévale italienne : la fin d’un Empire . Puisque j’ai nommé Carducci, j’insiste sur la co
e l’âme chevaleresque de toute la péninsule. Le roi Enzo représente l’ Empire vaincu — l’Empire qui fut ensuite le rêve désespé
que de toute la péninsule. Le roi Enzo représente l’Empire vaincu — l’ Empire qui fut ensuite le rêve désespéré de Dante. Il re
s le poète fait défiler devant l’esprit du prisonnier les images de l’ Empire dompté, les images du souvenir glorieux et des pr
, une conclusion qui est un commencement : la fin de la lutte entre l’ Empire et la Papauté, reprend la première épopée de la l
n’est plus soufflé par la droite, par le clergé, pour le service de l’ Empire et la gloire du Tsarisme, il est l’expression act
pu, en cas de guerre européenne, la seconder avec efficacité. Mais l’ Empire des Habsbourg aujourd’hui sollicite beaucoup plus
passé trois accords écrits ou verbaux avec les trois adversaires de l’ Empire Germanique. La crise d’Orient a, pour la première
; la séparation de l’Église et de l’État acheva hier de restreindre l’ empire de notre action par la fermeture des écoles et de
domination d’Innocent III en Italie et la lutte du sacerdoce et de l’ empire , entre la guerre des Albigeois et la politique av
lie et à Rome, croisade des Albigeois, rivalité de la papauté et de l’ empire , quatrième croisade, politique à l’égard des roya
s locales, qui remplirent le xiiie et le xive  siècle. La Papauté, l’ Empire et surtout les villes rivales intervinrent dans c
opéennes. Incorporée, après 1796, à la République Cisalpine, puis à l’ Empire , les événements de 1815 la replacèrent sous le pr
17 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
Hollande et l’Espagne, neutralisa longtemps l’Angleterre, affaiblit l’ Empire , engagea avec tous les atouts en main la guerre d
e complexe de la « perfide Albion », qui semble bien posséder comme l’ empire du Soleil Levant une odeur spéciale ; puis il don
a écrit une étude très substantielle sur Isis et les Isiaques sous l’ Empire Romain (Bloud et Cie). Il traite successivement d
ereur fait venir Sébastien et lui reproche de détruire les dieux de l’ empire et d’avoir failli aux devoirs de sa haute charge.
lut que j’ai toujours honoré le Christ et c’est pour le maintien de l’ empire que j’ai toujours adoré Celui qui est dans les ci
une victoire ailée, l’empereur s’avance vers Sébastien et lui offre l’ empire sur les dieux et les hommes. Il fait miroiter à s
intérêt général. La république finissante la châtie et la prohibe ; l’ Empire déclinant la rend obligatoire et la dote de privi
de leur propre effort. Et soudain, vers la période intermédiaire de l’ Empire , tout change. Et l’artisanat libre redevient un d
iatique, en une immense hiérarchie qui embrasse tous les individus. L’ Empire se convertit en un mécanisme aux rouages infinime
ute liberté et astreint au travail forcé. La servitude à l’égard de l’ Empire a remplacé la servitude à l’égard des particulier
ollèges de Numa durèrent jusqu’à la fin de la République ou même de l’ Empire , en se transformant et en grossissant, bien enten
ir conservait un contrôle pratique. Trajan étendit ce régime à tout l’ empire , et les documents prouvent que s’il créa à Rome l
elés dans la milice armée. Si l’on songe au caractère militaire que l’ empire ne cessait d’offrir, la concession se révélera de
taient appelés à constituer des groupements sur toute la surface de l’ empire . Ceux de Rome étaient 458 au ive  siècle. Ils dev
des légions dont chaque pas marque une affirmation de puissance de l’ Empire , et dont le monde tremble … unum quemque lapis
le studiolo d’Isabelle d’Este. Le musée reçut aussi, sous le premier Empire , les deux panneaux latéraux, le Christ au Jardin
de territoire. Sur le sol d’Afrique, elle se savait plus forte que l’ Empire ottoman, qui ne disposait que d’une marine inféri
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
Louis XII. Sans souffrir aucune contrainte à son formidable besoin d’ empire , il accepta d’avance tous les dangers qu’il se cr
19 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
e laissa conduire uniquement par le parti pris de créer autour de son empire des royaumes dévolus à ses proches, à reconnaître
où il suivra constamment le développement gigantesque qui aboutit à l’ Empire . Il se réclame en ceci de Polybe qu’il déclare « 
énorme développement démocratique qui, de crise en crise, aboutit à l’ Empire . Développement militaire, développement mercantil
lus en plus les uns avec les autres à mesure que nous approchons de l’ Empire . (L’Empire fait, l’un d’eux, le terme militaire,
les uns avec les autres à mesure que nous approchons de l’Empire. (L’ Empire fait, l’un d’eux, le terme militaire, se détacher
antile (M. Ferrero en analyse minutieusement la composition) un vaste empire et une suprématie militaire11. Il y avait à Rome
politique romaine avait attendu passivement les occasions d’élargir l’ empire , et parfois même elle les avait laissé échapper :
, lorsque, en allant ensemble en pèlerinage à Ravenne le tombeau d’un empire , il me montra d’un geste inoubliable dans la camp
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
eurs les mêmes habitudes. Ainsi s’exprime Daru, en son sérieux style empire qui porte le roi de habit brodé du haut fonctionn
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
fet, selon M. G. Tommassetti, que, dans la transformation rapide de l’ Empire à ce moment de l’histoire du Christus imperat, le
22 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
uleusement historique. On ne sent pas, dans ce drame, l’approche de l’ Empire  ; Robespierre ne prêche pas, ne prévoit pas : c’e
23 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
e, et l’empereur sera bien ainsi l’être le plus extraordinaire de son empire . Pour les faits de l’occupation depuis 1885, on v
ses constructions de la fin du Consulat et du commencement du Premier Empire , ces maladroites, plates et gauches contrefaçons
24 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
ntention, pour assurer la paix de l’Europe, était de frapper à mort l’ Empire Russe. Je visai au cœur, mais — l’empereur sourit
4-369 [369]. […] Revue historique de la Révolution française et de l’ Empire (novembre-décembre 1913) : […] Marie-Caroline, re
. 809-815 [815]. Revue historique de la Révolution Française et de l’ Empire (janvier-mars 1914)- […] Léon-G. Pélissier : À la
…] Bulletin historique : Les études napoléoniennes en Italie, premier Empire (Georges Bourgin). […] Art. Le Salon des Artis
25 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
es en arrière, quand l’évangile du jour commençait ainsi : Je suis l’ Empire à la fin de la décadence. Et ces études en effet
de l’Amérique du Nord constituent-ils une nation ? À peine. C’est un empire romain qui attend l’heure des craquements et des
26 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
eligieux », « la Légende d’Hercule ». « Un philosophe ministre sous l’ Empire romain » (à propos du Sénèque de M. René Waltz, d
ogique, d’abord. Si je prends au pied de la lettre cette hypothèse, l’ Empire Romain est comme qui dirait sorti d’un volcan. Il
Rome alla de l’aristocratie à la démocratie, dont sortit à son tour l’ Empire , vous voyez déjà le rôle capital du haut faubourg
simple souvenir historique, parce qu’elle avait été la capitale de l’ Empire romain et la résidence des papes. L’activité mode
rentes dans une série d’édifices, datant au plus du commencement de l’ empire , en des points rapprochés, à Pouzzoles, à Baia, à
379-384 [384]. […] Revue histoire de la Révolution française et de l’ Empire (avril-juin 1912). […] Marie-Caroline, reine des
2-609 [609]. […] Revue historique de la Révolution Française et de l’ Empire , juillet-septembre 1913. […] Marie-Caroline, rein
27 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
s les excès du sang, laissa le champ libre à la savante tyrannie d’un empire glorieux et conquérant, qui devait s’affirmer à M
e, les vertus, Mathilde, Statius et Dante lorsque l’aigle, image de l’ Empire , s’abat sur le char et le remplit de ses plumes.
ersonnalité si diverse des deux poètes, dont l’un affirme son idéal d’ empire et de domination, toujours inassouvi, et l’autre,
28 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
traitent de Molière et d’Edgar Allan Poe, du gouverneur Pitt et de l’ Empire Libéral, de Lorenzo de Medici, de Pitt et de la t
e chacun de ces fragments, à préciser dans quelles conditions, sous l’ empire de quelles lectures, de quelles notions puisées d
iquer l’origine du fleuve Omo… Et puis… J’ai ma pensée, j’ai même mon empire , une parole romaine à rendra italienne : Teneo te
29 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
eligions asiatiques et sous la pression d’une insolence qui mettait l’ empire en péril. Devenu la force à son tour, le christia
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