o et connue sous le nom de Maison des Martyrs […]. Art ancien. Les
dessins
du Pisanello Virgile Josz. Tome XXX, numéro 1
113, 1er mai 1899, p. 535-543 [535-540]. L’exposition temporaire des
dessins
du Louvre est consacrée, cette fois, à Vittore Pi
reste de la production mentionnée par les contemporains. Cela et ses
dessins
. Mais c’est assez pour affirmer une des plus haut
aucune mauvaise chance paraisse assez forte pour le renverser. Un des
dessins
du Pisan qui attire de suite est le croquis du Pa
et de chevaux fougueux. Dès ses premières années, il fit de nombreux
dessins
, ainsi que des modelages en relief dont quelques-
t plus pensif. Il perdait beaucoup de temps à de curieux artifices de
dessin
, comme s’oubliant à tisser des études compliquées
nous nous le représentons comme un simple logicien qui subordonne le
dessin
à l’anatomie, et la composition aux règles mathém
satisfait l’âme. Cette curieuse beauté se manifeste surtout dans ses
dessins
, et particulièrement dans la grâce abstraite des
âce abstraite des lignes qui les bornent. Prenons quelques-uns de ces
dessins
et considérons-les un peu ; et d’abord, un de ceu
On peut remarquer une puissance de pathétique aussi grande dans trois
dessins
: celui d’un jeune homme assis, dans une posture
tre tête, aussi pleine de sentiment, mais d’une autre sorte, un petit
dessin
à la craie rouge, dont on se souvient certainemen
ainement pour peu qu’on ait, au Louvre, examiné avec quelque soin les
dessins
des vieux maîtres. C’est une figure de sexe incer
e de volupté et de satiété dans les yeux et dans les lèvres. Un autre
dessin
semble représenter la même figure rajeunie : les
ous pourrions passer par le fil des idées que nous suggèrent ces deux
dessins
mis ainsi côte à côte, et, le poursuivant à trave
r la reconstituer, de nous reporter aux études de Léonard, surtout au
dessin
de la tête centrale qui se trouve au Brera, et qu
vestiges de cette statue de Sforza peuvent se retrouver dans certains
dessins
de Léonard, et aussi, peut-être, par une circonst
lle qui fut autrefois aux mains de Vasari, étaient renfermés certains
dessins
de Verrocchio, des visages d’une beauté si frappa
avait maintes fois copiés. Il est difficile de ne pas rapporter à ces
dessins
du plus vieux maître d’autrefois, comme à son pri
rme immatérielle dans l’esprit de Léonard, tracée faiblement dans les
dessins
de Verrocchio, elle se retrouve enfin dans la mai
no, sont surpris par le son des trompettes, et courent aux armes. Son
dessin
ne nous est parvenu que dans une vieille gravure,
leurs dents ; et pourtant bien différent est un fragment d’un de ses
dessins
à Florence : c’est un champ onduleux de belles ar
itiques pourtant ont voulu, mais sans preuves décisives, voir dans un
dessin
du Louvre l’idée première de l’œuvre de Pisanello
nateur que l’artiste nous est aujourd’hui connu ; ses deux cahiers de
dessins
, celui du British Museum qui est le plus ancien e
uattrocento, dit M. L. Venturi, n’offre une aussi grande abondance de
dessins
que lui et Pisanello. Les deux peintres, qui pend
être le triptyque de San Giovanni in Bragora à Venise ; la largeur du
dessin
de la Madone centrale, la vivacité des couleurs e
aints formant autour de la Vierge un groupe heureusement disposé ; le
dessin
des figures est d’une vérité et d’un naturel jusq
ner créance au séjour à Fribourg, au frère aîné graveur, aux premiers
dessins
de feuillages, à Claude élève de Jean ? Cela fait
donné ces spectacles, de Ruet le magnifique devait les graver sur les
dessins
du maître des jeux : dans sa superbe il refusa, v
r le coloris il avait une très grande facilité ; il nous arrivait (le
dessin
et les ombres ayant été indiqués au moyeu de la c
si marquée laisse une indéfinissable impression. Si tout au moins les
dessins
qui le remplissent étaient intéressants ! Ce n’es
es aides-mémoires du Livre de Vérité sont peu intéressants, les rares
dessins
de Claude Gellée que nous possédons sont d’une ma
Hoare, empruntaient leurs belles qualités aux caractéristiques de ces
dessins
. Celles-là ôtaient les harmoniques de ceux-ci. Et
au bord de l’eau décèle son impuissance à colorer une planche, — les
dessins
que je viens de citer (il en est, relevés de sépi
s Conventuels de Pérouse2. L’ordonnance en est sèche, très sèche ; le
dessin
d’une dureté absolue et le coloris froid. Et puis
ereux d’en tirer des illustrations qu’une partition pour piano. Quels
dessins
s’allieraient dignement à l’Odyssée, au Mahabhara
n xve siècle, et sur la terre même d’Alighieri, un maître ès arts du
dessin
ait cédé à cette tentation. Botticelli, ce maître
souffrent avec un réalisme que n’atténue point le léger archaïsme du
dessin
. Quoique aucun document ne nous renseigne sur l’a
uille de tête représentant l’ensemble des cercles infernaux. Tous ces
dessins
se trouvaient dans un volume de mélanges ayant ap
stration des trois derniers chants du Paradis 31, le nombre total des
dessins
existants est de quatre-vingt-douze, dont quatre-
dont quatre-vingt-trois à Berlin. Ébauchés à la pointe d’argent, ces
dessins
ont été repris partie à la plume et à la même poi
ca », et qui fut très estimée en Italie à partir du xive siècle. Les
dessins
parent le verso des feuilles, le côté chair « fle
igantesque, s’étale sur une double feuille. On ne peut douter que ces
dessins
ne soient de la propre main de Botticelli, tant i
sa science de décorateur et sa verve. D’autre part, on relève sur le
dessin
du chant XXVIII du Paradis la signature Sandro di
son génie s’y manifesta sous toutes ses formes. Mais, pour créer des
dessins
où revécût le poème, des pages émouvantes et anag
nt expressifs. Formes construites et lignes sommaires, tout, dans ces
dessins
, est indiqué ou écrit avec une énergie parfois br
s une douleur aiguë. Et les lignes brisées, tourmentées, lugubres, du
dessin
disent la plainte de ces arbres étranges. Sur le
flammes, et l’on doit reconnaître qu’un pareil thème se prête mal, en
dessin
, à une interprétation dramatique. Par contre, on
e de Trajan promettant son appui à la veuve, tout est silhouetté d’un
dessin
ferme et pur. Aussitôt après, paraît l’armée des
s’ouvre une autre route couverte de sculptures à enseignements, d’un
dessin
lâché, celles-là, mais très expressif (XII) ; Tro
ifs de la donna di virtu 47. Il faut, encore une fois, considérer ces
dessins
comme une préparation ; on ne saurait admettre qu
le illustration ? C’est, en vérité, peu probable. Michel-Ange orna de
dessins
, lui aussi, et pour sa propre satisfaction, un ma
ion d’un des livres du Poème sacré, et réjouissons-nous de ce que les
dessins
de Botticelli aient échappé à la destruction. S’i
Fragonard et Robert se livrèrent à une véritable orgie de croquis, de
dessins
et surtout de sanguines […]. La sanguine, c’est l
lanches de cette édition. 30. Kunstchronik, 21e année, n° 28. — Ces
dessins
ont été reproduits avec ceux provenant de la coll
gne l’album de photogravures. On peut encore lire une description des
dessins
dans Waagen : Treasures of art in England, vol. I
e moines, de cardinaux parmi les réprouvés. » À Windsor se trouve un
dessin
si énigmatique qu’il n’a pas été commenté, je cro
contient l’expression entière d’une âme immortelle. » En donnant les
dessins
et les opinions du grand homme sur les sciences o
de la reconnaissance que parce qu’il a dessiné et peint. Aux arts du
dessin
, il est vraiment le mage, celui qui enferme le my
le Cartelle (parmi les Albums et les Cartons), il passe en revue les
dessins
, gravures, lithographies des artistes les meilleu
nquante exemplaires, ordonnant qu’après un tirage aussi restreint les
dessins
fussent aussitôt effacés des pierres ». L’Ar
magnifique, imprimé en caractères rouges et noirs, rehaussés par des
dessins
symboliques harmonieux et riches de Giuseppe Cell
isposées décorativement des armes de toute sorte, couvrant d’étranges
dessins
les murs et le plafond. La seconde salle renferme
lliant tout l’acquis des recherches impressionnistes à une fermeté du
dessin
, une netteté des contours et une conscience du dé
Millet et qu’au moment où, monté dans l’Alpe, Segantini arrive à son
dessin
filamenteux, c’est uniment pour traduire la nouve
t uniment pour traduire la nouvelle facture de ses tableaux, dont ses
dessins
furent des ressouvenirs, des variantes, et jamais
r pour quelque argent, dans l’amphithéâtre d’un hôpital de Milan, aux
dessins
d’une publication médicale) a entrepris avec cett
Paolo Uccello et des Andrea del Castagno. Encore une fois, c’est d’un
dessin
impeccable, mais ce n’est pas beau. À droite quel
précieuse, vendue bien plus que son pesant d’or, montre un magnifique
dessin
de vache, aux crayons rose, roux et blanc, sur fo
in. Cette vache-ci a été aimée par Segantini le temps qu’en a duré le
dessin
; il a été hanté par la pensée, que ses écrits on
à leur égard. Et son émotion est sensible partout dans cet admirable
dessin
mutilé, sans doute par des mains d’enfants… les m
fenaison, cette fête de l’année sur l’Alpe. Il en a laissé plusieurs
dessins
; mais voici que, reprenant une ébauche abandonné
En effet, le clocher n’a qu’une importance secondaire ; dans un petit
dessin
postérieur, reproduit à la Gazette des Beaux-Arts
t artiste dont pas une œuvre intacte n’a survécu, et qui avec un seul
dessin
l’emporte sur tous les dessins sans exception ; c
ntacte n’a survécu, et qui avec un seul dessin l’emporte sur tous les
dessins
sans exception ; ce héros, suivant une expression
cacité, en possession l’un et l’autre d’un merveilleux métier dans le
dessin
lithographique, Daumier et Gavarni sont deux temp
r des subtilités de sentiment et de raffinements de sensation, que le
dessin
seul ne saurait ni ne pourrait exprimer. « Chéret
ncore une vingtaine d’années, la vie de l’art à plusieurs milliers de
dessins
, plus beaux, plus originaux et plus mouvementés,
rs un fond de gaieté et d’indulgence. Cela est sensible dans tous ses
dessins
, où, lorsque l’observation devient satirique, ell
s, produit, outre plusieurs tableaux, quelques cartons et de nombreux
dessins
à la plume, d’un gracieux caractère. En résumé, p
aduire l’expression canaille et effrontée des filles du trottoir. Son
dessin
: Passeggiata nocturna, est un petit chef-d’œuvre
rt, à la fois sévère et précieux, de Alberto Martini. Certains de ses
dessins
, par la sûreté de leur anatomie, font songer à Al
ssins, par la sûreté de leur anatomie, font songer à Albert Dürer. Ce
dessin
, par exemple, pour le xxive chant du Purgatoire
C’est ce terrible texte que M. Martini a voulu illustrer. — D’autres
dessins
, d’un réalisme très précis, représentent les horr
e très précis, représentent les horreurs de la Cour des Miracles. Ces
dessins
sont aussi spirituels. Voici, dans la note « préc
viner, comme on suppose Phidias, sur la foi des témoignages, sans des
dessins
, si prestigieux qu’ils dépassent tableaux et fres
, et une gravure de la chalcographie du Louvre représente, d’après un
dessin
du maître, le grand œuvre alchimique. Un esprit q
e de la Madonna dell’Orto. Le même homme étonne par la largeur de son
dessin
, par la vérité, par l’audace de ses raccourcis. O
ales, on le charge de décorer le chœur de la cathédrale de Prato. Son
dessin
a de la souplesse. Mais, dans le cours de sa vie
amour des teintes vives dont Fra Angelico ou Gozzoli coloriaient leur
dessin
sans assez tenir compte du jeu des ombres. Au lie
rrangement de la coiffure, que Léonard les imita toujours ». Mais ces
dessins
, retrouvés dans des collections, étaient, sont en
, Defendente a conservé quelques-uns des moyens des primitifs. Si son
dessin
est d’une grande pureté de lignes et de modelé, s
me du point à la rose ? Valeurs opposées, couleurs brillantes, riches
dessins
, jeu de clartés, c’est l’orgueil unique de ces il
nse d’Este, duc de Ferrare, protecteur de Titien, l’accent robuste du
dessin
et du coloris font de cette image une de ces créa
passa peu de temps au King’s College avant de fréquenter l’atelier de
dessin
du peintre Cary, la salle des antiques de l’Acadé
aperçu, il disparut après quelques numéros qui contiennent, outre des
dessins
de Ford-Madox Brown, de Hunt, de Millais, des art
t en Italie, et où il se cherchait. À cause de cela, ces œuvres, d’un
dessin
précis, d’un coloris plutôt sec, sont fort curieu
Triptyque des Alpes, et le tableau Les Deux Mères ; puis de nombreux
dessins
de l’artiste, des eaux-fortes de ses deux fils d’
ction par Péladan. Portrait de Léonard de Vinci et XXXI facsimilés de
dessins
et de croquis. Vol. in-18, 3,50, Paris, 1907. Les
ome XLII, numéro 148, avril 1902, p. 244-251 [251]. […] Exposition de
dessins
de M. F. Luigini, galeries Bernheim. Échos. Le
à nombre de gens. Art ancien. Au Louvre : les nouvelles salles de
dessins
[extrait] Virgile Josz. Tome XLII, numéro 149,
1902, p. 531-535 [531-532]. Voici, enfin réorganisées, les salles de
dessins
. À partir des salles du mobilier Louis XVI, elles
Or, la ligne du front ou celle du nez, l’ouverture des paupières, le
dessin
des narines ou des lèvres, la courbe du menton, e
droite, chacune un angle léger. La couleur est ici pour autant que le
dessin
, et il serait du reste curieux de vérifier le pro
et notamment un torse, style et marbre grecs, parfaitement beaux, des
dessins
de Rembrandt, de Rubens, de Michel-Ange, du Titie
e ces peintures soutient cette attribution, et sans la défaillance de
dessin
des mains, le nom de Sandro lui-même pourrait êtr
trait de Cristoforo Madruzzo est l’une des œuvres les plus serrées de
dessin
de Titien. Le visage et les mains sont étudiés av
me LXXVIII, numéro 283, 1er avril 1909 En rêvant sur un album de
dessins
Jean Moréas. Tome LXXVIII, numéro 283, 1er avr
llo peintre que de trop rares exemples de sa maîtrise, par contre les
dessins
abondent qui montrent que le médailleur, si intér
usée (il comprend actuellement 700 peintures, 200 sculptures et 2 000
dessins
), où les principales écoles sont représentées et
r, Watteau, Delacroix, Fantin-Latour, Henner, Hébert, etc. ; dans les
dessins
, Rembrandt, Campagnola, Watteau, Baudouin, Corot,
ndulations de l’atmosphère provençale se prolonger et chanter dans un
dessin
à la fois tumultueux et caressant en ces brûlants
un vrai artiste, et qui peut mieux. Les décors, les costumes, dont le
dessin
fut l’œuvre suprême du peintre Paul Ranson, étaie
me de haut luxe consacré par M. Victor Goloubew au célébré recueil de
dessins
de Jacopo Bellini au Louvre. (Les Dessins de Jaco
oubew au célébré recueil de dessins de Jacopo Bellini au Louvre. (Les
Dessins
de Jacopo Bellini au Louvre et au British Museum
-folio, 100 planches avec notices, table et p. d’introd.) Ce livre de
dessins
, si précieux pour la connaissance des origines de
donné bien du mal pour un édifice en somme de peu d’intérêt — de bons
dessins
sur Venise et Florence, de M. M. Chollet ; la por
rédigé par M. Gustave Gruyer, consacré à la collection de peintures,
dessins
, eaux-fortes, sculptures et objets d’art donnés p
. 37 planches). On y remarque entre autres […] dans la collection des
dessins
, particulièrement belle, des œuvres admirables de
accompagnée de 16 reproductions. 25. Cette 2e partie, consacrée aux
dessins
du Louvre, est en réalité la première parue ; le
Louvre, est en réalité la première parue ; le volume ayant trait aux
dessins
du British Museum viendra ensuite, et un 3e volum
placable, et qui a si curieusement tourné avec le temps, le poncis du
dessin
qui transparaît sous la couleur froide, le blafar
a laissé est aujourd’hui à Londres. Il l’a représentée de profil. Le
dessin
a la pureté et la fermeté de ligne d’une médaille
n. Il écrit au Bernin pour lui transmettre le désir du roi d’avoir un
dessin
pour l’achèvement du Louvre, ceux qu’il possède n
nt les incroyables de Carle Vernet : qu’on regarde avec attention les
dessins
qui en sont restés, le médaillon d’or du Cabinet
es moyens que je pourray, je tascheray de le porter à faire plusieurs
dessins
pour le bastimen du Louvre. » Et Créquy ne se tro
res taillées, des médailles et des monnaies rares. Daniel emporta des
dessins
afin de choisir ceux qui lui conviendraient. À
nom du prêtre qui lui enseigna la musique, l’encouragea dans l’art du
dessin
et qui le crut suffisamment doué d’ambition, de t
elli vint me saluer dès qu’il eut appris mon retour, et m’apporta des
dessins
exécutés d’après les marbres antiques de Bellini.
’art est de les rendre parfaites. — Non ! — Plus d’un déclarerait les
dessins
défectueux et laids. Regarde cette gorge pesante…
iel causait à l’écart avec Bellini, Giorgio me dit : — Venez voir les
dessins
de Titian. C’étaient des copies de marbres antiqu
reproduire les différents aspects du condottière, il vous faudra cent
dessins
…. — Tu te trompes, protesta Giorgio, un seul suff
protesta Giorgio, un seul suffira. — Quoi ? tu prétends, avec un seul
dessin
, nous montrer un dos, une poitrine, une figure vu
angers et un déplorable incendie détruisit, en 1521, le coffre et les
dessins
que je possédais. (Sur les derniers feuillets f
lors le peintre avait surtout été un colorieur remplissant de tons un
dessin
vu par le contour ; Giorgione le premier se rend
dessin vu par le contour ; Giorgione le premier se rend compte que le
dessin
est la traduction de la forme tout entière ; il v
ison Lefranc et dirigée par MM. Louis Lumet et Yvanhoé Rambosson : le
Dessin
par les grands maîtres. Le premier fascicule cont
rote, de Berlin, vient de terminer aussi sa précieuse publication des
Dessins
du Cabinet des estampes de Berlin (Zeichnunge alt
e XCII, numéro 339, 1er août 1911, p. 627-630 [629]. L’exposition des
dessins
de M. Léon Bakst aux Arts décoratifs est un peu c
rt sur échantillons assez cursifs. Il faut dire que la plupart de ces
dessins
ont besoin de leur réalisation scénique pour donn
s sont bizarres de construction et de torsion on peut alléguer que le
dessin
est fait pour le costume. À côté de ces indicatio
n est fait pour le costume. À côté de ces indications larges quelques
dessins
fignolés surprennent, et quelques panneaux peints
et II par Gentile Bellini, Bertoldo, Costanzo et Matteo da Pasti, des
dessins
de Pisanello, etc. ; et, plus tard, Tiepolo conti
atholique de Gabriel d’Annunzio. 56. . sur Léon Bakst et ses curieux
dessins
le joli article de M. Jean-Louis Vaudoyer, accomp
de France, 16 mars 1911, p. 428. 61. Le Musée de Tours. Peintures,
dessins
, sculptures, meubles, etc. Introd. et catalogue p
li Piceno, mais la main de la madone de Crivelli est une merveille de
dessin
nerveux et de modelé, et l’attitude de l’enfant q
as pour moi la Sainte-Anne de Matelica de Lorenzo d’Alessandro. Si le
dessin
est moins sûr que celui de Vittore on devine chez
u, admirable sous le rapport du caractère des têtes, de la fermeté du
dessin
, et de l’exécution même, est faux sous le rapport
i j’avais le choix je prendrais un tableau du Corrège avant tout, des
dessins
de Raphaël, et je voudrais avoir mon portrait pei
, d’après Vasari lui-même, Léonard aurait simplement « peint » sur un
dessin
de Verrocchio ? Sur la foi du même Vasari, la Mad
ices et incline fort à lui donner la Madone à l’œillet de Munich. Les
dessins
peu nombreux, la tête d’ange des Offices, la tête
ino Luini, et Luini jugé digne de mettre la couleur où Léonard mit le
dessin
, est-il plus magnifique hommage du génie envers l
teur et d’inventeur de scènes délicieuses. S’il avait à cela joint le
dessin
de Léonard, son nom eût été l’un des plus grands
2° Le caractère des habitants ; 3° La peinture et les autres arts du
dessin
; 4° La musique. Pour avoir du plaisir par ces de
Bertrand dans la supposition que ses dispositions éclatantes pour le
dessin
ne le conduisent pas à la peinture d’histoire. Et
artiste sont fort rares : le Louvre ne possédait de lui que quelques
dessins
. Ce portrait semble représenter l’une des deux fe
e chair et rien de plus : « Haleka-Luccas, ayant lui-même terminé son
dessin
, prit un pinceau et se mit à colorier. Je lui dem
e et impérieux resplendissement. Il était malaisé d’assembler sous un
dessin
souple et mouvementé tous ces dés multicolores, t
la perfection même, ou chez les Primitifs, par une méthode simple, un
dessin
coloré, méthode qui s’est transmise, sans besoin
comme il faut. Ces pages excellentes sont illustrées des plus curieux
dessins
et croquis représentant le poète selon toutes les
is longtemps, et je me rappelle l’avoir annoncé ici il y a un an. Les
dessins
et les portraits sont de M. Majani, un artiste bo
cle, il avait encore une double enceinte et un pont de bois. De vieux
dessins
de Heemskerk et de Kock, le plan de Legerio conse
de la mort domine toutes leurs créations. On se rappelle le puissant
dessin
du maître Willette : deux amoureux de Lancret, Pi
situations que G. d’Annunzio a reprises, après Maupassant, suivant un
dessin
analogue. Dans le Retour (recueil Yvette, 1885),
ès solide étude de M. Rodolfo Renier : Pour l’histoire des arts et du
dessin
. — Toujours intéressante, la Letteraria se complè
ue de ces chœurs, force déterminante de toute la tragédie. Lorsque le
dessin
du drame s’affaiblit, les invocations et les cris
ini notre musée a longtemps joué de malheur. À part la belle série de
dessins
de Jacopo, le père, rien à la vérité ne trahissai
i ne regardent que le nom inscrit sur le cadre, sont aussi faibles de
dessin
que la madone. La mollesse de la facture, la timi
est mis au catalogue tous le nom de Giovanni est une œuvre solide, de
dessin
décisif et volontaire, moins aigu peut-être que l
le paysage où se trouvent Dafné et Apollon ; les types des femmes, le
dessin
des oreilles et des mains me font pleinement acce
Zorzo pour un certain Vittorio Becharo, qui est je crois de meilleur
dessin
et mieux finie que celle de Contarini. Mais ce Be
us avons vu paraître en même temps le Forum Romain et la Voie Sacrée,
dessins
et restitutions de M. F. Hoffbauer et texte de M.
ochio, Pic de la Mirandole, beaux comme des anges. Nous n’avons qu’un
dessin
de Léonard fait par un élève, le maître y paraît
o di tempi di San Ambrosio, orné de sujets saints, dont la beauté, le
dessin
et les couleurs sont au-dessus de tout ce que l’o
onard écrit : Il y a beaucoup de gens qui ont le désir et l’amour du
dessin
, mais qui manquent de disposition, et cela se rév
t : Importante observation et qui aujourd’hui s’appliquerait non aux
dessins
et aux enfants, mais aux tableaux et aux artistes
Stædel de Francfort : un recueil en fac-similé de cent des plus beaux
dessins
que possède ce musée, particulièrement riche en d
es plus beaux dessins que possède ce musée, particulièrement riche en
dessins
de maîtres. […] Cinq livraisons sur dix (à 16 mar
ont plantés un peu haut ; les sourcils dont la ligne est si pure ; le
dessin
des narines ; les sinuosités des lèvres, et, sur
tique à venir voir dans son atelier une trentaine d’aquarelles et des
dessins
. Les dessins, études de mouvements féminins, aspe
voir dans son atelier une trentaine d’aquarelles et des dessins. Les
dessins
, études de mouvements féminins, aspects de nu, so
vasque ; des aquarelles rue Pompéi de M. L. Vaugeois ; […]. Parmi les
dessins
, eaux-fortes, gravures en noir et couleurs qui so
superflus et je crus qu’elle devait être (au poème) ce que sont à un
dessin
correct, et bien agencé, la vivacité des couleurs
xcellent graveur qui, obligé de conduire son burin d’après un mauvais
dessin
, ne pouvait éviter que, malgré son art, on ne vît
sa faute que Ravà a pu dévoiler cette belle statue de marbre blanc au
dessin
si pur et la dresser, tranchant sur le fond enrag
eculé du profil aquilin, sous l’arcade proéminente font ressembler le
dessin
de ce caractère au type abstrait du maître entier
ns enluminés par eux-mêmes. Ils établissent leurs canevas d’après les
dessins
du Tintoret, du Titien ou du Pordenone. Ils sont
s de Jacopo Bellini que possèdent le Louvre et le British Museum. Les
dessins
du Louvre avaient été publiés les premiers, — quo
annoncer aujourd’hui l’apparition de la 1re partie, c’est-à-dire des
dessins
du Musée Britannique (les Dessins de Jacopo Belli
de la 1re partie, c’est-à-dire des dessins du Musée Britannique (les
Dessins
de Jacopo Bellini au Louvre et au British Museum
e ferveur, tandis qu’il se frappe la poitrine d’une énorme pierre. Le
dessin
serré, aigu, de ce visage aux modelés saillants,
rance. Voyez les écoles futuristes, toutes les étranges évolutions du
dessin
nous arrivant des pays où l’on avait l’habitude,
de deux hommes ; mais le trop vanté Balthazar Castiglione, si mou de
dessin
et de modelé, si pauvre de couleur, mais la grand
ction par Péladan. Portrait de Léonard de Vinci et XXXI facsimilés de
dessins
et croquis. Vol. in-18, 3 fr. 50. 1. Mémoires
première était surtout célèbre par sa magnifique série de gravures et
dessins
italiens et allemands, dont l’énumération ne remp
t de Salomon, vendue 2050 francs […]. Les pièces capitales, parmi les
dessins
, étaient une feuille de carnet de Dürer offrant h
image vivante de l’Italie pendant la guerre, que précisent encore des
dessins
de Raffaëlli, Vallotton, Villani et van Dongen. [
s cubistes français et ont quelque point de contact avec eux, pour le
dessin
; ils s’en sépareraient pour la couleur que les c
cquisitions du département de la peinture, on vient d’accrocher trois
dessins
que M. Bonnat, à l’occasion de sa réélection comm
e de cette composition, ajouté à ses qualités d’exécution robuste, de
dessin
incisif, de coloris vigoureux, rend cette œuvre p
in 1912, p. 833-838 [835]. […] Hors de France, quelques aquarelles et
dessins
concernent seulement l’Allemagne, la Suisse, l’It
non moins précieux, étant donnée surtout son importance que celui des
Dessins
de maîtres anciens de l’Institut Stædel de Francf
nt paru depuis et ne sont pas moins dignes d’éloges par l’intérêt des
dessins
reproduits et la fidélité de ces fac-similés, don
le style trop tourmenté ; mais l’expérience de la vie, la mesure, le
dessin
des personnages, le développement sobre des scène
ronchet) du 15 janvier au 1er février. On y verra de la peinture, des
dessins
et des dessins colorés. L’exposition sera inaugur
janvier au 1er février. On y verra de la peinture, des dessins et des
dessins
colorés. L’exposition sera inaugurée par une conf
u la mémoire, demanda au Pape de faire dresser une liste complète des
dessins
et des œuvres qui se trouvaient dans la maison de
▲