/ 27
1 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
o et connue sous le nom de Maison des Martyrs […]. Art ancien. Les dessins du Pisanello Virgile Josz. Tome XXX, numéro 1
 113, 1er mai 1899, p. 535-543 [535-540]. L’exposition temporaire des dessins du Louvre est consacrée, cette fois, à Vittore Pi
reste de la production mentionnée par les contemporains. Cela et ses dessins . Mais c’est assez pour affirmer une des plus haut
aucune mauvaise chance paraisse assez forte pour le renverser. Un des dessins du Pisan qui attire de suite est le croquis du Pa
et de chevaux fougueux. Dès ses premières années, il fit de nombreux dessins , ainsi que des modelages en relief dont quelques-
t plus pensif. Il perdait beaucoup de temps à de curieux artifices de dessin , comme s’oubliant à tisser des études compliquées
nous nous le représentons comme un simple logicien qui subordonne le dessin à l’anatomie, et la composition aux règles mathém
satisfait l’âme. Cette curieuse beauté se manifeste surtout dans ses dessins , et particulièrement dans la grâce abstraite des
âce abstraite des lignes qui les bornent. Prenons quelques-uns de ces dessins et considérons-les un peu ; et d’abord, un de ceu
On peut remarquer une puissance de pathétique aussi grande dans trois dessins  : celui d’un jeune homme assis, dans une posture
tre tête, aussi pleine de sentiment, mais d’une autre sorte, un petit dessin à la craie rouge, dont on se souvient certainemen
ainement pour peu qu’on ait, au Louvre, examiné avec quelque soin les dessins des vieux maîtres. C’est une figure de sexe incer
e de volupté et de satiété dans les yeux et dans les lèvres. Un autre dessin semble représenter la même figure rajeunie : les
ous pourrions passer par le fil des idées que nous suggèrent ces deux dessins mis ainsi côte à côte, et, le poursuivant à trave
r la reconstituer, de nous reporter aux études de Léonard, surtout au dessin de la tête centrale qui se trouve au Brera, et qu
vestiges de cette statue de Sforza peuvent se retrouver dans certains dessins de Léonard, et aussi, peut-être, par une circonst
lle qui fut autrefois aux mains de Vasari, étaient renfermés certains dessins de Verrocchio, des visages d’une beauté si frappa
avait maintes fois copiés. Il est difficile de ne pas rapporter à ces dessins du plus vieux maître d’autrefois, comme à son pri
rme immatérielle dans l’esprit de Léonard, tracée faiblement dans les dessins de Verrocchio, elle se retrouve enfin dans la mai
no, sont surpris par le son des trompettes, et courent aux armes. Son dessin ne nous est parvenu que dans une vieille gravure,
leurs dents ; et pourtant bien différent est un fragment d’un de ses dessins à Florence : c’est un champ onduleux de belles ar
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
itiques pourtant ont voulu, mais sans preuves décisives, voir dans un dessin du Louvre l’idée première de l’œuvre de Pisanello
nateur que l’artiste nous est aujourd’hui connu ; ses deux cahiers de dessins , celui du British Museum qui est le plus ancien e
uattrocento, dit M. L. Venturi, n’offre une aussi grande abondance de dessins que lui et Pisanello. Les deux peintres, qui pend
être le triptyque de San Giovanni in Bragora à Venise ; la largeur du dessin de la Madone centrale, la vivacité des couleurs e
aints formant autour de la Vierge un groupe heureusement disposé ; le dessin des figures est d’une vérité et d’un naturel jusq
3 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
ner créance au séjour à Fribourg, au frère aîné graveur, aux premiers dessins de feuillages, à Claude élève de Jean ? Cela fait
donné ces spectacles, de Ruet le magnifique devait les graver sur les dessins du maître des jeux : dans sa superbe il refusa, v
r le coloris il avait une très grande facilité ; il nous arrivait (le dessin et les ombres ayant été indiqués au moyeu de la c
si marquée laisse une indéfinissable impression. Si tout au moins les dessins qui le remplissent étaient intéressants ! Ce n’es
es aides-mémoires du Livre de Vérité sont peu intéressants, les rares dessins de Claude Gellée que nous possédons sont d’une ma
Hoare, empruntaient leurs belles qualités aux caractéristiques de ces dessins . Celles-là ôtaient les harmoniques de ceux-ci. Et
au bord de l’eau décèle son impuissance à colorer une planche, — les dessins que je viens de citer (il en est, relevés de sépi
s Conventuels de Pérouse2. L’ordonnance en est sèche, très sèche ; le dessin d’une dureté absolue et le coloris froid. Et puis
ereux d’en tirer des illustrations qu’une partition pour piano. Quels dessins s’allieraient dignement à l’Odyssée, au Mahabhara
n xve  siècle, et sur la terre même d’Alighieri, un maître ès arts du dessin ait cédé à cette tentation. Botticelli, ce maître
souffrent avec un réalisme que n’atténue point le léger archaïsme du dessin . Quoique aucun document ne nous renseigne sur l’a
uille de tête représentant l’ensemble des cercles infernaux. Tous ces dessins se trouvaient dans un volume de mélanges ayant ap
stration des trois derniers chants du Paradis 31, le nombre total des dessins existants est de quatre-vingt-douze, dont quatre-
dont quatre-vingt-trois à Berlin. Ébauchés à la pointe d’argent, ces dessins ont été repris partie à la plume et à la même poi
ca », et qui fut très estimée en Italie à partir du xive  siècle. Les dessins parent le verso des feuilles, le côté chair « fle
igantesque, s’étale sur une double feuille. On ne peut douter que ces dessins ne soient de la propre main de Botticelli, tant i
sa science de décorateur et sa verve. D’autre part, on relève sur le dessin du chant XXVIII du Paradis la signature Sandro di
son génie s’y manifesta sous toutes ses formes. Mais, pour créer des dessins où revécût le poème, des pages émouvantes et anag
nt expressifs. Formes construites et lignes sommaires, tout, dans ces dessins , est indiqué ou écrit avec une énergie parfois br
s une douleur aiguë. Et les lignes brisées, tourmentées, lugubres, du dessin disent la plainte de ces arbres étranges. Sur le
flammes, et l’on doit reconnaître qu’un pareil thème se prête mal, en dessin , à une interprétation dramatique. Par contre, on
e de Trajan promettant son appui à la veuve, tout est silhouetté d’un dessin ferme et pur. Aussitôt après, paraît l’armée des
s’ouvre une autre route couverte de sculptures à enseignements, d’un dessin lâché, celles-là, mais très expressif (XII) ; Tro
ifs de la donna di virtu 47. Il faut, encore une fois, considérer ces dessins comme une préparation ; on ne saurait admettre qu
le illustration ? C’est, en vérité, peu probable. Michel-Ange orna de dessins , lui aussi, et pour sa propre satisfaction, un ma
ion d’un des livres du Poème sacré, et réjouissons-nous de ce que les dessins de Botticelli aient échappé à la destruction. S’i
Fragonard et Robert se livrèrent à une véritable orgie de croquis, de dessins et surtout de sanguines […]. La sanguine, c’est l
lanches de cette édition. 30. Kunstchronik, 21e année, n° 28. — Ces dessins ont été reproduits avec ceux provenant de la coll
gne l’album de photogravures. On peut encore lire une description des dessins dans Waagen : Treasures of art in England, vol. I
4 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
e moines, de cardinaux parmi les réprouvés.  » À Windsor se trouve un dessin si énigmatique qu’il n’a pas été commenté, je cro
contient l’expression entière d’une âme immortelle.  » En donnant les dessins et les opinions du grand homme sur les sciences o
de la reconnaissance que parce qu’il a dessiné et peint. Aux arts du dessin , il est vraiment le mage, celui qui enferme le my
le Cartelle (parmi les Albums et les Cartons), il passe en revue les dessins , gravures, lithographies des artistes les meilleu
nquante exemplaires, ordonnant qu’après un tirage aussi restreint les dessins fussent aussitôt effacés des pierres ». L’Ar
magnifique, imprimé en caractères rouges et noirs, rehaussés par des dessins symboliques harmonieux et riches de Giuseppe Cell
isposées décorativement des armes de toute sorte, couvrant d’étranges dessins les murs et le plafond. La seconde salle renferme
lliant tout l’acquis des recherches impressionnistes à une fermeté du dessin , une netteté des contours et une conscience du dé
Millet et qu’au moment où, monté dans l’Alpe, Segantini arrive à son dessin filamenteux, c’est uniment pour traduire la nouve
t uniment pour traduire la nouvelle facture de ses tableaux, dont ses dessins furent des ressouvenirs, des variantes, et jamais
r pour quelque argent, dans l’amphithéâtre d’un hôpital de Milan, aux dessins d’une publication médicale) a entrepris avec cett
Paolo Uccello et des Andrea del Castagno. Encore une fois, c’est d’un dessin impeccable, mais ce n’est pas beau. À droite quel
précieuse, vendue bien plus que son pesant d’or, montre un magnifique dessin de vache, aux crayons rose, roux et blanc, sur fo
in. Cette vache-ci a été aimée par Segantini le temps qu’en a duré le dessin  ; il a été hanté par la pensée, que ses écrits on
à leur égard. Et son émotion est sensible partout dans cet admirable dessin mutilé, sans doute par des mains d’enfants… les m
fenaison, cette fête de l’année sur l’Alpe. Il en a laissé plusieurs dessins  ; mais voici que, reprenant une ébauche abandonné
En effet, le clocher n’a qu’une importance secondaire ; dans un petit dessin postérieur, reproduit à la Gazette des Beaux-Arts
5 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
t artiste dont pas une œuvre intacte n’a survécu, et qui avec un seul dessin l’emporte sur tous les dessins sans exception ; c
ntacte n’a survécu, et qui avec un seul dessin l’emporte sur tous les dessins sans exception ; ce héros, suivant une expression
cacité, en possession l’un et l’autre d’un merveilleux métier dans le dessin lithographique, Daumier et Gavarni sont deux temp
r des subtilités de sentiment et de raffinements de sensation, que le dessin seul ne saurait ni ne pourrait exprimer. « Chéret
ncore une vingtaine d’années, la vie de l’art à plusieurs milliers de dessins , plus beaux, plus originaux et plus mouvementés,
rs un fond de gaieté et d’indulgence. Cela est sensible dans tous ses dessins , où, lorsque l’observation devient satirique, ell
s, produit, outre plusieurs tableaux, quelques cartons et de nombreux dessins à la plume, d’un gracieux caractère. En résumé, p
aduire l’expression canaille et effrontée des filles du trottoir. Son dessin  : Passeggiata nocturna, est un petit chef-d’œuvre
rt, à la fois sévère et précieux, de Alberto Martini. Certains de ses dessins , par la sûreté de leur anatomie, font songer à Al
ssins, par la sûreté de leur anatomie, font songer à Albert Dürer. Ce dessin , par exemple, pour le xxive  chant du Purgatoire
C’est ce terrible texte que M. Martini a voulu illustrer. — D’autres dessins , d’un réalisme très précis, représentent les horr
e très précis, représentent les horreurs de la Cour des Miracles. Ces dessins sont aussi spirituels. Voici, dans la note « préc
viner, comme on suppose Phidias, sur la foi des témoignages, sans des dessins , si prestigieux qu’ils dépassent tableaux et fres
, et une gravure de la chalcographie du Louvre représente, d’après un dessin du maître, le grand œuvre alchimique. Un esprit q
e de la Madonna dell’Orto. Le même homme étonne par la largeur de son dessin , par la vérité, par l’audace de ses raccourcis. O
ales, on le charge de décorer le chœur de la cathédrale de Prato. Son dessin a de la souplesse. Mais, dans le cours de sa vie
amour des teintes vives dont Fra Angelico ou Gozzoli coloriaient leur dessin sans assez tenir compte du jeu des ombres. Au lie
rrangement de la coiffure, que Léonard les imita toujours ». Mais ces dessins , retrouvés dans des collections, étaient, sont en
, Defendente a conservé quelques-uns des moyens des primitifs. Si son dessin est d’une grande pureté de lignes et de modelé, s
me du point à la rose ? Valeurs opposées, couleurs brillantes, riches dessins , jeu de clartés, c’est l’orgueil unique de ces il
nse d’Este, duc de Ferrare, protecteur de Titien, l’accent robuste du dessin et du coloris font de cette image une de ces créa
passa peu de temps au King’s College avant de fréquenter l’atelier de dessin du peintre Cary, la salle des antiques de l’Acadé
aperçu, il disparut après quelques numéros qui contiennent, outre des dessins de Ford-Madox Brown, de Hunt, de Millais, des art
t en Italie, et où il se cherchait. À cause de cela, ces œuvres, d’un dessin précis, d’un coloris plutôt sec, sont fort curieu
Triptyque des Alpes, et le tableau Les Deux Mères ; puis de nombreux dessins de l’artiste, des eaux-fortes de ses deux fils d’
ction par Péladan. Portrait de Léonard de Vinci et XXXI facsimilés de dessins et de croquis. Vol. in-18, 3,50, Paris, 1907. Les
6 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
ome XLII, numéro 148, avril 1902, p. 244-251 [251]. […] Exposition de dessins de M. F. Luigini, galeries Bernheim. Échos. Le
à nombre de gens. Art ancien. Au Louvre : les nouvelles salles de dessins [extrait] Virgile Josz. Tome XLII, numéro 149,
1902, p. 531-535 [531-532]. Voici, enfin réorganisées, les salles de dessins . À partir des salles du mobilier Louis XVI, elles
Or, la ligne du front ou celle du nez, l’ouverture des paupières, le dessin des narines ou des lèvres, la courbe du menton, e
droite, chacune un angle léger. La couleur est ici pour autant que le dessin , et il serait du reste curieux de vérifier le pro
et notamment un torse, style et marbre grecs, parfaitement beaux, des dessins de Rembrandt, de Rubens, de Michel-Ange, du Titie
7 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
e ces peintures soutient cette attribution, et sans la défaillance de dessin des mains, le nom de Sandro lui-même pourrait êtr
trait de Cristoforo Madruzzo est l’une des œuvres les plus serrées de dessin de Titien. Le visage et les mains sont étudiés av
me LXXVIII, numéro 283, 1er avril 1909 En rêvant sur un album de dessins Jean Moréas. Tome LXXVIII, numéro 283, 1er avr
llo peintre que de trop rares exemples de sa maîtrise, par contre les dessins abondent qui montrent que le médailleur, si intér
usée (il comprend actuellement 700 peintures, 200 sculptures et 2 000  dessins ), où les princi­pales écoles sont représentées et
r, Watteau, Delacroix, Fantin-Latour, Henner, Hébert, etc. ; dans les dessins , Rembrandt, Campagnola, Watteau, Baudouin, Corot,
ndulations de l’atmosphère provençale se prolonger et chanter dans un dessin à la fois tumultueux et caressant en ces brûlants
un vrai artiste, et qui peut mieux. Les décors, les costumes, dont le dessin fut l’œuvre suprême du peintre Paul Ranson, étaie
me de haut luxe consacré par M. Victor Goloubew au célébré recueil de dessins de Jacopo Bellini au Louvre. (Les Dessins de Jaco
oubew au célébré recueil de dessins de Jacopo Bellini au Louvre. (Les Dessins de Jacopo Bellini au Louvre et au British Museum 
-folio, 100 planches avec notices, table et p. d’introd.) Ce livre de dessins , si précieux pour la connaissance des origines de
donné bien du mal pour un édifice en somme de peu d’intérêt — de bons dessins sur Venise et Florence, de M. M. Chollet ; la por
rédigé par M. Gustave Gruyer, consacré à la collection de peintures, dessins , eaux-fortes, sculptures et objets d’art donnés p
. 37 planches). On y remarque entre autres […] dans la collection des dessins , particulièrement belle, des œuvres admirables de
accompagnée de 16 reproductions. 25. Cette 2e partie, consacrée aux dessins du Louvre, est en réalité la première parue ; le
Louvre, est en réalité la première parue ; le volume ayant trait aux dessins du British Museum viendra ensuite, et un 3e volum
8 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
placable, et qui a si curieusement tourné avec le temps, le poncis du dessin qui transparaît sous la couleur froide, le blafar
a laissé est aujourd’hui à Londres. Il l’a représentée de profil. Le dessin a la pureté et la fermeté de ligne d’une médaille
n. Il écrit au Bernin pour lui transmettre le désir du roi d’avoir un dessin pour l’achèvement du Louvre, ceux qu’il possède n
nt les incroyables de Carle Vernet : qu’on regarde avec attention les dessins qui en sont restés, le médaillon d’or du Cabinet
es moyens que je pourray, je tascheray de le porter à faire plusieurs dessins pour le bastimen du Louvre. » Et Créquy ne se tro
9 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
res taillées, des médailles et des monnaies rares. Daniel emporta des dessins afin de choisir ceux qui lui conviendraient.   À
nom du prêtre qui lui enseigna la musique, l’encouragea dans l’art du dessin et qui le crut suffisamment doué d’ambition, de t
elli vint me saluer dès qu’il eut appris mon retour, et m’apporta des dessins exécutés d’après les marbres antiques de Bellini.
’art est de les rendre parfaites. — Non ! — Plus d’un déclarerait les dessins défectueux et laids. Regarde cette gorge pesante…
iel causait à l’écart avec Bellini, Giorgio me dit : — Venez voir les dessins de Titian. C’étaient des copies de marbres antiqu
reproduire les différents aspects du condottière, il vous faudra cent dessins …. — Tu te trompes, protesta Giorgio, un seul suff
protesta Giorgio, un seul suffira. — Quoi ? tu prétends, avec un seul dessin , nous montrer un dos, une poitrine, une figure vu
angers et un déplorable incendie détruisit, en 1521, le coffre et les dessins que je possédais.   (Sur les derniers feuillets f
lors le peintre avait surtout été un colorieur remplissant de tons un dessin vu par le contour ; Giorgione le premier se rend
dessin vu par le contour ; Giorgione le premier se rend compte que le dessin est la traduction de la forme tout entière ; il v
ison Lefranc et dirigée par MM. Louis Lumet et Yvanhoé Rambosson : le Dessin par les grands maîtres. Le premier fascicule cont
rote, de Berlin, vient de terminer aussi sa précieuse publication des Dessins du Cabinet des estampes de Berlin (Zeichnunge alt
e XCII, numéro 339, 1er août 1911, p. 627-630 [629]. L’exposition des dessins de M. Léon Bakst aux Arts décoratifs est un peu c
rt sur échantillons assez cursifs. Il faut dire que la plupart de ces dessins ont besoin de leur réalisation scénique pour donn
s sont bizarres de construction et de torsion on peut alléguer que le dessin est fait pour le costume. À côté de ces indicatio
n est fait pour le costume. À côté de ces indications larges quelques dessins fignolés surprennent, et quelques panneaux peints
et II par Gentile Bellini, Bertoldo, Costanzo et Matteo da Pasti, des dessins de Pisanello, etc. ; et, plus tard, Tiepolo conti
atholique de Gabriel d’Annunzio. 56. . sur Léon Bakst et ses curieux dessins le joli article de M. Jean-Louis Vaudoyer, accomp
de France, 16 mars 1911, p. 428. 61. Le Musée de Tours. Peintures, dessins , sculptures, meubles, etc. Introd. et catalogue p
10 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
li Piceno, mais la main de la madone de Crivelli est une merveille de dessin nerveux et de modelé, et l’attitude de l’enfant q
as pour moi la Sainte-Anne de Matelica de Lorenzo d’Alessandro. Si le dessin est moins sûr que celui de Vittore on devine chez
u, admirable sous le rapport du caractère des têtes, de la fermeté du dessin , et de l’exécution même, est faux sous le rapport
i j’avais le choix je prendrais un tableau du Corrège avant tout, des dessins de Raphaël, et je voudrais avoir mon portrait pei
, d’après Vasari lui-même, Léonard aurait simplement « peint » sur un dessin de Verrocchio ? Sur la foi du même Vasari, la Mad
ices et incline fort à lui donner la Madone à l’œillet de Munich. Les dessins peu nombreux, la tête d’ange des Offices, la tête
ino Luini, et Luini jugé digne de mettre la couleur où Léonard mit le dessin , est-il plus magnifique hommage du génie envers l
teur et d’inventeur de scènes délicieuses. S’il avait à cela joint le dessin de Léonard, son nom eût été l’un des plus grands
2° Le caractère des habitants ; 3° La peinture et les autres arts du dessin  ; 4° La musique. Pour avoir du plaisir par ces de
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
Bertrand dans la supposition que ses dispositions éclatantes pour le dessin ne le conduisent pas à la peinture d’histoire. Et
12 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
artiste sont fort rares : le Louvre ne possédait de lui que quelques dessins . Ce portrait semble représenter l’une des deux fe
13 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
e chair et rien de plus : « Haleka-Luccas, ayant lui-même terminé son dessin , prit un pinceau et se mit à colorier. Je lui dem
e et impérieux resplendissement. Il était malaisé d’assembler sous un dessin souple et mouvementé tous ces dés multicolores, t
14 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
la perfection même, ou chez les Primitifs, par une méthode simple, un dessin coloré, méthode qui s’est transmise, sans besoin
comme il faut. Ces pages excellentes sont illustrées des plus curieux dessins et croquis représentant le poète selon toutes les
15 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
is longtemps, et je me rappelle l’avoir annoncé ici il y a un an. Les dessins et les portraits sont de M. Majani, un artiste bo
cle, il avait encore une double enceinte et un pont de bois. De vieux dessins de Heemskerk et de Kock, le plan de Legerio conse
de la mort domine toutes leurs créations. On se rappelle le puissant dessin du maître Willette : deux amoureux de Lancret, Pi
situations que G. d’Annunzio a reprises, après Maupassant, suivant un dessin analogue. Dans le Retour (recueil Yvette, 1885),
16 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
ès solide étude de M. Rodolfo Renier : Pour l’histoire des arts et du dessin . — Toujours intéressante, la Letteraria se complè
17 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
ue de ces chœurs, force déterminante de toute la tragédie. Lorsque le dessin du drame s’affaiblit, les invocations et les cris
ini notre musée a longtemps joué de malheur. À part la belle série de dessins de Jacopo, le père, rien à la vérité ne trahissai
i ne regardent que le nom inscrit sur le cadre, sont aussi faibles de dessin que la madone. La mollesse de la facture, la timi
est mis au catalogue tous le nom de Giovanni est une œuvre solide, de dessin décisif et volontaire, moins aigu peut-être que l
le paysage où se trouvent Dafné et Apollon ; les types des femmes, le dessin des oreilles et des mains me font pleinement acce
Zorzo pour un certain Vittorio Becharo, qui est je crois de meilleur dessin et mieux finie que celle de Contarini. Mais ce Be
us avons vu paraître en même temps le Forum Romain et la Voie Sacrée, dessins et restitutions de M. F. Hoffbauer et texte de M.
18 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
ochio, Pic de la Mirandole, beaux comme des anges. Nous n’avons qu’un dessin de Léonard fait par un élève, le maître y paraît
o di tempi di San Ambrosio, orné de sujets saints, dont la beauté, le dessin et les couleurs sont au-dessus de tout ce que l’o
onard écrit : Il y a beaucoup de gens qui ont le désir et l’amour du dessin , mais qui manquent de disposition, et cela se rév
t : Importante observation et qui aujourd’hui s’appliquerait non aux dessins et aux enfants, mais aux tableaux et aux artistes
Stædel de Francfort : un recueil en fac-similé de cent des plus beaux dessins que possède ce musée, particulièrement riche en d
es plus beaux dessins que possède ce musée, particulièrement riche en dessins de maîtres. […] Cinq livraisons sur dix (à 16 mar
19 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
ont plantés un peu haut ; les sourcils dont la ligne est si pure ; le dessin des narines ; les sinuosités des lèvres, et, sur
tique à venir voir dans son atelier une trentaine d’aquarelles et des dessins . Les dessins, études de mouvements féminins, aspe
voir dans son atelier une trentaine d’aquarelles et des dessins. Les dessins , études de mouvements féminins, aspects de nu, so
vasque ; des aquarelles rue Pompéi de M. L. Vaugeois ; […]. Parmi les dessins , eaux-fortes, gravures en noir et couleurs qui so
superflus et je crus qu’elle devait être (au poème) ce que sont à un dessin correct, et bien agencé, la vivacité des couleurs
xcellent graveur qui, obligé de conduire son burin d’après un mauvais dessin , ne pouvait éviter que, malgré son art, on ne vît
20 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
sa faute que Ravà a pu dévoiler cette belle statue de marbre blanc au dessin si pur et la dresser, tranchant sur le fond enrag
eculé du profil aquilin, sous l’arcade proéminente font ressembler le dessin de ce caractère au type abstrait du maître entier
ns enluminés par eux-mêmes. Ils établissent leurs canevas d’après les dessins du Tintoret, du Titien ou du Pordenone. Ils sont
s de Jacopo Bellini que possèdent le Louvre et le British Museum. Les dessins du Louvre avaient été publiés les premiers, — quo
annoncer aujourd’hui l’apparition de la 1re partie, c’est-à-dire des dessins du Musée Britannique (les Dessins de Jacopo Belli
de la 1re partie, c’est-à-dire des dessins du Musée Britannique (les Dessins de Jacopo Bellini au Louvre et au British Museum 
e ferveur, tandis qu’il se frappe la poitrine d’une énorme pierre. Le dessin serré, aigu, de ce visage aux modelés saillants,
rance. Voyez les écoles futuristes, toutes les étranges évolutions du dessin nous arrivant des pays où l’on avait l’habitude,
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
de deux hommes ; mais le trop vanté Balthazar Castiglione, si mou de dessin et de modelé, si pauvre de couleur, mais la grand
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
ction par Péladan. Portrait de Léonard de Vinci et XXXI facsimilés de dessins et croquis. Vol. in-18, 3 fr. 50. 1. Mémoires
23 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
première était surtout célèbre par sa magnifique série de gravures et dessins italiens et allemands, dont l’énumération ne remp
t de Salomon, vendue 2050 francs […]. Les pièces capitales, parmi les dessins , étaient une feuille de carnet de Dürer offrant h
image vivante de l’Italie pendant la guerre, que précisent encore des dessins de Raffaëlli, Vallotton, Villani et van Dongen. [
24 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
s cubistes français et ont quelque point de contact avec eux, pour le dessin  ; ils s’en sépareraient pour la couleur que les c
cquisitions du département de la peinture, on vient d’accrocher trois dessins que M. Bonnat, à l’occasion de sa réélection comm
e de cette composition, ajouté à ses qualités d’exécution robuste, de dessin incisif, de coloris vigoureux, rend cette œuvre p
in 1912, p. 833-838 [835]. […] Hors de France, quelques aquarelles et dessins concernent seulement l’Allemagne, la Suisse, l’It
non moins précieux, étant donnée surtout son importance que celui des Dessins de maîtres anciens de l’Institut Stædel de Francf
nt paru depuis et ne sont pas moins dignes d’éloges par l’intérêt des dessins reproduits et la fidélité de ces fac-similés, don
25 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
le style trop tourmenté ; mais l’expérience de la vie, la mesure, le dessin des personnages, le développement sobre des scène
26 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
ronchet) du 15 janvier au 1er février. On y verra de la peinture, des dessins et des dessins colorés. L’exposition sera inaugur
janvier au 1er février. On y verra de la peinture, des dessins et des dessins colorés. L’exposition sera inaugurée par une conf
27 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
u la mémoire, demanda au Pape de faire dresser une liste complète des dessins et des œuvres qui se trouvaient dans la maison de
/ 27