/ 41
1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
orte raison dans des familles de millions d’individus. » Comme on lui demande un autographe, il écrit : « La société est bien g
’une série de maîtres indifférents ou haineux, mais quand, adulte, il demanda à servir son pays et ne trouva que prisons succes
trouva que prisons successives, ou quand soldat — et bon soldat — il demanda un emploi à son gouvernement et n’eut jamais de r
our être le premier. » Il résolut d’être celui-là. Pourquoi vous, lui demande-t -on ? Parce que, répond-il, l’injustice m’avait fr
pour le directeur des sentiments de déférence et de respect : il lui demanda d’ailleurs pardon dans une lettre curieuse, trois
, que nous devons à MM. Ladame et Régis. Le vendredi 25 avril 1905 il demande à parler au directeur de la prison, et lui expliq
ur protester. Comme on lui répondit que le règlement s’y opposait, il demanda qu’on découpât l’article, qu’on le collât sur une
2 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
réflexions des électriciens de notre Opéra, en prouvant qu’on ne leur demande pas l’impossible. Qu’ils imitent seulement cela.
oire, ému de compassion, lui avait donné quelques louis sans lui rien demander en échange. Et comme elle se réjouissait de la ch
ue bon catholique, il n’allait jamais à la messe. À quelqu’un qui lui demandait pourquoi, il répondit : « Dieu est bon et me pard
me son amant pour qu’il le soit en réalité, répondis-je. — Crois-tu ? demanda Paolo. — Une pareille femme ne saurait se toquer
x yeux… — Il est bien gras, objectai-je. — ’Que pensez-vous du mari ? demanda Stella-Lucente. — Je vous répète qu’il me paraît
— En êtes-vous sûr ? — Absolument. Elle l’aime. — Si je le lui avais demandé , il m’aurait prié de me mêler de mes affaires. — 
re présenté. — Oh ! oh !… en effet ! Enea m’a parlé d’une grâce… — Ma demande vous paraîtra singulière et osée. Je la formule c
is très heureux de faire le portrait de Mme Stella-Lucente. Wellseley demanda cela absolument comme s’il offrait ses services ;
pit Stella-Lucente, ne m’offense point. Vous êtes peintre, et vous ne demandez qu’à exercer votre métier. J’accepte. Mais… il y
ts téméraires. J’avais du champagne et du bourgogne dans la tête. Que demandez -vous donc aux gens que vous recevez ? — De pouvoi
vait les clefs. Parfois, cependant, il appelait Lowsky et Morga, leur demandait de lui jouer des andantes de Beethoven et de Moza
usiciens pour égayer, prétend-il, les séances de pose. — Et vous nous demandez , à Lowsky et à moi, d’être ces musiciens ? — Oui.
llâmes dans l’atelier. — N’est-ce pas Beppo qui vous a rendu visite ? demandai -je. — Lui-même. Et Wellseley me révéla l’objet de
atiemment, comme quelqu’un qui tiendra bientôt sa vengeance ! Vous me demandiez , l’autre jour, à quelle époque je croyais vivre,
’application la plus rigoureusement tendue : — C’est cela, le tango ? demanda Pie X. — Oui, Sainteté, fut-il répondu. — Eh bien
la-Lucente, Antonio fit venir Beppo : — Tu me réponds de ces hommes ? demanda-t -il. — Je vous en réponds. — Tu les connais depuis
lla jusqu’à la nuit. Le lendemain, quand Antonio fut parti, Wellseley demanda à Aurora d’ôter son collier. Et il dessina, pour
s m’excuserez ; j’ai été un peu brutal devant vous… Et, prévenant une demande d’Antonio, il lui raconta la scène qui venait de
, avant le dîner, et qu’il le lui avait dit. — Je vous ai fait peur ? demanda-t -il. — Oui, très peur. — Pourquoi ? Il la regarda.
rs par le barcarol. — N’avez-vous pas d’ordres à me donner, Signora ? demanda Beppo. — Tu m’avertiras, quand ton maître ne sera
an-Trovaso : elle avoua à la Vierge qu’elle aimait éperdument, et lui demanda d’être forte afin d’être heureuse.   Dès qu’Auror
urora, il l’aida à s’installer dans l’embarcation. — Où allons-nous ? demanda la jeune femme. — À l’aventure. Cela vous ennuie-
-elle. Ugo ne répondit pas, et paya le gondolier. — Nous descendons ? demanda Aurora. — Oui, répliqua Ugo. Et, après un silence
bresauts des ressorts, accompagnait sa voix rauque. — Pourquoi ? Vous demandez pourquoi je vous emmène ? Parce que c’est un capr
d’Aurora crevé d’un coup de poing. — Qu’est-ce que cela signifie ? me demanda John-Arthur. — Cela signifie que vous avez été im
Ce que je redoutais était accompli. — Pourrons-nous secourir Aurora ? demanda Wellseley, quand je lui eus appris l’enlèvement d
es stores ! Ah ! mon cœur a bondi, quand je les ai, enfin, reconnus ! Demande -leur quels sons donnèrent les vitres, quand je le
tées avec la paume de ma main, pour empêcher leurs lèvres de s’unir ! Demande -leur s’ils oublieront jamais l’apparition de ma f
lui. Il replia la lettre. — Je suis allé chez la Ceschini. Je lui ai demandé ce qu’elle savait. Ah ! ah ! elle m’apprit qui ét
endre des ordres. Elle essuya ses yeux. — C’est Beppo qui t’appelle ? demandai -je. Elle fit « non » de la tête, et éclata en san
craignez-vous pas que ce message ne tombe entre les mains d’Antonio ? demandai -je, lorsque nous fûmes seuls. — Non, en tous cas,
eur d’Aurora. Mais il resta, la nuit entière, en face du Palais. * Je demandai au domestique qui vint m’ouvrir si le Seigneur St
me regarda, hocha la tête : — Monsieur Enea Aldramino, n’est-ce pas ? demanda-t -il fermement. Il me tendit sa main forte. Je lui
ous, et ne sourcilla point. — Elle est très calme, n’est-ce pas ? lui demanda Ugo. — Très calme ! répondit-il. Ugo la considéra
ique le poète — des autres poésies. » Et il conclut : « Les hommes ne demandent plus rien aux poètes — Laissez-moi donc m’amuser 
me de fumée s’échappe dans le ciel comme un petit nuage. On lui avait demandé son secret et on n’avait pas compris qu’il était
juin 1914, p. 639-644 [640-641]. […] La marquise Arconati-Visconti a demandé , au contraire, et obtenu du Conseil des Musées, p
t particulièrement représentée. M. Gentili acquit pour 8 100 fr., sur demande de 10 000 fr., deux paysages animés, par Guardi.
s, par Guardi. Au même amateur revint pour le prix de 40 000 fr., sur demande de 50 000, la Nativité, du Borgognone. L’Addolora
de Boccaccino, et à 61 000 fr., la Vierge à la grenade, dont l’expert demandait 80 000 fr. Un particulier acheta 30 000 fr. la Na
udiffret d’Avignon et Tronchin de Genève ? Je passai des mois à me le demander , piqué au vif dans mon amour-propre d’auteur d’un
termes avec le chevalier, depuis Iphigénie, dont le livret avait été demandé au Français du Roullet, adressait au Mercure pari
de son œuvre. M. Serra termine par ces lignes : Et nous nous sommes demandé de quoi cet homme pouvait encore être capable, qu
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
alors ? Je n’avais jamais su de ses nouvelles et je n’en avais jamais demandé à personne. Me comparant à moi-même, je fus forcé
qui peut nous éclairer sur la sincérité des Mémoires : — « Pourquoi, demande Voltaire à Casanova, Goldoni s’intitule-t-il poèt
e cardinal de Bernis, le ministre Choiseul, l’électeur de Bologne lui demandent le récit de son évasion. On sent, à travers le te
ul, en homme toujours pressé, ayant eu l’impardonnable distraction de demander à Casanova un abrégé de ses aventures, le Vénitie
oses dont il n’aime pas à se vanter aux Délices ; Mme Denis lui ayant demandé de lui raconter comment il s’était enfui des Plom
uperstition est un mal nécessaire : « Si vous parvenez à la détruire, demande-t -il avec une feinte candeur, par quoi la remplacer
and je délivre l’humanité d’une bête féroce qui la dévore, peut-on me demander ce que je mettrai à la place ?… Horrible blasphèm
u’on ruine la superstition ? Cette question est très épineuse ; c’est demander jusqu’à quel point on doit faire la ponction à un
eut-il exister un peuple libre de tous préjugés superstitieux ? C’est demander  : peut-il exister un peuple de philosophes 18 ? »
4 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
s peuples, dont la vie collective devient de plus en plus complexe et demande partout des disciplines toujours plus sévères à d
ains vers et qui nous trouble dans le huis-clos de nous-mêmes. Ulysse demande aux sirènes retrouvées après des siècles innombra
même oui ; mais tout ce que j’ai regardé dans le monde Me regarde, me demande  : Qui suis-je ? Et dans les poèmes qui suivent E
embrasent la volonté de la chair exaspérée. Les moissonneurs bestiaux demandent la victime désignée. Et Ornella répond : Je ne p
ndia, la mère, à Aligi, le jeune homme irrésolu et rêveur, les femmes demandent de la chasser, de libérer la maison en fête de ce
es trois angles du triangle pathétique : entre le chœur extérieur qui demande , le chœur intérieur qui offre, et la victime immo
de Mila, est parti pour venir la retrouver sur la montagne ; Ornella demande comme une grâce que son frère soit rendu à sa mèr
s feuilles de menthe dans ma bouche. Il n’implore pas. de pitié ! Il demande le sacrifice. Il se sent digne de la lutte atroce
geance même après la mort. — Et voilà que la fille de Jorio arrive et demande à être entendue. Elle révèle que Aligi est innoce
e, triomphe sans un mot et sans un geste. Mais, finalement, nous nous demandons  : pourquoi Lazaro aime Mila ? Et cette « tragédie
ose, pour se tourner vers lui en le regardant fixement. — C’est lui ? demanda Zio Félix. Il fit signe que oui. Alors le brave h
t bouche bée, tout fier que son fils parlât avec Monseigneur. — Et… —  demanda soudain le vacher, non sans malice, — aucune dist
’endroit, et puis il y a certaines choses que tu peux te dispenser de demander . — Allez au diable, vous ! répondit le vacher. An
, ne fais pas attention à ses discours. — Que pourrait-il me dire ? —  demanda Antine avec mépris, les yeux perdus dans la nuit.
avalier avec une surprise bien jouée. — Comment va ton tuteur ? — lui demanda-t -il malicieusement, en dessellant le cheval. — Le
io Pera se baissa avec empressement et, tout en délaçant l’éperon, il demanda tout bas : — Tu viens chercher des sous ? — Appar
de dettes jusque par-dessus la tête, qui de temps en temps osait lui demander de l’argent, à lui, à un malheureux berger, trava
des ecclésiastiques ! — C’est pour cela que tu t’es mis en retard ? —  demanda-t -il à Antine, qui descendit le premier à la berger
dire, moi. Je suis venu chercher de l’argent. — De l’argent ? Ici ? —  demanda l’autre en riant. — Oui, de l’argent ; ne ris pas
ion de lui accorder la pension gratuite… C’est cela qu’il veut dire ? demanda Zio Félix, qui écoutait en retenant son haleine.
il est dit qu’un certain Antonio Francesco est prêt à verser la somme demandée . “Avec cet argent, dit la lettre saisie, — tu peu
nécessaires, etc., etc. » — As-tu bien compris, Félix, mon frère ? —  demanda le paysan, les yeux fixés sur le visage pâli du p
’ai déjà payé la peine que je vous ai faite, et je ne me lasse pas de demander votre pardon. » Désormais, tout était perdu, sans
lettre d’Isabelle d’Este écrivant peu après à Taddeo Albano pour lui demander d’acquérir la peinture d’un effet de nuit. Mais l
par l’architecte Camille Boïto, frère du grand musicien, a décidé de demander à son gouvernement la démolition immédiate du clo
t un homme sans descendance. Les poètes ont donc escaladé la scène et demandé le secours du comédien diseur de vers, ce poète e
t se contenter longtemps encore de la seule expression musicale. Elle demande plus de clarté, plus de précision et elle est prê
boisseau est la plus belle des tragédies de Gabriele d’Annunzio. Elle demande à être expliquée longuement dans les différents a
e, l’absence par exemple, du principe « libéral » de l’offre et de la demande , « ces esclaves avaient dû être amenés de force e
rles Loyson, qui fut un des premiers à en goûter la saveur originale, demanda dans le Lycée français pourquoi Lamartine avait c
monté plus haut que Lamartine en ces vers : Ici gît… point de nom : demandez à la terre ! Son cercueil est fermé, Dieu l’a jug
econnais que cela coupe court à des recherches insolubles, mais je me demande où est le gain pratique. Toutes les améliorations
ois hanter comme une tentation pénible les croyants eux-mêmes. Ils se demandent , à certaines heures de découragement, si, par has
n’en coûta à l’Italie. Seulement, comme il avait réussi, on ne lui en demanda pas compte. L’exemple de Duchesne dut enhardir Ba
5 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
celui-ci se précipite chez sa mère en pleurant, la mère arrive, elle demande de quel droit on a battu son fils : discussion, h
lles voisines de la pêcherie, on vous tirera par votre veste, on vous demandera d’entrer à l’église, on vous dira que « signore,
tion que vous allez donner. Ce camelot-là fait le muet ; quand on lui demande le prix de sa marchandise, il montre ses lèvres p
tre table, ils font des grimaces, ils vous supplient ; ce qu’ils vous demandent , c’est de les laisser sucer le fond de votre verr
urtant le désir de brosser une vaste fresque me tenaillait encore. Je demandai à Enéa de me laisser réfléchir…   Et je me décide
ffret, nous dit-il brusquement, et je vous le peindrai… — Qui es-tu ? demanda Dorsevigo. — Un élève de maître Sébastian. — Ton
ature. Dans les parties sculptées, brillaient des taches d’or. Daniel demanda à Giorgio ce qu’elles représentaient. — Rien, rép
ait, consciencieusement, de la besogne qui lui serait assignée. Il se demandait pourtant, après avoir examiné le coffret, si celu
iorzio. Et le voici qui frappe à ma porte, non pas, certes, pour m’en demander , mais pour m’annoncer qu’il est prêt à entrer che
fit boire de l’eau, et se recoucha près de moi. Trois fois Carlo lui demanda pourquoi elle chantait. À l’aube elle le quitta,
ra lui adresse des œillades et des sourires, Emilia lui répond et lui demande un rendez-vous, qu’elle lui accorde pour le lende
olument comme s’il avait été le fils d’un Sénateur. — Dites donc, lui demanda-t -il, soudain, pour l’humilier en lui rappelant son
lle du paysan, je la changeai en paon. — Un paon ? Pourquoi un paon ? demanda Catherine D… — Parce qu’il est beau, répliqua Gio
qui devaient évoquer, dans son esprit, des visions. Et, quand on lui demanda s’il avait été ému par la cérémonie à laquelle il
et air triomphant qui trompèrent ses amis… Et moi-même, si on m’avait demandé , la veille de sa mort : — Quel est donc ce peintr
taient une vie agréable. Daniel l’avait invité souvent chez lui, à la demande de Catherine D… et de Bianca V… Il avait peint bo
aids. Regarde cette gorge pesante… — C’est celle d’Alexandra Vellani. Demandez -leur s’ils ne la trouvent pas sans rivale, les je
que, du haut du Campanile, sont précipités douze porcs. Barbarelli me demanda ce que signifiait cette cérémonie, et je lui raco
Mémoires de Casanova une valeur documentaire réelle, si on peut leur demander , tout au moins pour l’histoire des mœurs et de la
prétend que Juan est moins autoritaire que Gentile… ah, ah !… Je lui demandai l’explication de son hilarité : — Il n’y a pas de
. — J’ignore l’ingratitude, Seigneur, et je vous le prouverai. Je lui demandai une fois encore : — Avec quoi peins-tu ?   Chacun
rit autant que m’avait exalté son génie. — Tu aimes les enfants ? lui demandai -je. — Oui…, et ceux-là plus que les autres. — Pou
pauvreté. Votre crime est si grand que je me vous conseille pas d’en demander directement, à Dieu, le pardon. Choisissez, comme
l’égoïsme de leurs parents !   — Comment étais-tu habillé, Giorgio ? demandai -je. — En Saint Georges, je me suis servi de la cu
naïve : encore cette divine physionomie. — Qu’as-tu voulu exprimer ? demandai -je. — Rien, Seigneur. J’ai assisté à cette scène
nt ait terminé ses prières avant d’entonner l’hymne… Mais pourquoi me demandez -vous cela, Seigneur ? — J’ai cru que ta peinture
Giorgio ? — Je n’ai pas le temps, Seigneur ! Quelle folie, que de me demander ainsi mon indépendance ! Elle appartient à celles
Turcs refusent les propositions de paix de la République et le Sénat demande des secours à la chrétienté. Ravenstein, gouverne
errompant que pour boire. Titian restait muet. — M’approuves-tu ? lui demanda Ridolfi… Je devine à ton silence que mes phrases
pathie de tous.   — Eh bien, Giorgio, comment trouves-tu la Maurina ? demanda Ridolfi, comme nous sortions de chez elle. — Très
rait pas jusque-là puisqu’il avoue que des « abus existent » et qu’il demande lui aussi, tout comme son ministre, qu’on ne mett
Mantegna, à notre époque d’enchères fantastiques ; cependant on s’est demandé s’il était bien nécessaire de dépenser 200 000 fr
ens. Barbarelli accepta d’orner la façade longeant le grand canal. Il demanda à Titian de peindre celle du Traghetto del Buso e
s qu’il reçut ne le touchèrent pas. Sa mélancolie augmentait et on se demanda , alors, si Barbarelli n’était pas désespéré par l
ne couche, une femme étendue, morte et déjà défigurée. — Qui est-ce ? demandai -je. — La Maurina… Ma Maurina qui est morte… morte
ussins sous la tête de Giorgio et, quand il rouvrit les yeux, il nous demanda ce que nous faisions, auprès de lui, à cette heur
îne et d’une croix, qu’elle mit à son cou. — Qui t’a donné cela ? lui demanda un portefaix. — Piétro. — Tu l’aimes donc, puisqu
les étreintes de ces brutes. À la première escale, elle s’échappa et demanda du secours à bord d’un bâtiment vénitien. — Saint
que. Il exigea les colliers de la Maurina. — Où sont tes perles ? lui demanda le marchand. — Le fil s’est brisé. Elles sont tom
’intelligence et la hardiesse. — Veux-tu gagner quelques ducats ? lui demandai -je. — Si c’est pour un assassinat, je ne suis pas
on bonheur pendant que j’achevais les compositions murales du Fondaco demanderait plus de talent et surtout plus de forces que je n
Je luttais contre la tentation de la réveiller, pour lui parler, lui demander si des inquiétudes semblables aux miennes ne la d
é son nom à voix haute, le jour où l’apprenti que je jetai à l’eau me demanda s’il fallait attribuer à la disparition de la Mau
qui n’était autre que Lorenzo. Je le priai d’excuser ma colère et lui demandai pourquoi il m’avait posé cette question. — Si vou
r où je vais. Elle attend mon retour. Jadis elle s’endormait. Elle me demande aujourd’hui de la mener chez les peintres et les
s flammes, et je les respirais… et l’horreur me glaçait lorsque je me demandais combien de temps dureraient ces mensonges et ce b
era bientôt dans tes bras. Et, au lieu de manifester sa joie, elle me demanda tranquillement : — Où est-il ? — Chez un riche ma
On dit aussi que les Chrétiens adorent un dieu à tête d’âne et on se demande ce que signifie le poisson mystérieux gravé sur l
Saint répond noblement et avec calme. À la question de César qui lui demande quel dieu il veut choisir, il répond :          
e est à faire éclater la scène : nul depuis les Grecs n’avait osé lui demander tant que cela et même l’auteur de la Città morta
Trésor en français, s’en justifiait dans ces termes : « Et se aucuns demandoit por quoi cist livres est escriz en romans selonc
noms de Roland et d’Olivier se répandent avec nos épopées52. Dante se demande s’il n’écrira pas sa comédie en provençal… Puis l
des premiers érudits de la Péninsule ; en voici la traduction : « La demande que vous me transmettez vient justement de repara
s citoyens de Rome même, toujours plus exigeants ? Comment parer à la demande des provinces, de plus en plus entraînées dans le
de la situation du salon carré. C’est à de tels néophytes qu’il faut demander des lumières. Il y aura une belle discussion là-d
s de 20e ordre, mais d’un autre côté, comment faire ? La vulgaire eût demandé ces noms, il lui faut des choses complètes… ma i
sors inestimables du Louvre ne les valent-ils pas ? Ce n’est pas trop demander que de réclamer toutes ces réformes : elles ne co
soutenir sa vision de l’œuvre littéraire et philosophique d’un temps, demande un sûr appui à l’œuvre d’art contemporaine de l’a
èrent celui de la Beauté, et leurs œuvres en témoignent, nous pouvons demander aux œuvres d’art la réponse aux questions que nou
me », qui émeut et fait longuement réfléchir ceux, tout au moins, qui demandent à la littérature de l’émotion qui fasse penser, d
6 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
les plus fougueux « interventistes » de la première heure et qui nous demandèrent à brûle-pourpoint : « Vous a-t-on dit comment nou
es, silencieux, ^ sans manifester en aucune manière. Et quand on leur demandait  : « Où vas-tu ? » Ils répondaient tranquillement 
née, Villari s’en fut chez lui et en route un ami qu’il rencontra lui demanda quel était cet étui qui dépassait la poche. « Un
excessif qu’il puisse dire n’avoir rencontré que gens dont le regard demandait  : Pourquoi le conflit, pourquoi de telles horreur
rage, publié en 1853, Dante hérétique, révolutionnaire et socialiste, demande à Pie IX la condamnation du chantre de la Divine
produisirent une vive impression sur l’opinion publique. L’auteur se demandait si tous les sacrifices de deux ans et demi de gue
on essentielle : connaître l’italien. Il nous raconte que les soldats demandés à qui on demandait « Où vas-tu ? » répondaient :
onnaître l’italien. Il nous raconte que les soldats demandés à qui on demandait « Où vas-tu ? » répondaient : « Alla casa. À la m
 voix blanche » faisait les délices voulut honorer sa mémoire et l’on demanda à Baratta, qui appartenait au parti clérical, de
ion des manifestations de mai 1915. (Censuré). 3° Quand M. Piérard me demande si j’ai « entendu parler » de ce qui s’est passé
tel chagrin qu’il tomba malade. Après deux mois de convalescence, il demanda à suivre un cours d’officiers qui se trouvait sur
Dolce fut suffisamment torturé, on le fit reposer et Ser Villano lui demanda  : « Dis-moi combien chaque marchand de blé a de g
Autriche, Bossard, 1 fr. Delenda Austria ! C’est justement ce que demande un des hérauts de cette jeune Italie, M. Gaetano
ontais, ayant tenu des propos antimilitaristes, l’autorité judiciaire demandait qu’on pût lui intenter des poursuites, et que la
Pistoie, comme elle descendait du train un carabinier l’arrêta et lui demanda ses papiers. Ils ne correspondaient pas à l’âge q
her leurs défenseurs et protecteurs ailleurs qu’en Russie. Ils durent demander aide aux puissances occidentales. D’un autre côté
rique la thèse du savant collaborateur de la Rivista d’Italia. Je me demande , dit-il, s’il est licite — pendant que tous les h
y a un mois nous fêtions solennellement et auquel, chaque jour, nous demandons des secours en hommes et en moyens… Sans doute,
es choses de la terre et, lors de son premier voyage à Londres, il se demandait comment, ne sachant pas l’anglais, il arriverait
taire yougoslave une déclaration semblable à celle des Tchèques. Il y demandait l’union de tous les Serbes, Croates et Slovènes e
Unità, les prisonniers yougoslaves ont présenté jusqu’à ce jour 3.900  demandes en vue d’être enrôlés dans l’armée serbe. Deux ce
rvir notre cause, nous croyons donc qu’il est superflu aujourd’hui de demander aux Yougoslaves de nouvelles preuves de leurs sen
oit que ce n’est pas le cas, — il faudrait les libérer, puisqu’ils le demandent et que tel est leur droit, si nous en croyons tou
ne, ne rêverait qu’à prendre sa revanche. Que feraient alors, nous le demandons , les Yougoslaves maintenus sous une domination qu
ressait à son ami ce billet émouvant : Mon très cher. Merci pour tes demandes anxieuses, mais, avant toute chose, je m’agenouil
travailler en Hollande et, à la vue de cette belle peinture antique, demande à l’acheter. Antonio, pour pouvoir offrir les pet
s Nations Latines du 16 octobre dernier19, M. Armando Tartarini s’est demandé d’où venait que les peuples latins, et plus spéci
t national et que soient précisées les responsabilités afférentes. On demande une réponse écrite. À cette question faisait sui
niques Vivaldi et dans les lycées. Il me semble qu’il serait temps de demander au recteur et aux directeurs en vertu de quels se
7 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
l. Ces mots sont aussi vagues que possible ; plus que tout autre, ils demandent à être définis ; ils ne correspondent, psychologi
ace de la 4e édition de l’Homme criminel, on trouve ceci : « L’on se demande comment était fait le crâne de ceux qui, dans les
urlements de la mer, il nous trouvera toutes endormies. — Je veux lui demander un hymne au Dieu Bacchus, répondit Archiloca, deb
use. — Pourquoi donc refusa-t-il toujours ses louanges à notre Dieu ? demanda Mélanie. — Et pourquoi se vante-t-il d’être plus
t-ce toi, Stazia ? reprit Orphée. — Et mon nom ne le connais-tu pas ? demanda Stérope, en se dressant hors du groupe de ses com
ous pas du haut de ce rocher, ces vigoureux mâles ? — Orphée, Orphée, demandèrent les Bacchantes, pour qui te réserves-tu ? Du grou
cornes d’or recourbées. — Que puis-je dire qui ne vous blesse pas ? —  demanda Orphée en regardant Bicornide qui paraissait crai
, ajouta Stérope, en riant. — As-tu quelquefois goûté l’amour ? Cette demande plut beaucoup aux autres femmes qui la répétèrent
ge, et regarda les femmes avec inquiétude. — Que voulez-vous encore ? demanda-t -il en voyant leurs visages menaçants et cruels. —
isons-nous horreur ? Nous dédaigne-t-il ? Pourquoi est-il monté ici ? demandèrent les autres, confusément. — Il ne s’attendait pas
Qu’il reste notre prisonnier. ! — Pourquoi ne parles-tu pas, Orphée ? demanda Bicornide, la voix agitée par la frayeur. Demande
es-tu pas, Orphée ? demanda Bicornide, la voix agitée par la frayeur. Demande à partir, humilie-toi, si tu veux être sauf. Tu e
ramassé sur lui-même, les coudes au corps, prêt à bondir en avant. —  Demande grâce, dit Bicornide tremblante. Et elle tendait
térope, agenouillée près du cadavre. — Veux-tu un sujet de concours ! demanda Stazia. — Tu n’attendais pas une aussi prompte ré
comme s’il était cravaté de rouge. — Me méprises-tu encore, Orphée ? demanda-t -elle. Pourquoi ne fermes-tu pas les yeux, si je t
milieu des flots, en le rencontrant si différent de ce qu’il était ? demanda Dircé, tandis que les autres riaient à pleine gor
on retour de Rome, en 1481, qu’il se lança dans l’écrasant labeur que demande une illustration de la Divine Comédie. Et quoique
les exigences de l’Autriche. » Le représentant de cette puissance lui demandait un jour le payement d’une dette de trois cent mil
veut. — Excellence, s’il venait en tête à Sa Majesté l’empereur de me demander trois cent mille éléphants, je ne pourrais que ré
Majesté l’empereur, quelle que soit la chose que celui-ci daigne lui demander , mais que, pour le moment, il est à court d’écus
papier verni sur des tableaux antiques, que M. le comte de Caylus m’a demandé  : je vous prie, Monsieur, de les séparer et de vo
son séjour venait justement de finir, lors de l’arrivée de l’abbé. Il demande à rester. Marigny accorde une prolongation d’une
8 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
ance leur climat natal. Ils s’attachent facilement à un pays qui leur demande si peu d’efforts, qui va au-devant d’eux, leur te
d’avoir considéré cet élément, l’œuvre des missionnaires, que l’on se demande encore comment l’administration romaine a pu si r
articulier de chacun des héros de la tragédie. Tout ceci, sans doute, demanderait à être vérifié au théâtre. M. Carré n’a que l’emb
ard de Vinci à son Académie de Milan (1499). C’est là un exercice qui demande beaucoup de lecture, de la subtilité et des quali
, que sont liés ses meilleurs souvenirs d’amour. — C’est à elle qu’il demandera la guérison de ses nerfs ou le charme périlleux d
ue dans les mœurs primitives et brutales des gens de mer. Ils se sont demandé , quand ils n’avaient pas eu l’occasion de les obs
G. DE MAUPASSANT (pp. 190-191). Levesque, ayant pris une chaise, lui demanda  : — Alors vous v’nez de loin ? — J’viens de Cette
buvait une gorgée de cidre après chaque bouchée de pain. Levesque lui demanda brusquement : — Comment q’vous vous nommez ? — Il
 : — J’suis d’ici. G. D’ANNUNZIO (pp. 434-435). À la fin, Verdura demanda  : — De quel pays venez-vous ? — Je viens de loin.
it une couronne avec de grandes herbes et des lis d’eau, et lui avait demandé  : « M’aimez-vous comme ça ? » Comme il ne réponda
la nuque avec les dents du peigne l’éparpillement du feuillage… Elle demanda  : — M’aimez-vous ainsi ? Mais Emidio n’ouvrit pas
té et caché elle ne savait où. Elle ne le revit plus : vainement elle demanda à son amant l’endroit où vivait son fils, quand l
ode de travail, aux recherches, aux incertitudes, à tout ce qu’un art demande de suite de pensées. Ils étaient à la fois élèves
élans les plus hauts de l’oubli poétique. Il dit au navigateur : Tu demanderas fort, plus fort : « La fin ? la terre ? l’aurore
9 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
r, un contraste frappant s’établit entre l’enthousiasme populaire qui demande une intervention du côté des Alliés et les calcul
er sa haine pour l’alliée d’hier qui se tourne contre elle, et semble demander cyniquement la rétribution de son inertie ; si le
u reste, puisqu’on lui désigne l’hôtel où il doit descendre. Comme il demande s’il n’est plus en état d’arrestation : Arrestati
ier. Mais vous n’avez jamais été arrêté. Non, non. Nous voulions vous demander quelques explications. C’est fait. Et Barzini s’e
ent imposer leur « culture » supérieure au monde entier. Quand ils se demandent la cause de la haine qui les entourent, ils ne pe
là devant soi un sage en même temps qu’un lettré, lui a naturellement demandé ce qu’il pensait de la guerre. — De la guerre ? a
nt. Les Italiens ne songent nullement à réclamer des territoires ou à demander la révision des faits accomplis. Mais ils désiren
M. Gargano, tous ces gens qui partent en guerre ne savent pourquoi et demandent que le philosophe les justifie à leurs propres ye
tant que possible avec les journalistes, et même à l’occasion de leur demander conseil. Plus que les circulaires ministérielles,
a réflexion. Parlant du sacrifice de la Belgique, cet ingénieur lui a demandé si les Belges n’avaient pas exagéré : après la ré
souhaité, et pour cause, par les Allemands ! — je me permettrai de te demander pourquoi tu ne t’es pas pour le moins autant agit
10 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
teurs ; que, les larmes aux yeux et prosterné à genoux, il leur avait demandé en grâce de me faire parvenir cette marque de son
aux de restauration, mise de côté, abandonnée par des ouvriers, on se demande ce qu’elle pouvait bien faire sous les Plombs, qu
meubles de sa maison, ait poussé l’enfantillage du bien-être jusqu’à demander cette inutilité. Non, le marbre était nécessaire
plaintes, l’exaspérant par son mutisme. — Casanova, hors de lui, lui demande compte de son argent, et le lendemain Laurent, en
ngereuses pour la responsabilité du gardien. Son prisonnier lui ayant demandé de lui acheter certains livres : « Je vous ferai
nnent ; il devine une apoplexie menaçante, saute dans la gondole sans demander permission, reconduit M. de Bragadin chez lui, le
chapeaux sur la tête, nous allâmes à l’ouverture. Avant de partir il demande trente sequins au comte Asquin qui, par avarice,
ls furent enrégimentés par les « métèques ». Par quelle puissance, se demande dédaigneusement M. Pichon, auraient-ils pu, ces s
ns, mais dix navires D’acier, martelés avec la même Force d’amour, tu demandais , ô Patrie ; Et non, rivées entre elles, des syl
urgents offrait la vie italienne ! Sous beaucoup de rapports, le pays demandait une régénération complète : d’immenses espaces de
é la possession d’un morceau de l’Afrique septentrionale. Or, si l’on demande à ces messieurs quelles sont les ressources que l
yfus. Et elle ne fit aucun retour sur elle-même, elle ne parut pas se demander un seul instant si elle ne commettait pas exactem
es partisans de la politique coloniale, ils pressentent ce qu’on leur demande au nom de l’amour de la patrie. Cette patrie ne s
e de ceux qui possèdent et non de ceux qui travaillent. De quel droit demanderait -on aux travailleurs de se sacrifier à elle ? Auss
nderait-on aux travailleurs de se sacrifier à elle ? Aussi ne le leur demande-t -on plus. Quand, dans les casernes, on engageait l
ires, le peuple italien possède des trésors d’activité latente qui ne demandent qu’à être mis en valeur. Son génie est seulement
y trouve pleinement, dans ce livre, ce que l’on a expressément à lui demander  ; c’est que l’on y trouve, dans leur réalité viva
eté quelque peu populaire dans la conception et dans l’expression. On demande aux écrivains, tout comme en France en ce moment,
se résume en ceci : « En a-t-il assez envie pour payer le prix que je demande . » Nous grattons ainsi quelques sous ; à ce jeu n
, la permission de les célébrer dans la forme des années précédentes, demandée à l’excellentissime comte de Ricla, commandant et
tait près de M. Ponsignon, consul général de France. Nous allâmes lui demander les moyens de pénétrer avec fruit à la Citadelle.
t attendre. Et plus loin, lorsqu’il va faire visite à Ricla : Il me demanda si je comptais faire un long séjour à Barcelone,
tte haute politesse espagnole, et semblant presque s’excuser, il nous demanda de ne pas nous blesser s’il nous suppliait de bor
, plus près, sans doute, de la sensibilité des jeunes générations qui demandent à vivre vigoureusement, les yeux et les mains plo
ve africaine jusqu’à Gibraltar, on a cheminé presque en ligne droite. Demandons aux périples les plus anciens ce qu’ils pensent d
volcaniques de ces mêmes côtes. Interrogeons donc de nouveau Scylax : demandons -lui où il nous arrêtera après dix-sept jours et d
utissant à la mer, si faible soit-il. Entre ses rives encaissées, que demande d’ailleurs le texte, elle aura plus d’eau courant
soit à propos d’en continuer la citation. Notons cependant qu’Ulysse demande à la jeune fille de lui indiquer la ville des hom
pouzzolane, d’atteindre une barque prête à partir. 9° Enfin, si l’on demande où nous plaçons le lieu d’apparition de la barque
réparation de l’idée nationaliste, poursuivie par M. Corradini, lui a demandé sans doute un labeur assidu et minutieux, pendant
tantinople et, par suite, n’avaient adressé au cabinet de Rome aucune demande de concours. L’entreprise italienne en Tripolitai
aux de restauration, mise de côté, abandonnée par des ouvriers, on se demande ce qu’elle pouvait bien faire sous les Plombs, qu
meubles de sa maison, ait poussé l’enfantillage du bien-être jusqu’à demander cette inutilité. Non, le marbre était nécessaire
ènes, M. Rignano se refuse à faire appel à un quid mystérieux ; il se demande « si la vie ne serait pas due à quelque forme spé
l’admettre. La chance, c’est d’être intact ! c’est de ne pas avoir à demander aux autres de se troubler pour sympathiser avec v
strologue et un ami dévoué. Elle rencontre un amant idéal, qui ne lui demande rien que de lui permettre de mourir en la faisant
ces du milieu où vivent les hommes et le groupe lui-même. Ce livre se demande donc pourquoi les groupes sociaux créent des lang
quand j’eus terminé mon installation, après que ma logeuse fut venue demander si j’avais bien tout ce qu’il me fallait, je mis
rêt, après m’être regardé vingt fois dans la glace, m’être vingt fois demandé si j’étais bien, si je pouvais plaire, j’attendis
seoir dans mon cabinet et je passai la matinée à songer à elle. Je me demandais anxieusement l’impression que je lui avais faite.
ouverte. Mais ma vie devait lui paraître singulière ; sans doute, se demandait -elle à quoi j’employais mes après-midi et mes soi
marchandise. Des mendiants aveugles ou difformes s’approchaient pour demander l’aumône : des gamins presque nus essayaient de v
t lu toutes les folies que je lui avais écrites, et maintenant, je me demandais si elle les supporterait. Après mes beaux jours d
taine à Florence, et l’autre attaché à l’ambassade d’Espagne. Elle me demanda ce que je faisais : elle me voyait toujours écrir
re, que Cavacchioli, que Palazzeschi. Et je ne crois pas qu’il faille demander aux bons critiques qui exaltent les drames popula
11 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
, avouez que vous n’étiez pas digne de ce petit ange. Elle vous avait demandé de brûler ses lettres quand elle s’est mariée et
reçois depuis huit mois, et les articles de journaux que je n’ai pas demandés lui apprendraient que j’ai quelques compagnons, m
vre avec vous depuis vingt ans ; je trouvais cruel, je trouvais laid ( demandez à mes amis tout ce que j’entends par ce mot) de v
ois, je trouvais au Café des amis que je m’étais faits là-bas. Ils me demandaient obligeamment des nouvelles de mes Survivances. Je
Impossible. Elle ne s’y trompait pas ; il ne me fallait pas songer à demander sa main à son père ; c’était un gentilhomme très
ranger ; puis-je avoir l’indiscrétion de m’informer de votre nom ? me demanda le marquis en s’inclinant comme dans un salon. Je
vous ferez Adelina di Baiano, ma fille, vicomtesse de Gardanne. Il me demanda , là-dessus, qui je voyais à Naples. Je lui nommai
açon dont on regarde quelqu’un que l’on ne connaît point, Carrera lui demanda la permission de lui présenter son ami le vicomte
nsition, le marquis me déclarât qu’il était à mes ordres, et qu’il me demandât mon jour et mon heure pour une rencontre. Cette i
ait que la saison du San Carlo avait été très belle cet hiver ; il me demandait quelles nouveautés on avait données à Paris, et c
ançais, j’aimerais peut-être sa fille, et peut-être qu’un jour je lui demanderais sa main : voilà ce qui était réellement. Cela seu
rojets. Et je dus, lorsque je jugeai le moment venu, lui adresser une demande en règle. Quand il eut entendu que je sollicitais
’été, consentit pour nous à ne point l’ouvrir. Sa fille et moi le lui demandâmes  ; ici nous nous sentions plus libres que là-bas,
cible ! Souvenez-vous de ce terrible Espoir, et que je serai digne De demander à Dieu des signes Plus éclatants. (Le Saint, p. 1
r le leitmotiv qui a conditionné leur existence antérieure. Faust n’a demandé jusque-là à Méphisto que des jouissances matériel
testament pathétique, si courageusement romantique, dans lequel il a demandé des funérailles de pauvre. « Ni convoi funèbre, n
s gens rament beaucoup. Ainsi s’expliquent les six jours et six nuits demandés . Pour arriver au point où nous conduisons Ulysse,
pas là une allusion au vrai nom des habitants du pays ? Il faut se le demander . 2° Passons maintenant au havre de Perséphoneia.
le a sonné. Le barman est venu. — Combien vous dois-je ? lui a-t-elle demandé , à voix très haute, en français, presque sans acc
çons jouant aux billes près du port : « L’école de l’Alliance », leur demandai -je. Ils me regardèrent étonnés, puis l’un d’eux,
t le plus grand événement de l’histoire de France au xviiie  siècle ? demande-t -on à un bambin de 12 ans, frisé et l’air mutin. I
, beaucoup d’entre eux avaient été imprudents et l’offre dépassait la demande . Il fallut vendre à bas prix et les faillites sui
les soldats souhaitent le bonjour à leurs camarades qui voyagent. Ils demandent des nouvelles de la ville et viennent recevoir de
n pouvait se promener seul, se recueillir… » — Et deux vieilles dames demandaient inlassablement : « Mais je ne vois pas le Vatican
390, 16 septembre 1913, p. 424-428 [426-428]. M. André du Fresnois se demande , dans l’Opinion, s’il convient de laisser aux Ita
t que M. Wolf-Ferrari fut directeur du Conservatoire de Venise. On se demande avec angoisse ce qu’il y put bien enseigner à ses
nt ni de condamnation, lorsque, dans un hoquet épouvantable, M. Carrà demanda la parole. Il se tenait debout avec peine, embras
en disant que les dents qu’il arrachait étaient le seul salaire qu’il demandât . Depuis, j’ai pensé que ces dents devenaient prob
s. Ma mère ouvrit et introduisit un monsieur maigre et grisonnant. Il demanda à parler à mon père. — Beppo est sorti, dit ma mè
le train fut de nouveau en marche, je pris la main de mon père et lui demandai  : — Où est maman ? — Elle est à la maison, dit mo
. Je tombais de fatigue, mais tandis que mon père me déshabillait, je demandai  : — Et Giandouia… — Ce sera pour demain soir, — d
dit : — Les marionnettes ne viendront plus. — Où sont-elles allées ? demandai -je en m’assurant que Maldino était toujours dans
e. 14. Τῆλε, au loin ; πύλος, porte. 15. Ἀρκτος, ours. L’étymologie demanderait plutôt ἀρτακίη ; mais dans un nom si dur à l’orei
8, 210, 211, 281. 28. Od., X, 235. 29. Od., X, 150. 30. On s’est demandé si, il y a trois mille ans, ce cap ne pouvait pas
arçon de dix-huit ans, évidemment au courant : « S’il vous plaît, lui demandai -je en italien, le plus court pour la maison de Na
12 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
s presque en cachette, et s’écria amèrement que, pendant que l’Italie demandait à grande voix Rome, on lui avait donné Byzance !
développement et les écoles périclitent. Le culte languissant viendra demander à ces ambitieux la représentation de ses saints m
pe-l’œil, le mensonge. Il satisfera à la lubricité de son amateur, il demandera à l’antiquité morte le secret de ses sataniques s
dans un état de santé relative la société moderne. » Amen ! — On se demande un peu, par exemple, ce que les Parnassiens font
13 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
ortir de la chambre de sa femme pour en annoncer le trépas, et il lui demande cette parole, cette prière, cet espoir dont il a
d’amants qui, par hasard, savent jusqu’où peut aller la passion. J’ai demandé à une jeune femme de France, douée de beaucoup d’
teur s’énamourant de ses propres créations ? C’est un peu comme si on demandait à un prince pourquoi il choisit les plus somptueu
lié avec l’impératrice Eugénie, le lui propose pour le Louvre : il en demande un million. Ceci se passait en mai 1870. La guerr
n voit bien que M. Boïto n’a eu qu’une vision de poète, et qu’il faut demander à ce poème ce qu’il peut et doit nous donner : la
ses ou tragiques, hardies, violentes ou délicatement nuancées. Ne lui demandons pas de l’archéologie ; écoutons-en la voix et soy
nçais profondément catholique et voici que Piccolo mondo moderno… (Je demande la permission d’indiquer ce livre par ses initial
ariage n’exerce aucun attrait sur la jeune Princesse et quoique il se demande incessamment si le bonheur du royaume vaut son bo
14 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
musica ! », s’écriait-il en quittant Paris en 1837. Et, comme on lui demandait s’il reviendrait, incité par la circoncision des
st à coup sûr de la fichue musique. Le métier ici est néant, et on se demande ce qu’en 1832, à Milan, l’honnête maestro Lavigna
tresse de la poésie moderne. Il ne ressemble à personne : faut-il lui demander davantage ? Littérature savante Malgré la g
limites forcément restreintes de cet article ; mais nous pouvons nous demander si la défaite de nos ennemis suffira à leur montr
ttre en face de l’action, aux prises avec la vie ; si nous devons lui demander non seulement sa pensée, seulement son sentiment,
7, p. 171-179 [171-173]. La Revue des Nations latines, de Florence, a demandé à quelques personnalités intellectuelles des pays
age à Paris, admira cette robe couverte de magnifiques broderies ; il demanda à voir l’artiste et, séduit, il ne tarda pas à l’
tanée et libre. Ce fut d’ailleurs toujours le sien ; dès 1867 Mazzini demandait le rétablissement de la Pologne et l’institution
ndes Pietro Orlandini14 pour que je m’emploie à lui avoir ce qu’il me demande . Il m’écrit de lui faire faire la lame d’une dagu
rsonnes, et je n’aurais pas la possibilité de le recevoir comme il le demande . Mais s’il veut cependant venir, qu’il attende qu
dant venir, qu’il attende que j’aie achevé la statue que je fais ; je demanderai à Lapo et à Lodovico17 de m’aider et lui enverrai
te de ma dépense totale, tant que je n’aurai pas les marbres que j’ai demandés . Je ferais volontiers comme maître Pierre Fantini
en trop sur ce que j’ai acheté. S’ils avaient à me rendre, je ne leur demanderais rien. En ce qui concerne l’œuvre39, les début son
lanir à coups de pics en quelques endroits. Cela serait vite fait, et demanderait quinze jours si j’avais des tailleurs de pierre q
de sorte que je forme le projet de m’adresser, aux Huit40, et de leur demander la punition de cette volerie. Je ne sais si cela
que l’intervention de leur pays en abrégerait le cours, qu’on pouvait demander à la nation un effort considérable, mais de court
’intensité et d’habileté. Il y a de grandes maisons de crédit qui ont demandé des économistes connus de véritables « consultati
ment économique pareil à celui de certaines régions d’Italie. Nous ne demandons qu’un peu d’aisance. » C’est un raisonnement que
soldats du nord et du centre fussent remarquablement entraînés. On se demandait au contraire ce que donneraient les divisions mér
eulement ils pouvaient exprimer leur volonté de paix à tout prix. Ils demandaient qu’elle fût convoquée beaucoup plus souvent et qu
sité pour les populations de l’arrière de ne pas protester si on leur demande des sacrifices ; le Parlement s’adressant à la na
s montants supérieurs l’autorisation télégraphique des banquiers sera demandée . Cette annonce fait pendant à une autre identiqu
, ayant constaté que Michel-Ange avait complètement perdu la mémoire, demanda au Pape de faire dresser une liste complète des d
15 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
o lui annonce qu’il va partir, Edoarda a un élan de passion : « Ne me demandez rien ! dit-elle. Je ne sais, je ne sais… Je compr
tourne la page, et ça recommence ou continue jusqu’au moment où on se demande si une naïveté de cette envergure ne serait pas p
-nous avec pitié, avec mépris, c’est-à-dire avec tolérance, nous n’en demandons pas davantage. Donnez-nous la vie, rien que la vi
précautions pour ne pas être martyr ; et on ne l’accusa point, on lui demanda des explications. Il répondit sans faiblesse et s
crâne atrophié. Cet œil, qui regarde l’infini, est-il un symbole ? se demande Jules Destrée, dans son intéressante étude des œu
es d’impiété, n’a pas bonté, étant réduit à l’extrémité de la vie, de demander les sacrements, et de mettre sur son corps plus d
dit en descendant l’escalier que Mme de Rosenberg étoit morte, et me demande si le comte de Waldstein avoit dans la bibliothèq
othèque l’illustration de la villa d’Altichiero, que l’Empereur avoit demandé en vain au bibliothécaire de la ville de Prague e
ui ai répondu qu’oui il fit un rire équivoque. Un moment après, il me demande s’il pouvoit le dire à l’Empereur. — Pourquoi pas
l va à Oberlaitensdorf (sic) il verra Dux aussi, et il pourra vous la demander , car il y a un monument qui le regarde lorsqu’il
mes remarques critiques sur les planches égyptiennes. « L’Empereur me demande ce matin VI 7bre comment je m’occupais à Dux et j
mour en dépit des « nombreux chagrins » qu’il lui a causés ; celle-ci demande « de quelle façon ils vivront ensemble » ; celle-
16 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
de rosser un de ses camarades, cet enfant prédestiné le relève et lui demande  : «T’ai-je fait mal ? » Ces dispositions à la pit
ù se colle le front d’une femme qui rêve, ou prie… « Es-tu celle qui demande la paix nocturne aux ombres descendantes ?   …   
vie, qui évoque la danse des Heures vers son ultime jeunesse, et qui demande une nuit d’amour aux ombres descendantes ?   E ch
17 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
de Pétersbourg, la politique gouvernementale russe se contenterait de demander , pour les Slaves du Sud, quelques compensations.
s qui vont droit comme la force qu’ils portent en eux, vivent sans se demander le pourquoi de leur vie, et ne dépensent point en
nent, compose exclusivement d’ouvriers, a abandonné les Mystères, qui demandaient une trop bruyante préparation et une mise en scèn
mes qui incitent le désir. § Zeuxis, voulant tracer l’image d’Hélène, demanda aux Crotoniates de lui présenter plusieurs de leu
s atours de parade sensuellement mouvementés à sa cambrure, qui vient demander à Paris la renommée prématurée que depuis quelque
penseur, de quelque domaine philosophique ou littéraire qu’il fût, on demandait de choisir quarante volumes « types » dans trois
estionnaire qu’il faut les chercher. Les organisateurs ne se sont pas demandé si un livre de création artistique, à quelque gen
livresque qu’on lui propose. Les organisateurs de l’enquête n’ont pas demandé à leurs correspondants le ou les livres capables
éromane aime sentir sous sa main le flacon bienfaiteur. Ils n’ont pas demandé quel est le livre que l’intellectuel cénobite vou
richesse qui l’aidera à trouver sa propre expression. S’ils l’avaient demandé , on aurait pu voir, même dans des réponses manqua
les extrêmes de sa vie intellectuelle. On s’est borné au contraire à demander une liste, le nombre des volumes n’importe, d’ouv
des marais : d’Annunzio est mort au son des applaudissements ! On se demande  : est-ce encore un pamphlet contre d’Annunzio ? E
une enveloppe sans adresse, qu’elle tendit à Pagello. Celui-ci ayant demandé à qui il devait porter la lettre, George Sand rep
it de Phèdre. « Ah, ma mère, crie-t-elle, quelle image terrible tu as demandée à l’art d’un mortel, sans trembler ! » Et c’est l
oète, revient au galop. Il a beau, dans sa lettre du 22 février 1559, demander en raillant à son maître s’il n’est pas encore la
laissons la parole au désabusé Garganello : ‘ Hier Parpaille me fit demander un office de la Vierge. J’en avais un seul que je
74, Hillebrand se proposait de fonder une revue italiano-allemande et demandait au jeune professeur sa collaboration et le priait
euse proie à laquelle tous les artifices suprêmes des rythmes doivent demander et donner les plus farouches voluptés, on veut op
riste, d’une tristesse qui veut sourire, comme lorsqu’il dit : Il me demande en entendant ce nom, pourquoi ce nom autrefois fu
la joie et les pleurs ? Ainsi, en regardant la cendre pâle, quelqu’un demande où est la flamme. Remo Mannoni : Procellarie,
un peu, fiers de recevoir un aussi élégant étranger. — Dove andiamo ? demanda le cocher au tournant de la Grande Poste. Cette d
andu en Italie et qui se distingue par un arrière-goût de gibier), il demanda une fiasque d’Orvieto et se mit à copieusement no
ôt il s’ennuya et l’envie le prit, lui aussi, de quitter la salle. Il demanda une chandelle, le numéro de sa chambre et, précéd
saire, lui, se sentit tout à coup le héros prédestiné. — Qui est là ? demanda-t -il par le trou de la serrure. Qu’il y-a-t-il ? Qu
nt à une vieille femme coiffée d’un foulard ocre à roses pourpres, il demanda  : — Qu’est-ce que cette fête ? — La fête d’un sai
t apparues à travers les fenêtres d’un wagon ! Aujourd’hui, en allant demander la main de sa belle, afin de ne point salir ses c
 B. Martini et Stanislao Maffei. Un jour, un pâle garçonnet de 14 ans demanda à être admis dans la fameuse assemblée. Il s’appe
représentation de Salomé pour l’Italie. Aussi son avocat, M. Brangi, demandait -il un jugement de condamnation basé sur l’article
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXI »
ve à une église très ornée où on chantait l’office. Je redescends. Je demande le logement de Mme P. Je la vois enfin. Je n’ai p
e m’a dit de me souvenir que ce n’était pas l’usage du pays. Elle m’a demandé si je savais tout ce qui s’était passé. Comme quo
19 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
aire de bottes, deux ou trois carottes, auxquels, bien des fois, il a demandé le motif d’une de ses charmantes vignettes décora
tisme papal, refluèrent vers le passé intellectuel, et le génie aryen demanda la liberté à ses aïeux grecs. Ils la lui rendiren
inte Santa Fortunata, toute rouge dans le coucher du soleil. Elle lui demanda s’il pensait rester à Sorrente. Il répondit qu’il
cienne ; le second est en culture. Il faut même aller plus loin et se demander comment Nietzsche n’a pas vu que cet être admirab
richesses en toute rencontre. En contemplant cette âme si pure, on se demande s’il n’y a pas d’autres saints que ceux de la can
it de définir la voix « mouvement d’air frotté dans un corps dense ». Demandera-t -on si l’esprit a voix articulée et si on peut l’e
e parue précisément dans l’Intermédiaire vers 1867. Il publia, sur ma demande , dans le Livre (année 1881), 4 articles remarquab
ddhique. Tout son recueil semble un développement harmonieux de cette demande d’inquiétude :                                  
vant historien a, en effet, surpris Desaix écrivant à Larrey pour lui demander « un bon suspensoir ». Décidément on ne peut rien
donné son autorisation ? En aucune façon. On ne la lui avait même pas demandée , et l’eût-on sollicitée qu’il l’aurait refusée. H
a statue fameuse de Gattamelata, achevée par Donatello en 1453, on se demande quel est le génie qui, en trente années, a pu éle
tuer dans l’espace et à les représenter avec exactitude. Les peintres demandaient des conseils aux sculpteurs, maîtres des formes e
ateur, avec son style rocailleux et recroquevillé, que Léonard aurait demandé des modèles d’élégance17 ! Les recherches savant
peux pas faire. » Même dans l’atelier de Ford-Madox Brown où, sur sa demande , il entra en 1848, pour avoir avec émerveillement
croissant enthousiasme, Keats, Browning et Shelley. On s’est beaucoup demandé en Angleterre si le peintre, chez lui, avait préc
ment la tracassière politique extérieure inaugurée par le Directoire ( demande à Venise de s’allier avec la Porte), inclina vers
plus menteur qu’un Parthe, et le soleil n’est pas levé encore que je demande mon pupitre, une plume et du papier. Memento
fait-il pas tout à fait le métier pour lequel on l’a pris. Le roi lui demande des travaux d’orfèvrerie, des ciselures, des « bi
ure ne fut jamais son unique ambition. Le peintre du Nord semble nous demander seulement de reconnaître ce qu’il nous montre et
l’Antechrist, mais parce qu’il avait écrit au roi de France pour lui demander de déposer le pontife ; il périt comme conspirate
n parce qu’il est modéré et pacifique. Au lit d’agonie de Laurent, il demande , pour prix de l’absolution, la liberté de Florenc
lution, la liberté de Florence : et vraiment, il ne sait pas ce qu’il demande  ! Il avait salué les Français de Charles VIII com
éternel et sublime de Dieu et de la Liberté ! — « Où siégerez-vous ? demandait -on à Lamartine : à droite ou à gauche ? — Je ne m
e à Rome. Auguste qui, lui, était loin de toute idée monarchique, qui demandait au renouvellement de l’ancienne tradition romaine
rincipes qui étaient l’essence du gouvernement républicain ; elles ne demandaient qu’à augmenter et assurer leur richesse, et, pour
nstinct ou déteste tout ce qui est noble, élégant ou inutile. Elle ne demande qu’à l’ignorer, qu’à le détruire. Plus les poètes
20 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
e morte, je ne vois pas pourquoi vous continuez à faire des vers ; on demande grâce. Journaux et revues [extrait] Remy de
é sa bénédiction à « l’éminent théologien », et M. Léon Tolstoï lui a demandé l’autorisation de faire traduire son ouvrage en r
us, mais en nous, car il n’y a pas, que je sache, de gens qui aillent demander aux autres leur colère propre, leur douleur propr
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
is et des passions, inévitables lorsqu’un grand État naissant ne peut demander qu’à la volonté et à l’initiative des hommes nouv
a seconde fois en quatre siècles, montait des foules nouvelles, et ne demandait qu’à être définitivement ordonné dans la géométri
Duilio regardera la double mer apaisée, nous viendrons, ô Cadore, te demander l’âme de Vecelli. Dans le Capitole lumineux de dé
te. — M. Sérao : Après le Pardon, Hachette Quelques Italiens m’ont demandé dernièrement si, dans ces chroniques, j’ai un par
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
our reconquérir le ciel. « Je vois dans vos yeux que vous voudriez me demander quelque chose et je sais ce que vous voudriez me
voudriez me demander quelque chose et je sais ce que vous voudriez me demander  : Comment se fit-il, n’est-ce pas, qu’Adam et Ève
re aise, à satiété, et ma promesse sera accomplie. « Vous voudriez me demander quelques indications, quelque signe auquel reconn
, ô moi du passé, ce que tu veux du moi présent, mais, quoi que tu me demandes , je ne saurai peut-être pas te le refuser. » L’ho
23 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
même terminé son dessin, prit un pinceau et se mit à colorier. Je lui demandai pourquoi il ne le donnait pas, comme les autres,
it : J’ai été reçue ici pour dévoiler tes péchés au Seigneur, Madame, demandai -je, les dévoilerez-vous vraiment ? Non, dit-elle.
t l’influence qu’eut en Italie le naturalisme français, M. Capuana se demande si le spiritualisme, le symbolisme ou le décadent
d’os. Il veut que le crime dont il a été victime soit puni, il vient demander vengeance. Hamlet ne sachant rien ne peut, par co
24 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
es de la poésie de Pascoli, souvent toutefois très belles, les jeunes demandent à l’art d’autres émotions, d’autres réalisations,
fixé sur la mer, et caressait sa moustache de la main gauche. Je lui demandai s’il pensait rester à Sorrente et il me répondit
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
endre encore ce manuel de cryptographie pour un art poétique. On leur demandera seulement d’expliquer comment l’italien de Bologn
c avait succombé, Henri VII, qui venait de se faire couronner à Rome, demanda probablement à Dante un manifeste le représentant
ir ; convenable et utile. Le don, pour être libéral, doit devancer la demande . C’est pourquoi Sénèque dit : « Rien ne s’achète
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
Casanova. Elle venait lui « proposer une affaire », c’est-à-dire lui demander cent guinées qui devaient faire la fortune de tou
manqué, d’abord en venant me surprendre au bain et hier en me faisant demander à ma mère pour servir à votre brutalité. Un pact
27 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
u’il avait rédigée contre l’enseignement officiel et dans laquelle il demandait entre autres réformes qu’on ne donnât pas toujour
is va-t-il crever sur le trottoir, vagabond et famélique ? Il ne sait demander . Il n’ose. Mais le voilà sauvé. M. Rouart a discr
cherchent dans l’art le spasme du plaisir physique », et l’auteur se demande « s’il est possible que l’imagination lyrique de
28 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
es notre neutralité. À un sénateur qui lui reprochait de ne pas avoir demandé des compensations en échange de notre abstention,
rre a établies. Cependant, si l’on interroge les Italiens, si on leur demande comment ils voient l’avenir de leurs rapports ave
Il ajoutait que si l’intervention du Pape au Congrès de la Paix était demandée par les Empires centraux afin de rouvrir la Quest
. Tout mon être n’est qu’un frémissement, auquel je m’abandonne, sans demander rien d’autre. Je sais que je ne suis pas seul. C’
59. La nouvelle religion de la vélocité Je signale à ceux qui se demandent si la guerre a développé le sentiment religieux l
gion futuriste que vous n’avez jamais fait paraître ? Mais je me suis demandé en lisant le manifeste que vous venez de « lancer
ne la mesure de sa loyauté intellectuelle. Avons-nous le droit de lui demander davantage ? On a beaucoup reproché à Fogazzaro so
encore. Et c’est bien ce qu’a tenté, et réalisé, M. d’Annunzio. Je me demande quel roman il va tirer de son expérience militair
million » à cause du prix, extraordinaire pour l’époque, qu’en avait demandé son possesseur, le roi de Naples, lorsqu’il la pr
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVIII »
élevé et à droite de l’autre. Le peuple de Naples crie à tue-tête et demande toujours. Les chevaux de fiacre y vont fort vite
30 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
lui ferai remarquer qu’il en est exactement de même en France : qu’il demande à consulter la liste des élèves qui ont suivi les
cette lutte éternelle va prendre des formes nouvelles, on s’est déjà demandé si, en cas de mort du titulaire de la chaire d’Hi
lasse comme un simulacre de vie. Au fond, cela n’y change rien. On se demande en vain à quoi peut bien rimer un tel spectacle.
e toutes ses privations, à elle. Deux mois après, à son fils, qui lui demandait quelques détails sur leur vie, elle répondait « I
ne alors, si douce toujours si éternellement puissante sur moi, je ne demanderais à Rome que cette vision : je ne l’aurai pas22. »
e cadre où se lisait, au milieu des symboles, cette brève oraison qui demande l’attention et la prière des passants. Tandis que
e l’on écrit une épopée. Il songe à cette épopée. Qui l’écrira ? — se demande-t -il, et il cherche, soucieux et inquiet, les éléme
nnais. N’avais-je pas dans ces armoires mes robes les plus belles ? » demande Isabelle, en souvenir de l’homonyme, l’Isabelle d
olle, arrive à me donner la vision de l’extravagant, moi je ne lui en demande pas plus pour lui trouver du génie. Je n’aime pas
e coup de pinceau est au moins surprenant. C’est un peu comme si l’on demandait aux sculpteurs de faire disparaître leur coup de
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
même qui avait été saltato la veille de mon arrivée à Rome, 1813.) On demande sans cesse et on a toujours l’air mécontent. Il f
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
nner Casanova sur ses goûts littéraires qu’il ne peut se tenir de lui demander  : « Avez-vous fait beaucoup de sonnets ? » Casano
pour chercher gloire et profit à l’étranger. Mais il ne faudrait pas demander ici l’admiration enthousiaste que le seul nom de
33 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
la tribune de la chambre Italienne, par le député toscan Rosadi, pour demander au gouvernement « si et comment il pense préserve
ne dynastie, devient seigneur, et c’est au condottiere que les villes demandent de les délivrer. Victorieux, le condottiere à son
ent M. E. Michotte l’a entendue : Wagner. — M’est-il permis de vous demander comment se termina votre visite à Beethoven ? Ro
r un profond soupir et par ce seul mot : « Oh ! un infelice ! » Il me demanda , après une pause, quelques détails sur les théâtr
L’on me fit une réponse identique à celle que je reçus de Carpani. Je demandai si cependant cet état de surdité de Beethoven n’é
ie. Sa femme l’aime tendrement, mais elle est la petite nature qui ne demande qu’à s’effacer pour la gloire de l’homme auquel e
comme auteur » ; qu’il écrit pour se « désennuyer le matin » ; et il demande à Mareste « de toujours épaissir le voile » qui c
sous tous ses aspects, demeure la suprême ressource. L’on pourrait se demander si elle n’est pas la dernière forme — forme dégén
e n’était plus en état de fournir le grand effort politique qu’on lui demandait . Elle rappelle un peu, à cet égard, l’aristocrati
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
ph Hofmiller publie une étude sur l’abbé Galiani. Dans une note il se demande comment Nietzsche a pu être amené à appeler le sp
35 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
uence un siècle entier de stérilité. M. Bouguereau, un jour qu’on lui demandait son opinion sur tels peintres nouveaux, répondit 
it des parenthèses, il amuse, il plaît. C’est tout. Le lecteur ne lui demande pas de détruire une école ou de démolir un artist
36 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
éâtre, que « les Latins » inaugureront leur saison dramatique. Sur la demande de leurs souscripteurs et amis, ils donneront All
écart tandis que la pauvre aveugle supplie le docteur de repousser la demande de Busolo et de ne pas tourmenter ses derniers jo
, portrait et femme) au mari de Cecilia. (Je me suis toujours en vain demandé pourquoi les maris des drames sentimentaux sont s
s d’exprimer les mystères divins. C’est au génie italien que nous les demandons , — flattés par l’apprêt sensuel, en effet si sédu
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
e imbécile et dépourvu de valeur, et une renaissance idéaliste : nous demandons , de par la conscience moderne, la décadence d’une
38 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
, dit-il, sont progressivement rongées par le salpêtre, et nous avons demandé , à plusieurs reprises, qu’on les relevât avec le
39 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
M. Vaccaro sur ce point. Peut-être, néanmoins, conviendrait-il de se demander si les contractants de telles unions seraient sus
e ne faire aucune difficulté de délivrer de la glace lorsqu’on lui en demandera pour le service de monsieur le cavalier Bernini,
Louvre. » Et Créquy ne se trompe pas sur le malencontreux qu’il y a à demander cette grave chose au Bernin, car il ajoute deux l
40 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
int vers 1516, époque où la Comédie porte le nom de divina ; et on se demande par quelle protection il échappa au bûcher. Rien
41 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
roire, de l’opportunité de l’épreuve : c’était tenter Dieu que de lui demander un miracle. Il n’avait plus la foi brute, entière
e l’université de Paris et dont la renommée était telle qu’il lui fut demandé des conseils pour soigner le roi Louis XI. Sous l
/ 41