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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
Camoens, le Tasse et Milton ! Il y aura peut-être quelques lecteurs, déclare-t -il négligemment, qui s’étonneront que l’on ne pla
e nul embarras à confesser tout haut sa faute : « Je n’avais pas osé, déclare-t -il, dans son Dictionnaire philosophique 21, compt
ue le pape Léon X publia une bulle en faveur de l’Orlando furioso, et déclara excommuniés ceux qui diraient du mal de ce poème.
ieurs fois un contradicteur poli, mais compétent et obstiné. Aussi ne déclara-t -il plus qu’avec une certaine timidité ses admirat
it pourtant peu : « Il faut se mettre à genoux devant ce grand homme, déclare-t -il avec emphase. — Je le pense comme vous, ripost
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
s des citations de mots divers de chaque prétendu dialecte, Alighieri déclare que l’idiome vulgaire est celui qu’on rencontre d
et avoir loué et blâmé les cités pour leur dialecte, l’écrivain nous déclare que l’idiome vulgaire quodlibet redolet civitate
e de la Papauté ? Il ne nie pas la donation de Constantin, mais il la déclare illicite : l’empereur n’avait pas le droit de mor
ce, c’est le forcer à se louer ou à se blâmer lui-même, suivant qu’il déclare ou qu’il admet l’appréciation. Il n’est permis de
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
lume, révèle nettement toute la philosophie du poète esthéticien, qui déclare plus loin mépriser la théorie des sources dans l’
ardé quelques attitudes spirituelles. Sa « critique idéative » tend à déclarer qu’il existe une « équation parfaite entre le sup
4 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
contre d’Annunzio, qui, dans le discours déjà fameux, non seulement a déclaré qu’il veut être et qu’il sait être le maître abso
eune poète italien sont admirables. Dans une note, M. Antonio Cippico déclare nettement qu’on ne doit pas traduire Shakespeare
5 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
te l’Italie les fameux délégués du Soviet qui, de retour à Stockholm, déclarèrent qu’ils avaient si bien travaillé, que l’Italie se
ces temps derniers frapper à l’huis, on ne l’entrouvrit que pour leur déclarer que Sa Majesté l’Empereur d’Autriche était le pro
é. Les journaux de la péninsule, en commentant ce succès de l’ennemi, déclarent qu’au point de vue tactique, la perte des Monts M
s combatif que l’ancienne ligue de M. Ciccotti. Deux cents députés se déclaraient décidés à soutenir la même politique : continuer
itti exaltèrent dès lors la pureté de ses intentions ; et ses ennemis déclarèrent  : « Oui, mais qui nous prouve que M. Giolitti ne
» En outre le ministre anglais et le Président des États-Unis avaient déclaré que le démembrement de l’Autriche ne faisait pas
stion. Que veut-il dire par là ? Je l’engage à avoir le courage de le déclarer ouvertement. Basile avait pour devise : calomniez
sars. Au reste le baron de Bielfeld, conseiller aulique, n’a-t-il pas déclaré que l’Allemagne n’avait jamais renoncé à ses droi
es révolutionnaires russes. Il a reconnu les fautes des bolcheviks et déclaré que pour le moment le danger le plus pressant éta
resque des avances aux Yougoslaves (n° du 4 août 1917). Évidemment il déclarait que les « droits des Yougoslaves ne pouvaient com
oir lieu il y a deux ans. Il aurait été logique en effet, après avoir déclaré la guerre à l’Autriche, de chercher de suite nos
tiel était de résoudre la question du droit des peuples. M. Trumbitch déclara « inutile toute contestation de territoire », pui
re politique de l’Italie depuis près d’un demi-siècle et quand Crispi déclarera , dans cette correspondance à un journal allemand
trebande sous l’étiquette éducative. Mais où l’on ne peut ne point se déclarer stupéfait, c’est lorsque l’on constate que tant d
6 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
c l’âge. Amoureux, Don Quichottin emmène sa belle à la promenade, lui déclare à peu près ceci : « Je vous aime, mais celui qui
réussit qu’à moitié et fut « justiciée ». G. Depanis dans la Gazzetta déclare que c’est « une vigoureuse œuvre d’art et d’art p
7 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
alliance défensive, refusait de prendre part à la guerre brusquement déclarée , c’est qu’elle jugeait que la clause défensive de
t une des prochaines victimes, et l’abstention l’y ferait contribuer, déclarent les interventionnistes. Les négociations diplomat
signification lui était familière : — La jalousie ! a-t-il bravement déclaré . — La jalousie ? a murmuré le vieux propriétaire
découvrir une solution qui contente tout le monde ou que l’on puisse déclarer parfaitement équitable. Et l’on ne serait pas enc
voix « pour enflammer les âmes à l’heure solennelle de l’Italie », il déclare avec justesse qu’en ce qui regarde les intérêts d
er au bon peuple qu’il faut haïr l’ennemi ; bon nombre d’entre eux le déclarent même carrément. Si l’opinion publique ne parvient
8 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
II, numéro 400, 16 février 1914, p. 760-791. Avertissement Je tiens à déclarer que je n’ai joué aucun rôle dans cette histoire d
second étage. — Où vous voudrez, Antonio. — Le jour y est excellent, déclara-t -il à John-Arthur qui s’inclina. Puis, se tournant
je lui ai dit que vous étiez malade. Il vous envoie ses compliments ; déclare votre esquisse fort belle ; et vous invite pour u
son art ! Stimulé par Wellseley, il lisait des traités d’harmonie, et déclarait que la musique serait bientôt enrichie de quelque
à moi, de faire jouer pendant les séances. — D’admirables artistes ! déclara la Ceschini, — Il est fâcheux qu’ils ne soient pl
racte, des jeunes gens lui rendirent visite. — La reçoive qui voudra, déclara Antonio. Je lui ferme ma porte. C’était bien la d
ec ces mains ! Ugo imposa silence à son fils : — Aurora est mon hôte, déclara-t -il. Elle les considéra l’un et l’autre, et s’évan
écit, je m’écriai : — Insensés ! Il fallait fuir sur-le-champ ! Et je déclarai  : — Le signal ne, flottera probablement jamais à
t pas lus. Et il pouvait admirer en toute confiance : comment peut-on déclarer que la Vierge de saint Sixte « n’est peut-être pa
et édulcorée, de la traduction allemande de Schütz, on peut hardiment déclarer que la première contrefaçon de l’édition français
aire, banquier par-dessus le marché, comme c’était la coutume, lequel déclara la guerre de course à l’Angleterre, et que l’on d
éplaise aux Casanovistes étrangers, dont la compétence, j’ose le leur déclarer , n’est pas ici au niveau de leur ferveur, et que
ceste, en 1769, — préface rédigée d’ailleurs par l’abbé Coltellini, — déclarera  : Je pensai à restreindre la Musique à son vérit
9 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
quelque homme puissant, fût-il lui-même un personnage de rien. Moi je déclare vil un homme méchant qui descend d’un juste. En s
tigation. Évoquer le pain des anges à propos d’un repas symbolique et déclarer misérables ceux qui partagent la pâture des troup
10 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
de l’impunité. 4) Des condescendances inexplicables pour ceux qui se déclarent ouvertement contre la guerre ; les socialistes of
’a-t-il pas fait à la Turquie et à la Bulgarie la guerre qu’il leur a déclarée  ? Pourquoi n’a-t-il pas participé à l’expédition
’Autriche et la guerre à tournure impérialiste que l’Italie venait de déclarer à la Turquie. « Nous attendons les faits et les e
its de ne pas avoir encore adhéré au pacte de Londres et de pas avoir déclaré la guerre à l’Allemagne. Ni M. Salandra au Capito
nsultées, sénateurs, députés, écrivains, professeurs d’Université, se déclarent pour l’exclusion. D’autres, favorables à l’interv
omme lui aussi, et destiné à mourir. Et lui, Renato Serra, qui avait déclaré que l’Italie ne perdrait rien en restant de côté,
et écrit à ce sujet dans le Secolo : À partir du jour où l’Italie a déclaré la guerre à l’Autriche, j’ai reçu de nombreuses l
être pendu je ne sais quoi qui corrige la platitude d’une destinée », déclare Tito Bassi, et il absout, par cette phrase d’une
11 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
préface éloquente qu’il a placée en tête de sa tragédie, Paul Souchon déclare  : Il est évident qu’actuellement la tragédie cla
ône de Naples, ne fut qu’un épisode de la lutte tantôt sourde, tantôt déclarée , entre la Grande-Bretagne et la France. C’est l’i
ntesque qui aboutit à l’Empire. Il se réclame en ceci de Polybe qu’il déclare « le plus profond historien de l’antiquité ». Il
ire un peu de philologie, — comme tout le monde. Naguère, M. Claretie déclarait cavalièrement : Bluff vient de bluster. M. Lombro
on a médité ! Est-ce donc là quelque chose de particulier, et faut-il déclarer expressément qu’on a rempli le premier devoir de
Ernest-Charles, un dreyfusard très convaincu, j’ai eu occasion de lui déclarer tout mon étonnement pour avoir entendu de la veuv
lleur marché… M. Ernest-Charles s’embarrassa, rougit, et il finit par déclarer qu’il lui paraissait très naturel qu’un écrivain
que, il en examine les origines et leurs métamorphoses italiennes, en déclare l’essentia quinta avec un esprit sûr et parfaitem
lir sa demeure terrestre, ne caressera plus les chimères d’un au-delà déclaré inconnaissable. Ces idées, que je résume, sont da
près la publication du recueil où elle figure. Or, Lamartine lui-même déclare dans la commentaire du Crucifix qu’il composa cet
12 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
aglino. C’est un recueil de discussions en forme de dialogues, que je déclare n’avoir pas compris, bien que l’édition soit fort
ux, biblique et évangélique. Si le scandale se produit, la brebis est déclarée galeuse et sacrifiée. Les États-Unis de l’Amériqu
monie, montrait qu’il avait littéralement acheté le siège pontifical, déclarait son élection nulle et voulait le faire déposer pa
n quelque sorte traditionnels, de ceux que les contempteurs du public déclarent faits pour lui ; et, très à découvert, les phrase
t, foncièrement italien ; sachons-lui gré enfin d’avoir courtoisement déclaré qu’il acceptait avec reconnaissance l’hospitalité
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 233, 1er mars 1907 »
e des littérateurs. Un écrivain, M. J. M. Palmarini, ne craint pas de déclarer dans les colonnes d’un grand quotidien que le gou
14 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
ires à diamètre limité de huit pouces sont faits sur du bois ; ils se déclarent incapables de l’exécuter dans ces conditions. C’e
rte ! À la suite d’un choc semblable, une fièvre cérébrale parfois se déclare . Et moi, alors que je devrais être auprès d’elle,
ivole des conversations, je me mis à attaquer avec un appétit, qui se déclara soudain formidable, le vermicelle aux vongole qu’
rais ma première visite. Là-dessus, nous nous reverrions ; puis je me déclarerais . Notre accord deviendrait public, officiel, et, d
ue le propos changeât soudain, et que, sans transition, le marquis me déclarât qu’il était à mes ordres, et qu’il me demandât mo
ces deux héros de l’histoire italienne. On peut les comparer, et les déclarer également belles, si l’on croit pouvoir comparer
a Renaissance, doublé d’un grammairien, aurait pu le voir. L’écrivain déclare même que son ambition n’est pas autre. Il s’effor
ent la tête écrasée au passage de ses talons ; en ce cas, comme il le déclare , « ce fut courtoisie que de leur être vilain ! »
expliqué ce phénomène par les travaux du Simplon alors en cours et on déclarait qu’il était passager. Il n’a fait au contraire qu
ions strictes et difficiles à réaliser.   L’Océan. — La magicienne a déclaré au héros qu’il doit aller chez Hadès pour consult
t défend l’identification traditionnelle. Pour faciliter sa tâche, il déclare d’ailleurs interpolés les vers qui le gênent le p
ses défenseurs. Quelque temps après le départ du gouverneur, l’Italie déclarait la guerre. Chef suprême de l’administration civil
t entrer dans la voie des réalités. Je ne puis que le souhaiter et me déclare prêt à recueillir toutes lettres à ce sujet. Je
ce projet de M. Octave Uzanne d’une petite Revue Casanovienne. Je me déclare moi-même prêt à transmettre à M. O. Uzanne tous l
15 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
pagande ont été traduits par H. Jordan dans le présent volume : il se déclare libre-penseur, mais reconnaît respectueusement le
onservateur honoraire du Musée historique des portraits, à Guildford, déclara sur l’honneur avoir vu Lucas modeler ce buste d’a
ines personnes (et non des moindres) parmi celles qui aiment Stendhal déclarent qu’il y avait chez lui un côté jobard … » Nous ne
chercherons pas si cette dernière expression, que M. A. Lumbroso nous déclare venir « pourtant en ligne droite d’un homme qui h
voir Mlle Mars et les autres victimes dans cette écurie. Mais, ayant déclaré qu’elle ne veut plus subir cette honte, on ne veu
ui “sans ambitions ni désir de conquête” — ainsi que ses ministres le déclarent à la Chambre, — traîne sa vie bourgeoise et assur
ort désagréable qu’un Monsieur, fût-ce l’auteur de Mafarka, vienne me déclarer , un étendard à la main, qu’il a fait un chef-d’œu
meux buste de Flore attribué à Léonard de Vinci et que Guillaume II a déclaré authentique. Il conclut que c’est l’œuvre d’un « 
out, pourrait résister à cette « attraction » ? Pour ma part, je m’en déclare incapable. Tome LXXXVIII, numéro 322, 16 nove
16 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
tentais de panneaux peints. Un de ses amis les exécuterait, car il se déclarait peu exercé au maniement des pinceaux. Je lui prom
t me présenta à sa mère. Comme je la félicitais sur sa fille, elle me déclara qu’elle avait une nombreuse famille composée de f
r le Corso, qui se donna, sur la lagune, la veille de l’Ascension. Il déclara monotones les cercles décrits avec habileté, par
si une œuvre est habilement composée et pourquoi elle l’est, aussi je déclare que l’assemblée qui se pressa autour du Giorgione
. Le devoir de l’art est de les rendre parfaites. — Non ! — Plus d’un déclarerait les dessins défectueux et laids. Regarde cette go
demain, une créature impeccable comme une Vénus lui apparaisse, et il déclarera vulgaire la beauté trop épanouie d’Alexandra Vell
ongeait pas à former une école, cependant les apprentis de Bellini se déclaraient partisans de sa peinture. On l’entourait comme on
r sa promesse de poser devant lui. Giorgio refusa d’être payé. Je lui déclarai qu’en agissant ainsi il m’interdisait de lui comm
rrière des portiques délabrés. — C’est la joie du monde au Printemps, déclarait Giorgio à ceux qui ne devinaient pas la significa
gio, tu m’expliques mon travail inconscient. Bons camarades, je ne me déclarerais point content de moi-même si vous admiriez simple
râce de Lauzun, etc. On trouve aussi un Louis XIV que M. Jean Lemoine déclare plus « bonhomme » que celui de Saint-Simon. Toute
tre ! Certainement, vous voilà amoureux. Giorgio se prit à rire et se déclara encore loin de l’âge où un homme dépérit pour une
ce regard acharné. Je me reculai et voulus renvoyer l’apprenti. Il me déclara que jamais il n’abandonnerait son maître et s’ado
placer au-dessus de Bismarck. En ce qui concerne ce dernier, Mr White déclare que le baron Stein est « l’égal de Bismarck tant
ités des lois font cette désertion presque impossible. En 371, Valens déclare que les naviculaires d’Orient ont assumé une char
déique et sentimentale, qui aboutissait au plus haut Symbolisme, pour déclarer « réelle » toute existence qui naît et se divinis
17 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
n livre sur un ensemble de livres d’un tout autre ordre, et cependant déclarer que quel que soit l’endroit d’où nous vienne la l
age, mes chroniques ont été respectueuses, calmes, dignes. Je tiens à déclarer que la faute n’en est pas à moi : je me suis renc
nité l’écroulement des Vieillards aux pieds d’argile. » § M. Vorluni déclare franchement ne pas aimer beaucoup Lilith « qui n’
18 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
Pétrarque : Pace ! Pace ! Pace ! et dans un article M. U. Valcarenghi déclare que Carducci s’est mis au ban des poètes italiens
e se réclame nullement de M. Zola, ce qu’on aurait pu craindre, et le déclare . Numéro double de la Cronaca d’Arte (1-2 de la se
19 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
llustre compagnie à en subir ainsi l’emprise. « C’est irrésistible », déclarait carrément dans un entracte un auditeur qui n’étai
umer en ce petit chapeau : « Le grand écrivain italien Mathilde Serao déclare que les peuples s’instruiront à l’école de l’éner
utorité supérieure intervint alors et le principal magistrat de Milan déclara , après avoir obtenu un instant de silence, que si
nti protesta. On crut quelque temps à la possibilité d’un schisme. On déclara que M. Turati partageait les idées de M. Graziade
e ne modifia pas sa ligne de conduite. Mais lorsque la guerre eut été déclarée , elle en arriva peu à peu à soutenir les « Minist
ient violemment pris à partie le ministre Bissolati, coupable d’avoir déclaré publiquement qu’il combattrait sans pitié les « e
n’y a pas eu évolution, mais affirmation d’un patriotisme qu’ils ont déclaré extrêmement clairvoyant. Qu’on songe à leur raiso
organes bourgeois invoquèrent l’union sacrée, il fit de l’ironie, et déclara qu’il ne changerait rien à son attitude. Aussi es
20 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
ent poussé Carrière, s’intéresse à l’impressionniste piémontais et se déclare acquéreur. Sur ce nouvel argent, quelques dettes
d parti contre eux ; le président du jury s’associe à ce mouvement et déclare qu’il démissionnera si justice n’est rendue à l’e
21 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
porte ces quelques lignes : « Les deux pauvres auteurs n’ont pas osé déclarer le prix de ce livre inutile, car, l’imaginant tel
s moins amusant : l’auteur, qui n’a point passé trois mois en Italie, déclare gravement y avoir vécu « trois années de voyages
e n’est que l’effet habituel de toute paternité, même non désirée. Il déclarera que ce livre peut « avoir 150 ans dans le ventre 
une lettre à un ami, du 1er décembre 1817. (Cor. inéd., I, 52.) Il y déclare qu’il n’a pas voulu « parler comme auteur » ; qu’
partie seulement a paru dans les Souv. d’égot.) Un mois après, il se déclare prêt à mettre dans son livre toutes les platitude
que et de recommencer ses explorations, dit ses longs discours, où il déclare la confiance qu’il a en son génie et sa haine pou
eux, il n’est pas réellement dans notre esprit celui que son créateur déclare . Il n’est pas nécessairement un explorateur dont
22 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
, l’évolution était accomplie. Le comte Bardi, protecteur de Caccini, déclare  : « Il y a aujourd’hui deux espèces de musique. L
gangrène, se décide à se couper lui-même le bras. Une amélioration se déclare , et le blessé rentre au port en assez bon état, a
t et, certes, en pensant à mes enfants et ainsi à tous les hommes, je déclare que ce n’est pas par le Prix de Rome que je recom
it une vague odeur de misère. Les épigones de Carducci exagérèrent et déclarèrent Manzoni déchu de sa domination sur toute la litté
23 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
u’il croupit dans son marais, la vie durant. Mais qu’importe ! on lui déclare qu’il est sain de croupir dans le marais, que c’e
phée. — Il fallait accepter tout de suite le défi. Maintenant nous te déclarons vaincu. — Il est pire que vaincu, il redoute le c
es plus forcenés de ces agitateurs, et, tombant dans leurs bras, leur déclara qu’ils pouvaient désormais compter sur lui. À vra
iscours la religion de la joie. À moins qu’il n’ait l’idée bizarre de déclarer que rien n’est plus amusant que de se faire battr
lui adressa : « Monsieur, en conséquence de vos ordres, M. Vanloo a déclaré ceux que vous avez la bonté d’envoyer à l’Académi
e. Une chose bien curieuse, c’est la guerre que certains journaux lui déclarent à propos même de ces Odes, dont la grandeur ne pe
24 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
uva que le lendemain, est, paraît-il, une pure légende. M. E. Sicardi déclare que cette légende a été répandue, et peut-être in
25 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
s apôtres et jusqu’à la venue de saint Pierre à Rome5 ; Dom Guéranger déclare dans sa préface que « le rôle de Cécile sous les
r sérieusement ; ni César Borgia, ni Napoléon, ni Goethe n’ont jamais déclaré au monde qu’ils travaillaient pour leur profit, m
r an et du brevet de 1.200 livres pour son fils. De retour à Rome, il déclarait à Beneditti qu’il avait reçu plus en six mois du
26 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
arts et artisans de la Cité de Florence », le 14 juin 1300, Dante se déclara contre Boniface VIII. De là des haines terribles,
blasé et sceptique, il a atteint l’instant suprême où la jeunesse se déclare satisfaite de l’obole donnée à la société guerroy
va est chassé de Paris par une lettre de cachet signée Louis, qui lui déclare que tel est son bon plaisir, lequel Louis termine
nt du comte de Peralada, qui servit si bien Philippe II que ce roi le déclara comte par la Grâce de Dieu. Ce fut la première pa
fondeur de friponnerie. Je m’en ouvris donc au signor Rapi, lequel me déclara qu’il allait sur-le-champ arranger cela. Nous nou
santes et notre « Florentin » arrive à se surpasser lui-même quand il déclare avec le plus grand sérieux que tous les Italiens
crire du futuriste, ou des futuristes. « Il faut détruire la syntaxe, déclare le manifeste technique de littérature futuriste,
ouloureuse, est bien le véritable « art méditerranéen », ainsi que le déclare M. Bellaigue en pensant vraisemblablement à sa ca
de la main, d’un geste mutin, et elle haussait les épaules comme pour déclarer que j’étais fou. Mais il me semblait bien que ma
e même, c’était une folle épître, d’un lyrisme échevelé, et où je lui déclarais mon amour avec la plus grande violence. Puis je m
on du jardin, et de la hauteur de la fenêtre ; elle ne s’était jamais déclarée , elle n’avait pas éclaté, parce que j’avais eu le
comptais pas rester toujours en Italie ? J’allais repartir ?… Je lui déclarai que maintenant que je la connaissais, je ne forma
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
mériter sans délai. Toutes ses tentatives restent vaines, et la belle déclare nettement : Vous n’obtiendrez jamais rien de moi
28 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
x que vient le mépris du passé et le doute de l’avenir, avenir qu’ils déclarent lumineux quoiqu’ils aient mis le néant au bout. G
29 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
s), proclament Daumier énormément supérieur à Gavarni, et ceux qui le déclarent tout à fait inférieur. Artistes créateurs dans la
rs eût été chrétien. En approuvant la règle des frères mineurs, il la déclara au-dessus des forces humaines. Or, les forces hum
n. À cette date, la critique imite M Jourdain ou plutôt son maître et déclare que tout ce qui n’est pas chrétien est païen, et
anatomique, et d’un seul coup chassant théologastres et rhéteurs, il déclare que, « toutes nos connaissances nous viennent du
té, surtout dans la partie où il discute la phrase de Maeterlinck qui déclarait avoir écrit Ariane et Barbebleue pour offrir au m
ond de l’Allemagne, il nous arrive des lettres de vingt personnes qui déclarent adhérer à la nouvelle doctrine », dit-il quelque
nement Savonarole, l’avertit avant de lui intenter un procès et ne le déclara que suspect. Ses disciples offraient de soutenir
’état actuel de cette industrie qui est si près de l’art. « Venise — déclara M. Morasso — c’est un monde à soi, avec un style
30 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
jeurs sont sans nul doute Stirner et Nietzsche. Brunetière avait déjà déclaré que : le romantisme, c’est le Moi. Cependant, il
é, ces sortes d’ouvrages sont fort intéressants, lorsqu’un homme seul déclare ses préférences et développe son éloquence à les
es pages, à la manière du dieu Pan. « J’ai écouté la voix de Faunus —  déclare l’auteur — et j’en ai tiré quelques aperçus de ch
cette affirmation dénuée de preuves, Paul Lacroix (Bibliophile Jacob) déclarait , dans une note du catalogue des livres de M. Duta
est-à-dire premier dignitaire de l’Université d’Avignon, venait de se déclarer calviniste. Le 30 mai 1562 il avait été pris à Vi
ifestations de l’un ou de l’autre de ses deux grands poètes, et de se déclarer pour l’esthétisme effréné du poète élégant ou pou
a été le dernier à remplir en Italie. Or les jeunes écrivains, qui se déclarent pour Pascoli ou pour d’Annunzio, ne montrent pas
ître criblé de dettes », avoue Mme de Chateaubriand, « mange-merde », déclare le vieux Blücher, en refusant de le recevoir. Ain
31 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
e lui apportèrent le Dante, Pétrarque, le Tasse, Alfieri, Foscolo, et déclare n’être non pas le sixième, mais le dernier de cet
32 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
d’allier les intérêts du ciel aux œuvres de ce monde . Casanova nous déclare que Thérèse n’aurait pas commis un péché mortel p
pas pu la pousser plus loin. » Sur un autre bout de papier Casanova déclare  : « Je n’aime pas non plus les villes régulières
avec un bagage un peu défraîchi. « C’est notre Massenet, à nous !… », déclarait à son propos un impresario romain récemment inter
33 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
précis très exact des idées critiques et philosophiques du Maître. Il déclare , enfin, ne pas pouvoir accepter le Taine que M. P
34 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
ent jouer à Milan un opéra en quatre actes, Chopin, dont le succès se déclara dès la première représentation et augmenta les so
me fois son ouvrage qui fut à diverses reprises peu et mal compris et déclare éprouver, à son sujet, avec toutes ses anxiétés,
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
cée au xvie  siècle par Dati, Tolomei, Patrizio et Baldi. Baldi avait déclaré que la prosodie italienne, basée surtout sur les
36 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
et c’est avec moi qu’il est le plus familier. Il me témoigne — je le déclare avec un certain orgueil que je ne cherche pas à d
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
sanova, d’une façon assez inattendue : « Je ne connais pas Albergati, déclare-t -il, mais il m’a envoyé le théâtre de Goldoni, des
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