Michel-Ange, et cela à la fois par l’analyse de leurs origines et la
critique
directe de leurs œuvres. Le public sera étonné d’
sur tant d’œuvres et d’artistes divers, satisfaire également tous les
critiques
et lui-même ; il suffit que ces jugements soient
ent ordonnée et conduite avec sûreté de Cimabue à Canaletto. Dernière
critique
, comme en note : avant Cimabue il y a Duccio, qui
ies ; pas d’écoles, partant pas de querelles, pas d’émulation, pas de
critique
des idées, pas de souci de continuer ou de violer
ure dont l’individualisme sans principes se développe trop loin de la
critique
et des rivalités, s’engourdit et meurt d’autophag
[552]. […] Le Temps (7 août). — La jeune Europe, par Thomas Emery. —
Critique
du récent livre de Guillaume Ferrero ; le jeune s
o Zuccoli massacre avec entrain et avec esprit la prétendue école des
critiques
« scientistes », de ceux pour qui tout phénomène
ombroso, l’inventeur de ces drôleries, a donné la mesure de son génie
critique
en appréciant M. Dubut de Laforêt tel qu’un grand
ntourer d’un public nombreux et intelligent. C’est un diplomate de la
critique
; je ne peux me rappeler une seule brusquerie dan
ortés sur lui en Italie, et en donnant un précis très exact des idées
critiques
et philosophiques du Maître. Il déclare, enfin, n
t croire, — dit M. Oliva — « à un terrible missionnaire du rien, à un
critique
destructeur, imaginé par le sentimentalisme fémin
u lieu d’ébaucher des croquis et des portraits, M. Capuana fait de la
critique
proprement dite, ce qui est moins amusant, peut-ê
mposer un livre tout à fait captivant, — quoiqu’il s’agisse encore de
critique
, — comme celui que vient de nous donner M. Ugo Oj
ti, L’Arte Moderna a Venezia (Roma, E. Voghera édit., 1897). Pour les
critiques
de l’Exposition de Venise on a établi des prix ;
t fausse route ; l’artiste à son tour ne croit pas, d’avance, à toute
critique
; si elle est flatteuse, il l’accepte et il passe
pour cela que M. Ojetti n’a pas voulu oublier, même dans un livre de
critique
, qu’il est aussi un charmant conteur. On peut ne
va, par exemple, que j’ai à tort considéré jusqu’ici simplement comme
critique
, a écrit un drame du plus haut intérêt sur ce suj
x ans que Mme Duse ne jouait plus dans sa patrie ; et le public et la
critique
remarquent en elle un changement, que personne ne
définir. C’est de la perfection sans doute ; mais il ne manque pas de
critiques
pour oser préférer à la Duse actuelle la Duse de
parmi les Pascoli, Ojetti, Corradini. et autres, poètes, romanciers,
critiques
, pratiquant et détendant une littérature d’art et
Odi Tiberine, signées du vrai nom du poète, où je ne sais pourquoi la
critique
s’obstine à ne pas reconnaître la plupart des qua
es. Enfin, voici l’apparition d’Entre la Terre et les Astres, dont la
critique
fut tant impressionnée, et tant intriguée par le
x ; c’est le signe d’une maladie et d’une constitution maladive ». La
critique
de la Genèse de l’idée du temps de Guyau, faite p
mportante de M. B. Croce. M. Alfredo Gargiulo a traduit et préfacé la
Critique
du Jugement de Kant. M. Giovanni Gentile a préfac
tre, le penseur, n’est pas un créateur de système, mais simplement un
critique
contingent. Bruno et Vico font une incomparable e
Éditions de la Vita Letteraria Un groupe de jeunes écrivains,
critiques
et poètes, pleins de hardiesse innovatrice, réuni
travail, la tête sur un volume d’Homère, vient d’être détruite par la
critique
scientifique moderne. On a cru découvrir tout d’a
ce funèbre honneur au volume de la Bibliothèque nationale ». Quelques
critiques
italiens nous affirment maintenant qu’on ne pourr
parler. L’oil a eu la traduction de la Bible, c’est-à-dire la mise en
critique
des livres sacrés et en plus les ambages de la Ta
me ». On peut relire aussi l’étude de W. Schlegel, dit l’oracle de la
critique
allemande, cette critique tellement surfaite et q
l’étude de W. Schlegel, dit l’oracle de la critique allemande, cette
critique
tellement surfaite et qui n’impose qu’à des gens
s autant que la thèse le permettait. Le De monarchia commence par une
critique
des formes gouvernementales. Pour le gibelin, ari
rés de Dieu et bras de Dieu dépassent les autres en implacabilité. La
critique
des doctrines commence par la connaissance de l’h
rde cependant de transformer ces observations plutôt générales en une
critique
malveillante. Le livre de M. Roger Peyre, qui nou
ante, est parfois monotone. Mais de même que Fra Angelico — à qui des
critiques
tels que M. Rosenthal ou M. Berenson sont bien pr
le mérite d’artistes comme Verrocchio ou Botticelli. Je pense que le
critique
français va un peu loin lorsqu’il écrit qu’il suf
comme pour Sano di Pietro. Mais M. de Wyzewa est un peu fâché que la
critique
moderne trouble les opinions reçues depuis Vasari
ès avoir été considéré comme divin pendant quelques siècles, quelques
critiques
ont osé ébranler un peu cette divinité. Coloriste
Portrait pendant la Révolution et M. C. Bayet commence un commentaire
critique
des oeuvres peintes par Giotto à Assise. Le trois
le rapport, rédigé par un avocat, est dur, âpre, dépourvu de détails
critiques
; on dirait que le rapporteur a considéré les aut
un succès exceptionnel. Comme l’espace nous fait défaut, je laisse la
critique
… au rapporteur du concours dramatique de 1903, et
da publie un Guglielmo Shakespeare, poeta e uomo, qui est un essai de
critique
et de psychologie digne de l’attention la plus bi
s cercles littéraires connaissent parfaitement et que le public et la
critique
connaîtront demain ; c’est toute une pléiade d’au
s à l’Italie depuis trente ans. Les jugements que portent sur lui les
critiques
et les hommes de lettres oscillent entre l’admira
audace qui n’appartient qu’à celui qui, comme M. Boïto, a droit à une
critique
déférente et sérieuse. Mais qu’il s’agisse d’une
eur. Ces croquis étonnèrent en même temps tous les bureaucrates de la
critique
, qui n’admettent pas qu’on parle d’un écrivain av
n d’art et la question politique, M. André Mellerio, esprit sagace et
critique
averti, étudie le fonctionnement et l’état des mu
poète bizarre, hardi, spirituel, piquant. Le succès fut double et la
critique
professionnelle et le public saluèrent ce recueil
corruption de son siècle… » Si l’on trouve exagéré l’enthousiasme du
critique
italien, on conviendra peut-être cependant qu’il
cela lui donne un caractère d’utilité fort appréciable. Les jugements
critiques
, inspirés par une grande sympathie littéraire, so
uccès, et si une aptitude particulière semble le désigner plutôt à la
critique
où trouve à s’employer la solide et abondante cul
guliers, bourgeois et financiers. Peut-être, comme le dit l’excellent
critique
, lui-même auteur dramatique applaudi, M. Claudel
vifié par les personnages, trompe mon œil ; d’ailleurs, en matière de
critique
, il est bon d’imiter le Roi de Nirvanie et de se
ne œuvre de poète ému par la beauté des œuvres bien plus qu’une sèche
critique
; le littérateur s’est amusé à décrire en détail
beauté suprême et absolue. — La sculpture échappe, naturellement, aux
critiques
qu’on vient de lire. Des habiles, bien Italiens :
était restée, jusqu’à maintenant, la propriété du célèbre amateur et
critique
anglais Humphry Ward. Sauf le nez, un petit morce
longue variation idéologique et méthodique d’un thème de Hello : « La
Critique
est la conscience de l’Art. » M. de Rinaldis pos
out en la posant, la question qui sépare stérilement en deux camps la
critique
contemporaine en creusant un inutile fossé entre
camps la critique contemporaine en creusant un inutile fossé entre la
critique
esthétique et la critique historique. M. de Rinal
raine en creusant un inutile fossé entre la critique esthétique et la
critique
historique. M. de Rinaldis franchit d’un bond de
une critique d’art qui ne serait, en réalité, que l’histoire du sens
critique
particulier des grands artistes, l’évolution prof
généralisateurs peuvent entrevoir, est vraiment à la base de toute la
critique
de notre temps, et non seulement dans le domaine
l’unité lyrique profonde des manifestations musicales des peuples. La
critique
nouvelle désirée par M. de Rinaldis est devenue d
llective. Et la conscience de l’Art comprise dans le sens de l’esprit
critique
évolutif, qui est transformé sans cesse par la mu
dis étudie la genèse de cette idée de décadence qui perpétue chez les
critiques
l’image grossière de la stagnation des esprits et
l’expression esthétique une manifestation isolée du génie humain. La
critique
historique, trop étroite, et la critique esthétiq
n isolée du génie humain. La critique historique, trop étroite, et la
critique
esthétique, trop large, l’une et l’autre défectue
taient les sources qui apaisèrent sa soif sans jamais l’éteindre. La
critique
nouvelle, toute la critique, se basera essentiell
èrent sa soif sans jamais l’éteindre. La critique nouvelle, toute la
critique
, se basera essentiellement sans doute sur une vis
’Art. Ce sera un grand bienfait. Pour le moment, les conditions de la
critique
en Italie sont assez déplorables. Outre la critiq
conditions de la critique en Italie sont assez déplorables. Outre la
critique
artistique, mal représentée par des professeurs a
es trop précis et aux phrases trop sonores, tel M. Adolfo Venturi, la
critique
littéraire y est aussi pauvre que celle théâtrale
loquence, voire même le lyrisme de ses prédécesseurs napolitains i le
critique
Francesco de Sanctis ou le philosophe Giovanni Bo
ature italienne au xixe siècle sont œuvre de chroniqueur plus que de
critique
: la conscience de l’art y fait complètement défa
critique : la conscience de l’art y fait complètement défaut. Dans la
critique
musicale, l’Italie peut compter depuis quelques a
passé autant qu’au présent, pourra contribuer à jeter les bases de la
critique
préconisée par l’auteur. Gina Mariegiani : Il
e Gina Martegiani se révèle aussi assez digne de parcourir cette voie
critique
, par son volume où elle veut démontrer que le Rom
développer en Italie, suivant l’impulsion qui leur fut donnée par les
critiques
de l’esprit religieux au Moyen-Âge, tel Ozanam, e
it du clergé s’étend insensiblement au culte même. Ce n’est point une
critique
théorique que l’idée chrétienne subit, on ne disc
Frédéric Harrison, très fidèlement traduite par M. Louis Baraduc, une
critique
claire et précise de cet idéal de Vie Nouvelle co
la carrière de Ruskin, et simultanément il esquisse sa biographie et
critique
ses doctrines esthétiques et sociales ; comme le
Les propos des émigrés, les romans pessimistes des naturalistes, les
critiques
d’académiciens qui en accentuaient la portée, les
s les entreprises d’action française qui ont trouvé grâce devant leur
critique
, et les républicains, délaissant les vaines polém
elques mois, publié tant d’aussi attentifs et bienveillants livres de
critique
sur notre production. Non seulement M. Maurice Mu
ute la péninsule ? Considérons le roman italien contemporain. L’œuvre
critique
que lui a consacrée Jean Dornis est un livre réfl
Giovane et Militarismo — dont M. Maurice Muret a donné une excellente
critique
— où on le voit célébrer sur une argumentation si
te. Dans la Cultura (1er mars, Rome), N. Festa consacre un article de
critique
et de synthèse, aux rapports déjà signalés entre
our des artistes médiocres. Son Voyage en Italie demeure l’ouvrage de
critique
le plus parfait qui ait été écrit sur ce sujet :
la mort de Pagello. (Revue hebdomadaire, mars 1898.) Le Maître de la
critique
d’hier, lui aussi, lâchait parfois des légèretés.
ntérieur de chaque partie séparée, — très agréablement écrit. Mais le
critique
d’histoire, muni de quelque finesse gagnée dans l
ami, sans que la bienveillance affectueuse ait altéré en lui le sens
critique
, le félicite justement de n’avoir point failli, e
utel rouge de l’holocauste des éphèbes, le cadavre couronné, etc. Les
critiques
théâtraux ont beaucoup discuté cette tragédie, au
up discuté cette tragédie, au point de vue, disent-ils, théâtral. Les
critiques
théâtraux sont en général, en Italie comme en Fra
ic. Ce sont, pour la plupart, des dramaturges ratés, comme tout autre
critique
est presque toujours un créateur raté dans le gen
mbre de deux, les premières ayant certainement été perdues, celles du
critique
au nombre de quatre. En dehors des remerciements
— aux derniers arrivés ; puis il alla, de table en table, recueillir
critiques
et flatteries, s’inclinant avec grâce et se regar
udacieux qu’après la magnifique résurrection de M. H. Houssaye, et la
critique
si large de Lettow-Vorbeck, sans parier des devan
voir être féconde. Représenté essentiellement par M. Benedetto Croce,
critique
et esthéticien pédant et insuffisant, mais penseu
t-cinq siècles de recherches et de constructions, et par un siècle de
critique
trop volontairement destructive, l’esprit moderne
jitzeur. Cependant le poète pèche souvent per excessum. Son poème Aux
Critiques
est d’une inspiration basse et froide. Seul le de
, mais il inspire la pitié », qui peut être adressé à tous les grands
critiques
du monde, est intéressant. Le poète n’est pas ass
: La Peur de l’amour, Éditions du Mercure de France, 1908. 22. [NdE]
Critique
française : Jean de Gourmont, « Littérature. Ce q
poètes modernes de la sympathie, de la compréhension, et la meilleure
critique
. Car l’œuvre plastique correspondante à l’œuvre p
ymbolistes ne comprennent pas toujours notre art équivalent. L’esprit
critique
de Remy de Gourmont lui-même, quoique averti au m
r l’action politique et militaire du gouvernement de la péninsule des
critiques
si virulentes et si précises qu’elles confinent a
e admirable abnégation, supporté le rôle ingrat d’accepter toutes les
critiques
sans vouloir se défendre, de subir les soupçons s
esse fut socialiste, humanitaire, pacifiste, mais surtout afficha une
critique
impitoyable contre les institutions. Le nietzsché
part, les socialistes aussi, sortant des nuages du sentiment et de la
critique
stérile, se sont lancés aux conquêtes de classes.
centes. Il suffit de nommer le romancier sicilien Luigi Capuana et le
critique
Bonaventura Zumbini. À côté de ceux-là, qui avaie
’Examen (Treves édit. à Milan), nous montrent un homme en une période
critique
, qui s’observe lui-même incessamment durant l’act
énéralement aux Français. Peut-être la France aurait-elle besoin d’un
critique
patriote qui ferait pour elle ce que Heine, Nietz
etzsche firent, hélas sans succès, pour les Allemands. En Italie, des
critiques
de nous-mêmes, nous en avons peut-être trop : ils
us-mêmes, nous en avons peut-être trop : ils sont plus dénigreurs que
critiques
. Comme des provinciaux, nous portons même nos que
e plus de sécurité que cet enthousiasme fragile et cet idéalisme sans
critique
qui recouvrent mal les divergences, ou les confli
oirs. Il ne nous épargne pas çà et là quelque dure vérité ; — mais sa
critique
est inspirée d’amitié, comme son admiration pour
is plus sur la littérature et sur l’art que sur tout le reste, et une
critique
vigilante s’y exerce constamment. Celle de l’Alle
pas déçus. Il était, sans contredit, le plus doué entre les nouveaux
critiques
qui ont entrepris de comprendre, après les teuton
re des pages de prose émue et colorée qui révèlent le poète à côté du
critique
, ne donne une idée adéquate de sa riche et saine
né en 1864 — et il a beaucoup publié, mais il a été découvert par la
critique
seulement depuis quatre ou cinq années. Maintenan
ilien, a été prôné dans les milieux littéraires par M. G.-A. Borgese,
critique
sicilien et professeur de littérature allemande à
rien d’étonnant. Pour être complet il faut citer aussi deux livres de
critique
: le premier volume de la Storia della Letteratur
petite soit-elle, tout acte de tolérance est un délit immonde. Toute
critique
est aujourd’hui une trahison. Italiens ! imposez
s déconcertés par tant de mysticisme. Fogazzaro s’est attiré bien des
critiques
quand il a voulu expliquer, ou, pour mieux dire,
ir le mieux réussi. Est-ce dans la notation de ces vibrations que des
critiques
ont voulu voir de la veulerie et de la morbidité
lgaire des lecteurs, et c’est d’ailleurs ce qui a déconcerté bien des
critiques
. On s’est montré injuste à son égard. On n’a pas
qui plus ou moins, par filiation partielle, y correspondent. Dans la
critique
littéraire, l’Italie fut plus indépendante qu’ail
us indépendante qu’ailleurs : nous avons eu le bonheur de posséder un
critique
, De Sanctis, qui, tout en subissant parfois l’inf
subissant parfois l’influence allemande, surpassa cependant tous les
critiques
européens contemporains. Après 1870, la méthode h
cessé de grandir : il fut relu et étudié, et toute la jeune école de
critique
qui, abandonnant l’espoir ambitieux de De Sanctis
’art dans sa pureté dérive au fond de lui, et les meilleurs entre nos
critiques
contemporains — je mentionnerai seulement Renato
14, février 1891, p. 97-102 [97]. Remettre à une autre fois les notes
critiques
— et pathologiques — qui surgissent, comme une vo
larmé le Traité du Verbe, qu’il cite comme une autorité littéraire et
critique
M. Jules Lemaître ! Voilà qui me donne une certai
littérature cisalpine, où quelques bons bûcherons — quelques cognées
critiques
— attendent patients la croissance et la poussée
(21mars). — Étude sur l’Argent de M. Zola, par Giuseppe Depanis : le
critique
prend à ce livre un intérêt qui nous étonne ; il
mour, en un mélange, dit M. Robiati, de Stendhal et de De Sade. Nulle
critique
ne parla jamais des livres de Banzole : cependant
de ses pièces est une oraison en faveur d’un principe de vie, et une
critique
cinglante de toute la mort qui, du fond des tradi
ur de Il Santo, ce roman auquel la condamnation presque unanime de la
critique
a fait un succès chez les Latins, a eu la joie de
6]. Bruxelles a eu quelques jours pour hôte Vittorio Pica, le célèbre
critique
italien. Eugène Demolder a saisi cette occasion p
’Émeraude a gentiment raconté la façon dont il fit la connaissance du
critique
italien à Naples, en 1893 : « Naples ! écrit-il,
e les promesses, il éclaire ceux qui sont obscurs. Et ce n’est pas le
critique
pédant qui mélange le chaud et le froid, qui juge
e. Non, il ne juge pas, il “explique”. Et c’est là le vrai rôle de la
critique
. Le critique n’est pas un magistrat, c’est un sav
juge pas, il “explique”. Et c’est là le vrai rôle de la critique. Le
critique
n’est pas un magistrat, c’est un savant qui dissè
imer son nom dans le monde. Mais Vittorio Pica n’est pas seulement un
critique
. Combatif, il veut exposer des artistes méconnus,
it été faite par un étranger. » Et M. Delmoder énumère les livres du
critique
italien dans lesquels il a parlé des Français et
ve siècle : voilà pour déconcerter ceux qui parlent de notre « manie
critique
contemporaine » comme de la véritable « maladie d
à la répartition des provinces (voir là-dessus l’important appendice
critique
sur les provinces de Brutus, de Cassius, d’Antoin
rament, à la volonté, à l’esthétique de l’artiste-philosophe. Le sens
critique
, c’est-à-dire la compréhension particulière, pers
voir son esprit s’arrêter à chaque moment de l’œuvre et d’entendre la
critique
qu’il en formule avec une sincérité parfois infle
ar l’hostilité du public, est un peu devant son œuvre un étranger qui
critique
, efface ou éclaire. Il est donc intéressant de co
au plus de dramatique, le titre nous semble assez heureux, car cette
critique
scientifique porte surtout sur les personnages li
M. Giuseppe Lipparini, publie dans un fort volume une série d’études
critiques
de grand intérêt. Ce livre, Cercando la Grazia, e
livre, Cercando la Grazia, est comme un résumé de quelques tendances
critiques
de la jeunesse italienne lettrée, consciente de l
dans de nombreuses feuilles et revues, poursuit depuis des années la
critique
des livres et des événements littéraires du jour.
littéraires, sur les Conteurs florentins, celui sur Savonarole et la
critique
allemande, ceux sur le poète Pascoli, me semblent
s. Moins intéressante est la IVe partie où l’auteur a réuni devant sa
critique
de trop nombreux ouvrages, pour que l’analyse ne
t du jeune auteur de Alma Mater a été particulièrement signalé par la
critique
la plus avertie. Échos. « Le Saint », de Foga
nt parmi les plus puissants qu’on ait construits. En Italie, quelques
critiques
adressent à son style des reproches peut-être jus
érale, Léonard ait associé Luini à quelques-uns de ses travaux, et le
critique
s’écriera : « Léonard de Vinci passant les pincea
jour, me trouvant à Milan, je causai avec M. Vittorio Pica, le réputé
critique
et essayiste, de Giovanni Verga et des romanciers
u à la chambre… 150 pages de Lanzi13, qui, au milieu de son bavardage
critique
, historique, et timide, sent bien les arts, en sa
a nostalgie du souvenir, s’était-il laissé entraîner à poursuivre, de
critique
en critique, d’historien en historien, ses traduc
du souvenir, s’était-il laissé entraîner à poursuivre, de critique en
critique
, d’historien en historien, ses traductions et ses
aginer en quel mépris il devait tenir un ouvrage de compilation et de
critique
; cela ne pouvait être pour lui qu’un passe-temps
amis du poète ont fait tous leurs efforts pour le « repêcher ». Leur
critique
s’acharnait à en relever les beautés verbales et
chologie des protagonistes, tandis que la presque totalité des autres
critiques
s’acharnait de son côté, sans d’ailleurs trop de
ises œuvres littéraires, et que, outre les auteurs, la majorité de la
critique
et du public discute sans en connaître vraiment l
ais non point un explorateur absolument supérieur, qui ont défrayé la
critique
italienne, lancée contre lui avec un seul mot de
qu’il a devant les yeux, il a tout le temps de se livrer à son esprit
critique
, de ne pas subir le drame, d’en repousser les fan
a, dont tous les littérateurs ont apprécié, naguère, le beau livre de
critique
française Littérature d’exception, où il étudiait
France, — s’est, depuis quelques années, plus spécialement occupé de
critique
d’art. Ses recueils Albums et Cartons 1 forment d
’intéresseront à l’art moderne doivent et devront consulter. Le texte
critique
y est accompagné de belles reproductions qui perm
Léonard achevait son chef-d’œuvre, la Cène de Milan. À cette date, la
critique
imite M Jourdain ou plutôt son maître et déclare
pinions ne sont que des passions exprimées abstraitement et une vraie
critique
doit défalquer l’homme du système ; lorsque le ph
et combien de sages qui disconviennent aux conditions du nimbe ? Une
critique
impudente et goujate opposera son bon sens à sain
pas géométrique, Épicure de méconnaître la grandeur du Soleil : il ne
critique
que des observations, parce que là seulement la c
leil : il ne critique que des observations, parce que là seulement la
critique
porte profit et finit par atteindre une solution.
mps. Nous cherchons la certitude entre l’affirmation religieuse et la
critique
expérimentale : pris entre deux fanatismes, la Ré
oupes, que lie une affinité au fond plus voulue par les besoins de la
critique
que réellement profonde, il y a en Italie une pha
n Aux mêmes éditions de Poesia, M. Emilio Zanette publie son étude
critique
sur M. Giovanni Pascoli. Le grand poète y est ana
aiment héroïque, parfois vraiment géorgique. M. Emilio Zanette est un
critique
dont le processus analytique est remarquable. Sa
église florentine gothique, remplie de chefs-d’œuvre, une phalange de
critiques
et d’écrivains lit et commente tous les ans le vi
p haut : il ne peut plus se maintenir au rang des grands maîtres. Les
critiques
d’art qui ont une influence sur l’opinion ne sont
s ont compromis la science en cherchant à la réduire en formules, les
critiques
, dans leur œuvre de vulgarisation, ont déformé l’
u disciple a jeté une ombre sur le maître. C’est une injustice que la
critique
a su réparer tout récemment. I La statue du
s suscitaient un grand enthousiasme, mais aussi une opposition et des
critiques
. Aristote gardait des défenseurs violents. Chacun
istingua assez vite, contrairement à ce qu’ont soutenu la plupart des
critiques
. On sait qu’il ne se maria jamais. Les nombreux e
gardé le silence sur les obligations qu’il put avoir à Verrocchio. La
critique
commence à mettre quelques clartés dans l’histoir
rs siciliens, on y exalte et on y bafoue M. Ferrero, l’historien à la
critique
souple, ou M. Fogazzaro. On y attend une tragédie
cala, et son œuvre la plus marquante, la Maison de vie, c’est, dit un
critique
, la Vie nouvelle continuée. En dehors de cette in
re des dessins de Ford-Madox Brown, de Hunt, de Millais, des articles
critiques
ou des poésies de Coventy Patmore, de William Bel
; il a expliqué, par exemple, l’exil de Dante à Vérone, ou défini, en
critique
méticuleux plutôt qu’en poète, le génie de Chatte
e-Mary, le Navire Blanc, la Tragédie du Roi, il faut, dit l’excellent
critique
, M. Benson, ranger dans la même catégorie : Sœur
y Review. Mais comme il était sensible aux éloges mérités, la moindre
critique
qui portait à faux suffisait à le déconcerter. Il
inait tout entier ; pour conclure par un jugement du plus clairvoyant
critique
moderne en Angleterre, John Ruskin, et en transfé
fondue avec Michol, quelle erreur ! Le Cantique des Cantiques, que la
critique
moderne considère définitivement comme un drame d
unanimes. Mais M. Pizzetti est aussi un esthéticien remarquable. Ses
critiques
musicales, parues dans quelques journaux, et dans
occa, le placent, avec M. Romualdo Giani, à l’avant-garde de toute la
critique
musicale italienne. M. Pizzetti, pour sa compréhe
e, le geste supérieur de la création à la recherche intellectuelle du
critique
. La discussion analytique très originale de l’œuv
nouvel humanisme de Précurseurs24. M. Pizzetti montre son orientation
critique
, tout au long de son étude. Il la révèle en évide
fert aujourd’hui. Ces planches sont accompagnées de la suite du texte
critique
— lui-même illustré — rédigé par M. Karl Voll.
sciplines. Il serait entré en défiance de sa facilité en subissant la
critique
de ces Florentins d’esprit prompt et de langue ac
re Agreste, Nerbini, Florence Je suis étonné de ne pas avoir vu la
critique
italienne annoncer et saluer l’apparition d’un je
rtiste singulier, qui s’était montré, jusqu’ici, seulement peintre et
critique
d’art. Le long poème Venere Agreste, qui vient de
nt on abuse autant que du mot : génie, appliqué en général par chaque
critique
à ses propres amis, ou autant que du mot : héros,
Sera : Sulle tracce della vita, B. Lux, Rome M. Leo G. Sera est un
critique
philosophe. Sa critique s’exerce sur la vie, et s
a vita, B. Lux, Rome M. Leo G. Sera est un critique philosophe. Sa
critique
s’exerce sur la vie, et sur la trame mystérieuse
p. Ed. Nazionale, Turin On peut considérer aussi comme un livre de
critique
, mais point philosophique, et simplement document
son poème, la Ville charnelle, M. F. T. Marinetti publie un livre de
critique
: Les Dieux s’en vont, d’Annunzio reste, fait de
contraste qui, pour être purement esthétique, n’en gêne pas moins la
critique
. Le procès de la Renaissance doit être jugé devan
e de remplacer la Providence est un pauvre esprit, sans étendue, sans
critique
. Une volonté ne prévaut jamais contre l’ordre des
chapeau à l’humaniste hollandais et ce fait n’est pas à négliger : la
critique
même acerbe et l’exécration du clergé n’entachaie
; le diable joue dans sa vie un personnage vraiment anachronique ; sa
critique
du catholicisme n’a ni bases, ni suite ; c’est un
ale, étant à la fois celle d’un lyrisme dithyrambique, et celle d’une
critique
précise et géométrique des faits et des choses. L
mplètent la liste, pêle-mêle, tandis qu’un chapitre est consacré à un
critique
théâtral et dramaturge italien, M. Edoardo Boutet
ns minores les plus connus : G. Chiarini et A. G. Barrili. Les études
critiques
de l’un, qui fut un des plus ardents admirateurs
ition de ce qu’est pour moi la « tragédie ». Beaucoup d’auteurs et de
critiques
, et d’Annunzio même, me semblent employer ce mot
tures ont été mises sous le nom du Milanais Andrea Solario : quelques
critiques
vont même jusqu’à retirer à ce dernier, au profit
ues sonnets de son nouveau volume Homo. Son ambition, a dit un de ses
critiques
, est de mettre en musique les conceptions religie
ace, il représente, après Dante, le génie du grandiose. Il fut poète,
critique
, philosophe, grand orateur et grand écrivain. Son
remier volume avait un caractère fragmentaire qui rendait malaisée la
critique
. Et en effet, de ces deux premiers volumes d’une
histoire, sa sculpture, qui est une laborieuse contribution à l’étude
critique
de l’art en Italie, mais peut-être a le tort de s
présent comme dans le passé. II Je ne m’explique donc pas qu’un
critique
de la valeur de Charles Loyson se soit offusqué d
rchait, il ne s’ensuit pas que, dans les Méditations, l’œil exercé du
critique
perde tout à fait la trace de ses premières lectu
on œuvre. C’est probablement ce qui a trompé Sainte-Beuve. L’illustre
critique
, parlant de Lamartine longtemps après les Méditat
e son passé éblouissant. Giuseppe Antonio Borgese : Histoire de la
Critique
romantique en Italie. Éditions de La Critica. Nap
e Filosofia) que M. Benedetto Croce consacre à la modernisation de la
critique
italienne, M. Giuseppe Antonio Borgese publie son
olume sur la Storia della Critica romantica in Italia (Histoire de la
critique
romantique en Italie). M. G. A. Borgese reprend l
tique en Italie). M. G. A. Borgese reprend les deux vieux concepts de
critique
classique et critique romantique, il en examine l
. A. Borgese reprend les deux vieux concepts de critique classique et
critique
romantique, il en examine les origines et leurs m
t le génie méditerranéen altéré de connaissances et d’innovations, la
critique
des Alexandrins se trouvait mêlée aux créations t
orme toute particulière d’intellectualisme et de réflexion que fut la
critique
alexandrine. La Renaissance accepta tout dans son
ellectualité moderne. L’Italie renouvela pour son compte la tradition
critique
classique. Lorsque le romantisme prit sa cape et
omantisme prit sa cape et son épée pour bouleverser les Académies, la
critique
italienne suivit le mouvement général des esprits
coué devant son pays en réveil, contribua beaucoup au renouveau de la
critique
. Il sut le premier regarder l’œuvre de Dante en h
l’œuvre de Dante en historien et en esthète, plus profondément que la
critique
savante ne l’avait fait jusqu’alors. M. G. A. Bor
savante ne l’avait fait jusqu’alors. M. G. A. Borgese démontre que la
critique
romantique italienne fut en général romantique de
ès civil, il était à l’avant-garde. Il ouvrit le chemin à toute notre
critique
du xixe siècle, qui ne s’en éloigna plus. M. G.
ne s’en éloigna plus. M. G. A. Borgese observe aussi les qualités de
critique
plus que remarquables de ce génie fécond d’intuit
e précision, résuma presque, de nos jours, toutes les tendances de la
critique
littéraire et réalisa presque une histoire des ci
nctis ; son nom, dit M. G. A. Borgese, peut suffire à la gloire de la
critique
romantique. Dans son livre d’un intérêt tout part
s l’histoire. Très souvent même l’histoire la rend méconnaissable. La
critique
nouvelle suivra le procès d’intériorisation qui c
lie : une traduction de Little Men. R. Carabba, Ed. Lanciano De la
critique
des critiques à la littérature pour enfants, le c
duction de Little Men. R. Carabba, Ed. Lanciano De la critique des
critiques
à la littérature pour enfants, le chemin est cour
5, p. 589-595 [589-590]. Nos lecteurs se souviennent sans doute de la
critique
que nous avait suggérée l’interprétation du rôle
araient à le discuter ont renoncé à toute entreprise idéologique. Les
critiques
les mieux disposés ont dû relever l’absurde puéri
eptent sans enthousiasme, mais avec une très grande bienveillance. La
critique
intelligente et en dehors de tout parti, tout com
vain ne sortirait indemne. Je ne sais pas comment on leur enseigne la
critique
à l’École normale ou ailleurs, mais on dirait vra
res, et je réponds du même coup à tous ceux qui emploient son procédé
critique
— qu’importe que les plus belles pièces des Médit
même me surprendre, et il ne faut pas avoir pour deux liards d’esprit
critique
pour attacher plus d’importance qu’elles ont à ce
en Angleterre, la nouvelle littérature française a ses deux meilleurs
critiques
, ceux qui doivent inspirer le plus de confiance ;
ique latine ; elle en a partout, hormis en France même. J’entends des
critiques
, non pas étrangers sans doute, mais extérieurs au
zko est un esprit sagace qui vaut surtout par des qualités solides de
critique
savante, pondérée et élégante. Tome XXIX, num
mérite qu’on lui fasse crédit, car il est jeune, si jeune que certain
critique
, qui n’est pas un vieillard, le peut appeler fami
ut en admirer d’abord l’ironie sanglante ou la finesse perçante de la
critique
: ce pauvre M. Klinger, que les lourds Allemands
été salué à son apparition comme un chef-d’œuvre de psychologie et de
critique
. Les admirateurs innombrables du poète ne pourron
n’est pas encore un écrivain irréprochable et il offre le flanc à la
critique
par son dédain des excellences de la forme, dont
ps de rudes polémiques, d’avoir une courtoise querelle, à propos d’un
critique
aussi judicieux que M. Vittorio Pica, avec un con
s déjà vieilles de quelques années, aurait été, par des poètes et des
critiques
récents, relégué parmi les écrivains bons pour ré
Verlaine ! Jusqu’au-delà de 1845, Victor Hugo fut soumis par toute la
critique
« sérieuse » au régime que nous vîmes infligé pen
que la copier, jusqu’à l’année 1804, où Carlo Amoretti y appliqua une
critique
qui n’en a laissé subsister presque aucune date,
édition des treize livres de ses manuscrits, et de distinguer par une
critique
appropriée ce qui, dans les œuvres qu’on lui attr
incipaux du génie de Léonard. La légende, élargie et corrigée par les
critiques
, peut parfois intervenir pour soutenir les résult
iovanni, exploits dont la magie seule prétendait avoir le secret. Des
critiques
modernes voient dans ces efforts une anticipation
de faire d’une vue instantanée l’équivalent de mille expériences. Des
critiques
modernes, ne pensant qu’au Traité de la peinture,
iées. Il peignait les fleurs avec un bonheur si surprenant que divers
critiques
lui ont attribué une affection particulière pour
âlissant de plus en plus à mesure qu’elle recule dans le lointain. La
critique
venait pour retrouver les originaux derrière les
e vue, une démonstration très facile, n’est-ce pas ? Au contraire. La
critique
italienne, et hélas, même l’étrangère, ont été po
ont été pour le moment atteintes par l’épidémie de M. d’Annunzio. Les
critiques
voient le jeune maître partout ; à travers les pa
« M. Tel descendait d’une famille aristocratique… » ! J’ai dit que la
critique
étrangère ne sait pas se soustraire à cette fasci
aire à cette fascination ; j’en ai eu des preuves récentes ; même les
critiques
qui ne sont pas trop ferrés sur cette petite affa
à cette sommaire exposition de dégâts épidémico-linguistiques que ses
critiques
n’arrivent qu’à la surface des questions d’art ;
ris grand-chose ; mais l’œuvre a étonné pour son érudition solide les
critiques
qui considèrent un artiste comme un quid medium e
inuait la lecture de l’Idolo. Marginalia La Commission pour les
critiques
d’art de l’Exposition de Venise vient de décerner
, cristalline, et quant à ses mérites dramatiques je m’en remets à la
critique
française qui l’a jugée à sa juste valeur. C’est,
e qui s’exaltait et la foule qui l’attaquait. Après sa mort, bien des
critiques
, en croyant porter sur lui leur propre jugement,
lui importait l’opinion de l’élite intellectuelle, le jugement de la
critique
désintéressée. Il écrivait pour une démocratie li
re main. Il n’avait pas de programme simple, limpide, et positif : la
critique
l’absorbait tout entier et de sa critique on ne s
e, limpide, et positif : la critique l’absorbait tout entier et de sa
critique
on ne saurait même extraire un principe. Dernière
res. L’issue malheureuse du duel avec le comte Macola a apprivoisé la
critique
, en laissant à l’histoire, quand elle s’en mêlera
nger refaisait son livre, s’égosillait devant « l’audace inouïe de la
critique
allemande ». On ne parle point ici de Renan, le d
notta de Catane prenait la peine de m’envoyer, il s’en trouvait un de
critique
littéraire signé Luigi Capuana4. Ce fut le premie
litesse qui sont des leçons de prince à l’adresse de plusieurs de nos
critiques
patentés. J’ai cru donc qu’il intéresserait les l
les lecteurs du Mercure de France de savoir ce que pense un des bons
critiques
d’Italie des tentatives de ceux que l’on pourrait
s de nouvelles parfois exquises, jamais banales, et quatre volumes de
critique
parmi lesquels celui que j’ai l’honneur de vous p
n’est-ce pas tout dire ?) et pourquoi aussi il ne se départ guère, en
critique
, de la plus aimable bienveillance. Il est des tra
lligemment artiste qui ait jamais été ?Écoutez plutôt M. Capuana : sa
critique
, genre Lemaître, n’a pas ombre d’érudition, et po
mortes. De son vivant, cette espèce de Marquis de la Seiglière de la
critique
littéraire faisait plaisir. Égaré dans la société
s mêmes — comme, par exemple, Loisy, — en soumettant les textes à une
critique
scientifique, sapent (sans le vouloir) les bases
cience et la religion, la philosophie et la théologie, le dogme et la
critique
, les cléricaux et les libéraux, l’Église et l’Éta
ue, dogmatique, liturgique, ecclésiastique ; parce que la science, la
critique
, la philosophie, la recherche historique et la po
eux, la mélancolie des choses simples, de la nature et des hommes. La
critique
italienne a salué avec des cris de joie ce jeune
a salué avec des cris de joie ce jeune poète des choses simples. Les
critiques
d’esprit médiocre ont retrouvé dans ces rythmes q
et des pentamètres bien tournés, il prend devant eux une attitude de
critique
impitoyable et d’épigrammiste farouche. Tandis qu
C. Romano d’Azzi, Un vasto inganno (la Résurrection des maris. Étude
critique
), E. Voghera. Rome — G. P. Lucini : Ai mani glori
otion du Beau parait presque absente des esprits, si bien que le sens
critique
en est même disparu. Personne ne songe, en parlan
uelques découpures de journaux qu’il n’était pas passe inaperçu de la
critique
. Tout cela n’est pas grand-chose encore mais c’es
sso qui décore le Campo Santo milanais. On y voit aussi le tombeau du
critique
wagnérien Filippo Filippi et celui du compagnon d
ston Deschamps, écrivain léger et dont les jugements font sourire. Ce
critique
n’a aucune autorité parmi nous, car nous jugeons
parasites, laissez-les rougir et laissez-les dire : entre vous et le
critique
il y a encore la différence qu’il y a entre le fo
ur doit bien cela, car, comme jadis pour le vin retour des Indes, les
critiques
académiques ont trouvé fort bonifié chez lui ce q
us vivante et la plus agréable des revues italiennes, une bonne étude
critique
sur Stéphane Mallarmé, la meilleure sans doute de
ambe, les arguments de sa dissertation littéraire, les éléments de sa
critique
et jusqu’aux passages qu’il cite sont les mêmes d
s bien intentionnés, sinon bien tournés, dont voici le dernier : Aux
critiques
, aux rivaux, La sature a dit sans feinte : « Tout
te des raretés exotiques, Voltaire fut pour Goldoni ce que tel de nos
critiques
autorisés fut pour G. d’Annunzio ou M. Serao. Il
, plus humain, du jeune et très noble poète, qui est en même temps un
critique
avisé et un romancier subtil et élégant. Quelques
ans une vision historique semblable à celle désormais scolastique des
critiques
italiens. Sibilla Aleramo : Una Donna. — Sfing
les actes gouvernementaux. Récemment il signalait les effets de cette
critique
intelligente exercée par des hommes compétents, à
ner que l’esprit pratique domine en Italie et qu’il est servi par une
critique
intelligente au regard clair pour laquelle les mo
oles en désaccord plus flagrant avec les faits. En revanche, l’esprit
critique
s’y manifeste en des articles témoignant d’une co
is il est bon de rappeler en ces temps-ci qu’un grand poète, un grand
critique
, un grand peintre ne sont pas moins grands ni moi
ables voudraient faire passer pour des défauts, j’entends l’esprit de
critique
et d’individualité… Sixième point : organiser une
occupé les cercles intellectuels en Italie. Comme philosophe et comme
critique
, Croce a eu une influence considérable sur les je
ots qui sonnent creux. Il a appliqué le mécanisme précis et fin de sa
critique
aux sujets philosophiques, historiques, sociologi
attitude de Benedetto Croce vis-à-vis de la guerre et les singulières
critiques
auxquelles elle avait donné lieu, notamment de la
amment de la part de M. Gargano, qui jugeait que le devoir du célèbre
critique
et philosophe italien eût été de corroborer de be
idus de ne pas abdiquer leurs convictions, leur idéal, leurs facultés
critiques
pour se confondre en une union amorphe assurée pa
Salvatore Minocchi, auteur de travaux importants sur la Bible, esprit
critique
et large, fondateur de la Rivista di Studi Religi
nthropos, pour les « sauvages ». À petits coups de patte, par petites
critiques
de détail, ils ont entrepris une démolition systé
contradiction, et d’ailleurs il est impossible de porter un jugement
critique
uniquement d’après les photographies publiées par
livres, il est dit, p. 656, que « Stendhal sollicitait de ses amis la
critique
de ses œuvres, qu’il recevait de très bonne grâce
gardées, le jugement qu’un tel procédé dictait naguère à l’excellent
critique
italien M. C. Segré « Pochi autori hanno “rubato”
la collaboration de G. Ludwig lui apportait, du côté archéologique et
critique
, un appui précieux. Je n’entreprendrai pas de rés
l’opinion courante, qui fait naître Carpaccio à Capodistria, les deux
critiques
le croient originaire de Venise. J’ajoute un déta
Dire que le livre est mis au courant de toutes les découvertes de la
critique
contemporaine, et que la documentation en est d’u
ragera ceux qui voudraient parler encore du grand maître vénitien. Le
critique
et l’historien sont chez M. Lafenestre, doublés d
ttolenghi. Un lontano precursore di Dante, « Cœnobium », Lugano La
critique
dantesque internationale ne sera point bouleversé
uvrage de M. Raffaele Ottolenghi, Un Précurseur lointain du Dante. La
critique
est trop attachée à ses formes acquises, données
om empêche aussi, ou tente d’empêcher, les coups d’ailes de la pensée
critique
libérée de toute contrainte. L’Église n’a pu trop
l’essence, sectaire et néocritique de la mentalité du Dante. Mais la
critique
protestante s’en est trop emparée. Au sujet de l’
de esprit. Si j’avais à lui faire un compliment au lieu de donner une
critique
de son livre, la Sicile, je dirais volontiers : c
. Il n’y a là, après tout, qu’une forme spéciale de l’esprit et de la
critique
, pensant surtout par abstractions et toujours prê
pages attachantes et probes, pleines d’aperçus ingénieux et de justes
critiques
. — C’est assez dire que son livre vaut d’être lu,
n s’appuyant sur les dires mêmes de l’auteur véritable du tableau, le
critique
moderne le rend à Alessandro Longhi. Celui-ci en
d’un humour désenchanté et d’une philosophie souriante et décevante.
Critique
dramatique sévère au genre dit « parisien », indu
ensive et attristée semble exprimer non un deuil, mais une conscience
critique
qui sait admirer ; la révélation est celle d’un d
i demeurent fidèles, les romantiques dans la personne de Gautier, les
critiques
d’art dans celle de Taine. Il faut arriver au flé
le morne défilé des épigrammes satiriques. Goethe suppose même qu’un
critique
bienveillant lui reproche de la faire reparaître
Maçonnerie qui a été la véritable cause de l’arrestation. Ce dernier
critique
a établi, par des pièces trouvées dans les Archiv
ces trouvées par lui établissent nettement qu’il a été en rapport, le
critique
en arrive, à la fin de son travail si intéressant
ent et avec habileté dans le récit, doivent être bien séparées par le
critique
: l’une, composée de faits, de réflexions philoso
mation que nous, Français, osons émettre sur le rôle de Bragadin, les
critiques
italiens ne pouvaient se la permettre, par respec
peu plus explicite, de l’abbé Fulin qui vise déjà les personnages. Le
critique
lisait son travail Jacques Casanova et les Inquis
son évasion ; et ces derniers, pleins de contradictions, forçant les
critiques
à chercher des explications et des suppositions,
1, 1er février 1912, p. 609-614 [611-614]. De cette série d’études de
critique
historique romaine, Hommes et choses de l’ancienn
M. Gaston Boissier. » J’arrive au morceau retenu pour une plus ample
critique
: « L’Histoire sociale d’une montagne romaine. »
e M. d’Annunzio ont touché plus le monde des hommes d’action que la «
critique
littéraire » italienne… M. d’Annunzio a écrit de
sur la terre de convoitises à travers la Mer Latine, Mare Nostrum. La
critique
littéraire n’a pas aperçu la signification du ges
er parmi les aînés que Stephanos Martzokis. Dans un remarquable essai
critique
et biographique intitulé Un poète italo-grec, l’é
e en force explosive il le perd en sérénité. Cette étude de l’éminent
critique
napolitain sera consultée avec fruit, d’autant qu
es, non affectées par la rouerie des politiciens ou par les habitudes
critiques
des intellectuels. Garibaldi est en effet le héro
and nombre d’hommes possible le désir de la connaissance, l’esprit de
critique
et d’investigation. Mais le sort du peuple dépend
u son Villani ; et cela me rappelle que j’aurais à parler du livre en
critique
d’histoire. Cela ne me changerait pas beaucoup, d
mplie de cahiers, il écrivait encore ses réflexions philosophiques et
critiques
, notant des indications étendues sur toutes les p
es derniers chapitres du livre de M. de Colleville, un exposé, — sans
critique
naturellement, mais clair, — des actes et de l’ad
tshefte (avril) […]. M. Arturo Farinelli, de Turin, soumet à une âpre
critique
l’histoire de la littérature italienne du père Jé
203-206. La psychologie de Giovanni Pascoli a tenté jusqu’ici peu de
critiques
. Le grand poète qui a eu l’heur extraordinaire de
st par cela d’une jeunesse admirable, frais et printanier. Les études
critiques
sur Dante, les grands poèmes latins de ce lauréat
fait depuis plusieurs mois, dans son journal hebdomadaire l’Unità, la
critique
de l’action nationaliste ; il révèle impitoyablem
a écrit de sa main, sur un papier qui accompagnait l’exemplaire, des
critiques
assez curieuses de quelques-unes de ces poésies e
perboles ; et à qui, par un singulier retour des choses d’ici-bas, la
critique
moderne refuse même d’avoir existé. Ce sont les P
st remarquablement qualifié pour nous donner des appréciations et des
critiques
du théâtre classique et des pièces en dialecte, p
ualité de cet acte, s’entend naturellement, pour des jeunes gens sans
critique
, dans le sens de la conformité aux usages du mili
inture et dans le public ? S’il est difficile de reconnaître, avec la
critique
biographique, dans la personne du plus grand pays
assez avancée pour que l’examen de l’évolution d’un genre permette au
critique
cantonné sur ce terrain de répondre à la question
XCVIII, numéro 362, 16 juillet 1912, p. 400-406 [405]. […] La Revue
critique
des Idées et des Livres (10 juin). — Fragments d’
ome XCVIII, numéro 364, 16 août 1912, p. 849-855 [855]. […] La Revue
critique
(10 juillet) : […] — « Souvenirs de Venise », par
juillet) : […] — M. Canudo souhaite la fondation d’« Une École de la
Critique
», comme si l’École Normale Supérieure ne suffisa
s rendre compte du plus ou moins de fondement que pouvaient avoir les
critiques
de M. Guède. Cette révision n’était point destiné
impression que lui ont donnée les œuvres et les couleurs pures que le
critique
se figure l’artiste ;on n’a d’ailleurs aucun dési
e qu’il a cru devoir envoyer au Mercure à la suite des quelques notes
critiques
que j’avais consacrées dans ma dernière chronique
a pas encore la volonté. Car la croyance religieuse, pour tout esprit
critique
, est, au fond, un acte de volonté. Et le passage
ubtile, affaiblit les arguments de sa raison en lui persuadant que sa
critique
même n’est qu’un effet de la volonté (p. 200 et s
r en scène. Littérature. Bibliographie Verlainienne. Contribution
critique
à l’étude des Littératures étrangères et comparée
octobre) : — […] M. Ch. Samaran : « Casanova fiancé. » […] La Revue
critique
des idées et des livres (10 octobre) : — « De que
on voit, je déraisonnais largement J’avais tout à fait perdu l’esprit
critique
qui m’animait, et dont j’étais fier, quand je tra
des haines, des parti pris, des rancunes individuelles, retiennent la
critique
italienne de se prononcer sur l’importance de ce
i, que Palazzeschi. Et je ne crois pas qu’il faille demander aux bons
critiques
qui exaltent les drames populaires de M. Sem Bene
e quantité de travaux : biographies, correspondances, essais, études,
critiques
, etc., et malgré cela, le récent volume Rossetti,
hroniques, il y a deux ou trois ans : Giulio Orsini. Depuis lors, les
critiques
italiens et les journaux les plus en vue ont déce
othèque Victor-Emmanuel de Rome : M. Gnoli, ayant à se plaindre de la
critique
, publiait depuis trois ans ses poésies sous le no
e temps qu’une habitude fâcheuse de mettre en fiches, sans précaution
critique
, des souvenirs de lecture. Mais a-t-on le droit d
de série des Œuvres galantes des Conteurs Italiens. Une bibliographie
critique
précède l’œuvre choisie de chacun de ces conteurs
giques, quelquefois comiques, toujours belles comme la vie. Ces notes
critiques
représentes cependant un travail important et com
es, plus une petite partie qui n’est, à vrai dire, qu’un appendice de
critique
littéraire. La première partie est un intense tab
la force royale, il y a, pour les grands vassaux, une heure trouble,
critique
, et qui sonne précisément pour le connétable de B
tifie en passant mainte assertion péjorative de Paulin Paris, dont la
critique
historique, ici, ne fut pas toujours irréprochabl
notre temps, on trouvera l’opinion d’un grand nombre d’artistes et de
critiques
qui pour la plupart tombent d’accord dans cette o
r si les sept années que les lecteurs du Mercure ont vu notées par la
critique
de M. Zuccoli ont abouti à quelque grande manifes
ers de philosophes, tels que MM. Giovanni Papini et G. Prezzolini, de
critiques
comme MM. G. A. Borgese et l’esthète musicien Gio
ne avec des polémiques nerveuses et cinglantes, où il répondait à ses
critiques
, se défendit du rapprochement, en affirmant que,
s de ce que sera l’Esthétique de demain. J’avoue que l’à priori de ma
critique
ne concerne jamais l’âge des auteurs dont les man
te spirituel et extrêmement intelligent. Malheureusement, ses visions
critiques
souvent ne vont pas au-delà des facultés compréhe
lisme, en oubliant toute la profondeur sentimentale de l’auteur de la
Critique
de la raison pratique, et la grandeur de son hypo
t précis. Son dernier livre : le Tailleur spirituel, révèle un esprit
critique
mûr, aigu en même temps que réfléchi. Le style de
» ; le chapitre dédié aux gens d’esprit, résumés en Gasparo Gozzi, le
critique
et gazetier ; le chapitre sur la musique, le chap
ême Palais des doges avant 1419. Ces peintures ont disparu ; quelques
critiques
pourtant ont voulu, mais sans preuves décisives,
t M. L. Venturi, l’Annonciation de Brescia ? Les raisons que donne le
critique
font en effet complètement écarter l’Angelico et
Il ne serait pas trop difficile d’écrire sur Francesca da Rimini une
critique
nourrie et savante, tout simplement avec le résum
dès la première représentation et augmenta les soirées suivantes. La
critique
musicale étant hors de mes attributions, je me bo
aboration à une tentative artistique ni difficile a été saluée par la
critique
la plus morose comme un gage de succès. En effet,
ène l’emporta ; ses pièces commencèrent à réveiller l’attention de la
critique
, qui devait reconnaître l’étonnant esprit d’obser
rs années de recherches diligentes et semble destiné à désespérer les
critiques
, qui pour en combattre l’exposé ou les conclusion
ur. Les personnages, parfaitement stylés, n’offrent probablement à la
critique
la plus rechignée aucun motif à la chicane, mais
inetti n’est pas exempte de nombreuses tares, elle mérite plus qu’une
critique
aisément plaisante de quelques détails. Et c’est,
nier mot, et cela dès la première heure6 ». Un Van Eyck inconnu de la
critique
et du public ! Voilà, certes, un événement artist
presque inconnu jusqu’à hier ; il écrivait çà et là quelques articles
critiques
, comme tout le monde, et des nouvelles honnêtemen
es anciens, Callot, Raffet. Les pages où il commente Redon sont d’une
critique
très aiguë : « Une des œuvres les plus étranges
si importante, l’évolution artistique, les opinions d’un maître de la
critique
d‘art. Tome XLVII, numéro 163, juillet 1903
re. La partie anecdotique sur le Dante est infernale et petite. » La
critique
qui passe par des phases aussi inexplicables que
lettres italiens bien connus ; trop connus, même, car le public et la
critique
ont immédiatement donné un nom à chacun, depuis G
dale : les choses les plus sottes ont été écrites à ce propos par les
critiques
les plus compétents, et on a conclu que si on peu
qu’il étoit grand-duc. — Dans ce cas, S. M. pourra voir mes remarques
critiques
sur les planches égyptiennes. « L’Empereur me dem
y a le Songe d’un Quart d’Heure divisé par minutes ; une très longue
critique
de Bernardin de Saint-Pierre ; la Confutation d’u
et au Public, et daté « Dux, ce 2e mars 1790 », se référant à la même
critique
de l’Icosameron et de la Fuite des Prisons. Ce de
voir jamais eu connaissance d’aucune œuvre de Millet et sans qu’aucun
critique
se fût avisé de prononcer à leur sujet le nom de
ome CI, numéro 373, 1er janvier 1913, p. 165-174 [174]. […] La Revue
critique
(25 novembre) : — « Les Leçons de Florence », par
.) Pour Goethe, c’est la fin du formalisme et le triomphe de l’esprit
critique
qui semble être la caractéristique mentale supéri
supérieure de son époque ; pour d’Annunzio, c’est la lassitude de la
critique
et un fétichisme néocatholique qui représente la
t, ni païen, ni chrétien, domine toutes les théocraties du haut de la
critique
, qui est la manifestation suprême de la liberté d
Belles Pages de l’Arétin, M. Guillaume Apollinaire a écrit une notice
critique
qui nous apporte quelques précisions sur la vie e
e du Corrège — sur lequel M. Gabriel Faure donne des pages d’agréable
critique
; c’est ensuite Modène, qui garde, outre le Dôme,
d’âme collectif qui n’est pas qu’italien. Après son premier volume de
critique
, Ni haines, ni amours, après l’expression passion
ldoni et tant d’autres. Ce livre de M. Giulio de Frenzi, romancier et
critique
de valeur et journaliste de particulière importan
s-d’œuvre, que plus de 200 gravures mettent sous nos yeux, le délicat
critique
qu’est M. Gustave Geffroy excelle à tirer la leço
e ne m’en vante pas ; je ne m’en désole pas non plus. Sous le rapport
critique
, je le regrette d’ailleurs : on ne sait jamais tr
, certes, je ne range point parmi les sincères convenances morales ou
critiques
à juger avec modération dans l’époque de 1830, un
autre occasion. Mais il en reste ceci que « la grande invention de la
critique
machiavéliste au xixe siècle » ne peut être, san
e à M. Jean Lucas-Dubreton l’importance attachée à son effort par une
critique
de bonne foi. Il y aurait encore maintes choses à
Tome CIII, numéro 383, 1er juin 1913, p. 610-618 [618]. […] La Revue
critique
des Idées et des Livres (25 avril) : — « Machiave
favorable le débarquement de l’armée italienne en Tripolitaine ; les
critiques
à la conduite des opérations furent dans les jour
ycée, un Italien, en veine d’écrire, compose plus volontiers un essai
critique
qu’un poème, et se montre plus soucieux de s’impo
e Florence en est le prototype), et renferment beaucoup plus d’études
critiques
, d’exposés théoriques, d’examens historiques que
ur, mais bien M. Benedetto Croce, historien, philosophe et avant tout
critique
. Il faudrait des pages pour expliquer le développ
ttrayante. M. Caro-Delvaille ne dédaigne pas ce système de l’ancienne
critique
à la Théophile Gautier qui est de décrire le tabl
. Et de plus, s’il était permis d’adresser une légère et respectueuse
critique
d’ensemble à l’œuvre de M. Bigot, ce jeune homme
raphiques, semblent un peu réduits. Au fait, cela ne saurait être une
critique
, car mon jeune homme ignorait peut-être que M. Bi
r ; mais à la réflexion, cela ne saurait, disons-nous, constituer une
critique
. Toutes les caractéristiques de la Rome impériale
dire ; c’est vraiment le point de départ de l’art moderne. La grande
critique
, la seule que l’on adresse aux maîtres de l’art b
n apparence, pour faire suspecter la véracité des Mémoires. Le labeur
critique
auquel s’est livré M. Gaston Capon, pour la parti
se connaissent même pas, mais qui se ressemblent beaucoup et que les
critiques
appellent, en bloc, les poètes crépusculaires. Gu
pour tout ce qui concerne la religion, un tel travail d’érudition, de
critique
et de propagande. C’est la publication, dans tous
’au début, qu’au moment de l’occupation d’Oudinot (et à un point plus
critique
encore, la fortune de Victor-Emmanuel ayant grand
sa dernière aventure. Il était curieux de rapprocher des articles de
critique
actuelle quelques pages des grands critiques d’un
approcher des articles de critique actuelle quelques pages des grands
critiques
d’un passé encore récent. Le Figaro nous donne qu
-être plus excessif encore dans le dithyrambe, et l’on trouve que ces
critiques
romantiques manquaient souvent de mesure dans leu
t moins de dire son émotion que d’en découvrir les raisons : c’est un
critique
. J’ai cherché à me rendre compte du procédé par
s nationaux, cependant alors en congé régulier, n’ont pas eu assez de
critiques
à l’égard des fonctionnaires du musée. Or, tout c
one. La France se meurt de trop d’avocats, l’Allemagne périra par les
critiques
. On en a mis partout. Le directeur de théâtre lui
…] Exposition Buyko (atelier de l’artiste) M. Buyko a convié la
critique
à venir voir dans son atelier une trentaine d’aqu
ection du mouvement futuriste à Milan. Malgré cela il y a beaucoup de
critiques
, chez nous, qui se refusent à croire à son futuri
est, sans contredit, futuriste. Il ne ressemble à personne. Les mêmes
critiques
dont j’ai parlé tout à l’heure ont voulu reconnaî
ourquoi en serait-il ainsi ? François Coppée n’eut certes pas le sens
critique
aiguisé d’un Huysmans ; pourtant aucun de ceux qu
xposés historiques, toutes les analyses musicales, tous les jugements
critiques
sur Haydn, presque toutes les anecdotes, même cel
ce qui appartient à Stendhal dans cette traduction : les « nuances de
critique
ou d’admiration personnelles » qui viennent corri
fait connaître à l’Europe entière, a attiré sur eux l’attention de la
critique
, a ménagé à Casanova son entrée — par effraction
ordonnée à l’effet scénique. Scheibe, déjà, avait écrit, entre autres
critiques
dirigées contre l’opéra italien : Un compositeur
oque gluckiste, paraîtront sur la scène de l’Opéra de Paris, Dans les
critiques
qu’il fait, en passant, à l’art de son temps, le
cet écrivain étonnant tient du sortilège. À preuve, ces lignes où le
critique
juge et se repent aussitôt : Comment ne pas pens
rs le Bouddhisme, et en a gardé quelques attitudes spirituelles. Sa «
critique
idéative » tend à déclarer qu’il existe une « équ
n esprit qui accomplit avec une calme confiance un intéressant effort
critique
vers l’unité des représentants de l’humanité, les
Casanova ont maintes fois été discutées et soumises à l’épreuve de la
critique
. Mais les travaux de d’Ancona, de Charles Henry e
es méchancetés de Casanova appellent quelques réflexions : toutes les
critiques
qu’il adresse à son compatriote, on pourrait les
étaient le produit le plus contestable, Casanova prend feu contre les
critiques
imprudents : il ne peut admettre qu’un Français e
trocento, de M. Pierre Fons, est une œuvre, et j’en loue l’auteur, de
critique
moins que de poète. Cela est écrit avec passion,
, de Pascoli, est remarquable cependant par la précision de la raison
critique
et par les qualités de son évocation d’un grand p
avec préface de Jolanda. A Solmi. Milan. — Lo Forte-Randi : Menzogne.
Critique
de Max Nordau. A. Geber. Palerme.
spiritualiste de Bologne et le disciple de saint Thomas. Si quelques
critiques
trop méticuleux ont fait des réserves sur la doct
aiment seuls des éléments vitaux. Toute analyse un peu poussée, toute
critique
un peu pénétrante font apparaître les choses sous
mmes heureux de nous trouver complètement d’accord à ce sujet avec un
critique
militaire anglais : « Pour le moment, écrit M. Lo
nt à un public instruit, sans qu’elles aient été soumises à un examen
critique
sévère. M’étant efforcé depuis vingt ans, ici et
e II et disparue depuis le sac de Prague par les Suédois en 16489. Le
critique
de la Strassburger Post 10 avoue qu’on ne saurait
sde et plusieurs en Italie. Mais, l’histoire valait d’être notée. Les
critiques
d’art colossalement érudits d’Allemagne n’ont pas
depuis l’époque du désastre de Caporetto. Les articles du mystérieux
critique
avaient une intonation ouvertement anti-italienne
ièvrerie pure et de décadence profonde. On n’a pas pris garde que les
critiques
qui avaient formulé cette condamnation étaient le
revendiqué pour le Vénitien la paternité de différents travaux que la
critique
et l’opinion publique mettaient au compte de Raph
on n’intéresse guère le lecteur français. Elle a mérité les éloges de
critiques
assez délicats. Si l’on joue bientôt chez nous Lo
rmis, enfin, d’annoncer un nouveau recueil de vingt-quatre essais non
critiques
de Giovanni Papini, Testimonianze (dont un consac
ucci, où il a tâché de faire revivre, en dehors des cadres usés de la
critique
et de la biographie, la vaillante figure du grand
s de l’antiquité, étudiés, non plus à la façon purement formelle et «
critique
de textes » des éditeurs de Teubner et de leurs é
s grand des successeurs de Véronèse, ni d’entrer dans le détail de la
critique
des œuvres. Pourtant, qu’il nous soit permis de r
ur toucher plus profondément les âmes inquiètes, rend le public et la
critique
méfiants devant la production périodique de certa
qui sont inimitables et qui le resteront ? » Elle souriait, ajoute le
critique
, de ces gens qui corrigent les Essais et qui blâm
e notre époque, goûte peu l’éloquence, à tel point que la plupart des
critiques
confondent d’ailleurs trop souvent, les englobant
s pages de leurs œuvres ! Nous serions trop heureux et la position du
critique
serait assez tenable. La Petite Papacoda, qui est
o : Le Socialisme, extrait de Scientia, rivista di scienza, Bologne ;
critique
de la conception fataliste du socialisme de Marx.
ciété, quelques-unes de ces informations vécues que l’érudition et la
critique
ne doivent pas négliger, il importe que nous poss
Sérao, Marcelle Tinayre, Zénaïde Fleuriot. M. Tissot perpétue dans la
critique
la méthode de Sainte-Beuve, mais : j’ai peut-être
les 50 volumes éperdument sentimentaux de Mme Sérao… Mais, ajoute le
critique
, ce qui plaît à la génération d’aujourd’hui « ne
i ne devinaient pas la signification de son œuvre. En réponse à leurs
critiques
, il peignit, sous cette allégorie immense, l’hist
sûre des qualités d’écrivain qu’on ne rencontre pas toujours chez les
critiques
d’art. Il sait dégager les caractères généraux d’
, etc. » Ces rapprochements font d’ailleurs honneur à l’érudition des
critiques
. Lettres allemandes. Paul Heyse : L’Amour en
Agresti, gendre de William Rossetti, le frère de Dante-Gabriel et le
critique
attitré du groupe préraphaélite anglais. Yolan
nouveau. Cette œuvre accrédite une fois de plus, son auteur comme un
critique
savant, d’intachable conscience artistique. T
uis, est beaucoup moins heureux et suscite à bon droit les plus vives
critiques
: désormais le Louvre ne sera ouvert que de 11 he
tes qui opèrent la recension des textes, ou qui publient des éditions
critiques
, non seulement de l’œuvre platonicienne, mais enc
ion, ni une première. Ce cher ami des artistes, un peu Mécène, un peu
critique
, très mondain et très disert, est le vieil enfant
rance comme en Italie, manquent presque totalement d’esthéticiens. La
critique
journaliste, plus facile, et plus rémunératrice à
émoignèrent de leur estime réciproque. M. Ardengo Soffici qui, par sa
critique
, avait excité la colère des futuristes, est un pe
sez vite sur l’Italie, car il ne saurait s’agir ici d’entrer dans une
critique
des récents travaux plus détaillés inspirés par t
e, s’est efforcé, de son côté, non point de faire uniquement œuvre de
critique
et d’historien, mais d’expliquer comment l’influe
illas, Madrid, 1896. 10. Mercure de France de juillet 1903. 11. La
critique
historique du rôle des d’Orléans, de celui des Bo
s’il n’apprend rien de bien nouveau, est tout à fait digne du célèbre
critique
, dont la curiosité d’esprit ne dédaigne rien d’im
lupté à la Mort. Dirai-je pour terminer que, contrairement à quelques
critiques
, l’absence de leitmotifs ne m’a point du tout cho
e dans un milieu d’artistes lyriques, de musiciens, d’imprésarios, de
critiques
, de journalistes, qu’il doit connaître à ravir ;
et en effet nous sommes redevables à cet auteur de plusieurs travaux
critiques
indéniablement remarquables. Revues Je dois
recouru à l’expertise de M. Gaucher, du professeur Wilhelm Bode et du
critique
Piancastelli. Et rien n’est plus amusant que le r
tique ni documentaire. Ce sont, liés bout à bout, des interviews, des
critiques
littéraires, des discussions politiques, des morc
e peut le faire sans une étude attentive des différents cas, sans une
critique
rigoureuse. Il n’est pas permis d’oublier qu’une
s procédés de Lombroso sont ceux des vulgarisateurs : même absence de
critique
, mêmes à peu près, mêmes falsifications des probl
on que j’avais eu tort. » Ainsi s’exprime loyalement le consciencieux
critique
. Sa conclusion présente est qu’une telle indulgen
ésormais, en France même, pour connaître à fond notre compatriote. Sa
critique
est complète, pleine, animée d’une large sympathi
’historien que l’on retrouve encore chez le critique d’art et chez le
critique
littéraire. C’est une vérité historique qui fait
à sa conception de l’histoire. L’idée qui domine la philosophie et la
critique
de Taine, conclut M. Barzellotti, consiste, comme
j’ai trouvée dans l’atelier de Rafaelli, a été pour moi une terrible
critique
du tableau de M. Bossi. La gravure de Morghen me
da, dei due Walls, 150 pages de Lanzi qui, au milieu de son bavardage
critique
, historique et timide, sent bien les arts en sa q
part, une vague couleur scientificarde, qui inquiète, et, dans cette
critique
, je sous-entends plus ou pis qu’une pure querelle
accueillie par la presse, cette autobiographie a permis à de nombreux
critiques
de renouveler l’exégèse stendhalienne. M. Stryien
oignez-y la théorie du bovarysme de M. de Gaultier, qui est un exposé
critique
et qui a été reçu comme un conseil, et vous avez
À propos d’un appel lancé au public par M. Domenico Oliva, l’illustre
critique
italien, pour venir en aide à « un poète qui souf
s de Casanova. Cette édition littérale sera en même temps une édition
critique
comportant des notes et des éclaircissements. On
t le meilleur accueil à l’œuvre posthume de Lorenzo Stecchetti et les
critiques
déplorèrent abondamment sa fin prématurée. Guerri
II, numéro 460, 16 août 1917, p. 702-706 [705]. M. Vittorio Pica, le
critique
italien bien connu, un des plus subtils des écriv
nis en un seul essai par leurs affinités intellectuelles. C’est de la
critique
large et judicieuse. Échos. Le Latin, l’Italie
oldats de l’Entente. Il a abandonné depuis quelque temps ce métier de
critique
militaire, et il se consacre aux « éditoriaux » q
de la vanité de pareilles dissertations. Elle s’intéresse plutôt aux
critiques
serrées qui ont été faites, en Italie, des méthod
t perché. L’événement a révélé la fragilité de tout cet appareil. Les
critiques
militaires n’ont pu que constater que l’adversair
n rapport avec leur vive imagination et leur extrême sensibilité. Les
critiques
militaires, qui écrivaient au lendemain même de l
hors. Mais on peut dire que l’auteur a entrepris surtout de faire une
critique
générale de l’adversaire, de ses prétentions et d
ce et la distribution. » 45. Dans cette lettre Michel-Ange fait une
critique
peu bienveillante du projet de San Gallo. 46. Vi
à un procédé spécial, qu’il suffit d’indiquer sans autre intention de
critique
. La pensée ne se dégage pas d’elle-même, après un
à ce qu’il me semble, il y a deux grandes preuves. En philosophie, la
critique
des sciences, de leurs méthodes et de leurs limit
ncontre inattendue et qui reste neuve, même après les savantes études
critiques
auxquelles ont déjà donné lieu les œuvres de Casa
frontières de son pays natal, en provoquantes louanges autant que les
critiques
, en conviant des talents d’élite à une tâche de t
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