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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
cle, à l’issue des accroissements de l’érudition et des apports de la couleur , le thème fécond, varié, inépuisable du charmant
a largeur de son amour de la mélodie et de l’éclat de son amour de la couleur . C’est ceci qu’expriment au xviiie  siècle ses po
ineuses, délicieusement singulières, d’une civilisation de joie et de couleur enfermée dans une île, — avec une érudition minut
se détache bien du fond, le moindre détail est infiniment soigné, les couleurs , tout en restant les anciennes, sont accordées da
Venise ; la largeur du dessin de la Madone centrale, la vivacité des couleurs en font une peinture de premier ordre. Un Quirizi
2 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
hension m’épouvanta. L’Artiste étant androgyne, les perceptions de la couleur , toutes féminines, sont les premières à nous révé
se, l’autre à l’extrémité gauche sur l’Adolescent ; le reste avait la couleur des roses blanches fanées ou des marbres anciens
, comme de beaux fruits. Les arbres et la prairie se baignaient de la couleur silencieuse de la nuit, tandis que, sous une lumi
sible, puis il s’élève à l’expression du sentiment par le choix de la couleur et du clair obscur, analysés et compris dans leur
ucun budget ; pour faire quelque argent et entretenir sa provision de couleurs , il se proposa comme ordonnance à un officier, le
pourrai en outre d’une figure mouler l’atmosphère où elle baigne, la couleur qui l’anime, la perspective qui la soutient, le s
qui respire. Il faut au sculpteur le sens de la perspective et de la couleur . De la perspective ? Il y en a en tout : en une t
n une tête comme en un corps ; en un corps comme en un paysage. De la couleur  ? S’agit-il donc de polychromie ou de patine ? La
Romolo Quaglino : I Modi, Anime e Simboli, orné de lithographies en couleurs de Lodovico Cavaleri, in-4, Milan, C. Chiesa, 5 f
3 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
ion durable, « de toutes ses moindres manifestations, des odeurs, des couleurs , des fleurs, de tous les aspects, de toutes les c
, habillées d’un vêtement d’un vert très particulier. Ce vert est une couleur votive. La madone les a sauvés autrefois d’un dan
métier. — Je suis né pour peindre avec des pinceaux, en me servant de couleurs que je ferai moi-même et non pour enfoncer des pi
on Giorgione peignit, pendant toute sa vie, avec du soleil mêlé à ses couleurs . Il a su trouver, dans des cavernes dont les géni
t un étranger. — Mais cette Barbara est belle et, quand je pense à la couleur de son corps dans la nuit, à sa tête petite, à se
e le désir de satisfaire ses yeux avec de nobles lignes et de chaudes couleurs l’inspirerait mieux que la science. — Lorsque tu
pe, une ligne parfaite et comment un éclairage favorable rehausse les couleurs . Je peux reconnaître si une œuvre est habilement
n’avait jamais étudié de marbres antiques et que, dans la nature, les couleurs le frappaient, et non les lignes. — Mais quel fut
ues venaient d’apporter avec des boissons fraîches. — Existe-t-il des couleurs plus chaudes ? Ne voyez-vous pas, dans cet amonce
s du bronze, et j’avais le sentiment que, de ce mélange, naissait une couleur … ou plutôt non, ce qui donnait la vie à la couleu
ange, naissait une couleur… ou plutôt non, ce qui donnait la vie à la couleur . La grande Galère pourpre, les gondoles, les barq
ils marchaient en rangs serrés. Leurs justaucorps, leurs chausses aux couleurs brillantes, leurs armes, mousquets, épées à deux
s. J’ai déploré l’absence de Giorgione. Il eût aimé ce déploiement de couleurs et d’acier et le heurt des forces. Rien n’est plu
des plis et des mouvements aux étoffes ; je suis las d’appliquer des couleurs , d’obéir ; d’employer du rouge là où du vert conv
s-tu ? — Avec mes pinceaux… et avec mes doigts*… — Qui te fournit tes couleurs  ? — Mario Darcoli. C’est chez lui que mes camarad
en souriant, d’être un magicien et d’avoir échangé son âme contre des couleurs miraculeuses. Bellini demeura rêveur, auprès de c
héros. Les deux mains se crispaient sur la tête du géant Goliath. La couleur etle modelé des chairs prouvaient bien que les qu
s les huiles et les vernis. — Il les achète bien chez Mario. — Et les couleurs  ? — Les couleurs aussi !.. Diable d’homme. — As-t
es vernis. — Il les achète bien chez Mario. — Et les couleurs ? — Les couleurs aussi !.. Diable d’homme. — As-tu remarqué une ch
geâtre illuminait l’atelier : Giorgio Barbarelli ravissait au feu ses couleurs  !   — Il aurait pris des couleurs à la lune et à
gio Barbarelli ravissait au feu ses couleurs !   — Il aurait pris des couleurs à la lune et à la nuit, dis-je à Palma, qui me ra
là tout son secret : n’employer ni blanc, ni noir… et utiliser, comme couleurs , les flammes des charbons et celles du soleil. — 
iteront-ils, jamais, la chair vivante, comme nous le faisons avec les couleurs  ? Les peintres applaudirent. Leopardi s’écria : —
composé mon œuvre selon la manière de Bellini… mais j’y ai ajouté les couleurs , les mouvements d’étoffes et les visages que j’ai
gio ! Tu n’as pas employé, cependant, dans cette œuvre, les opulentes couleurs qui te sont habituelles. Le fond est noir, les vê
ons. L’illustre Zuan lui-même assouplit les attitudes et enrichit les couleurs de ses madones et de ses anges. Sans songer à for
e les Olympiens drapés de velours et de brocarts dont les somptueuses couleurs pourpres, vertes ou bleues font ressortir les cha
je le fais, les yeux de l’esprit vers le souvenir… et tu verrais les couleurs et les lignes… — Seigneur, cela ne me suffirait p
es jambes. L’ordonnance de cette œuvre, le type des femmes, l’ardente couleur de leur chair sont inspirés par les fresques impr
n rêve plastique, je me dirai : « Il ne faut pas le raconter avec des couleurs et des personnages, car il ne signifie rien ! » —
t discute ne crée pas… S’il essaye, il dessinera des cadavres… et ses couleurs auront le factice éclat des fards… Il s’empara d’
iais, au fond de moi-même, ceux qui les émettaient. En appliquant mes couleurs , je songeais à la Maurina. Quand la nuit tombait,
r revêtir la cuirasse ou manier la lance et le glaive, il broyait des couleurs et portait des messages. Sa place véritable n’éta
faut modérer les chairs, choisir les paysages ; faire du soleil, une couleur  ! Il leur a tout appris t il est mort !   Quand u
 Bakst a fait beaucoup pour la beauté des décors et des ensembles des couleurs et des costumes40, si Ida Rubinstein fait des pro
illet 1911, p. 131-135 [132]. […] C’est dans Moreri qu’il trouvera la couleur de son moyen-âge italien : « L’Italie de la Légen
je quitte ces climats ; Je vois, dans une apothéose,    Des drapeaux couleur de rose Flotter à la cime des mâts ; Tandis qu’
lo : Le monde où Donatello a vécu est un monde de formes, qu’il a vu couleur de marbre, de bronze ou d’or, et parfois étoilé d
’art, mais encore les jeunes peintres aimant après le rayonnement des couleurs la grande lumière de l’Histoire. Archéologie,
toscan, est chaussé de souliers découverts et ses chaussettes sont de couleurs différentes. Le jour où je le vis, il portait au
rentes. Le jour où je le vis, il portait au pied droit une chaussette couleur framboise et au pied gauche, une chaussette vert
la vie d’un peintre par l’étude de ses œuvres où domine l’amour de la couleur , fille du soleil. Le Barbarelli, enfant et favori
4 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
t le mouvement dans le tableau, le rapport entre des « quantités » de couleurs et les directions des lignes, moyens exclusivemen
e est plus près de la modiste que du peintre. Lorsqu’une forme ou une couleur n’ont comme raison d’être que la forme et la coul
une forme ou une couleur n’ont comme raison d’être que la forme et la couleur qui leur est voisine, cette forme et cette couleu
que la forme et la couleur qui leur est voisine, cette forme et cette couleur ne sont ni vraies, ni essentielles, ni plastiques
e sens de l’espace. Il l’exprime en créant des formes, en mettant des couleurs , qui le définissent, le matérialisent, d’une faço
her à considérer un objet soit exclusivement par son poids, ou par sa couleur , ou par sa forme, etc. 7… Mais cette abstraction
urs l’intuition d’une 4e dimension indéterminée, exprimée soit par la couleur , soit par des déformations, et qui fasse passer d
e plus possible de pureté qualitative ; et si nous plaçons parfois la couleur , p. ex., en dehors de sa « forme locale », c’est
garder la sensation dans toute sa force. Si nous placions cette même couleur dans sa forme locale, qui peut, comme dans l’exem
e les différentes perspectives qui constituent sa forme totale, ou sa couleur . Au sujet de celle-ci, le fait de la voir à part,
des recherches personnelles de Zarraga, dont la construction va de la couleur à la forme, et non de la forme à la couleur. Ce q
la construction va de la couleur à la forme, et non de la forme à la couleur . Ce qui concorde avec ce que disait Cézanne : « I
e se décompose en trois fonctions : sensation lumineuse, sensation de couleur , sensation de forme. » Ces trois fonctions const
mière « sur le 1er tiers du cycle, à gauche en haut ; la sensation de Couleur , à gauche et à droite en bas (lumineuse à gauche,
xercice ou le repos de l’appareil visuel, tandis que la perception de couleur en est indépendante ». Ce qui donnerait raison à
est indépendante ». Ce qui donnerait raison à la construction par la couleur , élément fixe. Je crois qu’il est dans la traditi
uteur des Rifugi, quoi qu’en dise son préfacier Borgese. Il y a de la couleur — la manière de l’esquiver dans ces pays-là ! — e
t il découvre, au jour le jour, les beautés secrètes, la saveur et la couleur . Linati, dont j’ai parlé autrefois ici même avec
e mais non indépendante de la forme locale, la sensation totale de la couleur . 10. Les recherches de Hayden ont ce même point
eur. 10. Les recherches de Hayden ont ce même point de départ de la couleur . 11. V. surtout les interviews de M. Pachitch, T
5 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
t sans originalité propre pour discerner les formes extérieures et la couleur des choses, était avide d’éther, de ciel et de lu
fenestres des yeux étonnés » ; il se liera avec Poussin, l’homme à la couleur fausse et au dramatique conventionnel ; il sera l
eu de la craie noire ou du crayon) de peindre d’après nature avec des couleurs , — aux champs ensoleillés de Tivoli et dans les e
e. Il faut bien distinguer en lui l’homme des lignes et l’homme de la couleur . Il y a, à la National Gallery, je crois, une étu
’abord azuré, ensuite disparaissant pour reparaître, puis, revêtu des couleurs des plus séduisantes, embellissant la forêt et fé
erge de Fra Bartolommeo, un Pinturicchio archaïque et mouvementé, aux couleurs tranchées et aux silhouettes dures, à l’arrangeme
et joyeux. La Revue donne des illustrations charmantes en noir et en couleur  ; le texte, plus qu’humouristique, est gai et déb
ur l’autre, réciproquement, en une confusion magnifique de cheveux de couleurs différentes. — Monte donc, divin Orphée, — cria H
était enveloppée, depuis la taille jusqu’aux pieds, d’un léger tissu couleur safran, et portait sur la tête des cornes d’or re
aient du fond, se réunissaient, se dispersaient à la surface limpide, couleur de topaze. Encore indécises à l’égard d’Orphée, l
ête à s’élancer sur l’autre. Bicornide s’avança. Sous son léger tissu couleur safran elle apparaissait comme toute nue, les fla
s à la porte des maisons de pardon (XIII et XIV). Leurs manteaux sont couleur livide comme le rocher le long duquel elles demeu
in qu’ils ont encore des leçons et des exemples de M. Vanloo, pour la couleur et pour la composition qu’ils vous supplient très
qu’il ne faut cependant pas perdre entièrement en les rectifiant. Sa couleur ne présente point de ces tons frais, hasardés par
n qui se destinoit à la sculpture, mais un peintre doit-il oublier la couleur et l’effet même quand il dessine ? » Comme ces l
isan domine trop l’artiste réduit à la seule et prenante magie de ses couleurs , notions absentes, hélas ! des leçons de ce brave
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
Florentin avait combattu, mais leurs bannières ne portaient ni mêmes couleurs ni semblables emblèmes. Boccace, qu’on ne lit qu’
is cette exposition renferme la lumière qui fera ressortir toutes les couleurs de leur sens. Dans le Convito, la matière est plu
ni le plus habile des maîtres siennois. Il dessine pauvrement, et sa couleur , souvent charmante, est parfois monotone. Mais de
té Balthazar Castiglione, si mou de dessin et de modelé, si pauvre de couleur , mais la grande Sainte Famille, avec son saint Jo
7 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
re traverse un vase d’eau en l’irisant, sans changer son volume ni sa couleur . Cette pénétration s’opéra seulement chez des êtr
entiment de sauvages devant tout imprévu. « Que les figures, que les couleurs , que toutes les espèces des parties de l’univers
ur de ses jambes ! Dans quel ravissement l’ont plongé cette beauté de couleur et de forme, ce sens instinctif de l’attitude art
mmunicabilité et il démontre aisément que la langue des formes et des couleurs entendue de tous les hommes, quels que soient leu
ère assise de la méthode moderne. Il réalisa le mystère expressif des couleurs et des formes et instaura la recherche qui abouti
cts, un idéal de cérébralité se forme, qui emprunte à chaque série sa couleur essentielle pour former un étendard synthétique.
t son intérêt que de la peinture de mœurs qu’il nous offre, la grande couleur locale qu’on y trouve. On voit sur la scène un pe
ciel favorable où la nue est dorée, Du Ciel et de l’écume a formé sa couleur . Le tendre Bellini sait le chemin du cœur ;
bie accompagne les pas ! XI Admirez ce que peut la gamme des couleurs  : Dévoré d’un feu sombre et vêtu d’un poil rude,
rspective, la manière de traiter les métaux, les terres cuites et les couleurs . À l’atelier s’ajoutait un laboratoire. Lorsque V
ombres exactement, on remarque ses maladresses : il ternit les belles couleurs de l’école de l’Angelico sans parvenir à marquer
on n’employait jusqu’à lui que pour les ébauches. Cette uniformité de couleur exigeait des subtilités nouvelles dans la valeur
n’était point sauvage. La vie lui plaisait par ses formes et par ses couleurs . Il dut aimer son époque si active, si amoureuse
à l’envers dans le canal comme du point à la rose ? Valeurs opposées, couleurs brillantes, riches dessins, jeu de clartés, c’est
mission idéaliste et au respect de la vérité dans la ligne et dans la couleur  ». Il créait, en même temps, un journal, the Germ
style italien. La fresque rend un certain idéalisme obligatoire, ses couleurs peuvent être pures, gaies, elles ne sauraient avo
montagnes derrière les curieuses anatomies d’un Baptême du Christ, sa couleur jaunâtre et ses lignes sèches rendent aussi mal q
s à Castiglione d’Olona. D’autres estompent le paysage en un effet de couleurs neutres et de contours vagues, à moins qu’ils ne
reste méconnaissable : il faut sans cesse renouveler ses modes et ses couleurs , suivant la sensibilité des lieux et des races. Q
ales : il serait encore plus doux si Adam n’eût pas péché ! Rose, tes couleurs brilleraient d’un plus vif éclat sans la faute du
n pourra trouver qu’il manque à ses tableaux d’épouvante un peu de la couleur et de l’éclat que le soleil de la Riviera devait
00. Au moins l’auteur ne pourra-t-il être soupçonné d’avoir donné des couleurs trop violentes à sa relation. Pour retracer de te
se, de très grande souplesse dans le jeu de toutes les nuances, de sa couleur comme de son mouvement, de continuité dans l’illu
8 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
ne toile à peindre à l’état de neuf. En ma présence, des peintures de couleur bleue, verte, jaune et rouge ont été délayées et
uiller la toile en tous sens, prenant seulement le soin de changer la couleur du pinceau… J’ai constaté que cette toile présent
d’or. Un homme portant sur son épaule une petite botte vernissée, de couleur verte et d’une forme moins étouffante que celle a
San Ambrosio, orné de sujets saints, dont la beauté, le dessin et les couleurs sont au-dessus de tout ce que l’on peut se figure
ombrables et de hauts bâtiments pavoisés, visibles par les ballons de couleurs éclatantes, pleins de lumières, les montagnes jus
f de synthèse, de cristallisation lyrique, de même que la forme et la couleur des choses cherchent à travers la main enfiévrée
Quelques images mêmes sont franchement musicales. Il peut préciser la couleur d’un jardin avec une netteté d’expression pictura
: peut-être que oui, peut-être que non. Elle donne à tout le roman la couleur étrange et invraisemblable de son âme, ondoyant c
aise dans le désordre. S’il constate que la voix d’un muezzin est de couleur violette, ça ne me choque pas ; j’en prends mon p
e. Je connais en France certains naturistes qui furent aussi hauts en couleur , sinon en talent, et toqués pour toqués, je préfè
t que sur un plan très superficiel de l’âme d’un peuple. Il y a de la couleur locale, mais à la manière d’un musicien qui confi
ment et de la variété en leur précision, quelques-unes des véritables couleurs de cette période de notre histoire. Archéologi
nt qu’un artiste soit porté à l’arrêter en une vision de forme, ou de couleur , ou à l’évoquer par des signes qui expriment des
peintres, nous sommes des gens de lettres. S’ils étaient pris par la couleur , nous le sommes par la littérature. S’ils étaient
’il ne faut point oublier. Le magnifique décor romantique rehaussé de couleurs éclatantes s’est effondré à jamais, et nous n’avo
303, une étude détaillée de M. Bode accompagnée d’une photographie en couleurs du buste. 5. Rapport de M. Posse dans le Bulleti
9 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
t d’un unique pinceau trempé successivement dans des godets pleins de couleurs délayées à l’eau ; ces couleurs étaient le jaune,
cessivement dans des godets pleins de couleurs délayées à l’eau ; ces couleurs étaient le jaune, le rouge, le bleu, le vert, le
permette de développer ce tableau des religions aux prises, sous les couleurs de deux autres époques analogues, et non moins ca
a Croix sera un arbre équarri, ou seulement ébranché, ayant encore la couleur verdâtre de l’écorce, avec des rinceaux rappelant
10 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
l fallait donc qu’ils fussent assurés d’une recette. § À propos de la couleur du pays, il m’est venu plusieurs réflexions : J’a
e certaines de leurs parties prises séparément, et spécialement de la couleur . Les grands coloristes ont fermé la grande ère d
ression à des œuvres de réflexion. Facilement, devant ce charme de la couleur , on se trouverait entraîné à copier sans idée, sa
ire, on courrait le danger de s’inférioriser jusqu’à la passivité. La couleur de l’Égypte était plus étrange et plus intime que
de plus. L’observation que je viens de faire quant au caractère de la couleur , du pays et des hommes, m’est encore confirmée pa
eur, soit dans la perspective linéaire, soit dans l’application de la couleur . § Cinq heures du soir. — Nous quittons Messine.
coiffure à la grecque, jupe longue, tablier blanc à ruchés, châle de couleur vive ; elle tient à la main un petit éventail, ce
t dans les formes plus qu’humaines modelées dans la pierre ou dans la couleur , mais il semble presque dépasser leur réalisation
s arbres et de ses fleurs, où la minutieuse analyse des formes et des couleurs de chaque chose alterne continuellement avec les
t les jambes, laissa voir une chair aussi blanche que la neige et des couleurs plus vermeilles que des roses. De la troisième, l
ur rejette l’amant hors de son être propre, et il lui fait changer de couleur . Il convertit son rire en larmes et en soupirs. L
avait son arc, ses flèches sûres et ses deux grandes ailes aux mille couleurs . Une foule innombrable suivait le char ; et dans
r sa Conquête des Étoiles, scintillante méditerranée de rythmes et de couleurs . Les membres parisiens de la société Dante Alighi
rmi les rochers, la Fleur d’iris lavée à l’aquarelle et reproduite en couleurs dans cet album). Rien n’est plus attachant que de
emann ; in-folio, xlix-142 p., av. 58 fig. et 50 planches, dont 10 en couleurs  ; 100 marks). […] Il faut tirer hors de pair, dan
e Mouton, une pièce effrayante de réalisme, de vérité, de force et de couleur qu’il faut espérer voir reprendre. Elle est lyriq
le goût ambigu du fromage de chèvre se mua en une saveur franche — «  couleur locale », osa-t-il penser — ainsi que celui des p
faunes antiques, pensif, le père dirige le chariot peint de diverses couleurs et la vigueur des beaux taureaux… des beaux taure
ant et populaire de Mathilde Sérao, ni l’interminable monotonie de la couleur locale sarde, grisâtre et rougeâtre, de Mme Deled
e glycine en fleur Et l’eau qui passe et repasse En montre au ciel la couleur . — Ce matin l’ardent soleil Forçait à cligner l
ayon doré. Et maintenant l’eau s’argente Et luit uniformément Et sa couleur vous enchante Et je suis troublé, vraiment. … C
ux. J’aspire l’odeur divine des poudres pyriques, à travers les buées couleur de nitrate et de carbone. Tout éclair est une épé
11 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
ts par le gouvernement anglais pour créer une industrie nationale des couleurs artificielles. Pour assurer la vie de la société
is même dix millions de livres sterling pour établir des fabriques de couleur , et cela sans prêt gouvernemental et sans garanti
y a un livre diplomatique de plus : le Livre vert italien. Toutes les couleurs de l’arc-en-ciel seront bientôt représentées. Je
me nous le vîmes faire aussitôt par un très grand nombre de gens sous couleur d’anxiété généreuse pour les destins de l’humanit
iste n’essaie pas, comme ses confrères, de montrer la guerre sous des couleurs romantiques, et il fait des observations intéress
e son imagination exaltée, qui lui fait apparaître la Patrie sous des couleurs nouvelles, insoupçonnées, en une sorte de gloire
n’ont vu les maux de l’occupation que de loin — c’est-à-dire sous des couleurs romanesques et exagérées — prend un caractère si
12 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
ez les peintres impressionnistes, que le divisionnisme instinctif des couleurs . En effet, Claude Monet et les impressionnistes n
à réaliser dans la forme l’évolution qu’ils avaient réalisée dans la couleur . Ils restent cependant les premiers peintres ayan
nisme vivant, dans lequel une concurrence continuelle de formes et de couleurs établit un mouvement ou vie subjective. Évidemmen
anseuse. Je m’explique par un exemple. Les contrastes de formes et de couleurs appartenant à la perception de la réalité danseus
nte dans les arts plastiques, et exprimer par une forme carrée et une couleur bleue une idée-sensation produite en nous par une
en nous par une réalité qui nous apparaît par une forme ronde et une couleur jaune. Mais les possibilités de notre réalisation
diteur italien (ou allemand italianisé). N’oublions pas les livres en couleurs pour enfants, d’un mauvais goût repoussant. Les g
appelant « dilecta » la nation martyre et en bénissant un drapeau aux couleurs belges rendu moins dangereux par l’image du Sacré
il avait ignoré ou refoulé jusqu’ici. Il y a même du lyrisme et de la couleur  : les pages qui racontent le voyage angoissant de
riques et antipathiquement immobiles. Jamais un frisson dans ces murs couleurs de lave. Jamais un jeu d’étages apparaissant et d
ressent de profond ou de subtil au contact de la vie. Il y a trop de couleur dans le langage de d’Annunzio. Et puis tant de fi
13 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
un départ pour je ne sais quel monde de poésie. Un mot, un geste, une couleur , un son, et je m’élevais loin de la terre. Je me
les yeux du marquis. Et tout me redevint tellement présent, avec des couleurs si vives, que je ne doutai plus. Je n’avais point
on de soleil qui glissait dans ma chambre, teignant toutes les choses couleur de bonheur. Mais, malgré que la conjoncture parût
veloppait l’escalier, une immense volière peuplée d’oiseaux aux mille couleurs . Au premier étage, le portier me confia à un vale
une date si récente ? Pourquoi M. d’Annunzio n’a-t-il pas poussé la «  couleur locale », si l’on peut dire, jusqu’à le faire imp
n, il ne se sert volontairement que de quelques lignes et de quelques couleurs d’une surprenante sobriété, pour que le Gibelin s
tes, des smaltes d’or, rattraper, pendant la nuit qui, confondant les couleurs , rend la besogne impossible, le temps perdu en fe
urnir, dans ses manifestations ou dans ses résultats, de poésie et de couleur . Le Mouvement scientifique. G. Sarton : Isis,
uelques bateaux de guerre attristant les flots de l’obscurité de leur couleur grise, rien ne semble changé. « Voyez comme la vi
de la rade. D’un côté, le château, l’ancien Palais du Gouverneur, de couleur rouge ; de l’autre le fort Hamidieh, à moitié rui
ements les plus différents forment un heureux contraste de tons et de couleurs  : des Arabes, des Juifs, des Nègres du Fezzan aux
des rues et, dans toute sa fraîcheur et sa simplicité de lignes et de couleurs , l’oasis apparaît. Plus loin de la mer, après les
tc… C’est une belle oasis dont les tons nuancés reposent les yeux des couleurs trop crues du sol et du ciel. Le corps des Zaptié
ssé le chaos vert de l’oasis peuplée de tentes, le désert apparaît de couleur jaune avec parfois une maigre végétation. Les rai
ptions, indique non seulement la figure des édifices, mais jusqu’à la couleur et la patine du temps. Ses meilleures pages ainsi
s d’hiver, lesquels, là-bas, sont souvent pluvieux, venteux, gris. La couleur , la radieuse couleur méridionale, ne revenait tou
là-bas, sont souvent pluvieux, venteux, gris. La couleur, la radieuse couleur méridionale, ne revenait tout à fait qu’avec la c
auprès de la Victoire de Samothrace, deux fresques de Botticelli aux couleurs un peu effacées. Mais on n’oublie jamais l’expres
toujours jeune ; c’est pourquoi nous reconnaissons sur son œuvre les couleurs de la vie. Il est sans doute inutile de rendre u
[369]. Cela ressemble à ces colliers de perles du même pays, de mille couleurs , de mille facettes et tout criblé de ces petits p
14 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
même d’une assez pauvre invention. Lucio a beau parer des plus rares couleurs son infidélité, il agit comme tous les infidèles.
it des amandes, en les écrasant une à une avec une pierre. Les coques couleur de cendre s’ouvraient, et les amandes brunes, un
s. Antine plongeait son regard dans l’horizon incertain ; sur l’ombre couleur de cendre les étoiles brillaient d’un éclat aigu,
ble s’étendit sur la tanca. Le ciel se montra très haut, bleu tendre, couleur de perle ; le fleuve prit une transparence glauqu
que d’appétit, peut-être. Il dit qu’il se fera soldat. Il a perdu ses couleurs , vous savez, Zio Félix ; et pourtant Cagliari est
nde… Ah, si vous voyiez ! — Qu’est-ce que la ville a à faire avec les couleurs  ? — dit son compagnon. — Quand on a faim, il ne s
nts illustrations d’après des photographies, des cartes en noir et en couleur et des plans de villes. De vieux clichés, qu’on a
e de Constantin, la Via Nova, le Clivus Sacer. De grandes planches en couleur figurent enfin l’aspect général du Forum au ive  
aniste sans le savoir et dont le latinisme conserve je ne sais quelle couleur d’italianisme francisé par la Renaissance, proven
élancolie, une poésie où se rencontrent des qualités d’harmonie et de couleur vraiment originales, — témoin ces trois strophes 
lois éternelles de l’accord, entre la plastique et l’image, entre la couleur et le son, et ne peut que suivre son élan, en se
t certainement une des palettes où mon imagination a broyé le plus de couleurs et qui a laissé le plus de ses teintes sur les fa
onnaissance. C’est une édition en 2 volumes in-32, reliés en maroquin couleur feuille morte, qui fut publiée en 1809-10 à Londr
15 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
e ; rien n’est laissé à la vie intellectuelle. Par la même raison, la couleur est peu éclatante ; le rouge et le rose, indices
cheveux crêpelés, d’une profusion incroyable de torsades, de tresses couleur d’hyacinthe, entremêlées et superposées, végétati
avait des sourcils. Mais — sourcils, cils, tout le travail final des couleurs liquides, des glacis, tout cela lui a été ravi, c
emettre son collier, et donna aux draperies de la robe leur éclatante couleur rouge. Au crépuscule, comme la lumière se dorait,
ley était chez moi. Nous ouvrîmes le ballot. Il contenait la boîte de couleurs de Wellseley, son chevalet, et le portrait d’Auro
aconiques et si personnelles que lui seul pouvait y retrouver quelque couleur et quelque parfum. On ne songe pas sans frémir au
le Piémont ne le cède en rien au précédent. Les cinquante planches en couleurs d’après les aquarelles de l’auteur sont des docum
. Vaugeois ; […]. Parmi les dessins, eaux-fortes, gravures en noir et couleurs qui sont exposés aux étages, beaucoup méritent d’
Nativité, du Borgognone, pleine de recueillement et si harmonieuse de couleurs . J’ai moins goûté le Triptyque, de Marco d’Oggion
ème) ce que sont à un dessin correct, et bien agencé, la vivacité des couleurs , et le contraste bien assorti des lumières et des
yant à colorer ce que l’autre a dessiné, elle emploie à la vérité des couleurs brillantes, mais aux dépens de la régularité des
nts de son cœur, et si son style n’est pas en conséquence de diverses couleurs , comme celui de Virgile quand il décrit les trans
16 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
a ville, il en traduit avec une ferveur et une sensibilité tendres la couleur foncière, fondamentale, et certes par lui on se f
stitue encore la vie véritable, le frémissement, la palpitation de la couleur sous les lumières reflétées. Cela, aux temps anci
rien, j’en ai vu des touristes surpris, de bariolé ni d’éclatant. Les couleurs s’unissent et se fondent, une harmonisation délic
pourquoi, en d’expressives tonalités, en des accords de lumière et de couleurs , M. Morrice nous montre des toiles aussi largemen
s, font symétriquement à gauche, à droite, chacune un angle léger. La couleur est ici pour autant que le dessin, et il serait d
17 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
tels que nous les avons ne sont qu’une sorte de pâle calque des vives couleurs de l’original. Quand les Mémoires de Casanova par
les expositions, partout. Il y a dans ce mufle rose, non seulement la couleur et le grain de la carnation, mais comme la chaleu
, épuisé par le triple effort de sa fraîcheur, de sa lumière et de sa couleur . Ici tout cela se trouve aussi, mais est-ce que c
ernière période, le continuel poudroiement d’or entre chaque grain de couleur sèche et poncée, il y a aussi, entre les jeunes t
ype, ni les ailes, ni le mouvement, ni les proportions, ni surtout la couleur , alors quoi ? L’amour ! L’amour et le printemps !
oblème de faire sentir sans aucun ciel, sans aucune atténuation de la couleur , presque en l’absence de toute perspective aérien
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 250, 15 novembre 1907 »
précieux dans l’impressionnisme. Ce titre a, d’autre part, une vague couleur scientificarde, qui inquiète, et, dans cette crit
19 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
sin, comme s’oubliant à tisser des études compliquées de lignes et de couleurs . Il était possédé par l’amour de l’impossible, il
l’entouraient. Penché sur des creusets, où il expérimentait avec des couleurs , essayant, par une étrange variation du rêve de l
e et grave, pleine de la pureté de la mort, en des vêtements tristes, couleur de terre, enchâssés de pierres pâles. Parfois cet
oment de bien-être, c’est l’alchimie complète : l’idée est frappée en couleur et en image : un mysticisme ténébreux se mêle à u
encore sa prison, aux murs couverts d’étranges arabesques peintes en couleurs , attribuées par la tradition à sa main, qui se se
20 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
ent tourné avec le temps, le poncis du dessin qui transparaît sous la couleur froide, le blafard des clairs, le grain très gris
nt tout à coup. Comme en pleine idylle, M. Corradini a su choisir des couleurs riantes, pleines de lumières, pour la scène entre
vent laissé aller à cette exubérance quelconque, à ces oppositions de couleurs criardes, à cet impressionnisme parfois grossier
i qui fait la vie facile et tout en dehors, qui excuse la crudité des couleurs et entraîne aux gestes excessifs, apporte lui aus
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
norme secret de la vie qui en elle transforme la sève en étincelantes couleurs de pétales, en profondes odeurs de calices. Les v
si leur impuissance esthétique. La langue italienne resplendissait de couleurs nouvelles, mouvait en des larges rythmes poétique
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
près de la racine des cheveux. Je n’ai jamais bien compris de quelle couleur sont ses yeux, parce que je n’ai jamais pu les re
les regarder plus d’un instant, et je ne sais pas non plus de quelle couleur sont ses cheveux, parce qu’un grand bonnet de soi
23 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
que les illustrations rendent très mal un art qui ne vécut que par la couleur et que la plupart des monuments de Toscane dont p
ractères de ces jeunes gens qu’ils restent dans ma mémoire avec leurs couleurs  : lui tout noir et sombre ; elle toute riante et
lait avoir emprunté aux tourbillons dantesques ses intonations et ses couleurs , s’élève vers les cieux limpides de la spirituali
24 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
succède aux terres grasses, Puis, sur la mer en fête où flambent les couleurs , Gênes voluptueuse étage ses terrasses. II
eté du dessin, et de l’exécution même, est faux sous le rapport de la couleur et manque par conséquent de poésie. La couleur de
sous le rapport de la couleur et manque par conséquent de poésie. La couleur des Stanze est beaucoup plus vraie ; elle égale m
treize jours de travail et lui fut payé 1200 francs, plus « un habit couleur noisette et à boutons d’or » qui pouvait valoir 1
ant les pinceaux à Bernardino Luini, et Luini jugé digne de mettre la couleur où Léonard mit le dessin, est-il plus magnifique
llemment que l’architecture vénitienne est dominée par les lois de la couleur beaucoup plus que par celles de la pesanteur, ce
ine arrivé il a acheté toute une collection de magnifiques registres, couleur vert pomme, qu’il destine à son Histoire de la Pe
25 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
ou de bandes d’un métal précieux, la plupart un gréement de laine aux couleurs variées, et presque toutes des voiles de pourpre
t de contact avec eux, pour le dessin ; ils s’en sépareraient pour la couleur que les cubistes veulent sobre et les futuristes
dénouement sur un petit drame vrai, avait tenu à se montrer sous les couleurs brillantes de l’abnégation et du dévouement le pl
a à côté de la page où Mme de Sévigné donnait en mille à découvrir la couleur des feuilles de ses bois, qui, l’automne venu, ét
dans les déplacements d’air traduits auditivement, la distinction des couleurs s’abolisse au profit d’une sensation de monochrom
rtir l’éclair. Il a gardé les métaphores du poète, les cadences et la couleur du tribun éloquent. Il demeure encore loin de son
’est uniquement par l’impression que lui ont donnée les œuvres et les couleurs pures que le critique se figure l’artiste ;on n’a
dessine. Il n’y a pas de raison pour ne point l’admettre. Laissons-le couleur de son rêve. D’ailleurs cette ignorance où l’on s
rire et une chaise. Mais le dallage de la chambre, des jolis carreaux couleur lie-de-vin, m’était agréable… Et puis, cette atmo
quet de roses fraîches et un livre ; mais aucune tenture, qui, par la couleur , pût me fournir une indication sur l’âge ou le se
, les maisons sont recouvertes d’une couche de plâtre, badigeonnée de couleur . À la suite des grosses pluies d’automne, il arri
intéressantes reproductions et de seize excellentes illustrations en couleurs par Mr H. Morley. L’avantage de ce genre d’ouvrag
nant, il jette sur notre table de travail un gros volume à couverture couleur de feu. C’est l’Anthologie des poètes futuristes.
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
erser un nombre considérable de livres aux mille formats et aux mille couleurs , se dégage quelque vérité, temporaire, fugitive,
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
oique dans son unité la noblesse angélique soit plus divine. Comme la couleur pers vient de la noire, la vertu descend de la no
28 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
ants ; ses yeux bleus avaient à la fois la langueur naturelle à cette couleur et tout le brillant des yeux d’une Andalouse ; sa
29 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
de fatigants Zandomeneghi, et les derniers paysages de Renoir, d’une couleur épanouie et chantante. […] Tome XI, numéro 56
30 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
boutique de Ghirlandajo, où il était presque valet. Il y broyait les couleurs , dessinait les cartons, touchait à tout ce qui co
31 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
oup de talent et plus que du talent. Ces tableaux de mœurs sont d’une couleur vive et passionnée qui rend vivante la moindre ac
le canevas de son œuvre d’une main sûre, sauf à y mettre ensuite des couleurs originales ou banales ; mais quant au canevas, il
peu trop intermittents dans la littérature d’érudition : le style, la couleur , le don de vie, et, pour tout dire, la manifestat
32 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
mble calculé pour dégoûter, à la fois de l’art, de la religion, de la couleur , des visages et des gestes humains. Et la Vierge
33 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
ns ses différentes tenues militaires. Les lithographies en noir et en couleur sont très nombreuses ; on y voit notamment celle
’épaule droite ; les mains ont les stigmates ; une tunique simple, de couleur jaunâtre, lui ceint les flancs et descend jusqu’a
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