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1 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
ue certains Liseux sont aujourd’hui devenus rares, celui-ci est assez commun , et ces dernières années se trouvait d’une façon
ndre tout et jouir de tout, la nature offre les mêmes banalités qu’au commun des humains. Ce caractère est peut-être un peu tr
bon sens, c’est vraiment se fermer la voie à exprimer des idées moins communes . Son livre fait soupçonner que l’auteur est resté
les deux se recommandent par des mérites spéciaux, et par des mérites communs  : par exemple l’indépendance du jugement. M. Pica
ulu ce rapprochement entre une tragédie et un drame, qui n’ont pas de communes intentions, ni politiques, ni artistiques. M. Oli
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
re, cette inaltérable conformité de manière de parler, est réglé d’un commun accord et n’est soumis à l’arbitraire de personne
lgaire éloquent ; la langue de si s’appuye davantage sur la grammaire commune . Le gibelin compte quatorze dialectes italiens !
Ronde, ceux, si divers, du Saint-Graal. En effet, cette grammaire est commune à la France et à l’Italie. Ce que dit le gibelin
te : les sujets au nombre de trois ne correspondent guère à la notion commune de la poésie « fiction de rhétorique mise en musi
mal, celle qu’il appelait le laid pouvoir, qui, caché, règne pour le commun malheur, la considérant comme la synthèse du mouv
3 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
lent que le mot arrestation a pour eux un tout autre sens que pour le commun des mortels. Rappelez-vous le cas du cardinal Mer
i c’est un événement terrible qui la détermine. Une idée pourtant est commune à tous, une idée nationale : tous veulent le bien
une alliance durable entre l’Italie et la Grande-Bretagne : l’intérêt commun de ces deux nations est de s’opposer à ce qu’un É
argent pour des placements plus avantageux, escomptant ainsi la ruine commune pour accroître leurs richesses. Le capital n’est
vraiment compétents s’efforcent de porter leur contribution à l’œuvre commune . On sent ici que les auteurs de la protestation
dirigeants font trop aisément fi en se couvrant du prétexte du salut commun . Il faut louer notamment à cet égard l’attitude t
sant que l’état d’âme qui s’y révèle ne lui est pas spécial, mais est commun à beaucoup de Belges exilés de leur patrie par la
ues pour se confondre en une union amorphe assurée par l’inconscience commune . On ne peut concevoir en Italie qu’un homme soit
4 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
thétique appliquée à la vie. M. Zoppis a des qualités littéraires non communes , mais je le prie de ne pas en abuser ; l’épouvant
nce et des tas de procédés souterrains qui n’ont généralement rien de commun avec la véritable gloire. Celui qui n’est pas du
ent d’une époque et la couronne d’un temps, mais participent à la vie commune d’un État. Ce que j’aime dans le livre de M. Andr
e dans les types des uns que dans celui de l’autre, et il y a cela de commun aux premiers et au second que, évidemment, le fan
i de la race, de l’élégance, tandis que la nature du roi Victor était commune . » Et le comte de Reiset connaissait Victor-Emma
01, p. 839-843. Il y a en Italie un drame d’un intérêt artistique peu commun qu’on ne peut pas jouer, faute de la permission d
5 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
vre d’art est un miracle. Le contraire d’exceptionnel est : vulgaire, commun , coutumier, ordinaire, normal. Normal, est-ce nor
curieuse du temps, et rejetant son idéal, son rêve, bien au-delà des communes barrières. Quand on considère l’énergique profil
Il s’est souvent trompé, mais là où il voulut bien user de la syntaxe commune , abandonner son système d’allusions et d’abréviat
à lui seul, une indifférence hautaine, un mépris souverain des formes communes . Ce portrait, dans la seconde édition, est devenu
voir, remplissant du reflet de quelque splendeur lointaine les voies communes de la vie ; des années de patience avaient tellem
iné sur eux que ces types raffinent eux-mêmes sur le monde des formes communes . Mais étroitement mêlé à cette beauté on trouve a
figure humaine, de distinguer des caractères occultes dans les choses communes ou extraordinaires, dans le roseau sur le bord de
sujettes aux états exceptionnels, sentir travailler dans l’atmosphère commune des puissances ignorées des autres, en devenir, p
voir plusieurs de ses portraits, nous affirme qu’elle n’avait rien de commun avec les inquiétantes héroïnes des vieux peintres
6 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
rtout l’organisation du consentement ou du demi-consentement dans les communes italiennes, organisation qui n’a pas été poussée
re faite d’intérêts, de gloires, de douleurs, de joies et de malheurs communs  — se superpose aux caractères anthropologiques. L
sons en principe que l’Italie et la France défendant une civilisation commune qui est la base de leur existence nationale, leur
te après le traité de paix, elle s’étendra naturellement aux intérêts communs d’Orient. Et là, elle ne s’exercera pas seulement
e concert d’élever des populations diverses jusqu’à leur civilisation commune et par des procédés analogues de tact et d’humani
c qu’elle formera avec eux et avec nous, l’Italie écartera tout péril commun , nous le disions plus haut, quand après la guerre
 ? C’est en l’appliquant et en la propageant jusque parmi nos ennemis communs , que notre victoire sur eux sera complète et que
sation ; cela, et non le bonheur tant promis, ni même la plus modeste commune mesure de bonté et de bon sens. Oui, mon cher M. 
n cher M. Pierre-Gauthiez, ramenez-moi vers des temps ou cette pauvre commune mesure était encore perceptible, fût-ce sous un a
vraiment y est allé voir, et pourtant, il y eut toujours une certaine commune mesure de douceur, de bonne volonté, par où ces t
nels. Mais s’ils s’en différencient, s’ils s’arrachent à la condition commune , c’est, pourquoi est-ce ? c’est pour mieux lui po
a vie, pour mieux les sauver, ces êtres et ces choses de la condition commune . La rare grâce que de tels êtres finissent par co
tin, un Latin avec un Latin qu’avec un Germain. Les langues de racine commune entraînent des modes de voir et de juger communs.
es langues de racine commune entraînent des modes de voir et de juger communs . Dans une Europe remaniée pour obéir aux affinité
vulgarisation. Italiens, Espagnols, Français, tiendraient des assises communes dans lesquelles, à propos de chacune des question
mpromettre, par un particularisme maladroit, les résultats de l’œuvre commune . Un livre qui a fait beaucoup de bruit en Italie,
rtunée s’enfuit et retourne à ses marécages solitaires. Histoire très commune , au fond, et sans complications de nobles aventur
7 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
vers de quatorze syllabes, sans rimes alternées, et qui n’ont rien de commun avec les alexandrins. Un nouvel orage éclate à pr
’Iliade et l’Énéide. On peut même dire que ce genre, plus agréable au commun des lecteurs, est cependant très inférieur au vér
de ce nom ; elle est en dehors de toutes les contingences de l’action commune , de toute grossièreté inutile et point esthétique
8 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
est-à-dire de l’unanimité d’un groupe humain dans un but d’exaltation commune . Les spectateurs doivent être le chœur. Cependant
de la vie, les harmonies et les désharmonies particulières à l’heure commune qu’il vit, exprimera en visions toutes les vérité
rieusement le cours des événements et la métamorphose des aspirations communes . Mais quel auteur dramatique fait aujourd’hui ses
Puis, soudain, je revois, où la pente décline, Jusqu’au Palais de la Commune emplir le val La place courbe au pied de la tripl
a métrique de la langue, et en chantant l’antique gloire de la Patrie commune , parut unifier selon une formule simplement itali
té la Femme florentine du bon temps antique, des premiers temps de la Commune jusqu’à Dante et à Boccace, c’est-à-dire jusqu’à
lection des évêques, que l’empereur et le pape se disputent, c’est la commune en fin de compte qui l’obtient. — L’évêque nommé
se répandent dans les autres pays, affluent vers le cœur de la patrie commune , vers Rome. Elles deviennent des éléments dramati
tion de beauté que les mœurs rapaces et toutes les vilenies de la vie commune abîment toujours. En vérité, au fond de tout iron
Ghita a tant aimé, et qu’elle aime -et qu’elle aime encore, est fort commun . et qu’elle aime peut-être encore (Page 187). E
aine et le pousser jusqu’à cet état de rupture avec tous les rapports communs des hommes, qu’on appelle : folie. Pourtant cette
ntièrement belle. Ils font des séries de pièces, liées par une pensée commune où ils s’efforcent par l’ensemble de donner l’imp
ge définitif qu’il en devait faire. Il fallut, pour le sauver du sort commun à tant d’œuvres de Stendhal, ébauchées et oubliée
ommode mal de son sort de vaincu. Par un défaut d’origine, qu’il a en commun avec d’autres créatures de M. d’Annunzio, il est
9 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
cheresse prolongée, alors qu’on les contenait sur le plateau des Sept Communes , dans les montagnes entre Brenta et Piave et le l
soldats italiens se battaient comme des lions sur le plateau des Sept Communes ou au col de la Beretta, m’avouait : « Que voulez
lus difficile d’établir l’union entre des pays qui ont des caractères communs , soit naturels soit acquis, qu’entre ceux qui ont
t de collaborateur de Demain. Personne ne comprendra ce que cela a de commun avec la déroute de Caporetto, ni en quoi cela pre
e à Vienne, c’est possible, mais cette confédération n’aurait rien de commun avec la vieille Autriche, avec la monarchie des H
hotographe. Le 4 septembre, il vient se mettre à la disposition de la Commune qui le nomme colonel. Il se bat à Créteil, à Cham
t généralement la louve du Capitole. Mais celle-ci a été offerte à la commune de Rome par la ville de Tarente. Ainsi à Tarente,
es ?… L’Italie et la France ne peuvent pas s’allier pour exploiter en commun la Méditerranée. Cette mer n’est pas un héritage
enue, mais pour économiser le terrain ou par la loi d’une orientation commune . Le sens de l’équilibre est l’âme secrète de l’hi
ie, suivent leurs intérêts particuliers, disposés, à l’heure du péril commun , à se retrouver unis et à mourir sur un même cham
iscuter et à préciser sans hésitation, dans des conférences tenues en commun , les points principaux de la solution de la quest
10 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
vres épaisses d’un maure, les yeux caves et les extrémités grosses et communes , — mais le peintre, en dépit de ces réalités qui
marcher libre et tout seul. Il voulut conduire un parti et il eut en commun avec celui-ci les faiblesses, les erreurs, les ex
e, celle-ci est attrayante et mystérieuse, mais elle est désormais si commune , j’entends dans le roman, qu’il faut vraiment pas
êmement intéressante, étudiée avec une patience infinie et un art peu commun . Je pense aussi que la langue dont l’auteur se se
el, imaginé par Lombroso ; cependant il y a certainement un caractère commun à tous les criminels, la stupidité. La psychologi
11 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
mesurent du regard, et multiplient leurs préparatifs à leur frontière commune  : la première d’entre elles, — en date et en impo
r. Il y avait alors aristocratie et liberté, il y avait alors entente commune et indépendance individuelle, avec cette différen
té de tendance entre les citoyens donne de l’unité à l’histoire de la Commune durant une longue période. Toutes les mesures ima
if à l’image du pouvoir ; ils ne se laissèrent pas fasciner, comme le commun des mortels, par un titre, par un mot. Ils laissè
aires villas entourées de jardins et de cultures. Ils avaient un fond commun de caractère : actifs, d’un esprit net et vif, ai
occuper autrement. Il existait bien une dette publique, dite il monte commune , qui rapportait de fort gros intérêts : nominalem
tif, double et triple du capital versé. La valeur des titres du monte commune variait avec les fluctuations politiques et l’on
séparés et si éloignés l’un de l’autre qu’une entente pour un travail commun serait impossible. L’un exerce son art d’une mani
is elle est comme ces larves d’abeilles ouvrières qui sont des larves communes et qui pourtant, si la reine vient à manquer, — e
t avec un dédain antique : « Toi aussi, tu tomberas dans la tromperie commune , ô mon ami, mon frère, car tu estimeras davantage
teté magistrale. Il faudrait citer aussi le livre de Luchaire sur les Communes françaises à l’époque des Capétiens directs et so
, date où commence une nouvelle période. C’est alors la période de la Commune romaine, dont la création fut une suite de la rév
ublique jusqu’alors relevant uniquement du pape. L’organisation de la Commune émane désormais du Sénat. M. Halphen ne l’aurait-
que les publics milanais et romains n’ont pas su apprécier, a ceci de commun avec les autres œuvres du poète que son rayonneme
s philosophes, il est indéniable que les Italiens apportent au labeur commun de la pensée des œuvres où l’assimilation est éto
12 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
nographiquement, les habitants des deux régions n’ont presque rien de commun . Ou bien, ce qui serait, dans cet ordre d’idées,
esque rien de commun. Ou bien, ce qui serait, dans cet ordre d’idées, commun à certaines régions françaises et au nord de l’It
n à certaines régions françaises et au nord de l’Italie, serait aussi commun à ces mêmes régions et à telles provinces alleman
ime indistinctement l’essence élémentaire, intrinsèque, de sentiments communs à tout être animé, et estompe les caractères. C’e
oir et sentir qu’en soi, le silence des grands espaces vides, sont un commun remède que tous les deux ont voulu chercher contr
la physionomie de ces deux couples sympathiques offre bien des traits communs  : G. DE MAUPASSANT (p. 209). La peau de sa têt
13 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
e que j’entends par ce mot) de vous pousser de l’épaule dans la fosse commune . J’ai voulu jeter quelques fleurs sur votre tombe
pensée, et devant l’inévitable attaque ne peut échapper à la géhenne commune qu’à la seule condition de trouver dans son orgue
ur en soi, non sexué. C’est que, en réalité, les auteurs ont un point commun que nous allons trouver dans cette caractéristiqu
, rue Richepanse) est une réunion de jeunes artistes sans grand point commun d’esthétique, unis simplement par une réciproque
es qui rentrent et des brebis qui sortent : vaches et brebis ont leur commune étable dans la grotte de la pointe Cunchedda. En
odeste pour être une dérivation du Styx souterrain. Mais il a cela de commun avec le Simoïs et le Scamandre ; ces grands noms
que certaines légendes, en particulier des légendes infernales, sont communes aux alentours du détroit de Gibraltar et au nord-
Machiavel, que cet ouvrage donne l’impression d’une chose forte, pas commune du tout, — l’effort le plus soutenu sans doute po
tent les groupements où l’on peut remarquer les rythmes des tendances communes . Le milieu littéraire des débuts de Gabriel d’
iance. M. René Bazin écrivait en 1894 : « L’État, les, provinces, les communes n’imposent pas la terre, ils la dépouillent. » Ce
tre un artiste extrêmement doué et d’une puissance de réalisation peu commune . Il n’était pas douteux qu’on voyait à cette expo
thume de notre Arlequin n’ait amené, pour des raisons n’ayant rien de commun avec la religion, les prélats de la Sacrée Congré
dée à la terre ferme. Mais la géologie et l’archéologie prouvent d’un commun accord que, pendant cette période, la côte occide
(Pianosa) et celle de l’Aigle sa voisine (Portoferraio) doivent leur commune existence et leur commune prospérité aux minerais
igle sa voisine (Portoferraio) doivent leur commune existence et leur commune prospérité aux minerais embarqués dans le sud en
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
appant dans les A. ? Cesarotti continue, mais son style tombe dans le commun … « L’Ardenza all’oposta chi é, che parlando irrat
15 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
es dans le Béarn, si solennelles en Allemagne, sont ici presque aussi communes et aussi criardes qu’à Lyon ; le pays des voix fa
’élève aussi sur la foule avec cette formidable volonté de domination commune à tous les tribuns, mais il s’élance surtout vers
ouciant de sincérité par lequel les deux sœurs retrouvent leur vérité commune , et qui est comme une révélation immuable, mais n
lques attitudes essentielles, de quelques « réactions » sentimentales communes à tous les peuples de la péninsule, d’une orienta
es de la péninsule, d’une orientation, d’un modus vivendi passionnel, commun à tous au même titre que le « si » affirmatif du
e contempteur de toutes les orientations du sentiment et de la pensée communs et surannés, y compris la morale, a toujours ému
vraiment le privilège de constituer un domaine à part dans le domaine commun de la vieille civilisation européenne. Elles s’év
ode, si l’on entend par ce mot une disposition de penser et de sentir commune à toute une époque, mais ils y sacrifient à leur
éro 321, 1er novembre 1910, p. 187-192 [191-192]. L’Italie reste le «  commun réservoir » de beauté. L’orner, c’est embellir le
16 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
ure avec un très large chapeau de paille. Mais les religieux les plus communs sont les frères de Saint-François, généralement d
un jeune Anglais de trente-huit ans qui, dit-on, n’est point un homme commun . Il l’a aimée par galanterie, il y a deux ans, et
Détroit merveilleux, et mena vers nous l’âme lumineuse de notre mère commune  : la Grèce ! » Tome LXXXIX, numéro 328, 16
moureux de sa dentellière, c’est dans l’ordre, et il fait des bêtises communes à tous les amoureux. Seulement, une philosophie t
a-t-il pas fixé dans la plus belle matière humaine les dons les moins communs  ? Son caprice n’est-il pas semblable à celui qui
rayonnement d’intelligence et de beauté paraît une insolence aux gens communs et d’un savoir médiocre qui ont besoin de la vani
M. Guido Gozzano. Son sentiment est si ému, son évocation des âmes «  communes  » est si sereine et si tendrement souriante que s
France, et l’autre por ce que la parleure est plus delitable et plus commune à toutes gens51. » D’ailleurs, est-ce qu’un Ital
Parlez donc français, qué diable ! » L’idée d’associer pour une œuvre commune le plus illustre poète d’Italie et le plus grand
ute la place. C’est à elle qu’il appartient de fabriquer les produits communs ou de luxe, à elle aussi que revient le devoir d’
bres, et de leur préparer des funérailles convenables ; on priait, en commun , les dieux protecteurs dans des cérémonies qui se
u bien encore l’on ensevelissait le défunt dans un champ de sépulture commun . D’autres collèges se proposaient un but d’amusem
vaient pleine licence de recruter des membres, d’alimenter une caisse commune , et de convoquer des assemblées. En somme, pendan
été dépourvu de quelque génialité native. Il fut d’une fécondité peu commune . Sa verve mélodique est souvent d’une indéniable
ques siècles de puissance littéraire, depuis que la langue maternelle commune , le latin, « eut définitivement effacé les idiome
fessés et purifiés en les forçant à rougir de leurs fautes vulgaires, communes , canailles. …………………………………………………………………………. Le sour
ée, toi aussi, eau : et toi aussi tu sentiras l’immonde, qui nous est commun à nous tous. Que de fièvre de pollens, sur la grè
17 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
, se produit irrémédiablement : celui qui est devant elle n’a rien de commun avec son rêve ; elle a aimé un homme qui n’exista
ablement moderne, d’un caractère bien distinct et ayant un substratum commun dans les diverses productions et les divers pays 
i les Cosmopolites et les Nationalistes, les uns rêvant un patrimoine commun d’art, une fusion de tous les styles et de toutes
re ennemis, subissent, à leur insu, l’influence des mauvais souvenirs communs . Ainsi, les vieilles querelles laissent malheureu
ue MM. Hans Sandreuter à Bâle et Veith à Vienne reprenaient la donnée commune . Il ne s’agit, chez le maître alpestre, aucunemen
18 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
nd, et l’amour toujours s’extasie à mille points indifférents pour le commun . Ce travail est né d’une passion spirituelle ; il
essins sans exception ; ce héros, suivant une expression ironiquement commune à cette heure, se dresse en incomparable professe
chaleur. Une pareille énonciation semble pure, et cependant elle sera commune à Torquemada et à Marat ; elle présidera au massa
c’est le non nobis, Domine ; car les choses certaines sont à la fois communes et connues, de telle sorte qu’on ne trouve aucune
et de croyances, du Nil au Gange et de l’Eurotas à l’Arno. Ce qui est commun à des civilisations si différentes sort des entra
leur expression permettent de les réunir à d’autres, par un caractère commun , ainsi qu’il m’est possible de le faire aujourd’h
t que le geste orgueilleux D’un peuple osant planter, d’une âme peu commune , Dans la mer, ses espoirs, sa patrie et ses dieu
ans, sachant fondre et ciseler. Quelques-uns s’élevaient au-dessus du commun par la perfection de leurs travaux et par l’étend
À Henry-D. Davray. S’il n’est point malaisé de définir les caractères communs qui impriment à chaque période littéraire d’un mê
ant lui, son frère et ses deux sœurs. Dès lors il subit l’inspiration commune  : la plupart de ses tableaux sont des évocations
Luther ne figure nulle part ou dans des ouvrages spéciaux hors de la commune portée. On citera : « Pauvre violette, quel parfu
 Morasso — c’est un monde à soi, avec un style propre à côté du monde commun … Venise, c’est le véritable domaine de l’homme, c
19 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
sont celles qui restent les plus étroitement attachées à leur origine commune . Je dis : sans une idée centrale qui soit nouvell
ne analogie immédiate de la pensée, et par les tendances et le labeur communs . Dans une revue qui leur est spéciale, et dans le
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
humaine, en voulant se conserver comme théocratie en dehors des lois communes , et qui, comme un polype monstrueux, envahit la v
21 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
mais il est trop délié, trop compliqué, trop en dehors et au-delà du commun , insondable et inexplicable ; il est double et tr
Wellseley me raconta ses amours avec la Ceschini. C’est une histoire commune qui ne vaut que par la qualité de l’héroïne, sur
d ! répliqua le Polonais. Effectivement, ces événements étaient assez communs . Cependant, Morga décrivait comme des drames des
oir l’immense émotion qui l’exaltait se traduire par une phrase aussi commune . — Mon heure préférée, répondit Aurora, en se pen
es Alpes. Le drame lui-même, pas plus que la musique, n’offre rien de commun avec la grossièreté niaise ou inepte « du vérisme
randes nations latines, qui sont attachées à leurs glorieux souvenirs communs , et surtout à tous les Français qui savent la glo
ance : il fallait qu’il existât une grande Revue, organe des intérêts communs de deux grands peuples, de leur désir de s’entend
ngage pompeux des hiérophantes. Regardons le nouveau d’Annunzio, plus commun , plus pratique, je dirais presque : commercial, q
22 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
d’un ministère dit « national » qui, en réalité, n’aurait rien eu de commun avec le ministère « national » de France ou d’Ang
ates hors des cadres des partis et des écoles, unis seulement dans un commun désir de liberté et de sincérité. Eugenio Vaina,
s idées et les nouvelles directions des factions et des organisations communes aux nations latines. Intéressantes, dans le premi
et unique de pacificateur désintéressé à une situation secondaire et commune de défenseur d’intérêts personnels ». La chose es
e pas grand chose si on lui prête un sens trop général, une acception commune  : mais, pour M. Corradini, le culte de l’énergie,
t c’est à les réaliser promptement, ces destinées, que travaillent en commun soldats et politiques. Doctrines et actions, l’œu
23 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
les plus universellement connus qui soient aujourd’hui : aux yeux du commun des lecteurs, il passe pour un grand savant. Son
esures de police que tous les États pourraient, selon lui, prendre de commun accord contre les anarchistes : « La photographie
us les plus dangereux, à peine ont-ils commis un grave délit de droit commun , autant que possible dans les îles lointaines de
de Paris, 1er août) pousse un cri d’alarme qui devra réunir dans une commune indignation et, surtout, dans une efficace protes
e paraissent une même nation, tant leurs intérêts sont nécessairement communs . Cette sympathie des deux gouvernements qui pèsen
semble au contraire que l’Italie a été pour lui d’une indulgence peu commune  ; qu’on se rappelle, par exemple, la campagne de
24 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
, prouvent en tout cas que M. Raoul Brunel est doué d’une manière peu commune . On n’oserait affirmer que son début est un coup
d’une façon tangible qu’une nation, c’est le résultat d’une éducation commune . Avec une chaire d’enseignement et un cimetière,
Il a voulu explorer un domaine nouveau, et il s’y est égaré. Cela est commun . Qu’il se remette aux coupes et aux recoupes, cel
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
ues, négligent l’accent individuel pour ne conserver que le caractère commun à tous les individus ; ils obtiennent rapidement
26 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
ndent pas les preuves qu’elle rentre dans celles appartenant à la loi commune . Sommairement, il prétend s’être évadé sans aide
s où il les a conquis autrefois. Ils lui nuisent ainsi dans l’opinion commune car cette hérédité artistique, qu’ils évoquent sa
chacun apporte son effort et chacun profite des résultats du travail commun , les travailleurs italiens regarderont nécessaire
t la Méditerranée se marient, c’est-à-dire sur la limite qui leur est commune . Les deux grands poètes des origines grecques s’a
tes, nous franchissons une porte ; voici un monastère avec ses salles communes et ses cellules. Au détour de ce mur, en haut de
mouvement lent et symétrique, et sont, à quatre cents mètres de leur commune origine, sur le point de se perdre, chacune de le
i est la seule sur les trois faces vraiment habitées de l’île. Ce nom commun , se perpétuant dans ces conditions exceptionnelle
ndre des choses et des êtres que ce qu’on en peut aisément mettre, en commun , l’aspect par lequel ils prêtent à la moquerie, a
r que l’on ne sent qu’une beauté basse, en ajoutant que la bêtise est commune parmi les hommes beaux. Enfin, le souci manifeste
, le Tasse et Manzoni. Je ne sais si l’on peut trouver autre chose de commun entre eux que le romantisme sensuel, tragique et
dramatique et artificiel, de l’autre. Leur art a bien aussi un point commun , celui d’une certaine tenue correcte et froide, q
27 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
Grec et un Anglais ont chacun une manière d’être beau qui n’a rien de commun … nos peintres sont enchantés d’avoir un beau idéa
28 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
to, l’analyse de la préface, Prœmio : Quelques artistes, unis par un commun culte sincère et fervent pour toutes les plus nob
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
hrases et récitait des poésies horriblement longues. Qu’y avait-il de commun entre nous désormais ? Les souvenirs du passé loi
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
Albergati rappelle lui-même à Voltaire les circonstances et les goûts communs qui les ont rapprochés : Ce fut quand je vis par
31 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
d’en étouffer toutes les aspirations, par le dogme laid de l’intérêt commun . Mais en ce moment la littérature régionale itali
emps, où la vie d’un homme, depuis son enfance, se détache de l’ombre commune de tous les êtres, monte de l’inconscience vers u
n d’imiter ou de s’inspirer de Lamartine. On voit qu’elle n’a rien de commun avec celle des traducteurs ou des adaptateurs vul
e certains moments, arment les citoyens d’une même nation, d’une même commune , les uns contre les autres. À l’exemple de son di
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