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1 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
rofuge, indiquant celui qui s’en va devant lui, au hasard, loin de sa cité détruite. — Mais ces populations italiennes ont u
oins de réputation que Venise ou Florence, Rome ou Ravenne, parmi les cités d’Italie que visitent coutumièrement les étranger
paniles, Tombaient les angélus tendres et pénétrants. J’ai connu la Cité des Fleurs, l’auguste Dôme, Le fleuve aux quais j
s différents de ceux dont nous nous servons pour qualifier les autres cités humaines : tantôt leur âme correspond à une impul
entières qui, chaque printemps et chaque automne, se dirigent vers la cité de l’Adriatique avec une ferveur de pèlerins pass
ce qui paraît tout de suite incomparable à nos contemporains dans la cité des doges : l’étrangeté même de la ville. Son opu
t aujourd’hui la ville la plus originale de l’Europe, la seule grande cité probablement où l’on soit assuré de ne point renc
e Flaubert et de ses disciples une défaveur singulière sur la vieille cité . On s’en défiait comme d’un beau poncif. Ni Gonco
fondré à jamais, et nous n’avons plus en face de nous qu’une sorte de cité en décomposition, une ruine triste et fiévreuse o
déjà dit, on aperçoit quelle va être la nature de ce décor : Venise, cité la plus originale de l’Europe, ville à part entre
rès souligne tout ce qui fait pour lui la puissance incontestée de la cité des eaux. Et, avec une ingénuité enthousiaste, il
tent, tous les prosateurs s’agitent. Même ceux qui n’ont jamais vu la cité sainte l’aperçoivent du fond de leur désir : Ô v
rtes passions troubles ou violentes ? Ma foi non, car s’il choisit la cité des eaux, c’est pour y encadrer un amour frais et
urnir une série de clichés du décor sentimental à la mode. Nous avons cité quelques manières de Vénitiens modernes, nous en
t tenu à honneur de faire figurer au moins une fois ses héros dans la cité des lagunes. Cette ville-refuge est une ressource
age à part bien entendu et exemplaires numérotés sur Chine ! C’est la cité rêvée de toutes les lectrices de province, le pha
aurice Donnay, « la Ville pour lunes de miel et pour ruptures » et la cité tragique où l’on goûterait, avec quelle volupté c
giner vivre une existence en beauté. Venise sera-t-elle encore de ces cités -là ? Sans doute, si, à cette époque, ses canaux n
etite. Séduira-t-elle un jour quelque moderne Amphion constructeur de cités  ? On ne risque rien à l’augurer. MM. Empain, par
se rapproche un peu de celle de Wells pour qui l’être supérieur de la cité future est l’ingénieur. 8. Nuovi Profili storic
2 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
harmonieuses se levait. J’entendais des voix s’élever au-dessus d’une cité blanche immense. Je revoyais les trirèmes dans le
colère et des larmes de miséricorde. Il est bon que le visiteur de la Cité dolente arrose la voie qu’il descend de pleurs de
rer, d’une manière si inattendue à l’entrée de la plus moderne de nos cités , comme le plus moderne de nos héros. Un grand cri
les chariots descendent le bois des hautes montagnes. En avant, d’une cité , ils croisent une jeune fille qui va chercher de
là-bas12 ! D’après cet étrange et pathétique épisode, que nous avons cité en entier pour que l’on puisse juger de notre « m
port encombré de marchandises, de matelots et de débardeurs, mais une cité recherchée par l’aristocratie qui y avait fait él
el. Tome CIII, numéro 383, 1er juin 1913, p. 488-489. Ô Florence, ô cité des Princes et des Sages, Où vont de si charmants
dont elle se couvrait et faire apparaître en pleine lumière la belle cité musulmane, indocile jusqu’alors aux sollicitation
rien ne semble changé. « Voyez comme la ville est une belle et grande cité italienne », me disait à bord un jeune officier,
insi, il me tendit sa jumelle pour mieux apercevoir les détails de la cité . Je dus alors me rendre à la réalité. Sur un mur
entine. Chaque commerçant péninsulaire proclame ainsi la gloire de sa cité ou de sa région. Les Italiens certes ont encore p
lippe. Elle sert aux besoins de la vie de ce quartier important de la cité . Les femmes arabes et juives, les soldats y vont
loin de la mer, après les souks et les magasins européens, s’étend la cité indigène aux rues resserrées et fraîches, où le s
lissements et de nouvelles voies sans nuire à l’aspect charmant de la cité indigène. Ma première visite, au débarquement, a
que d’une artillerie moderne. Un camp avait été établi non loin de la cité , mais à proximité de la mer, offrant une cible fa
e l’instruction publique à Tripoli a été copiée sur celle des grandes cités de la péninsule. On a créé d’abord une école tech
ser avec un budget minime. » Dans ces pays musulmans, où la vie de la cité se continue fort avant dans le soir, il était néc
point de vue industriel, cette ville, pas plus que toutes les autres cités de l’Afrique du Nord, ne deviendra une grande agg
es sont établies, portant les voyageurs à plus de 50 kilomètres de la cité . Les chemins de fer de Libye ont encore un réseau
éridionale, dont les terres sont surtout ingrates s’il s’y trouve des cités dont les noms évoquent des faits souvent glorieux
choses sur Venise de Byron, Ruskin, du président des Brosses, souvent cité et qui se plaint cette fois qu’on lui ait fait ma
il semblait pouffer de rire. — Cependant, s’il y a beaucoup d’auteurs cités dans cet ouvrage, on peut remarquer que d’autres
3 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
e sauvage et variée ; il est échancré par la silhouette blanche de la cité qu’il enserre ; flèches, tours, clochers, dômes l
iches s’efforçaient à l’envi d’accroître l’éclat et la renommée de la cité tant par les fêtes splendides qu’ils donnaient qu
quelle tous participaient. Le Florentin était fier de Florence, nulle cité n’égalait à ses yeux la beauté de la sienne. Flor
re et ce sentiment se manifestait par l’amour qu’ils portaient à leur cité mère et par l’orgueil qu’ils ressentaient à la vo
ctoire. Or, comme je l’ai dit déjà, un parti ne devenait maître de la cité en des moments décisifs que par un heureux coup d
voir quelle animosité le peuple était capable de ressentir envers une cité qui n’avait d’autre tort que d’opposer une résist
ublicité, n’en est pas moins intéressant. En voici quelques extraits, cités au hasard : « Le but final de l’Énerguménisme (n
, tout en la méprisant, cette nation efféminée, aux arts galants, aux cités et aux femmes galantes, aux écrivains et aux offi
rent plus efficacement qu’un Hervé contre la patrie6, ils nous furent cités constamment à l’étranger comme proclamateurs — né
cis ne recueille pas des hôtes plus capables de faire apprécier en la cité cosmopolite les facultés de notre race. Mais, au
de Rome littéraire : a-t-on entendu parler d’un prix de Paris dans la cité tévérine ? Il y a quelques mois, M. Clemenceau co
uvenir des discordes et des crimes, qui sans cesse ensanglantaient la cité , inquiétait son esprit. N’était-ce pas dans cette
de Dom Bruno. Il s’est arrêté sans doute de longues heures dans cette cité bénie : il en a entendu chanter les carillons, et
par excellence, et, si l’on en croyait quelques mauvaises langues, la cité des papes ne serait point déchue de son passé glo
, un baragouin des idiomes les plus divers, tout le bourdonnement des cités fiévreuses que perçait parfois, en notes graves o
légant ouvrage sur Jean de Bologne, il en dit aujourd’hui l’histoire. Cité étrusque, puis municipe romain, avec un entre-deu
registre de délibérations du Conseil de la ville, 1540-1550, fol. 31, cité par J. Girard, les États du Comté Venaissin, Pari
gneur Monseigneur Alexandre, cardinal de Farnez… legat de la ville et cité d’Avignon, faicte en icelle le XVIe mars 1553. Av
de Pérussis, monté sus ung cheval du règne, marchoit la nuict par la cité , suivi de gentilshommes de sa maison, et entre au
, si je ne me trompe, se vit intenter un procès, qu’il gagna… Je n’ai cité sur Bourmont que l’opinion des gens de son parti.
4 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
maréchal auquel il a pu rendre visite. Pour lui et les deux généraux cités , dit-il, « l’Allemagne est une chose inadmissible
des montagnes, le mont Zoverto, où l’on s’est âprement battu ; Schio, cité de filatures ; la route de Rovereto à Trente par
itiques et journalistiques. Je tiens même certains des faits que j’ai cités dans mon article de confrères italiens que M. Dwe
ma longue chanson Je ne désirais qu’un seul rameau de chêne, Mais la Cité qui pour armoiries a un taureau Me couronna d’un
fit à atteindre le but et elle n’expose pas son auteur. Comme j’avais cité un article du Nieuwe Rotterdamsche Courant mentio
ns sur des stèles des inscriptions effrayantes, qui dans une sorte de cité du mal vouent les scélérats à des châtiments inou
iques frappées par un jour violent et singulier… Cette extraordinaire cité n’est pas seulement un décor de façades et de mur
ino sut rompre l’alliance avec l’Allemagne et l’Autriche : les textes cités sont d’un grand intérêt. M. Jules Destrée nous fa
oluptueuse et esthétique, qui, l’auteur a raison, a bien son droit de cité dans la science des sociétés humaines. Illemo
n long poème, car quoi de plus italien que l’histoire de cette petite cité . Durant la guerre de la ligue de Cambrai, Venzone
heldorf, quelle dérision et quelle sottise ! Altino Une vieille cité romaine réapparaît après quatorze siècles de sépu
gemment menées ont mis au jour des vestiges intéressants de l’antique cité . La fille-soldat Mademoiselle Yolande Cavaz
caractères plutôt que d’un accord préétabli ; comme les plus grandes cités d’Angleterre se sont formées peu à peu, maison pa
5 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
e et protège Les toits épars contre le vent qui les assiège, Vers les cités qu’on rêve et les jardins féconds. Déjà souffle
au visage, et l’orgueil suscité Fou se dresse, bondit, s’acharne. La cité Succombe aux lourds assauts de leur haine rapace.
ienne ! L’orgueil de tes maisons et de tes casinos. Reine entre les Cités  ! je songe, Enchanteresse, À l’aire vaste où sur
siècle, celui de la « maladie du siècle ». Campanella, l’auteur de la Cité du soleil, fut un representative man, selon la pa
enser longuement. La ville terrestre veut être la contrepartie de la Cité de Dieu d’Augustin, de l’Utopie de Thomas Morus,
pressions hâtives ou des récits de promenades. À travers les vieilles cités autrefois tumultueuses et guerrières de Vénétie e
la commune en fin de compte qui l’obtient. — L’évêque nommé chef des cités se fait ensuite leur tyran ; elles le rejettent e
. Victorieux, le condottiere à son tour prend la place du tyran ; les cités rappellent le seigneur et cela dure ainsi jusqu’a
lorence ou Venise, le pape ou l’empereur intervient et s’approprie la cité . — La maison de Savoie a recommencé en somme de n
qu’il nous montre l’unité fondamentale des pays et des paysages, des cités , des campagnes et des hommes qu’il vit en lui-mêm
littératures étrangères, dans le Siècle, M. Gustave Kahn, après avoir cité une lettre de M. Marinetti qui n’est qu’une énumé
lent sous les pieds des passants, barrent l’entrée des escaliers. Des cités qui se soucient aussi peu de la salubrité, — car
ptent pas les mêmes tactiques que telle chambre ouvrière d’une grande cité industrielle, mais ces différences de tempérament
6 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
outit logiquement sa théorie de la culture. Par contre, il a beaucoup cité les Français. Ce n’est pas la même chose, assurém
des officiers que le Seigneur délègue à ses différentes provinces ou cités et qui le représentent en ces divers lieux et y e
ur des ombres qu’il coudoie ; Il est seul dans le bruit vivant de la cité . La nuit vient. Le croissant luit d’une ardeu
avec tes créatures. V Tu n’es plus que ton ombre, ô caduque cité  ! Il te faut aujourd’hui renoncer à la gloire ;
Le long des corridors une voix se lamente ; Venise ! tu n’es plus la cité triomphante, Que Véronèse a peinte assise en voi
n, aurait parfaitement vécu, artisan plutôt que citoyen, dans quelque cité toscane, aux temps de l’humaniste Ange Politien o
ger dans la même catégorie : Sœur Hélène, le Bourdon et la Besace, la Cité de Troie, le Séjour d’Eden, Stratton-Water. Dans
ourgs ne vivaient que de pillage et de meurtre ; la guerre régnait de cité à cité, de quartier à quartier, de famille à fami
e vivaient que de pillage et de meurtre ; la guerre régnait de cité à cité , de quartier à quartier, de famille à famille. C’
re évoque le nom de Shelley. De son côté, Goethe possède en plusieurs cités des inscriptions commémoratives notamment à Naple
eur de Wilhelm Meister ; et à Messine dans la principale artère de la cité . Or, chose curieuse, l’auteur des Promenades dans
lui. Il est regrettable qu’il lui ait manqué de travailler dans cette cité et d’en subir les salutaires disciplines. Il sera
ble présomption se trouve dans l’inanité de sa réforme. Il enivra une cité du plus saint enthousiasme, ce ne fut qu’une ivre
ur saluer l’œuvre du Médicis. Nul ne rougit d’ignorer les théologiens cités plus haut et tout le monde veut avoir vu les Raph
i. Tome LXXV, numéro 271, 1er octobre 1908, p. 484-488 [484-485]. De cité guelfe, de famille guelfe, le Dante était guelfe,
attitude, suprême, ce dernier geste de Masséna s’éloignant seul de la cité héroïque sans tourner la tête. Les Revues. Mem
t pas, je crois, de plus rare plaisir que de parcourir, en dehors des cités à la mode, ces petites villes dont le passé fut s
. 18. Florence, Musée National, terre cuite. 19. Eugène Müntz, ouv. cité , p. 44 20. Florence, Académie des Beaux-Arts. 2
7 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
gues romanes, provençal, languedocien et italien. L’identité des mots cités correspond à une identité d’idée ; car l’exemple
ès nous avoir amusés de citations patoises et avoir loué et blâmé les cités pour leur dialecte, l’écrivain nous déclare que l
pas où nous entendions mieux l’écho de l’ingénue et douce piété de la Cité de Marie. Cette qualité poétique et quasi musica
8 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
eux parties inégales rejointes par un étroit pont fortifié, la petite cité grise avait l’air d’un énorme scarabée tombé dans
du Louvre. Il vient d’arriver à Venise. Voyez-vous ce paysan dans la cité des doges, dans la ville dont Commynes, qui ne s’
« C’est une maisonnée au milieu de l’eau, … c’est la plus triumphante cité que j’aye jamais vue et qui plus faict d’honneurs
t atterrés par quelque catastrophe. Dans le motif X, consacré à cette cité de feu où le regard ne découvre que les sépulcres
des plus importantes perspectives du Grand Canal. » Au contraire des cités qui s’ensevelissent doucement et retiennent des s
on mouvement même, elles restent de véritables sources de vie. Et ces cités élues nous sont toutes proches de quelques heures
fièvre !… Comme tout est matière à gazette dans la vie uniforme de la cité qui s’ennuie en ses murs trop larges, avec ses éc
euil, et c’est selon moi un des plus impressionnants aspects de cette cité surnaturelle. Reblanchir Venise, voici l’ordre le
i, ambassadeur de la République auprès du Saint-Siège et auteur de la Cité de la vie. Ce poète-diplomate, que séduisait l’er
9 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
procès a été entamé le 2 août ; il existe des dépositions de témoins cités jusqu’au 29 août, et dont les noms étaient dans l
tionné le nom de M. Jal. Il n’est pas un inconnu. Littré l’a toujours cité à propos des termes de marine. Il est encore l’au
éditions scientifiques en Tripolitaine, par M. E. Dupuy ; […] Gubbio, Cité du moyen-âge, par Th. Moreau Néret […]. — Parmi l
La lutte s’aggrava. Nommé prieur, « prieur des arts et artisans de la Cité de Florence », le 14 juin 1300, Dante se déclara
je suppose ? Ah ! que n’avons-nous une Jeanne d’Arc !… la plus humble cité en aurait l’effigie. Nous faisons, je le confesse
au Châtelet de Paris, ancien préposé pour la police au quartier de la Cité , a été porté à la couche des enfants trouvés de c
e est ici ou qu’elle est là, on le devine quand on connaît bien cette cité extraordinaire — mais allez donc le prouver !… Et
ne façon manifeste, que s’élevait, il y a trois mille ans bientôt, la cité noire habitée par les gens du sommet noir ?   C’e
rois mille ans, l’éternelle splendeur de ces horizons ? Cette vieille cité que nous croyions pleine de vie encore, n’est-ce
evant pour qui vient y chercher les traces de Dante. Ce n’est plus la cité que le poète aima si tendrement et pour laquelle
s depuis que le Poète partit pour l’exil, on peut encore retrouver la cité de Dante, et, avec une laborieuse subtilité, Mme 
er une vision des plus évocatrices des richesses d’art de l’admirable cité . […] Signalons enfin le dernier fascicule (n° 3 d
des caprices de la mode ? […] — Voici, maintenant, quelques chiffres cités par M. Dimier : 71 toiles de l’école bolonaise on
rame, les démêlés du pontife avec le terrible roi Philippe le Bel, la cité envahie par les bandes armées de Nogaret et de Sc
lices les jours où il parcourait les rues et les palais de la vieille cité toscane, et à celui aussi qui ne s’y rendra jamai
. 17. Sur ce double rôle de Poséidon, voir Phéniciens et Grecs, déjà cité , p. 37. 18. Αμφικαλύψειν. 19. On voudra bien re
pour avoir à dire ». 53. Hélène Keller, The Story of my Life, 1906, cité par Marcel Hébert, Sur l’Éveil de l’Idée de Dieu
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
s germaniques et les plus fantastiques. Je pensais souvent à la chère cité , si seule au milieu de la plaine, comme une exilé
comprendre, à quelqu’un qui a encore un cœur brûlant, qui vient de la cité des vivants, qui peut écouter tous mes gémissemen
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
enirs de sainte Hélène et Saint-Jean-de Latran ; le patriotisme de la cité depuis le Moyen-Âge avec la basilique de l’Ara Co
12 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
enne, la satisfaction d’avoir constaté que le niveau artistique de la Cité Transalpine, si monté fût-il, laissait encore de
plie M. Ermini de se transporter en l’une ou l’autre de ces illustres cités et de méditer longuement. Il y a dans cet opuscul
13 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
le lyrisme synthétique Presque tous les livres de poésie dont j’ai cité les titres sont écrits en vers libres, mais il ne
elle possède des idées fort avancées en art et en littérature. Elle a cité des noms de peintres et de poètes qu’admirent les
s belle de toutes, la furlana, née dans les quartiers plébéiens de la cité des doges, devint la véritable danse nationale du
i ceux qui sont appelés à disparaître dans la modification fatale des cités . Ces palais sont baignés d’une atmosphère juste e
moment du sac d’Alexandrie par le Soudan d’Égypte, on apporta dans la cité des doges le corps de saint Marc auquel fut dédié
ne saurions assez insister sur ce point : jusqu’à la fin du chapitre cité , les huit premiers volumes de Paulin, les huit pr
apoli-Signorelli, Storia critica de’ teatri antichi e moderni (1777), cité par Max Fehr, Apostolo Zeno (Zurich, 1912), p. 25
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
ur tout l’Orient… à l’ornement du carnaval où s’acheva la vie de la «  cité joyeuse » ? M. Philippe Monnier a, sous ce rappor
15 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
ralement, lorsque la science est un peu cochonne. Et les deux volumes cités répondaient rudement bien à l’argument. M. Paolo
rouge, qu’ils emploient dans les bronchites et rhumatismes, doit être cité comme leur remède héroïque ; et j’avouerai facile
ies. « Voilà une belle petite chose. » Et pourtant il y a là, dans la Cité , Notre-Dame, la Sainte-Chapelle, l’hôtel de Breto
16 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
et cependant l’opinion tient nos familles pour les plus nobles de la cité . » Si dans une race noble (l’orthodoxie) les bon
17 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
résultat prochainement attendu sera la destruction des maisons et des cités remplacées par des rendez-vous d’automobiles et d
a mode, créent la passion du nouveau et la haine pour le déjà-vu. Les cités modernissimes et actives comme Milan, qui selon l
ribunaux à Goritz, siège du commandement autrichien. […] Échos. La Cité futuriste Mercure. Tome CXVIII, numéro 441, 1e
r ni désespérer. 1. Giolittisme. 2. On trouvera dans le n° déjà cité des Musées de France la reproduction hors texte d
18 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
vues au hasard de tant de promenades dans les rues de Naples, Aucune cité , en Europe, n’est aussi amusante : la variété des
t son ignorance des choses de la République, le peuple sait que nulle cité , au monde, ne songerait à rivaliser avec Venise,
la ligue, se réconcilie avec Venise. Maximilien, furieux, offre notre cité magnifique, en échange de cinquante mille ducats
uin 1911, p. 688-709. « Assemblée faicte en la maison de la ville et cité de Chalon, le 25e jour du mois de décembre l’an 1
leur prix n’est pas abordable à toutes les bourses. Après la vieille cité toscane que Taine avait négligée, c’est la Cour à
Clément VIII. La restauration du pouvoir papal marque pour la vieille cité padouane l’heure de la déchéance. Les fiers palai
ait voir la miraculeuse floraison d’œuvres artistiques que l’illustre cité vit éclore de son sol fécond à l’époque de sa spl
fendait, ne réussissait pas à devenir un élément considérable dans la cité . Ce fut pendant le iie et le ier  siècle que le
la matière, l’historien de beaucoup le plus autorisé, donne, pour les cités provinciales, des énumérations qui attestent l’ex
19 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
aucoup les vieux Vénitiens qui, comme moi, aiment chaque pierre de la cité dogaresse ; mais ils sont choqués par certaines i
20 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
symboles tumultueusement développés, là-haut, sous le ciel sonore des cités  : le Cheval en course, le Paon, la Colombe, le Pé
21 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
vilisation et le progrès humain. « Il est vrai, observe l’auteur déjà cité , que, comme le sentiment ethnique, le sentiment r
gnant le feu de la vendetta qui dévore les familles principales de la cité et, avec elles, la cité ; elle réconcilie la Papa
tta qui dévore les familles principales de la cité et, avec elles, la cité  ; elle réconcilie la Papauté et Florence brûlant
prose et la poésie de la vallée d’Aoste. Cependant aussi bien dans la cité d’Aoste que dans les bourgades du val, le patois
22 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
e de l’âme de Florence. Sa volonté forte et constante s’imposait à la cité , et tout dans le gouvernement et dans la vie publ
us les Florentins, mais un grand nombre de gens de la campagne et des cités environnantes, affluaient vers la place de la Sei
23 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
et tout ce qui lui est arrivé pendant ce long intervalle. Après avoir cité cette lettre, Casanova ajoute qu’il lui a répondu
contée pour que nous nous y attardions et toutes les revues d’art ont cité plus ou moins du fragment autobiographique où le
24 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
classiques comme Castelvetrano et Girgenti. Mais les descriptions de cités et de monuments dans ce volume tiennent peu de pl
ses nouvelles ; son séjour attardé dans un milieu bourgeois, dans les cités étroites et mortes où tout événement se dramatise
25 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
e Sienne, Assise, Viterbe ; sacrifier presque complètement encore des cités comme Ravenne, Cortone ou Pérouse. Mais il faut d
n regret de joie bucolique. Sur les places intimement étroites de ces cités , des fontaines coulent librement et le rythme tou
lle vision de la Ville-éternelle restituée au Pape et de Florence, la Cité des Arts et de la Beauté, devenue tout naturellem
26 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
Le courant qui l’emporte le mène, de la beauté classique des vieilles cités latines, à l’immensité de la mer et de toute sa g
27 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
entale, et certes par lui on se fait une sûre et chantante idée de la cité sur la lagune. Ce qui manque le plus à ses tablea
28 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
était un vieux gentilhomme campagnard des environs de la pittoresque cité de Drama, en Thessalie ; et c’est précisément dan
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