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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
ique insaisissable. II. —  Vous dont l’intelligence meut le troisième ciel , voilà ce qu’il va expliquer. III. — Quel est le
ième ciel , voilà ce qu’il va expliquer. III. — Quel est le troisième ciel  ? La vérité complète sur ces problèmes ne peut s’
ge par les sens. Dante traite de balourdise l’idée qu’il y avait huit ciels , car Béatrice est un neuf et il lui faut un neuvi
avait huit ciels, car Béatrice est un neuf et il lui faut un neuvième ciel . IV. — Voici la succession des cieux : Lune, Merc
upiter, Saturne, étoiles et le cristallin. Les catholiques placent le ciel empyrée par-delà tous ces cercles. Il y a donc di
e par-delà tous ces cercles. Il y a donc dix cieux. V. — Le troisième ciel est mû par des intelligences que le vulgaire appe
pour les remplacer. Il paraît rationnel de croire que les moteurs du ciel de la lune sont les Anges, que ceux de Mercure so
amour de l’Esprit-Saint, qui consiste en la mise en mouvement de leur ciel amoureux. VII. — Les rayons de chaque ciel sont l
mise en mouvement de leur ciel amoureux. VII. — Les rayons de chaque ciel sont la voie par laquelle descendent leurs vertus
, et je me l’imaginai sous les traits d’une dame noble. » XII. — Par ciel j’entends science, selon la similitude. Aux sept
— Par ciel j’entends science, selon la similitude. Aux sept premiers ciels correspondent le Trivium et le Quadrivium. À la h
ique ; à la neuvième la morale, à la dixième la théologie. XIII. — Le ciel de la lune ressemble à la grammaire pour l’ombre
la plus lente et la plus élevée, correspond à l’astrologie. XIV. — Le ciel étoilé appartient à la fois à la physique et à la
el étoilé appartient à la fois à la physique et à la métaphysique. Le ciel empyrée, par sa paix, est l’emblème de la divine
s cieux avec les sciences explique comment j’entends par le troisième ciel , la rhétorique. XV. — Boëce et Tullius, par la do
oble et très excellent le cœur qui s’unit à l’épouse de l’empereur du ciel , épouse qui est aussi sa sœur et sa fille bien-ai
ype auquel il faut ramener la vertu. XVI. — Il compare la noblesse au ciel infini et la vertu aux étoiles. La noblesse humai
ice, elle porte avec soi la vertu de l’âme génératrice et la vertu du ciel . L’âme sitôt produite reçoit l’intelligence dont
c’est-à-dire à l’étude. Quand il parle aux intelligences du troisième ciel , s’adresse-t-il à des coreligionnaires du troisiè
2 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
Âme est indépendante de la matière et que notre corps est le sujet du ciel , comme le ciel est le sujet de l’esprit”. Pour lu
dante de la matière et que notre corps est le sujet du ciel, comme le ciel est le sujet de l’esprit”. Pour lui, les sens son
rire deux des compositions de cet Album. « La première nous montre un ciel immense, enveloppant un paysage mystérieux et som
re, où miroite un étang planté de roseaux. Au-dessus, au milieu de ce ciel gris, s’élève, bizarre et insolite ballon, un œil
de raison, avait saintement formé le projet d’allier les intérêts du ciel aux œuvres de ce monde . Casanova nous déclare qu
eu à peu, pour se détacher enfin, brutal et toujours pétrifié, sur un ciel d’un bleu cru, opaque, terne et criard, exaspéran
ne et criard, exaspérant et invraisemblable. Ce n’est, certes, pas un ciel d’Italie, mais c’est peut-être un ciel d’opéra « 
able. Ce n’est, certes, pas un ciel d’Italie, mais c’est peut-être un ciel d’opéra « vériste ». — Serait-ce un symbole ?
presque sale, à peine éveillé par un peu de rouge au corsage Point de ciel . La fillette, en somme, donne à peiner que le déb
pée d’un peu de nuit, effet fugitif, difficile et rare entre tous. Le ciel entier pourrait presque passer pour le sujet du t
 ; ce n’est plus la distance de la terre au zénith comme diminuée, le ciel comme rapproché, senti plus spacieux autour de so
le sentiment de l’altitude d’une part ; et, de l’autre, une vision du ciel neuve après tant de maîtres dont les ciels sont c
, de l’autre, une vision du ciel neuve après tant de maîtres dont les ciels sont célèbres ; puis la facture ; enfin, une comp
présente qu’une chèvre tétée par son biquet, sur un fond de sol, sans ciel  ? Non, c’est un portrait, au même titre que le me
e luronne s’enlève sur un fond de pâturage et de sol, sans le moindre ciel . Il faudrait insister derechef sur le moindre fét
esque tout l’espace appartient au soleil et à son embrasement dans le ciel et dans son reflet. La barque flotte dans l’immen
eaux-Arts (article de M. W. Ritter, 1er avril 1898), le clocher et le ciel ont disparu, l’horizon est muré par les montagnes
course où il gravit un sommet il voit de bas en haut, détachée sur le ciel bleu, une fleur, une fleur si harmonieuse, si orn
en comprenne le motif ni puisse en tirer consolation ailleurs que du ciel  ; le voilà qui nous donne La Foi réconfort de la
ons perdues, tandis que rodent les corbeaux sur la neige ; et dans le ciel , qui s’entr’ouvre au faîte du tableau comme au ty
. C’est un hymne éclatant et clair, comme un chant d’alouette dans un ciel d’été, à la gloire de la jeunesse et de l’amour,
ns de grandes forêts de sapins, dont à mi-côte la lisière remplace le ciel que l’artiste ici refuse même matériellement à sa
vieux serpent de la Genèse. — Le problème de faire sentir sans aucun ciel , sans aucune atténuation de la couleur, presque e
3 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
r la terre Fut jamais. Les tombes toutes semblaient ouvertes, Sous ce ciel . Rien ne vivait. Nulle apparence Terrestre n’étai
attendant la victime promise. Soleil, tu étais vraiment au centre du ciel , quand Je te la promis ! Tout était silence. » V
ne pâle tête aux cheveux blonds relevés qui se profile sur un fond de ciel et de fleurs, œillets et ancolies ; tout autour,
4 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
ans l’éloignement, à l’horizon, Monte Urticu se dressait, bleu sur le ciel rose. Le petit Minnai, aux grands yeux bleus limp
chute d’eau, au loin, sur le fleuve. Les étoiles scintillaient sur un ciel un peu cendré. Minnai, étendu sur un tas de feuil
 ; les oléandres se profilaient comme une nuée basse sur la pureté du ciel cendré ; la tanca semblait s’étendre à l’infini,
rodaient des fleurs violettes ; le fleuve étincela, aussi bleu que le ciel , roulant les pétales roses et violets des oléandr
éandres, l’eau du fleuve avait de longues stries d’argent pâle, et le ciel était aussi pur que l’eau. Quelle paix, quelle pr
tait fraîche, comme mouillée : de longs nuages minces sillonnaient le ciel . Et dans ce calme profond les odeurs qui montaien
e soir-là, l’âme du séminariste était comme une fleur ouverte vers le ciel , et qui attend la rosée. Elia cessa de chanter qu
Antine lisait, ou feignait de prier en silence, ou levait les yeux au ciel , le bandit priait de son côté, levait les yeux et
À cet endroit Antine ferma le Livre et feignit de prier, les yeux au ciel  : puis il posa le volume sur la table et frappa d
er. » De nouveau, il ferma le Livre : de nouveau, il leva les yeux au ciel , pria mentalement et frappa du poing le livre fer
uand le soleil reparut un charme indicible s’étendit sur la tanca. Le ciel se montra très haut, bleu tendre, couleur de perl
le fleuve, les yeux fascinés par la clarté de l’eau qui reflétait le ciel gris-perle. À quoi pensait-il ? Quelles visions t
andres élancés dans l’air pur, qui offraient aux hauteurs sereines du ciel les bouquets de leurs roses amères, là-bas était
à l’heure l’eau sera froide. Le soleil était couché ; la splendeur du ciel rouge orangé se reflétait sur la rive occidentale
é de menthes et de sureaux : à travers ses lunettes, où l’or rouge du ciel mettait un reflet brillant, il voyait la svelte f
n étonnement en pitié ! Toutes ses pensées se mêlèrent, le fleuve, le ciel , la terre, toutes choses lui parurent encore plus
e sa mère et de ses frères morts jeunes) et dresse son sommet vers un ciel ensoleillé, où cependant de vagues fantômes pouss
 : Ô Soleil, tu n’es pas éternel — ni seul ! — et aux nébuleuses du ciel  : Ô Nébuleuses obscures, à vous qui êtes les gre
ses du ciel : Ô Nébuleuses obscures, à vous qui êtes les greniers du ciel et dont chaque grain est un monde. Après avoir c
Quinci vedrà ’l mio bene ; e per quest’ orme Torno a veder ond’ al ciel meda è gita, Losciando in terra la ma bella spogl
ngue agonie Devant l’éternité seul avec son génie, Son regard vers le ciel parut se soulever, Le signe rédempteur toucha son
de cruelles déceptions, mais il ne perdit pas son temps à Rome, et le ciel d’Italie eut sur son imagination la même influenc
ntemporains « des accents inconnus à la terre ». Ce sont deux voix du ciel qui se répondent comme deux échos à travers les s
5 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
prier le Seigneur et de confesser mes péchés. Et comme je priais, le ciel s’ouvrit, et j’aperçus cette femme que j’avais dé
, et j’aperçus cette femme que j’avais désirée, me saluant du haut du ciel et disant : Hermas, salut. Et moi, l’apercevant,
ui sont justes et s’avançant dans cette droite voie qu’il trouvera au ciel un Seigneur propice à sa cause. Mais ceux qui pen
à la suite aussi de Baudelaire et de Verlaine, ont lui ou luisent au ciel invisible les noms de Villiers de l’Isle-Adam, La
ale semence des symboles tumultueusement développés, là-haut, sous le ciel sonore des cités : le Cheval en course, le Paon,
6 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
Les pigeons, sur la terrasse, menaient leur existence quotidienne, le ciel était pur, le soleil rayonnant : mais tout cela m
licite, d’ordinaire, de simple et de bourgeois ! C’était descendre du ciel sur la terre… En aimant Lina, je courais un risqu
Nous voyagions dans le plus magnifique pays qui ait été créé sous le ciel . Enfin, l’été était radieux !… Dans tout mon voya
s brumes délicates, tendres, roses, pudiques. Nous naviguions dans le ciel et nous souriions d’extase et de félicité… Ma sou
lle debout devant moi, dressée dans la lumière et se détachant sur le ciel , et pareille, vraiment pareille à Diane, elle Lin
lgré la prière de ses parents, s’envole et se trouve entraîné vers le ciel , tandis que son enveloppe matérielle s’anéantit.
chappe aussi aux lois de la pesanteur, et, parce qu’elle part vers le ciel sans retomber, donne le signal de la rupture du s
le, logique dans Faust, est ici surajoutée ; Adonis ne peut monter au ciel chrétien. Nous n’insisterons pas sur les moyens d
ut à fait celle d’un astronome ayant à retrouver non pas dans tout le ciel , mais dans une région céleste déterminée, une con
alena. Cinq kilomètres encore plus loin le capo d’Orso dessine sur le ciel une silhouette d’Ours très reconnaissable22 : aux
eil ne les éclaire de ses brillants rayons, ni quand il monte dans le ciel étoilé, ni quand du ciel il redescend vers la ter
brillants rayons, ni quand il monte dans le ciel étoilé, ni quand du ciel il redescend vers la terre ; sur ces mortels trem
les. Tel est le lot lamentable qu’on imaginait sous les splendeurs du ciel tyrien pour les dernières terres occidentales. Le
compte du phénomène, mais sans arriver à savoir dans quelle partie du ciel il se passait. « Causons de la situation, mes co
ays ? Pour moi tout est perdu56 ! » Ce qu’Ulysse décrit là, c’est un ciel qui donne comme un autre la lumière du jour (il n
ible. On approche de l’Océan, et c’est précisément ce que cet état du ciel a pour but d’indiquer ; mais on n’y est pas arriv
i le phénomène, terrible là-bas, se contente ici d’être incommode. Du ciel Circéen pas plus que du ciel Cimmérien, nous n’av
as, se contente ici d’être incommode. Du ciel Circéen pas plus que du ciel Cimmérien, nous n’avons rien à tirer, au point de
e. Je leur dirai : laissez tomber ce joug pesant, Goûtez le jour ; le ciel est pour tous bienfaisant ! Figline, Figline, dan
ar la chanson des rails, le front au carreau, les yeux perdus dans le ciel fugitif, vous ne rêvez pas d’amour. Vous ne songe
avec, aux lèvres, un gentil sourire… De quoi aurait-elle eu peur ? Le ciel l’attendait, si proche ! Ne s’était-elle pas, la
, comme le gondolier regardait ailleurs, et que son mari, les yeux au ciel , comptait les astres, elle a pris, dans son sac d
où croissent les cyclamens sous les pas de Nausicaa ! Vous avez vu le ciel d’Orient, jonché de colombes et criblé de minaret
s s’étendant à perte de vue et striant de ses troncs presque noirs le ciel qui se teint de rayons éclatants au crépuscule. D
s tons nuancés reposent les yeux des couleurs trop crues du sol et du ciel . Le corps des Zaptiés est recruté avec soin parmi
coup parmi ces malheureux, habitués à l’air libre et au repos sous le ciel , s’emparèrent pendant la nuit des instruments de
ts les recouvraient et, mystérieuse attirance des arbres sur l’eau du ciel , il y pleuvait souvent. Les Arabes, dans leur rag
usieurs figures de la fresque des Élus à Orvieto, lève ses regards au ciel (où une main postérieure et peu habile a malheure
pas se résoudre à cette suppression qui entraînerait la réfection du ciel ) du malencontreux crucifix, pour ne voir que cett
femme, évoque cet émerveillement de la gaie science, cet appétit des ciels lumineux. Or, Marguerite de Navarre contribua plu
7 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
spirante de cœlis . Comment accommoder ce langage emprunté à celui du ciel avec cette destination ? Ce serait déjà trop prés
les derniers par si. Mais, remarque le gibelin, tous disent de même : ciel , amour, mer, terre, vivre, mourir, aimer, et d’au
s ? La monarchie assure la paix : une seule volonté en terre comme au ciel . Le monarque universel n’a plus de voisins, il ne
ni de leur fantaisie, mais en quelque sorte d’une version directe du ciel élevés jusqu’à l’extase par la ferveur de leur fo
8 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
 : le mât sublime est secoué, secoué, et le drapeau se dénoue dans le ciel . Toutes les cloches sonnent dans le ciel, sur le
le drapeau se dénoue dans le ciel. Toutes les cloches sonnent dans le ciel , sur le Carroccio. C’est la ville qui part : elle
 Rosny, intitulé « Tornadres » et qui vous fait vraiment descendre le ciel sur les épaules. M. DESM. — La fin de Messine con
, et je ne découvrais au loin qu’une tour et une ombre rouge mêlée au ciel . Comme une hostie sous le voile qui recouvre l’os
ier 1909, p. 572-576 [576]. C’est en vain que le Stromboli couvre le ciel de sa nuée sanglante ; à l’aurore, la confiance r
blique florentine un lien naturel existait. Ils vivaient sous le même ciel  ; le même horizon aux lignes nettes et harmonieus
lui seront révélées ; il explore la terre et bientôt il explorera le ciel . Les relations entre les peuples se multiplient ;
essé sous l’angoisse de visions terrifiantes : il fait grand jour, le ciel est limpide jusqu’au fond, l’air est pur, la bris
emporté triomphalement par les diables, et celle du Christ, élevé au ciel par la complainte unanime de la piété extatique d
faut l’appeler par son nom, — éclata comme un coup de foudre dans le ciel endormi de la littérature. Le Futurisme ? C’est l
simple et austère et où l’amour de l’art était enflammé par le feu du ciel . Il détermine, comme l’a dit Carlyle, une nouvell
philosophe, puisque les sommets de la philosophie se perdent dans le ciel de la Poésie), l’autre par la patience ou même pa
oulait construire une tour et qui avait posé un mauvais fondement… Le ciel veuille qu’à mon retour se fassent sentir les con
s cela à merveille. Il faisait un temps admirable, un soleil d’or, un ciel bleu pâle, presque blanc, comme nous n’en avons j
ent, pour que mon âme puisse sans péché quitter ce corps terrestre. Ô ciel , j’entends leur voix séraphique et leur prière. S
nous du bon temps et jouissons de cette papauté d’Avignon, puisque le ciel nous l’a accordée. Ici il y a un nouvel interval
bientôt fini de rire. La légation d’Avignon n’est plus ce présent du ciel que Garganello chantait il y a quelques années à
monde ; les Goths en comparaison devaient être des anges descendus du ciel  ». Lui, il tient compagnie aux dames restées seul
e, Les tensions d’un dos, ou les galbes d’un torse, Ou l’élan vers le ciel de grands bras exaltés, Si bien qu’en ces instant
poussière sordide. Seule, dans un coin, la lune perçant un instant le ciel nuageux, oui, la lune de Spolète, à travers les v
Tesino, quelques lueurs brillaient en lampe de sanctuaire, et dans le ciel tourmenté par des nuées sombres se dressaient, pl
cerveau, alourdi par les fumées du vin, était aussi peu clair que le ciel d’orage dont la lune se trouvait obscurcie. Comme
Tombe une glycine en fleur Et l’eau qui passe et repasse En montre au ciel la couleur. — Ce matin l’ardent soleil Forçait
9 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
formes extérieures et la couleur des choses, était avide d’éther, de ciel et de lumière, — un œil que le soleil fascinait é
de Gellée, s’il eût réalisé l’admirable union du champ natal, — et du ciel qui lui était propre. Certains génies tiennent à
ès d’une rivière ; de même son Étude d’après un groupe de pins, où le ciel , obtenu par une opposition très simple, est d’une
qui prennent lourdement la moitié de la feuille, et, d’autre part, le ciel qui s’éploie, léger, infini sur les vallonnements
ble, et, au fond, l’horizon très reculé des montagnes, basses sous le ciel . Les personnages, aux gestes malheureux, sont lou
 : dans un lointain très reculé, la grande équation du soleil dans le ciel se pose, magistralement ; autour du disque en feu
lus lourdes, d’une infinie justesse et d’une témérité rare : c’est le ciel de Cléopâtre… D’autre fois, c’est la transparence
noie d’une atmosphère de joie la composition tout entière : c’est le ciel de la Fête villageoise… Ici, c’est l’heure neutre
e et, derrière lui, ce lapin comique entre les fûts des arbres sur le ciel dur, — Ève grasse, au galbe régulier et aux forme
ccorder le repos. Quelques-unes apportèrent des torches, parce que le ciel , obscurci par l’approche de la tempête, prolongea
, sur l’Aimée, la procession se remet en marche. Elle est remontée au ciel , et il ne reste plus dans la forêt que Béatrice,
e Saint Aspect, « la sapience et la puissance qui ouvrirent, entre le ciel et la terre, la voie si ardemment désirée », le m
le moine de Fiesole eût pu retracer, en de radieuses enluminures, les ciels embrasés, les esprits enflammés d’amour et les vi
ues aux galbes doux, marbres égrisés comme ils ne le sont que sous ce ciel ou sous celui de l’Hellade et qui vieillissaient
10 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
ant misérables et vaines les disputes des scripturaires, il a pris le ciel à témoin, le ciel astronomique et la terre géolog
vaines les disputes des scripturaires, il a pris le ciel à témoin, le ciel astronomique et la terre géologique, et l’homme a
longs siècles, a méprisé la terre pour mieux orienter l’homme vers le ciel , et n’a vu dans la nature qu’un foyer de concupis
chose vivante. Dans son prodigieux orgueil, il se lèverait contre le ciel si le poids de ses membres ne le maintenait sur l
à attendre, en cet ordre. Jésus s’est incarné et Marie est montée au ciel . Cette involution de la divinité et cette évoluti
affirmer : Le Temps tournait la roue éternelle ; l’éternel retour du ciel suivait cette trace due, qui chasse devant elle t
conduit je ne les vois pas, mais j’aperçois une lumière indistincte : ciel encore brûlé                       par le soleil
nte relique, Toujours dressé sur son piédestal héroïque, Déploie au ciel d’azur ses ailes de vermeil ; Le tumulte passé
e une belle fleur Qui, jaillie un matin de l’écume azurée, Sous un ciel favorable où la nue est dorée, Du Ciel et de l’é
ont silencieux. Je t’aime sans espoir. Venise est ta patrie Aux ciels peints, ton image accompagne Marie, Et les anges
t venir à moi Et il viendra », dit-elle. « N’ai-je point prié dans le ciel sur la terre, Seigneur, Seigneur, n’a-t-il point
s par le soleil la libellule Est suspendue comme un fil bleu lâché au ciel  : — Ainsi cette heure ailée nous est versée de là
l’homme ne peut connaître Que comme un secret sacré ! L’écran même du ciel Cache la très pure profondeur et l’éclat très ado
et par trop gémissant, d’Eschyle, qui s’écrie devant des femmes : « Ô ciel , lumière où roule l’immensité, voyez ce que je so
esquelles l’esprit humain tente de nouveau aujourd’hui d’escalader le ciel … Pragmatisme, tendances religieuses nouvelles qu’
l’univers ; la seconde s’élève de la connaissance du monde à celle du ciel et nul n’a jamais pu penser, sans aberration à sé
admirables où, avec du sang, un prince peut gagner plus facilement le ciel que nous avec des prières. « Frappez, percez, tue
use dans le soleil et sous la lune et les étoiles, qui dresse vers le ciel ses portes rouges et étire jusqu’à l’orée des fra
Vignes folles pour y chercher les étoiles, les chantantes perdrix du ciel , chassées par la lune qui fut Diane, il y a des s
11 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
legre * Cinguettan quanto è il dì ; ma se le negre Ombre sgombrano il ciel , par che si addoppi La gioia di lor vita, e suona
ngotent toute la journée ; mais quand les noires Ombres déménagent du ciel il semble que se double La joie de leur vie, et s
12 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
it le Juif, mais du vrai et du faux, du visible et de l’invisible, du ciel et de la terre, des êtres animés et des esprits.
qu’ils y réussissent, car j’espérais en leur aide pour reconquérir le ciel . « Je vois dans vos yeux que vous voudriez me dem
en silence, regardant les étoiles qui commençaient à trembler dans le ciel languissant du crépuscule. Celui qui ne put p
13 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
ements, on se souhaite les accidents les plus terribles, on espère du ciel des vengeances éclatantes. Chacun est d’une loqua
s les pêcheurs criant au miracle, s’agenouillant et rendant grâces au ciel . Mon ami voulait prendre son train. A genoux, d’a
pain blanc, qu’il contemplait. On le servait. Il était à l’ombre, le ciel était bleu : c’était comme au paradis. Les bonnes
niel prétendait même que, lorsque certains astres se rencontraient au ciel , son morceau d’or lançait des rayons merveilleux.
ssemblée de femmes qui auraient conscience que le génie est un don du ciel . * Nul être n’offrit jamais le spectacle d’une je
ers moi. Je ne me pressais point, tant son contentement m’amusait. Le ciel était magnifique autour du soleil. Les mosaïques,
s disposer sur un tréteau, je les disséminai dans un paysage, sous un ciel orageux. Comme je ne parvenais pas à représenter
ia de les accepter et m’affirma qu’il ne remercierait jamais assez le ciel de m’avoir mis sur sa route, que, sans moi, il ne
s ; il a fallu voir les lieux où pria Zénaïde Fleuriot, vivre sous le ciel de Naples où aima Mathilde Sérao, visiter le Cair
rlait fort et gesticulait. Dès qu’il m’aperçut, il dressa ses bras au ciel et s’élança à ma rencontre : — Seigneur, vous arr
es. Une atmosphère pourpre montait de la ville et n’atteignait pas le ciel , qui restait bleu. Une galère suivait le grand ca
x de moutons, de Saints Pauls… — Relevez vos têtes, filles chéries du ciel , s’écria Ridolfi vêtu en Saint Théodore. Vous ave
aint Théodore. Vous avez assez prié, assez jeûné. Voici les fruits du ciel , les vins du ciel, les pâtes du ciel cuisinés par
s avez assez prié, assez jeûné. Voici les fruits du ciel, les vins du ciel , les pâtes du ciel cuisinés par les Archanges. Ma
assez jeûné. Voici les fruits du ciel, les vins du ciel, les pâtes du ciel cuisinés par les Archanges. Mangez et buvez. Surt
otre maître, et je te dirai : « Titian de Cadore, n’admires-tu pas ce ciel d’orage ? Les éclairs séparent les nuées amoncelé
n fragment d’architecture antique en arrière duquel se découpe sur le ciel un paysage accidenté ; mais le tableau d’Aigueper
nt Sébastien une œuvre d’une importance capitale. Le rayon tombant du ciel illumine la poitrine du supplicié, il en caresse
chers funèbres. Et, quand une flamme d’un rouge sang jaillira vers le ciel dites : « Voilà le feu qui consume la dernière ma
ux les cortèges de la toute-puissance. Déjà Sébastien ne voit plus le ciel  ; les anges sont loin. Il a pris dans sa main le
couchant fait flamber sa fournaise, Qui s’éteindra bientôt au fond du ciel pâli, Voir se dorer là-bas, tes pins, Villa Borgh
Mers et montagnes d’Italie, Fasquelle, 3,50. […] R. Hénard : Sous le ciel Vénitien, Lavaur, 10 fr. […] Les Revues. Memen
14 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
tiédeur de soleil occidental Riant aux céruléennes solitudes : Entre ciel et mer de candides oiseaux volent, Des îles verte
a grâce, il n’en manque point, lui qui se promène dans les jardins du ciel  ; et apte s’ils sont à tout dire, il ne leur est
15 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
naître au nouvel âge, poète de l’Italie, dont les strophes vibrent au ciel comme des épées rugissantes et dont le chant, ail
» : E uscir credeami italico vate a la nuova etade, Le cui strofe al ciel vibrano, come rugghianti spade, E il canto, ala d
16 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
tablie. C’est que, pour qui a bien contemplé la ville, la crudité des ciels de cobalt, des façades roses, du marbre éblouissa
formaient le corridor des acteurs, les coulisses et les portiques. Le ciel , bleu tendre, pommelé de nuages blancs et violâtr
et le fracas de la terre sous les coups ; en haut le murmure du vaste ciel ébranlé ; en bas les secousses de la longue chaîn
uréole noire ! Et cette chevelure bondissant autour d’elle Mordait le ciel  ; et c’étaient des torrents De poix, galopant en
l’audace qui parle, l’énergie, la vigueur. De ces deux anges en plein ciel , l’un, qui fend l’air d’un élan tout-puissant, le
17 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
entraînent la Vierge dans leur ronde enivrée. Partout l’ange relie le ciel à la terre et l’homme à Dieu ; sa radieuse appari
c’est là sa façon de sentir l’immatérialité : il ravale la beauté du ciel à un frisson de Sodome. En art, ce cuistre est ho
pensée. La zone transcendantale de la spéculation se confond avec le ciel religieux : recherche ou croyance se coudoient po
elle répondait « Il tombe depuis trois jours des torrents d’eau de ce ciel , que tu te figures si ardent et si bleu. Pour te
e meurt en ce moment. Te souviens-tu de lui ? L’orage, qui ébranle le ciel et fait ruisseler l’eau à travers les éclairs, hâ
mur sans tapisserie coule et semble pleurer. — Italie quand ton beau ciel se voile, dis-moi, apprends-moi ce que tu donnes
se surpasser. « C’est la première fois que je porte une fleur dans le ciel . Croyez-vous qu’elle soit légère ? Elle pèse peut
des yeux d’anges. Brillez, beaux yeux toscans, pleins des douceurs du ciel . Rome, Saint-Louis-des-Français — Juillet 1910.
la ville succombant sous l’intense chaleur du jour, c’est le décor du ciel qui flamboie : « Du soleil en fusion, de l’or par
te logique implacable qui nous étreint dans ce décor de rêve, sous ce ciel de lumière et de joie. Le regard de Laurent Évrar
Tout tremble, tout s’effondre et il reste des hommes qui menacent le ciel de leur poing, des femmes pleurantes. Peu à peu l
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXV »
rs vêtements, les animaux, les rivières, les ponts, les montagnes, le ciel , les lointains, tout y est traité avec un art inf
19 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXII »
it de la pluie et même du tonnerre. En me levant, je trouve, grâce au ciel , un temps superbe d’automne avancé, c’est-à-dire
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
ncore beaucoup plus ennuyeux que l’écrire, et c’est beaucoup dire. Le ciel m’est témoin que j’ai écrit hier à A. une lettre
21 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
errifié et haletant sur les dangers que court l’évadé, suspendu entre ciel et terre ; détails contés merveilleusement, mais
ue M. Gauthiez. Florence ou Île-de-France, on ne sait lequel des deux ciels a mis en lui le plus profondément son impression.
i provenant de l’ancienne collection du prince Orloff. Sur un fond de ciel d’un bleu profond coupé de nuages et dominant un
idon, déchaîne contre lui une tempête formidable. Les quatre vents du ciel s’acharnent sur le frêle esquif ; ils ont vite fa
ne raison très spéciale de mettre, dans sa tempête, tous les vents du ciel en scène : il avait besoin de faire entendre que,
qui cherche la maison paternelle la consentent parfois les oiseaux du ciel . — Les hommes laids montrent souvent une concepti
udie de son œuvre. Quel air vivifiant, quelle bienfaisante douceur du ciel , que de champs fertiles, que de collines inondées
celle de leurs facultés. La sobriété du feuillage, la monochromie du ciel , la simplicité des lignes bornées par la mer, tou
eau milieu de la mer, puisque la mer est encore le seul reflet pur du ciel inaccessible. Étant libéré de cette lourde et sac
anteurs en l’écoutant. Cette musique légère, fluide, limpide comme le ciel du pays qui la vit naître, n’enclôt nul troublant
cher dur et pervers De l’univers. Cellule, rayon d’or Qui perces le ciel , qui déchires la mer, Qui ouvres la terre ; Guerr
sommet, où quelques pins parasols, tout là-haut, se détachent sur le ciel bleu. Avant de défaire ma malle, j’étais passé su
a mer. Elle se dirigeait vers la colline, qui, sous la voûte bleue du ciel , illuminée, était avec éclat blanche, jaune et ro
où l’on vogue heureusement, triomphalement, divinement, au milieu du ciel bleu, sur une mer toujours radieuse !… Ainsi, au
it qu’au-delà de l’ombre, on aperçoit l’azur de la mer, la lumière du ciel , et la ligne vaporeuse de l’horizon lointain ; ce
i fis de la tête des signes affirmatifs. Alors, elle leva les bras au ciel  ; puis elle joignait les mains comme pour me supp
de flâner sous les étoiles, ne va-t-il pas lancer tout à coup vers le ciel une mélodie passionnée ? J’épiais tous les bruits
mions plus qu’un être, et nous nous croyions arrivés ensemble dans le ciel , au milieu des anges… Lorsque Lina fut à moi, nou
22 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
l y a dans la philosophie beaucoup de mystères qui ne sont ni dans le ciel ni sur la terre. Shakespeare. J’ai connu un homme
es et d’eau, une lumière mystérieuse, comme une étoile perdue dans un ciel d’orage, voilà mon démon qui m’emporte ! Une femm
ts des façades qui ne laissent entre eux aucun espace pour le bleu du ciel  ! Respirez cette odeur de fièvre ! On dirait qu’u
oin encore, c’était les collines ; des murs entre les taillis ; et le ciel formait un fond bleu, d’où se détachaient des cyp
ey et par moi. Puis, tout se fondit dans une lumière verdâtre : et le ciel eut l’aspect d’une vitre, contre laquelle se coll
ne Espagnole jeune et une vieille Maugrabine, dialoguent sous un beau ciel et derrière elles tout le panorama de la ville bl
palais sont baignés d’une atmosphère juste et très détaillée sous des ciels d’une grande beauté. Musées et collections
on le jette dans une prison, mais l’homme de fumée s’échappe dans le ciel comme un petit nuage. On lui avait demandé son se
des touristes érudits, mais une ville vivante et pittoresque sous un ciel admirable. […] Parmi les peintres de ville, M. Ab
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
nce, et y entraîne les âmes vers les splendeurs de la Vérité, vers ce ciel où chante la plus haute espérance. Francesco C
24 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
s le livre une Anglaise cherche ces menaces des murailles romaines au ciel et au temps. Continus, intenses, noirs, croassa
 semble insister, furieux, l’essaim augural — pourquoi tentez-vous le ciel  ? » Dans l’air arrive grave, du Latran, un son de
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
lle son cher cygne de Padoue, le Brillant et sage Algarotti À qui le ciel a départi L’art d’aimer, d’écrire et de plaire.
 ; et, dans son enthousiasme, il va jusqu’à s’écrier : « Béni soit le ciel qui vous a inspiré l’amour du plus divin passe-te
26 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
, au balancement des corolles, sur la courbe des tiges gracieuses, le ciel bleu et limpide comme les yeux d’une jeune vierge
ière, à la Beauté, qui se manifeste depuis la plante, élevant vers le ciel , comme une prière, le rythme de ses feuilles, jus
27 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
émouvant dans sa tendresse de tout-petit, et ce fond génial, tout en ciel , où se profilent ces arbres ébranchés et ces rose
êtes aiguës et dentelées des derniers Apennins, tout au loin, sous le ciel léger, un pan de mer profonde, — petit jardin sym
us testiculairement impuissants qu’on ait jamais vus sous la voûte du ciel  ; pour les esprits mesquins soutenus par la fortu
28 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
tte loin d’elle sa tristesse, et voici que déjà elle s’élance dans le ciel des Alpes à l’Orient. » Au mois d’août de la mêm
n compensation leur réalisme solide et pratique : nous restions entre ciel et terre. Et ainsi, le monde, sous la poussée all
au fond d’une sombre époque. Cherchons-les, ces brûlantes étoiles, au ciel non moins noir de la nôtre, où luisent d’un feu t
né ou en réalité je me croirais mort-né et me jugerais la disgrâce du ciel et de la terre, si par votre lettre je n’avais vu
ace, pour laquelle la venue des nôtres était la manne enfin tombée du ciel , — et dont les femmes, que convoitent les soldats
arfaite sérénité. Mais ce qui achevait de les transporter au septième ciel de la paix intérieure, lorsqu’il s’agissait du fr
29 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
nheur des yeux, et il a placé, comme entre deux infinis, la mer et le ciel , la mort et l’espoir, un couple d’amants qui, par
montrent à la foule. Les cris et les vivats redoublent et montent au ciel  ; la joie est au comble… Soudainement, un éclair,
30 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
tement l’appel de la race. Depuis dix ans, la guerre grondait dans le ciel d’Europe et ils la pressentaient plus sûrement qu
es et ces plaines et ces arbres et ces paysans qui travaillent, et le ciel sur nos têtes, et l’amertume du perpétuel inassou
leuse dont les fenêtres laissent voir, quand il fait beau, un coin de ciel bleu, une prison d’où l’on peut contempler l’infi
ne reverra plus sa mère. Car Luisa ne reporte pas son regard vers le ciel et elle ne fait pas allusion à une survie où elle
31 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
coli, commentaire du vers de Dante : … ben m’accorsi ch’egli era del ciel messo. Cet envoyé est Énée, « qui seul avec la S
32 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
l semble que toute une phénoménologie serait nécessaire pour dire les ciels , les végétations, les pierres et le peuple clairs
zone, Su, su, su, Venzon, Venzone. Saint-Marc, regardant du haut du ciel , Vit Antoine et son Venzone. Il dit : Je vous rec
e Pacifique ; bassin fermé entre les régions les plus privilégiées du ciel . Ne serait-ce donc pas sottise de croire que la F
ngelo Secchi, l’astronome illustre qui mérita le titre d’historien du ciel . Il ne manquait pas d’intuition pour les choses d
33 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
tin Dont l’heure triomphale est de printemps fleurie Et, pure sous le ciel , la mer de Ligurie Qui rêve en souriant jusqu’au
ghilé, et devant le plus beau et le plus riche des tapis bleus que le ciel ait jamais confectionnés… Nous fûmes vite camarad
qui formeront mon vade-mecum si jamais je retourne. In quel pezzo di ciel caduto in terra18. Il faut bien en croire cette
, métallurgique. L’Italie continuait à sommeiller lourdement sous son ciel . Il est vrai qu’elle n’avait point, comme les deu
34 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
arce que nous savions que ce ne sont point là des dons qui tombent du ciel ou des effets mécaniques de victoires militaires
35 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
mme Léda ou Pomone, comme la Modestie ou la Vanité, jusqu’au septième ciel de l’expression symbolique. La Joconde est, dans
36 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
pour l’existence rude, saine et libre des flots. L’isolement entre le ciel et l’eau, loin des villes et des hommes, l’illusi
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