lamo Riaro, Catherine Sforza. M. Ch. Benoist étudie dans les premiers
chapitres
ces exemplaires préparatoires, à partir du Sforza
nettes, en tableautins, en escapades et lestes choses ». Groupons les
chapitres
: les trois chapitres de psychologie générale : «
, en escapades et lestes choses ». Groupons les chapitres : les trois
chapitres
de psychologie générale : « La Vie légère » ; « l
Villégiature » ; « les Femmes, l’amour et le cavalier servant » ; le
chapitre
dédié aux gens d’esprit, résumés en Gasparo Gozzi
gens d’esprit, résumés en Gasparo Gozzi, le critique et gazetier ; le
chapitre
sur la musique, le chapitre sur la peinture ; les
sparo Gozzi, le critique et gazetier ; le chapitre sur la musique, le
chapitre
sur la peinture ; les trois chapitres sur le théâ
; le chapitre sur la musique, le chapitre sur la peinture ; les trois
chapitres
sur le théâtre vénitien : le premier nous décriva
Chapitre
LXII Je vais extraire aussi le chapitre des mœu
Chapitre LXII Je vais extraire aussi le
chapitre
des mœurs sur lequel M. Long, qui a éprouvé des f
Je crois que M. Félicien Champsaur a dédié à M. Lucio d’Ambra divers
chapitres
d’un roman ; il a été quelque chose dans le Comit
na. Tome XLVIII, numéro 166, octobre 1903 Casanova à Dux. Un
chapitre
d’histoire inédit Arthur Symons. Traduit de l’a
édition originale, avec une seule lacune : les quatrième et cinquième
chapitres
du douzième volume manquent, comme l’indique l’éd
dition originale, qui ajoute : « Il n’est guère probable que ces deux
chapitres
aient été retranchés du manuscrit de Casanova par
rt et qu’apparemment je suis le premier à révéler, est un Extrait des
Chapitres
4 et 5. Il est écrit sur du papier semblable à ce
d’Extrait, il paraît contenir, en tous cas, la plus grande partie des
chapitres
manquants auxquels j’ai déjà fait allusion, les c
partie des chapitres manquants auxquels j’ai déjà fait allusion, les
chapitres
IV et V du dernier volume des Mémoires. Dans ce m
e et Scolastica dont l’histoire est interrompue par la fin brusque du
chapitre
III ; nous retrouvons Mariuccia du volume VII, ch
in brusque du chapitre III ; nous retrouvons Mariuccia du volume VII,
chap.
9, qui épousa un coiffeur ; et nous retrouvons au
J’ai fait part de ma découverte à Herr Brockhaus et j’espère voir les
chapitres
IV et V à leur place quand l’édition tant désirée
ert et qu’apparemment je suis le premier à révéler est un Extrait des
chapitres
4 et 5 », dit-il, et jusqu’ici nul n’a prouvé avo
p. 268-278 [277]. […] Figaro (16 Sept. et suiv. ). — En trois beaux
chapitres
, M. Anatole France résume ses impressions d’un vo
arquions à propos de ses articles. Je n’oserais pas dire que tous les
chapitres
du livre soient assez développés : il me semble,
e prend alors une allure très vive ; mais en comparaison du sujet, le
chapitre
ne me semble pas suffisant, et il laisse le lecte
pour son essai un contraste lumineux, qui aurait tenté un artiste. Le
chapitre
le plus complet de cette première série d’études
e XXV, numéro, 97, janvier 1898, p. 266-268 [267]. Voici un excellent
chapitre
d’histoire littéraire, Érasme en Italie, amusant
le d’avoir tort. Plus qu’ailleurs, ce système est remarquable dans le
chapitre
qui traite de Napoléon et qui en esquisse la psyc
her un peu de vérité, le présent livre reste des plus estimables. Les
chapitres
consacrés à Rome souterraine et aux découvertes d
la voix en faveur de ce pays pittoresque et méconnu ; dans plusieurs
chapitres
chauds et brillants, s’il n’efface pas complèteme
sans plus. Ce n’est pas flatteur pour les hommes. Très bons premiers
chapitres
où l’on voit l’enfance du petit Attilio développe
tes, et les mains dans un manchon (emprunté à Francine, sa voisine de
chapitre
), elle meurt en chantant, comme la Traviata, comm
emagne, au moyen âge. — Pour les femmes en Abyssinie, voir le curieux
chapitre
: Madames des officiers. — Les abyssines s’épilen
r les détails, je renvoie à l’intéressant livre de Jordan et Labanca (
chapitres
VIII, IX et X) et voudrais leur signaler une lacu
ique réside surtout dans sa vitesse et il s’ingénie à traduire, en un
chapitre
, cette estetica della velocità . Par suite, la v
1910) : […] Georges Bourgin, « Santa-Rosa et la France » (1821-1822) (
chapitre
de l’histoire du libéralisme italien, 1820-1821)
ui les poussera désormais à vouloir, à agir, à mourir ; et le premier
chapitre
du roman donne assez l’impression du premier mouv
ssante. Le festin des monstres de la mer et l’orgie qui suit sont des
chapitres
merveilleux. Il est certain que ce n’est guère co
oduit, inséré, — sans crier gare — dans son nouveau texte jusqu’à des
chapitres
entiers du précédent volume. On peut comparer les
squ’à des chapitres entiers du précédent volume. On peut comparer les
chapitres
sur Pérouse ; les chapitres intitulés : l’Umbria
du précédent volume. On peut comparer les chapitres sur Pérouse ; les
chapitres
intitulés : l’Umbria Verde et la Colline sacrée d
s : l’Umbria Verde et la Colline sacrée dans Heures d’Ombrie, avec le
chapitre
: Vers Assise, dans Heures d’Italie ; le chapitre
s d’Ombrie, avec le chapitre : Vers Assise, dans Heures d’Italie ; le
chapitre
sur Montefalco dans les deux livres. — Au moins p
udiciaire, car l’imputation absolument fausse de sorcellerie (voir le
chapitre
sur la maladie de Léonora Galigaï) le rendit seul
it de Tommaso Laurenti, architecte et peintre palermitain. Un premier
chapitre
résume excellemment l’histoire mouvementée de Bol
donnent un aspect si nouveau. Quels beaux morceaux oratoires que ces
chapitres
relatifs au chant d’une beauté qui s’en va vers l
mperont ou se sacrifieront ou s’abandonneront mutuellement ; c’est le
chapitre
final des romans bien faits ou les cinquante page
I, numéro 323, 1er décembre 1910, p. 506-511 [510-511]. Plusieurs des
chapitres
compris dans la Philosophie de Léonard de Vinci d
ier frères et toutes les autres ; elle n’apparaît même qu’à partir du
chapitre
v du tome VI, lequel correspond au chapitre i du
araît même qu’à partir du chapitre v du tome VI, lequel correspond au
chapitre
i du tome IX de l’édition Paulin et au chapitre x
lequel correspond au chapitre i du tome IX de l’édition Paulin et au
chapitre
xiv du tome V de l’édition J. Rozez. Notre distin
de traduction et pour y recueillir une repartie de quelque valeur au
chapitre
des entrevues de Casanova avec Voltaire. L’entrep
l’édition française de Brockhaus, vous ne trouverez pas, à partir du
chapitre
v du tome VI, des pages entières, d’une décence p
ocurée par les tomes IX et X de l’édition Paulin, à partir du premier
chapitre
du tome IX, où commence la traduction non moins l
ses huit volumes parus en 1833… C’est tellement ainsi que le dernier
chapitre
du tome VIII de Paulin finit, comme le dernier ch
ue le dernier chapitre du tome VIII de Paulin finit, comme le dernier
chapitre
du tome VIII de Brockhaus, par le paragraphe ci-a
ée. Nous ne saurions assez insister sur ce point : jusqu’à la fin du
chapitre
cité, les huit premiers volumes de Paulin, les hu
éline, Rozez, Garnier, Flammarion, sont identiques. C’est à partir du
chapitre
suivant que la bifurcation des textes est manifes
ette et de Mlle Crozin, la prétendue nièce ? Qu’il compare le premier
chapitre
, si court, du tome IX de l’édition Paulin (chapit
ompare le premier chapitre, si court, du tome IX de l’édition Paulin (
chapitre
xiv du tome V de l’édition Rozez), avec les chapi
’édition Paulin (chapitre xiv du tome V de l’édition Rozez), avec les
chapitres
vi et vii, si longs, du tome VI de l’édition Garn
in, avec les rectifications reconnues indispensables, les préfaces et
chapitres
inédits divulgués par Octave Uzanne, d’abondantes
tain comte Battaglini. La discussion de fait occupe les deux derniers
chapitres
et un appendice. Les premiers chapitres recompose
fait occupe les deux derniers chapitres et un appendice. Les premiers
chapitres
recomposent la vie du duc de Chartres à l’époque
ur cela il intéressait. » — « Alphonse Daudet, écrit-il dans un autre
chapitre
, est le Sardou du roman. Presque tous ses travaux
lure du style, la franche saveur d’italianité de la langue ; quelques
chapitres
ont un relief et une force de coloris extraordina
Claudiani Mamerti De Statu Animae (Cygneae, 1655, in-16). 3. Voir le
chapitre
intitulé : Boethius and the scholastic problem. —
lit. Il semble donc qu’on puisse accorder une confiance suffisante au
chapitre
des Mémoires où Casanova raconte ses visites chez
oires, VIII, 381. 14. Mémoires, IV, 454. 15. Essai sur les mœurs,
chap.
106. Le même jugement est exprimé dans les mêmes
mœurs, chap. 106. Le même jugement est exprimé dans les mêmes termes,
chap.
74. 16. Mémoires, IV, 469-471. 17. Section I.
Chapitre
LXVIII Retour de Naples à Rome, second séjour à
Chapitre
LXXX Après cela, je fus trop heureux et trop oc
Chapitre
LXI Naples a aussi produit d’excellents chanteu
Chapitre
LXIV Les habitants d’un pays si fertile et si b
Chapitre
LXXIV Madona del Monte 27 octobre, 7 h. 1
Chapitre
LIX. Musique à Naples Un prêtre qui avait que
Chapitre
LVII Mardi, 8 octobre 1811. Nous allons à Pompé
Chapitre
LXVII Ces gens-ci sont extrêmement portés au ta
Chapitre
LXXVII At two of o oclock the fair Ang. give m
Chapitre
LXXVIII Milan, 30 octobre 1811. Pendant son abs
Chapitre
LXXIX Je suis allé voir le Cénacle de Bossi, ch
Chapitre
LXIII La dernière classe du peuple à Naples est
Chapitre
LXV Quand on n’a pas traversé le tapage de la r
Chapitre
LXXVI [Hier, 28, a été un jour heureux. Je me s
Chapitre
LX On met au premier rang des musiciens non inv
Chapitre
LXVI Le goût du pays pour les arts paraît dans
Chapitre
LVIII Jeudi, 10 octobre 1811. À une heure du ma
gré à l’auteur de tant de choses charmantes sur l’Italie du précieux
chapitre
qu’il consacre à la psychologie du peuple florent
stre professeur de la faculté de Florence ; il finit, par exemple, un
chapitre
sur une invocation des plus pathétiques au Seigne
rincipe du grand secrétaire de la République florentine ; et quelques
chapitres
, comme celui-ci : « Les ennemis on les désarme en
son livre demeure un travail de clairvoyance et de sain jugement. Des
chapitres
étendus et bien documentés concernant les visées
n 1423, commence, pour Ruskin, la décadence architecturale. Parmi les
chapitres
les plus remarquables, il faut encore signaler, b
es furent écrites. Puis, en se relisant, Beyle s’était aperçu que son
chapitre
sur le Beau, dont il était fort content, avait di
été écrites par lui « en 3 jours ». Ainsi fit-il, on le sait, pour un
chapitre
perdu de la Chartreuse. Quelques ouvriers de styl
ncé, si l’on en croit un plan écrit alors par Stendhal29. De tous les
chapitres
que nous en connaissons, il lui restait seulement
cale (Claude Debussy). 8. Mercure de France du 15 août 1905. 9. Ce
chapitre
est intitulé la fin d’une Aristocratie dans le co
, de l’Opéra-Buffa, l’attendait tous les soirs chez lui. 24. Tout un
chapitre
, et celui que Stendhal estimait le plus, les cent
Chapitre
LXIX Ancône, 19 octobre 1811. Ancône [J’écris
Chapitre
LXII Civita, Isola Bella, le 25 octobre 1811, à
Chapitre
LXXV Milan, 29 octobre. Je comptais commencer c
Chapitre
LXXIII Madona del Monte le 26 8bre 18
Chapitre
LXXI Écrit à Varèse, le jeudi 24 octobre 1811.
Chapitre
LXX Ne sono colla L*** a take to her the… sans
r le cose… » Nous revoilà dans le pragmatisme et revenus aux derniers
chapitres
du Crepuscolo où l’occultisme fait une inquiétant
ainville avec la Guerre et l’Italie (Fayard), qui raconte en quelques
chapitres
bien documentés comment l’Italie s’est décidée à
les plus troublées des relations franco-italiennes. Remarquables, les
chapitres
sur le relèvement économique et le déclin de la T
ance des conditions économiques de notre pays lui permet d’écrire des
chapitres
de lecture facile et intéressante, bien que bourr
Letteratura Inglese de Emilio Cecchi (Milano, Treves), où il y a des
chapitres
très bien écrits, mais où les appréciations ne so
, à côté des éreintements célébrés de Croce, de d’Annunzio, etc., des
chapitres
sur Tristan Corbière, Remy de Gourmont et Romain
nouveau, quoique sa peinture soit fortement évocatrice. Mais d’autres
chapitres
intéressent davantage. L’auteur a obtenu du Gouve
ette morale perverse et répugnante, on ne saurait trop recommander le
chapitre
consacré, moins à la visite que fit l’auteur au C
ser, pour oublier mon attente de chaque seconde, et j’improvisais des
chapitres
entiers de mes Survivances, lesquels chapitres, e
, et j’improvisais des chapitres entiers de mes Survivances, lesquels
chapitres
, en vérité, devaient être extraordinaires. Je don
eilleurs sur ce sujet. Il y aurait à citer presque à chaque page ; le
chap.
xvii est consacré à la question des Berbères ; l’
nu, mais l’effort vers la glorification suprême de ce qui n’est qu’un
chapitre
, très restreint dans le temps et dans l’espace, d
ans le livre « une passion patriotique toute nouvelle », et ce fameux
chapitre
xviii, toujours réprouvé, — « En quelle façon les
e ! » Ce fut tout un roman d’amour, chaste et triste, en trois petits
chapitres
, — une minute, — à l’ombre d’une rose. XXI. Un
nt. Le caractère factice de cette division apparaît nettement dans le
chapitre
consacré à la crise économique de 1887. S’il est
onsommation, a en effet donné des résultats remarquables, et c’est un
chapitre
bien intéressant que celui où M. Lémonon fait l’h
s’y mêlait une question de climat. En effet, l’étude de ces premiers
chapitres
coïncidait avec les mois d’hiver, lesquels, là-ba
se ou tragique ? M. Robert de la Sizeranne nous l’apprend dans un des
chapitres
de son livre : les Masques et les Visages à Flore
ouvaille, une seule, il a identifié Caton M., dont il est question au
chapitre
iii des Mémoires et dont il publie des lettres da
nière d’un geste un peu bien câlin, j’allais dire polisson. Citons le
chapitre
viii ; aussi bien il n’est pas long : « Elle pleu
e le chicanerai que sur un seul point : la fantaisie de ses titres de
chapitres
, qui déroutent souvent et font appel à des corres
a même inquiétude, ou, si l’on aime mieux, treize nouvelles ou treize
chapitres
d’un livre de mémoires psychopathologiques. Les d
i que sur l’événement de 1915, on consultera notamment le substantiel
chapitre
intitulé : « Un ministre et deux souverains » (le
’est-à-dire de son pays, le reste de ses forces. Dans son remarquable
chapitre
final sur le caractère et l’influence de Catherin
r en bâtir un, d’acheter un morceau du terrain de Sainte-Catherine au
chapitre
de Sainte-Marie-des-Fleurs38. Ce terrain me coûte
-des-Fleurs38. Ce terrain me coûte trente gros ducats environ. Le dit
Chapitre
m’a fait attendre deux mois pour l’avoir. Ils me
errain que j’ai pris ne me suffit pas pour ce dont j’ai besoin, et le
Chapitre
en a, derrière celui-ci, une certaine quantité ;
[Rome, 1544.] Très saint Père. Comme Votre Sainteté l’a vu par le
chapitre
de Vitruve43, l’architecture n’est pas autre chos
euvent avoir l’attrait de l’inédit, puisque tout le monde en a lu les
chapitres
, écrits au jour le jour, dans le Corriere della S
xandre Farnèse, élu pape sous le nom de Paul III (1534-1545). 43. Le
chapitre
de Vitruve auquel Michel-Ange fait allusion est,
sion merveilleuse dont il raconte les détails dramatiques dans un des
chapitres
de ses Mémoires. Cette évasion, qui a été l’objet
e théâtre, rien de mieux ; qu’un romancier en fasse dans son livre un
chapitre
charmant, c’est parfait ; mais que l’histoire ins
— que c’est tout à fait cette région-là que nous ouvrent les premiers
chapitres
du livre de M. Gauthiez. Je ne parlerai pas d’éru
s. C’est un gros volume, luxueusement édité et illustré, dont les six
chapitres
renferment un programme aussi fortement lyrique q
rofesseur d’Ancona. Or, ces deux éditions qui, à part les coupures de
chapitres
différentes, sont exactement les mêmes jusqu’au d
’est pas encore venue de se prononcer. On trouvera, dans les derniers
chapitres
du livre de M. de Colleville, un exposé, — sans c
urs qu’on rencontre dans les casinos et qui ne plaisantent pas sur le
chapitre
de l’honneur. Il m’a rendu service une fois et vo
idèle à son titre, qu’il n’oublie pas, voici la phrase qui termine le
chapitre
XIV, l’avant-dernier. Nous n’avons plus que 20 pa
vre de Shakespeare. Mais, tant est grand le pouvoir de l’imitation au
chapitre
des lettres, le premier littérateur n’ayant pas p
got des professions et des groupes politiques. Enfin, dans le dernier
chapitre
, l’auteur examine ce qu’il appelle l’argot magiqu
ignements sur les gens de la maison d’en face ; je la mis donc sur le
chapitre
des voisins. Elle ne se fit guère prier, à la vér
Louis Lautrey, 1909, p. 164. 41. Montaigne, Essais, 1588, liv. III,
chap.
ix. Cf. le président de Brosses, lettre XLII : «
4. 43. Journ., p. 416. 44. Journ., p. 154. 45. Essais, liv. II,
chap.
xvii. 46. Brantôme, Discours sur les duels, t. V
Goethe, loc. cit., p. 178. 56. Pline, Histoire naturelle, liv. III,
chap.
v. 57. Goethe, en passant par divers états d’âme
n [extrait] […] On trouvera, dans ce gros volume de 538 pages, les
chapitres
les plus curieux, les plus typiques de ses divers
ournit des séries nombreuses et M. Jean de Foville lui a consacré des
chapitres
très informés. L’influence de l’art flamand au xv
de novateurs, exprimés en des épîtres, qui formeront un jour quelques
chapitres
de l’histoire de la nouvelle formation idéale méd
Tome LXXIII, numéro 264, 16 juin 1908, p. 684-688 [685, 686]. […] Un
chapitre
sur les Amours Milanaises, où nous retrouvons l’é
ans l’intérieur des terres un ancien envahissement de la mer. Dans un
chapitre
de ses Promenades philosophiques (2e série) consa
la vie basée sur le caractère des espèces idéales et matérielles. Les
chapitres
sur Stendhal, sur Nietzsche, sur « les rythmes so
ire sert à démontrer l’action de la Providence. On ne citerait pas un
chapitre
de l’Encyclopédie de Diderot qui ne trouve sa pla
émouvante. Domus Aurea célèbre les louanges de cette ville. Dans un
chapitre
— qui est un hymne — sur la chute du Campanile, l
res », dit l’aînée des gondoles. Une semblable mélancolie est dans le
chapitre
ou l’auteur parle de la Femme et de l’Amour, mais
les celle de d’Annunzio, complètent la liste, pêle-mêle, tandis qu’un
chapitre
est consacré à un critique théâtral et dramaturge
capable de nous donner ; il a préféré simplement disposer en bouts de
chapitres
sa documentation, présenter époque par époque, si
gie de l’amour, dont G. de Maupassant a, lui aussi, écrit de nombreux
chapitres
, un autre problème l’a visiblement préoccupé : la
s françaises, elles sont aussi assez rares. Si l’on ne compte pas les
chapitres
plus ou moins importants consacrés à Innocent III
I. On trouve, de même, quelques autres indications nouvelles. Dans un
chapitre
supplémentaire, l’auteur fait un curieux tableau
les Gentils. Cette façon de donner en sommaire une citation de chaque
chapitre
m’a paru, malgré son aridité, plus propre qu’un d
dit par exemple : Fuore di me, vous ne pouvez rien faire (saint Jean,
chap.
VII). D’ailleurs les accès de folie qu’avaient a
n’a pas encore été écrit ; on attend toujours, entre maints amusants
chapitres
, celui qui s’appellerait : « les mariages manqués
era des choses grandes ». Autre pensée de Léonard épinglée au premier
chapitre
: « On ne peut avoir de plus grande seigneurie qu
archéologie. Cet opuscule est un peu tassé. Il y a plus d’air dans le
chapitre
sur Sienne. On y voit plus au large la ville et s
souverain paraît avoir frappé M. de Reiset qui lui consacre plusieurs
chapitres
rétrospectifs, depuis les premières années du xix
. C’est l’œuvre d’un esprit paradoxal qui résume, en une vingtaine de
chapitres
, ses idées sur les types littéraires italiens et
ginale de Leipsick. Or, ces deux éditions qui, à part les coupures de
chapitres
différentes avec des en-têtes de chapitres différ
ui, à part les coupures de chapitres différentes avec des en-têtes de
chapitres
différents (on ne voit pas pourquoi), courent exa
ersonnages masculins et dix femmes. Mais les chœurs aussi ont voix au
chapitre
, car dans les grands moments de tumulte chacun se
ave jeune homme, il y a cependant, dans votre aventure avec Lélia, un
chapitre
qui serait de nature, il m’en faut convenir, à fa
e) sur les xie , xiie et xiiie siècles, où se détachent de si beaux
chapitres
sur Philippe-Auguste. M. Luchaire voulait faire p
puisque voilà notre homme, de par cette transition inattendue, sur le
chapitre
des femmes, il y reste et s’y étend avec complais
ui, à la fin, dénoncera les adultères, nous intéresse dans le premier
chapitre
comme une circonstance quelconque de la vie de l’
nitie à l’histoire de l’art espagnol aux xive et xve siècles et son
chapitre
est l’un des plus originaux par la nouveauté des
eut cette curiosité de reconstituer la Rome antique. Lire le curieux
chapitre
que lui a consacré M. G. Vallette dans ce volume.
ans son Siècle de Louis XIV et dans son Essai sur les mœurs plusieurs
chapitres
spéciaux qui sont parmi les plus neufs et les plu
s, désespérées, et de celles qui s’installaient sur la mort, tous ces
chapitres
parfaits, qui composent comme le grand poème fant
rendu par des équivalents les expressions intraduisibles et coupé en
chapitres
ce récit qui, sous sa forme originale, ne présent
henticité des récits du célèbre aventurier. C’est ainsi que, dans son
chapitre
: Casanova chez Voltaire, il nous prouve facileme
lemment de l’architecture de Ravenne et de la peinture de Venise. Les
chapitres
consacrés à Giorgione et à ses successeurs, à Tie
de Cola Rienzi contre la force égoïste des aristocrates forme un des
chapitres
les plus intéressants de l’ouvrage. Avec beaucoup
onné dans l’Histoire des Œuvres de Stendhal, de M. Paupe lui-même, au
chapitre
des Chroniques italiennes, ou ailleurs ? Pourquoi
e, Capri, Castel di Monte, Sabine et l’Ombrie. C’est surtout dans les
chapitres
consacrés à la Sicile que les qualités de Gregoro
’Orient »), l’auteur a, çà et là, et notamment au paragraphe V de son
chapitre
VI, pressenti, d’une manière que les faits ont ju
néneuse, fauchée par la peste. Tout n’est peut-être pas exact dans ce
chapitre
de l’histoire de Venise, mais tout y est digne du
ons très faciles pour le diplomate. Il y avait là un des plus curieux
chapitres
de l’histoire diplomatique à écrire, et d’ailleur
elschinger, dans sa brochure de cent pages, paraît avoir écrit sur ce
chapitre
tout ce qu’on en peut écrire à ce jour. On saura,
de Schopenhauer, de Spencer, de Nietzsche. Le volume s’achève sur un
chapitre
qui dans l’esprit de l’auteur donnerait un congé
on allégorique et raisonnée. » Est-il besoin de commenter ce premier
chapitre
? Dante donne la science comme suprême perfection
enant j’étais en train de relire, pour la millième fois, les premiers
chapitres
de la Genèse, et vous comprenez bien pourquoi. J’
et d’appréciations fantaisistes. Il est difficile de rédiger de bons
chapitres
d’histoire littéraire, et qui pourrait nous empêc
eaux de valeur. Son livre est à lire et il reste que plusieurs de ses
chapitres
se trouvent un véritable enchantement. Échos.
e de la façon la plus singulière. En effet, dans son De voluptate, au
chapitre
An moriendum sit pro aliis, on trouve que la patr
ros cantantes in eadem ecclesia. En 1544, il signe un contrat avec le
chapitre
de la cathédrale de Palestrina pour le service ch
et les transformations modernes — et les descriptions sont coupées de
chapitres
spéciaux, par exemple sur les Étrusques, Pompéi,
tons-nous d’ajouter qu’à défaut d’une vraie préface les cinq premiers
chapitres
du tome I peuvent, aux restrictions près indiquée
eu d’introduction. On pourra s’y renseigner, en y ajoutant le dernier
chapitre
du même tome et tout le tome II, sur la méthode d
ui parle un langage si vrai, si ému, si inattendu, qu’il s’arrête. Ce
chapitre
, le dernier, est dans le roman de M. Anastasi abs
étails de sa démonstration. Elle se dégage de l’ensemble, et non d’un
chapitre
en particulier. C’est l’historien que l’on retrou
▲