êtu de lumière, dont l’épée d’or flamboyante écrit dans l’azur noir :
Beauté
— Noblesse — Intelligence — Volonté. Tétragramme
nt inutiles, indifférentes ou tristes : leurs mystérieuses paroles de
Beauté
ne répondent qu’à ceux qui interrogent. Les yeux
rythme certain des nombres, car, seuls, les Grecs ont connu toute la
Beauté
; trois jeunes filles, sœurs de l’Aphrodite, ondu
a crier avec la matière : « Mon ventre a créé un être plus parfait en
Beauté
que celui jailli du cerveau du génie ? » De la co
a Forme naît la connaissance de l’harmonie, seule manifestation de la
Beauté
; et c’est aller aux confins de l’Esprit humain q
ésirons, comprenons et possédons l’Harmonie. Bâtissons un temple à la
Beauté
, la Beauté éternelle, immuable, qui vivifie et dé
mprenons et possédons l’Harmonie. Bâtissons un temple à la Beauté, la
Beauté
éternelle, immuable, qui vivifie et déifie la nat
té éternelle, immuable, qui vivifie et déifie la nature entière, à la
Beauté
, qui se manifeste depuis la plante, élevant vers
u souffle de l’Esprit. Au seuil du Temple, humble fidèle, à la Déesse
Beauté
j’adresse ici cette prière avec tout l’élan de mo
se Beauté j’adresse ici cette prière avec tout l’élan de mon Être : «
Beauté
, Phare étincelant où s’oriente l’Humanité en rout
evêtus du signe d’immortalité, sauf lequel il n’est point de parfaite
beauté
! Tout n’est qu’imitation inférieure des quelques
l’artiste — qu’un hasard de lumière, un effet de lampe découvrent une
beauté
qui n’est pas celle à laquelle il avait songé. Un
dans les cheveux… Renaissance latine : la volupté pure et simple, la
beauté
plastique, quelques-uns de ces mots qui ne simule
x purs artistes, à ceux qui ont le sens et une vision originale de la
beauté
. Il admire les livres d’Anatole France, surtout T
ur au cavalier Marin, presque méprisé, et qui fabrique des vers d’une
beauté
si ingénieuse et parfois si profonde. Mais l’hist
mieux affirmé, sous la patine ardente de la sensualité italienne, la
beauté
du métal corinthien. La jeune littérature peut re
lles ne le sont plus que par leur valeur et ce qu’elles renferment de
beauté
singulière. Toute la littérature digne de nom, en
quelle il défend, en art et en littérature, le droit à la lumière des
beautés
nouvelles. Les Théâtres. Représentations itali
cablés, en raison même de cet ennui peut-être — pour eux critérium de
beauté
— les premiers ont feint de rester fidèles à leur
à la pointe d’argent sur vélin), et la médaille, d’un style et d’une
beauté
incomparables, dont je ne sais d’analogue dans l’
ntait « à voix de syrène » et ne pouvait paraître sans qu’aussitôt sa
beauté
ne fît sensation. Lionel qui pleurait Marguerite
upeau de paysans ébahis, qui n’y comprenaient mot. Il y parlait de la
Beauté
Éternelle, des mœurs anciennes, et d’autres chose
furent dénaturées par le travail de mains moins habiles. Son type de
beauté
est si exotique qu’il fascine plutôt qu’il ne cha
cas. On le voit, dans son premier âge, fasciner tout le monde par sa
beauté
, improviser de la musique et des chansons, achete
x. Et par de telles études une certaine fusion entre deux extrêmes de
beauté
et de terreur se forma, comme une image visible e
laissé quelques-unes de ces esquisses, qui sont pleines d’une étrange
beauté
, cette beauté lointaine que comprennent seulement
s-unes de ces esquisses, qui sont pleines d’une étrange beauté, cette
beauté
lointaine que comprennent seulement ceux qui l’on
l’ont soigneusement cherchée, ceux qui, partant des types reconnus de
beauté
, ont autant raffiné sur eux que ces types raffine
mêmes sur le monde des formes communes. Mais étroitement mêlé à cette
beauté
on trouve aussi un élément d’ironie ; de sorte qu
t appeler la fascination de la corruption pénètre en chaque touche sa
beauté
, finie d’une manière si exquise. Autour des ligne
osé presque également de deux sentiments, la curiosité et le désir de
beauté
. Curiosité et désir de beauté — voilà les deux fo
sentiments, la curiosité et le désir de beauté. Curiosité et désir de
beauté
— voilà les deux forces élémentaires du génie de
ie de Léonard, la curiosité étant souvent en conflit avec le désir de
beauté
, mais engendrant avec lui un type de grâce subtil
es pâles. Parfois cette curiosité entrait en conflit avec le désir de
beauté
; elle avait tendance à le faire pénétrer trop pr
. La lutte entre sa raison, ses idées, ses sensations et son désir de
beauté
, voilà la clef de la vie de Léonard à Milan, avec
art, que la peinture ne peut jamais faire. Souvent l’expression de la
beauté
physique parait ici ou là être forcée et gâtée pa
s ces lourds fronts allemands : trop allemands et trop lourds pour la
beauté
parfaite. Car il y avait un trait de germanisme d
e plaît à l’œil en même temps qu’elle satisfait l’âme. Cette curieuse
beauté
se manifeste surtout dans ses dessins, et particu
susceptible, plus que tout le reste, de mettre en lumière le type de
beauté
féminine particulier à Léonard. Filles d’Hérodias
au-dessus des fins de l’art ; chez lui, cette culture solitaire de la
beauté
semble provenir d’une sorte d’amour-propre et d’u
, étaient renfermés certains dessins de Verrocchio, des visages d’une
beauté
si frappante que Léonard, dans sa jeunesse, les a
monde se rejoignent ». Les paupières sont un peu fatiguées. C’est une
beauté
qui semble façonnée de l’intérieur, c’est comme l
ces belles femmes antiques : comme elles seraient troublées par cette
beauté
, dans laquelle l’âme a passé avec toutes ses mala
ant comment un homme qui avait toujours brûlé d’un si vif amour de la
beauté
, mais qui l’avait poursuivie toujours dans des fo
cette époque, fin subtil, spirituel, assez sceptique, amoureux de la
beauté
, artiste et politicien avant tout. Qu’on se l’ima
par la religion chrétienne, qui a condamné le plaisir, imaginé que la
beauté
était la porte du diable, s’est acharnée contre l
ue qui étaient dédiés à la glorification de la vie, du plaisir, de la
beauté
. Depuis, un lourd cauchemar a hanté les esprits.
ce de logique froide ou de malice que l’on peut découvrir la radieuse
beauté
spirituelle que Pérugin, personnellement, infiltr
la conception grandiose de Marie sera traînée dans le ruisseau de la
beauté
vendue. Se ravalant inconsciemment de plus en plu
gestion d’enfer ; — il s’enivrera de cette apparence qu’il appelle la
beauté
, et qui ne sera plus en ses mains qu’une forme vi
es invasions, quand les Barbares abattaient tous les simulacres de la
Beauté
et détruisaient tous les vestiges de la Pensée. L
endante de l’idéalité des pères, dans le pouvoir indestructible de la
Beauté
, dans la souveraine dignité de l’esprit, dans la
ès la conquête de la Grèce, qu’ils commencèrent à se préoccuper de la
beauté
; ils transportèrent d’abord les statues et les p
lle sur les Fresques de Florence, c’est une œuvre de poète ému par la
beauté
des œuvres bien plus qu’une sèche critique ; le l
a gloire ancienne, mais l’âme ancienne. Et son poème, si exubérant de
beauté
et aussi de graves défauts lyriques, fera lenteme
que je ne m’exagère pas, du reste, apparaît comme le révélateur de la
beauté
suprême et absolue. — La sculpture échappe, natur
Phidias, où la raideur archaïque s’effaco devant l’unique souci de la
beauté
de la forme ; l’expression respire à la fois la f
r la terre sereine dont nous sommes si loin, déjà. § Pour produire la
Beauté
, il faut la force, le pouvoir, l’autorité. Si la
ies, et faisant jaillir à l’horizon, de leurs richesses latentes, les
beautés
qui recouvrirent, depuis, le sol natal. Temps vra
r le premier occupant venu, qui, sourd à leur langage, aveugle à leur
beauté
, les soumet à la vileté du commerce ou à l’utilit
ant Dieu de nous avoir permis de rencontrer encore quelques traces de
beauté
, ces traces sont consolantes, elles sont réconfor
à elle, ces architectures nobles et calmes font un heureux appel à la
beauté
supérieure : elles offrent, au seuil de cette mer
s contrées montagneuses qu’un art de cette sorte fait valoir toute sa
beauté
: en une plaine nue et plate il paraîtrait froid
l’homme de génie, en rythment la conscience et s’expriment par lui en
beauté
fixe, en harmonie durable. C’est ainsi qu’il peut
èrent non plus de divertir le peuple par des fêtes d’un luxe et d’une
beauté
extraordinaires auxquelles leur famille et les fa
le plus grand luxe, et leurs palais mêmes brillaient davantage par la
beauté
et la grandeur de l’architecture que par la sompt
Florentin était fier de Florence, nulle cité n’égalait à ses yeux la
beauté
de la sienne. Florence était pour lui le monde. A
« aristocratiques ». Il y avait beaucoup de Florentins sensibles à la
beauté
et beaucoup étaient capables de créer de belles c
besoin profond, ressenti par la généralité, un besoin d’imprégner de
beauté
toute la vie. À ce besoin satisfaisait une foule
tiquité dont les œuvres d’art, qui reparaissent au jour, attestent la
beauté
et la grandeur. On la prend pour modèle ; il semb
’on renouait une tradition ; l’on revoyait cette image parfaite de la
beauté
humaine, perdue durant des siècles, et elle appar
es problèmes techniques qui les préoccupaient et atteint une parfaite
beauté
d’expression. Ils découvraient une architecture b
’énergie active, de personnalité, tout ce qu’ils avaient eux-mêmes de
beauté
et de force productrice. Grâce à eux, il nous est
e domaine de la curiosité, surtout parmi les œuvres des primitifs, la
beauté
des portraits vénitiens suffisait pour retenir lo
iens. Mais ce qu’on ne saurait trop vanter dans cet ouvrage, c’est la
beauté
en général de l’illustration, des planches tirées
Laurens. Celui que l’on a appelé le Révélateur de la Religion de la
Beauté
fut, et demeure, certes, l’un des plus grands esp
de sa vie et de son œuvre, un véritable apostolat, combattant pour la
Beauté
avec un désintéressement que lui rendait facile s
de la Sizeranne, comme une Bible du paysagiste. C’est un hymne à la
Beauté
de la Nature, de ses montagnes, de ses océans, de
nduite de la vie, s’allie à l’observation des lois génératrices de la
Beauté
. Mais l’homme aussi a créé des choses belles ; R
ère de vertus sociales capable de produire des monuments d’éternelle
beauté
. On peut lire dans la belle monographie de Mr Fré
. de la Sizeranne eut donné son étude sur Ruskin et la Religion de la
Beauté
. On a publié, depuis, les études de H. J. Brunhes
7), enseignent les lois de l’art de construire et montrent comment la
beauté
de tout travail humain, de tout édifice, dépend d
s noble partie et acheva son chef-d’œuvre par l’assemblage de tant de
beautés
vivantes en une seule figure idéale. § On peut di
tes et de roses. Et ils ont chanté : « J’ai jugé les fesses de trois
beautés
. D’elles-mêmes m’ayant pris pour arbitre, elles m
type d’humanité y fleurit, où l’âpreté provençale s’adoucit de molle
beauté
sicilienne ou s’y stylise dans un profil romain a
doctrine de G. d’Annunzio tendant au surhumanisme par le culte de la
Beauté
qui n’offre au caractère italien un idéal suscept
elle arrive à présenter avec notre littérature, pour son ardeur à la
beauté
et à la vérité par le réalisme, une ressemblance
rences et développe son éloquence à les imposer comme un paradigme de
beauté
et de culture, ainsi que l’a fait M. Henri Mazel.
r le sens du vrai qui lui manquait : « Son art, qui a su concevoir la
beauté
abstraite, veut trouver sur le sol antique le sec
u Génie du Christianisme l’énonça. Cependant Chateaubriand a créé une
beauté
nouvelle, la beauté attristée des ruines et de la
isme l’énonça. Cependant Chateaubriand a créé une beauté nouvelle, la
beauté
attristée des ruines et de la mort, la beauté fra
une beauté nouvelle, la beauté attristée des ruines et de la mort, la
beauté
fragile des choses vivantes qui vont mourir. Tein
hommes rares qui, instruits par l’Esprit-Saint, eurent l’amour de la
beauté
et de l’harmonie. Aussi, à travers les âges, sa p
olitudes, pour être certain qu’ils comprenaient et aimaient les pures
beautés
de la création. Par ces choses visibles, ils s’él
» Au hasard des feuillets, je relevai ces passages : Il était d’une
beauté
accomplie, ce qui, au premier abord, lui donnait
s, en France et même en Italie, pouvaient rivaliser avec elle pour la
beauté
du climat, le charme et la commodité de la vie. A
e partie de ce volume est consacrée aux louanges de la campagne, à la
beauté
de la terre labourée et à la sainteté du labeur.
égance de lignes. Le sens artistique de Bélisaire, son instinct de la
beauté
lui firent goûter la petitesse de cette tête à l’
e contrefaçon, il en était sûr, — des armes rouillées, des vases sans
beauté
, des lézards, des fossiles, mélange affreux sous
r son souffle haletant s’apaiser, son amant contemplait longuement la
beauté
parfaite de son corps rejeté en arrière, la ligne
éjouissait les ombres. Ainsi, elle évoquait la chose rare, unique, la
Beauté
mystérieuse… De son visage auquel une couronne de
eur. Elle attendait. Qu’attendait-elle ? L’amant de sa grâce et de sa
beauté
? Viendrait-il un jour la revendiquer, elle, si c
sans même un regard désintéressé, hommage à sa seule et immatérielle
beauté
, dans une armoire sombre, à sa place, à son rang
lle à Gubbio, avait tout de suite remarqué la statuette. Frappé de sa
beauté
, il crut sincèrement rencontrer pour la première
la plus fine des villes d’Ombrie. Hélas ! il ne pouvait sentir ni sa
beauté
ni sa finesse… Il sentait surtout ce relent sui g
stre de Messine, il a su trouver de nouveaux accents d’éloquence, des
beautés
d’expression et de peinture et de sentiments d’af
op spéciales études de mœurs. Le courant qui l’emporte le mène, de la
beauté
classique des vieilles cités latines, à l’immensi
eu : tout ce qui brûle, consume et purifie. L’art, l’expression de la
beauté
. L’amour, paroxysme de beauté, chez deux artistes
e et purifie. L’art, l’expression de la beauté. L’amour, paroxysme de
beauté
, chez deux artistes. Or, en France, avec deux hér
ène comme théâtre, Venise où toute grâce se double d’un reflet, où la
beauté
se dresse hors de son propre miroir, à la fois pl
inée. Ce noble poème humain a tenté M. André Lebey, qui en a rendu la
beauté
plastique et intellectuelle dans un style souple
ent pu demeurer inertes, sont vivifiés par un sentiment profond de la
beauté
. Il faut une belle confiance en soi pour oser tra
à conduire la représentation jusqu’au bout. Cette attitude devant les
beautés
éclatantes de l’œuvre de M. Boïto ne faisait honn
n opéra, et on l’imaginait dans les décors de la scène, à travers les
beautés
d’une musique puissamment personnelle, exceptionn
énérale ; l’architecture italienne n’a jamais connu la grandeur et la
beauté
des lignes. — C’est dire que les illustrations re
’un art curieux, un peu étrange et dans lequel, à côté d’œuvres d’une
beauté
incontestable, on est choqué tout à coup par un é
cette ville tragique, par sa somptuosité fabuleuse autant que par la
beauté
de ses lignes, au sommet de ce promontoire pittor
enté par les élèves de l’Académie des Beaux-Arts. Il en faut louer la
beauté
curieuse, peut-être un peu lourde, mais qui s’har
tre : Rome prête à la passion son décor inoubliable de grandeur et de
beauté
. Mais le tas de préjugés qui est au fond de toute
e là, regardant sans but autour de lui, inconsciemment fasciné par la
beauté
de la lumière et la tranquille douceur du jour fi
e naissait donc avec un défaut d’origine, vis-à-vis duquel toutes les
beautés
dont le poète a su parsemer son œuvre, ne pouvaie
pu prononcer un jugement définitif et il attend, pour ce qui est des
beautés
poétiques et littéraires, d’avoir sous les yeux l
tro Orefice rencontra constamment ; mais je dois remarquer toutes les
beautés
poétiques et littéraires qui font du drame imagin
, mais ayant pour parure cette première fleur de la jeunesse et de la
beauté
qui charme les rêveurs”. Becq de Fouquières nous
unes. Cette fois certaines, mieux dans leur jour, offrent d’imprévues
beautés
. J’y reviendrai. […] Lettres allemandes. Die
ages par bonheur ; elles sont nombreuses, choisies, variées, et d’une
beauté
d’exécution dont ne saurait trop faire l’éloge.
sba Anguissola, qui eut une grande réputation de charme et presque de
beauté
, dont les musées et les collections possèdent des
se dans cette pièce de M. Corradini, c’est la forme littéraire, d’une
beauté
sévère et simple, tout à fait classique ; l’auteu
ns vaniteuses, égoïstes, et s’élèvent au pur amour de la vie et de la
beauté
. C’est alors que les grandes signatures s’effacen
t. Le réalisme flamand offusque notre premier regard. Ces femmes sans
beauté
, c’est-à-dire dans lesquelles nous ne trouvons pa
esquelles nous ne trouvons pas les traits d’élection de notre type de
beauté
, qui sont grandes et sans grâce, qui n’ont pas le
ormer selon un personnel idéal de douceur, de suavité, de grâce et de
beauté
. Ils sont des témoins respectueux qui regardent p
arrosse dans la boue, et qu’un beau jour de ses trente ans, en pleine
beauté
, le Christ reprit pour en faire une Carmélite ; o
n », comme on disait de son temps, qui l’induisit à l’adoration de la
beauté
. Il l’aima et la rechercha dans toutes ses manife
squ’à l’excès maigri depuis le jour où Praxitèle avait immortalisé sa
beauté
dans le marbre de la statue, dont un rideau souda
ce de cette culture insue de l’auditoire, née d’une accoutumance à la
beauté
, qui permit à la fois la résurrection de quelques
que M. J.-C. Broussolle demeure infiniment sensible malgré tout à la
beauté
pure, et qu’il possède sur le sujet traité les co
nt un érudit ; c’est en même temps un esprit infiniment sensible à la
beauté
, c’est en même temps un de nos meilleurs lettrés.
arfois énergiques, les rythmes du traducteur amoindrissent souvent la
beauté
mâle de l’original, en bouleversent l’allure, et
représentation « a comparativo » du héros méditerranéen qui exalta la
beauté
de Durandal, l’épée en bon acier trempé, avec laq
ée celle où on citerait les tableaux illustres où l’ange l’emporte en
beauté
sur le Christ et la Madone. Depuis Assise jusqu’à
Polyclète : par la logique du génie ils résolurent le problème de la
beauté
plastique, comme les Grecs et comme plus tard les
célestes : c’est là sa façon de sentir l’immatérialité : il ravale la
beauté
du ciel à un frisson de Sodome. En art, ce cuistr
ercure de droite, comme dans la Madone de la Victoire, il a exalté la
beauté
de son saint Georges ; et sans fin, au parcours d
u parcours des Pinacothèques, on trouverait toujours triomphant en sa
beauté
, le puceau, l’androgyne, céleste ou terrestre, qu
e d’art, si elle est belle. Aucun voile ne cache tant la chair que la
beauté
; être beau c’est appartenir à un troisième sexe,
souche arménienne et née sur l’Adriatique vénitienne, est disparue en
beauté
, car elle a entraîné dans sa mort l’être aimé. Le
rit plus. Vittoria Aganoor-Pompily, qui avait aussi la renommée de la
beauté
, était la plus bourgeoise et la moins curieuse de
e aux sommets de la renommée. La double mort lui donne une auréole de
beauté
qui sans nous éblouir nous charme. J’ai le regret
était bien vrai. Une demi-heure après, nous l’avons embrassée dans sa
beauté
« qu’on venait d’arracher au sommeil », charmante
. Le missalo di tempi di San Ambrosio, orné de sujets saints, dont la
beauté
, le dessin et les couleurs sont au-dessus de tout
d’Angleterre34. Le Portfolio de 1909 ne le cède pas en intérêt et en
beauté
aux précédents. Les vingt planches en héliogravur
elle pourra se composer. Cette recherche lui fait découvrir certaines
beautés
de notre temps, certains motifs du lyrisme modern
deux sœurs et le frère, chargés d’atavismes, d’élégances perfides, de
beautés
surhumaines ; de l’autre côté, il y a les deux am
de certains gestes qui semblent sans nulle poésie, et il en a fixé la
beauté
profonde. Il a pu ainsi révéler la perfection mus
r, et non le protagoniste ; ceux qui de son sein s’élèvent jusqu’à la
beauté
d’un grand conflit individuel cessent par cela mê
oi de Lombardie, joignait « aux fleurs de la jeunesse une si parfaite
beauté
» que les dames de sa cour n’avaient pas à faire
rmand ajoutaient à la prose de M. Nozière la glose souriante de leurs
beautés
diverses et également entraînantes. Il y eut des
romantiques Giosuè Carducci restaure prodigieusement le temple de la
beauté
païenne, Alfredo Oriani respecte, admire, mais ne
où, librement, l’âme s’élance et plane, Ciel, dont j’ai contemplé la
beauté
diaphane ; Sol divin, que mes pieds n’ont foulé q
ruction, « à sentir plus profondément la vie par la vision de tant de
beautés
qui s’en vont à la mort ». C’est une note entière
ls beaux morceaux oratoires que ces chapitres relatifs au chant d’une
beauté
qui s’en va vers la Mort ou aux Ombres qui flotte
tine qui cherche avec avidité toutes les occasions de se montrer « en
beauté
» n’a pas perdu une heure pour suivre cette voie,
bien, qui a l’air d’une dogaresse » ; Roger Dembrun, d’une admirable
beauté
mâle, d’un cœur sincère et fervent, ami sûr, aman
meux par leur passé, où l’on puisse s’imaginer vivre une existence en
beauté
. Venise sera-t-elle encore de ces cités-là ? Sans
et qui l’auraient ridiculisée, si l’on pouvait jamais ridiculiser la
beauté
! Archéologie, voyages. Memento [extrait] Ch
1910, p. 187-192 [191-192]. L’Italie reste le « commun réservoir » de
beauté
. L’orner, c’est embellir le genre humain. La natu
son habituelle facture de dessinateur esthétiquement synthétique, la
beauté
de ce spectacle de la nature, fait de jeux de lum
mer un tel inventeur » (15). Pétrarque, Æneas Sylvius découvrirent la
beauté
de la nature ; leurs paysages sont des chefs-d’œu
ion. « À ceux qui ne se contentent pas du bénéfice de la vie ni de la
beauté
du monde, il est imposé pour châtiment qu’ils ne
ne comprennent pas la vie et restent insensibles à l’utilité et à la
beauté
de l’univers (53). » Le thème majeur de la pensée
le galbe pur de ses jambes ! Dans quel ravissement l’ont plongé cette
beauté
de couleur et de forme, ce sens instinctif de l’a
ire le pêcheur, qui est maladroit, qui est laid, mais qui comprend la
beauté
du pêcheur, qui souffre et sent ce qui lui manque
Dieu. Les expressions brillent d’un véritable fanatisme. « C’est la
beauté
de l’univers qui fait demeurer l’âme dans la pris
de peine. Le soleil ne luit que pour montrer à l’œil de l’homme cette
beauté
partout répandue. » Les amants se tournent invinc
able opération, œil, fenêtre du corps humain par où l’âme jouit de la
beauté
du monde et se console ainsi de sa servitude (qui
a beauté du monde et se console ainsi de sa servitude (qui sans cette
beauté
deviendrait un tourment). » L’ancien mysticisme f
peut se transmettre par des leçons. Le vrai nom de la qualité est la
beauté
. On peut dire qu’elle est cachée dans les œuvres
u même coup les deux erreurs capitales : le réalisme et le poncif. La
beauté
est cachée : une imitation littérale ne saurait l
le barreau. « Ô merveilleuse peinture, tu conserves les périssables
beautés
; elles durent alors plus longtemps que les œuvre
à la technicité. Donc l’enseignement de la vérité est identique à la
beauté
: proposition qui résout toutes les controverses.
œur tendre, tu m’appelles, Toi qui ne fus qu’un noble effort vers la
Beauté
! Je n’imagine pas de meilleure aventure, Et
Mon âme inassouvie, avec avidité, Comme fait un miroir, épouse ta
Beauté
, Et voudrait à jamais la fixer au passage. P
norent les charmes des amoureuses illustres. Politien met en rimes la
beauté
de Simonetta, la belle Simonetta, femme de Marco
on œuvre une unité, à sa composition un centre. C’est le secret de la
beauté
des quelques œuvres que nous a laissées Verrocchi
uvre, le Colleone, l’Incrédulité de saint Thomas 11, paraissent d’une
beauté
sobre. Tous les détails pourtant ont été profondé
mond ne laissent pourtant plus de doute. Ces visages de femmes, d’une
beauté
si douce, avec des yeux aux paupières baissées qu
sait que l’art est perfectible dans ses moyens d’exprimer la vie, la
beauté
. Eugène Müntz, que nous avons vu si injuste à son
sme et de foi en présence de toutes les manifestations humaines de la
beauté
, il a affirmé, à maintes reprises, une admiration
avoir avec émerveillement aperçu dans ses tableaux « une recherche de
beauté
émotionnelle », il sut se dérober à toute discipl
urs conceptions les plus abstruses sous l’apparence harmonieuse de la
beauté
humaine et les peintres ont pu, grâce à ce goût d
en qui il situe toujours la plus haute signification d’incorruptible
beauté
, de tendresse et de candide savoir. Si elle est m
l esthétique du poète. Dans sa recherche d’une forme supérieure de la
beauté
féminine, il interrogeait la réalité vivante pour
rogeait la réalité vivante pour y découvrir les signes évidents d’une
beauté
immatérielle. Tout l’élan de ses ferveurs, toute
le devant la femme révélatrice de l’Infini ! Dans la forme humaine la
beauté
visible atteint son apogée ; elle est d’elle-même
elle est d’elle-même adorable, quoiqu’elle ne soit que le signe d’une
beauté
supérieure. L’idéal anglais a toujours été plus p
nd comme les desseins de Dieu. Cet amour est inextricablement mêlé de
beauté
; la beauté en est le symbole positif et visible,
desseins de Dieu. Cet amour est inextricablement mêlé de beauté ; la
beauté
en est le symbole positif et visible, et c’est da
La Femme Vraie. Être une suavité plus désirée que le Printemps, Une
beauté
corporelle plus accueillante, Que l’arcade du ros
age rare de dévouement absolu au service de l’art. Le sentiment d’une
beauté
totale l’avait tout jeune pénétré et le dominait
, sans nulle raison, comme sans nulle raison elle s’était montrée. La
beauté
mâle et très simple du David tragique, aussi modi
n critique, tout au long de son étude. Il la révèle en évidence et en
beauté
, surtout dans la partie où il discute la phrase d
sa culture fait vibrer ses enthousiasmes devant tant de souvenirs de
beauté
et de force épars sur l’île du soleil. Dans quelq
Béatrice n’a pas existé, que représente-t-elle ? L’idéal : « idéal de
beauté
, idéal de lumière, sainte du Paradis, cette femme
s. » Cependant, cette Fiammetta, la moins connue des trois « dames de
beauté
de ce temps », fut sans doute la plus réelle : au
amais suffisante pour que fût sacrifiée en eux cette discipline de la
beauté
décorative qui leur était naturelle. Le réalisme
ue rarement fleuries d’images neuves. Et par ce sentiment pieux de la
beauté
de la chair et de la nature, le poète italien se
par amour de Loredana, femme humble par sa naissance et divine par sa
beauté
, pour un noble descendant des Doges, auquel elle
les ornements de sa plus grande fortune, ses signes de noblesse et de
beauté
, et l’essence de Venise est constituée par cet hé
e l’Adriatique. Il exalte plutôt l’enjouement de Venise, sa pompe, sa
beauté
extérieure, ses mœurs, son élégance, sa grâce et
oderne trois œuvres seulement où l’image de Venise soit comparable en
beauté
et en profondeur à celle-ci. M. Morasso voit la v
e est d’avoir, par son âme, exalté Des âmes ; c’est d’avoir désiré la
Beauté
! Laisse tomber les jours, puisque tu les féconde
u décor et aux personnages, met aux prises deux adorateurs d’une même
beauté
; un poète platonique et un solliciteur plus entr
crer corps et âme à créer des chefs-d’œuvre. Prenez bien garde que la
Beauté
doit avoir sa place dans le monde, et même la pre
rie ligurienne, de la grande patrie antique qui courbe sa force et sa
beauté
le long des côtes de la Provence et de la Ligurie
de « ne plus se souvenir », et de découvrir en son âme seule quelques
beautés
nouvelles, quelques attitudes, représentatives d’
e grande émotion ressentie devant une catastrophe terrible jusqu’à la
beauté
, vient d’être traduit et publié dans des conditio
aine et d’une courtisane, recueilli par de braves gens touchés par sa
beauté
? Par la suite, chaque fois que nous lui parlâmes
ante et glorieuse que le Giorgione. Il frémissait devant la vie et la
beauté
, comme un capitaine qui livre sa première bataill
s, je le répète, créature humaine ne vibra aussi violemment devant la
beauté
. Celles qui l’écoutaient le sentirent et elles dé
r séduit les femmes et vaincu l’hostilité des hommes imprimèrent à la
beauté
de Barbarelli, son charme viril et cet air triomp
mpeccable comme une Vénus lui apparaisse, et il déclarera vulgaire la
beauté
trop épanouie d’Alexandra Vellani. * Tant que dur
i d’intelligence ; mais ils n’éveillent pas en nous la surprise d’une
beauté
nouvelle et trop souvent transposent, sans plus,
te femme. — Qui est-elle ? — Alexandra Vellani. — As-tu découvert une
beauté
comparable à la sienne ? — Certes ! — Celle des s
uverts, des yeux sans cesse émerveillés, des yeux qui jouissent de la
beauté
des choses, qui s’en repaissent. Ils sont plus je
firmer, avant-hier, que les enfants surpassent parfois les femmes, en
beauté
! — Titian connaît-il ce tableau ? — Pas encore…
ues de plus en plus méprisées, hélas ! Un instant, je redoutai que la
beauté
de Cœcile ne séduisît Giorgione. Il n’en fut rien
génie… Tu enchantes les yeux et touches les cœurs. Tu as réalisé deux
beautés
: celle des formes et celle de l’intelligence. Qu
beur avec une fougue et une confiance que soutenaient son amour de la
beauté
et la célébrité dont il jouissait. Giorgio peigna
rer simple avec un tel génie, un tel rayonnement d’intelligence et de
beauté
paraît une insolence aux gens communs et d’un sav
le ? Retiendrais-tu tes pleurs, en entendant tes camarades décrire la
beauté
d’une peinture ou d’une femme ?… — Je préférerais
ait le talent de Titian le desservait aussi. Les hommes envieux de sa
beauté
et de sa désinvolture, les femmes qu’il dédaignai
tandis que moi… — Tu es ivre, Ridolfi ! — Non ! je suis enivré par la
beauté
! On l’applaudit, parce qu’on aimait sa bonne hum
rûle sur les lèvres des phrases insensées, dit-il. — J’échangerais ma
beauté
contre les dons divins de Cassandra, répliqua la
ifs, il improvisait, sans vergogne, sur l’art, sur les passions et la
beauté
, des discours blâmables et destinés à inquiéter l
ous avez connu la Maurina vivante. Je ne vous parlerai donc pas de sa
beauté
. Dès le premier regard, je compris que je lui app
es promenades, l’équipage la découvrit. La lueur de la lune révéla sa
beauté
. Les traversées sont longues, monotones. La prése
itude envers moi me défendit de le considérer ainsi qu’un ami. Que la
beauté
de ses fresques surpasse celle des miennes, cela
firent découvrir en lui un être de ma race. Le plaisir le guidait. La
beauté
l’exaltait. Au cours d’un entretien sur l’amour,
quand j’aurai fait de Giorgio un homme heureux de m’avoir, fier de ma
beauté
… — Je lui révélerai, moi, ta conduite… — Il ne te
utter entre elles imprimaient à la face de Giorgione une épouvantable
beauté
. De larges plaques verdâtres entouraient ses yeux
ubliez pas. — Quand vous aurez achevé une peinture resplendissante de
beauté
… lorsque la beauté palpitera dans une œuvre, dite
vous aurez achevé une peinture resplendissante de beauté… lorsque la
beauté
palpitera dans une œuvre, dites-vous : « Giorgio
dites-vous : « Giorgio est satisfait. »… Voyez-vous, il n’y a que la
beauté
dans le monde… la saine beauté des choses naturel
isfait. »… Voyez-vous, il n’y a que la beauté dans le monde… la saine
beauté
des choses naturelles… la beauté telle que la déc
ue la beauté dans le monde… la saine beauté des choses naturelles… la
beauté
telle que la décriraient les arbres, le soleil, l
es femmes… s’ils en étaient capables… Et, lorsque vous parlerez de la
beauté
, réunis autour d’une table… laissez ma place inoc
mon âme immortelle viendra s’asseoir parmi vous… Ne recherchez que la
beauté
… Et, dans le premier rayon d’or de l’aurore, sa m
oublier Barbarelli ; aucun ne le remplacera. Certes, mon amour de la
beauté
me permettra d’apprécier les toiles de Titian et
lée, que l’œuvre de Fogazzaro est tarée par l’absence du style, de la
beauté
. On parle volontiers en France de grands écrivain
ustin, ni même saint François d’Assise : le charme irrésistible de la
beauté
. Qu’est-ce qu’un écrivain sans style ? Figurons-
e se borne pas aux grandes œuvres consacrées ; elle divulgue aussi la
beauté
d’œuvres moins connues, mais souvent aussi intére
vec Sébastien comme un lion avec un agneau. Bien qu’il l’aime pour sa
beauté
, il le menace des pires supplices à cause de sa f
ont, aux lueurs blanches des marbres sortis des ruines, reparaître la
beauté
antique. Et nous tous en serons comme hantés. Et
s de son enfance, inséparablement ; elles luttent en lui. Il adore la
beauté
païenne avec une ferveur mystique qui peut-être e
st pas saisi de la plupart. Enfin si M. Bakst a fait beaucoup pour la
beauté
des décors et des ensembles des couleurs et des c
irecte de la Mort et de la Résurrection du Sauveur. Les germes de ces
beautés
, le drame religieux, né au pied des autels, les c
térature italienne, seconde venue, dépasse la nôtre en grandeur et en
beauté
, parce qu’avec Dante, Pétrarque et Boccace, elle
i font preuve de son immense érudition et de son enthousiasme pour la
beauté
. N’occupant aucune chaire à l’Université, ne brig
qu’un but : jeter aux yeux des foules grondantes la poudre d’or de la
Beauté
! Je suis certain que les ouvrages de M. Chledows
: « Comment ne pas être artiste en face de ces horizons de rêve où la
beauté
le dispute au grandiose ? » et on est volé. […] —
Milan est le plus beau séjour que j’ai passé en Italie, soit pour la
beauté
de la ville qui est bien bâtie, et bien grande, e
d’amour, ne soit entre les mains d’un détraqué follement épris de sa
beauté
et qui, enfermé avec elle au plus profond de sa d
’éducation artistique de la Démocratie », les « droits du Peuple à la
Beauté
», et autres clichés pour discours de banquets él
l’avènement d’une société où le peuple serait vraiment sensible à la
Beauté
; mais, en attendant, croit-on sérieusement qu’il
t une femme réelle, qui, un jour, passait sur leur chemin, et dont la
beauté
éveillait en leur cœur l’amour. Elle devenait la
plus proche d’eux, qui satisfaisait leur mysticisme épris pourtant de
beauté
charnelle. Béatrice, comme Selaggia, et d’autres
au concept de Vérité les Humanistes florentins ajoutèrent celui de la
Beauté
, et leurs œuvres en témoignent, nous pouvons dema
li ou M. Francis Jammes. La langue de M. Pascoli est d’une très forte
beauté
simple : elle représente encore, dans la péninsul
origines et les étapes de la gloire de Rome païenne et chrétienne, la
beauté
rayonnante des vingt-huit routes romaines, la mar
ce libre et rayonnante. Ces livres étaient dominés par une idée de la
Beauté
qui, tout en étant l’abstraction méthodique d’un
l’esthéticien, pour entrevoir toute la profondeur de sa science de la
beauté
de l’art, toute la fraîcheur printanière de sa se
ement devant les yeux stupides des innombrables profanateurs de toute
beauté
, ces êtres hybrides que les « Cook’stours » envoi
magistrale, dont la description de Paul Mantz n’avait pas exagéré la
beauté
: grandeur du style, recherche aiguë du caractère
tableaux célèbre. La fille d’Alexandre VI y apparaît au déclin de sa
beauté
, dépourvue de toutes les séductions maléfiques qu
nd talent incitateur, ceux-là même qui n’ont eu quelques attitudes de
beauté
créatrice qu’en des attitudes identiques à celles
-ils agir et réagir avec la même véhémence, la même élégance, la même
beauté
? Le crime de Brando n’est ni immoral, ni amoral
inéluctable besoin d’équilibre, voire d’harmonie et par cela même de
beauté
: il aurait pu être évité, si les quelques contin
r l’unité absolue de son personnage, par un langage pratique plein de
beauté
. « Je crois, dit-il, avoir distinctement le rythm
s évocations politiques, la théocratie se détache par l’ampleur et la
beauté
du tableau ; mais de tous les périls que l’homme
ises ou de couvents de pâles vierges d’une pureté, d’une bonté, d’une
beauté
surnaturelles ; et c’est presque vers le même tem
et si pénétrant. D’ailleurs les Italiens étaient très sensibles à la
beauté
des œuvres allemandes et c’est avec quelque raiso
ils aspirent est la perfection. Ils rêvent de réaliser au dehors une
beauté
dont ils croient avoir l’image toute prête, dans
les mieux doués, ils visent plus haut, et animent leurs œuvres d’une
beauté
supérieure : pour celui à qui s’est enfin ouvert
er, ses yeux se voiler, tandis que toujours de nouvelles images de la
beauté
surgissaient en lui, on s’explique qu’avec la mer
imple rencontre d’un modèle, la création par Botticelli d’un idéal de
beauté
féminine. Car vraiment l’on ne s’expliquerait pas
n gramine Cum virgine speciosa. Ils ont d’exquises façons de dire la
beauté
de leur belle : Nudam fovet Floram lectus, Caro
et du Beau chrétien (ou moderne). Avant la révélation de la forme de
Beauté
que nous ont donnée Raphaël, Michel-Ange, Vinci,
n eut un, que fut-il ? Comportait-il cette sérénité et cette radieuse
beauté
des œuvres proclamées, ou priait-il, ou pensait-i
moins dire, sans que personne me puisse démentir, que ce qui fait la
Beauté
de l’une dans son tout, transporté dans l’autre n
de l’une dans son tout, transporté dans l’autre n’y engendrera pas la
Beauté
si les éléments de l’art auquel on s’adressera ne
pas les artistes, en homme qui donne pour que d’autres le servent en
beauté
. Il vécut avec eux, il leur en imposait par sa vo
issant, au génie inépuisable, en tout digne de comprendre la farouche
beauté
de son dur sentiment, et de l’exalter pour toujou
omité ne réponde pas à de vagues aspirations, mais qu’il comprenne la
beauté
, la perfection de sa mission qui doit le pousser
écaniquement sans un frisson pour sa jeunesse, sans un regard pour sa
beauté
, veille sur lui. Et lorsqu’il va accomplir son de
une Vierge de Carlo Dolci à la grâce maladive ; un Ghirlandajo d’une
beauté
et d’un calme rares ; une réplique de Rubens ; un
774-783 [780-782, 783]. Ernest Tissot : Les sept Plaies et les sept
Beautés
de l’Italie contemporaine (Perrin et Cie), 3.50
es vues d’art neuves et transcendantales (les sept Plaies et les sept
Beautés
!) ou des documents approfondis (de l’Italie cont
t la juste mesure de ce qu’un poème contient de véritable poésie. Les
beautés
de la forme qui ne cachent souvent que le vide du
forme qui ne cachent souvent que le vide du fond disparaissent ; les
beautés
qui restent sont celles qui méritent réellement d
e rendre « l’aura gentil » par « la brise légère », pour que toute la
beauté
d’un vers chavire et sombre comme si l’on traduis
ue angoisse que nous nous abandonnâmes à ce traducteur pour qui « les
beautés
de la forme de son poète avaient dû souvent cache
ndra Orphée, disait Hippolyte à Tysandre, nous lui ferons chanter les
beautés
du feu. Tysandre, couchée à plat ventre, avait je
a Orphée, cria Stérope aux autres femmes, nous lui ferons chanter les
beautés
du feu. Celle-ci était grosse de partout : elle a
d autour du bûcher avec une rapidité qui augmentait graduellement. La
beauté
d’Hippolyte, de Stérope et des autres disparaissa
ir conscience du danger. Il fixait son regard devant lui, admirant la
beauté
de ces femmes en furie, devant lesquelles s’avanç
i deviennent des rues trop larges et mornes, aura bientôt perdu toute
beauté
. Hoorn s’éteindra toute, quand la dernière ceintu
de Souza : « Une patrie d’art éblouissante, une patrie de miraculeuse
beauté
, Venise, est en danger. » Il faut savoir gré à ce
s du projet vous disent sournoisement : « En quoi attentons-nous à la
beauté
de la ville ? Nous avons déjà ce viaduc qui, entr
rigines des peuples et de leur puissance, comme des villes et de leur
beauté
, des causes particulières qu’à n’importe quelle p
de la Revue de Paris : Venise en danger. Je ne vous cache pas que la
beauté
presque intacte de Venise m’avait surpris, et je
s politiciens de la constitution, gens n’ayant aucune intuition de la
beauté
, y restant insensibles par brutalité native, et f
ou en crépi) sa façade. Or, pour qui a vu Venise, une des principales
beautés
de la ville consiste en cette teinte ancienne, ce
arabe. Les tramways ont détruit le khalig, un canal qui était une des
beautés
de notre vieille ville et qui donnait raison chaq
algré la haute admiration que l’on avait pour Botticelli et malgré la
beauté
de son œuvre, ou dut dissimuler aux regards cette
XI, ces amours sont un peu maigres. 46. Paradiso, XVIII, 19. 47. La
beauté
de Béatrice s’accroît, en effet, à mesure qu’elle
es, aux larges compréhensions d’un amour universel, d’une universelle
beauté
, de la sainteté universelle de l’idéal, se tourna
e « pathos esthétique » qui enlève, depuis plus de vingt ans, tant de
beauté
, d’éternité, à l’œuvre du poète des Laudes. Mais
e de Théâtre de Carra, il y aurait parti pris à ne pas reconnaître la
beauté
lumineuse de cette toile, la fermeté si nuancée d
l’est peu. L’attention prépondérante donnée à la contemplation de ses
beautés
naturelles et des monuments d’art de son passé nu
favorables aux Italiens. Au milieu de l’enthousiasme produit par les
beautés
artistiques et naturelles, les contacts avec la r
rps, dans le port de la tête, dans les traits, dans l’expression, une
beauté
et une grandeur réelles, qui percent même lorsque
s ces leçons, qui, outre leur immense valeur scientifique, avaient la
beauté
et l’harmonie d’une œuvre d’art. Nous sortions de
ces de mots hardies et des inversions un peu violentes, toute la rude
beauté
de la poésie carduccienne. Citons quelques vers c
dans quel état lamentable elle en est sortie. Pauvres Espagnols ! la
beauté
, la fertilité et la richesse de votre pays sont l
es serres patriciennes. On en est arrivé, sottement, à méconnaître la
beauté
unique de l’art de d’Annunzio, parce que l’art de
comme des poèmes lumineux exécutés avec le souci de rendre toutes les
beautés
, toutes les fantaisies, toutes les finesses, tout
ets sont merveilleux, d’une légèreté, d’une souplesse infinies, d’une
beauté
d’émaux profonde et variée. Peut-être le plus mag
erniers sectateurs de Zoroastre, les poètes n’assuraient point que la
beauté
de l’univers varie, ni qu’elle brille partout. Du
vaient pas, bien qu’ils allassent à cheval, la ressource d’admirer la
beauté
si touchante et si variée du paysage. Cette forme
à ce dernier égard, d’un sentiment tout esthétique, comme celui de la
beauté
des paysages, qui, par sa nature même, appelle so
monuments, etc. Jamais ils ne disent mot des sites, des paysages, des
beautés
naturelles. Nous ne regrettons plus leur mutisme,
spiré par l’influence de Rousseau, convainquît ses compatriotes de la
beauté
de leurs sites, que l’ossianisme et le romantisme
roire l’opinion publique, n’est pas grand. On s’accorde à dire que la
beauté
chez un homme demeure sans importance. On ne crai
ans importance. On ne craint pas de témoigner que l’on ne sent qu’une
beauté
basse, en ajoutant que la bêtise est commune parm
e est commune parmi les hommes beaux. Enfin, le souci manifeste de la
beauté
personnelle, chez un homme, inspire, sous une for
e, mais non point par les mobiles qui la déterminent : le souci de la
beauté
ne paraît pas sans trahison, et s’il faut, comme
urs raisons pour cela. Sage et moyen parti, que la condamnation de la
beauté
. L’étrangère exceptée : on la permet à une esclav
nût. Léonard serait rébarbatif. Les hommes, en effet, ne voient de la
beauté
que les caractères dont ils se peuvent servir, et
réable » à cet excellent écrivain, tandis que le seul qualificatif de
beauté
se trouve dans son tableau réservé aux « meisons
s merveilles du Niagara… Quelle signification peut avoir pour vous la
beauté
de ce spectacle et le fracas de ces chutes ? Une
d’étonnant à ce que, malgré son jeune âge, elle ait senti la sauvage
beauté
d’un aspect de la nature dont les sens tactile, m
’ouïe, se trouvait dans des conditions privilégiées pour discerner la
beauté
particulière aux chutes du Niagara. — En nous pla
nt d’ordre social, et que cette synthèse lui livrait le concept de la
beauté
de la nature invisible, le paysagiste du xviie s
, on croit ne pouvoir jamais le rendre assez sensible55. III La
beauté
du paysage chez les antiques consiste en ce qu’il
trouverait une application concordante dans le concept antique de la
beauté
du paysage. Une étroite intimité, renouvelée à pl
croire, en entendant s’écrier : « Quelle quantité de lacs ! » que la
beauté
des lacs est ailleurs que dans leur utilité. Mais
au verte ou bleue douée d’intelligence qui caresse le reflet de votre
beauté
, vous trouverez une immortelle raison de vivre he
parlais le mois dernier. Naples a surtout son admirable situation, la
beauté
de la mer ; des vestiges de civilisations mortes
’époque moderne, puis les sites, des environs qui retiennent par leur
beauté
, leur pittoresque, aussi bien que par les souveni
ce biographe (Vasari). Doué d’un goût assez sûr pour reconnaître les
beautés
de plusieurs œuvres de Bazzi, Vasari ne fut ni un
la science et l’habileté des beaux maîtres de son temps, un souci de
beauté
, un don d’émotion et une élégance de ligne, rare
temps qu’une très captivante et presque très moderne traduction de la
beauté
féminine presque modelée sur la toile ? Sodoma ét
n grand esthète. Ses œuvres, où il s’est approché de tant de parfaite
beauté
, nous intéressent de moins en moins, au fur et à
a muse affecte bien souvent des simagrées qui vont mal à son genre de
beauté
d’enfant de la nature. Ce n’est qu’avec le Requie
avaient fort bien, car ils savaient toute l’étendue, la vigueur et la
beauté
du cerveau de ce poète italien qui put rêver et r
rmation théarchiste en dix chants qui ne sont pas sans ardeur ni sans
beauté
, et qui représentent une somme fabuleuse, et asse
tait sérieuse, elle regardait attentivement ces humbles feuilles sans
beauté
, qu’elle devait aimer peut-être parce qu’elle en
mûrît les fruits les plus riches et les plus savoureux, développe en
beauté
les plantes humaines les plus séduisantes. Tout c
acune de ces jolies passantes, ramenée avec de plus de précision à la
beauté
de ma Psyché. Alors, je revoyais non plus le tend
des renseignements de toute nature qu’il renferme sur les œuvres, la
beauté
de ses reproductions. — Signalons aussi la public
avec un enthousiasme un peu trop populaire, mais qui ne manque pas de
beauté
. Car en ce moment les forces littéraires de l’Ita
le s’élance dans une renaissance, devient lumière et joie, devient la
beauté
qu’elle, la femme de tous, ne connaît pas. Elle d
réciable est l’émotion. L’émotion est produite par la surprise, et la
Beauté
n’est que surprise, miracle, comme le Génie. On p
s intéresse peu, il y a donc toute une atmosphère de mysticisme et de
beauté
mystique toute une puissance nouvelle d’évocation
signature ajoutée, est sans doute de Rondinelli. Elle n’a rien de la
beauté
ferme et de la certitude de modelé d’un visage pe
nieuse de sa vision mortelle peuplée d’images ensoleillées ; c’est la
beauté
hardie du style, l’élégance toute nouvelle de sa
mouleraient des têtes de héros. Le sonnet des Formes est d’une grande
beauté
: La terre fumait : elle levait contre les solei
etrouvera directement ses impressions de passage dans le nombre et la
beauté
des monuments, des œuvres d’art, des paysages, de
une poésie plus largement objective et vivante. Ils nous révèlent les
beautés
mouvantes de l’Univers et négligent de nous donne
parodie qui, à tout prendre, est un hommage que la laideur rend à la
beauté
… Le vers dramatique est dans la tradition françai
iode fâcheuse pour la littérature française, on a perdu le sens de la
beauté
en perdant le vers, on a mêlé des arts voisins, c
le et vous aurez, du même coup, défini le caractère de ce poète et la
beauté
de son œuvre. Il est, sous le soleil méditerranée
de Paul Souchon les Élévations poétiques, les Élégies parisiennes, la
Beauté
de Paris ; nous lirons le Soleil natal. Un amour
me chrétien, P. Souchon, chantre des choses mortelles et de l’humaine
beauté
, adressait une ardente invocation au dieu Pan :
urs par une action simple soutenue de la violence des passions, de la
beauté
des sentiments et de l’élégance de l’expression…
t théâtrale dont ils la dotent. Action simple, violence des passions,
beauté
des sentiments, élégance de l’expression : il y a
e fades règles de politesse ou, déréglée, choque par son outrance, la
beauté
des sentiments est d’une monotone convention, l’e
s est toute la douleur du recueil, et dans son rythme en est toute la
beauté
. Riccardo Forster : La Fiorita, Naples. Soc. E
est une chaude prière théiste, et le poète musicien, qui a compris la
beauté
éternelle des grandes œuvres, finit sur un hymne
t aidé par sa connaissance de la langue allemande et par la précieuse
beauté
de son style italien. La traduction toute récente
ns, il est aujourd’hui celui qui est le plus puissant évocateur de la
beauté
et de la force de sa terre. Memento Mement
st égaré jusqu’à Gluck, qui s’efforça noblement de le ramener vers la
Beauté
, et qu’avec Wagner le drame musical a reconnu la
éternelle restituée au Pape et de Florence, la Cité des Arts et de la
Beauté
, devenue tout naturellement la capitale où siéger
a un véritable et pieux culte de sa terre, de son histoire et de ses
beautés
. Il compose une série d’Élégies des Romagnes, où
d’art revêt un caractère d’absolu. Un chef-d’œuvre ne cesse jamais sa
beauté
parce qu’il contient l’expression entière d’une â
et le plus caractéristique. Les souvenirs vous assaillent devant ces
beautés
et un désir impatient vous saisit de retourner là
ances décoratives actuelles au mouvement social, préoccupés d’unir la
beauté
à la simplicité pour obtenir le bon marché, ce qu
funèbre et vraiment digne des Atrides, — la Gioconda, inspiratrice de
beauté
, mais que dépassera pourtant l’épouse tendre, Sil
: « S’il est possible de composer un dystique latin de la plus grande
beauté
sans savoir ni la langue latine ni la prosodie. I
le fragment suivant qui commence par cette définition libérale de la
beauté
: « L’harmonie fait le beau, dit M. de S. P.4, m
t complète de la grandeur, de la poésie écrasantes de l’Alpe et de la
beauté
morale aussi bien que physique de la dure vie de
ion inattendue et des types de femmes et de bestiaux qui stylisent en
beauté
les plus humbles acteurs de la plus rude vie… Tou
dans les neiges, qu’il les peint d’abord par pur enthousiasme pour la
beauté
de leur apparence. Mais en même temps qu’il trava
re… ce qui n’est pas tout à fait dénué de raison. Attardons-nous à la
beauté
des anges, les premiers de Segantini, à la lourde
us de triomphales tuniques de lin blanc qui laissent transparaître la
beauté
et la force de leurs jeunes corps, semblables à d
bourg. Pour son couple élyséen, le maître entrevoyait un danger. Leur
beauté
était trop grande pour que, par la volupté, ils n
uvre dans le moment où la femme prend pour elle-même conscience de sa
beauté
. Dès qu’elle ne se mire plus dans les yeux de l’a
demi-éclairée avait une harmonie suave et cependant était terrible de
beauté
surnaturelle. On eût dit un être supérieur, qui a
beauté surnaturelle. On eût dit un être supérieur, qui avait pris la
beauté
parce que ce déguisement lui convenait mieux qu’u
être choisi, qui devenait son Dieu, sa foi, toute la vérité, toute la
beauté
, tout l’univers. Son amour était violent et super
ieu, dans un astre où tout était rayonnant, où tout participait de la
beauté
de Lina. Je conçois, maintenant, que je devais of
de l’éblouissement du jour, de l’allégresse des rues vivantes, de la
beauté
chaude des femmes et du bourdonnement de ruches j
ys, et qu’il avait un fils et une fille, l’un et l’autre d’une grande
beauté
. Je savais mieux que lui que Lina était belle ; m
us le possédâmes avec bonheur. L’âme de Lina vibrait, elle sentait la
beauté
. Et ce pays admirable, qui paraissait être le sie
pas encore éteint. Quand son pied frappait ce vieux sol tout pétri de
beauté
, un chœur d’ombres harmonieuses se levait. J’ente
leuve Anapo. Et sur ses chaudes lèvres vivantes, je baisais l’antique
beauté
morte dont le rêve nostalgique fait trembler enco
nnunzio aux pieds des autels du seul dieu païen qui soit éternel : la
beauté
. Pour tous deux il est nécessaire de parcourir la
e, qui se terminent d’une façon symétrique, ici par l’apothéose de la
beauté
païenne, là par la mainmise de la Vierge sur les
dépens de la mer. À ce moment, tous deux ont abandonné le culte de la
beauté
païenne et se trouvent en présence de la même ten
que ce fut de sa part une véritable envolée vers le génie et vers la
beauté
absolue. Plus tard, dans son « divan oriental »,
où l’idée amoureuse s’indiffère du sexe pour ne se rattacher qu’à la
beauté
. Est-ce une honte, Si ma vie brûle pour l’amour
Nous avons tué notre amour. (L’archer Sanaé, p. 48.) L’idée de la
Beauté
, surhumaine et divine, domine toute la foule masc
rist, s’effacent et tombent tour à tour devant elle. Or l’amour de la
beauté
en soi, de la beauté physique à l’exclusion de to
ombent tour à tour devant elle. Or l’amour de la beauté en soi, de la
beauté
physique à l’exclusion de toute idée morale, n’a
l’effort de civilisation que Faust tente à la fin de sa vie, mais la
beauté
est une chose tellement païenne que Goethe est ob
D’ailleurs, on ne représente alors les hommes que sous leur angle de
beauté
, si l’on peut ainsi dire ; le portrait du vieux p
de l’intérêt, on le voit, à regarder ces images. Elles sont de toute
beauté
, nous le répétons avec plaisir, et l’ouvrage ne d
t cette route antique comme un des plus beaux pèlerinages d’art et de
beauté
qu’on puisse faire en Italie, il note, dès Plaisa
chologique » de M. Barrès ou de M. d’Annunzio même, sont d’une grande
beauté
. La biographie de Cola di Rienzo abonde en de sem
re de la Schola, pour lui rendre une vie nouvelle et en vulgariser la
beauté
. Les décors et costumes de M. Charles Guérins y c
e qu’est M. Gustave Geffroy excelle à tirer la leçon d’histoire et de
beauté
qu’ils recèlent. Nous avons jadis signalé ici74 à
tionnaires, après des rois soi-disant négligents, ont su respecter la
beauté
de la Joconde, on est écœuré de la presque indiff
uis le commencement de cette lutte, n’eut une plus noble vision de sa
beauté
, aucun ne se confia à elle plus entièrement, aucu
ragique dans l’épitaphe qu’il composa pour elle : « Noblesse du sang,
beauté
, fils, richesse, amour conjugal, esprit, distinct
avez été affolé de changement, vous avez cru que, pour faire œuvre de
beauté
, il fallait faire œuvre de nouveauté et vous n’av
formules, le Baroque c’est la liberté. De tous les mots qu’il a dits,
beauté
, joie, tendresse, familiarité et ceux de santé ro
risé dans sa volonté d’accumuler le luxe, les matières précieuses, la
beauté
décorative, de faire jaillir la vie au détriment
ait l’esprit libre de tout dessein qui ne contribuât au service de la
beauté
, il parla avec bonheur de la liberté de l’art, et
villes anciennes. Ils n’y cherchaient pas des aspects, des sites, la
beauté
ou la curiosité des édifices, mais on peut dire,
qu’affectionnaient les grands lyriques de l’antiquité. Elle est d’une
beauté
savante et sévère : on ne parvient à la goûter qu
iquité plus sereine des races ariennes, idées d’harmonie, d’ordre, de
beauté
, avec une telle efficacité bienfaisante qu’elle e
urait, vaincue non par la volonté, mais par la passion des hommes. La
beauté
héroïque des Sept contre Thèbes (la plus grandios
toute-puissante arrogance devant les croyances et les gloires et les
beautés
de sa patrie, allait défier le Destin qu’elle ne
ent ironique, et Faust, superbement sceptique, s’enveloppent de cette
beauté
flamboyante qui répond à l’état d’âme de tout un
les de ses romans, en même temps que de l’exaltation des héros et des
beautés
de l’Italie. Arrivé logiquement à la manifestatio
nité. Les vieux temples s’effondrent, ou gardent seulement toute leur
beauté
de pierre pour notre joie esthétique. L’esprit re
mais qui n’a, malgré ses dimensions, ni la grandeur majestueuse ni la
beauté
de nos cathédrales du Nord. L’architecture ogival
nte-huit ans. Dans un recueil tout récent de Versi, son âme révèle sa
beauté
hardie, sa grâce légère, sa force toute faite de
e ses contemporains, il apportait sa noblesse vengeresse des antiques
beautés
nationales. S’il avait donné en même temps une co
ureuse et esthétique qui fait de M. d’Annunzio un grand artiste. Leur
beauté
est toujours palpitante. Mais la parole « nationa
méconnus, les incompris qu’il admire et il va au public exalter leur
beauté
, avec leur nom, expliquer leurs œuvres. Un écriva
est la synthèse du monde. Comment pourrais-je décrire la merveilleuse
beauté
dont Paris, vu à travers cette idée, a rayonné pe
e haute inspiration, destinée, comme les précédentes, à initier à des
beautés
d’ordre sublime, cette même aristocratie brillant
s exalte, en cris de très hautes joies et de profondes détresses, les
beautés
, les passions et les douleurs de sa terre orgueil
, il révèle une irrésistible volonté de vivre selon une perfection de
beauté
que les mœurs rapaces et toutes les vilenies de l
grand-oncle Dante-Gabriel Rossetti. Le volume, par l’abondance et la
beauté
de ses illustrations, peut être considéré comme l
s un excès de pathétique facile et aboutit à une moralité sans aucune
beauté
, couronnèrent la carrière de l’écrivain. M. Giaco
se : il y a 4 choses à observer : la nature du sol, le climat, et les
beautés
naturelles, comme la vallée d’Izelles, la vue du
orts pour le « repêcher ». Leur critique s’acharnait à en relever les
beautés
verbales et à défendre la légitimité de la thèse
La pensée de Monteverdi en acquiert une insoupçonnable souplesse, une
beauté
nerveuse qui ajoute à sa puissance, et, si on ne
eer, dont le premier tableau d’Alceste nous offre un échantillon. Ses
beautés
n’empêchent qu’on ne soit obligé de le reconnaîtr
s, il aime l’étrangère, la Gioconda Dianti, celle dont la sculpturale
beauté
crée et détruit, de seconde en seconde, mille har
des Monts, Hélène et André sont bien moins occupés de l’impérissable
beauté
de Rome et du charme de l’heure que de l’étreinte
toute question d’archéologie à part, le pittoresque, la poésie et la
beauté
de Rome n’y ont point perdu. — Le cirque Maxime e
es, rares et vraies, d’une noble et logique philosophie et d’une pure
beauté
littéraire. Il y a là la substance même d’une vie
es Poètes comme d’Annunzio, Pascoli, de Bosis, poursuivent un rêve de
beauté
et de synthèse esthétique tout vibrant d’hellénis
comme d’une atmosphère harmonieuse les floraisons de ses talents. La
beauté
naïve et pourtant complète des premiers livres im
e d’une esthétique nouvelle faite d’après les normes éternelles de la
Beauté
, étudiée dans les chefs-d’œuvre des hommes et sur
ure. Il fallait montrer de nouveau aux Italiens tous les signes de la
Beauté
oubliée et toutes les marques de la laideur exalt
s Gautier, c’est une hymne qu’il improvise : La Joconde ! Sphinx de
beauté
qui souris si mystérieusement dans le cadre de Lé
inesse et la mobilité de ses physionomies, dans l’étrange et maladive
beauté
de ses expressions, il a découvert d’avance ses s
, c’est, d’abord, que Nina Ceschini est fort belle : une indiscutable
beauté
! Dans sa robe bleu et argent, on eût dit un paon
l’a rencontrée. Dans le monde. Non ! Dans les églises, les musées. Sa
beauté
l’a frappé. Il est peintre. Il l’a suivie. Il a a
t de rire ou l’insultait. Mais, ce soir-là, plus que de coutume, la
beauté
d’Aurora l’avait impressionné. Il essaya de se la
me on étudie un modèle payé. J’essayai de définir en quoi résidait la
beauté
de cette créature. J’étudiai la forme du front bo
des lèvres, et, sur tout cela, le rayonnement de l’âme ! C’était une
beauté
d’un autre âge que j’avais devant moi ! Ce que vo
cette main à la manière des vieux maîtres italiens qu’émerveillait la
beauté
des formes humaines. À un mouvement d’Aurora, il
-elle. Comme s’ils n’étaient pas morts ceux qui auraient pu rendre la
beauté
de ce front, deviner le secret de ces yeux, dessi
mme ou femme, qui ne soit pas curieux de savoir ce qu’on a tiré de sa
beauté
? — Aurora n’a jamais eu cette curiosité, observa
soir-là, eurent l’impression qu’elle touchait au point extrême de la
beauté
. Elle portait une toilette identique à celle qu’e
alerie de Dresde. La Vierge d’Holbein est un chef-d’œuvre de première
beauté
. Tout le musée est plein de tableaux magnifiques.
dire qu’il n’est qu’un goitreux. En un mot, ce que la divinité et la
beauté
peuvent faire naître de plus idéal dans la pensée
d’une atmosphère juste et très détaillée sous des ciels d’une grande
beauté
. Musées et collections Auguste Marguillier.
a composent sont toutes des créations de choix, remarquables par leur
beauté
, leur rareté ou leur intérêt historique. Elles co
éra le plus de vérité psychologique et dramatique, compatible avec la
beauté
de l’expression14. » Cet abbé Metastasio, contre
Signor Metastasio, dépendent, à mon sens, la force, la variété et la
beauté
de notre musique, dit Calzabigi. L’harmonie qui s
onde en distribuant à des milliers d’êtres humains le réconfort de la
beauté
, tandis que tout l’entregent des habiles ne réuss
de Saint-Pétersbourg, chantait devant ces demoiselles des Annales les
beautés
de la guerre, qu’il appelait de toute son âme à l
talent et ses artifices s’assortissent-ils plutôt mal à son genre de
beauté
d’enfant de la nature. Elle en est comme endimanc
uérir à travers les grandes luttes de l’abstinence, — ces luttes sans
beauté
immédiate, par moments même laides et dégoûtantes
pensée et de volonté, mais auxquelles manque le double attrait de la
beauté
et de la grâce. Elle s’ingénie à des manifestatio
t joujou comme dans la machine la plus grandiose, que le besoin de la
beauté
s’impose aux formes les plus austères de la vie,
à la condition que ce qui nous entoure nous donne des impressions de
beauté
et de bonté ; nous pouvons sans doute préférer le
t le noble drapeau. Nous irons à une énergie qui unisse la force à la
beauté
, le talent à la grâce et qui soit animée du souff
maintenant parlait et écrivait plusieurs langues, éblouissait par sa
beauté
et son esprit l’aristocratie napolitaine. Or, le
et les corps qui vivent dans son époque. J’ai proclamé et défendu la
beauté
des locomotives, des aéroplanes, des linotypes, e
chitecture n’est pas autre chose que l’ordonnance, la disposition, la
beauté
des formes, la proportion des parties entre elles
au plus, être autrement qualifiée que de barbarie. Troisièmement : la
beauté
des formes49, est la convenance de la composition
. Suivant l’argent que l’on pourra dépenser, suivant l’élégance et la
beauté
qu’on leur donnera, les constructions devront êtr
e fait à la jeune fille qui va devenir mère est une page de touchante
beauté
. Le dernier recueil de contes de M. Moretti, La B
lle sommeillante et vieillotte dont il découvre, au jour le jour, les
beautés
secrètes, la saveur et la couleur. Linati, dont j
i donne à l’attitude étrange des socialistes italiens ce caractère de
beauté
morale que même les adversaires ne peuvent lui re
elon la qualité de chacune. » 49. Vitruve : « L’eurythmie est cette
beauté
agréable aux yeux qui résulte de l’assemblage de
usage auquel on le destine, à l’argent qu’on y veut employer, et à la
beauté
que l’on veut qu’il ait, parce que suivant ces di
’un bond à la hauteur du chantre épique, et, le premier, il exalte la
beauté
et la douleur de l’Italie couverte de son sang. Q
e l’ancien se retrouve dans le moderne, quoique celui-là proclamât la
beauté
présente que celui-ci évoque avec un orgueil touj
hos historique, analogue au pathos esthétique, qui anime, et meut, en
beauté
et en désordre l’œuvre de d’Annunzio. Le pathos h
e. Les Italiens offrent aujourd’hui ce spectacle, qui a sans doute sa
beauté
, et qui est un intéressant témoignage pour une co
comique, qui succèdent sans cesse à des traits terribles, enfin « des
beautés
si innombrables en tout genre, que l’Arioste a tr
etien d’Astolphe avec l’apôtre saint Jean. « Ensuite il en releva les
beautés
avec toute la sagacité qui lui était naturelle et
édie, certes, du théâtre contemporain. La vision est d’une singulière
beauté
, car elle est dans l’abstraction pure, selon le p
ans une confiance renouvelée de leur valeur, de leur force et de leur
beauté
. Le poète dit aussi : « La mort est partout. Une
forte fantaisie a trouvé des rythmes parfaits pour s’extérioriser en
beauté
, montre la nouveauté de sa vision de la vie. Son
rand effet décoratif ; les lignes et le modelé sont d’une remarquable
beauté
. Faut-il accorder encore au vieux Bellini, comme
e toute la vie et dont on ne connaît qu’une œuvre, mais d’une exquise
beauté
, la Madone de San Francesco della Vigna, fut cert
re dans le miroir des yeux. IX et X. — La personne dont je décris les
beautés
n’est autre que la dame de l’intelligence. Pythag
commentateurs et d’exploser, d’époque en époque, comme un tonnerre de
beauté
! N’est-ce pas, au sens du vieux gibelin, une mar
s de l’humanité : la conscience d’une réalité surhumaine incarnant la
beauté
morale parfaite et suprême, l’aspiration à cette
blissent un code de ce qu’en leur jargon profanateur ils appellent la
beauté
, et qui n’est que la régularité, de ce qu’ils app
les moyens à démentir mes premières expériences. Car je croyais à la
beauté
et à la grandeur de l’amour et je ne voulais pas
s parler avec lui du passé proche, de tout mon univers plus récent de
beautés
contemplées, de cœurs aimés et brisés, de paradox
que nous parlons des pâles souvenirs du passé, et de l’amour et de la
beauté
du monde, et des douleurs des créatures, tu veux
mble à Henri IV. La lèvre inférieure avancée lui donne de la bonté et
beauté
d’autant plus grande qu’elle n’est pas détruite p
mer de nuées blanches. Je ne songeais guère à m’arrêter à toutes ces
beautés
. J’ai pensé seulement que si jamais je voulais vi
d’hommes cultivés et affinés est capable de ressentir franchement la
beauté
des anciennes pages, écritures ou peintures. Au L
pourtant difficile de nier Saint Sébastien et surtout la douloureuse
beauté
de sa tête. M. Arsène Alexandre n’a sans doute pa
oire est venue tard, lorsqu’il en était déjà désillusionné ; avide de
beauté
il n’a eu que la beauté de ses rêves incomparable
squ’il en était déjà désillusionné ; avide de beauté il n’a eu que la
beauté
de ses rêves incomparables… Il ne fut pas moins g
t d’ailleurs impossible que je tâche avec des adjectifs de montrer la
beauté
de ces pages et d’autres ; on ne raconte ni l’eur
eurit de toutes ses fleurs. Les femmes qui ne travaillent pas sont la
beauté
du monde et la terre ne sera habitable que lorsqu
tiques Symboles : le règne de la délicieuse Impéria et le culte de la
beauté
; le cadre du bonheur, avec la Farnésine et la vi
sens du profond ou du grandiose esthétique, afin de la représenter en
beauté
. La génération qui vécut autour de d’Annunzio l’i
va chercher dans la petite maison, encore debout, de cette lointaine
beauté
. Jacovella, tu es morte, Depuis longtemps tu es
isi sur le vif, sérieusement étudié, tout est organique et l’effet de
beauté
surgit du sujet même et résulte de sa juste ordon
he par la puissance d’évocation, par l’intensité du sentiment, par la
beauté
et la grandeur de la vision, des pages où l’auteu
omme doué d’une grande sensibilité esthétique, ces impressions, où la
beauté
de la nature et des œuvres d’art tient une grande
e à Paris, à Londres et dans toute l’Europe galante par l’éclat de sa
beauté
et de ses aventures. Mais Casanova l’avait rencon
une chose autonome, grave, par moments dangereuse, et d’une profonde
beauté
morale pour l’historien psychologue qui en fera l
es, et l’amertume du perpétuel inassouvissement de la vérité et de la
beauté
sont choses éternelles : « la guerre ne change ri
mie anthume et posthume des fidèles. Vous, dans le but d’honorer « la
beauté
de la vélocité », vous faites naître « la nouvell
t de m’aimer, d’aimer ta fille, l’Italie, tes fleurs, ta musique, les
beautés
du lac et de la montagne. Quant à un idéal supéri
passé au jardin des Oliviers, aurait à peine pâli et affiné la chaude
beauté
. Les femmes de Byzance, lorsque, extasiées, elles
e, William Hamilton, le mari de la trop fameuse Lady Hamilton dont la
beauté
fut immortalisée sous tant d’aspects divers par l
écimen de notre fabrique de faïences Saint-Porchaire, dont on sait la
beauté
et la rareté des productions, fut payé 95.000 fra
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