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irgine speciosa. Ils ont d’exquises façons de dire la beauté de leur belle  : Nudam fovet Floram lectus, Caro candet tenera,
i, par C. Reina (Naples, Luigi Pierro) Ce sont des vers, disant de beaux sentiments en une langue imagée et colorée, mais
eaux : Con l’ali aperte e ferme, pel cielo senza vento. Le vers est beau , mais il appartient, au moins pour la moitié, à D
                     Ev. de Saint Jean. Des règles d’un Idéal, d’un Beau , nous voulons faire abstraction afin de ne point
raction afin de ne point entrer dans de stériles discussions ; car le Beau , illimité comme tout ce qui est Esprit, se révèle
s sont les embarrassantes traverses qui encombrent la voie directe du Beau . Le Beau, c’est ce que l’on sent être Beau, c’est
s embarrassantes traverses qui encombrent la voie directe du Beau. Le Beau , c’est ce que l’on sent être Beau, c’est ce qui,
ombrent la voie directe du Beau. Le Beau, c’est ce que l’on sent être Beau , c’est ce qui, même sans plaire, s’impose ; c’est
itées (lesquelles ne semblent pas encore résolues), savoir : celle du Beau antique et du Beau chrétien (ou moderne). Avant l
e semblent pas encore résolues), savoir : celle du Beau antique et du Beau chrétien (ou moderne). Avant la révélation de la
t le grand apôtre : parole vérifiée clairement dans cette question du Beau . N’y a-t-il pas eu — avant la Renaissance — d’hom
les aspirations de son temps, il était un accord de plus, et le plus beau peut-être de cette immense symphonie des cœurs ve
s accents discordants. Nous concluons donc : haine à eux et gloire au Beau sous toutes ses formes, place à l’Esprit dans son
ne clarté dont Verdi est coutumier, pourquoi cette œuvre, qui est une belle œuvre, n’atteint-elle point à l’effet considérabl
ion, abstraction faite de plusieurs tares, est dans son ensemble fort belle . Si elle ne produit point tout l’effet qu’on est
de donner plus d’importance aux voix, quelques airs de bravoure d’un bel italianisme, tels que le : Tout m’abandonne… Adi
et d’une superbe tenue. Il faut en louer l’ordonnance générale et la belle harmonie. Le second acte notamment contient d’adm
portées par les récentes publications de ses agendas : La question du Beau se réduit à peu près à ceci : Qu’aimez-vous mieux
n ou d’un tigre ? Un Grec et un Anglais ont chacun une manière d’être beau qui n’a rien de commun… nos peintres sont enchant
e beau qui n’a rien de commun… nos peintres sont enchantés d’avoir un beau idéal (et nos littérateurs aussi donc !) tout fai
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culièrement « esthétique », le rayonnement de son art fut certes plus beau et plus fécond, en un mot plus lyrique que celui
de talent, M. Marradi, l’ont fait, M. d’Annunzio a écrit un grand et beau poème, Laus Vitae, où il chante en poète, très su
Et tandis que son frère Manfred, celui qui fut, dit Dante, « blond et beau et de gentil aspect », tombait à Bénévent, trahi,
ement représentatifs, il les ait laissés dans l’ombre ? Son œuvre est belle et neuve, sa langue est précise et sa « musique »
subsistaient à peu près en paix : la Suédoise et la Norvégienne ; un beau jour, elles rompirent le pacte, et depuis ce mome
s dur. M. DESM. — Ces gens gâtent par leur verbiage télégraphique une belle tragédie. Vous souvenez-vous du récit de la mort
récit de la mort du vieux Pline par son neveu ? M. DEL. — Oui. C’est beau . Le récit ennoblit encore la catastrophe. C’est u
ure au-dessus du diadème, l’état de conservation de cette tête, d’une belle patine dorée, est excellent. Le grand intérêt de
peut s’en détourner sans rien perdre de l’ensemble, qui reste, ainsi, beau , avec ses murs de pierre usée et dorée, ses façad
ble surgir de la mer, tant sa blancheur éclate ; elle est faite de ce beau marbre transparent que le temps polit si aisément
culte, soyez ma contemplation d’aujourd’hui devant les flots de cette belle mer d’azur ! § Visite médicale à bord. Deux ou tr
qui, depuis quatre jours, sommes privés des bonnes productions de la belle Terre, qui sommes sans boire une eau propre, sans
enant, dans la cale du vapeur, un Napolitain. C’est peut-être à cette belle journée qui m’a déjà ravi, c’est peut-être à la v
ent en être la raison. La république démocratique étant passée là, ce beau palais a été morcelé, qui en a pris une part, qui
rpent noir ; quand je vois ce palais qui les domine et qui fait un si beau cadre à ce port et à ces monts élevés, je me dis 
en quelque sorte le lieu où on le place, comme la parure enjolive une belle femme, comme un costume traditionnel s’adapte à u
d’ordonné, de pensif, de majestueux, et à la richesse de cette mer si belle répondent merveilleusement leur façade de pierre
trouverait entraîné à copier sans idée, sans conception ; et quelque belle chose que l’on pût faire, on courrait le danger d
ntraîné par un plaisir secret ; et il a chanté très bien, et une très belle romance. Pendant qu’il était ainsi plongé dans le
in air arabe et espagnol. Il y en a une toute brune au teint vraiment beau d’orange ; mais les traits sont plus épais, les a
e Perrin, Bâle, Rome et Genève, Laurens, 4 fr. […] et surtout le très beau volume du prince L.-A. de Savoie, le Ruwenzori, P
s parvenus qui entassent entre leurs quatre murs des objets coûteux —  beaux ou laids, peu importe — et dépensent en plaisirs
aient à leur cité mère et par l’orgueil qu’ils ressentaient à la voir belle et puissante. Ce n’est pas à dire qu’ils fussent
entins sensibles à la beauté et beaucoup étaient capables de créer de belles choses. L’on ne faisait point de distinction entr
ait de donner à l’œuvre qui portait son empreinte personnelle la plus belle forme possible. Quand il l’exposait dans son atel
e connaissent rien à la fabrication, pour un public qui désire non de belles choses, mais des choses faisant de l’effet. L’art
ui commandaient les milices mercenaires se contentaient de quelques «  beaux  » faits d’armes qui ressemblaient plus à des tour
mes pour Moroni extrêmement pauvres, puisque nous ne possédons que le beau Portrait de vieillard de la galerie du bord de l’
adeur de Charles-Quint à Venise, tout entier en pied. Ce fut une très belle figure. Dès lors Titien commença de faire ce qui
ilitarisme, le patriotisme, le geste destructeur des anarchistes, les belles idées qui tuent ; c’est le mépris de la femme ».
lois génératrices de la Beauté. Mais l’homme aussi a créé des choses belles  ; Ruskin les commente et les explique dans les Se
le de produire des monuments d’éternelle beauté. On peut lire dans la belle monographie de Mr Frédéric Harrison, très fidèlem
uments élevés par une nation qu’il inspirait », et il constate que le bel enthousiasme avec lequel « Ruskin plaide la cause
nt le Gynécée signifie peut-être que ce ne sont pas toujours les très belles femmes qui incitent le désir. § Zeuxis, voulant t
rotoniates de lui présenter plusieurs de leurs filles, parmi les plus belles . Ils le firent en son honneur, et le peintre prit
mmes trop véridiques. Puis il nous invite aussi à y chercher Flora la belle Romaine, et Archipiada et Thaïs. Je crois qu’elle
et Rhodoclée : il s’agissait de savoir laquelle des trois a les plus belles cuisses, et c’est moi qu’elles prirent pour juge,
s amants fameux dans l’antiquité ; et puis Lancelot et Tristan, et la belle Genèvre et Iseult la blonde. Les meilleurs poètes
nt humaine et plus délicate que le mâle italien. Le drame ethnique du beau roman solide et mouvementé tient dans l’amour con
téraire, on connaîtra une vie plus complexe, seule fortifiante, seule belle . Il ne s’agit plus de descendre farnienter sur le
livre moderne l’affirmation des tendances vers « le vrai, le bien, le beau  », ou celles de la civilisation actuelle qui, « s
est vraiment significative. Rien de tragique, certes, n’a traversé la belle jeunesse de Dom Destrée, épris uniquement de pein
Louvre : la collection Victor Gay [extrait] Citons, parmi les plus belles pièces recueillies par le Louvre : une exquise fi
tini ; de curieux Lorenzetti (Scènes de la vie de saint Étienne) ; un beau triptyque, La Vierge avec l’Enfant entre deux sai
erbe de Saint Georges combattant le dragon de Paris Bordone ; un très beau Caravage : Le Reniement de saint Pierre ; un Repo
f éditeur G. van Oest, à qui l’on doit depuis quelques années tant de beaux livres sur l’histoire de l’art — entre autres une
touchants. C’est ainsi que Smith-Pagello avait renoncé à épouser une belle jeune fille dont il était très amoureux, pour con
conversation pauvre, d’ailleurs ne sachant pas le français, mais fort beau . George Sand s’éprit de lui. Une nuit, après avoi
re et ne songe plus qu’au plaisir de te regarder. Tes paroles sont si belles et si bonnes, tu parles une langue si mélodieuse…
Lavisse) sur les xie , xiie et xiiie  siècles, où se détachent de si beaux chapitres sur Philippe-Auguste. M. Luchaire voula
eau » que lui fit M. Louis le Cardonnel en lui dédiant un de ses plus beaux poèmes, le Vent dans la Nuit, M. Corrado Zacchett
et d’en avoir fait l’aveu à Hippolyte. Racine, tout en enlevant à la belle affabulation de la tragédie antique la vigueur mâ
, sur l’entrée de la Nuit, Phèdre l’inoubliable. Cette mort est plus belle , certes, que le suicide par la pendaison ou par l
pas parlé dans cette trop rapide chronique, elle est à coup sûr très belle . Note sur le théâtre italien contemporain L
vivant des pays méditerranéens. Et si l’on en excepte, en Italie, le beau poème tragique de M. E.-A. Butti, le Château du R
neur le légat d’Avignon. Ce bruit est si bien répandu que beaucoup de belles dames sont accourues des environs et qu’en leur h
des dieux ; le second, chez monsieur de Rochefort37, où se trouva une belle société de dames. Le plaisir que prit Son Excelle
, madame la baronne et toutes les demoiselles. La Spinetta40 est plus belle que jamais et humble servante du seigneur Germani
m’écrit toutes ses perfections et il fait des vers en l’honneur de sa belle  ! Nouveau Pétrarque d’une nouvelle Laure ! Monsie
docteur en Sainte Écriture ! De l’amour je n’en parle pas. Je suis un beau jeune homme, aux dents très blanches, et je me fi
dis pas que je me débaptiserais, mais je me réjouirais d’avoir une si belle occasion d’étudier en votre compagnie et de passe
finissant a ses charmes encore. Les femmes ne laissent point d’y être belles sous les rayons tièdes d’un soleil adouci quand,
ppine52 et la Baptistine sont comme un couple de juments de Barbarie, belles comme le soleil. La Bruyère53 embellit aussi ; vr
de Courthézon, à trois lieues d’ici. On dit qu’il n’y a rien de plus beau ni de plus agréable. Déjà Monsieur le prince y es
nue : elle aussi avait été absente quelque temps. La Baptistine, plus belle que jamais, est grosse. Mademoiselle d’Oraison a
et sur la façon dont on a passé la Semaine Sainte, mais la pensée des belles dames ne le quitte pas ; elles reviennent sans ce
ossi et de Monsieur Ferrante Pagano. Pour moi, les demoiselles ont eu beau me prier de m’y faire recevoir. Je ne plaisante p
ce lieu, nous faisait toutes les caresses imaginables. Il y a de très beaux jardins, ornés de toute sorte de fruits, des vivi
e échappée, et le naturel, comme dit le poète, revient au galop. Il a beau , dans sa lettre du 22 février 1559, demander en r
bien en ce temps de carnaval la matière ne lui manque-t-elle pas. Une belle société de seigneurs et de dames est arrivée à Av
d’Alet70, sa bru, la vicomtesse de Cheylane, et ses deux filles, très belles . L’une est mariée et s’appelle Mademoiselle de Tr
naient les violons et les autres instruments dont la musique était si belle qu’on se serait cru au Paradis terrestre. Derrièr
glises que vous avez en France ; vous auriez moins de soucis. Mais le beau mérite que d’être vertueux par nécessité ! Garga
re dispersé aux enchères) compte parmi les plus anciennes et les plus belles d’Autriche, ayant été successivement enrichie, de
et de couleur qu’il faut espérer voir reprendre. Elle est lyrique et belle . Lettres allemandes Henri Albert. Tome LXXX
nts. […] Pages vibrantes de M. Herman Bang sur Eleonora Duse, avec un beau portrait. […] Lettres italiennes Ricciotto
, l’édition des œuvres poétiques de Pascoli est complète. Ce sont six beaux volumes, dont cinq ont déjà paru, et celui-ci, le
iales. Les premières dansent la ronde vertigineuse, point folle, mais belle , de figurations de plus en plus significatives, q
r mère de famille. Quelques-unes, comme la comtesse Lara, dont la vie belle d’amoureuse fut brisée par un galant assassin, eu
chevauchent fiévreusement et tendent à l’exaltation spirituelle très belle de la fin, comme dans le poème Per Via (Dans la r
expression rythmique, sentie par l’âme contemporaine, sont de la très belle et très juste philosophie de l’art. Les visions d
ue j’allume je veux me dissoudre : qu’il naisse de moi la vie ; toute belle et terrible forme, qu’elle monte en vicissitudes
isse et d’Espérance, sur la mort de Messine, atteint aussi un lyrisme beau de hautaine grandeur. M. G. P. Lucini est d’aille
d poète comme Émile Verhaeren et lui fournir l’occasion de publier un beau poème de plus (la Nouvelle Revue française, 1er a
que entre autres […] dans la collection des dessins, particulièrement belle , des œuvres admirables de Michel-Ange, Léonard, R
ine, du Corrège ; […] l’Ensevelissement du Christ, de Titien ; […] la Belle Jardinière, de Raphaël. Tome LXXXI, numéro 29
et si reposée ce ton orangé répandu sur la campagne paisible, sur les belles pierres cuites de la dominante Rocca que le solei
ur »… Il avait vraiment devant lui ce que les Italiens appellent « un beau morceau de la grâce de Dieu » ! À peine remis de
me « abandonnée par l’espérance »… Que Bélisaire fût jeune, ardent et beau , rien de plus naturel, — c’était ainsi qu’elle l’
conquise l’envahissait tout entier et, aussi, la douce tiédeur de ces beaux bras autour de son cou, de ce corps abandonné. — 
ête fine ; artiste et poète, il caressait avec une volupté sacrée ces belles formes antiques auxquelles il vouait toute l’exal
e père dirige le chariot peint de diverses couleurs et la vigueur des beaux taureaux… des beaux taureaux à la large encolure,
riot peint de diverses couleurs et la vigueur des beaux taureaux… des beaux taureaux à la large encolure, aux cornes en crois
s. Bélisaire, oublieux de Carducci, de Virgile et de Pline, la trouva belle et la baisa sur la bouche… Ils reprirent le chemi
s, à l’avance surtout, d’idées trop sérieuses. Il baisa donc, sur ses beaux yeux, son amie en larmes et, lui ayant donné rend
ie, l’avait conçue et de ses mains l’avait créée avec amour, il était beau , lui aussi ; mais depuis sa mort si lointaine, co
elle ! » — Monsieur, cette statuette ? — La petite femme verte ? une belle pièce, n’est-ce pas ? — « Une belle pièce » ! Sa
e ? — La petite femme verte ? une belle pièce, n’est-ce pas ? — « Une belle pièce » ! Sa déesse, « une belle pièce ! » répéta
belle pièce, n’est-ce pas ? — « Une belle pièce » ! Sa déesse, « une belle pièce ! » répéta, à part lui, Bélisaire scandalis
« une belle pièce ! » répéta, à part lui, Bélisaire scandalisé. — Une belle pièce, oui, Monsieur… seulement, elle n’est pas à
s fenêtres d’un wagon ! Aujourd’hui, en allant demander la main de sa belle , afin de ne point salir ses chaussures aux bouses
ant, sous l’ébrasement des portes, les successives Barbabietole qui —  belles ou laides — avaient soupiré d’amour et laissé leu
y entra et, rêveur, se promena au hasard. Tout y était accueillant et beau  : la cheminée, d’ordonnance si pure, les pavés de
énéral italien, qui nous apporte, à nous Français, l’hommage d’une si belle contribution, ainsi qu’à M. le général Goiran, so
M. Grimani, qui a le sens de la grande décoration, M. Conconi et son beau portrait de Carducci. Musées et collections. M
ion d’antiques de M. Étienne Duval, à Pregny, près Genève, réunion de beaux marbres acquis jadis à Rome par le possesseur, et
avoir erré sur toutes les routes de l’esprit : il a traduit les plus beaux vers de Shelley, de Tennyson et de Heine, travail
terre et des horreurs qui, l’année dernière, se sont abattues sur la belle Italie et son peuple, Gorky se dresse de toute sa
et de lectures, est composé d’une suite d’« inscriptions ». C’est un beau tour de force de condensation. Nous ne croyons pa
qui ne gâte rien, à sa netteté littéraire, la netteté matérielle d’un beau papier et d’une impression parfaite. Lettres i
i est sans contredit aujourd’hui le courant le plus fécond et le plus beau qui remue et émeuve l’élite intellectuelle et art
se révèle en dehors de toute imitation et de toute contrainte, libre, belle et significative. L’influence de la littérature f
ure italienne à peine née. L’élan lyrique de M. Buzzi est puissant et beau . J’ignore l’attitude de la presse italienne devan
r 1909, et accompagné de la reproduction sous diverses faces de cette belle œuvre. 2. Du Grand Kaire d’Égypte à la Grenade d
le, la Psychologie de l’association de Louis Ferri, la Psychologie du Beau de Pilo, les Lois psychologiques du symbolisme de
olonais, comme Garganello. 52. Il semble que cette dame soit cette «  belle Philopine » qui, d’après Brantôme (éd. Lalanne, I
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menté est du reste d’une lecture attachante, et offre encore une très belle illustration. Pourtant, je dois dire qu’il y manq
droitement ses « emprunts »… ? On sait assez, aujourd’hui, comment le beau développement sur Alfieri, p. 194-205, donné comm
La librairie Hachette vient de faire paraître une traduction du très bel et fort important ouvrage de MM. G. Ludwig et Pom
e romantique et sentimental qui meurt d’amour devant le couvent où la belle Aude, le croyant mort, s’était retirée et s’était
re essentielle. La conception de l’univers du monde finnique est très belle . Certes aujourd’hui nous pouvons la comprendre pl
ère. Sans doute les maîtres ont opéré des merveilles sur ce thème. Si beau que soit son aspect, il n’est pas mystérieux : bé
; il en subit le charme et il l’a reflété de telle sorte que les plus beaux êtres sont forcément des esprits. Les anges des m
Filippino ils délivreront saint Pierre, toujours différents, toujours beaux , toujours androgynes. L’art italien, à l’instar d
agination puisque c’est la formule du mystère des formes vivantes. Le beau Caloandre du Génois Marini (qu’il ne faut pas con
n d’aventure la princesse Léonide et ce couple est tellement jeune et beau que Caloandre peut se laisser enlever à la place
un héros qui peut passer, pour une princesse, reste la vision la plus belle et la plus pure de l’espèce humaine. Cette hésita
aut être malade pour sentir érotiquement une œuvre d’art, si elle est belle . Aucun voile ne cache tant la chair que la beauté
le est belle. Aucun voile ne cache tant la chair que la beauté ; être beau c’est appartenir à un troisième sexe, impassible,
a point affaire d’une déesse, mais bien d’une gouge. Plus un être est beau , plus il s’élève au-dessus des sens qui ne sont p
lui-même ? le Léonard de l’atelier du Verrochio, Pic de la Mirandole, beaux comme des anges. Nous n’avons qu’un dessin de Léo
pouser) : comparez-le à sa Psyché de la Farnesine, certes il est plus beau que ses modèles, plus beau que ses personnages, p
Psyché de la Farnesine, certes il est plus beau que ses modèles, plus beau que ses personnages, parce qu’il est androgyne. I
otégeant sa jeune fille adoptive contre les entreprises amoureuses du beau seigneur Flavio. Malgré la morgue de ce jeune pri
d’honneurs et de bénédictions. On voit que déjà dans ce temps-là les belles intellectuelles faisaient de la politique. His
ait plausiblement et perceptiblement, comme il le confessait, de plus belle ambition que de saisir la proie sans la lâcher po
taine de M. Émile Bernard ; je ne parlerais pourtant pas ici de cette belle et puissante peinture si elle n’était significati
matière à un ouvrage dont la lecture est un plaisir. Un bon nombre de belles illustrations complètent heureusement le volume.
ts à des batailles généreuses, ils les livrent en désordre et avec un bel élan, ou ils demeurent à l’écart, dédaigneux. Mai
ici. Le drame de la poétesse Vittoria Aganoor-Pompily est poignant et beau . Cette poétesse romantique, issue d’une souche ar
t déplorer la mort de Vittoria Aganoor-Pompily, morte encore jeune et belle . Elles auraient mauvaise grâce à déplorer la mort
dans cela des rues larges, des maisons basses et en granit ; la plus belle cathédrale des rêves d’Adrienne et des églises du
urdement et tendrement caressé. « Sais-tu ce que je regrette de cette belle Rome ? la trace rêvée, qu’il y a laissée de ses p
ai par la famille Valmore. Plus de bristol chamois ou bleuté, plus de beau papier de Hollande, plus de reliures romantiques
Elles tirent surtout un parti admirable de leurs cheveux généralement beaux , qui tombent des tempes jusque sur leur poitrine
ardes qu’à Lyon ; le pays des voix fausses et grossières — à quelques belles exceptions près. Pour moi, je ne te souhaite ici
des remparts de la ville et de ce dôme retrouvé partout comme le plus beau des fantômes. Madame Alise était venue l’autre so
beauté « qu’on venait d’arracher au sommeil », charmante, émue de son beau voyage, le redisant avec cette action et ce prest
anc brodé d’argent et couvert de fleurs et de couronnes admirablement belles . Les jeunes filles qui portaient ce fardeau riaie
ndeur, qui manque en général à celles que j’ai trouvées d’ailleurs si belles . Les orgues, placées à droite et à gauche du chœu
chacun un des instruments de la Passion, représenté en bronze, et ces beaux anges tristes semblaient prêts à s’envoler au-des
e Milan nous fit monter sur le large boulevard intérieur, bordé de si beaux arbres et découvrant au loin les montagnes du Sim
e, qui attiraient tant de curiosités. Je me hasardai d’interroger une belle jeune Italienne qui me répondit : una sposa, d’où
issimo ! Elle était émue, mais nous l’étions plus qu’elle. C’était un beau dédommagement des petites tracasseries semées sou
  D. N.   Moelus. Les peintures de cette église sont remarquablement belles . On ne peut les quitter. Une fresque de Jules Pro
saint Georges décapité ne s’effacera jamais de ma vue. Sa tête est si belle , si récemment morte qu’on croit en voir frémir le
nt cher à regarder, je ne l’ai vu, ainsi que mes enfants, que par les beaux yeux de Mlle Mars. Je vous dirai plus tard, Monsi
ue le mur sans tapisserie coule et semble pleurer. — Italie quand ton beau ciel se voile, dis-moi, apprends-moi ce que tu do
louable est, comme nous l’avons déjà dit, de faire connaître, par de belles reproductions, les chefs-d’œuvre des collections
I, numéro 313, 1er juillet 1910, p. 51-65. Glorifions en nous la Vie belle  ! Seulement dans la plénitude est la Vie. Seuleme
tes les mains travaillent à orner le monde, Glorifions en nous la Vie belle  !                                               G
t pour cela peut-être qu’il s’est toujours nourri des fruits les plus beaux et les plus opulents de la littérature française,
zio s’est plu encore une fois à enrouler autour de l’homme typique et beau l’innombrable filet de la féminité vorace et impi
développera jusqu’à la catastrophe. Une autre figure s’élève ensuite, belle et forte : celle de Giulio Cambiaso, l’ami frater
is. Je reconnais. N’avais-je pas dans ces armoires mes robes les plus belles  ? » demande Isabelle, en souvenir de l’homonyme,
let 1910, p. 115-119 [116-117]. Eh bien, voilà, moi je trouve ça très beau  !… « Vous êtes futuriste ? » vont s’écrier mes me
uriste du dernier bateau ? Je vous répète que j’ai trouvé ça vraiment beau parce je l’ai vu. Or, si un Monsieur me fait voir
e. En attendant on ne peut que louer M. Aldo Ravà de son excellent et beau livre sur Pietro Longhi, et souhaiter que les aut
i : Il Pateracchio Plus heureuse, plus artistique, en un mot plus belle , est la dernière œuvre du toscan Ferdinand Paolie
comparable. Il a donné au théâtre une œuvre, Il Pateracchio, une très belle évocation, mélancolique et joyeuse, simple et ric
, — y compris notre Jean de Bologne, de Douai, auquel on doit la très belle fontaine de Neptune, dont le projet était de Tomm
e de solidarité humaine exprimé par les mots : pardonne-leur… Mais la belle qualité du livre de M. Cosimo Noto, que préface f
titut Stædel de Francfort : un recueil en fac-similé de cent des plus beaux dessins que possède ce musée, particulièrement ri
aîches salles ; Et vers moi se tournaient les faces cordiales, Et les belles chansons naissaient du sombre vin. Et puis c’ét
r les hauteurs dormir… Je revivrai ces jours passés en Étrurie, Ces beaux jours, où Florence à moi se révéla ; Et mon âme s
Harmonieusement fuira chaque journée : Puis s’en viendra, pensive et belle , à travers champs, L’Automne, sous son poids de p
uanges ; Et vous, autour de moi, pareils à des yeux d’anges. Brillez, beaux yeux toscans, pleins des douceurs du ciel. Rome,
ssoires littéraires. Cette transformation en une sorte de mythe d’une belle ville d’art paraît assez curieuse et assez caract
ier abord, mais qui a sa valeur pour un Français : Venise est une des belles villes étrangères aisément atteignables, à quelqu
e défaveur singulière sur la vieille cité. On s’en défiait comme d’un beau poncif. Ni Goncourt, ni Daudet, ni Zola, ni Maupa
ui, projetées sur le présent, lui donnent un aspect si nouveau. Quels beaux morceaux oratoires que ces chapitres relatifs au
ontemporains peuvent dire, peuvent sentir et peuvent murmurer par une belle nuit vénitienne. Il y a mis l’atmosphère de baise
al. Tous deux riches, libres, heureux, s’adorant, également jeunes et beaux et passionnés, qui ont dirigé leurs pas vers Veni
evant la mélancolique splendeur de Venise endormie ?… » s’écrie, d’un bel élan, Antonia de Moldère. Et, tout de suite, ai-j
lui paraît si jeune, si fine, si vibrante dans la lumière dorée d’un beau jour d’automne. Tout, autour d’eux, semble joie e
Henri de Régnier, mais une saine volupté née de la contemplation d’un beau spectacle reposant. Ce n’est ni le décor flamboya
rmonieuses sont infestés par la malaria, toxémie parasitaire dont les beaux travaux du Français Laveran ont permis d’attribue
de la littérature française. » […] Les Théâtres. Odéon : les Plus Beaux Jours, comédie en 3 actes, de M. Giannino Travers
de M. Giannino Antona-Traversi, traduite par Mlle Darsenne, les Plus Beaux Jours, recèle quelques-uns des mêmes défauts auxq
éloges qu’elle mérite. Le musée de Rouen est, on le sait, un des plus beaux de France : les écoles anciennes y sont représent
connaisseur. M. J. von Schlosser, qui, en 1901, avait déjà publié un bel album des principaux objets d’art de ces collecti
Mercure de France et les lecteurs de cette revue n’ont pas oublié ces belles et originales études. Il suffira d’en rappeler le
t que le facteur moral n’y a joué aucun rôle ; pourquoi d’ailleurs le beau zèle anti-esclavagiste dont nos pères immédiats o
4 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
s tendances et par leurs manifestations, semblent toutefois former un beau groupe de volontés. Les esprits ne sont pas d’ava
ls nous apparaissent presque nouveaux. M. Giovanni Vannicola dans son beau livre Sonata Patetica nous révèle ses plus belles
ni Vannicola dans son beau livre Sonata Patetica nous révèle ses plus belles et ses plus vives qualités d’esthète-musicien. Il
rofonde s’est produite parmi les étrangers qui ont vu l’état de cette belle collection et dans tous les milieux intelligents
l’administration et à l’indifférence du public, bien plus occupé des beaux boulevards modernes qu’on perce en renversant la
gligence et le trop peu d’amour que ceux de notre nation ont pour les belles choses sont si grands qu’à peine sont-elles faite
’abattent furieux contre le mystère de la porte close. Ils veulent la belle proie. Le soleil et le vin, les deux feux immense
dormi par le breuvage est rendu à sa mère, elle crie : La flamme est belle  ! la flamme est belle ! Seule Ornella lui envoie
est rendu à sa mère, elle crie : La flamme est belle ! la flamme est belle  ! Seule Ornella lui envoie une voix de sympathie
e même que Candia n’est pas sans rappeler Herzeleide. Mais ni le très beau commencement idyllique du deuxième acte, quand le
evé et maculé du sang du parricide) n’est qu’un symbole, poétiquement beau , mais dramatiquement imparfait. Toutefois, ce dra
antiques. Son style est une synthèse des païens et des chrétiens, des beaux siècles de l’Hellade et de Florence ; c’est un po
gner Gioconda de Lucio est même d’une assez pauvre invention. Lucio a beau parer des plus rares couleurs son infidélité, il
gues dissertations qui les ont précédées. Ces dissertations sont d’un beau style ; elles sont éloquentes, quelque peu emphat
efforts pour monter la Fille de Jorio. Mme Suzanne Després a été fort belle dans le personnage de Mila di Codra ; M. Saillard
dait pas, et pour lui ce grand frère aux boutons rouges était le plus beau jeune homme du monde. Il espérait être embrassé,
souffrait un peu de la tête. Il pensait à Nuoro, à ses camarades, aux belles promenades, aux discussions théologiques, comme i
aux courses avec son cheval blanc comme le lait, faisait la cour aux belles filles, et s’enivrait. Don Elia était beau et séd
ait, faisait la cour aux belles filles, et s’enivrait. Don Elia était beau et séduisant ; il avait vingt ans, mais il en par
sais rien moi-même, mais j’ai toujours besoin d’argent. C’est une si belle chose, dépenser ! On dit que je fais des dettes à
Francesco a dit que quand tu aurais les ordres il t’en donnerait, du bel argent ! Antine commençait à s’irriter, mais il s
isfaisantes. Tandis que, les années passées, il nous donnait les plus belles espérances, au point que Monseigneur l’Évêque, co
es couleurs, vous savez, Zio Félix ; et pourtant Cagliari est la plus belle ville du monde… Ah, si vous voyiez ! — Qu’est-ce
— dit son compagnon. — Quand on a faim, il ne suffit pas de voir une belle ville pour ne plus être pâle. — Et pourtant, voye
ille pour ne plus être pâle. — Et pourtant, voyez, Cagliari, c’est si beau que je ne sentais pas la faim. La mer… — La mer !
lles ! Je dis, moi, que tu avais mangé. Et quand on a faim, on aurait beau voir le Ciel, je dis, moi, qu’on sent la faim. Qu
e pour ces Bellini notre musée a longtemps joué de malheur. À part la belle série de dessins de Jacopo, le père, rien à la vé
tique. « Son art, dit excellemment M. Ugo Monneret de Villars dans le beau livre qu’il vient de publier sur le peintre10, ap
faut souhaiter que l’occasion se présente un jour d’acquérir quelque belle œuvre de ce merveilleux peintre, quelque vigoureu
ste : après avoir publié dans les Atti della societa di Archeologia e belle arti di Torino les inventaires du château de Verr
vait par conséquent ce qu’on appelle « le culte du vrai, du bon et du beau  ». Tout cela était en lui très profond, digne de
t le volume Homo, semble dominé par une volonté d’ordre, créatrice de belles harmonies, qui se dégage d’un esprit complexe de
2 fr. L’Italie illustrée, de M. P. Jousset, est également un très beau volume de bibliothèque, avec huit cents illustrat
qu’il s’attend à y rencontrer, et il a de quoi se satisfaire avec les beaux ensembles de Naples et de Palerme, et surtout de
e construction classique, et en même temps, la liberté de sujet et la belle allure romantique, devra tenir compte avant tout
sera rénovée la tragédie en vers. Donc, je suis fondé à croire que de beaux et glorieux jours sont encore réservés au Théâtre
lement logique des passions, le Flambeau sous le boisseau est la plus belle des tragédies de Gabriele d’Annunzio. Elle demand
r. En Italie, Gabriele d’Annunzio, lui seul d’ailleurs, a su faire de beaux vers libres Aujourd’hui, M. Alfredo Catapano enri
les spectacles de la nature. Le sonnet : Ave, dont l’épigraphe est un beau vers de Machiavel, révèle l’âme du chantre délica
, Florence, Revue du Nord De Profundis clamavi ad te, un livre de belle exaltation musicale et philosophique de M. Giusep
comme elle tue tout individu. De Profundis clamavi ad te est un très beau poème en prose, c’est le cri de détresse et d’esp
écrivain. Son esprit indomptable et infatigable unit toutes les plus belles qualités de la renaissance. Lorsque l’Italie, qui
est peu connue, mais en lui les Italiens pourront toujours puiser de belles forces pour de belles victoires. Après lui, un ro
en lui les Italiens pourront toujours puiser de belles forces pour de belles victoires. Après lui, un roi et un statisticien p
blic français connaît déjà, écrit ses nouvelles, en montrant les plus belles , les plus pures énergies de ses divines Romaines,
fameux « Allons rendre grâce aux Dieux », bien que ce fût là déjà la belle manière de se mettre au-dessus des lois, de mécon
Je reviens voir l’endroit d’où elle est allée Laissant à la terre sa belle dépouille. Évidemment les strophes de Lamartine
ante en poésie. Car, remarque une chose, c’est qu’elle est tout aussi belle en prose et peut-être plus. Mais, n’importe, je v
on qui lui assure l’immortalité. Depuis bien des années, rien d’aussi beau n’a été écrit dans ce genre. Les pièces de vers q
terre ! Son cercueil est fermé, Dieu l’a jugé, silence ! et dans la belle évocation qui se termine par la strophe fameuse :
emplit les strophes  XX, XXI, XXII et XXIII.) Manzoni (strophe IX). Belle , immortelle, bienfaisante, foi, accoutumée aux tr
’imitation de la nature n’était pas le seul but des arts, mais que le beau était, avant tout, le principe et la fin de toute
r aux vers dans la poésie moderne ; car le vers ou le rythme étant le beau idéal dans l’expression ou dans la forme de l’exp
ui luit dans les cieux, et soulève les âmes les moins sensibles, il a beau avoir été élevé par les Jésuites, il estime, il a
e nous lui devons, avec les Regrets et les Méditations, les deux plus belles fleurs qui aient illustré, au seizième et au dix-
itié que le “très fécond” auteur de Fécondité eut pour l’auteur de Bel Ami . Nous parlâmes du grand mort, de ses dernièr
ui dans les cénacles d’outre-monts s’efforcent d’affirmer l’évolution belle et complexe de la musique, que M. Romualdo Giani
qu’une entière liberté y sera rendue au Pontife. Il s’attarde à cette belle vision de la Ville-éternelle restituée au Pape et
s et établissent des principes, font ce qu’on appelle vulgairement le beau et le mauvais temps et sont appelés : Maîtres. Il
duel et collectif, s’efforcent de rendre au catholicisme une haute et belle signification d’universalité. Le catholique, clas
che son expression et son nom. Ses œuvres de pensée peuvent être très belles et utile, s’il les réalise en grand artiste, comm
e renouveau pour la poésie nationale. L’isolement, la dispersion, ces belles qualités de notre temps de préparation, régissent
alie. Il n’y a point d’écoles, presque point de groupes. Cependant de beaux talents paraissent assez forts pour nous retenir,
de leur sentiment. Comme pour la jeune poésie française, une des plus belles caractéristiques de ces poètes, c’est un grand am
géorgique d’une force subtile et personnelle, qui vient de publier un beau livre : I Canti delle Stagioni (Les Chants des Sa
errible Philoctète de Sophocle. La compréhension de l’âme grecque est belle et la langue y est harmonieuse et riche. Jolan
re la première traduction intégrale italienne de Rome de Stendhal. La belle œuvre du grand esthéticien des villes est illustr
rut dans le Lycée français au mois de mai 1820. On n’a pas oublié les belles stances que Lamartine publia sous ce titre dans l
il n’y vit qu’une imitation assez malheureuse de Lebrun et surtout du beau début de l’ode de Rousseau au comte du Luc. Et je
e de l’Enthousiasme qu’il dédia à Manzoni. Mais quoiqu’elle soit d’un beau mouvement lyrique et qu’elle contienne quelques b
u’elle soit d’un beau mouvement lyrique et qu’elle contienne quelques beaux vers, elle est certainement inférieure à celle de
crime avons-nous fait pour mériter de naître ? rappelle un des plus beaux passages de la VIIe Nuit. L’influence de Pope est
pour le Pétrarque in-folio de Lamartine. 24. Lamartine a écrit aussi belle , faisant un vers faux, comme cela lui arrivait so
ous ceux qui emploient son procédé critique — qu’importe que les plus belles pièces des Méditations contiennent plus ou moins
d’excellentes études de MM. Séché et Acker, des instantanés, presque beaux , de la danseuse Mata-Hari.
5 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
ec une prédilection marquée devant les œuvres de Tiepolo : « … Quelle belle lumière, quel beau parti pris, quelle fraîcheur…
marquée devant les œuvres de Tiepolo : « … Quelle belle lumière, quel beau parti pris, quelle fraîcheur… La belle pâte de pe
« … Quelle belle lumière, quel beau parti pris, quelle fraîcheur… La belle pâte de peinture, l’agréable et heureuse disposit
ur… La belle pâte de peinture, l’agréable et heureuse disposition, le beau choix font regarder ce tableau avec le plus grand
tilité des traductions et sur la nécessité de publier en Allemagne de belles éditions françaises des écrivains que nous néglig
itises de l’argent et de l’amour, et leur anecdote n’est ni neuve, ni belle . On vit avec eux dans une atmosphère très lourde
es éléments mélodramatiques, mal mélangés, ne peuvent pas composer un beau roman, et l’art vraiment trop fatigué, très faibl
s cherchent à évoquer, en une série d’images, plus ou moins vastes et belles , les émois religieux de l’humanité, ces œuvres de
érature nationale, à laquelle le théâtre se refuse encore, malgré les belles tragédies de M. d’Annunzio et les drames pathétiq
res. C’était délicieux. Sur la nappe blanche, chaque pauvre avait son beau morceau de pain blanc, qu’il contemplait. On le s
épourvu de sens à Naples. Ce sentiment religieux donne naissance à de belles fêtes. J’ai parlé ailleurs du retour de Monteverg
le bi-annuel, est connue. Il y a des fêtes de quartiers, dont la plus belle est celle du Carmine, mais je l’ai décrite dans u
aiment, car c’est tout ce qu’il a et, oui, certes, ce n’est pas assez beau pour votre seigneurie… Il s’éloigne. Un autre s’a
sa barbiche grise. Il y a enfin le « Cavaliere », petit vieillard aux beaux yeux de chien, à la figure lamentable, qui veut t
t sans désespoir. Parce qu’on était à Naples, à Naples par une soirée belle et chaude. Ce sont eux, enfin, ces hasards, qui m
érêt, moins pour la valeur des arguments que pour l’originalité et le bel orgueil de l’idée exprimée et défendue. On a pu a
t, par la sonore perfection de sa forme, les pâles sommets de l’Œuvre belle . Et il est tellement poète qu’il parle en vers, q
a fremente, T. Landi, tr. Principato, Messine Un livre émouvant et beau , né d’une grande émotion ressentie devant une cat
t eu un sort pareil, une si pure et profonde apothéose, d’autant plus belle qu’elle est plus simple. La vision de Reggio et d
seulement comme le document et le poème de la catastrophe horrible et belle , mais comme un document des plus importants d’une
circonstances fortuites prenaient corps en moi les souvenirs les plus beaux d’un peuple qui, comme le vôtre, eut comme souffl
de leurs conflits, mais c’est tout le contraire. Il y a cependant de beaux vers, de belles tirades, avec aussi un peu trop d
its, mais c’est tout le contraire. Il y a cependant de beaux vers, de belles tirades, avec aussi un peu trop de grandiloquence
exte, uniquement pour toucher du papier consistant et pour admirer de belles impressions. Le 12 avril, juste au moment où je p
leurs chaussures et leurs mœurs… vous emploierez des mots justes. La belle affaire quand vous aurez appelé un voile « zendal
Daniel Dorsevigo est un homme surprenant. Sa maison est une des plus belles de Venise. Elle contient toutes les espèces de me
es sont traversés par des poutres surchargées de fioritures. Les plus beaux sont bleus et leurs caissons renferment de curieu
la passion de Dieu pour le Giorgione ? N’a-t-il pas fixé dans la plus belle matière humaine les dons les moins communs ? Son
vous verrez que j’ai raison.   J’échangeai un regard avec Daniel. La belle assurance de ce garçon nous amusait. Il parlait h
envie de caresser cette femme et de peindre son portrait. Elle est si belle . — Ton ami ne serait peut-être pas content, obser
interrompis : — Tu seras nue. Vous comprenez, Seigneur, que la soie a beau être délicate, elle n’est que crins et orties com
ime… tu es mon trésor et mon bien… je t’aime, parce que tu es fort et beau et jeune… parce que tu es un homme ; parce que te
s, quand elle les débite devant un étranger. — Mais cette Barbara est belle et, quand je pense à la couleur de son corps dans
nuit, à sa tête petite, à ses larges épaules, à sa poitrine et à ses belles hanches, certes je désire la caresser, mais j’ai
me dit-il, puisque vous me l’avez promis.. Jamais la ville ne fut si belle . Debout, à la porte du salon, impatient comme un
  La fréquentation des peintres m’a enseigné, peu à peu, ce qu’est un beau groupe, une ligne parfaite et comment un éclairag
empourprait ses joues et éclairait ses yeux, mais sa passion pour les belles rimes qu’il chantait. Il aurait eu cet air, cette
utant, appuya Angelo R… — En effet, s’écria Ziorzio. Le prix est fort beau , pour un débutant, Seigneur. Et, puisque vous dés
— Un paon ? Pourquoi un paon ? demanda Catherine D… — Parce qu’il est beau , répliqua Giorgione. Mon parent Daniel hocha la t
elle ne signifiait rien. Cependant, ils reconnurent que le paon était bel et bien un paon avec ses plumes foisonnantes et d
ini lui-même. Ziorzio devina ma pensée. — On ne sent pas la chair, la belle chair, sous ces vêtements, dit-il. Comme je lui r
le d’un batelier te séduit, quand tu as la faculté d’admirer les plus belles des femmes chez Dorsevigo et Mercatin… — Ah ! sei
es dames me regardent avec curiosité et me flattent sans amour. Leurs belles robes, leurs parures, leurs dentelles pèsent trop
draperies ou à l’ombre des arbres. — La nature produit peu de femmes belles . Le devoir de l’art est de les rendre parfaites.
rmées dans une galère… — Il est difficile d’affirmer qu’une femme est belle . — Elle l’est, quand elle se dépouille volontiers
tée par un peintre. — Et pourquoi ?… — Parce qu’elle sait qu’elle est belle et ne se trompe point. — Tu as peut-être raison,
es ont discerné dans le public un émoi, elles répéteront à satiété le beau ou tendre ou comique geste intellectuel qui leur
. Pour charmer les femmes, il jouait du luth et chantait. — Que tu es beau , ainsi, les jambes croisées, ton instrument sur l
r les genoux ! s’écria, un soir, l’une d’elles. — Je suis encore plus beau …… — Quand tu es nu ! — Non, quand je mange et qua
icitai. Giorgio manifesta un grand bonheur : — N’est-ce pas que c’est beau  ? — Titian, montre tes autres études. À mesure qu
ns bien égayés, nous essayerons de faire à nos femmes un enfant aussi beau que celui-là ! Je rapportai ces phrases à Giorgio
ar voici Giorgio et, s’il nous découvrait, il nous enverrait faire de belles taches rouges avec le sang de nos cervelles, sur
nt, tous deux, de grands admirateurs du « Berger ». — Il eût été plus beau si l’un de vos enfants m’avait servi de modèle, r
Venise te doit son plus fier monument La place San Giovanni est aussi belle que la place Saint-Marc ! — Je n’aurais jamais cr
parties de l’animal : l’encolure courbée, la croupe, le poitrail aux beaux muscles. Une discussion s’engagea alors, pour sav
nés par les Archanges. Mangez et buvez. Surtout n’ayez pas peur ! Les belles mines, les manières courtoises, les excellentes v
ute la nuit, les Saints du Paradis dansèrent et banquetèrent avec les belles filles de la Terre. Après de tendres adieux, ils
ouverai. * J’avais la certitude que ce discours nous vaudrait quelque belle peinture. Je ne me trompai point. Peu après, Gior
nous engagent à partager leur félicité. Ils affirment que la vie est belle , simple. — Elle l’est, en effet. — Giorgio, tu ne
e l’est, en effet. — Giorgio, tu ne parlerais pas ainsi si tu n’étais beau et vigoureux comme le seraient tous les hommes, s
mmes plus imposants et décoratifs habillés que nus et les femmes plus belles nues qu’habillées. Les jeunes seigneurs, qui caus
pprécierai, peut-être, les dons divins. Pour ce soir, Alexandra, sois belle et n’ouvre ta bouche que pour boire, manger, chan
a Maurina ? demanda Ridolfi, comme nous sortions de chez elle. — Très belle , répondit-il évasivement. — J’aurais bien voulu c
es Et l’on y mène aussi fort bien un madrigal. Celui qui dessina ce beau jardin voulut Qu’un chacun y trouvât un endroit q
e paraît, malheureusement, avoir dominé cette existence d’une actrice belle et célèbre, la passion du roi, quoique exigeante,
les glaces s’en brisaient » ! Il y avait à côté une rivale non moins belle et plus avisée. Et c’est une vie intime assez cur
manque pas d’amusement. Le même homme menait, dans le même temps, sa belle lutte de l’indépendance italienne. Sous ce dernie
le paru en 1886 dans la Gazette des Beaux-Arts 5, et accompagné d’une belle reproduction du Saint Sébastien, a essayé d’en re
es aventures de Morto le voyageur troublent ta cervelle. — Ce sont de belles aventures, camarades ! — Mais dangereuses… — Indi
vin, pour les camarades, des pâtés et des femmes ?… Tu dois avoir de belles choses à raconter, Giorgione… C’était Sebastiano,
e, baise-moi la bouche ! » — J’ai obéi, bons camarades, et elle avait bel et bien la peste ! Eh ! Eh ! je l’aimais. Mes bai
celle de la myrrhe. Je vous promets que sa chair ardente produira de belles flammes. Le feu était son élément. Elle meurt dan
le. Et, comme eux, elle chanta. Elle remarqua un quartier-maître très beau et l’aima secrètement, jusqu’au jour où elle ache
une âme sans défense. Elle ne se refusait à personne et se trouva, un beau matin, par un heureux hasard, logée dans une opul
ier mes brosses, on affirmait que je voulais accomplir une œuvre plus belle que celle de Palma ou de Titian. Je ne protestai
e nymphe, embaumant comme une fleur, enveloppante comme une flamme et belle comme les merveilles qui nous font remercier Dieu
. À Asolo, je me montrai d’une exubérance qui me permit d’exécuter de belles peintures. Je ne vous parle pas des fêtes que j’o
ppartenu… Jamais je n’avais assisté à une scène plus tragique et plus belle . Morto s’était assis à côté de Giorgio et sa main
mpli de troupes, ricana-t-elle… Je choisirai le plus jeune et le plus beau capitaine… et celui-là me possédera… et je m’arra
Antonio… Palma… vous êtes tous là… je vous reconnais… Comme il était beau de voir ces hommes rangés autour de leur maître !
mento [extrait] […] Il me faut enfin signaler une nouvelle et fort belle publication faite par la maison Lefranc et dirigé
ent des reproductions de Coypel, A. del Sarto, Pisanello, et une très belle étude de paysage du Poussin. Lettres italienn
jour… Mais le même auteur a écrit Daniel Cortis, un roman qui est une belle œuvre de construction, d’évocation psychologique,
rythme et par le sentiment profond des images, comme, par exemple, le beau poème l’Abîme. Amedeo Tosti : Nemesi carduccia
furtive erre sur les pelouses entre les statues de marbre, sœurs plus belles encore des songeuses attentives, dans le décor vi
ons archéologiques et artistiques, et l’émotion de ce jeune homme est belle à regarder. Je ne puis le suivre pas à pas dans s
ultère. Aujourd’hui, en lisant la vie de Valentine de Milan, de cette belle , douce et raisonnable Italienne, de cette fleur d
ait d’une prodigalité désordonnée. Et cependant, le Bourguignon avait beau , là-dessus, se mettre en avant, avec une grande a
l’amateur et à l’historien. Ici encore, il s’agit d’un choix des plus beaux chefs-d’œuvre du musée, au premier rang desquels
élevé à la gloire du musée de Madrid. C’est, sans contredit, le plus bel hommage qui ait été jamais rendu aux maîtres dont
tenues dans tout l’ouvrage facilite la consultation de cette riche et belle collection. L’Arundel Club de Londres, qui s’est,
, qui s’est, comme l’on sait, donné pour tâche de reproduire les plus beaux tableaux des collections privées anglaises vient
canal de Rome à la mer, dont il est encore question de nos jours. Le beau livre de Mr Orbaan reconstruit pour le lecteur la
r mère et de leurs sœurs, des cris s’élèvent de la foule : Toi, toi, bel Archer, toi, si beau ! …… — Ô divin21 ! — Ton par
œurs, des cris s’élèvent de la foule : Toi, toi, bel Archer, toi, si beau  ! …… — Ô divin21 ! — Ton parfum est mort, Adonis.
rain sonore, elle voit Sébastien :                             Tu es beau dans ta fleur comme le dieu qui m’aima, le dieu b
es tressaillent comme par la présence de leur dieu… » Il se meurt, le bel Adonis ! Il est mort, le bel Adonis ! Ô vierges,
présence de leur dieu… » Il se meurt, le bel Adonis ! Il est mort, le bel Adonis ! Ô vierges, pleurez Adonis ! Garçons, ple
sur la grande lyre aux cordes brisées et il ordonne, parce qu’il est beau , de l’ensevelir étouffé sous les fleurs et les pa
sombre d’Adonis : Il descend vers les Noires Portes. Tout ce qui est beau , l’Hadès morne l’emporte. Renversez les torches,
magique et de la Fille malade des fièvres, qui est peut-être le plus beau , le plus formidable de tout le drame, n’est pas s
ie que de voir mourir mes enfans ! Las ! n’aviez vous aucunement, mes beaux enfans, pitié de nous, qui de douleur et de couro
et ses filles, qui la retiennent à la foi ancienne et à la vie. C’est beau comme de la tragédie antique : Ô Archer, Archer
rtent dans leurs mains et dans leurs yeux toutes les images de la vie belle . » LA PREMIÈRE Par les bandelettes qui serrent n
dre une fête où sont assis des satrapes, des éphèbes, des femmes très belles , les matériaux de l’œuvre sont encore fournis par
t laissé échapper dès le xiiie  siècle. Mais le terrible Jules II eut beau s’écrier : Ferrara, Ferrara, corpo di Dio, ti aur
’époque du baroque, paraîtra — espérons-le — bientôt. Dans un fort et beau volume de 600 pages, orné de belles reproductions
érons-le — bientôt. Dans un fort et beau volume de 600 pages, orné de belles reproductions d’œuvres d’art, dont certaines sont
dialogues philosophiques un peu sévère comme tenue, mais dénotant une belle érudition. Philosophie. Memento [extrait] Ge
, à Montecarlo, dans le Val d’Arno. Cette dernière est parmi les plus belles , avec les exemplaires de Cortone et de Florence.
es hiératiques de Cimabuë, les fresques célestes de Fra Angelico, les belles terres cuites de Luca della Robbia, les délicieus
, et par la reine Isabelle Farnèse. On y remarque particulièrement de belles œuvres grecques et romaines (la Vénus de Madrid,
que passionnante. Cette tête blafarde, démesurément large, n’est pas belle , et, sans l’énigme de son sourire, serait presque
délicat et vrai qui dans l’œuvre présente n’existe plus. Où sont ces belles narines roses et tendres, la bouche rouge et dont
t à de tels néophytes qu’il faut demander des lumières. Il y aura une belle discussion là-dessus à la Chambre. On pourrait en
’Empereur en 1805, et je peux dire que le séjour de Milan est le plus beau séjour que j’ai passé en Italie, soit pour la bea
beauté de la ville qui est bien bâtie, et bien grande, entourée d’un beau canal, soit par l’abondance de toutes sortes de d
ont pas méchants, comme en Piémont ; les femmes y sont très fraîches, belles et bonnes ; pour ma part, j’en sais quelque chose
duite alors par le New-York Herald et présentée comme l’original : un beau matin, cette copie, ou une autre aussi exacte, se
e Clémence Isaure, jusqu’aux cris sentimentaux de Mlle Térésah et les beaux rôles de Mlle Amalia Guglielminetti. Mme de Saint
cerveau des poètes du « dolce stil novo », a existé en tant que forme belle … Après l’évocation de Béatrice, de Laure, de Sel
e Sienne. Puis vient Lucrèce de Médicis avec ses chansons sacrées. Au beau milieu du monde pétrarquisant de la Renaissance,
ina, Virginia Salvi, etc., parmi les bourgeoises ; Camilla Pisana, la belle Impéria, Tullia Aragona, Veronica Franco, parmi l
u critique, très mondain et très disert, est le vieil enfant gâté des belles mondaines, pécheresses repenties, ou astucieuseme
individus qui y seraient utiles. Quant au Saint Jean, il inspire ces belles lignes à M. Péladan : Si la Joconde est la madon
formes incontestablement géniales. Son Ode Aux eaux ardentes est très belle . Le lyrisme y est si spontané, si franc et si hau
mes qu’ils s’écrivent mutuellement, et qui sont presque toujours très beaux . Les préfaces de leurs livres sont dues à l’un ou
. Pour conclure avec un rédacteur du Figaro, « il y avait une fois un beau tableau qui était notre gloire et notre cher souc
cieusement en valeur le corps, baigné de douce lumière, du supplicié, beau comme un jeune dieu antique (le souci de cette re
’origine de ces collections, nous apprend la notice placée en tête du beau catalogue illustré publié à cette occasion par M.
Rubens, d’un Guido Reni et d’un Philippe de Champaigne, la série des belles peintures de Mantegna, de Lorenzo Costa et du Pér
moins bâtonné parce qu’il n’était pas de leur avis et la bastonnade a beau être empreinte de courtoisie, elle est une singul
48, 16 décembre 1911, p. 859-862 [862]. […] Les tableaux formaient un bel ensemble de l’école romantique. Tous atteignirent
p. 47. 40. Il serait injuste de ne pas louer M. Astruc d’avoir eu la belle audace de porter l’œuvre à la scène. 41. Nouvell
6 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
unes de ces figures décoratives de la Sixtine qui sont parmi les plus belles créations de l’artiste italien. Échos Mercur
on foie par le vautour. La Fatalité dominait. Les hommes surgissaient beaux sur l’ondoiement implacable des Chœurs. Ils étaie
urgissaient beaux sur l’ondoiement implacable des Chœurs. Ils étaient beaux dans leurs détresses infinies, dans la conscience
une individualité. Mais il cessa d’être un héros. Le Destin perdit sa belle attitude féroce, animatrice de nobles vertus. Sop
t sa belle attitude féroce, animatrice de nobles vertus. Sophocle, le beau Sophocle, le beau et majestueux poète stratégicie
e féroce, animatrice de nobles vertus. Sophocle, le beau Sophocle, le beau et majestueux poète stratégicien, repoussa la maj
ort de ses héros, du sort de ses dieux. « Et il orna la scène de fort belles décorations », dit Aristote. La volonté démagogiq
ile. Le rayon de son regard suscite les orages et les tempêtes et les belles horreurs de l’histoire. Et c’est lui, et lui seul
tis-persona, prend ainsi l’âme d’une race, devient le héros, logique, beau . Sa personnalité disparaît ; son individualité ra
lonté idéale, du théâtre Ésotérique. Péladan intériorise à travers un beau et large esprit moderne, de grandes affabulations
hommes ne paraît plus isolée dans la nature, et ne se déroule pas en belle , parfaite corrélation avec les pauses et les fure
age ses étranges figures, qui sont au-delà des concepts ordinaires du beau et du laid, comme presque en dehors des marques d
occulte, pour vaincre le Destin, tue la sœur ignare. Cette pensée est belle et vaine. Mais toute l’action se relève et devien
e rêve et de clarté dans une vision qui traduise non les profondes et belles vérités d’un mythe dont la religiosité nous manqu
ythe dont la religiosité nous manque désormais, mais les profondes et belles souffrances de notre désharmonie contemporaine. L
st-à-dire religion. La représentation de la vie humaine dans ses plus belles significations de souffrance et de volonté sera l
la pièce capitale est l’admirable tombeau de Gaston de Foix, la plus belle statue funéraire, peut-être, qui existe en Italie
de Provence. Lorsque l’âge et la mauvaise fortune lui déchirèrent le beau manteau, élégant sinon très riche, qu’il avait je
forêts vierges de sa Calabre. Son recueil de traductions précises et belles du grec et du latin, qu’il appela : Verde Antico,
, après Carducci, aurait étonné les autres littératures. Il y a eu de belles et fortes œuvres, mais cette affirmation a manqué
… ». M. d’Annunzio développe ce thème en distiques sonores, où vit en beaux rythmes sa vision de Rome. Or, le défaut principa
t philosophique à ses extraordinaires facultés d’esthète, à la vie de belle et cohérente élégance italienne qu’il s’est compo
maines révélèrent cependant sous des lumières toujours diverses cette belle attitude amoureuse et esthétique qui fait de M. d
rès pratique, mais de pure et simple vulgarisation, contient les plus belles ou les plus célèbres pages des romans, nouvelles
ques des Romagnes ; il écrit avec tout son grand amour du sol un très beau livre, très riche d’intéressantes illustrations d
e pas être sans réplique, ne diminuent en rien mon admiration pour le beau livre de Michel Brenet et n’en sauraient qu’impar
ur ta grâce accoudée, Rongé ta tendre bouche amoureuse et fardée. Ah, bel Hylas, l’amour des nymphes blesse-t-il, Qu’effaré
des pins, fraîcheur de l’eau nocturne, Silence. — Ainsi tombaient les beaux soirs de Saturne… VII Le silvestre parfum,
ngueur où tu succombes, Car tu trembles ; ton corps a l’effroi d’être beau . As-tu honte ? Voici que j’éteins le flambeau… — 
rique oratoire, le livre est un précieux document qui fait vivante et belle devant nos esprits la vision de la femme florenti
nel Seicento, R. Bemporad, Florence De M. Gaetano Imbert paraît un beau volume sur la Vie Florentine au xviie  siècle. Le
de fusion de M. Gaetano Imbert en font une œuvre passionnante sur les beaux temps défunts. Emilio Del Cerro, Vittoro Alfie
titre : Sulla via degli incanti (Sur le chemin des enchantements). Un beau livre de vers d’une élégante robustesse païenne,
: La Donna nuda, Renzo Streglio, Turin. — Chez Calmann-Lévy paraît le beau et profond roman : l’Amour triomphe ! de M. E.-A.
n volcan, telle une Orientale près de son narghilé, et devant le plus beau et le plus riche des tapis bleus que le ciel ait
ussi féliciter et remercier le Petit Bleu d’avoir accueilli et mis en belle place cette prose opportune s’il en fut. Tome
lgré que certains portraits reproduits, tel celui de M. Glavé, soient beaux comme de beaux portraits anciens — si quelques le
ns portraits reproduits, tel celui de M. Glavé, soient beaux comme de beaux portraits anciens — si quelques lettres du peintr
de permutatione sortit la guerre de Modène, où il y eut encore de si belles occasions de perdre Antoine, avec ses suites désa
sophique. Stendhal résumait en lui-même les événements ; à travers le beau prisme de son esprit, ils s’éclairaient naturelle
d’état d’âme. Le type de cette jeune femme, pas très jeune, pas très belle , qui rêve d’une extase infinie et ne sait pas s’y
l’Ordre ; après l’évocation historique qui est en même temps un très beau poème de M. Émile Gebhart ; après les travaux de
figure de saint François capable de nous faire comprendre un des plus beaux chants de toute la Divine Comédie, c’est-à-dire d
blable selon l’école de M. Sighele, n’est pas non plus artistiquement belle , car elle montre trop la ficelle et gâte le pathé
és de la jeune littérature italienne. Memento Dans une des très belles et très riches collections de l’Istituto Italiano
lupté, le Feu apparaissent comme les réalisations des rêves d’un fort beau cerveau, très moderne, très informé, et parallèle
itiques adressent à son style des reproches peut-être justes. Mais la belle construction de l’œuvre et sa science de l’homme
citer ce qu’en dit M. Marcel Reymond : Celui-là est vraiment le plus beau titre de gloire de Verrocchio. Par lui, son art v
élève ou non. Par conséquent, on ne peut transmettre le sentiment du beau et du vrai, et l’expression « faire école » n’a p
ne, je fus le premier, je crois, à traduire en français deux des plus beaux contes du romancier sicilien : la Lupa et cette C
si bellement éclectique, si attentive à tout ce qui se produisait de beau dans l’univers entier, et dans laquelle nous donn
es pour se faire accueillir de la foule. Il ne suffit pas d’écrire de beaux livres, il faut s’entendre à les lancer. Il s’agi
Italie. Pour quelques-uns, les Alpes sont ouvertes à toutes les plus belles préoccupations de l’âme esthétique contemporaines
ernier, toute l’Orestie d’Eschyle ; et le public s’est intéressé à la belle tentative et l’a saluée dignement. De Rome elle f
détails est souvent intéressante, parfois utile, rarement entièrement belle . Ils font des séries de pièces, liées par une pen
acosa reprit le vers italien de onze pieds, et écrivit des pages très belles , où le sens de l’héroïsme antique est parfait, où
avec émotion plusieurs de ses pages, choisies en particulier dans la belle tragédie le Comte Rouge, où frémit, sombre et pro
ent sentimental et imagé, que le dernier vers résume souvent avec une belle vigueur inattendue. Uberto Bianchi : Arpeggi ;
ux de la comtesse Simonetta21 et de l’Italie. J’ai parlé d’amour à ce beau pays en faisant la grande ébauche en douze volume
copie, et une copie corrigée et annotée : … J’ai parlé d’amour à ce beau pays en faisant la grande ébauche en douze volume
historien en historien, ses traductions et ses rapprochements, et, un beau jour, s’était-il dit que tant de travail ne pouva
s. Puis, en se relisant, Beyle s’était aperçu que son chapitre sur le Beau , dont il était fort content, avait disparu. Le 30
ans les plaines de Russie, il le refait. Le 1er décembre il écrit : «  Beau idéal : made. » Et il apprend à Crozet28 que ces
e, est aussi celle qui donnera à la Péninsule sa libération. Le Sud a beau se plaindre du Nord : il éprouvera un jour que le
protecteur ; s’il avait été présenté en liberté dans les salons d’une belle Philaminte ; s’il avait signé quelque article sen
n’en doutons pas, les reporters l’eussent découvert avec orgueil, les belles dames en parleraient, au thé de cinq heures, et s
l’instinct pur. Malheureusement M. d’Annunzio n’a pas su inventer une belle fable pour représenter cet instinct. Ses amis, pa
n un poème profondément psychologique, qui serait vraiment moderne et beau et digne de l’écrivain du Triomphe de la Mort.
ie, dit : « … dans la seconde je traite les conditions du sujet de la belle tragédie, de quelle qualité doivent être des inci
apitre, et celui que Stendhal estimait le plus, les cent pages sur le Beau idéal, avait même totalement disparu. 25. Il s’a
7 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
temporains s’aggravent avec l’âge. Amoureux, Don Quichottin emmène sa belle à la promenade, lui déclare à peu près ceci : « J
croissance et la poussée d’un tas de baliveaux nains, — et c’est très beau qu’il nous vienne un tel livre d’Italie : il n’en
possible et même certain. Les Revues Gazzetta Letteraria : de beaux vers de L.-G. Mambrini, trois Sonnets en mineur d
e di Byron Carlo, su’l risonante adriaco lido A te ne viene Aroldo il bel cantore, Non qual ei drappeggio con riso infido N
fronte Sogni passar di gloria ! Da l’Egeo Sorridevan le sparse isole belle . * Ahi, la Parca volo. Di monte in monte Pianse l
Charles, sur la résonnante rive adriatique, Vers toi vient Harold le beau chanteur, Non tel que drapant, avec un rire illus
anglais Que de songes de gloire passèrent ! Sur l’Égée Souriaient les belles îles épandues. * Ah ! la Parque prit son vol. De
dizio estetico, par G. Lavini : incapacité de la science à définir le beau (22 août) ; Giorgio Eliot, la sua vita e i suoi r
romanzi, par G. Depanis (5 septembre). Cronaca d’Arte (Milan). — Une belle gravure d’après une tête d’étude du peintre Andre
distingués (26 septembre et 3 octobre). Cronaca d’Arte (Milan). — De beaux vers de M. Rapisardi, l’isola ; du Lamartine (27 
8 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
ère et de couleurs, M. Morrice nous montre des toiles aussi largement belles que son coin du grand Canal, ou l’aspect si diver
riers infatigables. Malatestino, le jeune homme à l’œil crevé, est un bel exemplaire de la férocité de ces jours ; il tremb
tremble de plaisir impatient à l’idée seule de la vengeance ; le plus beau cadeau qu’on puisse lui présenter c’est encore la
un essor extrêmement vigoureux : il compte dans sa rédaction les plus beaux noms des écrivains modernes : je cite, au hasard
ard pendant dix ans, de 1857 à 1867, imagina que Cassandre, “dans les belles prairies de la Touraine”, était “une toute jeune
t observes. Il s’en faut de peu que Bilora ne soit une œuvre vraiment belle et il sied de remercier la direction des Latins d
ouvé ce que j’y cherchais : le côté artistique est très marqué et les belles pages vives, claires, dramatiques, y abondent. Ce
mération de peintres et de peintures ; mais si Venise est un des plus beaux musées de l’Europe, il ne s’ensuit nullement que
te ; voilà la robe déchirée tout du long sur une nudité qui n’est pas belle . La crédulité d’un Chasles à qui l’on vendait des
d’un amour incoercible, qui finit avec la mort d’un des coupables. De belles pages : je ne croyais pas Mme Jolanda capable d’a
de crimes au bord d’un yacht princier, qui voyage infatigablement. Un beau type d’aventurière, que les circonstances plus qu
quer l’immonde par l’absurde. Il reste que ces îles dangereuses, mais belles et riches, sont malheureusement la proie d’une ra
1707. Poërson venait de succéder à Houasse. Il avait trouvé là-bas un beau désarroi. À son arrivée à Rome, son prédécesseur
une gallerie pour tascher de les raccommoder ; et d’ailleurs c’est un bel ornement, qui nous sera utile, attendu que, l’ent
can estant défendue, c’est toujours une grande consolation de voir de belles coppies dont le trait est pris sur les originaux…
aux idées que l’on a eues de former d’habilles gens et d’en tirer de belles copies, tant d’architecture que de peinture et de
on voit dans Rome. » A l’esgard de la peinture, les lieux où sont les belles choses qui ont acquis tant de réputation à cette
vent d’une vie énorme et monstrueuse. L’antique Poseidôn, terrible et beau , ne se peignait pas dans les cerveaux hellènes so
’harmonise parfaitement avec le vert foncé du titre encerclé d’or. Le bel effort pour régénérer l’art du livre commence enf
éro 154, octobre 1902, p. 259-263 [261]. Tous ceux que séduisirent le beau talent de Mr Maurice Hewlett et qui admirèrent Th
ait à un homme d’érudition et de goût ont collaboré avec l’« Amour du beau  » en général et la dévotion universelle à la gloi
mps, cette lutte que si étrangement nous nommons la gloire. Une œuvre belle se désigne d’abord, aux premiers témoins, par un
ue dans ce panneau probablement authentique ne cherchez l’être humain beau en soi, la femme « délicieuse », l’enfant « ravis
les attributions, les désignations de sujets ne nous intéressent. Un beau pâtre assis sur un roc, le visage imberbe et demi
rber toute la vie ; l’attitude nonchalante, et lyrique pourtant, d’un bel animal humain, à peine vêtu ; on devine un corps
ur sur 20 de largeur) est-il de Raphaël ? Qu’importe ! C’est une très belle , très décorative et très rare chose. § Mon intent
s antiques et notamment un torse, style et marbre grecs, parfaitement beaux , des dessins de Rembrandt, de Rubens, de Michel-A
ne verser une rivale d’amour avec son carrosse dans la boue, et qu’un beau jour de ses trente ans, en pleine beauté, le Chri
nt de travaux, Müntz trouvait encore du temps pour s’occuper de cette belle bibliothèque de l’École des Beaux-Arts, dont il f
9 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
iteurs émus n’avaient pu lui refuser. Casanova s’empare du verrou un beau matin : Dès que je fus seul, je pris le morceau
din m’envoyait, une grosse bouteille d’eau que je jugeai bonne, et un beau poulet rôti très appétissant ; en outre un des ar
de l’Oratoire San Bernardino à Sienne (1518) comptent parmi les plus belles peintures murales du commencement du xvie  siècle
use, Casanova jeune, et Condulmer vieux, courtisant la même femme, la belle Mme Zorzi. Casanova partageait avec l’abbé de Ber
nsonge voulu, plein de noblesse, et qui doit être considéré comme une belle action à l’actif de Casanova et tout à son honneu
mand Baschet, que ses amis appelaient familièrement le Doge, pour ses beaux travaux sur l’histoire de Venise, fouille à son t
d’écrire dans sa prison ; il ne nous étonnerait pas qu’au lieu de son beau chapeau à plumes blanches sur la tête il soit sor
e plus des pages comme celles-ci : la fantaisie a des bornes, et on a beau vouloir produire son petit effet, ce n’est pas un
des échafaudages qui couvrent le fond et le haut de la toile, est une belle œuvre. Regardez aussi la Sortie de Théâtre de Car
Danse du Pan-Pan à Monico, il est impossible de ne point admettre le bel élan des corps des danseuses qui forment le group
r leur mélange de certitude et d’imprévu, lui donnent l’intérêt d’une belle affiche, et pour admettre son Train en vitesse, i
ublier devant elles, évocatrices toujours vivantes des souveraines et belles époques, l’orgueilleuse sottise et la laideur de
e façon, dans la galerie Mollien, les sarcophages, les bronzes et les belles colonnes de marbre polychrome. Les premiers sont
ection comme président du Conseil des Musées nationaux, a tirés de sa belle collection pour les offrir au Louvre comme un tém
hilhellène F. de Simone-Brouwer, qui manie lui-même avec dextérité le beau langage hellénique, nous montre quel poète comple
abandonneriez tout entier, parce que vous ne voyez que de grandes et belles choses et qu’ils sont, eux, si mesquins dans leur
une existence virtuelle : c’était un thème à invocations lyriques, un beau motif de poème, non une réalité. Le Peuple revena
e, l’intérêt et les appétits qui triomphèrent, mais on les entoura de belles phrases pour leur conserver l’apparence de l’héro
vues leur intérêt personnel, dissimulant leur égoïsme sous un flot de belles paroles, affectés au dernier degré de cette malad
appuyées sur l’argumentation la plus serrée. Ajoutez à cela les plus beaux dons de l’orateur dans le meilleur sens du mot, n
11 [409-410]. À propos de peinture, il sera plus séant de signaler la belle étude de M. Ardengo Soffici, parue dans la Voce,
ment par les Watteau, les Fragonard, les Laurent, race fameuse par la belle spontanéité de leur vision, par l’expression des
aits de mères, d’adolescentes ou de mondaines inconscientes d’être si belles , de répandre tant de volupté : quel mystère ! que
t d’une pointe acérée, l’écrivain dessine la silhouette de Rosina, la belle et jeune paysanne, si amoureuse de l’amour, jusqu
ipal du récit semble être vraiment la Romagne superbe, farouche et si belle . Clarice Tartufari : Il giardino incantato, Ar
poste, nous donne de lui cette réflexion qui coupe le récit. Oh ! ma belle et chère France, où tout dans ce temps-là allait
avant, l’avait fait mettre aux arrêts, accompagnant ce souvenir d’une belle réflexion philosophique : Ce gouverneur de la Na
teints de sang ; il n’avait été que destructeur ; mais en faisant ce beau chemin, il avait été bienfaiteur, et sa gloire es
nt de la domination maure. Il juge la langue espagnole « une des plus belles , des plus sonores, des plus énergiques et des plu
e à la nuit, et au lieu de l’heure du berger qu’il croyait sonnée, la belle , tirant un rideau, le met en face du cadavre d’un
riche. — D’abord l’esprit naturel est une production endémique de ce beau pays ; tout le monde en a ; le sexe y est beau, e
uction endémique de ce beau pays ; tout le monde en a ; le sexe y est beau , et on y fait excellente chère à prix fort modéré
and bien dans le pays, s’occupant d’œuvres humanitaires, y possède un beau château de famille avec des archives et une bibli
aussi savant que le voulait Cellini. Ils obtiennent pourtant un fort beau bronze. J’avais acheté à l’un de ces fondeurs plu
ture, […] Bartholomé Libero Andréotti, avec un grand haut-relief d’un bel effet, une frise nuptiale ardente et hiératique d
ut-relief d’un bel effet, une frise nuptiale ardente et hiératique de belle impression esthétique ; […] de Bugatti, entre aut
ratique de belle impression esthétique ; […] de Bugatti, entre autres belles œuvres, une statuette de fillette d’une grâce trè
a pu, non plus, crier sans réserve une détresse que toutes les choses belles et vivantes présentées à son imagination atténuai
ante. Et il s’est trouvé que, par sa puissance lyrique digne des plus belles époques de la poésie, son chant était celui de to
revendication n’est pas inutile, non plus que le lyrisme parfois très beau avec lequel elle s’exprime. — Ne quittons pas M. 
e dessin incisif, de coloris vigoureux, rend cette œuvre profondément belle et émouvante. De telles acquisitions sont des plu
ants qui produisaient, les uns la poire et la grenade, les autres les belles oranges, les douces figues et les vertes olives.
suivantes : « Elles délient les mules ; saisissant dans le char les beaux vêtements, elles les plongent dans l’eau des bass
du front, et on la reconnaît facilement, bien qu’elles soient toutes belles . Ainsi la jeune vierge brillait au milieu de ses
ge brillait au milieu de ses femmes. « Mais quand il fallut plier les beaux vêtements, atteler les mules et retourner vers la
pensées ; et elle voulut qu’Ulysse se réveillât et vît la vierge aux beaux yeux, et qu’elle le conduisît à la ville des Phéa
tre devant la vierge aux bras blancs. La scène qui suit, une des plus belles de l’Odyssée, est trop connue, et surtout trop en
oie, il y a Renaud et Armide et un superbe Triomphe d’Amphitrite. Ces belles œuvres sont d’un magnifique mouvement, d’une admi
ne ». M. Rivalta n’a pas su évoquer son temps. Tout en ayant les plus belles possibilités d’en sortir, il reste dans cette lit
un effet auquel on n’avait point pensé, de découvrir de découvrir une belle vue ; il n’en fallut pas davantage pour fonder pl
ure le choix de l’affreux ermitage de l’Alverne dont on peut lire une belle description dans la traduction par Téodor de Wyze
e ce significatif éloge : « Il n’y a point de décoration d’opéra plus belle ni mieux ornée qu’une pareille campagne. » Réflex
l’original de notre âme. Il n’est point de réalité si puissante et si belle , ni d’aspect si pressant du monde, qu’ils ne nous
ait révélés. II Point d’intelligence du monde chez ceux que le beau n’émeut pas. Mais rien n’est dans l’intelligence
beauté basse, en ajoutant que la bêtise est commune parmi les hommes beaux . Enfin, le souci manifeste de la beauté personnel
ison, et s’il faut, comme dit un conte d’Andersen, souffrir pour être belle , l’art doit exiler l’effort. On conçoit que les h
. Contemplez les traits de Léonard de Vinci, qui passait pour le plus bel homme de son temps. Ils ne peuvent inspirer que l
plutôt qu’elle n’exclut, la vérité profonde inhérente aux ouvrages du beau  — exprime, selon l’esthétique de l’époque, l’impo
l’indéniable sublimité de la composition, nous avons un tableau plus beau dans la gravure que par l’original, à peu près co
ités que l’esprit antique, par une cristallisation connue, conçoit le beau paysage comme serein, noble, souriant, et surtout
orient du bonheur, on ne sait quel pressentiment obscur encore, plus beau que les formes de l’adolescent, — celui, sans dou
-Marc et ses fresques de l’Angelico, Santa Maria Novella, si riche en belles peintures, — enfin la Galerie des Offices, avec s
timentale peut être réalisée, et l’église catholique ne réalisera son beau nom que quand elle fera prédominer le sentimental
XCIX, numéro 365, 1er septembre 1912, p. 89-99. Dans la Préface de sa belle traduction en italien60 de l’ouvrage de J. Casano
in de le couvrir avec mes chemises. » Casanova s’empare du verrou un beau matin : « Dès que je fus seul, dit-il, je pris l
éré universellement en France comme un des plus grands peintres de la belle période italienne, c’est qu’il faut l’aller voir
sine, à Rome, étaient visibles, s’il ne fallait pour admirer ses plus belles œuvres se rendre à Sienne, à Monte Oliveto, à Pis
effet dans l’œuvre du Sodoma, avec toute la science et l’habileté des beaux maîtres de son temps, un souci de beauté, un don
té fleurit en art, où l’art se parfume de sainteté… Oui, sa vie était belle et son œuvre féconde et ses derniers jours durent
omme vrai s’y reflète, tel qu’il fut, ou au moins tel qu’il fut à ses beaux instants. Musées et collections. L’Inaugurati
» qu’il s’était proposée, pour laquelle il a écrit ce livre. Elle est belle . Elle est riche de sons, comme une pause musicale
s plaît que le poète l’ait écrit, à cause de certaines pages d’une si belle littérature, un sentiment d’amertume nous pousse
l de l’idée de chance inspirée par la lumière italienne : Il faisait beau hier, il fait beau aujourd’hui, il fera encore be
ce inspirée par la lumière italienne : Il faisait beau hier, il fait beau aujourd’hui, il fera encore beau demain… C’est le
nne : Il faisait beau hier, il fait beau aujourd’hui, il fera encore beau demain… C’est le pays de la confiance que celui-c
s jeux de Cirque et se passionnent maintenant de Lotto. Oh, c’est une belle chose que la chance ! Je sais bien qu’il n’y faut
r du calcul intégral des revenants jaloux de leur obscurité. C’est du beau travail. De la tapisserie de haute lice où l’on d
ant quelques écrivains italiens ont consacré à l’œuvre de Verlaine de belles et sérieuses études : V. Pica, qui fut d’ailleurs
ce, Fréjus, Antibes, Monaco, Lieuche, Sospel, Contes, etc… On note un beau tableau de maître inconnu à la Chapelle des Pénit
té psychologique » de ce fils de la Renaissance, dont la vie fut plus belle , plus émouvante et plus profonde que l’œuvre tout
e fouille est effectuée en ce moment au forum de Nerva, près des deux belles colonnes surnommées les Colonnaccie. La base et l
IX, numéro 368, 16 octobre 1912, p. 894-896 [896]. […] les plus plus belles pages de l’arétin. Avec un portrait. Notice de Gu
…] Memento bibliographique [extrait] C’est un recueil non moins beau et non moins précieux, étant donnée surtout son i
Dominiquin, de Canaletto, de Salvator Rosa, de Zoppò et du Primatice ( belle esquisse d’une Dame des Heures pour un plafond) ;
bilé de Francesco Novati, — mais dont on peut surtout retenir la très belle étude consacrée au Pape Boniface VIII. — C’est d’
songe avec ses yeux de myope inspiré. » Cela doit être beaucoup plus beau dans le vrai texte. Mais M. R. Rolland est-il sûr
lle ?… Une jeune femme aux yeux pensifs, à l’amour savoureux comme un beau fruit d’été ?…Une jeune fille, pleine de rêves, s
, ne dresse les oreilles et prenne la fuite. Elle était vraiment très belle . Elle se préparait à se mettre au lit, et elle se
oulu brunes… J’adore les cheveux des femmes ; ils me semblent le plus bel attribut de leur sexe délicieux, et pour moi la v
D’un geste gracieux, elle prenait à pleines mains une poignée de ses beaux cheveux, elle les ramenait devant elle, mouvement
nt moi ; puis, soudain, je n’étais plus là ; je rêvais. Je voyais son beau visage, ses mouvements si purs, sa forme adorable
mps… La vie devait lui apparaître comme à une enfant, toute pleine de belles fleurs inconnues à cueillir, toute pleine de parf
s du jour, vous brûle le sang ?… J’étais tôt ramené au réel. Quand ma belle Psyché n’était pas là — je lui avais donné ce nom
rte, et je la voyais se décoiffer : je pouvais à mon aise admirer les beaux bras, l’opulente chevelure et les royales épaules
rer les beaux bras, l’opulente chevelure et les royales épaules de ma belle Psyché. Il me semblait que j’étais près d’elle, q
epuis tant de jours, j’admirais mystérieusement ! Que sentiraient les beaux yeux de ma Psyché, quand ils se poseraient sur le
ôté d’elle ? pourrais-je être choisi par une créature si parfaitement belle  ? Et puis je me rassurais en pensant qu’elle étai
e servante étendait des costumes de bain sur un fil. À dix heures, ma belle Psyché disparaissait, et il n’y avait plus de cos
nts, tous situés à ravir sur le golfe ; se baigner dans ce paysage si beau , au pied des jardins du Pausilippe que le soleil
IV Dire ma joie devant cette preuve de l’intérêt que me portait ma belle Psyché serait bien vain. Cette nuit-là, je fis de
orangers, la colline, les maisons lointaines ne m’avaient semblé plus beaux et plus ensoleillés. Ah ! il fallait agir à prése
rencontrer, revenant du bain. Cette Villa est sans doute un des plus beaux jardins du monde. Planté de sombres arbres d’Ital
t des fontaines complètent ce paysage de bonheur oriental. Mais la si belle Villa m’eût paru bien plus belle encore si j’y eu
sage de bonheur oriental. Mais la si belle Villa m’eût paru bien plus belle encore si j’y eusse rencontré Psyché. Je n’y trou
eux. Quelques dames la saluèrent. Je pensais : « C’est elle, c’est ma belle Psyché, celle qui chaque matin me sourit ! » Près
as un souffle d’air. Quand ma Psyché parut, toute fraîche, charmante, belle comme un rêve, je lui envoyai des baisers. Puis j
re. Elle me menaça de la main, mais elle le ramassa. Cela fait, j’eus beau la guetter, je ne la vis plus de la journée. Je s
s, et maintenant, je me demandais si elle les supporterait. Après mes beaux jours de certitude et de confiance, j’éprouvais u
jouant. Je n’avais jamais pensé sérieusement encore à monter chez ma belle Psyché, mais cette pensée-là couvait silencieusem
é, se couchent tard) pour risquer moins d’être surpris. La nuit était belle et claire, et heureusement il n’y avait pas de lu
ur ses épaules. — Lina, mon ange, Lina, mon cher amour, que vous êtes belle  ! lui dis-je avec émotion, et je voulus, comme to
Je me mis à parler doucement ; je lui expliquai que rien n’était plus beau que l’amour, et que, pour cette raison, il était
approchait celle-ci de Lui. Elle m’écoutait, elle me regardait de ses beaux yeux noyés de larmes ; mais bientôt, tandis que j
nunzio a pâli. On ne le suit plus, on ne l’imite plus, et, malgré ses belles tentatives patriotiques réitérées, pour s’élever
mes populaires de M. Sem Benelli — lequel donna pourtant jadis une si belle et grande promesse de poésie vraie, mais que le f
et stérile, et il y a en Italie aussi un « Boulevard ». Mais cela est beau . Memento M.  Romain Rolland a donné au péri
tion récente du catalogue du Musée Poldi-Pezzoli, qui voisine avec la belle collection Brera dans le même palais, précieuse c
10 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
cachait presque. C’est grâce à sa faute que Ravà a pu dévoiler cette belle statue de marbre blanc au dessin si pur et la dre
s ont fait la vie heureuse, le souvenir du service rendu ; ce qui est beau et louable en vous, c’est cette résolution d’emme
ment royal, effréné, qui devait naître dans cette créature absolument belle , et radieuse. Par sa façon de se donner à moi, j’
nouvelles de mes Survivances. Je ne pouvais leur avouer qu’il y avait beau jour que je n’avais plus touché une plume, sinon
s pendant lesquels je vivais si ardemment, ne me paraissent pas moins beaux  — mes meilleures heures, c’étaient celles où je r
t s’était évanouie. Son père ! Je l’avais reconnu aux yeux, les mêmes beaux yeux qu’elle. D’un regard, il avait tout compris.
t comprendre qu’étant noble je l’eusse dissimulé. Mais, me sachant de belle race, il m’aimait tout de suite deux fois plus, f
ersaient la place Vittoria pour faire quelques pas devant la mer. Les beaux arbres de la Villa Nationale étaient enveloppés p
t l’autre d’une grande beauté. Je savais mieux que lui que Lina était belle  ; mais je l’écoutais paisiblement me la vanter, t
chant pour l’inconnu et le hasard, reprenait le dessus. Je tenais une belle aventure, j’étais heureux. Celle-ci me semblait p
tenais une belle aventure, j’étais heureux. Celle-ci me semblait plus belle encore, depuis que le père de Lina nous avait sur
tout près et à moi ! Elle, et son amour frais et enivrant, elle, plus belle et plus jolie que toutes les femmes, elle, ma Psy
’amour, mais il me semblait aussi ombré de honte. Les torsades de ses beaux cheveux étaient nouées avec un ruban noir comme c
ns musique, il me racontait que la saison du San Carlo avait été très belle cet hiver ; il me demandait quelles nouveautés on
osais que le sentiment de l’honneur le faisait agir, et je le jugeais beau et noble. Mais il se produisit alors en moi quelq
il a choisi le meilleur parti, c’est un homme sage. S’il eût été plus beau qu’il me tuât, il est excellent tout de même qu’i
t-Elme, sur tout ce décor qui avait entouré mon existence pendant ces beaux mois qui ne reviendraient plus jamais !… J’envoya
nificence de mon installation m’impressionna. En somme, je faisais un beau mariage. Qu’en penseraient mes parents ? Ils avai
famille, mais ne seraient-ils pas flattés qu’elle fût aussi noble et belle  ? Après tout, se marier ce n’était point tellemen
ibrement et honnêtement, nous serions l’un à l’autre. Cela était trop beau . Elle avait peur. Comme elle avait le sentiment d
regards d’admiration qu’on lui adressait m’enivraient. Qu’elle était belle  ! Le bruit de ses fiançailles avec un Français s’
aurant, justement, des Promessi Sposi4, d’où l’on découvre une vue si belle et si étrange sur les Champs Flégréens. Nous fais
fluence. Lina, vêtue de satin blanc et de dentelles, était divinement belle . Elle était émue et très pâle. XII Retrouve
issance et l’éclat de ma jeunesse, la créature que je jugeais la plus belle au monde et dont chaque mouvement me pénétrait l’
, Lina devenait pâle, elle me prenait la main. Et, levant sur moi ses beaux yeux que la mélancolie obscurcissait, elle murmur
nt. Ce n’était déjà plus l’apothéose. Je ne voulus pas voir mourir la belle saison, là où j’avais connu un bonheur si éclatan
tions aimés. Déjà c’était le passé. Mais le présent n’était pas moins beau . Il était doux et enivrant. Nous parcourûmes la r
ier 1913, p. 393-402 [395-396]. L’Olivier (décembre) publie ces deux beaux sonnets inédits du poète Louis Le Cardonnel : AMO
déplaisir des Italiens est grand de voir partir à l’étranger tant de belles œuvres de l’école nationale et une collection qui
t différents. L’épisode d’Hélène est à vrai dire celui où ce culte du beau asexué éclate le plus dans l’œuvre de Goethe, on
re de Goethe, on trouve chez lui plus que dans d’Annunzio le souci du beau moral dans l’effort de civilisation que Faust ten
ue les décors déjà tant chantés. Littérature. Collection des Plus Belles Pages : L’Arétin, Notice de Guillaume Apollinaire
méro 375, 1er février 1913, p. 583-589 [586-587]. En tête de ces Plus Belles Pages de l’Arétin, M. Guillaume Apollinaire a écr
]. Antoine Hekler : Portraits antiques, Hachette, 40 fr. Le très beau volume publié par la librairie Hachette, Portrait
de M. Gabriel Faure. En suivant cette route antique comme un des plus beaux pèlerinages d’art et de beauté qu’on puisse faire
arbre blanc et briques vermeilles, et les aspects du Dôme qui est une belle église romane. Mais tout un tiers de la ville, ve
lles, autre chose à voir que des tableaux. Pourtant le récit est d’un bel enthousiasme. L’auteur semble toujours faire un v
a côte niçoise, et des images de Sardaigne ; parmi ces dernières, une belle évocation d’église nue et populaire avec de sobre
l’histoire italienne. On peut les comparer, et les déclarer également belles , si l’on croit pouvoir comparer une vigoureuse cr
t les goûts d’un seigneur de la Renaissance, entre chiens, chevaux et beaux atours ». Et certaines pages descriptives, où l’o
s le français du dantologue Rabelais. M. Maurras a écrit une des plus belles biographies, des plus synthétiques, et pour cela
omber sur la terre comme un corps mort ou rire de bonheur au rayon de belles étoiles, il aura peut-être donné une idée juste d
l’utile leçon de vérité antiromantique, ce Florentin en deuil de son bel San Giovanni, cet énergique cittadin della città
ribution fort remarquable. Il fait ressortir ce que de supérieurement beau et rare enrichit le caractère de cet homme presti
ue de valeur et journaliste de particulière importance, est une œuvre belle consacrée à une des plus curieuses figures qui pu
nt vers le couchant, et l’autre vers le levant)10. Nous voici dans un beau port, entouré symétriquement à droite et à gauche
le du laistrygon Antiphatès, descendant vers Artakiè, la fontaine aux belles eaux où puisent les habitants. Elle leur indique
es formes sur toutes les faces, et jusque dans leurs assises. Dans un beau désordre de flancs pansus et de croupes rebondies
e nord, une plage en demi-cercle, la cala San Giovanni, constitue une belle marine à échouage. Partout ailleurs les rivages s
e à faire. Il lui faut le repos dans la stabilité, D’ardents amis, un bel , un lumineux été, Un automne, avec lui songeant l
ous, au cercueil, Pour qu’il puisse y dormir, en cendres révérées, Un beau Campo Santo, clair au fond des soirées… Ainsi j
annoncer la publication du second volume consacré à Florence dans la belle collection des Musées d’Europe de M. Gustave Geff
ervées. » Parmi ces lettres, les plus curieuses, les seules vraiment belles , sont celles de Manon Balletti. Cela, c’est une r
de vue artistique. On démolit en ce moment, sur le Palatin, une fort belle villa historique, qui a été expropriée par le Gou
chetée par un riche Anglais dont elle prit le nom. Elle avait un très beau portique de style ogival tertiaire avec des entab
tout esprit d’initiative. Non seulement elles ne distinguent plus le beau ténébreux de leur couturier, mais encore elles pr
st le plus naïf des serviteurs remerciés, dégommés. » Ceci n’est pas beau , quoique poignant, quand on pense à l’homme et qu
Sérao, G. A. Césareo, etc. Gabriele d’Annunzio tomba, fort jeune, au beau centre d’une ambiance artistique et fougueuse trè
grand tableau des Maremmes sans accent. De cette exposition comme du beau livre aux nombreuses reproductions qu’a publié ré
bon artiste, sage, doux, épris de rendu serré. Il est bon peintre et beau graveur, on a raison de le tirer de l’oubli, mais
terrasse du Lido… Vous serez celle qui me plaira le plus… Et vive la belle aventure ! Vous, bercée par la chanson des rails,
vous ai vus !… Il avait son air rêveur, comme toujours… Il faisait le beau et l’indifférent… Alors, tu t’es approchée et, ha
s sa naissance dans les arts est une amusante supposition. Hélas ! Si belle puisse être l’héroïne de cette aventure, nous n’y
euse, et « parmi ces lettres, les plus curieuses, les seules vraiment belles , celles de Manon Balletti ». M. Aldo Ravà ne nous
voiles dont elle se couvrait et faire apparaître en pleine lumière la belle cité musulmane, indocile jusqu’alors aux sollicit
couleur grise, rien ne semble changé. « Voyez comme la ville est une belle et grande cité italienne », me disait à bord un j
on sent ici que l’islam règne en maître. Des mosquées nombreuses aux belles portes de faïence, mais à l’extérieur un peu nu,
et s’exprimant correctement en français. Nous le félicitions pour la belle victoire que viennent de remporter les armées ita
Angleterre ou dirigés par des instructeurs anglais. Le croiseur avait belle apparence, était propre et bien tenu. L’équipage
’état-major de Constantinople. Il étudia beaucoup de projets, émit de belles idées, mais n’eut ni le temps, ni le loisir de le
s troupes, peu habituées encore à la discipline européenne, soient un bel embryon d’une organisation plus importante. « All
, de ses coutumes et de ses idées. C’est un homme jeune encore, d’une belle allure. « Nos Zaptiés, me dit-il (nous leur avons
un puits d’un côté et de l’autre une sorte de piscine où l’eau coule belle et pure, sur la pierre. Les Zaptiés, que nous sur
ts d’Europe y poussent ; petits pois, haricots, choux, etc… C’est une belle oasis dont les tons nuancés reposent les yeux des
aisses, encombrant les barques de passage. Les « facchini » firent de belles affaires. Les commerçants furent moins heureux. L
ontrées désolées la vie reparaisse. L’humus semble prêt à produire de belles moissons et les professeurs d’agriculture italien
e dit l’aimable officier, que l’humus de Tripoli est fécond et que de beaux fruits, des légumes, des arbres et plantes pourro
que je me redisais avec ferveur, le cœur plein, pour un moment, de la belle naïveté d’autrefois. On eût pu rire à me voir cou
Rome, dont le palais s’élevait dans le plus aristocratique et le plus beau des quartiers de Florence. Elle avait grandi dans
s médailles antiques, était, dit M. Robert de la Sizeranne, « le plus beau jouvenceau, le plus riche et le plus élégant cava
des belles-lettres, le prix d’élégance, le prix de goût et de tact en belles médailles qu’il collectionne pour Laurent le Magn
t l’assentiment général qui classicise leurs productions. Il n’est de belles et séduisantes productions qu’aux époques qui se
s le sou !) Le pauvre Trismat promène avec lui sa vie intérieure, une belle hallucination poétique le tenant toujours en évei
d’y montrer ses jambes. (Le pendant du marcheur de Rodin !) Elle est belle , fière, généreuse, et tombe noblement si on peut
menteur et amoureux sincère, canaille et pieux à la Vierge. Avec une belle voix de salon dépourvue de médium, Mlle Andrée Va
son lyrisme toujours mêlé, mais parfois puissant, ne méconnaît les «  belles pages » que d’Annunzio a données à la littérature
xandrie et qui sont extrêmement rares. À signaler aussi quelques très beaux objets de bronze et de terre cuite ; l’huilier es
avec elle, tandis que son mari travaillait à la maison. « C’était une belle brune, encore jeune. Les sergents retroussaient l
, nous allions dans les églises, au Pincio, au Corso, voir passer les belles voitures. L’hiver, avant de rentrer, ma mère m’ac
phères, des instruments de musique et d’astronomie. Le moine était un beau garçon, qui portait une couronne de cheveux noirs
fresques de Botticelli au Louvre provenant de son ancienne villa ; la belle Simonetta Vespucci dont l’effigie est à Chantilly
er de Médicis ; l’énigmatique Bianca Capello ; et enfin deux des plus beaux types d’humanistes de la Renaissance italienne :
11 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
. Vittorio Pica, dont tous les littérateurs ont apprécié, naguère, le beau livre de critique française Littérature d’excepti
e doivent et devront consulter. Le texte critique y est accompagné de belles reproductions qui permettent mieux d’apprécier le
taine d’années, la vie de l’art à plusieurs milliers de dessins, plus beaux , plus originaux et plus mouvementés, si possible,
Ces nombreuses scènes doivent sans doute être comptées parmi les plus belles œuvres de la vie parisienne, présentée dans son p
l nous le prouve, en cette gravure vraiment admirable, intitulée : le Beau soir. » § Si maintenant nous continuons à feuill
mentations s’y arrondit selon cette gracieuse forme. Je préfère cette Belle Vénitienne toute nue et seulement masquée d’un lo
ut le Constantin du néo-platonisme. La Renaissance nous a légué de si belles images qu’elles ont fait négliger ses textes : no
tés de superstitions et résistant à l’évangélisation) se colla sur la belle période médicéenne. Ceux qui abordèrent cette étu
ces moyens acquérir la vie éternelle. » Il nous donne à ce propos une belle sentence. « L’amour d’un objet, quel qu’il soit,
aits et l’ascèse : la seconde apparaît toute individuelle. Combien de beaux actes qui ne sont pas sages chez les bienheureux
prestiges de l’Adversaire. Les solitaires de l’Oxyrinque fuyaient les beaux spectacles et fermaient les yeux, pour obtenir le
t-à-dire, en réalité, « sauvage », type qui peut d’ailleurs être fort beau et fort instructif à contempler, mais qui, désorm
pensait rester à Sorrente. Il répondit qu’il trouvait ce pays le plus beau qu’il eût jamais vu et que l’air donnait à son ph
fini, vidé, émasculé et lamentable, cet arrière-petit-fils de la plus belle culture qui ait jamais été et dont il garde tout
t laids. Nos opinions ont leur source en nous-même ; Léonard, le plus bel homme de son temps, pouvait croire que l’âme form
tel était son pouvoir, elle ne manquerait pas de s’attribuer les plus belles formes. « Il semble à l’âme de l’artiste que la
être vertueux, par un premier effet de ses études. À cette époque, le beau crime avait ses admirateurs, la noire perversité
me a construit et ni par colère, ni par malignité, lu ne détruiras sa belle vie. Car c’est de mauvais gré, crois-le, que l’âm
ution de la divinité et cette évolution de l’humanité forment la plus belle échelle de Jacob qu’on ait jamais conçue et où le
uore, « La Vita Litteraria », Rome. — Eugenia Levi : Cento fra te più belle liriche tedesche (Lieder), Bemporad, Florence. — 
e et se précise en moi. Je t’aime d’avoir su, d’une main forte et belle , À ta gloire, ployer jusqu’au marbre rebelle E
de l’art une flore vivante ! IX Ici l’Art a poussé comme une belle fleur Qui, jaillie un matin de l’écume azurée,
es de la lumière, ô peintres, noble race, Qui dorez notre nuit d’une belle clarté, Je ne puis m’empêcher de vous suivre à l
ce à face, A du Ciel épuisé toute la volupté, Ah ! qui n’irait du Beau propager l’Évangile Par le monde, assuré d’un t
tels ? L’âge d’or est venu quand l’Art prêchait le monde Et que le Beau partout recevait des autels. XII L’ombr
Puisqu’un noble visage engendre l’Amitié, En te voyant parée et belle de la sorte, Qui pourra s’étonner du feu que je
nd naturellement L’Art coulait de la vie et quand le sentiment Du Beau dorait les cœurs d’une flamme attendrie. XVI
restent toujours à l’abri des atteintes. Tu sembles la statue aux belles formes jointes, Qui ne descend jamais de son soc
moureuses illustres. Politien met en rimes la beauté de Simonetta, la belle Simonetta, femme de Marco Vespucci, aimée de Juli
, au son des tambours et des fifres, parmi les étendards de soie, les belles dames et les pages, célébrait la Ligue éphémère d
our de Stendhal pour la vie que l’on menait à Milan, et, en lisant ce beau livre, on se sent vraiment humilié de notre pudib
ien fait, figure pas très revenante, criblé de blessures, élégant, de beaux chevaux, de belles voitures, la plus belle d’Ital
as très revenante, criblé de blessures, élégant, de beaux chevaux, de belles voitures, la plus belle d’Italie, marié. A été à
de blessures, élégant, de beaux chevaux, de belles voitures, la plus belle d’Italie, marié. A été à Rome : le pape lui tenda
fortement. » Plus loin, il nous conte une fort jolie anecdote sur ce beau Cadet de Gascogne ; il nous en dit une autre, for
st une étude très complète de la vie et du caractère de Desaix. Cette belle figure de soldat n’en est pas diminuée, bien que
té fondée en 1904, par sir Martin Conway, en vue de la publication en belles héliogravures de peintures ou d’œuvres d’art inéd
s portraits de Titien, de Velazquez, etc. — En 1905, c’étaient […] de beaux portraits de Bronzino, Giorgione, Palma le vieux,
exposer des opinions systématiques qui ont tout juste la valeur d’un beau raisonnement capable de reposer l’esprit par une
éressantes. Des artistes laborieux préparent et rendent possibles les beaux génies. S’ils ne les égalent pas en perfection, i
er les ombres exactement, on remarque ses maladresses : il ternit les belles couleurs de l’école de l’Angelico sans parvenir à
he individuelle se bornera aux détails. Elle produira des œuvres très belles , mais la perfection des formes visera plus au cha
pas les copier. Circonstances favorables à l’éclosion complète d’une belle nature d’artiste. Verrocchio développe lentement
nal. Verrocchio est plus complet. La vie lui semble à la fois dure et belle . Elle est un spectacle toujours passionnant et l’
trême, mais la composition est si habile que l’œuvre reste simplement belle . IV C’est à l’atelier de ce maître que le j
ième siècle, parle avec une émotion religieuse des premiers débuts du bel enfant à qui tout est facile et qui charme par sa
ont restés. Par contre le musée de Mayence conserve d’Eusebio un très beau triptyque. Un ancien autour G.-A. Ranza assure en
s illustre positiviste italien ». La vie de M. Robert Ardigò est très belle . Et il en impose par cette somme de travail et d’
de ces illustres façades que la patine même du temps les faisant plus belles à mesure qu’elles deviennent plus caduques, harmo
lecture ou à l’audition objecté de bonne foi : « C’est peut-être fort beau , mais je n’ai pas compris… » Comme s’il s’était j
econnaissables dans tout le prestige caressant de ses poèmes les plus beaux . C’est une femme de taille élancée, flexible, don
de la philosophie. Après le triomphe de son livre, sans négliger son beau labeur de peintre, il reprit, il compléta son tra
à ce que les habitations des hommes fussent dépassées, Avec qui en de beaux lieux je trouve tous les refuges mauvais Jusqu’
lande ; Et l’Art, dont les yeux étaient des mondes que Dieu a trouvés beaux  ; Tous ceux-ci sur le livre de la Nature mêlaie
gre jacobin et l’Ogre du droit divin. Et le Carnaval secouait de plus belle ses grelots, musique de folie et d’oubli. Malgré
ova Antologia, Rome J’ai déjà écrit ici même sur un poème vaste et beau , Calliope, de M. Francesco Chiesa. Dans une plaqu
Ugolini, mort trop jeune, a été peut-être triste. Sa poésie n’est pas belle . Et ce qui lui fait surtout du tort, à mon gré, e
s nous émouvoir, jamais. S’il a laissé son œuvre, et si son œuvre est belle , cela nous suffit. Si elle ne contient qu’une pro
tre un assez grand théâtre. » Cela n’empêchera pas que, s’ils font de beaux poèmes, chacun les saura et les récitera ! Gloire
font de beaux poèmes, chacun les saura et les récitera ! Gloire plus belle que celle d’être lu en public par de jeunes perso
mme il en a écrit et qu’il s’est forgé en sa cervelle et fantaisie ce beau sujet pour en écrire mieux, ainsi que volontiers
. C’est ainsi que près de la place Colonna, sur le Corso, à Rome, une belle inscription sur marbre évoque le nom de Shelley.
neutres et de contours vagues, à moins qu’ils ne préfèrent dresser de belles architectures aux lignes savantes et précises. La
Pinturicchio fut certes un artiste inégal et M. Arnold Goffin dans la belle monographie qu’il lui a consacrée ne le dissimule
ntile d’Urbin, le précepteur de Léon X, Ange Politien, un jeune homme beau comme Apollon, Pic de la Mirandole, et un adolesc
es. Le zèle de détruire les objets profanes entraîna la perte de très belles choses. Alexandre VI, soit qu’il se jugeât, soit
rd’hui même on n’évoque pas ce tableau sans en rester ébloui. Le plus beau spectacle parmi tant d’aspects merveilleux c’est
ène, il joue aux cartes avec ses cardinaux : ce sont les ombres de ce beau cadre ; Paul Jove ne nous satisfait pas en déclar
’un poème paru dans Poesia (juillet), qui sont très représentatifs du beau talent de l’auteur de la Vie unanime. S’il méconn
de la mort du peintre de l’Engadine. On érigera dans le vestibule le beau monument à la mémoire de Segantini dû à M. Bistol
ce qu’il mérite comme poète, semble un mystique : « Notre âme pure et belle a deux ailes : l’intelligence et le désir, avec l
au prochain numéro. Au moins, le fascicule d’août contient-il un très beau poème de Mme Lucie Delarue-Mardrus : « Discours p
magistrat laborieux ; les autres incarnées en quelque sorte en Julie, belle , élégante, raffinée, lettrée, la première dans ce
les d’Auguste, poursuivie dans ces deux derniers tomes, reste une des belles parties de l’œuvre de M. Ferrero. Dans l’apprécia
, 16 décembre 1908 Les Revues. La Nouvelle Revue française : un bel article de M. Marcel Boulenger sur d’Annunzio C
s et tendres pages de M. Charles-Louis Philippe Sur les maladies ; un beau poème classique où la rêverie de M. Jean Schlumbe
ment de jolie verve latine : Il faut, dans l’intérêt même des choses belles , qu’il existe de bruyants apôtres. La foule est u
p. 752-760 [756-757, 759, 760]. Numismatique [extrait] Quelques beaux prix à deux ventes de monnaies et de médailles qu
12 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
elle endormie dans les cartons de l’érudit Lauvereau… En tout cas, le beau roman de H. de Régnier a dû valoir à Casanova tou
s une boutique d’orfèvre en compagnie de sa maîtresse en exercice, la belle Baret, à qui il achetait mille colifichets. Auprè
ute la fraîcheur de sa dix-septième année : Ses cheveux étaient d’un beau châtain clair, et d’une longueur et d’un volume é
sensibilité exquise qui sont toujours des armes irrésistibles dans le beau sexe. Il n’en fallait pas tant pour enflammer le
e les mériter sans délai. Toutes ses tentatives restent vaines, et la belle déclare nettement : Vous n’obtiendrez jamais rie
six jours après la scène du bain, alors qu’il réussissait à éviter la belle capricieuse et commençait peut-être à l’oublier,
ndre aimable et se faire agréer ; s’il réussit, au terme du délai, la belle ne se refusera plus ; et elle part, laissant plus
isés et la tête enfoncée dans la poitrine. Dans cette position, j’eus beau prier, pester, gronder ; elle me laissa dire sans
des raisons naturelles. Il cède une fois de plus. Mais, au matin, la belle étant encore endormie, Casanova constate la ruse
13 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
re chimiste : les contemporains sont unanimes à raconter que ses plus belles œuvres ont été gâtées par sa manie d’inventer des
iei Tempi Tandis qu’on annonce pour les premiers mois de 1903 une belle moisson de romans et de nouvelles, de drames et d
s détails : sur ce canevas délicat et léger il a construit un fort et beau roman, qui place l’auteur parmi les jeunes les pl
 ; il y reviendra souvent à l’avenir, j’espère, car je m’attends à de belles et fortes choses de lui : il est résolu dans sa v
lémentes à l’aphonie des ténors usagés. MM. Planquette et Varney sont bel et bien vivants, je pense, et M. Lecocq lui-même
C’est une réimpression dont seront heureux tous ceux qui admirent le beau talent de l’auteur de Richard yea and nay. Ces pe
s. 6 d. Les petits romans de Mr. Hewlett font revivre une des plus belles époques de l’Italie ; pour connaître à présent l’
s de tous genres qui furent les témoins de tant d’événements. De fort belles et nombreuses illustrations vous les offrent à no
çon, humilié dans son intelligence, frappé dans ses intérêts : quelle belle occasion de se plaindre plus tard ! Nullement : «
olère, dans un mot de femme qui veut toujours avoir raison. Voilà une belle histoire de persécution, et qui ferait penser que
s plus singuliers de ce temps. D’abondantes illustrations rendent ces beaux fascicules des plus agréables à feuilleter. Voici
réables à feuilleter. Voici Odilon Redon et quelques-unes de ses plus belles œuvres, le satanique Rops, le fougueux de Groux,
de l’idole féminine. « Voici “Pégase captif”, peut-être une des plus belles estampes de Redon, comme composition et merveille
s doute cabbaliste, agitateur politique affairé, joueur, « né pour le beau sexe », comme il le dit lui-même, et né aussi pou
par des feuillets de papier plus mince et plus blanc, couverts de la belle écriture de Casanova qu’on ne saurait confondre.
dit, par exemple : Elle venait presque tous les jours lui faire une belle visite  ; le texte imprimé dit : Cependant, chaq
est blanchi à la chaux. Dans le coin d’une des fenêtres est pendu un beau portrait gravé de Casanova. Après que j’eus visit
ce par cette définition libérale de la beauté : « L’harmonie fait le beau , dit M. de S. P.4, mais la définition est trop co
Souvenons-nous que le sujet est métaphysique. Un objet véritablement beau doit paraître beau à tous ceux dont les yeux tomb
le sujet est métaphysique. Un objet véritablement beau doit paraître beau à tous ceux dont les yeux tomberont dessus. Voilà
aussi Jaconine, que Casanova reconnaît comme sa fille « beaucoup plus belle que Sophia que j’avais eue de Thérèse Pompeati qu
si elles se fussent réveillées dans le moment que je considérais leur belle attitude. Une seule ignorance invincible aurait p
; de Zulian, le frère de la duchesse de Fiano ; de Richard Lorrain, «  bel homme, ayant de l’esprit, le ton et le goût de la
vainement l’abri d’inaccessibles paupières. La voix est puissante et belle . Le temps et l’étude ne peuvent manquer d’être fa
ie, publié complètement pour la première fois. Tome Ier, p. 144 : Aux beaux cheveux de Thérèse ; tome II, p. 144 : Passe-temp
gno. Encore une fois, c’est d’un dessin impeccable, mais ce n’est pas beau . À droite quelques cierges ; au fond pend une dra
nitive. Fait neuf dans l’histoire de la peinture alpestre, nous avons beau nous trouver dans l’Alpe, la ligne d’horizon est
les idées, c’est de plus haut qu’il faille reprendre. Parmi les plus belles œuvres selon la vie que le maître avait produites
le situe, comme tout le reste, dans son Alpe éternelle, éternellement belle et nouvelle, dont dix labeurs comme le sien n’eus
re plus dans les yeux de l’aimé, dès qu’elle veut pour soi seule être belle , c’est la vanité qui est là… « Si tu te regardes
14 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
uction excellente de Mme Jean Darcy, et qui est peut-être un des plus beaux livres qu’on ait donnés sur ce sujet éternel. On
glante, « Verde et Azuro », Milan Un poème noir et pourpre du plus bel effet décoratif. Sous la crypte égyptienne où il
prouve au contraire l’étonnement des contrastes. Appeler latine cette belle figure géographique, c’est d’une raillerie un peu
i l’on veut, de corruption du sang originel ! L’Italie est un pays de belle civilisation. Elle a conservé de précieuses tradi
hercherait en vain des grandes paroles et de ces gestes qu’on appelle beaux . Ils annoncent qu’ils travaillent, mais ils se ti
peu près le phénomène de Nietzsche qui prêchait la conquête des plus belles femmes par les hommes les plus forts, et qui, lui
ntière… L’esprit d’observation, que l’auteur a largement semé dans ce beau livre, décèle une longue habitude des milieux et
ans les affres d’une jalousie passionnelle, en regrettant eu vain les beaux jours où tout en elle dormait. Le profil des pers
dans la suite — et qui non seulement donnait au palais sénatorial une belle façade classique, mais prévoyait comme encadremen
rêt à la hauteur de l’effort dépensé. Dans le cas présent, l’auteur a beau nous avertir que ces Memorabilia sont tirés des c
que les demi-dieux n’ont pas tout à fait déserté la terre et que les belles mortelles ne sont pas insensibles à leurs âpres c
ans cette odeur une vision de fruits mûrs, de miel, de chevelures, de belles bouches brûlantes et de toutes les choses impures
imbe de ses cheveux… » André Sperelli convalescent rêve de baiser les belles mains qui égrènent au piano les notes d’un menuet
toires d’amour, quelquefois tragiques, quelquefois comiques, toujours belles comme la vie. Ces notes critiques représentes cep
que vous un mari aimable et dévoué. » Après ce discours, d’une assez belle ironie, il la laissa devant le cadavre. Puis, aya
and-oncle Soderini, le dernier séjour à Venise, où, par l’amour de la belle Barozza, un tardif rayon de bonheur erra un insta
, la modifièrent à leur usage. — Le livre de M. Bertaux donne de très belles reproductions des édifices qui nous restent de ce
ent-ils s’empêcher de passer tristement, dans l’incohérence, les plus belles et les plus fécondes années de la vie humaine ? J
i résumait à lui seul toutes les qualités les plus fières et les plus belles de sou pays. Son pathos historique a lentement so
mme M. Antonio Beltramelli, cherchent de hautes inspirations dans une belle solitude pensive, ou se révèlent et s’affirment d
ien qu’à côté de Manzoni vivait et travaillait le divin Léopardi, les belles lettres italiennes étaient pauvres, étaient litté
nédits, haut témoignage de talent, de sentiment et de style, œuvre de belle construction et d’harmonieuses proportions, ne so
um. L’Italie qui en garde la tradition refait depuis quelque temps de belles éditions qui enveloppent comme d’une atmosphère h
urs compatriotes. Les œuvres de M. d’Annunzio, entre autres, font une belle tâche décorative sur nos piles de livres jaunes,
aisir pour nos yeux dès avant que notre âme ait palpité à la sonorité belle , à la mélancolie forte de ses rythmes. M. Adolfo
t rêve d’esthète. Il y a à peu près dix ans, en janvier 1895, dans le beau décor d’un appartement du Palais Borghèse, à Rome
n vivant faisceau d’énergies militantes, qui peuvent sauver une chose belle et idéale de l’onde troublée de vulgarités qui co
Une grande tristesse y domine, un grand regret pour toutes les choses belles rêvées, que la vie a laissées dans le rêve, que l
nos jours, celui qui chante accablé par toute la tristesse des choses belles qui sont mortes, d’autres qui s’en vont, d’autres
hante non plus dans ses sonnets ou dans ses strophes de si pure et si belle sonorité italienne, mais dans une prose rythmée,
15 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
istes français, qui ont laissé à l’Allemagne et à l’Amérique les plus belles toiles de Manet, de Monet, de Renoir ou de Cézann
un esthète. Il commente. Il raconte ses tableaux à l’heure du thé aux belles dames et aux camarades dans les brasseries. Un ho
nard d’une négligence, ou d’une omission volontaire ? Il n’est pas de beau visage sans cils et sans sourcils — les femmes y
ne, le visage perd son caractère humain. Les esprits littéraires, les beaux phraseurs ont pu jaspiner à loisir sur l’Énigme d
réception. Les salles de son palais sont ornées de bons tableaux, de belles tapisseries et de meubles que j’aime. Il y évolua
Ce que je sais, repris-je, c’est, d’abord, que Nina Ceschini est fort belle  : une indiscutable beauté ! Dans sa robe bleu et
ntemplait Tebaldo, affirma Paolo. Je gage qu’il est son amant. Il est bel homme, il a une belle voix, de beaux yeux… — Il e
ffirma Paolo. Je gage qu’il est son amant. Il est bel homme, il a une belle voix, de beaux yeux… — Il est bien gras, objectai
e gage qu’il est son amant. Il est bel homme, il a une belle voix, de beaux yeux… — Il est bien gras, objectai-je. — ’Que pen
est une brute ; et, s’il ne martyrisait par sa seule présence la plus belle des femmes, il ferait ma joie ! Où puis-je te men
! Oh ! il y a du danger à garder, comme je le fais, une esclave aussi belle et aussi silencieuse. Mais ce soir même, l’esclav
le famille vénitienne sans fortune. Il avait su la troubler. Il était beau en uniforme, et sa réputation de violence rendit
lier monumental, les plafonds et les cheminées classés parmi les plus beaux de Venise. Tous les étrangers qu’Antonio avait ad
es, et que nous appelons, nous autres, Vénitiens : un Montatore. Il a belle allure, les deux mains à la rame, la tête nue, le
s ces récits inventés, ou certainement arrangés, qu’ils en devenaient beaux . Il s’interrompait pour les appuyer du témoignage
révèlent les chroniques ;.dans ce décor pompeux et mort ! Venise est belle comme une femme qui aurait expiré en prononçant u
ersonne. — Vous lui adresserez mes compliments. Son esquisse est fort belle . — Je n’y manquerai pas. — Et vous, Aldramino, qu
ne fort vilaine toilette ; sa sœur est charmante. Il y avait une très belle salle… — Que jouait-on ? — Ma foi, mon cher, je l
malade. Il vous envoie ses compliments ; déclare votre esquisse fort belle  ; et vous invite pour un bal qu’il donnera bientô
oix de femme dans la nuit, les vagues, les fleurs, j’écrirais la plus belle musique du monde ! Mais je suis un malheureux ! C
s ». Mais j’ai vu aussi danser le tango par Mistinguette, et cela est beau , car c’est la figuration même du désir et de l’am
alais, les jours de grande fête. M. Pompeo Molmenti en parle dans ses beaux ouvrages sur Venise dans la vie privée, et un écr
ses du peuple devenaient à leur tour le régal de la noblesse. La plus belle de toutes, la furlana, née dans les quartiers plé
atuette bourguignonne, quelques tableaux de primitifs brugeois et une belle tapisserie flamande, Le Portement de croix d’aprè
t je ne suis pas habillée encore ! — Gardez cette toilette. Vous êtes belle ainsi, ajouta-t-il, timidement, presque avec tris
rora, c’est moi ! — Vous ! Elle se souvint qu’Antonio l’avait trouvée belle , avant le dîner, et qu’il le lui avait dit. — Je
Antonio qui ricanait en la dévêtant : — Oui, tu songeras à moi ! Oh ! belle défense que ta haine ! Belles armes que ton mépri
vêtant : — Oui, tu songeras à moi ! Oh ! belle défense que ta haine ! Belles armes que ton mépris ! Quelle puissance ont tes i
son assiette. — Oui, une santé de fer ! Quant à vous, vous êtes plus belle encore qu’autrefois. Ce compliment effraya Aurora
ntonio, chien stupide ! c’est moi, Nina Ceschini, qui ai joui da plus beau spectacle qu’offrit la fête à laquelle tu as jugé
onnement le premier peintre du monde. Jamais on n’a rien fait de plus beau en peinture, ni en quelque art que ce soit. Je vo
es, une Espagnole jeune et une vieille Maugrabine, dialoguent sous un beau ciel et derrière elles tout le panorama de la vil
se rappelle que Miss Cangiani a publié il y a quelques années un très beau livre sur la Savoie, dont il va paraître une trad
C’est un tour de force que de donner à si bon compte un volume aussi beau d’impression et d’illustration. Les Revues. Me
ation sommaire et très mouvementée, très personnelle. M. Bucci est un beau peintre de foule, de grouillements, très évocateu
isolé dans son milieu dès son enfance. Pascoli, dans une de ses plus belles pages, affirmait qu’on n’était poète que si on av
oin Paul de Musset, Émile Zola et Henri de Régnier. — Il y a une très belle lettre de Chateaubriand sur la Campagne de Rome ;
itique de Léon XIII, donne sur sa vie de nombreux détails inédits. Un beau portrait du cardinal, œuvre de Philippe Laszlo, a
plus stendhaliens, tels que : « en musique comme en amour, ce qui est beau , c’est ce qui plaît… » etc., sont copiés dans le
souvenirs et pensées personnelles au texte italien, ajoutant avec une belle désinvolture : « Un anonyme peut-il être un plagi
du théâtre de Marcellus et le Panthéon de Rome, par M. H. Fitton ; de beaux paysages de Venise, gravures originales de M. H. 
armi les autres œuvres de la collection Crespi, il y en avait de fort belles , sinon de premier ordre : telle l’Addolorata, d’A
y descendre, et je trouvai quatre pièces très bien meublées, dans une belle exposition, et sous, tous les rapports comfortabl
re d’auteur d’une Histoire du bataillon marseillais du 10 août 10… Un beau matin, époussetant des brochures amoncelées, j’en
favorable, pour faire parade dans un long passage de l’agilité de sa belle voix, ou pour attendre que l’orchestre donnât le
uments analogues au caractère des paroles » et viser toujours à « une belle simplicité », notamment en ne répétant « jamais l
ienne au mois d’août 177225. « Nous osons ajouter qu’ils auroient une belle occasion de contribuer à la gloire de la Nation,
uer en doute que la poésie la mieux adaptée à la musique soit la plus belle poésie, et que la musique la mieux adaptée à la p
e poésie, et que la musique la mieux adaptée à la poésie soit la plus belle musique et que, par conséquent, la nation qui aur
sûreté et, quoi qu’il ait fait ou fasse, il demeure en lui assez d’un bel artiste pour qu’on lui pardonne un mercantilisme
n travail, qui peut dire s’il ne va nous donner le volume de ses plus beaux vers, ou l’histoire de sa vie plus vraie ? Ou peu
16 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
et conventionnelle qu’on pourrait l’appeler une fausse note dans une belle symphonie.) Mais le fils travaille à sa manière ;
d’un style libre et puissant. Les Naïades étant toutes nues, de cette belle nudité que le bronze caressé par l’eau jaillissan
caractéristiquement italienne, par un brave référendum populaire, la belle œuvre de M. Rutelli vient d’être inaugurée, aux g
se dresse hors de son propre miroir, à la fois plus décevante et plus belle d’être multipliée pour le bonheur des yeux, et il
 la fille d’un savetier gentilhomme » en Espagne, les retards avec la belle juive Lia (je cite au hasard et encore de mémoire
ette publication est tronquée et il faut absolument que l’un des plus beaux monuments de la passion humaine soit connu dans s
tes, sont vivifiés par un sentiment profond de la beauté. Il faut une belle confiance en soi pour oser traiter en soixante pa
rant ici avant tout l’écrivain (et je songe aussi au poète qui, en si beaux vers, chanta Florence), je veux citer cette délic
ud parle bien de ce poète qui fit, après Dante, quelques-uns des plus beaux vers d’amour de son temps. On voit combien est va
et si sérieuse qu’on le considère dès aujourd’hui comme une des plus belles et des plus mûres promesses de notre critique d’a
, gardent l’aspect écrasé des anciennes basiliques ; et même les très belles œuvres architecturales, si exceptionnelles, que l
aqué, artiste et vicieux, qui, ayant trouvé une jeune fille pauvre et belle , veut en faire son Capolavoro, son chef-d’œuvre,
ble scepticisme des hommes qui ont beaucoup vu et vécu, il cherche le beau où il le trouve, laissant aux moralistes la tâche
La même Société Éditrice Nationale vient de publier en un fort et beau volume cette divine autobiographie de Benvenuto C
La Rosa a donné à la Rivista politica e letteraria, de Rome, une fort belle étude sur Barbey d’Aurevilly. Après avoir esquiss
s choses, il s’abîme en un océan peuplé de fantômes, de chérubins, de belles femmes. C’est ainsi. Le mysticisme n’est, en fait
iccardo Carafa, qui a probablement travaillé pour livrer une forte et belle bataille, est bien sûr de ne voir pas une seule f
n, et l’abdication gâte l’effet sobre et poignant de cette scène très belle et d’une puissance dramatique rare. Riccardo Cara
17 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
ux empêcheurs d’exposer en rond, que cette fois ils n’ont pas la part belle  : s’il est certain que Claude Lorrain soit né en
diable fin ; pour Tassi, ce fut le commencement de la fortune. Par sa belle humeur, il séduit le capitaine des argousins, qui
omme tout le monde, — il s’en faut ! — entretenait chez lui nombre de belles filles, d’un commerce facile, à l’aide desquelles
enlumineurs Conrard, Henry, Georges, Jehan, auxquels il distribue de beaux marcs d’or ; et le traité par lequel il s’attache
ropos d’une suite de fêtes que Charles donnait en ce moment à la très belle ennemie de Richelieu réfugiée à Nancy, à Marie de
’eût plus ému, ne serait allé plus haut dans la divination et dans le Beau que Claude Gellée, s’il eût réalisé l’admirable u
dans les cabinets du Dr Newton et de Henry Hoare, empruntaient leurs belles qualités aux caractéristiques de ces dessins. Cel
sens de minutie psychologique très étrange ; toutefois, il compte de belles pages, et s’il n’est pas trop gai, il porte l’emp
et noble qui lui est propre, — et que seul il sait exprimer dans ces belles batailles d’amour. Mais l’orgueil de ce Musée Bor
t pour compagnons d’atelier il a Jacopo Palma et un grand diable à la belle allure, à la verve endiablée, aimant la vie de pl
» M. Brisset repousse dédaigneusement ce mot à mot pour illustrer son beau texte de « … à l’ombre desquels mes tristes pensé
i, de Frenzi, Sarti et Vigi, les rédacteurs, suivis par un cortège de beaux noms parmi les jeunes et les vieux. Tout cela est
le mythe d’Hylas. Parmi les auteurs français qui collaborent à cette belle Revue (le manque d’espace m’oblige à passer sous
t 1900, p. 218-223 [223]. Que M. de Bouchaud n’a-t-il joint à sa très belle étude sur Michel-Ange à Rome les diverses pages d
ce comme devant être surtout franciscaine. C’est après avoir écrit sa belle Vie de Saint François d’Assise que M. Sabatier a
lait devait gicler au moindre choc, de grosses hanches. Et elle était belle pourtant, mais si délicieusement bestiale dans se
hevelure d’une abondance qui dépasse l’imagination. Toutes, vous êtes belles comme un rêve… Il se tut un instant : le fracas d
et brillante, dont les boucles s’enroulaient autour de sa figure d’un bel ovale et autour de son cou. Tout son corps sembla
moi comme d’une chose immonde, s’écria Dircé. — Si Eurydice est plus belle , va la rejoindre. — Oui, pourquoi ne retournes-tu
es femmes. — Maintenant, il contemple d’autres images. — Vois-tu quel beau collier ? dit Stérope en indiquant les plaies sai
s, et les allégories finales contiennent tant de motifs curieux qu’un bel imaginatif du crayon sera toujours tenté de le tr
gagner de l’argent ait pesé sur sa détermination. Il brûlait d’une si belle passion pour le chef-d’œuvre de son poète préféré
ue toutes les ombres se mordent, suffirait pour en faire une des très belles pages de cette illustration. Ailleurs, sur les fe
frais ombrages et aux fleurs délicieuses. Ils y écoutent la vierge si belle qui s’embrase « à des rayons d’amour », et c’est
e déroule, non sans majesté, dans le motif XXIX ; Mathilde, la vierge belle , s’y profile sur le plan de gauche, avec un natur
ar Dante, ait inspiré à l’illustrateur le désir de reproduire quelque beau site. L’illustration des chants du Paradis présen
osé par les bienheureux, ce jardin d’allégresse où resplendit la rose belle entre toutes dans laquelle le Verbe Divin se fit
. Octave Mirbeau l’a heureusement classé parmi les fantoches de notre belle société à qui son ironie inspire des discours à p
les surtout par les bottines magnifiquement vernies de l’auteur. On a beau être un révolté de la dernière heure, un révoluti
e monde nouveau dans lequel il vit, qui l’entoure, l’étonne malgré sa belle faconde de méridional ; cette bourrasque d’œuvres
rchitectes pensionnés par le roi : copies des tableaux jugés les plus beaux , des statues antiques, plans et élévations des éd
pier aux nouveaux venus. Il en est un qui fait une petite copie de ce beau morceau d’André Sacchi, de Saint-Romualdi. Les au
Greuze s’apprêtait à regagner Paris, mettant fin par son départ à la belle passion qu’il avait inspirée à une jeune princess
très vite sympathique à Fragonard. Mais l’inaltérable bonne humeur du beau garçon robuste et aventureux, qui se promenait su
ent et une discrétion rares, se ruinera presque à vouloir réaliser de belles éditions qui demeureront incomprises, sera l’ami
nard. « Il luy fera voir Venise et les autres villes où il y aura de belles choses. Cet amateur de la peinture rendra service
Il voyagera avec un amateur et sera à portée de faire des études des beaux morceaux qui sont à Venise. » Toutefois, ce n’es
villa d’Este. Édifiée par Hippolyte d’Este, fils de la nonchalante et belle Lucrèce Borgia et descendant de Lionel d’Este, ce
uisqu’il l’emmène avec luy, vient de l’envoyer à Naples pour voir les belles choses que renferme cette ville, avant de commenc
Canope (Villa Hadriana, Tivoli) ; […] de M. Chédanne, enfin, de très belles études sur le Panthéon d’Adrien à Rome, d’après l
ages, de pensées, de mouvement, qui nous rappellent le d’Annunzio des beaux jours, lorsqu’il n’était que poète et artiste et
stera un sommet. Ce sont là les principales réflexions que suggère le beau livre de M. Barzellotti. Nous ne pouvons suivre i
été reproduits avec ceux provenant de la collection Hamilton dans une belle édition due aux soins de Friedrich Lipmann : Zeic
18 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
iens qui semblent s’être dorés, en mûrissant sous le soleil, comme de beaux fruits. Les arbres et la prairie se baignaient de
rs et de verdure, j’évoquerai la Princesse du Rêve. Elle, très noble, belle et pudique ; sous la draperie de son manteau de p
trouve la force créatrice première et pétrit à sa guise un monde plus beau . Il ose retrouver dans l’harmonie d’une humanité
e l’ont fait les génies de la Grèce. Mais aujourd’hui cette notion du Beau parait presque absente des esprits, si bien que l
e terrassement. Medardo tient de cette bonne race et s’annonce par de belles promesses physiques d’attaque et de résistance su
ette nouvelle exposition, le Piémontais va, chaque soir, coucher à la belle étoile parmi les ruines suggestives du Colisée. I
écoration façonnée en impression de portail ; — le Sportman, homme de belle santé, pris en plein soleil sur un champ de cours
omain, certains fermes portraits tels que le Vitellius — non point le beau garçon du Louvre — mais bien celui du Vatican, si
-ce donc un crime si turpide que d’avoir vulgarisé en Italie quelques belles phrases ? À quoi donc, depuis qu’il prit sa retra
dû suffira à vous tenir en joie avec ses petites fleurs roses et ses belles feuilles vertes. Enfin, n’intitulez pas un roman
s. Lorsque, dans une attitude à la Charlemagne, un peu arrangée, mais belle , Ménélick s’est laissé aller à pleurer, en contem
peut être fier ; c’est très bien repéré, mais que cela fait aimer le beau , le pur, le divin papier blanc. G. P. Lucini :
n de son Orphée ne lui fut pas suggérée par un conte intitulé La plus Belle , où pareillement une tête coupée est jetée dans l
19 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
sir et profit à lire. C’est de l’histoire agréablement écrite avec un bel amour de l’art dont parle l’auteur. M. Klaczko es
ant n’entendaient pas, il aura accompli une œuvre grande et hautement belle . C’est en elle, je n’en doute pas, qu’il trouvera
cette voie, où Ada Negri, qui l’a déjà suivie, s’est arrêtée dans un beau silence très proche de l’épuisement. E. Vidari
ore, de Cesaro de Sesto, notamment. Or, c’est dans la petite salle la belle manifestation d’un des grands de ce xviiie  siècl
xemplaires de médailles, malheureusement d’une qualité relative, mais beaux encore. § L’homme fut peintre, médailleur, archit
au front fuyant de poète, à la bouche expressive et dont le crâne aux belles courbes se modèle sous les cheveux ras et crépus.
in, à un horizon très reculé, sur une image presque immatérielle, les beaux cheveux enserrés par les bandelettes blanches des
romanesque entre la femme du directeur et ce forçat, très jeune, très beau  ; tout de tendresse calme et de tristesses conten
ntaire d’une passion… très naturelle après tout. Cette œuvre est fort belle , fort simple et révèle une grande puissance de co
ison pour chercher noise à la nation-sœur ? M. Ferrero nous la baille belle en opposant l’âme pacifique de l’Allemagne à l’es
e fille, c’est l’anecdote, c’est ce geste maternel ou amoureux, cette belle robe, ce beau cri de bravoure que profère dans la
l’anecdote, c’est ce geste maternel ou amoureux, cette belle robe, ce beau cri de bravoure que profère dans la fumée l’homme
débauché de mœurs que de langage, amusé à corrompre et à torturer la belle langue que lui avaient léguée les sévères romanti
re, troncs pour les aumônes, instruments de musique, les faisant tous beaux à voir, remplissant du reflet de quelque splendeu
jusqu’à la fin l’atelier de Verrocchio, aussi bien par son amour des beaux colifichets comme l’aiguière qui sert de miroir,
iser le flot des serpents. Mais c’est un sujet qu’il faut laisser aux beaux vers de Shelley. La science de cet âge était tout
calme traîtreux d’une nappe dans la Madone du Lac, puis, à l’état de belle rivière sous les falaises de la Madone aux Rocher
ani est perdu, mais on a identifié celui de Lucretia Crevelli avec la Belle Ferronnière du Louvre ; la figure pâle et anxieus
andis qu’un puissant griffon aux ailes de chauve-souris, une des plus belles inventions de Léonard, descend soudainement d’en
ur un instant auprès d’une de ces blanches déesses grecques ou de ces belles femmes antiques : comme elles seraient troublées
fragment d’un de ses dessins à Florence : c’est un champ onduleux de belles armures, où la ciselure des bords court de droite
eterre, l’esclave de l’opinion. Stuart Mill, qui a écrit des pages si belles et si amères sur la tyrannie de l’opinion qui réd
e de Québec à Boston. La part de l’Amérique anglaise sera encore très belle et immense. Il est curieux d’observer que dans to
Mathilde par tous les sens. » Que n’avait-il, avec tant de flamme, la belle prestance, les yeux noirs et les cheveux au vent
20 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
e, la sensation d’amour-propre flatté que procure la possession d’une belle maîtresse… mais l’amour, tel que le décrit M. Vac
l’influence de l’un et de l’autre, l’importance de celui-ci pour ses belles paroles et de celui-là pour ses belles pensées ;
mportance de celui-ci pour ses belles paroles et de celui-là pour ses belles pensées ; ce qui est nécessaire, c’est de nous go
encore été sondés. M. Federico de Roberto, un romancier sicilien d’un beau talent, un travailleur silencieux, probe, aristoc
Blanchemarie, sa sœur : mais d’elle il veut garder un souvenir pur et beau , et c’est pour cela que, sans l’avoir possédée, i
as Mycènes ni sa campagne aride et poussiéreuse, et elle regrette les beaux jardins fertiles où il y a de larges fleurs et où
scène. Certes, la composition en est harmonieuse, et la langue en est belle , bien qu’assez peu personnelle : au reste, il ne
Lauranna, réunissant deux collines, lui élevait un palais, une de ces belles demeures d’Italie, aux murs clairs, tout en colon
qui, arrivé à ses derniers jours, rêve les joies terrestres les plus belles et les plus fières : la paix des Sages, l’attitud
étapes habituelles de son chemin. Toutefois, il faut être juste : de belles pages marquent la carrière politique de Cavallott
te-quinze ans, dont il avait été l’ami, et qui restait debout avec sa belle énergie d’ancien combattant. Le résultat le plus
, héroïque, pour les spectateurs. Les théories philosophiques sont de belles choses sur le papier, mais elles sont belles just
s philosophiques sont de belles choses sur le papier, mais elles sont belles justement parce qu’elles sont sur le papier, et q
rois cents à peine survécurent. — On peut trouver que c’est encore un beau chiffre, d’ailleurs ; mais les Abyssins paraissen
de goût, et le « divin maître » qui vient de traverser les graves et belles provinces de France, à la vie si intense, si part
croyez-vous qu’ils causent à cette heure aimable de l’accueil, par ce beau jour de juin, au milieu des campagnes merveilleus
De ces maisons royales qui l’entourent ?… Ah, oui ! Ils causent du «  beau de l’architecture, qui consiste dans la proportio
la fresque Mignard au Val-de-Grâce, et dit des Tuileries. « Voilà une belle petite chose. » Et pourtant il y a là, dans la Ci
 Cependant, je vous diray qu’après avoir veu tout ce qu’il va de plus beaux bastimens icy, j’ai observé qu’il y a certaines c
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
lunaires et potagères de la poésie de Pascoli, souvent toutefois très belles , les jeunes demandent à l’art d’autres émotions,
l’humanité et à l’univers. Souvent ces sonnets sont des hymnes d’une belle fierté humaine, souvent ils arrêtent l’âme du poè
ivra de son effroi et orna le monde de déités fraternelles, ô combien beau il se mouvait avec les genoux alternés, la tête t
ère se donna des peines éternelles. Ô, qu’aujourd’hui sur ses membres beaux l’homme se relève, et qu’il exalte sa terrestre f
qui dure, l’art du poète est tout entier, et souvent tout vibrant de belle énergie, dans la vision de l’homme dans l’univers
it rester à Sorrente et il me répondit qu’il trouvait ce pays le plus beau qu’il eût jamais vu, et que l’air donnait à son p
22 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
récemment dans la misère ou presque, après avoir donné aux curieux de belles et soignées éditions des Ragionamenti de Pietro A
is M. Carducci ; puis d’autres. Le vieux poète a été battu, malgré sa belle plaidoirie, et M. Ojetti a profité de sa victoire
 1897, p. 268-278 [277]. […] Figaro (16 Sept. et suiv. ). — En trois beaux chapitres, M. Anatole France résume ses impressio
du Tasse, écrivirent des pastorales : l’Astrée est une longue et très belle transposition de l’Aminta, « ce tableau de l’âme
tude, par Diego Garoglio, sur les Poèmes de Giovanni Pascoli, le plus beau recueil de vers paru cette année en Italie, et do
is d’Assise et de ses disciples ; elle est charmante, mais bien moins belle que leur vie réelle, qui ne fut pas seulement de
té une ligne aux figures trop connues de la Révolution. Son drame est beau . Alessandro D’Ancona : Federico Confalonieri
ient un artiste lorsqu’il nous parle du Comte Confalonieri. Celui-ci, beau , élégant, riche, autoritaire, tient dans l’histoi
français par M. Pierre de Nolhac. Voir les Essais métriques dans son beau recueil de vers, Paysages de France et d’Italie (
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXII »
de avec l’intention de le montrer à A.. Tiraillé par la présence d’un beau jeune homme, Antonio, et la crainte de voir entre
st bien plus touchante. Ces îles me semblent produire le sentiment du beau en plus grande quantité que Saint-Pierre. Enfin,
antité que Saint-Pierre. Enfin, mon esprit blâmant par amour, pour un beau trop beau, a trouvé quelque chose où rien n’est à
Saint-Pierre. Enfin, mon esprit blâmant par amour, pour un beau trop beau , a trouvé quelque chose où rien n’est à blâmer :
24 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
pas moins de 95 pages sur 102 du catalogue de la vente ; mais à cette belle et importante réunion s’ajoutaient aussi quatre p
antiques, fut vendue en bloc à un consortium de marchands, et la plus belle de ces peintures, un Cavalier avec une dame buvan
rter à l’intérieur du pays avec les Chevaux de Saint-Marc et les plus beaux tableaux des galeries publiques) ; enlèvement des
ta-Maria Formosa, SS. Giovanni e Paolo et des Scalzi à Venise avec le beau plafond de Tiepolo qui décorait cette dernière et
e, on a décidé qu’elle ne serait pas défendue. Nos ennemis ont là une belle occasion de montrer si le cri d’angoisse qui s’él
es ? Dante a crié plus que vivement leurs vérités à des pontifes ? La belle affaire ! A-t-il été plus loin qu’un certain Iaco
nt un peu abusé des amplifications sur le Droit, la Justice et autres belles entités. Mon éminent ami, M. Jules de Gaultier, e
n hiver de plus dans les tranchées », s’écria-t-il alors. M. Treves a beau expliquer aujourd’hui que sa phrase avait une por
ue le sauvetage de la IIIe armée italienne restera comme une des plus belles choses de cette guerre. Et voici un trait peu con
ur de nos généraux : Joffre, Pellé, Castelnau, qui incarnent les plus belles de nos qualités. Il donne même un croquis curieux
Luigi Barzini : Scènes de la grande Guerre, qui contiennent les plus belles pages que l’on ait écrites sur la résistance des
lume de M. Éric Allatini, — des paysages, des aspects de montagne, la belle lumière de la péninsule, dont il a tiré des table
Un pastel de De Stefani donne l’effigie du Héros des deux Mondes. Une belle estampe de Carelli rappelle le Débarquement de Ma
i, Türr, Eber, le médecin Ripari, etc. Parmi les sculptures il y a le beau buste de Garibaldi par Ercole Rosa et une nombreu
out cas, il s’était créé une atmosphère favorable à l’art, puisque de beaux artistes y éclosent. C’est, dit M. Focillon, un t
est inscrit le nom de Clément VII et deux masques sont devant lui, un beau pour la vertu et l’autre laid pour le vice ; c’es
iffeur, elle prétexta une maladie du cuir chevelu et se fit couper sa belle chevelure ; puis, disant qu’elle voulait faire un
e. C’est pourquoi les journaux italiens ont eu raison de voir dans la belle victoire du Piave autre chose qu’une victoire mil
, mais la louve est inattendue. Il est vrai, que depuis la guerre, la belle Tarente est devenue une ville industrielle, un po
diterranée, où elle possède un développement de côtes qui est le plus beau , le plus peuplé et le plus riche de toute cette m
moment était venu de déférer au vœu de Carducci. On fit broder sur un beau drapeau de soie tricolore, en caractères d’or, le
e de Boïto met en relief les qualités de cœur et d’intelligence de ce bel artiste. À propos de son maître et de Shakespeare
a chambre. Mais la fatigue !… Pauvre maître ! Comme il a été brave et beau jusqu’au dernier moment ! N’importe, la vieille f
t ensemble… Le 20, j’ai eu la joie de donner ma voix au Sénat pour la belle guerre. Quel spectacle sublime ! Notre Rome exult
nom bien français vient travailler en Hollande et, à la vue de cette belle peinture antique, demande à l’acheter. Antonio, p
duisent à deux : « Elle » et « Lui ». Vainement chercherait-on ici la belle et séduisante mélodie de la Cavalleria et d’une a
e tait depuis quelque temps, nous donne aussi, comme Govoni, les plus belles pages de son œuvre lyrique et une nouvelle collec
x dans la petite église des Saints Jean et Paul, déjà connue pour une belle peinture dans la crypte souterraine, oratoire pri
diffère de ceux qui sont déjà connus, il faut voir sans doute le plus beau portrait du Saint. Il répond à la description de
ns apprendre la civilisation ! » Et, ce disant, il nous a ressassé de belles statistiques, pour nous apprendre combien chaque
denrée doit d’être mise en circulation dans nos écoles. C’est la une belle nourriture intellectuelle pour les jeunes filles
ement est survenu au musée national de Florence, où se trouve la plus belle collection de sculptures italiennes du monde. Mai
nte à la lignée de Vital d’Audiguier, dont Michel de Marolles cite un beau sonnet dans la manière de Maynard, au t. I, p. 70
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
son courage était puisé dans l’espoir suprême de renouveler les plus belles énergies de son pays par le souvenir des plus ant
es de leur langue originaire. La plupart des poèmes de Carducci, très beaux en italien, perdraient dans une traduction trop d
i, en 1860, s’exalta de lui-même, s’enfla démesurément ; au nom de sa belle bravoure épique, il imposa à toute la vie de la n
a laideur de sa passion unilatérale, de son intelligence bornée : les beaux vieux soldats furent de piètres politiciens. Ceux
plus dégagé, est plus personnel, et, dans l’esprit synthétique de sa belle œuvre, il est différent du Maître, il n’est pas u
, n’engendraient pas. Seulement, dans les Odes la langue est toujours belle même si touffue, elle est neuve même si tordue da
ti — un jeune —, s’est donné, depuis deux ans, une tâche difficile et belle , qui est pas seulement celle de réunir des talent
elle et hautaine, de la Révolution. M. Ercole Rivalta a écrit un très beau et très fort poème dramatique : David (V. Piva. E
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
la peine injuste de l’exil et de la pauvreté. Car, aux citoyens de la belle et chère fille de Rome, Florence, il a plu de me
’admirables décors comme la cour du Palais de la Reggione et les plus belles compositions de Paul Véronèse, est fourni d’indic
rfection ait eu le temps de ne plus leur apparaître comme un jeu, une belle course avec l’espoir de parvenir au but. Pour Tit
s grand coloriste, Tintoret est plus grand caractériste, et pour très beaux que soient les portraits du premier, ils n’ont pa
tto à Assise. Le troisième fascicule de Siena monumentale contient de belles reproductions des peintures du Palais public : ce
ste, encouraient à leur tour les sévérités de la censure. Pourtant ce beau zèle se ralentit. Il y a quelques années, un proc
Trieste a décidé de décorer du nom de Giosuè Carducci l’une des plus belles rues de la ville, l’actuelle Via del Torrente en
otamment, — outre l’exposition de ce programme, qui est elle-même une belle page de philosophie générale, — en français : une
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
lamant avec le ton monotone adopté par les Italiens » ; il récita les beaux vers de l’Arioste « comme une belle prose cadenc
r les Italiens » ; il récita les beaux vers de l’Arioste « comme une belle prose cadencée, qu’il animait du son de la voix,
ées après sa visite aux Délices : L’homme qui a fait l’éloge le plus beau et le plus vrai de l’Arioste est le grand Voltair
ire s’interrompit et, fort en colère, « prenant à pleines mains » les beaux cous et les belles épaules, il s’écria : « Gorge
et, fort en colère, « prenant à pleines mains » les beaux cous et les belles épaules, il s’écria : « Gorge par-ci, gorge par-l
italienne, et révèle en images plastiques la plus profonde et la plus belle tragédie, certes, du théâtre contemporain. La vis
28 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
morales. À côté du citoyen, l’homme point en lui, l’homme qui aime le beau , la nature, le sourire des vierges, le soleil, l’
nous voyons encore les mystiques Champs-Élysées, où les poètes et les belles s’en vont errant, dans un murmure de voix paisibl
-124]. […] Le Convito, — c’est une nouvelle revue de grand luxe et de belle littérature que, sous la direction de M. d’Annunz
mé avec cette élégante simplicité qui est la parure et la décence des belles images et des claires pensées. Ils ne se dissimul
triste, où jadis, par les rues papales, on portait en procession les beaux marbres païens avec la même joie que le corps d’u
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
e les mots tracés avec la pointe d’un diamant. Toute l’amertume de ce beau souvenir, toute la tristesse des années enfuies e
aussi, le rideau tombé, l’acteur ne tarde-t-il pas à retrouver cette belle sérénité qui est son attitude favorite, à la vill
it mal à propos : — Voici, monsieur de Voltaire, lui dis-je, le plus beau moment de ma vie. Il y a vingt ans que je suis vo
à Algarotti : Mais si notre excellent auteur Voulait publier sur nos belles Des mémoires un peu fidèles, Il plairait plus à s
n de nous rappeler qu’il a été trop facile à Casanova de se donner le beau rôle dans cette discussion, pour ne pas juger que
miner le rôle de Gallus, le préfet d’Égypte, ou l’étudier (en de fort belles pages) l’hellénisme en Asie-Mineure. Dans ces rég
les. On voulait que l’État reprît son antique force, sa précision des beaux temps de la République : pour cela, l’on avait re
30 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
espondre une éthique et une esthétique nouvelles. Cependant l’idée du beau et l’expression de cette idée ne peuvent qu’être
acité du gouvernement à arrêter la spéculation, qui déplorent avec un beau sentimentalisme le nombre des victimes… pour rema
nes a appauvri notre culture, bien qu’elle ait ajouté de nouvelles et belles figures morales à l’histoire de notre Risorgiment
ertes plus que le nécessaire pour le faire admirablement. Sa voix est belle , en particulier dans l’aigu, d’une souplesse merv
x bras dressés et tordait dans ses mains sa chevelure mouillée. Cette belle œuvre, datant de l’époque hellénistique et dans l
ne lui fait pas une nouvelle conscience. Mais pensons à l’autre, à la belle passion tumultueuse et ardente qui, durant ces jo
ts, une foule interminable de citoyens qui, après avoir abandonné, un beau matin, leur foyer et leurs enfants, au reçu d’un
e robuste et rêveur qui se plaît à jouer le barbare et qui fleurit de beaux souvenirs et d’égarements emphatiques une fondame
dans sa nonchalance de conquérant bourgeois, un reflet du Musset des beaux jours. C’était un petit dandy malade qui avait le
posés de mots en liberté — exécutés selon les formules futuristes. Le Bel Canto de Buzzi (Milano, Studio Editoriale Lombard
ipal de la guerre italienne étant l’action en haute montagne, dont la belle armée de Cadorna a bien sujet d’être orgueilleuse
ures, la délicieuse fraîcheur des impressions produites par la vue du beau et de la nature : les paysages dorés de soleil, u
la veulerie et de la morbidité ? Peu importe d’ailleurs : l’œuvre est belle , elle est émouvante, elle est une peinture exacte
ne prison merveilleuse dont les fenêtres laissent voir, quand il fait beau , un coin de ciel bleu, une prison d’où l’on peut
une vaste solitude où vibreront longuement, où vibreront toujours les belles harmonies formées par la passion et l’esprit de s
es. Il a cependant accordé à l’union amoureuse de deux êtres les plus belles significations : l’amour, reflet que notre vie in
la question religieuse a été souvent discutée un peu partout. Dans un beau roman, autrement puissant que le Sens de la mort
e, suivant un mystique ; mais Luisa ne le pense pas : la vie est plus belle , pour qui en cherche le sens, que l’extase et la
e sujet en soi peut être insignifiant et la forme être cependant très belle . Le style de M. d’Annunzio, et cette langue magni
endie, du naufrage, voire même de sa propre colère ?… Comme il serait beau le mot que nous dirions si nous étions maîtres de
on publique d’Italie (1914, fasc. VI, où l’œuvre est reproduite en de belles phototypies, sous trois faces différentes), par M
31 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
orains en les mystifiant. Il imagina de faire un choix parmi les plus beaux poèmes de Henri Heine et d’Alfred de Musset, qu’i
a tombe, dit-il, de buis et de cyprès, car peu m’importe qu’elle soit belle , je désire qu’elle soit utile à autrui. Les fleur
hose, était bien mort, mort comme poète. Guerrini, dans la suite, eut beau faire, aucun des livres de Guerrini-Stecchetti ne
t qu’il le connaît, il aime ce pays ; et ses pages sont animées d’une belle chaleur latine, douce à mon cœur, si douce ! on s
té reconnue nettement à l’Autriche. On se propose d’installer dans ce bel édifice, construit par Paul II de 1455 à 1468, la
loin quand on écrit qu’il « imagina de faire un choix parmi les plus beaux poèmes de Henri Heine et d’Alfred de Musset, qu’i
ublimes, des plus simples aux plus héroïques, des plus forts aux plus beaux . C’est dans ce pays que l’originalité de la pensé
n de certains laboratoires se rattache au même ordre d’idées. On aura beau faire : l’Internationale, loin de mourir, aura ce
as ne pas éprouver une sensation de plaisir, d’admiration, devant une belle machine. L’admiration est en elle-même un plaisir
est comme un arbre dont on coupe les branches pour qu’il pousse plus beau . » D’autre part, Guyau écrit que tout instinct q
ravers une Italie décrite par les graveurs étrangers et rencontre les belles œuvres des Whistler, des Chahine. Il analyse le t
haine comme l’Allemagne, on gagne un peu sa maladie ; c’est déjà très beau que l’Italie se soit reprise d’elle-même, et que
niers que tu m’as envoyés, c’est-à-dire douze fromages. Ils sont très beaux et très bons. J’en ai donné quelques-uns aux amis
de-moi à elle et dis-lui que je prie Dieu pour qu’elle fasse un autre beau garçon. Rien d’autre. MICHELAGNIOLO BUONARROTI.
me conviennent pas. Vu les grandes dimensions dont j’ai besoin et la belle qualité que je veux, on peut facilement se trompe
même. [Florence, mars 1518.] Domenico. Les marbres extraits sont beaux , et ceux qui sont bons pour l’œuvre de Saint-Pier
on, je fasse ce que j’ai promis, et, si Dieu m’aide, je ferai la plus belle œuvre qui fut jamais faite en Italie. Depuis que
donné, et pour elle tout devait devenir « plus sage, plus moral, plus beau et en somme plus parfait à mesure que se développ
— les Gaulois par exemple, avaient une civilisation très réelle et de bel avenir, et Vercingétorix constitue un exemplaire
égiments sans protester, abandonnant une moisson qui s’annonçait très belle . Et ceux qui restèrent comprirent très vite la gr
logue à celui du « Feu » de Barbusse. Les œuvres de Luigi Barzini ont beau être littérairement intéressantes, elles ne peuve
, il faut bien le dire, les fautes des derniers mois de 1916. Dans un bel article intitulé « Guerre au règne de la guerre »
rs que le Corriere della Sera. La nécessité de défendre des provinces belles et riches a donné un renouveau d’esprit guerrier
es. Où sont-elles ? nous l’ignorons encore. M. Lloyd George, dans son beau discours du 12 novembre, a raconté qu’il avait sa
Au moment où elle fut accomplie, cette conquête apparut comme la plus belle opération militaire qu’avait vue l’année 1917. Il
32 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
epartie de l’ode de Carducci, intitulée All’Utopia et qui contient de belles strophes. Tome IV, numéro 26, février 1892
isais en mon cœur : Je serais heureux de posséder une telle femme, si belle et si honnête. Je pensais cela et pas davantage.
mage à la créature de Dieu, songeant combien elle était magnifique et belle . Et m’étant promené, je m’endormis. Et l’Esprit m
p de choses bien moins long que nous, car, là-bas, la nature est trop belle — et pour eux, le mot de Méphistophélès est, cert
Rod, auquel il reproche de faire, au détriment de l’art, la part trop belle à la psychophilosophie ; sur M. Henry Becque enfi
eucharistique, dans sa légende du Saint-Graal, interprétation la plus belle qui jamais ait été faite du Crucifiement, mais qu
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
ne oeuvre d’art d’une valeur très réelle, la langue y est toujours si belle qu’en plusieurs points elle atteint par cela seul
l’Exode, « motifs pour une symphonie », sont parmi les pages les plus belles du poète. Les strophes de Laus Vitæ, enfin, placé
sait répondre fièrement à Agamemnon : « Je le haïssais quand il était beau de haïr. » Mais il faut de toute façon rendre jus
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVII »
sée. Pauvre en tableaux, mais des statues (portraits) pour la plupart belles par le naturel. Celle de Balbus, fondateur du thé
tion de la Vénus de Médicis. J’admire la rue de Tolède, c’est la plus belle que j’aie vue, et surtout la plus peuplée. Il y a
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVIII »
es. [Milan, 2 novembre 1811, Albergi della cita. [Sans doute, la plus belle femme que j’ai eue et peut-être que j’aie vue, c’
quittée près de l’Arcade de la place des Marchands, toujours avec le bel Antonio.
36 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIX »
noirs me déplaisent. Vu ce matin, 7 nov., la galerie de l’Archevêché. Belle figure de J. César Procacini. Copie de la Madelei
sar Procacini. Copie de la Madeleine du Corrège, qui me semble jolie. Beau portrait du pape, en petit, de Titien, dit-on. Re
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVIII »
ir au fond du cratère. La description, à un moment de loisir. La plus belle vue du monde, probablement, est celle dont on jou
uche à dix heures. 11 octobre 1811. Ce matin, vendredi, à six heures, belle vue du Vésuve, dont les contours étaient éclairés
38 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXII »
gé et n’a jamais, je crois, été bien fort. On peut donc y trouver les beaux caractères que fait naître le climat, pas trop co
lettres aimables qu’on leur écrivait. À Naples, les hommes sont plus beaux que les femmes. Les femmes de bon ton ont beaucou
39 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
ntagna et Giovanni Bonconsigli de Vicence, celui-ci auteur d’une très belle Pietà, l’art vénitien allait s’unifier pour arriv
fidélité de ses représentations de fruits, de fleurs et d’oiseaux, le bel équilibre décoratif de sa composition, la richess
Madone du musée Brera (1493) est sa dernière œuvre et l’une des plus belles  ; l’artiste a ajouté à sa signature sa qualité d’
40 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
ervent à tous et l’œil ne peut les embrasser. Mars et la musique sont beaux et ardents, et attirent les vapeurs de l’éther et
ines, concubines, esclaves, la science de Dieu étant sa colombe et sa belle . La comparaison des cieux avec les sciences expli
nature de la noblesse, répondit : « C’est une antique richesse et une belle coutume. » III. — Le fondement de la majesté imp
41 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 229, 1er janvier 1907 »
e de Cléopâtre. Le « coup de foudre » initial, sur le Cydnus, est une belle chose ; mais M. Ferrero, qui a déjà écarté bien d
rose parmi les fraises pâmée… Au thuya se perd l’oiseau… Il fait beau . Et la fleur qui se redresse le sait. Musées
42 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
méro 414, 1er juin 1915, p. 384-390. J’ai signalé le mois dernier les belles impressions de guerre que Luigi Barzini publie da
re et la défaite des « passéistes ». « La guerre actuelle est le plus beau poème futuriste qui ait apparu jusqu’ici », s’écr
, Trieste, l’Istrie, la côte dalmate. Le style des monuments, dont de belles reproductions illustrent le livre, atteste l’infl
se vide, une seule fausse note. Par le temps qui court, c’est le plus bel éloge qu’on puisse faire d’un auteur. Mais je n’i
ir du célèbre critique et philosophe italien eût été de corroborer de beaux raisonnements métaphysiques l’action guerrière de
i et nous ne voulons rien savoir d’autre. — Y a-t-il philosophie plus belle et plus vraie que celle-là ? Et est-il nécessaire
. Ce courage moral, cette fermeté au milieu de la tempête est la plus belle preuve de force intérieure que l’Italie donne en
l’Italie à participer à la guerre aux côtés de la France, traduit la belle lettre envoyée du front par un instituteur frança
43 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
is un peu vaniteux. J’ai donc un certain plaisir à me voir revêtu des belles dépouilles du serpent, enroulé autour de l’arbre
vent mon nom et ont laissé dans l’obscurité quelques-unes de mes plus belles entreprises. « Pour en revenir à la tentation, je
défendu, ne devinrent point des Dieux, et, de plus, furent chassés du beau jardin par leur Dieu ? » « Si vous le voulez, je
blèrent, et les arbres reverdirent et les femmes se vêtirent de leurs belles robes claires. Mais l’amour ne vint pas. L’amour
44 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
ment par une femme dont la nostalgie sensuelle serait cultivée par de belles lectures. Enfin, voici l’apparition d’Entre la Te
es de n’importe quelle tache. Je signalerai volontiers comme la plus belle et la plus poignante composition du poète, l’évoc
45 (1890) Articles du Mercure de France, année 1890
contré en haut, près des glaciers, une fleur étonnante. Qu’elle était belle et harmonieusement douce au soleil ! J’ai tâché d
46 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIV »
Chapitre LXIV Les habitants d’un pays si fertile et si beau se livrent avec fureur au plaisir qui est leur pa
47 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LIX. Musique à Naples »
age des environs de Naples. Il rendit facile le contrepoint. Son plus bel ouvrage, ce sont les cantates de Scarlatti arrang
48 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVI »
Sans mon maudit amour pour les arts qui me rend trop difficile sur le beau dans tous les genres, je pensais que, grâce à mon
49 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LX »
a montré un génie étendu. Le Miserere et le Benedictus sont ses plus beaux ouvrages, dans la manière noble et simple ; l’Arm
50 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
at 6 h. 1/2, je l’ai vue pendant une demi-heure vraiment amoureuse et belle d’amour. Nous parlions sur un banc qui se trouve
51 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIII »
ir après l’avoir fermée en présence de M. Bellati. C’est peut-être le bel Antoine, je la suis sur-le-champ allé ouvrir ; il
52 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXI »
parvenu à ce lieu élevé et singulier, en parcourant des coteaux aussi beaux que ceux que je me suis figurés pendant toute ma
53 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
re pour Milan. (1813). Nous suivons le bord de la mer. Case Bruciate. Belle route, telle que je n’en ai jamais vu de plus com
54 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 242, 15 juillet 1907 »
ient de se rendre acquéreur, pour la somme de 450 000 fr., d’une très belle statue antique appartenant à la famille Aldobrand
55 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
modèle pour ses toiles profanes aussi bien que pour les sacrées : la belle Cecilia Gallerani, maîtresse du Duc ; ainsi que d
56 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
les étrangers, des variétés, des pages de littérature, enfin de fort belles gravures sur bois. Échos divers et communicati
57 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
elle. Le recueil des Vers Barbares compte, d’ailleurs, parmi les plus belles productions de Martzokis. Échos. Le Quadrige d
58 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
défaillances est en Italie le seul grand artiste vivant, digne de ce beau nom trop profané, l’élévation apportée à la langu
59 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
ait eu l’audace de calomnier cette bonne Suisse, et qui est plus, ce beau , ce noble canton de Genève, ce morceau de paradis
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