nde civilisé, et c’est par loyauté que l’Italie fait sienne la phrase
anglaise
: Honesty is the best policy. Pour ces diverses r
orant par synthèse chimique, et des efforts faits par le gouvernement
anglais
pour créer une industrie nationale des couleurs a
soin à cette société. En hommes pratiques, la plupart des industriels
anglais
s’y refusèrent. Ils avaient beaucoup de raisons d
ôt que Goldoni était un génie de la scène auquel le monde des lettres
anglais
n’avait jusqu’à présent prêté qu’une médiocre att
jusqu’au moment où a paru ce volume il n’y avait eu aucun ouvrage en
anglais
consacré exclusivement à ce maître de la comédie
nt les écrivains français qui le négligèrent autant que les écrivains
anglais
, bien qu’il ait écrit pour la scène française. »
s les auspices de la Voce, d’une ligue de représentants de la culture
anglaise
et de la culture italienne décidés à lutter dès m
base de toute entente loyale n’hésitera un instant entre le parti des
Anglais
et celui des Allemands. Un article de Giulio Prov
er par l’appât des gros bénéfices. Étudiant le Mécanisme de l’Emprunt
anglais
dans le Corriere della Sera du 8 juillet, Luigi E
illet, Luigi Einaudi écrit ingénument : L’emprunt constitue pour les
Anglais
une occasion magnifique, qui ne s’était pas repré
ontre les Russes, croient lutter au nom de la démocratie. Français et
Anglais
ont la même conviction quand ils combattent l’All
i fait remarquer déjà en d’autres occasions, ce sont les qualités des
Anglais
qui frappent le plus en ce moment les Italiens, q
t espérer, même après Liège, arrêter l’invasion à l’aide des renforts
anglais
et français ; il n’y a pas eu de Waterloo, parce
donc si pénible de dire simplement : — Nous Italiens (ou Français, ou
Anglais
, ou Russes, etc.) nous sommes Italiens (ou França
çais, ou Anglais, ou Russes, etc.) nous sommes Italiens (ou Français,
Anglais
, Russes, etc.) et puisque le cours des événements
Allemagne. Tome CXII, numéro 420, 1er décembre 1915 Lettres
anglaises
. The « Paradise » of Dante Alighieri, an experim
nnique dans tout le monde méditerranéen et islamique. Le gouvernement
anglais
se défend en prétendant qu’il veut restituer la l
e l’espère, adhérera avec de nombreux socialistes belges, français et
anglais
à la Ligue fondée par M. Charles Andler pour libé
cela que le soldat italien est moins bien nourri que le Français ou l’
Anglais
, qu’on ne lui donne qu’une paie infime et qu’il n
toutes pièces, soi-disant survenus à Florence ou en Sicile et où des
Anglais
et des Sénégalais auraient fait feu sur la foule
s trouver complètement d’accord à ce sujet avec un critique militaire
anglais
: « Pour le moment, écrit M. Lovat Fraser, le vra
ins, pour empêcher de déborder le Grappa par la vallée du fleuve. Les
Anglais
, on le sut plus tard, occupent, au sud-est du dis
es de nationalités clairement reconnaissables. » En outre le ministre
anglais
et le Président des États-Unis avaient déclaré qu
s’enraciner dans le tréfonds de l’âme populaire. Les Français et les
Anglais
les traversent aujourd’hui parmi les acclamations
-être se consoler en se rappelant l’aventure de la Flore du sculpteur
anglais
Lucas baptisée par M. Bode œuvre de Léonard de Vi
utre préoccupation transperçait, celle d’éviter toute rencontre entre
Anglais
et Autrichiens ; elle avait été exprimée dès les
rs de novembre, lorsque, à son regret, il fut annoncé que des troupes
anglaises
seraient allées combattre en Italie. Dans le dern
ent aux désirs de l’Italie, mais il s’empressait d’ajouter : « Nous,
Anglais
, nous ne voulons pas combattre l’Autriche, qui es
Italiens se décidèrent à lutter avec les Français, les Russes et les
Anglais
. Nous apprenons par quelle adresse juridique M. S
ne société d’individus parfaits, ont réglé le développement de la vie
anglaise
au cours du xixe siècle : l’une reflète les cara
es classes peu fortunées. …………………………………………………………………… L’individualisme
anglais
n’a pas toujours été égal à lui-même ; il s’est m
é. Sa docilité, unie à sa fermeté, permettent de croire que le peuple
anglais
pourra, le drame fini ; reprendre sa marche par l
ation commune. Le sens de l’équilibre est l’âme secrète de l’histoire
anglaise
. Il ressort à la surface aux moments décisifs et
nfaiteurs, tels ont été, les principes directeurs que les théoriciens
anglais
de la morale et de l’économie ont rationnellement
arité de la race à travers tout l’empire. Il a été reproché au peuple
anglais
de ne pas avoir favorisé à temps la dignité natio
urd’hui le chef de la Fédération de l’Afrique du Sud et gouverner des
Anglais
et des Boërs selon les traditions de la liberté b
ans l’Afrique du Sud, …………………………………………………………………… L’histoire du peuple
anglais
à toutes les époques nous interdit de croire qu’u
e effacer les caractéristiques traditionnelles et les vertus de l’âme
anglaise
. Si on veut enchaîner l’avenir politique d’un peu
ngleterre soit la proie de l’État-minotaure, puisque l’individualisme
anglais
contient des trésors d’énergie sociale et de symp
gie sociale et de sympathie humaine ? On ne peut expliquer l’histoire
anglaise
par la simple théorie des profits et pertes, et c
laise par la simple théorie des profits et pertes, et c’est le peuple
anglais
qui de tous contient le plus de substance sentime
and ou la logique des peuples latins observent sans cesse dans la vie
anglaise
, et qui ne sont que produits subjectifs d’une men
n premier voyage à Londres, il se demandait comment, ne sachant pas l’
anglais
, il arriverait à se guider dans la grande ville.
anti, Zingaresca, Milan, Quintieri Mme Annie Vivanti, qui écrit en
anglais
et en italien, a tâché d’exploiter la guerre avec
t en Italie. On a fondé deux revues consacrées entièrement aux études
anglaises
: La Vita Britannica (Florence) et la Rassegna It
es il transporte. Il a essayé de nous faire croire qu’aujourd’hui les
Anglais
sont dans le même sac que les Germains et, pour c
p. 198-204 [204]. […] Grâce aux sommes prodiguées par un archéologue
anglais
, le gouvernement italien a pu reprendre les fouil
ignant au général Douzelot de rendre la place de Corfou aux autorités
anglaises
le 21 juin 1814. « Voilà comment, dit l’auteur,
cs aux Russes, des Russes aux Français de rechef, puis finalement aux
Anglais
, après avoir failli être attribuées aux Autrichie
: il n’y a qu’un péché en Amérique, le scandale. Cependant l’Amérique
anglaise
n’est pas, au degré de l’Angleterre, l’esclave de
e l’opinion qui réduit presque à néant toutes les prétendues libertés
anglaises
, aurait dû reconnaître en Amérique un certain esp
de partie du reste est suédois, polonais, italien, canadien-français,
anglais
. La langue anglaise, au total, ne représente guèr
est suédois, polonais, italien, canadien-français, anglais. La langue
anglaise
, au total, ne représente guère, dans cette ville
o à Pittsburg et une France de Québec à Boston. La part de l’Amérique
anglaise
sera encore très belle et immense. Il est curieux
u’on voit aujourd’hui des délicats pour affirmer que toutes les dames
anglaises
ressemblent aux figures de Burne-Jones. » Stendha
Tome XXIII, numéro 91, juillet 1897 Épilogues. Le Blason des
Anglais
[extrait] Remy de Gourmont. Tome XXIII, numér
urmont. Tome XXIII, numéro 91, juillet 1897, p. 137-141 [139]. […] L’
Anglais
a une mauvaise réputation, parmi le peuple. C’est
rd’hui, à Paris, pour le gamin des rues tout étranger est a priori un
Anglais
; en général, on le déteste et on le raille, — ma
des vers inédits des meilleurs poètes français, italiens, espagnols,
anglais
allemands, russes, etc. On annonce qu’au sommaire
uatre romances de M. Stuart Merrill, des poèmes d’auteurs italiens et
anglais
, — et, aussi, un portrait de Mme la Comtesse de N
et la France. C’est l’influence toujours croissante de la diplomatie
anglaise
à la cour de Naples qui, avant et depuis la ruptu
Pléiade qui lui en aient suggéré l’idée. Ce seraient plus les poètes
anglais
qu’il possédait à fond pour les avoir étudiés d’a
avail sur la perfection des arts. Oui, tout en admettant que ce poète
anglais
avait souvent parlé le vrai langage de la passion
ons et Contemplations d’Hervey, je pense que c’est à ce dernier poète
anglais
qu’il emprunta le titre de son premier recueil, c
te et aussi chrétienne, s’était nourri comme lui la moelle des poètes
anglais
et du plus lyrique de tous, d’Ossian, qu’il avait
mps en temps quelques sonnets. » Eh bien, le sonnet CCLX de l’édition
anglaise
en 2 volumes, sur laquelle j’ai relevé les vers q
ivre de Mme Alcott a fait depuis trente ans beaucoup de bien aux boys
anglais
, peut-être. Mais en Italie la littérature pour en
ère de beaucoup à Boileau pour la poésie. Quand pourrai-je le lire en
anglais
? J’ai lu ces jours-ci Fielding et Richardson, et
onnent une furieuse envie d’apprendre leur langue. Je crois la poésie
anglaise
supérieure à la française et à l’italienne : au r
ts de Dryden et d’autres. » Le 30 septembre 1810 : « Je traduis de l’
anglais
: quelques Nuits de Young et la superbe tragédie
dans les idées les plus sombres, ou me recréant avec quelques auteurs
anglais
comme Ossian, Young et Shakespeare. » (Corresp.,
on le tient pour une œuvre moderne, exécutée en 1840 par le sculpteur
anglais
R.-C. Lucas. C’est une histoire fort embrouillée2
é dans le Burlington Magazine par l’éditeur de cette importante revue
anglaise
, comme une œuvre de l’école de Léonard. Lorsqu’à
avant la Révolution, p. 220-22, et comment, aussi, le célèbre organe
anglais
, après avoir, dans son vol. XXIX, p. 237 (novembr
la part de celui qui avait pillé Carpani et les brillants essayistes
anglais
cet aveu est vraiment trop naïf ; certaines perso
Martini et de l’Angelico à Verrocchio et Véronèse ; […]. Lettres
anglaises
. Memento [extrait] Henry-D. Davray. Tome LXXXI
tolérance était passée en fait dans les mœurs de l’Italie. Lettres
anglaises
. Lord Balcarres : The Evolution of Italian Sculpt
et Sylvie sont excellentes, ainsi que MM. Garry et Vargas. Lettres
anglaises
. Memento [extrait] Henry-D. Davray. Tome LXXXI
n particulier, et son évolution est du plus grand intérêt. Lettres
anglaises
. Alethea Wiel : The Navy of Venice, 15 s., Murray
dultère en rupture de ban conjugal, de l’Allemand costumé de vert à l’
Anglaise
neurasthénique, en passant par toutes les espèces
on au voyage en Italie », publiée par M. Paul Arbelet. […] Lettres
anglaises
. Memento [extrait] Henry-D. Davray. Tome LXXXV
tion à un moustique des eaux stagnantes, et dans laquelle l’historien
anglais
W. Jones voyait récemment le facteur principal de
le coucher du soleil et l’horreur des Casinos, partie des myriades d’
Anglais
, Allemands, Russes et autres Barbares qu’attirent
-ils ? — Eh ! mon cher Antonio, de bien des endroits. Nina a parlé en
anglais
à Lady Dolingson ; en français à Boursault-Coudra
s gondoliers : un barcarol comme en évoquent les sens romanesques des
Anglaises
et des Slaves, et que nous appelons, nous autres,
a copie de celle que vous avez adoptée pour le portrait qu’un peintre
anglais
est en train de faire, n’est-ce pas ? J’ai eu la
issance publique les chercheurs locaux. Mais il se peut que le public
anglais
redoute plus que le nôtre les références et l’exa
nué : coup sur coup, quatre œuvres de marque provenant de collections
anglaises
viennent d’être vendues des prix exorbitants et d
offert, en septembre dernier, de céder ce tableau à un musée national
anglais
pour la somme de 1 750 000 francs ; malheureusem
e. Elle y revendique dès à présent la primauté, oubliant les intérêts
anglais
en Égypte et en Asie Mineure et les intérêts fran
e fougue heureuse, M. de Monard avec plus de maîtrise. […] Lettres
anglaises
Henry-D. Davray. Tome CIX, numéro 406, 16 mai
des Études Napoléoniennes (mars-avril 1914). […] Paul Marmottan : Les
Anglais
en Toscane (nov.-déc. 1813). […] Bulletin histori
e des Études Napoléoniennes (mai-juin 1914). […] Paul Marmottan : Les
Anglais
en Toscane (nov.-déc. 1813), fin. Les Revues.
exposition, et sous, tous les rapports comfortable, comme disent les
Anglais
, qui s’entendent si bien en tout ce qui constitue
e ton sentimental et outré des Allemands, ni la manière fatigante des
Anglais
: ils donnent à chaque période le ton et le son d
stée, jusqu’à maintenant, la propriété du célèbre amateur et critique
anglais
Humphry Ward. Sauf le nez, un petit morceau du me
t le patrimoine de la sensibilité générale cristallisé. Le romantisme
anglais
, qui ne suivait pas une époque de classicisme, ré
t. Dans son étude, Mme Gina Martegiani évoque le romantisme allemand,
anglais
et français, en étudie les caractères et les aspe
able de documents du plus haut intérêt. Signalons une étude en langue
anglaise
, de M. Sidney Churchill, sur Benvenuto Cellini.
anglaise, de M. Sidney Churchill, sur Benvenuto Cellini. Lettres
anglaises
. Memento [extrait] Henry-D. Davray. Tome LXXVI
seulement M. Marinetti qu’il y figure en première ligne. Lettres
anglaises
. [John Ruskin] [extrait] Henry-D. Davray. Tome
siècle. Ruskin a exercé depuis soixante ans dans les pays de langue
anglaise
une influence dont il est difficile encore à l’he
r John Ruskin et le mouvement idéaliste et social dans la littérature
anglaise
au xixe siècle, en même temps que paraissent en
des Germains dépeintes par Taine dans ses origines de la Littérature
anglaise
le génie démocratique hérité des Hellènes par les
euses dans la langue de Ronsard et de M. Henri de Régnier. Lettres
anglaises
. Lacy Collison Morley : Giuseppe Baretti and his
est connu comme l’auteur de charmantes relations de voyage écrites en
anglais
, du premier dictionnaire italien-anglais qui ait
ion lui fut accordée sur la cassette royale, et c’est dans une église
anglaise
que ses amis, à sa mort, élevèrent un monument à
s, ce point rouge ? C’était bien le hurlant pompon d’une vieille dame
anglaise
qui, depuis 76 ans, décolletait avec entêtement s
fit son entrée ; il tenait un peu de Napoléon et beaucoup d’un acteur
anglais
. Mis avec une élégance recherchée, les revers de
dre des personnes respectables, devant quoi il prend plaisir (idée si
anglaise
, et protestante !) à se conduire le plus indécemm
nt exemplaires, sur laquelle furent faites d’ailleurs les traductions
anglaise
et allemande, ont été nouvellement traduits par M
e, mais encore par un acte notarié dans lequel les héritiers du poète
anglais
lui reconnaissaient le droit exclusif de traducti
rt. Quand elle se dépouillait de son aspect superficiel de correction
anglaise
, à la mode dans la société de Naples, elle en éta
13, p. 149-153 [153]. M. Alan Ostler a été correspondant d’un journal
anglais
chez The Arabs of Tripoli (8°, ill. Londres, John
ont il traduit si bien l’esprit et le bouillonnement. […] Lettres
anglaises
. Memento [extrait] Henry-D. Davray. Tome CI, n
(janvier) : — « Poèmes d’Italie », par M. J. Semaize. […] Lettres
anglaises
Henry-D. Davray. Tome CI, numéro 376, 16 févri
adis à la famille des Mattei, et qui fut ensuite achetée par un riche
Anglais
dont elle prit le nom. Elle avait un très beau po
Andreotti a une grâce souriante et un modelé neuf. […] […] Lettres
anglaises
. Memento [extrait] Henry-D. Davray. Tome CIII,
is quarante ans ont façonné l’âme artiste du monde, avec l’esthétisme
anglais
, le symbolisme français, le néoromantisme alleman
Le journal qu’elle tenait ne tremblait même pas dans ses mains… « Les
Anglaises
, pensai-je, déçu, sont si rarement polyglottes !
tôt dix ans. Dans le numéro d’octobre 1903 Mr Arthur Symons, le poète
anglais
bien connu, parlait longuement du séjour de Casan
, élevés dans les écoles d’Angleterre ou dirigés par des instructeurs
anglais
. Le croiseur avait belle apparence, était propre
puis le dire en passant, s’est fait une spécialité des traductions en
anglais
de Balzac, Daudet et George Sand. Il s’y trouve a
M. Charles Vellay sur Le Problème méditerranéen. Les susceptibilités
anglaises
étaient, en 1830, le seul gros obstacle ; mainten
c’est toute une foule de « points de vue » à concilier. Point de vue
anglais
: toujours Malte, Malte avec un potentiel très él
convenir d’ailleurs que ce n’est pas seulement en Italie. Lettres
anglaises
. Philip H. Wicksteed : Dante and Aquinas, 6 s., J
e ne le saurait déterminer. Les lettrés allemands, aussi bien que les
anglais
, les scandinaves, les russes même, en dehors des
dont M. Octave Uzanne serait le pieux et érudit président. Lettres
anglaises
. Memento [extrait] Henry-D. Davray. Tome CVI,
quant de voir de quel autre futurisme se réclament ces jeunes auteurs
anglais
. Outre les extraits de poésie de Buzzi, Marinetti
a se passe à Venise, mais ça pourrait se passer ailleurs ! Lettres
anglaises
. W. K. McClure : Italy in North Africa, an Accoun
outre, l’image légendaire et préjudicielle que nous suggéra le génie
anglais
persistant en notre rétine cérébrale avec la forc
à ceci : Qu’aimez-vous mieux d’un lion ou d’un tigre ? Un Grec et un
Anglais
ont chacun une manière d’être beau qui n’a rien d
ous savez, ayant lu Tolstoï, Nietzsche, Ibsen, et les Français et les
Anglais
, vous savez qu’il n’y a pas plus, à cette heure,
attitudes. Le Verlaine à 26 ans est singulier, avec son air d’un dur
anglais
; le Verlaine à 4 ans exhibe déjà des yeux pleins
des conceptions nouvelles. Jamais le symbolisme, dans son expression
anglaise
selon les préraphaélites, — allemande selon Jean-
ignore que même Pitt s’en inquiétait et donnait l’alarme au Parlement
anglais
! Enfin, je crois que je pourrais continuer de ce
par un droit sacré, avec lui, descendront dans la mer. » Lettres
anglaises
. Memento [extrait] Henry-D. Davray. Tome XXVI
ésentation d’Alleluja, dramma in tre atti, di Marco Praga. Lettres
anglaises
. Revues [extrait] Henry-D. Davray. Tome XXVII
santes notes sur Benvenuto Cellini à la Cour de France […] Lettres
anglaises
. Revues [extrait] Henry-D. Davray. Tome XXVII
mmes contentés. — L’Abyssinie, pendant longtemps, n’intéressa que les
Anglais
; elle fut d’actualité au moment de leur guerre a
e ex-alliée nous est peu accessible, à cause de la langue ; l’opinion
anglaise
peut nous être plus connue ; mais la langue franç
mande sera en mesure, d’ici à peu d’années, de tenir tête à la flotte
anglaise
de la mer du Nord ; ce jour-là, le coup de main s
d de l’Algérie pour retrouver un amant mystérieux qui s’est enfui à l’
anglaise
et s’est enrôlé dans la Légion Étrangère. Dans ce
herche : il s’est appliqué, ces derniers temps, à traduire des pièces
anglaises
(Gregory, Yeats, Synge) mais on peut beaucoup esp
ur les différents fronts de combat. Ce sont surtout des photographies
anglaises
et françaises ; mais il y a une section belge, un
rivations étrangères prédominantes ont été celles du préraphaélitisme
anglais
et de l’impressionnisme français, ce dernier conn
server ces substitutions d’influence : au vieux libéralisme de marque
anglaise
et au rigide socialisme marxiste de marque allema
pas avec cela affirmer, naturellement, que les influences françaises,
anglaises
et russes que j’ai indiquées résument toute notre
la Croix de Malle. Elle a quarante-huit ans, et est adorée d’un jeune
Anglais
de trente-huit ans qui, dit-on, n’est point un ho
stupéfaction qu’il ait précédé Bach de tout un siècle. […] Lettres
anglaises
. Stephen Philips : Pietro of Siena, 2 s. 6 d., Ma
s modernes. Brochures et revues traînent sur les fauteuils. Un bureau
anglais
porte des classeurs remplis de fiches et de dossi
de découvrir cette besogne louche, M. Matte, d’après un autre auteur,
anglais
cette fois, M. Barnes, ajuste à l’hypothèse Dange
r tâche de reproduire les plus beaux tableaux des collections privées
anglaises
vient de publier pour 1910 son septième portefeui
te publication, qui constitue peu à peu le livre d’or des collections
anglaises
. Lettres anglaises. J. A. F. Orbaan : Sixtine
nstitue peu à peu le livre d’or des collections anglaises. Lettres
anglaises
. J. A. F. Orbaan : Sixtine Rome, 7 s. 6 d., Const
en). Les savants les plus illustres de Rome sont des Allemands et des
Anglais
. Le peuple, à Rome, ne semble propre ni aux scien
une très haute opinion de Cavour, que lord Odo Russell, le diplomate
anglais
, n’a pas hésité à placer au-dessus de Bismarck. E
Hautes et basses classes en Italie », par W. S. Landor, traduit de l’
anglais
par M. Valery Larbaud. Tome XCII, numéro 338,
frère de Dante-Gabriel et le critique attitré du groupe préraphaélite
anglais
. Yolanda : Le Chrysanthème rose, France d’Andi
dre responsable de la médiocrité encombrante de l’école préraphaélite
anglaise
, il est juste de remettre Botticelli à son rang,
M. Cohnen, tout bonnement superbe dans le rôle principal. Lettres
anglaises
Henry-D. Davray. Tome XCIII, numéro 341, 1er s
ent de Walter Savage Landor, qu’il appelle « le Prince des Prosateurs
anglais
». Ce fragment, Hautes et Basses Classes en Itali
, et à faire souhaiter qu’il continue à découvrir dans la littérature
anglaise
des fragments connus ou inconnus ayant l’intérêt
Joconde ». […] — M. J. Gasquet : « De Venise à Kiev. » […] Lettres
anglaises
. Memento [extrait] Charles-Henry Hirsch. Tome
re » qui aboutit, il y a quelque vingt ans, à cet infécond esthétisme
anglais
, dont l’influence paraît devoir se renouveler à P
e aussitôt en sa faveur. Ces messieurs portent des vêtements de coupe
anglaise
, très confortables. M. Severini, toscan, est chau
Royal ou de l’Odéon, à Milan ou à Naples, et le théâtre psychologique
anglais
, allemand et italien, de Pinero, H. A. Jones, Hau
catures. Une autre édition rare est celle que fait paraître la maison
anglaise
Methuen and Cie, exacte reproduction de l’Hypnero
passé est celui sur les Peintres italiens Anciens de Mme Evelyn, une
Anglaise
devenue une des plus fécondes femmes écrivains it
eproduire. J’admire de plus en plus le Barbier. Un jeune compositeur
anglais
, qui m’a tout l’air d’être sans génie, était scan
es à Tripoli, la création du port de Bizerte en Tunisie, l’occupation
anglaise
à Gibraltar et à Malte, complètent cet ouvrage qu
ts cosmopolites où de jeunes pâtres à la Théocrite voisinent avec des
Anglais
snobs. Mais par un prestige de son talent, tout c
e et la clarté du style, fera mieux connaître en France l’esthéticien
anglais
, plus généralement étudié jusqu’ici dans les ouvr
Place de l’Homme dans l’Univers, de Wallace. Le livre du grand savant
anglais
, qui démontre la supériorité de la terre sur tout
gard, l’aristocratie française après la Révolution, ou l’aristocratie
anglaise
vers le milieu du siècle dernier après la grande
in, des poètes savants ou des poètes ingénus. Il tient à la tradition
anglaise
par son goût des vieilles ballades populaires ; i
tions de son art, Rossetti, selon la parole de Ruskin, n’était pas un
Anglais
, mais « un Italien tourmenté dans l’Inferno de Lo
ndres ». Il vivait avec les Florentins primitifs plutôt que parmi les
Anglais
actuels. Aussi est-il bien naturel que le premier
« la situation à laquelle son grand développement dans la littérature
anglaise
lui donne un droit absolu ». Mais le journal pass
par un contemporain — c’est la caractéristique des vieilles ballades
anglaises
— et Rossetti se plaît à y rafraîchir de sentimen
e s’en fût avisé), et prenait la défense des bonnes mœurs littéraires
anglaises
. La niaise imputation, dont la gravité en pays pr
reconnût loyalement, en se démasquant, qu’il s’était trompé. Tous les
Anglais
auraient pu s’y méprendre, Rossetti différait d’e
le, quoiqu’elle ne soit que le signe d’une beauté supérieure. L’idéal
anglais
a toujours été plus proche et plus direct : Morri
x. Contrairement aux habitudes prises dans Shakespeare par les poètes
anglais
, la forme du sonnet est strictement traditionnell
que moderne en Angleterre, John Ruskin, et en transférant à la poésie
anglaise
ce qu’il dit de l’art : « Rossetti doit être plac
talien leur refuse même tous les soulagements de la vis comica, que l’
Anglais
offrit largement à ses personnages. Saül ne souri
ssetti, dans un joli livre, sur les Préraphaélites et l’Art décoratif
anglais
, publié à Bruxelles en 1894, par M. Olivier-Georg
alie. Il est resté tel. À côté des grands poètes français, allemands,
anglais
, de la première moitié du xixe siècle, l’Italie
e. Le voile vert relevé sur les tresses cendrées, dans le livre une
Anglaise
cherche ces menaces des murailles romaines au cie
in de me remettre de bonne humeur. Celle que je lis maintenant est en
anglais
et je me suis aperçu que l’anglais se prête admir
Celle que je lis maintenant est en anglais et je me suis aperçu que l’
anglais
se prête admirablement à l’Ancien Testament, tand
n la clairvoyance de l’Europe. Certes, il reste assez indifférent aux
Anglais
, aux Français, aux Italiens que le Bulgare soit u
ornes spirituelles que donnèrent à un art semblable les grands poètes
anglais
des débuts du xixe siècle, et Foscolo et Léopard
duction allemande de John Voss laisse autant à désirer que la version
anglaise
de Dryden ; Delille, le plus estimé des traducteu
s’éloignent de M. d’Annunzio, du symbolisme français, de l’esthétisme
anglais
, du romantisme allemand. Ils invoquent Boccace, v
core que je ne sache pas une petite ville d’Italie où un Français, un
Anglais
ou un Allemand ne puisse trouver quelqu’un pour l
venirs ; a-t-il été embarrassé à Bologne quand il a parlé allemand ou
anglais
? Nos écoles secondaires exigent deux langues. Oh
nous montrer un côté de la galanterie espagnole ressemblant au flirt
anglais
, où la tolérance des parents laisse pleine libert
roduisait un art d’imitation et de dilettantisme, voué à l’esthétisme
anglais
et au symbolisme français. C’est à cela que le gé
nt déjà parlé, aura le même succès que les précédents. […] Lettres
anglaises
Henry-D. Davray. Tome XCVII, numéro 360, 16 ju
te ; de là, dans l’évolution du droit, plus d’innovation que chez les
Anglais
, dont le conservatisme intervient comme une prote
xe s’éloigne de penser autrement que par le nôtre. Brummel, le dandie
anglais
, cherche à déconcerter, voire à choquer. Orsay, l
e latin, le grec, le français, l’allemand, et sa langue maternelle, l’
anglais
; douée d’un esprit élevé et poétique, elle a pub
e la Renaissance italienne, des lettres de Pestalozzi […]. Lettres
anglaises
. Memento [extrait] Henry-D. Davray. Tome XCVII
lange littéraire esthète et symboliste, ou plutôt éprise d’esthétisme
anglais
et de symbolisme français, fleurie il y a quelque
quetterie, qui jouaient sagement, sous l’œil attentif de leurs bonnes
anglaises
. Vers le soir, à un moment où je savais qu’elle n
ons divisés et qui ne sont point tout à fait sans intérêt. Lettres
anglaises
. E.-V. Lucas, A Wanderer in Florence, 6 s., Methu
roductions qui n’étaient pas encore répandues, et de plusieurs livres
anglais
fort rares et fort estimables. Je compte donc le
comme l’aristocratie française après la Révolution, ou l’aristocratie
anglaise
après la révolution économique du milieu du siècl
salles nouvelles, consacrées à l’école belge, à Brangwyn et à l’école
anglaise
, qu’il avait ouvertes depuis la guerre, il vient
n pour des raisons différentes, mais je les aime également. « Le film
anglais
est un peu bonbon, mais il a ses qualités. Les fi
s heureux des talents de son fanciullino. » Miss Phelps donne en vers
anglais
des Traductions très heureuses du fanciullino. […
qui raconte l’histoire de la mort des soldats-poètes Byron et Brooke,
anglais
; Koerner, allemand ; Mameli, italien ; et Petöfi
e influence sur le moral du pays. À ceux qui parlaient d’impérialisme
anglais
, le message de M. Wilson donna la réponse qu’il f
dée. Cette annonce fait pendant à une autre identique mais en langue
anglaise
et destinée aux officiers de l’armée de Sa Majest
fficultés pouvaient surgir à ce sujet lorsqu’il s’agissait de troupes
anglaises
et françaises, aucun obstacle sérieux ne s’élevai
t l’avenir des diverses nations en guerre, la fédération des colonies
anglaises
, etc… Quant à l’Italie, le conflit présent est po
euses : de plus, il aurait fallu citer d’abord en italien. Lettres
anglaises
Henry-D. Davray. Tome XLV, numéro 159, mars 19
va à Dux. Un chapitre d’histoire inédit Arthur Symons. Traduit de l’
anglais
par Henry D.-Davray. Tome XLVIII, numéro 166, oc
sameron, curieux livre publié en 1787, prétendant être « traduit de l’
Anglais
» mais, en réalité, ouvrage original de Casanova
velours rouge sans cesse occupés par l’extase de quelques anguleuses
Anglaises
. Admettons que vous ignorez même le titre de la t
d’Alcée, L’aigle d’Alexandre au nid grec. * Oh ! sous ce blanc front
anglais
Que de songes de gloire passèrent ! Sur l’Égée So
fragments, mais de s’adapter. Et c’en est un symptôme que ce jésuite
anglais
excommunié il est vrai par l’Église, mais pourtan
rand homme. D’autres n’eurent pas la faveur d’être reçus ; témoin cet
Anglais
obstiné qui voulait voir Voltaire à tout prix, mê
subjugué. Entre deux divertissements, il sera question de l’alliance
anglaise
, des garanties à exiger de l’Électeur et des diff
ger », remarque M. de Souza, et il montre la prépondérance du capital
anglais
. Celui-ci exploite les industries nationales, des
rés ! Or, depuis que MM. les Saxons s’y sont établis, depuis que soit
Anglais
, soit Allemands, nos administrateurs opèrent, la
rre de Bouchaud Jules de Gaultier, Pierre Hortala, Hugues Rebell, des
Anglais
, des Polonais, des Hongrois, des Espagnols, etc.,
ier de France : le sol lui a donné sa valeur et sa saveur. Lettres
anglaises
. Arthur G. Benson : Rossetti, cr.-8°, x-238 pp.,
raduisit dans la plus pure langue italienne l’âme du poète-philosophe
anglais
; et il vient d’envoyer à ses amis le dernier vol
nt des études sur Rops, de Groux, Goya et sur l’art japonais et l’art
anglais
. Échos. Une annonce italienne Mercure. Tom
énérer l’art du livre commence enfin à porter ses fruits ! Lettres
anglaises
. Maurice Hewlett : Earthwork out of Tuscany, cr.
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