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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
de leurs deux destinées qui se désunissaient, Henriette laissa à son ami cet avis suprême : « Tu oublieras aussi Henriette
sité de Voltaire, qui voulait en faire usage et citer le livre de son ami au moins dans le second tome de son histoire. Mai
ne du second volume… » Et, dans la suite de la lettre, il donne à son ami le conseil de faire passer tous les livres qu’il
e Voltaire avait quelques raisons pour ne pas se vanter auprès de ses amis italiens d’avoir reçu chez lui Casanova et d’avoi
e marquis Albergati Capaccelli, poète dramatique, un de ses meilleurs amis d’outre-monts. Aussi, dans sa conversation avec C
ien de surprenant, si l’on songe que Voltaire n’avait pas écrit à son ami de Bologne depuis le mois de décembre 1760. Je cr
testait pas qu’on lui tînt tête, Voltaire questionne Casanova sur ses amis d’outre-monts, notamment sur ce François Algarott
toujours de visiter Voltaire aux Délices, malgré les instances de son ami qui le pressait de venir boire le lait de ses vac
oins désireux d’exprimer ses propres sentiments de sympathie pour son ami vénitien que curieux de connaître l’impression qu
oyable », « insoutenable7 ». Voltaire ne tente rien pour défendre son ami , ou du moins cela n’apparaît pas dans le texte de
ompatriotes en renom. Pour le marquis Albergati Capaccelli, cet autre ami italien de Voltaire, il se montre encore plus dur
élices » et le patriarche de Ferney, un théâtre où il jouait avec ses amis ses propres pièces, des comédies de Goldoni, des
t rares et fort estimables. Je compte donc le grand Voltaire pour mon ami , et je m’applaudis de ma conquête. Applaudissez-v
avait révélé et pour lequel il avait une véritable passion. Les deux amis font échange de tragédies et de comédies, de pièc
ent plus précis et d’un texte plus explicite. § Cet entretien sur ses amis d’Italie conduisait naturellement Voltaire à ques
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
s les fois qu’il pouvait le faire, par l’expérience et le goût de ses amis ou de ses correspondants étrangers. Aussi Casanov
e Rhadamiste de Crébillon ; Voltaire revendique ce privilège pour son ami Martelli ; mais Casanova lui prouve que les vers
ur ce point encore, Voltaire subissait l’influence de certains de ses amis italiens et jugeait plutôt d’après leur préventio
it plutôt d’après leur prévention que d’après son goût personnel. Ces amis , et surtout ceux qu’il avait surnommés le triumvi
 J’aime encore mieux une cinquantaine de vers du Dante, écrit-il à un ami , que tous les vermisseaux appelés sonetti, qui na
vrai dire, il ne le connaissait pas depuis fort longtemps. C’est son ami Albergati qui semble le lui avoir révélé, dans le
l’amiable ; il recevra mes excuses sincères, et nous serons, lui mon ami , moi son sincère admirateur34. » Ce qu’il écrit
t. Souvent malade, il commençait à souffrir d’avoir à héberger tant d’ amis inconnus. Ceux mêmes de ses hôtes qui vantent le
3 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
r à la maison après des heures et des heures d’absence, raconta à son ami qu’elle avait rencontré un vieux monsieur, qui, a
e dans cette histoire dont les héros furent, à différents degrés, mes amis . En les regardant agir avec ma curiosité habituel
de rester avec lui, mais bien pour avoir des renseignements sur notre ami , le peintre Wellseley. Puis, je n’estimais pas St
sa violence me choquaient. Je souffrais presque de me voir traité en ami par cet homme. Mais je me plaisais chez lui, les
rature. Elle a cité des noms de peintres et de poètes qu’admirent les amis que je loge chez moi, et qui sont des artistes d’
le chantait. Elle cherchait quelqu’un. — Qui ? s’écria Antonio. — Mon ami Wellseley, répondis-je. — En êtes-vous sûr ? — Ab
fit-il avec hauteur. — Excusez-moi, si je me présente moi-même. Notre ami est à Vérone… — Je le sais. Vous êtes peintre, Mo
ellseley, un peintre qui désire faire votre portrait. Monsieur est un ami d’Aldramino. J’espère que vous consentirez… — Ant
evant la Ceschini, qu’il avait commandé le portrait de sa femme à mon ami Wellseley. Quant à ce dernier, contrarié par la p
y se prolongeait, Stella-Lucente vint chez moi. Je lui appris que mon ami était souffrant et ne recevait personne. — Vous l
ele ». Je n’aime pas cette musique ; elle enchante, par contre, votre amie Nina Ceschini. — À propos des Ceschini, j’ai song
leur votre porte. — C’est ce que je compte faire. Je vais convier mes amis à une dernière fête, pour clore la saison. Je ne
dans sa chambre. — Mon cher, lui dit-il, rougiriez-vous de devenir l’ ami d’un gondolier ? — Non ! — Accepteriez-vous de me
fixé Wellseley aux Fondamente Nuove. Il le conduisit chez moi. — Mes amis , dit-il à Morga et à Lowsky, voici notre ami Bepp
nduisit chez moi. — Mes amis, dit-il à Morga et à Lowsky, voici notre ami Beppo. Morga prit la parole : — On nous apprend q
îtres, je demeurai ébloui, et comme hébété, devant la peinture de mon ami . Les mains et le visage, entièrement terminés, ét
e lancer une danse nouvelle. Et incontinent ils initièrent tous leurs amis aux secrets de la furlana. Et M. Jean Carrère, p
maintenant que le problème qui, depuis deux ans, angoissait tous les amis de l’art a reçu une si heureuse solution, deux ré
e ! Il ne lui manquait plus que ce nouveau titre à la réprobation des amis de notre Louvre. Puisse cette constatation lui po
ame, dit alors Wellseley, permettez-moi de vous présenter mes fidèles amis Pietro Morga et Lowsky… Au même moment la porte s
ment, presque avec tristesse. Aurora se leva : — Allons rejoindre vos amis . La curiosité et l’intérêt que je portais à Auror
sorte de pudeur d’artiste. Et, se penchant vers Aurora : — Je suis l’ ami de Wellseley, Madame, et je ne sais pas si vous p
ce jeune homme qui avait réussi à introduire, chez elle, deux de ses amis , sous des déguisements de musiciens ? Elle ne rec
vec respect. — Ah ! brave Beppo ! s’écria Wellseley. — Nous avons un ami dans la place, répondis-je. C’est évidemment mieu
t misérablement abandonnée ? On parla de Wellseley : je jurai que mon ami était aussi innocent que moi-même. J’ai mieux à f
me toute, qu’un coup de feu de la part d’un garde ou d’Antonio. — Mon ami , vous n’aurez pas même à courir cette chance. Et
toue. Ceux qui ont souffert comprendront ce que devint mon malheureux ami , dont je renonce à décrire les espérances et les
n’est rien, dit-il. Asseyons-nous. Puis il balbutia : — Vous aviez un ami , un peintre, oui, un peintre… Sa voix chevrotait.
elle prononce : John-Arthur Wellseley. Et après un silence : — Et cet ami , vit-il toujours ? — Certainement, répondis-je. V
lair m’a foudroyé. J’annonçai à Stella-Lucente que j’avais laissé mon ami en gondole, à la porte du palais. À la prière d’U
azzeschi : L’Incendiario Bien que M. Aldo Palazzeschi soit de mes amis , je dois avouer en public qu’il est, à l’heure ac
ccuse hardiment le Carpani de plagiat.« Ses réponses ou celles de ses amis daubent sur le plaignant ; et depuis, les Stendha
r ma vie de Haydn ? Rien. Vous vous appropriez mes conversations, mes amis , mes pensées, mes aventures : vous me volez tout,
stifier, — et à combler les vœux, jusqu’à présent inexaucés, de notre ami M. Ettore Mola. I Nous croyons tenir le fil
ard Snetlage, à la lourde correspondance du vieux bibliothécaire… Des amis d’Italie m’ont avoué, dans leur sincérité, que Ca
4 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
e souhaitais pas seulement sa vue, mais celle de toutes les personnes amies ou parentes. » II. — Amour, à le considérer en s
que la dame de l’intelligence. Pythagore ne se disait pas sage, mais ami de la sagesse. On ne doit pas appeler vrai philos
de la sagesse. On ne doit pas appeler vrai philosophe celui qui n’est ami de la sagesse que par intérêt, comme sont les lég
us parvenir jusqu’à elle, honorez-la du moins dans la personne de ses amis . Le quatrième et dernier traité contient, parmi d
ne doit regarder en arrière le passé et en avant l’avenir ; aimer ses amis , ses ancêtres dont il a reçu l’existence, la nour
5 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
mauvais œil dont rien ne dit que vous ne soyez pas affligé. Un de mes amis de là-bas m’a conté, à propos de la pêcherie, un
’abattre exactement devant le Christ de la pêcherie. Le cocher et mon ami étaient sains et saufs. Voilà tous les pêcheurs c
eurs criant au miracle, s’agenouillant et rendant grâces au ciel. Mon ami voulait prendre son train. A genoux, d’abord, à g
senti paralytique de la moitié du corps. « Fermez la porte, ma chère amie , Dieu m’a foudroyé. » Malgré ses ordres, elle a v
sé le printemps de 19.. chez Enéa Aldramino, à Venise. Je trouvai mon ami , habituellement si heureux, dans des dispositions
re les mains, les matériaux d’un roman admirable ? (Le présent de mon ami m’agitait fortement.) En prenant Giorgione comme
nt meilleur marché, si je me contentais de panneaux peints. Un de ses amis les exécuterait, car il se déclarait peu exercé a
sser cette femme et de peindre son portrait. Elle est si belle. — Ton ami ne serait peut-être pas content, observai-je. Gio
jouer du luth, pendant les banquets que Daniel comptait offrir à ses amis . Je lui conseillai de s’appliquer à lui plaire et
t, combien me feriez-vous payer un coffret identique à celui de notre ami  ? Giorgio ne répondit pas. Mais il considéra Ange
Barbarelli, son charme viril et cet air triomphant qui trompèrent ses amis … Et moi-même, si on m’avait demandé, la veille de
rement Barbarelli. Je dus abandonner les ateliers des peintres et les amis que je m’étais attachés, pour remplir d’abord des
Peu après, j’étais à Venise, heureux de me retrouver au milieu de mes amis , de m’asseoir, avec eux, autour de tables chargée
ndres soins. — Vos drogues et vos herbes ne me guériront pas ! Cruels amis , vous me condamnez au repos ! Vous me privez de l
eigneur, ce dernier sera le peintre des peintres. Je l’ai choisi pour ami . Il est entré chez Zuccatto, comme j’en partais ;
ssa moins, je l’avoue, que le contraste offert par Giorgio et par son ami Titian de Cadore. Ils se tenaient côte à côte et,
tendait, Barbarelli célébrait leur mérite : — Je suis fier d’être son ami , s’écriait-il, exalté par la générosité de son âm
eproché de vous parler trop familièrement… — Je suis, avant tout, ton ami , Giorgio, dis-le bien à Titian. Je n’aimais pas c
x-ci en fussent, le moins du monde, offusqués. — Oui, ajoutai-je, ton ami et ton admirateur. Je m’approchai du chevalet. — 
ce Saint-Marc, j’entendis même le dialogue suivant : — À ce soir, les amis .. — Où nous rencontrerons-nous ? — À côté du berg
Zuan Bellini, Barbarelli prit l’habitude de recevoir fréquemment ses amis , dans la maison qu’il loua place Saint-Silvestre.
n tenir sur le secret du Giorgione. Il se cacha dans l’atelier de son ami et fut surpris par un autre peintre aussi peu scr
à deux, lui dit ce dernier…, sans cela, je révèle comment tu voles un ami … — Prends un ducat et va-t’en ! — Non… et tais-to
d Barbarelli nous l’eut révélé lui-même : « Je n’ai rien inventé, mes amis . Je soigne mes tableaux comme les femmes soignent
Je cédai aux prières de Giorgio et présentai Titian à certains de mes amis et parents. Pour la plupart, les hommes le préfér
ques mois plus tard, une jeune fille nouvellement arrivée vanta à ses amies les réjouissances de carnaval, décrivit le mouvem
l point que je les ai reproduites de mémoire… Le vieux prêtre est mon ami … le moine et le jeune homme me sont inconnus… — L
e. Je ne me trompai point. Peu après, Giorgio convia, de nouveau, ses amis et ceux qu’il savait violemment hostiles à sa man
de pareilles terreurs ! s’écria Barbarelli en riant. Ce sont là, mes amis , de venimeuses vipères… et pour attirer les vipèr
ngela Pietragrua. Après onze années de séparation, Beyle retrouve son amie , qu’il a si incomplètement aimée ! Quelle parole
ociété, ce qui était contraire à ses mœurs. Il ne réunissait plus ses amis , place San Silvestro, et ne maniait plus ses pinc
se cachait à Venise. — Giorgio, lui dis-je, tu ne me traites plus en ami . Ton existence me semble étrangement troublée… — 
s doigts serraient le manche d’un poignard. — C’est moi, Giorgio… ton ami … — Giorgio n’a pas d’ami… — Regarde-moi… L’appren
che d’un poignard. — C’est moi, Giorgio… ton ami… — Giorgio n’a pas d’ ami … — Regarde-moi… L’apprenti alluma une lampe et la
moi dans ma demeure ! Que je regarde, le plus longtemps possible, mes amis , mes souvenirs, mon atelier, mes toiles. Tu les a
ns les causes de sa tristesse ! » Je résolus de réagir. Je réunis mes amis et je redevins celui que j’étais autrefois. Je me
mais son attitude envers moi me défendit de le considérer ainsi qu’un ami . Que la beauté de ses fresques surpasse celle des
enfermée et continue à mener ton existence brillante qui déroute tes amis , les curieux et tes adversaires. — Mais cette exi
nal Bembo. Je revins à Venise et mon retour intrigua, de nouveau, mes amis … L’amour de la Maurina n’était plus calme. Les so
moins précise et moins terrifiante !… Mais quand cet homme est votre ami , votre frère ! J’avais l’impression d’être enchaî
! Ah ! qu’as-tu fait, Zaratto ? Pourquoi as-tu trahi ton Giorgio, ton ami qui t’aimait comme un frère… Pourquoi ? La douceu
ourire, transforme un lâche en héros, un timide en assassin, un loyal ami en traître… Raconte… raconte… Zaratto… puisqu’ell
os mensonges… et je t’ai choisi pour accomplir ma vengeance, toi, son ami , son frère ! Ma trahison touchera doublement son
x et étendaient sur ses joues des traces sinistres…   À l’aurore, ses amis revinrent… — Mon brave Bordone, fit-il, mon joyeu
congé de vous… gais compagnons, bons frères, artistes excellents… mes amis … je sens à quel point nous nous aimions… Ne vous
l’aurore, sa main dessina la ligne d’un corps. — Recherchez aussi des amis fidèles… Sa tête se renversa contre le dossier du
ise me semble morte ! Quels que soient les talents et les mérites des amis qui me restent, aucun ne me fera oublier Barbarel
le Giorgione est mort. Il gagnera même, à cette mort, la réputation d’ ami fidèle. Il compte terminer les compositions inach
i la copie d’une lettre qu’adressait le 8 du mois dernier à un de ses amis de Paris le Recteur d’une des grandes Universités
s la joie d’applaudir à l’élection, comme président de la Société des Amis du Louvre, de celui qui en avait été durant de lo
ne charmante petite peinture siennoise, et il faisait acheter par les Amis du Louvre un des chefs-d’œuvre d’Ingres : le Bain
ne langue étrangère — et il n’avait pas cette facilité qui fit de son ami Mérimée un polyglotte remarquable. Dix ans plus t
r un amateur anonyme, 500 par M. Trubert et 25 000 par la Société des Amis du Louvre, pour récompenser le meilleur renseigne
égligence et d’indiscipline. Le distingué président de la Société des Amis du Louvre, M. Raymond Koechlin, en a fait la rema
célèbre et qui ne manque ni une exposition, ni une première. Ce cher ami des artistes, un peu Mécène, un peu critique, trè
seur. Pour aider à les découvrir, un membre anonyme de la Société des Amis du Louvre avait envoyé au Temps 59 une lettre ple
t à leur tête M. Marinetti, et, de l’autre, M. Ardengo Soffici et ses amis de La Voce. Il y eut des blessures, quelques chap
élèbre est célébré M. Casanova de Saint-Gall. Vous remettra, mon cher ami , la carte de Visite dont il s’est chargé pour Mme
et — surtout — que mon opinion sur sa peinture et la peinture de ses amis a toujours été et reste exactement celle que j’ex
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
 ; il eut le tort de mépriser l’avis qui lui vint à temps d’un de ses amis , lord Pembroke. La friponne, — contait le lord, 
it pas fait pour la dissiper : trois fripons, qui s’annonçaient comme amis de la maison, jouaient dans cette aimable société
satisfaction de me voir chez elle tous les jours, comme un véritable ami de la maison. — Je vous le promets, mais venez d’
ri. Sur les conseils et par l’intermédiaire de Gondar, l’un des trois amis de la maison, un singulier type de fripon, qui jo
er. Il allait se jeter dans la Tamise, quand il rencontra en route un ami qui parvint à l’emmener avec lui, le fait souper
7 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
Armand Point. Tome XVII, numéro 73, janvier 1896, p. 12-16. À l’ ami Stuart Merrill. E per certo, se si riguarda in q
ritent, et au toucher délicat d’une âme elles revivent et parlent à l’ amie visiteuse. « Je chanterai la Primavera, avait dit
o vend une épreuve de chacune de ses études. Au même moment un de ses amis , ingénieur à Paris, le prie de lui envoyer quelqu
été devancé. C’est seulement rentré chez lui que Rosso apprit que son ami de Paris avait, toujours à son insu, exposé ses c
circonvient un par un et finit par les décider tous à venir poser en amis . Il est parvenu à trouver le point faible de chac
cette forme a sollicité la contemplation. Quand je me promène avec un ami dans un musée et qu’il me montre les chefs-d’œuvr
ent intéressant à bien copier : les gens qui s’y promènent, comme mon ami et moi. Certes, la question d’art ainsi posée mon
et le bedeau qui la sonne. Cependant, ne recommencez pas et triez vos amis  : les Thovez sont les moins dangereux, — cave can
8 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
nd. Il fallait compter encore avec cette inclination naturelle de nos amis italiens à voir, en de telles heures, des traître
ations sur le Droit, la Justice et autres belles entités. Mon éminent ami , M. Jules de Gaultier, est même bien près de voir
lieux peu suspects de tendresse à l’égard des gens de l’Avanti ou des amis de M. Giolitti. Certes, il est des curés de campa
n député « interventiste », M. Ettore Ciccotti, a signé avec quelques amis un projet de loi prévoyant l’octroi des terres au
utrichien un ordre d’opérations dont la précision extrême parut à nos amis d’Italie le signe d’une folie, d’une mégalomanie
ement au front. Certains interventionnistes de la première heure, des amis sûrs de l’Entente, vont jusqu’à prétendre que ce
s puis, l’audience terminée, Villari s’en fut chez lui et en route un ami qu’il rencontra lui demanda quel était cet étui q
aire tuer mais à battre l’ennemi. Nous avons su gré, toutefois, à nos amis italiens de leur effort personnel aux premiers mo
clin à faire peser la responsabilité de ses déceptions plutôt sur ses amis que sur ses ennemis. Il ne faut pas oublier que,
e quelconque qui fût un acte de déloyauté à l’égard des Alliés ». Les amis de M. Giolitti exaltèrent dès lors la pureté de s
d des Alpes, je tiens, comme ancien collaborateur du Mercure et comme ami de l’Italie qui a été pour moi une terre d’électi
riacante du Vatican est connue de tous. Les cas de Mgr Baumgartner, l’ ami de l’espion Scheikhardt, et de Mgr de Gerlach, — 
la péninsule est suffisamment explicite d’ailleurs. Non seulement les amis de M. Lazzari n’ont pas renié Caporetto, mais ils
orio, l’action gouvernementale était donc critiquée à la fois par les amis de M. Turati et les membres de l’Unione. Le « cas
x, et, avec M. Georges Lorand, son collègue à la Chambre belge et son ami , il leur dit à quel dur régime les Allemands soum
demain de la chose. Enfin il assiste au mariage religieux d’un de ses amis de Crémone et il est conquis par la paix sereine
e qui est plus grave, contemporains — ne laissent pas d’inquiéter nos amis clairvoyants d’Italie sur la permanence, chez que
laigue « cette magnifique oraison funèbre » : Pâques, 1901. Mon cher ami , C’est aujourd’hui le jour du pardon : il faut do
être englouti avec mon fardeau dans un effort (plaignez-moi, mon cher ami  !) supérieur à ma courte vaillance. Verdi est mor
la vieille faucheuse a dû remporter son arme bien ébréchée ! Mon cher ami , j’ai perdu dans ma vie des personnes idolâtrées.
Avant l’entrée de son pays dans la guerre, Arrigo Boïto mandait à son ami  : Novembre 1914. À toute heure du jour, et la nu
emaines avant sa mort, le 14 mai 1918, le grand Boïto adressait à son ami ce billet émouvant : Mon très cher. Merci pour t
e sa grâce. Que va-t-il faire : retourner à Paris, où l’attendent ses amis , ou continuer la délicieuse idylle de Hollande ?
dans le jardin de la villa. Elle s’imagine, la pauvre enfant, que son ami l’attend et quand la triste réalité s’offre à ell
Cavalleria et d’une autre œuvre qui mériterait d’être plus connue : L’ ami Fritz ! Un thème comme celui de Lodoletta, pour m
ui est peut-être le meilleur qui soit sorti de la plume de l’ancienne amie de Carducci. § G. Pascoli, Carmina, Bologne, Z
enrichir des Memorie de l’aventurier Jacopo da Ponte, contemporain et ami de Casanova, et du Commento della Divina commedia
9 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
aire se soit plu à me classer parmi les Cubistes instinctifs. Que mon ami Apollinaire me permette d’exprimer ma pensée sur
anonyme que l’on sut bientôt dû à la plume du sénateur Rolandi-Ricci, ami intime de M. Giolitti. Cet article faisait ressor
ù les Allemands avaient créé à leur usage une « Côte d’Azur » en pays ami , et bien d’autres, sont agités par un fort parti
ue plus énergique et plus nettement anti-triplicienne. Du fait de ses amis comme de ses ennemis, le gouvernement se trouva s
t ? En tout cas, s’il doit y avoir un remaniement, M. Giolitti et ses amis en seront exclus. Le Ministère ne peut se modifie
r les ministres responsables, céder aux injonctions de leurs fougueux amis , c’était provoquer immédiatement la rupture avec
dans leur cœur et leur conscience. Il fallait, aux yeux de l’Europe, amie et ennemie, conserver la façade de concorde qui d
atriotes et de l’autre à la duplicité et aux manœuvres tortueuses des amis italiens de l’Allemagne. Le gouvernement a fait t
retirait son adhésion momentanée et se distribuait en d’autres partis amis des institutions. Enfin aussi, les courants de la
ns mystique, devant un dieu intérieur. Ses dernières lettres, que ses amis ont recueillies dans un petit volume, avec l’Exam
hnique consommée, mais non originaux, habiles imitations de son grand ami de famille, Giosuè Carducci. Quand il les publia,
rouvé depuis longtemps, au cinéma, la supériorité sur ce point de nos amis yankees, et il semble bien que nous nous divulgui
précité. À ces deux dates, ou nous ne nous connaissions pas, mon cher ami Guglielmo Ferrero et moi, ou nous n’avions causé
tion de ses qualités, mais dans les charmantes conversations avec ses amis , sur lesquels sa parole claire, ses conseils pers
— réellement et sans métaphore — il vivait content dans un coin, les amies de son petit monde littéraire lui savaient gré de
de méditation, sur son attitude intérieure en face de la guerre. Ses amis l’annonçaient comme un petit chef-d’œuvre, d’impo
s prophéties savent que le songe est vain. Que les Allemands et leurs amis fassent tout ce qu’ils veulent. Nous n’avons qu’u
ossibilités qui sont mortes avec lui. Alfredo Panzini Parmi les amis de Serra, il faut compter au premier rang — avec
qu’il faut beaucoup attendre de lui. Je veux bien l’espérer avec ses amis car ces contes ne s’élèvent pas au-dessus d’une h
au moment du danger. Les faits qui confirment les inquiétudes de ces amis inconnus sont désormais trop nombreux pour qu’il
és. Il a voulu devenir un acteur du grand drame. Et cela surprend ses amis comme ses détracteurs. Ces derniers, injustement,
mon temps, dirait le monsieur, et j’ai de quoi vivre. Veux-tu, ô mon amie , que je secoue un peu mon oisiveté en te faisant
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
mer duc de Milan, il fit tuer son neveu Jean Galéas. Il fut ensuite l’ ami et l’ennemi de Charles VIII, et l’ennemi de Louis
la protection de Ludovic, Léonard fut pour celui-ci un irréprochable ami , bien plus qu’un artiste asservi à un Mécène. Lud
arque, « l’humiliation de peindre une victoire des Florentins sur ses amis , les Milanais », contraste violemment avec l’accu
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
 ? Se déprécier est blâmable ; on ne doit confier ses fautes qu’à son ami et on n’a pas de meilleur ami que soi-même. Qui s
on ne doit confier ses fautes qu’à son ami et on n’a pas de meilleur ami que soi-même. Qui se blâme lui-même avoue qu’il c
et souvent tristes, de délectations et de tristesses éphémères, vite amis , vite ennemis, ce sont des enfants que les hommes
connaissance du caractère du maître et la connaissance exacte de ses amis . Or, le latin ne connaît le vulgaire de chaque pe
e occulte et virtuelle, mère et conservatrice des vertus et des vrais amis , des richesses et des grandeurs. IX. — À l’infami
Lippi et Botticelli (Frédéric Gittler) M. Teodor de Wyzewa est un ami des poètes de la peinture. Il n’a pas essayé, dan
12 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
ieu, bonsoir, aimez-moi bien. — Adieu, adieu, aimez bien votre petite amie . — Bonsoir, je m’endors, vous voyez bien que j’éc
bonsoir, je vous aime bien, aimez-moi de même ; dormez bien, mon cher ami . Et encore, vous qui êtes écrivain, dites-moi si
rase plus heureuse, plus délicate que celle-ci : — Bonsoir, mon cher ami , il se fait tard et je me sens toute prête à dorm
garçon faisant porter sa table de travail auprès du lit de sa petite amie qui a une variole en suppuration. Or, je sais par
epuis vingt ans ; je trouvais cruel, je trouvais laid (demandez à mes amis tout ce que j’entends par ce mot) de vous pousser
tous les côtés mauvais, c’est cette préoccupation constante de votre ami qui n’a pas quitté votre pensée un seul instant.
venu. Je tuais la soirée au dehors. Parfois, je trouvais au Café des amis que je m’étais faits là-bas. Ils me demandaient o
ais si brusquement, mâchant mon cigare avec tant d’agacement, que mes amis me regardaient en silence inquiets, et ne pouvant
toujours vécu, séparée de son père qu’elle avait toujours vu, et ses amies perdues, et perdues toutes les choses parmi lesqu
à Naples sous mon nom véritable. Je le regrettais en considérant les amis que je m’étais faits ici, toujours si obligeants
ait tout de suite deux fois plus, flatté, heureux de me posséder pour ami . Je lui racontai que je n’avais pas dit mon nom,
connaît point, Carrera lui demanda la permission de lui présenter son ami le vicomte de Gardanne. M. di Baiano me sourit fo
. Carrera, satisfait de sa journée, qui avait ajouté au nombre de ses amis un vicomte, et tout à fait féru de moi, me propos
aire. Je m’y appliquai, et je ne pense point que j’y réussis mal. Les amis du marquis, auxquels je fus présenté, ne semblère
ais chez son père, ou dans la rue près de moi, ou dans quelque maison amie . Toutes les expressions de son visage, tous ses s
près des recherches patientes, est toujours pour lui « la plus grande amie  ». Il n’hésite pas à souligner tout le mal que le
astien a promis la guérison au préfet, risquerait, s’il n’était pas l’ ami de l’empereur, de le faire considérer autrement q
. M. Apollinaire apprendra à beaucoup que l’Arétin fut un personnage, ami du Titien et de Michel-Ange : Dans le palais qu’
rible qu’elle soit ! dit-il le quatrième jour. Vous le voyez, pauvres amis , nous ne savons où est le Nord, où est l’aurore,
’ensemble constitue une des régions les plus malsaines de l’île ; les amis du texte seraient déjà mal venus à se plaindre. M
eure œuvre à faire. Il lui faut le repos dans la stabilité, D’ardents amis , un bel, un lumineux été, Un automne, avec lui so
s de ces esquisses, leurs qualités savoureuses et délicates. Tous les amis de l’art et les travailleurs seront reconnaissant
e où il dit : « Sa conduite fut toujours sans tache. Elle voulait des amis , jamais des amants… » Ne peut-on pas supposer que
ture, après tant de lettres passionnées où elle appelait Casanova son ami , son amant et son cher mari, et lui jurait à chaq
en pente, qui, tout droit, menait au sanctuaire… Mes baisers, — ô mon amie , ô ma Cypris, — mes baisers sont vos pèlerins !
l’horizon — qu’on aperçoit, quand on pose la tête sur la gorge de mon amie  ! XX. Nuage Au-dessus de son front, dans la
gentilshommes, conspiré pour rouvrir aux Médicis, ses maîtres et ses amis , les portes de Florence. Il fut mis à la torture,
régionalistes, mais ils sont tombés bientôt, comme leurs confrères et amis , dans la fabrication de la littérature de rapport
èmes. Il avait publié de son vivant le Piccolo Libro Inutile, que ses amis seuls avaient admiré. Umberto Saba, juif de Tries
ce, un Journal de bord qui lui a valu de recevoir dernièrement de ses amis la lettre recommandée suivante, que je traduis :
nt point de l’angoisse avec laquelle tu songes à l’introuvable divine amie vêtue de mélancolie violâtre. [Ici l’écriture cha
romis de se corriger. M. Carrà, qui est un peintre futuriste dont ses amis disent beaucoup de bien, me paraît être encore le
ent, fit le geste de vendre chèrement sa vie pour défendre contre des amis sans pitié sa compagne élue, mais l’émotion avait
les grandes lignes tous ensemble dans un grand café de Milan, où mes amis fêtaient notre arrivée dans un succulent dîner — 
enaissance italienne : Isabelle d’Este, marquise de Mantoue, lettrée, amie des arts, collectionneuse, dictant au Pérugin, à
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
es entreprises. « Pour en revenir à la tentation, je répète, mon cher ami , que le récit biblique est effrontément falsifié.
de la terre, des êtres animés et des esprits. Et vous savez, mon cher ami , que connaissance est puissance et qu’être Dieu s
is une de mes chances de retour au Ciel. Mais je crois, mon excellent ami , et je vous le dis, bien que vous autres hommes n
donnent une fois encore leurs fruits. Alors, — croyez-en votre vieil ami le Démon, que des serviteurs jaloux veulent faire
me regardèrent à peine à la dérobée, en souriant, comme si j’étais un ami d’enfance qu’ils eussent quitté peu d’instants au
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
ait même essayer de le comprendre, le sentiment de posséder à Bâle un ami qui avait saisi la portée de ses travaux suffisai
r la première fois par M. A. Zardo, écrite par Dondi, le médecin et l’ ami de Pétrarque, le lendemain de la mort du poète. O
y a quelques années…, etc. » Pétrarque, assisté probablement par son ami Dondi et par d’autres, n’a pu de toute façon mour
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
la naissance de l’esthéticien Fr. Th. Vischer, ses admirateurs et ses amis projettent la publication de plusieurs ouvrages.
Robert Vischer. Elles sont adressées à de très proches parents, à des amis d’enfance, à David Strauss, déjà célèbre par la p
était à Sorrente en même temps que Nietzsche ; mais les deux anciens amis ne se voyaient plus. Nietzsche vivait volontiers
16 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
ion with the husband. Elle m’a répété plusieurs fois que si un de ses amis venait lui conter tout ce qui nous est arrivé, el
toure. Elle est tellement au-dessus des autres femmes qu’aucun de ses amis ne peut avoir l’idée de la négliger. On peut être
17 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
tel, sans trop d’histoire naturelle comparative, M. Mantegazza est un ami de la femme, à la Michelet ; il pense toujours qu
t. En ouvrant le tombeau des Atrides, Léonard a attiré sur soi et ses amis les vieilles malédictions, et la Ville morte a tu
lle de Francesca. Il convient de féliciter hautement le Louvre et ses Amis de cette acquisition, L’homme et l’œuvre sont con
ncore s’arracher à une certaine imitation formelle et phonique de son ami d’Annunzio ; peu de chose, sans doute, mais un le
hui tel qu’au temps de sa jeunesse. Les éloges que lui prodiguent ses amis sont déplacés ; il n’avait pas de génie et sa mus
our accabler ce vieillard de soixante-quinze ans, dont il avait été l’ ami , et qui restait debout avec sa belle énergie d’an
arini l’ont emporté, et la place Elliptique reste au grand poète. Les amis de Cavallotti se proposant de prendre leur revanc
ertain Paul Fréart de Chantelou, gouverneur du château du Loir, grand ami de Nicolas Poussin, qui avait été plusieurs fois
e quoi croyez-vous que ces deux gaillards causent, l’envoyé du roi, l’ ami du Poussin, l’homme de goût, et le « divin maître
18 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
bolenfi (1897) qui ne devraient pas manquer dans la bibliothèque de l’ ami Guillaume Apollinaire. Guerrini écrivait aussi de
xandrie d’Égypte (1888), a vécu longtemps à Paris, où il comptait des amis dans les groupes littéraires du quartier Montparn
de ce qu’exige leur suprématie navale dans l’Adriatique. Mon brillant ami M. Victor Bérard, qui pourtant est bien, je crois
que, dès leur apparition, ses poésies, promptement répandues par ses amis , trouvaient de chauds admirateurs, sa corresponda
par Leclanché On retrouve les lettres adressées par Michel-Ange à son ami , et dans Michel-Ange poète et épistolier de M. Al
e pas ; fais-lui bon visage et dis-lui que je l’ai donnée à un de mes amis . Il suffit. Sache qu’ici elle m’a coûté dix-neuf 
ait pas ici avec deux carlins. Une autre raison est que je n’ai aucun ami à qui me fier, et que je ne peux m’occuper d’une
ges. Ils sont très beaux et très bons. J’en ai donné quelques-uns aux amis et le reste est pour la maison. Rien d’autre à te
conviennent au rang des personnes qui les habitent54. À quelques amis XVII. Au prudent jeune homme Gherardo Perin
Gherardo Perini 55 , à Pesaro. [Florence, février 1522.] Tous vos amis et moi avec eux, mon très cher Gherardo, et plus
s capable de la faire. Je vous dis seulement ceci : que nous tous vos amis sommes également en bonne santé ; et tous nous no
ut. XXI. À messer Luigi del Riccio65, mon cher Seigneur et fidèle ami . [Rome 1542.] Messer Luigi, mon cher Seigneur
ouveaux (Plausi e Botte) qu’on va réunir en volume par le soin de ses amis . Esprit solitaire et tourmenté, avec un mélange d
n et toujours M. Chiaraviglio, le gendre du député de Dronero. Si les amis de M. Giolitti, M. Schantzer ou M. Facta, interve
lé quelque affaire de famille, vu M. Enrico Ferri ou tel autre de ses amis . Puis il repartait pour Cavour ; et c’étaient ses
entiques. Cette démonstration, habilement faite, devait permettre aux amis de M. Giolitti, sinon à M. Giolitti lui-même, d’a
uer quelques-unes de ses intentions même au représentant d’un journal ami . C’est la diversité dans la collaboration qui fai
it connue pour ses excellentes relations avec M. Giolitti et avec son ami , le marquis Garroni, qui fut le dernier ambassade
et de son originalité. M. Borgese, qui n’était pas avant la guerre un ami de l’Entente, a été un des premiers à faire cette
ispositions arrêtées, et cela est surtout vrai quand il s’agit de nos amis italiens, dont l’impressionnabilité est en rappor
ici de ses poésies. 64. Tommaso dei Cavalieri. 65. Un des meilleurs amis de Michel-Ange. 66. Saint Mathias, successeur de
19 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
’homme à la couleur fausse et au dramatique conventionnel ; il sera l’ ami de Sandrart, qui écrira : « c’était un excellent
e avec les grands », — et de Baldinucci, qui relatera : « quant à mon ami intime et proche voisin à Rome, le très célèbre C
qui soigne la mère, est devenue l’esclave de ses caprices cruels. Des amis qui l’entourent, les uns tombent sur la voie âpre
Lermontow, tombé, à l’instar de Pouchkine, sous la balle d’un de ses amis . G. Antona-Traversi : La Scuola del marito
es pages de la préface je tombe sur ces lignes : « Je ne suis point l’ ami des traductions en vers, mais j’aime beaucoup les
es, je crois me trouver vis-à-vis d’une force dont j’aimerais que mes amis et confrères de Bologne pussent largement profite
rle beaucoup de notre admirable musée, en ce moment. Il a de nombreux amis  ; il n’en a pas de plus dévoués que nous. Aussi n
e goût pour les compositions symboliques que développaient en lui son ami le Vinci et son admirateur Palmieri. Les première
a physionomie de Marc le Lombard, tout souriant d’avoir rencontré son ami , jette une note attendrissante. Une foule immense
istre, maintenant, on va dîner. — Mais, les affaires ? — Demain, cher ami , demain. Le dîner brûle, mais l’État, non.” Cette
e sera sans doute en ce dernier sens. Poussé par une illusion que ses amis n’osèrent pas contrarier, M. d’Annunzio s’avisa d
volté de la dernière heure, un révolutionnaire des plus à craindre, l’ ami de la Foscarina reprend toujours le dessus. § Les
assadeur-là n’est autre que le bailly de Breteuil55 qui devait être l’ ami elle protecteur d’Hubert Robert qui avait pris, a
uloir réaliser de belles éditions qui demeureront incomprises, sera l’ ami de Jean-Jacques, de Chamfort, de Voltaire et de F
ernelle, Saint-Non décide de pousser plus loin, en compagnie des deux amis . Il voit d’abord Naples avec Robert. À son retour
me. La foi, qui a décidément jailli sur le fond mystique que tous les amis de E. A. Butti lui connaissaient, peut avoir cepe
20 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
ue le Loup bien nourri ne fera plus aucun mal et qu’il vivra comme un ami parmi les hommes. Cet apologue est admirable. Il
ut ne pas admettre ses opinions, mais, le livre fermé, on demeure son ami  : M. Ojetti vous a donné une heure de distraction
ecanati, en mourant, avait laissé ces papiers précieux à son meilleur ami . M. A. Ranieri, qui, à son tour, en faisait un le
ses biens, complètement illettrées. Les deux dames respectables, plus amies des prêtres que la grande littérature, enfermèren
21 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
t libre talent. Il a été le type parfait du révolté intellectuel. Ses amis de la première heure l’abandonnèrent ou le trahir
véritable deus-ex-machina de l’action, sauva plusieurs fois son jeune ami , Duccio della Bella. Et celui-ci connut mille mor
nitiative de la France, encore une fois, est suivie dans la péninsule amie . G. A. Cesareo : Francesca da Rimini, Remo San
tions, des conseils, que l’Auteur a arrêtés pour lui-même ou pour son ami Romain Colomb, en vue probablement d’une nouvelle
e 247). Je voyageai à cheval avec un parasol et trois de mes nouveaux amis . voyageais (Page 248). Il s’est mis à dire que
ssi que M. Antonio Fogazzaro ait cru devoir commémorer la mort de son ami dans une lettre qui restera parmi les pages les p
cette dédicace : TO MILADY ANGELA G. 4 Xbre 1811. Il offrait à son amie italienne, Angelina Pietra Grua19, ce livre qu’il
était point façon de parler, quand il écrivait, cinq ans après, à son ami Crozet20. Par hasard, en 1811, je devins amoureu
dans une lettre qu’il écrivit plus tard, le 30 septembre 1816, à son ami Crozet31 : … Battu par les orages d’une passion
ture entre tout à coup dans une phase décisive. Beyle et son meilleur ami , Crozet, échangent à son propos quantité de lettr
œuvre, et qui presque en rougit, on le retrouve dans une lettre à un ami , du 1er décembre 1817. (Cor. inéd., I, 52.) Il y
onné les soins les plus minutieux et les plus ennuyeux à un excellent ami , je risque d’incendier mon rendez-vous avec la mu
les sociétés qui se partagent les dépouilles de l’État, — ce sont les amis de Crispi, champions dévots de la monarchie casqu
istence : c’est qu’il ne pouvait plus faire face aux exigences de ses amis . Les incidents extra-parlementaires, ceux qui se
e. Tibère s’exile à Rhodes. Il y passe huit ans, pendant lesquels ses amis ne cessent d’agir ; et, finalement, Auguste exile
Le drame a été joué à Rome et à Naples, et finalement à Florence. Les amis du poète ont fait tous leurs efforts pour le « re
’a pas su inventer une belle fable pour représenter cet instinct. Ses amis , parmi lesquels il y a un journaliste romain qui
22 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
bre des peupliers, sur le parvis rustique, à dire des contes avec ses amis , dans le calme du midi. Cette compréhension profo
, numéro 63, mars 1895 Théâtre et conférences. Les Escholiers. L’ Ami , pièce en un acte, de M. Marco Praga (M. A. Thala
hant à l’invraisemblable. Le comte Georges, chargé par la mère de son ami intime, mort d’un accident de cheval, de mettre o
23 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
M. Rutelli vient d’être inaugurée, aux grands cris joyeux d’une foule amie de l’art ; la presse approuva cette rude manifest
llent. Il avait rencontré un grand génie, Giuseppe Verdi, il en fut l’ ami le plus intime et le plus dévoué : pour lui il co
unement l’envie de danser autour une toute petite danse ironique. Mes amis de Milan, de Florence, de Rome, de Naples… (voit-
un auteur lu dans les villes les plus intellectuelles d’Italie ?) mes amis étaient un peu interdits par cette chance qui pré
arco Cybo, s’arrachant aux bras de Nicoletta, monte rapidement voir l’ ami qui se meurt, on entend un bruit sourd, le choc d
l’état que pour faire confidence de ses escapades. Il était l’intime ami de Massimo d’Azeglio, chef d’un des premiers mini
24 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
et ses livres, il est dit, p. 656, que « Stendhal sollicitait de ses amis la critique de ses œuvres, qu’il recevait de très
i, p. 194-205, donné comme une « traduction du cahier du comte », son ami , et imprimé entre guillemets, était pris dans le
prière, de l’école française du xve  siècle, donné par la Société des Amis du Louvre10, et la tendre figure d’Ange en adorat
fermé. C’était la misère. Sans réfléchir, sans écouter les conseils d’ amis dévoués et clairvoyants, il accepta les offres qu
enthousiasme. Il fallait vivre. « Venir en Italie18, écrit-elle à son amie Mme Pauline Du Chambge, pour guérir un cœur bless
t réussie, lourde et vaine. Cependant, Corrado Brando peut dire à son ami  : Je suis prêt pour mon but, pour prendre sur mo
figure s’élève ensuite, belle et forte : celle de Giulio Cambiaso, l’ ami fraternel de Paolo Tarsis, le compagnon héros dés
iles, faites de bruits et d’air, de son appareil, les fantômes de son ami mort, de Vana morte, et de celle qu’il aime et qu
s perfides, de beautés surhumaines ; de l’autre côté, il y a les deux amis héroïques, vainqueurs jusqu’à la mort. La petite
e pareils sujets, Longhi connut vite la faveur du public. Il eut pour ami Goldoni ; il eut pour admirateur Carlo Gozzi ; et
la seule, joie de sa vie. Mais les puissants, princes ou ministres, «  amis des artistes », ne sont que des pharisiens amis d
inces ou ministres, « amis des artistes », ne sont que des pharisiens amis des plus « arrivés » ; le prince ne répondit même
ise. Ils la saluent au passage, souvent de très loin. Seuls d’anciens amis lui demeurent fidèles, les romantiques dans la pe
r Dembrun, d’une admirable beauté mâle, d’un cœur sincère et fervent, ami sûr, amant loyal. Tous deux riches, libres, heure
tre couple est le couple d’amants-forçats que forment Juliette et son ami Pierre. Juliette est « une petite fille qui croit
ore les nacelles, les sérénades, « très pont des soupirs » et que son ami qui ne l’aime plus contemple avec désespoir : n’e
25 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
s dont s’alarmait la prudente affection de Flaubert ; comme son jeune ami lui parle de malaises physiques et moraux, de fat
tier, Marie, Michèle de Burne sont de délicates créatures, les jolies amies d’un instant, les tendres ou coquettes consolatri
fond de sa solitude maussade de vieux célibataire sans famille, sans amis , sans affections, rêve du bonheur qu’il a manqué
elle l’avait regardé d’une curieuse façon… — Comme vous voudrez, mon ami . Si vous êtes fatigué, retournons. G. D’ANNUNZ
s avoir fait secrètement étrangler l’amant de sa femme, qui était son ami , il le fit embaumer, et ordonna qu’on le plaçât t
connais par mon expérience personnelle, par toutes les confidences d’ amis et de camarades, les obscurs comme les plus envié
mouvement impérialiste-nationaliste de M. Enrico Corradini et de ses amis . Ailleurs7, j’ai montré en détail et en synthèse
ienne l’âme du poète-philosophe anglais ; et il vient d’envoyer à ses amis le dernier volume du Convito, ce recueil de lyriq
Convito, ce recueil de lyriques Amori ac Silentio sacrum, dédié à ses amis et à la Poésie. Toute la mélancolie de l’Esthète
26 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
ssacres des Arméniens, mis en œuvre pour rendre impossible le sultan, ami de l’Allemagne. Le gouvernement des jeunes-turcs,
pendant quatre dimanches consécutifs. Il m’a semblé curieux, mon cher ami , de vous envoyer ces quelques renseignements sur
Lotto, et le portrait de poète florentin Giovanni della Casa, par son ami et collègue à la cour pontificale Sebastiano del
nt réunies. J’ignore quel est le personnage représenté, sans doute un ami du Cardinal del Monte, le protecteur du Caravage
véniles nous ont été conservées par le zèle un peu intempestif de ses amis et de ses biographes. En 1843, — il avait vingt-q
ouvelle conçu par Ruskin. Cette biographie courte et complète, par un ami qui ne partagea jamais les doctrines de l’apôtre,
n antique : « Toi aussi, tu tomberas dans la tromperie commune, ô mon ami , mon frère, car tu estimeras davantage un sou env
uant du doigt quelques passages de ses lettres à ses camarade, frère, ami , mère, grand’mère, tante et maîtresse, — j’ai nom
tre juge à tous ? De grâce, expliquez-moi ce dédain avec lequel votre amie soudain vous légua au précepteur de ses enfants,
l vit se lever plus éclatant le soleil de la gloire pour son ancienne amie et son généreux rival. Un rayon en venait jusqu’à
regretté et rendent également tardive l’expression de l’hommage qu’en ami fidèle de l’Histoire nous devons à cette mémoire.
ceptique sur l’avenir de la ligne de Djibouti à Addis Abeba. Nos bons amis italiens ont peut-être raison de faire montre de
se d’offrir le « mesquin αντίδωρον » de son Livret de chants : et son ami , sans que la bienveillance affectueuse ait altéré
é aux fonctions de secrétaire étranger de la Royal Academy ; il fut l’ ami et le compagnon constant de Johnson, de Sir Josua
dée sur la cassette royale, et c’est dans une église anglaise que ses amis , à sa mort, élevèrent un monument à sa mémoire. P
femmes lui apparaissent comme des créatures dignes de respect et les amis comme des gens sincères incapables d’aucune trahi
ki. Tome LXXX, numéro 292, 16 août 1909, p. 717-722 [722]. […] — Les Amis des monuments d’Italie publient : Sienne monument
s y trouvaient, a J’ai naturellement refusé », écrit Nietzsche à son ami Gersdorff (11 février 1874). […] Memento [extr
rtout, d’idées trop sérieuses. Il baisa donc, sur ses beaux yeux, son amie en larmes et, lui ayant donné rendez-vous pour la
a garde une femme qu’il aime passionnément, Mevena, la fiancée de son ami le capitaine Rogier. Mais, tandis que Drogon se l
rances, jusqu’au moment fatal où, vaincu enfin à son tour, il tue son ami et fait du même coup mourir Mevena. Le sort tragi
eurtrières de cet homme contre l’amant qui fait des armes avec lui en ami , et qui, un jour, acculé, le tuera. Il est étonna
27 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
ront leur saison dramatique. Sur la demande de leurs souscripteurs et amis , ils donneront Alleluia, le drame de Marco Praga
s libertins cérébraux qui séduisent une dame pour se pavaner avec les amis du cercle. Rien de cette passion charnelle, aveug
n’a pas de peine à reconnaître sous le masque les traits d’une de ses amies , qui justement a été chez elle le même jour pour
, juillet 1902, p. 277-281. Ugo Ojetti : Le vie del peccato Mon ami Ugo Ojetti vient de publier un recueil de nouvell
agiques ; l’auteur ne semble pas croire à la tragédie, quoiqu’il soit ami de M. d’Annunzio. Et alors son livre est frais, v
ment universel et de l’épreuve des années. Il est remarquable que cet ami des plus grands artistes, ses contemporains, leur
il eut, comme critique d’art, une influence. Ingres et Delacroix, ses amis , l’écoutaient. Personne ne connut mieux que lui l
28 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
 : son patriotisme, son futurisme et sa sympathie pour la France. Ses amis de Paris savent apprécier son énergique propagand
la social-démocratie, quelques sénateurs momifiés et les catholiques, amis de l’Autriche et soutiens inébranlables du princi
e pourraient résister à la poussée de l’opinion publique et seuls les amis sincères de la paix, ceux que leur idéal amenait
embre 1915, p. 166-170. La franchise réciproque est le fait des vrais amis . Maintenant que l’Italie est devenue officielleme
des vrais amis. Maintenant que l’Italie est devenue officiellement l’ amie de la France, les Français ne sauraient prendre d
si celui d’une quantité d’Italiens. Haïr n’est pas italien. Et si mes amis allemands m’ont mis au ban de l’Empire, ce n’est
. J’ai conscience de devoir accomplir cet acte surtout comme Italien, ami et admirateur — aujourd’hui plus que jamais — de
29 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
ur spéciale du jeune maître, dont il avait été dès l’enfance le grand ami et avec qui il avait échangé maint horion, devait
Zio Pera était déjà prévenu de l’arrivée du maître ; un bandit de ses amis qui se trouvait lui aussi à la fête, avait précéd
faires, — c’était dans une intention toute spéciale. Un soir les deux amis se tenaient dans la chambrette d’Antine. Ils n’av
it mal ; d’un bond, il quitta la fenêtre, et fut debout à côté de son ami  ; ils se tenaient droits devant ce fond mystérieu
semble pas qu’elle soit en scène ; on la dirait chez elle ou chez des amis qu’elle visite ; elle donne l’apparence du vrai a
gnols de son magasin et de remplir sa caisse en semblant la vider. Un ami plus favorisé m’ouvrit, pour un soir, les portes
». Il s’empare, par exemple, des mémorables indications données par l’ ami de Scipion l’Africain sur le capitalisme qui se d
mmée Evirallin. Or, au mois de janvier 1808, Lamartine écrivait à son ami de Virieu : « J’ai lu Ossian ces jours-ci, et, ne
que le “très fécond” auteur de Fécondité eut pour l’auteur de Bel Ami . Nous parlâmes du grand mort, de ses dernières a
s criminologiques dont notre temps est si fier et que M. Ferri et ses amis rapportent, non sans quelque raison, au mouvement
serait, à ce qu’on prétend, bien vieille pour entretenir des rapports amis avec la seconde, et celle-ci ne pourrait que perd
un homme à qui je voudrais ressembler, bon poète, bon philosophe, bon ami , honnête homme, en un mot tout ce que je voudrais
de Méditations dans sa correspondance. Il écrivait à cette date à son ami de Virieu : « Je t’ai parlé de mes Méditations po
chose que je méditais depuis six ans : un chant sur la mort de notre ami Socrate. Le Phédon m’y a fait repenser. Cela va c
ux, la conversation intérieure avec la nature, une femme à adorer, un ami à entretenir, de longues nonchalances de corps pl
30 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
ns de détention au donjon de Vincennes, en sort par l’habileté de ses amis et de quelques-uns des siens qui, en cette occasi
nduit au château de Glatz, s’était fait, dès son arrivée, de nombreux amis parmi les officiers qui le gardaient, et qui l’on
bles, sa bibliothèque devenaient la proie de ses créanciers. Ses deux amis , qui étaient aussi les miens, étaient pauvres, et
n seulement pour lui, mais encore à sauver l’honneur du vieillard son ami . Laurent, fermant les yeux et laissant communique
mais autrement ; c’est ce que nous soutenons. Armand Baschet, que ses amis appelaient familièrement le Doge, pour ses beaux
ière de bergeronnette qui se joue inconsciente des pièges tendus. Son ami est en Hollande, où il obtient, grâce à la cabale
ent parfumés de jeunesse tout épanouie en amour : « Bonsoir, mon cher ami , il se fait tard et je me sens toute prête à dorm
ces Lettere di Donne, nous voyons que nombreuses furent les vieilles amies de Casanova, qui l’entourèrent de soins et s’occu
i dire sur un pied d’égalité ; beaucoup d’entre eux ont plus de vrais amis dans le peuple que dans la bourgeoisie, car les t
rivent bons. Casanova, qui les trouve tous délicieux, en envoie à ses amis , à Venise, à Varsovie, à Turin. Il en a reçu plus
oir le lendemain et me mena chez le comte de Peralada… » — Un de mes amis , interrompit brusquement le capitaine général. — 
du jugement que portait notre indiscret conteur sur l’ancêtre de son ami , car les lignes qui suivaient étaient celles-ci :
il étonne quand on a en mains le livre qu’a publié, sur son œuvre son ami le Dr Dufay. Une fois sa recherche faite, il pass
conflit avec le Royaume-Uni. Cette lettre veut éviter de froisser nos amis d’au-delà des Alpes que nous savons susceptibles
Ameno, pour aller contempler du large le Zale. Sous la direction d’un ami de la veille, capitaine au long cours, deux compa
près une heure, au plus, de navigation, nous sommes, au dire de notre ami , à quatre kilomètres du cap, et sur la perpendicu
 XCVIII, numéro 361, 1er juillet 1912, p. 219-224 [220-221]. Mon cher ami , Voulez-vous me permettre de résumer le petit dif
de M. d’Annunzio où celui-ci désavouait M. Manzoni. Croyez, mon cher ami , à mes meilleurs sentiments, ÉDOUARD DUJARDIN.
tôme ne dit rien. La mode menait par-delà les Alpes Matecoulon et ses amis . C’est ce qui nous permet de les appeler touriste
sez puissant pour inspirer à celui de tous les saints qui fut le plus ami de l’allégresse de la nature le choix de l’affreu
la mort. Son âme oscille de la sorte, entre la mort lointaine de son ami Pascoli, le grand poète de sa patrie redressée da
a treize ans le silence ; puis, incité par le poète Arrigo Boïto, son ami , il reprend soudain la plume pour écrire Otello (
a un confesseur qui est à la fois un philosophe, un astrologue et un ami dévoué. Elle rencontre un amant idéal, qui ne lui
vite et les cherche à la fois, ne demandant qu’une grâce « à tous ses amis , à tous ses parents proches ou lointains » : qu’o
crétion. Ce n’était point cela : elle était allée à Sorrente voir une amie , à ce moment-là elle ne m’avait pas encore remarq
31 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
r ; on le voit dans le Nigromant de l’Arioste, et Bandello écrit à un ami  : « Vous souvient-il d’un de nos camarades qui, v
ourd’hui, Qu’un sentiment nouveau me presse et m’aiguillonne ! Un ami rencontré, ma force et mon appui, Occupe ma pens
e nom et qu’on appelle Amico di Sandro, parce qu’on croit qu’il fut l’ ami de S. Botticelli. Longtemps encore, cette époque
t lecture, simplement, et, dit-on, admirablement, à un petit cercle d’ amis intimes, sensibles à leur charme délicat, sincère
et de lui-même, sans pensée ni sentiment d’aucune sorte. En vain des amis le pressèrent-ils ; il ne répondait pas lorsqu’il
lassée, la Vie, sa mère, sur mon genou A posé pour qu’il devienne mon ami et joue avec moi ; Si seulement mon cœur pouvait
omba, entouré des soins dévoués de sa mère, de son frère, de quelques amis , le dimanche de Pâques, 9 avril 1882. Sa vie se d
mères ! clament les plus enragées ; épouses jusqu’au : halte là, mon ami  ! concèdent les autres. Et c’est là un féminisme
Je regrette de ne pas pouvoir associer ma sympathie à celle des «  amis  » qui ont réuni en un volume : Viburna, les vers
périt dans le naufrage d’une petite chaloupe qu’il montait, avec son ami Williams et un mousse, entre Livourne et Lerici.
mbourg, il y rencontra John Cam Hobhouse, plus tard lord Broughton, l’ ami et l’exécuteur testamentaire de Byron. Hobhouse l
a, en disant que c’était le droit de la veuve de les garder. Les deux amies remontèrent en voiture et firent un trajet de prè
aime et ils sont trop pour qu’on ne retrouve point parmi eux quelques amis . Notre temps ressemble au temps d’Horace : Ce pe
du mot : génie, appliqué en général par chaque critique à ses propres amis , ou autant que du mot : héros, décerné comme une
vous appela, bienveillants et propices, accueillez-nous, arrivant en amis près de vous, amis. » La sagesse de l’humanisme
eillants et propices, accueillez-nous, arrivant en amis près de vous, amis . » La sagesse de l’humanisme se retrouve chez le
a volontairement à Rhodes et qu’il fallut huit ans pour permettre aux amis de Tibère de prouver la culpabilité de Julie et p
32 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
énie qui illuminera les derniers jours du xixe  siècle. Des musiciens amis , de même école, de même chapelle ou petite chapel
e couverture symbolique d’un goût adorable. M. Quaglino, — il est mon ami , et j’ai presque le devoir d’en parler mal, — écr
s émotion les plus tragiques événements qui accablent son pays et ses amis , ainsi qu’un homme qui les rencontrerait par hasa
la pâle Hostie de l’autel, mais comme un homme qui prend congé de ses amis . Cinq ans après, le jeune Raphaël la peignit à Fl
ersaires de Savonarole venaient pour voir sa témérité confondue ; ses amis , dans l’espérance qu’un retentissant miracle rend
foule était ivre de colère ; on eût dit que Savonarole n’avait plus d’ amis  ; ses anciens partisans ne le soutenaient plus ;
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVIII »
ce naturel qui la distingue, et sans vanité, que quelques-uns de ses amis lui avaient dit qu’elle faisait peur. Cela est vr
34 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
donne sa maison, son mari et un petit enfant, pour suivre le meilleur ami de ce pauvre Maurice Clarena, lequel, dans le rav
er. Il avait tout fait préparer pour moi et je fus reçu par un de ses amis , le Dr Kittel, dont je tiens aussi à reconnaître
arfois signées « B. » La correspondante se désigne par : Votre petite amie , ou elle termine par cette phrase, demi sourire,
chés sur vous. Encore, si j’étais damnée, je serai votre très dévouée amie Henriette de Schnetzmann. » Casanova avait vingt-
retrouvant Casanova chez lui, ce fut comme si je retrouvais un vieil ami , qui m’était déjà parfaitement connu, avant d’ent
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
ment son moi passé, sous forme de son propre « moi » ou de celui d’un ami cher. Et il a dû souffrir de ses défaillances, po
36 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
ment musicales. Les lecteurs du Mercure savent que dans La Néva notre ami Louis Dumur a tenté, lui aussi, non tout à fait s
37 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
out fait et en poche, qu’ils peuvent communiquer aux leurs et à leurs amis . Aujourd’hui, si la question de l’antique s’est d
38 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
est avec M. Giovanni Verga, dont il est, depuis de longues années, l’ ami très intime, le représentant le plus en vue du na
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