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1 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
hl, de la Sorbonne, W. J. Ashley, de l’Université de Birmingham, et l’ Allemand W. Wundt, de l’Université de Leipzig. Le numéro d
e des Hautes Études, O. Lodge, de l’Université de Birmingham, et de l’ Allemand G. von Below, de l’Université de Fribourg-en-Bris
rsité de Lausanne, W. J. Collins, de l’Université de Londres, et de l’ Allemand E. Mejer, de l’Université de Berlin. Tous les ess
itement, cela revient à dire que les gouvernements austro-hongrois et allemand sont les fauteurs de l’agression. Il ne convient
ositions de l’Italie, anxieuse d’éviter les méprises de la diplomatie allemande qui s’est si gravement abusée sur les déterminati
nde, à une paix germanique ; elle ne doit pas oublier que l’hégémonie allemande prétend reconstituer le Saint Empire Romain, qui
nducteur fût parvenu à comprendre le sens de la menace, prononcée à l’ allemande , ainsi : « Che fais fous apprentre ? » C’était un
ra davantage à rester à l’étranger. Anvers, dirait-on, héberge plus d’ Allemands que de Belges. Tout le long de son récit, Barzin
g de son récit, Barzini souligne finement l’inconscience du militaire allemand , imbu de la force brutale, ne comprenant rien à l
endre sur la valeur des termes. Ce n’est pas la première fois que les Allemands nous révèlent que le mot arrestation a pour eux u
l Mercier. L’aventure arrivée à Barzini l’éclaire singulièrement. Les Allemands n’ont pas le sens du ridicule : ils sont grotesqu
re à leur guise, sans subir l’oppression de la soi-disant supériorité allemande , luttent-ils vaillamment à nos côtés ! Car la lut
contraires à une intervention armée, combattent l’esprit de l’empire allemand . Sur ce point l’accord est général entre les espr
indissoluble confiance en l’avenir. Aucun regard ne s’arrête sur les Allemands . Sans s’être donné le mot, par, instinct, la foul
rochent, ils rencontrent une impassibilité glaciale, inaltérable. Les Allemands détestent Bruxelles. Ils la trouvent docile et la
serve chez l’envahisseur. Il montre l’extraordinaire inconscience des Allemands , qui font le mal sans le savoir, sont véritableme
x survivants des populations qu’ils viennent de massacrer. Le peuple allemand en général jouit du privilège enviable d’être inc
it, fournir des produits de valeur égale à des prix aussi bas que les Allemands et ils ne voulaient pas s’exposer à se trouver, l
s événements se précipitaient : c’était l’invasion de la grande marée allemande arrêtée un moment par la résistance héroïque des
Haines héréditaires contre l’Autriche, antipathie naturelle pour les Allemands rogues et autoritaires, sympathie de race et de t
ns le même sens. Quelques érudits, qui ne juraient que par la science allemande , quelques économistes pour qui la prospérité maté
uelle que l’espionnage perfectionné et la propagande systématique des Allemands avaient contribué à créer. On connaît les procès
es, consciencieusement, en prenant des notes, à l’instar des docteurs allemands . Dois-je l’avouer ? Il m’a paru plus long que les
loyale n’hésitera un instant entre le parti des Anglais et celui des Allemands . Un article de Giulio Provenzal dans le premier n
a plus d’esprit démocratique chez le peuple russe que chez le peuple allemand , tandis que si l’on se place au point de vue du d
l’Allemagne apparaît comme le pays le plus démocratique d’Europe. Les Allemands , en se battant contre les Russes, croient lutter
des considérations très intéressantes sur l’activité déployée par les Allemands aux États-Unis pour faire connaître et apprécier
es Français. La grande majorité des Américains admire la civilisation allemande . Pourquoi ? Parce que l’Allemagne n’a pensé qu’à
que nos universités ont été peu à peu accaparées par des professeurs allemands , nos théâtres ont eu des directeurs allemands, no
ées par des professeurs allemands, nos théâtres ont eu des directeurs allemands , nos ateliers des chefs et des ingénieurs alleman
eu des directeurs allemands, nos ateliers des chefs et des ingénieurs allemands . Le peuple américain s’est habitué à les considér
otisme ce rappel des valeurs supérieures. Quatrième point : à bas les Allemands  ! oui ; mais ne tombons pas, comme les Français t
nous lançons pas à la chasse, plus facile encore, de tout ce qui est allemand . J’ai lu dans un journal la lettre d’un individu
’un individu qui voulait qu’on enlevât de notre répertoire les œuvres allemandes , comme les Allemands ont enlevé du leur les œuvre
it qu’on enlevât de notre répertoire les œuvres allemandes, comme les Allemands ont enlevé du leur les œuvres italiennes de Pucci
que nous avons vu professer par d’éminents historiens et théoriciens allemands  : le véritable État de l’avenir n’est pas l’État
ion que Bergson a faite de sa théorie de la mécanicité à l’État-major allemand et de celle de l’élan vital à l’État-major frança
ils se sont assimilé certaines des qualités d’ordre et de méthode des Allemands . À la suite de la protestation de la Tribuna, M. 
M. Destrée a quitté son arrondissement en août 1914, au moment où les Allemands y arrivaient ; il n’a pas vécu en Belgique sous l
lemands y arrivaient ; il n’a pas vécu en Belgique sous la domination allemande , il ne parle de l’état de son pays depuis l’occup
âches de la vie ordinaire et normale, comme l’ont fait et le font les Allemands , d’une part en prévision de ce qui arrivera après
la guerre à Kant ou à Hegel, voire à Luther ou bien à l’« infâme race allemande  » entière, à l’instar de ceux qui chantaient autr
ien du parti socialiste italien, comparant l’attitude des socialistes allemands et français en face du fait nouveau, oppose aux v
ttaques auxquelles la réunion de Zimmerwald donne lieu dans la presse allemande le silence prudent observé en France. En France,
lui d’une quantité d’Italiens. Haïr n’est pas italien. Et si mes amis allemands m’ont mis au ban de l’Empire, ce n’est pas une ra
d’où sont nés Kant et les maîtres de l’Homme nouveau. J’envie à l’âme allemande d’hier et d’aujourd’hui ses magnifiques élans de
elles douleurs sans trouver d’autres paroles que celles des officiers allemands en Belgique : « C’est la guerre ! » À l’étrang
ds en Belgique : « C’est la guerre ! » À l’étranger. Le socialisme allemand s’après une lettre d’un professeur d’Université i
e député Morgari de reconstituer cet organisme détruit par l’invasion allemande et ce projet n’ayant pas abouti, M. Morgari a cru
cialiste, l’on ne peut pas ne point admettre que la social-démocratie allemande — et les deux ou trois exceptions de Liebknecht,
ystiques du socialisme, desquels tu es, une énormité. Les socialistes allemands , avec leur puissante organisation, qui comprend 1
réserve d’autant — c’est la fortune des syndicats —, les socialistes allemands avaient réussi à se faire passer dans le monde po
vir au régime militariste de leur Empereur la totalité du prolétariat allemand , absolument comme le centre catholique lui avait
e la trahison, de cette trahison que l’inique, l’effrontée « Kultur » allemande a cherché, par une tartuferie sans nom, à rejeter
os-énergies ? Quoi que disent, ou que fassent, les sociaux-démocrates allemands et austro-allemands — exception faite d’une vérit
me une continuation de leur hypocrite perfidie ! La social-démocratie allemande et austro-allemande et celle de leurs paladins — 
reau Socialiste International — tant souhaité, et pour cause, par les Allemands  ! — je me permettrai de te demander pourquoi tu n
nt l’ensemble concorde avec l’universalité du jugement socialiste non allemand ni austro-allemand, que faut-il conclure ? Que l’
2 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
respondant (25 novembre) : […] M. E. Lémonon : « L’Emprise financière allemande en Italie. » […] Ouvrages sur la guerre actuel
d’en face, et à veiller à ce que les Slovènes n’empiètent pas sur les Allemands , ni les Croates sur les Hongrois, ni les Serbes s
t enivrés des menteuses doctrines internationalistes de la démocratie allemande , qui n’avait joué de la fraternité des prolétaire
heure des problèmes autrichiens, mais bien et nettement des questions allemandes  ! Ainsi, en canalisant haines et enthousiasmes po
vers la frontière austro-hongroise, on sauvait au moins la fraternité allemande  ! M. de Bülow n’avait pas complètement échoué dan
dire dans le culte de la force, dans la conviction de l’invincibilité allemande , dans l’admiration de la Kultur et de l’organisat
hanges entre les deux pays et de la mainmise incroyable de l’activité allemande sur la vie nationale. Ainsi des centres comme Gên
insi des centres comme Gênes, des régions comme la côte ligure où les Allemands avaient créé à leur usage une « Côte d’Azur » en
uels qui n’ont pas voulu ouvrir les yeux aux mensonges, du socialisme allemand , l’impossibilité d’une« démocratie allemande », e
mensonges, du socialisme allemand, l’impossibilité d’une« démocratie allemande  », et qui continuent à se priser de marxisme inté
t provoquer immédiatement la rupture avec les gardiens de l’influence allemande dans la péninsule ; ils devaient donc tendre l’éc
e des détails curieux sur le théâtre à Bruxelles pendant l’occupation allemande . Il y eut plusieurs tentatives faites pour rouvri
par Fritz von Steinhach et son orchestre de Cologne. Cette fois, les Allemands avaient pris leurs précautions. Quand ils constat
s les artistes de ce théâtre mettent souvent à profit l’ignorance des Allemands et ajoutent au texte des phrases qui mettent le p
ovocation autrichienne. La lutte des irrédents contre la pression des Allemands , Magyars, Slovènes, incités en masses par l’Autri
ce et de réprimer les erreurs qui courent sur le compte de la science allemande  » et qu’il n’a plus témoigné de sympathie que pou
pour elle ce que Heine, Nietzsche firent, hélas sans succès, pour les Allemands . En Italie, des critiques de nous-mêmes, nous en
ous avons foi dans la France ! J’étais en Piémont, lorsque les hordes allemandes envahissaient votre territoire comme un torrent.
ports entre les deux pays. Son programme est de résister à l’invasion allemande dans l’ordre spirituel comme dans l’ordre économi
ublé d’un puissant romancier pour tracer un tableau de la pénétration allemande dans les nations d’Europe. En Italie, ce fut une
pe. En Italie, ce fut une invasion. On connaît la méthode. Une banque allemande à enseigne italienne, avec très peu de capitaux,
rielles, en encourage de nouvelles, et leur impose outils et machines allemandes  ; elle appelle des filiales de maisons allemandes
outils et machines allemandes ; elle appelle des filiales de maisons allemandes en les affublant d’un nom italien ; elle place pa
teurs, des administrateurs, des chefs techniques et des contremaîtres allemands  ; elle s’empare, au moyen de systèmes ingénieux e
ur l’Italie, mais pour tous les pays alliés, puisque la haute finance allemande ne cesse pas de lutter partout pour garder ses po
émancipation ne devrait pas être trop difficile, puisque les capitaux allemands y sont minimes (3 millions sur 150) : avec un cap
ds y sont minimes (3 millions sur 150) : avec un capital ridicule les Allemands exploitaient jusqu’à 800 millions de mouvement an
qu’à 800 millions de mouvement annuel d’argent italien ! L’université allemande a ébloui le monde entier et nous avons, nous auss
gouvernementales, en Allemagne et en revenaient apôtres de la science allemande et du germanisme. S’ils étaient sans grande influ
tures traduits dans sa langue si claire et accueillante, la librairie allemande nous envoyait ses gros manuels, ses répertoires e
s histoires de l’art où une part disproportionnée était faite à l’art allemand et où le traducteur était obligé de développer à
mmodité des illustrations déjà faites séduisait l’éditeur italien (ou allemand italianisé). N’oublions pas les livres en couleur
repoussant. Les grammaires latines et grecques étaient traduites de l’ allemand . Les lycéens étudiaient les textes classiques dan
emand. Les lycéens étudiaient les textes classiques dans des éditions allemandes  ; le danger eût été moins grand, si les maîtres l
orance de ce que furent nos aïeux. Ou peut rire de ces anthropologues allemands qui s’annexaient notre histoire et nos grands hom
ne. Il se mêle en journaliste (il correspondait à La Stampa) à la vie allemande durant deux années des plus importantes (1906-190
 VII tisse autour de l’Allemagne les ententes isolatrices. Le colosse allemand ne lui en impose nullement. Dans un style brillan
province à la fièvre d’enrichissement et de jouissance de la capitale allemande , la gentilezza antique de notre peuple, notre sen
ssal d’un peuple de parvenus. « Qui parle au xxe  siècle de peinture allemande , de musique allemande, de poésie allemande parle
rvenus. « Qui parle au xxe  siècle de peinture allemande, de musique allemande , de poésie allemande parle d’une nébuleuse sans n
au xxe  siècle de peinture allemande, de musique allemande, de poésie allemande parle d’une nébuleuse sans noyau et sans physiono
e. » L’expérience à propos des Polonais « prouve à l’évidence que les Allemands n’ont pas la capacité d’assimiler d’autres peuple
stoire a sonné le triste impératif : ne plus ultra ». « La politique allemande — écrivait-il encore — est toute fondée sur la fo
», qu’il vaut la peine de relire à dix ans de distance. 1° La flotte allemande sera en mesure, d’ici à peu d’années, de tenir tê
s facile du monde. 2° Il ne vaut pas la peine de s’annexer les terres allemandes de l’Autriche, car l’Autriche allemande et slave
eine de s’annexer les terres allemandes de l’Autriche, car l’Autriche allemande et slave fait la politique que l’Allemagne lui or
ation germanique », nous pourrions avoir « l’Internationale de nation allemande  ». « N’a-t-on pas posé à Stuttgart le principe qu
quables essais sur Goethe, qui lui valurent une chaire de littérature allemande à l’Université de Rome. La guerre n’a pas surpris
s nations de l’Entente. Barbares, ou peut bien les appeler ainsi, les Allemands , non pas pour les atrocités commises, mais pour l
professe des idées assez semblables à celles qui règnent dans le camp allemand . Il est vrai qu’il s’en est détaché de bonne heur
les catholiques des pays belligérants, à commencer par les Erzberger allemands , ont embrassé les torts et les raisons de leurs g
le mît absolument hors d’atteinte, tandis qu’auparavant, un croiseur allemand devant Civitavecchia aurait suffi pour le réduire
’accomplissement des prophéties savent que le songe est vain. Que les Allemands et leurs amis fassent tout ce qu’ils veulent. Nou
. Il y a peu d’Italiens qui haïssent si profondément et naïvement les Allemands comme ce professeur désabusé qui aime l’amour et
Italie, le dramaturge Hebbel. Mais, bien que slave de race et un peu allemand de culture, il était surtout italien : il a écrit
par M. G.-A. Borgese, critique sicilien et professeur de littérature allemande à l’Université de Rome. On dit qu’il a du talent
Guglielmo Ferrero donne à cette propagande anti-italienne une origine allemande et écrit à ce sujet dans le Secolo : À partir du
, et renouvelaient la même invitation. Elles rapportaient comment les Allemands s’efforcent de toutes façons de faire croire que
ublié un timbre commémoratif de la guerre, sur lequel est imprimé, en allemand et en espagnol : « Souvenez-vous de la trahison d
omotion. Au lieu de Divinité vous dites Vélocité ; sans le savoir les Allemands ont bien fondé la religion de la Férocité. Mais,
tions latines, de ce que fut véritablement de 1870 à 1915 l’influence allemande sur l’Italie. Dans le domaine économique, M. G. P
use de séparer les deux plus grandes nations latines. Les techniciens allemands entrèrent donc en scène, même les techniciens de
cependant qu’on ne pourrait le croire. La grande victoire économique allemande en Italie consista surtout à gérer et contrôler d
n grande partie, le travail tout italien, et la haute direction toute allemande . M. G. Papini s’étend surtout sur la soi-disant
nt influence intellectuelle et artistique : Les deux seuls écrivains allemands qui aient eu une certaine popularité en Italie — 
ine popularité en Italie — Goethe et Heine — sont justement les moins allemands dans leur essence. L’un, cosmopolite serein, amou
lite serein, amoureux des Grecs, des Italiens, des Orientaux, n’eut d’ allemand que certains traits de sa vie extérieure et la sy
r un critique, De Sanctis, qui, tout en subissant parfois l’influence allemande , surpassa cependant tous les critiques européens
critiques européens contemporains. Après 1870, la méthode historique allemande a sévi en Italie comme ailleurs, mais au début de
rent le cubisme de Picasso et de Braque. Dans la musique, l’influence allemande s’exerça sur la musique symphonique et la musique
ralisme de marque anglaise et au rigide socialisme marxiste de marque allemande , ont succédé, chez les jeunes gens les plus indép
milieux académiques, nous nous apercevons facilement que l’obsession allemande n’était pas ce qu’on a dit et cru. Je n’entends p
e les ai énumérées simplement pour les confronter avec les influences allemandes , très inférieures ; mais il sera juste d’observer
es chapitres intéressent davantage. L’auteur a obtenu du Gouvernement allemand l’autorisation de visiter la Belgique envahie. Av
s supplices et des exécutions, déroute, trouble et inquiète le louche Allemand . L’Allemand ne comprend pas, ne peut pas comprend
et des exécutions, déroute, trouble et inquiète le louche Allemand. L’ Allemand ne comprend pas, ne peut pas comprendre. Il ne se
incarcération ou fusillade au hasard de civils innocents, etc.) que l’ Allemand proteste, mais simplement parce qu’il nie que ce
3 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
ut célèbre par sa magnifique série de gravures et dessins italiens et allemands , dont l’énumération ne remplit pas moins de 95 pa
s des Alliés, dans la grande croisade contre la monstrueuse puissance allemande , contre la nation de proie, violatrice des traité
e nous voyons à l’œuvre depuis quelques mois et des sozial-demokrates allemands qui trouvent dans le matérialisme historique une
irituels de Berlin. Tous les arguments, tous les clichés de la presse allemande ont trouvé asile dans le moniteur du socialisme o
nt un Italien peut-il envisager ce danger hypothétique au moment où l’ Allemand et l’Autrichien sont aux portes de Trévise et de
t pas fait pour nous étonner outre mesure. Au début de la guerre, les Allemands , qu’on s’en souvienne, ont fabriqué semblablement
rlogerie. Qu’est-ce que cela prouve, sinon que les Autrichiens et les Allemands , leurs maîtres et inspirateurs, étaient parfaitem
ème, de quelle basse ruse de guerre ils avaient été victimes, comment Allemands et Autrichiens les avaient dupés, profanant une f
parmi les neiges éternelles du Cadore. Ces deux armées, les stratèges allemands , grands ordonnateurs de cette nouvelle straf-expé
es eurent bientôt l’ordre d’attaquer au bois de Bolante les tranchées allemandes qui s’avançaient en coin dans nos lignes, et d’ai
chefs, fut tué. À la suite de cette attaque, repoussée en somme, les Allemands chansonnèrent les Italiens assez bruyamment, — av
venir, Albin Michel, 3.50 [extrait] Ce qu’ont essayé d’imposer les Allemands avec la presse d’outre-Rhin, nous dit d’autre par
ue 1.200.000 habitants de plus (je ne compte pas les 400.000 immigrés allemands ), il me paraît très douteux que sa population pût
condamnation du chantre de la Divine Comédie ! Échos. Rome et les Allemands Mercure. Tome CXXV, numéro 471, 1er février 1
ressait le temple de Jupiter Capitolin est en grande partie propriété allemande . Le palais Caffarelli est allemand : sa salle du
in est en grande partie propriété allemande. Le palais Caffarelli est allemand  : sa salle du trône est plus grande que celle du
y a un trône avec des lions et l’aigle. L’Institut archéologique est allemand . C’est là que siégeaient les savants qui rêvaient
c Guillaume II prenant la couronne de Charlemagne. La villa Malta est allemande . Elle fut un temps la propriété de Louis de Baviè
bourg. Elle est connue maintenant sous le nom de « Villa des Roses ». Allemande aussi la vénérable Archi-Confrérie du Saint-Nom-d
ment attaqués. Le Tomatico était évacué par les Italiens. Des troupes allemandes se glissaient, entre-temps, le long de la Piave d
ollande, fit des conférences ouvertement patronnées par la propagande allemande . On m’oppose un article du correspondant en Hongr
ui parmi les acclamations frénétiques des populations. Les émissaires allemands , qui se promenaient librement l’autre mois encore
ère Barat, une héroïne de la guerre de 1870. Malgré cela la princesse allemande y a acquis une grande influence et s’occupe de fo
XVI, numéro 474, 16 mars 1918, p. 373-376 [373-374]. L’administration allemande vient de faire admettre un faux Titien au musée d
sée de Berlin. Les faux ne se compteront bientôt plus dans les musées allemands . La presse des empires centraux mène grand bruit
buste en cire du xixe  siècle et ne voulut pas avouer son erreur. Les Allemands n’avoueront pas qu’ils ont pris une médiocre copi
pticement, en s’en cachant et sous pavillon neutre, de la marchandise allemande et il recevrait l’argent par une voie détournée.
les collaborateurs que je connais (il faut croire que le gouvernement allemand subsidie bien médiocrement la revue !) D’autre pa
atisais de telle façon les procédés du gouvernement et des militaires allemands en Belgique que le journal italien jugea opportun
écrites sur la résistance des Belges à l’invasion et à la domination allemande , et je m’étonne qu’un homme qui tient école de pa
doute dans la conscience des peuples victimes de la sauvage agression allemande . On n’a pas le droit d’obscurcir perfidement la r
tous les endroits où ils avaient des annonces. C’est que l’espionnage allemand se servait activement de ces annonces pour commun
is que les journaux ont moins de pages. […] Échos. Le Capitole est allemand Mercure [Guillaume Apollinaire]. Tome CXXVII,
Tome CXXVII, numéro 477, 1er mai 1918, p. 182-192 [185]. L’ambassade allemande à Rome, palais Caffarelli, est sur le Capitole, s
hère à la latinité est non seulement propriété mais encore territoire allemand . Tout le Capitole est allemand, sauf l’Ara Cœli e
ement propriété mais encore territoire allemand. Tout le Capitole est allemand , sauf l’Ara Cœli et le monument de Victor-Emmanue
a Cœli et le monument de Victor-Emmanuel Ier. La roche tarpeïenne est allemande . Deutsche Rom, écrivait Hermann Noack, et Mgr Wil
ack, et Mgr Wilpert expliquait naguère sur le Forum, aux séminaristes allemands , que seul l’Empereur Allemand était et pouvait êt
naguère sur le Forum, aux séminaristes allemands, que seul l’Empereur Allemand était et pouvait être l’héritier des Césars. Au r
uve d’une décision courageuse pour se soustraire à l’ancienne emprise allemande et affronter la dure lutte contre ce peuple de pr
ur devenir une ville internationale avec un Sénat également composé d’ Allemands , de Hongrois, de Tchèques, de Yougoslaves, d’autr
issante organisation qui est d’accord avec l’ennemi, une organisation allemande qui a pris un faux nom italien, a fonctionné comm
été impressionné par l’impitoyable rigueur avec laquelle l’État-major allemand a traité les révolutionnaires russes. Il a reconn
eves souhaite le succès des armes franco-anglaises contre l’offensive allemande . Voilà qui complète la pensée de l’article qu’il
e côté-là. En présence de la dernière manifestation de l’impérialisme allemand et de l’inaction du parti socialiste allemand, de
ation de l’impérialisme allemand et de l’inaction du parti socialiste allemand , des socialistes italiens ont dû reconnaître, ave
tariat russe se trouve dans une situation effroyable : et la victoire allemande rendrait irrespirable l’atmosphère européenne. Ma
ègue à la Chambre belge et son ami, il leur dit à quel dur régime les Allemands soumettent le noble pays qu’ils ont odieusement a
la peur. Ris, on rira avec toi ; pleure, tu pleureras tout seul. Les Allemands rient aujourd’hui, mais les Alliés riront demain.
, numéro 482, 16 juillet 1918, p. 372-384 [377-378, 378, 379]. Noms allemands aux villes du Frioul Les Allemands ont des nom
384 [377-378, 378, 379]. Noms allemands aux villes du Frioul Les Allemands ont des noms tudesques pour la plupart des villes
que canzone. Étaient parvenus à la passe étroite Plus de neuf mille Allemands . Les chiens avaient pris la montagne ; Mais ils f
uttent ; dans les plus, difficiles conditions, contre la tyrannie des Allemands et des Magyars ne se sentent pas trahis au sein d
cle et quand Crispi déclarera, dans cette correspondance à un journal allemand qui lui est attribuée, qu’« un rapprochement entr
, en dépit de toute® les contradictions que la métaphysique du peuple allemand ou la logique des peuples latins observent sans c
uction d’Aristophane et un très amusant pamphlet contre la philologie allemande (Minerva e lo Scimmione) vient de publier un clai
s communications coupées par le pédantesque “scientisme” philologique allemand  » ; de se réconcilier, en un mot, avec les grands
la discipline philologique des Universités, jusqu’alors conduites à l’ allemande , n’abdiquât pas soudain et continuât un certain t
ar, en réalité, notre Société est barbare, ou semi-barbare. C’est des Allemands que nous devons apprendre la civilisation ! » Et,
ographie de Mori et de Graziani, qui exaltent si fort la civilisation allemande par comparaison avec la semi-barbarie italienne o
ux petits gars campagnards la « civilisation » et les « progrès » des Allemands , mais la « semi-barbarie », ou la « barbarie » pu
’on a lu dans les journaux en ces temps de guerre, exalter les choses allemandes et déprimer les qualités des Alliés, cela équivau
4 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
a fait que la même race, en Bohême, s’est partagée en Tchèques et en Allemands  ; que sur la rive orientale de l’Adriatique quelq
cerne l’Allemagne. Il expose toute l’évolution économique de l’empire allemand , démontrant que l’Allemagne était devenue un état
ient les deux aspirations les plus profondément enracinées dans l’âme allemande . Passons aux facteurs politiques. Colajanni cro
cet ouvrage, quand il sera achevé, nous dispensera de la lecture des Allemands , qui étaient, jusqu’ici, les plus actifs dans cet
ous restions entre ciel et terre. Et ainsi, le monde, sous la poussée allemande , allait vers le cataclysme un peu plus chaque jou
plus chaque jour. Il est certain que le premier effet produit sur les Allemands par la défaite sera de les humilier. Mais l’humil
’il ne fait nullement litière du progrès moderne, même au sens où les Allemands l’entendent ; mais il s’y ajoute ce que nous avon
iront à l’école de l’énergie française, non à l’école de la brutalité allemande . » Voici un long passage de cet article d’une gra
ère, d’une Saxe, d’un Wurtemberg. d’une Autriche se discutaient entre Allemands , sans qu’aucun des intéressés songeât, pour renfo
cer ses prétentions, à en appeler à une influence étrangère à la race allemande . Ce que cette conception réalisée de la Fédératio
ellectuelles, par une imprégnation de nos universités, par la science allemande , dont le prestige fut si grand et si souvent inju
es Pyrénées et des Alpes les fourriers des commerçants, des banquiers allemands . Avant que les industriels et négociants de la Ge
et l’esprit latins, s’inclinaient devant la splendeur des universités allemandes , éblouis par leur prospérité et leur organisation
la discipline, la soumission à l’autorité avait, dans l’enseignement allemand , réalisé d’incontestables progrès d’ordre matérie
Français, Italiens, traduisaient fébrilement toutes les publications allemandes , se faisaient les disciples des universités allem
s publications allemandes, se faisaient les disciples des universités allemandes , inclinaient le génie latin devant la pensée alle
s universités allemandes, inclinaient le génie latin devant la pensée allemande , les Français connaissaient à peine ce qui se pub
Lacaze-Duthiers, Wimereux, par Giard, Tatihou par M. E. Perrier. Les Allemands installèrent un Aquarium à Naples, et lui firent
omme l’industrie et le commerce, doit échapper au danger de l’emprise allemande . Avant la guerre l’Allemagne faisait tous ses eff
es organes scientifiques internationaux, et, en fait, des instruments allemands de contrôle et de monopole scientifiques. M. Rig
 » internationaux. Il ne faudrait pas imiter servilement les recueils allemands . Il s’agirait surtout de mettre en évidence les r
domination de ces barbares. » Ces barbares étaient les Espagnols, les Allemands , les Français et les Suisses. Ces derniers occupa
es et les actes du gouvernement impérial, dans la conduite des armées allemandes et jusque dans les dévastations des régions « acc
une brutalité et un cynisme que Machiavel n’eût jamais imaginés. Des Allemands libéraux, éclairés, révoltés par tant d’horreurs,
is naissance dans l’immobilité des deux adversaires, le Français et l’ Allemand , après la bataille de la Marne. En essayant de se
euve ; le principe de la marée humaine, — sur laquelle comptaient les Allemands , — est désormais caduc. Quand les colonnes arriva
it et bombardait. » Il suffit qu’il nous montre la lutte des systèmes allemands et des systèmes français ; l’organisation de la d
ec douleur, peu de jours avant sa mort, les dommages que l’occupation allemande avait fait subir à l’abbaye dont il avait été que
ire de la mort des soldats-poètes Byron et Brooke, anglais ; Koerner, allemand  ; Mameli, italien ; et Petöfi, hongrois. […] É
aussi, on est plus expansif et la haine contre les Autrichiens et les Allemands , aujourd’hui également détestés, se manifeste ave
s leur journal l’Avanti de rendre hommage aux efforts des socialistes allemands , de dénigrer les « majoritaires » français au pro
déclarés partisans d’une immédiate entente avec la social-démocratie allemande . L’intervention américaine ne les a pas davantage
ons sur la fécondité du génie « latin », et qui l’opposent au « génie allemand  », par amour des contrastes violents. L’opinion p
tôt aux critiques serrées qui ont été faites, en Italie, des méthodes allemandes . Sans parler de l’espionnage (et dans peu de pays
périeur, de l’influence prépondérante de l’Allemagne. Des professeurs allemands enseignaient à l’Université de Rome ; c’était Bel
s se considéraient comme leurs élèves. Or, contre toutes les méthodes allemandes , d’invasion économique aussi bien que d’invasion
e de l’Italie comme grande puissance, la guerre contre l’impérialisme allemand pour l’impérialisme italien. Les limites à la con
fixer la deuxième armée sur ses positions, pendant que les divisions allemandes , descendant par les cols de Tarvis, de Pontafel e
armée connaissaient depuis plusieurs jours la présence des divisions allemandes , dans les hautes vallées des Alpes Carniques ; c’
bre le bruit se répandait de plus en plus de l’arrivée de contingents allemands sur les confins italiens. Une inquiétude sourde a
archant de l’est à l’ouest ; un autre composé uniquement de divisions allemandes , qui a débouché par les hautes vallées des Alpes
nique. Au lieu de provoquer les désordres sur lesquels comptaient les Allemands , cet exode a raffermi les cœurs. Il importe de no
La Critica des paradoxes que n’auraient pas désavoués les philosophes allemands  ; et ses « postille » y étaient souvent perfides.
le droit d’exproprier les Polonais de Posnanie parce que, n’étant pas allemands de langue et de race, ils sont un danger pour l’É
n est stérile et que l’unique vérité est dans le cœur des hommes. Les Allemands à Bellune et demain peut-être à Trévise, à Vicenc
ersité de Rome, a cherché d’abord à établir quelle est l’idée que les Allemands se font de leur supériorité, — duperie qu’ils acc
de ses tendances, tout en semblant lui rendre justice. — Le caractère allemand , en général, est d’ailleurs beaucoup plus complex
fait de suite étalage dès qu’il se trouve le plus fort. Toutefois, l’ Allemand n’est jamais sceptique ; le scepticisme est une s
e son livre, concernant l’influence que purent avoir sur la mentalité allemande des hommes comme Fichte, qu’il qualifie de Machia
n optimisme aveugle, une volonté désespérée de résistance ». Mais les Allemands , ajoute-t-il ailleurs, « n’auraient pu choisir un
données vieillies » et sans doute les choses seraient à déplorer si l’ Allemand n’avait pas crié à tous les carrefours qu’il est
tion pouvant devenir un facteur précieux de défense contre l’invasion allemande en Italie ». 2. Il est intéressant de rappeler à
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
ment plus après l’exposé péremptoire de M. Maurice Vitrac. Lettres allemandes . Friedrich Th. Vischer : Briefe aus Italien ; Mun
le telle boutade des Promenades dans Rome de Stendhal. Mais l’honnête Allemand avait peut-être une supériorité sur le grand Fran
Francia, et, qui mieux est, il sait en parler avec intelligence. Cet Allemand d’autrefois mérite tout notre respect. Lettres
comme une force nouvelle. Il éprouvait cette légèreté que nous autres Allemands ressentons si bien en Italie. Quelques barques de
6 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
inesse perçante de la critique : ce pauvre M. Klinger, que les lourds Allemands sont en train d’adorer, en sort très mal à son ai
nte l’étude la plus complète qui ait paru en Italie sur le philosophe allemand . Absolument remarquable la lucidité avec laquelle
sion complète et sûre. Les Italiens qui ont entendu mille fois ce nom allemand , et qui, probablement, sans les traductions franç
ou là être forcée et gâtée par l’effort, comme dans ces lourds fronts allemands  : trop allemands et trop lourds pour la beauté pa
et gâtée par l’effort, comme dans ces lourds fronts allemands : trop allemands et trop lourds pour la beauté parfaite. Car il y
prééminence entre la sculpture et la peinture3 ! Mais entre lui et l’ Allemand il y a cette différence qu’avec toute cette scien
lemand il y a cette différence qu’avec toute cette science curieuse l’ Allemand se serait imaginé qu’on n’avait plus besoin de ri
qui attend l’heure des craquements et des séparations. À Chicago, les Allemands sont trois cent mille ; une grande partie du rest
’habitants, que la moitié de la population. La grande puissance est l’ allemand . Qu’on se figure la ville de Munich tout entière
ans Paris comme un bloc immense englobant quatre arrondissements. Les Allemands forment aux États-Unis une véritable nation qui,
é primitivement édités par Brockhaus. Cette édition a été traduite en allemand , et c’est sur l’allemand qu’a été retraduite en f
r Brockhaus. Cette édition a été traduite en allemand, et c’est sur l’ allemand qu’a été retraduite en français l’édition suivant
ent dans le texte original de Brockhaus, conservés dans la traduction allemande , et maintenus dans la retraduction française. Or,
7 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
ose Qui s’agite dans la M… M… neuve, antique M… M… M… à l’infini. L’ Allemand est cette chose Qui est imbécile en tout. Il ress
ley, apportent une note diverse dans ce brillant concert. Lettres allemandes . Heinrich Steinitzer : Vita Santa ; Berlin, Egon
ur leurs emprunts aux langues voisines (français, provençal, italien, allemand ), et pour leurs rapports avec les argots de malfa
ernelle. On formerait un volume considérable avec les volumes que les Allemands ont écrits sur la Madone. La France se meurt de t
que celle de l’Orfeo de Monteverdi jadis à la Schola. […] Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome CVII, nu
oresque chaleureusement appréciés par son nombreux public. Lettres allemandes Henri Albert. Tome CVIII, numéro 404, 16 avril
e pour Boris Godounof à l’Opéra ; les chanteurs italiens et, bientôt, allemands vont de nouveau nous en convaincre. Il sera assur
travaux de son grand-père, fondateur de la grande maison de librairie allemande F.-A. Brockhaus, nous avait décidé, au contraire,
els se trouvaient les insignes Mémoires. Il confia leur traduction en allemand et leur « arrangement » à Wilhelm von Schütz, pro
hentiques ou apocryphes. Mais, comme on ne connaissait que la version allemande , Tournachon-Molin fit traduire8 au fur et à mesur
e marché européen soit inondé de volumes imprimés d’après mon édition allemande , châtrée ou intégralement retraduite ? » Et alors
s le disions plus haut. Il résulta de la double édition Brockhaus : l’ allemande , traduite sur l’original français par le professe
u tome IX, où commence la traduction non moins littérale de l’édition allemande de Brockhaus… Je souligne à dessein : à partir du
qu’une retraduction française, réduite et édulcorée, de la traduction allemande de Schütz, on peut hardiment déclarer que la prem
Il fit tout simplement comme Tournachon-Molin : il fit traduire de l’ allemand en français, d’après la version de Schütz (achevé
dro Ademollo et Aldo Ravà, quand ils ont eu à reprocher au traducteur allemand des omissions regrettables, se sont toujours mont
ire astreint à une besogne littéraire, et je prouverai ailleurs que l’ Allemand et le Français ont usé de procédés analogues, ont
é et monotone de mes compatriotes, ni le ton sentimental et outré des Allemands , ni la manière fatigante des Anglais : ils donnen
ée et secondée par les théoriciens italiens, et achevée par un maître allemand , ou plus exactement bohémien. Jomelli, le « Gluck
italien », ne fit pas école, dit M. Romain Rolland. « Ce fut le Gluck allemand qui assura la victoire, non seulement à une forme
tyrolienne toute voisine, qui réunit en elle les caractères de l’art allemand et de l’art italien et qui a produit, avec Michel
8 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
ancien et moderne, M. G. Lafenestre parle de Tiepolo […]. Lettres allemandes . Stendhal : Rœmische Spaziergænge, verdeutschet v
rt. Tome LXXXIX, numéro 325, 1er janvier 1911, p. 191-195 [192]. Les Allemands , venus tardivement à la compréhension de Stendhal
nos éditions populaires et, si on les compare aux ouvrages similaires allemands , même à prix égal, le choix ne sera pas difficile
ublié, de Mme Jean Carrère, la traduction d’un des ouvrages du savant allemand Gregorovius, Rome et ses environs, tableaux déjà
us redoutable du monde, leurs bataillons de Suisses et de lansquenets allemands . Ils formaient des masses épaisses. Tous de haute
nous possédons en France sont ou bien la traduction d’une traduction allemande , ne contenant que des fragments du texte original
Levant. Giovanni Bellini, en sa qualité de courtier à l’entrepôt des Allemands , et Giorgio Barbarelli, en vertu de sa célébrité,
. Gradt fut attribué pour 7 000 fr. le petit miroir biseauté, travail allemand de l’atelier d’Attemstetter, de même que le tympa
trefaites, un incendie détruisit le vaste comptoir où les commerçants allemands trouvaient des chambres pour se loger, des locaux
ent, à cette époque, l’ascendant du Florentin fra Bartholomeo et de l’ Allemand Albert Dürer. Les peintres vénitiens les avaient
a et Lonato. Une flotte espagnole bombarde les forts napolitains. Les Allemands de Trieste chassent les Vénitiens et envahissent
dge, de l’île de Man ; des impressions courtes sur l’Allemagne et les Allemands  ; les rues espagnoles ; les maisons peintes de Lo
végien (Thorwaldsen). Les savants les plus illustres de Rome sont des Allemands et des Anglais. Le peuple, à Rome, ne semble prop
arpi (« Fra Paolo »), Grotius, Thomasius, le philosophe et rénovateur allemand , Turgot, Stein, Cavour et Bismarck. Mr White a be
ux fois à Berlin ; en outre, il a connu personnellement le chancelier allemand et trois des collègues de Cavour, c’est-à-dire Mi
e parlementarisme. Je l’ai entendu plusieurs fois devant le parlement allemand et je ne me rappelle pas un discours où il n’a mo
ents font d’ailleurs honneur à l’érudition des critiques. Lettres allemandes . Paul Heyse : L’Amour en Italie, Paris, Ernest Fl
’Amour en Italie, quelques-uns des meilleurs contes du vieil écrivain allemand . Le texte est d’une lecture facile et les images,
que les ouvrages de M. Chledowski, dont quelques-uns ont déjà paru en allemand , intéresseraient vivement le public et les érudit
atrie d’élection. Ce qui nous touche davantage, c’est cette grammaire allemande , attestant que Beyle fit une réelle tentative pou
nt à Trieste, en 1831, il écrivait au baron de Mareste : « Je relis l’ allemand . Si j’étais resté ici, j’allais donner un coup de
Stendhal écrivait à Balzac, avec une évidente mauvaise humeur : « Les Allemands sont tellement à genoux devant un cordon, ils son
ance des chefs-d’œuvre qui sont la propriété de la nation. Lettres allemandes . F. Gregorovius : Promenades italiennes ; Palerme
opres à féconder leur bouillante imagination. Mais le texte du savant allemand est d’une lecture assez difficile. Malgré sa répu
ius apparaissent d’une façon remarquable. En quelques pages le savant allemand nous refait l’historique de la domination sarrasi
de Hooch et les Metsu, une nouvelle période de floraison. Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome XCIV, nu
amberg, le spirituel auteur des Mémoires d’un Mondain, et un écrivain allemand de Bohême, nommé Opitz et habitant Czaslau. Avec
Borgia, vient d’en donner une excellente reproduction dans la version allemande du livre de Gobineau, la Renaissance, édité par I
9 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
otologie classique de Forberg, cette amusante compilation d’un savant allemand , où toutes les sanies des civilisations grecque e
lle, — mais non en face, car il est bon payeur. Grâce aux journaux, l’ Allemand et l’Italien (depuis peu) se partagent la vieille
me son mari est parfaitement indifférent. Supériorités anglo-saxonne, allemande , scandinave, etc. etc. Revue hebdomadaire (7 aoû
10 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
admirable pacte liait l’investigation à la doctrine révélée. Un moine allemand devait foncer comme un sanglier sur cette église
me pas, il paganise : cela n’a aucun rapport et seuls des professeurs allemands s’y trompent, intentionnellement. Une autre bille
apportant à l’autodafé ses chefs-d’œuvre ; il a deviné le théologien allemand qui brûlera la somme de saint Thomas ; indigné ou
conscient des antinomies ethniques, il s’était rendu compte qu’aucun Allemand ne peut avoir de frère latin. Pour le Florentin,
sse l’histoire impartiale de la philosophie : elle donne raison à cet Allemand sincère qui préférait la recherche de la vérité à
ce nouvelle. « Il éprouvait, dit-elle, cette légèreté que nous autres Allemands ressentons si bien en Italie. » — Cette vision de
gée de notes, sera fournie avec toute la documentation coutumière aux Allemands . Dès aujourd’hui, Casanova n’est plus comparé à F
onarchie, pour empêcher l’hégémonie prussienne de s’étendre aux États allemands de second ordre et d’ordre inférieur. Ajoutez l’I
et le foncé. Le roman, l’ogive française, l’ogive arabe, le gothique allemand , le gothique italien, l’art de la Renaissance se
oit triompher à la place du vieux Mélodrame latin et du Drame Musical allemand , semble vraiment égaré au milieu de la société pé
ace insulta son prophète, mais ses restes devinrent des reliques. Les Allemands s’amusent lourdement : Rudelbach a vu des précurs
, puisqu’il n’y a plus, en Europe, que deux groupements : la triplice allemande (bien malade, l’Italie s’en étant presque détaché
ue de chemin parcouru ! L’union générale n’est pas bien loin. Que les Allemands ouvrent les yeux et comprennent leur intérêt véri
platonicien, il est pis encore, car il dédaigne la tradition. Pour un Allemand , Luther proclame les droits de l’homme en matière
r ? » Le révolutionnaire présente très souvent un coin idyllique et l’ allemand aussi : cela n’empêche nullement de commander les
sche ? Contre la Renaissance, énonce-t-il, « s’élève alors la Réforme allemande , comme une protestation énergique d’esprits resté
gibeline ou césarienne, déjà deux fois fatale à Byzance et à l’Empire Allemand . Fallait-il rester quand même attaché à la France
à propos du « Baptême du Christ » du musée de Rouen […]. Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome LXXVI, n
11 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
nnule ou atténue un élément de perturbation mondiale : le militarisme allemand . Toute la conception de la politique germanique r
, les écraseraient avec facilité, si quelques centaines de milliers d’ Allemands n’accouraient à la frontière galicienne, croate e
jeunesse nouvelle. Lorsque Mme de Staël remarquait que le romantisme allemand n’était qu’un retour au Moyen-Âge, elle exprimait
le prouvent. Dans son étude, Mme Gina Martegiani évoque le romantisme allemand , anglais et français, en étudie les caractères et
pectacles en plein air qui ne servent pas la vraie poésie. Lettres allemandes Henri Albert. Tome LXXVII, numéro 280, 16 févr
pliment que nous pourrons leur adresser — d’avoir écrit leur livre en allemand , car chez nous ils auraient probablement trouvé d
ement féconde et l’immense supériorité de notre culture sur la Kultur allemande comme sur toute anglomanie. Certes, on ne saurait
camarilla démocratique inintelligemment utilitaire par mimétisme des Allemands .   Durant 1907 et 1908, les fêtes populaires à Pa
la seule durable et réelle fut celle des auteurs français, celle des Allemands étant superficielle et accidentelle, — elle arriv
à Paris et y réside, peut s’affranchir de plus en plus de l’influence allemande , de l’esprit de catalogage minutieux et flegmatiq
n la rapprochant, si l’on peut dire, de la physiologie tandis que les Allemands en avaient fait exclusivement une anatomie. C’est
aînement complexe de la réalité vivante, c’est l’intuition — dont les Allemands ont tant médit parce que quelques-uns en avaient
homme de la valeur de Ferrero, parce qu’il fut imbu de la supériorité allemande , publier ces aveugles Europa Giovane et Militaris
s observées, la place que l’Innocent III de Hurter a dans l’érudition allemande . Mais l’œuvre, tout en étant plus qu’une « série
nne : le comte Lanckoronski, Ce sont des œuvres des écoles italienne, allemande , hollandaise et française, parmi lesquelles on re
il faut espérer voir reprendre. Elle est lyrique et belle. Lettres allemandes Henri Albert. Tome LXXX, numéro 292, 16 août 1
es, sur laquelle furent faites d’ailleurs les traductions anglaise et allemande , ont été nouvellement traduits par M. Apollinaire
s, les livres qui ont le plus d’expansion sont des traités ou manuels allemands . D’autre part le mot « intellectuels » désigne en
12 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
is Farnèse », par MM. P. Bourdon et R. Laurent-Vibert. […] Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome XCV, num
d les proues et les poupes pour les navires eux-mêmes ; la traduction allemande de John Voss laisse autant à désirer que la versi
on plus de cette pédanterie si fréquente chez les jeunes « docteurs » allemands . C’est incontestablement l’influence de l’Allemag
aux publiés par les jeunes gens pour se convaincre que la manière des Allemands , qui encombrent leurs textes de notes et de citat
leur en impose beaucoup. Les moins doués d’entre eux singent même les Allemands d’une manière enfantine, mais chez les meilleurs
rmaniques. Le caractère de l’Italien est trop différent de celui de l’ Allemand pour qu’il puisse y avoir assimilation complète c
omplète chez des gens doués d’une personnalité. En ce cas l’influence allemande peut être salutaire, parce qu’elle est susceptibl
ur exceptionnelles, et le temps n’est pas loin où les plus grands des Allemands se rendaient dans le Midi pour achever d’y dévelo
uvait pour les éduquer ; mais formé à l’école de la social-démocratie allemande , obéissant aveuglément aux principes qui la domin
s d’action aux besoins d’un peuple qui diffère complètement du peuple allemand tant par sa situation économique que par son cara
unzio, du symbolisme français, de l’esthétisme anglais, du romantisme allemand . Ils invoquent Boccace, vénèrent Manzoni, et se r
sache pas une petite ville d’Italie où un Français, un Anglais ou un Allemand ne puisse trouver quelqu’un pour lui répondre dan
roge ses souvenirs ; a-t-il été embarrassé à Bologne quand il a parlé allemand ou anglais ? Nos écoles secondaires exigent deux
n de fougue qui chante l’enthousiasme de la France, devant l’invasion allemande , en 1792, la colère révolutionnaire du peuple et
un autre sort pour les Mémoires. Au lieu d’être offerts à un éditeur allemand , ils l’eussent été à un éditeur français. Nous au
amais de se montrer d’une extrême prévenance à mon égard. Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome XCVI, nu
s sont-ils aussi parfaits dans leur réalisation lumineuse. Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome XCVII, n
amoureuse. De là, enfin, la forme du langage : tandis que la syntaxe allemande moule sur l’état psychologique du sujet parlant u
boccacienne, dans le fond se moule sur les objets ; comme la syntaxe allemande se moulait sur le sujet, énumère toutes les circo
dans la diversité des êtres et des aspects sensibles du monde, que l’ allemand consacre à l’unité du sujet parlant ; tout au con
-huit mois, put néanmoins apprendre le latin, le grec, le français, l’ allemand , et sa langue maternelle, l’anglais ; douée d’un
s de nombreuses promotions, le risque d’un tel projet. […] Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome XCVIII,
souvenir d’une visite faite à la capitale lombarde par des étudiants allemands , Cet hommage, dont l’opportunité n’est pas à disc
à la France. J’ai pu entendre cet été les propos de quelques groupes allemands d’avant-garde : ils ne connaissent d’autres parad
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
peut relire aussi l’étude de W. Schlegel, dit l’oracle de la critique allemande , cette critique tellement surfaite et qui n’impos
tif de l’Alighieri et l’esprit court, lourd et banal de l’Augustin. L’ Allemand emporta une victoire sur le même adversaire que l
D’ailleurs les Italiens étaient très sensibles à la beauté des œuvres allemandes et c’est avec quelque raison que M. Teodor de Wyz
14 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
93 de son Nekrolog, paru à Gotha de 1791 à 1806 et la traduction de l’ allemand des Anecdotes sur W. G. Mozart (Paris, 1801, in-8
t Michel-Ange ne se contentent pas de suivre uniquement la collection allemande des « Classiques de l’Art » et qu’ils fassent pou
nde française l’avait faite, âpre, noble et guerrière, tandis que les Allemands ont fait de Roland le type romantique et sentimen
s grande. On connaît les travaux de M. Comparetti, dans la traduction allemande tout au moins, consacrés à l’épopée finnique. Le
and aide à comprendre certaine psychologie du Kalevala. Le romantisme allemand , de son côté, nous aide à pénétrer l’essence héro
4 […]. Nécrologie : Ludwig Mond À son tour, un savant d’origine allemande , M. Ludwig Mond, voulant, comme George Salting, t
stchronik 14 de Leipzig), ont été publiés par toutes les revues d’art allemandes sans apporter un argument décisif. Mais nous avon
et la discrétion, toute la noblesse distante du poète. […] Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome LXXXV, n
[…] M. Pierre Fons : « le Préjugé contre Botticelli. » […] Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome LXXXVII,
n voyage de noces au couple adultère en rupture de ban conjugal, de l’ Allemand costumé de vert à l’Anglaise neurasthénique, en p
er du soleil et l’horreur des Casinos, partie des myriades d’Anglais, Allemands , Russes et autres Barbares qu’attirent à Rome le
ettre de M. Bode à ce journal (2 décembre). 3. Article dans la revue allemande Kunst und Künstler, décembre 1909, p. 164. 4. V.
15 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
 mars.) L’année jubilaire à Rome, par M. Boyer d’Agen. […] Lettres allemandes . Victor Ottmann : Iakob Casanova von Seingalt, St
copie. Voilà une tâche toute trouvée pour la Société des Bibliophiles allemands , dont M. V. Ottmann est le secrétaire. On s’enten
u Bernin. Tome XXXIX, numéro 141, 1er septembre 1901 Lettres allemandes . W. Fred : Giovanni Segantini, Vienne, Wiener Ver
uverture ; il n’a jamais retrouvé son chemin. Comme dans la tradition allemande sur Frédéric Barberousse, Tibère se réveillera, l
16 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
is premières, les Espagnols du xvie et xviie dans la quatrième, les Allemands du xve et du xvie dans le cinquième, dans celle
eur jour, offrent d’imprévues beautés. J’y reviendrai. […] Lettres allemandes . Die Insel [extrait] Henri Albert. Tome XLII,
uleusement la narration des anciens écrivains. Loin de suivre l’école allemande , qui se plaisait, il y a quelque temps, à démolir
affaires sont, à ce que l’on dit si embrouillées en cette cour toutte allemande , que je crois (autant que Monseigneur le jugera à
ais ne vaut-il pas mieux pécher par excès que par défaut ? Lettres allemandes . Paul Ernst : Altitaliænische Novellen, Leipzig,
17 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
ppareils vocaux. Peut-être que ces manières de dire sont des manières allemandes . La patrie allemande, en effet, est une patrie li
être que ces manières de dire sont des manières allemandes. La patrie allemande , en effet, est une patrie linguistique. La patrie
moment des invasions germaines : de là le nombre assez élevé de mots allemands qui figurent dans l’ancien français et qui ont du
Italie, serait aussi commun à ces mêmes régions et à telles provinces allemandes . Dire de la France et de l’Allemagne, « sœurs ger
comme juxtaposés au gré d’une solidarité intermittente. Gluck fut un allemand pur-sang, qui reçut une éducation musicale italie
re, de l’abbé Jager (1839). Il y a une quinzaine d’années, l’original allemand était devenu presque introuvable, même en Allemag
18 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
re) : — « Les Leçons de Florence », par M. J. Longnon. […] Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome CI, numé
catholicisme étroit et fétichiste de la fin du xixe . L’unité morale allemande était beaucoup plus avancée que l’unité politique
t de 1910. Contrairement à ce qu’on avait constaté en 1900, l’élément allemand a manifesté cette fois un pourcentage d’accroisse
p élevés. Dans l’intervalle, le patriotisme linguistique de l’élément allemand s’est réveillé : d’où la différence qu’on note au
e Giacosa, adaptation de M. Paul Géraldy et Mlle Darsenne. Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome CII, num
, avec l’esthétisme anglais, le symbolisme français, le néoromantisme allemand et le psychologisme russe. L’Amérique aussi, à tr
l’Angleterre derrière elle dans son Riff. Puis voici le point de vue allemand  ; qu’est-ce que peut bien être le point de vue al
point de vue allemand ; qu’est-ce que peut bien être le point de vue allemand dans la Méditerranée, ce point de vue extra-histo
passion spirituelle la signification profonde et totale de sa foi, l’ Allemand Karl Vossler proclame que Dante est le plus parfa
sée (les restaurateurs du Louvre, plus scrupuleux que ceux des musées allemands — rappelez-vous l’aventure de l’autel Baumgartner
i couve sous cette enveloppe charnelle aux tons de cendre. Lettres allemandes Henri Albert. Tome CV, numéro 389, 1er septemb
t en italien et en français. M. Gustave Gugitz en a donné une version allemande , pour les incorporer, en les augmentant de nombre
Le programme nous révélait encore que M. Wolf-Ferrari, « né d’un père allemand et d’une mère italienne », cultive aussi la peint
rêtera-t-elle ? Personne encore ne le saurait déterminer. Les lettrés allemands , aussi bien que les anglais, les scandinaves, les
, par exemple, et surtout l’édition qui fut originairement publiée en allemand , traduction de G. de Schutz, et qui parut de 1822
tes contre les Sarrasins, les Grecs, les Lombards ; contre les hordes allemandes et les troupes de Charles d’Anjou. On y rencontre
19 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
Néanmoins le Lorrain fait le voyage et entre chez Godefroy Walss, un Allemand de Cologne, qui lui enseigne la perspective et l’
d’or ; et le traité par lequel il s’attache, en 1497, Hans Sérobach, allemand , « pour se servir de luy en pièces d’art » ; et B
fait cela a à peine trente ans. Il vient de quitter, dans les marches allemandes sauvages et montueuses, pays de vignerons et de b
st semblable à celui des maniaques. L’« Ideenflucht » des psychiatres allemands se retrouve chez lui, atténuée mais très nette :
vogue de la péninsule, non seulement pour les Italiens, mais pour les Allemands et les Hongrois. C’est qu’ils ne se doutent pas q
is que MM. les Saxons s’y sont établis, depuis que soit Anglais, soit Allemands , nos administrateurs opèrent, la ville tombe sous
la psychologie, l’histoire et l’art, se ressent de sa double origine, allemande et française ; elle souffre de la contradiction,
es, à cette idée du devenir des sociétés, puisée dans la métaphysique allemande , mais interprétée avec une admirable clarté d’ana
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 241, 1er juillet 1907 »
uttes et ses vicissitudes, son avenir (1905), et dans un petit volume allemand  : Die Zukunft des Papsttums (l’Avenir de la Papau
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
hin se sentit pris pour lui de la plus vive sympathie. […] Lettres allemandes . Memento [extrait] Henri Albert. Tome LXIX, nu
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
roisième Italie. Il est resté tel. À côté des grands poètes français, allemands , anglais, de la première moitié du xixe  siècle,
et qu’il se plaint qu’on peut y remarquer çà et là quelques débris d’ allemand , mais que l’italien généralement y manque ; nous
23 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
de l’Odéon, à Milan ou à Naples, et le théâtre psychologique anglais, allemand et italien, de Pinero, H. A. Jones, Hauptmann, Li
omme les seigneurs de jadis, et, après avoir délivré l’Italie du joug allemand , s’est remise en vasselage en signant la Triplice
et Rossini. Il a assisté à la visite que fit, en mars 1860, le maître allemand à l’auteur du Barbier, qui habitait alors Chaussé
res, sur les Conteurs florentins, celui sur Savonarole et la critique allemande , ceux sur le poète Pascoli, me semblent particuli
s large place dans ses articles. Il ne pouvait prévoir l’intervention allemande et la duperie d’Algésiras, mais il a signalé nomb
’Italie nouvelle. On célèbre la croissance rapide, hâtive du commerce allemand ou américain ; et, de fait, les statistiques qu’o
dans le Nord, ne cheminent pas à l’allure de nos rapides, des express allemands , ou belges, ou hollandais, ils ralentissent encor
propos de prononcer ici le nom de Nietzsche. Le dernier grand penseur allemand a bon dos, dirait le vulgaire. Et il est à souhai
24 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
e hauteur. Enfin, et c’est le comble, le Louvre, si pauvre en maîtres allemands , ne possède en tout que trois Cranach : or, un de
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
’infaillibilité pontificale est donc hors de cause. » […] Lettres allemandes Henri Albert. Tome LXVII, numéro 239, 1er juin
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
esseur très consciencieux), d’apprendre le français, puis également l’ allemand . Dante, que je connais à mémoire, je l’ai relégué
27 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
ense au grand, et qu’il soit byzantin, gothique, italien, français ou allemand , il ne cesse jamais d’être Lui et de parler haute
28 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
s inédits des meilleurs poètes français, italiens, espagnols, anglais allemands , russes, etc. On annonce qu’au sommaire du premie
proéminente, qui n’est peut-être pas sans se ressentir de l’influence allemande . Cette influence devait toucher aussi Bartolommeo
eorges d’Amboise. À la fin de sa vie Bartolommeo rechercha la finesse allemande et peignit les cheveux avec une minutie extrême.
un peu partout à l’étranger, il est devenu ensuite acteur dramatique allemand , et maintenant, de retour en Italie, dans les rôl
une exégèse profonde. Il y est aidé par sa connaissance de la langue allemande et par la précieuse beauté de son style italien.
e suivent, et leurs ambitions restent toujours identiques. La musique allemande est musique barbare : elle ne parle pas au cœur ;
29 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
hanter à Paris l’ours d’un croque-notes italien, copain d’un empereur allemand , tout cela n’est pas clair. Le compliment inaccou
. Herr Brockhaus, après avoir acquis le manuscrit, le fit traduire en allemand par Wilhelm Schütz, mais avec de nombreuses omiss
ren des Venetianers Jacob Casanova de Seingalt. Pendant que l’édition allemande était en cours de publication, Herr Brockhaus emp
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
le Juif Errant. Au milieu de la ridicule majesté d’une brasserie à l’ allemande , sous un globe électrique à l’éclat impudent, les
31 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
symbolisme, dans son expression anglaise selon les préraphaélites, —  allemande selon Jean-Paul, — française selon MM. Peladan, P
32 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
isait son livre, s’égosillait devant « l’audace inouïe de la critique allemande  ». On ne parle point ici de Renan, le défroquat e
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