avant, il s’était séparé pour toujours de cette Henriette qu’il avait
aimée
avec toute la fougue dont il était coutumier, ave
donnai à mille réflexions. Noble et tendre Henriette que j’avais tant
aimée
! Où était-elle alors ? Je n’avais jamais su de s
moins digne de la posséder que je ne l’étais alors. Je savais encore
aimer
, mais je ne trouvais plus en moi la délicatesse q
Vieillesse et maladie sont deux fort sottes choses pour un homme qui
aime
comme moi le travail et le plaisir. » Ici le témo
souveraineté Voltaire exerçait dans sa retraite, de quelle splendeur
aimait
à s’entourer celui qui allait devenir le patriarc
mode. Dans un siècle où les femmes, suivant l’observation de Galiani,
aiment
plus avec la tête qu’avec le cœur, où l’amour est
effets quand il se trouve en face d’un partenaire comme Voltaire. Il
aime
à accaparer à lui seul l’attention de ses hôtes,
adoue, le Brillant et sage Algarotti À qui le ciel a départi L’art d’
aimer
, d’écrire et de plaire. Par une coïncidence sing
là en somme la grande affaire de son existence trop rapide. Voltaire
aimait
Algarotti, du moins autant qu’il était capable d’
ide. Voltaire aimait Algarotti, du moins autant qu’il était capable d’
aimer
quelqu’un, et il semble bien que Casanova ne le p
ille formule, — pourquoi ne pas venir dans notre pays libre, vous qui
aimez
les voyages, vous qui jouissez de l’amitié, du su
itée et sa carrière amoureuse n’était pas moins brillante. Casanova n’
aime
pas les histoires de femmes, quand elles ne sont
mécomptes ni les persécutions dont il y a souffert. Et cependant, il
aime
Venise, d’un amour de grand enfant gâté, puni et
ral et quels effets il savait en tirer. Mais ce sont choses dont il n’
aime
pas à se vanter aux Délices ; Mme Denis lui ayant
ettrai à la place ?… Horrible blasphème dont l’avenir fera justice. J’
aime
le genre humain, je voudrais le voir comme moi li
onstitutionnel dont un pacte réciproque limite l’arbitraire ; il faut
aimer
l’humanité telle qu’elle est et lui laisser la bê
bler dans le ciel languissant du crépuscule. Celui qui ne put pas
aimer
…… Depuis que Don Juan a pris femme, il est pre
comme auparavant. J’avais le désir de l’amour, mais non le pouvoir d’
aimer
. Je sentis alors que je n’aimerais jamais, que je
sir de l’amour, mais non le pouvoir d’aimer. Je sentis alors que je n’
aimerais
jamais, que je ne pourrais jamais connaître les é
s alors que je pourrais posséder des femmes, que je pourrais me faire
aimer
d’elles, mais que je ne réussirais pas une seule
remiers temps, je ne voulus pas croire à l’impossibilité où j’étais d’
aimer
et je cherchai par tous les moyens à démentir mes
e cent fois, chaque jour, à chaque instant, ma radicale impuissance d’
aimer
. « C’est alors que commença ma vie légendaire, ce
ait me faire connaître l’amour immortel. Et il y eut des femmes qui m’
aimèrent
et des femmes qui fuirent avec moi et des femmes
as même une heure je ne fus capable de mêler mon âme à l’âme de qui m’
aimait
. J’étais auprès d’elles l’intelligence froide, in
oi. Je recherchais mille femmes, parce que je ne réussissais pas à en
aimer
une seule pour toujours, et on s’imagina que je v
ous le masque de ma légende se cache le sourire amer de celui qui fut
aimé
et ne réussit pas à aimer. » Le vieux séducteur s
de se cache le sourire amer de celui qui fut aimé et ne réussit pas à
aimer
. » Le vieux séducteur se tut alors et l’autre vie
che, de tout mon univers plus récent de beautés contemplées, de cœurs
aimés
et brisés, de paradoxes improvisés autour de la t
approchaient de celles-ci… Et maintenant que tu es avec moi, que je t’
aime
, que nous parlons des pâles souvenirs du passé, e
Marcello Trento, lorsque celui-ci adopte la jeune fille que son fils
aima
jusqu’à la mort, et au cas de cette jeune fille,
la mort, et au cas de cette jeune fille, vaniteuse et veule poussée à
aimer
un malheureux qui devient docteur en médecine pou
-adoptif, de quelques mauvais parents, d’une jeune fille qui se croit
aimée
pour son argent, d’une épouse fidèle, d’un excell
le genre en soit tout à fait démodé depuis quelques lustres. Un homme
aime
une femme, la femme fatale, et ayant étreint sa f
s de trente-huit ans qui, dit-on, n’est point un homme commun. Il l’a
aimée
par galanterie, il y a deux ans, et cela continue
i respirent dans les toiles de ce peintre ! Quelqu’un qui l’avait vu,
aimé
ou haï, allait enfin me parler de lui et me livre
s cruelles, comment j’ai connu Giorgio Barbarelli et pourquoi je l’ai
aimé
. C’était en l’année 1492, et peu de jours après
re. Giorgio le remercia. Il avait hâte de quitter Zuccatto, dont il n’
aimait
pas le métier. — Je suis né pour peindre avec des
Soudain, la voix de Carlo s’éleva : — Barbara… Barbara… es-tu là ? m’
aimes
-tu ? Et en m’enlaçant, Barbara s’écria : — Je t’a
a… es-tu là ? m’aimes-tu ? Et en m’enlaçant, Barbara s’écria : — Je t’
aime
… tu es mon trésor et mon bien… je t’aime, parce q
nt, Barbara s’écria : — Je t’aime… tu es mon trésor et mon bien… je t’
aime
, parce que tu es fort et beau et jeune… parce que
outre mesure, lorsque, dans une assemblée, se trouve une femme qu’on
aime
. J’ai appris aussi qu’il faut se défier de ses fl
e. Je suis heureux lorsque l’allégresse exalte le cœur de mon pays. J’
aime
lire sur les figures des portefaix, des matelots
ue partie de ces troupes. J’ai déploré l’absence de Giorgione. Il eût
aimé
ce déploiement de couleurs et d’acier et le heurt
z-vous, Seigneur, j’aurai le baiser… et il ne me coûtera rien. Elle m’
aime
… — Qui te l’a dit ? — Ses yeux… Je la vois à l’Ég
dentelles pèsent trop sur leur cœur et l’empêchent de battre. Et je n’
aime
que les cœurs qui battent… ou qui s’aperçoivent q
r les lieux où pria Zénaïde Fleuriot, vivre sous le ciel de Naples où
aima
Mathilde Sérao, visiter le Caire où l’auteur a en
… — Je suis, avant tout, ton ami, Giorgio, dis-le bien à Titian. Je n’
aimais
pas cette remarque. Ce qui me plaisait en Barbare
terrogea-t-il. — Non. Mais, je t’en prie, quitte-le respectueusement.
Aime
et admire ce vieillard illustre à qui tu dois bea
ar sa nature sérieuse plut à tous ceux qui, enrichis par le commerce,
aiment
traiter, comme des affaires, les choses de l’art.
cité de son âme m’attendrit autant que m’avait exalté son génie. — Tu
aimes
les enfants ? lui demandai-je. — Oui…, et ceux-là
famille lui confient leurs filles les moins jolies et celles qu’ils n’
aiment
pas. Nina s’applique à faire naître, dans ces jeu
e avec tout son équipage, au milieu des flammes. Angelo R…, dont je n’
aimais
pas l’âme jalouse, mourut au cours de cet engagem
ôt… et je reprendrai ma vie. — Serez-vous heureux, Seigneur, vous qui
aimiez
la guerre autant que moi j’aime la peinture… ? —
ez-vous heureux, Seigneur, vous qui aimiez la guerre autant que moi j’
aime
la peinture… ? — Ne parlons plus de la guerre… ma
exact. — J’y suis retourné pour assister à la mort de ma mère… — Tu l’
aimais
, Giorgio ? — Oui, je l’aimais beaucoup. Il se tut
r assister à la mort de ma mère… — Tu l’aimais, Giorgio ? — Oui, je l’
aimais
beaucoup. Il se tut quelques instants, puis ajout
ai ajouté les couleurs, les mouvements d’étoffes et les visages que j’
aime
. — Qui a posé pour la Madone ? — La fille du pays
par la passion, Giorgio la trouva, peu après, dans sa demeure. Elle l’
aimait
et ne voulait plus le quitter. Elle lui était ind
! — Non ! je suis enivré par la beauté ! On l’applaudit, parce qu’on
aimait
sa bonne humeur, sa sincérité et parce qu’on redo
ine à ton silence que mes phrases éloquentes te séduisent. Comme je t’
aime
, Titian, je célébrerai, pour te plaire, la second
mêlent aux souvenirs illustres les plus menues joies de la vie : J’
aime
pour moi ces arcades, Ce dôme vert, ces pigeons T
ées de séparation, Beyle retrouve son amie, qu’il a si incomplètement
aimée
! Quelle parole que onze ans ! Mes souvenirs n’é
pas dans Milan sans reconnaître quelque chose, et, il y a onze ans, j’
aimais
ce quelque chose parce qu’il appartenait à la vil
n peu déçu, mais pas encore lassé ». Et peut-être que cette manière d’
aimer
l’Italie indignera les snobs de l’Art, qui, leur
une maîtresse maladroite, il ne s’attachait pas, il ne pouvait guère
aimer
que par à-coups, par caprices ; et comme Laura Bo
e San Nicolo… — Vous m’espionnez, par saint Marc !… — Giorgio, nous t’
aimons
et nous serions désolés, si on te ramassait, à l’
s… — Indiquez-moi donc, puisque vous tenez tant à ma vie, qui je peux
aimer
… sans la risquer ? On dressait des listes et on p
livrer aux flammes… — Une femme… — Et une radieuse créature !.. Je l’
aimais
! Un vilain tour que m’a joué la peste !… Morte,
, bons camarades, et elle avait bel et bien la peste ! Eh ! Eh ! je l’
aimais
. Mes baisers l’ont rassurée et elle est morte con
ou. — Qui t’a donné cela ? lui demanda un portefaix. — Piétro. — Tu l’
aimes
donc, puisque tu places ses cadeaux près de ton c
près de ton cœur ? — Piétro est généreux et bon client, pourquoi ne l’
aimerais
-je pas ? L’homme arracha les bijoux et les foula
mme eux, elle chanta. Elle remarqua un quartier-maître très beau et l’
aima
secrètement, jusqu’au jour où elle acheta l’eunuq
par un heureux hasard, logée dans une opulente demeure. La Maurina n’
aimait
que deux choses au monde, disait-elle : faire l’a
ntiments tellement nouveaux et violents que j’en demeurais stupide. J’
aimais
la Maurina ; elle m’aimait et j’avais l’impressio
et violents que j’en demeurais stupide. J’aimais la Maurina ; elle m’
aimait
et j’avais l’impression affreuse que l’amour des
s lauriers à leurs pieds… Je tiens, dans mes bras, la maîtresse que j’
aime
, j’ai la fortune et la gloire… et je suis moins h
autant plus vulnérables… J’avais séduit bien des femmes. Je les avais
aimées
sans angoisses ni tourments ; délaissées sans rem
des liaisons ennuyeuses. Je ne savais pas souffrir. La Maurina, que j’
aimais
follement, m’enseigna la douleur… Elle avait appa
ût-elle — était encore jeune. Nul ne lui avait menti… et moi, qu’elle
aimait
follement, je lui enseignais les soupçons… Ces pe
que m’inspirait la Maurina : — Pas tant de subtilités, Ziorzio, tu l’
aimes
et cela te surprend. La volupté parfaite enchaîne
nchaîne l’âme aussi bien que le corps ! Je ne lui avais pas dit qui j’
aimais
. Il ne connaissait pas la Maurina. Je lui appris
la Maurina. Il la rassurait : — Giorgio me charge de te dire qu’il t’
aime
et sera bientôt dans tes bras. Vous réprouviez, S
entatives me prouvaient à quel point elle m’était indispensable… Je l’
aimais
et je crois bien que j’aurais fini par lui obéir,
as-tu fait, Zaratto ? Pourquoi as-tu trahi ton Giorgio, ton ami qui t’
aimait
comme un frère… Pourquoi ? La douceur de ces paro
us affreux que ton crime… — Jamais, entends-tu bien… — Tu mens ! Tu l’
aimais
, puisque tu me l’as prise ! Elle t’aimait, puisqu
s-tu bien… — Tu mens ! Tu l’aimais, puisque tu me l’as prise ! Elle t’
aimait
, puisqu’elle t’a suivi ! — Jamais la Maurina ne c
-il sombrement, ne vit pas avec un homme sans lui appartenir ! Elle t’
aimait
! — Non. — Tu l’aimais. — Non. — Alors pourquoi…
pas avec un homme sans lui appartenir ! Elle t’aimait ! — Non. — Tu l’
aimais
. — Non. — Alors pourquoi… — Parce qu’elle l’a vou
Alors pourquoi… — Parce qu’elle l’a voulu ! — Pourquoi… si elle ne t’
aimait
pas… — Afin que tu souffres… Giorgio… Ah ! laisse
e. Selon nos conventions, je venais de dire à la Maurina. — Giorgio t’
aime
et sera bientôt dans tes bras. Et, au lieu de man
t, dans mes explications ? Je l’ignore… Un soir, elle me dit : — Je n’
aime
plus Giorgio… je ne veux plus vivre ici…, je pars
souriant. — Je l’ignore. — Tu pars seule ? — Non ! avec toi… car je t’
aime
, Zaratto… Tu m’aimes… tu me délivreras… Tu as ent
ore. — Tu pars seule ? — Non ! avec toi… car je t’aime, Zaratto… Tu m’
aimes
… tu me délivreras… Tu as entendu cette femme pron
in… Alors, Giorgio, j’ai voulu faire de la Maurina ma maîtresse. Je l’
aimais
, je la désirais. Elle m’avait dénaturé le cœur. J
ions, de mes menaces. À ma première violence, elle bondit : — Je ne t’
aime
pas, infâme Zaratto ! Ne comprends-tu pas que c’e
ime pas, infâme Zaratto ! Ne comprends-tu pas que c’est Giorgio que j’
aime
… Mais j’ai besoin de le faire souffrir ! Qu’il ap
arvins pas à la réduire. Je la menaçai de la quitter. — Des soldats m’
aimeront
! Le pays est rempli de troupes, ricana-t-elle… J
frères, artistes excellents… mes amis… je sens à quel point nous nous
aimions
… Ne vous désolez pas ! Ne m’oubliez pas. — Quand
ntes :) … Comme je déplorais la mort de Barbarelli, L’Arétin, qui n’
aime
pas rester triste longtemps, s’écria : — Ceux que
, il ne se repentait pas : Hélas ! s’il ne s’en repent pas, ceux qui
aiment
l’œuvre de Fogazzaro et qui admirent son noble ca
en chapelet, des louanges « opposées » à celles qu’un romantique eût
aimées
. Le choix volontaire des images est par trop évid
re sensibilité exaspérée, comme un apaisement irrésistible. Et nous l’
aimons
. Le temps du dilettantisme d’annunzien, venant d’
s. M. Guido Gozzano sourit avec une tristesse des plus touchantes. Il
aime
tout, il croit à tout, et son âme volontairement
de Mauvaise humeur, est mélancoliquement sceptique. Je ne puis pas
aimer
, ô Illusionnée ! Je n’ai Jamais aimé ! Ceci est l
ent sceptique. Je ne puis pas aimer, ô Illusionnée ! Je n’ai Jamais
aimé
! Ceci est le malheur que je cache. Je cherchai,
monseigneur le duc d’Orléans est jeune et joue volontiers aux dés et
aime
les filles. » Il avait tout net la réputation d’u
ris de « mort », et non sur un ton de gaieté ou de folie. Les Romains
aiment
beaucoup un jeu de cartes inventé pour eux, dit-o
éoplatoniciens et des alexandrins mystiques, dans la Syrie aussi, qui
aima
Adonis-Thamuz, époux de l’Ishtar babylonienne18.
Tu es beau dans ta fleur comme le dieu qui m’
aima
, le dieu bondissant porteur de thyrse25. Sébasti
r de Lazare, à qui il sera beaucoup pardonné parce qu’elle a beaucoup
aimé
…29. Elle se rappelle encore l’arbre qu’on prit po
e l’humanité souffrante, pantelante de volupté et d’amour, destinée à
aimer
toujours jusqu’au plus profond abîme de la faute,
es. Il joue avec Sébastien comme un lion avec un agneau. Bien qu’il l’
aime
pour sa beauté, il le menace des pires supplices
charge des épaules des nations. » Et si les héritiers de Saint Pierre
aimaient
à entourer leur cour d’humanistes, de peintres, d
la nostalgie violente qui le tourmentait lorsqu’il en était loin. Il
aime
une jeune paysanne qu’il exalte en l’appelant Fla
ttre Botticelli à son rang, c’est-à-dire au second plan. M. Schneider
aime
l’artiste dont il parle, et c’est trop naturel po
science des services qu’il pouvait rendre. Les dictateurs provisoires
aimaient
mieux commander à des centaines de milliers d’hom
les assertions, parfois un peu sommaires, des annalistes de Rome, qui
aimaient
à assigner à des personnages en vue des initiativ
sera plus facile à connaître. Deux jours plus tard, elle commence à
aimer
Rome, à en être curieuse. Une quinzaine passe et
il est jaloux surtout parce qu’une méchante femme lui a dit que j’en
aimais
un autre que lui. Que toutes les sorcières meuren
s les exercices scolaires, alors que l’hymne pascolien sera étudié et
aimé
par ceux qui auront résisté, dans le temps à veni
vé. Il représente l’ancienne France, celle d’avant les bombes où l’on
aimait
à vivre pour les grâces de la vie sans en cherche
ur est saint et sublime ; et qu’il faut, pour un être vraiment noble,
aimer
une âme, enfin que le vice est le contraire même
, tout autour de lui, durant l’heure de son Golgotha, Une femme qu’il
aima
, et dont il fut aimé, disparaît de sa vie, en sou
durant l’heure de son Golgotha, Une femme qu’il aima, et dont il fut
aimé
, disparaît de sa vie, en souriant vers d’autres d
négro qui fait l’enfant terrible… M. René Pinon a de la besogne. Il l’
aime
, cette besogne, et nous, nous aimons à l’y voir.
. René Pinon a de la besogne. Il l’aime, cette besogne, et nous, nous
aimons
à l’y voir. Memento [extrait] Revue du Mid
anvier 1914, p. 361-368 [367]. Roman du bon vieux temps où le lecteur
aimait
à trembler devant des tableaux un peu poussés com
le grand Titien. Vincenzo Peruggia, on vous a trompé : Nul peintre n’
aima
jamais la Joconde. Vincenzo Peruggia, les journau
votre arrestation, les journaux vous trompent encore. La Joconde est
aimée
des badauds et des esthètes, parce qu’elle fut la
de M. Maurice Barrès. — dont un de ses admirateurs me disait : « Je l’
aime
, parce qu’il est cochon… psychologiquement cochon
ssons en France. Vincenzo Peruggia, on vous a trompé : Nul peintre n’
aima
jamais la Joconde. Que pensent les peintres, et l
sique française, M. Carré a tenu à faire ses adieux à l’Italie, qu’il
aima
d’une ardeur si constante, et à réparer envers un
eprise commencée avec un esprit tout différent. Marinetti avait mieux
aimé
la supprimer que tomber dans les compromis. Mais
oici une sur Napoléon. Durant sa captivité à Sainte-Hélène, Napoléon
aimait
de préférence s’entretenir avec des Italiens et s
me épouvantable. Quand la catastrophe éclata, je n’ai pu sauver qui j’
aimais
le plus, et j’en reste encore atterré. Les confid
nt ornées de bons tableaux, de belles tapisseries et de meubles que j’
aime
. Il y évoluait un monde charmant, et que je retro
pain, vident votre cave… — Avec esprit, et c’est pour cela que je les
aime
. — Ils s’installent chez vous… — Comme chez eux !
ami Wellseley, répondis-je. — En êtes-vous sûr ? — Absolument. Elle l’
aime
. — Si je le lui avais demandé, il m’aurait prié d
er de cette femme comme vous l’avez fait, Aldramino. La Ceschini ne m’
aime
pas, comme vous le prétendez. Elle me hait, et n’
Voilà longtemps qu’Enea m’ennuie avec cet artiste. J’ai eu tort. Je n’
aime
pas cela. J’aurais dû lui dire, une fois pour tou
d’art qui attirent Wellseley… mais bien Aurora, c’est certain !…Il l’
aime
peut-être. Peut-être, aussi l’a-t-elle remarqué !
pas remarqué ?… Il arrêta sur ses lèvres le nom de Wellseley. — Je n’
aime
pas les Ceschini, et vous… Comme elle ne répondai
— Ils me sont indifférents ; laissez-moi dormir, par pitié !… — Je n’
aime
pas ces trois personnages, ce mari stupide, oui s
fut rendue au silence et au chant… Aurora écoute ces romances qu’elle
aime
, et qu’elle vient entendre, sous la protection de
et triste, long, mince et blond, ne parlant que par monosyllabes. Il
aimait
la musique, la peinture, et les États républicain
ur lui inspirer un chef-d’œuvre ! Oh ! ne vous révoltez pas ! Il faut
aimer
une femme pour l’immortaliser ! Il faut l’aimer a
évoltez pas ! Il faut aimer une femme pour l’immortaliser ! Il faut l’
aimer
avec son cœur, avec son imagination, avec sa chai
voulez-vous dire ? Elle la saisit aux poignets : — Je te défends de l’
aimer
, ce Wellseley ! Je l’aime aussi, peut-être… En to
saisit aux poignets : — Je te défends de l’aimer, ce Wellseley ! Je l’
aime
aussi, peut-être… En tous cas, je ne veux pas qu’
le foyer. J’ai reconnu, cependant, des airs de « Méfistofele ». Je n’
aime
pas cette musique ; elle enchante, par contre, vo
pe leur dit avec sa narquoise bienveillance : — Je comprends que vous
aimiez
la danse. C’est de votre âge. Ce goût a été et se
y enchantaient par leur musique, Wellseley dit simplement : — Je vous
aime
! Il s’approcha. Elle eut un mouvement de recul,
ément. Comme elle essayait de… — Je connais l’histoire. La Ceschini n’
aime
pas Wellseley, ne vous semble-t-il pas ? — Je n’a
nt sur l’oreiller : puis, tout à coup, elle se dressa : « Wellseley m’
aime
, je l’aime aussi, se dit-elle ; je me vengerai !
eiller : puis, tout à coup, elle se dressa : « Wellseley m’aime, je l’
aime
aussi, se dit-elle ; je me vengerai ! » Pouvait-e
billet suivant : Je t’avais avertie ! Maintenant prends garde ! Nous
aimons
le même homme ! Nina. Elle se leva, s’habilla, so
vous donne à moi ! s’écria John-Arthur, après avoir lu. — L’avez-vous
aimée
?interrogea Aurora. — Pendant une semaine, jadis…
ez-moi. Mais… Elle l’interrompit : — Je sais que, parfois, l’on croit
aimer
, et je sais aussi que je ne dois pas être jalouse
dans la petite église de San-Trovaso : elle avoua à la Vierge qu’elle
aimait
éperdument, et lui demanda d’être forte afin d’êt
is Ugo la rappela. Ils échangèrent quelques impressions d’art. Aurora
aimait
les vierges de Bellini et de Carpaccio. Ugo leur
Et qui disait : « Je t’avais avertie ! Maintenant prends garde. Nous
aimons
le même homme ! » Tu n’as pas suivi les conseils
ne m’emporte ; et je t’écris, parce que tu es aveugle, parce qu’ils s’
aiment
; et que je préfère les perdre que la savoir à lu
E À quelque temps de là, Aurora fut internée par sa famille, qui ne l’
aimait
guère, dans un hôpital de fous ! Elle mourut, peu
endre la vie. C’est surtout un enfant qui a déserté les écoles, qui n’
aime
pas la lecture et qui voulait plutôt entrer au th
s et grotesques comme personne n’avait songé à le faire avant lui. Il
aime
, comme tous les poètes de tous les temps, l’eau d
t, qui est dominé tour à tour par le cynisme et par le sentiment, qui
aime
dans le même temps le grotesque et l’horrible, qu
assion satisfaite pour que le pouvoir de la musique se volatilise. Il
aime
Angela, il est ou se croit aimé, il est heureux ;
uvoir de la musique se volatilise. Il aime Angela, il est ou se croit
aimé
, il est heureux ; aussitôt « mille petites circon
ni ballets, Cela sent trop l’enfance. — Mais, M. le Bailly ! On peut
aimer
la danse ? Hein… M. le Bailly ? Aussi bien, la
r celle-là, le titre est bien exact. Vous devez être fier d’avoir été
aimé
ainsi. La délicieuse enfant ! Voici que grâce à R
rquises, de gourgandines, y compris cette Lucrezia que vous avez tant
aimée
et qui vous a fait coucher pratiquement entre ell
ropre fille à tous deux, y compris cette Henriette que vous avez tant
aimée
et que vous avez cueillie dans le lit d’un vieux
pitaine hongrois, y compris cette religieuse M. M. que vous avez tant
aimée
et sur laquelle vous êtes forcé de nous avouer qu
en une seule phrase courte, elle ne sait dire que celle-là : Je vous
aime
bien, aimez-moi de même. C’est l’appel à votre te
le phrase courte, elle ne sait dire que celle-là : Je vous aime bien,
aimez
-moi de même. C’est l’appel à votre tendresse, tou
rminaison toujours la même. Vous l’a-t-elle assez conjugué le verbe :
aimer
, au présent ! Allons, en avez-vous rencontré deux
-vous rencontré deux semblables dans votre vie amoureuse ? — Je vous
aime
, aimez-moi. — Je ne pourrai jamais cesser de vous
rencontré deux semblables dans votre vie amoureuse ? — Je vous aime,
aimez
-moi. — Je ne pourrai jamais cesser de vous aimer.
e ? — Je vous aime, aimez-moi. — Je ne pourrai jamais cesser de vous
aimer
. — Bonsoir encore, bonsoir, aimez-moi bien, je va
Je ne pourrai jamais cesser de vous aimer. — Bonsoir encore, bonsoir,
aimez
-moi bien, je vais m’endormir en pensant à vous. —
mez-moi bien, je vais m’endormir en pensant à vous. — Adieu, bonsoir,
aimez
-moi bien. — Adieu, adieu, aimez bien votre petite
en pensant à vous. — Adieu, bonsoir, aimez-moi bien. — Adieu, adieu,
aimez
bien votre petite amie. — Bonsoir, je m’endors, v
écris encore plus mal qu’à mon ordinaire. — Bonsoir, bonsoir, je vous
aime
bien, aimez-moi de même ; dormez bien, mon cher a
e plus mal qu’à mon ordinaire. — Bonsoir, bonsoir, je vous aime bien,
aimez
-moi de même ; dormez bien, mon cher ami. Et enco
ait autrefois abandonné ces malades. Vous, vous ne l’avez jamais tant
aimée
, et cependant, avec votre perspicacité précoce, v
jà rendu compte quelle petite vicieuse était en réalité Bettine. Je l’
aime
comme vous, cette Bettine, et j’ai eu une vraie j
surde, le tout pour y permettre le jeu de votre esponton. — Mais vous
aimiez
l’effet à outrance, étonner, épater comme ils dis
eux, à donner une allure plus respectable à un mot qu’en somme nous n’
aimons
pas à prononcer parce qu’il touche à trop de chos
r le mathématicien, l’écrivain, le philosophe, le lettré, l’érudit, j’
aimais
l’homme, et Henri Roujon a bien deviné le lien qu
vénération pour ce vieillard par lequel vous aviez conscience d’être
aimé
comme un fils et pour lequel vous n’avez jamais e
des plus grands et des plus profonds sentiments. Elle ne pouvait pas
aimer
avec modération. Si elle se donnait, c’était un d
jamais répété, s’ils avaient su de quelle façon Lina et moi nous nous
aimions
. Personne, peut-être, n’avait encore aimé comme n
on Lina et moi nous nous aimions. Personne, peut-être, n’avait encore
aimé
comme nous aimions. Mais pourtant si, éloignée de
ous nous aimions. Personne, peut-être, n’avait encore aimé comme nous
aimions
. Mais pourtant si, éloignée de Naples, où elle av
s causer… Il gardait son revolver à la main. — Monsieur, fis-je, je n’
aime
guère qu’on se moque de moi. Si vous avez l’inten
se di Baiano, colonel aux guides en retraite. — Je m’inclinai. — Vous
aimez
ma fille, Monsieur, dit-il en tournant les yeux v
ions fiancés. Et pourquoi ? Parce que le père de la jeune fille que j’
aimais
nous avait surpris !… Non, cela était absurde. Il
tant noble je l’eusse dissimulé. Mais, me sachant de belle race, il m’
aimait
tout de suite deux fois plus, flatté, heureux de
J’ai été heureux de faire votre connaissance, hier, au Caffetuccio. J’
aime
beaucoup les Français. D’ailleurs, je connais un
n’eût pas été, cela n’avait pas été ! J’étais un cavalier français, j’
aimerais
peut-être sa fille, et peut-être qu’un jour je lu
timent, avec ses sourires mondains et ses propos médiocres. Nous nous
aimions
, nous possédions un merveilleux secret ; il y ava
ntenant, le risque serait fini : non seulement j’aurais le droit de l’
aimer
, mais encore le devoir ! Et c’était un autre que
core le devoir ! Et c’était un autre que moi, maintenant, qui, s’il l’
aimait
, connaîtrait le danger et l’aventure ! Voilà ce q
c’était le meilleur mariage que je pusse rêver. Maintenant qu’elle m’
aimait
, il n’était pas moins bon. Pourquoi donc alors le
yeux que la mélancolie obscurcissait, elle murmurait : « Ah ! tu ne m’
aimeras
pas toujours ! » Et je devais la presser sur mon
es avec Lina des pèlerinages aux lieux charmants, où nous nous étions
aimés
. Déjà c’était le passé. Mais le présent n’était p
onc assez puissant pour créer de toutes pièces l’objectivité du sujet
aimé
. Cela a toujours été vrai pour l’amour chrétien m
ais ils ne l’ont guère jugé assez puissant pour transférer à la femme
aimée
la matérialité même de son amant. Faust aime Hélè
r transférer à la femme aimée la matérialité même de son amant. Faust
aime
Hélène et parce qu’il l’aime il en tire non seule
la matérialité même de son amant. Faust aime Hélène et parce qu’il l’
aime
il en tire non seulement les mêmes sensations que
sence asexuée, aimant le Christ comme les archers et les adoniastes l’
aimaient
lui-même. Ce qui le touche n’a rien à voir avec l
un jeune garçon qu’il avait rencontré à Rome et que, dit-on, il avait
aimé
. Qu’il fût arrivé à cette imprécision de l’amour
wich) que, à l’époque des Grecs ou de la Renaissance, « Goethe aurait
aimé
l’homme et la femme sensuellement et également ».
e veut pas laisser ces formes évoluer, servir de chaînon, ou, si l’on
aime
mieux, de semence pour des floraisons nouvelles,
très français, tel que les plus beaux esprits du grand siècle eussent
aimé
. Il ne l’a pas écrit dans une langue voisine de c
es et dans une île naturellement rafraîchie par la brise marine, on n’
aime
à dormir sur les toits que pendant la canicule. C
pour l’inquiète femme. Les mères me feront bénir quelque berceau : J’
aimerai
l’ouvrier, joyeux comme un oiseau. Je serai plus
e naïf, créait une fleur d’art d’un charme tout particulier… Lionello
aimait
à jouir pleinement de la vie. Son esthétique raff
, un joli visage fin, un joli corps svelte et fragile… une dame que j’
aimerais
d’embrasser… » Mais elle ne comprenait rien de to
uls, dans le salon de l’hôtel, côte à côte. Je lui disais : « Je vous
aime
!… Mes lèvres ont envie de vous !… Quand saurai-j
t voulu, le prétexte du coup d’éventail eût été facilement trouvé. Il
aima
mieux agir à Constantinople, auprès du grand vizi
perçoit qu’on y égare les manuscrits, ça ne le décourage pas trop. Il
aime
les roses, les couchers de soleil ensanglantés, l
derne et elle sera brûlée… comme elle aura brûlé toutes les étapes. J’
aimerais
, parce que j’ai le caractère mal fait, un brin mo
e l’hommage qu’il importe de rendre au conteur ; et cette raison de l’
aimer
, c’est qu’il est infiniment aimable. Il a le cœur
es sergents retroussaient leur moustache en passant près d’elle. Je l’
aimais
beaucoup, surtout parce qu’elle avait pour pendan
me consola et m’apaisa en m’achetant un peu de pâte de tamarin que j’
aimais
beaucoup. « Une autre fois, ma mère avait mal aux
C’était un pantin peint en vert, en jaune, en bleu et en rouge. Je l’
aimais
plus qu’aucun autre de mes joujous, parce que je
riolage, tout concourait à en faire pour moi une sorte de génie que j’
aimais
croire tutélaire. Je ne sais pourquoi je l’avais
grandes plaques de marbre prétentieuses et grandiloquentes, comme les
aiment
ces buveurs de mots que sont les Italiens : l’une
vrai sens, n’est autre que l’union spirituelle de l’âme et de l’objet
aimé
. III. — Cet amour opère dans mon esprit, amour de
i fuyez l’amitié de cette Sagesse ! Avant votre naissance elle vous a
aimés
, préparant et ordonnant votre entrée dans la vie.
tion du semeur et de celle des cieux. XVIII. — Notre instinct naturel
aime
surtout son moi, puis dans le moi diverses partie
’homme jeune doit regarder en arrière le passé et en avant l’avenir ;
aimer
ses amis, ses ancêtres dont il a reçu l’existence
s ancêtres dont il a reçu l’existence, la nourriture et la doctrine ;
aimer
ses cadets, pour leur épancher avec amour ses bie
ontanée. » Le latin est la langue de l’Église, la langue ennemie ; il
aime
le vulgaire parce que c’est sa langue de croyant
es formules d’Aïda, quant à son tour il se fait compositeur. Pour qui
aime
le clinquant et supporte l’emphase, le prologue d
gré quelques artifices, paraît pur, sans surcharge d’épithètes ; je l’
aimerais
mieux sinon « libre », du moins un peu plus libre
: « Ce roman intéresse beaucoup les vieux Vénitiens qui, comme moi,
aiment
chaque pierre de la cité dogaresse ; mais ils son
, Comme Philippe de Bourgogne Vous trouveriez la toison d’or… Aussi j’
aime
tes courtisanes. Amant du vrai, grand Titien… il
u’en France dans quatre-vingt-dix-neuf mariages sur cent l’homme seul
aime
sa femme, tandis qu’à la femme son mari est parfa
Naples à Pola : Naples — Pompéi — Raguse. Sur les Napolitains : « Ils
aiment
la vie. À l’opposé des peuples avides qui la prép
une situation donnée avec le désintéressement de l’observateur. Je n’
aime
pas beaucoup le titre L’Onesta Viltà, trop explic
onfession protestante, M. Sabatier a compris saint François et il l’a
aimé
. On peut même dire qu’il l’a fait connaître, bien
cations contre elle, il lui a amèrement reproché ses vices, mais il l’
aime
passionnément, et la pensée qu’il est à jamais él
sion dont il a empli sa grande âme tragique. Et l’on comprend qu’il l’
aime
ainsi ! Entre les citoyens de la république flore
ome, par M. G. Ferrero. […] Poesia (décembre-janvier) publie l’Objet
aimé
, pastorale en 1 acte, d’Alfred Jarry et publiera
e mâle, et séparés, tous les deux croissent peu et tard. La vigne est
aimée
de l’ormeau. Théophraste écrit que l’on rencontre
yable qu’il le moleste et lui ôte toute pensée et tout soin. Celui-ci
aimera
avec transport, et celui-là pour la commodité. Il
Amour a son existence dans la mémoire où gît l’impression de la chose
aimée
, comme la lumière dans un corps transparent. Amou
en larmes et en soupirs. L’amant n’a plus qu’un plaisir : regarder l’
aimée
et tirer de son visage sans fraude sa seule récom
ntiuo, les Boldù, les Sperandio, les Cristoforo Geremia ; et l’on eût
aimé
qu’une étude portant pour titre principal Pisanel
ppée jusqu’à la dégénérescence cérébrale. On affectait de continuer à
aimer
pour sa grâce séduisante, tout en la méprisant, c
de l’Allemagne et de l’Angleterre, alors que l’unanimité des Français
aiment
sans restriction les Italiens en leur souhaitant
ique, et dont il voudrait avoir toujours un exemplaire, de même qu’on
aime
s’entourer des œuvres d’art les plus aimées pour
n exemplaire, de même qu’on aime s’entourer des œuvres d’art les plus
aimées
pour composer l’atmosphère de sa propre demeure e
plus aimées pour composer l’atmosphère de sa propre demeure et qu’on
aime
avoir sous la main la musique préférée, pour être
goûter la profonde consolation à tout moment, ainsi que l’éthéromane
aime
sentir sous sa main le flacon bienfaiteur. Ils n’
ouilles bleues… mais c’est tout le monde, j’entends tout le monde qui
aime
un art, ou un auteur. À la fin du recueil, où ser
ation de ces hommes de génie qui nous apprirent à la connaître et à l’
aimer
: ce sont eux qui ont vraiment retrouvé la Rome a
e Burnes Jones et de Dante-Gabriel Rossetti. De ce dernier surtout il
aima
la pureté ardente, la douloureuse suavité ; et il
ue la vie lui offrait de gloire et de bonheur dans cette ville, qu’il
aimait
par-dessus toutes, et dans laquelle ses ancêtres
sques, les scènes principales de la vie de saint Benoît. Comme eux il
aime
les teintes tranquilles, les attitudes calmes, le
choisirent leurs solitudes, pour être certain qu’ils comprenaient et
aimaient
les pures beautés de la création. Par ces choses
sse ces seuls mots : « Servir, ô mon Dieu, je voudrais servir et Vous
aimer
». Ainsi faisaient sans doute en leurs extases l
nnaissance à ce livre qui m’a fait communier si divinement à ce que j’
aimais
déjà avec ferveur : l’art chrétien, le recueillem
r le genre d’attrait par où Pagello avait conquis George Sand. Elle l’
aimait
parce qu’il était stupide. Ce n’est pas M. René
créature, bonne et sincère… Brave jeune homme ! Dis-lui combien je l’
aime
!… etc., etc. Je dis alors à Pagello : « Brave j
tôt maudire sa « bonne fortune ». Au fait, en est-ce une jamais que d’
aimer
une femme de lettres, ou même d’en être aimé ?
est-ce une jamais que d’aimer une femme de lettres, ou même d’en être
aimé
? Tome LXXIX, numéro 288, 16 juin 1909 A
ements. Phèdre n’est donc plus la jeune femme fatiguée, lasse de trop
aimer
, d’Euripide et de Racine. C’est la femme qui aime
uée, lasse de trop aimer, d’Euripide et de Racine. C’est la femme qui
aime
et qui convoite brusquement, sans se lasser, tout
offrant la lyre au messager, le créant poète. L’aède, sa créature, l’
aime
, et il est le seul qu’elle croit digne d’assister
eur du poison et les tristesses de l’exil29. Il suffira de dire qu’il
aima
avec la même ardeur les lettres, les arts, le pla
auprès de lui. Il lui en écrira donc une chaque jour, de celles qu’il
aime
. Et ce sont, sous sa plume endiablée, récits truc
homme, aux dents très blanches, et je me figure que les demoiselles m’
aiment
pour de bon. Ah bien ! c’est ma bourse qu’elles a
demoiselles m’aiment pour de bon. Ah bien ! c’est ma bourse qu’elles
aiment
, ma bourse toujours plus vide que l’arche de Noé
vous en suis grandement obligé. Je sers, je le sais, un prince qui m’
aime
. Il est vrai qu’il est bien loin de moi. Tant mie
ruit ensemble. Pardieu, m’ont dit par deux fois ces demoiselles, nous
aimons
mieux te voir pauvre auprès de nous que riche ave
ieux te voir pauvre auprès de nous que riche avec le légat. Lui, il n’
aime
que les tarots. Puisse-t-il être malade de nouvea
ître s’il n’est pas encore las de ses billevesées, lui affirmer qu’il
aimerait
mieux composer un argument en théologie qu’une le
s pages des revues. En haine de d’Annunzio, triomphateur éclatant, on
aime
Pascoli, triomphateur discret. C’est peut-être to
va seule. Une farouche liberté d’esprit pousse la poétesse à ne rien
aimer
hors l’instant fugitif, à ne rien attendre, à ne
ur sa figure sa queue douce et impertinente. Bélisaire n’avait jamais
aimé
les chats et celui-là lui fit horreur. — Sale bêt
ttendri. « Aujourd’hui, du moins, ils pourraient jouir du soleil et s’
aimer
librement à la lumière du jour et en plein air !
ieu de cette terre dure, sèche et haletante de l’Ombrie. Et Bélisaire
aima
Totila parce qu’en cela encore elle suivait si na
nt, aux yeux pleins de douceur, au pelage de neige, pareils à ceux qu’
aimait
Virgile… Totila et Bélisaire, quittant la barqu
udo-dramatique aventure, il effaçait volontairement le souvenir. Trop
aimé
et trop déçu, cela faisait une assez juste balanc
a sa jeunesse triomphale et le cortège des femmes, aussi, qu’il avait
aimées
un peu, beaucoup, plus vite délaissées et qui ava
destin mauvais et de même que lui il a sous sa garde une femme qu’il
aime
passionnément, Mevena, la fiancée de son ami le c
té se noierait dans le brouillard de son aspiration à être mère, et à
aimer
pour être mère, à s’éloigner de la vulgarité du m
isir, en somme, comme il ferait d’un automate. Bientôt il la pousse à
aimer
un vulgaire séducteur, déjà cause autrefois d’un
pterait qu’on eût rendu préalablement le même service au futurisme. J’
aime
le passé, j’aime M. Marinetti. Et, quant au futur
rendu préalablement le même service au futurisme. J’aime le passé, j’
aime
M. Marinetti. Et, quant au futur, il les contiend
a réalité. Deux autres écrivains nous y ramènent en nous invitant à l’
aimer
pour ce qu’elle offre de magnificence tangible. L
rop naïf ; certaines personnes (et non des moindres) parmi celles qui
aiment
Stendhal déclarent qu’il y avait chez lui un côté
la transcrire purement et simplement, comme émanant d’un écrivain qui
aime
surtout Stendhal à travers Napoléon, mais lui a d
Moyen-Âge le mythe d’Hercule, fut de bonne heure aussi grand et aussi
aimé
au-delà qu’en deçà des Alpes. On a cherché en Ita
ations lyriques des joculatorès, des jongleurs profanes et mystiques,
aimaient
les récits de l’aventure du grand Roland, et les
désuni, une épouse soupçonneuse et peu à peu délaissée, un époux qui
aime
ailleurs. Ici, selon la volonté de l’auteur, M. N
t remplit la vaste étendue qui sépare le mortel et l’immortel. […] On
aime
l’androgyne, mais à moins d’être de la race de Mé
matières ; en vain Racine fait son chef-d’œuvre d’une pièce où l’on n’
aime
point, l’amour reste maître des arts, parce qu’il
enne, est disparue en beauté, car elle a entraîné dans sa mort l’être
aimé
. Le fait-divers a pris une signification « lyriqu
ant horriblement étroit, mutile les enfants que l’on y fait passer. J’
aime
mieux douter que croire à un pareil récit. Les cl
t ce qui accompagne les battements toujours pressés de mon cœur qui t’
aime
partout, et je ne peux souvent que penser à toi,
legro, allons donc ! Allegro. » Sans l’oublier, on peut fuir ce qu’on
aime
con entusias… apri la Bocca Sol, avec enthousiasm
’opère froidement sans obstacle et sans bonheur. Ce spectacle me fait
aimer
les quatre murailles humides où nous sommes relég
t isolé, compris et non suivi par une petite élite, et en général mal
aimé
et, encore plus, mal haï. Il apparaît encore, au
eux mouvements parallèles de la pensée et de l’expression ou, si l’on
aime
mieux, en la représentation littéraire de deux pu
er sur un objet ; et qui meurent sans désir, qui meurent d’avoir trop
aimé
sans rien étreindre. Ces créatures sublimes, ces
ser, c’est diminuer, et définir c’est isoler. C’est ainsi qu’Isabelle
aime
terriblement Paolo, et elle l’aime si terriblemen
st isoler. C’est ainsi qu’Isabelle aime terriblement Paolo, et elle l’
aime
si terriblement, elle concentre tout son être tel
areil, les fantômes de son ami mort, de Vana morte, et de celle qu’il
aime
et qui est folle. § Le défaut de ce roman est dan
nt, moi je ne lui en demande pas plus pour lui trouver du génie. Je n’
aime
pas le procédé employé par l’auteur et je ne disc
s nouveaux grands noms de Tiepolo, de Guardi, des Canaletto, des noms
aimés
de la Rosalba et de Pietro Longhi. Balestra, Ricc
es et des meubles gracieusement baroques, aux étoffes précieuses ! Il
aime
et il étudie tout ce petit monde joyeux et raffin
une explosion du « point d’honneur », heurté par le viol de la femme
aimée
, plus qu’il n’y avait de véritable amour exaspéré
appelle cela une peinture de mœurs, c’en est une et, pour ceux qui en
aiment
le genre assez facile, assez réussie, quoique abs
rie, fille de bons paysans, est désirée par le paysan Cencio, qu’elle
aime
, par le fils du gérant de ses patrons et par le f
ouple, l’amenant au « pateracchio » final, au joyeux dénouement. Je n’
aime
pas le drame d’évocation populaire. Il ne peut s’
défaillant de la femme du « favori », Léonora Galigaï, véritablement
aimée
de la Reine, elle, alors que le mari en était peu
beauté » que les dames de sa cour n’avaient pas à faire effort pour l’
aimer
et le lui prouver. Elles le lui prouvaient si fac
le matérialisme s’élance à travers la douleur de la perte de la femme
aimée
, vers les spéculations progressives de son esprit
re Sand-Musset-Pagello. Lettres éperdues, questions passionnantes ! «
Aimèrent
-ils ? N’aimèrent-ils point ? Couchèrent-ils ? Ne
gello. Lettres éperdues, questions passionnantes ! « Aimèrent-ils ? N’
aimèrent
-ils point ? Couchèrent-ils ? Ne couchèrent-ils pa
les, les sérénades, « très pont des soupirs » et que son ami qui ne l’
aime
plus contemple avec désespoir : n’est-elle pas en
ur. C’est là que le héros de René Boylesve rencontre celle qu’il doit
aimer
à jamais et qui lui paraît si jeune, si fine, si
t Évrard, l’autre est Ginko et Biloba. L’esprit de Laurent Évrard qui
aime
à chercher le mystère des choses le poursuit derr
dont il avait le terrible privilège. À Milan, Léonard fut reconnu et
aimé
. Sa grande faculté de joie put s’épanouir avec un
icis, dont la complexe psychologie n’a pas encore trouvé son exégète,
aima
Michel-Ange ainsi qu’un artiste exquis, tendremen
qu’un artiste exquis, tendrement joyeux et délicatement sensuel, peut
aimer
un colosse qui bouleverse avec des rugissements d
out seul devant l’âme prosternée du monde. Jules II avait tour à tour
aimé
, exalté et humilié Michel-Ange, dans lequel il ne
u s’ouvrirent, tout d’abord, pour la Primavera de Botticelli, tableau
aimé
par la gravure, et dont la séduction hantait mes
tes. Élevons-nous jusqu’à la notion la plus parfaite de la Divinité ;
aimons
, désirons, comprenons et possédons l’Harmonie. Bâ
is est vivement discuté, mais avec plus de justice, et se sent, sinon
aimé
, du moins compris. Pourtant Milan le sollicite en
nce bien ; mais un deuil cruel l’interrompt. Rosso perd une mère très
aimée
et demeure de longs mois dans un abattement profo
x vulgaires sollicitations d’une tradition facile et vaine, — d’avoir
aimé
la vie et ses réalités pures au point d’assujetti
— et voici que, transportés en votre jardin, il admire ces œuvres, il
aime
ces hommes ! Cette aventure ne vous grandit pas,
imprimeur peut être fier ; c’est très bien repéré, mais que cela fait
aimer
le beau, le pur, le divin papier blanc. G. P.
a meilleure sans doute depuis la charmante notice de M. de Wyzewa. On
aime
à lire ses subtils commentaires, même contradicto
n’y a, au contraire, aucune objection à faire. Il connaît Verlaine, l’
aime
et le juge comme il faut. Ces pages excellentes s
oyen de connaître l’opérateur de tant de choses admirables et comment
aimer
dignement un inventeur. Le grand amour naît de la
inventeur. Le grand amour naît de la grande connaissance de ce qu’on
aime
. Et ce que tu ne connais pas ou que tu connais ma
e. Et ce que tu ne connais pas ou que tu connais mal, tu ne pourras l’
aimer
, et si tu l’aimes pour le bien que tu attends de
connais pas ou que tu connais mal, tu ne pourras l’aimer, et si tu l’
aimes
pour le bien que tu attends de lui et non pour sa
revenir dans un an. Près d’elle, un jeune homme, voisin de campagne,
aime
la jeune fille depuis longtemps : Massimo est bie
: celui qui est devant elle n’a rien de commun avec son rêve ; elle a
aimé
un homme qui n’existait pas, et aujourd’hui elle
t à mourir, tandis que son père, dans la solitude d’Albano, trouve et
aime
une Claire Bregh ; et alors, puisqu’il n’y a plus
e préférer toute autre, fût-ce l’iroquoise ou même l’anglo-saxonne. J’
aime
mieux penser que la phalange « vériste »se paie g
e Dante. Elles y sont bien plus nombreuses qu’on ne le croit. Dante n’
aima
pas que Béatrice. Je ne parle pas des femmes en l
“La Fleur du marécage” : en un des paysages bourbeux et désolés, tant
aimés
de notre artiste, se dresse une mince tiare couro
nt guère bienveillantes. Il est inutile de citer Alfieri ; il ne nous
aimait
pas beaucoup et il l’a dit avec sa violence habit
rent écrits à leur imitation. Ils racontent l’histoire d’un homme qui
aima
la vie passionnément et pour elle-même ; pour qui
plus loin. » Sur un autre bout de papier Casanova déclare : « Je n’
aime
pas non plus les villes régulières, Turin, Nancy,
e pas non plus les villes régulières, Turin, Nancy, Lille, Windsor. J’
aime
Venise, Rome, Florence, Milan, Constantinople, Gê
er, ni le maltraiter, elle doit être douce, le plaindre, si elle ne l’
aime
pas, et lui suffise de se tenir invinciblement at
lle écrit : « Ne me croyez jamais que lorsque je vous dis que je vous
aime
et que je vous aimerai toujours. » Dans une autre
croyez jamais que lorsque je vous dis que je vous aime et que je vous
aimerai
toujours. » Dans une autre, d’orthographe défectu
n de la vache de Potter si admirée de Fromentin. Cette vache-ci a été
aimée
par Segantini le temps qu’en a duré le dessin ; i
nscience de sa beauté. Dès qu’elle ne se mire plus dans les yeux de l’
aimé
, dès qu’elle veut pour soi seule être belle, c’es
-grammatique. On n’admire pas Léonard comme un simple Vélazquez. On l’
aime
si on le comprend, et l’amour toujours s’extasie
st le principe d’où découlent les lois ou causes secondes ; on doit l’
aimer
, et accepter la mort et la nécessité du travail,
: « Quel est le devoir du chrétien ? », répond : « Connaître Dieu, l’
aimer
, le servir et par ces moyens acquérir la vie éter
ties qui, réunies ensemble, forment le tout de la chose qui doit être
aimée
. Si tu ne connais pas Dieu, tu ne saurais l’aimer
chose qui doit être aimée. Si tu ne connais pas Dieu, tu ne saurais l’
aimer
; si tu l’aimes pour le bien que tu attends de lu
tre aimée. Si tu ne connais pas Dieu, tu ne saurais l’aimer ; si tu l’
aimes
pour le bien que tu attends de lui et non pour sa
en de connaître l’opérateur de tant de merveilles et la vraie façon d’
aimer
un tel inventeur » (15). Pétrarque, Æneas Sylvius
, lui qui entend mieux l’œuvre divine. « L’amant se meut par la chose
aimée
comme le sens avec le sensible ; entre eux ils s’
qu’un. L’œuvre est la première chose qui naît de l’union. Si la chose
aimée
est vile, l’amant s’avilit ; si, au contraire, el
re ces expressions tendres et animiques ; ils ont étudié l’œuvre sans
aimer
l’auteur et Dieu manque aux meilleurs ouvrages de
on de Léon X, de celle de ses compatriotes de Florence, mais toujours
aimé
, toujours entouré, il n’a souffert que dans sa fo
ous souvient-il d’un de nos camarades qui, voulant forcer celle qu’il
aimait
de se rendre à ses désirs, remplissait sa chambre
. » Les amants se tournent invinciblement vers le simulacre de l’être
aimé
et les peuplés se pressent avec ferveur devant ce
idées. La Thorah n’a eu d’autre épilogue que le Koran, et enfin, on n’
aime
Jésus que dans la mesure où on abomine Jehovah. L
trie et ses dieux. III Quand la chaleur du jour s’épuise, j’
aime
à voir Tandis qu’au loin la mer ondule en vague
es incertaines, Mon Destin s’illumine et se précise en moi. Je t’
aime
d’avoir su, d’une main forte et belle, À ta gloi
place ; La foule, en mouvement, évoque dans l’espace, Les choses qu’
aimait
à peindre Canaletto. Et les trois étendards de
e en réseaux Si ténus qu’on dirait un jeu d’orfèvrerie ! J’eusse
aimé
vivre là quand naturellement L’Art coulait de l
Du Beau dorait les cœurs d’une flamme attendrie. XVI Je t’
aime
à la façon de ces images peintes Que les murs d
s plaintes, Il n’en peut rien tirer qu’un front silencieux. Je t’
aime
sans espoir. Venise est ta patrie Aux ciels pei
ien amoureux de l’époque qu’il décrit. Florence est au moment où l’on
aime
, on rit, on chante. Deux amants princiers, Laure
la beauté de Simonetta, la belle Simonetta, femme de Marco Vespucci,
aimée
de Julien. Julien venait de triompher dans la jou
bijoux, les pièces d’orfèvrerie tant recherchés à une époque où l’on
aimait
à montrer sa richesse, obligeait ces artistes à ê
On discute, on résiste, et la raison principale est que le nom qu’on
aime
le moins à rayer d’un catalogue est celui de Léon
ie, nous pouvons, grâce à Vasari, essayer d’imaginer ce qu’il fut. Il
aimait
les enfants. Il travaillait. Il cherchait sans re
uvage. La vie lui plaisait par ses formes et par ses couleurs. Il dut
aimer
son époque si active, si amoureuse des arts, de l
. Mais, vers cette époque, à Ferrare, un adolescent d’humeur sombre
aima
la fille d’un exilé florentin. Leurs maisons étai
nnocence et sa sagesse, elle songe à qui l’a sur terre délicieusement
aimée
, et, en attendant de l’accueillir dans la joie à
nt de ses vers. Ses vers ! pour elle ils avaient été écrits, elle les
aimait
, et il en avait pieusement déposé le manuscrit un
bres du mystère éternel. Ah ! comme on eût pu mieux comprendre, mieux
aimer
, lorsque, jeune, on gaspillait les heures insouci
tien). Mais là-dessus les événements se précipitèrent ; Venise, qui n’
aimait
pas la Révolution, en demeura, avec la France de
e fournit pour le cœur humain des données vraies et sur lesquelles on
aime
à méditer la nuit en courant la poste. » Arch
oses. Il est bon de les redire aujourd’hui. Il y a des sociétés qui n’
aiment
pas assez les lettres ; il y en a d’autres qui le
iétés qui n’aiment pas assez les lettres ; il y en a d’autres qui les
aiment
trop. C’est dans ces dernières qu’elles se corrom
désagréables. Ils auront plus que de rapides applaudissements. On les
aimera
et on songera à eux. Comme des graines jetées par
’ailleurs, quoi qu’on en dise, quoi que j’en aie dit moi-même, on les
aime
et ils sont trop pour qu’on ne retrouve point par
ome LXXIV, numéro 268, 16 août 1908 Littérature. Ovide : L’Art d’
aimer
, le Remède d’Amour, Les Amours d’Ovide, le Jugeme
80]. La Librairie Moderne nous donne une édition illustrée de l’Art d’
aimer
d’Ovide, auquel on a ajouté le Remède d’Amour, le
Révolution ». Avant cette époque, l’an VII de la République. l’Art d’
aimer
et le Remède d’amour n’avaient jamais été traduit
er harmonieusement le désordre : en des architectures symétriques ils
aiment
à disposer des attitudes rythmées, et l’obsession
e grand Roi poète, un Médicis, chantait des chansons au peuple, qui s’
aimait
en saluant le printemps renaissant. D’autres poèt
ion. La piété et l’orthodoxie d’un Bessarion sont incontestables ; il
aimait
et admirait l’hellénisme de Pléthon sans cesser d
ché à Luther que parce qu’il nous a débarrassés des évêques ; on ne l’
aime
que parce qu’il nous a arrachés à leur juridictio
sémitique. Léon X fut le pape des Gentils, le pontife humaniste ; il
aima
trop les arts, disent les plus modérés. Que ceux-
e, une légende ombrienne du quatro cento, nous voyons une jeune fille
aimée
d’un moine se substituer à la Madone invoquée par
publiquement, en Sorbonne. Reproche-t-on à M. Gabriele d’Annunzio d’
aimer
la vie éclatante, d’agir avec lyrisme, d’étonner
cère et profonde de leurs idées pour l’avenir de l’Italie que l’une n’
aime
pas moins que l’autre. Toutes deux pensèrent qu’e
1er septembre 1916, p. 329-333 [329-330]. M. Gabriel Faure a toujours
aimé
publier des volumes où il n’y a pas beaucoup de p
el Faure a voulu revoir, aux terres de la péninsule, les villes qu’il
aime
et qui lui furent si accueillantes, — toutes plus
, des craintes et des espoirs d’un Italien de cœur qui avait toujours
aimé
la paix et qui est conduit, par la force des évén
fondément et naïvement les Allemands comme ce professeur désabusé qui
aime
l’amour et qui cache, sous le sourire chrétien, u
écrivain qui mérite d’être connu et apprécié dans cette France qu’il
aime
d’un amour ancien et profond et dont il a fait co
ctualité, d’ordre tout militaire, nous fasse renier ce que nous avons
aimé
, et, plus encore, ce que nous avons pensé avant l
régler toutes nos aspirations ; il ne peut dominer ce que nous avons
aimé
dans une œuvre d’art, ce quelque chose de profond
nde ? Chacun a sa part d’influence, et c’est une raison pour que nous
aimions
, dans toute œuvre d’art, ce qui répond le mieux à
e vie intérieure : d’ailleurs n’est-ce pas une plus grande aptitude à
aimer
que de savoir jusqu’à quelles profondeurs descend
ofondeurs descendent en nous l’inquiétude et la souffrance. « Plus on
aime
, plus on souffre, dit Amiel dans son Journal inti
uleur comme discipline de la sensibilité et du vouloir. Fogazzaro dut
aimer
profondément ces âmes un peu tristes qui passent,
ins n’est pas à la portée des repus ou des satisfaits. On peut ne pas
aimer
les dogmes, créateurs de fanatisme, mais un idéal
ec respect, peut devenir la lumière, la splendeur de toute existence.
Aimer
, semble se dire parfois Fogazzaro, aimer, pourvu
plendeur de toute existence. Aimer, semble se dire parfois Fogazzaro,
aimer
, pourvu que ce soit avec force, ne serait-ce pas
les formules absolues du devoir. On connaît la thèse : Daniele Cortis
aime
sa cousine Elena, et, bien que celle-ci soit mari
our, leurs deux pensées s’opposent plus nettement : — Peut-être ne m’
aimais
-tu pas comme je l’ai cru ? — dit Franco à Luisa ;
resque inutiles ces trésors. Tu n’agissais pas. Tu étais content de m’
aimer
, d’aimer ta fille, l’Italie, tes fleurs, ta musiq
utiles ces trésors. Tu n’agissais pas. Tu étais content de m’aimer, d’
aimer
ta fille, l’Italie, tes fleurs, ta musique, les b
il nous a donnée, par le milieu où il nous a placés. Il veut que nous
aimions
tout le bien, que nous détestions tout le mal et
ous aimions tout le bien, que nous détestions tout le mal et que nous
aimions
de toutes nos forces selon cet amour et cette hai
s rien de plus exaltant que son influence sur ceux d’entre nous qui n’
aiment
pas seulement la vie telle qu’elle est, et voudra
. Pascoli a, lui aussi, l’obsession de l’infini, et comme Leopardi il
aime
à se perdre dans sa contemplation. Il médite, et
lus simple, dans un geste fraternel, dans un geste d’abnégation. Il n’
aimait
point la guerre ; il savait qu’elle constitue une
e dévouement à de nobles causes ; mais il est certain qu’il eût mieux
aimé
que l’histoire des hommes fût moins glorieuse au
à une conception de l’histoire basée sur cette philosophie ? Pascoli
aime
les hommes ; c’est pourquoi sa poésie est pleine
toutes les professions, sauf d’en choisir une, et il n’a appris qu’à
aimer
cette pauvre jeune femme avec qui il revient, pâl
nne d’un temps, mais participent à la vie commune d’un État. Ce que j’
aime
dans le livre de M. André Lebey, outre ses qualit
urmets littéraires : je voudrais le savoir apprécié par tous ceux qui
aiment
la poésie chez nous et dont le nombre n’est pas m
fois de plus, il se montre le digne émule des grands humanistes qu’il
aime
à célébrer. Mais considérant ici avant tout l’écr
mmes ! — qu’elle est une des rares qui ne soient pas usurpées. — Nous
aimons
, au reste, ces classements et ces spécialisations
r, tandis que la petite princesse Brancovenu non seulement se plaît à
aimer
, mais elle sait étaler précocement une science de
sur l’orfèvrerie et sur la sculpture du grand-maître que François Ier
aima
et chérit et qui aima à son tour la France. Les T
r la sculpture du grand-maître que François Ier aima et chérit et qui
aima
à son tour la France. Les Traités ne sont pas si
rait des fleurs et des reptiles, du miel et du sang de tigre. » “Je n’
aime
, disait-il, que ce qui est rare. Le plus grand él
llards aux pieds d’argile. » § M. Vorluni déclare franchement ne pas
aimer
beaucoup Lilith « qui n’est pas ce qu’il y a de m
iennes. Il est parfois incorrect ; cela n’est pas déplaisant pour qui
aime
la prose de l’abbé Galiani, le maître de tous les
es de laitues, comme un lapin ; il réclame au moins du poulet. Érasme
aimait
le grec, mais aussi la bonne chère, et de parler
les et le thème n’est pas encore épuisé. Que dirai-je ? Tous ceux qui
aiment
ou qui ont aimé trouvent qu’entre la théorie et l
est pas encore épuisé. Que dirai-je ? Tous ceux qui aiment ou qui ont
aimé
trouvent qu’entre la théorie et la pratique il y
faut lire ce petit recueil de vers lyriques ; ça ne pourra que faire
aimer
davantage les romans de M. Fogazzaro. E. Panza
s transporte avec un élan tout à fait remarquable et il sait se faire
aimer
. G. Rovetta : L’Idolo Je dépêcherai en deu
r qu’Alexandre et lui ne soient pas divisés, à jamais : car Alexandre
aime
Blanchemarie, et pour elle il oublie Anne, sa fem
te, il n’y ait plus personne qui aspire à la vie ? Car Blanchemarie n’
aime
pas Mycènes ni sa campagne aride et poussiéreuse,
fuazzuolo léger, des cheveux par petites boucles claires, ainsi qu’il
aime
à les peindre. Le costume lui-même est sévère : m
fabricare, messo tutta Roma sotto sopra », un autre devait venir qui
aimait
fort à bousculer : Jules II. Prenant prétexte que
. Du reste, dans ce cas, ceux qui se battaient étaient des hommes qui
aimaient
tour à tour à écrire, à discuter, à donner ou à r
la profondeur des forges où se trempe votre force ; — vous tous qu’il
aima
, qu’il eut pour unique amour, que ses grands yeux
ère brillante ; son âme est pleine d’idéal, débordante de jeunesse. J’
aime
à croire qu’il sera plus prudent la prochaine foi
l y a des traits singulièrement vigoureux ; cet homme qui hait et qui
aime
, qui veut arracher l’enfant naïf aux tendresses e
n philosophant Prodicus et Anaxagore, et fut loué par Socrate et bien
aimé
par le peuple, la tragédie se trouvait déjà égaré
Élégies Romaines ne pouvaient pas secouer l’admiration du public, qui
aime
toujours voir se renouveler ses auteurs préférés
ple que Rembrandt et plus franc que le Titien même. Autant le Corrège
aime
la douceur comme Léonard de Vinci, autant Velazqu
t le Corrège aime la douceur comme Léonard de Vinci, autant Velazquez
aime
le brillant. Il n’évite pas de faire les luisants
es lois de la Justice humaine. Le frère de celle qu’il s’était pris à
aimer
avait tué un homme dans un magnifique duel, et s’
i avait quitté le pays des langueurs pour suivre à Rome celui qu’elle
aimait
, retrouva Duccio della Bella au moment même où el
de Nîmes en 1815. assassinats (Page 181). Le héros que Ghita a tant
aimé
, et qu’elle aime -et qu’elle aime encore, est for
assassinats (Page 181). Le héros que Ghita a tant aimé, et qu’elle
aime
-et qu’elle aime encore, est fort commun. et qu’e
age 181). Le héros que Ghita a tant aimé, et qu’elle aime -et qu’elle
aime
encore, est fort commun. et qu’elle aime peut-êtr
et qu’elle aime -et qu’elle aime encore, est fort commun. et qu’elle
aime
peut-être encore (Page 187). Est-ce la faute de
sique l’ennuie, que les tableaux lui donnent l’air catafalque ; qu’il
aime
mieux un pantin de Paris qui tourne les yeux qu’u
Page 90). Semblables à leurs pères du moyen-âge, les Italiens de 1830
aimeront
passionnément la liberté, mais sans savoir commen
Ce que j’ai vu de plus curieux dans mon voyage, c’est Pompeja, etc. J’
aime
cette caserne, avec les mots écrits au charb. par
urce). Ici une femme devient folle parce que son mari semble ne pas l’
aimer
, semble la chasser. Trois types dominent la pièce
es de son entourage, évidemment nés pour servir son génie. Sa femme l’
aime
tendrement, mais elle est la petite nature qui ne
que pour créer il a besoin d’un amour autre que celui de sa femme. Il
aime
une aventurière ; il en est dégoûté ; mais ni ava
re sur Filippino Lippi et sur Francesco Botticini. Quant à Léonard, j’
aime
à en citer ce qu’en dit M. Marcel Reymond : Celu
econd plan, mais dans une place enviable, parmi les artistes que l’on
aime
moins pour leur force que pour leur séduction nat
c’est un manuel excellent écrit dans un style clair, et tous ceux qui
aiment
Venise — ils sont nombreux — le liront avec plais
la carrière de l’écrivain. M. Giacosa laisse des œuvres que le public
aimera
longtemps encore. Mais aucune de ses pièces ne la
commencé à se douter qu’Angélina le trompait effrontément. Comme il l’
aimait
avec beaucoup de naïveté, il voulut se distraire
« Je fais de ces niaiseries le cas qu’elles méritent ; ça m’amuse ; j’
aime
surtout à en suivre le sort dans le monde, comme
us avec la musique, et tout cela pour offrir du rôti à des gens qui n’
aiment
que le bouilli. Y a-t-il rien de plus bête ? § C
nt, la comtesse Bonmartini avait un amant, le Dr Secchi (elle l’avait
aimé
étant jeune fille, sans pouvoir l’épouser, les pa
aine furieuse, quand se produisirent les sévices contre une sœur très
aimée
, un beau-frère dans le goût de Bonmartini ; et en
nymes. C’est ainsi que Corrado Brando, que tout son entourage fasciné
aime
, exalte, suit avec un dévouement qui est « plus q
s, étudié le caractère italien plus que la musique et la peinture, et
aimé
Angelina Pietragrua plus que l’art et la psycholo
mme le brouillard. Mila de Codra, l’étrangère, est avec lui, car il l’
aime
et elle l’aime. C’est pour elle qu’il est parti d
rd. Mila de Codra, l’étrangère, est avec lui, car il l’aime et elle l’
aime
. C’est pour elle qu’il est parti de sa maison, le
joug brutal, lorsque son fils arrive, voit son père, voit celle qu’il
aime
, et sent toute l’horreur des choses fatales qui d
t vers la colère de son père et vers les supplications de celle qu’il
aime
, il voit son père rué sur la femme, qui, à bout d
e pays. Aligi, déjà, enivré par le breuvage, s’éloigne de celle qu’il
aimait
et la maudit. Mila, Mila — dit Ornella — pour con
ans un geste. Mais, finalement, nous nous demandons : pourquoi Lazaro
aime
Mila ? Et cette « tragédie », qui reprend le thèm
s, c’est qu’il brûle de posséder Mila di Codra ; et Mila di Codra est
aimée
d’Aligi, et l’aime. La Fille de Jorio est, sembl
de posséder Mila di Codra ; et Mila di Codra est aimée d’Aligi, et l’
aime
. La Fille de Jorio est, semble-t-il, la plus dra
dotes, des épisodes plaisants de sa vie au séminaire. — Monseigneur m’
aime
beaucoup, Monseigneur m’a dit ceci, Monseigneur m
dit-il en guise de salut, et cette formule attrista Zio Félix, qui n’
aimait
pas ce genre d’imprécation contre ses enfants. —
es torses du gardien des chevaux, que l’œil méchant de Zio Pera. Il n’
aimait
personne, voilà tout ! Et il sentait un grand vid
e renfrogna. Sans doute, — Dieu nous sauve ! — le Seigneur commande d’
aimer
tout le monde ; mais Zio Félix n’aimait pas et ne
uve ! — le Seigneur commande d’aimer tout le monde ; mais Zio Félix n’
aimait
pas et ne pouvait pas aimer le patron, ce jeune h
d’aimer tout le monde ; mais Zio Félix n’aimait pas et ne pouvait pas
aimer
le patron, ce jeune homme vicieux, déjà couvert d
omme aux premiers jours. Il n’y avait plus de vide dans son cœur : il
aimait
enfin quelqu’un qui entrait dans son âme non plus
de la soumission. S’il avait rencontré une femme, il ne l’aurait pas
aimée
avec une passion pareille à celle-ci, où se déplo
e-moi, — dit Elia d’une voix changée, — je t’ai offensé. Mais tu ne m’
aimes
pas… De grosses larmes tombèrent des yeux d’Antin
n’était pas offensé : il était terrassé, vaincu. — Non, non, je… je t’
aime
. C’est toi qui as à me pardonner… Je ferai ce que
nteresse de la tanca et du fleuve, à côté de son humble famille qui l’
aimait
simplement. Lui n’avait su goûter ni ce calme ni
moi, et vous consoler aussi de votre peine présente. Don Elia, qui m’
aime
comme un frère, et qui — vous le savez peut-être,
ses simples, dans l’évocation calme et douce des gens simples dont il
aime
à fouiller le sentiment éternel. Pascoli décrit p
nt plus appréciable qu’on connaît le dévouement de Mme Pascoli ; l’on
aimait
l’harmonie pure et rare de ce frère et de cette s
en noir et en couleur et des plans de villes. De vieux clichés, qu’on
aimait
quelque fois à reprendre, seraient même assez en
belle24, L’air est plus riant que jamais ; Ah ! je le vois, ce que j’
aimais
, Ce n’était pas vous, c’était elle ! C’est déjà
? III À présent, voyons ce que Lamartine a pris à Manzoni. Je n’
aime
pas beaucoup les rapprochements dont on abuse dan
l’art de Lamartine est là. M. Ernest Renan, qui l’avait lu beaucoup,
aimait
à répéter que l’Université aurait été incapable d
n sentiment fin et triste ; c’est l’histoire des créatures qui furent
aimées
et abandonnées, et ne purent pas être oubliées. S
rtine, par Marie-Thérèse Ollivier, p. 171. 42. Lamartine non plus n’
aimait
pas l’Université et fut un des premiers à la batt
ibelin, tous disent de même : ciel, amour, mer, terre, vivre, mourir,
aimer
, et d’autres mots encore. « Si nous examinons at
de communier avec ses semblables, c’est-à-dire avec ceux qui croient,
aiment
et espèrent comme lui et même les femmes et les e
e pareille insanité. La politique de Dante découle de sa croyance, il
aime
l’empereur par haine du pape. Figurons-nous le po
es à la science et à la vertu. L’amour nous porte à magnifier l’objet
aimé
, à le défendre. Je magnifie mon idiome en montran
ne manifestation de la pensée est la meilleure chose du discours et j’
aime
notre idiome parce qu’avec lui seul je m’énonce b
vraiment de la langue italienne, dans le sens où Musset a écrit : J’
aime
surtout les vers, cette langue immortelle, — il
en comparaison de celles que le sonnet lui inspire d’ordinaire : « J’
aime
encore mieux une cinquantaine de vers du Dante, é
lus habile, Voltaire rendit hommage, devant Casanova, au savant qu’il
aimait
pourtant peu : « Il faut se mettre à genoux devan
e-t-il avec emphase. — Je le pense comme vous, riposte Casanova, et j’
aime
à vous entendre lui rendre cette justice ; je le
ntribuent à la « nationalisation » de leur théâtre. Il y a les aînés,
aimés
du public, dont M. E.-A. Butti est certes le plus
rquables, et de toute façon je ne saurais parler de leur art que je n’
aime
pas, et qui ne me semble pas apporter de forces v
nni Papini. Ce sont treize aspects de la même inquiétude, ou, si l’on
aime
mieux, treize nouvelles ou treize chapitres d’un
es qualités, ou tout au moins toutes ses aspirations, afin de mieux s’
aimer
; pour que dans ce livre M. Papini haïsse et tue
t tout aguerri pour sa réalisation. Sa famille ruinée, l’amante qu’il
aime
d’un terrible amour de névrosé et qui l’abandonne
t l’instinct. De même le triste Olivier Berlin (Fort comme la mort) n’
aime
plus d’amour la maîtresse de ses jeunes années ;
e n’est mieux exprimée que dans la Gioconda : Lucio le sculpteur doit
aimer
Silvia, l’épouse qui est toute douceur et toute b
mer Silvia, l’épouse qui est toute douceur et toute bonté ; il veut l’
aimer
, il s’efforce de dompter la révolte de sa tragiqu
oi, pour faire des statues… » Avec toute son âme et tous ses sens, il
aime
l’étrangère, la Gioconda Dianti, celle dont la sc
à la naissance et à l’évolution du désir que le voisinage de la femme
aimée
provoque chez le dilettante. « La dame est incli
t du dégoût physiques, s’est également imposé aux deux écrivains. Ils
aiment
tout ce qui provoque la volupté des « paradis art
guérison de ses nerfs ou le charme périlleux des hallucinations qu’il
aimait
. L’eau tient aussi une grande place dans la vie e
âcheté ou par indécision ; et soudain il comprend, trop tard, qu’il a
aimé
une femme, sans se l’avouer, il devine qu’il a dû
, qu’il a aimé une femme, sans se l’avouer, il devine qu’il a dû être
aimé
d’elle, et que, pour ne pas avoir voulu croire à
le cadavre de son frère, auprès de sa belle-sœur Rosa, découvre qu’il
aima
celle-ci, quand il n’était encore qu’un tout jeun
e avec de grandes herbes et des lis d’eau, et lui avait demandé : « M’
aimez
-vous comme ça ? » Comme il ne répondait rien, — c
les dents du peigne l’éparpillement du feuillage… Elle demanda : — M’
aimez
-vous ainsi ? Mais Emidio n’ouvrit pas la bouche ;
de la source de leurs émotions. Nous savons par eux qu’ils ont vécu,
aimé
, souffert comme nous, que les mêmes sentiments, l
la cabale. Casanova s’installe et, la reconnaissance aidant, se fait
aimer
pour son intelligence et ses connaissances sérieu
servir. Casanova était du reste plein de respect pour sa dupe, qu’il
aimait
comme un père, lequel lui rendait l’affection qu’
ue je ne sois pas aussi chagrin que vous ? La sublime poupée que nous
aimions
avec ses clinquants et ses paillons ! Je me douta
tolérant et volontairement aveugle, sait qu’il va être abandonné — j’
aimais
tant l’enfant et ses jolis mouvements ! Je voulai
île enflammée, aux pieds du sublime phare de destruction qu’il avait
aimé
: l’Etna. Et la mort du poète n’a pas distrait un
des nations. On sait que les littérateurs et les journalistes ne les
aiment
pas. De même que depuis quelques centaines d’anné
ou académicien, on ne fait pas partie de la libre phalange. M. Uzanne
aime
Casanova et ne perd pas une occasion de le défend
uckmann sont bien celles de cette délicieuse Henriette « qu’il a tant
aimée
» et qu’il rencontra sous le costume d’un jeune o
on, cette physionomie en blanc majeur de la petite Manon Baletti, qui
aime
si loyalement, si naïvement, avec tant d’heureuse
mporte ! Elle oublie tout, elle excuse tout, elle pardonne tout, elle
aime
le monstre. Il faudrait tout citer de ces jolies
t de sa santé jusqu’à sa dernière heure. Le châtiment de ceux qui ont
aimé
les femmes, a-t-on dit, est de les aimer toujours
Le châtiment de ceux qui ont aimé les femmes, a-t-on dit, est de les
aimer
toujours. Ce faune en bas de soie ne se lassa jam
ques esprits idéalistes, moins étroitement dirigés par l’intérêt, qui
aiment
la science pour elle-même, ont soif de connaître,
ait désirable. J’entends ici par élite des intellectuels les gens qui
aiment
l’Art et la Science, non pour ce qu’ils peuvent p
chologiques ne semblent pas abonder ; et, par surcroît, M. Gauthiez n’
aime
pas non plus la théologie. Mais ce que je sais, c
ntellectualiste », si je puis me permettre ce barbarisme. Et nous les
aimons
parce que nous sentons que nous avons en eux le p
main blanche laisse tomber une clef et un billet. Ô bonheur ! il est
aimé
! il pénètre à la nuit, et au lieu de l’heure du
t devenait franchement vieillot et fastidieux, a été particulièrement
aimé
par la jeunesse éclose au soleil des réalisations
rce que l’homme est un simple débauché, un voluptueux, qui n’a jamais
aimé
, et qu’aucune des femmes n’est respectable, appar
ue peu d’hommes consentent à admettre : avoir été sot et ridicule. Il
aimait
les femmes, mais il n’était pas irrésistible et a
e texte en fournit deux preuves directes. « Grâces aux dieux qui nous
aiment
, dit d’abord Nausicaa, aucun de ceux qui sont nés
nt y chercher les traces de Dante. Ce n’est plus la cité que le poète
aima
si tendrement et pour laquelle il eut une haine s
t ses tableaux cinq ou six florins48 ». Peut-on, à certaines époques,
aimer
un paysage peint comme on aime la peinture de l’a
ns48 ». Peut-on, à certaines époques, aimer un paysage peint comme on
aime
la peinture de l’avarice, sans aimer l’avarice el
, aimer un paysage peint comme on aime la peinture de l’avarice, sans
aimer
l’avarice elle-même ? L’histoire du goût n’est pa
car ni l’amour ni la mort n’existent réellement. Nous nous imaginons
aimer
comme nous nous laissons mourir. « Et je n’ai pas
peintres, un peu Mécène, un peu barnum, surtout directeur de combat,
aime
la guerre, pour le plaisir de la destruction, aus
. M. Hauvette indique qu’on ne peut nullement se fier à Vasari, qui n’
aimait
pas le Sodoma. « La véritable : mésaventure du So
t son œuvre féconde et ses derniers jours durent être sereins. « Nous
aimerions
le suivre en ces journées suprêmes et dans la sér
qui n’est guère à l’avantage de notre compatriote, Il fait bon d’être
aimé
et admiré par M. Bellaigue. Ses amitiés sont fidè
brevi, de M. Luciani Zuccoli, qui est, avec M. Alfredo Pauzini, que j’
aime
beaucoup, et M. Luigi Pirandello, que je n’aime p
lfredo Pauzini, que j’aime beaucoup, et M. Luigi Pirandello, que je n’
aime
pas du tout, un des meilleurs, et vraiment import
ardait attentivement ces humbles feuilles sans beauté, qu’elle devait
aimer
peut-être parce qu’elle en avait inconsciemment p
tous les jours avec une telle sollicitude. Voilà ; je commençais à l’
aimer
; je songeais à elle pendant des heures. Des heur
s qui devaient agiter ce cœur frais de jeune fille ; elle n’avait pas
aimé
encore, sans doute. Elle devait rêver, elle aussi
vrants à respirer. Elle devait être impatiente de vivre, de savoir, d’
aimer
; elle devait éprouver des défaillances ; sans ca
ue c’était hasard. Le lendemain, tandis qu’elle soignait sa plante si
aimée
, j’attendais, anxieux. En se relevant, elle jeta
pression que je lui avais faite. Une idée que j’eus m’agita : si elle
aimait
? peut-être aime-t-elle ailleurs ?… Je me disais
avais faite. Une idée que j’eus m’agita : si elle aimait ? peut-être
aime-t
-elle ailleurs ?… Je me disais aussi : que suis-je
gulière, du moins ayez confiance, je vous respecte autant que je vous
aime
… — Psyché ! fit-elle d’un ton étonné. Je lui expl
Mais cette nuit, mon cœur, j’ai été mille fois plus heureuse !… Je t’
aime
, j’ai peur, mais je ne puis pas résister ; j’igno
ques réitérées, pour s’élever sur le trône du Vatès national, on ne l’
aime
plus. D’autres besoins multanimes, dont le foyer
. Las Cases, ibid., t. VI, p. 336. 51. Journ., p. 135. 52. « On n’
aime
à voir », dit naïvement Desprez, voyageur, « que
uses et morales. À côté du citoyen, l’homme point en lui, l’homme qui
aime
le beau, la nature, le sourire des vierges, le so
nt marqué une audacieuse tentative d’innovation métrique, ou, si l’on
aime
mieux, de retour à l’antique, elles sont encore p
ouveau dans ses songeries, mais ce ne sera pas cette Vénus céleste qu’
aimèrent
les Socrate et les Platon, non, mais cette Vénus
rien n’indique que l’art qu’ils pratiquaient fût très vénéré ni très
aimé
. Ce n’est que très tard, après la conquête de la
ois le regard distrait, cela ne pénètre pas. Canaletto, discrètement,
aime
et connaît bien sa ville, il en traduit avec une
on, Francesca da Rimini étant une œuvre inconvenante et malhonnête. J’
aime
beaucoup les cléricaux, en général, mais je les a
andonné, faisait surgir un prophète en quelques mois de travail. Je n’
aime
pas Léonard de Vinci parce que c’est un génie qui
ession de sa femme, parvient à nous intéresser. On sent que lui aussi
aime
Francesca ; il devine que son amour n’est pas par
t, je dirais même qu’on le sent trop, tellement que plusieurs fois on
aimerait
apprendre moins et pouvoir s’émotionner davantage
de vue, l’œuvre de M. Silvagni est fort recommandable à tous ceux qui
aiment
avoir un plan complet du mouvement intérieur et e
des stores pour protéger ses chefs-d’œuvre du soleil. « Mais non, on
aime
bien mieux laisser la foule traverser des ruines
rs aux principes et que la meilleure façon d’honorer Phidias, c’est d’
aimer
Rodin. § Et je le sens bien tout de même qu’elle
e. § Mon intention ne saurait être de tout dire, et pourtant j’aurais
aimé
m’arrêter longuement à telle esquisse du Corrège,
disait de son temps, qui l’induisit à l’adoration de la beauté. Il l’
aima
et la rechercha dans toutes ses manifestations ;
qui écrira : « c’était un excellent homme, excessivement droit, qui n’
aimait
pas les cérémonies et très digne dans son commerc
iscrète nudité, dans une des salles de l’antique demeure, le corps si
aimé
et si caressé de Pauline : la Vénus de Canova. Na
ces lignes : « Je ne suis point l’ami des traductions en vers, mais j’
aime
beaucoup les traductions en prose qui donnent la
set entend être un traducteur complet et il nous restitue : « Oh ! il
aime
bien peu celui qui peut dire combien il aime » (C
ous restitue : « Oh ! il aime bien peu celui qui peut dire combien il
aime
» (CXXIII, à Laure vivante). M. Brisset lui n’aim
ut dire combien il aime » (CXXIII, à Laure vivante). M. Brisset lui n’
aime
pas l’obscurité. Si Pétrarque trouve suffisant de
rifices pécuniaires, je crois me trouver vis-à-vis d’une force dont j’
aimerais
que mes amis et confrères de Bologne pussent larg
s matériels la plus grande source de bonheur ? Le lecteur de journaux
aime
d’instinct Lombroso : il sent en lui un allié, un
i, Stazia ? — Je voudrais que tu redises mon nom, répondit Stazia ; j’
aime
à l’entendre prononcer par ta bouche. La voix d’O
ront ! Stérope aperçut Bicornide, et vil son geste de frayeur. — Tu l’
aimes
? hurla-t-elle. — Tu le défends ? Les paroles qu’
dans une infinité de désordres ». Non content d’illustrer ces chants
aimés
, il en commenta même plusieurs, car il se targuai
ation, une grande tolérance de régime intérieur. Le comte Fossombroni
aime
la France comme la source des principes dont il a
nfin où il a été employé et honoré par le dernier gouvernement ; il l’
aime
surtout de toute la haine qu’il a contre l’Autric
é très Français d’esprit et de manières, aimant le plaisir comme on l’
aimait
avant la Révolution, il entretenait avec notre lé
de Bologne dont les reproductions sont si populaires chez nous, et il
aime
à nous faire croire qu’il entend le langage des e
en Orient ! Au lieu d’étudier l’anarchisme et ses brutes, j’ai mieux
aimé
suivre, dans le pêle-mêle de la semaine affreuse,
utane il en a bien peu, — juste assez pour détester les monsignors et
aimer
les arts en toute quiétude. Fils d’un receveur gé
t belle Lucrèce Borgia et descendant de Lionel d’Este, ce bâtard, qui
aimait
tant les artistes, les poètes et les savants et d
e souple et tactile des femmes jeunes et jolies ; trouvant le temps d’
aimer
aussi sa femme à lui, sa vieille mère et les pauv
re celle-ci sur le terrain de l’art dramatique ! Mais les jeunes gens
aiment
quelquefois les excentricités, et sur l’autel de
et de verdure qui charme les yeux des étrangers venus à Naples pour s’
aimer
, se baigner, prendre l’air pur de la Liberté deva
amille de Greuze (ou quelque niaiserie de cet ordre) ; mais celui qui
aime
la peinture désire que les Greuze soient retourné
prouve seulement que chaque génération se choisit un poète ; la nôtre
aima
Verlaine, comme celle de M. Coppée aimait Victor
e choisit un poète ; la nôtre aima Verlaine, comme celle de M. Coppée
aimait
Victor Hugo, mais elle n’aima pas Verlaine parce
ma Verlaine, comme celle de M. Coppée aimait Victor Hugo, mais elle n’
aima
pas Verlaine parce qu’il était plus d’exception q
s Verlaine parce qu’il était plus d’exception que Victor Hugo, elle l’
aima
, au contraire, parce qu’il était plus près de son
u qu’au xviie siècle. De Théophile de Viau, qui fut le poète le plus
aimé
de 1620 à 1680, on vendait à peu près une édition
aire ». Le vulgaire, en effet, c’est, par excellence, tous ceux qui n’
aiment
ni Mallarmé, ni Verlaine, ni Villiers, ni Laforgu
trompait : ce n’étaient point ses idées ni sa religion que le peuple
aimait
, c’était lui, le farouche prédicateur qui le fais
intorno al medesimo. Arch. stor. it. Ser. IV. Vol. 4, p. 282. Villari
aime
vraiment Savonarole, il l’a compris, il est entré
e de la Renaissance, qui joua du luth devant Raphaël, et que le poète
aime
et va chercher dans la petite maison, encore debo
e veux te faire ; approche-toi. Donne-moi la main ; voulons-nous Nous
aimer
, Jacovella ? Et Jacovella répond : Oui, poète,
Nous aimer, Jacovella ? Et Jacovella répond : Oui, poète, je veux t’
aimer
. Tu as fait un si long chemin Pour venir me trouv
L’Opéra est un plaisir de vanité, et… de bien autre chose. Ce qu’on
aime
à l’Opéra, ce n’est pas la musique. Les femmes vo
atique des hommes et des choses d’Italie. Autant qu’il le connaît, il
aime
ce pays ; et ses pages sont animées d’une belle c
e dont nous avons tous été les pèlerins passionnés. Ce décor connu et
aimé
, ce décor de paix et de souvenir, est étrangement
France, où il est surtout question des chiens illustres du poète. Il
aime
beaucoup les animaux : il se mire volontiers dans
rt, et que pour créer cette forme d’art, l’artiste doit comprendre et
aimer
les objets et les corps qui vivent dans son époqu
ablies par l’intuition artistique de nous tous. Et j’ajoute que, si j’
aime
chercher souvent un appui sur les vérités de la s
ramenant à ses origines orientales. On sait que les poètes orientaux
aimaient
la rime au point de bâtir des poèmes entiers sur
de guerre, nous a fait à ce propos les déclarations suivantes : « J’
aime
avant tout les films américains et les films fran
les films français, chacun pour des raisons différentes, mais je les
aime
également. « Le film anglais est un peu bonbon, m
anglais est un peu bonbon, mais il a ses qualités. Les films que je n’
aime
pas sont : les films italiens, les films espagnol
u célèbre : « Les hommes sont plus portés à ménager celui qui se fait
aimer
. » « Un prince prudent ne peut ni ne doit tenir s
er l’atelier que je ferai. Il reste seulement que les Frères auraient
aimés
avoir une lettre de votre Révérendissime Seigneur
x, mon très cher Gherardo, et plus que tous, ceux que vous savez vous
aimer
davantage, se sont grandement réjouis en recevant
in et vous l’êtes, vous auriez dû, et vous devez penser que celui qui
aime
a très grande mémoire et peut autant oublier les
ui aime a très grande mémoire et peut autant oublier les choses qu’il
aime
ardemment qu’un affamé la nourriture qui le fait
le fait vivre ; et même un homme oubliera-t-il beaucoup moins l’objet
aimé
que l’aliment qui le nourrit, parce que celui-là
victimes bavardes ou résignées de ces hommes à demi fous. M. Moretti
aime
surtout à peindre les sacrifiés, les souffre-doul
tous les journaux de la péninsule, habituent le peuple à admirer et à
aimer
son armée nationale. La presse étrangère a su, el
e — et cela doit être pour toutes les Suisses une raison de plus de l’
aimer
et de la défendre — est par elle-même une protest
s du monde. Elle garde une vertu unique et triomphante : elle se fait
aimer
. Aucun pays n’a été, à travers les siècles, l’obj
ux, dit-il, sur notre effrayante Unbeliebtheil (faculté de n’être pas
aimés
). Toute chose a sa cause. Nous devons avoir causé
d’un charmant sourire des lèvres et des yeux qui l’intéressaient ; il
aimait
à faire plaisir, même sans arrière-pensée, et la
âtre, un peu étourdie, et ne se donne que lorsqu’elle est sûre d’être
aimée
… Elle vous aime, mais elle craint que votre amour
rdie, et ne se donne que lorsqu’elle est sûre d’être aimée… Elle vous
aime
, mais elle craint que votre amour ne soit un capr
emble évoquer, qu’il semble remplir. C’est le sonnet au Bœuf : Je t’
aime
, ô Bœuf dévot ; et un sentiment doux De vigueur e
regarde pas. Fièvre, ici moi je t’invoque, déité présente. Si tu as
aimé
les grands yeux pleureurs des mères, et leurs bra
us en te maudissant, ô déesse, de la tête pliée des fils ; si tu as
aimé
sur le Palatin sublime l’autel antique (le Tibre
s mains enfantines de celle qu’il avait oubliée et qu’il ne peut plus
aimer
, était un jouet. Avec lui, après une journée tell
’une vérité que nous ne pouvons pas comprendre, mais que nous pouvons
aimer
. Nous n’allons pas vers la conception religieuse
ntesquieu, Voltaire… Il a acquis ainsi une certaine érudition dont il
aime
à faire étalage. Constamment il cite ses auteurs
ands musiciens du monde, et c’est bien naturel, c’est le pays où l’on
aime
le mieux la musique. Il y a plus de véritable amo
t peur. Cela est vrai. Elle était animée ce soir. Il paraît qu’elle m’
aime
. Yesterday and today she has had pleasure. Elle v
ls élisent un Roi qui est toujours pensionné par le gouvernement. Ils
aimaient
beaucoup le roi Ferdinand, qui parlait leur langu
l’air qui le suit. — Bach, né en Allemagne, fut élevé à Naples. On l’
aime
à cause de la tendresse qui anime ses composition
’enterrer. Il paraît que, jusques aux rois français, les gens du pays
aimaient
à se vêtir d’étoffes précieuses. On n’en voit plu
ivrer, comme lady Gaybut Grabu, à une activité extrême. Pour se faire
aimer
d’une femme ennuyée, il faut cacher la théorie, m
uelle âme malsaine, c’est précisément ce lyrisme un peu brumeux que j’
aime
en M. d’Annunzio. Le roman ne relève pas d’une au
Beaucoup d’années après, je la revis, je la reconnus et je me mis à l’
aimer
comme une sœur. Mais avant cela, un jour qu’elle
choses défendues assument la mort et la captivité : surtout ceux qui
aiment
ce siècle et qui se glorifient dans leurs richess
mène sa belle à la promenade, lui déclare à peu près ceci : « Je vous
aime
, mais celui qui a des droits sur vous est jaloux
irrésistible besoin de renouveler nos visions et nos sensations pour
aimer
et pour reprendre la vie d’un amour nouveau, sinc
de ses agendas : La question du Beau se réduit à peu près à ceci : Qu’
aimez
-vous mieux d’un lion ou d’un tigre ? Un Grec et u
lie, j’ai pensé avant tout aux aspirations de ce peuple italien que j’
aime
entre tous et au milieu duquel j’ai si longtemps
révolutionnaire héroïque, paladin du droit du peuple et des peuples,
aima
la France par-dessus tout ; comme polémiste il n’
e a la meilleure part. L’autre, pendant qu’il crée, souffre, gémit (j’
aime
à le croire…). Exception faite pour les composite
iques. G. Gozzano, L’Altare del Passato, Milan, Treves Ceux qui
aiment
le poète disparu des Colloqui, Guido Gozzano, lir
t telle que la petite église devient un vrai pèlerinage pour ceux qui
aiment
les arts ; c’est un monument capital de l’art pic
es, ou, comme ils disent si bien, prepotenti. Aussi les Italiens, qui
aiment
la liberté et veulent vivre à leur guise, sans su
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