us reviendrons sur cet ouvrage, avons-nous dit. Philippe Monnier :
Venise
au XVIIIe siècle, Perrin Le peuple était gouv
que le commerce offrait pour subsister, et la singularité du site de
Venise
, qui ne permettait pas à ses citoyens de retrouve
de habit brodé du haut fonctionnaire, au tome VII de son Histoire de
Venise
. Qui aurait dit qu’un mot, qui se détache dans ce
onsidérations académiques, le mot « singularité » appliqué au site de
Venise
, serait devenu, au bout d’un siècle, à l’issue de
charmant livre que voici : L’âme est hilare, remarque à son tour, de
Venise
, M. Philippe Monnier. On rit si gaiement. C’est q
e Monnier. On rit si gaiement. C’est que rien que par elle-même déjà,
Venise
offre toute la drôlerie d’un anachronisme. C’est
s foisonnèrent comme jamais ; et c’est l’époque choisie par l’auteur.
Venise
, dans l’Europe du xviiie siècle, c’était un peu
temps, un spectacle comme celui de cette immense création millénaire,
Venise
, de cette histoire qui, le long des siècles, accu
tôt là-dessus. Ce qu’il nous donne est d’ailleurs considérable, cette
Venise
du xviiie siècle, étudiée, ou plutôt racontée, d
tragique, que celle où l’ex-doge Ludovico Manini, le dernier doge de
Venise
, au moment de prêter serment d’obéissance entre l
as les constater au xviiie siècle) les grands côtés de l’histoire de
Venise
, la largeur, la gravité. Les patriciens de la Dom
du Conseil, « la manche de leur habit d’Arlequin déjà passée ». De la
Venise
héroïque à la Venise carnavalesque, il aurait fal
he de leur habit d’Arlequin déjà passée ». De la Venise héroïque à la
Venise
carnavalesque, il aurait fallu peut-être ménager
n. Lionello Venturi : Le Origine della pittura veneziana (1300-1500) (
Venise
, Istituto di arti grafiche, 30 fr.) Tristan Lec
, un Michele Giambono plus encore avec son polyptyque du Rédempteur à
Venise
et l’admirable Christ du musée de Padoue que lui
nitien la Sainte-Sabine de San Zaccaria et la Madone de la galerie de
Venise
. Nul doute d’ailleurs que Jean d’Allemagne n’ait
x, délice des cours du temps. Une autre influence allait s’exercer à
Venise
, celle du Squarcione. Bien que Jacopo ait réussi
ne Cornaro, et Giovanni le peintre des madones les plus charmantes de
Venise
, aient en même temps que Carpaccio préparé l’écol
a en 1466 pour Saint-Marc et son élève, Marco Zoppo, eut un atelier à
Venise
, ainsi que Cosimo Tura. La personnalité du premie
l le Jean de Capistran du Louvre et la Madone de Murano. La Madone de
Venise
et celle du musée de Naples surtout valent par ce
omeo Vivarini est peut-être le triptyque de San Giovanni in Bragora à
Venise
; la largeur du dessin de la Madone centrale, la
ture connue est la Madone de Montefiorentino ; celle de la galerie de
Venise
date de 1480 ; il s’y montre définitivement libér
’exemple d’Antonio da Negroponte et de Bartolomeo Vivarini, il quitta
Venise
vers 1468, c’est-à-dire trop tôt pour assister à
, il s’en tint aux anciens tableaux à compartiments. Avant de quitter
Venise
, il avait eu d’ailleurs une vie assez mouvementée
celle de Gregorio Schiavone, l’élève du Squarcione, dès son départ de
Venise
, sa personnalité se développa en toute indépendan
Carpaccio à Capodistria, les deux critiques le croient originaire de
Venise
. J’ajoute un détail particulier qui offre quelque
la sculpture italienne ne présente guère d’intérêt. En Lombardie, par
Venise
, c’est l’influence byzantine qui se fait sentir ;
ont pris place […] une fine étude de Corot, la Piazzetta, exécutée à
Venise
en 1834 […]. Nécrologie : Ludwig Mond À son
ist et la Madone. Depuis Assise jusqu’à Pise, depuis Florence jusqu’à
Venise
; et l’abondance des exemples est telle qu’elle d
des plus intéressants. Mais est-ce bien une histoire de la marine de
Venise
? Non, sans doute, si l’on entend par là un ouvra
t-à-dire, son côté technique. D’autre part, dans l’histoire navale de
Venise
, toute la politique étrangère doit former une par
int, l’auteur se borne à examiner ce qui est en rapport immédiat avec
Venise
, et ne donne au lecteur que des explications insu
; le pont de pierre à Vérone, par M. Leprince-Ringuet ; des coins de
Venise
, par M. E. Klabec (baptistère de Saint-Marc) et p
ement heureuses : […] un Guardi : Concert dans un couvent de femmes à
Venise
[…]. Memento bibliographique [extrait] Nous
erwick) ; Musicien, par Savoldo (coll. du comte Amhurst) ; […] Vue de
Venise
, par Guardi (coll. de M. Otto Beit) ; […]. T
u futurisme. Oui, je sais, il y a le manifeste contre les gondoles de
Venise
, « ces balançoires à crétins », et le « vénal cla
ant que ce Pietro Longhi si mal connu en France ! Ce n’est guère qu’à
Venise
même, au musée Correr en particulier, qu’il est p
ts de son métier, Antonio Balestra était un de ces Véronais établis à
Venise
comme il y en eut tant ; et peut-être que si Piet
ari, qui se dispersèrent dans toute l’Europe, Pietro Longhi demeura à
Venise
. Cette absence d’aventures explique qu’on ne trou
nt pas la partie la moins précieuse de son œuvre. Le musée civique de
Venise
en conserve 140 acquis par Teodoro Correr d’Aless
ction des « villes d’art célèbres », a certes moins de réputation que
Venise
ou Florence, Rome ou Ravenne, parmi les cités d’I
, un thème général sur lequel brodent nos sensibilités particulières.
Venise
est au nombre de ces dernières villes. Depuis qu’
ieuse qui a renforcé l’enthousiasme lui-même. En sorte qu’aujourd’hui
Venise
n’est plus un certain port, d’un certain nombre d
fond en comble, ses canaux comblés ou le tramway électrique installé,
Venise
subsistera, intangible, dans le magasin aux acces
? Quelles variantes nous en ont-ils données ? § Et, d’abord, pourquoi
Venise
elle-même ? Pourquoi entre tant de villes, pittor
en peut trouver des répliques ailleurs, si admirables qu’ils soient à
Venise
, mais son destin né de sa situation géographique
pour nos esprits inquiets de retrouver un passé intact. Somme toute,
Venise
est aujourd’hui la ville la plus originale de l’E
gasins, ni tavernes « colossales ». Un formidable anachronisme, voilà
Venise
. Une ville à part de toutes les autres : retenez
perficielle au premier abord, mais qui a sa valeur pour un Français :
Venise
est une des belles villes étrangères aisément att
le obstacles qui se dressent entre nos désirs et leur réalisation. Or
Venise
est à nos portes. Situez-la seulement en Sicile e
éclipse, du fait de la prédominance chez nous des théories réalistes.
Venise
surtout en avait pâti. Les clairs de lune, les sé
urt, ni Daudet, ni Zola, ni Maupassant ne sont vraiment accaparés par
Venise
. Ils la saluent au passage, souvent de très loin.
lie, et cette réaction se produira presque exclusivement au profit de
Venise
. Seulement, il convient de distinguer : si les ro
une excellente affaire pour la rue Laffitte, mais nous n’allons pas à
Venise
à la suite de Ziem, nous y allons à la suite de M
aux notes antérieures sur le même sujet et qui donne tout de suite à
Venise
l’aspect particulier sous lequel toute une généra
Une fresque de la Mort et de la Volupté, voilà désormais l’aspect de
Venise
pour chaque écrivain français qui se respecte. Le
en avons déjà dit, on aperçoit quelle va être la nature de ce décor :
Venise
, cité la plus originale de l’Europe, ville à part
conditions, qu’on repousse cette vieille courtisane fardée qu’est la
Venise
littéraire ! Mais si elle n’existait pas, il faud
n’avait parlé avec cet accent de la volupté tragique qui se dégage de
Venise
enfiévrée, lézardée et croulante. Nulle part on n
heure pour suivre cette voie, et à peine le cliché : Je me meurs dans
Venise
enfiévrée de volupté avait-il été tiré, mille poè
ure à vous démâter. C’est qu’il faut bien vous dire que le silence de
Venise
est une contrainte analogue à celle de l’eau et q
de notre temps. Plusieurs, en effet, nous ont représenté des fuites à
Venise
, mais le décor sentimental de notre époque les ha
s tout en demeurant lui-même le plus délicieux des Parisiens évadés à
Venise
, — et c’est de Maurice Donnay dont il s’agit. Dan
plus charmantes de ce charmant esprit, dans l’Affranchie, il a donné
Venise
pour décor à son premier acte, et je crois bien q
run, Mme de Moldère « très allurale, très branchée, très racée, à qui
Venise
va très bien, qui a l’air d’une dogaresse » ; Rog
galement jeunes et beaux et passionnés, qui ont dirigé leurs pas vers
Venise
pour exalter encore leur amour. Ils se sont cherc
té inattendues : « Peut-on mentir devant la mélancolique splendeur de
Venise
endormie ?… » s’écrie, d’un bel élan, Antonia de
n, et n’a enlevé, j’en suis persuadé, aucune efficacité à la vertu de
Venise
dans l’esprit des spectateurs… L’autre couple est
ette et son ami Pierre. Juliette est « une petite fille qui croit que
Venise
conserve les liaisons malades, comme Menton conse
à se consumer plus vite… Voilà le double aspect de l’amour français à
Venise
au début du xxe siècle. Lorsque la comédie en es
rité. Nous avons, Dieu merci, d’autres artistes de lettres qui ont vu
Venise
, qui y ont placé leurs fictions puisque c’est le
te que Sainte-Marie des Fleurs nous fournit la vision charmante d’une
Venise
amoureuse, jeune et gaie sous un ardent soleil, u
te funèbre. « Dans la tombée de l’aube crépusculaire, les marbres de
Venise
gardaient un reste de lumière, et la ville sembla
Ainsi aucune note discordante ne vient jeter un son grave dans cette
Venise
lumineuse, douce et joyeuse. Et ce sera vraiment
rès pur s’accommode mal des fièvres énervantes de la lagune. Aussi la
Venise
qu’il évoque dans la Peur de l’Amour est-elle une
ne. Aussi la Venise qu’il évoque dans la Peur de l’Amour est-elle une
Venise
sèche de tons, si j’ose dire, aux arêtes nettes,
is sensuel et sentimental, un amour gradué et humain. « Le climat de
Venise
, s’exclame un des personnages, mais il est excell
des personnages, mais il est excellent. Le mal qu’on en dit est faux.
Venise
, mais c’est une ville hygiénique. L’air de la mer
la vie perçue harmonieusement dans la magnifique lumière de l’Italie.
Venise
lumineuse ! C’est ainsi que la voit Marie Dauguet
de gorge de ramier… Et puis quelle musique mêlée au silence suave de
Venise
! Clapotis, grésillements, cris lointains de gond
tout cela compose des histoires d’un fantastique moderne étonnant où
Venise
joue un rôle étrange et inattendu. Pour Ginko et
a petite minute d’émotion amoureuse indispensable à tout bon séjour à
Venise
. C’est Avertie qui la ressent, et avec beaucoup d
l sait camper des types contemporains. On ne trouvera de la vision de
Venise
que juste ce qui convient pour situer les scènes
y donnent rendez-vous ou s’y cachent. La haute société cosmopolite de
Venise
est ahurissante, et il est dommage, eu vérité, qu
leur passé, où l’on puisse s’imaginer vivre une existence en beauté.
Venise
sera-t-elle encore de ces cités-là ? Sans doute,
vail ; il s’agit de l’auteur de Faust : … Ce qui lui plaît le plus à
Venise
, et ce qui, comme homme du Nord, l’attire déjà pa
e la danseuse Bettine, qui amuse par ses jongleries les carrefours de
Venise
. On se la représente assez, d’après le portrait q
œuvres d’art de l’antiquité et de la Renaissance ; son court arrêt à
Venise
, qui ne le séduisit pas ; ses pérégrinations dans
5, janvier 1902, p. 239-246 [241-242]. L’émerveillement s’éveille aux
Venise
silencieuses, harmonieuses de M. Morrice. Après l
uvre encore dans les F. Guardi, mais de ce qui toujours a constitué à
Venise
et y constitue encore la vie véritable, le frémis
i bien que le goût des somptuosités propre aux époques plus récentes,
Venise
lui a parlé d’une voix authentique et spontanée,
lus récentes, Venise lui a parlé d’une voix authentique et spontanée,
Venise
apparaît et se meut dans son œuvre. Ici plus rien
te pas. Il y a deux éléments dont, Canaletto excepté, les peintres de
Venise
n’ont guère tenu compte : la lumière et l’eau — l
arate. M. Morrice nous apporte ce secret essentiel, et c’est pourquoi
Venise
en ses toiles vit et nous émeut, c’est pourquoi,
son coin du grand Canal, ou l’aspect si divers, rose et argentin, de
Venise
l’après-midi, ou bleu et or noirci, le soir. V
ent, lui refuse ses joies. Une seconde pièce de lui vient de tomber à
Venise
. [Il ritratto mascherato, par A. Fogazzaro]
’est catholique tant qu’on veut, mais point théâtral, et le public de
Venise
a fait un mauvais accueil à cette chose mince et
’adultère très intéressante. Archéologie, voyages. Pierre Gusman :
Venise
, Laurens, 5 fr. Charles Merki. Tome XLII, numé
il nous semblerait injuste de ne pas signaler le joli album relatif à
Venise
, dans la collection des Villes d’art célèbres de
Hymans et le petit volume sur Bruges et Bruges et Ypres ; le texte de
Venise
, par M. Pierre Gusman, donne une impression analo
odigieux de tableaux et de sensations que doit donner une ville comme
Venise
; le reste est accessoire ; n’importe quel guide
itienne ; c’est une énumération de peintres et de peintures ; mais si
Venise
est un des plus beaux musées de l’Europe, il ne s
, il ne s’ensuit nullement que les tableaux de ses musées soient tout
Venise
. — Il reste les images par bonheur ; elles sont n
e à l’“humanité”. » L’Ermitage : M. Stuart Merrill sur Genève et
Venise
[extrait] M. Stuart Merrill adresse à L’Ermita
des Notes de voyage, colorées, sentimentales et spirituelles. […] De
Venise
M. Merrill rapporte ces deux croquis : « Tristes
nise M. Merrill rapporte ces deux croquis : « Tristes prostituées de
Venise
! L’une d’elles, bouffie, jaune et malpropre sous
r, Vitali…, Sienne avec Symeone Nardi et Michelangelo di Bartolomeo ;
Venise
avec Aldo Manutio, Benali, Vitali, Simon Bevilaqu
À signaler, cependant, les Dévotes méditations de saint Bonaventure (
Venise
, 1487). Les bois de ce livre fort rare appartenai
es, croquis, crayons sur l’Italie, ils sont légion. L’Italie du nord,
Venise
, Florence, la Toscane, exerce une attraction très
de Toscanella, Saint-Laurent-hors-les-Murs, Florence ; de M. Portier,
Venise
, Rome, la villa d’Este ; de M. Bureau, la cour du
des meilleures aquarelles de la série ; de M. Bobin, des Souvenirs de
Venise
; de M. Neukomm, Saint-Marc, la Chartreuse de Pav
ie, le petit portail de Vérone ; de M. J. C. Levi, encore des vues de
Venise
, le baptistère et le porche de Saint-Marc ; de M.
e la galerie de l’Académie Royale des Beaux-Arts et du Palais Ducal à
Venise
environ 70 000 francs. « La loi sur la taxe d’ent
endez-vous, gens du peuple, militaires, etc. » Le Palais des Doges à
Venise
a encaissé, en 1900-1901, 81 340 francs. À Floren
é ; Le Saint-Couteau, dont se servit le Christ à la dernière cène : à
Venise
; un pain de la dernière cène : à Bouillac (Tarn-
u à peu près toute l’Europe, s’était fixé en Italie, successivement à
Venise
, à Bologne et à Pise, et y jouissait d’une renomm
a vie, marque l’apogée de sa carrière. Son évasion hors des Plombs de
Venise
, l’événement le plus considérable d’une existence
isait naturellement Voltaire à questionner Casanova sur son pays, sur
Venise
, sur ses sentiments à l’égard d’un gouvernement d
mptes ni les persécutions dont il y a souffert. Et cependant, il aime
Venise
, d’un amour de grand enfant gâté, puni et méconte
âce après dix-neuf ans d’exil ; et quand il l’a obtenue, son retour à
Venise
n’est pour lui qu’une nouvelle désillusion. Mais
; qu’un Amelot de la Houssaye écrive son Histoire du Gouvernement de
Venise
qu’un Voltaire se permette quelques doutes sur le
re, sachant que je n’avais pas lieu d’être content du gouvernement de
Venise
, m’engagea sur ce sujet ; mais je trompai son att
à la charge : — À propos, dites-moi, vous trouvez-vous bien libres à
Venise
? — Autant qu’on peut l’être sous un gouvernement
avaient usé du leur. — Admirable ! Mais, de cette manière, personne à
Venise
ne peut se dire libre. — Cela se peut ; mais conv
e lorsqu’il écrit : « De tous les gouvernements de l’Europe, celui de
Venise
était le seul réglé, stable et uniforme (au xve
enne, et un encouragement aux plébéiens. Le mérite ne put jamais dans
Venise
élever un simple citoyen, comme dans l’ancienne R
e philosophique et l’Essai sur les mœurs ; l’article qu’il consacre à
Venise
est un vibrant hommage rendu à la liberté populai
liberté quelques expériences qui ont pu le rendre plus indulgent pour
Venise
; mais on ne peut s’empêcher de constater qu’entr
narration qu’il ne semble pas avoir faite. Quand il ne s’agit plus de
Venise
, sur toute autre question d’histoire ou de politi
es affaires ; Sur la porte il écrit bœuf. Dedans il vend du cheval.
Venise
c’est cette chose Qui s’agite dans la M… M… neuve
t, sans ouvrir les lèvres, jusqu’à notre gondole. * L’aube se levait,
Venise
était grise et bleue. — Mon cher Paolo, dis-je à
hat du bonheur. Peu après ce duel, Antonio démissionna ; s’installa à
Venise
, dans le palais que lui donna son père, le vieux
mental, les plafonds et les cheminées classés parmi les plus beaux de
Venise
. Tous les étrangers qu’Antonio avait admis à ses
ans quinze jours, sera loin. — Ah ! vous ne restez que quinze jours à
Venise
? — Ou trois semaines, tout au plus. — Je vous éc
mi Wellseley. Quant à ce dernier, contrarié par la présence de Nina à
Venise
, il attendait un billet de Stella-Lucente lui fix
nu à Paris, et l’avait invité à passer quelques semaines, chez lui, à
Venise
. Cette invitation entraîna celle du violoniste Lo
Paillard ou à Armenonville. — Ça dépend ! — Je rêve trop, moi ! Ici à
Venise
, c’est tout naturel. Je n’ai qu’à me pencher à la
es que nous révèlent les chroniques ;.dans ce décor pompeux et mort !
Venise
est belle comme une femme qui aurait expiré en pr
Ceschini ? — Je l’ai aperçue à Paris et à Londres, et, quelquefois, à
Venise
. — Voilà une créature qui doit vous plaire, hein
ingtième siècle, mais avec un Stella-Lucente. J’aurais dû ajouter : à
Venise
! Wellseley, notre grand canal est splendide avec
! On dirait qu’un magicien vient de composer un filtre : le poison de
Venise
. Il a attaqué l’âme de la Ceschini, et il nourrit
ègres ou d’indiens, pourquoi ne pas choisir cette ravissante danse de
Venise
, que j’ai souvent regardé danser dans ma jeunesse
maxixe. La musique en est tantôt sautillante, tantôt lente. C’était à
Venise
, une danse populaire, que l’aristocratie adoptait
grande fête. M. Pompeo Molmenti en parle dans ses beaux ouvrages sur
Venise
dans la vie privée, et un écrivain de l’Amérique
ns la vie privée, et un écrivain de l’Amérique du Sud, passionné pour
Venise
et pour l’Italie M. Rafaël Errazuriz, dans ses li
tés sur la Ciudad de los Dux, montre comment, dans la vie élégante de
Venise
, où l’aristocratie et le peuple se mêlaient parfo
ier, à la Chambre, dans les couloirs, j’ai surpris un grave député de
Venise
, illustre homme d’État, qui, d’une jambe hésitant
heli, un plafond décoré d’une peinture allégorique provenant aussi de
Venise
, accompagnent des tableaux pour la plupart véniti
à qui elle tendit la main : — Oh ! cher grand artiste, on ne parle, à
Venise
, que de votre chef-d’œuvre ! Est-il permis de l’a
est-elle motivée ? — Certes ! La Ceschini ne restera pas longtemps à
Venise
, sans susciter quelque scandale. Et il ajouta sou
omme elle sera désormais, dévastée par moi ! Tu ne retourneras plus à
Venise
! Ne compte, ici, sur la complicité de personne,
des rêves. * La disparition des Stella-Lucente intrigua la société de
Venise
. On crut à un caprice d’Antonio et de son père. M
ir, Lowsky et Morga, qui étaient au courant de l’aventure, quittaient
Venise
pour une destination inconnue. Quatre jours après
ances et les tourments. Pendant l’hiver et le printemps, il demeura à
Venise
, soit chez moi, soit aux Zattere, devant le portr
montagnes ; et, vers la fin de septembre, nous étions, de nouveau, à
Venise
. Un soir de novembre, sur le grand canal… Comme
il endort Aurora. C’est lui qui m’a assuré que nous devions revenir à
Venise
, où nous sommes depuis avant-hier à peine. Suivez
pu pénétrer dans cette maison ? — Mais c’est bien simple. En quittant
Venise
, je me suis installé dans les environs de Mantoue
: — Carlo Litani : « Poèmes en prose. » — M. A. Maurel : « 15 jours à
Venise
. » — « L’Opinion française et l’Italie vers 1840
ès pittoresques, palais rouges, arcades rongées de soleil, aspects de
Venise
, de Sienne, choisis parmi ceux qui sont appelés à
4, p. 838-845 [845] […] Revue bleue (14 mars) : […] « Quinze jours à
Venise
», par M. André Maurel. […] Chronique de Bruxe
n remarquable historique de l’Art et des artistes qui travaillèrent à
Venise
, depuis les origines de la ville jusqu’à l’effond
squ’à l’effondrement des xviie et xviiie siècles. — La fondation de
Venise
, on le sait, ne remonte guère qu’au ixe siècle e
auquel fut dédiée la première basilique, et qui resta le palladium de
Venise
. — Je ne puis suivre M. P. de Bouchaud dans ses r
es artistes. Son livre est surtout une étude d’art, — non seulement à
Venise
, mais dans nombre de villes italiennes ou des pos
14, p. 405-414 [406-407, 411, 413]. […] J.-F. Raffaëlli a rapporté de
Venise
des notes de la plus curieuse intensité. C’est un
rapporté de Venise des notes de la plus curieuse intensité. C’est une
Venise
d’hiver, c’est une Venise cherchée dans ses coins
es de la plus curieuse intensité. C’est une Venise d’hiver, c’est une
Venise
cherchée dans ses coins populeux, dans ses foules
iant sa diaprure, se coulant sur les façades peintes. Ce n’est pas la
Venise
des doges, ce n’est pas la Venise des Cooks, ni m
es façades peintes. Ce n’est pas la Venise des doges, ce n’est pas la
Venise
des Cooks, ni même celle des touristes érudits, m
l admirable. […] Parmi les peintres de ville, M. Abel-Truchet avec sa
Venise
en fête. La Venise d’Abel-Truchet est une Venise
Abel-Truchet avec sa Venise en fête. La Venise d’Abel-Truchet est une
Venise
vivante ; les vieilles pierres y sont évoquées su
ellus et le Panthéon de Rome, par M. H. Fitton ; de beaux paysages de
Venise
, gravures originales de M. H. Cheffer […]. Art
638]. Chez Vollard une grande série de peintures de M. Franc-Lamy sur
Venise
et la Côte d’Azur d’un coloris agréable, mais trè
s une Riposta (de Calzabigi lui-même, semble-t-il) publiée en 1790, à
Venise
, et adressée à Arteaga, on lit que Calzabigi choi
des reliques, puisque, au quatorzième siècle, l’averroïsme régnait à
Venise
. Pétrarque nous dit qu’on s’y moquait de Moïse et
tes des historiens, et le pape Sixte IV arrachera aux inquisiteurs de
Venise
ce Caleotus Martial qui a soutenu que la bonne co
iées depuis une vingtaine d’années. Armand Baschet, qui se trouvait à
Venise
, fut incité à travailler la question de l’authent
ivourne. Tome LXXI, numéro 256, 16 février 1908 Le voyage à
Venise
. Dix-sept sonnets inspirés de Venise Ernest Ray
ULRICH VON PLATEN. I Je me tourne :
Venise
a surgi de la mer ; La vague tutélaire, en se jo
pu le pacte nuptial. Le long des corridors une voix se lamente ;
Venise
! tu n’es plus la cité triomphante, Que Véronèse
ts ! VIII Le jour succède au jour, la semaine aux semaines,
Venise
! et je ne puis me séparer de toi ; Aux seuls no
, les vertes promenades, Les parterres de fleurs recréés du zéphyr,
Venise
! tu m’en as ôté le souvenir, C’est par d’autres
XVI Je t’aime à la façon de ces images peintes Que les murs de
Venise
étalent à nos yeux ; En vain on les désire, époi
en peut rien tirer qu’un front silencieux. Je t’aime sans espoir.
Venise
est ta patrie Aux ciels peints, ton image accom
ous reste fidèle. Avant que de rentrer dans la nuit éternelle, Ô
Venise
, ma joie et mon étonnement, Je veux encore errer
s, célébrait la Ligue éphémère de Florence, de Sixte IV, de Milan, de
Venise
. Échos. Lecture Dantis Mercure. Tome LXXI,
et si l’on n’y rencontre pas des édifices aussi célèbres que ceux de
Venise
ou de Florence, on peut affirmer néanmoins que so
Colleone et l’œuvre du Tintoret nous conservent intacte l’énergie de
Venise
. M. Maurice Barrès a eu raison de placer très hau
s le nord-ouest et menace l’étranger, par-delà les vieux quartiers de
Venise
et la lagune. Devant le monument, le rio dei Mend
s forteresses. Le Pensieroso résume la pensée profonde de la ville. À
Venise
, le Colleone étonne davantage. Les poètes ont si
savons presque rien de sa vie. Il vécut à Florence et fit un voyage à
Venise
en 1483, pour y travailler au Colleone. Peut-être
péra ses sentiments. Quelques mois avant le départ de Verrocchio pour
Venise
, ce petit moine bilieux, dont Fra Bartolommeo a i
. Dans l’Occident (mars), M. Adrien Mithouard étudie l’architecture à
Venise
. Nous lui sommes redevables d’observations nouvel
es n’atteignirent pas des prix bien élevés. La plus favorisée, Vue de
Venise
, monta à 11 000 fr., la Terrasse du Palais Doria
nne une idée, suggestive et piquante, de l’insignifiance politique où
Venise
en était venue à la fin du xviiie siècle, ce son
disponibilité, le marquis finit par mettre la main sur l’ambassade de
Venise
, pis-aller accepté faute de mieux. C’est que cett
homme. Ajoutez la vieille habitude inquisitoriale du gouvernement de
Venise
, qui traitait en intrus, en suspects, les membres
un joli livre de M. Philippe Monnier là-dessus23. Pourtant, en 1789,
Venise
, dont le territoire, en Italie et hors d’Italie,
vernement vénitien). Mais là-dessus les événements se précipitèrent ;
Venise
, qui n’aimait pas la Révolution, en demeura, avec
rection. Restait l’Autriche : la déclaration de guerre de 92 fut pour
Venise
l’occasion de marquer, ici encore, sa neutralité.
et la Convention restait fort modérée là-dessus), cette neutralité de
Venise
tournait, intrinsèquement, à l’avantage de la Fra
a France ; et si elle se fût maintenue dans ces conditions, peut-être
Venise
en eût-elle retrouvé le bénéfice, aux terribles j
acassière politique extérieure inaugurée par le Directoire (demande à
Venise
de s’allier avec la Porte), inclina vers la malve
entôt traduit en français, est une fresque de la vie des Vénitiens de
Venise
, une fresque pleine d’intimité, un intérieur plei
et ils échangent leurs idées avec leurs objets. Dès le xive siècle,
Venise
accueille les doctrines avec les produits du Leva
eulement ils n’auront pas Trente et Trieste, mais ils pourront perdre
Venise
et Vérone. Autre sera la marche des faits lors du
n Italie, on trouve des versions de Tavelli, de Voragine, de Manerbi (
Venise
, 1471). La version toscane des épîtres, et évangi
dernier livre de M. Mario Morasso est consacré à la glorification de
Venise
. Cette ville tant exaltée, qui souvent nous sembl
grand poème. Il y a là, en vérité, la matière d’un poème, du Poème de
Venise
. Et M. Morasso nous présente une œuvre dont l’écr
d’une très grande justesse. Il a subi et évoque le charme féminin de
Venise
. La reine de l’Adriatique lui apparaît dans toute
elle répand sur les hommes et par quoi elle les retient. Le charme de
Venise
est féminin. Sa situation géographique et sa rais
voquer en nous une image monstrueuse du gouffre féminin. Le charme de
Venise
est dans sa féminité. Et en dehors de toute métap
ychologie courante, on ne peut nier que l’état d’âme de l’amoureux de
Venise
, ou simplement du passant que la longue et large
imites du monde en les tordant sur les courbes d’une femme, ou qui, à
Venise
, les assouplit le long des canaux, les tourmente
de l’esprit littéraire vers les esprits et les formes du Moyen-Âge ;
Venise
perpétue ces esprits et ces formes : elle est ton
et en mille points ailleurs, possèdent ce « rêve potentiel », mais à
Venise
il est pour ainsi dire supérieurement concentré,
érieux de l’humanité contemporaine. Ibsen n’oubliait pas l’Ombrie, ni
Venise
. Mais il fallait à ce colosse le cadre colossal d
romain ne pouvait pas être compensée par l’enveloppante sexualité de
Venise
. Et il quitta l’Italie. Venise continue d’accueil
pensée par l’enveloppante sexualité de Venise. Et il quitta l’Italie.
Venise
continue d’accueillir les phalanges des quêteurs
défini autrement. Mais il l’a merveilleusement compris. Je crois que
Venise
ne peut pas répandre sur un esprit gigantesque le
me elle peut décupler ses forces. Lorsqu’elle triomphe sur un esprit,
Venise
est la souveraine absolue, sa paissance de rêve é
et de cette puissance. M. Morasso explique : « Chaque peuple laissa à
Venise
les ornements de sa plus grande fortune, ses sign
grande fortune, ses signes de noblesse et de beauté, et l’essence de
Venise
est constituée par cet héritage immense, fait de
litiques internationales, et des actes du gouvernement. » Il parle de
Venise
comme de « l’écrin du monde ». Tout siècle, dit-i
e de « l’écrin du monde ». Tout siècle, dit-il, tout peuple a légué à
Venise
un joyau de sa plus pure lumière. Nous les retrou
sades fut d’établir de vastes échanges entre l’Orient et l’Occident :
Venise
y gagna sa puissance. Et M. Morasso, avec raison,
na sa puissance. Et M. Morasso, avec raison, ne voit pas la gloire de
Venise
dans son histoire et dans sa témérité de conquéra
, et de dominatrice de l’Adriatique. Il exalte plutôt l’enjouement de
Venise
, sa pompe, sa beauté extérieure, ses mœurs, son é
te et gracieuse. M. Morasso a donc compris le grand charme féminin de
Venise
, le charme réel, plus ou moins appréciable, qui d
», qui était debout « outre que sur la ville, sur l’histoire même de
Venise
», s’élève de l’émotion du poète, en des rythmes
te, sur l’état actuel de cette industrie qui est si près de l’art. «
Venise
— déclara M. Morasso — c’est un monde à soi, avec
— c’est un monde à soi, avec un style propre à côté du monde commun…
Venise
, c’est le véritable domaine de l’homme, c’est le
ans toute la littérature moderne trois œuvres seulement où l’image de
Venise
soit comparable en beauté et en profondeur à cell
ble en beauté et en profondeur à celle-ci. M. Morasso voit la vivante
Venise
de fête, comme Mme Valentine de Saint-Point la vo
e grand poète, elle ne veut évoquer en effet, dans Un Inceste, qu’une
Venise
de nuit, puisque ses protagonistes méprisèrent «
s complètent cette courte série de quatre écrivains dignes de chanter
Venise
avec des esprits nouveaux. Bruno Villanova d’A
n Néron point méchant. Mais la liste doit absolument se clore là. 8.
Venise
, Scuola di San Rocco. 9. Voir surtout l’excellen
le chercher moi seule : je veux rencontrer David, ou la mort. 23.
Venise
au xviiie siècle. V. Mercure de France, 16 octob
nt pas ; il continue à ne pas voir… Il remonte vers le nord, et c’est
Venise
. Que croyez-vous que va produire sur lui la ville
e Florence) et les rudes Moissonneurs du Louvre. Il vient d’arriver à
Venise
. Voyez-vous ce paysan dans la cité des doges, dan
, ch’avete gl’intelletti sani49. Les Revues. La Revue de Paris :
Venise
en danger ; un appel à tous les artistes Charl
surtout, dans une efficace protestation, tous les artistes du monde :
Venise
en danger ! Si une pétition que tous signeraient
re à cent mille exemplaires immédiatement ! Les Vandales qui menacent
Venise
ne cherchent que la satisfaction d’un pécule à ga
: « Une patrie d’art éblouissante, une patrie de miraculeuse beauté,
Venise
, est en danger. » Il faut savoir gré à cet écriva
un poète « d’entre nous » ; — mais il importe d’agir. Que préparent à
Venise
, les ingénieurs, les architectes, les financiers,
éunissent des savants et des artistes pour l’œuvre de conservation de
Venise
, et que toutes leurs bonnes volontés alliées à l’
ent des souvenirs splendides qui animent de poésie leur atmosphère, —
Venise
s’est réveillée d’un sommeil de plusieurs siècles
d’un viaduc qui, partant de la côte de Mestre, permettrait de gagner
Venise
, non seulement à pied, mais en voiture, — et surt
t à pied, mais en voiture, — et surtout à bicyclettes ! » On sait que
Venise
est déjà reliée à la terre ferme par un pont de c
s, amène les locomotives sur le bord du Grand Canal, à l’extrémité de
Venise
, sans que d’un point quelconque, si ce n’est du h
ent national on ne peut négliger sans les risques les plus graves. Et
Venise
n’avait cessé de s’allonger en pleine eau vive, f
tête hante certains spéculateurs, dont la réalisation marquerait pour
Venise
le dernier degré de l’inconscience. Cette idée n’
ptent que, pour être vraiment fructueux, il devra partir du centre de
Venise
; — pourquoi pas d’entre les deux colonnes de la
s préoccupations politiques, il retrouvât, pour plaider la défense de
Venise
, le grand talent qu’il dépensa à en décrire la me
t. À son retour, il doit repartir avec Fragonard. « Il luy fera voir
Venise
et les autres villes où il y aura de belles chose
ur et sera à portée de faire des études des beaux morceaux qui sont à
Venise
. » Toutefois, ce n’est que l’année suivante qu’i
au retour, Bologne et les maîtres des Serviles, de Saint Pétrone ; et
Venise
avec Véronèse, Titien, Ricci, Palma, le Tintoret,
bre 1900, p. 285-288 [286-287]. Cher Monsieur Vallette, Je reviens de
Venise
, et je suis terrifié en lisant dans le Mercure le
n lisant dans le Mercure les lignes rapportées de la Revue de Paris :
Venise
en danger. Je ne vous cache pas que la beauté pre
nise en danger. Je ne vous cache pas que la beauté presque intacte de
Venise
m’avait surpris, et je n’en croyais pas mes yeux
é dans la ville des doges, soucieux de son avenir. J’ai découvert que
Venise
a contre elle trois classes : les protestants, sa
à l’école de la presse ignarde et du Progrès. Quant aux défenseurs de
Venise
, ce seront, à quelques exceptions près, les artis
ations, déjà trop nombreuses, au dire de quelques peintres de là-bas,
Venise
reste un tableau entier et d’une tonalité une ; m
e, sans démolir une maison, sans couvrir un rio, cet ordre ne porte à
Venise
un coup terrible. Cet ordre est que tout propriét
selon qu’elle est en marbre ou en crépi) sa façade. Or, pour qui a vu
Venise
, une des principales beautés de la ville consiste
s plus impressionnants aspects de cette cité surnaturelle. Reblanchir
Venise
, voici l’ordre le plus néfaste que l’on pouvait d
est donné — et l’on a commencé déjà. Puisque l’attention se fixe sur
Venise
, il ne serait peut-être pas mauvais de l’attirer
moins intéressantes, condamnées par cette entreprise. Mais revenons à
Venise
. Je doute que l’on puisse vaincre l’esprit borné
s des amoureux d’art ; cependant, si une pétition s’ouvre pour sauver
Venise
, je veux y inscrire mon nom, mon très humble nom
elle occupe, et l’on y peut justement signaler les relevés exécutés à
Venise
par M. Eustache, — tombeau du Doge Vendramen, pla
rasse ; un cadre de M. Charpentier Bosio contenant des aquarelles sur
Venise
, Florence, Tunis […]. Lettres italiennes Lu
foi. Il soutient avec esprit et érudition la cause du Grand Art, qu’à
Venise
, comme à Florence, comme un peu partout, les ingé
ise se trouvèrent admirablement unis ». Les deux voyageurs arrivent à
Venise
en juillet 1774 et Fragonard, car c’est lui évide
ux pas vous donner une si grande peine. Rappelez-le ; quand il sera à
Venise
, vous m’enverrez mon masque, et je tâcherai de gu
re à une de ses maisons de campagne, où il passa six mois sans revoir
Venise
, et pouvant à peine se consoler. Singulier geste
de ce livre J’ai passé le printemps de 19.. chez Enéa Aldramino, à
Venise
. Je trouvai mon ami, habituellement si heureux, d
les l’obligeaient à remettre, d’automne en automne, cette histoire de
Venise
qu’il voulait écrire, mais qu’il n’osait plus com
personnage principal, ne me serait-il pas facile d’évoquer la vie de
Venise
, à la Renaissance, de vanter sa splendeur, de reg
moins l’impression d’avoir lu Théophile Gautier ou Maurice Barrès… La
Venise
que vous évoquerez ne sera pas celle qui apparut
gligé des renseignements et des anecdotes susceptibles de prouver que
Venise
peut offrir au monde un artiste aussi surprenant
. Comme on réparait notre résidence d’été à Masere, j’étais resté à
Venise
. Un après-midi, mon parent Daniel Dorsevigo, qui
rsevigo est un homme surprenant. Sa maison est une des plus belles de
Venise
. Elle contient toutes les espèces de meubles qui
Tu es Vénitien ? — Non, Messire. Je suis né à Castelfranco. — Es-tu à
Venise
depuis longtemps ? — Depuis quinze jours. — Quel
t suffisamment doué d’ambition, de talent et de charme pour réussir à
Venise
, où la valeur ne demeurait pas longtemps inconnue
e. Grâce à cet homme, Giorgio, riche de quelques ducats, fut envoyé à
Venise
et trouva une place d’apprenti chez Zuccatto le m
quand bon vous semblera et, si le Sénat m’y autorisait, je décorerais
Venise
tout entière. Et comme il m’exprimait, de nouveau
line, dans son pays natal. Pour l’instant, il édifiait sa résidence à
Venise
, qu’il reconstruisait selon sa fantaisie, et embe
de la scalza. Je lui appris que, depuis leur organisation en société,
Venise
devait à ces jeunes gens amoureux de plaisir l’or
fle. Il n’y a plus d’ombre sur les places. Dans un poudroiement d’or,
Venise
resplendit. Nous sommes sur le quai. Non loin de
’aspect bariolé d’un tapis d’Orient. La barque dorée du patriarche de
Venise
vient à la rencontre du Doge. Le prélat monte à b
e peuple sait que nulle cité, au monde, ne songerait à rivaliser avec
Venise
, soit en richesse, soit en puissance. L’émerveill
plus grande intensité, au retour, lorsque la flotte redescendit vers
Venise
. Notre barque était à l’arrière de l’escorte. Des
co ? N’aurais-je pas répondu : — « Giorgio Barbarelli qu’une fille de
Venise
salua du nom de Giorgione est un artiste inspiré
uifs consumés par l’amour de l’or. Nul peintre n’avait encore joui, à
Venise
, d’une célébrité comparable à celle de Zuan et de
ssait Naples, Milan, Florence, Ferrare et dans laquelle il fit entrer
Venise
et le pape Alexandre VI. Peut-être aussi qu’il av
Dieu à qui tout était permis. Ils diront comment une ligue se forma à
Venise
(31 mai 1495) pour libérer l’Italie et comment, a
quement, par le poison, la dague ou le cachot. * Peu après, j’étais à
Venise
, heureux de me retrouver au milieu de mes amis, d
Mais il est aussi le disciple de M. Maurice Barrès ; il éprouve pour
Venise
mourante une passion un peu maladive et bien qu’i
ève. Je dus m’absenter secrètement pour quatre mois. Je ne revins à
Venise
qu’au printemps. Après avoir rendu compte de ma m
arrêta et reprit : — Vous avez choisi un jour glorieux pour rentrer à
Venise
, Seigneur. J’aurais été navré de ne pas admirer c
pportai ces phrases à Giorgio. — Sois heureux, ton nom est connu dans
Venise
… — On m’a écrit des lettres et envoyé des message
gneur, comment vous portez-vous ? C’était Giorgione. Un long séjour à
Venise
lui avait donné brusquement le désir du plein air
de Castelfranco, mais brusquement, il tourna bride et se dirigea vers
Venise
, au galop. * Je ne sais s’il faut admirer ou blâm
ici ce que j’entendis dans l’atelier du sculpteur : — Ah ! Leopardi !
Venise
te doit son plus fier monument La place San Giova
eine l’animosité du sultan Bajazet II, qui promet l’anéantissement de
Venise
. Nicolas Pesaro coule une galère turque, qui n’av
lan où Jacques Trivulce mécontentait Guelfes et Gibelins, je revins à
Venise
. Hélas ! je n’en sortirai plus. Une cuisse fracas
r. Tu pris la route qui y mène, puis, tu te ravisas et descendis vers
Venise
… — C’est exact. — J’y suis retourné pour assister
— Accomplir mon rêve. — Quel rêve ? — Peindre à fresque — et décorer
Venise
. * Il entreprit ce gigantesque labeur avec une fo
c. 1503). Louis XII, malade, propose une trêve de trois ans. Jamais
Venise
ne se retira plus avantageusement d’une campagne
es de Castelfranco, les jardins de Maser, les palais et les canaux de
Venise
… Alexandra répondit : — La vie me plairait s’il n
désir et de l’amour, n’est-ce possible qu’à Naples, Rome, Florence ou
Venise
ou dans les allées désertes d’un parc abandonné ?
On lira encore de curieuses pages inédites de Stendhal sur Florence,
Venise
, Padoue. Il visite Padoue, écrit M. P. Arbelet, m
e aurait fini par séparer ces deux hommes, si Titian n’était parti de
Venise
, appelé à Padoue, par la famille Cornaro. * Je cr
royait encore dans les jardins de la Reine de Chypre, il se cachait à
Venise
. — Giorgio, lui dis-je, tu ne me traites plus en
, résolut, avec l’assentiment de Maximilien et du Pape, de déposséder
Venise
. La République se soumet au Pape, pour désunir la
it. Le Pape, navré par les malheurs de la ligue, se réconcilie avec
Venise
. Maximilien, furieux, offre notre cité magnifique
a défection du Pape, rassemble le concile de Pise. C’est alors qu’à
Venise
, dans les quartiers voisins de l’Arsenal, des mat
rveiller les maisons et brûler les cadavres. Je m’apprêtais à quitter
Venise
, lorsqu’un soir, peu après le coucher du soleil,
tes chevilles des anneaux d’or massif, lui dit-il. Avant de rentrer à
Venise
, il lui fit présent d’un sac de ducats et lui ren
de suite, cette vagabonde existence. Un de ses amants la conduisit à
Venise
. Elle retourna dans les auberges qui entourent l’
s, je m’y intéressais, parfois. J’étais le paillard le plus joyeux de
Venise
! Et vous ne m’avez pas retiré votre estime. Votr
iendront longtemps de ta gaîté, me dit le cardinal Bembo. Je revins à
Venise
et mon retour intrigua, de nouveau, mes amis… L’a
isines… En vain ! L’idée qu’ils pourraient être de retour me ramena à
Venise
. L’accablement détruisit, peu à peu, mes projets
ison touchera doublement son cœur… Dans trois jours… je retournerai à
Venise
… — Non… tout de suite… ordonnai-je. — Dans quatre
e tomba malade…… Des courriers avaient annoncé que la peste régnait à
Venise
. On savait que nous en venions. On nous chassa. J
s à Cadore, il pensa qu’ils y demeureraient quelque temps et courut à
Venise
. — Le surlendemain, continua Giorgio, j’arrivai
surveillance, je m’enfuis à Masere. Voici deux ans qu’il n’est plus.
Venise
me semble morte. Cependant, malgré la fortune con
t des bannières dont les vastes ombres se meuvent sur le Campanile…
Venise
me semble morte ! Quels que soient les talents et
in et romain, de Corrège à Parme, et surtout de Giorgione et Titien à
Venise
. L’œuvre de Giorgione en effet modifie profondéme
parler excellemment de l’architecture de Ravenne et de la peinture de
Venise
. Les chapitres consacrés à Giorgione et à ses suc
alon […]. — De M. Chollet ce sont ensuite des crayons d’Italie (Rome,
Venise
, Porte de l’Arsenal à Naples, Pouzzoles) ; de M.
le porte de Mortola, par M. H. L’Homme, et les grandes aquarelles sur
Venise
, par M. H. Fivaz. […] Les Journaux R. de Bur
dans l’azur, noblement, Le vol, le rugissement, De ton lion ailé,
Venise
! Memento [extrait] Le Correspondant (10
es artistes, dès le xve siècle, manifestent pour l’Orient, surtout à
Venise
dont les navires commerçaient avec ces contrées o
l ne sait pas son bonheur d’avoir vu la mer, pour la première fois, à
Venise
! Il note naïvement son émoi : J’embarquai à Mes
le golfe de Venise, et nous continuâmes notre route en barque jusqu’à
Venise
. Je ne pouvais en croire mes yeux, en voyant une
bre) : — M. Léo Larguier : « La Joconde ». […] — M. J. Gasquet : « De
Venise
à Kiev. » […] Lettres anglaises. Memento [extr
ur de la couleur, fille du soleil. Le Barbarelli, enfant et favori de
Venise
, est montré au milieu des flammes de ses nombreus
ste. Tout n’est peut-être pas exact dans ce chapitre de l’histoire de
Venise
, mais tout y est digne du peintre qui l’inspira,
. Pendant son absence du 2 au 15 novembre, j’aurai le temps d’aller à
Venise
et à Gênes. Mais je ne me sens aucun attrait pour
it pour ces voyages. Est-il sage d’user le plaisir que peut me donner
Venise
, en la voyant quand je n’en ai pas soif, le tout
’ai tout vu. » Elle voudrait, à cause de la prudence, que j’allasse à
Venise
. On y va en 24 ou 30 heures. [Milan, 2 novembre 1
amais n’y sont allés, ceux qui errèrent de ville en ville, de Gênes à
Venise
et de Milan à Naples, trouveront un égal plaisir
ennins, les rivages de l’Adriatique, Rimini, Ravenne, Sienne, jusqu’à
Venise
: trois cents pages des plus intéressantes, parce
rement insupportables les récits de voyage. L’Italie, Rome, Florence,
Venise
, et toutes ces petites villes qui vécurent au moy
t. On a parlé ici de ses études sur l’Arte mondiale à l’Exposition de
Venise
. Il a continué ses recherches en deux séries. Dan
dentels. Giacomo Casanova, d’origine espagnole et italienne, naquit à
Venise
le 2 avril 1725 ; il mourut au château de Dux, en
où il espère obtenir un sauf-conduit et la permission de retourner à
Venise
après vingt ans de vagabondages. Il revint dans s
service desquels il resta de 1774 à 1782. À la fin de 1782, il quitta
Venise
, et, l’année suivante, nous le trouvons à Paris o
s agents secrets ; la première sollicitant la permission de rentrer à
Venise
, les autres donnant des renseignements sur les im
non plus les villes régulières, Turin, Nancy, Lille, Windsor. J’aime
Venise
, Rome, Florence, Milan, Constantinople, Gênes. »
es manuscrits d’une traduction de l’Iliade, in ottava rima, publiée à
Venise
(1770-78) ; de l’Histoire de Venise ; de l’Icosam
Iliade, in ottava rima, publiée à Venise (1770-78) ; de l’Histoire de
Venise
; de l’Icosameron, curieux livre publié en 1787,
ublié à Leipzig, en 1788 ; l’ayant lu à la Bibliothèque Saint-Marc, à
Venise
, je ne suis pas surpris d’apprendre, d’après ce d
aissant cependant l’encre presque toujours fraîche. Elles viennent de
Venise
, Paris, Rome, Prague, Bayreuth, La Haye, Gênes, F
teur » et l’un de ceux par qui il obtint la permission de retourner à
Venise
. Son autre « protecteur », l’avocador Zaguri, ava
ns la seconde édition, de 1770, il se réjouit du retour de Casanova à
Venise
. Puis, il y a des lettres de Da Ponte, le même qu
ns la Revue Indépendante. À ce propos, M. Arthur Symons nous écrit de
Venise
: « I never saw more than a casual number of La
-corps un homme tenant un serpent de Giovanni Bellini à l’Académie de
Venise
, et la Mélancolie de Durer et la Primavera de Bot
Voltaire fait allusion au dessein qu’avait formé Goldoni d’abandonner
Venise
pour chercher gloire et profit à l’étranger. Mais
semblable que Casanova tint à honneur de soutenir contre Voltaire sur
Venise
et sur la superstition, sur Chapelain et sur Gold
elle ; elle évoque l’image byzantine et catholique de la naissance de
Venise
. Le rêve ne se révèle pas en un langage de parole
ns une atmosphère de musique héroïque et sensuelle, d’où la vision de
Venise
surgit, tel un triomphe de flammes sur un incendi
. — Monticello. Journal. Id. — Milan. Journal. Id. octobre
Venise
. Souv. Égot. — Journal Id. 4 nov. Milan. Corr
ovigo 10 — * Arqua 18 — * Padoue 19 — * Padoue 21 — *
Venise
21 — * Pliniana 23 — * Monticello 24
e France à Trieste 1831 janvier Trieste. Corr. Id. —
Venise
. Corr. Id. — Trieste. Corr. Id. 3 février
r. Id. — Venise. Corr. Id. — Trieste. Corr. Id. 3 février
Venise
. Souv. Égot. Id. 16 mars Trieste. Souv. Égot.
ouvais rencontrer sur l’auteur des Mémoires. J’avais fait un voyage à
Venise
pour y copier aux Archives les pièces qui le conc
ses tentatives si courageuses. En 1785, Lechi s’échappe des Plombs de
Venise
, mais sa femme lui faisait des envois dans une ca
réunies par du ciment, le pavé ordinaire des appartements luxueux de
Venise
, et que des ouvriers italiens sont venus faire à
x. Le comte de Waldstein, auquel on le présenta chez l’ambassadeur de
Venise
à Paris, lors de son dernier séjour dans cette vi
plète, lié avec ce qu’il y avait de plus abject parmi les vauriens de
Venise
, après avoir été séminariste, officier, réduit po
quelque temps son cachot, lui rapporta les bruits qui couraient dans
Venise
à ce propos. « Toutes ces accusations, dit Casano
es événements, aux idées politiques et religieuses des gouvernants de
Venise
, au système politique de tous les États de l’Euro
ixantaine, il n’en devait pas être de même quand il revint de Paris à
Venise
, imbu des idées philosophiques françaises, et, da
avaient lancé des bulles contre la secte, et les autorités dévotes de
Venise
devaient ouvrir les jeux sur les agissements d’un
anova et les Inquisiteurs d’État, à une séance de l’Institut royal de
Venise
, dont il était membre : « Messieurs, dit-il, j’ai
ercheurs érudits italiens et français, fouillent dans les archives de
Venise
, revenues de Vienne après la cessation de la domi
aient familièrement le Doge, pour ses beaux travaux sur l’histoire de
Venise
, fouille à son tour les Archives et y découvre le
x employés du gouvernement, et, nous supposons, aussi aux citoyens de
Venise
qui y ont des affaires, et Casanova, à l’âge qu’i
; — mais baisser ou élever des plafonds dans un palais comme celui de
Venise
! Dans une architecture, les plans horizontaux se
son moine, au trajetto de San Zorzi à la Zecca, puisqu’un journal de
Venise
, le Benigna, le note comme fait divers du 1er nov
— angl.). La tradition antique était pleine de force au moyen âge, à
Venise
, où la chiourme du Bucentaure, toutes les fois qu
enta de Ravenne le chargèrent même d’une mission importante auprès de
Venise
. L’on sait que c’est au retour de cette mission q
ons. Casanova, qui les trouve tous délicieux, en envoie à ses amis, à
Venise
, à Varsovie, à Turin. Il en a reçu plus tard des
lico, il aurait pu écrire un livre intitulé Mes prisons. Emprisonné à
Venise
sous les Plombs, à Paris au For-l’Évêque, à Londr
ns en blanc son ouvrage : Réfutation de l’histoire du gouvernement de
Venise
par Amelot de la Houssaye. Cette incarcération si
rs ; probablement à la bonne Mme Manzoni, femme d’un notaire public à
Venise
. En sorte que les Mémoires étaient déjà presque é
ine de Trévise, l’évêque de Mantoue (1884), le cardinal patriarche de
Venise
(1893). L’élection du cardinal Sarto à la tiare f
n des Mémoires à l’année 1774, c’est-à-dire la veille de sa rentrée à
Venise
, bien que le manuscrit porte Histoire de ma vie j
dans les 8 volumes. Or avec lesquels Casanova, retiré dans la petite
Venise
, et y séjournant pendant des années sans la quitt
date, et le tour est joué. Ne disant rien de lui depuis sa rentrée à
Venise
, on ne pouvait le taxer d’avoir altéré la, vérité
la (Toscane), par M. H. Kraff ; le pont et « calle del Paradisio », à
Venise
, par M. J. Fugairon ; deux planches très coloriée
r la Mortorana, à Palerme, par M. Pierre Duménil ; des aquarelles sur
Venise
et Florence (statue du Colleone, escalier du Barg
in 1912, p. 862-866 [865]. Chez Bernheim-Jeune une série de Monet sur
Venise
. Beaucoup de personnes, semble-t-il, n’y reconnai
blouissante décoration provenant du palais des Contarini à Mira, près
Venise
, et représentant la réception qui y fut faite à H
855 [855]. […] La Revue critique (10 juillet) : […] — « Souvenirs de
Venise
», par M. J. Longnon. La Revue du Temps Présent
la belle période italienne, c’est qu’il faut l’aller voir en place à
Venise
et qu’il est médiocrement représenté au Louvre. S
t le portrait de Don Diego de Mendoza, ambassadeur de Charles-Quint à
Venise
, tout entier en pied. Ce fut une très belle figur
Siège de Famagouste (Chypre) au xve siècle » (épisode des guerres de
Venise
avec la Turquie) […] ; J. Paquier : « Lettres fam
duit par K. Johnston, 3 fr., Hachette. — John Ruskin : Les Pierres de
Venise
, trad. par Mme M.-P. Crémieux, 12 fr., H. Laurens
xplique dans les Sept Lampes de l’Architecture et dans les Pierres de
Venise
. Depuis Walter Scott, on était enclin à apprécier
livier Sauvage, Jusqu’à ce dernier, la Bible d’Amiens, les Pierres de
Venise
, les Matins à Florence, Sésame et les Lys et enfi
enfin le Repos de Saint-Marc, qui porte en sous-titre « l’histoire de
Venise
pour les rares voyageurs qui se soucient encore d
airés. Quelques citations nous serviront de preuve : Les Pierres de
Venise
, écrit Ruskin dans le dernier volume de Fors (187
les à l’appui ; il indique nettement que, pour Ruskin, les Pierres de
Venise
« devaient fournir la preuve historique et matéri
élégant et spirituel devant lequel se plairaient à poser les dames de
Venise
et de Sienne, c’est Charles Guérin, héritier de M
ne magnificence savoureuse et digne des grands siècles, a peint cette
Venise
que, après Chateaubriand et George Sand, illustrè
lle. Il ne s’agit plus de descendre farnienter sur les eaux mortes de
Venise
, mais d’entrer en contact à Milan, à Rome, à Trie
que je transcris fidèlement : « Casanova de Steingalt (1725-1803) de
Venise
, Mémoires publiés en français en 1726-1832, par H
de Smith-le Bon jeune homme. Dans ce récit arrangé de son aventure de
Venise
, Musset s’est montré fort courtois envers Pagello
sais connaître, moi aussi, la psychologie des trois héros du roman de
Venise
, et, faut-il l’avouer, des trois, c’est Pagello q
d à Pagello, le maître-livre qui renferme et le journal du médecin de
Venise
et les dictées d’Alfred à Paul, et toutes les piè
r qui, certes, a le mieux analysé et pesé les personnages du roman de
Venise
, — murmurait, ou à peu près : « Évidemment. Pagel
u mal pour un édifice en somme de peu d’intérêt — de bons dessins sur
Venise
et Florence, de M. M. Chollet ; la porte du Bapti
grigente, etc…), par M. P. Bobin ; six aquarelles sur Bruges, Vérone,
Venise
, par M. Nel Ariès ; sur Venise, derechef, par M.
n ; six aquarelles sur Bruges, Vérone, Venise, par M. Nel Ariès ; sur
Venise
, derechef, par M. H. Fivaz ; la boutique du march
Arts […] (avril et septembre [1909]) : La Galerie Querini-Stampalia à
Venise
, par M. Emil Jacobsen ; — (mai) : […]La Nouvelle
. 348-354 [354]. […] Revue bleue (16 octobre) : M. Camille Mauclair :
Venise
devant le Modernisme. […] — Akademos (15 octobre)
res. Cairoli, la patrie reconnaissante ». Une exposition s’organise à
Venise
. Envoi d’œuvres nouvelles et anciennes ; entre au
nsporter, l’Intérieur d’omnibus fut brisé durant le trajet de Milan à
Venise
. Nous n’en avons plus que quelques débris et une
dées d’avant-garde promenées naguère de Milan à Vienne et de Vienne à
Venise
sont ici aussi des idées d’avant-garde ; mais, su
o 75, mars 1896, p. 423-432 [429]. C’est, à propos de l’exposition de
Venise
, comme un manuel de l’art européen d’aujourd’hui.
iste, elle devient internationale. Elle s’adresse à Naples, à Rome, à
Venise
, à Milan ; jamais à l’Italie entière ; ce qui est
P.-S. — À propos de la Nichina Au dernier moment nous recevons de
Venise
, à propos de la Nichina a, une lettre dont on nou
(Roma, E. Voghera édit., 1897). Pour les critiques de l’Exposition de
Venise
on a établi des prix ; je ne sais pas si M. Ojett
es aussi bien que de références et de documents. Le séjour d’Érasme à
Venise
chez Alde Manuce est particulièrement curieux par
que grec chez les Alde, par une singulière affectation ; mais en 1508
Venise
était toute remplie de Grecs et le grec était enc
rginalia La Commission pour les critiques d’art de l’Exposition de
Venise
vient de décerner ses prix : 1.500 fr. à M. Primo
trois œuvres admirables : la Nuit à Amiens, le Quartier des Pauvres à
Venise
, et « Il Cavallo » à Venise. Coloriste tragique,
Nuit à Amiens, le Quartier des Pauvres à Venise, et « Il Cavallo » à
Venise
. Coloriste tragique, Thaulow résume et condense l
et développé que M. Tolra a consacré à Saint Pierre Orséolo, doge de
Venise
du xe siècle, qui acheva sa vie dans un monastèr
de couvrir son habitation dans un sens logique, même toutes celles de
Venise
, d’avoir voulu que l’architecte du Palais le fit
t. Il n’a pas oublié qu’il était d’une des quatre grandes familles de
Venise
, un des évangélistes avec les Giustiniani, les Co
us, et je viens vers vous pour parler une dernière fois des Plombs de
Venise
. Dans votre récit, je crois tout de votre captivi
ir du Florentin. Musées et collections. La collection Layard, de
Venise
, à la National Gallery de Londres Auguste Margu
s de l’école nationale et une collection qui était une des parures de
Venise
; aussi le Gouvernement italien fait-il jouer en
ns but de se ressaisir, de même M. d’Annunzio, après avoir célébré la
Venise
du passé, et dans ses Vierges aux rochers le lugu
bre 1912). […] Léon-G. Pélissier : Quelques documents des Archives de
Venise
(1792-1790). La suite de la Correspondance inédit
au métier d’art un thème de roman. C’est dans le cadre polychrome de
Venise
, ballottée entre le double amour de Musset et de
e a déserté leurs cœurs. Or George Sand., à l’époque où elle parcourt
Venise
, ne connaît point ces particularités. En outre, r
compositions religieuses où souvent le décor semble être des vues de
Venise
. On voit quel est l’intérêt de ce recueil. La rep
te de celle-ci en général. Les archives de Paris, Lyon, Turin, Milan,
Venise
, Mantoue, Parme, Modène, Gênes, Bologne, Lucques,
l, rien qu’à moi, dans mon palazzino… Il y a tant de choses à voir, à
Venise
, tant de Tintorets, tant de Véronèses, qu’il faut
manach poétique, et à dix-huit ans, Ugo Foscolo faisait représenter à
Venise
sa première tragédie ; aujourd’hui, au sortir du
ciées et raisonnées ; des paysages de Toscane ; des choses sur Milan,
Venise
, Bologne, Florence surtout, qui tient une grande
— de même qu’il avait évoqué les splendeurs et l’épopée guerrière de
Venise
en des pages enthousiastes, et Bologne où l’on co
, publiée sous la direction de M. Christian Beck : Le Piémont, Milan,
Venise
, Florence, l’Ombrie, préface par Teodor de Wyzewa
nous apprenait que M. Wolf-Ferrari fut directeur du Conservatoire de
Venise
. On se demande avec angoisse ce qu’il y put bien
ublié d’ôter de mon cou ma petite médaille bénite ! » Cela se passe à
Venise
, mais ça pourrait se passer ailleurs ! Lettres
rivains et les voyageurs célèbres, et qui comprend le Piémont, Milan,
Venise
, Florence, l’Ombrie, avec des extraits souvent cu
rintemps, ainsi que dans le Songe d’un coucher d’automne, où l’âme de
Venise
éclate avec tout l’orage de ses pompes rouges, es
appellent le seigneur et cela dure ainsi jusqu’au jour où Florence ou
Venise
, le pape ou l’empereur intervient et s’approprie
à Florence, où il passa toute sa vie jusqu’au jour où il fut appelé à
Venise
en 1483 pour exécuter la statue du Colleone. Il e
n manuel excellent écrit dans un style clair, et tous ceux qui aiment
Venise
— ils sont nombreux — le liront avec plaisir. En
e et gênante. C’est dans cette quiétude ordinaire de leur nonchalante
Venise
, dans une sorte de sérénité ambiante qu’il leur f
lerie Liechtenstein ou dans la Collection Wallace ; ces douze Vues de
Venise
qui sont à Naples, cette merveilleuse Place Saint
bre de collections et galeries privées. J. Ruskin : Les Pierres de
Venise
(Laurens) Les Pierres de Venise, étudiées par
es. J. Ruskin : Les Pierres de Venise (Laurens) Les Pierres de
Venise
, étudiées par les Canaletto, devaient l’être auss
en trois volumes, de 1851 à 1853. Pour Ruskin les deux merveilles de
Venise
sont l’église Saint-Marc et le Palais ducal. Il m
ucal bâti successivement dans les trois styles qui furent appliqués à
Venise
, le byzantin, le gothique et celui de la Renaissa
i dans la traduction française qui vient d’être donnée des Pierres de
Venise
par Mme Mathilde P. Crémieux : cette traduction,
le quittaient jamais, qui le suivaient dans tous ses voyages, jusqu’à
Venise
. On y trouve bien souvent la date de 1815, mais c
(23.000 fr.), un Enfant Jésus dans la crèche du Corrège (18.750 fr.),
Venise
couronnée par la Renommée de Paul Véronèse (41.25
du génie depuis la guerre et attaché au bureau des fortifications de
Venise
comme directeur des travaux de protection des mon
les églises Santa-Maria Formosa, SS. Giovanni e Paolo et des Scalzi à
Venise
avec le beau plafond de Tiepolo qui décorait cett
qui a été complètement détruit, en savent quelque chose. Aujourd’hui
Venise
est menacée encore plus directement, et pour épar
une femme du peuple à Milan, une gentille « ragazza » de Gênes ou de
Venise
vous racontent bien vite, pour peu que vous les p
s italiennes qui ont eu à souffrir déjà de la guerre, comme Vérone et
Venise
. […] À l’étranger. À travers la presse. La pr
557-562 [559]. La mise à l’abri de la merveilleuse statue équestre de
Venise
a suscité en Italie un grand nombre de polémiques
l entourait le thème de ses spectacles On nous montre ici, dans cette
Venise
du xviiie , de la force, de la joie de vivre, un
ne. Altino florissait au temps de l’invasion des Scythes et des Huns.
Venise
n’existant pas, Altino était le centre commercial
aucunement être comparés à Gênes, Livourne, Naples, Palerme, Ancône,
Venise
et Trieste (sic). Maîtrise de la Méditerranée : t
de Mercadante, les duos des Puritains et de Marin Faliero, ce doge de
Venise
décapité en 1355, sans parler du cycle entier de
choses, la réconciliation s’opérait entre les héritiers de Rome et de
Venise
d’une part, et les Slaves du sud de l’autre. L’in
cun des voyages durera six semaines et comportera des arrêts à Milan,
Venise
, Florence, Rome, Naples et Pise. Chaque groupe se
nir : l’histoire ne nous donne pas d’indications très sûres : Naples,
Venise
, Florence Turin, sans compter Rome, quelle divers
oupes italiennes en campagne. Ailleurs, il s’intéresse aux aspects de
Venise
, aussi en guerre, parle de Trévise et de Coneglia
guerre actuelle ; mais on sait que l’église Santa Formosa, toujours à
Venise
, a été détruite depuis lors dans les mêmes condit
s’enrichir d’un nouveau musée. L’élégant palais de la « Ca’ d’oro » à
Venise
, dont la jolie façade, bien connue de tous les to
es précieux, l’intérieur d’un patricien à l’époque de la splendeur de
Venise
. Au nombre des œuvres d’art qui décorent ce palai
Bordone, une Flagellation du Christ de Luca Signorelli, deux Vues de
Venise
par Guardi, un Portrait de gentilhomme par Van Dy
ette Fille de Jorio et la Nef, à peine achevée, qui présente l’âme de
Venise
avant Venise. En réalité pourtant M. d’Annunzio,
Jorio et la Nef, à peine achevée, qui présente l’âme de Venise avant
Venise
. En réalité pourtant M. d’Annunzio, de par toute
représente insuffisamment l’époque naïve et charmante où les gens de
Venise
et ceux de Cologne ou de Nuremberg commençaient à
aujourd’hui partie du musée de Vienne. Giorgione ouvre tout à fait à
Venise
l’ère de la Renaissance. Je ne saurais m’attarder
faire avec les beaux ensembles de Naples et de Palerme, et surtout de
Venise
, de Florence et de Rome. — Le texte présente un t
et de faits, se rapportent aux trois grands centres de la péninsule :
Venise
, Florence et Rome, et valent hautement d’être lue
stre imminent, rappelant celui qui frappa le clocher de Saint-Marc, à
Venise
. L’Archithéâtre de M. D’Annunzio Il paraît
ue, comme ceux de la maison d’Anjou, est souvent de premier ordre, et
Venise
seule, dit Burckhardt, peut montrer un pareil mus
et très complète de M. Vittorio Pica sur l’Exposition d’Art Mondial à
Venise
. Échos. Une nouvelle revue italienne Mercur
es malgré les ravages du modernisme, et qui se nomment Rouen, Bruges,
Venise
ou Florence. Mais on appelle encore une Ville d’a
ble aux choses de l’art. En sorte que sa préférence ira aux écoles de
Venise
et de Sienne et que les peintres de son choix ser
ur atteindre ce noble but, il a pris Venise-Anadyomène comme théâtre,
Venise
où toute grâce se double d’un reflet, où la beaut
it, lui offre, dernier refuge, un palais de marbre et d’or, en pleine
Venise
, la ville du rêve où les doges, dédaigneux du vul
Bruel, l’église Saint-Marc, les fresques de Tiepolo au palais Labia (
Venise
), des peintures murales et des portes de palais à
rère idéal joue dans le roman ? Toujours est-il que ses évocations de
Venise
, la manière profondément musicale de découvrir le
ndividuels, comme à Florence et Milan, ou collectifs comme à Gênes et
Venise
. Échos Mercure. Tome CXIX, numéro 446, 16 j
me Romaine Brooks. La confiscation par l’État italien du Palais de
Venise
à Rome En représailles des destructions commis
alzi, S. Maria Formosa, SS. Giovanni e Paolo, S. Pietro di Gastello à
Venise
, etc.) l’État italien a décidé de reprendre à l’A
etc.) l’État italien a décidé de reprendre à l’Autriche le palais de
Venise
à Rome, siège de l’ambassade de cette puissance p
ts de la Morée, Candie, l’Archipel et Constantinople. La puissance de
Venise
, essentiellement maritime et côtière, s’infiltrai
sur le front italien (La Représaille, 19 février 1916) et une nuit de
Venise
sous les bombes, — où il y eut d’ailleurs quelque
mands à Bellune et demain peut-être à Trévise, à Vicence, à Padoue, à
Venise
, merveille du monde… Tout homme, si neutre qu’il
loto, orfèvre florentin qui accompagna Michel-Ange lors de sa fuite à
Venise
pendant le siège de Florence. 58. Michel-Ange si
, et les Florentins, et les Mantouans, et les Napolitains, et ceux de
Venise
. Guarino, le précepteur de Lionel d’Este, Tito Ve
nes fleurs, comme Clément pour le cyclamen, et Rio pour le jasmin ; à
Venise
se trouve une feuille détachée de son carnet tout
insi côte à côte, et, le poursuivant à travers tous ceux de Florence,
Venise
et Milan, construire une sorte de série, suscepti
tue, qui se dresse encore sur la Piazza de Saint-Jean-et-Saint-Paul à
Venise
. Quelques vestiges de cette statue de Sforza peuv
succès d’une comédie ou d’un drame ? Dix principales : Milan, Turin,
Venise
, Rome, Naples, Gênes, Florence, Bologne, Palerme
ours en grande misère ». Une autre nouvelle, de Cinthio, « le More de
Venise
», est sans doute la source du drame de Shakespea
sommes ainsi menés, — passant par diverses circonstances : la fuite à
Venise
en 1520, où Marie Soderini se réfugie avec ses en
en Italie, après la mort du grand-oncle Soderini, le dernier séjour à
Venise
, où, par l’amour de la belle Barozza, un tardif r
Casanova », ferait revivre toute la folie tumultueuse et tragique de
Venise
au xviiie siècle ; sans doute restera-t-elle end
aisemblable. Quelques traits souligneront ces observations : L’acte à
Venise
étant supprimé, nous ne connaissons pas Desdémone
L’Italie libre des Alpes à l’Adriatique », n’avait pas été accomplie.
Venise
languissait encore sous le joug de l’Autriche. Qu
ains des Autrichiens brutaux ; il souffre encore, lorsque, partant de
Venise
pour franchir en quelques heures la mer, il arriv
à l’expansion d’un grand État. Installée à Trieste en même temps qu’à
Venise
, à Ancône, Tarente, Otrante et Valona, la nation
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