[Introduction] On connaît le Journal de
Stendhal
, exhumé de la Bibliothèque de Grenoble et publié
pter la reconnaissance intime de tous les Stendhaliens. Le Journal de
Stendhal
, relatant les événements de son adolescence, et,
ste, très incorrect, avec notes, annexes et corrections de la main de
Stendhal
. « Le cahier porte ce titre : Fin du tour d’Itali
s de Milan à 1 h. 1/2 le 22 septembre 1811.” Ce voyage a été imposé à
Stendhal
par la comtesse Simonetta, par prudence, après l’
durera un peu plus d’un mois, du 22 septembre au 24 octobre suivant.
Stendhal
, fort amoureux, passe ce long mois à Florence, à
a, et leurs amours continuent jusqu’au 13 novembre, date du retour de
Stendhal
à Paris, son congé si heureusement rempli pour lu
reproduisons ici comblera une lacune qui se trouve dans le Journal de
Stendhal
, à la page 410. Muet sur le séjour de Stendhal à
uve dans le Journal de Stendhal, à la page 410. Muet sur le séjour de
Stendhal
à Naples, ce journal se trouvera ainsi complété.
et 33 du journal de 1811, mais ici de nombreuses notes autographes de
Stendhal
, ajoutées en 1813, augmentent considérablement le
alors comtesse Simonetta. « Cette partie si intéressante de la vie de
Stendhal
, effleurée seulement dans les 32e et 33e cahiers
testament de César. Tome LXII, numéro 127, 1er juillet 1906
Stendhal
correcteur de Stendhal Ricciotto Canudo. Tome
Canudo. Tome LXII, numéro 127, 1er juillet 1906, p. 82-91. L’âme de
Stendhal
plane sur l’élite de l’esprit contemporain. Les p
is, fascine leurs esprits, et les rallie au mouvement sentimental que
Stendhal
lui-même préconisait prophétiquement pour l’année
leine maturité a déterminé et détermine l’avènement. Ainsi l’œuvre de
Stendhal
en quelque sorte nous féconde. Il faut remarquer
qui la transforme par ses propres rythmes. L’étonnante complexité de
Stendhal
est faite précisément de son infatigable subjecti
on particulière, personnelle, de la vie, était toujours en éveil chez
Stendhal
; par cela même son subjectivisme consiste en que
en réalité, d’autre dogme que l’impératif de sa propre idiosyncrasie.
Stendhal
nous étonne parce qu’il nous montre l’unité fonda
st dans ce sens qu’il faut comprendre le « mouvement sentimental » de
Stendhal
. Le document autographe qu’on vient de découvrir
qui critique, efface ou éclaire. Il est donc intéressant de connaître
Stendhal
corrigeant Stendhal. À la Bibliothèque Nationale
ou éclaire. Il est donc intéressant de connaître Stendhal corrigeant
Stendhal
. À la Bibliothèque Nationale de Rome, M. Paolo Co
fications des deux éditions coïncident. Il est donc bien probable que
Stendhal
égara l’exemplaire dont il s’était servi, et reno
arque est toute personnelle, comme à la page 112 (édition de 1826) où
Stendhal
, ainsi que M. Paolo Costa le fait observer, note
e semble pas avoir connu l’exemplaire de Rome, car les intentions que
Stendhal
y avait exprimées ne sont, en très grande partie,
du 1er juin où il révèle sa découverte, déduit que vraisemblablement
Stendhal
, ayant égaré l’exemplaire noté de Rome et Florenc
e qui soit réellement définitive et reflète les dernières volontés de
Stendhal
, devra aussi tenir compte des modifications et de
tenir compte des modifications et des ajoutages que nous publions ».
Stendhal
était en Italie au moment où Chateaubriand, Schop
t les exprimaient avec tant de diversité esthétique et philosophique.
Stendhal
résumait en lui-même les événements ; à travers l
y a des modifications qui expriment une satisfaction de la pensée de
Stendhal
, ou ajoutent une phrase pour la compléter, ou not
ion, Paris. Tome LXIV, numéro 226, 15 novembre 1906 Comment
Stendhal
écrivit son Histoire de la Peinture en Italie
e la Peinture en Italie. L’« idée folle » en passa « par la tête » de
Stendhal
, le 29 octobre, au milieu des énervements du souv
e, du fatras de Lanzi, une traduction abrégée à l’usage des Français.
Stendhal
pensait n’y mettre que quelques semaines. Il fit
Il remplaça heureusement ce pseudonyme par celui, plus harmonieux, de
Stendhal
. Que sa fantaisie est prompte ! Il voit déjà l’œu
re. Ne prenons pourtant pas trop au sérieux cette réclame prématurée.
Stendhal
n’y croit guère lui-même. À coup sûr, la lettre n
verve son Histoire de la Peinture. Ici, comme partout dans la vie de
Stendhal
, c’est une bonne fortune qui explique tout22. § M
ubliée cinq ans plus tard. Le texte est d’une autre main que celle de
Stendhal
: c’est déjà une copie de son brouillon. Mais il
ompit un travail qui marchait d’une telle allure. Sans elle peut-être
Stendhal
aurait-il réalisé son premier projet, et publié l
it faire. Il fallut, pour le sauver du sort commun à tant d’œuvres de
Stendhal
, ébauchées et oubliées, que le hasard de circonst
histoire est si agitée, devait subir le contrecoup de toute la vie de
Stendhal
, il lui arriva vers ce moment de changer d’inspir
lustre assurément que celui de cette petite bourgeoise italienne, que
Stendhal
allait voir dans sa boutique, et qu’il n’en appel
re de ses amours. Le pauvre livre n’est jamais qu’un pis-aller. C’est
Stendhal
lui-même qui discrètement l’avoue, dans une lettr
nous l’avons dit, avant le 1er janvier 1815. On ne voit guère à quoi
Stendhal
aurait pu encore employer le travail de tant de j
qu’à Venise. On y trouve bien souvent la date de 1815, mais c’est que
Stendhal
s’en sert pour noter tout ce qui lui passe par l’
larera que ce livre peut « avoir 150 ans dans le ventre ». Mais, pour
Stendhal
, qui aspire à la vraie gloire, celle qui ne meurt
r une réputation littéraire, ce n’est point pour se créer auteur, que
Stendhal
publie son livre. Et le simple amusement de couri
xemplaires de la Peinture enfin lancés, ce sera le tour des journaux.
Stendhal
écrit à Mareste le 15 octobre 1817 (Souv. d’égot.
là pour le prouver. C’est de cette dernière mise en œuvre que parlait
Stendhal
, un jour de découragement, quand il écrivait à Cr
st à la vérité une histoire héroïque et comique que celle du livre de
Stendhal
. Il le commença presque sans le savoir et sans le
longueurs. Elle est capricieuse, et le jouet du hasard, à l’image de
Stendhal
et de sa vie. Et, comme il convient, on y trouve
. 12. Je respecte l’orthographe de cette lettre ; est-ce Angelina ou
Stendhal
qui ne savait pas bien l’italien ? 13. Auteur, t
Mancas (son copiste ?), et de dépenser à cela 30 ou 40 jours. » 15.
Stendhal
est à Milan, mais il a l’innocente manie de dérou
ot., p. 231. 21. Angelina Pietragrua. 22. Dans l’œuvre imprimée de
Stendhal
, un seul texte, assez obscur, permettait jusqu’ic
ll (sic) viaggio d’Italia, 1811. » Il est fâcheux pour la vérité que
Stendhal
n’ait pas gardé ce titre si honnête : Traduction
ttendait tous les soirs chez lui. 24. Tout un chapitre, et celui que
Stendhal
estimait le plus, les cent pages sur le Beau idéa
uv. d’égot., p. 232. 34. Souv. d’égot., p. 264. 35. Comment a vécu
Stendhal
, p. 192-3. 36. Le 26 décembre 1861. Souv. d’égot
s retrouvons à ce propos les noms familiers de Goethe, Chateaubriand,
Stendhal
; le président de Brosses, — s’extasiant sur le D
pages. […] Tome CIX, numéro 405, 1er mai 1914 Littérature.
Stendhal
: Vies de Haydn, de Mozart et de Métastase, 1 vol
p. 149-153 [149-152]. Voici le second volume des œuvres complètes de
Stendhal
: Vie de Haydn, de Mozart et de Métastase. Pour c
met en valeur ce qu’il y a déjà d’original dans ce premier ouvrage de
Stendhal
, dans ce livre qui n’est souvent qu’une traductio
rmes… un Chérubin qui ne veut pas vieillir : « À la grâce près, écrit
Stendhal
dans un passage du Journal d’Italie, j’étais, à M
ment sentimental et sensuel, explique M. Romain Rolland, prédisposait
Stendhal
à goûter la musique. Il suffit d’une passion sati
il n’a point besoin de se souvenir. « La bonne musique, écrit encore
Stendhal
, ne se trompe pas, et va droit au fond de l’âme c
int M. Romain Rolland, à son « état habituel d’amant malheureux » que
Stendhal
a dit son besoin de la musique et son adoration r
entée l’état de légèreté et de joie de l’amour heureux. Était-ce chez
Stendhal
une sorte de bovarysme, il se crut, toute sa vie,
d, la vie de Haydn a donné lieu à une longue controverse. On sait que
Stendhal
s’est servi, pour l’écrire, d’un ouvrage de Giuse
e, la curieuse polémique Carpani-Bombet. Carpani réclame son œuvre et
Stendhal
non seulement n’en tient aucun compte, mais il ac
oîté le pas, à la suite du maître. Presque tous semblent admettre que
Stendhal
n’a pas, en empruntant à Carpani quelques renseig
M. Romain Rolland écrit : « Quoi qu’il en coûte à mon admiration pour
Stendhal
, j’ai dû arriver à cette constatation, accablante
s par Bombet. Il ne s’agit pas seulement de quelques faits empruntés.
Stendhal
a pris à Carpani la forme même des lettres, les r
e, dit-il, que, lorsque Carpani « énonce ses préférences artistiques,
Stendhal
les transcrive sans presque rien y changer » ? Le
L’explication, M. Romain Rolland nous la donne, c’est celle même que
Stendhal
a donnée à Quérard en 1841 ou 1842. Il ne voulait
traduction de l’italien ne trouverait pas de lecteur. C’est alors que
Stendhal
intercala quelques réflexions, souvenirs et pensé
l être un plagiaire ? » M. Romain Rolland a pesé ce qui appartient à
Stendhal
dans cette traduction : les « nuances de critique
que tenir tête à Carpani qui n’admire pas Mozart sans restriction : «
Stendhal
n’en fait aucune. » Et M. R. Rolland nous expliqu
dhal n’en fait aucune. » Et M. R. Rolland nous explique encore que si
Stendhal
reste fidèle à Pergolèse, à Cimarosa, à Rossini,
t retenir de toutes les idées recueillies dans ce volume, qui sont de
Stendhal
ou que Stendhal a faites siennes, c’est que l’élé
tes les idées recueillies dans ce volume, qui sont de Stendhal ou que
Stendhal
a faites siennes, c’est que l’élément essentiel à
e Gluck (revue musicale S.I.M., 15 avril 1912) ; cf., du même auteur,
Stendhal
et la Musique, dans la Revue du 15 décembre 1913.
d’une œuvre qui est le traité de la logique du rêve. Les Journaux.
Stendhal
et Mathilde Dembowsky (Temps, 29 juillet) R. d
e du général Dembowsky, fut un des amours malheureux de l’inflammable
Stendhal
. En 1816, elle demeurait à Milan « dans la petite
l. En 1816, elle demeurait à Milan « dans la petite rue San Maurilio.
Stendhal
écrit d’elle, dans Rome, Naples et Florence (ce c
ts étaient à la fois très nobles et très doux. Peut-être, après cela,
Stendhal
s’était-il mis en tête que toutes les Milanaises
toutes les dames anglaises ressemblent aux figures de Burne-Jones. »
Stendhal
, qui ne put la fléchir et qui semble même lui avo
par M. Barbiera on peut conclure en toute vraisemblance que le pauvre
Stendhal
était « ridicule » aux yeux de Mathilde ; ce dont
ongtemps maintenue dans une sphère aussi poétique » ? Nous savons par
Stendhal
lui-même qu’en juin 1821 il s’enfuit de Milan, «
des scandaleuses dont cette charitable visite a été l’occasion ? Mais
Stendhal
était bien forcé de se résigner à n’être que ce q
tout entière, Casanova ayant maintenant presque autant de fidèles que
Stendhal
: « Casanova de Seingalt. — Bibliographie de ses
omédienne et de diseuse à la Gaieté-Lyrique. Échos. À propos de «
Stendhal
et ses livres » (Mercure, 16-XII-1909.) Camille
0, p. 566-576 [567-569]. Dans l’intéressant article de M. Ad. Paupe :
Stendhal
et ses livres, il est dit, p. 656, que « Stendhal
e de M. Ad. Paupe : Stendhal et ses livres, il est dit, p. 656, que «
Stendhal
sollicitait de ses amis la critique de ses œuvres
de Stendhal, officier de cavalerie (1 vol. in-8°, Paris, 1817). Quand
Stendhal
, qui venait, dans son premier ouvrage, publié, co
des Anecdotes sur W. G. Mozart (Paris, 1801, in-8°) par Cramer, quand
Stendhal
, disions-nous, parlait de la sorte, il se moquait
ns son vol. XXIX, p. 237 (novembre 1817), rendu hommage à l’esprit de
Stendhal
, découvrit finalement, dans son vol. XXXII, p. 32
avis, p. 29, après avoir rapporté le passage de la lettre envoyée par
Stendhal
à Crozet, de Rome, 28 septembre 1816, où est vant
f ; certaines personnes (et non des moindres) parmi celles qui aiment
Stendhal
déclarent qu’il y avait chez lui un côté jobard …
purement et simplement, comme émanant d’un écrivain qui aime surtout
Stendhal
à travers Napoléon, mais lui a dédié des pages qu
’Europe occidentale pour composer le livre qui nous manque encore sur
Stendhal
plagiaire ? Dans sa thèse doctorale : De Henrico
Stendhal plagiaire ? Dans sa thèse doctorale : De Henrico Beyle sive
Stendhal
litterarum germanicarum judice (Paris, 1899, in-8
matière exotique », Goethe citait sa propre Italienische Reise, dont
Stendhal
donnait les passages qu’il en traduisait comme lu
io, ou de Plutarque, il est d’ores et déjà certain qu’aux plagiats de
Stendhal
l’on pourra appliquer, toutes proportions gardées
1er novembre 1910, p. 137-143 [143]. […] Revue bleue (1er octobre) :
Stendhal
: « Introduction au voyage en Italie », publiée p
l’auteur du don d’un exemplaire de ce travail. Cf., du même, outre le
Stendhal
e Napoleone, extrait dans la Bibliografia dell’Ep
iccola Biblioteca di Scienze Moderne). L’article sur Alfieri jugé par
Stendhal
, publié originairement dans le n° Alfieriano (oct
derne, M. G. Lafenestre parle de Tiepolo […]. Lettres allemandes.
Stendhal
: Rœmische Spaziergænge, verdeutschet von Friedri
191-195 [192]. Les Allemands, venus tardivement à la compréhension de
Stendhal
, sont en train de nous surpasser par le luxe des
ts somptueux. M. Hofmiller a visité la Rome actuelle avec le texte de
Stendhal
à la main et il fait d’intéressantes comparaisons
1911, p. 618-623 [621-622, 623]. La Revue de Paris : un inédit de
Stendhal
La Revue de Paris (1er janvier) publie des fra
enait si peu de place : d’ailleurs sous le couvert d’une épigraphe de
Stendhal
; « — C’est un usage immémorial, parmi les gens a
l’on attend le livre que seront les Îles dans la mer. Littérature.
Stendhal
: Journal d’Italie, publié par Paul Arbelet, 1 vo
377-381 [377-381]. M. Arbelet publie aujourd’hui un nouveau volume de
Stendhal
: Journal d’Italie. Ce sont des carnets de route
les livres, il est nécessaire d’être en un certain état d’excitation.
Stendhal
allait visiter un tableau comme on va voir une ma
lheureux forçats de l’art et de la littérature ne s’imaginent pas que
Stendhal
n’avait, en visitant l’Italie, que le but pratiqu
és religieuses se confondent avec celles de l’amour. L’amour fut pour
Stendhal
l’unique occupation de sa vie, et c’est cette per
vera dans ce volume le texte intégral de tous les carnets de route de
Stendhal
. Le plus intéressant est le journal milanais qui
uelque chose parce qu’il appartenait à la ville qu’elle habitait. Et
Stendhal
note toutes les émotions de sa chair et de son cœ
s de souvenir, et c’est l’image du bonheur qui s’efface le plus vite.
Stendhal
disait encore que décrire le bonheur, c’était le
daignait de l’analyser. On lira encore de curieuses pages inédites de
Stendhal
sur Florence, Venise, Padoue. Il visite Padoue, é
3, 1er octobre 1911, p. 617-622 [619-621]. La petite bibliothèque que
Stendhal
possédait à Civita Vecchia fut dispersée à sa mor
x) ; 5° Notes, 235-260 (y compris 2 p. blanches). Le Récit est-il de
Stendhal
? La traduction de la chronique est-elle de Stend
Récit est-il de Stendhal ? La traduction de la chronique est-elle de
Stendhal
? Les notes sont-elles de Stendhal ? Dans l’affir
uction de la chronique est-elle de Stendhal ? Les notes sont-elles de
Stendhal
? Dans l’affirmative, pourquoi le volume n’est-il
urquoi le volume n’est-il pas mentionné dans l’Histoire des Œuvres de
Stendhal
, de M. Paupe lui-même, au chapitre des Chroniques
os. Le plus intéressant est le n° 19, qui contient les annotations de
Stendhal
. Cordier le présente ainsi : 19 — Nibby. — Roma
y, 1 vol. grand in-8° de 402 p., 9 gravures hors texte. Rome, 1839. «
Stendhal
a lu ce livre avec grande attention ; il est surc
’octobre 1841, ces lignes ne précèdent que de cinq mois l’attaque que
Stendhal
, ici, commence à sentir sous forme de goutte et q
difficile à lire ; comme le n° II, elle est datée du 14 octobre 1841.
Stendhal
, le 30 octobre suivant, quittera l’Italie pour n’
e, dans cette petite collection, les ouvrages sur l’Italie dominent :
Stendhal
lisait peu au hasard, il recherchait de préférenc
uvenant sans doute des difficultés qu’il avait éprouvées à cet égard,
Stendhal
écrivait à Balzac, avec une évidente mauvaise hum
pour quelques-uns, réside surtout dans les marges « illustrées » par
Stendhal
; reliques vénérables, précieux souvenirs qui ne
s étranges observations de l’amour, en un mélange, dit M. Robiati, de
Stendhal
et de De Sade. Nulle critique ne parla jamais des
itaristes du xviiie siècle, et Métastase ne fut jamais détrôné. Lire
Stendhal
, âme tellement italienne qu’il donne encore aujou
une liste, assez fidèle, on l’espère, des villes par lesquelles passa
Stendhal
au cours de son existence. On l’offre aux curieux
trouvée, de l’époque du séjour et suivi de la référence : Journal de
Stendhal
, Souvenirs d’Égotisme, Vie de Henri Brulard, Corr
espondance inédite, Notice Romain Colomb, ou Supplément au Journal de
Stendhal
(Mercure de France, 15 octobre 1907). Quelquefois
anière” particulièrement subjective, les portraits de Dostoiewski, de
Stendhal
, de Schumann et surtout d’E. Poe. « Observateur d
e ans, alors que Paul Lacroix, sceptique, croyait pouvoir attribuer à
Stendhal
la paternité de ces Mémoires. Le brave bibliophil
oup à ces ébats rustiques et un peu sauvages. Ils eussent plu aussi à
Stendhal
, qui en a peint d’analogues. J’avoue que, pour mo
tirées de Rome, Naples et Florence, un des livres les moins connus de
Stendhal
, et peut-être le plus curieux au point de vue de
ar les différences de climat et de race ? Mais on comprend l’amour de
Stendhal
pour la vie que l’on menait à Milan, et, en lisan
es, et ses notes au sujet de celles-ci sont à rapprocher de celles de
Stendhal
. Ses portraits, en touches rapides, pressées, aid
aliennes et quelques extraits des plus curieuses de ces histoires que
Stendhal
avait annotées et qu’il se préparait à écrire lor
le Desmoulins. » — M. A. Luchaire : « À Florence. » — M. L. Maury : «
Stendhal
». — (9 mai). — M. C. Mauclair : « Le Salon des A
ns vient de prendre l’initiative de commémorer publiquement le nom de
Stendhal
dans une rue romaine. Un comité s’est constitué p
se prochaine d’une plaque de marbre sur la maison qu’habita longtemps
Stendhal
dans la « via Gregoriana », aux flancs du Pincio.
nombreux, ont projeté d’organiser à intervalles réguliers le « dîner
Stendhal
», où se réuniront les admirateurs du célèbre écr
r des Promenades dans Rome a si souvent contemplé. Le premier « dîner
Stendhal
» aura lieu dans la seconde quinzaine de juillet.
uvrir et de mettre au jour les exemplaires de Saint-Simon annotés par
Stendhal
, dont le Temps s’est occupé l’hiver dernier.
ur le caractère des espèces idéales et matérielles. Les chapitres sur
Stendhal
, sur Nietzsche, sur « les rythmes sociaux », sont
t Musset, « le dilettante », qui est Mérimée, « le curieux », qui est
Stendhal
, « le dandy », Barbey d’Aurevilly, « le psycholog
u’il ne l’a pas regardée avec cette sensibilité passionnée dont parle
Stendhal
. Il avoue lui-même que le plaisir qu’il éprouve n
les villes de l’Émilie et où il n’a négligé ni notre Parme (qu’annexa
Stendhal
), ni la moindre bourgade pittoresque, et elles le
moindre bourgade pittoresque, et elles le sont presque toutes. […]
Stendhal
et Casanova (L’Intermédiaire, 30 avril) De l’I
t, au lieu de Seingalt — 1726, au lieu de 1826 — Stendahl, au lieu de
Stendhal
. L’excellent historien des Œuvres de Stendhal, M.
— Stendahl, au lieu de Stendhal. L’excellent historien des Œuvres de
Stendhal
, M. Adolphe Paupe (Paris, Dujarric, 1904, gr. in-
olphe Paupe (Paris, Dujarric, 1904, gr. in-18) n’en fait pas mention.
Stendhal
lui-même dans Promenades dans Rome (éd. Michel Lé
gne un joli coin de Nuremberg, de M. P. Tournon. […] Les Journaux.
Stendhal
et Casanova R. de Bury. Tome LXXIX, numéro 288
-730 [729-730]. M. A. Paupe répond dans l’Intermédiaire à la question
Stendhal
et Casanova : L’attribution des Mémoires du célè
al et Casanova : L’attribution des Mémoires du célèbre aventurier, à
Stendhal
, est un « canard » qui revient périodiquement sur
oncluait : « Cet habile homme fut, nous en avons la certitude morale,
Stendhal
, ou plutôt Beyle, dont l’esprit, le caractère, le
; elle dissipe tous les doutes et réduit à néant la collaboration de
Stendhal
. Il était bon de savoir à qui revenait la gloire
n ne connaît guère que le jeune Fabrice del Dongo que la fantaisie de
Stendhal
y a conduit. Le g. Pollio n’appartient à aucune d
, 15 août 1906 et 1er novembre 1907. 27. Il sied de rappeler ici que
Stendhal
a dit quelque part d’Avignon que c’était la ville
aradoxe » les satisfactions qu’a cru trouver la fatuité intéressée de
Stendhal
. Il y a bien de l’abstraction encore, quoiqu’en s
n n’étend jamais trop son jugement, on ne le libère jamais trop. Pour
Stendhal
, j’espère bien, sans tarder, ne plus le laisser b
auvre essai doctrinaire comme celui d’Artaud de Montor. Je ne sais si
Stendhal
a connu cet écrit : si, l’ayant connu, il n’en a
’adresse de l’époque de 1830, si l’on se dit que, par cette adhésion,
Stendhal
, en somme, fait le jeu de ses propres paradoxes b
lecture de ce livre, il n’y a point dans Machiavel tout ce qu’y a vu
Stendhal
: les égoïstes bourgeois de 1830 n’ont mérité ni
phe un transcendant admirateur du Prince. Ces réflexions, amenées par
Stendhal
, pourront être reprises, précisées, en quelque au
, sans danger tant pour Machiavel que pour nous-mêmes ! — attribuée à
Stendhal
. Calmons-nous ! elle est, cette « grande inventio
re, a posteriori, de doctrine, de morale, qu’est Machiavel, même chez
Stendhal
! Cette désystématisation, ce déclassement, c’est
93, 1er novembre 1913 Les Journaux. Les Mémoires de Casanova et
Stendhal
(l’Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, 10 oc
ovembre 1913, p. 166-170 [168-169]. On persiste à vouloir attribuer à
Stendhal
les Mémoires de Casanova. Il semble singulier, éc
ges ou relations de Montaigne, le président des Brosses, Montesquieu,
Stendhal
, Byron, Dickens, Musset, Th. Gautier, Nietzsche,
de paraître ; le caractère vindicatif des habitants, d’après Addison,
Stendhal
, — qui lui compare en même temps le caractère esp
is sur Nietzsche, l’Origine de la Société, l’Amour, l’Aristocratique,
Stendhal
, la Morale, etc., sous le titre : Sulle traccie d
ate de celle de Manzoni, il lui aurait sans doute emprunté davantage.
Stendhal
, comparant le Cinq-Mai aux poésies que cette ode
untées du latin32. Je suis fâché de contredire un aussi bon juge que
Stendhal
, mais si je partage son admiration pour l’ode de
à Bonaparte dépasse le Cinq-Mai en grandeur et en éclat ; et, puisque
Stendhal
a prononcé le nom de Bossuet, j’estime que l’aigl
ccusés chez lui que chez aucun autre. Il écrivait un jour à propos de
Stendhal
: Il a oublié que l’imitation de la nature n’éta
émeut comme celle du poème exquis d’une âme tendre et douloureuse.
Stendhal
: Roma, Roux et Viarengo Ed., Turin. — L’Arioste
relire. 32. Cf. Racine et Shakespeare, études sur le Romantisme, par
Stendhal
, Calmann-Lévy, 1905, p. 289. 33. Revue universi
e à M. de M., du 19 mars 1823, publiée dans Racine et Shakespeare, de
Stendhal
. 41. C’est peut-être pour cela qu’en général le
les rhéteurs, il fut libre, il fut fort. Épris des vérités de détail,
Stendhal
s’écriait : Que manque-t-il à Raphaël ? la scienc
tous les attraits d’une forme impure. » Remy de Gourmont pense, comme
Stendhal
, que la forme fait partie de la pensée. Il exagèr
lutôt exprima sa certitude que le véritable auteur des Mémoires était
Stendhal
, dont il se figurait à chaque page reconnaître «
le mesure que le Bibliophile Jacob affirmait le livre être l’œuvre de
Stendhal
. Si l’erreur est flatteuse pour celui qui s’est f
un roman, et l’auteur un être imaginaire ; le bibliophile Jacob, que
Stendhal
se cachait sous l’écrivain Casanova ; Armand Basc
▲