entaire. M. G. Sergi. Professeur d’anthropologie à l’Université de
Rome
À mon avis, l’état actuel de lutte et les mani
serait devenue chrétienne et que le chef de l’Église aurait occupé à
Rome
la place de l’empereur. Il est au contraire possi
ces grands événements. Histoire. Émile Bourgeois et E. Clermont :
Rome
et Napoléon III ; Armand Colin Edmond Barthèlem
es trois moments où elle tient presque tout entière : l’expédition de
Rome
en 1849 ; la Convention du 15 septembre 1864, déf
définissable comme une tentative pour laisser s’arranger entre elles
Rome
et l’Italie, en se bornant à maintenir la garniso
des deux premières parties de l’ouvrage, relatives à l’expédition de
Rome
et à la Convention de 1864. M. Émile Bourgeois s’
alliance de l’Empire finissant. Dans son histoire de l’expédition de
Rome
, M. E. Clermont a examiné, en reproduisant les pi
ais, lequel se trouva engagé de telle sorte que le maintien du Pape à
Rome
devint un des objets principaux de sa politique.
le romain, se voyait poussé, par un entourage ultramontain, à prendre
Rome
, à détruire le gouvernement républicain de Mazzin
entreprit de percer le canal de Suez) ; tandis que ceci se passait à
Rome
, en France les élections du 13 mai 1849 grandissa
na mit fin à ces velléités (1867). Notre corps expéditionnaire occupa
Rome
. La question Romaine en était donc au même point
aient mal pour nous. Quant à l’Italie, même au moment où l’abandon de
Rome
semble consenti, on aperçoit bien les hésitations
éon Ier, nous l’avons vu dans le compte-rendu du livre de M. Gonnard,
Rome
fut, pour la France, un principe de contradiction
ibué à fausser la politique du second Empire. Cependant, pas plus que
Rome
n’a été pour tout dans l’élévation de Napoléon II
L’École des élèves protégés qui assurait le recrutement de l’École de
Rome
placée sous la direction de l’Académie était plus
élèves protégés qui doivent remplir les places vacantes à l’école de
Rome
. Ces élèves étaient : les peintres Fragonard, Mon
ture, mais ne réunissait pas les qualités requises pour être envoyé à
Rome
. Cochin, pour l’y faire aller, avise Marigny d’un
forcé, s’il ne veut que le crayon lui tombe des mains, de l’envoyer à
Rome
à ses dépens, ce qui d’une part lui serait lourd
vérité avouée par M. Souflot et par tous les artistes qui connaissent
Rome
et le genre d’étude que les architectes y doivent
oivent faire ; c’est que les architectes n’ont pas besoin de rester à
Rome
plus de trois années. Plusieurs raisons militent
tiques, relatives aux matériaux de son pays, qu’il n’acquiert point à
Rome
et qui consomment du temps en prolongeant au delà
nsomment du temps en prolongeant au delà de trois années son séjour à
Rome
. Il retarde d’autant cette étude ingrate, en rien
le ancienne n’a point cherché à faire de voyage. Laissons-les aller à
Rome
, disaient-ils, pendant cet intervalle nous ferons
oy il est important aux architectes que leur absence par le séjour de
Rome
ne soit pas trop longue. Cela prouvé, j’ay l’honn
j’ay l’honneur de vous supplier de fixer le séjour des architectes à
Rome
aux trois années, qui leur sont suffisantes, de l
t élève de l’École des Élèves protégés ; en 1756, il était parti pour
Rome
. À son retour, son mérite commença à se faire jou
. Irénée, à Lyon, avait formé un centre grec, de langue et de pensée.
Rome
, plus voisine, mieux outillée, plus ambitieuse, v
s parler est Antonio Beltramelli, un esprit sauvage, que j’ai connu à
Rome
il y a trois ans. Il a abandonné Rome depuis quel
sprit sauvage, que j’ai connu à Rome il y a trois ans. Il a abandonné
Rome
depuis quelque temps pour revenir à sa Romagne, q
morts qu’il faut tuer figure, au premier rang, l’Académie de France à
Rome
: morte dans l’opinion des artistes, elle vit pou
e meilleur des rapports de l’Art et de l’État. L’Académie de France à
Rome
doit disparaître parce qu’elle donne lieu à un co
cédé d’une étude très complète de M. L. Homo, de l’École Française de
Rome
, sur le Capitole dans l’antiquité, le nouvel ouvr
nsi un précédent travail de l’auteur : Les Institutions communales de
Rome
sous la Papauté ; mais ce n’est point l’œuvre qu’
de donner quelques plans archéologiques, la topographie détaillée de
Rome
n’étant pas forcément familière à tous ceux qui l
gerio conservé au British Museum (1552), la série des plans publiés à
Rome
par E. Rocchi (Le Piante di Roma, 1903) le montre
ées municipales au xiie siècle, ont tourné le dos aux vestiges de la
Rome
ancienne ; ils regardent l’Occident où s’est déve
de la Rome ancienne ; ils regardent l’Occident où s’est développée la
Rome
des Papes et la capitale de l’Italie unifiée. Nou
and escalier, près d’un lion de marbre qui symbolisait la grandeur de
Rome
, et avant chaque exécution la cloche du Campanile
expliquer et les comprendre. Publications d’art. Émile Bertaux :
Rome
, H. Laurens, 4 fr. Yvanhoé Rambosson. Tome LI,
À la même librairie, la série des Villes d’Art célèbres se continue.
Rome
était un sujet si vaste qu’il ne paraissait pas f
me de 170 pages. M. Émile Bertaux s’y est résigné et son livre sur la
Rome
antique est une vulgarisation agréable et succinc
elles et auquel on allume le flambeau qui crée et éclaire l’œuvre ? À
Rome
vous trouverez un Quirinal, un Parlement, des amb
d’une comédie ou d’un drame ? Dix principales : Milan, Turin, Venise,
Rome
, Naples, Gênes, Florence, Bologne, Palerme et Tri
, Hélène et André sont bien moins occupés de l’impérissable beauté de
Rome
et du charme de l’heure que de l’étreinte prochai
vembre 1904, p. 446-456 [447-455]. Achille Luchaire : Innocent III,
Rome
et l’Italie ; Hachette. Cet ouvrage, qui fait
es, etc. — pour s’attacher surtout à retracer les luttes du pontife à
Rome
même et en Italie. La grande querelle du sacerdoc
e. Cette immense Papauté du Moyen-Âge était maîtresse partout, sauf à
Rome
! On se fera une idée de l’âpreté et de l’importa
ériode, en notant qu’il fallut dix ans à Innocent III pour assujettir
Rome
même. « Rien de plus difficile pour le maître du
ligula, comme l’escamotage des vénérables chefs de statues antiques à
Rome
, équipée scandaleuse dont la vie de Lorenzino, as
brique, enfin de ce noiraud d’Alexandre, etc., — jusqu’à l’équipée de
Rome
et au retour à Florence. La deuxième partie début
entés jusqu’ici, — d’Agnadel à Marignan et à Pavie et jusqu’au sac de
Rome
, — le tableau des événements. La discussion abond
vrage consacré par l’abbé Thédenat aux explorations archéologiques de
Rome
: Le Forum Romain et les Forums Impériaux, travai
e, temples et basiliques servirent de carrières aux architectes de la
Rome
papale ; dans plusieurs édifices, on utilisa jusq
en déterminée qu’à une date récente ; dans un ouvrage publié en 1835,
Rome
au siècle d’Auguste, par L. Charles Dezobry, on a
ar L. Charles Dezobry, on a inséré ainsi un plan de la VIIe région de
Rome
et quelques lieux adjacens, où le Forum Romanum,
éter sans crainte, sera surtout utile, en attendant, aux visiteurs de
Rome
. C’est un guide, et l’on doit savoir gré à la mai
rendre de temps à autre pour le tenir au courant6. Émile Bertaux :
Rome
(L’antiquité), collection des Villes d’art célèbr
rt célèbres, Laurens, 4 fr. L’ouvrage de M. Bertaux, également sur
Rome
(L’Antiquité), a été compris d’une manière très d
étages inférieurs du Tabularium ; les artistes grecs ne trouvèrent à
Rome
aucune tradition artistique, mais des sujets et d
répliques, retrouvées dans les fouilles qui emplissent les musées de
Rome
moderne — d’autant plus précieuses que presque to
issements, les grandes constructions ne datèrent que de Jules César ;
Rome
était jusqu’alors une ville massive et irrégulièr
stion d’archéologie à part, le pittoresque, la poésie et la beauté de
Rome
n’y ont point perdu. — Le cirque Maxime est aujou
vènement de Jules II à nos jours. La partie consacrée au Moyen-Âge de
Rome
promet surtout d’être curieuse. Tome LII, nu
Villa Médicis. M. Eugène Carrière a écrit à ce propos sur le Prix de
Rome
et l’Éducation des artistes quelques pages intens
t ainsi à tous les hommes, je déclare que ce n’est pas par le Prix de
Rome
que je recommencerais ma vie. J’ai accompli tous
ure tout être doué de vraie sensibilité de s’en préserver à jamais… «
Rome
, pour l’homme préparé à la comprendre, est une jo
ndre, est une jouissance de révélation sans pareille. La pensée de la
Rome
antique est présente sous ses admirables édifices
les restes d’une flore naturelle. Productrice d’enthousiasme, certes,
Rome
nous envahit de sa vie passée ; il nous paraît lé
tion ?… Il faut attendre et revenir. C’est ainsi que pense le Prix de
Rome
auquel on reproche de penser à Paris. À qui pense
ns. Je ne puis la donner ici. Depuis l’entrée des armées italiennes à
Rome
— profanation de la ville Éternelle et affirmatio
nvier 1895, dans le beau décor d’un appartement du Palais Borghèse, à
Rome
, M. de Bosis réunissait quelques esprits anxieux
n dramatique, éclata toute la vulgarité de Cavalleria et le public de
Rome
(et tous les publics du monde) s’enthousiasmèrent
r suivre chacun la fatalité de sa marche géniale. M. de Bosis resta à
Rome
, sacerdote de son temple, veillant sur l’œuvre co
, le « cœur des cœurs », mort sur les rivages de l’Italie, enseveli à
Rome
, il traduisit dans la plus pure langue italienne
Milan. Journal. Id. Id. 27 — Florence. Journ. Id. Id. 2 octobre
Rome
. Souv. Ég. Id. Id. 8 — Pompeï. Suppl. Journal.
. Not. Colomb. 1816 Milan. Not. Colomb. 30 sept.
Rome
. Souv. Égot. 1er octobre Milan. Souv. Égot.
rme 2 — * Bologne 5 — * Florence 9 — * Viterbe 10 — *
Rome
26 — Milan. Souv. Égot. 31 — * Rome. Sou
9 — * Viterbe 10 — * Rome 26 — Milan. Souv. Égot. 31 — *
Rome
. Souv. Égot. 1817 6 janvier Rome.
uv. Égot. 31 — * Rome. Souv. Égot. 1817 6 janvier
Rome
. Souv. Égot. 9 — * Terracine 10 — * Capo
m 5 mars * Naples 9 — * Capoue 12 — * Velletri 13 — *
Rome
27 — * Civita-Castellana 29 — * Pérouse
Piémont). Corr. 20 nov. Paris. Corr. 1824 janvier
Rome
. Corr. — Souv. Égot. avril-oct. Paris. Corr.
30 septem. Naples. Corr. octobre Paris. Corr. novembre
Rome
. Corr. nov.-déc. Paris. Corr. — Souv. Égot.
-sept. Londres. Corr. 15 sept. San Remo. Brulard 5 décembre
Rome
. Corr. 23 — Paris. Corr. 1827
16 mars Trieste. Souv. Égot. Id. avril à déc. Civita-Vecchia (et
Rome
). Corr. — Not. Colomb. — Souv. Égot. Consul de F
nce à Civita-Vecchia 1832 toute année Civita-Vecchia (et
Rome
). Not. Colomb. — Corr. — Brulard — Souv. Égot. I
e Aquila. Corr. Id. 1833 janv. à av. Civita-Vecchia (et
Rome
). Not. Colomb. — Corr. Id. oct.-déc. Paris. N
aris. Not. Colomb. — Corr. (en congé) décembre Civita-Vecchia (et
Rome
). Not. Colomb. — Corr. Consul de France à Civita
e à Civita-Vecchia 1834 toute l’année Civita-Vecchia (et
Rome
). Not. Colomb. — Corr. Id. 1835 tou
lomb. — Corr. Id. 1835 toute l’année Civita-Vecchia (et
Rome
). Not. Colomb. — Corr. — Souv. Égot. Id.
. — Souv. Égot. Id. 1836 janv. à mai Civita-Vecchia (et
Rome
). Not. Colomb. — Corr. Id. mai-déc. Paris. No
39 janv.-juin Paris. Corr. Id. juin-déc. Civita-Vecchia (et
Rome
). Not. Colomb. — Corr. Id. Consul de France à
à Civita-Vecchia 1840 toute l’année Civita-Vecchia (et
Rome
). Not. Colomb. — Corr. Id. 1841 jan
Colomb. — Corr. Id. 1841 janv.-oct. Civita-Vecchia (et
Rome
). Not. Colomb. — Corr. — Souv. Égot. Id. 8 oc
ogique envahit comme une marée rapace le destin de la divine Hellade.
Rome
, de son côté, ne fut pas touchée par la grande fl
gédie qui s’étendait vers l’avenir, et les raisons en sont multiples.
Rome
n’a pas eu de Philosophie et ses excellents poète
cilius Statius, ferreus scriptor, n’a pas survécu. La magnificence de
Rome
, impériale même lorsqu’elle fut républicaine, se
l’exaltation du sang à l’exaltation du rire, du Circus à la Comédie.
Rome
était profondément individualiste. Chaque Romain
Comédie. Rome était profondément individualiste. Chaque Romain était
Rome
, et couvait en lui seul le rêve d’un empire. Auss
Romain était Rome, et couvait en lui seul le rêve d’un empire. Aussi
Rome
n’eut-elle pas d’aristocratie ni de démocratie. E
ethe dit : « … et sans l’amour, le monde ne serait point le monde, et
Rome
aussi ne serait point Rome… ». M. d’Annunzio déve
our, le monde ne serait point le monde, et Rome aussi ne serait point
Rome
… ». M. d’Annunzio développe ce thème en distiques
e ce thème en distiques sonores, où vit en beaux rythmes sa vision de
Rome
. Or, le défaut principal de ce recueil est justem
us jeunes. Le livre des Élégies conclut par ce distique, qui parle de
Rome
: Rien n’est plus grand et plus sacré. Elle a en
n’est plus grand et plus sacré. Elle a en elle la lumière d’un astre.
Rome
ne rayonne pas seulement sur des cieux, mais sur
Les Italiens doivent l’espérer. Mais cette perpétuelle exaltation de
Rome
dominatrice, ayant été trop répétée, et en désacc
Francesco Colonna, édité en 1455 par Aldo. Un théâtre « stable » à
Rome
On sait que, contrairement aux habitudes nomad
ades des troupes dramatiques italiennes, la « Compagnie dramatique de
Rome
» aura désormais une demeure fixe au Théâtre Arge
alement que l’acteur Novelli voulut, il y a quelques années, fonder à
Rome
une « Maison de Goldoni », quelque chose comme no
bouche ces pipeaux Et souffle un chant jeune et cruel, ô ma Fortune !
Rome
, 1904. Échos. Léopardi et l’anthropologie M
Del Cerro, Vittoro Alfieri e la Contessa d’Albany, Roux et Viarengo,
Rome
Au même groupe d’évocateurs du passé appartien
lla via degli inca, Cogliati, Milan. — Luigi Siciliani, Sogni pagani,
Rome
Les livres littéraires de documentation et de
illustré de mars, de l’Italia Moderna, la grande revue hebdomadaire (
Rome
), dirigée par M. le comm. Av. Antonio Monzilli, c
t toutes les autres. Il y avait une seule urbs dans le monde ancien :
Rome
. Il y en a plusieurs dans le monde moderne, outre
nde lutte entre l’Occident et l’Orient qui s’est combattue au sein de
Rome
. Je m’explique à présent pourquoi cette lutte int
omprise en France beaucoup plus qu’ailleurs. La France a réussi là où
Rome
a échoué : elle a réalisé pendant le dix-neuvième
il y a cinquante ans par la maison de Savoie ? — Aux premiers âges de
Rome
, la République ne formait pas un état unitaire. L
en vu l’historien Ferrero, une fédération de républiques rurales dont
Rome
était le lien, et non la maîtresse. Mais Rome dév
épubliques rurales dont Rome était le lien, et non la maîtresse. Mais
Rome
dévia de son œuvre fédérative et tendit, par la c
era la fédération républicaine, peut-être sous le prestige nominal de
Rome
. » Je n’ai pu que résumer ici les conclusions de
ant les deux compagnons, en quittant le pays du sang ? Ils allèrent à
Rome
. La haine les poursuivait, mais leur force était
eur et la volupté. La créature qu’il avait laissée à Comacchio vint à
Rome
. Ce fut Oméro qui la découvrit. Les haines du pay
méro qui la découvrit. Les haines du pays du sang se transportèrent à
Rome
, dans la volonté de vengeance d’une femme, la fil
frêle créature, qui avait quitté le pays des langueurs pour suivre à
Rome
celui qu’elle aimait, retrouva Duccio della Bella
ans les autres pays, affluent vers le cœur de la patrie commune, vers
Rome
. Elles deviennent des éléments dramatiques dans l
e la production contemporaine d’Outre-Monts. L’Orestie d’Eschyle à
Rome
À Rome, par l’initiative de deux jeunes poètes
ction contemporaine d’Outre-Monts. L’Orestie d’Eschyle à Rome À
Rome
, par l’initiative de deux jeunes poètes, MM. Anto
o Melillo, le Poste italiane del Medio Evo, Desclée, Lefebvre et Cie,
Rome
. — L’Institut Italien des Arts Graphiques (Bergam
de la vie, clore. Histoire. G. Ferrero : Grandeur et Décadence de
Rome
. III. La fin d’une aristocratie : Plon-Nourrit
n-Nourrit Edmond Barthèlemy. G. Ferrero : Grandeur et Décadence de
Rome
. III. La fin d’une aristocratie : Plon-Nourrit M.
stoire romaine qu’il publie sous le titre de Grandeur et Décadence de
Rome
. Plus sobre de considérations générales que les d
nnel du mot, n’était-ce point plutôt quelque chose de l’atmosphère de
Rome
même ?) Mais, sur le champ de l’action et du fait
ntal » de Stendhal. Le document autographe qu’on vient de découvrir à
Rome
, apporte quelques éléments nouveaux qui faciliter
onnaître Stendhal corrigeant Stendhal. À la Bibliothèque Nationale de
Rome
, M. Paolo Costa a découvert un exemplaire de Rome
thèque Nationale de Rome, M. Paolo Costa a découvert un exemplaire de
Rome
, Naples, Florence, avec des notes, des correction
e particulière dans sa production. L’exemplaire de la Bibliothèque de
Rome
appartient à la troisième édition de 1826 parue c
roisième édition de 1826 parue chez Delaunay. La quatrième édition de
Rome
, Naples, Florence, parue chez Michel Lévy frères,
age 160, en note). Par exemple, le fameux Saint-Paul-hors-des-murs, à
Rome
, incendié en 1823, et que l’on va, dit-on, essaye
. Du fait que Romain Colomb ne semble pas avoir connu l’exemplaire de
Rome
, car les intentions que Stendhal y avait exprimée
duit que vraisemblablement Stendhal, ayant égaré l’exemplaire noté de
Rome
et Florence, se servit d’un autre exemplaire, en
t voulue ; partant celui qui voudrait soigner une nouvelle édition de
Rome
, Naples et Florence qui soit réellement définitiv
158). Je réfléchis aujourd’hui sur mon émotion d’hier : mon passage à
Rome
, la vue de la campagne surtout m’a donné des nerf
s 1827. Il nous semble donc indiscutable qu’une cinquième édition de
Rome
, Naples et Florence doit contenir toutes les indi
cesco d’Assisi e la sua leggenda. Fr. Druckert, Vérone Tandis qu’à
Rome
des archéologues discutent sur l’authenticité du
intre préraphaëlite. — Umberto Bianchi : Liriche. La Vita Letteraria (
Rome
). — G. A. Pintacuda : Serto di rime. Palerme, St.
Milan. — G. de’ Rossi : La Conquista del Paradiso. Roux et Viarengo.
Rome
. — Teofilo Gay : Historia delle persecuzioni cont
liata-Ceccardi : Per una Nave di Battaglia. Ode. La Patria (18 juin).
Rome
. Ce poème puissant du jeune auteur de Alma Mater
exécuter la statue du Colleone. Il est peu probable qu’il soit allé à
Rome
. Comme il n’était pas marié, il vivait avec sa sœ
Cippico et Tito Marrone, ont pu accomplir le miracle de faire jouer à
Rome
, ce printemps dernier, toute l’Orestie d’Eschyle
blic s’est intéressé à la belle tentative et l’a saluée dignement. De
Rome
elle fut à Trieste, enlevant de l’enthousiasme et
vigueur inattendue. Uberto Bianchi : Arpeggi ; La Vita Letteraria,
Rome
À signaler aussi Arpeggi, de M.Umberto Bianchi
tà di Castello. — Pasquale Leonetti : Canto umano ; Roux et Viarengo,
Rome
. — Cg. V. Callegari : Lucrezia Maria Davidson ; F
olmi, Milan. — Edoardo Calandra : A guerra aperta ; Roux et Viarengo,
Rome
. — L. Gramegna : Dragoni azzurri ; S. Lattes, Tur
Paris le 23 juillet 1812.) Or nous savons, par sa lettre à Crozet (de
Rome
, le 30 septembre 1816, dans les Souv. d’égot.), q
répugnances politiques s’étaient unis pour dégoûter Beyle de Paris. «
Rome
, Rome est ma patrie, je brûle de partir », écriva
ances politiques s’étaient unis pour dégoûter Beyle de Paris. « Rome,
Rome
est ma patrie, je brûle de partir », écrivait-il
u hollandais, ils ralentissent encore leur marche dès qu’on a franchi
Rome
et surtout Naples. 40 kilomètres à l’heure consti
tel. Les congrégations dont l’influence périclite dans le Nord, qui à
Rome
même sont battues en brèche, retrouvent tout leur
rte à certains obstacles ; à l’inverse elle règne à l’excès au sud de
Rome
, dans ces districts montagneux des deux Siciles,
qué les foules. Milan et Gênes, Florence et Turin, Reggio d’Émilie et
Rome
, Mantoue et Brescia, en sont les foyers ardents.
s, comme les « intégralistes » de Mantoue ou les « syndicalistes » de
Rome
. Les ligues paysannes de l’Émilie n’adoptent pas
un des facteurs indispensables de l’État. Aristocratie signifiant, à
Rome
, République, les vues d’Octave, où cette aristocr
’empire, à moins, énormité contre laquelle se levait tout le passé de
Rome
, à moins d’abandonner ce rôle aux classes cosmopo
que la moitié du grave problème politique qui se posait alors devant
Rome
: À côté du problème du pouvoir suprême, il y av
ntinuerait à être gouverné par des magistrats républicains, choisis à
Rome
par les comices et par le sénat parmi les citoyen
hique n’aurait pas signifié seulement rétablissement d’une dynastie à
Rome
; il aurait signifié aussi la formation d’une bur
lité ni de race, la fin du monopole politique possédé jusqu’alors par
Rome
, les grandes familles de l’aristocratie sénatoria
é de l’empire. C’était là une des significations des guerres civiles.
Rome
, continuant d’être ce qu’elle avait si longtemps
; le pouvoir du prince devenait, ou monarchique, pure impossibilité à
Rome
, ou dictatorial, césarien, avec la perspective de
ntiers aux œuvres scéniques de l’auteur du Feu. Le drame a été joué à
Rome
et à Naples, et finalement à Florence. Les amis d
mois en Italie ; il avait donné à Florence exactement 2 jours, et 8 à
Rome
. Il avait traversé la Lombardie, la Toscane, et p
ramatiques, cependant, continuent leur chemin et la Casa di Goldoni à
Rome
offre fidèlement une superbe hospitalité aux dern
ution de son projet, car pendant les six mois qu’il vient de passer à
Rome
, l’art eut à enregistrer des succès éclatants pou
n événement artistique qui a fait la joie des amateurs, ce février, à
Rome
. M. Rustelli, un jeune artiste de grand avenir, a
ion de bon goût qui eut le mérite de sauver la renommée artistique de
Rome
. Seuls, quelques mélancoliques journaux du Vatica
rièrent au scandale, mais je peux donner ma parole que la moralité de
Rome
n’a pas diminué depuis l’inauguration des quatre
p. 496-502 [502]. Revue universelle. (30 mars.) L’année jubilaire à
Rome
, par M. Boyer d’Agen. […] Lettres allemandes.
subjective, indépendante de toute suggestion de la mode. Le séjour à
Rome
, dans le monde politique, journalistique et litté
appelle M. Guelfo Civinini, qui n’est pas un vagabond, lui ; il vit à
Rome
et il voyage assez peu. Son dernier recueil, L’Ur
ni dont on parle avec tant d’intérêt dans les cénacles artistiques de
Rome
? Personne ne le connaît, personne ne l’a vu : il
1er juillet 1901 Littérature. Pierre de Bouchaud, La Sculpture à
Rome
, de l’Antiquité à la Renaissance. A. Lemerre, in-
a Florence), je veux citer cette délicieuse impression des entours de
Rome
: « Enfin, Rome est aussi la voisine de la campag
veux citer cette délicieuse impression des entours de Rome : « Enfin,
Rome
est aussi la voisine de la campagne où elle étend
par les dites religieuses « pour payer leurs dettes », et il passe à
Rome
, chez les Colonna. En 1802, il quitte la galerie
en demande un million. Ceci se passait en mai 1870. La guerre éclate,
Rome
est prise, l’unité italienne faite, — et François
n ; de M. J. Prévôt une curieuse vue partielle du temple de Minerve à
Rome
, enterré à demi et dans lequel on a percé les por
lle avait abjuré le luthérianisme et aussi de ce qu’elle avait choisi
Rome
comme séjour. On savait sans doute déjà à la cour
ous n’en avons pas toujours. Publications d’art. André Mellerio :
Rome
, la question d’art et la question politique, Henr
2, 1er octobre 1901, p. 241-246 [242]. Dans une plaquette fournie sur
Rome
, la question d’art et la question politique, M. A
difices nouveaux et contre les destructions qui viennent défigurer la
Rome
artistique et il étudie quelles seraient pour la
r une toute petite danse ironique. Mes amis de Milan, de Florence, de
Rome
, de Naples… (voit-on assez que je suis un auteur
nièrement, quelques hommes politiques, — (voit-on assez que je vis, à
Rome
, dans les coulisses du monde parlementaire ?) — j
pagandistes. La vie fourmillante et infatigable du monde catholique à
Rome
, de ce monde qui donna tant de peine à M. Zola, l
ières, aristocrates de la plus vieille souche et rastaquouères. C’est
Rome
à l’époque des esclandres de la Banca Romana. (En
e riante et rouge. Tous deux s’éprennent rapidement l’un de l’autre :
Rome
prête à la passion son décor inoubliable de grand
stro, M. Luigi La Rosa a donné à la Rivista politica e letteraria, de
Rome
, une fort belle étude sur Barbey d’Aurevilly. Apr
sade à la cour du roi Charles-Albert, le 15 mai 1848. Il avait fait à
Rome
quelques années durant son apprentissage diplomat
on peut animer une pièce destinée au grand public. 1. L’Italie,
Rome
, n° du 10 août.
e plus — et c’était un point cardinal des revendications italiennes —
Rome
demeurait toujours au pape : Rome, la capitale sa
nal des revendications italiennes — Rome demeurait toujours au pape :
Rome
, la capitale sacrée de l’Italie ; Rome qui par so
e demeurait toujours au pape : Rome, la capitale sacrée de l’Italie ;
Rome
qui par son nom, ses traditions, personnifiait de
t s’écria amèrement que, pendant que l’Italie demandait à grande voix
Rome
, on lui avait donné Byzance ! Il n’épargna pas au
n qui entrevoit l’Urbs éternelle dans tout ce qui est grand, auguste.
Rome
, c’est la déesse mère de l’Italie, c’est la déess
e belle littérature que, sous la direction de M. d’Annunzio, publie à
Rome
l’éditeur Adolfo de Bosis ; elle paraîtra durant
ridités : — et pour comble de honte ce ruisseau de boue a pour source
Rome
, cette troisième Rome qui devait se lever comme u
mble de honte ce ruisseau de boue a pour source Rome, cette troisième
Rome
qui devait se lever comme une gloire d’amour et q
uelles, et enfin dans l’efficacité de la parole. Ils veulent en cette
Rome
si triste, où jadis, par les rues papales, on por
apoue, de Corinthe, de Carthage. Après la conquête de l’Asie mineure,
Rome
, étant devenue maîtresse du monde, commença seule
les intervalles étaient ornés de voiles attaliques. Sous Auguste, la
Rome
de marbre remplaça celle de briques, mais à part
dans leur triomphe, ne furent que des iconoclastes et des rhéteurs. À
Rome
, bien dire valait mieux que bien faire. La vulgar
endeurs. Si sa parole rythmait des visions oubliées de la grandeur de
Rome
, c’était pour mieux faire ressortir la veulerie,
Une phalange de jeunes penseurs trouva là son expression. L’idéal de
Rome
sans le Pape enflamma le cœur politique de la pén
éninsule et, sept années plus tard, les politiciens armés entrèrent à
Rome
. Mais le Poète continua à lancer ses foudres cont
ique latine, rappelle de trop près l’inspiration des poètes païens de
Rome
. Souvent, le mouvement psychique d’une Ode est si
rue, l’absorption de toute la vie italienne dans l’idée abstraite de
Rome
; l’autre, la rénovation complète de la langue, n
Mme Sérao… § Carducci a trouvé sa plus grande source d’inspiration à
Rome
et en Grèce. Son inspiration romaine, qui est d’a
ais en réalité l’âme hellénique lui demeure étrangère. C’est l’âme de
Rome
, celle que le poète croit encore l’anima mundi, q
ans la vision présente. Les dieux antiques qu’il évoque sont ceux que
Rome
, qui ne créa ni sa religion ni sa philosophie, em
vec leurs choses mesquines : cette horreur est religieuse : la déesse
Rome
dort ici ; la tête appuyée à l’auguste Palatin,
re de tous les siècles, tandis que pour Carducci l’histoire est une :
Rome
. Leconte de Lisle, Vigny, Hugo, s’élancent vers l
este seulement le poète de la Troisième Italie, le poète de l’idée de
Rome
. Dante revit en lui, avec tout son dédain et sa t
ys, s’abattant avec tous ses éléments séculaires contre les portes de
Rome
, que la bureaucratie a profanées. Les derniers tr
ent leurs voix de renaissance, et que, comme autrefois à Athènes et à
Rome
, on sent palpiter dans une formidable synthèse, à
e. Giosuè Carducci, le poète de Ça ira, de Napoléon, de Garibaldi, de
Rome
, reste le grand initiateur de la force actuelle d
ction spirituelle : centre que M. Papini place, selon la tradition, à
Rome
, et que, à tous les points de vue, dans toutes le
crit un très beau et très fort poème dramatique : David (V. Piva. Ed.
Rome
). M. R. Bracco a fait représenter un drame psycho
s pas eu la bonne idée d’assister à la première de Francesca, jouée à
Rome
le 9 décembre passé. Les lecteurs des principaux
t directeur de la Rassegna Internationale, vient d’établir sa revue à
Rome
, en lui donnant un essor extrêmement vigoureux :
on. La rédaction de la Rassegna Internazionale constitue désormais, à
Rome
, un centre intellectuel, où les personnages d’éli
co, à Florence, Flegrea à Naples, d’autres revues sont en formation à
Rome
et à Milan qui vont paraître prochainement avec u
retour au théâtre n’est pas loin, à ce qu’il me disait dernièrement à
Rome
. Voilà donc toute une armée prête à atteindre les
ic difficile comme celui de Milan. Au moment où j’écris, on prépare à
Rome
la première de Giulio Cesare par Enrico Corradini
lumes suivront ce premier de manière qu’on puisse avoir l’histoire de
Rome
depuis les origines jusqu’à la chute de l’Empire
és à cette exposition, certainement plusieurs pages du Mercure. Voici
Rome
avec Joannes Beplin, Alemanus, Blado, Doricus, Gi
nri Eustache, c’est l’État actuel et restauration de la Voie Sacrée à
Rome
, montrant en diverses planches l’état des fouille
de Septime-Sévère. — M. Alex. Bruel expose une autre restauration de
Rome
, le Sud-Ouest du Mont Palatin avec le domaine de
ère architectural et même le pittoresque de ce quartier de l’ancienne
Rome
. […] […] Les études de voyage sont d’ailleurs en
nella, Saint-Laurent-hors-les-Murs, Florence ; de M. Portier, Venise,
Rome
, la villa d’Este ; de M. Bureau, la cour du Barge
juillet 1902, p. 251-260 [254, 258]. Pierre de Bouchaud : Raphaël à
Rome
, Lemerre, 2 fr. Bien que l’on ait écrit sur Ra
que agrément à lire l’opuscule de M. Pierre de Bouchaud sur Raphaël à
Rome
. Notre confrère y étudie Santi comme peintre et c
sognes journalistiques avec une désinvolture admirable : je l’ai vu à
Rome
, il y a quelques mois, si gai et si jeune comme s
erio e le donne del Cesari — Les études sur l’époque impériale de
Rome
ont eu, ces derniers temps, chez nous un développ
ait, il y a quelque temps, à démolir presque totalement l’histoire de
Rome
, et que les fouilles les plus récentes du forum o
un appendice tout à fait neuf sur la légende de Néron, l’incendie de
Rome
dont on l’accuse, les prodigalités, les vices et
410-411]. […] En Italie, les recettes annuelles du Museo Capitolino à
Rome
sont de 16 000 francs ; celles de la galerie de l
ois enfants jetés dans la fournaise sur l’ordre de Nabuchodonosor : à
Rome
; Les premiers langes de l’enfant Jésus ; sa prem
. Un journal italien, que nous communique l’« Écho de la presse », de
Rome
(Eco della Stampa), donne sur l’état moral et int
. 536-540. Cette année, à propos des trop modestes envois des prix de
Rome
, on ne manque pas de remettre en question l’utili
able. La première crise sérieuse qui menaça l’existence de l’École de
Rome
se produisit assez près de sa fondation, en 1707.
r à Houasse. Il avait trouvé là-bas un beau désarroi. À son arrivée à
Rome
, son prédécesseur manquait totalement d’argent de
aille, qui est très nombreuse, n’atendoit que ce moment pour saccager
Rome
. L’on ne laissa entrer que les officiers avec leu
us sûrs pour faire de bons architectes que tout ce que l’on voit dans
Rome
. » A l’esgard de la peinture, les lieux où sont l
ment nécessaire de venir icy. La preuve est que, depuis que je suis à
Rome
, je n’ai veu ny Italiens, ny aucun estranger copi
première lettre au directeur : « Du 17 juin 1708. » A M. Poërson. »
Rome
. » Le Roy m’ayant fait l’honneur, Monsieur, de m
hies dans la Revue d’Alsace quand la création de l’École française de
Rome
lui ouvrit définitivement sa voie. C’était au len
s les écoles, avec les dogmes inflexibles qui affirment l’éternité de
Rome
comme capitale du monde, la supériorité à nulle a
âle subjugué par l’insatiable femelle — la louve dantesque, l’église,
Rome
. Et tandis que son frère Manfred, celui qui fut,
reux, et l’image de l’Empereur, son père, et du Pape vainqueur, et de
Rome
triomphante tandis que les bœufs courbent la têt
iana, Garofalo-Bitonto. — Grazia Deledda : Il Nonno, Nuova Antologia,
Rome
. — Grazia Deledda : Le Fantôme du Passé, G. Hérel
Calmann-Lévy. — V. Aganoor-Pompilj : Nuove Liriche, Nuova Antologia,
Rome
. — Salvatore Farina : Il, signor Io, S. T. E. N.,
signor Io, S. T. E. N., Turin. — Cesare Castelli : Venezia, Voghera,
Rome
. — Bruno Cicognani, La Crittogama, Lumachi, Flore
ittogama, Lumachi, Florence. — Luigi Siciliani : Arida Nutrix, Modes,
Rome
. — Clarice Tartufani : Fungaia, Voghera, Rome. —
: Arida Nutrix, Modes, Rome. — Clarice Tartufani : Fungaia, Voghera,
Rome
. — Massimo Bontempelli : Odi Adriatiche, Nuova An
ghera, Rome. — Massimo Bontempelli : Odi Adriatiche, Nuova Antologia,
Rome
. — Carola Prosperi, La Profezia, Lattes, Turin.
talien sommeillait beaucoup plus que maintenant, et où la Consulta de
Rome
se méfiait un peu moins du cabinet de Vienne. Il
alienne répond à l’hostilité russe, et les sentiments qu’on nourrit à
Rome
sont si conformes à ceux qu’on entretient à Péter
é. Le discours que M. Fortis a prononcé, en décembre, à la Chambre de
Rome
, et que le président du conseil, M. Giolitti, a s
es figures du célèbre Trône Ludovisi, du Musée national des Thermes à
Rome
, où plusieurs archéologues ont voulu voir l’œuvre
] Je mentionne plus spécialement enfin […] Sainte-Marie Perrin, Bâle,
Rome
et Genève, Laurens, 4 fr. […] et surtout le très
. […] La Revue hebdomadaire (16 janvier) : Le vin dans l’histoire de
Rome
, par M. G. Ferrero. […] Poesia (décembre-janvier
sans doute un ami du Cardinal del Monte, le protecteur du Caravage à
Rome
, sinon Mgr del Monte lui-même, ce que je n’ai pas
avail historique, admirablement documenté, sur l’Académie de France à
Rome
. Tome LXXVIII, numéro 282, 16 mars 1909
iste, que nous portons à l’Italie : dans les salons de Florence ou de
Rome
comme dans les bureaux de Gênes et de Milan, on c
ncore, notamment, sur les volumes que la seule désignation de prix de
Rome
littéraires devrait signaler de façon toute parti
roire, un Anatole France est vénéré à Florence comme il fut acclamé à
Rome
, d’autres grands écrivains que nous pouvons avec
, faut-il féliciter nos députés avides d’économies d’avoir maintenu à
Rome
la maison de France : c’est une occasion de regre
éracité dans l’inspiration. Récemment l’on a même institué un prix de
Rome
littéraire : a-t-on entendu parler d’un prix de P
. Pierre de Bouchaud qui conférencient tour à tour à la Sorbonne et à
Rome
pour la Société des Études Italiennes, peuvent-il
er sur les eaux mortes de Venise, mais d’entrer en contact à Milan, à
Rome
, à Trieste avec les hommes nouveaux de la plus gr
ressante documentation de M. Federico Hermann nous renseigne sur la «
Rome
disparue », à propos des aquarelles peu esthétiqu
tore Roesler Franz. Ce peintre, fils de commerçants suisses établis à
Rome
, a laissé une œuvre de « copie de la nature » pho
e » photographiquement assez intéressante. Dans la Cultura (1er mars,
Rome
), N. Festa consacre un article de critique et de
ristianisme primitif et le Socialisme. Rassegna Contemporanea (mars,
Rome
). M. Giorgio Arcoleo publie une rapide étude sur
umoriste ». M. Achille Loria parle dans la Nuova Antologia (1er mars,
Rome
) de Joseph Proudhon. Deux intéressantes études qu
âtre italien contemporain, ont paru dans la Vita Letteraria (février,
Rome
) sous la signature de M. F. Nicolosi-Raspagliesi
io Storico Civico, Milan. Marcus de Rubris : Nostre Memorie, Voghera,
Rome
. — Carlo Linati : Cristabella. Zerboni, Milan. —
bella. Zerboni, Milan. — Francesco Chiesa : Liriche, Nuova Antologia,
Rome
. — Guido Gozzano : La Signorina Felicita, Nuova A
ogia, Rome. — Guido Gozzano : La Signorina Felicita, Nuova Antologia,
Rome
. Tome LXXIX, numéro 286, 16 mai 1909 Li
méro 286, 16 mai 1909 Littérature. Gaspard Vallette : Reflets de
Rome
. Rome vue par les écrivains, de Montaigne à Goeth
86, 16 mai 1909 Littérature. Gaspard Vallette : Reflets de Rome.
Rome
vue par les écrivains, de Montaigne à Goethe, de
ro 286, 16 mai 1909, p. 306-310 [306-309]. Dans ce volume, Reflets de
Rome
, M. Gaspard Vallette a recherché les diverses imp
Montaigne à Goethe et de Chateaubriand à Anatole France, le charme de
Rome
, de ses souvenirs et de ses ruines. L’idée, l’ima
de ses ruines. L’idée, l’image que nous nous faisons actuellement de
Rome
est la création de ces hommes de génie qui nous a
la connaître et à l’aimer : ce sont eux qui ont vraiment retrouvé la
Rome
antique sous la ville moderne23 et vivifié notre
s richesses d’art et de pensée des civilisations antérieures. C’est à
Rome
que Goethe, instinctivement, est venu chercher le
vivante ». Ce qui est admirable, c’est que Goethe, dans les ruines de
Rome
, n’ait voulu trouver que le sens de la vie. Il n’
vivantes qui vont mourir. Teintée de cette mélancolie, la campagne de
Rome
, sous la plume de Chateaubriand, prend un aspect
la population allant se promener dans l’Arabie déserte à la porte de
Rome
: quelle ville ! quels souvenirs ! Mais Chateaub
e de Rome : quelle ville ! quels souvenirs ! Mais Chateaubriand a vu
Rome
avec une âme d’homme du Nord : Rome ne s’est pas
venirs ! Mais Chateaubriand a vu Rome avec une âme d’homme du Nord :
Rome
ne s’est pas reflétée en lui, c’est lui qui a pro
Nord : Rome ne s’est pas reflétée en lui, c’est lui qui a projeté sur
Rome
sa propre vision romantique. Cette page de Renan
a population était aux champs, c’est-à-dire dans la partie déserte de
Rome
. Vous ne sauriez croire quel fonds de bien-être i
leil : ce droit-là, il en jouit, et ne le cédera pas. Taine a mal vu
Rome
, parce qu’il était malade et qu’il ne l’a pas reg
r de quelle manière la sensibilité du philosophe réagit au contact de
Rome
, la ville des âmes, disait Veuillot, la ville qui
in-18) n’en fait pas mention. Stendhal lui-même dans Promenades dans
Rome
(éd. Michel Lévy, 1853, 2 vol. gr. in-18) — pp. 1
rdre rigoureusement scientifique, une collection de tableaux unique à
Rome
, complétant dignement l’admirable ensemble de mus
t des morceaux séparés, chacun de ces morceaux, luttes en Italie et à
Rome
, croisade des Albigeois, rivalité de la papauté e
spect monographique. Voyez le titre du premier volume : Innocent III,
Rome
et l’Italie : ce titre sent la monographie, et c’
omains, une monographie comme en pourrait écrire un spécialiste de la
Rome
médiévale, M. Halphen ou M. Rodocanachi. Autre in
ux et de personnes. Louis Halphen : Études sur l’Administration de
Rome
au Moyen-Âge (751-1252), Champion, 7 fr. La pé
connue, durant laquelle M. Louis Halphen a étudié l’administration de
Rome
au Moyen-Âge, se divise en deux parties. Pendant
alculs de l’auteur, succèdent, à partir du xe siècle, les Consuls de
Rome
; enfin les Juges, divisés en juges ordinaires ou
siècle, époque d’une modification importante du régime intérieur de
Rome
. Questions coloniales. Memento [extrait] Ca
méro 289, 1er juillet 1909, p. 138-144 [144]. La Rivista coloniale de
Rome
, dans un articulet intitulé la Ferrovia franco-et
pourrait me piquer dans le dos avec autant de fourches qu’il y en a à
Rome
dans le Prato pour sécher la lessive que je ne se
: c’est le cardinal d’Armagnac48, ambassadeur de France à la cour de
Rome
, qui, pour quelque temps, revient dans son pays.
s’il se moque de moi. Quand sa courtisane, qu’il avait fait venir de
Rome
, fut prise à Orange, la pauvrette, il ne lui rest
mm. Des fièvres de marais et de l’atmosphère malsaine des environs de
Rome
, l’auteur a su dégager une idylle tragique dont l
ume du Dieu latin, de ce Dieu qui, juste, ensemence et moissonne ? Et
Rome
n’est plus ? Et Virgile encourage le paysan de s
le désormais devant le monde contemporain, du « Tibre sacré » et de «
Rome
éternelle ». Note sur la poésie italienne
o Sodini : La Production de la culture en Allemagne, Nuova Antologia,
Rome
. — F. Maltese : L’Intelletto d’Amore, S. Lapi, Ci
s sont déjà nombreux, et, après le scandale de Pelléas et Mélisande à
Rome
, décidés à tout), apportent véritablement soit un
Duval, à Pregny, près Genève, réunion de beaux marbres acquis jadis à
Rome
par le possesseur, et où se trouve une réplique r
8) : article de M. A.-J. Rusconi sur.la collection Doria Pamphili, de
Rome
, riche en tableaux anciens de l’école italienne.
8, 16 novembre 1909 Les Poèmes. Corrado Zacchetti : Le Disciple,
Rome
, Typographia Diocleziana P. Quillard. Tome LXX
nouveau poème, le Disciple, qui ne nous vient plus d’Assise, mais de
Rome
. La curiosité du poète semble avoir erré sur tout
16 décembre 1909, p. 739-746. Note sur le Congrès de Philosophie de
Rome
. Erminio Troilo : Idee e Ideali del Positivismo,
hie de Rome. Erminio Troilo : Idee e Ideali del Positivismo, Voghera,
Rome
Le Congrès de Philosophie de Rome, le troisièm
Ideali del Positivismo, Voghera, Rome Le Congrès de Philosophie de
Rome
, le troisième organisé par la Società Filosofica
sur une opinion d’un groupe d’hommes, n’ont pu enlever au Congrès de
Rome
son caractère général d’indication de la pensée i
emble de ses prétendues conclusions. À ce point de vue, le Congrès de
Rome
, nous éclairant surtout sur l’état présent de la
ique Italienne, et par le professeur Erminio Troilo, de la Faculté de
Rome
, tendait à exposer non seulement un état de cultu
e des positivistes. Il faut remarquer tout de suite que le Congrès de
Rome
n’a pas répondu d’une manière trop satisfaisante
al, européen et américain. Mais cette totalité a manqué au Congrès de
Rome
. Il faut le regretter. Il faut regretter que le p
reçues, sur une telle orientation générale des esprits. Le Congrès de
Rome
nous a un peu renseignés sur l’apport des Italien
lle la totalité et la variété de l’être ». L’importance du Congrès de
Rome
, qui devait servir aux Italiens philosophes comme
une grave volonté d’être, dans l’Italie intellectuelle. Le Congrès de
Rome
l’a laissé entrevoir encore une fois. Paolo Bu
ndonner l’insignifiante et vaine tradition lyrique de « l’éternité de
Rome
». Mais il sait sourire dignement du grotesque du
elo Sodini : Il « Musée du Livre » di Bruxelles, « Nuova Antologia ».
Rome
M. Angelo Sodini continue à éclairer ses compa
cembre 1909, p. 752-758 [753, 755-756]. L’Exposition universelle de
Rome
On prépare activement à Rome l’Exposition univ
tera peut-être de l’Exposition de 1911 pour faire le chemin de fer de
Rome
à Ostie, réclamé depuis longtemps par la populati
de propriété littéraire Récemment, est venu devant le tribunal de
Rome
un procès assez délicat de violation du droit d’a
ièce, attaquait la traduction de cette même Salomé publiée en 1902, à
Rome
, par M. G. Vannicola à la typographie Lux, accusa
e fut Montaigne qui le premier eut cette curiosité de reconstituer la
Rome
antique. Lire le curieux chapitre que lui a consa
’Avignon, puis professeur à Bologne pendant vingt-deux ans et enfin à
Rome
, où il fut appelé par Grégoire XIII, est cet illu
locuteur ? Histoire. Guglielmo Ferrero : Grandeur et Décadence de
Rome
. Tome V : La République d’Auguste. Plon-Nourrit
ue dont il est difficile de se déprendre à ce moment de l’histoire de
Rome
. Eh bien ! l’originalité paradoxale du nouveau po
toute idée de grandeur et de puissance, à la fois en ce qui concerne
Rome
et lui-même ; ayant tous les côtés prosaïques de
sans rien de l’ampleur de vues que cette sagesse peut se permettre à
Rome
; poussant le sentiment des difficultés de la vie
sens rassis, devant la proportion impériale où tendent les choses, à
Rome
et dans sa destinée ; et menant les affaires mond
que pouvait ou voulait faire Auguste dépendait bien plus de l’état de
Rome
que de sa propre volonté. Voilà le point de vue b
esseurs d’Alexandre) appliquée simplement au gouvernement qui siège à
Rome
. L’alexandrin Appien et le grec Dion Cassius ont
hement, à mieux concevoir ce que l’idée de ce gouvernement put être à
Rome
même. « Un certain nombre d’inscriptions, remarqu
paient d’une manière menaçante : L’admiration pour les vieux âges de
Rome
, dit M. Ferrero, n’était pas alors, comme l’ont c
s, monarchique dans son but ? Et, de fait, toute l’œuvre d’Auguste, à
Rome
, relève d’un point de vue purement conservateur.
du Consulat et du Proconsulat, c’est-à-dire de la double puissance, à
Rome
et dans les Provinces, n’aurait pas suffi à créer
té dans les conflits des partis. Mais ceci n’était pas facile dans la
Rome
d’alors, avec une aristocratie sans zèle civique
marque, pour M. Ferrero, le véritable commencement de la monarchie à
Rome
. Elle mettra deux siècles à se développer. Avec c
at d’Auguste, une des formes les plus subtiles du pouvoir politique à
Rome
, sorte de transaction entre la conception latine
ne fut point sans portée. Quelle fut cette portée dans l’histoire de
Rome
? jusqu’où va-t-elle ? C’est ce qui ressortira sa
res plus qu’il n’en est réellement. Le premier portier d’hôtel venu à
Rome
, une femme du peuple à Milan, une gentille « raga
oi qu’il en soit, il nous paraît utile, après une enquête au front, à
Rome
, à Milan et à Gênes, de faire la somme des causes
t trompés qu’aux trois quarts. Les délégués du Soviet se sont faits à
Rome
un ennemi mortel : c’est le garçon d’un restauran
es moutons, nombre de sbandati. Il en est pourtant qui furent jusqu’à
Rome
et même plus loin. Des proclamations du général D
eur, c’est un réflexe naturel et nous ne pouvons que l’approuver. » À
Rome
, j’ai assisté au départ des bersaglieri de la cla
urs rendus à la dépouille de Bruno Garibaldi quand elle fut ramenée à
Rome
. L’Italie bientôt entrait en guerre à nos côtés ;
eur. La thèse de Dante, gibelin modéré, n’excluait point les papes de
Rome
; il ne les envoyait point en captivité à Babylon
t-à-dire à Avignon ; il tenait pour légitime leur pouvoir temporel de
Rome
seulement. Dante, lui aussi, était, on le voit, u
olique », il n’en est pas de même de tous les fidèles dont le pape de
Rome
est le chef spirituel : M. E. Aroux, catholique u
à Pie IX la condamnation du chantre de la Divine Comédie ! Échos.
Rome
et les Allemands Mercure. Tome CXXV, numéro 4
ant que le gouvernement vivait de cœur et d’esprit plus au front qu’à
Rome
, il y a eu des députés qui ont imaginé de collabo
ats du comité secret, M. Piérard qui, « après une enquête au front, à
Rome
, à Milan, à Gênes », prétend que les causes de la
ent malheureux et stupéfiant. Mon enquête a porté surtout au front, à
Rome
, à Milan, à Gênes, sur les milieux politiques et
en valait beaucoup. C’était Cesare Cantù. Une cousine du Kaiser à
Rome
Malgré toutes les mesures prises en Italie à l
l’égard des sujets ennemis, une cousine de Guillaume II habite encore
Rome
en toute liberté. Il s’agit d’une religieuse du S
éro 474, 16 mars 1918, p. 378-384 [383-384]. Le premier Café ouvert à
Rome
le fut vers la moitié du xviie siècle. Il était
tif, il eut assez de mal à se faire accepter lors de la mobilisation.
Rome
était égayée de fleurs et de drapeaux ; partout l
uis l’auteur, éclopé, mais toujours enthousiaste, se trouve rappelé à
Rome
pour l’instruction de la classe 1918. — Il y a au
, numéro 477, 1er mai 1918, p. 182-192 [185]. L’ambassade allemande à
Rome
, palais Caffarelli, est sur le Capitole, si bien
s socialistes officiels ? L’Epoca, qui, fondée il y a quelques mois à
Rome
, semble être une espèce d’organe officieux, est d
À l’intéressante exposition de l’épopée garibaldienne qui a eu lieu à
Rome
et à Milan et qui bientôt viendra à Paris, il y a
rt par le Musée national et par la Galerie nationale d’Art moderne de
Rome
. On y verra de Girolamo Induno un Portrait de Gar
x-fortes dont Charles Blanc a pu dire « que les monuments antiques de
Rome
y sont plus imposants dans leur image que dans la
L’œuvre de Piranesi est pareille à une ville étrange, plus vaste que
Rome
à laquelle il ne se limite pas et où l’artiste no
iété du musée de Viterbe, dans la Flagellation et dans l’Ascension de
Rome
, dans la Résurrection de Lazare de la National Ga
domine Luigi Rizzo qui ante alios facinus memorabile tentat . Après
Rome
le poète évoque Trieste, urbs dives campis , et
e président en est le sénateur Blasenca, professeur à l’université de
Rome
et actuellement secrétaire d’État au ministère de
-347]. Le 5 avril dernier, pressentant l’importance du congrès tenu à
Rome
par les nations opprimées d’Autriche-Hongrie, le
tt essayait de jeter la suspicion sur cette assemblée. Le Congrès de
Rome
, écrivait l’officieuse feuille viennoise, n’était
écier l’importance d’habiles comédies. Nous admettons que ceux qui, à
Rome
, se donnaient pour les représentants des national
pu s’apercevoir que si, parmi les hommes que réunissait le Congrès de
Rome
, tous n’étaient pas, avant la guerre, de hautes a
. Le 16 mai, en effet, un congrès réuni à Prague répondait à celui de
Rome
. L’occasion en fut fournie par le cinquantenaire
gement aux vaillants Tchèques et sceller le pacte d’alliance conclu à
Rome
. Le Dr Kramar, que l’amnistie de l’an dernier arr
st Altino, située au carrefour des deux voies de communications entre
Rome
et l’Illyrie : la voie Émilienne et la voie Claud
ait le centre commercial, agricole et militaire le plus important que
Rome
possédât sur le littoral adriatique entre Ravenne
no-magyar, était d’élever le « querriegel » qui le couperait en deux.
Rome
, Paris, Londres et Washington n’avaient qu’à s’en
ants de l’Italie et de la Yougoslavie. Ce Congrès devait avoir lieu à
Rome
; et M. Torre se chargea, au nom des organisateur
Slovènes, Polonais, Croates, Bosniaques. Aux séances qui se tinrent à
Rome
les 8, 9 et 10 avril, assistèrent des délégués de
politique de l’Italie avait été guidée par la logique, le Congrès de
Rome
eût dû avoir lieu il y a deux ans. Il aurait été
e l’Idea Nazionale du 12 avril a apprécié les résultats du congrès de
Rome
. D’autres journaux ont fait des réserves, et ont
rop vagues les articles du nouveau pacte qu’on a appelé « le pacte de
Rome
». Après la période de froideur, il était cependa
ationales. Mais que dire de la liberté qui, au xve siècle, régnait à
Rome
! Lorenzo Valla, qui niait la patrie, se moquait
, insultait le pape, ravalait Aristote, raillait les ordres, vivait à
Rome
, vanté, acclamé, professeur, chanoine et curial.
ent la louve du Capitole. Mais celle-ci a été offerte à la commune de
Rome
par la ville de Tarente. Ainsi à Tarente, il y a
un tour dans les Giardini del Peripato, elle a trouvé à s’embusquer à
Rome
même, sur le Capitole ! Mais qu’elle n’oublie pas
mûr pour se gouverner lui-même. Ces sages paroles seront entendues à
Rome
. Elles l’ont déjà été en Autriche même où, il n’y
ma voix au Sénat pour la belle guerre. Quel spectacle sublime ! Notre
Rome
exultante, enivrée de la passion de l’héroïsme de
Europa e la Nuova, qui résument les opinions du célèbre historien de
Rome
sur les causes et les caractères de la guerre.
Bologne, Zanichelli. — A. Galletti, L’Arte e la poesia di G. Pascoli,
Rome
, Formiggini Giovanni Pascoli, six ans après sa
vues nouvelles : La Rivista di Milano (Milan) ; la Rassegna Italiana (
Rome
), dans le genre de la Nuova Antologia ; la Raccol
ns le genre de la Nuova Antologia ; la Raccolta (Bologne) ; Ars Nova (
Rome
) ; Lo Specchio dell’ Ora (Rome) qui sont maintena
ia ; la Raccolta (Bologne) ; Ars Nova (Rome) ; Lo Specchio dell’ Ora (
Rome
) qui sont maintenant les seules jeunes revues qui
our Bidernuccio. 15. Libreria della Voce, Florence. 16. Athenæum,
Rome
. 17. N° du 7 avril 1917. 18. Nous empruntons ce
son âme s’était ouverte ? Archéologie, voyages. René Schneider :
Rome
, Hachette, 3 fr. 50 Charles Merki. Tome LXVII,
travail qui fut très goûté sur l’Ombrie, vient de publier à propos de
Rome
, je dirais volontiers : c’est un livre de déducti
tions. M. Schneider a cherché à déterminer la physionomie complexe de
Rome
à travers l’histoire et les œuvres. Il a su voir,
l’âme romaine où les traditions s’amalgament, il n’y a souvent qu’une
Rome
dans le bloc de briques ou de pierres où chaque â
s épisodes successifs et une évocation chaude, colorée, vivante de la
Rome
de tous les temps. Les tableaux sont des commenta
in, l’Anthologie en Marbre, le Mont Testaccio, le mur d’Aurélien ; la
Rome
chrétienne avec les souvenirs de sainte Hélène et
’histoire, de l’art, des lettres et des mœurs, aux âges successifs de
Rome
, il suppose des avantages à peu près semblables c
éveloppe et s’affaisse dans l’énorme désharmonie bureaucratique de la
Rome
moderne. Le rythme global, l’âme du milieu, est p
e d’Eschyle, et accompli le miracle de la faire jouer intégralement à
Rome
, nous présente avec Roi Lear une œuvre parfaite.
e la littérature nouvelle. — Luigi Siciliani : Rime della lontananza.
Rome
. W. Modes. — G. Rensi : L’Immoralismo di Nietzsch
e. — Andolfi Otello : E’ un altro libro di Versi. La Vita Letteraria.
Rome
. — Sante Bargellini : Novelle d’arte. E. Voghera.
ta Letteraria. Rome. — Sante Bargellini : Novelle d’arte. E. Voghera.
Rome
. — Guido Falorsi : Firenze brutta. F. Lumachi. Fl
Pensiero latino ». Milan. — Raffaello de Rensis : L’Anima d’un Poeta.
Rome
. — Raffaello de Rensis : D. Lorenzo Perosi. Rome.
L’Anima d’un Poeta. Rome. — Raffaello de Rensis : D. Lorenzo Perosi.
Rome
. — Giuseppe Rensi : La Morale. Rivista de Bologne
e littéraire des deux pays. Giovanni Cena : Homo. Nuova Antologia.
Rome
Le dernier volume de M. Giovanni Cena, Homo, c
mes. Fausto Maria Martini : Panem nostrum. Cromo-Tip. Commerciale,
Rome
. — Domenico Trombetti : Eclogarium. « La Vita Let
iale, Rome. — Domenico Trombetti : Eclogarium. « La Vita Letteraria »
Rome
. — Luigi Siciliani : Corona. W. Modes. Rome. — Am
m. « La Vita Letteraria » Rome. — Luigi Siciliani : Corona. W. Modes.
Rome
. — Amalia Guglielminetti : Virgini Folli. Soc. Ti
a, où, au nom des Grands classiques méditerranéens, de la Grèce ou de
Rome
héroïque, il veut opposer à toutes les imitations
ciance et de volonté joyeuse. Memento La jeunesse littéraire de
Rome
a perdu deux des siens, morts en pleine éclosion
ani. Ferrare. — P. Orano : Herbart, Roma, « I Diritti della Scuola ».
Rome
— Giuseppe Baracconi : Venere (orné de 43 reprodu
asto inganno (la Résurrection des maris. Étude critique), E. Voghera.
Rome
— G. P. Lucini : Ai mani gloriosi di G. Carducci,
ait encore la langue de l’Orient. Dans le reste de l’Italie et même à
Rome
le séjour d’Érasme fut moins fructueux : il ne se
gueuses féeries des maîtres de la Renaissance. Et cependant Florence,
Rome
, Rimini, Ferrare, Urbin se le disputèrent. Que re
se seulement, au sortir de l’atelier du vieux Veneziano ; puis, c’est
Rome
où Nicolas V, ce grand bâtisseur, lui fait peindr
Église et excommunié par le pape, à la solde de Sienne, de Naples, de
Rome
ou d’Aragon, de deux et de trois à la fois, tromp
inît par y rester. La cause était futile, sans doute : une dépêche de
Rome
publiée dans la Gazzetta di Venezia, que le comte
it ses journaux, Il Secolo et Don Chisciotte, l’un à Milan, l’autre à
Rome
, de lettres politiques hérissées de pointes, de s
émoins se rencontraient à la Villa Cellere, hors de Porta Maggiore, à
Rome
, dans un endroit délicieusement pittoresque. À tr
comte de Richemont4 qui explorèrent laborieusement les catacombes de
Rome
, le savant abbé en tira un traité d’histoire reli
que les premiers chrétiens n’étaient point uniquement la populace de
Rome
; qu’il y avait parmi eux des patriciens, des hom
es premiers papes et sur les martyrs, et la suprématie de l’église de
Rome
déjà acceptée par le monde chrétien. — Il faudrai
le présent livre reste des plus estimables. Les chapitres consacrés à
Rome
souterraine et aux découvertes de la commission d
tirage quelques planches donnant la topographie des catacombes et de
Rome
chrétienne aux premiers siècles. — Mais ne serait
el-Ange, mais les géniaux bâtisseurs qui avaient peuplé de merveilles
Rome
, Florence, Milan, toutes les villes de la péninsu
iqué, comprenant qu’elle « immortaliserait son nom », qu’il sculpta à
Rome
, qu’on fit venir de là-bas au prix de mille peine
du Loir, grand ami de Nicolas Poussin, qui avait été plusieurs fois à
Rome
et y avait inévitablement rencontré le Cavalier,
apes, ceux des princes souverains qui se sont trouvés sur la route de
Rome
à Paris ; mais, il faut faire pour un roi de Fran
livres par an et du brevet de 1.200 livres pour son fils. De retour à
Rome
, il déclarait à Beneditti qu’il avait reçu plus e
oire, par le comte Desbassayns de Richemont, 1869 ; Les Catacombes de
Rome
, par le comte H. de l’Épinois. 5. Cf. Les Actes
psius, Les sources de la légende relative au séjour de saint Pierre à
Rome
, 1872 ; et E. Zeller, La légende de saint Pierre
me, 1872 ; et E. Zeller, La légende de saint Pierre premier évêque de
Rome
, trad. Marchand, 1876. 6. Pour le bien prouver,
qu’elles sont fidèles. 11. (1) Le duc de Créquy écrit à Colbert, de
Rome
, le 25 novembre 1664 « Le cavalier Bernin me vint
et jouer le brutal rôle d’un connétable de Bourbon dans le sac de la
Rome
intellectuelle et vraiment catholique par sa magn
croient aux horoscopes. L’Arétin nous apprend que les courtisanes de
Rome
allaient chercher de la chair en putréfaction dan
s Beaux-Arts, des récompenses, des commandes, des gens qu’on envoie à
Rome
ou en voyages, comme le prix des artistes connus
éraire qu’elle attendait. La tragédie de M. Gabriel d’Annunzio a eu à
Rome
un succès éclatant, souligné par l’enthousiasme d
dans une de ces Chroniques consacrée à la jeune poésie italienne : à
Rome
et à Milan, il existe des groupes de poètes qui c
forces poétiques répandues dans la péninsule. La Vita Letteraria, de
Rome
, nous a montré surtout le groupe romain. Mais en
Hachette. — G. Urbani : Il Rosario del cuore, « La Vita Litteraria »,
Rome
. — Eugenia Levi : Cento fra te più belle liriche
piques de ses divers ouvrages […] Des Anecdotes italiennes, tirées de
Rome
, Naples et Florence, un des livres les moins conn
Quiconque a quelque habitude des choses d’Orient sait bien cela. — À
Rome
, où, sous l’Empire, l’orientalisme (qui était exa
iques, curiosités qui évidemment purent bien ne point manquer dans la
Rome
impériale (encore ne faut-il point en donner le m
ns la Rome impériale (encore ne faut-il point en donner le monopole à
Rome
impériale), aussi bien qu’à n’importe quelle autr
x chevaux, de belles voitures, la plus belle d’Italie, marié. A été à
Rome
: le pape lui tendant la main pour la baiser, Lan
nt et l’abandon de la jolie nonne Lucrezia Buti ont amusé Florence et
Rome
. Malgré tant de scandales, on le charge de décore
Venise en 1483, pour y travailler au Colleone. Peut-être alla-t-il à
Rome
, mais il n’y reste aucune trace de son passage. L
lyrisme. Memento Arturo Onofri : Poemi tragici, chez l’Auteur,
Rome
. — Enrico Corredini : Carlotta Corday, Pierro, Na
orday, Pierro, Naples. — Francesco Chiesa : Liriche, Nuova Antologia,
Rome
. — Neera : Les Idées d’une femme sur le Féminisme
Brière, Paris. — Aurelio Ugolini : Viburnia, « La Vita Letteraria »,
Rome
. — Mario Morasso : Domus Aurea, Bocca Frères, Tur
contradictoires qui ont été faites au dernier Congrès de psychologie (
Rome
, 1905) par Paul Flechsig, de Leipzig, Mingazzini,
ai 1908, p. 315-321 [318, 319]. Fernand Laudet : Souvenirs d’hier :
Rome
, Gascogne, Perrin, 3,50 [extrait] Dans ses Sou
Dans ses Souvenirs d’hier, M. Fernand Laudet a évoqué le passé de
Rome
, — car Rome est avant tout le passé — mais au has
Souvenirs d’hier, M. Fernand Laudet a évoqué le passé de Rome, — car
Rome
est avant tout le passé — mais au hasard de ses p
talienne contemporaine. Francesco Chiesa, Liriche. Nuova Antologia,
Rome
J’ai déjà écrit ici même sur un poème vaste et
ts, très noblement. Aurelio Ugolini : Viburna, La Vita Letteraria,
Rome
Je regrette de ne pas pouvoir associer ma symp
Streglio, Turin. — Umberto Fracchia : Le Vergini, Casa Ed. Centrale,
Rome
. — Felice d’Onufrio : La famiglia Rondani, roman,
. Nazionale, Turin. — Nicola Allevato : Germogli, La Vita Letteraria,
Rome
. — Pignatelli di Monteroduni : Il Santo misterios
grande utilité à ceux qui s’inquiètent de visiter les vestiges de la
Rome
antique. Les Revues Charles-Henry Hirsch. T
XXIV, numéro 267, 1er août 1908 Les Journaux. Les Stendhaliens à
Rome
(Le Temps, 17 juillet) R. de Bury [Remy de Gour
Gourmont]. Tome LXXIV, numéro 267, 1er août 1908, p. 524-528 [526].
Rome
n’est pas tout à fait ingrate à Beyle. On pense à
t habitées. C’est ainsi que près de la place Colonna, sur le Corso, à
Rome
, une belle inscription sur marbre évoque le nom d
e artère de la cité. Or, chose curieuse, l’auteur des Promenades dans
Rome
, de Rome, Naples et Florence, de l’Histoire de la
de la cité. Or, chose curieuse, l’auteur des Promenades dans Rome, de
Rome
, Naples et Florence, de l’Histoire de la peinture
tense pour les hommes et les choses de la péninsule, ne possède pas à
Rome
le moindre petit bout de pierre rappelant qu’il a
stueux paysage de la Ville Éternelle que l’auteur des Promenades dans
Rome
a si souvent contemplé. Le premier « dîner Stendh
e il était destiné. Leo G. Sera : Sulle tracce della vita, B. Lux,
Rome
M. Leo G. Sera est un critique philosophe. Sa
nce. — G. Vannicola : Distacco. Liturgia della terza persona, B. Lux,
Rome
. — E. A. Marescotti : L’Orribile fascino, Roman,
Lattes, Turin. — Ettore Magni : Canti nomadi, « La Vita Letteraria »,
Rome
. — Massimo Bontempelli : Costanza, Biblioteca del
istolfi), C. Cassone, Casale. — F. I. Giuffré : Ideali umani, B. Lux,
Rome
. — Giulio Gianelli : Intimi Vangeli, Streglio, Tu
ta, Catane. — *** : Lettere di un Prete Modernista, Libr. Ed. Romana,
Rome
. — Francesco Cazzamini Mussi : Piccole Prose, C.
S. Thomas triomphant. Lorsqu’il dit (Paradiso XI) que Troie, Énée et
Rome
ont été la figure prophétique du saint lieu où si
r, Savonarole ne rêvait rien moins qu’une expédition militaire contre
Rome
. Beaucoup de gens admirent comme prouesse les cla
étendre au nimbe. Le pontificat de Léon X est une date prestigieuse :
Rome
se trouve virtuellement le centre de l’univers ;
our l’infidèle. Luther employa l’image ou plutôt la caricature contre
Rome
. Les amateurs d’estampes connaissent le pape-âne
ères, si ceux-ci les soutiennent, une guerre éclatera entre Vienne et
Rome
. Si les Italiens sont battus, à la paix, non seul
ue fut certainement abusive : considérons le résultat. L’Hégémonie de
Rome
en 1500 offre la même légitimité que celle d’Athè
ruines ne peut se comparer : car l’apogée de la Réforme fut le sac de
Rome
par les Impériaux, en majeure partie luthériens :
ntionnel. Il commença son apostolat, avant d’avoir réfléchi ; il voit
Rome
en visionnaire, il note que les maris italiens so
les raisons. Ibsen regrettait, en 1870, l’entrée par trop bruyante, à
Rome
, des Piémontais qui portaient avec eux la promess
Ferrare, Ravenne, Ancône, Orvieto, Viterbe, etc., jusqu’aux portes de
Rome
. J’ai déjà dit tout le bien qu’il fallait penser
en Légion Sacrée. Histoire. G. Ferrero : Grandeur et décadence de
Rome
. Tome VI : Auguste et le Grand Empire ; Plon, 3 f
, républicain et traditionnel au contraire), examinant la conduite de
Rome
à l’égard de l’Orient, après Actium. Cet Orient d
léopâtre, cet Orient où avait failli se refaire, et cette fois contre
Rome
, la puissance d’Alexandre, n’avait été dissous à
disparition. Se contentant d’étendre sur l’Arménie le protectorat de
Rome
et d’obtenir des Parthes la restitution des aigle
sources d’une telle conquête, la possibilité de fonder la monarchie à
Rome
. Auguste qui, lui, était loin de toute idée monar
provinces occidentales, forme l’essentiel de l’histoire extérieure de
Rome
durant la dernière période du gouvernement d’Augu
ntinuerait à être gouverné par des magistrats républicains, choisis à
Rome
par les comices et par le sénat parmi les citoyen
ie cosmopolite,… la fin du monopole politique possédé jusqu’alors par
Rome
, les grandes familles de l’aristocratie sénatoria
t les objets qui se rattachaient à la guerre de Germanie. L’effort de
Rome
, en se portant vers l’Occident, devait contrebala
est dit sur elle ; les unes suivies, en principe, par tous ceux qui à
Rome
avaient le sentiment, plus ou moins platonique, d
tte législation des mœurs conçue dans la manière rigide de la vieille
Rome
républicaine et aristocratique, étaient une de ce
ant, tel quel, cet effort ne fut point sans portée dans l’histoire de
Rome
. Le nouveau volume de M. Ferrero nous apporte sur
nce du gouvernement d’Auguste, on vit encore une fois réapparaître la
Rome
véritable, la Rome classique, celle qui savait si
d’Auguste, on vit encore une fois réapparaître la Rome véritable, la
Rome
classique, celle qui savait simplifier partout le
es dans un sillon. En cet instant même, fermez les yeux et revoyez la
Rome
adorable du Piacere, la figure exquise d’Elena Mu
nci, § 214 et § 132. 30. Mai 1906. 31. Sur Grandeur et décadence de
Rome
, voy. Mercure de France, 15 août 1905, 1er avril
nistrations des monarchies orientales (administrations supprimées par
Rome
), emplies de dignitaires, de courtisans, de scrib
gaie science, l’art des Galls ou coqs. Pietramala (mauvaise pierre),
Rome
, est amplissima et patrie du plus grand nombre de
gibelin sur la pureté du langage de Bologne, sur la honte de celui de
Rome
s’applique à la doctrine. Sans cela, on ne compre
nt l’abrutissement, et en l’espèce l’abrutissement est l’obéissance à
Rome
. In suo turpiloquio sunt obtusi Toscani ne peut
italien de Bologne obtient la palme de la pureté, tandis que celui de
Rome
est tenu pour le pire, si vraiment Pietramala dés
rédéric avait succombé, Henri VII, qui venait de se faire couronner à
Rome
, demanda probablement à Dante un manifeste le rep
péri comme blasphémateur de Moïse, dont Ponce Pilate se moquait fort,
Rome
n’a fourni que des exécuteurs. La sentence fut ju
e-t-il à suivre le patelinage onctueux de ce formidable adversaire de
Rome
et le clignement de l’expression sur l’idée assez
par le vieux chantre du moyen âge. » Le De Monarchia fut condamné par
Rome
; et cela se conçoit, car cette fois, celle-là se
il et de la pauvreté. Car, aux citoyens de la belle et chère fille de
Rome
, Florence, il a plu de me jeter hors de son doux
conséquent ses maîtres ; toute chose qui procède d’un ordre pervers (
Rome
) est pénible, amère ; et comment obéir à un joug
servir. Boèce élève la voix contre ceux qui dédaignaient le latin de
Rome
pour vanter la grammaire grecque. J’affirme qu’on
oulanger de pâtés ». Commencement de l’exode qui devait le conduire à
Rome
. Comment Baldinucci peut-il donner créance au séj
la péninsule. § La déconvenue de l’émigrant fut grande en arrivant à
Rome
: son ignorance de la langue jointe à une gaucher
e, qui a nom Buoncompagni, après avoir été page du marquis de Tassi à
Rome
et lui avoir volé son nom, sans doute en plus de
alères, celles-là même où il aurait dû être. Le retrouver peu après à
Rome
, en train de peindre en trompe-l’œil la Grande Sa
nt, par leurs persécutions, de lasser le Guide, qui s’est enfui. Si à
Rome
on bâtonne, à Naples on tue, et, dans peu, Ribéra
aldinucci, qui relatera : « quant à mon ami intime et proche voisin à
Rome
, le très célèbre Claude Gellée recherchait toujou
ien rarement, d’un heureux croquis à la plume. Voilà sa vie. De cette
Rome
encore prestigieuse du Belvédère à la porte Latin
re à la porte Latine, du « Sépulchre de Néron » au Janicule, de cette
Rome
merveilleuse que le Piranèse restituera magnifiqu
, d’une sûreté, d’une vérité et d’un pittoresque admirables, de cette
Rome
affolante et superbe, Claude n’aura rien vu… Les
e peut mettre personne. Les Romans. Matilde Serao : La conquête de
Rome
, Ollendorff, 3 fr. 50. — Giovanni Verga : Les Mal
r le comte Tolstoï ; Jonathan Larsen, par P. F. Rist ; la Conquête de
Rome
, par Matilde Serao ; le Naulahka, par Rudyard Kip
urer-Kestner, les vrais apôtres de l’humanité. — Gloire à eux ! Et si
Rome
antique est fière de son Horace, la France aujour
mporté un succès éclatant sur toutes les scènes d’Italie, notamment à
Rome
et à Milan. L’auteur la fait paraître maintenant
une fois expédiées les choses de son service il revienne de nouveau à
Rome
à cet effet, au moins pour quelques jours. Que Vo
tte permission en particulière grâce. Et je lui baise les mains. » De
Rome
, le 11 juin 1607. » De Votre Altesse » Le très af
tableau qu’il peignit dans sa manière florentine, avant que d’aller à
Rome
. Il est contemporain de la fresque de San Severo,
e de cet écrivain ; ainsi la Flegrea, à Naples, la Nuova Antologia, à
Rome
, et l’Illustrazione Italiana, à Milan, avaient de
1er juillet 1900 Littérature. Pierre de Bouchaud : Michel-Ange à
Rome
(Lemerre), 1 fr. Robert de Souza. Tome XXXV,
M. de Bouchaud n’a-t-il joint à sa très belle étude sur Michel-Ange à
Rome
les diverses pages d’art de son livre augmentées
nches relatives au Cirque de Maxence, hors la porte Saint-Sébastien à
Rome
, ouvrage sans doute honorable, mais consacré à un
Pille sur le Temple de la Victoire à Athènes et le Temple du Soleil à
Rome
, jardins Colonna ; et c’est à peu près tout ce qu
ce fameux pardon, mais de nouvelles études entreprises à Florence, à
Rome
et à Assise m’ont amené à la conviction que j’ava
écoration de la chapelle élevée par Sixte IV27. C’est à son retour de
Rome
, en 1481, qu’il se lança dans l’écrasant labeur q
nt répondre que le 29 juillet, le soir de l’assassinat, ils étaient à
Rome
; sans doute, mais le Roi, à Monza, s’inspirait d
e. […] Cependant le terme approchait où il allait falloir partir pour
Rome
. Une occasion s’était déjà présentée l’année d’av
anloo a déclaré ceux que vous avez la bonté d’envoyer à l’Académie de
Rome
, et il a fait part en même temps de vos intention
temps vint quand même et, à l’automne de 1756, Fragonard partait pour
Rome
, emportant, paraît-il, un dernier avis de Boucher
à l’Académie de France, au coin de la via Lata et du Corso, en pleine
Rome
. Du logis de la rue Fromenteau à la maison du mar
’une académie de peinture, sculpture et architecture dans la ville de
Rome
, où les fameux ouvrages de Michel-Ange, de Raphaë
« Quand ils sortiront plus avancés de chez M. Vanloo, leurs progrès à
Rome
seront plus sensibles. » Que fait Frago ? Tout d
enir… On vient de trouver une statue de Vénus antique aux environs de
Rome
; on la restaure actuellement ; si vous jugiez à
e et originale ! Parmi ceux avec qui Fragonard devait se rencontrer à
Rome
, Deshayes, Doyen, Pajou, Clérisseau, Bridan, les
ris, avec Fragonard, la tête de l’Académie lorsque Saint-Non arriva à
Rome
. Depuis l’abbé de Choisy, qui passa sa vie habill
âtif, opérer la suprême évolution qui fait le maître. À six lieues de
Rome
, après les plaines arides parsemées de tombeaux r
tre et le forum d’Ostie, et de M. Espouy la Basilique de Constantin à
Rome
; de M. Sortais, des aquarelles et restitutions d
M. Chédanne, enfin, de très belles études sur le Panthéon d’Adrien à
Rome
, d’après les travaux et fouilles de 1891 à 1893.
au m’est venue à l’occasion d’un jeune homme de 15 ans qui roule dans
Rome
, fils d’un boucher, qui semble avoir été fait exp
nombrement des Abbayes et Abbez. Commendataires, Leur taxe en cour de
Rome
et leur revenu. ……………………………………………………… 1758. Poult
un aspect qui soit digne du texte. La publication des Promenades dans
Rome
, avec la reproduction de 24 cuivres de Piranesi,
nous négligeons de vêtir d’habits somptueux. M. Hofmiller a visité la
Rome
actuelle avec le texte de Stendhal à la main et i
illeur argument de sa thèse. Archéologie, voyages. F. Gregorovius,
Rome
et ses environs, Plon, 3 fr. 50 Charles Merki.
rère, la traduction d’un des ouvrages du savant allemand Gregorovius,
Rome
et ses environs, tableaux déjà anciens, car ils v
rtout dans ce livre, parmi des églogues ou des scènes de pèlerinages.
Rome
était encore à ce moment la capitale de la papaut
s plus que des groupes disciplinés, et chantent librement, à Milan, à
Rome
, à Naples, leur volonté moderne de renouveau ; le
aires, je feuilletais les poètes et les philosophes de la Grèce et de
Rome
, des traités de science, sans m’occuper du texte,
mpagne assidue du désir et de l’amour, n’est-ce possible qu’à Naples,
Rome
, Florence ou Venise ou dans les allées désertes d
étrange et la vie aventureuse séduisaient Giorgione. Il avait habité
Rome
, dans sa jeunesse, pendant que le Pinturicchio dé
ent et ses soins à les imiter. Il visita les galeries souterraines de
Rome
et copia les pavements qui sont au-dessus et au-d
cato di Saluto, localités remplies de curieuses ruines. Il retourna à
Rome
pour essayer de peindre des figures et partit sub
911, p. 626-632 [628-629]. M. Jean Carrère, correspondant du Temps, à
Rome
, reconnaît, sous une forme voilée, que l’œuvre de
me l’Abîme. Amedeo Tosti : Nemesi carducciana. Soc. Ed. Nazionale,
Rome
Pendant que des polémiques assez ardentes s’él
lle à regarder. Je ne puis le suivre pas à pas dans ses pèlerinages à
Rome
, à Florence, à Athènes, à Constantinople, etc. […
et Cie). Il traite successivement de l’introduction du culte d’Isis à
Rome
, de la mythologie, de la théologie, de l’initiati
activité incroyable. À peine eut-il coiffé la tiare qu’il entreprit à
Rome
des travaux colossaux, et c’est à ces travaux que
livre : Sixtine Rome, qu’ornent trente-deux illustrations. On voit la
Rome
médiévale disparaître devant la Rome de la Renais
il projetait des travaux plus audacieux encore, tels que ce canal de
Rome
à la mer, dont il est encore question de nos jour
nos jours. Le beau livre de Mr Orbaan reconstruit pour le lecteur la
Rome
de cette époque. Tome XCI, numéro 335, 1er ju
te époque. Tome XCI, numéro 335, 1er juin 1911 Les Journaux.
Rome
vue par Michelet (La Dépêche, 3 mai) R. de Bury
in publie dans la Dépêche de curieuses notes inédites de Michelet sur
Rome
: Rome est fort triste. Elle est remplie de pala
e dans la Dépêche de curieuses notes inédites de Michelet sur Rome :
Rome
est fort triste. Elle est remplie de palais vaste
e vient d’Ancône, à près de cinquante lieues… Le désert commence dans
Rome
: le mont Palatin nourrit dans les immenses fonda
enards qui descendent au Vélabre pour boire à la fontaine de Curtius.
Rome
est encore pleine d’étrangers, comme sous les Emp
i se jette dans le Tibre, comme au temps de Juvénal. C’est la Tamise.
Rome
n’a pas aujourd’hui dans son enceinte un seul hom
uel elle ait donné le jour. Le plus grand statuaire de l’Europe vit à
Rome
et probablement y mourra : c’est un Norvégien (Th
: c’est un Norvégien (Thorwaldsen). Les savants les plus illustres de
Rome
sont des Allemands et des Anglais. Le peuple, à R
lus illustres de Rome sont des Allemands et des Anglais. Le peuple, à
Rome
, ne semble propre ni aux sciences, ni aux arts, n
es ne s’y prêtent pas, il rêve. L’industrie a toujours été médiocre à
Rome
; aussi de tout temps les Romains ont été un peu
tto, à un juif, qui s’en charge. Les routes sont la vraie richesse de
Rome
, puisqu’elles lui amènent des étrangers ; mais le
rce dure depuis des siècles, mais il n’y a pas de marché aux légumes.
Rome
, qui fut à ses débuts un refuge, a conservé des a
ent dans le passé médiéval, mais aussi dans le passé antique, dans la
Rome
semi-chrétienne, semi-païenne, toute meurtrie, du
le lait de la louve romaine, n’est-il pas plus que nous l’héritier de
Rome
? À travers l’histoire, les deux littératures, l’
s ce Salon […]. — De M. Chollet ce sont ensuite des crayons d’Italie (
Rome
, Venise, Porte de l’Arsenal à Naples, Pouzzoles)
nce de leurs vassaux. Ils méditèrent longtemps les moyens de rendre à
Rome
les possessions qu’ils avaient laissé échapper dè
en ruines. Les trésors, amassés par les marquis, prirent le chemin de
Rome
et la ville fut plongée dans le silence et l’oubl
acoches vides des philosophes et des poètes — à Ferrare et ailleurs.
Rome
— Hommes de la Renaissance forme la première part
ic pour la première fois, l’auteur nous trace un tableau vivant de la
Rome
papale qui, pendant deux siècles, fut le foyer d’
les châteaux dominaient de leurs hautes tours crénelées la plaine de
Rome
. Le manque de force et d’organisation de la munic
in de mélancolie ou de recueillement ; Et des mortes splendeurs de la
Rome
païenne, À la chrétienne aller, comme insensiblem
tagés entre les différentes « capitales » de la péninsule, à Milan, à
Rome
, à Florence ou à Naples, on chercherait vainement
méro 340, 16 août 1911, p. 673-694 [679-680]. […] Passons de Berlin à
Rome
, du futur empereur au Souverain Pontife. L’incréd
té le dispute au grandiose ? » et on est volé. […] — Gallus cantana :
Rome
et l’Église, Beaudelot, 1 fr. 25. Le titre indiqu
ure et de perspective. Enfin Donatello a vu et touché les antiques de
Rome
et de Florence, ceux qui restaient à demi enterré
ome XCIII, numéro 341, 1er septembre 1911 La corporation dans la
Rome
antique Paul Louis. Tome XCIII, numéro 341, 1e
341, 1er septembre 1911, p. 36-49. L’histoire de la corporation de la
Rome
antique est aussi longue que l’histoire de l’anti
es d’alimentation, que l’Asie et l’Afrique expédient à destination de
Rome
. Son histoire est celle même de l’artisanat, du t
ffectifs abondants et débordants que les prisonniers furent envoyés à
Rome
par les généraux vainqueurs. Ils étaient répartis
rent une extension de plus en plus marquée. L’évolution économique de
Rome
est intimement liée aux campagnes de rapines et d
a vie du monde impérial. Comment subvenir aux besoins des citoyens de
Rome
même, toujours plus exigeants ? Comment parer à l
terpréter les assertions, parfois un peu sommaires, des annalistes de
Rome
, qui aimaient à assigner à des personnages en vue
une sépulture honorable. Si l’on tient compte de l’importance que la
Rome
primitive attribuait à tout ce qui relevait de la
roupés, ce qui prouve que le travail de ce métal restait ou inconnu à
Rome
, ou en tout cas rarement pratiqué. Un neuvième co
s étrangers aux sécessions du peuple sur les collines des environs de
Rome
, sécessions qui vainquirent à plusieurs reprises
, les scieurs de pierres constituèrent aussi des organismes nouveaux.
Rome
n’eut, du reste, pas le monopole de ce régime, ca
ra ombrageux quand les guerres civiles eurent commencé à ensanglanter
Rome
, et que les chefs d’armée voulurent chercher des
ce régime à tout l’empire, et les documents prouvent que s’il créa à
Rome
la corporation des boulangers, il interdit en Bit
40 % du froment amené d’Asie Mineure ou d’Égypte. Les charcutiers de
Rome
, en compensation de leurs risques, furent gratifi
frait parfois une réelle extension. C’est ainsi que les boulangers de
Rome
avaient des terres en Europe et en Afrique, des b
, comme l’attestent les innombrables constitutions du ive siècle ; à
Rome
en particulier, tout un personnel était préposé à
èvres à Cœsarea, les constructeurs de navires à Arles, les brodeurs à
Rome
, érigèrent des monuments collectifs à leurs membr
s furent ces corporations. Dès Alexandre Sévère, elles atteignaient à
Rome
au chiffre de 32, et certainement leur effectif s
constituer des groupements sur toute la surface de l’empire. Ceux de
Rome
étaient 458 au ive siècle. Ils devaient cuire ch
t avec la Bétique et l’Afrique, en établissant leurs sièges surtout à
Rome
et à Ostie ; les négociants de vins en gros, auxq
surtout furent des centres qui le disputaient presque en importance à
Rome
et à Constantinople. Mais quelque nombreuses que
me XCIII, numéro 341, 1er septembre 1911, p. 170-178 [172-173]. […] À
Rome
, elle arrive dans une humeur à tout massacrer :
passé par le Corso, la via Gregoriana, le Forum d’Adrien, le Forum de
Rome
, nous avons vu les portes de Septime-Sévère, de C
ous y étions. Des statues, des statues partout. Qu’y aurait-il donc à
Rome
, s’il n’y avait pas de statues ? Du haut du Pinci
plus facile à connaître. Deux jours plus tard, elle commence à aimer
Rome
, à en être curieuse. Une quinzaine passe et elle
mensonges. Et plus loin : Du lundi 24 janvier au 10 février 1876 :
Rome
, hôtel de Londres, place d’Espagne. Je jure que t
a Antonio Nibby, 1 vol. grand in-8° de 402 p., 9 gravures hors texte.
Rome
, 1839. « Stendhal a lu ce livre avec grande atten
derniers moments, il s’est toujours préoccupé de ses Promenades dans
Rome
, qu’il devait compléter avec des renseignements n
» « 14 octobre. « Vu la galerie Borghese. Compte 5 et 7 ou 50, 60. Lu
Rome
antique de Nibby, fort estimée par l’auteur du mo
t la lecture est infiniment agréable. Voici qu’après nous avoir donné
Rome
et ses environs, Mme Carrère nous présente Palerm
de ne pas en parler, par respect pour toute son œuvre. Dans l’Hymne à
Rome
, dont il donne lui-même une traduction italienne
sieurs premiers prix aux concours latins internationaux d’Amsterdam ;
Rome
ne lui a octroyé qu’un deuxième prix au concours
t de conquêtes fabuleuses, les origines et les étapes de la gloire de
Rome
païenne et chrétienne, la beauté rayonnante des v
t anéantit à jamais, pour les temps modernes, le pouvoir spirituel de
Rome
. Memento Memento. — Romans et nouvelles :
e cas d’une jeune fille, sarde comme elle, transportée, comme elle, à
Rome
. Le désert, c’est Rome. Les contingences de ce ro
, sarde comme elle, transportée, comme elle, à Rome. Le désert, c’est
Rome
. Les contingences de ce roman sont si strictement
15 octobre 1911). Jean Saint-Martin : « Les Derniers représentants de
Rome
à Avignon et dans le Comtat-Venaissin, Giovio, ar
nople, de Salonique ou de Smyrne à Benghazi ou à Derna. Le cabinet de
Rome
brusqua le débat ; il refusa de continuer la cont
x remparts de Viterbe, dans l’histoire accumulée le long des voies de
Rome
et sur chaque pavé de la plus petite ville. Ce li
e Brooks. La confiscation par l’État italien du Palais de Venise à
Rome
En représailles des destructions commises, au
État italien a décidé de reprendre à l’Autriche le palais de Venise à
Rome
, siège de l’ambassade de cette puissance près le
tes. Une autre revue d’avant-garde, Avanscoperta, vient de paraître à
Rome
. Tome CXX, numéro 451, 1er avril 1917 L
ue des Français (15 février) : M. Jean de Bonnefon : « Aux balcons de
Rome
». […] Tome CXX, numéro 452, 16 avril 1917
i serait l’équivalent de style moderne de la politique horizontale de
Rome
. On peut penser que la politique mondiale de l’av
nc si infortunés, ces vieux Gaulois qui ignoraient l’usage du vin que
Rome
leur enseigna ? Sont-ils si misérables les philos
nirs d’officier de zouaves pendant la retraite de Serbie. On l’a vu à
Rome
tandis que les Ballets russes préparaient leur sa
uvelle des sciences. Le musée de l’Aéronautique sera donc constitué à
Rome
et l’on avait parlé de l’installer au Castel Sain
n au monde. III. À Lodovico di Buonarroto Simoni à Florence. [
Rome
, août 1508.] Très vénéré père. J’ai appris par v
LAGNIOLO. IV. À Lionardo 21 di Buonarroto Simoni, à Florence. [
Rome
, 23 mars 1549.] Lionardo. Je t’ai mis au courant
d’autre pour l’instant. MICHELAGNIOLO BUONARROTI. V. Au même. [
Rome
, 16 août 1550.] Lionardo. Tu m’écris dans ta der
ue te dire à ce sujet. MICHELAGNIOLO BUONARROTI. VI. Au même. [
Rome
, 20 février 1552.] Lionardo. Ces jours-ci avec t
s me le conseillerez. MICHELAGNIOLO BUONARROTI. VII. Au même. [
Rome
, 8 décembre 1554]. Lionardo. — J’ai reçu les pan
arçon. Rien d’autre. MICHELAGNIOLO BUONARROTI. VIII. Au même. [
Rome
, 31 octobre 1556.] Lionardo, mon très cher neveu.
’intention, car un homme me fut mandé en poste pour que je retourne à
Rome
. Pour ne pas désobéir, je me mis en route et reto
ourne à Rome. Pour ne pas désobéir, je me mis en route et retournai à
Rome
, où je suis grâce à Dieu ; et ici nous vivons à l
aider. Comme ton père MICHELAGNIOLO BUONARROTI. IX. Au même. [
Rome
, 25 juin 1553.] Lionardo. J’ai reçu le trebbiano
HELAGNIOLO BUONARROTI. Sur l’art X. À Domenico Buoninsegni,
Rome
. [Carrare, 2 mai 1517.] Messer Domenico. Depu
ur économiser au Pape 2 ou 300 ducats de marbres. Je suis si pressé à
Rome
pour mon travail34 qu’il me faut prendre de toute
arbres destinés à mon œuvre, car il me faudrait ensuite les ramener à
Rome
. Mais il me faut aller tout de suite à Rome pour
ait ensuite les ramener à Rome. Mais il me faut aller tout de suite à
Rome
pour travailler, parce qu’on m’y réclame comme je
prendre un parti. Si cela ne s’arrange pas, je retournerai chez moi à
Rome
. Je n’irais pas à Carrare, parce qu’en vingt ans
GNIOLO sculpteur à Florence. XII. Au cardinal Jules de Médicis, à
Rome
. [Florence, 15 juillet 1508.] Révérendissime M
ra rendre raison. XIV. Au révérendissime Monseigneur de Médicis à
Rome
. [Florence, septembre 1518.] Révérendissime Mo
o Scarfi. MICHELAGNIOLO, à Seraveza. XVI. Au pape Paul III 42. [
Rome
, 1544.] Très saint Père. Comme Votre Sainteté l’
èle et pauvre ami58. XVIII. À messer Tommaso dei Cavalieri 59 , à
Rome
. [Florence, 1er janvier 1533.] Inconsidérémen
dans quelle erreur je fus. On doit tout autant s’émerveiller de voir
Rome
produire des hommes divins, que de voir Dieu fair
iatement je tomberais mort. XX. À messer Tommaso dei Cavalieri, à
Rome
. [Florence, 28 juillet 1533.] Mon cher Seigne
I. À messer Luigi del Riccio65, mon cher Seigneur et fidèle ami. [
Rome
1542.] Messer Luigi, mon cher Seigneur. — Mon am
n peut voir entre la volonté de, puissance de l’Allemagne et celle de
Rome
ou de la France napoléonienne, et sa grande resse
lance au contraire avec celle des Assyriens, des Huns et des Mongols.
Rome
ne voulait asseoir sa puissance sur l’orbis terra
teur. Elle se considère sans doute vis-à-vis des autres peuples comme
Rome
vis-à-vis des barbares, mais outre que déjà il y
romaines M. Gino Calza rappelle quelques usages des maisons de la
Rome
antique. Inquilinus était le locataire et domin
oujours loué entièrement à une personne. De là vient que prospérait à
Rome
le métier de sous-louer : Cœnaculariam exercere.
ntamento, Florence, Tempra. — Corrado Alvaro : Poesie in Grigioverde,
Rome
, Lux Mme Maria Ginanni s’est adonnée dans ses
oc de marbre de 24 tonnes qui sera avant tout transporté à la gare de
Rome
et de là à l’atelier du sculpteur dans un chariot
sont faits chez nous après approbation de la Chambre et du Sénat ; à
Rome
il suffit d’un décret rendu, après proposition mi
e amitié qui l’unissait à M. Salandra, son collègue à l’Université de
Rome
, n’a donc cessé, pendant plus de deux ans, de blâ
tecitorio. Brusquement on annonçait qu’il venait de faire un voyage à
Rome
; il avait réglé quelque affaire de famille, vu M
ut que des velléités de scission. Au congrès officiel du parti tenu à
Rome
en février 1917, la tendance intransigeante, repr
l’Allemagne. Des professeurs allemands enseignaient à l’Université de
Rome
; c’était Beloch qui y faisait les cours d’histoi
naissance, grâce à une circonstance fortuite, du télégramme adressé à
Rome
par le généralissime italien, pour expliquer le d
ie contre l’Allemagne, M. G.-A. Borgese, professeur à l’Université de
Rome
, a cherché d’abord à établir quelle est l’idée qu
ichel-Ange. 22. Femme de Lionardo. 23. Quarante jours environ. 24.
Rome
était menacée par les troupes espagnoles qui, aya
giosi, qui parut de 1901 à 1907, puis fut supprimée sur ordre venu de
Rome
; la « soumission » de ce savant, convaincu de mo
e, je crois, de successeur. La chaire d’« Histoire des religions » de
Rome
fut donnée en 1886 à B. Labanca, et changée en ch
renable pour le temps, et toute l’histoire tragique et mouvementée de
Rome
et du Saint-Siège au moyen-âge s’évoque à l’ombre
e batailleur Jules II, Michel-Ange et Léon X. C’est ensuite le sac de
Rome
par les troupes de Charles-Quint ; le connétable
t et les papes de la période moderne ; la Révolution, l’occupation de
Rome
par les troupes françaises, enfin, en 1871, le de
es, enfin, en 1871, le dernier acte de l’unité italienne, confisquant
Rome
sur le successeur de saint Pierre pour en faire s
e et un jugement, qu’il attribue à Lingay, relatifs l’un et l’autre à
Rome
, Naples et Florence en 1817, par M. de Stendhal,
, ou des réflexions littéraires. Pour ce qui est plus spécialement de
Rome
, Naples et Florence, combien le baron de Mareste
ir rapporté le passage de la lettre envoyée par Stendhal à Crozet, de
Rome
, 28 septembre 1816, où est vantée l’Edinb. Review
, La Casa del Popolo, la nouvelle nièce de Francesco Savarese, etc. —
Rome
, L’Italie, 9 mars. Tome LXXXV, numéro 309, 1e
lement romanesque. Le drame s’est déroulé dans une maison de santé, à
Rome
. Là le mari de la poétesse, un politicien doublé
mémoratives de l’unité italienne, qui auront lieu l’année prochaine à
Rome
, une exposition rétrospective, comprenant plusieu
e. Des représentations devaient être données à Milan, puis à Gênes, à
Rome
, Naples. Les appointements étaient de 7 000 franc
heureuse de revenir en France. Elle l’eût été, si elle avait pu voir
Rome
, et satisfaire ainsi ce désir sourdement et tendr
nt et tendrement caressé. « Sais-tu ce que je regrette de cette belle
Rome
? la trace rêvée, qu’il y a laissée de ses pas, s
ouce toujours si éternellement puissante sur moi, je ne demanderais à
Rome
que cette vision : je ne l’aurai pas22. » Ne s’es
hange, en notant que « Valmore, à l’âge de seize ans, était passé par
Rome
, en allant à Naples23 ». C’est bien de Valmore qu
en passant à Paris. Ici, je suis au fond d’un faubourg, à la porte de
Rome
. Pas une âme ne m’y cherche. Le bruit des cloches
dans les feux du soleil couchant, et nous redescendîmes à la porte de
Rome
, où commence la longue et large rue dans laquelle
fêtes et de toutes les espérances. Nous sommes relégués à la Porte de
Rome
et je vous prie, si vous passez à Milan, dont je
evard expose enfin un bon travail sur la Basilique de Saint-Clément à
Rome
, piètre édifice sans doute, mais qui remonte peut
cle de la ville (iie av. J.-C.). Comme beaucoup d’autres édifices de
Rome
, la basilique de Saint-Clément n’a pas de façade
; le dôme de Pise et la tour penchée, un plafond du palais Farnèse, à
Rome
, de M. L. Hulot ; à Sienne et Florence, de curieu
l’homme blanc. J’irai sans hésiter, en chantant. Le soir qu’arriva à
Rome
la nouvelle de la mort d’Eugène Ruspoli, le senti
l’œuvre de M. Salvatore di Giacomo, récemment transportée de Naples à
Rome
, est intéressante. La langue populaire ne peut ex
’art célèbres », a certes moins de réputation que Venise ou Florence,
Rome
ou Ravenne, parmi les cités d’Italie que visitent
e tant d’hommages et ayant appris par le discours d’un gentilhomme de
Rome
que n’étonnait pas le faste de sa cour —, que le
« Poesia ». — Omero Vecchi : Fiammeggiando l’Aurora, Éd. de l’Auteur,
Rome
. — Corrado Corradino : La Buona novella, poème, T
, « Viandante », Milan. Guelfo Civinini : La Regina, Rivista di Roma,
Rome
. Achille Loria : Malthus, Formiggini, Modena. — E
x d’anges. Brillez, beaux yeux toscans, pleins des douceurs du ciel.
Rome
, Saint-Louis-des-Français — Juillet 1910. Tom
la Méditerranée, en 1833, lorsqu’il visita Malte, la Sicile, Naples,
Rome
, et vit Landor à Florence. Il narre l’impression
sites en Angleterre à Carlyle, à Coleridge et à Wordsworth. Échos.
Rome
à la mer C. F. Tome LXXXVIII, numéro 321, 1er
ant. Aussi, l’entreprise des financiers belges qui voulurent conduire
Rome
à la mer par un chemin de fer électrique nous tou
compagnie belge devait, pour garder ses droits, verser à la Ville de
Rome
, au printemps de cette année, une somme de 10 mil
irent à Rome le Colisée, le Saint-Père et la Vénus capitoline. Être à
Rome
, et aller prendre son sorbet au bord de la mer, q
531-537 [537]. […] Le Correspondant (26 octobre). — Hubert Robert à
Rome
, par M. Pierre de Nolhac. […] Tome LXXXVIII,
Tome LXXXVIII, numéro 324, 16 décembre 1910, p. 676-681 [679-681]. À
Rome
, en sortant de la Chapelle-Sixtine, M. Pierre Jou
t. Cette charmante description y est placée entre celle des ruines de
Rome
, De Ruina Romanæ Civitatis, et la lettre à Léonar
Ugo Ojetti, L’opera morale ed artistica di Antonio Fogazzaro : in-8°,
Rome
, Forzani. — Emporium, rivista mensile, Bergame. —
II Ugo Ojetti : L’avvenire della letteratura in Italia, in-16,
Rome
, Società edit. Dante Alighieri, L. 1. — D. Gnoli
edit. Dante Alighieri, L. 1. — D. Gnoli : Nazionalità e arte, in-8°,
Rome
, Forzani. — Articles de Giosuè Carducci et Giovan
rticulariste, elle devient internationale. Elle s’adresse à Naples, à
Rome
, à Venise, à Milan ; jamais à l’Italie entière ;
sur un sujet charmant, La Pastorale. Ugo Ojetti : L’Onesta Viltà,
Rome
, Enrico Voghera, L. 1 En un agréable petit vol
Le Théâtre des Muses Nous allons avoir en Italie, aux portes de
Rome
, sur les bords enchanteurs du lac d’Albano, un Th
que atti, Milan, Casa Galli. — Ugo Ojetti : L’Arte moderna a Venezia,
Rome
, Enrico Voguera. — Alessandro D’Ancona : Federico
xpression divinement bestiale du sexe et de l’âme. Aligi veut aller à
Rome
, porter son ange de bois comme le fardeau et la s
aussi je te mettrai sur la mule. Et nous irons avec l’espérance, vers
Rome
grande. Et Mila dit : Il faut que j’aille du cô
s ou de loin comme un commentaire musical à l’aspiration d’Aligi vers
Rome
, c’est-à-dire au centre catholique du drame, ne s
s fautes. Et c’est justice. Giovanni Cena : Homo. Nuova Antologia,
Rome
Une production des plus copieuses, en prose et
to Maestrale. Canzone a ballo di Federico Nietzsche. Nuova Antologia.
Rome
. — Luiza Anzoletti : Vita. Nuove Liriche. N. Zani
. Napoli, Caltagirone. — Albert Lumbroso : Le Duc d’Otrante. Forzani.
Rome
. — Albert Lumbroso : Il Processo dell’ammiraglio
— Albert Lumbroso : Il Processo dell’ammiraglio Persano. Frat. Bocca.
Rome
. — Albert Lumbroso : L’Agonia di un Regno (G. Mur
me. — Albert Lumbroso : L’Agonia di un Regno (G. Murat. 1815.) Bocca.
Rome
. — Ludovic Arioste : Roland furieux. Trad. Hector
. — Vittoria Aganoor-Pompili : Esaù-Castel di Zocco. Nuova Antologia.
Rome
. — Vittoria Aganoor-Pompili : Isaia. Nuova Antolo
Antologia. Rome. — Vittoria Aganoor-Pompili : Isaia. Nuova Antologia.
Rome
. — Emporium. (Mars). Santiago Rusinol, Pompeo Mol
bles de Naples et de Palerme, et surtout de Venise, de Florence et de
Rome
. — Le texte présente un tableau d’ensemble de l’I
ortent aux trois grands centres de la péninsule : Venise, Florence et
Rome
, et valent hautement d’être lues. — M. P. Jousset
les âges fut naguère si justement apprécié, se propose de ressusciter
Rome
de la même manière. Le Forum Romain n’est qu’un v
eatro » que Gabriel d’Annunzio pensait élever à Albano, aux portes de
Rome
, sera construit à Castel Gandolfo, toujours sur l
compris la beauté éternelle des grandes œuvres, finit sur un hymne à
Rome
, que d’ailleurs il se plaît étrangement à considé
96, 15 août 1905 Histoire. G. Ferrero : Grandeur et Décadence de
Rome
, tome I : La Conquête ; tome II : Jules César ; P
’action, l’auteur, à propos de l’expansion militaire et mercantile de
Rome
dans la Méditerranée au lendemain de la seconde g
u second siècle avant J.-C., à la suite des premiers grands succès de
Rome
. Il pousse hardiment dans la voie suggérée par ce
andirent bientôt, et les entrepreneurs devinrent vite plus nombreux à
Rome
et dans les villes d’Italie, jusqu’à former une c
andes fortunes. » Cette préoccupation du développement mercantile de
Rome
parallèle à son développement militaire revient p
orien explique par-là les vicissitudes des institutions politiques de
Rome
, les rapports que les faits sociaux, — y compris
position) un vaste empire et une suprématie militaire11. Il y avait à
Rome
une multitude d’esclaves et d’affranchis orientau
ylla (les temps, il est vrai, étaient révolutionnaires), marchant sur
Rome
en général qui veut garder son commandement par l
ible exemple ? La situation intolérable que lui firent ses ennemis de
Rome
dans les premiers temps de la guerre contre Mithr
tudié ce grand événement en se plaçant, pour ainsi dire, au centre de
Rome
et de ses intérêts politiques et financiers, en c
’est pourquoi les résultats de cette guerre furent si prodigieux pour
Rome
, et, de là, pour la civilisation européenne tout
t lui causa de cruelles déceptions, mais il ne perdit pas son temps à
Rome
, et le ciel d’Italie eut sur son imagination la m
j’étais un soir dans le salon de Mme la comtesse Gaëtani Lovatelli, à
Rome
. Quelques années avant, lorsqu’il était venu, trè
li, à Rome. Quelques années avant, lorsqu’il était venu, très fêté, à
Rome
, Émile Zola fréquentait lui aussi ce salon. « La
exandrine Zola, qui vient chaque année passer une partie de l’hiver à
Rome
, continuait ses visites le jeudi et le dimanche s
tants de la thèse historique de l’auteur touchant le développement de
Rome
et les artisans de ce développement. « Je me per
est Lucullus qui a donné, le premier, ce grand élan à la politique de
Rome
. » Tome LVIII, numéro 202, 15 novembre 1905
eur qualifie de troubles, les neuf dernières ont été vécues par lui à
Rome
où il représentait la France. M. Billot avait été
lui à Rome où il représentait la France. M. Billot avait été envoyé à
Rome
, comme ambassadeur auprès du Quirinal, en avril 1
deux voies suprêmes : la volonté de prédication et l’aspiration vers
Rome
. M. Fogazzaro met aux débuts son héros dans ce ma
ce magnifique nid d’aigle qui est le couvent de Subiaco, non loin de
Rome
. Là je me rappelle avoir vu la stalle où saint Fr
ervezato : Piccolo libro degli Eroi d’Occidente. Ed. La Nuova Parola,
Rome
L’introspection de M. Arnaldo Cervesato, dans
ymptomatique. Alfredo Baccelli : La Meta, Soc. Tip. Ed. Nazionale,
Rome
Les préoccupations scientifiques de notre temp
n temps précis et d’un milieu assez caractéristique : notre temps, et
Rome
. Le « type » qui domine dans le roman Le But est
mo : Un pittore e un poete (E. Carrière), Edition de la Nuova Parola,
Rome
. — Dr. Omar Ben Ali. Un medico nello Harem, Soc.
n est tout à fait pur et plein de grâce : « Celui qui fut mon hôte à
Rome
me vendit une jeune fille. Beaucoup d’années aprè
ylônes égyptiens, les péristyles des temples grecs, les colonnades de
Rome
impériale, et les Cortèges, et les Théories, et l
sation qui fut la première, tenant d’Athènes le génie plastique et de
Rome
le génie politique, où le dogme évangélique se so
Au viie siècle, la tradition de l’art des Icônes passe de Ravenne à
Rome
. Elle trouva là le décor du Haut-Empire, toujours
euve. D’ailleurs, en ce viie siècle, l’iconographie sacrée parvint à
Rome
, non seulement par Ravenne, mais directement, de
description dans Gori, et qui venaient orner les murs des églises de
Rome
, ou servir à des imitations développées. Cette im
umeur envahit les cryptes obituaires. Ce n’était plus le fracas de la
Rome
païenne. Du dehors, du grand soleil, ne venait pa
dans la grave architecture romane. Par rapport aux nations du Levant,
Rome
était le seuil de l’Occident ; elle était, au ixe
ns mon cœur. Qu’on se rappelle que pour elle j’avais quitté Naples et
Rome
avec joie. Je ne lui ai pas dit les choses tendre
s choses tendres et charmantes que je pensais en courant la poste, de
Rome
à Foligno. J’étais tout troublé. J’allais l’embra
llés promener. Pas un bois sur cette montagne. En venant, la nuit, de
Rome
à Foligno, je faisais le dialogue de notre premiè
rier 1912 Histoire. René Pichon : Hommes et choses de l’ancienne
Rome
. Fontemoint et Cie, 3 fr. 50 Edmond Barthèlemy.
études de critique historique romaine, Hommes et choses de l’ancienne
Rome
, nous nous contenterons, vu le manque de place, d
arlé ici même), « les Polémiques de saint Jérôme », « Un historien de
Rome
au xixe siècle : M. Gaston Boissier. » J’arrive
ventin. Ce vieux cratère de Mont Aventin a vomi toute la pourpre dont
Rome
enveloppa le monde. Comment cela ? M. René Pichon
passons à l’hypothèse sociologique), obstinément tenu en dehors de la
Rome
patricienne et officielle (M. Pichon explique com
evint la montagne plébéienne par excellence. Or, comme l’évolution de
Rome
alla de l’aristocratie à la démocratie, dont sort
idées actuelles, de première importance dans l’expansion mondiale de
Rome
, il s’agit, pour un professeur au courant, de le
le, gens qu’il fallait ménager, car ils pouvaient affamer, « ruiner »
Rome
. (Dès le ve siècle avant J.-C. ? Allons donc !)
) — eurent la plèbe dans la main, et ils la jetèrent à l’assaut de la
Rome
patricienne, avec les effets que chacun sait. Si
il passe outre avec cette… intrépidité. Situé tout de l’autre côté de
Rome
, à quelque distance de la ville, près de la voie
ré, — où triompha cependant l’une des plus importantes révolutions de
Rome
. J’ai bien insisté sur ces quelques pages, rédigé
d’un pouvoir démocratico-financier qui, à lui seul, aurait transformé
Rome
. Là-dessus, nos « potaches » et leurs parents de
rands hommes de Plutarque ? De la blague ! C’est la “haute banque” de
Rome
qui a tout fait ! » Nous pensons que cette concep
t suite à un précédent ouvrage, traduit de même par M. Jean Carrère :
Rome
et ses Environs. On y pourra suivre, cette fois e
Barbares, où il reprenait la vision lyrique et épique du monde et de
Rome
, là où les Romains les avaient laissées. L’autre
emblant de théâtre national. Mais un écrivain français qui revient de
Rome
et de Florence, où il vient d’accomplir un voyage
que des littérateurs et des journalistes (toujours !) se montraient à
Rome
et à Florence, heureux que M. d’Annunzio ait fixé
reaucratie ignorant les besoins réels de la population et installée à
Rome
. Pourquoi a-t-on fait de Rome la capitale ? par s
s réels de la population et installée à Rome. Pourquoi a-t-on fait de
Rome
la capitale ? par simple souvenir historique, par
inés ; que ne leur a-t-on conservé leur autonomie ! On n’a pu créer à
Rome
qu’une vie factice. Rome est remplie d’employés,
conservé leur autonomie ! On n’a pu créer à Rome qu’une vie factice.
Rome
est remplie d’employés, de prêtres et d’étrangers
alie à la guerre : ce n’est un mystère pour personne que la Banque de
Rome
, dont la clientèle est composée de gros capitalis
re très florissant : on sait que l’Afrique envoyait beaucoup de blé à
Rome
. Sur la mosaïque de l’édifice sont figurés deux n
ement exproprié par le Souverain romain. L’esprit municipal qui, dans
Rome
, s’était dressé contre Innocent III était celui-l
qu’au patriotisme, soulevait le Florentin contre la tyrannie venue de
Rome
et le rangeait avec l’Empereur. Il n’y avait pas
es politiques. M. Monicelli a été en effet pendant quelques années, à
Rome
, un socialiste militant avec ardeur dans le journ
belle. Clarice Tartufari : Il giardino incantato, Armani et Stein,
Rome
Mme Clarice Tartufari, dans Il Giardino incant
on. Palerme, — Vittorio Marvasi : Afrodite. Inni. Casa Ed. Nazionale.
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. — Luigi Siciliani : L’amore oltre la morte e alt
Guido Aureli : La politica di Leone XIII. Bontempelli et Invernizzi.
Rome
. — Domenico Orano : Come vive il popolo a Roma. E
manière de Corot : La Trinité-des-Monts vue de l’Académie de France à
Rome
, peinture sobre et fine, toute baignée de lumière
position de 1889, et un petit Géricault : La Course des « barberi » à
Rome
. Nous voudrions pouvoir jouir sans arrière-pensée
a péninsule. Ercole Rivalta. La Scalata. Bontempelli e Invernizzi.
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Je ne sais si M. Ercole Rivalta connaît un rom
anese. Milan. — Vittorio Marvasi. Afrodite. Inni. Casa Ed. Nazionale.
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. — Antonio Rubino. Versi. S. E. L. G. A. Milan. —
— Clarice Tartufari. Il giardino incantato. Novelle. Armani et Stein.
Rome
. — Enrico Pea. Fole. Industrie Grafiche. Pescara.
Una lettera di Lamartine a Giov-Batta Niccolini nel 1846. Tip. Roma.
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. — D. Bufferetti. Giovanni Pascoli. Libr. Ed. Mil
a plupart des touristes français. Les jeunes gentilshommes allaient à
Rome
et à Padoue apprendre l’escrime, la danse, l’équi
, second dans un duel, il tua le baron de Salligny à quatre milles de
Rome
, et le premier de Salligny, le jeune la Vilatte ;
iennes, des catacombes beaucoup plus intéressantes même que celles de
Rome
; certaines parties d’églises comme Santa Restitu
te d’hommes résolus à tout pour obtenir leur autonomie. Le cabinet de
Rome
n’a pas fait bande à part, il y a quelques années
ts avec Constantinople et, par suite, n’avaient adressé au cabinet de
Rome
aucune demande de concours. L’entreprise italienn
p plus haut si on le connaissait, si ses peintures de la Farnésine, à
Rome
, étaient visibles, s’il ne fallait pour admirer s
: Note ed episodi della guerra in Tripolitania. Tip. della Sapienza,
Rome
. — Umberto Angeli : La guerra inevitabile. Lux, R
della Sapienza, Rome. — Umberto Angeli : La guerra inevitabile. Lux,
Rome
. — Lena : Nel Marocco, Treves, Milan. Je signale
toujours, le point de vue de l’écrivain est nouveau. Son contact avec
Rome
est sans cesse fructueux. On lira ces lettres réu
à peu près impossible d’isoler une page d’entre celles inspirées par
Rome
même, en voici une qui traduit avec une singulièr
« puissant et solitaire », qui poussa Néron à l’orgie incendiaire de
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, et Tibère à l’orgie charnelle de Capri, et que c
pitales de la péninsule. Les plus importants, on peut les retrouver à
Rome
et à Milan. Dans cette dernière ville, même ne l’
ntenus et tout intérieurs, d’un groupe de jeunes poètes qui œuvrent à
Rome
, MM. Armando de Santis, Umberto Fracclina, Arturo
, Florence. — Ercole Rivalta : La Scalata. Bontempelli et Tuvernizzi,
Rome
. — R. P. Civinini : Gente do palude. Treves, Mila
ntieri, Milan. — Vincenzo Picardi : Mario Rapisardi. Tipografia Roma,
Rome
. — G. E. Nuccio : Luigi Capuana. Reber, Palerme.
p. 670-672 [671]. Après le Forum romanum, le service des fouilles, à
Rome
, s’occupe de mettre au jour, dans la mesure du po
uestré, délivré enfin par la versatilité du peuple, et qui ne regagna
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que pour mourir. — Pour ceux qui croient à la jus
s différents quartiers. Mais il y a peut-être moins de distance entre
Rome
et Milan qu’entre le Boulevard et la Rive-Gauche.
de renouvellements, fait fraterniser les poètes méridionaux groupés à
Rome
ou à Naples, et les poètes du Nord groupés à Flor
y a une trentaine d’années, d’autres s’étaient groupés de la sorte, à
Rome
. Un éditeur-mécène, qui s’écrasa dans une faillit
te, il me parlait maintenant de ses enfants, de son fils qui vivait à
Rome
, de sa fille. Il s’interrompit : — Au fait, monsi
t. Cette fois-ci nous accompagnons le jeune artiste dans son voyage à
Rome
. […] Lettres polonaises. Kazimierz Chledowski
] Lettres polonaises. Kazimierz Chledowski : Rzym — Ludzie baroku (
Rome
— Homme du barocco), H. Altenberg Michel Muterm
études de la Renaissance italienne. Après Sienne, la Cour à Ferrare,
Rome
— Hommes de la Renaissance, dont j’ai déjà rendu
j’ai déjà rendu compte, il nous donne aujourd’hui un nouvel ouvrage :
Rome
: — Hommes du Barocco. C’est encore un travail d’
s ont réagi les idées philosophiques très anciennes de la Grèce et de
Rome
; nous disons chrétiennes avec intention parce qu
èmes, deux élégies à propos d’un jeune garçon qu’il avait rencontré à
Rome
et que, dit-on, il avait aimé. Qu’il fût arrivé à
st-à-dire quelques salles de café connues et fréquentées pêle-mêle, à
Rome
, à Florence ou à Milan, par des journalistes plus
du sang, on connut la puissance de cette vie… La geste du Tribun de
Rome
est évoquée dans tout le volume avec une semblabl
orth : Gregory the Great, 12 s., Murray Après avoir été préteur de
Rome
, Grégoire, qu’on surnomma le Grand (540-604), emb
Romain avait été transférée des bords du Tibre aux rives du Bosphore.
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n’avait plus guère que 40 000 habitants, et en l’
r Henry H. Howorth retrace l’activité ecclésiastique de cet évêque de
Rome
qui envoya le moine bénédictin Augustin convertir
ui en effet qui fut le premier à soutenir la prédominance du siège de
Rome
, prédominance que ses successeurs ont fait tant d
our chrétien, qui, aux premiers siècles de notre ère, illuminèrent, à
Rome
et à Ravenne, de représentations éclatantes le cl
talie. Le premier établissement d’industrie lithographique fut créé à
Rome
en 1805 par les frères Andreas et Giovanni Dall’A
p. 890-896 [893-894]. Une découverte imprévue a été faite récemment à
Rome
au cours de travaux effectués dans une chambre at
ible, terre-à-terre, et jusqu’à en être terne. Il ne s’émeut guère. À
Rome
, cet humaniste reste insensible. Il n’a rien vu d
ontées à 100 200 fr., alors qu’une autre grande toile, la Campagne de
Rome
, restait à M. Gustave Laffon pour 10 100 francs.
e, Mantoue, Parme, Modène, Gênes, Bologne, Lucques, Florence, Sienne,
Rome
, Naples, Innsbruck, Vienne-en-Autriche, ont livré
semblable ardeur collective faisait frissonner les écrivains réunis à
Rome
, à la librairie de M. Sommaruga, à l’heure où la
courtoisie élémentaire. Certes, à cette époque, si le gouvernement de
Rome
l’eût voulu, le prétexte du coup d’éventail eût é
r Hakki pacha, qui, naguère, avait été le titulaire de l’ambassade de
Rome
. La Turquie rappela Ibrahim pacha et ainsi la Tri
très aidé aussi par cet autre historien américain, M. Nelson Gay, de
Rome
, qui est une autorité pour tout le Risorgimento i
40-148 [140-143, 143-144]. P. Bigot, architecte : Plan en relief de
Rome
impériale (IVe siècle ap. J.-C.) Plus qu’à Ber
oyaume du sable et du vent, je voudrais, cette année, villégiaturer à
Rome
. J’y trouverais, quoique à l’excès sans doute, ce
ysées, l’œuvre admirable de l’architecte P. Bigot : Plan en relief de
Rome
impériale (ive siècle ap. J.-C.). D’éducation, d
C’est ce que je me répétais devant cette saisissante résurrection de
Rome
par M. P. Bigot, c’est ce que je me redisais avec
errero, m’écrit, à propos du Plan de M. Bigot, qu’il a vu et admiré à
Rome
: « C’est une des œuvres les plus originales que
pour une immensité de gens toujours hors de chez eux : vue juste sur
Rome
. Et de plus, s’il était permis d’adresser une lég
e de M. Bigot, ce jeune homme l’aurait formulée. Certes, il y avait à
Rome
assez de monde pour garnir toutes ces immenses bâ
plus monumentales, mais qui ne font que la moitié, en réalité, de la
Rome
totale. Il manque toute une périphérie, grande au
sons-nous, constituer une critique. Toutes les caractéristiques de la
Rome
impériale sont contenues dans les parties reprodu
ou démantelés ?)77, et l’Emporium, au bord du Tibre, passé l’Aventin.
Rome
impériale sans l’Emporium, c’est un peu Londres s
ient), M. Cagnat nous montre la réitération, en grand, du même fait à
Rome
, à mesure que le commerce s’y développa, que plus
gli Albizzi, podestat de Prato, gonfalonier de justice, ambassadeur à
Rome
, dont le palais s’élevait dans le plus aristocrat
pauvre Italien, qui vient dans notre capitale, après avoir vu rouge à
Rome
, pour parler d’or, parmi toutes les grisailles de
ck ». Se souvient-on que ce fatras « licencieux » fut mis à l’Index à
Rome
? Vers 1830, époque où cette publication battait
cette publication battait son plein, ils avaient assez peu d’esprit à
Rome
pour faire cela. À moins que quelque coup de batt
iaillant et sanglotant désespérément. « Cette époque de mon enfance à
Rome
m’a laissé des souvenirs très précis. Les plus lo
me CVI, numéro 395, 1er décembre 1913, p. 604-610 [610]. […] D’abord,
Rome
et l’Islam ; la portée philosophique de la guerre
ttitude de l’Italie, depuis mai 1915 jusqu’à la visite de M. Briand à
Rome
, bien des explications. Si les journaux des pays
leterre et de la Russie, en mai 1915. M. de Bülow, alors en mission à
Rome
, s’appuyant sur un très fort parti neutraliste, a
près la guerre, se feraient sans lui. Le Giornale d’Italia lui-même (
Rome
), qui est quasi-officieux, appuyait en ces termes
que l’ancien président du conseil reviendrait sous peu s’installer à
Rome
, parurent donner corps aux rumeurs répandues de l
yer de nouvelles intrigues, nous pouvons le prévenir que le peuple de
Rome
a toujours le même esprit qu’en mai dernier. Cet
Alliés, tenu à Londres et qui fut suivi d’un conseil des ministres à
Rome
, n’éclaircit pas la situation, au contraire. La S
re de cet État avec ses alliés de la veille, l’adhésion du cabinet de
Rome
à l’Entente ; et pourtant la politique que suivir
force des choses, la réconciliation s’opérait entre les héritiers de
Rome
et de Venise d’une part, et les Slaves du sud de
française (novembre-décembre 1915). […] L’anniversaire de la prise de
Rome
par les Italiens, par A. Aulard. […] Échos. Le
e Mazzini et de Cavour ; puis le cinquantenaire de la proclamation de
Rome
capitale. Ces fêtes, qui unirent vraiment la nati
rera six semaines et comportera des arrêts à Milan, Venise, Florence,
Rome
, Naples et Pise. Chaque groupe sera accompagné pa
ans s’en douter, le contrecoup des intrigues de M. de Bülow, revint à
Rome
avec le programme anti-interventionniste que l’on
indications très sûres : Naples, Venise, Florence Turin, sans compter
Rome
, quelle diversité d’histoires particulières ! Com
ui lui valurent une chaire de littérature allemande à l’Université de
Rome
. La guerre n’a pas surpris M. Borgese. Et comme i
ncien où survivent même les traditions du ve siècle3, a été placée à
Rome
dans le Musée national des Thermes. À l’étrang
Il n’y a pas de doute qu’il appartienne principalement au Pontife de
Rome
, à Celui qui est mandé par Dieu comme suprême int
que sicilien et professeur de littérature allemande à l’Université de
Rome
. On dit qu’il a du talent et qu’il faut beaucoup
he. En 1915, il s’agissait pour l’Italie de reprendre la tradition de
Rome
, de risorgere plus grande et plus forte. Pour M.
eilleuse, renaissant du plus lointain passé, projection moderne de la
Rome
ancienne, vision radieuse rêvant au bord des mers
in quattro atti, di L. Suner. Publications d’art. Julian Klaczko :
Rome
et la Renaissance : Jules II, Plon, Nourrit et Ci
i. Pour compléter cette notice, signalons encore un succès d’estime à
Rome
, pour la même Gioconda ; un public impartial (on
crurent que Verlaine était vraiment pareil à quelque Affranchi de la
Rome
impériale aussi débauché de mœurs que de langage,
liquaires, des pyxes, des images en argent pour la chapelle du pape à
Rome
, des curiosités du moyen âge, fraternisant étrang
ment et d’expression, le sensualisme de la Grèce, la concupiscence de
Rome
, la rêverie du moyen âge avec son ambition spirit
e son voyage jusqu’au sommet de l’étrange tour de Sienne, qui regarde
Rome
, élastique comme un arc recourbé, jusqu’à la plag
première fois, venait les regarder faire. Nous l’apercevons encore à
Rome
en 1514, entouré de ses miroirs, de ses fioles et
de leur fortune. Et cependant voilà que dans la société politique de
Rome
il venait d’être soupçonné d’avoir des sympathies
Milan « dans la petite rue San Maurilio. Stendhal écrit d’elle, dans
Rome
, Naples et Florence (ce curieux livre où il s’occ
our pontificale et des hauts dignitaires de l’Église et d’appeler sur
Rome
la colère céleste. Le pape Alexandre VI l’avait r
n. Ce furent surtout des motifs politiques qui agirent sur la cour de
Rome
lorsque, sous Paul IV, en 1558, on essaya de fair
Les marchands florentins, particulièrement ceux qui étaient établis à
Rome
, devinrent nécessairement adversaires de Savonaro
Chapitre LXVIII Retour de Naples à
Rome
, second séjour à Rome et route jusqu’à Ancône. Je
Chapitre LXVIII Retour de Naples à Rome, second séjour à
Rome
et route jusqu’à Ancône. Je partis (écrit le 20 m
t des Normands qui les fécondèrent si longtemps. L’Italie, tout comme
Rome
, n’a eu que des penseurs, de grands penseurs même
rale, etc., sous le titre : Sulle traccie della vita, B. Lux éditeur,
Rome
. — La maison Ars Regia, de Milan, fait paraître l
urin. — Prof. A. Santi : Il Canzoniere di Dante, vol. II. E. Lœscher,
Rome
. — Luigi Grilli : Il Monito (pour la séparation d
ifficile pour moi. (Astuce, friponnerie et ton naturel du courrier de
Rome
, le même qui avait été saltato la veille de mon a
ier de Rome, le même qui avait été saltato la veille de mon arrivée à
Rome
, 1813.) On demande sans cesse et on a toujours l’
1er janvier 1907 Histoire. G. Ferrero : Grandeur et Décadence de
Rome
, t. IV : Antoine et Cléopâtre ; Plon-Nourrit Ed
capitale. Enfin le but dernier de tout cela était la prépondérance à
Rome
même. Les donations territoriales faites à Cléopâ
. 625-656 [630, 634-635, 638-639, 645]. Marquis Pietro Misciatelli (
Rome
) Il ne me semble pas qu’on puisse envisager sé
ecteur de la Rivista Popolare di Politica, Lettere e Scienze sociali (
Rome
) La question posée est des plus ardues. Je pen
proposent d’honorer les illustres écrivains italiens. Son corps est à
Rome
, tandis que son cerveau vit à Paris, et il voit t
les ont fini par rompere le scatole, par ennuyer le monde. M. Bovio à
Rome
, M. Giacosa à Milan, M. Fradeletto à Turin et bea
rendent ordinairement insupportables les récits de voyage. L’Italie,
Rome
, Florence, Venise, et toutes ces petites villes q
Vox Urbis, Kal Maüs) On lit dans Vox Urbis, journal latin publié à
Rome
: « Latinorum conventus Romæ die XVI Aprilis an
harmonie là-bas où débarqua un jour son ancien fils avec le destin de
Rome
… » Ce vœu, de voir la Madone enfoncée par Vénus,
Fontainebleau, la grande Catherine à Saint-Pétersbourg, Benoît XII à
Rome
, Joseph II à Vienne, Frédéric le Grand à Sans-Sou
sse, — les corbeaux », une nouvelle méthode de gagner à la loterie de
Rome
, des recettes parmi lesquelles une longue liste i
s les villes régulières, Turin, Nancy, Lille, Windsor. J’aime Venise,
Rome
, Florence, Milan, Constantinople, Gênes. » Puis,
nt l’encre presque toujours fraîche. Elles viennent de Venise, Paris,
Rome
, Prague, Bayreuth, La Haye, Gênes, Fiume, Trieste
5. Voir Charles Henry : les Connaissances mathématiques de Casanova,
Rome
, 1883. 6. Voir Mémoires, IX, 221 et seq.
évrier, Papini et Soffici, à l’occasion de la grande manifestation de
Rome
, où le premier prononça un discours qui fit beauc
emarquée et entraîna bientôt d’autres conversions. Les expositions de
Rome
, de Florence, de Paris (sculpture de Boccioni) et
de Boccioni) et de Londres ; les derniers meetings, très orageux, de
Rome
, de Florence et de Milan, ont forcé les milieux i
a furlana, après un aussi auguste lancement, sera demain adoptée dans
Rome
, et elle fera bientôt son tour du monde. Déjà, da
valier Pichetti, directeur de l’académie de danse, qui fait fureur, à
Rome
, a fait venir toutes les variations de la musique
le directeur des Offices ; l’exposition triomphale à Florence, puis à
Rome
, puis à Milan ; le retour à Paris, que certes nou
squ’ils se sont abandonnés, après mille luttes stériles, au charme de
Rome
, ils entrevoient enfin le bonheur. Œuvre tourment
e m’ennuie ! Depuis quatre jours Théodore est à Paris, à Londres ou à
Rome
, Je suis avec Tebaldo. J’errais en gondole ; la m
14 Archéologie, voyages. Christian Beck : Le Trésor du Tourisme,
Rome
et l’Italie Méridionale, Mercure de France, 3,50
ici encore le deuxième volume d’une anthologie déjà signalée3 ; c’est
Rome
et l’Italie Méridionale (Rome, Naples, la Sicile,
d’une anthologie déjà signalée3 ; c’est Rome et l’Italie Méridionale (
Rome
, Naples, la Sicile, la Sardaigne, Malte) d’après
s — et des extraits divers. Les plus intéressants du reste concernent
Rome
, ses antiquités, ses églises, et nous retrouvons
r. — Il y a une très belle lettre de Chateaubriand sur la Campagne de
Rome
; l’Éruption du Vésuve en l’an 79, racontée par P
…] À l’étranger […] un coin du théâtre de Marcellus et le Panthéon de
Rome
, par M. H. Fitton ; de beaux paysages de Venise,
rique (mai-juin 1914). […] A. de Boicard : La suzeraineté du pape sur
Rome
aux xiiie et xive siècles. […] Annales révolut
ie a le respect du droit et de la justice ; le droit a été instauré à
Rome
d’où il a rayonné sur le monde civilisé, et c’est
ginales de la jeune génération, s’est dédoublée récemment et publie à
Rome
une édition politique dont j’ai sous les yeux les
guerre actuelle. Henri Welschinger : La Mission du Prince de Bülow à
Rome
. Bloud et Gay, 0 fr. 60 Edmond Barthèlemy. Tom
brochure de M. Henri Welschinger sur la Mission du Prince de Bülow à
Rome
(décembre 1914-mai 1916) montre la suite d’altern
la Triplice. L’érudit publiciste juge ainsi le rôle de M. de Bülow à
Rome
: « Le prince s’était chargé, non seulement de ma
n à Valona, coïncidant à peu près avec l’arrivée du prince de Bülow à
Rome
, n’annonçait pas, en effet, des négociations très
d’une essence spéciale, puisqu’il invoque sans cesse la raison contre
Rome
tout en escaladant les sommets de l’illuminisme à
es à chaque âge n’équivaut pas à une conclusion sur la décrépitude de
Rome
qui se prétend éternelle, qui ne se sent pas viei
Paliliæ, qui est célébrée le 21 avril en souvenir de la fondation de
Rome
. Il paraît en effet, selon M. G. Tommassetti, que
du Rédempteur celle d’Hercule, précurseur divin dans la fondation de
Rome
. La même église de la maison d’Auguste fut le san
vroche que les barnums d’art ont promenée à travers toute l’Europe, à
Rome
, à Vienne, à Londres, à Paris, — cette tête narqu
en exécutant la médaille commémorative de l’Exposition, il part pour
Rome
. Un bronzier lui a fondu à crédit quelques épreuv
Mallarmé ». S’il est possible de se figurer à Turin, Milan, Florence,
Rome
ou Naples, à quel point, vue de la rue de l’Échau
s cheveux rouges. Sans sortir de la nature, la figure de M. N.-S. (de
Rome
) donnait sur-le-champ un meilleur Judas. Celle du
les conversations les remplacent. (On appelle ainsi les assemblées à
Rome
et à Naples. 1813.) Les Napolitains sont très sou
présence et le souvenir de Mme P., je préférerais Milan à Naples et à
Rome
. Grosseur et grandeur énormes de pins et de lauri
rale boulevardière. En attendant la renaissance, illusoire ou réelle,
Rome
s’apprête à monter avec une troupe scénique excep
de la neve. Nouvelles et légendes hébraïques, « La Vita letteraria ».
Rome
. — Salvatore Farina : Il Tesoro di Donnina. Soc.
[350]. Notons, enfin, une précieuse acquisition du Musée National de
Rome
. Le gouvernement italien vient de se rendre acqué
aldassare Labanca. Professeur d’histoire religieuse à l’Université de
Rome
La question posée dans votre lettre s’impose à
▲