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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
nées auparavant, mourut aussi une des plus gigantesques figures de la Renaissance  : Ludovic le More. Si la recherche des restes d’u
à son génie. Ludovic fut le type le plus parfait du « Prince » de la Renaissance . Il eut au plus haut degré tous les attributs d’o
tait sa cour milanaise, où toute l’étonnante « poussée de vie » de la Renaissance pouvait éclore avec joie, où quelque superbe géni
chel-Ange imposait à l’admiration des premiers grands forgerons de la Renaissance , les superbes Humanistes, son masque de roi mécon
e put s’épanouir avec un éclat qui reste presque unique dans toute la Renaissance . L’amitié que lui témoigna Ludovic le More ne fut
ale, l’autre seigneuriale, de la même poussée humaine qui engendra la Renaissance , demeurent donc liées d’une manière toute particu
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
olume. Jacob Burckhardt : La Civilisation en Italie au temps de la Renaissance , trad. M. Schmitt, 2 vol. Paris, Plon, 7 fr. O
professeur bâlois, auteur de la Civilisation en Italie au temps de la Renaissance . Dans la solitude de sa pensée, alors que personn
deux volumes de l’excellente traduction de la Cultur im Zeitalter der Renaissance que M. Schmitt, professeur au lycée Condorcet, a
composition du poète, l’évocation de Jacovella, la jeune femme de la Renaissance , qui joua du luth devant Raphaël, et que le poète
si tu es morte : le vent De l’art ne gonfle pas deux fois Ta voile, ô Renaissance  ; Le vent qui maintenant caresse La chevelure fum
3 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
de Florence ; Cosme l’Ancien fut le Constantin du néo-platonisme. La Renaissance nous a légué de si belles images qu’elles ont fai
quelques clartés dans l’histoire de l’art à Florence, au début de la Renaissance . On découvre de nouveaux noms, comme ce Francesco
l’ogive arabe, le gothique allemand, le gothique italien, l’art de la Renaissance se mélangent sur les palais du Grand-Canal. Plus
e en général et la floraison surprenante de l’art aux approches de la Renaissance . Variétés. Les deux Saül Ricciotto Canudo.
légitime en nos temps. Ces pages ne tendent pas à une apologie de la Renaissance , mais à une œuvre d’équité à rendre à chacun sa p
rendre à chacun sa part de responsabilité. Je ne prétends pas que la Renaissance ait été sans reproche, ni même bonne, mais elle a
paganisme, mais de l’humanisme. Le Moyen-Âge jura par Aristote, et la Renaissance par Platon. Malgré que le Stagirite croit la mati
plan admirable ; et une citation suffira à montrer que l’esprit de la Renaissance florissait déjà au xiiie  siècle et s’exprimait c
tèmes et c’est ce choix que j’appelle la véritable philosophie. » La Renaissance se trouve donc formulée par l’auteur des Stromate
mble commander à tous, Marsile Ficin. Voilà le groupe principal de la Renaissance  ; on y chercherait vainement un hérétique. Le cha
yale et digne figure se place celle de Savonarole, l’adversaire de la Renaissance , puisque les protestants l’ont revendiqué, comme
purement esthétique, n’en gêne pas moins la critique. Le procès de la Renaissance doit être jugé devant le bûcher de la place de la
is qui osera contester qu’il fallait alors une papauté humaniste ? La Renaissance eut son Voltaire, Érasme de Rotterdam. Ce nordman
légué un « Christ au Limbes », délicieux cantique. Trois poètes de la Renaissance servent à justifier la fameuse accusation de paga
recherche. Si on embrasse l’ensemble du mouvement intellectuel de la Renaissance , on découvre d’abord un fait considérable : la la
e les textes sacrés pour d’autres, souvent profanes. Les hommes de la Renaissance italienne n’ont pas la puérilité de juger un syst
sputa furieusement et ne raisonna jamais. L’œuvre philosophique de la Renaissance ne préparait nullement le protestantisme : la doc
ilosophie comparée qui fleurit sous les Médicis. C’est précisément la Renaissance , tant calomniée, qui rendit la réforme inutile :
che des lisières dogmatiques et, remarquons-le, sans les déchirer. La Renaissance ressuscita la tradition ; elle ouvrit la gentilit
rrêt et jamais pour le pouvoir d’impulsion. En est-il donc ainsi ? La Renaissance n’est-elle pas un fait historique ? N’est-elle pa
ses dispositions à l’égard de la tendance qu’il met ici en jeu : « La Renaissance italienne, dit-il, cachait en elle toutes tes for
iques, et est-il besoin de rappeler l’admiration de Nietzsche pour la Renaissance  ? Le Protestantisme est-il un fait historique ? E
ls, comme « manifestation contre nature », dira Nietzsche ? Contre la Renaissance , énonce-t-il, « s’élève alors la Réforme allemand
du Protestantisme est connue au même titre que son admiration pour la Renaissance et si ces deux sentiments se trouvent ici groupés
ensemble soit bientôt publié sur l’artiste. Échos. Nietzsche et la Renaissance [extrait] Jules de Gaultier. Tome LXXV, numéro
r voir d’impulsion contre le pouvoir d’arrêt. Reste la question de la Renaissance . M. Dumur apporte sur ce point quelques citations
— mais sur un point particulier, limité et défini du mouvement de la Renaissance , sur la signification de ce mouvement, on ne saur
s le numéro du 16 septembre et dont voici de nouveau la teneur : « La Renaissance italienne, dit Nietzsche, cachait en elle toutes
n pour l’apparence et le simple semblant. » Ici Nietzsche apprécie la Renaissance au point de vue de sa signification dans l’ordre
, Verrocchio, p. 109. 13. Eugène Müntz, Histoire de l’Art pendant la Renaissance , t. III, et Léonard de Vinci. 14. Dans les derni
4 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
intelligent pour admettre la sincérité d’un enthousiasme touchant la Renaissance latine ; vous savez, ayant lu Tolstoï, Nietzsche,
s’affirment uniques, personnels et entiers. Alors la prétention d’une Renaissance latine se dévêt et la voici nue : joujou mal fait
rde à l’étrange sensation de l’Idée qui lui souffle dans les cheveux… Renaissance latine : la volupté pure et simple, la beauté pla
fe dans les gorges les sanglots de la joie et les cris de la haine ?… Renaissance latine ! Ainsi c’était vous, Monsieur, qui du fon
la tête du cortège : nous célébrerons dignement les funérailles de la Renaissance latine. Pour ce que l’on vous reproche ? Non ; c’
5 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
propice à l’inspiration des trois maîtres les plus éblouissants de la Renaissance , a été proclamé la seule vraie, la seule bonne éc
clairement dans cette question du Beau. N’y a-t-il pas eu — avant la Renaissance  — d’hommes sentant et pensant ? n’y a-t-il pas eu
our but. Il est donc impossible et même révoltant de dire qu’avant la Renaissance il n’y ait pas eu d’art2. Cet art, puisqu’il y en
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
le Moyen-Âge avec la basilique de l’Ara Coeli. Et nous arrivons à la Renaissance , qui fut une période agitée, de vie forte, efferv
40 francs et comprenant, outre des sculptures et des majoliques de la Renaissance , 646 tableaux, pour la plupart des écoles italien
7 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
e jouée avec le décor et la magnificence digne de l’art italien de la Renaissance . Ces circonstances exceptionnelles peuvent compte
is c’est la jolie théorie des six sœurs Anguissola, qui traversent la Renaissance comme un clair rêve de féminité supérieure. Quell
ondes (15 mai) : Petit monde d’aujourd’hui, par A. Fogazzaro. […] La Renaissance latine, mensuelle, le 15 mai […]. Un article sur
s. Plus tard, et à bref délai, on vit se suivre les Précurseurs de la Renaissance , le Raphaël, devenu classique, et l’Histoire de l
. « Désormais, il est maître de son sujet, il a son domaine à lui, la Renaissance italienne est devenue sa chose propre : mémoires
vre passionnelle, et que devait compléter une Histoire générale de la Renaissance , allant par la France de l’Italie jusqu’au Nord.
mis, l’écoutaient. Personne ne connut mieux que lui l’Antiquité et la Renaissance . C’est lui, — et ce seul titre à notre gratitude
8 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
atti, di L. Suner. Publications d’art. Julian Klaczko : Rome et la Renaissance  : Jules II, Plon, Nourrit et Cie Yvanhoé Rambo
tes personnalités d’art. Puis, c’est le premier des médailleurs de la Renaissance , en date et en fait. Tous et tout dérivent de lui
til et curieux. Le mouvement du xve  siècle fut double : d’un côté la Renaissance , de l’autre aussi l’avènement de ce qu’on a appel
sa perte5. Savonarole apparaissant à la fin du xve  siècle en pleine Renaissance au milieu du peuple florentin, le subjuguant soud
n. La même année commence le règne du plus scandaleux des papes de la Renaissance , Alexandre VI (Roderic Borgia). Deux ans plus tar
rmi les fameuses « Consultations ». Musique. Théâtre lyrique de la Renaissance  : La Bohème, comédie lyrique en quatre actes, poè
éra-Comique, l’autre vient de pendre très gaîment la crémaillère à la Renaissance , et leurs heureux pères, MM. Puccini et Leoncaval
ays, recevrait le sacre définitif. 1. Voir dans les salles de la Renaissance (collection Goldschmidt), le buste en bois sculpt
9 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
ar l’architecture et recherchés dans les autres arts à l’époque de la Renaissance . À cette période, en effet, l’architecture se fai
l’image grossière de la stagnation des esprits et des formes après la Renaissance . Mais il semble reconnaître dans quelque sommet d
48-665. Qui veut pénétrer au sein même de la vie des Florentins de la Renaissance doit se dégager de la forme sociale actuelle, c’e
ins ambitieuses qu’elle, vivant dans cette atmosphère excitante de la Renaissance , où le désir de vaincre et de dominer s’exhalait
t préparent toute une conception nouvelle de la vie. Il faut juger la Renaissance par son action et par ses œuvres : là est la véri
aussi forte, aussi complète, aussi radieuse qu’à Florence pendant la Renaissance . Renaissance ! il n’y a pas de mot qui rende mieu
aussi complète, aussi radieuse qu’à Florence pendant la Renaissance. Renaissance  ! il n’y a pas de mot qui rende mieux l’impressio
ntérêt littéraire, artistique ou historique sont : […] Venice and the Renaissance , […] Græco-roman and Roman Sculpture […]. Lett
Memento [extrait] […] Revue bleue (30 janvier). « La pensée de la Renaissance  », par M. Péladan. « Pages libres » (30 janvier)
d’une remarquable vérité. Parmi les autres œuvres des Vénitiens de la Renaissance , il y avait à noter aussi la Vierge avec deux don
ens nouveaux. Civilisation pélasgique et grecque, moyen-âge chrétien, Renaissance , effort scientifique des temps modernes apparaiss
par le feu du ciel. Il détermine, comme l’a dit Carlyle, une nouvelle Renaissance , mais dans les innombrables pages qu’il continuer
occupations et les curiosités de cette exquise période de la première Renaissance . M. Goloubew a mis à étudier cet art charmant un
M. Corrado Zacchetti écrit en apparence un français plus proche de la Renaissance que de nous : Toi qui fus par le même et sacré s
es emprunts faits à certains aspects de la vie de Florence pendant la Renaissance . Mais M. Sem Benelli écrit des drames en vers qui
iée sous la direction de M. André Michel nous ramène aux débuts de la Renaissance . M. Gaston Migeon y étudie la céramique en Italie
rétin avec un esprit pieux, que le génie du plus grand écrivain de la Renaissance , le plus grand et le plus décrié sans nul contest
ne de l’exubérante sensualité, charnelle et esthétique, de l’opulente Renaissance . Les notes du traducteur ont toute l’importance d
fut à ce point ébloui par l’antiquité qu’il n’a pas vu l’œuvre de la Renaissance . 24. On trouvera dans la Gazette des Beaux-Arts
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
Ville moderne, à travers les demeures des Rois de l’époque de fer, la Renaissance . La vie moderne — dit le poète dans sa lumineuse
tale classique et romantique, évoqués par le poète : le Moyen-Âge, la Renaissance et l’Âge d’aujourd’hui et de demain. Guido Goz
11 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
traduite. Il y a lieu de s’étonner, quand il s’agit de Pogge et de la Renaissance italienne, que M. Pélagaud n’ait pas cru devoir c
i commentée, pourtant, et si souvent travestie. Les Protestants de la Renaissance qui voulurent le ridiculiser ne purent le salir :
tigue, mais on voit en même temps que nous marchons à grands pas à la Renaissance du classicisme le plus pur. Nous ne pourrions pas
12 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
t de pourpre, l’aurore d’un espoir nouveau, la volonté d’une nouvelle Renaissance . Dans la formation inéluctable de fédérations hum
ure qui en Occident ont été révélés tour à tour par les aspects de la Renaissance italienne, et puis par la Renaissance française,
ur à tour par les aspects de la Renaissance italienne, et puis par la Renaissance française, par la Révolution, par l’épopée napolé
13 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
cette épuration de la langue firent négliger les grands poètes de la Renaissance . Mlle de Gournay crut donc qu’en rajeunissant les
lisme de Marx. […] Musique. Musique ancienne : les Chanteurs de la Renaissance [extrait] Jean Marnold. Tome LXXXIX, numéro 32
rincipal, ne me serait-il pas facile d’évoquer la vie de Venise, à la Renaissance , de vanter sa splendeur, de regretter ses plaisir
ôme. Depuis des siècles elle possédait deux œuvres remarquables de la Renaissance italienne : une charmante Nativité de Benedetto G
[643-644, 644, 647]. André Michel : Histoire de l’Art, tome IV : La Renaissance en Italie (A. Colin, in-4°, 10 fr.) Le tome IV
l’Art publiée sous la direction de M. André Michel est consacré à la Renaissance en Italie. M. Michel lui-même y étudie spécialeme
ait été Léo Battista Alberti, se produit la magnifique éclosion de la Renaissance . C’est le temps où le grand architecte Bramante,
ette belle, douce et raisonnable Italienne, de cette fleur déjà de la Renaissance , brisée, elle aussi, sous le souffle de la démenc
autre versant, le versant qui descend vers les espaces lumineux de la Renaissance . Valentine de Milan apporte dans l’Occident noctu
ilosophes et des poètes — à Ferrare et ailleurs. Rome — Hommes de la Renaissance forme la première partie de l’ouvrage dont le deu
is superbe, Mécène brillant, centre et promoteur de l’eta d’oro de la Renaissance , n’était en réalité qu’un simple fantoche qui au
e italien, ce fut l’épanouissement de la Pléiade française ; après la Renaissance italienne, le formidable xviie  siècle de Renaiss
aise ; après la Renaissance italienne, le formidable xviie  siècle de Renaissance française. L’éclat des lettres italiennes au xvii
vec ses chansons sacrées. Au beau milieu du monde pétrarquisant de la Renaissance , c’est l’éclosion d’une admirable pléiade, « une
lus passionnantes qu’alimentent la philosophie et la mystagogie de la Renaissance . Il bat en brèche les idées universitaires, reçue
ion des symboles anciens. Les théories entre les grands esprits de la Renaissance sont les mêmes que celles des plus fameux poètes
par rapport à la Latinité, comme M. d’Annunzio l’est par rapport à la Renaissance . L’un et l’autre ne sont pas de pédants rhéteurs,
plus grands, des plus purs, des plus lumineux peintres de la première Renaissance italienne, plus grand, à coup sûr, qu’il n’est « 
. Jacques Mesnil : L’Art au Nord et au Sud des Alpes à l’époque de la Renaissance (G. Van Oest, 132 p., in-4, 60 planches h. texte,
dans son livre sur l’Art au Nord et au Sud des Alpes à l’époque de la Renaissance , s’est efforcé, de son côté, non point de faire u
lente reproduction dans la version allemande du livre de Gobineau, la Renaissance , édité par Insel-Verlag. C’est un portrait-médail
rsch. Tome XCIV, numéro 348, 16 décembre 1911, p. 823-829 [829]. La Renaissance contemporaine (24 novembre) : — M. Canudo : « Ess
14 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
prégné de ce que l’auteur appelle, dans la préface, le « parfum de la Renaissance  » et qu’on ne respire guère dans l’histoire d’auj
érature. Pierre de Bouchaud, La Sculpture à Rome, de l’Antiquité à la Renaissance . A. Lemerre, in-18, 2 fr. — Le même, La Sculpture
semble vaste comme un monde, la Sculpture à Rome de l’Antiquité à la Renaissance . M. de Bouchaud n’a pas à regretter son audace ;
naît le mieux l’art italien des grandes époques du Moyen Âge et de la Renaissance . Il l’a étudié laborieusement par villes et par r
15 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
emier ordre, un monument unique de la plastique idéale de la première Renaissance  » 6. L’autorité d’un connaisseur aussi éminent (q
, p. 730-734 [731-734]. J.-C. Broussolle : L’Art, la Religion et la Renaissance , essai sur le dogme et la piété dans l’art religi
ue comme un auxiliaire de la foi. Son livre, l’Art, la Religion et la Renaissance , n’est du reste que la réunion de leçons données
avec patience et sagacité, les aperçus du grand encyclopédiste de la Renaissance montrent toute leur portée. Mais d’autre part le
e allait elle-même se métamorphoser et, avec les grands esprits de la Renaissance dont Léonard de Vinci est le type le plus représe
a l’Égypte et la Grèce pour base et le Christianisme pour sommet. La Renaissance a vu le banquier Altoviti, Raphaël lui-même ? le
[…] un commentaire de M. Gaston Migeon sur les bronzes italiens de la Renaissance de la collection Thiers ; l’érudit conservateur n
produite sur lui par les grandes œuvres d’art de l’antiquité et de la Renaissance  ; son court arrêt à Venise, qui ne le séduisit pa
le minute, plein de passion et de clarté tout ensemble ». Par-delà la Renaissance italienne, qui lui avait ouvert l’accès d’un mond
4 100 francs. […] 1. On sait combien sont rares les œuvres de la Renaissance  : l’on ne connaissait jusqu’ici, de cette époque,
16 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
ait de marbre, sauf dans le centre de la pièce, où une mosaïque de la Renaissance , imitation de l’antique, représentait Amphitrite
 214-219 [218-219]. M. Kazimierz Chledowski poursuit ses études de la Renaissance italienne. Après Sienne, la Cour à Ferrare, Rome
sance italienne. Après Sienne, la Cour à Ferrare, Rome — Hommes de la Renaissance , dont j’ai déjà rendu compte, il nous donne aujou
ic et l’on a pu dire (Raffalowich) que, à l’époque des Grecs ou de la Renaissance , « Goethe aurait aimé l’homme et la femme sensuel
d’annunzien nous présente un Cola di Rienzo tel qu’un styliste de la Renaissance , doublé d’un grammairien, aurait pu le voir. L’éc
vait, dit-il, sans effort, les mœurs et les goûts d’un seigneur de la Renaissance , entre chiens, chevaux et beaux atours ». Et cert
jeune tête de savant et d’humaniste, toute meublée des trésors de la Renaissance  », décapité. Il périt victime de sa fidélité à so
M. Marcel Reymond étudie les périodes d’art italien consécutives à la Renaissance et notamment Io développement de l’art architectu
tre-Réforme, formule d’art religieux opposée à la ligne païenne de la Renaissance et tente de redresser les opinions qui taxèrent d
nouvelles ; c’est un style moins classique, moins pur que celui de la Renaissance , mais plus novateur, plus moderne, plus fécond :
aissance, mais plus novateur, plus moderne, plus fécond : l’art de la Renaissance , par des tendances à une imitation trop servile,
t les mains des architectes : le Baroque les affranchit : l’art de la Renaissance ne pouvait se prêter qu’à des effets limités : av
. Cette fois, c’est À Florence et au Louvre (Portraits célèbres de la Renaissance italienne) (Paris, Hachette et Cie ; in-8, 251 p.
ianca Capello ; et enfin deux des plus beaux types d’humanistes de la Renaissance italienne : Isabelle d’Este, marquise de Mantoue,
17 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
lore. Pierre de Nolhac : Érasme en Italie, étude sur un épisode de la Renaissance suivie de douze Lettres inédites d’Érasme, G. Kli
helli, edit.). Tome XXV, numéro 99, mars 1898 Les Théâtres. Renaissance , 21 janvier. La Ville morte, tragédie moderne en
inand Herold. Tome XXV, numéro 99, mars 1898, p. 918-931 [922-925]. Renaissance . 21 janvier : Première représentation de La Ville
ges, les myrtes, et aussi sur l’eau, qui sont des poèmes exquis. À la Renaissance , la Ville morte a été bien montée et, dans l’ense
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
qui s’est fait connaître par de savantes et originales études sur la Renaissance et sur le xviiie  siècle en Italie. M. Octave Uza
19 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
s isolé dans son pays, où le renouveau du Théâtre, dans le sens de la Renaissance tragique de nos spectacles de plein-air commence
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
s, ce que Hamlet, celui de Shakespeare, est à l’angoisse morale de la Renaissance . Corrado Brando, lui, n’est pas poussé par une fa
21 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
le Dante, il y a Botticelli qui l’a suivi, dans d’Annunzio il y a la Renaissance , c’est-à-dire un temps qui l’a précédé. En outre,
a la Renaissance, c’est-à-dire un temps qui l’a précédé. En outre, la Renaissance est analyse et décoration. Partant, chez d’Annunz
du musée de Vienne. Giorgione ouvre tout à fait à Venise l’ère de la Renaissance . Je ne saurais m’attarder ici, dans les limites d
isme conserve je ne sais quelle couleur d’italianisme francisé par la Renaissance , provençal surtout, Paul Souchon a fait ce miracl
la longue période qui s’étend des débuts du Moyen-Âge à la fin de la Renaissance  — de très appréciables services. Les Journaux.
songer plus d’une fois à Joachim du Bellay, qui fut à l’aurore de la Renaissance ce qu’il a été lui-même au début de la Restaurati
fondeur philosophique remarquable. Dans le fatras d’hellénisme que la Renaissance jeta en grand désordre devant le génie méditerran
’intellectualisme et de réflexion que fut la critique alexandrine. La Renaissance accepta tout dans son immense creuset, et s’achar
22 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
tendance à la rhétorique si marquée dans le peuple italien. Depuis la Renaissance l’alliance du génie latin et du génie germain a p
monde médical ? Et d’autre part, parmi les admirateurs de l’art de la Renaissance , combien se doutent du rôle capital joué dans la
e et animèrent souverainement l’art des siècles incomparables dont la Renaissance fut l’aboutissement : l’indomptable hérétique Ber
en ruines malgré sa date récente ? Au-delà, un charmant édicule de la Renaissance garde l’entrée d’un champ ; mais il n’a pas été c
, sur la psychologie admirablement mystérieuse du Titan nerveux de la Renaissance , et sur celle de la grande « gentildonna » poétes
e. Ce n’est ni la surprise, ni le charme, que suscita l’élégant de la Renaissance . Contemplez les traits de Léonard de Vinci, qui p
’une artiste : […] faïences italiennes et hispano-mauresques, meubles Renaissance , tapisseries, […] surtout des sculptures et des p
quet de Vasselot sur un marteau en bronze doré, œuvre admirable de la Renaissance italienne, qui fut exécutée pour le cardinal Giov
de Catherine d’Autriche, de Jeanne de Duras et Robert d’Artois. De la Renaissance sont des portails au Dôme, à San Giovanni de Papp
ns les lettres inédites de Jacob Burckhardt, le grand historien de la Renaissance italienne, des lettres de Pestalozzi […]. Lett
peintre. M. Marcel Reymond : Brunelleschi et l’Architecture de la Renaissance italienne au XVe siècle. Collection des Grands Ar
nelleschi, retrace brièvement l’histoire de l’architecture pendant la Renaissance italienne au xve  siècle, et explique l’art des A
ivres, on peut retrouver « la vérité psychologique » de ce fils de la Renaissance , dont la vie fut plus belle, plus émouvante et pl
ontière des temps nouveaux, portant en lui la malédiction de toute la Renaissance , le poids mortel d’un siècle d’une trop exubérant
23 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
et à la tutelle ecclésiastiques. Dans les siècles qui précédèrent la Renaissance , l’influence du latin est déjà prépondérante sur
aractère, qui est dans la race ! « Comédie-Française, Gymnase, Odéon, Renaissance , Vaudeville, Porte-Saint-Martin, Ambigu, partout
quinze mètres de terre, et à l’époque des grandes constructions de la Renaissance , temples et basiliques servirent de carrières aux
ait une voix généreuse et impétueuse capable d’exalter ses espoirs de Renaissance  ; elle accueillit avec sympathie cette tentative
24 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
tré que les œuvres de Tacite furent fabriquées de toutes pièces, à la Renaissance , par un latinisant habile et astucieux. Tromper à
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
fit de ces enseignements divers et être le véritable précurseur de la Renaissance . Sans doute élève lui-même de Gentile da Fabriano
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
-même l’auteur, où des maisons aux balcons élégants qui rappellent la Renaissance bordent les rues parées de larges dalles, où chaq
27 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
au dolce stil novo, et après jusqu’à la fraîcheur polizianesque de la Renaissance , devait se servir de la forme empruntée à l’ancie
28 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
364 p., 6 s., Macmillan Voici maintenant le livre d’un païen de la Renaissance  : Little Novels of Italy, le livre, et Maurice He
et toutes ces petites villes qui vécurent au moyen âge et pendant la Renaissance d’une vie si intense, si ardente ! Elles ont gard
pas une réédition du thème qui a préoccupé tant d’artistes depuis la Renaissance jusqu’à aujourd’hui où, alors même que Segantini
29 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
ui, de là, mène au premier étage, entrons dans une petite salle où la Renaissance s’évoque de la façon la plus séduisante : une che
sée, roi d’Athènes d’où se dégage tout le parfum de l’humanisme de la Renaissance ), des bustes ou des bas-reliefs de Donatello, de
le. Il a étudié la statuaire italienne au cours du Moyen-Âge et de la Renaissance  ; discuté les attributions et l’originalité des s
dès le xvie et le xviie  siècle et, appartenant pour la plupart à la Renaissance italienne ou française, constituent une réunion h
inauguré par la même occasion. La petite salle du Moyen-Âge et de la Renaissance n’offre qu’une trentaine de pièces, mais il en es
30 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
lus leur inconscience. Dans tout le théâtre anté-Renaissance et de la Renaissance , les événements furent toujours inattendus, les a
ndre primitivité, dans l’âme beaucoup plus complexe de la femme de la Renaissance . Malheureusement le style de M. Isidoro Del Lungo
a parole d’Emerson, de l’idéal ascétique nourri et enorgueilli par la Renaissance . Jules Verne a réellement exprimé les anxiétés mo
ui furent appliqués à Venise, le byzantin, le gothique et celui de la Renaissance , est la partie la plus considérable de l’ouvrage.
31 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
umineux pour qui n’a pas sur les yeux le bonnet d’âne fabriqué par la Renaissance ) estimaient au-dessus de tout le livre qui leur a
32 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
x de M. Sullivan. M. Gresse accoutrait d’un complet pourpoint velours Renaissance le légendo-moyenâgeux Gessler, et sa perruque dém
leaux du palais Corsini, ainsi que toutes les œuvres d’art, depuis la Renaissance jusqu’au xixe siècle, appartenant à l’État itali
33 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
e collection de sculptures décoratives françaises du Moyen-Âge, de la Renaissance et du xviiie  siècle acquise de Georges Hoentsche
34 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
. » Et voilà comment fut achevé un des plus purs chefs-d’œuvre de la Renaissance . Tome CXXVI, numéro 476, 16 avril 1918 O
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