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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
Enfance et adolescence à Grenoble 1799 10 novemb. Paris , Not. Colomb. — Brulard Hôte de la famille Daru
s, Not. Colomb. — Brulard Hôte de la famille Daru 1800 Paris Id. avril Dijon. Not. Colomb. — Brulard Commi
1802 janv.-av. Grenoble. Not. Colomb. — Journal. av.-déc. Paris . Journal. Souv. Égot. Démission de l’armée
urnal. Souv. Égot. Démission de l’armée 1803 janv.-juin Paris . Souv. Égot. — Journal Amateur de théâtre. Proje
. —Souv. Égot. Id. 20 mars Genève. Souv. Égot. Id. avril-déc. Paris . Journal. —Souv. Égot. Id. 1805 jan
il-déc. Paris. Journal. —Souv. Égot. Id. 1805 janv.-mai Paris . Journal. Id. juin Grenoble. Journal. —Souv.
— Plancy-sur-Aube. Journal. — Mâcon. Journal. juillet-août Paris . Journal. — Not. Colomb. septembre Montmoren
. — Not. Colomb. septembre Montmorency. Journal. sept.-oct. Paris . Journal. octobre Mayence. Journal. Camp.
Brunswick. Journal. — Not. Colomb. — Souv. Égot. Id. 1er déc. Paris . Journal Id. 1809 janv.-mars Paris.
ot. Id. 1er déc. Paris. Journal Id. 1809 janv.-mars Paris . Journal Id. 5 avril Strasbourg. Corr. Id. C
juin Schœnbrunn. Not. Colomb. Id. Id. 1810 toute l’année Paris . Not. Colomb. — Journal Auditeur au Conseil d’Ét
et Inspecteur du mobilier de la Couronne 1811 janv.-mai Paris . Corr. — Journal Id. (en Congé) mai Le Havre.
Congé) mai Le Havre. Not. Colomb. — Souv. Égot. Id. Id. mai-août Paris . Corr. — Journal Id. Id. 25 août Versailles. J
Corr. — Journal Id. Id. 25 août Versailles. Journ. Id. Id. 26 — Paris . Journ. Id. Id. 28 — Montmorency. Journal Id.
Supplém. Journal. Id. Id. 2 novem. Milan. Journal. Id. Id. 27 — Paris . . Supplém. Journal. Id. Id. 1812 P
Id. Id. 27 — Paris. . Supplém. Journal. Id. Id. 1812 Paris 6 juin Passage du Niémen. Not. Col. Intendan
Id. Id. 9 novem. Mayence. Corr. Id. 1813 janv.-avril Paris . Journal. Id. avril Mayence. Not. Colomb. In
4 nov. Milan. Corr. Id. Naples. Not. Colomb. Id. 18 déc. Paris . Corr. Id. 1814 janvier Grenoble. N
ble. Not. Colomb. Id. 2 mars Chambéry. Corr. Id. avril-juill. Paris . Not. Colomb. — Journ. — Corr. Homme du monde, é
onza — * Varèse 27 — * Fuzina 28 — * Îles Borromées — Paris . Not. Colomb. — Londres. Not. Colomb. 8
avril Grenoble. Corr. — Souv. Égot. 22 — Milan. Corr. 4 mai Paris . Souv. Égot. juin à sept. Milan. Corr. — Sou
— Corr. 1821 janv.-mars Milan. Not. Colomb. avril Paris . Not. Colomb. mai-juin Milan. Corr. — Souv.
— Belfort. Souv. Égot. — Langres. Souv. Égot. juin-août Paris . Brulard. — Souv. Égot. septembre Calais. No
— Souv. Égot. — Londres. Not. Colomb. — Souv. Égot. 29 déc. Paris . Corr. — Souv. Égot. 1822 janv.-av
29 déc. Paris. Corr. — Souv. Égot. 1822 janv.-avril Paris . Corr. 10 juin Montmorency. Corr. — Souv. Ég
Paris. Corr. 10 juin Montmorency. Corr. — Souv. Égot. juin Paris . Souv. Égot. 28 juin Berne. Souv. Égot.
Paris. Souv. Égot. 28 juin Berne. Souv. Égot. juillet-août Paris . Corr. Corbeil. Souv. Égot. 4 sept. Vi
Corbeil. Souv. Égot. 4 sept. Vincennes. Corr. sept.-déc. Paris . Corr. 1823 janv.-août Paris. Corr
es. Corr. sept.-déc. Paris. Corr. 1823 janv.-août Paris . Corr. 26 octobre Isola Bella. Corr. 31
Isola Bella. Corr. 31 — Alexandrie (Piémont). Corr. 20 nov. Paris . Corr. 1824 janvier Rome. Corr. — 
1824 janvier Rome. Corr. — Souv. Égot. avril-oct. Paris . Corr. — Souv. Égot. octobre Grenoble. Not.
r. — Souv. Égot. octobre Grenoble. Not. Colomb. octob.-nov. Paris . Corr. 14 déc. Londres. Corr. — Souv. Égot.
nov. Paris. Corr. 14 déc. Londres. Corr. — Souv. Égot. 24 — Paris . Corr. — Souv. Égot. 1825 janv.-ao
. 24 — Paris. Corr. — Souv. Égot. 1825 janv.-août Paris . Corr. 30 septem. Naples. Corr. octobre
janv.-août Paris. Corr. 30 septem. Naples. Corr. octobre Paris . Corr. novembre Rome. Corr. nov.-déc. P
r. octobre Paris. Corr. novembre Rome. Corr. nov.-déc. Paris . Corr. — Souv. Égot. 1826 janvier
nov.-déc. Paris. Corr. — Souv. Égot. 1826 janvier Paris . Corr. août-sept. Londres. Corr. 15 sep
15 sept. San Remo. Brulard 5 décembre Rome. Corr. 23 — Paris . Corr. 1827 Paris. Not. Colomb.
5 décembre Rome. Corr. 23 — Paris. Corr. 1827 Paris . Not. Colomb. 15 sept. Ischia. Brulard.
5 sept. Ischia. Brulard. 19 nov. Florence. Corr. 6 décembre Paris . Corr. 1828 janvier Paris. Not. Co
rence. Corr. 6 décembre Paris. Corr. 1828 janvier Paris . Not. Colomb. 17 janvier Isola Bella. Souv.
t. Colomb. 17 janvier Isola Bella. Souv. Égot. juillet-nov. Paris . Souv. Égot. — Corr. 1829 toute l’
let-nov. Paris. Souv. Égot. — Corr. 1829 toute l’année Paris . Corr. — Souv. Égot. 1830 janv.-no
ute l’année Paris. Corr. — Souv. Égot. 1830 janv.-nov. Paris . Not. Colomb. — Souv. Égot. — Corr. — Brulard.
av. Civita-Vecchia (et Rome). Not. Colomb. — Corr. Id. oct.-déc. Paris . Not. Colomb. — Corr. (en congé) décembre Civ
à mai Civita-Vecchia (et Rome). Not. Colomb. — Corr. Id. mai-déc. Paris . Not. Colomb. Consul de France à Civita-Vecchia
omb. Consul de France à Civita-Vecchia (en congé) 1837 Paris Id. Verrières Id. 10 avril Fontainebleau I
d. — Honfleur Id. Id. — Le Hâvre Id. Id. — Rouen Id. Id. 18 — Paris Id. Id. — Beaucaire Id. Id. 27 — Tarascon Id.
— Mataro Id. Id. — Barcelone Id. Id. — Bordeaux Id. Id. 20 déc. Paris . Not. Colomb. Id. 1838 janv.-févr.
Id. 20 déc. Paris. Not. Colomb. Id. 1838 janv.-févr. Paris . Corr. Id. 24 mars Bordeaux. Corr. Id. 2
rdeaux. Corr. Id. 2 juillet Strasbourg. Corr. Id. juill.-août Paris . Corr. Id. Londres. Not. Colomb. Id. 4 s
. Id. Londres. Not. Colomb. Id. 4 sept. Lyon. Corr. Id. Paris . Corr. Id. 1839 janv.-juin Paris. C
. Lyon. Corr. Id. Paris. Corr. Id. 1839 janv.-juin Paris . Corr. Id. juin-déc. Civita-Vecchia (et Rome)
Civita-Vecchia (en congé) Genève. Not. Colomb. Id. 8 novembre Paris . Not. Colomb. Id. 1842 Paris. Not.
olomb. Id. 8 novembre Paris. Not. Colomb. Id. 1842 Paris . Not. Colomb. — Corr. Id. 23 mars ; mort Id.
2 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
e de la Peinture : École Italienne, illustrée de 250 gravures, in-4°, Paris , Henri Laurens, 10 fr. R. de Bury [Remy de Gou
gner. Après un tirage restreint fait par l’Académie des Bibliophiles ( Paris , imprimerie Jouaust, 1868), la lettre de Pogge se
nçais pour la première fois par Antony Méray . Texte latin en regard. Paris , Isidore Liseux, 5, rue Scribe. 1876. Tandis que
le à longues lignes : imprimé en caractères ronds, par Jehan Petit, à Paris , sans date, sub signo lilii aurei. Notre édition
dans les basses chansons comiques et les vaudevilles. Aujourd’hui, à Paris , pour le gamin des rues tout étranger est a prior
la Vita Italiana. 16 mars et 1er mai ; de Ugo Ojetti dans la Revue de Paris , 15 février 1896 et dans le Marzocco, 28 février
mogène, les écrivains italiens songent à l’Europe : ils écrivent pour Paris . Leur littérature — si l’on excepte Fogazzaro, Ve
ure et d’art ; — direction et rédaction, 19 via Pontaccio, à Milan. À Paris , 17, rue Guénégaud. Directeur Édouard Sansot-Orla
ità delle Cortigiane di Venetia. 3. Vie de Saint François d’Assise, Paris , librairie Fischbacher, 1894, in-8. 4. M. Lucian
E] Hugues Rebell, La Nichina : mémoires inédits de Lorenzo Vendramin, Paris , Société du Mercure de France, 1897. Roman sur un
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
arrischiar una bellezza. » Voilà ce qui diminue tous les artistes, à Paris , il faut être doublement Michel-Ange à Paris pour
nue tous les artistes, à Paris, il faut être doublement Michel-Ange à Paris pour égaler l’auteur de Moïse. (Le 20 septembre,
Accroche. 1813.) De la froideur et l’insignifiance des jeunes gens à Paris . On a un exemple bien frappant dans les A. ? Cesa
ages bonnes pour moi, mais je suis ennuyé d’écrire. Me faire prêter à Paris les ouvrages de Cesarotti, Monti, Foscolo (l’aute
4 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
le fit précéder d’une renommée toute faite, et lorsque Goldoni vint à Paris , en 1761, et se fixa en France pour y cueillir de
s entrepreneurs italiens de spectacles me semblent vraiment guetter à Paris la mise en vente des pièces les plus superficiell
fin d’établir un degré égal de corruption systématique du goût, entre Paris et ses colonies intellectuelles. La voix autorisé
nous montre surtout que le rêve de renaissance théâtrale, poursuivi à Paris avec le noble acharnement de nos théâtres de Plei
fort idéal, les aspirations les plus nobles de notre jeunesse, qui de Paris crée avec ardeur sa fédération intellectuelle méd
moderne Maria Salvestri sera représenté en français, à Bruxelles et à Paris . G. Lipparini, Poemi e Elegie, Zanichelli, Bol
ichelli. Bologne. — Pierre de Bouchaud : Goethe et le Tasse. Lemerre. Paris . Vittorio Pica : L’Arte Mondiale alla VIII Esposi
5 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
antiques, et crée des nouvelles arènes tragiques aux portes mêmes de Paris . On bâtit les temples ; les poètes-sacerdotes sui
ons ; E. Alberimi et Éd. Maynal tr. Société du « Mercure de France », Paris . — Grazia Deledda : Cendres, roman, G. Hérelle tr
aris. — Grazia Deledda : Cendres, roman, G. Hérelle tr. Calmann-Lévy. Paris . — Antonio Beltramelli : Da Comacchio ad Argenta 
. Guglielmo Ferrero a donné au Figaro une très intéressante étude sur Paris , qu’il considère comme la ville-synthèse, celle o
monde ancien : Rome. Il y en a plusieurs dans le monde moderne, outre Paris , par grandeur, par richesse, par puissance : Lond
Berlin, New-York. D’où vient alors cette fascination irrésistible que Paris exerce sur tous les esprits ? Pourquoi tout le mo
rits ? Pourquoi tout le monde admet-il, plus ou moins clairement, que Paris est la ville unique ? Je l’ai senti, je l’ai comp
e l’ai compris, cette fois, mieux que pendant mes séjours précédents. Paris est la ville-synthèse de la civilisation contempo
lement les unes sur les autres, comme dans aucun autre pays du monde… Paris résume merveilleusement cette synthèse superbe de
e cosmopolitisme, la tradition et la révolution. Pour cela, j’appelle Paris la ville-synthèse. Paris est la synthèse de la Fr
ition et la révolution. Pour cela, j’appelle Paris la ville-synthèse. Paris est la synthèse de la France, qui est la synthèse
èse du monde. Comment pourrais-je décrire la merveilleuse beauté dont Paris , vu à travers cette idée, a rayonné pendant vingt
adictions insolubles qui agitent l’âme humaine… J’ai beaucoup parlé à Paris , dans les conférences et dans les salons, de la g
et équilibre ne]soit pas éternel, qu’un parti unique arrive à dominer Paris et la France. Même alors, pense-t-il, un rôle du
e édition de Rome, Naples, Florence, parue chez Michel Lévy frères, à Paris , en 1854, contient ces mots en frontispice : Seul
on nette (Page 217). L’insolence de quelques commis de la douane de Paris , en lui demandant son passeport, et le vol de dou
tableaux lui donnent l’air catafalque ; qu’il aime mieux un pantin de Paris qui tourne les yeux qu’une statue de Canova. qui
ides de camp. Besini mourut de peur… depuis un an… (Page 67). Voici Paris vu par un étranger, homme de plaisir, mais très f
lpropreté si stupide de ses rues et les……, toute l’Europe ne rêve que Paris . vexations de sa police (Page 67, en note). Le
industries ; l’une d’elles était l’entreprise de l’assainissement de Paris par l’enlèvement des boues…… le joli caractère !…
ser faire (Page 68). Tout ce qui ne veut pas être vexé par… vient à Paris . l’évêque ou le sous-préfet (Page 93, en note).
rre-Pelice. — G. Rovetta : Le Premier Amant. H. Lécuyer tr. Hachette. Paris — A. Fogazzaro : Le Saint. G. Hérelle tr. Hachett
. Hachette. Paris — A. Fogazzaro : Le Saint. G. Hérelle tr. Hachette. Paris — Ceccardo Roccatagliata-Ceccardi : Per una Nave
que : De sui ipsius et multorum ignorantia ; L. M. Capelli, Champion, Paris . Tome LXIV, numéro 226, 15 novembre 1906
. L’histoire de M. Lanzi m’a été fort utile. « J’envoie mon ouvrage à Paris pour l’y faire imprimer. On me conseille de vous
point, l’une des considérations essentielles. § Beyle est de retour à Paris , depuis quelques jours seulement. Le grand projet
i était venue, à Milan, la première idée de son livre, Beyle quittait Paris pour la campagne de Russie. (Revenu d’Italie au d
gne de Russie. (Revenu d’Italie au début de novembre 1811, il part de Paris le 23 juillet 1812.) Or nous savons, par sa lettr
la grande ébauche en douze volumes perdue à Moladechino. De retour à Paris , je fis recopier la dite ébauche sur le manuscrit
les Cosaques. Si l’on songe que ces neuf mois, Beyle les a passés à Paris , qu’il n’était point un oisif, mais souvent fort
tout un peuple, c’est à peine, hormis quelques cercles de lettrés, si Paris sait épeler son nom ! J’en ai dit les raisons lit
, et qu’il faut avouer tout de même. Il a manqué à Carducci, pour que Paris lui fasse fête, de venir, comme tant d’autres, pa
e Paris lui fasse fête, de venir, comme tant d’autres, parader devant Paris . Ah ! si Carducci nous était arrivé, annoncé par
6 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
o, dont le goût obstiné pour l’ancienneté décorative est trop connu à Paris et ailleurs. La poésie italienne n’avait donné, j
Marinetti en 1904. F.-T. Marinetti, qui avait fait son baccalauréat à Paris et connaissait très bien le magnifique essor poét
ientôt d’autres conversions. Les expositions de Rome, de Florence, de Paris (sculpture de Boccioni) et de Londres ; les derni
uait un monde charmant, et que je retrouvais, ensuite, à Londres ou à Paris . — Ce que je sais, repris-je, c’est, d’abord, que
be dorée et de ses cheveux aux courtes boucles frisées. Il était né à Paris , y avait étudié les belles-lettres et la peinture
pour l’existence. Il avait gaspillé une maigre fortune, et donnait à Paris , pour vivre, des leçons de piano. Il jouait aussi
umeur, sa gaieté, sa verve étaient inaltérables. Enea l’avait connu à Paris , et l’avait invité à passer quelques semaines, ch
hn-Arthur : — Connaissez-vous Mme Nina Ceschini ? — Je l’ai aperçue à Paris et à Londres, et, quelquefois, à Venise. — Voilà
sition triomphale à Florence, puis à Rome, puis à Milan ; le retour à Paris , que certes nous n’imaginions pas devoir être ce
rencontre, Aurora ! Je m’ennuie ! Depuis quatre jours Théodore est à Paris , à Londres ou à Rome, Je suis avec Tebaldo. J’err
gorique composé par le dôme de Saint-Marc, les tours de Notre-Dame de Paris , et la cathédrale de Cologne. Chacun de ces monum
. Salle Gaveau : Concert de l’Association Chorale Professionnelle de Paris [extrait] Jean Marnold. Tome CVII, numéro 401,
666-667] Nous recevons de M. Auguste Marguillier la lettre suivante. Paris , 19 mars 1914. Mon cher Directeur, Voulez-vous me
ime qu’avant deux ans il aura ainsi brisé tous les pianos existants à Paris , après quoi il pourra partir à travers le monde e
us dans l’espace de douze ans, quatre à Leipzig (1826-1827), quatre à Paris (1832), quatre à Bruxelles (1838) ; de même que l
es de Casanova avec Voltaire. L’entreprise commerciale du libraire de Paris alarma à juste titre le libraire de Leipzig, qui
ires arrangés par Laforgue avaient paru, quatre à Leipzig et quatre à Paris , ceux-ci chez Heideloff et Campé. Paulin copia tr
uses — n’auraient jamais rencontré l’accueil qui marqua leur succès à Paris , et dans tous les pays où pénétrait l’influence l
ulide et le même Orfeo, francisé en Orphée, furent joués à l’Opéra de Paris , il ne s’ensuit pas que cette réaction nécessaire
g, comme par le comte Algarotti à Naples et par nos Encyclopédistes à Paris . Il ne manquait plus, pour les appliquer, que la
jets qui, à l’époque gluckiste, paraîtront sur la scène de l’Opéra de Paris , Dans les critiques qu’il fait, en passant, à l’a
deux opéras, il ne manqua pas d’engager les directeurs de l’Opéra de Paris à faire représenter l’Iphigénie de Gluck, qui, di
tion de l’École militaire, un rapport de police signale sa présence à Paris , au mois de mars 1760, comme secrétaire de l’amba
né l’occasion de se développer pleinement. Calzabigi avait disparu de Paris vers 1758-1759, laissant son frère régler ses aff
lent compositeur ». Et lorsque les Danaïdes eurent été représentées à Paris , le 26 avril 1784, sous le nom de Gluck, Calzabig
a Nazionale, Florence) ; — le livre de F.-T. Marinetti, le Futurisme ( Paris , Sansot) ; — la brochure de G. Papini, Il mio Fut
. En collaboration avec M. Adrien Marcel. — G. Charpentier, éditeur ; Paris , 1881. 11. Comment furent publiés les Mémoires
ai, non public, la première d’Iphigénie ayant été donné, à l’Opéra de Paris , en 1774. 26. Essai sur l’opéra (trad. Chastell
l’Opéra de Paris, en 1774. 26. Essai sur l’opéra (trad. Chastellux, Paris , 1773), p. 120, note 1. Cf. Grimm, Correspond. li
et dernier volume ne parut qu’en 1769. 29. « M. Calzabigi, étant à Paris , fut frappé de l’effet d’ensemble, de la liaison
nos propres dépouilles. » (Entretiens sur l’état actuel de l’Opéra de Paris , Amsterdam, 1779, p. 154-155.) 30. C’est déjà, e
7 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
ont promenée à travers toute l’Europe, à Rome, à Vienne, à Londres, à Paris , — cette tête narquoise de brèche-dents aux yeux
de chacune de ses études. Au même moment un de ses amis, ingénieur à Paris , le prie de lui envoyer quelques pièces qu’il ess
ève vingt-huit francs, obtient un permis d’aller et retour et vient à Paris . Il loue dans un garni de la rue Amelot, pour 50 
ouples amoureux pour aller y faire sa sommaire toilette. Il rêvait de Paris  : il y est. Mais cette façon d’apparaître en notr
ancé. C’est seulement rentré chez lui que Rosso apprit que son ami de Paris avait, toujours à son insu, exposé ses cires et s
urs observées. L’Exposition Universelle de 1889 appelle enfin Rosso à Paris . Cette fois, il y trouve un public d’art très inf
e portrait ; puis met un frein à sa veine de production. On respire à Paris une étrange atmosphère, on ne s’y sent pas seul à
en français et en italien, car il désirerait le voir jouer d’abord à Paris où l’attire particulièrement la vitalité de la je
8 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
s de les prendre par les petits côtés. M. DEL. — Vous croyez donc que Paris ait été indifférent ? M. DESM. — Presque. Il étai
ndant sur les Madruzzo. M. James Stillmann, qui veut bien conserver à Paris ces merveilles au lieu de les envoyer en Amérique
Véronèse. Décorateur infatigable, Tiepolo reste pourtant mal connu à Paris , et là encore une lacune serait à combler. Nous s
ndes Institutions de France » et aux « Richesses d’art de la Ville de Paris  », pour ne parler que des séries qui ressortissen
onversent, écrivent et se confessent dans notre langue ; mais soudain Paris prend l’initiative des révolutions politiques : l
s amicales avec leurs élites dans les divers pays. Aucun organisme, à Paris , ne répond à cette nécessité. Certes, l’Alliance
imétisme des Allemands.   Durant 1907 et 1908, les fêtes populaires à Paris en l’honneur des reines de ses marchés, déléguées
ions de la littérature italienne avec une cordialité spontanée. C’est Paris qui, il y a quelques années, imposait l’œuvre de
les a tant séduits, un Alfredo Niceforo17, parce qu’il vint étudier à Paris et y réside, peut s’affranchir de plus en plus de
qui crée le prix et le charme des travaux et des Italiens résidant à Paris , notamment pour citer le plus récent de cette si
de suite, 1907, 1908, 1909, l’école divisionniste est venue exposer à Paris des recherches de lumière fébriles et minutieuses
cacement célébré pour un art d’un haut et pur évangélisme que dans ce Paris traité de Babylone moderne par les cuistres préte
parade sensuellement mouvementés à sa cambrure, qui vient demander à Paris la renommée prématurée que depuis quelques années
e exposition des toiles des jeunes peintres qu’ils vendent le mieux à Paris , MM. Charles Guérin, Laprade, Lacoste, Dufrénoy,
nt latin, pour leur montrer comment s’est enrichi, exalté et affiné à Paris le talent des Diriks, des Anglada, des Tarkhoff e
titué un prix de Rome littéraire : a-t-on entendu parler d’un prix de Paris dans la cité tévérine ? Il y a quelques mois, M. 
e Leconte de Lisle exhortant les courages civiques devant le sacre de Paris en 1871, comment se fait-il qu’aucun de ceux qui
asse encore de dandysme sous quelque forme de « néomachiavélisme ». À Paris on s’est dégagé du petit-naturalisme circonscrit
contre des groupes divers concentrés dans certains pays, de même qu’à Paris on les rencontre dans les différents quartiers. L
dhal. L’excellent historien des Œuvres de Stendhal, M. Adolphe Paupe ( Paris , Dujarric, 1904, gr. in-18) n’en fait pas mention
C’est le dernier, celui de la séparation. George, dès votre arrivée à Paris , semble vous avoir rejeté comme un citron pressé.
homme d’affaires consommé, a vendu directement à un grand marchand de Paris , M. Kleinberger, le meilleur de sa collection de
la traduction française d’un de ces volumes qui a paru dernièrement à Paris , sous le titre : Terre Vierge. T. Ubertis (Térésa
st président d’honneur S. E. le Comte Gallina, ambassadeur d’Italie à Paris , en a confié le secrétariat général à notre confr
dont quelques préjugés) ne suffit pas pour devenir, à Mantoue comme à Paris , un homme heureux ou même simplement un grand per
it-elle plus propre à Mantoue vers la fin du dix-huitième siècle qu’à Paris de nos jours ? Je ne crois pas. Les Rosalinde et
ée Bonnat : Collection Bonnat, catalogue sommaire par Gustave Gruyer. Paris , A. Braun et Cie ; in-8, 200 p. av. 37 planches).
nouvelles parues dans quelques revues, entre autres dans la Revue de Paris . M. Zuccoli me semble pourtant résumer d’une mani
côté des « tziganes », répandus dans tous les restaurants de nuit de Paris , mandoline, guitare, et plateau pour la quête à l
Guillaume Apollinaire : Le Divin Arétin, Bibliothèque des Curieux, Paris Quelques hommes, politiciens et littérateurs,
une statue au milieu des autres mille qui encombrent et enlaidissent Paris . Je ne sais s’il s’agit là encore de l’exploitati
étiquement le mot intellectuelle est juste en sa généralité : quoique Paris reste la métropole libérale pour un grand nombre
organisé dans la galerie d’art italien Grubiey, 14, rue de Richelieu, Paris . 21. Maurice Barrès : Du sang, de la volupté et
ignon que c’était la ville des jolies femmes (Mémoires d’un touriste, Paris , 1838, I, p. 314). 28. Arch. mun. d’Avignon, reg
1540-1550, fol. 31, cité par J. Girard, les États du Comté Venaissin, Paris , 1908, p. 103. 29. Il mourut doyen du Sacré-Coll
9 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
armi les jeunes, l’admirateur le plus têtu de tout ce qu’on imprime à Paris . Je crois que M. Félicien Champsaur a dédié à M. 
crivains italiens. Son corps est à Rome, tandis que son cerveau vit à Paris , et il voit tout, les hommes, les passions et la
olonais, retour d’Amérique, décidant chez des princesses de chanter à Paris l’ours d’un croque-notes italien, copain d’un emp
it déjà pas grand’chose, maintenant on ne sait plus rien. Le voyage à Paris est révoqué en doute. Gaston Paris n’y croyait pa
Ferney, Rousseau à Montmorency, Fontenelle, d’Alembert et Crébillon à Paris , Georges III à Londres, Louis XV à Fontainebleau,
n de 1782, il quitta Venise, et, l’année suivante, nous le trouvons à Paris où, en 1784, il fit, chez l’ambassadeur vénitien,
t Cie de Paris ; les quatre suivants, la marque Heidelhoff et Campé à Paris , et les derniers rien autre que : Bruxelles. Ces
uinze jours) avec un ordre pour l’usage gratis de chevaux de poste de Paris à Bordeaux et Bayonne3. Occasionnellement, on jet
cependant l’encre presque toujours fraîche. Elles viennent de Venise, Paris , Rome, Prague, Bayreuth, La Haye, Gênes, Fiume, T
che : « Bonsoir et dormez mieux que moi. » Dans une lettre envoyée de Paris en 1759, elle écrit : « Ne me croyez jamais que l
y lisons (page 60) comment, le jour de Noël 1759, Casanova reçut, de Paris , une lettre dans laquelle Manon lui annonçait son
va, docteur eu droit de l’Université de Padoue (1797). On la trouve à Paris à la librairie Thomas, 6, place de la Sorbonne. V
erons pas d’établir les variantes : nous avons vu tant de fois depuis Paris  1889 paraître ce motif dans les œuvres exposées p
ue dans les Vaches attelées, demeurées presque inaperçues du public à Paris en 1889 tout en obtenant des jurés la médaille d’
10 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
ts luxueux de Venise, et que des ouvriers italiens sont venus faire à Paris en grand nombre depuis un demi-siècle dans nos mo
pour savoir le jour où il en sortirait. Lors de son premier voyage à Paris , il a pratiqué la cabale au Palais Royal, chez la
lui faire retrouver des sommes exposées ou perdues. Dans son séjour à Paris , il a escroqué avec la cabale plus d’un million à
te de Waldstein, auquel on le présenta chez l’ambassadeur de Venise à Paris , lors de son dernier séjour dans cette ville, éta
mblable mesure. Casanova, revenu de France, avait séjourné deux ans à Paris , où fermentaient les idées philosophiques, qui, t
tout ce qui était étranger ; il n’avait dans la bouche que Londres et Paris , comme si, en dehors de ces deux illustres capita
mps, je ne sais sous quelle figure et avec quelle fortune. Londres et Paris devaient entrer dans tous ses discours ; Londres
Londres et Paris devaient entrer dans tous ses discours ; Londres et Paris étaient la loi de sa vie, de son habillement et d
é initié à Lyon, et avait pris les grades de compagnon et de maître à Paris . Dans deux pages fort curieuses, il porte son jug
a la soixantaine, il n’en devait pas être de même quand il revint de Paris à Venise, imbu des idées philosophiques française
où il le décrit. Il avait déjà écrit sa fuite, aussitôt son arrivée à Paris , pour le cardinal de Bernis, qui la remit manuscr
XCV, numéro 351, 1er février 1912, p. 629-634 [634]. […] La Revue de Paris (1er janvier). […] « Le Palais Farnèse », par MM.
M. Jal, historiographe de la Marine, auteur de l’archéologie navale… Paris , Imprimerie Royale, MDCCCXLIII, tel est le titre
ers efforts de la peinture contemporaine. Ils ont trouvé des guides à Paris , mais ils y ont ajouté beaucoup, qui vient d’eux-
naguère de la galerie Rodolphe Kann et de la collection Sedelmeyer à Paris  : lamentable éparpillement comme l’histoire de l’
surtout aquafortiste d’une très grande habileté, avec des visions de Paris étonnamment grouillantes, d’une vérité synthétiqu
. Gauthiez leur définitif historien. À Vérone, à Bologne, à Padoue, à Paris , où il fut se perfectionner en théologie, puis de
par Armand Baschet, l’autre en 8 volumes, éditée par Garnier frères à Paris , portant la mention : Collationnée sur l’édition
pamphlétaires modernes l’envieraient. Lorsque Casanova est chassé de Paris par une lettre de cachet signée Louis, qui lui dé
ait m’envoyer au diable en me recommandant à Dieu. » — Puis, quittant Paris , l’éditeur l’envoie brusquement à Pampelune. Garn
un livre intitulé Mes prisons. Emprisonné à Venise sous les Plombs, à Paris au For-l’Évêque, à Londres, à Madrid au Buen Reti
va a formé le projet de venir terminer ses jours chez nous, non pas à Paris , mais dans le midi ? Cette page n’a évidemment pa
sit le premier parti et confie sa maîtresse à Casanova, qui l’amène à Paris . Voici, maintenant, le récit : Je la portai chez
du registre des baptêmes de l’église paroissiale de Saint-Laurent, à Paris , le 18 octobre de l’an 1767. Fut baptisé Jacques-
isé Jacques-Charles, né d’hier, fils d’Antoine Lacrosse, bourgeois de Paris , et de Charlotte Lamotte, ses père et mère (mot i
é, prêtre, premier vicaire de la susdite paroisse de Saint-Laurent, à Paris , le 18 octobre 1767. FINET.   4871 bis. — De l’
né, reçu par procès-verbal du commissaire Dorival, du 18 octobre. De Paris , mort le 31 octobre 176711. Le succès de cette r
présentait pour eux ce que représentait la Bastille pour le peuple de Paris . C’est de cette tour, où l’on enfermait les priso
es Dauze. Tome XCVII, numéro 358, 16 mai 1912, p. 444-448 [445-446]. Paris , 3 avril 1912. Monsieur, Dans votre précédent num
er juin 1912, p. 664-672 [667, 668-669, 672]. Le Monument Camoëns à Paris [extrait] […] Le buste, en bronze, est dû au s
nos volontés littéraires d’avant-garde. Mais M. Corradini vit loin de Paris , où s’élaborent les esprits et les formes de tout
liari. Études : E. Levi-Malvano, Montesquieu et Machiavel. Champion. Paris . — Edmondo Clerici. Giovita Scalvini. Milan. — Ra
e note émanant, semblait-il, de M. Gabriel d’Annunzio : De passage à Paris , je lis dans votre très honoré journal que M. Édo
u livre. Cette fois c’est Florence qu’étudie l’érudit critique d’art ( Paris , éd. Nilsson, in-4, 180 p., av. 184 fig. et 50 pl
e C, numéro 370, 16 novembre 1912, p. 387-394 [394]. […] La Revue de Paris (15 octobre) : — […] M. Ch. Samaran : « Casanova
murmura : « Un diable de Français ! » Quand elle sut que je venais de Paris , elle s’assombrit et rêva : On dit que les Parisi
t jolies !… Mais je lui assurai que je ne séjournais presque jamais à Paris , et je lui parlai de mes voyages. Elle m’écouta a
evons déjà à Mr Lucas des livres sur la Hollande, sur Londres, et sur Paris . Il nous donne aujourd’hui A Wanderer in Florence
s, sont répandus dans les différents centres de la péninsule, comme à Paris dans les différents quartiers. Mais il y a peut-ê
eau, sérieux, extrêmement intéressant, et nous y écrivons. Il vient à Paris avec une petite troupe de peintres, il nous brusq
ni par M. Pierre-Gauthiez dans la collection des « Grands artistes » ( Paris , Laurens, in-8, avec 24 pl.). 6. C’est le cas de
Voir Ph. Champault, Phéniciens et Grecs en Italie d’après l’Odyssée ( Paris , Ernest Leroux), 2e et 3e parties. 17. Sur ce do
fieri et Lacroix, 1911. 61. Édouard Maynial : Casanova et son temps, Paris , Mercure de France, 1911. 62. En citant le texte
graphe, sa ponctuation. 63. Frédéric Bernard, les Évasions célèbres. Paris , Hachette, 1869, p. 244. Note. 64. Les Arts, ao
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXII »
et qui doit encore plus ressembler à la nature que ce qu’impriment à Paris des gens qui n’ont jamais vu le soleil de Naples
et usage, qu’on commençait à abandonner. On est vêtu à Naples comme à Paris . Cependant il est facile de distinguer un Napolit
12 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
ères qui s’élevaient à mon départ. Si, lors de votre premier séjour à Paris , vous n’auriez pas fait une petite apparition en
lle cet hiver ; il me demandait quelles nouveautés on avait données à Paris , et comme il me citait un air de Pergolèse que je
ée qui s’empare de Faust quand, armé du trépied, il frappe l’ombre de Paris pour lui arracher Hélène ; puis cette fureur tomb
l’imprudence qu’il commet devant la cour en voulant séparer Hélène et Paris , et lui évite l’accusation de sorcellerie. L’Empe
premières places, n’ait point présenté, cette année, de ces coins du Paris populaire dont il traduit si bien l’esprit et le
collection des Musées d’Europe de M. Gustave Geffroy (Florence : II. Paris , Nilsson ; in-4, 172 p., av. 169 fig.et 42 planch
hes avec notices et 5 p. d’introduction ; 100 francs). Comme celui de Paris , le livre de Londres semble avoir appartenu, aprè
ril 1913, p. 598-602 [598]. Dr. G. Celos : Le Pain brié, in-18, ill., Paris , H. Jouve éd. ; Le Pain brié en Vénétie, in-18, i
18, ill., Paris, H. Jouve éd. ; Le Pain brié en Vénétie, in-18, ill., Paris , Jouve et Cie, éd. Théâtre. Memento [extrait]
 CIII, numéro 382, 16 mai 1913, p. 403-413 [412]. […] Les Soirées de Paris (avril). […] M. Ch. Perrès : « Ouna Ragazza. » […
e. On n’a point nié le mérite de celle-ci en général. Les archives de Paris , Lyon, Turin, Milan, Venise, Mantoue, Parme, Modè
oubli, mais l’impressionnisme demeure bien un mouvement français né à Paris avec Corot et Courbet comme aïeux et créé par les
r à l’écrire lors de la première exposition des peintres futuristes à Paris . Des œuvres comme la Rafle et la Ville qui monte
ier et Trésorier-adjoint MM. Camille Cerf et Bernheim, a été établi à Paris , 20, rue Chalgrin (avenue du Bois de Boulogne). L
otale. Il manque toute une périphérie, grande au moins comme celle de Paris à partir des boulevards extérieurs. D’où d’énorme
380]. Il n’y a guère que les étrangers pour nous faire bien connaître Paris  ! Voici Trismat, jeune et pauvre Italien, qui vie
ue fois que le soleil se couchera, du pont des Arts nous verrons tout Paris s’incendier très véritablement, ce qui fournira b
ds au sens de la Bible), je ne vais pas chercher à le désillusionner. Paris , en sa qualité de ville de plaisir, plaît aux étr
r, plaît aux étrangers amoureux de bruits et de lumières artificiels. Paris fait oublier la nuit. Alors, les étrangers dormen
ils ne voient peut-être pas les détails qui nous choquent. Voici donc Paris , le Paris hospitalier qui nous montre en chaque é
ent peut-être pas les détails qui nous choquent. Voici donc Paris, le Paris hospitalier qui nous montre en chaque étranger un
magement des villes de Gênes et de Savone, 1396 ». […] Casanova à Paris , avec notes, additions et commentaires de Gaston
ue des exploits d’un des plus notables et ingénieux bambocheurs de ce Paris galant du dix-huitième siècle : Casanova, Casanov
 G. Capon a tiré ce choix de souvenirs, étiqueté par lui : Casanova à Paris , du fatras posthume primitivement publié en 10 vo
el s’est livré M. Gaston Capon, pour la partie relative aux séjours à Paris , procure à l’histoire et aux lecteurs aimant que
ome CV, numéro 390, 16 septembre 1913, p. 416-424 [424]. La Revue de Paris (15 août) : […] — M. J. Rambaud : « Fra Diavolo e
on article : Je ne songe pas seulement au hasard qui le fit naître à Paris , en 1313, d’un Toscan et d’une mère dont on ne sa
points de vue on eût évidemment pu, sans invraisemblance, escompter à Paris le succès brillamment remporté ailleurs. Malheure
l et Aldo Ravà. Nous sommes quelques-uns aujourd’hui, aussi bien dans Paris qu’à l’étranger, à désirer mettre au jour une Pet
es bras. Mais mon père ne me répondit rien… « Ensuite, je partis pour Paris avec mon oncle. Je n’ai jamais revu mes parents,
orence et au Louvre (Portraits célèbres de la Renaissance italienne) ( Paris , Hachette et Cie ; in-8, 251 p. av. 16 planches ;
13 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
auteurs par Adrien Baillet, revu, corrigé et augmenté par La Monnaye ( Paris , 1722). Fortunio Liceti, « l’un des plus célèbres
urs alliés devaient avoir leur revanche. Ils se trouvèrent au Four de Paris (5 janv.), — avec de l’eau jusqu’aux genoux, — à
[Lettre de Jacques Mesnil] Nous avons reçu la lettre suivante : Paris , 26 janvier 1918. Monsieur le Directeur, C’est av
Nous avons communiqué cette lettre à M. Piérard, qui nous répond : Paris , le 17 février 1918. Cher Monsieur Vallette, J’ai
itaires ayant intérêt à donner le change. Quant à lui, il est resté à Paris et les seuls arguments qu’il oppose à ma version
s des Primitifs flamands à Bruges en 1902 et des Primitifs français à Paris en 1904, a été dispersée à Berlin en décembre der
75, 1er avril 1918, p. 548-550. Nous avons reçu la lettre suivante : Paris , 5 mars 1918. Monsieur le Directeur, Ayant été at
ro 477, 1er mai 1918, p. 159-160. Nous recevons la lettre suivante : Paris , le 13 avril 1918. Cher monsieur Vallette, Vous m
lus le gouvernement italien. Lorsque M. Orlando est allé en février à Paris et à Londres résoudre les questions les plus urge
aribaldienne qui a eu lieu à Rome et à Milan et qui bientôt viendra à Paris , il y a un grand nombre d’œuvres d’art évoquant d
ns qu’après six ans on le gracia ; depuis il vécut presque toujours à Paris . En 1890, retourné en Italie, il participa à une
os eut une jambe cassée par une balle. Depuis sa guérison, il vécut à Paris , tout seul, de son poste de rédacteur à la Petite
yar, était d’élever le « querriegel » qui le couperait en deux. Rome, Paris , Londres et Washington n’avaient qu’à s’entendre
aux deux premiers actes, dans un village hollandais ; au troisième, à Paris . Au premier acte, Lodoletta, orpheline, fille ado
eçoit l’annonce inopinée de sa grâce. Que va-t-il faire : retourner à Paris , où l’attendent ses amis, ou continuer la délicie
onseille de partir et il obéit. Au troisième acte, nous sommes donc à Paris , dans la villa de Flammen, où l’on danse, où l’on
72 vient d’entrer au musée de Florence. Cette sculpture fut admirée à Paris en 1873. Sans médire de l’œuvre de Vincenzo Gemit
e de la sculpture contemporaine, à l’Italien Medardo Rosso, qui vit à Paris depuis vingt-sept ou vingt-huit ans et se tient à
14 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
XIX, numéro 325, 1er janvier 1911, p. 171-178 [178]. […] La Revue de Paris (1er décembre). — Les deux premiers actes de la «
ons qui lui seraient nécessaires. La tyrannie de l’usage populaire de Paris comme celle de la bonne société lui semblaient ég
méro 327, 1er février 1911, p. 618-623 [621-622, 623]. La Revue de Paris  : un inédit de Stendhal La Revue de Paris (1er
22, 623]. La Revue de Paris : un inédit de Stendhal La Revue de Paris (1er janvier) publie des fragments d’un Journal
n nécessaire de dépenser 200 000 francs uniquement pour faire venir à Paris , — dépouillant une fois de plus la province au pr
arinetti a traduit lui-même en italien son volume Destruction, paru à Paris en 1904. On sait que la vigueur et l’élan de ces
es rues de province. Je l’ai en quelque sorte appris, moi en venant à Paris , la ville lumière. Écouter se disputer deux Napol
La population est très faible pour la grandeur de la ville : imaginez Paris avec cent mille habitants. La campagne (et quelle
x. De même qu’on voit en ce moment, dans ce grand lieu trouble qu’est Paris , après la chute des croyances, des mystiques dése
es critiques. Lettres allemandes. Paul Heyse : L’Amour en Italie, Paris , Ernest Flammarion, fr. 0,95 Henri Albert. Tom
M. H. Ghéon : « M. d’Annunzio et l’Art. » Musique. La Saison de Paris  : Saint Sébastien Jean Marnold. Tome XCII, nu
empler sur nos murs des affiches où, sous l’intitulé Grande Saison de Paris , un Martyre de Saint Sébastien s’annonçait encadr
slave d’origine, jouit d’un accent tudesque insurmontable. Le Cri de Paris rapporte à ce propos une anecdote amusante. Il pa
tionnaire des esprits. Ubaldo d’Ardara a vécu les heures nouvelles de Paris , s’est laissé entraîner par l’orage de sang de la
. Car elle est plus terrible que le sanglier de la forêt, la femme de Paris . Cette œuvre, que les auteurs le veuillent ou n
s. Yolanda : Le Chrysanthème rose, France d’Andiffredy tr., Colin, Paris . — Antonio Fogazzaro : Leila, Hérelle tr., Hachet
r., Colin, Paris. — Antonio Fogazzaro : Leila, Hérelle tr., Hachette, Paris Les éditeurs parisiens continuent à publier un
p de conviction M. Marcel Raymond. On sait que le Bernin fut appelé à Paris en 1664 pour travailler au Louvre, mais les archi
llets russes qui depuis quelques années, chaque été, font courir tout Paris et pour la pièce de M. d’Annunzio, le Martyre de
et en administration. Laissons-les faire. Les Revues. La Revue de Paris  : mémoires de l’adjudant Lecoq des grenadiers de
Civita Vecchia fut dispersée à sa mort, mais celle qu’il possédait à Paris fut en grande partie léguée par Romain Colomb à A
ur les Couvents au seizième siècle, par M. P.- L. Jacob, bibliophile. Paris , H. Fournier jeune, 1829, in-8. C’est un volume d
lée) et à laquelle se rattacherait peut-être la circulation récente à Paris d’une copie ancienne de la Joconde, reproduite al
rovius : Promenades italiennes ; Palerme, Syracuse, Naples, Ravenne ; Paris , Plon, 3,50 Henri Albert. Tome XCIII, numéro 3
de Saint-Point : La Femme dans la Littérature italienne, E. Figuière, Paris Pour la première fois, Mme Valentine de Saint-
e. Paul Vulliaud : L’Humanisme au XVe siècle italien, E. Figuière, Paris L’essai sur l’Humanisme et le xve  siècle ital
nd esthétisme anglais, dont l’influence paraît devoir se renouveler à Paris par la faute de quelques « esthètes » trop violen
s-Tours, etc. Puis des échanges eurent lieu avec le Muséum central de Paris qui obtint, en retour de deux Guerchin, d’un Rube
ains d’art les plus distingués de l’Italie. Il n’est pas un inconnu à Paris et il est lui-même au courant des tendances de la
rcer l’admiration. C’est en mars 1912 que les futuristes exposeront à Paris . Nul doute que, s’ils veulent avoir recours aux m
est de 25 francs par an. 13. Bulletin du Comité historique, t. II, Paris , 1850, p. 119-125. Communication de M. Marcel Can
Histoire de la mise en scène dans le théâtre religieux du moyen-âge, Paris , Champion, 1906, p. 19. 35. Acte III, p. 42. 36
44. Voyez Châtelain, Recherches sur le vers français au xve  siècle. Paris , Champion, 1908, p. 217 et suiv. 45. Acte I, p. 
dessins, sculptures, meubles, etc. Introd. et catalogue par P. Vitry. Paris , H. Laurens, in-4, av. 122 reprod. 62. On trouve
15 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
nce en 1817, par M. de Stendhal, officier de cavalerie (1 vol. in-8°, Paris , 1817). Quand Stendhal, qui venait, dans son prem
célèbre compositeur Joseph Haydn, suivies d’une vie de Mozart, etc. ( Paris , 1814, in-8°) de plagier effrontément Le Haydine
à 1806 et la traduction de l’allemand des Anecdotes sur W. G. Mozart ( Paris , 1801, in-8°) par Cramer, quand Stendhal, disions
rale : De Henrico Beyle sive Stendhal litterarum germanicarum judice ( Paris , 1899, in-8°), M. A. Kontz a reproduit l’assertio
du reste que la réunion de leçons données à l’Institut catholique de Paris  : l’auteur s’y est placé à un point de vue ecclés
femme voit se tourner son mari ; elle écrit à son père, il accourt de Paris à Taormina, et, instigué par le monstre, il préci
io : « … Nous nous sommes transporté au cabaret du Lapin Agile, sis à Paris , rue des Saules, où, étant devant cet établisseme
cette consolation par mille soins qui ne me laissent pas respirer. À Paris , c’était le coup de la sonnette qui me faisait bo
oisifs inconnus et voyageant qui voulaient voir l’Odéon, en passant à Paris . Ici, je suis au fond d’un faubourg, à la porte d
ome-la-Magnifique non pas à Lutèce, « civitas philosophorum », mais à Paris , centre idéal et sentimental de l’action moderne.
t des représentations de la troupe Grasso à Marigny. On en fut ému, à Paris . On put s’apercevoir que dans le jeu de ces acteu
LXXXVI, numéro 315, 1er août 1910, p. 524-529 [529]. […] La Revue de Paris (1er juillet). […] « Les Reconstructions de Pompé
 LXXXVI, numéro 315, 1er août 1910, p. 571-576 [575]. Venu d’Italie à Paris , il projeta de monter par actions un théâtre. Cha
ses pérégrinations dans l’Italie du Nord, et, par le Simplon, jusqu’à Paris , et ses visites en Angleterre à Carlyle, à Coleri
ue doit la France à l’Italie dans la Littérature, par Umberto Maspes ( Paris , 1909). Petit catalogue bien fait des divers aute
Boulenger : Marceline Desbordes-Valmore d’après ses papiers inédits. Paris , Fayard, 1909. 28. Variante : emprisonnent. 29.
16 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
. Ce qui est certain, c’est que Claude de Ruet, fraîchement arrivé de Paris où il avait fait fortune, lui confia les motifs d
ra pour Monsieur de Fontenay, pour Monsieur Passart « me es-compte, à Paris  », pour Monsieur de Béthune, frère de Sully : Phi
rience, que de maintenir une attribution si manifestement erronée, et Paris n’est pas Chicago. » […] Tome XXXIV, numéro 
l’Épitaphe, ce quatrain : Je suis François, dont ce me poise, Né de Paris emprès Ponthoise. Or d’une corde d’une toise Saur
, O voi, ch’avete gl’intelletti sani49. Les Revues. La Revue de Paris  : Venise en danger ; un appel à tous les artistes
on peut voir les bois de Garches, la Malmaison, tous les environs de Paris , déshonorés… M. Robert de Souza (la Revue de Pari
us les environs de Paris, déshonorés… M. Robert de Souza (la Revue de Paris , 1er août) pousse un cri d’alarme qui devra réuni
nd, l’accable presque. L’incertitude, l’indécision qui le hantaient à Paris vont s’accroître, la poussière de la route secoué
leur a fait déjà recommencer celles qu’il pensait pouvoir adresser à Paris . Il y revient sans cesse et se lamente : « La foi
ntre deux toiles, sûrement la ville le captive. C’est si différent de Paris et de sa fièvre !… Comme tout est matière à gazet
s […]. Ils se virent peu toutefois, car Greuze s’apprêtait à regagner Paris , mettant fin par son départ à la belle passion qu
bon juron bergamasque dans la bouche… Frago peut maintenant revenir à Paris  ; il évoluera avec infiniment d’aisance parmi les
rrifié en lisant dans le Mercure les lignes rapportées de la Revue de Paris  : Venise en danger. Je ne vous cache pas que la b
17 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
lemand. Qu’on se figure la ville de Munich tout entière enfoncée dans Paris comme un bloc immense englobant quatre arrondisse
à cause de Métilde, et songeant beaucoup à se brûler la cervelle ». À Paris , où il se rendit, son seul plaisir était d’aller
émoires sur les 50 dernières années du xviiie  siècle. Tomes I et II. Paris , 1830. Imprimerie Cosson — il n’a paru que ces 2 
paru que ces 2 volumes. 2° Édition la seule complète, dit l’éditeur. Paris , 1833-1837, 10 vol. in-8, chez Paulin. 3° Bruxell
complète, dit l’éditeur. 4° Nouvelle édition Paulin, en 4 vol. in-12. Paris , 1843. Imprimerie Béthune et Plon. 5° Bruxelles.
lles. J. Rozez, 1860 et 1863, 6 vol. in-12 et en 1871, 6 vol in-8. 6° Paris , chez Garnier frères, 8 vol. in-8 (1879), et in-1
Mathieu Ferrari du Grado, qui illustra au xve  siècle l’université de Paris et dont la renommée était telle qu’il lui fut dem
itude. Deux Bohèmes italiennes sont actuellement dans leurs meubles à Paris . L’une s’est réinstallée à l’Opéra-Comique, l’aut
18 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
Italie Nous apprenons que, sous ce titre, vient de se constituer à Paris , un centre de groupes d’études en vue « d’aider a
d’écrire à M. le Directeur du Voyage d’Italie, 54, rue des Écoles, à Paris . Tome CXV, numéro 431, 1er juin 1916 Mu
ntité et Qualité » (qui est une conférence faite, en novembre 1913, à Paris ) contient l’idée-maîtresse qui est au fond de tou
 : l’Italie au Travail, de L. Bonnefon-Craponne (Pierre Roger, édit., Paris ). L’auteur vit depuis trente ans dans la Haute-It
portera des partitions. L’opérette italienne aura un théâtre à soi, à Paris . Les opérettes d’ouverture seront : Addio Giovine
soit digne de la grandeur morale apparente ? Rien. Pour une lettre de Paris assiégé, riche et magnifiquement colorée, combien
tte est une petite putain italienne qui devient danseuse et fameuse à Paris , et qui se hasarde jusqu’au fond de l’Algérie pou
Gabriel Maugain : L’Intervention de l’Italie dans la guerre actuelle, Paris , Champion éditeur Dans L’Opinion italienne et
politiques. Henri Charriaut et Amici-Grossi : L’Italie en guerre, Paris , Flammarion, 3 fr. 50 L’Italie en guerre comp
les sacs de la poste. Les ponts et les tunnels. La place de l’Opéra à Paris . Le Strand à Londres. Les circuits d’automobiles.
ette exposition annoncée à grand tapage qui eut lieu chez Bernheim, à Paris . Les seuls peintres viables y étaient Severini et
if et demi-français, mérita de pouvoir goûter l’Italie et de mourir à Paris , après avoir ridiculisé ses compatriotes selon la
19 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
 ; que celui-ci l’ait trouvée de soi-même, ou rapportée d’un séjour à Paris , comme un contemporain l’assure. Il en résulte qu
es états d’âmes qu’il décrit, et, en effet, lors de ses pèlerinages à Paris et à Londres, M. Cena eut plusieurs occasions de
nce un auteur dramatique n’écrit d’abord que pour un public, celui de Paris , et même pour une fraction de ce public, puisque
cette capitale de la pensée, du verbe, de la poésie, de l’art qu’est Paris chez vous ? Où est-il, le foyer d’où jaillissent
nt, qui ne passe par toutes les tortures de la Croix ! Pensez donc. À Paris , un auteur dramatique sait pour qui il écrit ; c’
ification de Flaubert et la curiosité sympathique du public, menait à Paris une existence de « faune dans les grands bois »,
e un instant, en France où on le voit à Lyon, à Moulins, à Saintes, à Paris , client de François Ier, puis étudiant appliqué,
C’est ainsi que pense le Prix de Rome auquel on reproche de penser à Paris . À qui penserait-il, s’il ne s’inquiétait de ceux
20 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
la plus subtile qu’il était possible à la peinture de réaliser, de ce Paris , considéré comme la ville de la joie et de la vol
olescents de tous les pays du monde. Il nous a donné l’apothéose d’un Paris transfiguré et glorifié, saisi, au coucher du sol
les plus profanes opéras ; Renan a plus d’onction que l’archevêque de Paris et voilà pourquoi le Syllabus de Pie X ne vaut pa
cle donné par la troupe sicilienne, en ce moment en représentations à Paris . Malia (le Maléfice) est un drame réaliste, qui n
’écrivains lit et commente tous les ans le vieux poème de l’Occident. Paris aura ses « lectures de Dante », à l’école des Hau
cas, ces comités italo-français, qui semblent se charger de fournir à Paris un surplus de mauvaises statues, dont Paris n’a v
t se charger de fournir à Paris un surplus de mauvaises statues, dont Paris n’a vraiment pas besoin, ont commémoré à leur man
antis En même temps, inaugurant la première Lectura Dantis créée à Paris , l’École des Hautes Études Sociales honorait, san
hodique du Poème qui est l’Évangile moral de la race méditerranéenne. Paris s’intéresse aux manifestations de la vie italienn
e. — Neera : Les Idées d’une femme sur le Féminisme, Giard et Brière, Paris . — Aurelio Ugolini : Viburnia, « La Vita Letterar
lement cela. Revenu de son ambassade en Portugal pour tomber en plein Paris des premiers jours de la Révolution, fort empêché
: « Le Salon des Artistes Français. » — M. E. Pilon : « Le Sourire de Paris  : les Fenêtres fleuries. » Échos. Léonard de
et ouvrage. Histoire. Ch. Gailly de Taurines : Benvenuto Cellini à Paris , sous François Ier ; H. Daragon Edmond Barthèle
qui s’étend de 1540 à 1545, et qui comprend le séjour de l’artiste à Paris , auprès de François Ier. M. Ch. Gailly de Taurine
lini est, en effet, « un document de premier ordre pour l’histoire de Paris à cette époque : description topographique des li
prit latin. La lumière même de Florence est identique à la lumière de Paris et à celle d’Athènes. Et si la littérature frança
es pour comprendre à quel point d’autres sièges plus fameux, celui de Paris par exemple, dont la population a tiré un excès d
Vinci et XXXI facsimilés de dessins et de croquis. Vol. in-18, 3,50, Paris , 1907. Les numéros des citations se réfèrent à ce
de de M. Marcel Reymond, Verrocchio, Lib. de l’Art ancien et moderne, Paris , 1906, et : Morelli, Della pittura italiana, Mila
21 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
t être la stupéfaction des membres du jury au concours de la Ville de Paris lorsqu’ils surent que le lauréat auquel ils venai
tes les points culminants de la vie du grand Polonais (Pologne, 1826, Paris , 1837, Majorque, 1839, Paris, 1849) ne pouvait tr
la vie du grand Polonais (Pologne, 1826, Paris, 1837, Majorque, 1839, Paris , 1849) ne pouvait trouver en Angiolo Orvieto qu’u
risien hors ligne, et voilà l’auteur de Il Vecchio presque toujours à Paris , où il se plaît à interwiever M. Delcassé et à s’
, numéro 153, septembre 1902, p. 775-784 [783, 784]. […] La Revue de Paris (15 juillet). […] Un drame de M. Marco Praga. […]
être dispersée ou, tout au moins, définitivement séquestrée sans que Paris ait eu le moyen d’en jouir. C’est la collection l
22 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
ni l’avait deviné, « È finita la musica ! », s’écriait-il en quittant Paris en 1837. Et, comme on lui demandait s’il reviendr
exception, si bien que Wagner pouvait écrire à propos de son séjour à Paris en 1842 : « Parmi les musiciens parisiens, je me
’idée de reprendre les Vêpres siciliennes et pria Verdi, de passage à Paris , de surveiller quelques répétitions. Verdi convoq
de parents toscans en Alexandrie d’Égypte (1888), a vécu longtemps à Paris , où il comptait des amis dans les groupes littéra
t qu’il étreignait. Rappelez-vous : il y a six ans, à l’Exposition de Paris , dans la section de la marine, l’empereur Guillau
ches et moutons. À 16 ans, après un amour malheureux, elle s’enfuit à Paris  ; M. Louis de Nussac a raconté ce voyage mouvemen
ariage de la fille du roi de Naples. Un riche Irlandais, de passage à Paris , admira cette robe couverte de magnifiques broder
mment sur la Favorite, la Fille du Régiment, fort goûtés jadis tant à Paris qu’en province. De retour en France, Ch. Malherbe
e CXXII, numéro 457, 1er juillet 1917, p. 138-145 [144]. La Revue de Paris (1er juin) : Giosuè Borsi : Lettres d’un officier
es jours, à la même heure, quelque taube, quelque aviatik planait sur Paris , rigide, impassible, inapprochable, et mitraillai
ère exposition d’art, exposition discrète où l’esthéticien qui vint à Paris , il y a quelques années, comme corrispondente del
’a vu à Rome tandis que les Ballets russes préparaient leur saison de Paris , après quoi il a été se faire blesser sur le fron
chargera « franco de commission » de tous transferts de fonds de et à Paris ou autres localités en France, pour compte de MM.
e, nommé commandant en chef des armées françaises en Italie, a quitté Paris le 19 pour remplir sa mission. Il se trouvera don
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
sa vie, sous le nom de la Charpillon, qu’elle avait rendu illustre à Paris , à Londres et dans toute l’Europe galante par l’é
lie et provocante, devait jouer un jour dans son existence. C’était à Paris  ; Casanova se trouvait dans une boutique d’orfèvr
24 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
u moins profondément, de la même curiosité malsaine. Le coup tiré sur Paris se répercute donc aussitôt à des milliers de lieu
sur Paris se répercute donc aussitôt à des milliers de lieues loin de Paris . Et Daudet ne s’est trompé qu’une fois, avec l’Év
a concordance entre les efforts des George Ancey, des Pierre Wolf, de Paris , et des Hauptmann, des Sundermann, de Berlin. Il
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
inlassable et une vanité dont il ne sent pas le ridicule. À Munich, à Paris , à Bruxelles, à Amsterdam, à Cologne, à Bonn, à S
e de cette étrange maladie du mouvement, qui l’entraîne de Florence à Paris , de Paris à Londres, de Londres à Saint-Pétersbou
étrange maladie du mouvement, qui l’entraîne de Florence à Paris, de Paris à Londres, de Londres à Saint-Pétersbourg, de Sai
26 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
et non un obstacle. Si tout le monde travaillait dix heures par jour, Paris serait Belleville ou Charonne : c’est sans doute
ant reçu une lettre de la main même de Louis XIV, se décide à venir à Paris . Et c’est ici que cela devient intéressant. Le ro
au milieu des campagnes merveilleuses qui ourlent la rivière ? De ce Paris qui gronde là-bas ? De ces maisons royales qui l’
eux des princes souverains qui se sont trouvés sur la route de Rome à Paris  ; mais, il faut faire pour un roi de France, un r
en plus, avec la permission de faire le fameux buste. Puis, il visite Paris . Oh, peu de choses l’intéressent. Naturellement i
27 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
atriotisme, son futurisme et sa sympathie pour la France. Ses amis de Paris savent apprécier son énergique propagande. To
3, 1er mai 1915, p. 160-163. Les journaux d’Italie ont grand succès à Paris depuis la guerre. Tous les gens qui parviennent,
éroulède, nationaliste sincère, aurait fait. Dans une autre lettre de Paris au Giornale d’Italia intitulée l’Opinion de l’Amé
ité. En quittant la Belgique à la fin d’octobre 1914 pour retourner à Paris , j’ai rencontré un Belge qui avait fui Anvers bom
servi trop longtemps en vérité aux banquiers grecs de Marseille et de Paris pour créer cet hellénisme dont les journalistes e
28 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXX »
avoir le temps d’écrire. Je partis de Milan le 13 novembre, arrivai à Paris le 27 novembre à 5 1/2. Great. — Le lendemain, ba
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 230, 15 janvier 1907 »
e de Wagram a payés pour la partie centrale : nous l’aurons bientôt à Paris , dans la galerie du Prince. Trois autres tableaux
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LIX. Musique à Naples »
oduits vécurent vers l’an 1726, temps où les mœurs étaient si gaies à Paris sous le Régent. Il est naturel de distinguer les
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
revivre la mode de décorer ainsi les appartements. À Naples, comme à Paris , quand la cour prenait le deuil, tout le monde, j
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Introduction] »
amours continuent jusqu’au 13 novembre, date du retour de Stendhal à Paris , son congé si heureusement rempli pour lui étant
33 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
’Annunzio, les imprimeurs d’art Perrette et Cie (91 et 93, rue Lepic, Paris ) mettent en souscription une eau-forte de Ricardo
 : Roland furieux. Trad. Hector Lacoche. 2 vol. Boyveau et Chevillet. Paris . — Vittoria Aganoor-Pompili : Esaù-Castel di Zocc
position définitivement établie des édifices. — M. Hoffbauer, dont le Paris à travers les âges fut naguère si justement appré
uchon les Élévations poétiques, les Élégies parisiennes, la Beauté de Paris  ; nous lirons le Soleil natal. Un amour serein de
Vénus d’Arles, le symbole de la race, tournant le dos à Notre-Dame de Paris , le poète s’écriait en montrant les champs et les
cher des abonnés à Londres12 pour une revue qu’il rêvait de publier à Paris avec Joubert, Fontanes connaissait Young aussi bi
des petites scènes de la grande comédie. « Cette année, en causant, à Paris , avec M. Ernest-Charles, un dreyfusard très conva
ieux, Hector Lacoche, trad Roux et Viarengo, et Boyveau et Chevillet, Paris . — Frédéric Mistral : Mirella, Mario Chini tr., F
d’un très grand et très réel intérêt pour les esthètes néo-romains. A Paris , a paru la traduction du Roland furieux, par M. H
ivait à son oncle qu’il avait donné un petit volume à un imprimeur de Paris , mais qu’au dernier moment, le sujet étant extrêm
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
à Athènes et à Rome, on sent palpiter dans une formidable synthèse, à Paris , l’antique Civitas philosophorum, centre du monde
évélées, que seul l’œil aigu du philosophe peut saisir, nous voyons à Paris . M. Papini est donc surtout, jusqu’ici, un semeur
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
re : L’Évolution intellectuelle de l’Italie de 1815 à 1830. Hachette. Paris . — Wagner : Epistolario. G. Petrucci, tr. avec pr
36 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
sation en Italie au temps de la Renaissance, trad. M. Schmitt, 2 vol. Paris , Plon, 7 fr. On sait en quelle estime Frédéric
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
es œuvres, dont les madones de Vérone et de la collection de Stuers à Paris sont le type, l’influence d’Antonio de Negroponte
38 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
s : et la Rassegna Internationale éditait ces jours en volume l’Art à Paris en 1900, où M. Pantini donne la mesure de son goû
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