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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXII »
tunes diverses et qui, depuis six ans, est employé dans le royaume de Naples , d’une manière active, a fait quelques notes, écr
t aucune remarque de ce genre pendant les 5 à 6 jours que j’ai habité Naples . Aussi ces détails peuvent être faux, mais enfin
que ce qu’impriment à Paris des gens qui n’ont jamais vu le soleil de Naples réfléchi dans cette mer charmante. Le gouvernemen
oleil de Naples réfléchi dans cette mer charmante. Le gouvernement de Naples a souvent changé et n’a jamais, je crois, été bie
ue fait naître le climat, pas trop courbés par les lois. Il y avait à Naples , avant la dynastie de Napoléon, des nobles de deu
qui se trouve là par hasard. On dit que beaucoup de grandes dames de Naples répondaient ainsi, sur du grand papier et en styl
ier et en style officiel, aux lettres aimables qu’on leur écrivait. À Naples , les hommes sont plus beaux que les femmes. Les f
es maris accompagnent leurs femmes. Il ne tiendrait qu’aux pédants de Naples de se réjouir de ce qu’il n’y a presque pas de fi
t fait tomber cet usage, qu’on commençait à abandonner. On est vêtu à Naples comme à Paris. Cependant il est facile de disting
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LIX. Musique à Naples »
Chapitre LIX. Musique à Naples Un prêtre qui avait quelque bon sens fit impri
re qui avait quelque bon sens fit imprimer, en 1803, un itinéraire de Naples . Je vais extraire ce qu’il dit de la musique et q
ginal in-8°, mais je n’ai pas le temps de rien observer par moi-même. Naples , 10 octobre 1813. Naples a eu quatre écoles de mu
pas le temps de rien observer par moi-même. Naples, 10 octobre 1813. Naples a eu quatre écoles de musique, mais en 1803 il n’
dimanche, au conservatoire de la rue Bergère. Les grands artistes que Naples a produits vécurent vers l’an 1726, temps où les
expression. Francesco Durante naquit à Grumo, village des environs de Naples . Il rendit facile le contrepoint. Son plus bel ou
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
culanum ont fait revivre la mode de décorer ainsi les appartements. À Naples , comme à Paris, quand la cour prenait le deuil, t
jusques aux artisans, se trouvait de la Cour et se mettait en noir. —  Naples a un grand nombre de boutiques de glaces et de ca
rsations les remplacent. (On appelle ainsi les assemblées à Rome et à Naples . 1813.) Les Napolitains sont très soumis au gouve
ance, a remplacé l’usage du vin. Le grand défaut des conversations de Naples est l’ennui. — Le gouvernement et les circonstanc
me aimables les nouvellistes. (Vrai. L. Contraste parfait : Genève et Naples . 1813.) Cela seul, aux yeux d’un homme attentif,
on y est peu avancée. Il y a loin de là au salon de Mme du Deffand. À Naples , on examine la conduite du gouvernement, on se pl
4 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXI »
Chapitre LXI Naples a aussi produit d’excellents chanteurs. On cite C
trouvait trop achetée par l’ennui. Caffarelli fit élever un palais à Naples , où il plaça cette inscription : Amphion Thibos,
à Naples, où il plaça cette inscription : Amphion Thibos, ego domum. Naples a aujourd’hui ses théâtres qui sont presque toujo
un souterrain. Tout le monde pense que la musique est actuellement, à Naples , dans un état de décadence.
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LX »
higénie, ce qu’il a fait de mieux pour le théâtre. — Gluck se forma à Naples . On sait que son genre n’est pas l’expression. Se
ouvrages sont pompeux et magnifiques et m’ennuient. David Perez, né à Naples , a composé un Credo qui se chante encore dans l’É
che fai, avec l’air qui le suit. — Bach, né en Allemagne, fut élevé à Naples . On l’aime à cause de la tendresse qui anime ses
rle pas de Cimarosa !… C’est qu’en 1803 il ne fallait pas le nommer à Naples .)
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Introduction] »
 98. La partie que nous donnons ici étant datée du 8 octobre 1811, de Naples , nous n’avons pas l’intervalle compris entre cett
s, nous n’avons pas l’intervalle compris entre cette date d’arrivée à Naples et celle du départ de Milan, précisée dans le Jou
re suivant. Stendhal, fort amoureux, passe ce long mois à Florence, à Naples , à Ancône dans l’impatience du retour et n’apport
Journal de Stendhal, à la page 410. Muet sur le séjour de Stendhal à Naples , ce journal se trouvera ainsi complété. Le récit
7 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
ateurs italiens. Angelo Conti : Sul Fiume del Tempo, R. Ricciardi, Naples Trois livres, parus presque en même temps, rév
nt être fécondes. Giovanni Papini : Il Pilota cieco, R. Ricciardo, Naples Le même éditeur qui a publié le livre de M. An
même éditeur qui a publié le livre de M. Angelo Conti, Ricciardi, de Naples , un jeune éditeur qui se consacre à une productio
cet ouvrage très remarquable. — S. Di Giacomo : Poesie, R. Ricciarda, Naples . — Vittorio Imbriaui : Studi letterari et bizzari
8 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVIII »
pour partir par le courrier du 11 octobre. (Elle me coûte 40 frs. de Naples à Terracine : on m’attrape de 4 à 5 fr.) Le soir,
, est l’ancien Vésuve, où l’on trouve les pierres qu’on travaille. De Naples , on ne l’aperçoit que de profil. Le Vésuve qui br
ujourd’hui est un peu plus élevé et à droite de l’autre. Le peuple de Naples crie à tue-tête et demande toujours. Les chevaux
9 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
tion de son intéressant recueil des Sonetti dell’Anima (R. Ricciardi, Naples ). — Orazio Bacci : Prosa e Prosatori, R. Sandron,
bert, P. Trinchera. Messine — G. Papini : Il Pilota cieco, Ricciardi. Naples — Comm. Dr. Diomede Carito : La Neurastenia nella
nel pensiero moderno (Étude clinique et sociale), Detken et Rocholl. Naples . — Antonino Anile : Sonetti dell’Anima, R. Riccia
Rocholl. Naples. — Antonino Anile : Sonetti dell’Anima, R. Ricciardi. Naples . — G. Gentile : Giordano Bruno nella storia della
10 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
st le récit que je lisais, il n’y a pas longtemps, dans un journal de Naples . Et ce curieux cortège, le châtiment imaginé par
nantes que j’ai vues au hasard de tant de promenades dans les rues de Naples , Aucune cité, en Europe, n’est aussi amusante : l
tendu pour les hommes modernes que nous sommes. J’estime que la rue à Naples est plus intéressante pour nous qu’une rue d’Orie
s reprises à l’auberge, dans un des quartiers les plus grouillants de Naples , du côté de la Pignasecca. Souvent dans la rue éc
dait plus… Les discussions entre commères dans les rues populeuses de Naples sont incessantes, et presque toujours elles prenn
s elles prennent naissance des enfants. Il y a des nuées d’enfants, à Naples , qui courent partout : une femme a donné une talo
manche, un enfant de chœur sonne, la rue s’agenouille. Quelquefois, à Naples , on entend une musique joyeuse, un orphéon s’appr
né par six ou huit chevaux habillés de draps éclatants. D’ailleurs, à Naples , tout ce qui tient à la mort ou à la religion est
es de fruitières, c’était naïf et touchant, c’était joli. On trouve à Naples , dans le quartier de San Domenico, une rue entièr
cieuse. De là vient peut-être que le socialisme a encore peu réussi à Naples . Le fond de haine qu’on peut y découvrir s’accord
ou de jalousie. Lutte de classe, voilà un mot bien dépourvu de sens à Naples . Ce sentiment religieux donne naissance à de bell
llard fait des grimaces aux enfants qui le regardent. § Mais la rue à Naples est constamment curieuse. De quelque côté que l’o
pas à pleurer. C’était naturel et sans désespoir. Parce qu’on était à Naples , à Naples par une soirée belle et chaude. Ce sont
rer. C’était naturel et sans désespoir. Parce qu’on était à Naples, à Naples par une soirée belle et chaude. Ce sont eux, enfi
ue des groupes disciplinés, et chantent librement, à Milan, à Rome, à Naples , leur volonté moderne de renouveau ; leur liberté
royante et tendre. Marino Moretti : Scritte, col lapis, Ricciardi, Naples De même, M. Marino Morelli, dans ses poèmes Sc
squ’il parvint à former, contre ce monarque, une ligue qui réunissait Naples , Milan, Florence, Ferrare et dans laquelle il fit
es italiennes, il excitait Charles VIII à faire valoir ses droits sur Naples (par le Comte du Maine, successeur de René d’Anjo
en laissant les hordes victorieuses traverser ses états, s’emparer de Naples où, en parfait politique, Charles VIII distribua
fallu voir les lieux où pria Zénaïde Fleuriot, vivre sous le ciel de Naples où aima Mathilde Sérao, visiter le Caire où l’aut
génie militaire de Masséna ; la seconde est la conquête du royaume de Naples au profit du roi de comédie, que fut Joseph. Mass
ées, ses finances et son étoile, Louis XII fait valoir ses droits sur Naples , dont le roi capitule. Au même moment, les Turcs
olie, compagne assidue du désir et de l’amour, n’est-ce possible qu’à Naples , Rome, Florence ou Venise ou dans les allées dése
8 [417]. […] La Grande Revue (10 février) : M. Eugène Montfort : « À Naples . » […] Musées et collections. Au Musée du Louv
ntent de la conduite des Vénitiens pendant les guerres de Milan et de Naples , résolut, avec l’assentiment de Maximilien et du
er son histoire. * Elle naquit en Sicile, mais son enfance s’écoula à Naples , où ses parents tenaient, près des ports, une aub
i n’étais-je pas comme eux ? J’évoquai son enfance dans la taverne de Naples , désirée par les matelots. Je l’imaginai esclave
en, en pleine liberté d’esprit et d’allures, de passer des rivages de Naples aux rivages de Grèce, de quitter les Madones de R
sont ensuite des crayons d’Italie (Rome, Venise, Porte de l’Arsenal à Naples , Pouzzoles) ; de M. M. Vilain les aquarelles nomb
ion seront divisés en chivatos (ce sont les « garçons honorables » de Naples ), postulanti (ce sont les picciutti’ e sgarro), g
entes « capitales » de la péninsule, à Milan, à Rome, à Florence ou à Naples , on chercherait vainement ceux qu’un véritable so
érêt littéraire ou artistique : […] Salvatore di Giacomo, the Poet of Naples , par Mrs Arthur Harter […]. Tome XCIII, numé
e Baïano (Le), chronique du seizième siècle, extraite des Archives de Naples et traduite littéralement de l’italien par M. J…
lemandes. F. Gregorovius : Promenades italiennes ; Palerme, Syracuse, Naples , Ravenne ; Paris, Plon, 3,50 Henri Albert. Tom
né Rome et ses environs, Mme Carrère nous présente Palerme, Syracuse, Naples , Ravenne, Capri, Castel di Monte, Sabine et l’Omb
nte, G. Puccini, Ancône. — Vincenzo Gerace : La Grazia, R. Ricciardi, Naples . — Grazia Deledda : Nel’ deserto, Treves, Milan.
Ode, R. Carabba Lanciano. — Biagio Chiara : Le Spose di Gesù, Bideri, Naples . — Guido Gozzano : I Colloqui, Treves, Milan.. — 
ue et Culture : Angelo Conti : Dopo il canto delle Sirene, Ricciardi, Naples . — Enrico Thovez : Il pastore, il gregge e la zam
— Enrico Thovez : Il pastore, il gregge e la zampogna, A. Ricciardi, Naples . — Giovanni Amendola : Maine de Biran, Éditions d
. 189-197. Angelo Conti : Dopo il canto dette Sirene, R. Ricciardi, Naples Le nom [de] M. Angelo Conti chante mystérieuse
raditionnel de la race. Vincenzo Gerace : La Grazia, R. Ricciardi, Naples La littérature spiritualiste s’enrichit, en It
e, Cortiletto all’ombra. Biagio Chiara : Le spose di Gesù, Bideri, Naples Et des sentiments identiques, des préoccupatio
Enrico Thovez : Il pastore, il gregge et la zampagna ; R. Ricciardi, Naples MM. Scaglione et Biagio Chiara écrivent une la
i d’Aix-la-Chapelle (1748), de deux états indépendants, le royaume de Naples et le duché de Parme, est un fait d’une valeur as
ondance. Depuis les premiers mouvements, marqués par la révolution de Naples en 1820, en passant par le grand soulèvement de 1
ien, en serait dans des ambitions bonapartistes sur la Toscane et sur Naples , ambitions qui auraient été réelles, et dont le b
d’autre part que les prétentions de la famille Murat sur le trône de Naples furent désavouées, en 1861, par le gouvernement d
édigée par Vasari. 9. Dans son ouvrage Usi e costume dei camorristi ( Naples , 1797, préface de Lombroso). Voir aussi El del in
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
Rome. Souv. Ég. Id. Id. 8 — Pompeï. Suppl. Journal. Id. Id. 9 — Naples . Journal. Id. Id. 19 — Ancône. Journal. Id. I
re Venise. Souv. Égot. — Journal Id. 4 nov. Milan. Corr. Id. Naples . Not. Colomb. Id. 18 déc. Paris. Corr. Id.
9 — * Terracine 10 — * Capoue 10 — Milan. Corr. 11 — * Naples 21 février * Ischia 25 — * Pœstum 5 m
11 — * Naples 21 février * Ischia 25 — * Pœstum 5 mars * Naples 9 — * Capoue 12 — * Velletri 13 — * R
uv. Égot. 1825 janv.-août Paris. Corr. 30 septem. Naples . Corr. octobre Paris. Corr. novembre Ro
ome). Not. Colomb. — Corr. — Brulard — Souv. Égot. Id. 14 janvier Naples . Corr. Id. février Ancône. Not. Colomb. Id.
12 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
se joue aussi bien place du Palais-Royal ou de l’Odéon, à Milan ou à Naples , et le théâtre psychologique anglais, allemand et
ain. La plus grande partie du volume est consacrée aux admirateurs de Naples (public très mêlé) et reproduit des descriptions
nt raconté la façon dont il fit la connaissance du critique italien à Naples , en 1893 : « Naples ! écrit-il, la ville grouill
ont il fit la connaissance du critique italien à Naples, en 1893 : «  Naples  ! écrit-il, la ville grouillante, vivante, chanta
rappelé les charmantes excursions qu’il fit avec Pica aux environs de Naples , Demolder poursuit en ces termes : « Un des livr
ls il a parlé des Français et des nôtres. Il en résulte que, dans son Naples ou dans son Milan, M. Pica était mieux renseigné
Nationale de Rome, M. Paolo Costa a découvert un exemplaire de Rome, Naples , Florence, avec des notes, des corrections, des c
me édition de 1826 parue chez Delaunay. La quatrième édition de Rome, Naples , Florence, parue chez Michel Lévy frères, à Paris
ue ; partant celui qui voudrait soigner une nouvelle édition de Rome, Naples et Florence qui soit réellement définitive et ref
ur la quatrième édition : J’aurais dû supprimer les Articles danse à Naples et prendre 30 pages à la fin du volume de la prem
. Il nous semble donc indiscutable qu’une cinquième édition de Rome, Naples et Florence doit contenir toutes les indications
llet 1906 Les Romans. Duchesse di Andria : Miettes, L. Pierre, à Naples , 3,50 Rachilde. Tome LXII, numéro 218, 15 juil
ées et nombre de collections particulières. C’est surtout au musée de Naples , en effet, qu’il faut étudier les objets artistiq
n ou dans la Collection Wallace ; ces douze Vues de Venise qui sont à Naples , cette merveilleuse Place Saint-Marc et cette exq
âteau royal, à la National Gallery de Londres, à Modène, à Bergame, à Naples , à Grenoble, à Berlin et dans nombre de collectio
on annuelle, dont bénéficient les compagnies maritimes de Gênes et de Naples . Que le Midi progresse réellement, qu’il s’arrach
ditions déplorables pèsent sur les habitants dans l’ancien royaume de Naples , pour qu’ils réussissent à se soustraire, sans un
s ralentissent encore leur marche dès qu’on a franchi Rome et surtout Naples . 40 kilomètres à l’heure constituent la vitesse t
escaliers. Des cités qui se soucient aussi peu de la salubrité, — car Naples n’est qu’un exemple entre cent, et le plus saisis
maigres salaires et n’aspire pas à améliorer son sort. Si l’on voit à Naples , sur les dalles du port, un peu moins de lazzaron
binés avec l’arbitraire bureaucratique. De la Sicile et du Royaume de Naples , la Maffia et la Camorra ont étendu leur emprise
le Midi paralyse l’essor politique du Nord, et comment le royaume de Naples , plié devant la monarchie, rebelle à toute pensée
œuvres scéniques de l’auteur du Feu. Le drame a été joué à Rome et à Naples , et finalement à Florence. Les amis du poète ont
à Rome. Il avait traversé la Lombardie, la Toscane, et poussé jusqu’à Naples . Il avait cherché les théâtres plus que les musée
13 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
e l’idéal disparaît des horizons de l’enseignement national. Bovio, à Naples , affirma à plusieurs générations d’Italiens sa fo
secolo, Sinatti, Arezzo. — Sergio Sergio : Dramma Epistolare, Priore, Naples . — Doct. M. Nuzzo : La Lingua italiana nella Camp
tion des chefs-d’œuvre par les conservateurs, les faits suivants dont Naples est le théâtre. Depuis deux ans environ, le musée
trouvait la sortie, et la sortie où se trouvait l’entrée. Au musée de Naples , il s’est occupé de la sculpture antique, comme l
pé des beaux boulevards modernes qu’on perce en renversant la vieille Naples si étrange et si pittoresque : les éminents perso
e en général. Je pourrais citer beaucoup de faits analogues à ceux de Naples , dont j’ai été le témoin dans tous les musées. Ma
i. Tiens, à Cagliari j’ai vécu un mois avec cinquante-cinq lire. Et à Naples , encore moins. Avec quarante-cinq lire un étudian
ire. Et à Naples, encore moins. Avec quarante-cinq lire un étudiant à Naples vit en monsieur. Là, personne ne te connaît, tu v
rencontrer, et il a de quoi se satisfaire avec les beaux ensembles de Naples et de Palerme, et surtout de Venise, de Florence
 juin 1905 Histoire. Charles Auriol : La France, l’Angleterre et Naples , de 1803 à 1806, Plon Marcel Collière. Tome LV,
France et les Bourbons, à qui elle avait reconnu en 1801 le trône de Naples , ne fut qu’un épisode de la lutte tantôt sourde,
’influence toujours croissante de la diplomatie anglaise à la cour de Naples qui, avant et depuis la rupture du traité d’Amien
hitworth, de Nelson, de Gallo, et de l’ambassadeur russe à la cour de Naples , Tatischeff, dont les intrigues amenèrent, à la v
n faisant annuler le traité de neutralité passé le 22 septembre entre Naples et la France. À l’appui de l’Angleterre, la dynas
force et la conscience de sa force. Alfredo Catapano : Interludio, Naples . Melfi et Joele M. Alfredo Catapano dans ses s
te. Le paradigme du rythme italien est là. Les chansons populaires de Naples ou de Sicile, comme les rispetti des campagnes to
son rythme en est toute la beauté. Riccardo Forster : La Fiorita, Naples . Soc. Ed. Meridionale M. Riccardo Forster évoq
a pas tout à fait tort. Archéologie, voyages. Pierre de Bouchaud : Naples , Lemerre, 3 fr. Charles Merki. Tome LVI, numér
601]. M. Pierre de Bouchaud a publié chez Lemerre un petit volume sur Naples , son site, son histoire, sa sculpture, qui est un
nnés et qu’il est possible de comprendre dans une histoire de l’art à Naples . Ici, la matière était neuve et l’on y sent quelq
t limité enfin à l’étude de la sculpture avec assez de raison, car si Naples possède environ trois cents églises, les plus rem
ue de la France. Les Journaux. Zola et M. Lumbroso (Il Giorno, de Naples , et l’Éclair, 27 août) R. de Bury [Remy de Gour
. 287-291 [289-290]. L’Éclair a ainsi résumé un article du Giorno, de Naples  : Le journal Il Giorno , que dirige Mme Mathil
Histoire de la Critique romantique en Italie. Éditions de La Critica. Naples Dans les Études de littérature, d’histoire et
14 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
iale ou particulariste, elle devient internationale. Elle s’adresse à Naples , à Rome, à Venise, à Milan ; jamais à l’Italie en
yage dans l’Italie du Sud et sur les deux rivages de l’Adriatique, De Naples à Pola : Naples — Pompéi — Raguse. Sur les Napoli
ie du Sud et sur les deux rivages de l’Adriatique, De Naples à Pola : Naples — Pompéi — Raguse. Sur les Napolitains : « Ils ai
io Pica vient de publier sur le même sujet, chez l’éditeur Pierro, de Naples . Je ne décernerai pas mon prix à l’un plutôt qu’à
i, qui, à son tour, en faisait un legs à la Bibliothèque Nationale de Naples , à la condition que cette dernière n’entrât en po
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVIII »
Chapitre LXVIII Retour de Naples à Rome, second séjour à Rome et route jusqu’à Anc
à Rome et route jusqu’à Ancône. Je partis (écrit le 20 mars 1813) de Naples le 11 octobre 1811, faisant au devoir le sacrific
16 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVII »
nte, pleine de chaleur. Mercredi, 9 octobre 1811. Je reste en ville. ( Naples , en 1803, avait, dit-on, 450 mille habitants. 181
té de Portici sont uniques au monde. Cela n’est pas exagéré ; j’ai vu Naples en dehors de la société. Tout y était mort pour m
17 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXII »
où j’écris ceci. J’ai vu le Palais. Tableaux négligés de Jordaens (de Naples ). J’ai vu le jardin construit en 1670, construit
ême sans la présence et le souvenir de Mme P., je préférerais Milan à Naples et à Rome. Grosseur et grandeur énormes de pins e
18 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
dron, Palerme. — Aldo De Rinaldis : La coscienza dell’Arte, Perrella, Naples . — G. Martegiani : Il romanticismo italiano non e
iste, Seebar, Florence. — Felice Tocco : Studi Francescani, Perrella, Naples . — A. Farinelli : Dante e la Francia, Hoepli, Mil
e. § 26 juillet. — De loin nous avons assisté au lever du soleil sur Naples . On vante beaucoup cette vue et ce spectacle. Cep
tites boîtes carrées, se superposant, manque d’attraits. On a comparé Naples vu de la mer à Constantinople. Ayant admiré cette
é dominé par ses cierges, comment comparer cette évocation mystique à Naples , qui semble un amas de pierres qu’aurait jetées p
mer, voilà le charme de cette vision ; mais est-il besoin de venir à Naples pour cela ? Il y a cent ports d’Orient qui font p
s’étendre, nous n’avons pu dormir. Ce matin, nous avons enfin touché Naples . On a débarqué les trois cents soldats ; puis le
, p. 561-566. Aldo de Rinaldis : La Conscienza dell’Arte, Perrella, Naples M. Aldo de Rinaldis publie dans son livre la C
au-delà de ses frontières. F. Tocco. Studi Francescani : Perrella, Naples Les études franciscaines continuent à se dével
re le ciel de sa nuée sanglante ; à l’aurore, la confiance renaît, et Naples , enivrée de vie et de lumière, etc. — Gabriel Han
ante préoccupation14, ne devraient-ils pas être traduits à Milan ou à Naples  ? Mais parmi les maîtres mêmes, si sans doute, no
est-il, hélas ! formé pour faire circuler par Gênes, Milan, Florence, Naples et Palerme une exposition des toiles des jeunes p
t de Sarlo. Antonio Beltramelli : I Canti di Faunus, Fr. Perrella. Naples Les Chants de Faunus, de M. Antonio Beltramel
rre Vierge. T. Ubertis (Térésah) : Il libro di Titania, R. Ricciardi, Naples . — Amalia Guglielminetti : La Seduzione, Lattes,
uzione, Lattes, Turin. — A. Anile : La croce e le rose, R. Ricciardi, Naples . — Luigi Siciliani : Poesie per ridere, Quintieri
, Milan. — Giulio de Frenzi : Il lucignolo dell’Ideale, R. Ricciardi, Naples . Ettore Romagnoli : Le commedie di Aristofane, Bo
e Çûdraka, Fraioli, Arpino. E. Cocchia : Saggi filologici, L. Pierro, Naples . — Antonio Labriola : Socrate, Laterza, Bari. — G
ur la société avignonnaise au milieu du xvie  siècle, les Archives de Naples et de Parme, où sont conservés les papiers des Fa
uperbe. Téresah (Térésa Ubertis), Il libro di Titania, Ricciardi, Naples Une autre analogie entre la poésie française e
demande où est la flamme. Remo Mannoni : Procellarie, Fossataro, Naples Le lyrisme de M. Remo Mannoni, qui doit être t
thèque des Curieux. — G.-A. Borgese : Gabriele d’Annunzio, Ricciardi, Naples . — Angelo Sodini : La Production de la culture en
lezza, Cœnobium, Lugano. — Enrico Cocchia : Saggi filosofici, Pierro, Naples . — Ugo Frittelli : Le Favole in prosa di Lessing,
n, 3 fr. 50. […] — Dr P. Bouloumié : Vingt jours parmi les sinistrés ( Naples , Calabre, Sicile), Calmann, 3 fr. 50. — Enfin il
sée […] (septembre-octobre) : article de M. A. Sambon sur le Musée de Naples  ; — (novembre) : Le Musée des Thermes de Diocléti
ronda, Treves, Milan. — Umberto Boggini : Fedra, Soc. Comm. Libraria, Naples . — Aldo Palazzeschi : Poemi, C. Blanc, Florence.
assez délicat de violation du droit d’auteur. L’éditeur F. Bideri, de Naples , fondant ses prétentions sur un billet laissé par
o, prince de Salerne, d’une des plus anciennes familles du royaume de Naples , s’était jeté dans le parti français après avoir
19 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
2]. Les Promenades italiennes de F. Gregorovius : Palerme, Syracuse, Naples , Ravenne, Capri, Castel del Monte, Sabine et Ombr
la domination angevine ; la colonisation arabe dont toute la côte de Naples garde l’empreinte ; les faits oubliés de l’occupa
du sang de saint Pantaléon, — qui bout comme celui de saint Janvier à Naples . Les Revues. Memento [extrait] Charles-Henry
avoir montré Virgile, tout jeune encore, étudiant les mathématiques à Naples et à Milan, il nous le fait voir passant dix-huit
ques à Naples et à Milan, il nous le fait voir passant dix-huit ans à Naples , en Sicile, dans la Campanie. « Pendant ces dix-
par ouï-dire que les désordres y sont fréquents (en réalité, c’est à Naples seulement qu’ils le sont). De là l’idée courante
mêmes principes que l’emploi de la claque, a été employé notamment à Naples , où les « camorristes » ont bruyamment manifesté
. 841-844 [842-843]. M. Eugène Montfort, qui connaît merveilleusement Naples , et sait nous le faire voir et nous le faire comp
ux mille visages et aux milles masques : La présence de la Camorra à Naples se décèle par une quantité de signes légers, pres
ice une fois et voici dans quelles circonstances. On sait qu’il y a à Naples une foule de petits fondeurs qui exécutent des co
ù Scylax vient de nous arrêter, c’est-à-dire à partir des environs de Naples . 6° Or voici que précisément un autre texte du po
e du poème appelle très vivement notre attention sur les alentours de Naples . Avant de se transporter à Schérie, nos gens « ha
établis d’abord à Cumes, sur le continent italien, à quatre lieues de Naples dans le couchant. 7° Or à qui fera-t-on croire qu
t 1912, p. 180-186. Enrico Corradini. Il Volere d’Italia. Perrella. Naples Le nom de M. Enrico Corradini n’est pas très c
nt à faire. Memento Giovanni Papini. Parole e sangue. Perrella. Naples . — E. A. Marescotti. Il fiume. Libreria Editrice
E. L. G. A. Milan. — Francesco Scaglione. Le Litanie Liriche. Bideri. Naples . — Luigi Siciliani. L’Amore oltre la Morte e altr
tal sur le ratiocinant. […] Archéologie, voyages. Ernest Lémonon : Naples et son golfe, collection des « Villes d’art célèb
déclamations enthousiastes de M. Ernest Lémonon, je ne crois pas que Naples , même en réunissant Naples et son golfe, soit à c
de M. Ernest Lémonon, je ne crois pas que Naples, même en réunissant Naples et son golfe, soit à considérer comme ville d’art
e ville d’art, — non plus que Dresde dont je parlais le mois dernier. Naples a surtout son admirable situation, la beauté de l
me la chapelle de Saint-Janvier, dont les reliques furent apportées à Naples en 1497 ; le château Saint-Elme ; le couvent de S
t encore pendant le xviie  siècle. — Mais tout cela en somme est peu. Naples fut bientôt envahie, submergée par le genre baroq
urtout séjourner dans la région, l’étudier et l’apprendre, — chercher Naples sous la gangue dont elle a été recouverte par le
ence. — Walter Pater : Il Rinascimento, A. de Rinaldis, tr. Riccardi, Naples . Divers : Giovanni Papini : Un uomo finito. Libr
ravailler, je ne serais troublé ni par le bruit, ni par les odeurs de Naples . Et j’avais loué… Maintenant je considérais les ê
e surpris un regard qui avait paru indiscret, qui avait effarouché… À Naples , il existe sur les croisées, par protection contr
trouble, je m’élançai sur ma terrasse. J’avais besoin de fraîcheur. À Naples , heureusement, la nuit n’est jamais trop chaude.
moi-même, le centre de ma vie, se questionnait avec anxiété. Mais, à Naples , comment rêver longtemps, en été, à l’époque où l
J’eusse voulu quelquefois me distraire un peu d’elle. Or, les rues de Naples ne portent pas au rêve, elles apprennent le vrai 
connaisse, et me présente à elle ; c’était bien improbable, puisqu’à Naples , je ne connaissais guère plus d’une dizaine de pe
t-ce alors qu’une coïncidence ; si, à ce moment-là, elle avait quitté Naples pendant deux jours ?… Eh ! comment le savoir ?… M
s ou le portier, me méfiant des commérages infinis du petit peuple de Naples . Je regardais d’en bas sa fenêtre, elle devait êt
t engagée entre nous. Je m’étais remis avec fièvre à la chercher dans Naples . Le matin avant déjeuner, j’allais à la Villa, où
ent survint, qui eut, comme on va le voir, de grandes conséquences. À Naples , les maisons sont recouvertes d’une couche de plâ
éterminé à me montrer. Et ensuite, avec quelle fièvre, à travers tout Naples , j’avais cherché à la rencontrer ; et la joie que
llements, fait fraterniser les poètes méridionaux groupés à Rome ou à Naples , et les poètes du Nord groupés à Florence ou à Mi
20 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
visite imprévue ? Elle ne venait toujours pas… Alors, je battais tout Naples à sa recherche ; j’étais désespéré. Ce furtif et
s d’amour, et que, depuis des semaines, les Survivances, l’antiquité, Naples , le monde entier, tout cela ne comptait plus. Je
n’avait encore aimé comme nous aimions. Mais pourtant si, éloignée de Naples , où elle avait toujours vécu, séparée de son père
le, vicomtesse de Gardanne. Il me demanda, là-dessus, qui je voyais à Naples . Je lui nommai certaines de mes connaissances. Il
u’un de le débarrasser de moi ; la Camorra n’existait pas pour rien à Naples . Et j’étais en Italie, dans la, vieille patrie de
allé dans un cabaret où je dînais parfois, et où la jeunesse dorée de Naples avait ses habitudes. Précisément j’y rencontrai C
puis quelque temps, je me repentais de ne m’être pas fait connaître à Naples sous mon nom véritable. Je le regrettais en consi
lui racontai que je n’avais pas dit mon nom, parce que j’étais venu à Naples pour travailler ; comme il se pouvait que ma fami
é, en regardant passer les rares élégantes qui se trouvaient encore à Naples à cette époque avancée. Des officiers, des jeunes
lques minutes, fut charmant, s’inquiéta de savoir si je me plaisais à Naples , et, quand il partit, voulut bien me dire qu’il e
urs gentilshommes, et sa famille une des plus anciennes du royaume de Naples  ; qu’il était riche, ce qui était assez rare dans
omme, un si aimable seigneur, non ! il ne l’avait pas envoyée loin de Naples  ! Pour quelle raison sa fenêtre, de toute la jour
s de me mettre à son ton. Il s’intéressait à ce que je lui disais sur Naples  ; il m’écoutait dans l’attitude aisée et courtois
r au Caffetuccio, il lui répéta ce que j’avais dit tout à l’heure sur Naples  ; il articula une foule de choses aimables sur le
tout le monde, heureusement, à cette époque de l’année, avait quitté Naples . Le marquis, qui possédait une propriété à Castel
pect superficiel de correction anglaise, à la mode dans la société de Naples , elle en était tout près, de la nature, elle étai
regret n’aille pas maintenant troubler nos joies ! Nous retournâmes à Naples . Je voulais prendre congé du marquis avant que d’
e tristesse au moment où le bateau qui nous emmenait en France perdit Naples de vue. Nous avions dépassé le Pausilippe, Capri,
ocuments nouveaux (Hachette, 3 fr. 50.) […] — Dans « Une révolution à Naples  » (1798-1800), et dans « Une Mission diplomatique
ment étudiée, du Marquis de Gallo, ce dévoué ministre des Bourbons de Naples dont le zèle sauveur méritait mieux, trompé et de
ons plus certaines ; on lui attribue une tête d’Euripide, du musée de Naples  ; l’art désormais représente la vieillesse, mais
, environ, est l’hermès double d’Hérodote et de Thucydide du musée de Naples , et le portrait devient réaliste, toujours avec u
Comédie. Giulio de Frenzi, L’Italiano errante, Casanova, Ricardi, Naples Encore une biographie d’un grand Italien : Cas
culte local de Hadès ou de Pluton à l’usage des premiers habitants de Naples , que Virgile s’est chargé d’immortaliser. Or, mal
toue, Parme, Modène, Gênes, Bologne, Lucques, Florence, Sienne, Rome, Naples , Innsbruck, Vienne-en-Autriche, ont livré des tex
21 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
rre . Nous avons reçu Cuore ed Arte, de Gênes ; la Tavola Rotonda, de Naples  ; Cronaca Nova, nouvelle revue sicilienne. […]
L’Innocente, par Gabriele d’Annunzio, con disegno di G. A. Sartorio ( Naples , Ferdinando Bideri). 2. Elegie romane, 1887-189
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
découvertes on vient, par un heureux hasard, de retrouver au Musée de Naples , et de reconstituer, le quadrige « très splendide
n. Par l’étude méticuleuse des restes du célèbre quadrige conservés à Naples , et des documents relatifs à la découverte de ces
23 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
Lettura et Natura ed Arte à Milan, le Marzocco, à Florence, Flegrea à Naples , d’autres revues sont en formation à Rome et à Mi
ux de Vérone, de Rimini, de Saluces, de Turin, de Parme, de Pavie, de Naples , de Milan, de Gênes, de Florence… Ils sont trop.
— Matilde Serao, donna Matilde, comme on l’appelle populairement à Naples , où elle est adorée, met le comble à son activité
let 1707 : « Les Allemans disent qu’après l’expédition du royaume de Naples ils viendront nous rendre visitte. Pour prévenir
et remplie. Gius. Gramegna : Un Statuaire, Revue franco-italienne, Naples M. Gius. Gramegna consacre quelques pages véhé
le consacré à l’Exposition internationale de Turin. 1. Musée de Naples . 2. Petit Journal, 1891. Il est caractéristique
24 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
t]. Tome V, numéro 29, mai 1892, p. 87-90 [87-88]. Le Don Marzio, de Naples , analyse, en son numéro du 4 avril, une conférenc
, juin 1892 Les Livres. Arte aristocratica, par Vittorio Pica. ( Naples , Luigi Pierro) R. G. [Remy de Gourmont]. Tome 
ence que donna M. Pica, le 5 avril dernier, au Cercle Philologique de Naples . Elle nous revient aujourd’hui, en une typographi
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVII »
déploient pour voler 10 sous. Ceci s’applique plus particulièrement à Naples . (L.) Une certaine rudesse inculte se fait sentir
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIII »
Chapitre LXIII La dernière classe du peuple à Naples est célèbre, dans toute l’Europe, sous le nom de
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXV »
de la rue de Tolède, on ne peut se figurer à quel point le peuple de Naples est criard, vif et gesticulateur. La danse, le ch
28 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
l’Académie des sciences morales et politiques de la Société royale de Naples ayant pour titre : « Le cause della guerra ». M.
a dû suspendre ses publications. Les autres jeunes revues : La Diana ( Naples ), La Brigata (Bologne), Le Pagine (Naples), La Mo
s jeunes revues : La Diana (Naples), La Brigata (Bologne), Le Pagine ( Naples ), La Montagna (Milan) continuent à grouper les no
, Tatihou par M. E. Perrier. Les Allemands installèrent un Aquarium à Naples , et lui firent comme d’habitude beaucoup de récla
cet état de choses ; l’Italie a mis sous séquestre le laboratoire de Naples , et a confié à des savants italiens sa direction.
, pris de nostalgie, Paesiello entreprit de revenir dans sa patrie. À Naples , Ferdinand IV le nomma son maître de chapelle. C’
La Nina pazza… sans allusion à la Grande Catherine. Il ne quitta plus Naples que sur l’ordre de Napoléon, qui l’accueillit aux
s ils sont tout de même bien vivants. Arturo Onofri : Orchestrine, Naples , La Diana La poésie italienne, après les ravag
s rythmes presque populaires. Gherardo Marone : Poesie Giapponesi, Naples , Ricciardi M. Gherardo Marone, avec l’aide de
troupes espagnoles qui, ayant à leur tête le duc d’Alva, partirent de Naples le 1er septembre et envahirent les États de l’Égl
il aurait décorée des antiques de la collection Farnèse (maintenant à Naples ) et relier le tout par un pont sur le Tibre condu
29 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
nne, Ravenne, Ferrare ne sont plus, la lutte s’est déplacée : c’est à Naples que les Écoles bataillent. Claude s’y rend. C’est
cutions, de lasser le Guide, qui s’est enfui. Si à Rome on bâtonne, à Naples on tue, et, dans peu, Ribéra et il cavaliere Lanf
élite donne à Flegrea un cachet du plus haut bon goût ; paraissant à Naples , la revue embrasse les manifestations intellectue
ustice à l’activité phénoménale de cet écrivain ; ainsi la Flegrea, à Naples , la Nuova Antologia, à Rome, et l’Illustrazione I
Amicis, qui n’ajoutent rien à la renommée de cet auteur. Flegrea, à Naples , continue sa marche puissante. Les dernières livr
en Italie par l’abbé Gougenot. Il venait d’y peindre, à son retour de Naples , deux tableaux expressément commandés pour l’appa
ide de pousser plus loin, en compagnie des deux amis. Il voit d’abord Naples avec Robert. À son retour, il doit repartir avec
à ce pensionnaire, puisqu’il l’emmène avec luy, vient de l’envoyer à Naples pour voir les belles choses que renferme cette vi
par saint-non, et dans son voyage pittoresque de naples. Ce furent à Naples « il cavaliere Lanfranco » et Solimène, aux Saint
30 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
: en principe très large, on fit cependant de la chaire d’Abignente à Naples une chaire d’« Histoire de l’Église ». Nommé memb
n jugement, qu’il attribue à Lingay, relatifs l’un et l’autre à Rome, Naples et Florence en 1817, par M. de Stendhal, officier
es réflexions littéraires. Pour ce qui est plus spécialement de Rome, Naples et Florence, combien le baron de Mareste exprimai
ernières trouvailles des écoles françaises. Quelques-uns parmi eux, à Naples , à Catane, donnent de temps en temps des œuvres o
représentations devaient être données à Milan, puis à Gênes, à Rome, Naples . Les appointements étaient de 7 000 francs. Il pa
précipité lui-même dans l’abîme où nous voilà. Il n’a le privilège de Naples , ni de Gênes, et son associé soi-disant millionna
que doctes, vulgarisateurs avertis plus que créateurs de systèmes, à Naples et à Florence, par des études et des traductions
oute que l’œuvre de M. Salvatore di Giacomo, récemment transportée de Naples à Rome, est intéressante. La langue populaire ne
st pris, condamné. Pour le voir de temps en temps, pour qu’il reste à Naples , elle se donne à un jeune greffier qui est parmi
age dans la Méditerranée, en 1833, lorsqu’il visita Malte, la Sicile, Naples , Rome, et vit Landor à Florence. Il narre l’impre
31 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
la luxure. Les grands meetings futuristes de Milan, Turin, Trieste et Naples , qui consistaient dans la déclamation des manifes
anthologie déjà signalée3 ; c’est Rome et l’Italie Méridionale (Rome, Naples , la Sicile, la Sardaigne, Malte) d’après les Gran
que M. Eugène Montfort fit à la Maison du Peuple, sur la « Chanson de Naples  ». Le directeur des Marges qui connaît Naples mie
le, sur la « Chanson de Naples ». Le directeur des Marges qui connaît Naples mieux que personne, à preuve son dernier roman, l
ieu du siècle, par Scheibe à Hambourg, comme par le comte Algarotti à Naples et par nos Encyclopédistes à Paris. Il ne manquai
e à Paris, au mois de mars 1760, comme secrétaire de l’ambassadeur de Naples , marquis de l’Hôpital, qui allait bientôt rentrer
n de Calzabigi qui, de son côté, faisait musiquer son Hypermnestre, à Naples , par l’Italien Millico, « non moins célèbre chant
étaient fait gloire les du Roullet ou les Moline, Calzabigi, rentré à Naples (où il mourait, en octobre 1795)35, éprouvât le b
gi… (1785). 34. Mercure de France, août 1784, p. 128-137. Lettre de Naples , le 26 juin 1784. 35. Calzabigi fut chassé de Vi
rs de la mise en scène d’Alceste à Bologne, en 1778. Il fut ensuite à Naples , où il tenta de faire accepter son système de lot
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIX »
tout cela avec ennui et lassitude. 1813) ne sont pas superbes comme à Naples . Ce sont des rochers arides.] C. C. citadelle ; t
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXI »
t passé dans mon cœur. Qu’on se rappelle que pour elle j’avais quitté Naples et Rome avec joie. Je ne lui ai pas dit les chose
34 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
ttendues dont les œuvres dramatiques de d’Annunzio ont été saluées. À Naples , on a enterré la Gloria sous les cris d’une foule
a représentation du Sogno d’un mattino di primavera. On est arrivé, à Naples , jusqu’à se battre en duel pour ou contre la Glor
d’Annunzio, dont on attendait des merveilles, est lourdement tombée à Naples  ; un désastre complet qui, pour ses proportions g
dans ce bouquet de verdure qui charme les yeux des étrangers venus à Naples pour s’aimer, se baigner, prendre l’air pur de la
« dans la petite rue San Maurilio. Stendhal écrit d’elle, dans Rome, Naples et Florence (ce curieux livre où il s’occupe d’ai
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
torico della Letteratura italiana. — V. A. Arullani : V. Hugo lirico. Naples . T. Pironti. — F. Torraca : La Divina Comedia. Mi
36 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
ination. Les Livres. L’Arte europea a Venezia, par Vittorio Pica ( Naples , Luigi Pierre) R. de Gourmont [Remy de Gourmon
 ». S’il est possible de se figurer à Turin, Milan, Florence, Rome ou Naples , à quel point, vue de la rue de l’Échaudé, cette
37 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
e le rocheux Misène et le vert Pausilippe, le magique amphithéâtre de Naples autour de sa rade bleue et sous ses cinq castels,
apprendra comment on vit ? Giacomo Gigli : Ombre di urbi, Pierro, Naples M. Giacomo Gigli, dans Ombre di nubi, se montr
de ses divers ouvrages […] Des Anecdotes italiennes, tirées de Rome, Naples et Florence, un des livres les moins connus de St
i, chez l’Auteur, Rome. — Enrico Corredini : Carlotta Corday, Pierro, Naples . — Francesco Chiesa : Liriche, Nuova Antologia, R
ca Frères, Turin. — G. Prezzolini : Il Cattolicismo rosso, Ricciardi, Naples . Tome LXXIII, numéro 261, 1er mai 1908
à Londres, le 12 mai 1828. Son père, ancien conservateur du musée de Naples , poète violemment politique et satirique, avait d
ossède en plusieurs cités des inscriptions commémoratives notamment à Naples , dans La galerie Umberto Ier, sur l’emplacement d
cité. Or, chose curieuse, l’auteur des Promenades dans Rome, de Rome, Naples et Florence, de l’Histoire de la peinture en Ital
ana, Rome. — Francesco Cazzamini Mussi : Piccole Prose, C. Fossatara, Naples . Tome LXXV, numéro 269, 1er septembre 1908
écadence lorsqu’elle est seule cultivée, comme c’était le cas dans la Naples du xviiie  siècle et du premier tiers du xixe . S
38 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
uvre et la Madone de Murano. La Madone de Venise et celle du musée de Naples surtout valent par cette recherche ornementale in
39 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
onier de l’Église et excommunié par le pape, à la solde de Sienne, de Naples , de Rome ou d’Aragon, de deux et de trois à la fo
part à la Campagne du Tyrol ; en 1884, pendant le choléra terrible de Naples , il enrôlait des volontaires et volait au secours
t être emporté d’Italie, jusqu’à l’eau potable, qui était expédiée de Naples dans des foudres de fer blanc faits exprès ; plus
40 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
tes. La Fata e la Musa. I Notturni. Leggende Reali, par C. Reina ( Naples , Luigi Pierro) Ce sont des vers, disant de bea
41 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
p. 286-288 [287]. Flegrea, la revue italienne bien connue, dirigée à Naples par M. Riccardo Forster, publiera régulièrement à
te petite danse ironique. Mes amis de Milan, de Florence, de Rome, de Naples … (voit-on assez que je suis un auteur lu dans les
42 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
abord composée surtout d’œuvres d’art antiques, avait été commencée à Naples à la fin du xviiie  siècle par le jeune banquier
l fut à Maddaloni. Amnistié par Victor-Emmanuel qui venait d’entrer à Naples , il reprend sa place dans son régiment. En 1860,
ille et Toulon ne peuvent aucunement être comparés à Gênes, Livourne, Naples , Palerme, Ancône, Venise et Trieste (sic). Maîtri
uro Farinelli, M. Guido Monacorda, de l’Université de Catane, puis de Naples . Mais infuser dans l’âme des jeunesses primaires
43 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
e Mercure manifesterait cette méfiance. L’illustrissime professeur de Naples se trompe : le Mercure, non moins que la France,
ix semaines et comportera des arrêts à Milan, Venise, Florence, Rome, Naples et Pise. Chaque groupe sera accompagné par un pro
s à définir : l’histoire ne nous donne pas d’indications très sûres : Naples , Venise, Florence Turin, sans compter Rome, quell
44 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
comédie ou d’un drame ? Dix principales : Milan, Turin, Venise, Rome, Naples , Gênes, Florence, Bologne, Palerme et Trieste. Il
duc Alexandre, après l’éphémère essai de restauration républicaine. À Naples , Charles-Quint penche décidément en faveur du bât
45 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
ceux qui errèrent de ville en ville, de Gênes à Venise et de Milan à Naples , trouveront un égal plaisir à lire Wayfarers in I
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