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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
i depuis son polyptyque de l’Annonciation (1357) jusqu’à la Madone du Louvre (1372) montre en ses figures un charme comparable
nonyme qui a peint les quatre tableaux de la Salle des sept mètres au Louvre , représentant des scènes de la vie de la Vierge e
urtant ont voulu, mais sans preuves décisives, voir dans un dessin du Louvre l’idée première de l’œuvre de Pisanello. La merve
tre Madone de Jacopo est au musée des Offices ; antérieure à celle du Louvre , elle se détache sur un fond uni au lieu du fond
e dessins, celui du British Museum qui est le plus ancien et celui du Louvre lui donnent une importance spéciale dans l’histoi
onello de Messine, dont les portraits de la collection Trivulce et du Louvre sont universellement admirés, Alvise arriva de so
2 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
ne Montfort : « À Naples. » […] Musées et collections. Au Musée du Louvre  : le Saint Sébastien de Mantegna ; […] le buste d
nrichir, ces temps derniers, le département des peintures du Musée du Louvre . Il ne s’agit de rien moins que d’un Mantegna et
s ne pouvons avoir la vue du tableau lui-même, auquel la direction du Louvre juge nécessaire de faire subir quelques réparatio
heure prennent l’évidence de la certitude. » C’est de ce joyau que le Louvre est entré en possession : par l’entremise d’un dé
artiste, M. Marcel Reymond a été amené à reconnaître dans un buste du Louvre catalogué comme œuvre de l’école française de la
fectés dirait-on, par les cris échappés du cabanon de Saint-Pol ou du Louvre . Cette époque devint folle de la folie de son roi
zio », par M. G. E. Müller. […] Musées et collections. Au musée du Louvre [extrait] Auguste Marguillier. Tome XCII, numé
417-423 [417]. Des œuvres précieuses viennent d’enrichir encore notre Louvre et d’y être exposées. En même temps que nous avio
e d’applaudir à l’élection, comme président de la Société des Amis du Louvre , de celui qui en avait été durant de longues anné
éreuse tradition des nouveaux présidents de la Société, il offrait au Louvre une charmante petite peinture siennoise, et il fa
ante petite peinture siennoise, et il faisait acheter par les Amis du Louvre un des chefs-d’œuvre d’Ingres : le Bain turc qu’o
eut abondamment étudier à la Galerie de sa ville natale, mais dont le Louvre ne possédait rien jusqu’ici, et c’est, par suite,
. On sait que le Bernin fut appelé à Paris en 1664 pour travailler au Louvre , mais les architectes français virent avec défian
 193-200 [193, 196-197, 198, 199-200]. Les Acquisitions du Musée du Louvre (suite) [extrait] […] les Musées de France, n°
e la nouvelle stupéfiante de la disparition de la Joconde du musée du Louvre . Nous ne pouvons aujourd’hui qu’enregistrer ce fa
dans le public que parce qu’on l’avait situé à la place d’honneur du Louvre . Mis au même rang que tel autre Léonard dans la g
’elle a toujours éveillée, le mérite de la Joconde, sa disparition du Louvre est une question étrangère à la peinture. On aura
ance a toujours des trous. Tant qu’on n’organisera pas la sécurité du Louvre comme la sécurité des caves de la Banque de Franc
France, des fuites seront possibles. Ce qu’il faudrait, c’est que le Louvre fût toujours plein de visiteurs, seule sauvegarde
usieurs catégories les députés : 1° ceux qui ne sont jamais entrés au Louvre  ; 2° ceux qui n’y sont entrés qu’une fois. Voilà
rnière chronique, la disparition de la Joconde, continue de mettre le Louvre en deuil. Après avoir espéré un instant qu’il ne
dû être perpétré et comment, après, avoir sans doute passé la nuit au Louvre , caché dans un réduit obscur longeant la salle Du
teur anonyme, 500 par M. Trubert et 25 000 par la Société des Amis du Louvre , pour récompenser le meilleur renseignement fourn
lleur renseignement fourni à la police et qui amènerait la rentrée au Louvre de l’œuvre tant regrettée, — la Joconde reste int
re mêlé de tant de divagations57 et à qui, paraît-il, on adressait au Louvre des lettres d’amour, ne soit entre les mains d’un
eau matin, cette copie, ou une autre aussi exacte, serait expédiée au Louvre , tandis que l’original se cacherait au fond du so
e aux doux yeux. Certes, d’autres merveilles nous restent qui font du Louvre un musée incomparable ; mais la Joconde était uni
ec le concours éventuel de l’administration des Domaines. Bien que le Louvre — on ne sait trop pour quelles causes — n’ait gén
, sous prétexte de dangers d’incendie, expulsé de ses appartements du Louvre , alors qu’on laissait dans le musée dix-sept ména
urs singulières — poussait aux représailles contre la conservation du Louvre , a compris qu’il fallait protester avec énergie c
e et d’indiscipline. Le distingué président de la Société des Amis du Louvre , M. Raymond Koechlin, en a fait la remarque : « L
ité la responsabilité de l’anarchie dont on se plaint ? Qu’espérer du Louvre , même gouverné par les meilleurs administrateurs,
onorables fonctionnaires, que rien ne désigne pour la surveillance du Louvre  — ne feront pas que nos richesses artistiques ser
ommes considérables si inutilement dépensées à cacher les tableaux du Louvre sous des glaces qui n’empêchent rien — que de les
et de les admirer ! La Joconde serait peut-être encore aujourd’hui au Louvre . Il existe, du reste, un moyen très simple de fai
s : c’est d’établir enfin, quatre jours sur six, un droit d’entrée au Louvre . Oui, je sais bien : il y a « l’éducation artisti
sement qu’il n’aura pas assez de deux jours par semaine pour aller au Louvre s’il en ressent le besoin ? Il faudra, de plus, s
es pour le musée — qui accorde à une maison de photographie d’agir au Louvre en maîtresse et d’y décrocher les tableaux quand
etc. Dépenses énormes ! dira-t-on : mais les trésors inestimables du Louvre ne les valent-ils pas ? Ce n’est pas trop demande
eureux et suscite à bon droit les plus vives critiques : désormais le Louvre ne sera ouvert que de 11 heures à 4 ou 5 heures,
e qu’il fait et le rôle qu’il devrait remplir, M. Péladan écrit : Au Louvre , on ne travaille pas : je ne nie point qu’on y fa
la longévité des chefs-d’œuvre. Or, prenez le programme de l’école du Louvre , vous n’y trouverez pas un seul cours pratique qu
ur aider à les découvrir, un membre anonyme de la Société des Amis du Louvre avait envoyé au Temps 59 une lettre pleine de réf
il concluait que le voleur (ou son complice) avait dû être employé au Louvre postérieurement à la mise sous verre des tableaux
aient, dans la matinée du lundi 21 août, bouleverser les habitudes du Louvre . Il est souhaitable que l’enquête judiciaire qui
écidée à montrer qu’elle ne tremblait pas plus devant les gardiens du Louvre que devant leur directeur : sept ont été enfin, p
mis hors de cause ; le dernier, qui, à deux reprises, n’a pas paru au Louvre durant quinze jours, sera blâmé par le ministre.
ement enlevés qu’autrefois. Exposition de récentes acquisitions du Louvre  ; le Saint Sébastien de Mantegna Tandis que su
enant de l’église d’Aigueperse et dont, au lendemain de son entrée au Louvre , nous avons entretenu les lecteurs du Mercure 60.
tion ?) — tout s’accorde à faire de ce tableau une des œuvres dont le Louvre aura le droit d’être le plus orgueilleux. Combien
le de San Zeno de Vérone et dont le centre, le Calvaire, est resté au Louvre . On ne déplorera jamais assez qu’on ait mutilé un
égocie avec la ville de Tours d’autres échanges pour faire rentrer au Louvre ces deux peintures qui n’auraient jamais dû en so
3 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
vision du maître de Borgo-san-Sepolcro. La madone de Francesca que le Louvre vient d’acquérir synthétise éloquemment ces tenda
sévérité de celle de Francesca. Il convient de féliciter hautement le Louvre et ses Amis de cette acquisition, L’homme et l’œu
deux têtes et deux ébauches à la National Gallery, — et la Vierge du Louvre . À Florence, il passe seulement, au sortir de l’a
l’extrémité de la pièce d’eau des Suisses. Il faillit toucher à notre Louvre , au vieux et admirable Louvre des Netezeau, des D
des Suisses. Il faillit toucher à notre Louvre, au vieux et admirable Louvre des Netezeau, des Du Cerceau, des Fournier, de Je
ui transmettre le désir du roi d’avoir un dessin pour l’achèvement du Louvre , ceux qu’il possède ne le satisfaisant pas. Craig
oyal… Le voilà au travail, décidé à frapper un grand coup. La cour du Louvre doit prendre la forme d’une croix grecque ; ce qu
ramide » que, l’an d’après, F. Dubois proposait d’élever au milieu du Louvre . Tout à ses importants travaux, il sort peu, mais
Enfin, le 17 octobre, le roi descend dans les fondations creusées au Louvre  ; le Cavalier lui présente la truelle et le bassi
mes. 2. Gaston Danville, Psychologie de l’Amour (Alcan). 3. Voir au Louvre le curieux petit panneau, où il a peint Pandolfo
tascheray de le porter à faire plusieurs dessins pour le bastimen du Louvre . » Et Créquy ne se trompe pas sur le malencontreu
4 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
italiennes du xive et du xve  siècle, fut ensuite répartie entre le Louvre , qui ne retint que 313 peintures, le musée de Clu
s, plus tard, en 1872, 141 autres pris sur ceux qu’avait conservés le Louvre . Cette dispersion, faite dans des conditions dépl
complété par une savante étude iconographique de quatre tableaux (du Louvre , de Besançon, Colmar et Montpellier), reproduits
5 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
……………………………………………………………………………………………… Il ne sait pas. Il se promène au Louvre . Quel est le plus chef-d’œuvre des chefs-d’œuvre 
poubelles, Vincenzo Peruggia cherchera lui-même. Et le voici dans le Louvre comme un naufragé dans une île déserte. Il s’orie
na… ? Alors commence la vraie promenade d’art. Il s’informe. Il va au Louvre , comme M. Barrès en Espagne. Il écoute les conver
n et le retour de la Joconde La voilà donc enfin revenue dans ce Louvre où nous n’espérions plus la revoir, et si la réce
elle, prétendait payer le service rendu ; — enfin la réintégration au Louvre où, après la cohue des curieux plus ou moins indi
s conditions du vol — accompli par un ouvrier anciennement employé au Louvre , qui connaissait admirablement le musée et les us
sciencieusement les empreintes digitales de tous les conservateurs du Louvre pour les comparer aux traces laissées sur la glac
’avait eu la malencontreuse idée de mettre sous verre les tableaux du Louvre . Avons-nous assez protesté ici (et encore dans no
manquait plus que ce nouveau titre à la réprobation des amis de notre Louvre . Puisse cette constatation lui porter le coup de
bia, de Laurana (une Tête de femme aux yeux baissés, sœur de celle du Louvre ), de Mino de Fiesole, de Desiderio da Settignano
e. Resté longtemps devant, écrasé par l’admiration. Notre merveilleux Louvre , il faut en convenir, ne possède pas un trésor pa
oris agréable, mais très connu. Musées et collections. Au Musée du Louvre  : les donations Martin Le Roy et Arconati-Viscont
du Conseil des Musées, pour ses collections qu’elle vient d’offrir au Louvre en totalité, le privilège de salles spéciales. El
ommes pas encore parvenu à admirer4. L’ensemble dont elle enrichit le Louvre aujourd’hui est heureusement d’une toute autre va
se à ceux qui vivent avec lui. Musées et collections. Au Musée du Louvre  : la collection Camondo Auguste Marguillier. T
16-623 [618]. Tout arrive : la collection Camondo, léguée au Musée du Louvre en 1911, a été enfin ouverte au public le 4 juin
nteur d’installation si l’on songe que les services d’architecture du Louvre , à qui incombe ce retard, ont mis plus de vingt a
6 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
ontrant chaque année au Vernissage tandis qu’on ne les voit jamais au Louvre . D’un autre côté, et non mieux informés, ont surg
ai 1899, p. 535-543 [535-540]. L’exposition temporaire des dessins du Louvre est consacrée, cette fois, à Vittore Pisano. L’au
rone, un saint Georges à la National Gallery, un portrait de femme au Louvre , sur lequel je vais revenir, et quelques médaille
verbiage de Vasari. Ce qui frappe, dès l’abord, à cette exposition du Louvre , c’est la quantité d’études d’animaux, oiseaux, c
son portrait, — ce petit panneau peint qui est là dans cette salle du Louvre et pour lequel elle pose devant le Pisanello : el
n a identifié celui de Lucretia Crevelli avec la Belle Ferronnière du Louvre  ; la figure pâle et anxieuse de Ludovic reste enc
craie rouge, dont on se souvient certainement pour peu qu’on ait, au Louvre , examiné avec quelque soin les dessins des vieux
t avec Léonard qu’on a pu lui attribuer le tableau de Sainte Anne, au Louvre . Voilà qui nous montre bien la manière dont Léona
tion, une extase prolongée. C’est alors qu’il peignit les tableaux du Louvre , ses œuvres les plus certainement authentiques, q
7 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
Gourmont]. Tome VII, numéro 40, avril 1893, p. 382-384 [383]. […] Au Louvre  : nouvelle acquisition : une peinture, école ital
ulpteur et médailleur. Les œuvres de cet artiste sont fort rares : le Louvre ne possédait de lui que quelques dessins. Ce port
8 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
, c’est un passage de la vie, non tumultueuse dans ses fêtes comme au Louvre encore dans les F. Guardi, mais de ce qui toujour
on des Latins de l’avoir révélée à nombre de gens. Art ancien. Au Louvre  : les nouvelles salles de dessins [extrait] Vir
réclamer à l’État. Pendant ce temps Versailles tombe en ruines et le Louvre n’a même pas de quoi faire réparer ses fenêtres e
oire, simplement ; jusque dans son privé, l’honorable conservateur du Louvre échappait aux caractères exclusifs et arbitraires
e de l’histoire de l’art, a une importance capitale. Il n’y a rien au Louvre qui marque cette date dans l’œuvre du maître. § U
e Samothrace. Conservateur des Antiques et de la sculpture moderne au Louvre , il mourut doyen des deux Académies des Inscripti
9 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
oubew, des deux livres d’esquisses de Jacopo Bellini que possèdent le Louvre et le British Museum. Les dessins du Louvre avaie
Bellini que possèdent le Louvre et le British Museum. Les dessins du Louvre avaient été publiés les premiers, — quoique le vo
re des dessins du Musée Britannique (les Dessins de Jacopo Bellini au Louvre et au British Museum : 1re partie. Bruxelles, G. 
nu, après la mort du peintre, à son fils Gentile. Tandis que celui du Louvre (trouvé à Constantinople au xviiie  siècle) y fut
htingale », par Mme Dora Melegari. Les Journaux. Deux portraits du Louvre (La Liberté, 9 août) R. de Bury [Remy de Gourmo
e CV, numéro 389, 1er septembre 1913, p. 172-178 [176-178]. Il y a au Louvre , au sommet de l’escalier Daru, auprès de la Victo
chapitres de son livre : les Masques et les Visages à Florence et au Louvre , et M. Étienne Charles a résumé dans La Liberté,
es a résumé dans La Liberté, en un article intitulé Deux Portraits du Louvre , ce qui concerne cette question. Après nous avoir
enzo Tornabuoni, en 1486, furent détachées en 1882 et transportées au Louvre , l’auteur fait une description de ces peintures e
on image jolie et dolente sur une médaille. Sur la fresque qui est au Louvre , Botticelli a représenté, au bas, à droite, un pe
ait vingt-neuf ans. Après avoir lu ces lignes, nous retournerons, au Louvre , interroger le visage de ce couple tragique dont
compliquent et l’enrichissent. Musées et collections. Au Musée du Louvre  : un nouveau Signorelli Auguste Marguillier. T
remerciements, et les plus chaleureux. Ses votes viennent de doter le Louvre de deux œuvres importantes — dont l’une est un me
surtout si l’on fait abstraction par la pensée (les restaurateurs du Louvre , plus scrupuleux que ceux des musées allemands — 
passions qui remplirent leur vie. Cette fois, c’est À Florence et au Louvre (Portraits célèbres de la Renaissance italienne)
sous laquelle il est emprisonné — dans les fresques de Botticelli au Louvre provenant de son ancienne villa ; la belle Simone
s peintures destinées à décorer son Studio et qui sont aujourd’hui au Louvre  ; Balthazar Castiglione, dont le portrait par Rap
hazar Castiglione, dont le portrait par Raphaël occupe aujourd’hui au Louvre la place de la Joconde et dont le Cortégeant est,
che du tableau le titre : Naissance de la Vierge, qu’on sait bien, au Louvre , être erroné ?
10 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
tistes vivants : Medardo Rosso. Musées et collections. Au Musée du Louvre  : une tête grecque attique Auguste Marguillier.
l’original de l’Apollon dit « Choiseul-Gouffier », que possède notre Louvre et en pendant duquel, à bon droit, on a placé la
ni. Ces trois incomparables chefs-d’œuvre, longtemps convoités par le Louvre , lui ont malheureusement échappé pour passer dans
le regretter que, malgré notre richesse en œuvres du Titien, rien au Louvre n’eût fait double emploi avec le portrait du Card
uzzo, sont traités merveilleusement. Notre regret de ne pas savoir au Louvre ces deux chefs-d’œuvre s’augmente de ce que presq
née de celui-ci, Cécilia, avait épousé Tiepolo en 1721. Encore que le Louvre ne possède rien de comparable à la toile du musée
ment elle complétait pour un temps trop court l’enseignement de notre Louvre , pour les amateurs ; mais aux artistes modernes e
ro 286, 16 mai 1909, p. 359-367 [360, 363-364, 366-367] Au musée du Louvre  : la collection Victor Gay [extrait] Citons, p
[extrait] Citons, parmi les plus belles pièces recueillies par le Louvre  : une exquise figure d’ange, fragment de retable,
M. Victor Goloubew au célébré recueil de dessins de Jacopo Bellini au Louvre . (Les Dessins de Jacopo Bellini au Louvre et au B
essins de Jacopo Bellini au Louvre. (Les Dessins de Jacopo Bellini au Louvre et au British Museum : 2e partie25 ; in-folio, 10
nce des origines de la peinture vénitienne, fut acquis en 1884 par le Louvre grâce à la perspicacité de Courajod. Il se compos
charme de coloris comparable à celui du Couronnement de la Vierge du Louvre et dans un état de conservation exceptionnel […]
album, avec 4 pages de notices. Une récente série, consacrée à notre Louvre , renferme les œuvres suivantes : le Mariage mysti
e de 16 reproductions. 25. Cette 2e partie, consacrée aux dessins du Louvre , est en réalité la première parue ; le volume aya
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
llée. Les élèves, en nombre très restreint, avaient leurs ateliers au Louvre et travaillaient avec les maîtres dans une fructu
12 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
Titien, évoque aussitôt le souvenir de la Vénus du vieux Rembrandt au Louvre et de la Fiancée Juive. Je me permets pourtant d
tendu, rendre Raphaël responsable des croûtes de la grande galerie du Louvre comme les portraits de deux hommes ; mais le trop
13 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
ues, l’orgueilleuse sottise et la laideur de la nôtre. Au Musée du Louvre [extraits] Au Musée du Louvre, — où l’on vient
laideur de la nôtre. Au Musée du Louvre [extraits] Au Musée du Louvre , — où l’on vient enfin de rétablir l’ancien horai
s Musées nationaux, a tirés de sa belle collection pour les offrir au Louvre comme un témoignage de sa confiante affection. Ce
a, neuf entrèrent au Musée Brera à Milan ; d’autres fragments sont au Louvre (deux lunettes acquises en 1863, et la charmante
le Futurisme, de M. R. Le Brun. Musées et collections. Au musée du Louvre [extraits] Auguste Marguillier. Tome XCVII, nu
mai 1912, p. 425-432 [425, 426-427]. Les enrichissements constants du Louvre continuent — et nous nous en réjouissons — de réc
et émouvante. De telles acquisitions sont des plus précieuses pour le Louvre  ; Mme Mary Logan écrit avec raison15 que c’est là
dré Michel, A. Pératé et G. Migeon sur les récents enrichissements du Louvre que nous avons mentionnés dans notre dernière chr
dorée de Saint-Paul-hors-les-Murs, et qui vient également d’entrer au Louvre . Échos. Une lettre de M. G. Hérelle 443-448 =
’aller voir en place à Venise et qu’il est médiocrement représenté au Louvre . Sans doute ! mais enfin, le Louvre donne de Tint
il est médiocrement représenté au Louvre. Sans doute ! mais enfin, le Louvre donne de Tintoret au moins une idée juste. M. 
Tome C, numéro 370, 16 novembre 1912, p. 411-418 [412-413, 417]. Le Louvre invisible [extrait] […] D’autre part, il faut
e part, il faut bien avouer que les toiles actuellement proscrites du Louvre ne sont pas toutes des chefs-d’œuvre : il nous es
ul spécimen de Mola et de Louis Carrache, le chef de l’école, dont le Louvre possède cependant le chef-d’œuvre, la Vierge de S
e m’en sens pas le courage. » 15. Le Nouveau tableau de Bellini au Louvre (Gazette des Beaux-Arts, mai 1912, av. reprod. ho
14 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
Remy de Gourmont]. Tome V, numéro 29, mai 1892, p. 90-92 [90-91]. Au Louvre , on fait cuire avec le plus grand soin, dans l’ét
 ; un Luini : un Benvenuto Tisi. Il paraît que les fameux greniers du Louvre renferment, sous triple cadenas : i° 30 à 40 Moys
15 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
nsions, est à trente mètres de hauteur. Enfin, et c’est le comble, le Louvre , si pauvre en maîtres allemands, ne possède en to
16 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
nunzio appelle Léonard le Mage, et une gravure de la chalcographie du Louvre représente, d’après un dessin du maître, le grand
or]. Tome LXXII, numéro 259, 1er avril 1908, p. 544‑546. L’entrée au Louvre il y a quelque temps déjà des deux peintures repr
e possible, ainsi que cela a pu se produire pour les deux tableaux du Louvre . Lettres italiennes Ricciotto Canudo. Tome 
les vieux tableaux de maîtres. Musées et collections. Au musée du Louvre  : acquisition d’un nouveau tableau du Greco ; prê
emps seulement : M. le comte Potocki, qui avait prêté l’an dernier au Louvre , comme gage de ses généreuses intentions pour l’a
à résumer en quelques sonnets ses plus fortes impressions du musée du Louvre  ; entre autres : POUR UNE PASTORALE VÉNITIENNE
e ; entre autres : POUR UNE PASTORALE VÉNITIENNE par Giorgione (au Louvre ). De l’eau, pour l’angoisse du solstice : — et E
ourrait bien n’être qu’une copie plus ou moins ancienne du tableau du Louvre , n’avait pas dépassé le prix de 6 300 fr., en 189
e ses admirables portraits, comme ceux du Vieillard avec un enfant du Louvre et de Giovanna degli Albizzi de l’ancienne collec
17 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
pour un chef-d’œuvre absolu du portrait le Castiglione de Raphaël au Louvre . Si l’œuvre a un grand air décoratif elle manque
18 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
 LIV, numéro 187, 1er avril 1905, p. 440-444. L’école vénitienne au Louvre Le Louvre si abondamment pourvu de peintures d
187, 1er avril 1905, p. 440-444. L’école vénitienne au Louvre Le Louvre si abondamment pourvu de peintures de la décadenc
le don de M. de Vandeuil pour que Bellini entrât enfin réellement au Louvre . Le portrait d’homme qui est mis au catalogue tou
si l’attribution du musée de Douai est quelque peu hasardée, celle du Louvre paraît juste. L’artiste a signé l’un de ses table
hoff et Gronau ont retiré au Giorgione le fameux Concert champêtre du Louvre pour l’attribuer à Domenico Campagnola. Toutes le
intoret. Titien et Véronèse sont du reste parfaitement représentés au Louvre . Seul Tintoret nous manque presque complètement,
19 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
t son érudition à ce sujet est hors de doute. Ses cours de l’École du Louvre , puis ceux du Collège de France lui ont valu l’ad
6 [550-551, 554, 554-555]. Exposition des nouvelles acquisitions du Louvre [extrait] En attendant que le Louvre brûle, le
des nouvelles acquisitions du Louvre [extrait] En attendant que le Louvre brûle, le département des peintures vient d’expos
en charme physique. Mantégna, l’admirable maître, dans son tableau du Louvre , où Mars et Vénus assistent à la danse des Muses,
en peignant pour son compte des tableaux comme son École de filles du Louvre . Tandis que Canaletto et Guardi retracent l’aspe
20 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
franchement la beauté des anciennes pages, écritures ou peintures. Au Louvre , les admirations des étrangers (qui seuls entrent
21 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
fermes portraits tels que le Vitellius — non point le beau garçon du Louvre  — mais bien celui du Vatican, si l’on consulte le
22 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
s dans la montagne (Offices de Florence) et les rudes Moissonneurs du Louvre . Il vient d’arriver à Venise. Voyez-vous ce paysa
eil et de passion, la Déesse… Et cette figure-là, vous l’avez vue, au Louvre , dans le Salon Carré : c’est la femme du grand Gi
sous la jolie Madone récemment acquise après tant de tribulations. Le Louvre ne possède aucune œuvre de Piero della Francesca.
23 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
urg [extrait] Comme son collègue du département de la sculpture au Louvre , dont nous avons dit dans notre dernière chroniqu
Zeno, de Vérone, dont le morceau central de la predella est encore au Louvre , ayant été morcelé, le musée provincial de Tours
s l’avaient été d’Italie. En 1815, on ne sait comment, le Calvaire du Louvre , la Résurrection et le Christ aux Oliviers de Tou
24 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
. Le duc, très lié avec l’impératrice Eugénie, le lui propose pour le Louvre  : il en demande un million. Ceci se passait en ma
25 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
s méritent d’être tirées hors de pair. C’est, d’abord le legs fait au Louvre par le grand amateur, russe de naissance mais par
ait demandé son possesseur, le roi de Naples, lorsqu’il la proposa au Louvre à la veille de la guerre de 1870, et que Pierpont
26 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
de Pompéï, bijoux et ustensiles, terres cuites, marbres, bronzes ; au Louvre nous possédons grâce à M. de Rothschild l’inestim
azzetta qui se rencontrent à Vienne, ce Palais Ducal dont s’honore le Louvre et tant d’autres visions des canaux, de l’Arsenal
27 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
t de ne plus voir en lui l’occultiste traditionnel, qu’ils aillent au Louvre affronter le regard du Saint Jean à mi-corps, son
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