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1 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
alie se range parmi les nations neutres. Il semble qu’on s’attende en France à ce que cette attitude ne puisse être que tempor
rs de l’agression. Il ne convient pas d’insister sur le profit que la France , et les autres belligérants retirèrent tout de su
à l’improviste, au moment où elles pouvaient le moins se défendre. La France se débattait dans des dissensions politiques regr
tte attitude : son patriotisme, son futurisme et sa sympathie pour la France . Ses amis de Paris savent apprécier son énergique
ée un moment par la résistance héroïque des Belges et se ruant sur la France avec un redoublement de fureur ; c’étaient les cr
art du courant de sympathie qui portait l’Italie vers la Belgique, la France et l’Angleterre. Les têtes s’échauffaient, les pa
que 45 ans, l’extrême jeunesse pour une nation. Et il est permis à la France , qui date du temps de Louis XI, d’avoir pour elle
e monde depuis six mois ! De la guerre engagée entre l’Angleterre, la France , la Russie et la Serbie, d’une part, et d’autre p
acun sait, la neutralité bienveillante que l’Italie observa envers la France dès le début de la guerre, notait tout l’étendue
ées dans l’orbite d’une de ces deux puissances. Il est naturel que la France et l’Italie aient fait leur choix dans le même se
olitique de la Voce précise les nouveaux rapports de l’Italie avec la France . Si l’Italie avait fait alliance avec l’Allemagne
ais ils désirent que leurs concitoyens soient traités avec justice en France et dans les colonies françaises et que leurs ouvr
nouvelles écoles, ni même développer celles qu’ils y possèdent, et la France n’a point étendu à la Tunisie sa législation prot
er des avantages que les Abyssins ont concédés à l’Angleterre et à la France en haine de l’Italie (il s’agit notamment du chem
re la participation directe de la masse au Gouvernement de l’État, la France et l’Angleterre sont plus démocratiques que l’All
amis. Maintenant que l’Italie est devenue officiellement l’amie de la France , les Français ne sauraient prendre de mauvaise pa
lque valeur. Grandes apostrophes à chaque ligne : Oh ! les soldats de France  ! Oh ! mourir pour la patrie ! Ah ! la joie de ch
sur la nécessité de reconquérir les frontières ethnographiques de la France , n’avait qu’un devoir : s’enrôler aussitôt la mob
évoque dans cet article, un jeune écrivain américain, partisan de la France , émet des considérations très intéressantes sur l
es distributeurs de la science, les organisateurs de l’industrie. La France n’a rien su opposer de sérieux à cette propagande
able ce que nous voyions et voyons encore faire un peu partout (et en France non moins qu’en Allemagne) par quelques savants é
s articles qui me viennent des pays alliés, et particulièrement de la France , et que j’y vois opposer au développement effecti
ald donne lieu dans la presse allemande le silence prudent observé en France . En France, le reniement a été silencieux. Ce n’
eu dans la presse allemande le silence prudent observé en France. En France , le reniement a été silencieux. Ce n’est pas pour
reprises des souvenirs de ses voyages faits en Europe et notamment en France pour préparer la réunion internationale des socia
total qui s’est opéré dans l’opinion publique. On ignorait Thalie en France et ceux qui avaient visité le pays étaient ceux q
réer cet hellénisme dont les journalistes et les hommes politiques de France ont usé sans modération pour molester l’Italie, s
a poussé activement l’Italie à participer à la guerre aux côtés de la France , traduit la belle lettre envoyée du front par un
t l’Avanti ! s’associant publiquement à la protestation qui réunit en France et dans les pays alliés ceux qui estiment que la
nsulter publiquement sous le régime de « l’union sacrée », dans cette France qui n’a pas perdu son ancien renom de générosité
propice pour la consommation du grand crime prémédité, la Russie, la France , l’Angleterre, la Belgique, l’Italie se sont trou
2 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
erdi (1567-1643), représentée à Mantoue en 1607. Première audition en France le 25 février 1904. » Voici un programme à conser
me in-8 des Extraits des Manuscrits de Léonard de Vinci, conservés en France , nouvellement traduits et ordonnés. La première é
ait déjà discerné les traits généraux de la figure géographique de la France  ; il avait noté leur harmonie ; il considérait la
e quand on y parlait plusieurs langues et des centaines de patois, la France existait ; l’Allemagne, malgré sa quasi-unité de
le climat, a fait les Méridionaux. Mais c’est à l’Est surtout que la France se rattache. « La substance même de notre civilis
continentale. La période organique où s’élabore la personnalité de la France embrasse une énorme série de siècles d’influences
étend au loin ses racines sur le continent. » Et il dit encore : « La France a éprouvé du côté de l’Allemagne une difficulté p
quer ses limites. » Et encore, ce qui est d’un style admirable : « La France a participé, vers l’Est, aux palpitations d’un gr
dans le nord de l’Afrique. Il s’est toujours produit, dirigé vers la France , un irrésistible courant d’émigration, et cela dè
ations et de commerce ayant relié la partie du continent qu’occupe la France à celle qui s’étend vers l’est par le Danube ou p
ec l’Ibérie et l’Europe centrale. » Mais tous ces mouvements vers la France , arrivés en France, mouraient ou se fondaient dan
rope centrale. » Mais tous ces mouvements vers la France, arrivés en France , mouraient ou se fondaient dans le mouvement orga
les plus diverses. Un Sicilien et un Hollandais peuvent retrouver en France leur climat natal. Ils s’attachent facilement à u
encore aujourd’hui en Orient. Il serait peut-être juste d’appeler la France , un pays romanisé ; il est absurde de l’appeler u
uistique française s’est exercée dans presque toutes les provinces de France au même moment, ou à des moments peu distants, à
nté de langue ne signifie nullement parenté d’origine. L’Italie et la France parlent des langues évidemment sœurs. Ethnographi
mmun à ces mêmes régions et à telles provinces allemandes. Dire de la France et de l’Allemagne, « sœurs germaines », sans être
lles, et cela signifie : de qualité médiocre. Il en est de l’homme de France comme du gibier de France : le sol lui a donné sa
e qualité médiocre. Il en est de l’homme de France comme du gibier de France  : le sol lui a donné sa valeur et sa saveur. L
jours le même. L. Z. Échos. Pour la suppression de l’Académie de France à Rome Mercure. Tome LI, numéro 175, juillet 1
armi les morts qu’il faut tuer figure, au premier rang, l’Académie de France à Rome : morte dans l’opinion des artistes, elle
’un régime meilleur des rapports de l’Art et de l’État. L’Académie de France à Rome doit disparaître parce qu’elle donne lieu
ome LII, numéro 178, octobre 1904, p. 235-240 [239-240]. Tandis qu’en France un auteur dramatique n’écrit d’abord que pour un
vre d’art. » Mais c’est la décentralisation, cela ! On la réclame en France  ; il semble que sans décentralisation la vie inte
-être mieux cristallisés que dans n’importe quelle autre région de la France , lui donnèrent ce sens de la réalité moyenne qui
’histoire d’un chalutier normand qui fait la pêche entre les côtes de France et celles d’Angleterre. Par une nuit de tempête,
n Turquie où la colonie florentine de Péra l’accueille un instant, en France où on le voit à Lyon, à Moulins, à Saintes, à Par
idées de l’époque, fut de vassal à suzerain4, non point de Français à France . Il faut laisser là nos idées modernes et compren
, l’on pense à Jeanne d’Arc, à « la grand’pitié qui est au royaume de France … ». M. Lebey a déroulé dans tous ses détails, don
un Poète. 1. Vidal de La Blache, Tableau de la Géographie de la France , p. 37. 2. Consulter Gluck et Piccini, par G. De
3 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
uver aide et protection pour ses ambitions méditerranéennes contre la France et l’Angleterre, a créé des liens économiques, po
tances le gouvernement du roi se rangea militairement aux côtés de la France , de l’Angleterre et de la Russie, en mai 1915. M.
e fait non seulement sur les Alpes, mais en Courlande, en Galicie, en France et aux Dardanelles. L’Italie s’y est engagée, ell
réalité, n’aurait rien eu de commun avec le ministère « national » de France ou d’Angleterre. Les journaux interventionnistes,
 CXIV, numéro 427, 1er avril 1916, p. 509-517 [517]. […] L’Amitié de France (février à avril). M. M. Mersanne : « Forum, médi
e ». M. Benedetto Croce, sans le dire, voudrait faire entendre que la France est animée de méfiance à l’égard de l’Italie, et
rissime professeur de Naples se trompe : le Mercure, non moins que la France , sait fort bien que l’Italie mène, comme sa sœur
la culture latine et, d’accroître les échanges intellectuels entre la France et l’Italie ». Les organisateurs pensent atteindr
pensent atteindre leur but en ranimant parmi les classes cultivées de France le goût du Voyage d’Italie et en procurant « aux
ue, qu’au moment de la rupture de la Paix d’Amiens ; de même, pour la France , la question de Belgique est liée à celle de ses
t la main sur la Belgique, reprend et applique à son profit, comme la France en 1792, la doctrine des limités naturelles (pour
! — à nouer les liens d’une alliance politique et économique entre la France et l’Italie, alliance qui vise non seulement la g
rançais, un désir d’amitié. Les rapports anciens entre l’Italie et la France s’appellent Magenta et Solférino, oui, mais aussi
uestion romaine), Tunis et Bizerte (canons pointés sur la Sicile). La France a contraint l’Italie à l’alliance défensive avec
roches que les étrangers font généralement aux Français. Peut-être la France aurait-elle besoin d’un critique patriote qui fer
seconde langue et rien ne nous échappe de ce qui s’écrit sur nous en France . La France envoie en Italie trop de gens de lettr
ngue et rien ne nous échappe de ce qui s’écrit sur nous en France. La France envoie en Italie trop de gens de lettres en vacan
en nuit à l’Italie moderne. Confrontez les centaines de livres que la France consacre aux villes artistiques et aux artistes i
ut l’auteur, la communauté des armes aura resserré les liens entre la France et l’Italie. Cette guerre conduite contre le même
on leur demande comment ils voient l’avenir de leurs rapports avec la France , ils se réservent, en général, parce que les base
pressionnisme esthétique. Et les Italiens, comment connaissent-ils la France  ? Bien mieux. Nous pouvons l’affirmer, non pas pa
firmer, non pas parce que le roman français est lu chez nous comme en France , non pas parce que les pièces de théâtre et jusqu
se réclament de l’objectivité scientifique. Et nous ne jugeons pas la France sur ses journaux boulevardiers ou les séances du
journaux boulevardiers ou les séances du Palais-Bourbon. Le voyage en France , nous le faisons, nous aussi, quoique nous en rap
us en rapportions rarement un livre d’impressions. Nous savons que la France est le creuset de toutes les expériences morales,
zolini (Treves, édit., Milan). Pour tout dire, nous avons foi dans la France  ! J’étais en Piémont, lorsque les hordes allemand
’autrefois nos sentiments les plus profonds, mais notre amour pour la France , qui a couvé sous la cendre pendant tant d’années
ienne. Ses directeurs sont Guglielmo Ferrero, l’historien si prisé en France , et Julien Luchaire qui, avec son Institut frança
tère juvénile et d’autres matérielles, tyranniques. L’influence de la France est grande, mais plus sur la littérature et sur l
tique que l’Allemagne lui ordonne. 3° La neutralité sera refusée à la France à qui on imposera le choix : ou d’être avec nous
uniqué ajoute un peu naïvement : « Les Italiens feront la musique, la France les livrets. » Et voilà, ce n’est pas plus compl
ordonner les efforts. L’un donne des hommes et l’autre des canons. La France fournira des munitions de livrets et l’Italie app
r de grandes troupes théâtrales, chargées de mieux faire connaître en France les œuvres des artistes italiens, et, en Italie,
même pas la littérature. Tous les écrits sortis depuis la guerre, en France comme en Italie, sont là pour lui prouver que rie
uement de cet écrivain qui mérite d’être connu et apprécié dans cette France qu’il aime d’un amour ancien et profond et dont i
nt les Français à comprendre l’effort de leurs alliés. Il faut que la France puisse se rendre compte de quelle façon ses sacri
que chose de juste et de touchant dans ce désir de nouveau qui, né en France , s’exprime si violemment en Italie. Il y a là sin
Ouvrages sur la guerre actuelle. Luigi Barzini : En Belgique et en France (1915), suite des « Scènes de la Grande Guerre »,
uméro 444, 16 décembre 1916, p. 724-733 [724-727]. En Belgique et en France (1915), — tel est le titre donné au second recuei
1. Giolittisme. 2. On trouvera dans le n° déjà cité des Musées de France la reproduction hors texte de quatre de ces peint
4 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
anifestations. Faut-il rappeler les enseignements qui sont donnés, en France , au Musée Guimet, à l’École pratique des Hautes É
au Musée Guimet, à l’École pratique des Hautes Études, au Collège de France , à l’École d’Anthropologie, au Collège Libre des
trines religieuses, contre une religion ou au nom d’une religion : en France , la Séparation des Églises et de l’État ; en Angl
t de percer le canal de Suez) ; tandis que ceci se passait à Rome, en France les élections du 13 mai 1849 grandissaient le pou
0, à la veille de la guerre, la tentative de triple alliance entre la France , l’Autriche et l’Italie. La grandeur nouvelle de
ons vu dans le compte-rendu du livre de M. Gonnard, Rome fut, pour la France , un principe de contradiction, et cette cause a c
5 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
de chaque mois. Tome XXXVII, numéro 134, 1er février 1901 La France jugée à l’étranger [extrait] Lucile Dubois [Re
anciers sont les écrivains du jour. Nous en possédons tout un jeu, en France , dont la souplesse, la forme, le convenu ne laiss
e la beauté. L’amour, paroxysme de beauté, chez deux artistes. Or, en France , avec deux héros artistes s’éprenant l’un de l’au
ent jusqu’où peut aller la passion. J’ai demandé à une jeune femme de France , douée de beaucoup d’esprit, ce qu’elle pensait d
que luxe. Je voudrais qu’il fût l’apanage des pauvres et des rois. En France , il n’y a plus ni pauvres ni rois, il y a des soc
nous ce sera l’unique mérite), lorsqu’on ne lisait que les livres de France , et qu’il paraissait absurde d’attendre quelque c
le considérer tout bonnement comme un excellent librettiste : même en France , à la mort de Giuseppe Verdi, lorsqu’il fallut no
ouverait tout naturel dans l’Italie du quinzième, nous choque dans la France du dix-septième siècle. Ce ne fut pas un crime, m
Toscane, Hachette, 15 fr. M. Eugène Müntz est peut-être l’homme de France qui connaît le mieux l’art italien des grandes ép
ait enfin pour l’Italie ce que nous voudrions tant voir faire pour la France  ; il a essayé de ramener l’attention sur des peti
t des chefs-d’œuvre et méritent qu’on s’y attarde ; mais tandis qu’en France , après la Révolution qui a tant détruit, les bien
tre désavantage ? Je crois qu’il ne faut pas se hâter de conclure. La France en effet, même après de terribles ravages, conser
se, les églises romaines à côté de nos cathédrales du nord ? C’est en France , dans les villes du Rhin et de Belgique, en Angle
rand-maître que François Ier aima et chérit et qui aima à son tour la France . Les Traités ne sont pas si populaires que la Vie
. […] — La littérature actuelle en Sicile, par M. G. Dejob. […] La France jugée à l’étranger. Italie Lucile Dubois [Remy
sous une apparence paradoxale. Et c’est pourquoi nul mieux que lui en France n’est maître de l’instrument formel. Il connaît l
le régalait de bons repas supplémentaires. En 1821, l’ambassadeur de France , marquis de la Tour du Pin, écrivait au baron Pas
6 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
e méprendre sur leur œuvre. L’attaque à Bossuet a déjà été relevée en France . L’assertion un peu spéciale que vous avez publié
dit comment nous avons été trahis ? Publiez-le, répétez-le partout en France . » L’un d’eux saisit une feuille de papier et d’u
sera pas moins dans un état de vassalité. Elle sera la vassale de la France et de l’Angleterre. » Comment un Italien peut-il
ne finit pas ! Et pourquoi, mon Dieu ? À cause de l’entêtement de la France anticléricale et de l’Angleterre protestante ! »
a entrepris une ardente campagne dans le sens de celle qu’a faite en France M. Charles Maurras « pour la part du combattant »
actuel, et plusieurs y furent tués. Ayant offert leurs services à la France au début de la campagne, les petits-fils de Garib
is passons, nous n’avons à nous occuper ici que des rapports entre la France et l’Italie. Il semble que la tâche ici sera plus
ouvent fait remarquer, pour l’exportation de main d’œuvre d’Italie en France (quant à l’exportation inverse, celle dont on a s
on inverse, celle dont on a souvent parlé aussi, celle de capitaux de France en Italie, je ne pense pas qu’il y ait lieu d’y c
talie, je ne pense pas qu’il y ait lieu d’y compter de longtemps : la France aura assez à faire de reconstituer d’abord son pr
ulation de l’Italie se trouvera probablement supérieure à celle de la France . En effet, au cours de la guerre, la population i
pays belligérants) peu importantes. Au contraire, la population de la France aura subi des pertes considérables pour quatre ca
ulativement n’aient pour effet de faire descendre la population de la France , qui était de 39.600.000 habitants avant la guerr
evra, elle ne pourra manquer d’en ressentir quelque orgueil, comme la France quelque amertume. Et il faudra beaucoup de bonne
le « défaitisme » sous toutes ses formes, et d’imiter l’exemple de la France , « qui porte le fer dans la plaie ; car elle comp
on, approuve-t-il l’Italie d’être entrée dans la guerre au côté de la France , de l’Angleterre, de la Belgique ? Est-il convain
p. 175-180 [178]. Les journaux italiens qui parviennent maintenant en France ont des blancs à tous les endroits où ils avaient
de ces annonces pour communiquer avec ses agents situés en Suisse, en France ou ailleurs. Désormais tout journal sortant de l’
i s’est attribué en Italie à peu près le même rôle que Léon Daudet en France  : il réunit des dossiers, surveille les agissemen
ionnaire héroïque, paladin du droit du peuple et des peuples, aima la France par-dessus tout ; comme polémiste il n’était pas
nard de Vinci mourut à Amboise en 1519. On organisera en Italie et en France de grandes solennités artistiques et scientifique
ongrie, quand non seulement la presse italienne, mais encore celle de France et d’Angleterre profitent de celle occasion pour
e la monarchie. » (Secolo du 11 avril.) À côté de représentants de la France , de l’Amérique et de l’Angleterre, on vit donc It
lle, qui devra faire suite à l’entente militaire entre l’Italie et la France . Rien de plus simple, ajoute-t-il, et de plus nat
jeter des ombres et à alimenter les malentendus entre l’Italie et la France , étaient nombreux et complexes ». Nous ne les énu
ne les énumérons pas ici, après que d’autres l’ont fait déjà, car, en France , les « italianisants » sont nombreux, depuis le s
turelle de l’Italie, c’est l’Allemagne. Sa rivale naturelle, c’est la France … …………………………………………………………… Pour ce qui regarde l’It
la France… …………………………………………………………… Pour ce qui regarde l’Italie et la France , elles seront toujours rivales et souvent ennemie
privilégiées du ciel. Ne serait-ce donc pas sottise de croire que la France puisse voir sans jalousie l’Italie s’avancer si p
directe entre l’Europe, l’Orient et les deux Indes ?… L’Italie et la France ne peuvent pas s’allier pour exploiter en commun
Italie, qui y possède une étendue de côtes douze fois supérieure à la France . Marseille et Toulon ne peuvent aucunement être c
ournal allemand qui lui est attribuée, qu’« un rapprochement entre la France et l’Italie est impossible, parce que l’Italie n’
rio Mascardi évoquait le sac de la villa de D’Annunzio et son exil en France et opposait à ces épisodes douloureux la germanop
ique étrangère, intérieure et militaire. » Nul plus que nous qui, en France , avons suivi cette campagne de la presse italienn
tat de choses. C’est aussi et surtout cette volonté qui, alors que la France , l’Angleterre et l’Amérique ont reconnu le bien f
tourmente, je pense à la tragédie qui inonde la terre. Je pense à la France , tienne et mienne aussi. Je maudis l’infâme assas
mble d’ironie ou de stupide inconscience, il se croit envoyé de Dieu. France , Belgique, Angleterre, Russie, en avant !… Je t’é
s lèvres seuls pourraient parler. Il ne me vient que ce cri : Vive la France , bonne, forte, sainte, héroïque ! Elle sortira du
emandes anxieuses, mais, avant toute chose, je m’agenouille devant la France . Memento [extrait] […] Le Correspondant (
ir une bande d’étrangers, parmi lesquels le peintre Flammen. Exilé de France pour raison politique, cet artiste au nom bien fr
ui peut encore s’abandonner pleinement, dans notre grande et héroïque France meurtrie, à cette sorte de jouissances ? — à main
it catholique, et une nouvelle édition des essais bien connus même en France de M. Benedetto Croce sur le Materialismo Storico
(Milan). L’Idea Latina (Milan) est consacrée aux relations entre la France et l’Italie, à l’égal de son aînée, La Revue des
7 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
r. 50 (Hachette) La collection des Classiques de l’Art, publiée en France par la maison Hachette et qui a débuté l’an derni
ou qu’il pressent, choisissant l’admirable lyrisme de la « matière de France  », du cycle carlovingien, plutôt que celui de « B
nent n’a rien d’un paradis terrestre. L’Allemagne se dresse contre la France  ; la Russie contre l’Autriche ; l’Angleterre cont
urante, sont d’origine peu lointaine : avant la guerre de 1870-71, la France et l’Allemagne ne se considéraient point comme de
u cabinet de Berlin ; et cet isolement, ce cabinet ne le doit ni à la France , ni à l’Angleterre, ni à la Russie, mais à l’Autr
ortant travail historique, admirablement documenté, sur l’Académie de France à Rome. Tome LXXVIII, numéro 282, 16 mars 19
ent Ruskin et son œuvre, au moment où l’on commence à le connaître en France , car on ne s’est guère occupé de lui qu’après que
’une nouvelle série d’ouvrages sur l’art : « Musées et Collections de France  », qui s’ajoute aux « Galeries d’Europe », aux « 
qui s’ajoute aux « Galeries d’Europe », aux « Grandes Institutions de France  » et aux « Richesses d’art de la Ville de Paris »
16 avril 1909, p. 588-603. On sait communément que l’influence de la France , prépondérante en Europe au xviie et au xviiie  
cratie soucieuse de récupérer quelque puissance dans les affaires. La France restait à leurs yeux entachée de romantisme, mot
de son ingratitude et de ses ignorances, en lui faisant connaître la France d’aujourd’hui dans sa variété laborieuse admirabl
, à une époque de surmenage et donc de rapacité, le gros effort de la France vers un nouvel ordre politique plus stable et plu
politique plus stable et plus impartial que l’ancien régime, mais la France reste, entre toutes, une nation travailleuse, éco
des conférenciers qui se font une élégance ou un profit de décrier la France contemporaine : fort justement on l’a signalé pou
ecteurs. § Depuis quelques années, les relations entre l’Italie et la France se sont heureusement resserrées. À la guerre écon
er rang à côté de l’Angleterre, de l’Allemagne, de la Russie et de la France , au-dessus de l’Autriche-Hongrie nécessairement d
ses instincts ethniques, l’Italie se rapproche plus volontiers de la France par-delà les combinaisons diplomatiques de telle
our ainsi dire représentatives de l’accueil que les grandes villes de France et de notre Algérie ont réservé depuis trente ans
e piémontaise ou toscane, poussée par la misère dans un grand port de France , il ne s’ensuit nullement que la douceur hospital
enne actuelle. Avec quelle encourageante et clairvoyante attention la France suit le développement littéraire de l’Italie, on
lles de l’art français collaborant à un indéfini « relèvement » de la France en esthétique et en moralité. § Nos revues et nos
r nos députés avides d’économies d’avoir maintenu à Rome la maison de France  : c’est une occasion de regretter que près de not
elque chose malheur doit être bon. Les désastres de Sicile ont ému la France autant que s’ils eussent désolé la Provence ou le
olonais qui s’organise en ce moment pour resserrer les liens entre la France d’aujourd’hui et la Pologne un comité franco-ital
érience personnelle combien ce nom est célèbre en Italie autant qu’en France , et combien l’œuvre évoquée par ce nom est mal, p
l’œuvre évoquée par ce nom est mal, pour ne pas dire peu, connue, en France autant qu’en Italie… Mais M. Ferrière croit aux «
royauté capétienne. Son Histoire des institutions monarchiques de la France sous les premiers Capétiens (987-1180) est peut-ê
, numéro 289, 1er juillet 1909, p. 147-153 [152-153]. L’Italie et la France (30 mai) accuse le musicien Richard Strauss d’avo
son Journey from London to Genoa, through England, Portugal Spain and France (1770) ; une pension lui fut accordée sur la cass
théâtral. Les critiques théâtraux sont en général, en Italie comme en France , une engeance déplorable, sorte d’intermédiaires
scients et féconds. On les trouverait ailleurs, en deçà des Alpes, en France ou en Allemagne. La grande vision hellénique, tou
n fort agréable séjour que celui d’Avignon-Cythère. Peu de villes, en France et même en Italie, pouvaient rivaliser avec elle
ière de ses remparts, Avignon goûtait pleinement la joie de vivre. De France , d’Italie, d’Espagne, d’ailleurs encore les étran
de l’adolescence pour lui confier en Espagne, dans les Flandres et en France plusieurs négociations délicates. Quand il reçut,
1553, la venue de l’illustrissime seigneur légat, alors à la cour de France , était attendue à Avignon31 avec grande impatienc
trois mois auparavant, à Saint-Quentin, semblait maître du nord de la France . Les violons de Plaisance, gémit Garganello, arr
ans un mauvais moment. Les danses portent le deuil des malheurs de la France . De tous côtés on n’entend que les cris de guerre
un hôte d’importance : c’est le cardinal d’Armagnac48, ambassadeur de France à la cour de Rome, qui, pour quelque temps, revie
été agréable et douce. Mais les seigneurs partent pour ces guerres de France , « non pas civiles, mais inciviles en vérité, cru
itions, vous ne voulûtes rien entendre. Mais maintenant vous voyez la France courir à sa perte et vous savez parfaitement que
e sang royal et catholique. On dit que, grâce à l’autorité qu’il a en France , il défendra facilement les possessions de l’Égli
e vous pussiez faire de même pour les autres églises que vous avez en France  ; vous auriez moins de soucis. Mais le beau mérit
LXXX, numéro 292, 16 août 1909, p. 726-733 [733]. […] L’Italie et la France (25 juillet). — « Le Cinquantenaire de Solférino 
La poésie « psychologique » semble se renouveler en Italie, comme en France , par l’œuvre féminine. La poésie féminine était j
pouvoir partager son enthousiasme. Il était trop habitué aux coins de France où l’eau, la verdure et les arbres et la fraîcheu
pas cessé d’être en honneur chez nos ennemis, commencent à l’être en France . Il n’est pas que la mémoire de Napoléon qui peut
15, avec tout son état-major, le comte de Bourmont, futur maréchal de France et ministre de la Guerre de Charles X, « joueur e
anzoni, la littérature italienne contemporaine n’avait pas cueilli en France tous les lauriers, fleuris ensuite en masse, par
ans contredit un très grand poète, n’est nullement connu comme tel en France . Le théâtre non plus n’a pas été encombré, Jusqu’
ut exporté. Encore faut-il considérer que ceux qui le représentent en France se font justice d’eux-mêmes, en envoyant au-delà
les contes de M. Zuccoli ne soient pas encore traduits et publiés en France . Il est étonnant aussi que l’œuvre d’antres conte
s aboutissent avec plus d’éclat en tel lieu — hier et aujourd’hui, en France  — que partout ailleurs. Mais les Italiens, depuis
atican 3, par M. Maurice Pernot ; […]. Dans le Bulletin des Musées de France […] ([1909,] n° 2) : la Tristesse de Mona Lisa, p
es, parus dans la Nuova Antologia, devraient être médités partout, en France autant qu’en Italie, en ce moment de crise livres
s que les écrivains et lettrés indépendants, en majorité fidèles à la France , les diplômes qui tiennent la bureaucratie, les p
it accès au port au bois. 33. Carlo Sforza, qui fut au service de la France « nelle cose di mare ». 34. François de Lorraine
nçois de Lorraine, Grand-Prieur de l’ordre de Malte de la province de France , et général des galères, était né en 1534. Il ava
avoir servi longtemps Charles-Quint. Il commandait l’armée navale de France . Il mourut à Avignon en 1568. 58. François de la
rse, par brevet du 24 août 1556, lors de la réunion de cette île à la France . Sa femme était, d’après Pithon-Curt, Yolande de
e de Ferrante Pagano, un de ces Napolitains qui avaient accompagné en France le prince de Salerne. 62. Le président d’Oppède
n Bertrand, cardinal en 1557, archevêque de Sens, garde des sceaux de France . 83. On trouve les noms de quelques membres de c
partie du ministère où figurait l’ancien traître. devenu maréchal de France . Aux jugements qui précèdent j’ajoute celui-ci, q
8 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
rmi les belligérants d’aujourd’hui des États ou des nations, comme la France et l’Italie, peuplés de trois races ; en Allemagn
our le Schleswig-Holstein qui lui a été brutalement arraché en 1864 ; France par l’annexion de l’Alsace-Lorraine. Le principe
mbarrassé, maintenant, pour parler de Gabriele d’Annunzio, surtout en France . On est convaincu, à l’étranger, qu’on lui doit l
longue et fatigante rêverie entrecoupée de souvenirs de guerre et de France , où il est surtout question des chiens illustres
tageons pas cette crainte. Nous posons en principe que l’Italie et la France défendant une civilisation commune qui est la bas
Journaux. Un article rétrospectif de Mme Mathilde Serao : Germanie ou France  ? (Le Matin, 21 septembre 1906) R. de Bury [Jea
problématique. Cette page s’intitule : Les deux énergies. Germanie ou France  ? et l’éditeur pouvait, en toute justesse de ton,
e qui a le génie latin pour inspirateur, et quel pays, sinon celui de France  ? Si nous devons arracher notre âme à sa vie inté
nous prendre et nous retenir par sa séduction, comme dans le pays de France  ; nous pouvons nous rappeler que nous vivons parm
e l’énergie, mais à une seule, à l’école de l’énergie latine, dont la France tient très haut le noble drapeau. Nous irons à un
édérer tous ces composants ethniques. Alors qu’une jeune Espagne, une France , une Belgique, une Italie, de même race, se renfe
réussie de pénétration économique accomplie par l’Allemagne a été en France , en Italie, en Espagne singulièrement facilitée p
ns n’étaient pas plus curieux et avertis du mouvement intellectuel en France . Ainsi s’introduisirent, dominatrices dans notre
e pour l’intérêt de tous, qui se manifesta jadis entre l’Italie et la France , fut essentiellement, au début, d’ordre sentiment
re. Plus tard de nombreux laboratoires ont été créés sur les côtes de France  : Roscoff et Banyuls, par Lacaze-Duthiers, Wimere
erveilleux ; on venait quand même pour les admirer et les étudier. La France seule se montra récalcitrante, et ne donna pas sa
avants italiens sa direction. Le Ministère des affaires étrangères de France , pour cimenter l’union avec l’Italie, y a envoyé
nt et de bibliothécaire de l’Opéra, fut désigné pour y représenter la France . Au cours de son séjour à Bergame, Ch. Malherbe e
Régiment, fort goûtés jadis tant à Paris qu’en province. De retour en France , Ch. Malherbe s’enquit à la Société, établit de l
s étant privé de rimes. Cette forme poétique est encore peu connue en France . Tome CXXI, numéro 456, 16 juin 1917 Éch
et à écrire comme maître d’école dans un village. Il n’y a pas qu’en France que l’on sache utiliser les compétences. Tom
r ses propres frontières avec l’Allemagne, l’Autriche, l’Italie et la France , et tenez compte encore du coefficient permanent
ngelesques, n’a réussi qu’à rendre la consigne plus sévère encore. En France , Piot en a publié un très petit nombre dans le Ca
ous donnons ici d’un certain nombre de lettres jusqu’ici inconnues en France a été faite d’après l’édition du centenaire, et n
tre la volonté de, puissance de l’Allemagne et celle de Rome ou de la France napoléonienne, et sa grande ressemblance au contr
poésie moderne. Soffici, Palazzeschi, Govoni sont des poètes dont la France même pourrait s’enorgueillir. Je dois m’abstenir
M. Luigi Tonelli a voulu donner un aperçu, pendant la guerre, de la France contemporaine. Dans son livre, Lo Spirito Frances
Dans son livre, Lo Spirito Francese Contemporaneo, il prétend que la France s’est transformée de fond en comble ; qu’elle a d
es à un choc terrible dont il était difficile de prévoir la durée. La France brusquement envahie se fit immédiatement une fort
rmes. Il n’y a pas en Italie la même littérature de combattants qu’en France . Rien de comparable à ce qu’ont publié Henri Barb
ution des correspondants de guerre est beaucoup mieux organisée qu’en France  : les livres où ils réunissent leurs impressions
en grande partie contre sa volonté suffit à l’expliquer. Alors qu’en France les députés sont intervenus dans toutes les quest
avec vivacité. Ils réclamèrent une énergique « défense interne ». En France la censure n’a pas d’autre tâche que d’empêcher l
de l’Italie soient très inférieures à celles de l’Angleterre et de la France , elle n’a pas lésiné, quand il s’est agi de la pr
iginal. L’ayant constaté, elle s’est de plus en plus rapprochée de la France . À l’élan sentimental qui entraîna le peuple ital
bloc formidable. Devant ces grandes masses ethniques, l’Italie et la France , si elles étaient séparées, ne pourraient se défe
, et à conseiller la formation d’un « immense bloc latin, formé de la France , de l’Italie et de l’Espagne, géographiquement co
es d’épreuves l’âme de l’Italie s’est révélée semblable à celle de la France  : les deux nations ont souffert, dans leur cœur e
bre, l’Italie a offert, en effet, à peu près le même spectacle que la France en août 1914. Les appels à la résistance venus de
l’Italie, dans ces plaines où triomphèrent ses armes et celles de la France en 1859, retrouve son souffle, sa vie, sa liberté
on » de tous transferts de fonds de et à Paris ou autres localités en France , pour compte de MM. les Officiers de l’Armée Fran
olontiers cependant une alliance ou fédération des États latins, — la France , l’Italie, l’Espagne, — proposition qui a été mis
9 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
éroïque, l’Ésotérique et l’Oratoire, à Bayreuth, révéla ce besoin. La France , qui est à l’avant-garde de tout mouvement de l’a
netti, l’un des trois directeurs de Poesia, désire que l’on sache, en France , que le lauréat du concours poétique organisé par
avec « grande amore ». Les raisons de la sympathie qui accueillit en France le chevalier Marino, le poète de l’Adone qui fut
par Chapelain, y sont étudiées dans le rapport intime qui unissait la France et l’Italie dans une évolution fatalement identiq
et à côté, s’harmonisant dans un équilibre plus on moins parfait. En France , le développement de la grande industrie n’a pas,
vement démocratique des classes moyennes et des classes ouvrières. La France est un des centres les plus glorieux de la cultur
nce, à la littérature ; comme dans le monde ancien l’Égypte, c’est la France qui dans le monde moderne a créé presque tous les
ans le monde ; par son armée, par ses colonies, par sa diplomatie, la France est une des grandes paissances de la politique mo
leusement cette synthèse superbe de la civilisation moderne qu’est la France . Vous y trouvez concentré tout ce que, dans le re
cela, j’appelle Paris la ville-synthèse. Paris est la synthèse de la France , qui est la synthèse du monde. Comment pourrais-j
’explique à présent pourquoi cette lutte intéresse et est comprise en France beaucoup plus qu’ailleurs. La France a réussi là
tte intéresse et est comprise en France beaucoup plus qu’ailleurs. La France a réussi là où Rome a échoué : elle a réalisé pen
ne]soit pas éternel, qu’un parti unique arrive à dominer Paris et la France . Même alors, pense-t-il, un rôle du premier ordre
aissance du goût tragique aussi au-delà des Alpes. L’initiative de la France , encore une fois, est suivie dans la péninsule am
e second volume. (Page 4). Un des grands et signalés bonheurs de la France , c’est d’avoir perdu la bataille de Waterloo ; ce
France, c’est d’avoir perdu la bataille de Waterloo ; ce n’est pas la France , c’est la…, qui a perdu cette bataille. royauté
ur de perdre leur place, que le moindre préfet ? rois (Page 32). En France , depuis la Société de la… par laquelle un pied pl
remuaient contemporainement la vie politique et intellectuelle de la France et de l’Italie, et les exprimaient avec tant de d
ouvernement constitutionnel : leur jactance les empêchera d’imiter la France . il fallait placer ici une anecdote pour repose
Romain Colomb. (Page 69). Quand j’allais chez les gens à argent de France et d’Angleterre, qui ne savent trop ce que c’est
érêt vague « sur la durée des instructions des procès en Italie et en France  ». Le volume a pour titre : Littérature tragique.
inus de l’Angleterre pour établir un antagonisme entre l’Italie et la France et le caractère intéressé, sinon toujours heureux
de l’homme en font un tel écrivain que, dans cette excursion hors de France que nous faisons parmi les littératures, nous pou
rquable par l’élégance et la clarté du style, fera mieux connaître en France l’esthéticien anglais, plus généralement étudié j
ement et physiquement, et l’âme comme usée, quand il est de retour en France , il semble renoncer à continuer son ouvrage ; il
é les convoitises vers l’Europe Occidentale ou Orientale, assailli la France ou attaqué l’Autriche, rattaché à la couronne de
rds, des grands et petits États qui l’entourent. On ne saisit pas, en France , des oppositions accusées entre le Nord et le Sud
100 fr. par tête, tandis que la quotité est autrement considérable en France , en Belgique, en Suisse, il n’est pas inférieur,
lle n’est pas près de surmonter. Alors que son malaise se prolonge en France , en Suisse, dans l’Allemagne du Sud, c’est-à-dire
caractéristiques essentielles. Je ne citerai certes en exemple ni la France républicaine, ni l’Angleterre constitutionnelle,
araît comme une superbe manifestation du système. C’est à coup sûr en France que les dépenses publiques atteignent au total le
trent sa vitalité, a fait, pendant le mois de novembre, au Collège de France , devant un nombreux auditoire, un cours sur Augus
son prochain volume sur Auguste, volume dont son cours du Collège de France donne la substance. Indiquons seulement, en atten
le Petit Temps, du grand poète italien. Carducci n’est guère connu en France que de nom et M. Carrère s’en étonne. Il fait à c
Étranges anomalies de la Renommée ! Nous connaissons de l’Italie, en France , un tas de râcleurs de guitares, et ce magnifique
es belles dames en parleraient, au thé de cinq heures, et son nom, en France , serait presque aussi répandu que celui de Caruso
la peinture italienne, qui, plus tard, fut plusieurs fois traduite en France et en Angleterre. 14. Je rétablis tant bien que
10 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
l n’en fallait pour motiver une semblable mesure. Casanova, revenu de France , avait séjourné deux ans à Paris, où fermentaient
Il était rentré dans sa patrie tellement engoué et enthousiasmé de la France qu’il affectait d’en parler la langue le plus sou
Mme Zorzi. Casanova partageait avec l’abbé de Bernis, ambassadeur de France , la possession d’une religieuse, la maîtresse de
’il veut arriver à quelque chose dans le monde. Pendant son voyage en France , il avait été initié à Lyon, et avait pris les gr
uel Victor Hugo put écrire : « Moi, fils de l’Italie autant que de la France , je vous envoie mon applaudissement fraternel »,
on que la « critique littéraire » italienne… M. d’Annunzio a écrit de France , au fur et à mesure des événements, les Chansons
st amusé, ces temps derniers, à signaler quelques-unes des sources où M. Anatole France a puisé l’inspiration. Cependant, on n’a pas enco
s termes de marine. Il est encore l’auteur du Virgilius Nauticus, que M. Anatole France attribue à son Monsieur Bergeret. Virgilius Naut
6 février 1912, p. 850-854 [850-853]. M. Octave Uzanne est l’homme de France qui connaît le mieux Casanova et qui est le plus
nifiques fontes de statues antiques d’après les « creux » apportés en France par le Primatice, deux seulement restaient dispon
ès passionna autant l’Italie que l’affaire Dreyfus avait passionné la France . Presque toute la bourgeoisie italienne avait été
ment hostile aux enfants du professeur qu’on ne l’avait jamais été en France au capitaine Dreyfus. Et elle ne fit aucun retour
ntre les deux cas, et cette différence était toute à l’avantage de la France  : ici des voix s’étaient élevées pour combattre l
de mon sentiment, en ces choses, plus que de mon savoir. Qui donc, en France , pourrait, contredire utilement M. Gauthiez en sc
n la plus grande. La preuve en est la longueur de ce compte-rendu. En France , un tel travail est unique. Au surplus, point de
ception et dans l’expression. On demande aux écrivains, tout comme en France en ce moment, d’être assez dépourvus d’idées, ass
gue, tandis que je n’oserais affirmer que la réciproque soit vraie en France . Je ne me permettrai pas du reste de comparer not
langues. Oh ! nous ne les apprenons pas dans leurs finesses, comme en France  ; nous nous contentons de les parler, mal c’est e
té au gain des hôteliers, guides, marchands, etc. J’ai ouï dire qu’en France on appelait « Prix d’étranger » quelque chose d’a
coupole respective les personnages dont parle à ce propos M. Mesnil : M. France à la coupole du Palais Mazarino, le Mazarino de c
des préjuges trinosophiques bourgeois qui ont beaucoup d’adhérents en France . C’est que, voyez-vous, chaque nation a sa manièr
rducci, superbe poème plein de fougue qui chante l’enthousiasme de la France , devant l’invasion allemande, en 1792, la colère
e Casanova lui-même, nous donne en revanche un charmant itinéraire en France de 6 pages, qui doivent être au manuscrit. Ce ne
t était trop observateur pour ne pas se rendre compte de l’état de la France où il avait vécu. Né Français, il se fût certaine
rait pu se procurer le renseignement pour rien. Mais tels étaient, en France , tous les ministres ; ils prodiguaient l’argent q
ne de lui cette réflexion qui coupe le récit. Oh ! ma belle et chère France , où tout dans ce temps-là allait si bien, malgré
la misère du peuple et le bon plaisir du roi et des ministres. Chère France  ! qu’es-tu devenue aujourd’hui ? Le peuple est to
. L’attendrissement du début est bien de l’homme qui adorait assez la France pour écrire, plus tard, ses ouvrages en se servan
onales pour ne pas dépasser des bornes qui seraient vite franchies en France  ? Nous serions tenté de le croire, puisque le réc
us faire encore retrouver l’épicurien exprimant son adoration pour la France . … À dix heures, nous arrivâmes à une bonne aube
, nous arrivâmes à une bonne auberge dans un gros village de la bonne France . … Je dormis d’un sommeil paisible, dans un excel
is d’un sommeil paisible, dans un excellent lit français, car vive la France pour ses bons lits, comme pour ses délicieux vins
t couverte d’autant de plats qu’il y avait de mangeurs. Nulle part en France , et pas même à Béziers, on ne fait meilleure chèr
valut le premier rang, privilège dont l’étranger ne jouit bien qu’en France , tandis qu’en Angleterre, et surtout en Espagne,
sés plusieurs fois par an les consulats. Une des formes pour celui de France serait, par exemple, un Français qui, engagé dans
cs, et qu’il indiquera, en revanche, l’endroit où avant son départ de France il a enterré toute sa fortune, qu’il partagera av
’un de ces fondeurs plusieurs petites statues que j’avais envoyées en France . Rien n’était arrivé, j’étais assez inquiet et je
transition et d’imitation caractérisée par le « d’annunzianisme ». En France , Pascoli est peu connu. M. Muret, très peu au cou
e que l’auteur des Laudes. L’Italie contemporaine, au contraire de la France , n’a pas pris un superbe essor sur une défaite, m
dans des forces nouvelles et innombrables, à moissonner ; et c’est la France d’aujourd’hui. L’Italie, cette « troisième Italie
première manière de Corot : La Trinité-des-Monts vue de l’Académie de France à Rome, peinture sobre et fine, toute baignée de
et les autres ne sont-ils pas hommes ? Nous n’avons aucun intérêt, en France , à incriminer nos voisins. Au contraire, pour des
aine. Si un conflit européen vient à surgir et que l’Angleterre et la France y soient mêlées, l’Italie ne bougera que le moins
tudes du plus vertueux et du plus infortuné de tous les Souverains de France . Voilà le titre, monsieur le Duc, qui oblige moi
grandeur la vile trahison… Certes le tableau n’est pas flatteur : la France , même sous la Terreur, ne s’incarnait pas toute d
e la magnanime Arètè, heureux de rapprocher ainsi d’un poète de notre France le plus grand génie du monde antique. Le paquebot
Tome XCVII, numéro 360, 16 juin 1912, p. 833-838 [835]. […] Hors de France , quelques aquarelles et dessins concernent seulem
ella. Naples Le nom de M. Enrico Corradini n’est pas très connu en France , Cependant, cet écrivain, qui appartient à la gén
eburnea des écrivains fleuris de 1885 à 1895. Seulement, tandis qu’en France la nation parfaitement constituée depuis les temp
e Poésies de d’Annunzio, traduit par M. Hérelle, n’a rien apporté, en France , à la gloire de l’auteur du Canto Novo. Celui-ci
e la civilisation française ; de là la puissance assimilatrice que la France exerce sur les races et les peuples étrangers, so
ns sur la salade, et à la description d’une fête qu’il eût pu voir en France . Brantôme ne dit rien. La mode menait par-delà le
eurs propositions. Les lettres, la cour, la guerre avaient répandu en France la langue toscane et l’estime pour les ouvrages d
ments, qu’il tend à acquérir, de son moi, sa nature ou sa culture. La France est le premier pays du monde pour la civilisation
andole, Michel-Ange, Léonard, Napoléon. Si ce dernier appartient à la France , c’est sans doute pour nous montrer que, quelque
2, 422-423]. Les Musées Jacquemart-André [extrait] L’Institut de France vient de recevoir un legs magnifique. Madame Édou
s enfin le dernier fascicule (n° 3 de 1912) de la revue des Musées de France  : on y trouve des articles (avec reproductions de
oclamé leur indépendance, et il s’est, tout à l’inverse, associé à la France , à l’Angleterre, à la Russie, pour donner à la Cr
ique. Un seul Casanoviste la conteste, le docteur Guède, « l’homme de France qui connaît le mieux Casanova et ses Mémoires 61 
i le Tintoret, dit M. Soulier, n’est pas considéré universellement en France comme un des plus grands peintres de la belle pér
CIX, numéro 367, 1er octobre 1912, p. 618-624 [623]. […] L’Amitié de France (août à octobre). — « Paul Claudel », par M. Pier
t en lui un enthousiasme extrême et fécond pour tout ce qui venait de France , Manzoni s’apparentait étroitement à l’élite jeun
et il faut tout un siècle de guerres et de calamités sur le peuple de France pour arriver à l’épopée de Jeanne d’Arc, — au tri
accueille avec plaisir des ouvrages comme ceux de M. André Maurel, en France et de Mr E.-V. Lucas, en Angleterre, si différent
de la musique et de la prosodie nouvelles. Nulle part ailleurs qu’en France on ne saurait retrouver l’usage et le sens de ces
plus libérés. L’attention du monde intellectuel est ainsi rivée à la France . J’ai pu entendre cet été les propos de quelques
tradition lyrique et des forces esthétiques innovatrices. 1. En France , un lecteur qui commettrait l’imprudence de fourr
penchant pour la nature acheva de m’éloigner du monde » (Campagne de France ). 58. On trouvera la reproduction de ces fresque
11 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
rnisme, fit autant de bruit que celle de Murri et de Fogazzaro. Si en France l’enseignement de l’histoire des religions n’est
les Universités, de sorte que son vrai centre comprend le Collège de France , l’École des Hautes Études et la Sorbonne (chaire
tonne. Mais je lui ferai remarquer qu’il en est exactement de même en France  : qu’il demande à consulter la liste des élèves q
mort du titulaire de la chaire d’Histoire des Religions au Collège de France , il n’y aurait pas lieu de la supprimer ou de la
que, bien mieux, l’ethnographie est regardée comme dangereuse même en France , en Allemagne et plus encore ailleurs, sauf en An
I, numéro 301, 1er janvier 1910, p. 135-141 [141]. […] L’Italie et la France , Revue des pays latins (novembre-décembre) : l’Aé
ors de doute. Ses cours de l’École du Louvre, puis ceux du Collège de France lui ont valu l’admiration unanime des connaisseur
ienne de l’histoire de Flor et Blancheflor, les aventures des Rois de France , Reali di Francia, retenaient l’attention émue de
e était, dans l’esprit philosophique qui se développait sans cesse en France . On manifestait le même apaisement à l’égard des
rt, nous n’avons pas à nous agenouiller devant l’Italie. Les anges de France égalent, s’ils ne dépassent, ceux qu’a produits l
istorique (mars-avril 1910) : […] Georges Bourgin, « Santa-Rosa et la France  » (1821-1822) (chapitre de l’histoire du libérali
quoique peu son élève, devient par aventure et soudain la Dauphine de France . Gluck illico déniche, à Vienne même et en notre
, p. 541-545 [541-542]. La Société des Grandes Auditions musicales de France a l’aimable coutume de nous offrir en fin de sais
’était créé là une clientèle spéciale et avait guéri l’ambassadeur de France . Une autre section sera consacrée aux armes. À ce
le Mars donne des représentations, pour leur permettre de regagner la France . Marceline suivit son mari, sans enthousiasme. Il
loges des théâtres20. » Et à Pauline Du Chambge : « Ah ! la misère en France est moins misère encore qu’en Italie. Non, tu n’a
ourrait-on croire que Marceline dut se trouver heureuse de revenir en France . Elle l’eût été, si elle avait pu voir Rome, et s
de couleur verte et d’une forme moins étouffante que celle adoptée en France pour le cercueil, tel était le convoi d’un pauvre
s garantie, sans moyen d’aller plus loin que Milan, ni de regagner la France . Ce bailleur de fonds se retire avant d’avoir rie
 Chauvet. […] Il reste à mentionner des vues et édifices pris hors de France , en Italie, surtout : porte et église à Brescia,
’il naquit à la Poésie, et qu’il vient d’offrir plus directement à la France sa pensée et sa plume, et les rythmes mêmes de sa
arrogant Anglo-Saxon qui l’interrogeait sur son identité : Je suis la France  ! Cette exaltation expressive de la race est touj
e lune d’hôtel meublé », mais une école chasse l’autre. Je connais en France certains naturistes qui furent aussi hauts en cou
[160-163]. Quel artiste charmant que ce Pietro Longhi si mal connu en France  ! Ce n’est guère qu’à Venise même, au musée Corre
la décentralisation italienne, aussi marquée que la centralisation en France , facilite, en dehors des poètes littéraires, tout
es qui paraissent les plus énormes (telle l’extraordinaire fortune en France de cet étranger, sans nom, sans réel mérite) et q
ns, excellente occasion « d’expliquer » dix ans et plus d’histoire de France , etc., — il faut être reconnaissant envers la mém
ns, de la fortune prodigieuse de Concini, du hère florentin arrivé en France « dans les bagages » de Marie de Médicis et deven
urs de bicoques qu’ils ont construits, nos cathédrales d’Occident, de France , d’Allemagne, d’Angleterre — présentent d’incompa
alie septentrionale) vers ces années 1900 et environs. Tout ce qui en France se croit de la sensibilité supérieure (!) se rue
I, numéro 322, 16 novembre 1910, p. 309-313 [313]. […] Ce que doit la France à l’Italie dans la Littérature, par Umberto Maspe
’elle mérite. Le musée de Rouen est, on le sait, un des plus beaux de France  : les écoles anciennes y sont représentées, entre
12 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
u lieu de les transposer ; c’est grave. Rien ne pourrait justifier en France une telle aberration. Mais en Italie, si l’italie
de Guillaume Ferrero ; le jeune sociologue italien nous informe qu’en France dans quatre-vingt-dix-neuf mariages sur cent l’ho
[277]. […] Figaro (16 Sept. et suiv. ). — En trois beaux chapitres, M. Anatole France résume ses impressions d’un voyage dans l’Italie
moins de deux cents drames pastoraux ; en Angleterre, en Espagne, en France , Spencer, Shakespeare, Milton, Cervantès, Honoré
x de leurs modèles ; que, parmi les jeunes écrivains dont s’honore la France , rares sont ceux qui jouissent en Italie d’une no
ite ; nous avons pour ces motifs réunis, fondé l’Anthologie-Revue, de France et d’Italie, qui aura pour mission d’établir et d
Voir les Essais métriques dans son beau recueil de vers, Paysages de France et d’Italie (1894). 2. Continuazione del ecc. I
13 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
autres princes de l’Italie, qui devaient s’opposer aux desseins de la France . Louis XIV fut instruit de sa duplicité, et, dans
permis de regretter doublement que Tiepolo soit si mal représenté en France , pour la valeur intrinsèque de son art d’abord et
nt du duché de Milan. Une haine tenace l’anime, à coup sûr, contre la France et contre son roi (Charles VIII) et cette haine l
s plus ou moins sanglantes, Charles VIII retourna dans son royaume de France , privé de ses bagages, que les Vénitiens pillèren
acher ses pensées d’un instant à des souvenirs illustres d’Italie, de France et de la Grèce, et les bassins d’un parc désolé l
es diverses éditions des Mémoires. Les éditions que nous possédons en France sont ou bien la traduction d’une traduction allem
en, mieux que la carrière du marquis de Saint-Maurice, ambassadeur en France du duc de Savoie Charles-Emmanuel II, puis minist
le marquis rédigea durant les sept années de son séjour à la Cour de France . Ce sont, le plus souvent, des lettres confidenti
ailles poursuivant en lui l’homme qui avait dénoncé les projets de la France sur Casal, clef des possessions espagnoles du Mil
révélé la chose à la Cour de Turin, intéressée au moins autant que la France à avoir Casal. Mais c’est le marquis de Saint-Mau
C’est, en effet, au mépris des grands intérêts qu’il avait gardés en France que Saint-Maurice aggrava, par patriotisme si l’o
du ministre Mattioli, convenant d’abord de la reddition de Casal à la France , et divulguant là-dessus toute la négociation. Il
ernait la question romaine et la conduite du roi de Piémont envers la France  ; et, d’autre part, Victor-Emmanuel révéler parti
oit s’agir de l’alliance de celui-ci avec la Prusse, d’accord avec la France . Psychologie. Memento [extrait] Gaston Danv
aire de supposer que le Saint Sébastien ait été apporté de Mantoue en France par la jeune épousée ou qu’il ait été envoyé par
le, — un tableau classé et qui, par conséquent, ne pouvait quitter la France . Mais, par le temps qui court, temps béni des cam
nterdit. Louis XII ramène ses troupes dans le Milanais et retourne en France . La situation s’éclaircit. La haine du Tedesco se
st tarée par l’absence du style, de la beauté. On parle volontiers en France de grands écrivains étrangers, sans se douter que
ons. Le temps du dilettantisme d’annunzien, venant d’Angleterre et de France , est décidément passé. Plus d’images « exquises »
ale, de bandes organisées de malandrins, et l’éclosion simultanée, en France , Espagne, Italie, d’argots ou langages spéciaux à
romenant dans ces pays baignés de soleil, l’auteur a découvert que la France pourrait bien ne pas être le pays le plus éclairé
re vulgarité. Il y a du courage à risquer cette constatation. Oui, la France devient vulgaire et surtout le peuple qu’on cherc
grossièreté et à la cruauté. Je n’ai jamais mis les pieds hors de la France , tellement j’ai horreur des voyages et surtout du
souffle de la démence royale, j’entrevois comment la civilisation, en France , fut, dans une certaine mesure, retardée par la f
. Valentine était certainement alors la personne la plus civilisée de France . De plus, elle avait une influence heureuse sur l
es années de la fin du règne de Charles VI et qui faillirent mener la France à sa perte. » Les droits de la Maison d’Orléans-V
conformes à l’intérêt français. Uni, comme arrière-fief, au duché de France , le Comté d’Orléans avait, dès les origines, cont
e. La cause de Philippe le Hardi et de Jean sans Peur, de ces fils de France que les fatalités politiques et géographiques de
rides de la Dynastie Capétienne. Mais la Maison d’Orléans, c’était la France . Valentine Visconti représente pour nous ce qu’il
qu’aussitôt on ne la lui chipe. Il n’y a donc plus d’honnêtes gens en France  ? Ésotérisme et sciences psychiques. Memento [
iens, je diroie que ce est por deux raisons : l’une, car nos somes en France , et l’autre por ce que la parleure est plus delit
ns51. » D’ailleurs, est-ce qu’un Italien est vraiment un étranger en France  ? N’a-t-il pas, comme chacun de nous, sucé le lai
e de Thalie est si redoutable, revanche de l’invasion militaire de la France au-delà des monts, que Henri Estienne doit nous d
enfin, épanouissement de la double évolution séculaire, il offre à la France une œuvre magnifique, où se mêlent, intimement et
porta l’an passé le prix Nobel de littérature, est assez peu connu en France , mais le grand public n’ignorait du moins pas son
ême portée que les succès des ineffables MM. de Flers et Caillavet en France . On peut s’étonner surtout que de l’ensemble de l
jeune paysanne qu’il exalte en l’appelant Flamme. Mais des nobles de France , une femme et un homme, arrivent en Sardaigne. Et
ttement au mélodrame, où rien n’est plus imprévu. La dame, chassée de France par la Terreur, et réfugiée dans l’île, attire à
paysan qui languissait d’amour pour elle. C’est ainsi que la louve de France est tuée d’un coup de fusil, un matin, alors qu’e
’excellents esprits de s’y mêler. Ce mouvement, ainsi qu’il le fut en France — et c’est encore une fois indéniablement d’en de
Hachette, 12 fr.) La collection des Classiques de l’Art publiée en France par la maison Hachette vient de s’enrichir de deu
ant un tiers de siècle, ce pitre accapara et monopolisa la musique en France . Rivaux, émules ou confrères sont annihilés ou su
cquisitions du Musée du Louvre (suite) [extrait] […] les Musées de France , n° 4, avec planche. — On trouvera dans cette mêm
pas la sécurité du Louvre comme la sécurité des caves de la Banque de France , des fuites seront possibles. Ce qu’il faudrait,
er au-devant de lui avec le général Jourdan, qui fut fait maréchal de France . Nous partîmes de Milan pour nous rendre au camp
littéraire de celui des deux autres grandes nations occidentales. La France et l’Italie, l’une s’enrichissant fabuleusement d
térique de Léonard de Vinci et dans la Crise organique de l’Église en France , parus chez l’éditeur Bernard Grasset, de fort pr
il est par-dessus tout un homme bien élevé. Il représente l’ancienne France , celle d’avant les bombes où l’on aimait à vivre
is qu’il achevait ce bras lumineux. Ce suprême tableau a été peint en France , à Clos-Lucé, et pour la France. Voilà vingt-cinq
ux. Ce suprême tableau a été peint en France, à Clos-Lucé, et pour la France . Voilà vingt-cinq ans que je brûle tout l’encens
te œuvre esthétique théorique, et pourquoi les jeunes générations, en France comme en Italie, manquent presque totalement d’es
ienne, qui a vécu pourtant pendant que se dégageait triomphalement en France la volonté de libération affirmée par les symboli
certains points de prévoyance sociale, elle en remontrerait même à la France et à l’Angleterre. Néanmoins, tout n’y est pas pa
grâce à un ingénieux système imaginé par le serrurier de la Banque de France , ils seront fixés par groupes à une barre d’acier
un des plus importants, du moins, un des plus intéressants musées de France , et l’heureuse réorganisation dont il vient d’êtr
s tendances de la nouvelle peinture française autant que quiconque en France . Les futuristes, au demeurant, reconnaissent tous
t complètement exposé. M. Orsi a rappelé avec sympathie le rôle de la France dans ce grand mouvement national. Toutefois, M. B
tion, très persuasive, dans le n° 5 de 1910 du Bulletin des Musées de France . 7. Voy. Mercure de France, n°S 329, 330. 8. Le
14 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
r les chefs-d’œuvre. Les jours ne sont peut-être pas lointains où, en France , les anti-chrétiens devenant conservateurs, nous
odernes, encore incomplètement réalisée, mais dont M. Paul Hervieu en France et Gabriele d’Annunzio en Italie ont magistraleme
Tome LV, numéro 191, 1er juin 1905 Histoire. Charles Auriol : La France , l’Angleterre et Naples, de 1803 à 1806, Plon M
à ses proches, à reconnaître que la rupture survenue en 1806 entre la France et les Bourbons, à qui elle avait reconnu en 1801
lutte tantôt sourde, tantôt déclarée, entre la Grande-Bretagne et la France . C’est l’influence toujours croissante de la dipl
uler le traité de neutralité passé le 22 septembre entre Naples et la France . À l’appui de l’Angleterre, la dynastie bourbonie
ait en Italie, où sa présence était dangereuse pour lui-même. Mais de France , d’Angleterre, de partout, il regardait au-delà d
s de Letourneur et puis dans le texte original. On lisait beaucoup en France les écrivains d’Outre-Manche depuis la seconde mo
, Fontanes connaissait Young aussi bien qu’Ossian dont il rapporta en France divers airs notés, que Pope, dont il traduisit l’
printemps de l’année 1821, peu de mois après (!) qu’on eut appris en France la mort de Bonaparte à Sainte-Hélène ». La vérité
l, comparant le Cinq-Mai aux poésies que cette ode avait inspirées en France , s’exprimait ainsi : Il (Manzoni) a fait une ode
romancés. Qu’il ait repris et parachevé le Crucifix, en Italie ou en France , quelques années après la mort de Mme Charles, la
et Shakespeare, malgré tout le prestige dont ils jouissaient alors en France , n’exercèrent sur lui qu’une action à peu près nu
stré, au seizième et au dix-neuvième siècle, le jardin poétique de la France . Les Journaux. Zola et M. Lumbroso (Il Giorno
es résurrections plus magnifiques. Dans un livre écrit autant pour la France que pour l’Italie, et qu’il intitule La Chiesa e
dernière, nous sommes certain qu’elle a les promesses, et quant à la France , comme l’écrivait récemment un éloquent religieux
e LVII, numéro 204, 15 décembre 1905 Histoire. M. A. Billot : La France et l’Italie. Histoire des années troubles 1881-18
. Tome LVII, numéro 204, 15 décembre 1905, p. 586-590 [586-588]. La France et l’Italie, histoire des années troubles (1881-1
es neuf dernières ont été vécues par lui à Rome où il représentait la France . M. Billot avait été envoyé à Rome, comme ambassa
rinal, en avril 1890. À ce moment les relations commerciales entre la France et l’Italie étaient aussi mauvaises que possible,
ce de l’entrée de l’Italie dans la triple alliance, et du triomphe en France des idées protectionnistes. La présence au pouvoi
ent point que les Italiens pussent légitimement avoir à l’égard de la France , depuis Solférino et à tout jamais, en dépit de t
lus en plus indifférente à la cause pontificale. Ils supposaient à la France des velléités d’agression qui n’entrèrent jamais
paix, contre la Spezia, et quand, plus tard, il se persuadait que la France avait massé 100 000 hommes sur la frontière des A
ficile de profiter du grand malaise économique pour tourner contre la France l’irritation d’un peuple affamé. Tout incident ét
nts. Pendant cette période, l’opinion italienne vit l’influence de la France dans toutes les difficultés qui pouvaient surveni
contre toute vraisemblance, mais sa victoire coûta plus de vies à la France que le désastre d’Adoua n’en coûta à l’Italie. Se
la conséquence rendit possible une amélioration des rapports avec la France . Ce fut d’abord l’accord italo-tunisien, puis le
ité de la tradition par l’imitation », selon la claire définition que M. Anatole France donne de cette volonté. Pietro Maironi, le saint,
t le moment, dit Lamartine, où Ossian régnait sur l’imagination de la France . Baour-Lormian le traduisait en vers sonores pour
à la battre en brèche au nom de la liberté de l’enseignement. (Cf. la France parlementaire, t. III, pp. 465 et suiv.) Parlant
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
siècle et les premières années du xviiie , aussi bien en Italie qu’en France , exaltaient le Tasse aux dépens de l’Arioste, et
exploiter ingénieusement cette admiration bénévole pour s’assurer en France un public favorable et d’honnêtes succès. En un s
toute faite, et lorsque Goldoni vint à Paris, en 1761, et se fixa en France pour y cueillir des lauriers moins amers que ceux
ôte cette définition expressive, qui commençait à être banale même en France , Voltaire se replie en bon ordre et se contente d
lave ou mongol. Le mouvement de renaissance tragique, si développé en France , comme chacun sait, depuis dix ans, trouve, dans
, le traducteur du Roland furieux de l’Arioste, paraîtront bientôt en France . Il faudra revenir sur l’œuvre de cet écrivain, s
16 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
uccio. J’aime beaucoup les Français. D’ailleurs, je connais un peu la France … commença le marquis. Je le regardais. J’avais pe
. Je voulais prendre congé du marquis avant que d’emmener ma femme en France . Ce fut encore délicieux. Nous fîmes avec Lina de
un mouvement de tristesse au moment où le bateau qui nous emmenait en France perdit Naples de vue. Nous avions dépassé le Paus
s en français, auraient acquis à leur auteur de nombreuses amitiés en France . Tome CI, numéro 374, 16 janvier 1913 Hi
rs le Pô, est entamé par les démolisseurs ; on modernise ici comme en France , — c’est-à-dire qu’on enlaidit sous prétexte de p
ux séjour dans sa ville florentine. On sait — ou l’on ne sait pas, en France  — que M. d’Annunzio joue devant les Italiens le r
ras offre impérieusement à l’âme adolescente de ce que sera la grande France de demain. M. Charles Maurras a écrit un essai ne
des réalités géographiques dans Homère : par exemple Victor Bérard en France , Grühn et Dœrpfeld en Allemagne ; mais leur foi n
unes filles ne lisent plus d’Annunzio ? Mais dans quelle région de la France arriverait-on, aujourd’hui, à passer de sa fenêtr
avel qu’il ne se l’imagine) en présence d’autres grands objets, de la France de 1830, par exemple. Mais, là, je ne serai plus
qui elle-même a ses causes dans les rivalités des partis à la Cour de France , rivalités préalablement retracées par M. Romier,
qui se retrouveront lors du traité de Cateau-Cambrésis, par lequel la France , conclut M. Romier, dut « payer de ses conquêtes
tionalisme de conquête) que j’eus l’honneur de signaler le premier en France , né autour du Regno de M. Enrico Corradini, est a
ndigène. Ma première visite, au débarquement, a été pour le Consul de France . Je l’ai trouvé dans sa demeure confortable, situ
la Tunisie. » Le général est heureux de voir que l’on s’intéresse en France à la Tripolitaine et il souhaite que l’union lati
spéré. Pendant tout le cours du siècle dernier ce fut l’honneur de la France d’avoir fait briller sur ces rives lointaines que
nt à nos questions. Quel est le plus grand événement de l’histoire de France au xviiie  siècle ? demande-t-on à un bambin de 1
ajor continua en me montrant le grand avantage qu’il y aurait pour la France à posséder à ses côtés un voisin décidé à assurer
lef du centre africain. Si certains de vos auteurs ont pu dire que la France a comme frontière du nord la Manche et de l’autre
c méthode ils agrandiront tous les jours leurs zones d’occupation. La France , malgré des dissentiments passagers, considère av
1. De travailler au développement des relations matérielles entre la France et l’Italie. 2. De faciliter les rapports intelle
vue mensuelle France-Italie destinée à faire connaître exactement, en France , le mouvement politique, économique, social, litt
me y traite de « l’Opinion » considérée dans « les relations entre la France et l’Italie ». Il nous apprend beaucoup : Tantôt
entre la France et l’Italie ». Il nous apprend beaucoup : Tantôt la France représente pour les Italiens un centre de désordr
et en initiatives généreuses. Il est curieux que la façon de juger la France soit une des raisons qui peuvent, à un moment don
lien en deux camps ; certes une pareille chose ne pourrait se voir en France à l’égard de l’Italie, ni d’aucun antre pays. On
ve excitation de l’esprit national. Sa susceptibilité à l’égard de la France comme d’ailleurs à l’égard de toutes les autres g
accrue. Moins que jamais, on ne pourrait supporter, de la part de la France , le moindre geste qui pût rappeler les temps déjà
à contrecœur, l’hégémonie française. Plus que jamais on en veut à la France de ne pas connaître assez bien l’Italie ; plus qu
, la masse publique italienne est encore loin d’être défavorable à la France . Dans sa conscience nouvelle de grande nation, da
blique. En somme, les événements de l’an passé, en ce qui concerne la France , n’auront point eu de mauvais résultats puisqu’il
Le public italien, violemment rejeté de l’autre côté, en voulut à la France de l’être ; la surprise et le sourd mécontentemen
vellement prématuré de la Triple Alliance, rejaillirent encore sur la France . Cependant, pour les raisons que j’ai dites plus
gréable, sinon moins désagréable. L’Italie est en train de rénover la France . Voyez les écoles futuristes, toutes les étranges
s du Cambio. » — « Réponses à une enquête sur la culture italienne en France . » Les Journaux. Le sixième centenaire de Bocc
qui appartient à l’humanité, dit-il, a des liens particuliers avec la France . C’est ce qu’il expose dans son article : Je ne
ue, à propos de ce sixième centenaire, son nom vient d’être évoqué en France , relisons ses contes d’un si souriant réalisme :
position italienne. Son attention a été tournée souvent du côté de la France . M. Soffici, un de ses rédacteurs le plus féconds
excellent essai sur Rimbaud, qu’on pourrait lire avec profit même en France . M. Prezzolini, l’actif directeur de la Voce, vie
est Rhys et de F.-S. Flint, celle-ci fort bien informée des choses de France . La Vie anecdotique. Le tribunal futuriste G
4, 16 novembre 1913, p. 438-443 Il y a maintenant tant d’étrangers en France qu’il n’est pas sans intérêt d’étudier la sensibi
ablissement de crédit. Italien d’origine, il était venu tout jeune en France chez un de ses oncles, épicier à Montmartre. Giov
fer et de la mer, en fortifiant son corps bien débile, ont gardé à la France l’orgueil de sa naissance, au siècle la gloire de
17 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
fusains que M. Pica nous donne de Poictevin ou de Huysmans et même de France et de Barrès. C’est qu’il connaît notre littératu
ussie et jusque dans l’Amérique latine ; elle en a partout, hormis en France même. J’entends des critiques, non pas étrangers
2, 1er avril 1899, p. 241-247 [241-244]. Il y a six mois personne, en France , ne connaissait don Lorenzo Perosi, et, révélé au
e en opposant l’âme pacifique de l’Allemagne à l’esprit chauvin de la France , en découvrant que la guerre de 1870 porta un gra
oisifs. C’est sans doute une oligarchie de ce genre qui gouvernait la France sous le règne de Napoléon III, pour qui M. Ferrer
sont pas encore descendus parmi les ombres. Je ne dirais pas cela en France , parce que j’aurais peur d’entendre railler l’exc
être, par une circonstance singulière, dans une ville lointaine de la France . Car Ludovic fut fait prisonnier, et alla finir s
trouver entouré d’ennemis ; aussi se tourna-t-il entièrement vers la France , qui l’avait longtemps désiré. La France était su
rna-t-il entièrement vers la France, qui l’avait longtemps désiré. La France était sur le point de devenir plus italienne que
curieux mélange de lumière, l’art italien s’évanouit pour fleurir en France sous une forme exotique. À l’égard de la mort de
, malgré son succès en Italie et en Allemagne, on a très peu parlé en France . Il est pourtant fort intéressant et par le talen
ux hommes qui se sont le plus occupés de Casanova, Armand Baschet, en France , et le professeur d’Ancona, en Italie, ont travai
s pages et des détails charmants de voyage, des enthousiasmes pour la France , des réflexions de haute philosophie, des inciden
u de la vie universitaire et de l’état de la médecine au moyen âge en France et en Italie, et fait surtout aux travaux de son
e ce que Savonarole prêchât aux Florentins de rester les alliés de la France , ce qui contrecarrait sa politique. — Les marchan
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
rr. — Brulard. novembre Trieste. Not. Colomb. — Corr. Consul de France à Trieste 1831 janvier Trieste. Corr
vita-Vecchia (et Rome). Corr. — Not. Colomb. — Souv. Égot. Consul de France à Civita-Vecchia 1832 toute année Ci
décembre Civita-Vecchia (et Rome). Not. Colomb. — Corr. Consul de France à Civita-Vecchia 1834 toute l’année
Not. Colomb. — Corr. Id. mai-déc. Paris. Not. Colomb. Consul de France à Civita-Vecchia (en congé) 1837 Pa
déc. Civita-Vecchia (et Rome). Not. Colomb. — Corr. Id. Consul de France à Civita-Vecchia 1840 toute l’année
b. — Corr. — Souv. Égot. Id. 8 octobre Florence. Corr. Consul de France à Civita-Vecchia (en congé) Genève. Not. Colo
19 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
r noirci, le soir. Variétés. Les tendances actuelles du théâtre en France [extrait] L. D. Tome XLI, numéro 145, janvier
Georges Polti. il serait bon que ce morceau ne passât pas inaperçu eu France , car rarement coup d’œil plus incisif a été jeté
les armures des guerriers, et les habillements de Paolo à la mode de France (il était snob, celui-là) et les joyaux et les ar
ncêtres furent illustres en Italie. Sa famille, avant de s’établir en France , donna douze gonfaloniers à la république de Flor
Ainsi, cette arbre généalogique, issu du sol florentin, naturalisé en France et ennobli par la poésie renaissante, aboutit aux
s, les Français vers qui toujours se tournèrent les victimes. « Si la France était plus forte, l’injustice diminuerait dans le
stupide et inutile. Art ancien. La première crise de l’Académie de France à Rome Virgile Josz. Tome XLIII, numéro 152, a
vous, que les excelants et admirables ouvrages dont vous avez orné la France sont les moyens plus sûrs pour faire de bons arch
st faux et bizarre ; pour les Antiques, ayant les figurés moullées en France , il n’est pas absolument nécessaire de venir icy.
nt qu’une heureuse paix fournisse une occasion de les faire passer en France . » On ne sait ce que le vieux Mansart pensa de l
formation par l’étude des œuvres et deux brochures L’art chrétien en France des origines au xvie  siècle et l’Influence de sa
20 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
uait les œuvres de Mallarmé, Verlaine, Poictevin, Huysmans, Barrès et France , — s’est, depuis quelques années, plus spécialeme
pe les personnes dans leurs biens et leur carrière. Un catholique, en France , se trouve, à peu près, dans la situation d’un ju
près l’appui prêté à Méhémet-Ali contre la Turquie, l’exclusion de la France du concert européen (15 juillet 1840). Moins d’un
illet 1840). Moins d’un an plus tard, Louis-Philippe avait rendu à la France son rang en Europe, en reprenant les traditions d
lomniée, dit-il) : « L’Autriche était suspecte en Italie : c’est à la France que serait confiée la pacification italienne. La
 : c’est à la France que serait confiée la pacification italienne. La France était redoutée en Allemagne : c’est l’Autriche qu
ement, mais complexe quant à l’application et surtout impraticable en France , sans trop voir, d’ailleurs, en quoi il justifiai
les portes sculptées ne dépareraient pas la plupart de nos églises de France et s’adaptent précieusement à l’architecture ital
L’Anniversaire de la mort de Carducci a été commémoré au Collège de France par le « monde officiel ». Carducci, dont une des
cela même, la mort de Edmond De Amicis n’est pas passée inaperçue en France . On connaissait cet écrivain, qui était un des au
t s’opérer, depuis le traité de Lyon (1601) qui cédait la Bresse à la France , la jonction des deux branches de la maison de Ha
duché de Milan et le Tyrol eussent été réunis, eût renouvelé pour la France des dangers comparables à ceux de la puissance de
populaires ; il étudie dans François Villon les poèmes de la vieille France , et c’est surtout l’Italie primitive qui l’attire
tes modernes de l’Angleterre, une version fragmentaire21, révéla à la France l’œuvre de Rossetti, et exerça sur le naissant mo
s’offraient à elle : ou l’alliance de l’Autriche, ou l’alliance de la France . Elle accueillit assez bien Bombelles, qui se rem
eutralité. Après le 21 janvier, elle ne la rompit point du côté de la France , malgré les instances des puissances, où l’Anglet
te neutralité de Venise tournait, intrinsèquement, à l’avantage de la France  ; et si elle se fût maintenue dans ces conditions
malveillance cette neutralité. Le refus formel d’une alliance avec la France suivit bientôt, contrebalancé presque aussitôt pa
légèreté du sujet et celle des lecteurs que vous aviez en vue… » En France , au xve  siècle, on lisait beaucoup plus les Info
. l’Art d’aimer et le Remède d’amour n’avaient jamais été traduits en France . Ces traductions n’ont peut-être pas la précision
sujet de la Christiade et loue Sannazar du partu Virginis. Salvens en France , Heytmer en Allemagne, Bazzono en Vénétie cherche
de l’Europe se fera certainement, comme se sont faites l’unité de la France et de l’Allemagne, en vertu du principe universel
’homme en matière de foi, il distribue le bonnet de docteur, comme la France plus tard distribuera l’autre bonnet… de galérien
dans une terrible crise, son parti se déchirait en deux. C’est que la France , chevalière jusque-là de I’Idée Guelfe, adoptait
nce et à l’Empire Allemand. Fallait-il rester quand même attaché à la France  ? Ainsi le voulaient les Guelfes Noirs. Mais les
et par des trahisons isolées, avec les Gibelins ! Exaspéré contre la France et contre l’Allemagne, contre tous les impies tyr
que chez des cœurs libres, pas de liberté durable sans la Foi. Et la France immense de saint Louis, qui depuis si longtemps d
du Var, jusqu’au moment où Bonaparte accouru, releva la fortune de la France dans la plaine de Marengo. M. Gachot suit, heure
ise, en Ombrie, dans quelques villages de la campagne romaine, ou, en France , dans Arles la Souveraine, et en mille points ail
e, qui les inspirerait. Depuis quelques années, nous avons affirmé en France ce besoin de renouveau. Malgré les erreurs des im
für Kunstwissenschaft (septembre) et qui publie une « édition pour la France  » rédigée par M. Meyer-Riefstahl. Cette édition e
une étude du subtil et perspicace M. Arnauld sur le dernier volume de M. Anatole France  ; de fortes et tendres pages de M. Charles-Louis
21 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
incenzo Peruggia, les journaux, qui font grand bruit de son retour en France et de votre arrestation, les journaux vous trompe
semblables — j’en suis certain — à ceux que nous vous connaissons en France . Vincenzo Peruggia, on vous a trompé : Nul peint
esia On a beaucoup parlé du Futurisme à l’étranger, et surtout en France , mais il me semble que jusqu’ici on n’a pas bien
la Conquête des Étoiles et Destruction, qu’on avait déjà remarqué en France comme promesses d’un tempérament lyrique puissant
fit connaître tant bien que mal les meilleurs poètes d’avant-garde de France , — d’Angleterre et d’Allemagne, et révéla aux Ita
on du Futurisme. Les idées qu’il contient sont assez connues, même en France , et il est inutile de les résumer. Le Futurisme a
o Soffici et Giovanni Papini. Ils sont l’un et l’autre bien connus en France , où le premier a longtemps vécu. Le second, qui t
sa droite, Lord Dolingson ; à sa gauche, Boursault-Coudray, consul de France . Quelles anecdotes l’ont amusée ? Il ne s’en souv
VII, numéro 400, 16 février 1914, p. 823-831 [831]. […] La Pensée de France (20 janvier) : […] M. J. Jallia : « La Langue et
Mgr Amette fulmine contre le tango, et voici que tous les évêques de France répètent le geste du Cardinal et interdisent le p
II fuyant le trône de Pologne et traversant l’Italie pour accourir en France . L’acquisition de cet ensemble de décorations par
, allemand), et pour leurs rapports avec les argots de malfaiteurs de France et d’Italie. Tome CVIII, numéro 401, 1er mars
rable avec les volumes que les Allemands ont écrits sur la Madone. La France se meurt de trop d’avocats, l’Allemagne périra pa
iche des prétentions sur l’Asie Mineure, où elle se rencontre avec la France et avec l’Angleterre. Son programme d’expansion,
, et je serais fort surpris s’il n’en était pas gratifié. […] Hors de France , les envois ne concernent guère que les vieilles
aris, et dans tous les pays où pénétrait l’influence littéraire de la France . Ils auraient eu pour clientèle, je ne le nie poi
a que les Italiens imposaient à toute l’Europe, — à l’exception de la France , — fut entièrement son fait. Du vivant même du co
ce genre de spectacle dont « un homme de goût un peu sévère a dit en France que l’opéra étoit le grotesque de la poésie » ? —
encore en Angleterre et en Allemagne, où elle fut traduite, comme en France . Pour Napoli-Signorelli, qui écrivait vers 1776,
, inventeur d’un système de loterie qu’il vint mettre en pratique, en France , lors de la création de l’École militaire, un rap
sadeur de Naples, marquis de l’Hôpital, qui allait bientôt rentrer en France . Son système de loterie, qui devait être alors to
ssions variées de formes musicales qui les animaient… C’est donc à la France , à Rameau, à Cahuzac que M. Gluck doit sa gloire.
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIX »
vé de… à six pieds de la mer ; C. fanal au bout du môle ; D. porte de France  ; F. petite jetée en simples blocs de pierre. On
chassés. Il n’y a pas d’arbres à Ancóne, on se promène à la porte de France , sur la grève nue et du côté des fortifications n
23 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
e usé après la campagne de 1812, M. Ferrero oublie que la campagne de France a été un chef-d’œuvre de stratégie ! Et lorsqu’il
es actes et les idées des hommes libres. On ne s’est guère indigné en France de la répression sauvage qui a suivi les bénignes
rachète par d’intéressantes notes sur Benvenuto Cellini à la Cour de France […] Lettres anglaises. Revues [extrait] Hen
élik, en nègre rusé, fit confectionner des timbres et des monnaies en France , accorda quelques concessions de chemins de fer e
able, essentielle à cette seconde moitié de siècle. Ce fléau passa en France et faillit y causer de grands ravages ; seul de l
mme envoyé pour l’entretenir et l’accompagner pendant qu’il serait en France  ». Il est fort embarrassé à cause de l’ambassadeu
vin maître » qui vient de traverser les graves et belles provinces de France , à la vie si intense, si particulière et si nouve
femme… ». C’est exquis. Le Bernin avait fait, au reste, à travers la France un voyage extraordinaire. Il était venu de Turin
les mêmes matériaux, mais employés à la manière qu’on le pratique en France . L’hiver ayant passé sur ces deux édifices, la vo
24 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
qu’en ayant ma calèche et C.. Je n’aurais pas quitté l’atmosphère de France . Mon Milanais m’apprend à n’être pas dupe en voya
té, comme de tous les autres, la civilisation est moins avancée qu’en France , mais ils ont la sensibilité et le naturel qui es
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 229, 1er janvier 1907 »
23-129 [123-126]. En même temps qu’il faisait son Cours du Collège de France , M. Guglielmo Ferrero publiait le t. IV de son hi
errero a indiqué les principales données dans son cours du Collège de France et qui sera l’objet de son prochain volume. À l’e
26 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
une note trop courte, M. d’Annunzio pour la première fois annoncé en France . Je me figure qu’on reparlera de lui, un jour ou
de cette timbale milanaise trouve que le mouvement poétique actuel en France est « bien complexe » : c’est sans doute une faço
27 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
isqu’il me suffit de citer pour qu’on en juge. Voici le début : « La France , comme un formidable Titan à l’exubérance vitale,
umanité, en sauvant, en face du monde, la dignité de sa nation. Et la France peut ainsi se vanter aujourd’hui d’avoir, avec le
nité. — Gloire à eux ! Et si Rome antique est fière de son Horace, la France aujourd’hui peut vanter son Zola. » Je m’excuse
u xixe  siècle, par M. Legouvé. L’œuvre est (ou a été) trop connue en France pour que je puisse m’y arrêter : la traduction, t
ques ou hystériques, serait une mesure plus pratique, spécialement en France , où le ridicule tue. Car les martyrs sont vénérés
ne grande tolérance de régime intérieur. Le comte Fossombroni aime la France comme la source des principes dont il a été nourr
s tout ce qu’il gardait d’influence politique était employé contre la France . » Le ministre de Russie, M. Svertchkof, était un
s et diplomatiques des autres puissances se trouvent en collision, la France et la Russie paraissent une même nation, tant leu
ière large et généreuse dont il fut absous ; il n’aurait trouvé ni en France ni ailleurs un public plus confiant dans son géni
ntagne de Viterbe, et la compagnie débarquait bientôt à l’Académie de France , au coin de la via Lata et du Corso, en pleine Ro
E. A. Butti : La Corsa al Piacere E. A. Butti, qu’on connaît en France par ses romans (l’Automate, traduit par M. Lécuye
que c’est à lui que nous serons tentés de nous adresser désormais, en France même, pour connaître à fond notre compatriote. Sa
ables de La Fontaine et qui finit, inachevée, avec les Origines de la France contemporaine. La philosophie de Taine, et par là
28 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
bonhomie féline de M. Jules Lemaître et le détachement dédaigneux de M. Anatole France . Il fait, comme le premier, profession de s’intér
aire, crispinienne, vantarde et savoyarde, n’a guère de sympathies en France , et l’on se rit de ces hâbleurs, toujours prêts à
r du haut de sommets moins majestueux. Ensuite, il y a malgré tout en France (et en Europe) une vieille fraternité chrétienne,
, Acireale, Tip. Ed. Saro Donzuso. Le Tasse n’est plus guère lu en France , où son nom seul est demeuré illustre. Ce poète i
29 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
lors des massacres d’Arménie : “Ces calamités étaient destinées à la France , mais nous avons retouché les clichés astraux, et
isse. C’est tout de même un signe de supériorité qu’on ne voie pas en France bayer sur la même place les portes de cinq ou six
s bûchers, dressent des échafauds. Qu’elle opère en Angleterre, ou en France , qu’elle soit franchement ou hypocritement chréti
. En Angleterre elle brûle la maison et les manuscrits de Harvey ; en France , elle abat la tête de Lavoisier. Sa seule excuse
trancher tout lien avec ces artistes, dans des pays qui ont, comme la France et l’Italie, un passé glorieux : leur œuvre modér
Alpes et même les simples lettrés gardent quelque méfiance contre la France . Ce sentiment de réserve, qui tient en haleine la
a vie il voyagea, comme nous l’apprennent ses Mémoires, en Italie, en France , en Allemagne, en Autriche, en Angleterre, en Sui
tinuèrent ce qu’avait commencé Barthold ; d’autres investigateurs, en France , en Italie, en Allemagne, les suivirent, et deux
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
’un témoin pour attester sa valeur. On ne lit pas assez Burckhardt en France . Cet admirateur de la civilisation latine ne para
gi Grilli : Il Monito (pour la séparation de l’Église et de l’État en France ). G. Donnini, Pérouse. — Fausto Salvatori : Terra
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
lier italien, les prétentions de la Maison d’Orléans à la couronne de France étaient ridicules ? » M. Duquesne, parent des Nau
appini, en Italie, le duc et la duchesse de Chartres se trouvaient en France , et, d’autre part, que le complice de Chiappini é
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
si divers, du Saint-Graal. En effet, cette grammaire est commune à la France et à l’Italie. Ce que dit le gibelin sur la puret
san de l’empereur jusqu’au jour où Rossetti en Angleterre et Aroux en France dévoilèrent l’hérésie du poète. Toutefois M. Ross
ureusement, pour beaucoup, que des vestiges, le climat non plus qu’en France n’ayant guère permis la conservation de ces spéci
33 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
uel et même à tout esprit sensé est bien plus violent en Italie qu’en France , et il faut voir comme M. Martinelli, avec un cou
l’objet de 333 articles dans la presse religieuse et politique de la France et de l’Europe », nous annonce M. Sabatier lui-mê
34 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
n des lettrés de l’étranger. Le bruit que l’on fait à cette heure, en France surtout, autour de l’œuvre de Gabriele d’Annunzio
latines dont le scepticisme était devenu presque proverbial, comme la France et l’Italie. La littérature et l’art en sont même
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
rès vrai.) Les plus petits artisans prennent du café qui, là comme en France , a remplacé l’usage du vin. Le grand défaut des c
36 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVIII »
rouvons une platitude signée Bigot de Préameneu, conseiller d’État en France . Pas une chose sensée, ce qui est étonnant. Les n
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
cœur du même genre. Elle m’a parlé de tout quitter et de me suivre en France . Elle m’a dit qu’elle détestait l’Italie. Il para
38 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 241, 1er juillet 1907 »
u contraire, les cléricaux, les croyants. Nous en avons une preuve en France et en Italie, où les croyants, les prêtres mêmes
39 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
alien était d’une salacité qui surpassait tout ce que l’on a connu en France dans ce genre. » Le mot salacité, qui était incon
40 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
ste (notons en passant que ce mot fut écrit pour la première fois, en France , par Édouard Rod, Revue indépendante, août 1884,
sume, en un court article, l’état des nouvelles écoles littéraires en France  ; l’auteur, qui doit être M. Alberto Sormani, par
41 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
éro 251, 1er décembre 1907, p. 496-500. Dans ses leçons du Collège de France , il y a un an, M. Guglielmo Ferrero avait tracé l
e le faisait prévoir l’esquisse tracée devant le public du Collège de France . Les controverses qu’ont suscitées les précédente
42 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
livre d’un humoriste très distingué et depuis longtemps bien connu en France . L’idée seule de ce Don Chisciottino, comme celle
43 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
on. L’Exil de M. Paolo Buzzi est un roman-poème. Nous connaissons en France quelques talents d’élite, aussi, parmi les plus j
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