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1 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
les journaux littéraires. Th. Neal : Studi di letteratura e d’arte ( Florence , Marzocco) Studi di letteratura e d’arte, par
orer son nom et son talent. A. Orvieto : La filosofia di Senofane ( Florence , B. Seiben) La filosofia di Senofane, par Ang
e analyse. Sa vie se divise en trois périodes ; il passa trente ans à Florence , environ vingt ans à Milan, puis dix-neuf ans en
d’illégitimité. Piero Antonio, son père, était d’une famille noble de Florence , les Vinci du Val d’Arno, et Léonard, délicatemen
ifs pour les mettre en liberté, tout en se promenant dans les rues de Florence , en amateur de costumes curieux et brillants, et
l’atelier d’Andrea del Verrocchio, alors l’artiste le plus célèbre de Florence . Des chefs-d’œuvre s’y trouvaient pêle-mêle : des
us le nom de Pérugin. Verrocchio était un artiste du type primitif de Florence , à la fois sculpteur, peintre et ciseleur en méta
désormais lui être un objet de peine. On peut encore voir cet ange à Florence  ; c’est comme un rayon de soleil dans l’antique t
t ce tableau, tout ce qu’il avait fait jusque-là pendant son séjour à Florence , avait après tout la légèreté de cet ancien style
personnes croisées par hasard, il les aurait suivies dans les rues de Florence jusqu’au coucher du soleil : il nous a laissé que
cette autre Méduse, le seul grand tableau qu’il laisse derrière lui à Florence . Ce sujet a été traité de bien des manières ; Léo
et considérons-les un peu ; et d’abord, un de ceux qui se trouvent à Florence  : les têtes d’une femme et d’un petit enfant, pla
sins mis ainsi côte à côte, et, le poursuivant à travers tous ceux de Florence , Venise et Milan, construire une sorte de série,
ètes. Mais parmi les têtes aux traits les plus jeunes il y en a une à Florence que distingua l’Amour : la tête d’un jeune homme,
rend congé de ses amis. Cinq ans après, le jeune Raphaël la peignit à Florence , au réfectoire de Saint-Onofrio, dans un style do
Mais son œuvre s’attachait moins aux saints qu’aux femmes vivantes de Florence  ; car il passait toujours son temps au milieu du
eu du monde élégant qu’il affectionnait, et c’est dans les maisons de Florence , abandonnées peut-être un peu aux légères pensées
personnification de l’idée moderne. Pendant les années qu’il passe à Florence , l’histoire de Léonard est l’histoire de son art
de l’Étendard, et où il avait pour rival Michel-Ange. Les citoyens de Florence , voulant décorer les murs de la Grand-Chambre du
ts ; et pourtant bien différent est un fragment d’un de ses dessins à Florence  : c’est un champ onduleux de belles armures, où l
nquante ; et Raphaël, jeune homme de dix-neuf ans, qui visitait alors Florence pour la première fois, venait les regarder faire.
petite rue San Maurilio. Stendhal écrit d’elle, dans Rome, Naples et Florence (ce curieux livre où il s’occupe d’ailleurs surto
puissance de la parole du prédicateur dominicain, que l’on se figure Florence devenue mystique, chantant des chants religieux,
ses places des danses sacrées au lieu des folles rondes du carnaval, Florence libérée, se donnant un gouvernement entièrement d
eux en toutes choses7. La première fois que Savonarole vint prêcher à Florence , en 1482, il n’obtint aucun succès : toutes les q
’assouplissait sans rien perdre de son feu naturel. Quand il revint à Florence , il n’y était plus inconnu ; le fameux Pic de la
révélés, et bientôt saisi, secoué, emporté, bouleversé, le peuple de Florence , hier encore insouciant et frivole, trembla, pleu
cains de Saint-Marc, fut, pendant quelques années, maître de l’âme de Florence . Sa volonté forte et constante s’imposait à la ci
e les cœurs s’épuraient, que le souffle divin inspirait les âmes, que Florence allait devenir le reflet de cette Jérusalem céles
ies et de certaines de ses assertions8. Le moment était bien choisi : Florence se trouvait dans une situation difficile par la f
vait réprimandé, puis excommunié, et menaçait de jeter l’interdit sur Florence si on ne lui livrait pas Savonarole. Une telle me
ole est celui de P. Villari : Savonarola e de suoi tempi. Nuova ediz. Florence . Le Monnier, 1887-88. Dans cette nouvelle édition
été publiés Alex. Gherardi (Nuovi e studi intorno a Gir. Savonarola, Florence , 1878), dans l’article de A. Cosci : Gir. Savonar
la ridicule expédition de Charles VIII ait pu passer, non seulement à Florence , mais dans toute l’Italie, pour une chose terribl
e Dieu a besoin d’une réforme ; elle sera châtiée et se renouvellera. Florence également après avoir été châtiée sera renouvelée
la colère du pape pouvait léser leurs intérêts. Et le gouvernement de Florence devait obéir au courant d’opinions venant des fam
les plus riches et les plus influentes : car l’aristocratie était, à Florence , une aristocratie d’argent. 10. M. A. Delacour
2 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
, le restaurateur du polythéisme, siège parmi les pères du concile de Florence . Il échoua dans son dessein, à la Julien, comme é
aïeux grecs. Ils la lui rendirent. Platon devint le véritable pape de Florence  ; Cosme l’Ancien fut le Constantin du néo-platoni
sont parmi les plus nobles tâches », et Marsile Ficin dort au Dôme de Florence comme un père de l’Église. Ni lui, ni Pic de la M
r, au sens athéiste ; on veut trouver des Auguste Comte, vers 1500, à Florence , on s’efforce de silhouetter des positivistes en
oment où Machiavel se trouvait auprès du même prince, comme envoyé de Florence , et qui a dû échanger, à Sinigaglia, des remarque
vaux, de l’incompréhension de Léon X, de celle de ses compatriotes de Florence , mais toujours aimé, toujours entouré, il n’a sou
chesne. L’Artiste, qui ne supportait pas l’atmosphère démocratique de Florence , eût été indigné d’entendre les blasphèmes contre
ent des rythmes nouveaux pour exprimer quelques pensées nouvelles ; à Florence , il y a deux ou trois poètes qui reprennent, avec
cette élégante, fière, pensive phalange d’écrivains jeunes, réunie à Florence il n’y a pas longtemps autour du Regno, du Leonar
ia Levi : Cento fra te più belle liriche tedesche (Lieder), Bemporad, Florence . — Eugenia Levi, Lirica Italiana antica, des sièc
e sculptures, peintures, miniatures, gravures et mélodies), Bemporad, Florence . — Guido Menasci : Au Pays de Jadis, Préface de M
trouve en M. Gebhart un historien amoureux de l’époque qu’il décrit. Florence est au moment où l’on aime, on rit, on chante. D
e soie, les belles dames et les pages, célébrait la Ligue éphémère de Florence , de Sixte IV, de Milan, de Venise. Échos. Lec
ution traditionnelle très suivie, depuis qu’elles furent inaugurées à Florence par Boccace, en 1373, en l’église de Santo-Stefan
de la luxure. L’imprécation de Forèse de Donati contre les femmes de Florence (Audition du chant XXII du Purgatoire). — V. Psyc
vers ouvrages […] Des Anecdotes italiennes, tirées de Rome, Naples et Florence , un des livres les moins connus de Stendhal, et p
’y rencontre pas des édifices aussi célèbres que ceux de Venise ou de Florence , on peut affirmer néanmoins que son intérêt artis
expression divine aux visages. Et c’est surtout dans les ateliers de Florence , au quinzième siècle, que l’art, cessant d’être m
le chef-d’œuvre de Michel-Ange est sévère comme les vieilles rues de Florence resserrées entre des palais qui sont de sombres f
armi les plus grands maîtres de l’art. II Andrea di Cione, né à Florence en 1435, entra de bonne heure à l’atelier de l’or
, à l’époque de la grande prospérité des banques et de l’industrie de Florence . Peu à peu, on garnissait de statues et de fresqu
, l’enlèvement et l’abandon de la jolie nonne Lucrezia Buti ont amusé Florence et Rome. Malgré tant de scandales, on le charge d
sionnément les auteurs anciens. En 1439, un concile avait été réuni à Florence dans le but de rapprocher les Églises grecque et
Platon en si grande vogue que Cosme de Médicis voulut reconstituer à Florence l’antique Académie. On put voir le savant Marsile
Colleone. III Nous ne savons presque rien de sa vie. Il vécut à Florence et fit un voyage à Venise en 1483, pour y travail
ief. On n’en connaît qu’un de lui, fait pour l’autel du Baptistère de Florence , la Décollation de saint Jean-Baptiste 10. Encore
uelle qu’il acquiert peu à peu, en vivant dans les milieux érudits de Florence , ses connaissances générales si approfondies qu’o
ritique commence à mettre quelques clartés dans l’histoire de l’art à Florence , au début de la Renaissance. On découvre de nouve
a fidèle à Laurent de Médicis, qui profitait du pouvoir pour embellir Florence et amuser le peuple.   Mais, vers cette époque, à
oine bilieux, dont Fra Bartolommeo a immortalisé la laideur, arrive à Florence (1482) et entre à Saint-Marc. Les fresques de l’A
répandre dans le peuple les lieux communs de la révolte. On brûlera à Florence les œuvres profanes, et l’art, égaré par les pass
es Benozzo Gozzoli et Sandro Botticelli ? C’est aux seuls artistes de Florence que Rossetti ressemble, et il a pu du plus grand
Umili, Sandron, Milan. — A. Beltramelli : Le Gaje randole, Bemporad, Florence . — Luigi Grilli : Lauri e Mirti, R. Giusti, Livou
et : « Mirabeau jugé par Camille Desmoulins. » — M. A. Luchaire : « À Florence . » — M. L. Maury : « Stendhal ». — (9 mai). — M. 
chose curieuse, l’auteur des Promenades dans Rome, de Rome, Naples et Florence , de l’Histoire de la peinture en Italie, et de ta
nce des textes, on peut croire, ou plutôt on doit croire qu’il connut Florence , les fresques de S. Maria Novella, de S. Marco, d
ût 1908, p. 733-738. Ferdinando Paolieri : Venere Agreste, Nerbini, Florence Je suis étonné de ne pas avoir vu la critique
’appeler, d’un terme assez vague : l’esprit latin. La lumière même de Florence est identique à la lumière de Paris et à celle d’
, qui s’aimait en saluant le printemps renaissant. D’autres poètes, à Florence , s’expriment dans ces rythmes, doux et sensuels,
mi dello Shakespeare e la critica romantica italiana, Nuova Rassegna, Florence . — G. Vannicola : Distacco. Liturgia della terza
Testament dès l’année 1260 ! Le frère Michel de la Marche est brûlé à Florence  ; il a accusé Jean XXII d’hérésie, car ce pape pr
onie de Laurent, il demande, pour prix de l’absolution, la liberté de Florence  : et vraiment, il ne sait pas ce qu’il demande !
rles VIII comme des libérateurs. Il fit proclamer Jésus-Christ roi de Florence et changea les mœurs. Ce fut la réalisation d’un
orme, elle se produisit dans les meilleures conditions pour le lieu : Florence était alors le centre intellectuel de l’Occident 
l’opinion harassée de tant de révélations ne réagit plus. Personne à Florence n’ignorait l’ambition et l’impudeur des Borgia ;
iheit ! criaient les Suisses. C’est la devise d’Israël, d’Athènes, de Florence et de tous leurs fils spirituels, — la seule qui
e figé à San-Gimignano, ou le xve  siècle au couvent de Saint-Marc, à Florence , ou d’autres siècles ou d’autres âmes perpétués e
Cruttwell, Verrocchio, Londres, 1904. 10. Musée de l’Œuvre du Dôme, Florence . 11. Florence, Or San Michele ; groupe offert pa
rocchio, Londres, 1904. 10. Musée de l’Œuvre du Dôme, Florence. 11. Florence , Or San Michele ; groupe offert par la corporatio
’Art Chrétien, 1861. 17. Eugène Müntz, Léonard de Vinci, p. 43. 18. Florence , Musée National, terre cuite. 19. Eugène Müntz,
Musée National, terre cuite. 19. Eugène Müntz, ouv. cité, p. 44 20. Florence , Académie des Beaux-Arts. 21. Il en existe une v
3 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
action par le cadre que lui fournissait la campagne florentine, entre Florence et Fiésole, où le Poète a établi sa demeure. Avec
320 [318-319]. Tandis que M. Corrado Ricci, directeur des galeries de Florence , enrichit les Offices de 11 000 portraits d’artis
t il s’agit d’un autel de très grande valeur. De la maison de Dante à Florence , par un large trou pratiqué dans un mur, on a sou
un article de journal. Les Villes d’art célèbres : Émile Gebhart : Florence , Laurens, 4 fr. Le volume sur Florence est dû
célèbres : Émile Gebhart : Florence, Laurens, 4 fr. Le volume sur Florence est dû à M. Émile Gebhart. Aucun choix ne pouvait
us. Nous savons ce qu’il pouvait dire, et ce qu’il y avait à dire sur Florence . Il a rédigé une sorte de guide. Nous aurions pré
ro del Lungo, La donna fiorentina del buon tempo antico, R. Bemporad, Florence M. Isidoro Del Lungo évoque de son côté la Fem
de M. Isidoro Del Lungo révèle l’illustre professeur de la faculté de Florence  ; il finit, par exemple, un chapitre sur une invo
ent. Gaetano Imbert, La Vita fiorentina nel Seicento, R. Bemporad, Florence De M. Gaetano Imbert paraît un beau volume sur
a plus grande sympathie. Luigi Capuana, Re Bracalone, R. Bemporad, Florence . — Jolanda, Sulla via degli inca, Cogliati, Milan
les cités rappellent le seigneur et cela dure ainsi jusqu’au jour où Florence ou Venise, le pape ou l’empereur intervient et s’
nante la série des événements par lesquels Savonarole, législateur de Florence , se trouve amené à ce dilemme : ou appliquer sa l
le de Rome, M. Paolo Costa a découvert un exemplaire de Rome, Naples, Florence , avec des notes, des corrections, des conseils, q
on de 1826 parue chez Delaunay. La quatrième édition de Rome, Naples, Florence , parue chez Michel Lévy frères, à Paris, en 1854,
vraisemblablement Stendhal, ayant égaré l’exemplaire noté de Rome et Florence , se servit d’un autre exemplaire, en une époque p
nt celui qui voudrait soigner une nouvelle édition de Rome, Naples et Florence qui soit réellement définitive et reflète les der
semble donc indiscutable qu’une cinquième édition de Rome, Naples et Florence doit contenir toutes les indications renfermées d
uent sur le dernier roman de l’heureux auteur italien, il se publie à Florence un numéro spécial sur « la Questione Fogazzaro »,
qui prit le nom le son maître l’orfèvre Verrocchio, naquit en 1435 à Florence , où il passa toute sa vie jusqu’au jour où il fut
il faut placer son Baptême du Christ, de l’Académie des Beaux-Arts de Florence . Commencée à la détrempe, cette œuvre fut terminé
isible de reproduire cette vue du Rialto qu’on retrouve aujourd’hui à Florence , ces Santa Maria della Salute et ces Grand Canal
tti : Esposizione del Sistema filosofico di G. Leopardi ; Le Monnier, Florence M. Pasquale Gatti publie un Exposé du Système
ur évolution. — Giovanni Papini : Il Tragico quotidiano ; F. Lumachi, Florence . — G. Papini : Il Crepuscolo dei Filosofi ; Libr.
. — Giuseppe Prezzolini et G. Papini : La Coltura Italiana ; Lumachi, Florence . — G. Leopardi : Opere ; Le Monnier, Florence. — 
ura Italiana ; Lumachi, Florence. — G. Leopardi : Opere ; Le Monnier, Florence . — Guido Perale : L’Opera de Gabriele Rossetti ;
le toute une banlieue qui rappellera bientôt celle de Lille. Turin et Florence , l’altière résidence de la vieille dynastie et la
ord s’industrialise. Tous les départements qui se trouvent au-delà de Florence et de Livourne, ou peu s’en faut, vivent de leur
oupements, relevé des consciences, éduqué les foules. Milan et Gênes, Florence et Turin, Reggio d’Émilie et Rome, Mantoue et Bre
uteur du Feu. Le drame a été joué à Rome et à Naples, et finalement à Florence . Les amis du poète ont fait tous leurs efforts po
ure italienne venait de passer deux mois en Italie ; il avait donné à Florence exactement 2 jours, et 8 à Rome. Il avait travers
l’étendue de ses connaissances, il suffît de savoir ce qu’il admira à Florence plus que tout le reste, les seules œuvres dont il
re à cette langue, je traduis, en abrégeant, l’histoire de l’école de Florence … Si j’ai la patience d’achever ce travail ennuyeu
s, c’est Lanzi, et que, s’il traduit d’abord l’histoire de l’école de Florence , c’est tout bonnement parce que le premier volume
4 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
nnes se sont toutes transformées en absolutismes individuels, comme à Florence et Milan, ou collectifs comme à Gênes et Venise.
. M. R. Dalla Volta, Directeur de l’Institut des Sciences Sociales de Florence , dans une première étude « sur les causes de fa g
es de la cité et, avec elles, la cité ; elle réconcilie la Papauté et Florence brûlant contre elle d’une classique haine dantesq
1er mai 1917, p. 171-179 [171-173]. La Revue des Nations latines, de Florence , a demandé à quelques personnalités intellectuell
unication. Quelques-unes, dit-il, enfermées à la Galerie Buonarroti à Florence , sont rendues inaccessibles par suite de clauses
À la famille I. À Buonarroto di Lodovico di Buonarroto Simoni à Florence . À remettre en la boutique de Lorenzo Strozzi
père au carême avoir achevé ce que j’ai à faire ici16, et retourner à Florence faire ce que je vous ai promis. Tu m’écris que Gi
voulait de l’argent comme tu me l’écris, il faudrait prendre celui de Florence , parce qu’ici je ne peux rien encore lui envoyer.
Dieu pour que la chose se termine bien et que je retourne vivement à Florence , car je suis décidé à faire ce que je vous ai pro
donne pour rien au monde. III. À Lodovico di Buonarroto Simoni à Florence . [Rome, août 1508.] Très vénéré père. J’ai ap
t ce que je vous donnerais en plus, vous pourriez vous retirer soit à Florence , soit hors de Florence, en quelque endroit où vou
ais en plus, vous pourriez vous retirer soit à Florence, soit hors de Florence , en quelque endroit où vous seriez bien, tenir à
t. Votre MICHELAGNIOLO. IV. À Lionardo 21 di Buonarroto Simoni, à Florence . [Rome, 23 mars 1549.] Lionardo. Je t’ai mis
s dont tu me parles, ils ne me plaisent pas parce qu’ils sont près de Florence . Il me semble qu’à Chianti cela conviendrait mieu
fiance en Luca ; avec les marbres que j’ai, et que je ferais amener à Florence , on pourrait commencer à travailler pour le Pape3
peut se faire, et quand même je le voudrais, je ne pourrais amener à Florence les marbres destinés à mon œuvre, car il me faudr
ir, entre tous les autres que vous m’avez faits. XI. Au même. [ Florence , mars 1518.] Domenico. Les marbres extraits sont
e laisse pas penser à ce que je veux. Votre MICHELAGNIOLO sculpteur à Florence . XII. Au cardinal Jules de Médicis, à Rome.
lpteur à Florence. XII. Au cardinal Jules de Médicis, à Rome. [ Florence , 15 juillet 1508.] Révérendissime Monseigneur. E
année une certaine quantité de marbre pour l’œuvre de Saint-Laurent à Florence , et ne trouvant ni dans Saint-Laurent, ni dehors
’œuvre39, les début sont difficiles… XIII. À Berto da Filicaia, à Florence . [Seraveza, août 1518] Berto. Je me recommand
raison. XIV. Au révérendissime Monseigneur de Médicis à Rome. [ Florence , septembre 1518.] Révérendissime Monseigneur. Po
, de sorte qu’aux premières eaux j’espère en avoir une bonne partie à Florence , et ne pas manquer à ce que je vous ai promis. Di
O. XV. À Pietro Urbano 41, à la maison Michelagniolo, sculpteur à Florence . [Seraveza, 20 avril 1519.] Pietro. Les affai
! Il m’a servi comme tu le vois. Il faut prendre patience, je serai à Florence pour les fêtes et commencerai à travailler, s’il
XVII. Au prudent jeune homme Gherardo Perini 55 , à Pesaro. [ Florence , février 1522.] Tous vos amis et moi avec eux, m
vre ami58. XVIII. À messer Tommaso dei Cavalieri 59 , à Rome. [ Florence , 1er janvier 1533.] Inconsidérément, messer Toma
ce je ne le fais pas ici. XIX. À Frère Sebastiano del Piombo. [ Florence , juillet 1533.] Mon cher compère. J’ai reçu les
e tomberais mort. XX. À messer Tommaso dei Cavalieri, à Rome. [ Florence , 28 juillet 1533.] Mon cher Seigneur. — Si je n’
mmes de notre temps. Bruno Cicognani : 6 Storielle di Nuovo Conio, Florence , La Voce En sortant de ces psychologies dont l
is le frisson de la poésie. Maria Ginanni : Montagne transparenti, Florence , Italia Futurista. — Antonio Bruno : Fuochi di Be
nti, Florence, Italia Futurista. — Antonio Bruno : Fuochi di Bengala, Florence , Italia Futurista. — Raffaello Franchi : Incantam
gala, Florence, Italia Futurista. — Raffaello Franchi : Incantamento, Florence , Tempra. — Corrado Alvaro : Poesie in Grigioverde
La Maison de Galilée Sous le portail du Palais des Tribunaux, à Florence , on a affiché cette annonce de vente aux enchères
accompagna Michel-Ange lors de sa fuite à Venise pendant le siège de Florence . 58. Michel-Ange signe son nom et son prénom en
5 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
utiles sur l’homme et sa carrière. Abel Letalle : Les Fresques de Florence , 5 fr. (A. Messein) Quant au livre de M. Abel
(A. Messein) Quant au livre de M. Abel Letalle sur les Fresques de Florence , c’est une œuvre de poète ému par la beauté des œ
i les églises Santa Croce, San Martino, etc., ainsi que les musées de Florence . Lettres italiennes Ricciotto Canudo. Tome
aples. — G. Martegiani : Il romanticismo italiano non esiste, Seebar, Florence . — Felice Tocco : Studi Francescani, Perrella, Na
oni : Inizii di antiche poesie italiane religiose e morali, Olschski, Florence . — Questioni filosofiche : per la Società Filosof
 : Venezia, Voghera, Rome. — Bruno Cicognani, La Crittogama, Lumachi, Florence . — Luigi Siciliani : Arida Nutrix, Modes, Rome. —
ur. Gina Mariegiani : Il romanticismo italiano non esiste, Seeber, Florence Mme Gina Martegiani se révèle aussi assez dign
ait assez fort les violait, et à bien des reprises dans l’histoire de Florence on voit le parti le plus puissant s’emparer du po
les craintes que faisait naître la fortune croissante d’une famille. Florence avait une âme républicaine qui fut longue à endor
voir central absolu, leur reprochait, était en un sens une qualité. À Florence , rien n’entravait le jeu des énergies individuell
e et les familles alliées participaient activement. Tout en donnant à Florence un éclat jusque-là inégalé, ils conservaient des
s de Toscane. Les rivalités des familles riches avaient pour cause, à Florence comme ailleurs, le désir de leur gloire ou de leu
présentations se succédaient par les rues, les places, les églises de Florence . Les uns comme acteurs, les autres comme spectate
âme unique de laquelle tous participaient. Le Florentin était fier de Florence , nulle cité n’égalait à ses yeux la beauté de la
de Florence, nulle cité n’égalait à ses yeux la beauté de la sienne. Florence était pour lui le monde. Aussi l’exil était-il pi
ancolie à son exil et souhaite que son poème lui rouvre les portes de Florence . Lui qui vient de railler les soucis insensés des
les classes sociales. Les haines de familles étaient aussi féroces à Florence que dans les autres villes d’Italie, et, comme en
e, qui est la règle pour le capitaliste moderne, était sans exemple à Florence . Elle était condamnée en principe, puisqu’il fall
ni plus d’habileté, ni plus d’esprit d’initiative que les ouvriers. À Florence , ils étaient la grande majorité. Ils inventaient
quise et qu’ils surent habilement entretenir. Ainsi tout favorisait à Florence le développement des individualités ; mais il exi
ans leurs villas. Les artisans et le bas peuple restaient forcément à Florence , où, dans les logis insuffisants, par les rues ét
t il était rare au xve  siècle que l’ennemi approchât suffisamment de Florence pour gâter les récoltes. Malgré la sécurité relat
de faire, se mettait à la merci des plus riches de ses citoyens. Mais Florence ne renonçait pas pour si peu à la guerre. Ambitie
héroïques des Pisans, qui ne voulaient à aucun prix subir le joug de Florence , nous fait voir quelle animosité le peuple était
ous semble singulièrement monotone, faisaient battre tous les cœurs à Florence , et l’annonce d’une victoire mettait la ville ent
ulmina : la plus éminente d’entre elles est Machiavel. La richesse de Florence était aussi pour elle une cause de victoire, et n
affirmée d’une façon aussi forte, aussi complète, aussi radieuse qu’à Florence pendant la Renaissance. Renaissance ! il n’y a pa
cevoir : l’impression confuse que nous laisse l’histoire politique de Florence se dissipe dès que nous considérons l’évolution a
Mme M.-P. Crémieux, 12 fr., H. Laurens. — John Ruskin : Les Matins à Florence , trad. par L. Nypels, 6 fr., H. Laurens.   Celui
’à ce dernier, la Bible d’Amiens, les Pierres de Venise, les Matins à Florence , Sésame et les Lys et enfin le Repos de Saint-Mar
rement impartiaux — de l’amoralité et de l’infériorité françaises ; à Florence , à Vienne, à Cracovie, comme sans doute à Buchare
ale et rationaliste, que nous portons à l’Italie : dans les salons de Florence ou de Rome comme dans les bureaux de Gênes et de
pulaires à Paris en l’honneur des reines de ses marchés, déléguées de Florence et de Milan, les ovations aux compagnons de Garib
si sans doute, nous voulons le croire, un Anatole France est vénéré à Florence comme il fut acclamé à Rome, d’autres grands écri
hepanse s’est-il, hélas ! formé pour faire circuler par Gênes, Milan, Florence , Naples et Palerme une exposition des toiles des
ec tant d’injustice des Romantiques, ne voudraient-ils aller parler à Florence ou à Milan de ce que les Hugo, les Lamartine, les
x des moines, psalmodiant leur office. Reportant ensuite ses yeux sur Florence , toute la gloire et les plaisirs qu’y trouvaient
e, toute cette journée, et cette incomparable et séduisante vision de Florence n’avaient été qu’une épreuve destinée à lui révél
un édifice en somme de peu d’intérêt — de bons dessins sur Venise et Florence , de M. M. Chollet ; la porte du Baptistère de San
Florence, de M. M. Chollet ; la porte du Baptistère de San Giovanni ( Florence ), ouvrage en bronze d’Andréa Pisano, par M. C. Im
M. d’Annunzio a « composé » harmonieusement sa laborieuse retraite, à Florence , d’où il lance sur le monde les grandes proclamat
s, qui cherchent dans le bruit l’affirmation de leur pauvre force. De Florence aussi sont parties d’autres œuvres, dues à M. Sem
tre poétique, avec des emprunts faits à certains aspects de la vie de Florence pendant la Renaissance. Mais M. Sem Benelli écrit
era Ligure », Oneglia. — Ugo Frittelli : Ritmi, S. T. E. Cooperativa, Florence . Luciano Zuccoli : Farfui, Treves, Milan. — Giuli
a Germania, Bocca, Turin. — Ardengo Soffici : Ignoto Toscano, Seeber, Florence . Ferdinando Neri : Il trionfo della Morte e il ci
, et le célèbre Cortège des Rois Mages, dans l’oratoire des Médicis à Florence , constitue l’une des plus délicieuses suites de f
a, Soc. Comm. Libraria, Naples. — Aldo Palazzeschi : Poemi, C. Blanc, Florence . — Maria Messina : Pettinifini, Novelle, Sandron,
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
. 3 — Genève. Journ. Id. Id. 8 — Milan. Journal. Id. Id. 27 — Florence . Journ. Id. Id. 2 octobre Rome. Souv. Ég. Id.
vourne. Souv. Égot. 1er déc. * Parme 2 — * Bologne 5 — * Florence 9 — * Viterbe 10 — * Rome 26 — Milan.
3 — * Rome 27 — * Civita-Castellana 29 — * Pérouse 30 — * Florence 12 avril * Bologne 15 mai * Imola 17
mars-avril Milan. Corr. 7 juin Varèse. Corr. juin-juillet Florence . Corr. 24 juillet Bologne. Corr. 15 aoû
Paris. Not. Colomb. 15 sept. Ischia. Brulard. 19 nov. Florence . Corr. 6 décembre Paris. Corr. 1828
cchia (et Rome). Not. Colomb. — Corr. — Souv. Égot. Id. 8 octobre Florence . Corr. Consul de France à Civita-Vecchia (en con
ntré la dernière fois dans une de ces rues solitaires qui environnent Florence , encaissées entre des murs gris d’où jaillissent
7 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
nt été déménagées. Depuis, de semblables précautions ont été prises à Florence  : les statues de la Loggia dei Lanzi ont disparu
e en Italie a eu une origine ecclésiastique. C’est dans une église de Florence qu’en chaire Jean Boccace a fait le premier comme
e au front de certains éléments de Turin, la seule ville avec Pise et Florence qui n’ait jamais donné une adhésion totale et una
’annonce de troubles inventés de toutes pièces, soi-disant survenus à Florence ou en Sicile et où des Anglais et des Sénégalais
 1918, p. 755-768 [759-760, 762]. Gasparo Barbera On a célébré à Florence le centenaire de la naissance de feu l’éditeur Ba
ance de feu l’éditeur Barbera. Il arriva de Turin, sa ville natale, à Florence , le 14 novembre 1840, avec moins de six francs en
l entra comme commis chez l’éditeur Le Monnier, un Français, arrivé à Florence dix ans auparavant avec une centaine de francs et
o di Brescia de Niccolini, à Marseille, puis réussit à l’introduire à Florence après en avoir offert le premier exemplaire au gr
ux municipalités socialistes ? Les décisions du Congrès socialiste de Florence  ? Sait-il qu’après l’article de Turati dans la Cr
ive  siècle, rapporte une curieuse anecdote que voici. Triste jour, à Florence , le lundi 18 septembre 1329. Sur le marché il n’y
lé a de grain dans sa boutique ou à la maison ? Quels sont ceux qui à Florence ont acheté du blé pour le mettre de côté ou le re
ionale. Il n’est pas douteux qu’en des villes un peu « tièdes » comme Florence et Turin, leur action a été utile (Congrès patrio
me Florence et Turin, leur action a été utile (Congrès patriotique de Florence , du 26 au 28 février, de Turin, milieu de mars).
rmée partaient pour le front, accueillis partout, sur leur passage, à Florence , à Bologne, par les applaudissements de la foule.
journées de Caporetto. A. Soffici, Kobilek ; La Giostra dei Sensi, Florence , La Voce Parmi les livres de guerre — qui sévi
prit, qu’on voudra relire souvent. M. Puccini, Dal Carso al Piave, Florence , Bemporad. — G. Ferrero, La vecchia Europa e la n
Storie da ridere e da piangere. B. Cicognani, Gente di Conoscenza, Florence , La Voce Gente di Conoscenza est le titre du
Storico e l’Economia Marxistica. E. Masi, Storia del Risorgimento, Florence , Sansoni Il ne faut pas oublier les leçons sur
ues consacrées entièrement aux études anglaises : La Vita Britannica ( Florence ) et la Rassegna Italo-Britannica (Milan). L’Idea
nce et l’Italie, à l’égal de son aînée, La Revue des Nations Latines ( Florence ). L’entente intellectuelle entre les Alliés a aus
» Emma Boghen Conegliani, éditée par la Société R. Bemporad et Fils à Florence et extrêmement répandue dans les Écoles Normales,
p. 563-576 [567. Un grand événement est survenu au musée national de Florence , où se trouve la plus belle collection de sculptu
de Vincenzo Gemito qui le sculpta en 1872 vient d’entrer au musée de Florence . Cette sculpture fut admirée à Paris en 1873. San
to, on peut s’étonner que les Italiens n’aient pas ouvert le musée de Florence à la plus grande gloire de la sculpture contempor
ses œuvres au Luxembourg. Elles eussent également honoré le musée de Florence . 1. Terme également en usage dans certaines
rs 1918). 14. [NdE] Sic pour Bidernuccio. 15. Libreria della Voce, Florence . 16. Athenæum, Rome. 17. N° du 7 avril 1917.
8 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
son nom, sans doute en plus de quelques autres choses, il s’enfuit à Florence , pénètre jusqu’à Cosme II, qui l’emploie, mais se
e semble triompher avec les Carrache, avec Guido Reni, avec Zampieri, Florence , Sienne, Ravenne, Ferrare ne sont plus, la lutte
talie, après la pension de Cosme II, et ces chefs-d’œuvre la Foire de Florence et les Varie figure Gobbi ; il a même été jusqu’à
haute société italienne. Traductions Chez l’éditeur Barbèra, de Florence , vient de paraître en deux volumes la traduction
Pieve di Cadore : il en laissera le Bois dans la montagne (Offices de Florence ) et les rudes Moissonneurs du Louvre. Il vient d’
vait trait à ce fameux pardon, mais de nouvelles études entreprises à Florence , à Rome et à Assise m’ont amené à la conviction q
d’un de leurs maîtres favoris avait tout pour plaire aux délicats de Florence . Ce que l’on sait pertinemment, d’ailleurs, c’est
iature. On prétend qu’il décora plusieurs missels de la cathédrale de Florence en collaboration avec Monte di Giovanni36. Si vra
es peuvent vivre de notre admiration. » Les Journaux. Lamartine à Florence (Le Temps, 10 août) R. de Bury [Remy de Gourmo
itations, désira voir l’Italie ; on le nomma secrétaire d’ambassade à Florence . Il n’avait d’autres droits que son génie. Quel s
pu exploiter l’émoi d’un couple amoureux ! Lamartine séjourna donc à Florence , en qualité de secrétaire de la légation, de 1826
aite m’en est un sûr indice.” » L’Autriche avait pour représentant à Florence le comte de Bombelles. Fils de l’ancien évêque d’
ec M. Marcel Prévost, le passage à l’Extrême Gauche, l’échec final, à Florence , aux élections. Gabriel d’Annunzio, sous prétexte
rogramme. M. d’Annunzio a toujours nourri l’illusion mélancolique que Florence , cette ville molle, sceptique et parfumée, avait
e, avait été fondée pour lui ; il ne sait encore précisément si c’est Florence qui projette sa lumière sur lui, ou si c’est lui
jette sa lumière sur lui, ou si c’est lui qui projette sa lumière sur Florence  ; le jour où il résoudra la question ce sera sans
. d’Annunzio s’avisa donc au dernier moment de poser sa candidature à Florence . Le quartier le plus aristocratique de Florence v
oser sa candidature à Florence. Le quartier le plus aristocratique de Florence vit donc le nouveau rebelle venir quêter ses suff
ne invraisemblable. Toute exagération à part, il était fort bien vu à Florence il y a quelques mois ; et coup sur coup le Fuoco,
res confrères c’étaient : Monnet, Dhuez et Fragonard. Turin, Bologne, Florence , la montagne de Viterbe, et la compagnie débarqua
nise et le dôme de Montreale ; la façade du palais de la Seigneurie à Florence et de curieux intérieurs d’églises : Saint-Pierre
un cadre de M. Charpentier Bosio contenant des aquarelles sur Venise, Florence , Tunis […]. Lettres italiennes Luciano Zùcc
avec esprit et érudition la cause du Grand Art, qu’à Venise, comme à Florence , comme un peu partout, les ingénieurs de la bourg
de toutes ses forces, le jour où l’on proposera d’abattre le Dôme de Florence pour y faire passer les automobiles, que Dieu tie
9 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
in-18, Milan, Galli, L. 3. — Enrico Corradini : La Gioa, pet. in-8°, Florence , Paggi. — E. A. Butti : L’Incantesimo, in-18, Mil
ivista mensile, Bergame. — La Scena illustrata, rivista quindicinale, Florence . C’est un charmant petit volume que celui de M.
Paola, con seguito di bei tipi novella critica, par Alberto Cantoni, Florence , Barbèra. — Roman où l’on traite : du féminisme l
iannotta. — Alberto Cantoni : Pietro e Paola con seguito di bei Tipi, Florence , G. Barbera. — Renato Fucini : All’aria aperta,  
i bei Tipi, Florence, G. Barbera. — Renato Fucini : All’aria aperta,   Florence , R. Bemporad e Figlio. — Ernesto Zenuti : Vita Ol
a,  Florence, R. Bemporad e Figlio. — Ernesto Zenuti : Vita Olandese, Florence , R. Bemporad e Figlio. — Casimiro Vareje : Vita e
10 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
recherche des textes antiques, polémiste acerbe et prieur des Arts à Florence . Le détail de cette destinée est amusant comme un
l’écrivain (et je songe aussi au poète qui, en si beaux vers, chanta Florence ), je veux citer cette délicieuse impression des e
isme, Michetti dans la peinture. M. Pantini vit la plupart du temps à Florence , et il s’occupe d’art d’une manière si probe et s
42, 1er octobre 1901, p. 205-211 [205-207, 208-210]. Eugène Müntz : Florence et la Toscane, Hachette, 15 fr. M. Eugène Münt
s qu’ils fournissent sont infinis. Je ne m’étendrai pas autrement sur Florence et la Toscane, qui n’est qu’une réédition, mise a
e la Toscane : Volterra, Pienze, Arezzo, Fiézole, Poppi, Pistoja ; de Florence surtout qui est un musée unique en Italie et en E
’existe pour ainsi dire pas. Que sont les cathédrales de Sienne et de Florence , le dôme de Pise, les églises romaines à côté de
e quelques édifices comme le Palais Vieux et le palais du Bargello, à Florence , le palais Tolomei à Sienne, le pittoresque de ce
danser autour une toute petite danse ironique. Mes amis de Milan, de Florence , de Rome, de Naples… (voit-on assez que je suis u
11 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
es qui ont fait bon accueil au questionnaire du journal littéraire de Florence , je citerai, au hasard de la mémoire, MM. Coppée,
ément Pérouse, désintéressée, dévouée et chevaleresque, de sa voisine Florence . Dans cette école ombrienne, qui partit de Gualdo
ar les fougueuses féeries des maîtres de la Renaissance. Et cependant Florence , Rome, Rimini, Ferrare, Urbin se le disputèrent.
s et deux ébauches à la National Gallery, — et la Vierge du Louvre. À Florence , il passe seulement, au sortir de l’atelier du vi
t les chambranles des portes et des fenêtres, dont maëstro Jacomo, de Florence , faisait les marqueteries, où Giorgo Andreoli, de
la main, ses biographes futurs ne feront pas une métaphore surannée. Florence , avril. Voyages, archéologie. Dom Guéranger :
lémiques élégantes. E. Corradini : La Verginità. La Verginità ( Florence , au Marzocco), par M. Enrico Corradini, montre qu
onquis. Ils vivent, les deux amoureux, dans une villa aux environs de Florence , dans cette campagne toscane qui offre à l’artist
e les acteurs se sont fait honneur, et lorsque la reine est arrivée à Florence , elle a fait répéter le spectacle et, à ce qui pa
adini, La Verginità, roman ; Th. Neal, Studi di litterature e d’arte ( Florence , éditions du Marzocco). — T. Giordana, La Fiamma
e, mais les géniaux bâtisseurs qui avaient peuplé de merveilles Rome, Florence , Milan, toutes les villes de la péninsule, et qui
12 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
théâtre national. Mais un écrivain français qui revient de Rome et de Florence , où il vient d’accomplir un voyage d’étude, ne m’
ttérateurs et des journalistes (toujours !) se montraient à Rome et à Florence , heureux que M. d’Annunzio ait fixé sa demeure ho
t dit cultivé de ses compatriotes. C’est dans un organe littéraire de Florence , le Marzocco, que j’ai lu cette significative con
co, le « Beato », l’artiste radieux de pureté du couvent San Marco, à Florence , dans une collection de toiles érotiques de Jules
ie le gouvernement de certaines villes italiennes au moyen-âge, telle Florence . Ces gouvernements n’avaient même pas les apparen
iques et hiératiques à force de gloire et d’éloignement : Dante et la Florence médiévale. Je crois, qu’on peut dire qu’il y a là
e des causes, on pouvait, pour Dante, noter les luttes des Guelfes de Florence , auxquelles se rattachent par quelque bout maints
pour Dante, les chercher, non plus dans les livres, mais sur place, à Florence et en Toscane. C’est un vrai Florentin, que M. Ga
, à Florence et en Toscane. C’est un vrai Florentin, que M. Gauthiez. Florence ou Île-de-France, on ne sait lequel des deux ciel
vant, ce qui est tout. Pèlerin et chemineau de la gloire dantesque, à Florence et dans les campagnes toscanes, pas à pas, en se
oire. Cela ne me changerait pas beaucoup, du reste. Cette histoire de Florence , et de Dante dans Florence et hors de Florence, e
pas beaucoup, du reste. Cette histoire de Florence, et de Dante dans Florence et hors de Florence, est si peu rédigée en façon
ste. Cette histoire de Florence, et de Dante dans Florence et hors de Florence , est si peu rédigée en façon de thème ou de disse
es nobles, soutenus par Boniface VIII, qui voulait mettre la main sur Florence , faisaient de violentes tentatives pour ressaisir
s’aggrava. Nommé prieur, « prieur des arts et artisans de la Cité de Florence  », le 14 juin 1300, Dante se déclara contre Bonif
acificateur) de la Toscane toujours en proie aux factions, entra dans Florence et imposa le podestat du Pape : Dante dut s’enfui
historique et du sens poétique, ce fils de la prosaïque et plastique Florence ne cessera plus de se tenir ferme à la vie, à l’a
états de conscience. Luigi Risso Tammes : Novelle Umane, Bemporad. Florence Plus près d’une forme neuve, d’une expression
 : Montesquieu et Machiavelli. Bibliothèque de l’Institut Français de Florence . H. Champion éd. Crispolto Crispolti et Guido Aur
entino. Tome XCVI, numéro 355, 1er avril 1912, p. 665-672 [665-668]. Florence , 21 mars 1912. Monsieur, Je lis dans le Mercure d
croire mes contradicteurs, mais en d’autres endroits, entre autres à Florence où, six ans durant, j’ai fait des recherches d’ar
ar quels moyens cet enthousiasme a été obtenu, c’est ce qu’a montré à Florence même un historien de talent, M. Gaetano Salvemini
rgées d’examiner quels remèdes on pourrait apporter à la situation. À Florence , la commission, présidée par le maire Corsini (ar
rana, à Palerme, par M. Pierre Duménil ; des aquarelles sur Venise et Florence (statue du Colleone, escalier du Bargello, etc…)
r son livre With Dante in Modern Florence. Et pourtant l’aspect de la Florence moderne est assez décevant pour qui vient y cherc
nt il n’a pas foulé les dalles. Aujourd’hui, nous n’apercevons que la Florence des Médicis ; de la décadence et de l’Italie unif
l’Italie unifiée. Mais, comme le remarque très justement l’auteur, la Florence d’à présent n’est qu’une sorte de palimpseste, et
itement organisé, tel qu’il s’est révélé définitivement au Congrès de Florence de l’année dernière. Après son roman Patria lonta
— G. L. Passerini. Il Vocabolario della poesia Dannunziana. Sansoni. Florence . — Altoviti Avila. Una lettera di Lamartine a Gio
urope, s’est accrue, elle aussi, d’un nouveau livre. Cette fois c’est Florence qu’étudie l’érudit critique d’art (Paris, éd. Nil
nt et en décrivant ce qu’il y a d’incontestablement signé par Bazzi à Florence et à Sienne émet que ce sont là œuvres d’un peint
Italia, Simonti, Pistoie. — Ezio M. Gray : La bella guerra, Bemporad, Florence . — Pietro Pasetti : Note ed episodi della guerra
dano Bruno e la interpretazione di Felice Tocco. Collini et Cencetti, Florence . — G Saitta : Le origini del neo-tomismo nel seco
— F. Hebber : Giuditta. Lœwy et Slataper, tr. Cahiers de « La Voce », Florence . — Ménandre : Scene e frammenti, C. O. Zuretti, t
laudel : Partage de Midi, Piero Jahier, tr. Librairie de « La Voce », Florence . — Walter Pater : Il Rinascimento, A. de Rinaldis
Divers : Giovanni Papini : Un uomo finito. Librairie de « La Voce », Florence . — Ercole Rivalta : La Scalata. Bontempelli et Tu
ndron, Palerme. — Massimo Bontempelli : Sette Savi, Novelle. Baldoni, Florence . — Paulo Litta : La déesse nue. Edit. “Libera Est
i, Florence. — Paulo Litta : La déesse nue. Edit. “Libera Estetica », Florence . — Job’s : Comedia d’anime. Puccini, Ancône. — Ri
cini, Ancône. — Rina Maria Pierazzi : Le rime del Marzocco. Bemporad, Florence . — Luigi Pirandello : Fuori di chiave. Formiggini
371, 1er décembre 1912, p. 642-646 [645]. Je signale dans La Voce, de Florence , un excellent et fort plaisant article de M. Roma
vivait seul avec lui ; elle avait deux frères, dont l’un capitaine à Florence , et l’autre attaché à l’ambassade d’Espagne. Elle
à fait sans intérêt. Lettres anglaises. E.-V. Lucas, A Wanderer in Florence , 6 s., Methuen Henry-D. Davray. Tome C, numéro
e, sur Londres, et sur Paris. Il nous donne aujourd’hui A Wanderer in Florence , enrichi de quelques intéressantes reproductions
u’il s’adresse indistinctement à tous les lecteurs, à celui qui est à Florence , parce qu’il lui apprend une foule de choses qu’i
ridionaux groupés à Rome ou à Naples, et les poètes du Nord groupés à Florence ou à Milan, Ce qui est le plus à remarquer, c’est
u. Memento M.  Romain Rolland a donné au périodique la Voce, de Florence , un violent et clair article sur « la Guerre des
13 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
5-174 [174]. […] La Revue critique (25 novembre) : — « Les Leçons de Florence  », par M. J. Longnon. […] Lettres allemandes.
grande peine. Seul il avait marché, dans l’exil, sous la haine, Et Florence restait son incessant désir : Mais de tels hommes
e quelques salles de café connues et fréquentées pêle-mêle, à Rome, à Florence ou à Milan, par des journalistes plus ou moins re
e prêtre et le poète. Si je te quitte un peu, ce sera pour aller Vers Florence , ta mère, afin d’y reparler Avec mon Dante, avec
s avons plaisir à annoncer la publication du second volume consacré à Florence dans la belle collection des Musées d’Europe de M
e dans la belle collection des Musées d’Europe de M. Gustave Geffroy ( Florence  : II. Paris, Nilsson ; in-4, 172 p., av. 169 fig.
est resté dans toutes les mémoires. Ils ont été composés en prison à Florence et ensuite dans la maison d’aliénés, où Stauffer
Histoire. Jean Lucas-Dubreton : La Disgrâce de Nicolas Machiavel. Florence  : 1469-1537, « Mercure de France », 3 fr. 50 Ed
s Le Cardonnel. Tome CIII, numéro 383, 1er juin 1913, p. 488-489. Ô Florence , ô cité des Princes et des Sages, Où vont de si c
ts, de si profonds visages, Où la foule nous semble émerger du passé, Florence où tout revient, — triste, j’avais laissé Tes pal
t chrétiennes, Mille voix, s’accordant dans un son fraternel : Car, ô Florence , en toi, tout demeure éternel. Je t’ai revue en
reste, enflammé d’espérance, Et je puis dire encor : J’ai marché dans Florence . Histoire. Lucien Romier : Les Origines polit
urin, Milan, Venise, Mantoue, Parme, Modène, Gênes, Bologne, Lucques, Florence , Sienne, Rome, Naples, Innsbruck, Vienne-en-Autri
s-Lyon-Méditerranée, et Luchaire, directeur de l’Institut Français de Florence , à l’effet d’établir, sur des bases plus larges e
de M. Julien Luchaire qui a fondé ce précieux « Institut français de Florence  », prototype d’œuvres analogues établies ailleurs
ne fortune bien plus grande est échue au Musée national du Bargello à Florence  : aux nombreuses et célèbres créations de Donatel
-Baptiste en marbre, exécuté vers 1425 pour la famille des Martelli à Florence , et qui, depuis cette époque, n’avait pas quitté
f du jeune saint Jean au Bargello, le fier adolescent du Campanile de Florence , le maigre ascète en route pour le désert, de nou
xtrait] […] The Nation, de New-York, 29 mai : M. Luigi Villari, de Florence , fils de l’historien, une étude sur Giuseppe Bell
es ; des paysages de Toscane ; des choses sur Milan, Venise, Bologne, Florence surtout, qui tient une grande place dans le récit
ur a spécialement noté l’extraordinaire vitalité d’un art spirituel à Florence , malgré les désordres de son histoire, et dans le
end dans un des chapitres de son livre : les Masques et les Visages à Florence et au Louvre, et M. Étienne Charles a résumé dans
ue ces fresques, peintes sur les murs de la villa Tornabuoni, près de Florence , pour célébrer le mariage de Giovanna Albizzi ave
’élevait dans le plus aristocratique et le plus beau des quartiers de Florence . Elle avait grandi dans la société des humanistes
le plus beau jouvenceau, le plus riche et le plus élégant cavalier de Florence  ». Le mariage fut un grand événement. Laurent de
en armures de tournoi firent escorte à Giovanna Albizzi, et, le soir, Florence fut en fête. Botticelli et Ghirlandajo firent d’e
piré pour rouvrir aux Médicis, ses maîtres et ses amis, les portes de Florence . Il fut mis à la torture, condamné à mort, ainsi
e sous la direction de M. Christian Beck : Le Piémont, Milan, Venise, Florence , l’Ombrie, préface par Teodor de Wyzewa, 1 vol. i
lturel, est le groupement qu’on appelle Vociano, car il a son foyer à Florence autour de la revue la Voce. La Voce a été fondée
sso et la peinture impressionniste française, dont elle a organisé, à Florence , la première exposition italienne. Son attention
in de réimprimer son œuvre entière. Voy. La lotta politica in Italia ( Florence , Libreria della Voce, 1913, 3 vol.) — Vortice ; D
de l’année dernière au futurisme, rédige, dans Lacerba, qui paraît à Florence , un Journal de bord qui lui a valu de recevoir de
et les voyageurs célèbres, et qui comprend le Piémont, Milan, Venise, Florence , l’Ombrie, avec des extraits souvent curieux, que
M. Louis Le Cardonnel. — M. J. Bertaut : « Le Pèlerinage littéraire à Florence . » […] Musées et collections. Memento [extrait
ntiments et des passions qui remplirent leur vie. Cette fois, c’est À Florence et au Louvre (Portraits célèbres de la Renaissanc
14 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
drame ? Dix principales : Milan, Turin, Venise, Rome, Naples, Gênes, Florence , Bologne, Palerme et Trieste. Il y a aussi des sc
icis, 1514-1548) ; Fontemoing Les dernières études historiques que Florence ait inspirées, chez nous, avant les superbes ouvr
es de M. Perrens, se continuant de là avec Lorenzaccio, l’histoire de Florence se poursuit donc sans interruption. Ici et là, co
mauresque, ce soudard heureux et goguenard, installé et maintenu dans Florence par les piquiers de Charles-Quint. Et l’histoire
i se réfugie avec ses enfants à l’approche des Impériaux, le retour à Florence en 1528, le voyage à Bologne, avec sa triple renc
noiraud d’Alexandre, etc., — jusqu’à l’équipée de Rome et au retour à Florence . La deuxième partie débute par la forte peinture
retour à Florence. La deuxième partie débute par la forte peinture de Florence sous le duc Alexandre, après l’éphémère essai de
e révèlent et s’affirment dans de nobles œuvres, et d’autres créent à Florence tout un mouvement, dont je parlerai ensuite. Les
celles du passé. Il faudra la suivre. Le mouvement impérialiste de Florence À propos de la Tradition nationale, il est int
a Tradition nationale, il est intéressant de signaler l’esprit qui, à Florence , réunit des talents disparates et des tendances d
i Vannicola. Leur champ d’action est toute l’Italie, leur citadelle : Florence . De Florence, un périodique, lance toutes les sem
Leur champ d’action est toute l’Italie, leur citadelle : Florence. De Florence , un périodique, lance toutes les semaines les cri
Et au milieu des exaltations nationales des nouveaux politiciens de Florence et de quelque poète, M. Adolfo de Bosis fait ente
15 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
capitale. Outre La Lettura et Natura ed Arte à Milan, le Marzocco, à Florence , Flegrea à Naples, d’autres revues sont en format
t de s’établir en France, donna douze gonfaloniers à la république de Florence , trois cardinaux et plusieurs nonces à l’Église r
uces, de Turin, de Parme, de Pavie, de Naples, de Milan, de Gênes, de Florence … Ils sont trop. À signaler, cependant, les Dévote
leuse demeure de Fouquet sa somptuosité d’autrefois. Marcel Niké : Florence historique, monumentale, artistique, Firmin Didot
rence historique, monumentale, artistique, Firmin Didot, 7 fr. 50 Florence , par Marcel Niké, comme l’indique un sous-titre,
uis, crayons sur l’Italie, ils sont légion. L’Italie du nord, Venise, Florence , la Toscane, exerce une attraction très compréhen
où l’on retrouve l’église de Toscanella, Saint-Laurent-hors-les-Murs, Florence  ; de M. Portier, Venise, Rome, la villa d’Este ;
, Venise, Rome, la villa d’Este ; de M. Bureau, la cour du Bargello à Florence  ; de M. Rey, le baptistère si byzantin de Saint-M
Palais des Doges à Venise a encaissé, en 1900-1901, 81 340 francs. À Florence , les recettes annuelles des Offices et du Musée n
l’exercice présent. » Ainsi les Musées d’Italie, notamment celui de Florence , se sont considérablement enrichis dans ces derni
16 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
Tome XVII, numéro 73, janvier 1896 Florence . Botticelli. La Primavera Armand Point. Tome
               Dei veri Precetti della Pittura, libro I, Cap. iii. … Florence … la nuit… des étoiles… Un sillage de diamants et
e dans toute la nature, te révèlent toujours à mon regard adorant ! » Florence — Janvier 1894 (Notes de Voyage.) Tome XVII,
gie littéraire. Enrico Corradini : Santamaura, romanzo, gr. in-12, Florence , Roberto Paggi Santamaura, roman à la fois na
Renard et Mallarmé ». S’il est possible de se figurer à Turin, Milan, Florence , Rome ou Naples, à quel point, vue de la rue de l
17 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
s, assez éminentes, d’ingénieur. Revenant de Milan, il avait essuyé à Florence la colère du grotesque gonfalonier Sodérini, qui
arfums et de joie, trouva auprès de Ludovic ce qui lui avait manqué à Florence , ce qu’il ne trouva guère ensuite à la cour de Cé
18 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
versités italiennes, de faculté de théologie, depuis la loi de 1873 ; Florence n’en a jamais eu, et n’a pas non plus d’ailleurs
, qu’il attribue à Lingay, relatifs l’un et l’autre à Rome, Naples et Florence en 1817, par M. de Stendhal, officier de cavaleri
ons littéraires. Pour ce qui est plus spécialement de Rome, Naples et Florence , combien le baron de Mareste exprimait-il une vér
de l’Épopée Finnique : Kalevala, Iginio Cocchi. tr. Soc. T. Ed. Coop. Florence Le Kalevala, traduit par M. Iginio Cocchi, a u
beauté sur le Christ et la Madone. Depuis Assise jusqu’à Pise, depuis Florence jusqu’à Venise ; et l’abondance des exemples est
d’argent pâle, le Fleuve descendait vers les Palais tragiques et vers Florence aux yeux de corail et d’émail. 20 janvier 1909.
’une morne et sacristaine inanité, sa « Suite symphonique » intitulée Florence étale une inconscience puérile qui frise le burle
ci, dans une préface à une anthologie italienne, parue chez Sansoni à Florence , ces lignes qu’on ne saurait déclamer sans l’appu
e, un plafond du palais Farnèse, à Rome, de M. L. Hulot ; à Sienne et Florence , de curieux détails de porte-étendards et de port
M. H. Fivaz. C’est ensuite les croquis de voyage en Italie et Suisse ( Florence , Bâle, Fribourg) de M. M. Chollet ; les sites de
vulgarisateurs avertis plus que créateurs de systèmes, à Naples et à Florence , par des études et des traductions fort nombreuse
« villes d’art célèbres », a certes moins de réputation que Venise ou Florence , Rome ou Ravenne, parmi les cités d’Italie que vi
ormir… Je revivrai ces jours passés en Étrurie, Ces beaux jours, où Florence à moi se révéla ; Et mon âme sera neuve et toute
833, lorsqu’il visita Malte, la Sicile, Naples, Rome, et vit Landor à Florence . Il narre l’impression produite sur lui par les g
é à Andréa della Robbia, provenant de la chapelle du palais Strozzi à Florence […]. Memento [extrait] […] Deux autres albu
oussel-Larroumet. MDCCCCII, éd. de CCCL exempl. numérotés, imprimés à Florence par L.  ranceschini et Compagnie. Nous sommes red
19 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
dotant l’Italie et le monde de cet important Musée d’Anthropologie de Florence , où les attitudes les plus complexes de la vie hu
Essais. M. Mario Schiff, chargé de cours à la Faculté des lettres de Florence , qui consacre un volume à Marie de Gournay et pub
à former, contre ce monarque, une ligue qui réunissait Naples, Milan, Florence , Ferrare et dans laquelle il fit entrer Venise et
uter. Il se mit à l’œuvre, mais détruisit ses maquettes et s’enfuit à Florence , en apprenant que Vellano de Padoue, à la suite d
dernière guerre, les Vénitiens soutinrent les Pisans insurgés contre Florence . Notre attitude violente inquiète le duc de Milan
assidue du désir et de l’amour, n’est-ce possible qu’à Naples, Rome, Florence ou Venise ou dans les allées désertes d’un parc a
’analyser. On lira encore de curieuses pages inédites de Stendhal sur Florence , Venise, Padoue. Il visite Padoue, écrit M. P. Ar
à Rome pour essayer de peindre des figures et partit subitement pour Florence où l’attirait la renommée de Michel Angelo Buonar
et les railleries. — Au temps où je peignais les salles du Palais, à Florence , me répliqua Zaratto, une courtisane effrontée se
garder. Je ne puis le suivre pas à pas dans ses pèlerinages à Rome, à Florence , à Athènes, à Constantinople, etc. […]. Le journa
tre les différentes « capitales » de la péninsule, à Milan, à Rome, à Florence ou à Naples, on chercherait vainement ceux qu’un
. Corradini, en fondant le périodique Il Regno (le Royaume), créait à Florence le premier centre nationaliste et impérialiste, M
que ; il l’a repris fréquemment et d’exquises variantes s’en voient à Florence , au Prado, à Cortone, à Pérouse, à Montecarlo, da
ière est parmi les plus belles, avec les exemplaires de Cortone et de Florence . Là du reste on peut voir comment la conception d
x courbes des figures. La Vierge de l’étage supérieur de Saint-Marc à Florence est l’une des plus délicieuses créations de l’art
erspective. Enfin Donatello a vu et touché les antiques de Rome et de Florence , ceux qui restaient à demi enterrés dans les ruin
des vagues… Lettres hispano-américaines. R. Errázuriz Urmenela : Florence et l’Art, Imprimerie de l’Union d’Édition, Rome
I, numéro 340, 16 août 1911, p. 880-884 [882-883]. Son dernier livre, Florence et l’Art, est la troisième partie d’une trilogie
chant la capitale cultivée de la Toscane. Les deux premières parties, Florence au Moyen Âge et Florence et les Médicis, nous off
e de la Toscane. Les deux premières parties, Florence au Moyen Âge et Florence et les Médicis, nous offrent une analyse vive et
iques extraits de la mine inépuisable des chroniques et des archives. Florence et l’Art nous fait voir la miraculeuse floraison
une raison dont l’évidence égale le courage, que l’Humanisme naquit à Florence , mais non au sein de la douce académie fondée par
es de Pétrarque, et la première chaire de littérature grecque créée à Florence par cet incomparable et universel Boccace qui att
i, Naples. — Giovanni Amendola : Maine de Biran, Éditions de La Voce, Florence . — Adolfo Albertazzi : Torquato Tasso, Collection
iggini, Modène. — Pio Rajna : Le Fonti dell’Orlando Furioso, Sansoni, Florence . Tome XCIII, numéro 344, 16 octobre 1911
eorge, voici encore Toscane et Ombrie, un livre de promenades à Pise, Florence , Pérouse, Assise, Sienne, avec de jolis paysages,
érile, les futuristes la défendent, le cas échéant, à coups de bâton. Florence fut récemment le théâtre d’un de ces combats où l
. […] Dr Roberto Assagioli : Il Subcosciente (Bibliotheca Filosofica, Florence ). — Brève étude du subsconscient, pourvu d’une bi
Soffici. Tome XCIV, numéro 347, 1er décembre 1911, p. 666-672 [668]. Florence , 21 novembre 1911. Cher Monsieur, Tandis que je n
rois tableaux dramatiques en vers tirés de la vie de Jules Slowacki à Florence ), Gebethner Wolff. […] La Curiosité. Collectio
20 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
méro 398, 16 janvier 1914 Les Romans. Carolus Didier : Le Lys de Florence , Jules Tallandier, 3 fr. 50 Rachilde. Tome CVI
e tomber dans les compromis. Mais au commencement de 1913 était née à Florence une revue indépendante, d’avant-garde, très vivan
et entraîna bientôt d’autres conversions. Les expositions de Rome, de Florence , de Paris (sculpture de Boccioni) et de Londres ;
oni) et de Londres ; les derniers meetings, très orageux, de Rome, de Florence et de Milan, ont forcé les milieux intellectuels
d’Italie et par le directeur des Offices ; l’exposition triomphale à Florence , puis à Rome, puis à Milan ; le retour à Paris, q
aris, que certes nous n’imaginions pas devoir être ce qu’il eût été à Florence au temps des Médicis — notre démocratie a d’autre
de la dernière génération. M. Aldo Palazzeschi est jeune. Il est né à Florence — dans cette ville qui a repris depuis dix ou qui
les fontaines italiennes de M. E. Bonnier, Prato, Pérouse, Monreale, Florence , — une fontaine de Bologne avec un lion penché, q
hute des Bonacolsi, par Domenico Morone, et à la galerie des Offices, Florence , l’Entrée de Charles VIII à Florence, par Frances
ne, et à la galerie des Offices, Florence, l’Entrée de Charles VIII à Florence , par Francesco Granacci. On ne peut pas dire qu’i
a, Milan) ; — la collection de Lacerba (1913-1914, 25, Via Nazionale, Florence ) ; — le livre de F.-T. Marinetti, le Futurisme (P
risme (Paris, Sansot) ; — la brochure de G. Papini, Il mio Futurismo ( Florence , Lacerba, 1914). 2. Voy. Mercure de France, n° 4
publiés les Mémoires de Casanova, article du journal Il Marzocco, de Florence , n° 46 (13 novembre 1910). 12. Premiers Lundis,
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
de la pauvreté. Car, aux citoyens de la belle et chère fille de Rome, Florence , il a plu de me jeter hors de son doux giron : de
les ravages du modernisme, et qui se nomment Rouen, Bruges, Venise ou Florence . Mais on appelle encore une Ville d’art celle où
siècles ont pris l’habitude d’appeler chacun d’eux leur « Angelico ». Florence a produit le bienheureux Jean de Fiesole, cet « h
22 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
icis, édition Michel Lévy, pages 268 et 269.) » Lorsque Dante quitta Florence , il se réfugia au château de Cane della Scala-Gib
ustre alors, et qu’il vénérait à cause de son génie.” » (Une année à Florence , édition Michel Lévy, page 194.) 1. Cellini
23 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
riche d’observation et si aigu : le succès que la pièce a remporté à Florence , où le public et le moment (on était en pleine gr
nt ordinairement insupportables les récits de voyage. L’Italie, Rome, Florence , Venise, et toutes ces petites villes qui vécuren
amour. On ne voit en lui que le proscrit torturé par sa passion pour Florence et le poète de Béatrice. Placé si haut par l’admi
villes régulières, Turin, Nancy, Lille, Windsor. J’aime Venise, Rome, Florence , Milan, Constantinople, Gênes. » Puis, il redevi
ses mères est limpide comme de l’eau de roche. Entrez à l’Académie de Florence , dans cette salle de la Galerie antique et modern
joie, d’abord exposé lors de la fête de l’Art et des Fleurs en 1898 à Florence , où il passa presque inaperçu… Il fut acquis depu
24 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Introduction] »
au 24 octobre suivant. Stendhal, fort amoureux, passe ce long mois à Florence , à Naples, à Ancône dans l’impatience du retour e
25 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
culture italienne. Son petit livre Il mio Carso (Éditions de la Voce, Florence ) est le poème en prose de la région où se dévelop
voyages durera six semaines et comportera des arrêts à Milan, Venise, Florence , Rome, Naples et Pise. Chaque groupe sera accompa
risé en France, et Julien Luchaire qui, avec son Institut français de Florence et ses excellents travaux historiques, a tant con
1907.) Figurez-vous un Sicilien, sorti depuis peu de l’Université de Florence et transplanté à vingt-cinq ans dans la Babylone
« mots en liberté ». Le groupe futuriste a fondé une nouvelle revue à Florence , l’Italia Futurista (dirigée par MM. Corra et Set
use, a paru dans le premier numéro de l’Italia futurista qui paraît à Florence . Où est le temps, mon cher Marinetti, où vous m’a
ée. La première exposition d’impressionnistes français qui eut lieu à Florence , en 1910, fut restreinte et improvisée ; elle mar
26 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
t aujourd’hui les centres de la vie théâtrale et des grands éditeurs, Florence présente aussi au grand public le spectacle des f
èse des païens et des chrétiens, des beaux siècles de l’Hellade et de Florence  ; c’est un point d’arrêt, ce n’est pas une promes
te Conti, philosophe-pédagogue de l’Institut des Études supérieures à Florence , vient de mourir. Il disparaît à 84 ans, après av
« Academia della Crusca » qui, depuis trois siècles, est instituée à Florence pour fixer le dictionnaire-modèle de la langue it
les beaux ensembles de Naples et de Palerme, et surtout de Venise, de Florence et de Rome. — Le texte présente un tableau d’ense
its, se rapportent aux trois grands centres de la péninsule : Venise, Florence et Rome, et valent hautement d’être lues. — M. P.
ut un doux vers. Giuseppe Vannicola : De profundis Clamavi ad te, Florence , Revue du Nord De Profundis clamavi ad te, un
Rivista Ligure, Gênes ; Poesia, Milan ; Luce e Ombra, Milan ; Hermes, Florence . Tome LVII, numéro 200, 15 octobre 1905
de à cette belle vision de la Ville-éternelle restituée au Pape et de Florence , la Cité des Arts et de la Beauté, devenue tout n
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
nte. E. Prezzolini et G. Papini : La Cultura italiana. F. Lumachi, Florence Il y a deux jeunes écrivains, dont les noms so
ofi, Libr. Ed. Lombarda, Milan. — G. Papini : Il Tragico, F. Lumachi, Florence M. G. Papini a écrit un livre : le Crépuscule
28 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
 VII, numéro 37, janvier 1893, p. 87-91 [88]. La Scena Illustrata, de Florence , est une revue illustrée, d’un confortable luxe,
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
il des démarches de M. de Gramont auprès des cabinets de Vienne et de Florence pendant la seconde quinzaine de juillet ; démarch
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
arte. E. Voghera. Rome. — Guido Falorsi : Firenze brutta. F. Lumachi. Florence . — Raffaello de Rensis : Rinascenza Sannitica. « 
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
io Favaro : Galileo e l’Inquisizione (Documents inédits). G. Barbera, Florence . Échos. La Mort de Pétrarque Mercure. Tome
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
mpressionnisme plein d’émotion et d’ironie souriante. Quelques-uns, à Florence , se tournent vers la nature, et la cherchent dans
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
la Romagne, et négocie avec Machiavel, secrétaire de la seigneurie de Florence , l’alliance de cette république. Dans une dernièr
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
Niceforo : Lo Studio antropologico delle classi povere, L. Niccolai. Florence . — Giorgio del Vecchio : Sulla Teoria del Contrat
35 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
et j’ai rêvé. Je revivais une scène à laquelle j’ai souvent assisté à Florence  : une vieille paysanne, dans l’une de ces ancienn
de ce genre, intitulée Libri d’Oggi (Livres d’aujourd’hui), s’édite à Florence . Comme on le voit, c’est dans le nord de l’Italie
36 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
180-181]. […] Un nouveau giornale d’arte paraît toutes les semaines à Florence  ; titre : Germinal. Ne se réclame nullement de M.
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
, il souffre de cette étrange maladie du mouvement, qui l’entraîne de Florence à Paris, de Paris à Londres, de Londres à Saint-P
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