es articles innombrables qui ont paru ce mois-ci sur la tragédie de D’
Annunzio
. Mais je dois avouer que je ne les ai pas lus, ce
e revirement d’opinion et l’accueil chaleureux qui salua l’œuvre de D’
Annunzio
aux représentations successives. En effet, le déf
bjectivisme en oubliant de noter que très souvent, si non toujours, d’
Annunzio
a touché de près la perfection littéraire et dram
(le mari, le beau-frère et le frère de Francesca) sont formidables. D’
Annunzio
est italien jusqu’à la moelle des os, et toute la
procurer. Malheureusement lorsqu’il aborda ses figures principales, d’
Annunzio
ne put maintenir cette même envergure : son Paolo
osité sensuelle devient plus étrange lorsqu’on pense que l’œuvre de D’
Annunzio
est toute vibrante de désir sexuel et de perversi
remière, renvoyée deux fois, atteignit des proportions incroyables. D’
Annunzio
peut se vanter d’avoir paralysé jusqu’aux travaux
ffaires les plus importantes du pays. Grâce aux soins scrupuleux de D’
Annunzio
et de Duse, la mise en scène était parfaite ; le
emple il faut en tenir compte, comme moyen d’impression il faut que d’
Annunzio
s’en garde ; à la longue, le public, toujours un
un peu bête lorsqu’il est au théâtre, pourrait prendre une pièce de D’
Annunzio
pour un bazar d’antiquités. La mise en scène de l
Treves, de Milan. Partout en Italie où elle a été jouée la pièce de D’
Annunzio
souleva des discussions passionnées : au moment o
aux noms des écrivains modernes : je cite, au hasard de la mémoire, d’
Annunzio
, de Gourmont, Rudolph Lothar, Mme Pardo-Bazan, Ee
utre, passent au théâtre et négligent toute autre forme littéraire. D’
Annunzio
, Corradini, Butti, travaillent pour la scène ; Fo
t on annonce de lui une comédie de proportions plus larges. Quant à d’
Annunzio
, après le succès de son dernier roman Il Fuoco, i
uvelle tragédie, Numa Pompilio, pour le nouveau théâtre de Vicence. D’
Annunzio
jouit de quelques privilèges qui peuvent explique
a et Francesca da Rimini ont été montées richement, et je crois que d’
Annunzio
trouve dans ces soins un délassement exquis à son
de toutes ces misères est une condition si rare et si heureuse que d’
Annunzio
n’a pas manqué d’en profiter largement ; et c’est
lui sont dévoués et que je cite au hasard de la mémoire : Giacosa, d’
Annunzio
, Butti, Bracco, Rovetta, Corradini, Fogazzaro, An
p. 549-554. Les jeunes prosateurs italiens Depuis Carducci et d’
Annunzio
, la prose italienne a cessé de se renouveler. Car
une promesse assez sûre de renouveau du style littéraire national. D’
Annunzio
, en transposant tous les rythmes de la représenta
afin de la représenter en beauté. La génération qui vécut autour de d’
Annunzio
l’imita, en subit tout le charme, en fut si épris
a exagéré les principes d’exaltation du verbe et le virtuosisme de d’
Annunzio
, son pathos esthétique, et on n’a pas dépassé ni
idéal du protagoniste du Feu ? A-t-il vraiment joué dans la vie de d’
Annunzio
le rôle parfait que le frère idéal joue dans le r
s, vieux et jeunes, il y a sans doute des sincères, révoltés contre d’
Annunzio
, qui, dans le discours déjà fameux, non seulement
e d’un très fier orgueil. J’ai déjà dit que le pathos esthétique de d’
Annunzio
pèche toujours per excessum. Cette fois-ci la fau
t esthétiques qui doivent être prises en considération. Au surplus, d’
Annunzio
s’y révèle comme un commentateur vraiment rare de
lus noble qu’il est plus apte à concevoir le poème comme poème ? » D’
Annunzio
peut faire répéter à un de ses personnages le mot
us elle est réelle. » Dans Plus que l’amour, la volonté poétique de d’
Annunzio
est trahie par les personnages, qui ne savent pas
origines en Léopardi, puis en Carducci, s’est poursuivie à travers d’
Annunzio
et Pascoli, et semble devoir se continuer dans l’
qu’un disciple, un seul digne de lui, et resté vraiment disciple : d’
Annunzio
. Un autre, Pascoli, qui l’année dernière a rempla
uvre, il est différent du Maître, il n’est pas un parfait disciple. D’
Annunzio
— qui, il y a une dizaine d’années, domina, et pa
qui est le caractère essentiel de la première réforme carduccienne. D’
Annunzio
écrivit aussi des vers barbares. Plus tard, il ex
t ses pentamètres italiens, de très ample et harmonieuse structure. D’
Annunzio
, lui, pour écrire des Louanges à l’exaltation d’u
mesuré vraisemblablement uniquement par sa respiration. Carducci et d’
Annunzio
, malgré quelques défauts per excessum, résument à
esthétique, qui anime, et meut, en beauté et en désordre l’œuvre de d’
Annunzio
. Le pathos historique de Carducci est celui de Vi
vis-à-vis d’un poète, qu’on ne peut ranger ni parmi les suivants de d’
Annunzio
ni parmi ceux de Pascoli ; il est lui, avec son o
erver. S’il y a des transpositions de Maupassant dans les œuvres de d’
Annunzio
, il n’y a nulle part de pastiche continu : on peu
passant qui ne laissent pas de convenir assez exactement à celui de d’
Annunzio
: « c’est un faune un peu triste, revenu à la vie
mystères et de tous les songes. La sensualité dont tout l’œuvre de d’
Annunzio
et presque tout l’œuvre de Maupassant sont emprei
ui occupent une si grande place dans les romans de Maupassant et de d’
Annunzio
sont-elles des courtisanes, maîtresses que domine
entale entre l’instinct et le sentiment se retrouve dans l’œuvre de d’
Annunzio
. Nulle part elle n’est mieux exprimée que dans la
r). Maupassant jette le premier cri d’angoisse que répète après lui d’
Annunzio
: « Oh ! qui me donnera un sens nouveau, une volu
s déductions de l’analyse directe. Les sensations que Maupassant et d’
Annunzio
enregistrent et décrivent de préférence sont les
imait. L’eau tient aussi une grande place dans la vie et l’œuvre de d’
Annunzio
: l’homme qu’une passion insatiable torture va ch
eur titre de gloire. Il semble au contraire que tous les efforts de d’
Annunzio
aient tendu à l’éloigner de plus en plus du sol n
quel se sont exercées l’imagination de G. de Maupassant et celle de d’
Annunzio
. Les deux poètes, attirés par l’instinct de leur
ladroite de l’homme sont identiques, dans les deux nouvelles ; chez d’
Annunzio
, le récit, que nous avons ramené aux citations in
maternité se brise dans l’effondrement cruel de ses illusions. Chez d’
Annunzio
, la rencontre est plus tragique et plus imprévu l
t pas privé, surtout en Italie, de rechercher toutes les sources de d’
Annunzio
: on en a trouvé beaucoup, et sans doute il y en
x écrivains se sont plus d’une fois rencontrés ; mais les récits de d’
Annunzio
ne font pas oublier les anecdotes narrées par not
rence tout un mouvement, dont je parlerai ensuite. Les Poètes comme d’
Annunzio
, Pascoli, de Bosis, poursuivent un rêve de beauté
roublées pendant un certain temps par la tyrannique souveraineté de d’
Annunzio
, semblent se concentrer en elles-mêmes ; elles sa
e. Le Poète Adolfo de Bosis le suit de près dans cette tendance, et d’
Annunzio
y est arrivé sans aucune philosophie, par de simp
dés d’Eschyle, peut éternellement émouvoir le cœur des hommes. Chez d’
Annunzio
, la Loi se précise, tyrannique, mais les chœurs q
ble. Elle est encore une incarnation de la « femme fatale » chère à d’
Annunzio
. Mais, dans la Gioconda, le charme de l’étrangère
notre temps. — Dans le Dante, il y a Botticelli qui l’a suivi, dans d’
Annunzio
il y a la Renaissance, c’est-à-dire un temps qui
. En outre, la Renaissance est analyse et décoration. Partant, chez d’
Annunzio
, les personnages sont parfois unis dans un cercle
ision philosophique, qui surprend nos sens : la vision de la femme. D’
Annunzio
comme Rodin fait reposer tout son système esthéti
t dans le cri bienheureux : « l’éternel féminin nous élève ! » Chez d’
Annunzio
cela est angoisse, est tourment, et fatalité impl
nstance de cette vision, grand thème conducteur de toute son œuvre, d’
Annunzio
franchit les limites de son temps, devient à la f
imparfaite, une des plus hardies tentatives du génie contemporain. D’
Annunzio
a presque réalisé la tragédie catholique. Je croi
st pour moi la « tragédie ». Beaucoup d’auteurs et de critiques, et d’
Annunzio
même, me semblent employer ce mot à tort. En art
toutes les initiatives de ceux qui agissent. Pour la première fois d’
Annunzio
a écrit une tragédie véritable ; il est le Poète
outes nos aspirations, nos enthousiasmes et nos affaissements. Mais d’
Annunzio
, après Parsifal, a pu donner au catholicisme une
onale. On peut m’objecter qu’Eschyle croyait à son fatalisme et que d’
Annunzio
ne croit pas à son mysticisme ; de cela, en effet
ramatique qui unissait entre eux les divers morceaux. Il semble que d’
Annunzio
ait gardé — dans la Gioconda, du moins — un peu d
. La Fille de Jorio ne diffère qu’en apparence des autres pièces de d’
Annunzio
; au moindre prétexte, d’Annunzio prête à ses hér
en apparence des autres pièces de d’Annunzio ; au moindre prétexte, d’
Annunzio
prête à ses héros des paroles mystérieuses, et qu
à leur fureur, suffirait à la gloire d’un fabricant de mélodrames. D’
Annunzio
sait éteindre une lampe avec beaucoup d’adresse.
s, qui amusent, qui charment, ou qui terrifient le spectateur. Mais d’
Annunzio
n’a pas pu renoncer au goût qu’il a pour les morc
Fille de Jorio, abondent les couplets brillants, — trop brillants : d’
Annunzio
, ici, ne s’est-il pas trop abandonné au plaisir d
n° 1, dédié à Giosuè Carducci, débute par un fragment de la Nave de d’
Annunzio
, que suivent des vers de MM. Paul Adam, Sem Benel
frappa le clocher de Saint-Marc, à Venise. L’Archithéâtre de M. D’
Annunzio
Il paraît que l’« Arciteatro » que Gabriel d’A
plus parfaite incarnation de l’éternel féminin tel que l’a compris d’
Annunzio
: elle est la chair, l’Ennemie, la Souveraine Maî
d, et maintenant, de retour en Italie, dans les rôles des pièces de d’
Annunzio
, comme dans les rôles tragiques de Shakespeare et
ent triomphé de la mauvaise culture du public moyen. La tragédie de d’
Annunzio
est écrite en vers, en vers d’un rythme libre et
ature qui, se sentant défaillir, retient son âme entre ses dents. — d’
Annunzio
, la Grande Revue, 10 janvier. Tome LXXXIV, nu
représenté par deux colosses de la poésie mondiale contemporaine : d’
Annunzio
et Pascoli. Les inutiles, les encombrants sont en
tiques idéales de sa nouvelle vie. Mais tout en donnant à la Poésie d’
Annunzio
et Pascoli, voire même Carducci, elle garde ses v
ne d’écrivains, de ceux qui ont suivi de très près la génération de d’
Annunzio
, ont les qualités de puissance et d’harmonie qui
volontairement, très arbitrairement aussi, j’exclus les « isolés » d’
Annunzio
et Pascoli ! Les deux morts que l’Italie a eu l’h
Cena delle Beffe, de M. Benelli, ou le peu de succès des œuvres de d’
Annunzio
; des jeunes écrivains sont prêts à des batailles
u, ébauché furieusement par Carducci et voluptueusement réalisé par d’
Annunzio
, a produit quelques fruits. Il n’est plus permis,
s esthéticiens modernes du verbe, éclaira la volonté innovatrice de d’
Annunzio
. Celui-ci marqua toujours énergiquement la sépara
d’entre eux ne laisse prévoir une force créatrice égale à celle de d’
Annunzio
. Celui-ci n’a aucun disciple. Et s’il demeure le
aris, centre idéal et sentimental de l’action moderne. Aujourd’hui, d’
Annunzio
veut saisir le rythme de son temps, vibre aux ven
s états d’enthousiasme qui apparaissent essentiels. C’est ainsi que d’
Annunzio
a écrit un drame en deux épisodes, qui, dans son
te et inédite le sillon de gloire latine. § Dans son dernier roman, d’
Annunzio
a voulu chanter lyriquement un autre aspect de l’
musicale, faite de signes et d’intervalles constants. » La prose de d’
Annunzio
se rapprocherait ainsi de ce que sera la prose de
tres, aux enchevêtrements de leurs actions. Dans son dernier roman, d’
Annunzio
cherche moins que jamais à nous « représenter » u
éographique et vers l’inconnu aérien, pour la conquête des espaces. D’
Annunzio
avait écrit l’exaltation du tribun (la Gloire) et
une race entière fut nouvelle et joyeuse en lui ». Malheureusement, d’
Annunzio
n’a pas renouvelé véritablement sa manière. Cette
al et « esthétisant » de la sensualité. Le « pathos esthétique » de d’
Annunzio
est constant dans son œuvre et dans sa vie. Ici e
qu’une réincarnation de Hermil ou de Aurispa ou de Claude Cantelmo. D’
Annunzio
s’est plu encore une fois à enrouler autour de l’
n prose de notre modernité, le premier « poème de l’aviation », que d’
Annunzio
consacre au triomphe de l’héroïsme latin, à la mo
ture principale, sœur de toutes les autres protagonistes de l’œuvre d’
Annunzio
, littérairement plus nordiques ou slaves que lati
ont les caractéristiques du romantisme et de l’œuvre d’annunzienne. D’
Annunzio
même l’a fait, pour un autre « type héroïque », d
es encore à trouver, encore à chercher, et, dans son dernier roman, d’
Annunzio
s’en rapproche davantage ; s’il est revenu à sa m
ent compris le sens de la poésie de Pascoli, si diverse de celle de d’
Annunzio
et aussi puissante. Cette poésie est un des plus
le ministère en péril. La vague guerrière que souleva le souffle de d’
Annunzio
enleva dans son flux à peu près toute l’Italie. L
impitoyable contre les institutions. Le nietzschéisme conquérant de d’
Annunzio
répondait à un tempérament tout exceptionnel et n
évolution : plus d’un maître a été adoré et nié en peu d’années, de d’
Annunzio
à Benedetto Croce. Des traditionalistes deviennen
f), secouaient le sentiment du peuple. Battisti, député du Trentin, d’
Annunzio
, en dernier lieu, s’adressant à la jeunesse culti
2]. […] Revue des Deux Mondes (1er juillet) : […] C. Bellaigue : « D’
Annunzio
et la musique. » […] Musées et collections. La
tant de plaqué, que dans cette littérature de guerre… Et en Italie, d’
Annunzio
a-t-il écrit quelque chose qui soit digne de la g
omme qui en avait assez des fausses grandeurs des romantiques et de d’
Annunzio
. Son inspiration était voisine, pour certains côt
e et quand il lui arrive d’être franchement poète il revient, comme d’
Annunzio
ou Soffici, au naturalisme extérieur qui se compl
s, où l’on peut lire, à côté des éreintements célébrés de Croce, de d’
Annunzio
, etc., des chapitres sur Tristan Corbière, Remy d
d’interroger un de ces détracteurs, non pas sur la participation de d’
Annunzio
à la guerre, mais sur ses qualités de romancier e
manière, et, tout de même, les « sujets ». La lecture d’un roman de d’
Annunzio
est pour moi une douloureuse épreuve. Et je ne m’
til au contact de la vie. Il y a trop de couleur dans le langage de d’
Annunzio
. Et puis tant de figures ! L’étrange façon d’avou
es « sujets ». — Peut-être. Mais c’est encore là que je chicanerais d’
Annunzio
. Sa forme, dont je ne méconnais pas la virtuosité
rlaine et Jammes, Jarry et Renard. Aucun écrivain italien, pas même d’
Annunzio
, et d’Annunzio moins que tout autre, n’a pu échap
s, Jarry et Renard. Aucun écrivain italien, pas même d’Annunzio, et d’
Annunzio
moins que tout autre, n’a pu échapper à l’influen
e l’œuvre des écrivains les plus notoires, Verga, de Amicis, Serao, d’
Annunzio
, Fogazzaro, Carducci, ou encore les pièces social
présentés dans une édition illustrée qui imite mal les éditions de d’
Annunzio
dessinée par M. A. de Karolis, n’ajoutent guère à
Plagiaire, le grand Ruffian, etc., des Batraciens, et celui-ci est… d’
Annunzio
? La dernière prière en uniformité on l’entend m
rnière prière en uniformité on l’entend monter du fond des marais : d’
Annunzio
est mort au son des applaudissements ! On se dem
pplaudissements ! On se demande : est-ce encore un pamphlet contre d’
Annunzio
? Et l’on sourit. Mais le poète ajoute sérieuseme
e chercher de saisir la portée, encore parachroniste, de l’œuvre de d’
Annunzio
, attendent sa fin comme une libération ? Est-ce l
Phèdre autrement que celui-ci et que le rhéteur Sénèque. Tandis que d’
Annunzio
voit autre chose. Il voit dans l’héroïne luxurieu
révèle par quelques grands poètes en images de feu. La tragédie de d’
Annunzio
est toute une image de feu, dont les flammes soup
aible femme éprise d’un amour qu’elle n’est pas digne de supporter. D’
Annunzio
s’est rapproché plutôt du modèle antique, par la
en plein xixe siècle, en pleine éclosion romantique. Le théâtre de d’
Annunzio
reste isolé. Ce poète demeure le plus grand poète
tragique comparable, à quelque point de vue que ce fût, à celle de d’
Annunzio
. Le théâtre de M. Tommaso Monicelli, qui résume d
coli : Nuovi Poemetti, Zanichelli, Bologne Entre une tragédie de d’
Annunzio
et un livre de poème de Pascoli, le public italie
s » affectent un éloignement de plus en plus marqué pour l’œuvre de d’
Annunzio
. La production abondante, en quelque sorte exaspé
cond effort de Leconte de Lisle, semblait avoir obscurcie à jamais. D’
Annunzio
ne se refait pas devant la nature une âme primiti
ennissent des chevaux, perpétuellement. Mais le lyrisme mythique de d’
Annunzio
dérive aujourd’hui de celui de Pascoli, en est co
n est complété et le complète. Les dernières visions ancestrales de d’
Annunzio
sont entièrement dégagées de ce pathos historique
lie. Or les jeunes écrivains, qui se déclarent pour Pascoli ou pour d’
Annunzio
, ne montrent pas dans leurs œuvres qu’ils en ont
les colonnes des journaux et dans les pages des revues. En haine de d’
Annunzio
, triomphateur éclatant, on aime Pascoli, triompha
urs et par quelques journalistes italiens. Sur la route ouverte par d’
Annunzio
, les bons marchands ont su déverser les « chefs-d
ns n’ont pas encore traversé les Alpes, et le plus grand parmi eux, d’
Annunzio
, qui est sans contredit un très grand poète, n’es
s été encombré, Jusqu’ici, et cela tient essentiellement à ce que — d’
Annunzio
toujours excepté — les Italiens, n’ont jusqu’à pr
s. J’ai déjà noté ici que la génération de littérateurs qui entoura d’
Annunzio
à ses débuts, rendue stérile par la fureur simies
ionnée, un moyen d’exploitation littéraire méthodique et prolongée. D’
Annunzio
a songé à ses Abruzzes. M. Marcus de Rubris, un é
énigmatique de sa marche fatale, où elle se perd. Et l’on sait que d’
Annunzio
a repris son labeur de romancier avec le livre qu
la prose et la prosodie modernes, préparant l’étonnant avènement de d’
Annunzio
et celui de Pascoli, sans que l’on complique curi
rcher plus haut une inspiration plus divine à leur génie. Goethe et d’
Annunzio
ont commencé tous deux par parcourir le cycle de
emple en attendant de se saisir à quelque nouveau mirage, Goethe et d’
Annunzio
se détournent comme des héros blessés en s’abrita
ble être la caractéristique mentale supérieure de son époque ; pour d’
Annunzio
, c’est la lassitude de la critique et un fétichis
utre et le culte de la nature leur est aussi profondément étranger. D’
Annunzio
est de nature païenne, car le paganisme a imprégn
émanée du sol et non de la race. Goethe est un païen par éducation, d’
Annunzio
l’est de naissance et tend à devenir le chrétien
chrétienne qui est la bonté, et feront échouer le christianisme de d’
Annunzio
aux pieds des autels du seul dieu païen qui soit
isode dont nous retrouverons l’équivalent mystique et matériel dans d’
Annunzio
. L’amour d’Hélène, d’un être à proprement parler
pouvait l’être celui d’une ombre, et marque dans la vie du héros de d’
Annunzio
un épisode aussi important que la disparition d’E
e De demander à Dieu des signes Plus éclatants. (Le Saint, p. 18.) D’
Annunzio
fait entrer Sébastien dans la période active de s
éel, ne voyant que ce qui n’est pas encore, les sept magiciennes de d’
Annunzio
, attachées aux foyers de leur œuvre par des chaîn
offrant la divinité et Sébastien se laisse un instant séduire : ici d’
Annunzio
a cherché à rappeler la tentation du Christ quand
ais été une idée chrétienne, et c’est pour cela que le paganisme de d’
Annunzio
et celui de Goethe se sont ainsi côtoyés et super
te le plus dans l’œuvre de Goethe, on trouve chez lui plus que dans d’
Annunzio
le souci du beau moral dans l’effort de civilisat
héroïne en Italie où, sans doute, les jeunes filles ne lisent plus d’
Annunzio
? Mais dans quelle région de la France arriverait
it saluer l’avènement, ni la naissance, ni la promesse d’un nouveau d’
Annunzio
, c’est-à-dire d’un écrivain de talent qui résume
de Rapisardi, de Pascoli, de Mathilde Sérao, de Grazia Deledda, de d’
Annunzio
lui-même, ne semblent pas devoir exercer une nota
e où la Cronaca Bizantina devait révéler et « lancer » l’adolescent d’
Annunzio
, dont l’Italie officielle ou presque a fêté cette
du monde. Elle ne servit qu’à la cause prosodique de Carducci, d’où d’
Annunzio
— nourri, au surplus, et très nourri, de littérat
……………………………………………………………………………… Le miracle d’éclectisme accompli par d’
Annunzio
ne semble pas devoir se renouveler. Lui seul pouv
ne pas s’y arrêter, au moins pour le moment. Je ne parlerai pas de d’
Annunzio
, qui appartient, et pour bien des côtés, à cette
mé cette année un gros recueil de ses anciens articles de journal). D’
Annunzio
s’est transféré dans un pays plus riche, où il pe
mêlé, mais parfois puissant, ne méconnaît les « belles pages » que d’
Annunzio
a données à la littérature italienne. Mais presqu
. Mais presque tout le monde, aujourd’hui, est forcé d’admettre que d’
Annunzio
a donné tout ce qu’il pouvait donner, qu’il est t
: on ne l’a pas encore faite, mais elle viendra. Il est certain que d’
Annunzio
est très loin de notre esprit : beaucoup plus loi
de l’écho des batailles inattendues dont les œuvres dramatiques de d’
Annunzio
ont été saluées. À Naples, on a enterré la Gloria
et insuccès définitif. Et la première c’est que l’art dramatique de d’
Annunzio
n’est qu’une conception de son cerveau. Ses tragé
les yeux de ces fantômes, qui, à leur tour, voient avec les yeux de d’
Annunzio
; impression de troisième degré, impression nulle
ux de d’Annunzio ; impression de troisième degré, impression nulle. D’
Annunzio
n’a pas voulu admettre que la scène a des exigenc
nt été exagérés, dénoncés, pourchassés par les ennemis nombreux que d’
Annunzio
compte non seulement dans le monde littéraire, ma
ait la Gioconda, à Palerme. Ici les étudiants ont pris parti contre d’
Annunzio
, non pas au nom de l’art, mais au nom de la moral
la morale, ou mieux le manque absolu de morale dans la tragédie de d’
Annunzio
, et de combattre celle-ci sur le terrain de l’art
et M. Zacconi, les deux artistes incomparables, et enfin l’auteur. D’
Annunzio
ne sut pas résister à la tentation de recevoir en
n émouvante d’un état d’âme régional. Les Novelle della Pescara, de d’
Annunzio
, les nouvelles siciliennes de Giovanni Verga et d
qui s’élèvera à la hauteur, à l’ampleur réelle d’un Pascoli ou d’un d’
Annunzio
. Mais les manifestations lyriques de la littératu
est vaste, après le vague sommeil de la génération contemporaine de d’
Annunzio
. Et si les voix profondes ne se font pas encore e
storiques nationales. Leur art, dérivé de celui de Carducci, auquel d’
Annunzio
emprunta pendant un assez long temps des inspirat
à la manière de Goethe imité par Carducci, ou de Carducci imité par d’
Annunzio
. Dans les Canti di Melitta, il l’évoque aussi à l
otalement affranchis de la musicalité prosodique traditionnelle que d’
Annunzio
avait gardée à ses vers-libres (spécialement dans
arducci, qui fut poète à peine et avec peine, ou bien de l’étonnant d’
Annunzio
, engendré en Italie par les élégantes fécondation
faire jouer par personnaiges », comme on disait jadis ? L’œuvre de d’
Annunzio
avec son souffle dantesque est à faire éclater la
ration, de leurs pourpres et de leurs ors. Et cependant le drame de d’
Annunzio
en lui-même est scénique et proprement dramatique
à ses enfants torturés, au premier acte ? Qu’on relise le texte de d’
Annunzio
, et puis qu’on lise dans le Manuscrit 1051 de la
; aussi cela ne s’arrête-t-il point ! Et maintenant retournons chez d’
Annunzio
à cette hésitation de la mère déchirée entre ses
uer, il n’y a pas une scène chez eux qui vaille une des fresques de d’
Annunzio
et je ne leur rends grâce que d’une chose, c’est
ien et de son supplice leur est également inconnue. Elle est bien à d’
Annunzio
aussi cette idée d’agrandir le drame de façon à e
mais il lui a toujours manqué son Corneille, son Racine…43, ou son d’
Annunzio
pour les développer. Le poète a su nous épargner
ons, les échanges littéraires se font plus fréquents. L’esprit d’un d’
Annunzio
sera aussi nourri de lettres françaises que de le
tiare brillent doucement comme des lunes. » C’est l’Asiatico de M. d’
Annunzio
! … Le perle della sua tiara Splendenno vagamen
sa villa « blanche et douce et tranquille de Francavilla a Mare », d’
Annunzio
possède un cabinet de travail « spacieux dont les
urent encore lord Byron et Carlyle — sont des égoïstes inouïs. Pour d’
Annunzio
la femme ne compte qu’autant qu’elle sert à sa gl
. Fatigués de mal suivre les renouvellements perpétuels du génie de d’
Annunzio
, les gazetiers ont accueilli avec un bon enthousi
i peu soucieuse de ses plus grands représentants, et l’avènement de d’
Annunzio
au Panthéon des grands poètes français. Seuls, M.
s le veuillent ou non, s’inspire directement du théâtre tragique de d’
Annunzio
. Il serait inutile de discuter l’harmonie essenti
faut retenir, c’est que le théâtre italien fait enfin, en dehors de d’
Annunzio
, un effort intéressant vers la renaissance tragiq
n caractère même, et par sa violence orgueilleuse, aux créatures de d’
Annunzio
; la manière lyrique du dialogue, souvent même l’
e n’est point le lyrisme hédoniste des Adultères de l’Intermezzo de d’
Annunzio
. Le mélange de sensualité et de mysticisme, que M
Rivista di Roma, que, depuis Carducci, dont le premier disciple fut d’
Annunzio
, en Italie on écrit partout mieux, bien mieux, qu
usement la royale villa de son plus grand poète des temps modernes, d’
Annunzio
; ce qui a permis à celui-ci de télégraphier iron
s affirmations tour à tour parnassiennes et symbolistes de l’art de d’
Annunzio
, où la langue devenait précieuse et incomparable
ques, garibaldien nés, de Carducci à Marradi, ne les satisfont pas. D’
Annunzio
demeure isolé, enfermé dans ses grands rêves trag
p souvent de s’abandonner à son inspiration primesautière. Je passe d’
Annunzio
, dont le goût obstiné pour l’ancienneté décorativ
tout française. On était déjà fatigué de la luxueuse marqueterie de d’
Annunzio
et on était dans la recherche et l’attente de que
ut à l’heure ont voulu reconnaître dans son œuvre les influences de D’
Annunzio
et de Pascoli. Il leur paraissait incroyable qu’u
ont rien d’imprévu. Palazzeschi a démontré, dans un pays ravagé par d’
Annunzio
et ses disciples, qu’on peut être un grand poète
le publication (1er juillet) contient, sous ce titre : « le Dernier d’
Annunzio
», un portrait exceptionnellement bien venu de l’
me un dieu caché dans l’âme vaine. Laissons de côté les instants où d’
Annunzio
est entraîné lui aussi par la vulgarité courante
auds avec le langage pompeux des hiérophantes. Regardons le nouveau d’
Annunzio
, plus commun, plus pratique, je dirais presque :
l’âme probe, riche seulement de bonnes intentions et de médiocrité. D’
Annunzio
ne peut pas être médiocre. Il peut être monotone,
le critique juge et se repent aussitôt : Comment ne pas penser que d’
Annunzio
est fini, lorsqu’on le voit exhiber un vieil exer
s à un journal, qui les paie et les imprime, les qualités vraies de d’
Annunzio
s’affirment dans leur naturelle pureté, sans thèm
ent dans leur naturelle pureté, sans thèmes, sans programmes. C’est d’
Annunzio
qui prend une chose quelconque et qui l’écrit. C’
un peu excessif, sans doute. Si quelqu’un traitait à fond « le cas d’
Annunzio
», il lui faudrait expliquer la gloire mondiale d
, dans « l’intérêt du snobisme », « une des causes de la fortune de d’
Annunzio
». Le génie familier de M. d’Annunzio a des anten
e : si Ibsen, Maeterlinck, Péladan, Élémir Bourges, Paul Claudel et d’
Annunzio
n’existaient pas ; mais, surtout et en dehors de
e, entre Florence et Fiésole, où le Poète a établi sa demeure. Avec d’
Annunzio
l’action des hommes ne paraît plus isolée dans la
se Maleine). La nature n’est pas, comme chez ceux-ci, et comme chez d’
Annunzio
même dans la Ville Morte, un personnage, le perso
beau et du laid, comme presque en dehors des marques du sexe. Chez d’
Annunzio
cette complication dramatique du paysage représen
llectivité environnante et enveloppante. Tout d’abord le théâtre de d’
Annunzio
se confina tout simplement dans les domaines du r
ce sentiment presque parfait de ce qui était « l’esprit tragique », d’
Annunzio
s’est approché de Wagner, et il a écrit Francesca
es et vibrants d’aspirations gigantesques. Carducci était avec eux, d’
Annunzio
y faisait ses premières armes très heureuses, l’I
elle des nouveaux Italiens. Malheureusement, ce qui manque encore à d’
Annunzio
c’est une grande puissance intérieure qui puisse
parallèlement au courant d’art français social, il faut compter que d’
Annunzio
par des poèmes tout modernes, comme son Ode à Gar
ais un peu trop « monopolisée » tout de même, du brillant et ardent d’
Annunzio
. Et cela nous amena à parler de l’influence de la
d a bon dos, dirait le vulgaire. Et il est à souhaiter que le poète d’
Annunzio
reprenne le protagoniste de sa pièce malheureuse
an à peine il exultait d’admiration pour l’œuvre toute plastique de d’
Annunzio
, et aujourd’hui le Marzocco prêche un art au fond
a joie. Il est notoire qu’en bon imitateur de Frédéric Nietzsche M. d’
Annunzio
prêche dans ses livres et ses discours la religio
ieusement attendu ; M. Panzacchi, qui, toute proportion gardée avec d’
Annunzio
, n’est pas le dernier venu, se fit l’interprète d
e la première Ouida qui passe. Je veux signaler les Odes civiles de d’
Annunzio
et de Giovanni Pascoli. Envers le premier je ne s
armonie, d’images, de pensées, de mouvement, qui nous rappellent le d’
Annunzio
des beaux jours, lorsqu’il n’était que poète et a
nt les Odes cacochymes de quelque poétereau, en guise de leçon pour d’
Annunzio
. Quant à Giovanni Pascoli, son Hymne funèbre au r
ur des lecteurs français, et qui d’ailleurs pour tous ces poèmes de D’
Annunzio
et de Pascoli me mèneraient bien loin ; je remarq
ans le monde des intellectuels, ce qui est regrettable. Les Odes de d’
Annunzio
et de Pascoli devraient logiquement paraître dans
nt et s’y nouent avec une énergie très sûre. Souvent, le lyrisme de d’
Annunzio
, comme toujours, est fatigant et vain à force de
ertus civiques dans l’âme aride d’enchâsseurs de mots à l’instar de d’
Annunzio
! À peine quelques voix s’élevèrent-elles faiblem
n chant était celui de toute sa nation. Quoique un peu plus âgé que d’
Annunzio
, Pascoli est spirituellement bien plus jeune que
mbolisme français. C’est à cela que le génie réel, incomparable, de d’
Annunzio
doit ses tares et ses faiblesses. Enfin, l’ère de
commença aussi pour Thalie. Il y a un peu plus de dix ans de cela. D’
Annunzio
, se rajeunissant miraculeusement, écrivit ses pre
la culture gréco-latine. Ils s’en souvenaient trop. Mais tandis que d’
Annunzio
avait été le poète d’une génération de transition
n est arrivé, sottement, à méconnaître la beauté unique de l’art de d’
Annunzio
, parce que l’art de Pascoli était, par sa tendres
a remarqué avec étonnement que l’apparition du volume de Poésies de d’
Annunzio
, traduit par M. Hérelle, n’a rien apporté, en Fra
te du peu de succès littéraire de cette présentation française d’un d’
Annunzio
poète est imputable sans doute au traducteur. M.
e M. Hérelle est un érudit plutôt qu’un poète, et que le lyrisme de d’
Annunzio
, par ses attaches mêmes, pas trop évidentes et ir
r un jour en quoi et comment M. Hérelle s’est éloigné du lyrisme de d’
Annunzio
. Il est triste de constater aujourd’hui que la pu
d’Annunzio soit devenu le « librettiste » de M. Mascagni… Le « cas d’
Annunzio
» est certes plus complexe. Il sera intéressant d
lui-ci a tort de mesurer à la « quantité » des pages originaires de d’
Annunzio
, supprimées par lui dans le cours de son travail,
n pendant au patrimoine ancien, a-t-on choisi les noms de Carducci, d’
Annunzio
, Pascoli, et… Giacosa ? Pourquoi Giacosa, qui fut
ommaruga, voyait autour de lui le professeur Carducci, l’adolescent d’
Annunzio
, le fier et magnifique Adolfo de Bosis, le polémi
rmer d’excellents journalistes, sans plus. Aujourd’hui, l’étoile de d’
Annunzio
a pâli. On ne le suit plus, on ne l’imite plus, e
de d’attendre quelque chose d’une littérature nationale. Il y avait d’
Annunzio
, Fogazzaro et plusieurs aujourd’hui oubliés déjà,
és déjà, mais on attendait les traductions françaises des romans de d’
Annunzio
pour s’apercevoir de son existence chez nous. Il
e ces Abruzzes qui nous donnèrent, à ne nommer que les plus fameux, D’
Annunzio
en littérature, Scarfoglio dans le journalisme, M
t été bien appréciable en Italie, car, mis à part un Carducci ou un d’
Annunzio
, les baudelairiens italiens furent, sont et proba
be et originale. Sa publication a scandalisé le parti clérical, car d’
Annunzio
affirme encore une fois vigoureusement son caract
t de son auteur. Après le scandale Butti, nous avons eu le scandale d’
Annunzio
, car les hommes n’ont pas encore appris que le se
tombe, un « latin épris de lumière » (selon le cliché inévitable) : d’
Annunzio
. L’exigence d’Elisabeth devant Dorel, — l’impure
amour… Les voici à l’œuvre les mains et les yeux humbles dont parle d’
Annunzio
à propos de Segantini. Le grand artiste qui a tra
ais les Barbares tiennent une grande place ; les plus connus sont : D’
Annunzio
, Marradi, Ferrari, Olindo Guerrini, Giuseppe Chia
io Orsini, a cessé d’être un poète de second ordre. Plus souple que d’
Annunzio
, plus nerveux et plus inspiré que Pascoli, tout e
ance des citations : presque tous les interrogés citent les noms de d’
Annunzio
, Fogazzaro, pour la littérature, de Segantini, Mi
s’arracher à une certaine imitation formelle et phonique de son ami d’
Annunzio
; peu de chose, sans doute, mais un lecteur atten
p gagné, en oubliant complètement et définitivement les exemples de d’
Annunzio
, tout en se conservant riche, flexible, cristalli
tence toujours. Les poètes qui chérissent le pathos esthétique à la d’
Annunzio
se montrent particulièrement symbolistes. Si incr
qui devint plus parfait et bien moins puissant avec Manzoni, et que d’
Annunzio
a repris tout dernièrement dans la Nave, en le mo
on style, ne dérivent d’aucun des deux poètes « majeurs » vivants : d’
Annunzio
ou Pascoli. M. Massimo Bontempelli, poète élégiaq
évocation d’élégances romantiques, à la manière de l’Isotteo de M. d’
Annunzio
. La Vénus des Champs est un récit florentin plein
sceptre de la domination. F. T. Marinetti : Les Dieux s’en vont, d’
Annunzio
reste, Sansot En même temps que son poème, la
F. T. Marinetti publie un livre de critique : Les Dieux s’en vont, d’
Annunzio
reste, fait de verve imagée, d’anecdotes et d’ana
é, du Théâtre de l’Âme. D’autres figures, parmi lesquelles celle de d’
Annunzio
, complètent la liste, pêle-mêle, tandis qu’un cha
réservé l’article de M. Marcel Boulenger : En regardant chevaucher d’
Annunzio
, c’est que je ne résiste pas au plaisir d’en copi
ieux soigné leur dissertation ou leur version latine après avoir lu d’
Annunzio
. Et ne fût-ce que pour cette cause touchante et t
regretté Verhaeren, peint par son compatriote Th. Van Rysselberghe, d’
Annunzio
par Mme Romaine Brooks. La confiscation par l’
ôle a été tout à fait semblable à celui de la mouche du coche. Mais d’
Annunzio
était déjà connu à l’étranger et on s’est plu à i
ut n’avait pas été fait, ses discours seraient tombés dans le vide. D’
Annunzio
avait beaucoup perdu de son ancienne popularité (
qui les noie ! Giuseppe Lipparini Un disciple déjà ancien de D’
Annunzio
est Giuseppe Lipparini qui vient de réunir ses pl
; Avanti, avanti, o Italia !… Une d’elles porte cette épigraphe de d’
Annunzio
: Patria ai Veneti tutto l’Adriatico. Échos.
e des indifférents : et la volonté de vaincre est devenue générale. D’
Annunzio
a parlé avec lyrisme du « printemps d’Italie, pri
musique chantée de planus cantus, qui semble remarquable. À côté de d’
Annunzio
, quelques dramaturges italiens continuent leurs œ
commence à citer son nom en même temps que ceux de Fogazzaro et de d’
Annunzio
. Moins touffu, Roberta est aussi un livre de moin
italiens Morelli, Sartorio, Previati ; les écrivains Carlo Dossi et d’
Annunzio
; Tolstoï, Rod, Goncourt, etc. Les énumérations s
cri de guerre des aviateurs italiens ; (eja se prononce eïa) c’est d’
Annunzio
qui l’a créé. Eja était le cri de guerre italien
s Italiens attendent depuis longtemps avec impatience. [II] D’
Annunzio
, La Beffa di Buccari, Milan, Treves. — D’Annunzio
nce. [II] D’Annunzio, La Beffa di Buccari, Milan, Treves. — D’
Annunzio
, La Riscossa, Milan, Bestetti et Tuminelli L’a
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