n est faite à la besogne. Près de lui son frère coloriait trois pères
éternels
déjà dessinés et destinés à représenter la Trinit
x grandes écoles qui se battaient, sous des noms différents, pour les
éternelles
causes qui sont l’idéalisme (réalisme du moyen-âg
onnaissables ; les choses ne sont que d’obscures copies de ces formes
éternelles
, et on ne peut les connaître que par leur ressemb
onde cette pénombre où s’enfonçait, en Occident, par-delà ces clartés
éternelles
, le monacal Moyen-Âge. Les peuples chrétiens d’Or
rugissement des lions d’airain qui le gardent, pourrait-on rêver d’un
Éternel
sur des nuages roulés du souffle des trompettes a
s de cesser, voulait se définir, pour qu’il restât d elle une mémoire
éternelle
, en une glorieuse, en une impérissable expression
populaire. On ne se représentait le Christ que sous l’apparence d’un
éternel
Adolescent, d’un nouvel Adonis, dont le bleuâtre
ympe se dissolvant aussitôt dans l’harmonie des plus pures substances
éternelles
: Hercule sur le sein d’Hébé, Adonis sur le sein
in en loin, espacées par des règnes d’ombre, lueurs muettes, fluides,
éternelles
, comme l’écoulement d’un sablier dans les limbes
doctrine. Sans cela, on ne comprendrait pas que le parler de la ville
éternelle
fût turpissimum ; les mœurs dépassant ce qu’il y
l’autre. Le Souverain Pontife le conduit, par la révélation, à la vie
éternelle
, l’empereur lui donne la félicité temporelle, par
ité. « La poésie, dit-il, est une théologie. Les traces de la science
éternelle
sont voilées dans l’Écriture-Sainte comme dans le
mie ou un grand péril. Ainsi Boëce se parla à lui-même pour effacer l’
éternelle
infamie de son exil. On peut encore parler de soi
langue ici signifie la communion religieuse. Le latin est souverain,
éternel
et incorruptible ; tandis que le langage vulgaire
amis, des richesses et des grandeurs. IX. — À l’infamie, à l’opprobre
éternel
des mauvais Italiens qui vantent le vulgaire étra
du monde, méchanceté cachée, suprême pouvoir et suprême intelligence,
éternel
Dispensateur des malheurs et maître du mouvement…
tels ministres. La brèche de la Porta-Pia, qui rendit enfin la ville
éternelle
aux Italiens, n’apaisa pas le dédain du poète. Il
ère et profond passe dans toute son œuvre, et l’anime par les accents
éternels
de l’harmonie des choses C’est un panthéisme empr
dans le silence de la campagne, des cimetières où l’on envie le repos
éternel
, et la fumée fuyante des moulins et des fouleies.
ssés : relève-toi et règne ! » Le vin, l’amour, la joie, les attraits
éternels
de la nature ont droit au partage de la vie de l’
s de sa patrie. C’est un esprit éminemment latin qui entrevoit l’Urbs
éternelle
dans tout ce qui est grand, auguste. Rome, c’est
s la poussière, et dans cette attitude l’éphémère se donna des peines
éternelles
. Ô, qu’aujourd’hui sur ses membres beaux l’homme
obscur, encore crépusculaire, de notre vie moderne : depuis le signe
éternel
d’angoisse et de joie laissé par l’homme dans ses
armonique très sûre. La vérité historique est saisie dans son essence
éternelle
, dans sa puissance centrale et rayonnante. Et le
maîtresse, inventrice et tutrice de la nature, son frein et sa règle
éternelle
» (228). Ainsi l’homme n’a qu’à s’observer, pour
uments pour les œuvres noires ou lumineuses. Il remplace le livre aux
éternels
litiges par le Cosmos. Il a raison, l’univers est
Connaître Dieu, l’aimer, le servir et par ces moyens acquérir la vie
éternelle
. » Il nous donne à ce propos une belle sentence.
t sous ses cinq castels, le cône empanaché du Vésuve, dominant de son
éternelle
menace sa côte enchantée, Portici, Resina, Torre-
de l’homme. Le Moïse de l’expérience a fait pour nous un pacte avec l’
éternel
, il a renouvelé les motifs de croire, il a rendu
tto), Un Jour (Un Giorno), peut affirmer : Le Temps tournait la roue
éternelle
; l’éternel retour du ciel suivait cette trace du
(Un Giorno), peut affirmer : Le Temps tournait la roue éternelle ; l’
éternel
retour du ciel suivait cette trace due, qui chass
douleur qui nous reste fidèle. Avant que de rentrer dans la nuit
éternelle
, Ô Venise, ma joie et mon étonnement, Je veux e
e et la plastique des châtiments dans la Divine Comédie. La vengeance
éternelle
(Audition du chant XXXIII de l’Enfer). — IV. La p
derrière leurs charmes derniers s’établissent les ténèbres du mystère
éternel
. Ah ! comme on eût pu mieux comprendre, mieux aim
abuleuses de l’inspiration où la vie réelle devient abstraction, rêve
éternel
: là où Eschyle « stylisa » la matière poétique d
gique de « types humains » plus que de « figures humaines », de types
éternels
, ainsi qu’elles ont le don de la création métaphy
du Bien et du Mal : l’amour d’un David, vaste symbole de la jeunesse
éternelle
, et la haine d’un David, figuration étroite de l’
du Roi-Musicien, il demeure aussi comme une évocation plastique de l’
éternelle
poésie, jusqu’à la catastrophe du roi. Et entre l
sérénité lumineuse de David (l’Avenir), Michol, la Femme, le présent
éternel
, passe dans l’ondoiement de ses voiles tour à tou
œlius, et d’où la vue embrasse tout le majestueux paysage de la Ville
Éternelle
que l’auteur des Promenades dans Rome a si souven
épisodes de la vie des paysans comme les épisodes de la bonne guerre
éternelle
. Il décrit ainsi l’amour de deux êtres humains da
uvre psychologique agitée, inquiète, exprimée parfois par des clichés
éternels
de l’éternel pathétique de l’amour et de la mort,
ique agitée, inquiète, exprimée parfois par des clichés éternels de l’
éternel
pathétique de l’amour et de la mort, mais œuvre f
s’y arrêter sinon pour l’éclairer d’un rapide éclair ironique de son
éternel
monocle. Et cette élégance qui passe, qui sait gl
vre incomparable, jeté dans un cachot par Boniface VIII et l’Évangile
Éternel
qu’on ne connaît que par sa condamnation, destiné
phaël Sanzio, qui depuis des siècles arrête la pensée audacieuse de l’
éternel
Attila par ses fresques incomparables. Les chefs-
iter la guerre, ils veulent plonger le genre humain dans l’immobilité
éternelle
des momies d’Égypte. Singulière erreur, en vérité
acifiste, selon M. Faguet, on arrive immédiatement à cette immobilité
éternelle
. « Si le pacifisme l’avait emporté, en Italie, en
re ennemi, le paysan, s’il succombe, n’aura en partage que la Jéhenne
éternelle
, parce qu’il porte la gloire contre l’ordre du Se
e son temps, pour s’envoler sans compagnon que le passé vers ce parti
éternel
et sublime de Dieu et de la Liberté ! — « Où siég
ls de nos salons parisiens, où l’on traite des belles-lettres avec un
éternel
sourire, et où l’on songe beaucoup à la croix qu’
et les arbousiers, et les pins de Vicomile, puis, plus tard, la Ville
Éternelle
sous la neige au clair de lune, le premier baiser
t l’État. Maintenant qu’il y a Séparation, et n’était que cette lutte
éternelle
va prendre des formes nouvelles, on s’est déjà de
Charles-Quint ; le connétable de Bourbon, tué à l’assaut de la ville
éternelle
; Sixte-Quint et les papes de la période moderne
ans le lyrisme de Gabirol. L’on pense à Dante, invoquant « la lumière
éternelle
, qui seule repose en elle et seule se comprend »,
s loin de la contingence d’ici-bas, Oh ! amène-moi, toi, vers la paix
éternelle
, Et unis-moi à ceux qui eurent pour leur sort la
s-même. L’idée de Père, de l’Ancien des jours nous force à faire de l’
Éternel
un vieillard, malgré l’insanité de montrer le Tou
point scintillant dans le mystère. L’androgyne grec, ravi aux sphères
éternelles
, plane au-dessus de ce monde et remplit la vaste
J. Hofmiller intitule « Salade romaine » des impressions de la ville
éternelle
, où se mêlent des réminiscences historiques et li
lle a écrit deux livres qui lui assurèrent la popularité : la Légende
éternelle
(la Leggenda eterna) et Lyriques nouvelles (Nuove
aint George, est toute moderne, en marbre blanc, éclairée d’une lampe
éternelle
et de deux fenêtres qui y versent un grand jour s
eau, où il y a quelques réminiscences nietzschéennes, sont les motifs
éternels
qui chantent dans l’esprit de tout explorateur et
u symbolique temple à deux colonnes, amollit le héros, tend, pour une
éternelle
vengeance à jamais inassouvie de la nature biform
a conquête des airs, courbe ses flammes sur deux corps enlacés, sur l’
éternelle
dispute de la chair avide et insatisfaite, à la f
vellent sans cesse dans le cœur des hommes l’image et l’angoisse de l’
éternelle
stérilité. Une loi de Manou nous semble pleine de
chitecture esthétique ou sont représentés les fantômes millénaires et
éternels
de l’œuvre spirituel. Il comprend la musique comm
isseront tomber leurs ritournelles, Quand je leur parlerai des choses
éternelles
, Avec un doigt tendu vers les purs horizons. Et
par un chemin de fer électrique nous touche. Croirait-on que la Ville
Éternelle
n’est qu’à un quart d’heure de la plage d’Ostie (
le gouffre de Psyché, vers la recherche à jamais inassouvie des voix
éternelles
de l’âme. Cette poésie nous apparaît aujourd’hui
se vers la mer et toujours vers la mer a une signification moderne et
éternelle
d’anxiété qui éclate dans certains vers et qui no
D’Annunzio comme Rodin fait reposer tout son système esthétique sur l’
éternel
féminin. Seulement, chez Rodin le féminin aboutit
qui résume l’immense tragédie de Faust dans le cri bienheureux : « l’
éternel
féminin nous élève ! » Chez d’Annunzio cela est a
itable inspiration cosmique et dit au soleil : Ô Soleil, tu n’es pas
éternel
— ni seul ! — et aux nébuleuses du ciel : Ô Néb
calme et douce des gens simples dont il aime à fouiller le sentiment
éternel
. Pascoli décrit parfois avec une grâce suggestive
t l’homme s’étonne des créatures qui fleurissent de lui dans les mais
éternels
. Tout ce bref recueil, et peut-être tout le volu
omaine reviennent peupler cette solitude et ces décombres de la ville
éternelle
. Son commentaire ainsi était indiqué pour accompa
a pas d’écoles, mais seulement des courants d’idées et de sentiments,
éternels
puisqu’ils représentent les mouvements de l’âme,
. Cette femme, Angizia di Fura, est la plus parfaite incarnation de l’
éternel
féminin tel que l’a compris d’Annunzio : elle est
chaude prière théiste, et le poète musicien, qui a compris la beauté
éternelle
des grandes œuvres, finit sur un hymne à Rome, qu
u’il rayonnait sur le trône, mon génie le vit et se tut ; et lorsque,
éternel
jouet du sort, il tomba, se releva, pour tomber e
e ne mourra pas. Lamartine (strophe XXVI). Et que ton nom jouet d’un
éternel
orage. (strophe V). Ne crains pas cependant, ombr
urce hellénique ; il est redevenu tragédie représentée selon les lois
éternelles
de l’accord, entre la plastique et l’image, entre
temps. Elle a toujours le secret des paroles qui conduisent à la vie
éternelle
et de celles qui assurent la félicité de la vie p
’étais mort ! » Mais dites plutôt : « Je suis une parcelle du cadavre
éternel
et vivant de la nature ! » On a écrit, récemment
s et possédons l’Harmonie. Bâtissons un temple à la Beauté, la Beauté
éternelle
, immuable, qui vivifie et déifie la nature entièr
es du pinceau. Dispute de métiers ? Non ! Querelle d’art essentielle,
éternelle
. Rosso s’en pénétrait, s’en imprégnait à mesure q
damnée à demeurer une branche inférieure du métier décoratif ? Si les
éternels
néo-anciens s’obstinent à comprendre ainsi leur m
et des choses selon leur place et leur attitude dans l’atmosphère ? L’
éternel
« Nu » rigide des académies ne correspond qu’à un
Beau, c’est ce qui, même sans plaire, s’impose ; c’est une lueur de l’
Éternel
devant notre infirmité. Deux questions ont été lo
lais persistant en notre rétine cérébrale avec la force des créations
éternelles
, une étrange superposition, un parallélisme const
livre qui plus que celui-là soit un antidote contre les fadaises des
éternels
virtuoses de l’impressionnisme esthétique. Et les
lle erreur que l’homme ne doit pas mettre son espoir dans la félicité
éternelle
…, etc. » Benoît XV voit et trace les causes de l
qui est mandé par Dieu comme suprême interprète et vengeur de la loi
éternelle
, de proclamer qu’il n’est permis à personne, pour
n’est pas un ascète, qu’il n’est pas séparé du monde, qu’il n’est pas
éternel
, qu’il est homme lui aussi, et destiné à mourir.
u perpétuel inassouvissement de la vérité et de la beauté sont choses
éternelles
: « la guerre ne change rien ». Ce dilemme, qui
osité. Quant à ces canons de gros calibre transportés dans les neiges
éternelles
à des trois mille mètres d’altitude, les artilleu
oir vécu parmi les foules, pour les emporter vers ce qu’ils croient l’
éternelle
lumière et l’éternelle sérénité. Ils vêtent le ré
es, pour les emporter vers ce qu’ils croient l’éternelle lumière et l’
éternelle
sérénité. Ils vêtent le réel, aux aspects trop du
lles-lettres soufflait sur les eaux ! Rien de plus vivant, ni de plus
éternel
que cette légende, et jamais celui qui voulut la
est peut-être un des plus beaux livres qu’on ait donnés sur ce sujet
éternel
. On a dit de Matilde Serao qu’elle était « l’Henr
rs du Tabularium surplombent les grandes ruines tragiques de la Ville
Éternelle
. Transformés, remaniés au cours des âges, enjoliv
sons et les vignes en fleurs ; et ce chant est en lui, les vibrations
éternelles
du monde retentissent dans son cœur mortel, les g
non satiatus) traverse sans cesse les étreintes des couples, des deux
éternels
adversaires qui s’épuisent l’un l’autre : la tris
epuis l’entrée des armées italiennes à Rome — profanation de la ville
Éternelle
et affirmation politique de ce que les faciles en
cipline inflexible d’une esthétique nouvelle faite d’après les normes
éternelles
de la Beauté, étudiée dans les chefs-d’œuvre des
te l’action, qui comprend des milliers de vies, ou quelque « vérité »
éternelle
dans sa catastase et dans sa catastrophe, se mani
nouvelle. Dans le foyer inépuisable de l’âme des peuples nourri par l’
éternelle
souffrance des dominés sous la volonté des domina
catastrophe est déterminée violemment par le triomphe de la chair. L’
éternel
féminin de Goethe semble conserver son triomphe n
olution ou de calme, il cherchera ses affabulations dans les conflits
éternels
des instincts presque immobiles de la foule avec
venir un temple, pour satisfaire dans ses formes les plus parfaites l’
éternel
besoin religieux de l’humanité. Les vieux temples
de la Commune jusqu’à Dante et à Boccace, c’est-à-dire jusqu’à leurs
éternelles
créations d’âme ou de figurations féminines, qui
iré l’Empire romain. M. Ferrero craint que cet équilibre ne]soit pas
éternel
, qu’un parti unique arrive à dominer Paris et la
à retrouver dans une attitude quelconque de la vie, la signification
éternelle
que même le plus banal des détails contient et ca
inédit de la collection Chaper. 29. Man. inéd. 30. « À la Mémoire
éternelle
de Milady Alexandra Z. Amour jusque dans la mort.
donner de certitudes. Et c’est justement la persistance (que je crois
éternelle
) de ce mystère, qui ne permet pas aujourd’hui, et
ystiquement : « La gloire de Dieu n’est pas seulement l’immuable et l’
éternel
; elle est le devenir naturel et l’humanité le fr
t toujours les mêmes, car les problèmes du cœur humain sont d’essence
éternelle
. Quels que soient le philosophe et la note person
lieu, à perpétuer sa vie en la liant indissolublement à quelque force
éternelle
. Un premier élément de comparaison entre nos deux
anisme de d’Annunzio aux pieds des autels du seul dieu païen qui soit
éternel
: la beauté. Pour tous deux il est nécessaire de
s puissant ; il n’est plus l’expression de la recherche anxieuse de l’
éternel
inconnu, mais l’effort vers la glorification supr
régions habitées par ceux qui sont allés dans les ombres du Couchant
éternel
. Au-delà du détroit, les terres occidentales qui
me année de son âge. On demeure vraiment stupéfait devant la jeunesse
éternelle
et la savoureuse verdeur de cet ouvrage d’un viei
Que je reste à jamais auprès de ton Arno ; Avec toi que j’échange un
éternel
anneau ! Depuis longtemps déjà durent nos fiançai
une chose certaine, écrivait-il lui-même, qu’après mon départ pour l’
éternel
repos quelqu’un prendra mes vieilles frusques et
et lui jurait à chaque page, et presque à chaque ligne, une fidélité
éternelle
. Échos. Découvertes artistiques et fouilles à
cordant dans un son fraternel : Car, ô Florence, en toi, tout demeure
éternel
. Je t’ai revue enfin ! Sous le grand Dôme austè
aux rênes, tête haute, il va, malgré pluie et bourrasque, son chemin
éternel
, et ses yeux, dardés sur son grand rêve, ne voien
! Vous avez vu le temple illustre où le sourire d’Athéna Polias dort,
éternel
, dans l’ombre des colonnades, comme une fleur ent
eux que toute l’éloquence des avocats, aux écrivains tourmentés par l’
éternelle
hypocrisie des censeurs. Parce qu’il avait l’espr
éorgiques et sentimentales que la nature cache avec une indulgente et
éternelle
jalousie. Le Poète affirme sa puissance. Son expr
vouacs, en rythmes. Mais contre les vieux soldats veillait l’instinct
éternel
des races. C’est ainsi que tout d’un coup, en 187
nt partie d’un syndicat. Ils ont l’intelligence de ne pas se supposer
éternels
ni les uns ni les autres, et chacun porte sa boug
ns. C’est là leur mérite et leur défaut ; quelques-unes pourtant sont
éternelles
. Les Revues. Memento [extrait] Charles-Hen
igurer la Rome artistique et il étudie quelles seraient pour la Ville
éternelle
les conséquences des divers changements politique
de pierres où chaque âge a maçonné ses vestiges. » Parler de la Ville
Éternelle
n’est donc plus un lieu commun. Voici ses épisode
lette, chercha un autre maître. Ils n’étaient pas rares dans la Ville
Éternelle
! À défaut des géants dont l’œuvre séculaire étai
lesquelles ont le but exclusif de stigmatiser la guerre et de jouer l’
éternel
refrain de l’union fraternelle entre toutes les N
les physionomies et les attitudes des réprouvés brûlant dans les feux
éternels
qu’il pouvait donner une idée de ces flammes « pl
ndes espérances. » Au printemps de 1760, après avoir visité la ville
éternelle
, Saint-Non décide de pousser plus loin, en compag
! des leçons de ce brave Lépicié aux Élèves protégés, —lueurs de Vrai
éternel
qui augmenteront l’acuité de sa vision et sourdro
e la Marche d’Ancône : c’était un petit tableau carré représentant le
Père Éternel
, à mi-corps. Il avait aussi un gradin à trois com
rice s’accroît, en effet, à mesure qu’elle monte les degrés du palais
éternel
. 48. Lanzi, t. II, p. 131. 49. Enfer, IX, 61.
montré l’épuration de l’amour que provoque le voisinage de la « Ville
éternelle
». Deux êtres se cherchent, se fuient, se tourmen
réalisé sur cette toile splendide, dans cette œuvre totale, absolue,
éternelle
. On formerait un volume considérable avec les vol
aphaël ; et pourtant l’admiration pour cette œuvre « totale, absolue,
éternelle
» ne lui fut sans doute suggestionnée que par le
naître. Ils furent déconcertés et ils se tirèrent d’affaire avec les
éternelles
railleries qui sont d’usage dans ces cas-là. Mais
Raphaël ; et pourtant l’admiration pour cette œuvre “totale, absolue,
éternelle
” ne lui fut sans doute suggestionnée que par le n
s de la peinture. Coppée, en le qualifiant d’« œuvre totale, absolue,
éternelle
», se trouve d’accord avec les juges les plus émi
amant, dans son Œuvre d’art de l’avenir, la réunion des trois « sœurs
éternelles
» : Danse, Musique et Poésie, qui « ne peuvent êt
de l’idéal franciscain, et approfondit les recherches sur l’Évangile
éternel
, qui, selon lui, est dû à plusieurs auteurs. Les
générations futures : idéal purement humain. La vision des béatitudes
éternelles
goûtées dans un éternel repos a cessé d’attirer l
purement humain. La vision des béatitudes éternelles goûtées dans un
éternel
repos a cessé d’attirer les âmes. L’image, il y a
, vers une ère de vertus sociales capable de produire des monuments d’
éternelle
beauté. On peut lire dans la belle monographie de
au contraire, le spectacle de la destruction lui est une preuve de l’
éternelle
vitalité des choses qui se perpétuent en se trans
n’arrivaient point à le satisfaire. L’art, s’il n’a quelque substance
éternelle
, s’il nous laisse dans le vague sans nous mener v
ible que forment en nous, par l’écho lointain qui nous en arrive, les
éternelles
Idées. C’est une bénédictine, c’est sainte Hildeg
lais de Trézène, debout sur son socle, à côté de la rivale symbolique
éternelle
, la chaste Diane. On la voit, mais extériorisée p
sormais devant le monde contemporain, du « Tibre sacré » et de « Rome
éternelle
». Note sur la poésie italienne Amalia Gu
uivaut pas à une conclusion sur la décrépitude de Rome qui se prétend
éternelle
, qui ne se sent pas vieillir et qui toute caduque
dhal à la main et il fait d’intéressantes comparaisons entre la ville
éternelle
d’il y a cent ans et la capitale du royaume d’Ita
le démon sous toutes ses formes et cela entraînerait votre perdition
éternelle
! Ce fut vainement qu’elles se fâchèrent et pouss
allez-moi dans ce fauteuil et jurez-moi, sur votre âme et votre salut
éternel
, de ne pas révéler le nom de celle qui vient de m
consentit à m’appartenir, répéta Morto. Je te le jure, sur mon salut
éternel
… — C’est impossible I Un homme tel que toi, Zarat
aliser les entreprises de ce pape qui transforma l’aspect de la Ville
Éternelle
, avec les monuments qu’il fit édifier et les gran
comme d’un fer rouge et à n’avoir comme délice que l’espoir de la Vie
éternelle
et le gage de sa Rédemption. Il y a tout cela et
le va défaillir, purifiant et fondant son amour au brasier de l’amour
éternel
. Alors un dernier miracle se produit. D’elles-mêm
t de la lune et les bords étoilés de son manteau d’azur. » Les cieux
éternels
sont restés. Les mêmes signes sont au Zodiaque, m
s va renaître et continuer pour l’âme avide des hommes cette foi en l’
éternelle
résurrection, que la mort et la renaissance du pr
t intérieur ». On n’y découvre pas la moindre trace de cette humanité
éternelle
qui, chez Monteverdi, nous point si violemment en
cevoir l’esprit de toutes les religions comme le souffle universel et
éternel
de l’art, et les aspects formels de tous les cult
t celle de découvrir et de contempler en soi une expression totale et
éternelle
de la vie. Les paroles de Giordano Bruno : « notr
les rois de la création et n’en sommes que les bourreaux, et de notre
éternelle
ingratitude à leur égard. Et son émotion est sens
sera peut-être le printemps, à la fonte de toutes ces neiges. C’est l’
éternel
mythe de la nature, tour à tour mère et marâtre,
nge carrefour, Segantini le situe, comme tout le reste, dans son Alpe
éternelle
, éternellement belle et nouvelle, dont dix labeur
d’une façon toute naturelle, bien que non sans difficultés et sans l’
éternelle
part de négation, de dénigrement et d’insulte. Il
ie à soi, vie représentative qui est le côté essentiel qualitatif, et
éternel
, de la vie réelle. § Intelligence et sensibilité
ulons pas représenter l’accidentel, le momentané, mais l’essentiel, l’
éternel
, et, pour cette raison, lorsque un objet se prése
riété, et l’autre avec une heureuse tranquillité, et dans l’attente d’
éternel
salut. XXI. À messer Luigi del Riccio65, mon
mer et de la défendre — est par elle-même une protestation vivante et
éternelle
contre cette conception brutale et sauvage du pri
garde que ceci, c’est peut-être ce qui sauva, rendit réelle, vivante,
éternelle
, la Divine Comédie. Sans ce profond sentiment civ
ire. Le point de vue humain et poétique, c’est-à-dire le point de vue
éternel
, seul importe. Née du regard de Béatrice, née des
es, à Rome, un socialiste militant avec ardeur dans le journalisme. L’
éternelle
« paix des champs » semble l’avoir attiré. Il tra
mples, des forces primitives de la terre, des sentiments primitifs et
éternels
de l’homme, Pascoli ne devait considérer la vie q
ge, sang, rapines, colère, épouvante posés pour base de la domination
éternelle
; et appeler grandeur la vile trahison… Certes l
oos et la douce Nausicaa ont-ils contemplé, il y a trois mille ans, l’
éternelle
splendeur de ces horizons ? Cette vieille cité qu
s et les nécessités de la vie », dit la « prière d’insérer ». C’est l’
éternelle
exploitation d’un identique thème d’amour, avec d
e, dans un écrin de velours sombre, quelques feux d’étoiles ravis à l’
éternel
artifice de l’amour et de la mort. Je dis artific
le ciel, qui déchires la mer, Qui ouvres la terre ; Guerre haletante,
éternelle
, Contre le calme qui enveloppe d’ombres Les mouve
ur et leur terreur du changement. « Ils m’ont condamné au vagabondage
éternel
, parce qu’ils s’imaginaient que changer sans cess
e paysans ébahis, qui n’y comprenaient mot. Il y parlait de la Beauté
Éternelle
, des mœurs anciennes, et d’autres choses simples
s et colorées des paupières et des mains. La représentation d’une vie
éternelle
ramassant en elle-même dix mille expériences n’es
physionomie douce et intelligente, grand trousseur de filles devant l’
Éternel
, l’air d’un bon vivant et d’un bavard, fort peu h
u Carso, de la IIIe armée perdue parmi les glaciers, parmi les neiges
éternelles
du Cadore. Ces deux armées, les stratèges alleman
▲