six jours avant la première visite qu’il reçut de Casanova, Voltaire
écrit
au comte François Algarotti, celui qu’il appelait
rd, le 1er mai 1761, après un long silence dont il s’excuse, Voltaire
écrit
à Albergati Capaccelli : « Je revois dans le mome
y a à cela rien de surprenant, si l’on songe que Voltaire n’avait pas
écrit
à son ami de Bologne depuis le mois de décembre 1
exactement onze jours après la dernière visite de Casanova, Voltaire
écrit
à Albergati Capaccelli : « Je suis dans mon lit d
ais lorsque Voltaire s’adresse à son correspondant, auquel il n’a pas
écrit
depuis plus d’un mois, n’est-il pas excusable de
e partie de la nuit, confesse-t-il, et presque tout le jour suivant à
écrire
mes conversations avec Voltaire ; je fis presque
on vraiment dramatique ; mais il est impossible de lui donner dans un
écrit
tout le feu que lui communique une narration bien
Brillant et sage Algarotti À qui le ciel a départi L’art d’aimer, d’
écrire
et de plaire. Par une coïncidence singulière, l’
deux destinées, cette intelligence largement ouverte, cette passion d’
écrire
, ce besoin de se dépenser, de s’assimiler toutes
ches et consulter son médecin Tronchin : « Par tous les saints, — lui
écrit
-il en italien, et seul l’usage de cette langue pe
’il s’agit d’un Vénitien, et d’un Vénitien qui s’est mêlé comme lui d’
écrire
et de plaire. D’abord, ne serait-ce que pour cont
ne veut l’avouer. Enfin, quand il présente aux lecteurs ses Mémoires
écrits
en français, bien que sa langue naturelle soit l’
n homme à bonnes fortunes, contre un rival heureux et adulé. Voltaire
écrivait
un jour à Algarotti : Mais si notre excellent au
se, mais elles ne supportent ni la lecture ni la représentation… ; il
écrit
bien dans sa langue, mais il s’écoute, est profix
tre sur le théâtre italien votre admirable Sémiramis, que j’osai vous
écrire
pour la première fois, pour avoir certaines instr
es succédèrent les aimables et badines ; et enfin, à quelques mauvais
écrits
de mon cru, que je vous envoyai, vous répondîtes
envers moi. Le théâtre fait, le sujet de presque toutes les lettres
écrites
par Voltaire à Albergati pendant près de vingt an
ent accumulées contre ses nobles compatriotes. La lettre que Voltaire
écrit
à Albergati, onze jours après avoir reçu Casanova
de toucher à la sérénissime république ; qu’un Amelot de la Houssaye
écrive
son Histoire du Gouvernement de Venise qu’un Volt
ne s’interdit pas à lui-même. À l’en croire, Amelot de la Houssaye a
écrit
son livre « en vrai ennemi des Vénitiens » ; son
Voltaire s’était assimilées ; c’est de lui qu’il s’inspire lorsqu’il
écrit
: « De tous les gouvernements de l’Europe, celui
uvre, et j’en loue l’auteur, de critique moins que de poète. Cela est
écrit
avec passion, et par conséquent très bien écrit.
ue de poète. Cela est écrit avec passion, et par conséquent très bien
écrit
. Les injustices où la passion peut induire sont p
ro 157, janvier 1903 Les Revues. Revue universelle : M. Péladan
écrit
sur le Vinci et les sciences occultes Charles-H
a science occulte a revêtu, pour sa plus grande déconsidération ». Il
écrit
de plus : « N’ai-je pas entendu de la bouche d’u
onnaître personnellement, qui, selon l’expression de F.-D. Guerrazzi,
écrivaient
un livre, ne pouvant pas livrer une bataille : et
et des passions que pour le Risorgimento, et pour cet unique idéal on
écrivait
, on complotait, on mourait sur le champ de batail
s. M. A. Antoniolli : Amor di sogno On n’aurait jamais pensé à
écrire
en 1850 un roman tel que Amor di sogno, Ie dernie
Son auteur, M. A. Antoniolli, était presque inconnu jusqu’à hier ; il
écrivait
çà et là quelques articles critiques, comme tout
l’Italie. Sem Benelli : Ferdinand Lassalle, pièce en 4 actes J’
écris
pour la première fois dans ces chroniques le nom
ns la certitude que personne ne pensera jamais à commémorer celui qui
écrit
ces lignes. Tome XLV, numéro 158, février 19
re lecteur pourrait s’impatienter ; à cela, on répond que Mr. Hewlett
écrit
certainement pour être là, mais il n’écrit pas po
on répond que Mr. Hewlett écrit certainement pour être là, mais il n’
écrit
pas pour le lecteur… Katharine Hooker : Wayfar
sumées en un synthétique épilogue. « On a beaucoup parlé et beaucoup
écrit
en Italie, dit M. Pica, sur l’art décoratif d’auj
A. Butti causa un vrai scandale : les choses les plus sottes ont été
écrites
à ce propos par les critiques les plus compétents
qui laisse quelque peu à désirer du côté des mœurs, quoiqu’elle sache
écrire
des vers admirés sinon admirables. Le poète vit a
ages imaginaires, d’exploits ou de mascarades d’événements qui furent
écrits
à leur imitation. Ils racontent l’histoire d’un h
abond, cet homme, dont on ne se souvient maintenant que parce qu’il a
écrit
le récit de sa propre vie, était de cette rare es
vie, était de cette rare espèce d’autobiographe qui ne vécut pas pour
écrire
, mais qui écrivit parce qu’il avait vécu et quand
te rare espèce d’autobiographe qui ne vécut pas pour écrire, mais qui
écrivit
parce qu’il avait vécu et quand il ne put plus vi
de la main de Casanova. Ce manuscrit, que j’ai examiné à Leipzig, est
écrit
sur un papier jaunâtre et assez grossier, du form
Review ; puis par Quérard, qui passait pour une autorité en matière d’
écrits
anonymes ou pseudonymes ; finalement, par Paul La
rent, et deux choses sont maintenant certaines, d’abord, que Casanova
écrivit
lui-même les Mémoires publiés sous son nom bien q
Casanova vécut les quatorze dernières années de sa vie à Dux, qu’il y
écrivit
ses Mémoires et qu’il y mourut. Pendant tout ce t
qu’on dise qu’il soit de lui, n’est pas de sa main ; peut-être fut-il
écrit
sous sa dictée. Il y avait aussi quelques copies
la rédaction de cette dernière partie des Mémoires qui n’a jamais été
écrite
ou qui a été perdue. Voici une feuille volante, d
à Dux, je me tue. » « On dit que ce Dux est un endroit délicieux »,
écrit
Casanova dans une de ses notes plus personnelles,
uis le premier à révéler, est un Extrait des Chapitres 4 et 5. Il est
écrit
sur du papier semblable à celui sur lequel les Mé
st écrit sur du papier semblable à celui sur lequel les Mémoires sont
écrits
; les pages sont numérotées 104-148 ; et malgré l
éristiques de Casanova que celui-ci, reproduit exactement tel qu’il l’
écrivit
. Il est curieux que ce très important manuscrit,
n est faite sur un ton d’indignation. Ailleurs, je trouvai une lettre
écrite
par Casanova, mais non signée, se rapportant à un
ts de papier, péniblement tracées et mal orthographiées. Une comtesse
écrit
sur un ton pitoyable, implorant du secours ; une
es sont en français, mais la plupart en italien. Mon cher Giacometto,
écrit
l’une, Carissimo e amatissimo écrit une autre. Ce
en italien. Mon cher Giacometto, écrit l’une, Carissimo e amatissimo
écrit
une autre. Ces lettres de femmes sont en grand dé
es « Francesca Buschini », nom que je ne puis identifier ; elles sont
écrites
en italien et l’une d’elles commence ainsi : Unic
datée de « Forli, 15 oct. 1773 ». Il y a aussi une « Theresa B. » qui
écrit
de Gênes. J’éprouvai quelque difficulté à identif
ormez mieux que moi. » Dans une lettre envoyée de Paris en 1759, elle
écrit
: « Ne me croyez jamais que lorsque je vous dis q
bre de son académie ». Elle retourne à Casanova les lettres qu’il lui
écrivit
et le prie de lui rendre celles qu’elle lui adres
esque à propos, vingt-deux ans plus tard, à Aix en Provence ; et elle
écrit
à Casanova proposant « un commerce épistolaire »,
rencontra Henriette ; et, alors qu’il en a soixante-treize, elle lui
écrit
, vieille aussi, comme si les cinquante années qui
À propos de sa visite chez ce dernier, à Augsbourg, en 1761, Casanova
écrit
dans ses Mémoires : « Je passais très agréableme
vre dans sa mémoire tout en narrant ce qui l’a le plus intéressé. « J’
écris
dans l’espoir que mon histoire ne verra jamais le
itation qui naturellement peut lui venir. Mais si jamais un livre fut
écrit
pour le plaisir de l’écrire, ce fut celui-là ; et
eut lui venir. Mais si jamais un livre fut écrit pour le plaisir de l’
écrire
, ce fut celui-là ; et une autobiographie écrite p
pour le plaisir de l’écrire, ce fut celui-là ; et une autobiographie
écrite
pour soi-même ne peut vraisemblablement qu’être s
il n’est pas toujours facile de croire les gens sur parole, quand ils
écrivent
sur eux-mêmes, et le monde a fort répugné à prend
e de tous les papiers qui sont à Dux ; le premier, de tout ce qui est
écrit
en italien ; le second, de tout ce qui est écrit
, de tout ce qui est écrit en italien ; le second, de tout ce qui est
écrit
en français. M. d’Ancona doit publier l’ensemble
sanova dans la Revue Indépendante. À ce propos, M. Arthur Symons nous
écrit
de Venise : « I never saw more than a casual num
modèle. Toutefois ce sérieux inné, cette gravité dont Mme Segantini a
écrit
qu’il ne se départissait jamais, l’ont empêché de
temps qu’en a duré le dessin ; il a été hanté par la pensée, que ses
écrits
ont si souvent exprimée dans la suite, de tout ce
XLVIII, numéro 168, décembre 1903, p. 799-809 [807]. Roberto Bracco a
écrit
de meilleures pièces que les Masques. Ce petit dr
nnunzio a promis au maëstro Franchetti un véritable libretto qui sera
écrit
à son intention sur les amours de Hugues et Paris
e toute la possibilité héroïque de l’Occident de son temps. Or Goethe
écrivit
un poème superbe, dans lequel une vision de vie,
Hasard dominent. Le Politien, qui fut le premier dramaturge moderne,
écrivit
une Tragédie Pastorale, l’Orfeo, où, dans un temp
ion tragique ne la toucha presque pas. Térence, le « Demi-Ménandre »,
écrivit
de pâles comédies, sages et bonnes. Plaute fut br
véritable drame implexe, le théâtre Mystique de Péladan, le seul qui
écrit
des tragédies où les ailes de l’idéal palpitent d
Maeterlinck fit tout d’abord un rêve terrible de folie et de sang. Il
écrivit
le Songe d’une matinée de printemps. Mais il appo
t « l’esprit tragique », d’Annunzio s’est approché de Wagner, et il a
écrit
Francesca da Rimini, pour aboutir ensuite à cette
térature qu’il renouvela parfois, comme dans les Bordatini. Lorsqu’il
écrivit
Il Mago (le Magicien), il se montra spontané, ori
lus belles ou les plus célèbres pages des romans, nouvelles et autres
écrits
: les Idolâtres des Novelle della Pescara, la Gav
lication de ses Nouvelles ou de ses Poèmes lyriques des Romagnes ; il
écrit
avec tout son grand amour du sol un très beau liv
siano (l’exemplaire d’Homère de la Bibliothèque Ambrosiana de Milan),
écrit
aux iiie et ive siècles et illustré de merveill
sement fautive de ce bon vieux temps sourit et gronde dans ces pages,
écrites
, comme l’auteur même le dit, avec « grande amore
delà le bien et le mal », guident le savant visionnaire. Le livre est
écrit
avec cette clarté, cette netteté rude et riche qu
t la connaissance du critique italien à Naples, en 1893 : « Naples !
écrit
-il, la ville grouillante, vivante, chantante, ric
vue Indépendante”, à propos de l’étude de Pica sur Stéphane Mallarmé,
écrivait
, il y a une quinzaine d’années, que c’était bizar
te distingué… » Je ne crois pas que les peintres puissent facilement
écrire
sur leurs contemporains ; mais quand il s’agit de
Cela se comprend, tout un côté de la conversation devant se faire par
écrit
. Je lui dis toute mon admiration pour son génie,
6-480 [477]. Contre le Dante On vient de découvrir une plaquette
écrite
contre le Dante par un moine dominicain du xve s
Malheureusement, s’il agit encore, il rêva et théorisa davantage : il
écrivit
le De Ofjiciis, grand document de psychologie his
s mon voyage, c’est Pompeja, etc. J’aime cette caserne, avec les mots
écrits
au charb. par un soldat (Page 222). La naïveté
idi Marionnettes. Cassandrino La Princesse Santavalle. L’autre note,
écrite
à la page intérieure de la couverture, indique d’
sanctissimi patris nostri Francisci, qu’on appelle la « seconde vie »
écrite
par lui « est peut-être le chef-d’œuvre de la tro
e ! » On sait que les deux parties de la biographie de saint François
écrite
par Celano, l’une en 1228-29 par ordre de Grégoir
source abondante où a été puisé tout ce qui par la suite a été dit et
écrit
sur le saint d’Assise. L’orientation des études f
vie de saint François sur commande, jubente dimono et glorioso Papa,
écrite
de manière à ne point déplaire au Pontife, qui pr
ontre sous l’aspect d’un fantastique plagiat de tout ce qui avait été
écrit
sur les Saints du Moyen-Âge, époque si fertile en
d’aujourd’hui n’ont pas besoin d’intuition : ils savent. Shakespeare
écrivait
lorsque la psychiatrie et l’anthropologie crimine
dans ce répertoire, si bien qu’un bon philosophe du temps a fini par
écrire
: Ô muraille, je suis surpris que tu ne sois pas
on toujours heureux, des démonstrations de la maison de Savoie, a été
écrite
à propos de la récente entente franco-italienne.
inetti qui n’est qu’une énumération lyrique de littérateurs italiens,
écrit
quelques lignes justes sur G. Verga, le romancier
ignifie rien : le vrai dans l’art est relatif à la personne seule qui
écrit
, peint ou compose dans quelque genre que ce soit
J’ai bien peur que le « maître souverain » auteur de ces lignes n’ait
écrit
lui aussi « beaucoup de folies en peu de mots ».
d pas défendre telle ou telle théorie. Mais c’est un manuel excellent
écrit
dans un style clair, et tous ceux qui aiment Veni
es et les Lois de Fiesole, parmi les plus importants que l’auteur ait
écrits
sur l’art, parut en trois volumes, de 1851 à 1853
les domaines pour se faire accueillir de la foule. Il ne suffit pas d’
écrire
de beaux livres, il faut s’entendre à les lancer.
psychologisme, M. Giacosa jeune fit un rêve moyen-âgeux très pur, et
écrivit
sa célèbre Partie d’Échecs qui lui fut un triomph
ne seule plante vraiment robuste : Carducci. La Partie d’Échecs était
écrite
en vers martelliani, dont le rythme correspond ex
national, imitèrent même l’harmonie française du théâtre en vers, et
écrivaient
leurs pièces en « martelliani », c’est-à-dire en
oureuse maîtrise, M. Giacosa reprit le vers italien de onze pieds, et
écrivit
des pages très belles, où le sens de l’héroïsme a
ers fantômes médiévaux la pierre très lourde et grise du réalisme. Il
écrivit
quelques pièces modernes, dont l’une : Tristi Amo
t de son ami dans une lettre qui restera parmi les pages les plus mal
écrites
et les plus pauvres d’idées qu’il ait jamais conf
le (hors commerce) Je signale avec plaisir un petit livre de vers,
écrit
, certes, par de très jeunes poètes, qui ont réuni
s. Tome LXIV, numéro 226, 15 novembre 1906 Comment Stendhal
écrivit
son Histoire de la Peinture en Italie Paul Arb
ment il y mit des années. L’idée fait du chemin. Trois jours après il
écrit
: Hier, dernier jour d’octobre, attendant in the
l écrit : Hier, dernier jour d’octobre, attendant in the chamb. j’ai
écrit
la lettre suivante : « Bologne, 25 octobre 18111
ère lui-même. À coup sûr, la lettre ne fut pas envoyée. Peu après, il
écrit
dans son journal : … J’allai à Brera… Je trouvai
u’en enseignant, il espère être moins ignorant des arts quand il aura
écrit
un livre sur l’histoire de l’art. C’est peut-être
décembre 1811 (il avait quitté Milan au commencement de novembre), il
écrit
sur la première page de l’un des volumes verts :
pezzo di ciel caduto in terra18. Il faut bien en croire cette note,
écrite
pour lui seul : voici que le livre rêvé ne doit p
encore à la page qui fait face à celle-ci, et ouvre le volume. Il y a
écrit
en lettres capitales cette dédicace : TO MILADY
evait le lui faire chérir. Ce n’était point façon de parler, quand il
écrivait
, cinq ans après, à son ami Crozet20. Par hasard,
ter Beyle de Paris. « Rome, Rome est ma patrie, je brûle de partir »,
écrivait
-il le 4 juillet dans son Journal. Et un mois aprè
livre, à peu près les seules où Beyle ait été original, celles qu’il
écrivait
, comme il l’a dit, « sous l’immédiate dictée de s
fut ainsi composée, entre le 15 août 1814 et le 28 janvier 1815. Il l’
écrivait
de caprice, et comme par boutades, suivant l’insp
t le décousu même de ces pages laisse assez voir comment elles furent
écrites
. Puis, en se relisant, Beyle s’était aperçu que s
re resté dans les plaines de Russie, il le refait. Le 1er décembre il
écrit
: « Beau idéal : made. » Et il apprend à Crozet28
u idéal : made. » Et il apprend à Crozet28 que ces cent pages ont été
écrites
par lui « en 3 jours ». Ainsi fit-il, on le sait,
embre 1814, le livre était déjà fort avancé, si l’on en croit un plan
écrit
alors par Stendhal29. De tous les chapitres que n
des ministres de Napoléon, il en oublia pour un instant Angélina, et
écrivit
, sur la première page de son manuscrit : To the
est Stendhal lui-même qui discrètement l’avoue, dans une lettre qu’il
écrivit
plus tard, le 30 septembre 1816, à son ami Crozet
52.) Il y déclare qu’il n’a pas voulu « parler comme auteur » ; qu’il
écrit
pour se « désennuyer le matin » ; et il demande à
gagner quelque argent : « primo, panem, deinde philosophari. » Et il
écrit
la dédicace. Enfin il dresse avec grand soin une
s de la Peinture enfin lancés, ce sera le tour des journaux. Stendhal
écrit
à Mareste le 15 octobre 1817 (Souv. d’égot., p. 2
ise en œuvre que parlait Stendhal, un jour de découragement, quand il
écrivait
à Crozet36 : Je me suis tué à la lettre for this
se et le reprend maintes fois, suivant les caprices de l’heure. Il en
écrit
les feuillets au théâtre et à l’hôtel, en voiture
ents qui illustrent ce contraste. Le mot n’est pas suffisant. Il faut
écrire
antagonisme, car si le Nord professe quelque déda
ie relevée, domine tout son principat. Tite-Live, historien officiel,
écrit
son histoire à un point de vue aristocratique. C’
ait « inconnu » pour lui. « Je fus touché presque jusqu’aux larmes »,
écrit
-il dans son Journal inédit. Il faut admirer tant
ide ignorance. — Exactement un mois plus tard, il formait le projet d’
écrire
lui-même une Histoire de la Peinture en Italie.
aphie définitive de son Histoire de la Peinture. 18. Inédit. 19. Il
écrit
ainsi parfois son nom en deux mots. 20. Lettre d
amalgama et publia sous le pseudonyme de Lorenzo Stecchetti. Lui-même
écrivit
, sous sa propre signature, une préface, sorte de
t que les maîtresses de maison qualifient de « charmant causeur ». Il
écrit
dans un style de conversation de salon des débuts
e lui, l’honnête académicien, de Jouy était fermement convaincu qu’il
écrivait
une œuvre d’art, une noble tragédie à l’instar de
les confessions en furent, sans exception, si bien que Wagner pouvait
écrire
à propos de son séjour à Paris en 1842 : « Parmi
vu une lutte entre le protestantisme et le catholicisme. En réalité,
écrit
Colajanni, « ce qui est en lutte dans la guerre a
ulture. « S’il y a eu un facteur économique dans la présente guerre,
écrit
Colajanni, il n’a été que le produit de la mégalo
endant la guerre, G. Van Oest et Cie, 3 fr. 50 Que Jules Destrée a
écrit
de jolies pages sous le titre : En Italie pendant
oclamait ne pouvoir composer qu’exalté par l’action, dramatique. S’il
écrivit
pour des voix exercées, il est invraisemblable qu
dut sa renommée est tout à fait exacte, mais on va trop loin quand on
écrit
qu’il « imagina de faire un choix parmi les plus
manquer dans la bibliothèque de l’ami Guillaume Apollinaire. Guerrini
écrivait
aussi des articles d’une plume alerte et légère :
aravant, n’avaient point vu cependant la mort de l’art. Chateaubriand
écrivait
Les Martyrs vers 1809, Goethe Les Affinités élect
de haines et de déraisons ; ramenez-moi au xive siècle. Qu’on puisse
écrire
aujourd’hui cela sans paradoxe ! Il fut pourtant
inal sur le caractère et l’influence de Catherine, M. Pierre-Gauthiez
écrit
: « En voyant combien elle fut militante, il faut
amené la guerre. Qu’on se console en lisant ce qu’à 66 ans, Pétrarque
écrivait
à un médecin de Padoue. Nos aïeux devaient être
int s’établir à Messine. La petite bergère, qui maintenant parlait et
écrivait
plusieurs langues, éblouissait par sa beauté et s
oupe les branches pour qu’il pousse plus beau. » D’autre part, Guyau
écrit
que tout instinct qui tend à devenir conscient se
ils et de préceptes sur l’art de gouverner et de vaincre et dédia son
écrit
à Laurent de Médicis. Machiavel républicain, qui
« Pascoli fut un des poètes le plus purement personnel qui ait jamais
écrit
. C’est le poète des choses infiniment petites ; i
eur dans une université, un lycée. Nullement, il enseigne à lire et à
écrire
comme maître d’école dans un village. Il n’y a pa
Stampini, pour célébrer le 40e anniversaire de son doctorat, vient d’
écrire
une épigraphe latine : Post — XL — Annos, où il c
i, La guerre des peuples et la future confédération européenne, a été
écrit
avant que l’Italie s’engage à nos côtés dans la g
elations qui ont été données jusqu’à présent. Son livre ensuite a été
écrit
, sobrement, mais dans une jolie langue harmonieus
ples, Ferdinand IV le nomma son maître de chapelle. C’est alors qu’il
écrivit
La Nina pazza… sans allusion à la Grande Catherin
landini14 pour que je m’emploie à lui avoir ce qu’il me demande. Il m’
écrit
de lui faire faire la lame d’une dague et de fair
e ici16, et retourner à Florence faire ce que je vous ai promis. Tu m’
écris
que Giovansimone veut mettre de l’argent dans une
ire pour le mieux ; si cependant il voulait de l’argent comme tu me l’
écris
, il faudrait prendre celui de Florence, parce qu’
e donnée par Piero. Il m’en envoya une en papier dans une lettre et m’
écrivit
de la faire faire exactement de la même façon. Je
it pas m’envoyer la mesure d’un poignard ; mais à ce propos je veux t’
écrire
ce que j’ai voulu taire jusqu’ici : c’est que tu
ire ce que je vous ai promis. Réconforte Giovansimone et dis-lui de m’
écrire
quelquefois, dis à Lodovico18 que je me porte bie
, et maintenant j’aurais tout arrangé. Ne pouvant le faire, je lui ai
écrit
une lettre comme je crois devoir l’écrire, et si
pouvant le faire, je lui ai écrit une lettre comme je crois devoir l’
écrire
, et si d’ici quelque temps il ne change de condui
ommencé un brouillon de testament qui me semble bien, si je peux je l’
écrirai
et vous l’enverrai dans ma prochaine lettre pour
BUONARROTI. V. Au même. [Rome, 16 août 1550.] Lionardo. Tu m’
écris
dans ta dernière lettre que Cepperello veut vendr
irai ce que je pense. Je ne suis pas prêt à aller le trouver. Tu m’as
écris
que tu avais compris pour les deux Brefs ; si tu
m’a semblé bon de te rapporter ces paroles. Maintenant, pendant que j’
écris
, on m’apporte la lettre dans laquelle tu me parle
n Florentin, et encore moins d’autres. Je suis vieux comme je te l’ai
écrit
dans ma dernière lettre, et pour ôter toute vaine
cesca. Je n’ai pas répondu avant, parce que la main ne me sert plus à
écrire
. J’ai dit la même chose au Seigneur ambassadeur26
mai 1517.] Messer Domenico. Depuis la dernière lettre que je vous ai
écrite
, je n’ai pu arriver à exécuter le modèle28 que je
dèle28 que je vous avais promis de faire. Il serait trop long de vous
écrire
le pourquoi. J’en avais d’abord ébauché un petit,
je ne vois pas. Vous comprendrez le pourquoi de ceci. Comme je vous l’
écrivis
, et depuis que je vous écrivis, j’ai retenu beauc
z le pourquoi de ceci. Comme je vous l’écrivis, et depuis que je vous
écrivis
, j’ai retenu beaucoup de marbres, donné beaucoup
aisant le tout, je pourrais faire tout ce que j’ai promis. Je vous ai
écrit
tout ceci dans d’autres lettres. Maintenant agiss
on représentant, c’est pourquoi je ne ferai rien, sinon ce que vous m’
écrirez
, car je pense que c’est son intention. Si, quand
us m’écrirez, car je pense que c’est son intention. Si, quand je vous
écris
, je ne le fais pas aussi correctement qu’il convi
la magnificence de Jacopo Salviati, de m’excuser si je ne lui ai pas
écrit
. Je n’ai encore pas eu à lui écrire des choses qu
, de m’excuser si je ne lui ai pas écrit. Je n’ai encore pas eu à lui
écrire
des choses qui me plaisent ; c’est pourquoi je ne
i la plus belle œuvre qui fut jamais faite en Italie. Depuis que j’ai
écrit
, les hommes de Pietrasanta, qui prennent à la car
ose, et tout serait fait. Lors donc qu’il lui semblera bon d’en faire
écrire
deux, soit pour les frères, soit pour Matteo, qu’
] Inconsidérément, messer Tomao mon très cher Seigneur, je me mets à
écrire
à Votre Seigneurie, non pas pour répondre à une l
us ne citons ici que la première :] Très inconsidérément je me mets à
écrire
à Votre Seigneurie ; et je serais très présomptue
on audace, après avoir lu et avoir apprécié celle que votre Grâce m’a
écrite
. Bien loin de me paraître à peine né comme vous m
raître le moins possible ignorant et ingrat. De l’œuvre d’ici62, je n’
écrirai
rien : d’autre pour l’instant, parce qu’il me sem
de me rappeler à son souvenir un nombre infini de fois. Quand vous m’
écrirez
, parlez-moi de lui pour me le tenir présent à l’e
vois dans votre lettre, où vous semblez croire que je ne vous ai pas
écrit
parce que je vous oubliais, ne m’aurait pas paru
um ! dont on nous a tant rebattu les oreilles, se devait à lui-même d’
écrire
un livre sur Le Génie latin et le monde moderne.
— Salvatore Gotta : Il Figlio Inquieto, Milan, Baldini Castoldi On
écrit
toujours des romans, mais qui ne sont pas, heureu
localité peu fréquentée. C’est là que se trouve la maison où Galilée
écrivit
la défense de son système dans l’ouvrage intitulé
ral Cadorna, n’a pas de prétentions d’écrivain, mais il parle bref et
écrit
brièvement dans un style dépouillé de toute rhéto
re quelconque, — et par suite son auteur — autorise M. Henry Cochin à
écrire
la phrase citée ci-dessus, c’est ce dont je fais
r l’attrait de l’inédit, puisque tout le monde en a lu les chapitres,
écrits
au jour le jour, dans le Corriere della Sera. Bar
rôle du Parlement ? Et quelle influence a-t-il dans l’histoire qui s’
écrit
en ce moment ? Son importance est loin d’égaler c
nord au sud. C’est ce dernier groupe de forces qui, au moment où nous
écrivons
, tente de forcer le passage du Tagliamento supéri
ublique », n’hésitait pas à dire le Corriere della Sera. M. Orlando,
écrirait
-il le 4 septembre 1917, a une théorie de gouverne
it-elle se faire la complice de la violation de la Belgique ? Mazzini
écrivait
en 1859 à la jeunesse italienne : « Bien au-dessu
ne se sont pas moins bien acquittés de leur tâche. Au moment où nous
écrivons
, à la date du 22 novembre, cette magnifique défen
flexions. Si le lecteur veut bien se reporter à la chronique que nous
écrivions
ici même le 1er janvier 1916, il verra qu’à cette
guerre est soumise à une censure extrêmement rigoureuse. Lorsque nous
écrivions
notre dernière chronique, nous avions eu connaiss
magination et leur extrême sensibilité. Les critiques militaires, qui
écrivaient
au lendemain même de la débâcle, ont été frappés
n’en rêvent que le massacre et le pillage. 1. Au moment où nous
écrivons
ces lignes, nous apprenons avec beaucoup de plais
e de la réserve du 1er régiment de la garde à pied. Cet article a été
écrit
dans une tranchée au nord d’Arras où Biberstein f
il le gâta irrémédiablement par sa maladresse. 42. Cette lettre fut
écrite
au sujet de la construction du Palais Farnèse, co
a Calabre. 68. Saint Jean. Pathmos est celle des îles Sporades où il
écrivit
l’Apocalypse. 69. Donation prétendue du patrimoi
est cependant très inférieur au véritable Poème épique. Il en est des
écrits
comme des hommes. Les caractères sérieux sont les
e l’affirme à Casanova, qu’il n’avait lu l’Orlando furioso, lorsqu’il
écrivit
ces lignes, que d’une façon superficielle, par su
’est que, entre 1730 et 1750, dans sa Correspondance et dans tous ses
écrits
, c’est toujours le nom du Tasse qui se présente à
t tous excommuniés. » Mais il semble se souvenir de ce trait quand il
écrit
dans le Dictionnaire philosophique : « Il est trè
saient facilement leurs admirations ou leurs haines. À l’un d’eux, il
écrit
avec plus de franchise et moins de ménagement enc
’ordinaire : « J’aime encore mieux une cinquantaine de vers du Dante,
écrit
-il à un ami, que tous les vermisseaux appelés son
ses défauts, Mais ce Goldoni m’a peinte. » Le peintre de la nature,
écrit
-il un peu plus tard, « peut me compter au rang de
en dialogue, composé par le R. P. Goldoni30. » À Goldoni lui-même, il
écrit
avec cette grâce enjôleuse qui est chez lui, quan
rille pas en société, malgré le sarcasme si finement répandu dans ses
écrits
; … c’est un bon auteur de comédies, et rien de p
t nous serons, lui mon ami, moi son sincère admirateur34. » Ce qu’il
écrit
ici, Casanova le pensait-il en quittant les Délic
ervents. « Voltaire tenait sa maison on ne peut pas plus noblement, —
écrit
-il dès sa seconde visite ; — et l’on faisait bonn
és ; il fit présent de la Princesse de Babylone, conte charmant qu’il
écrivit
en trois jours37. » Là encore, il est vrai, l’élo
s réflexions que Casanova : « Vous ne pouvez point vous faire d’idée,
écrit
-il à sa mère, de la dépense et du bien que fait V
èle ses plus belles et ses plus vives qualités d’esthète-musicien. Il
écrit
sur Beethoven des pages remarquables de synthèse
Jorio, qu’il appelle « Tragédie Pastorale », M. Gabriel d’Annunzio a
écrit
ces mots : À la Terre des Abruzzes — à ma mère,
ant du sang antique — je consacre. Cette tragédie nous apparaît donc
écrite
avec la volonté de réaliser en un symbole rythmé,
initiatives de ceux qui agissent. Pour la première fois d’Annunzio a
écrit
une tragédie véritable ; il est le Poète qui a éc
ois d’Annunzio a écrit une tragédie véritable ; il est le Poète qui a
écrit
une « tragédie catholique », dans le sens métaphy
s et toute la musicalité du chœur métaphysique d’Eschyle. Après avoir
écrit
des drames qui devaient souligner la victoire de
t du mysticisme judéo-païen catholique de l’esprit, de par sa race, a
écrit
une œuvre, où le drame est fait d’ombres, mais où
la Gioconda. Les musiciens italiens se plurent, pendant longtemps, à
écrire
des opéras où, aux airs brillants, succédaient le
ns — un peu de l’esthétique de Rossini. Il ne résiste pas à la joie d’
écrire
un brillant morceau, et la manière de la Gioconda
s de raffinement, avec une étrange volupté, que Gabriele d’Annunzio a
écrit
la Fille de Jorio ? On serait tenté de le croire
Combien veux-tu ? — Je ne veux rien. Si vous continuez à m’ennuyer, j’
écris
au maître. Et je lui écris que, sans parler du re
eux rien. Si vous continuez à m’ennuyer, j’écris au maître. Et je lui
écris
que, sans parler du reste, vous ne lui laissez de
des oiseaux de marais, tout accroissait l’inquiétude de son cœur. Il
écrivait
de longues lettres à Elia, pour lui exposer l’ind
e mauvaises nouvelles d’Antine. Il y avait déjà longtemps qu’Antine n’
écrivait
plus : seulement, lors de la semaine sainte, il a
point que Monseigneur l’Évêque, comme j’eus déjà l’honneur de vous l’
écrire
, avait l’intention de lui accorder bientôt une bo
romis de m’aider dans mes études. « Adieu, adieu, cher père ; je vous
écrirai
plus longuement dès que je serai installé dans un
ervir à rien. Que veux-tu qu’on fasse de loi ? Le temps passa. Antine
écrivit
, mais Zio Félix déchira la lettre avec une colère
; il ne disait rien et s’éloignait en sanglotant sans pleurer. Antine
écrivit
encore. Zio Félix, qui attendait cette lettre ave
r fut déchirée, puis une autre, puis une autre encore. Alors Antine n’
écrivit
plus. Zio Félix sentit que son fils était perdu s
s la fin de mai seulement, un peu plus d’un an après sa fuite, Antine
écrivit
, annonçant qu’il se faisait soldat. « J’ai pris u
rouges qui semblaient de verre. Et le temps passait, passait. Antine
écrivait
quelquefois ; ses lettres étaient de plus en plus
énitiens, avec ce Jacopo dei Barbari sur lequel M. Charles Ephrussi a
écrit
une excellente étude. M. Berenson donne à Bartolo
M. Berenson et avec M. Ugo Monneret de Villars. Je tiens pour juste,
écrit
celui-ci, l’attribution de Morelli, d’abord parce
de son recueil, le Poète évoque la vision de la mort de son père. Il
écrit
un poème où l’Ombre de celui-ci voit apparaître l
s’intituler poètes puisqu’il leur était permis de disposer ce qu’ils
écrivaient
en lignes inégales… Mais, les poètes de ce temps
e de cette union du classicisme avec le romantisme. « Il faut, a-t-il
écrit
, unir au réalisme le lyrisme purificateur. » Ains
de la mauvaise culture du public moyen. La tragédie de d’Annunzio est
écrite
en vers, en vers d’un rythme libre et parfait.
un hommage très sincèrement rendu au grand tragique grec. Ensuite il
écrivit
un drame historique, Lassalle, et un drame de pay
tégorie. M. Antonio Beltramelli, que le public français connaît déjà,
écrit
ses nouvelles, en montrant les plus belles, les p
le de Branno nommée Evirallin. Or, au mois de janvier 1808, Lamartine
écrivait
à son ami de Virieu : « J’ai lu Ossian ces jours-
Prière, l’Ode à Byron, qui sont, parmi les perles du sien. Lamartine
écrivait
, le 13 avril 1819, à Aymon de Virieu : Je reçois
pigraphe d’une lettre sur la Nouvelle Héloïse, et le 28 mars 1813, il
écrivait
à Aymon de Virieu : Je lis des sonnets de Pétrar
r lui va nous édifier pleinement à ce sujet23. Lamartine a, en effet,
écrit
au crayon sur les pages blanches qui terminent le
quand elles auraient paru dix ans plus tôt27. » En effet, Lamartine
écrivait
, le 15 août 1814 : « Je lis Ducis et je trouve ce
de Manzoni. Quelque temps après la publication du Cinq-Mai, Lamartine
écrivait
à Aymon de Virieu (5 février 1827) : Je lis Manz
qu’il racontait dans le commentaire de cette Méditation qu’« elle fut
écrite
à Saint-Point, dans la petite tour du nord, au pr
aparte, qui d’abord devait s’appeler le Tombeau d’un guerrier, ne fut
écrite
ou achevée à Saint-Point que le 24 juin 1823. Et
sure l’immortalité. Depuis bien des années, rien d’aussi beau n’a été
écrit
dans ce genre. Les pièces de vers que lord Byron,
Il ne commença vraiment à l’étudier que vers 1823 lorsqu’il songea à
écrire
la Mort de Socrate. Encore ne l’étudia-t-il qu’au
du romantisme, soient aussi accusés chez lui que chez aucun autre. Il
écrivait
un jour à propos de Stendhal : Il a oublié que l
siècle ne prétend pas être romantique dans l’expression, c’est-à-dire
écrire
autrement que ceux qui ont bien écrit avant nous,
ans l’expression, c’est-à-dire écrire autrement que ceux qui ont bien
écrit
avant nous, mais seulement dans les idées que le
oire de l’affaire Dreyfus, publiée par M. Joseph Reinach. M. Lumbroso
écrit
: « Vers la fin de l’année 1903, j’étais un soir
réparer à la Vérité des résurrections plus magnifiques. Dans un livre
écrit
autant pour la France que pour l’Italie, et qu’il
sommes certain qu’elle a les promesses, et quant à la France, comme l’
écrivait
récemment un éloquent religieux : « Le Catholicis
suis une parcelle du cadavre éternel et vivant de la nature ! » On a
écrit
, récemment encore, trop d’absurdes commentaires s
que celle-ci accorde. Il est des écrivains qui, seulement pour avoir
écrit
dans leur vie quelques pages remarquables, sont r
la langue malheureuse d’un grand écrivain qui n’a pas encore appris à
écrire
l’italien. Et l’insuccès éclatant a fait doubler
considéré dans son rapport avec la littérature et les arts. 14. Il
écrivait
à Aymon de Virieu, le 3 mars 1809 : « Je lis Pope
, Young et Shakespeare. » (Corresp., t. I.) 15. Ces lignes étaient
écrites
quand je découvris dans Écouchard-Lebrun une poés
ire image, et quand il imprima cette pièce dans les Recueillements il
écrivit
: Quel jour ai-je vendu ma part de l’héritage,
our la première fois le mot de Méditations dans sa correspondance. Il
écrivait
à cette date à son ami de Virieu : « Je t’ai parl
inement inférieure à celle de Lamartine. 19. Le 11 novembre 1815, il
écrivait
à son oncle qu’il avait donné un petit volume à u
en rappelle un autre, in-folio, sur les marges duquel Lamartine avait
écrit
des milliers de vers de Jocelyn. Qu’est devenu ce
u Testament pour le Pétrarque in-folio de Lamartine. 24. Lamartine a
écrit
aussi belle, faisant un vers faux, comme cela lui
niqué par M. Émile Ollivier, au-dessus du sonnet CCXLVII, Lamartine a
écrit
au crayon très lisiblement : « Brugg, 1824, XX ».
ne, après avoir fait l’éloge de Manzoni à qui cette pièce est dédiée,
écrit
en toutes lettres : « J’ai adressé cette harmonie
821, ne fut achevé qu’en 1823 et L’Enthousiasme, dont Lamartine avait
écrit
les premières stances en 1817, ne fut terminé qu’
lus petite dans les Harmonies, Jocelyn et les Recueillements. 38. Il
écrivit
à Aymon de Virieu, le 23 janvier 1818 : « Je vien
s secondes Méditations. Commentaire des Adieux à la poésie. 49. Il
écrivait
à M. de Genoude, le 26 juin 1819 : J’ai fait que
s choses pour elles-mêmes et sans en calculer les résultats : il faut
écrire
comme on respire, parce qu’il faut respirer, sans
a encore Lamartine lui ressemblait : « La grammaire écrase la poésie,
écrivait
-il un jour à Victor Hugo. La grammaire n’est pas
t de son siècle, dont Léopardi fut l’expression le plus géniale. Il a
écrit
que le Poète jette dans la masse incandescente le
voyaient plus qu’un seul et formidable ennemi à vaincre : le Pape. Il
écrivit
l’Hymne à Satan, qui, s’il n’est pas esthétiqueme
critiques, se défendit du rapprochement, en affirmant que, lorsqu’il
écrivit
son hymne, en 1863, il ne connaissait pas encore
puissance. Son expression prend nettement la forme de son esprit. Il
écrit
son vers, il compose savamment sa prosodie. Et il
prit. Il écrit son vers, il compose savamment sa prosodie. Et il peut
écrire
le sonnet, unique dans toute son œuvre, le sonnet
e idée. Le classicisme de réminiscences devient abstraction. Le poète
écrit
enfin la page qui doit rester dans l’histoire lit
e caractère essentiel de la première réforme carduccienne. D’Annunzio
écrivit
aussi des vers barbares. Plus tard, il exagéra la
aliens, de très ample et harmonieuse structure. D’Annunzio, lui, pour
écrire
des Louanges à l’exaltation d’un sentiment de pag
le autour de l’évocation floréale contenue dans le premier vers. Il a
écrit
à la fin de son œuvre : Fleur tricolore, Les éto
ans des environs de Pise, Lucques, Pistoie, Sienne, etc. Les Mai sont
écrits
en stances de quatre vers de huit syllabes… Ces s
uée dans l’histoire de la culture italienne. En collaboration ils ont
écrit
un volume, la Culture italienne, où, avec un cour
lan. — G. Papini : Il Tragico, F. Lumachi, Florence M. G. Papini a
écrit
un livre : le Crépuscule des Philosophes, où il c
la gravitation ou à celle de la loi de l’évolution. Lorsque M. Papini
écrit
contre Schopenhauer ou contre Nietzsche, il conti
ision, personnelle et hautaine, de la Révolution. M. Ercole Rivalta a
écrit
un très beau et très fort poème dramatique : Davi
n Juan avait rencontré la Monna Lisa, il se serait épargné la peine d’
écrire
sur sa liste trois mille noms de femmes ; il n’en
s. Le Voleur de la Joconde (Gil-Blas, 21 décembre) C’est ce qu’
écrit
M. Léon Werth en une mordante fantaisie que publi
Voici déjà l’opinion d’un peintre qui connaît son métier. M. Anquetin
écrit
dans Comœdia : Avant d’être le chef-d’œuvre uniq
Boccioni initia la culture futuriste et Mme Valentine de Saint-Point
écrivit
son célèbre manifeste de la luxure. Les grands me
e Presque tous les livres de poésie dont j’ai cité les titres sont
écrits
en vers libres, mais il ne faut pas croire que le
é sont destinés à prendre la place de toutes les anciennes manières d’
écrire
et de versifier. Dans la poésie française nous av
her, c’est cette chose. Qui sait faire ses affaires ; Sur la porte il
écrit
bœuf. Dedans il vend du cheval. Venise c’est ce
lle. Il passe pour être le cousin de Nina. Il va à la poste restante,
écrit
des lettres anonymes et espionne les gens que lui
tes coupable, je ne pardonne pas, je vais vous tuer…mais, auparavant,
écrivez
une lettre où vous affirmerez que vous vous êtes
lent en moi une voix de femme dans la nuit, les vagues, les fleurs, j’
écrirais
la plus belle musique du monde ! Mais je suis un
du Seigneur, et, pour me mettre en mesure de l’affronter, je m’étais
écrit
des lettres au nom de Emmanuele Delphino, Albergo
s ce soir, demain. — Je ne peux pas fuir encore. — Pourquoi ? Nina va
écrire
à Antonio qu’elle nous a surpris. — Je saurai nie
po ! dit Wellseley. Et il lut : Illustre et honoré Seigneur ! Je vous
écris
pour vous jurer mon dévouement ainsi qu’au Seigne
uement ainsi qu’au Seigneur Aldramino et à la Signora Aurora. Je vous
écris
sur une feuille de papier que m’a donnée un voyag
vons remplies avec les vêtements de la Signora. Il m’a fait, ensuite,
écrire
à ma femme : « Informe-la de ton départ, ordonna-
ers Mantoue. Ma femme demeure à Chioggia, 367, calle Olivatti. Je lui
écris
, en même temps qu’à vous, et lui explique tout ce
Je voulais différer ma vengeance ! Mais la haine m’emporte ; et je t’
écris
, parce que tu es aveugle, parce qu’ils s’aiment ;
la complicité de personne, de personne, entends-tu ! Tu ne pourras ni
écrire
, ni fuir, ni te tuer, car je serai là, continuell
ite de la femme de Beppo : — Je vais à Mantoue, gémit-elle. Beppo m’a
écrit
que, quoi qu’il arrivât, je devais venir, ici, pr
-il. Vous avez raison, nous ne pouvons rien pour Aurora. Je lui avais
écrit
: Si mon message vous parvient sans accident, le
rmerait un volume considérable avec les volumes que les Allemands ont
écrits
sur la Madone. La France se meurt de trop d’avoca
s en vers. La Fiancée de Chypre et Thécla, poème en neuf chants, sont
écrits
le premier en octaves, le second en hexamètres. L
ase. Pour cette réimpression érudite et luxueuse, M. Romain Rolland a
écrit
une préface où il met en valeur ce qu’il y a déjà
des larmes… un Chérubin qui ne veut pas vieillir : « À la grâce près,
écrit
Stendhal dans un passage du Journal d’Italie, j’é
s l’instant ; il n’a point besoin de se souvenir. « La bonne musique,
écrit
encore Stendhal, ne se trompe pas, et va droit au
constances contraires ont tourné vers la littérature » : « Le hasard,
écrit
-il dans la Vie de Henri Brulard, a fait que j’ai
e stendhalienne ne serait pas traduisible en musique, et j’ai envie d’
écrire
: il était trop intelligent pour être exclusiveme
eu à une longue controverse. On sait que Stendhal s’est servi, pour l’
écrire
, d’un ouvrage de Giuseppe Carpani : Le Haydine, o
’enquête et comparé les Haydine et la vie de Haydn, M. Romain Rolland
écrit
: « Quoi qu’il en coûte à mon admiration pour Ste
IX, numéro 406, 16 mai 1914, p. 279-296 [288-290]. […] À l’heure où j’
écris
, l’État triplicien qui laisse le champ le plus la
n scientifique contient quatre études parues dans la Revue du mois et
écrites
par MM. Vito Volterra, Jacques Hadamard, Paul Lan
a della Domenica 5. M. Mola déplore que personne n’ait encore songé à
écrire
« une histoire complète des éditions des Mémoires
uvé ! Laforgue et Schütz ont mal lu tous deux. Casanova, peut-être, a
écrit
Rousse, qui est la prononciation méridionale de R
Rousse, qui est la prononciation méridionale de Roux, mais il n’a pas
écrit
Cosse pour Corse, c’est plus que probable. Et cec
e… Des amis d’Italie m’ont avoué, dans leur sincérité, que Casanova n’
écrivait
du reste pas mieux en italien, — et c’était la la
ateurs de « Mémoires » retourneront à Saint-Simon, qui avait le don d’
écrire
, qui peut être lu dans la meilleure société, et q
sa part, mais les idées qu’il a émises à diverses reprisés, dans des
écrits
peu connus, n’étaient pas absolument neuves : c’é
jà précurseur de Gluck. Une lettre de Métastase à Hasse, précisément,
écrite
en 1749, vingt ans avant Alceste, au sujet d’un A
usique doit être subordonnée à l’effet scénique. Scheibe, déjà, avait
écrit
, entre autres critiques dirigées contre l’opéra i
trilles, les passages ni les cadences que prodiguent les Italiens »,
écrit
Gluck dans sa lettre du Mercure 18, et dans la pr
19. 3° Caractère psychologique attribué à l’orchestre. La symphonie,
écrit
Métastase à Hasse, « exprime les réflexions, les
, Métastase émet bien probablement une idée nouvelle à l’époque où il
écrit
: Scheibe ne dit rien de tel, et ne reconnaît pas
garotti. Ce grand seigneur esthéticien, ex-chambellan de Frédéric II,
écrivait
, la même année 1755, un Essai sur l’Opéra (Saggio
e, où elle fut traduite, comme en France. Pour Napoli-Signorelli, qui
écrivait
vers 1776, Algarotti était « le philosophe le plu
sertazione su le Poesie drammatiche del Sig. Abate Pietro Metastasio,
écrite
vers 1754, peut être considérée comme contenant l
u pendant la composition, parce que le Poète ne l’était pas lorsqu’il
écrivit
, il ne produira que des agrégations de sons compo
euse sous une détestable poésie, tandis que jusqu’alors il n’en avait
écrit
que de la vulgaire sur les drames divins et la cé
es et des notes pour obtenir les dimensions du volume à imprimer ? Il
écrit
des commémorations et des articles de circonstanc
e et l’accent du travail sont ailleurs. Au contraire, dans ces choses
écrites
un peu au hasard, pour les envoyer les unes après
programmes. C’est d’Annunzio qui prend une chose quelconque et qui l’
écrit
. C’est un spectacle magnifique. « Magnifique » e
Musikus, à Hambourg, de 1737 à 1740, et le réédita en 1745. 16. Voir
Écrits
de musiciens, pub. par J.-G. Prod’homme, p. 879.
J.-G. Prod’homme, p. 879. 17. Eug. Reichel, op. cit., p. 662. 18.
Écrits
de musiciens, p. 395. Lettre de M. le Chevalier G
evalier Gluck sur la musique (Mercure de France, février 1773). 19.
Écrits
de musiciens, p. 379-380. 20. R. Rolland. 21.
1773). 19. Écrits de musiciens, p. 379-380. 20. R. Rolland. 21.
Écrits
de musiciens, p. 380. 22. Traduit en français, l
(Mercure de France, octobre 1772, Lettre de du Roullet à Dauvergne ;
Écrits
de musiciens, p. 391-392). 24. Œuvres en prose
iaison qui se trouvaient dans les opéras de Rameau et de Mondonville,
écrivait
Coquéau en 1779. Il admira cet enchaînement de sc
olontiers un presse-papier, et sous les Plombs, où il était défendu d’
écrire
, on ne peut admettre que, même un patricien, en f
trois petits coups. Il travailla jusqu’au soir, et le lendemain il m’
écrivit
que si mon toit n’était que de deux rangées de pl
siècle, comme le temple de la libre-pensée. Casanova qui, lorsqu’il
écrivait
ses Mémoires, traite ses pratiques de sublimes ba
e son lecteur. Quant à lui, il garde son sérieux ; il sait, et il l’a
écrit
quelque part, que, pour faire pleurer, il faut pl
temporains de Lechi, ce qui fit qu’un nouvelliste mordant, Ballerini,
écrivait
précisément à cette époque, dans une lettre au ch
’est la dernière phrase de la lettre de Ballerini qui nous a permis d’
écrire
plus haut que Bragadin avait corrompu, peut-être,
cellerie ducale qui, dans l’angle gauche, a une porte vitrée, comme l’
écrit
Casanova, après laquelle, par deux autres petits
eut-être la dernière du côté de Saint-Marc, et doit se trouver, comme
écrit
notre auteur, aux deux tiers de la pente du toit,
ou non toutes ces pièces, dans l’ordre où il le décrit. Il avait déjà
écrit
sa fuite, aussitôt son arrivée à Paris, pour le c
ur, et son histoire était dès lors déjà arrangée ainsi qu’il devait l’
écrire
en 1788, quand il la publia, et il n’y a certaine
û prendre cette habitude de bonne heure. Son gardien lui permettait d’
écrire
dans sa prison ; il ne nous étonnerait pas qu’au
s êtres, des siècles et des mondes. Rapisardi, auquel Victor Hugo put
écrire
: « Moi, fils de l’Italie autant que de la France
du monde et de Rome, là où les Romains les avaient laissées. L’autre
écrivait
les poèmes Palingenèse, Lucifer, Prométhée, l’Atl
ales, M. d’Annunzio a chanté les grands événements de sa patrie. Il a
écrit
un très vaste poème, les Laudes du Ciel, de la Te
elles de l’homme et de la légende totale de son Pays. M. d’Annunzio a
écrit
des poèmes vibrants, lorsque Verdi mourut, lorsqu
es d’action que la « critique littéraire » italienne… M. d’Annunzio a
écrit
de France, au fur et à mesure des événements, les
ttes » impulsives et complaisantes. Cette Manon, qui était italienne,
écrit
en français. Elle trouve dans cette langue, qui e
le espérait, la pauvrette, épouser en justes noces, devient, pour lui
écrire
, une épistolière d’une délicatesse d’expression q
mir, mais, comme vous savez que ce n’est pas tout à fait moi qui vous
écris
, je dormirais tout à fait que je vous écrirais en
tout à fait moi qui vous écris, je dormirais tout à fait que je vous
écrirais
encore, car mon cœur veille toujours pour vous. »
aujourd’hui plus de commentateurs qu’un grand écrivain classique. Les
écrits
qu’il a fait éclore sont déjà abondants, mais ceu
en n’est plus intéressant que de considérer aujourd’hui ce qu’ils ont
écrit
des républiques italiennes du moyen-âge : néglige
mmettait crurent prudent de se taire. Enfin il fallut qu’un étranger7
écrivît
l’histoire du procès Murri pour qu’on en eût une
s la légende. C’est à Vérone, à la cour de Can della Scala, que Dante
écrivit
le De Monarchiâ. Ceci va nous conduire au point d
traînait pas nécessairement la menace de ceux-là. Que Dante n’ait pas
écrit
la Commedia en latin (comme il voulut le faire un
plus forte et plus précise que l’âme nationale, est contenue dans les
écrits
de M. Luigi Orsini, dont vient de paraître le rom
t plus l’apparition du véritable texte de ce dernier, car cet Italien
écrivait
le français d’une façon fort intelligible. Nous n
ssement du début est bien de l’homme qui adorait assez la France pour
écrire
, plus tard, ses ouvrages en se servant de la lang
». Ce n’était pas chose à retrancher que cette appréciation sérieuse
écrite
par un homme aussi lettré que Casanova, un passio
n homme aussi lettré que Casanova, un passionné linguiste, qui devait
écrire
plus tard la lettre à Snetlage, qui est un dictio
r toutes les prisons de l’Europe ; comme Silvio Pellico, il aurait pu
écrire
un livre intitulé Mes prisons. Emprisonné à Venis
pour que l’officier trouvât sa malle à moitié remplie de cahiers, il
écrivait
encore ses réflexions philosophiques et critiques
taire public à Venise. En sorte que les Mémoires étaient déjà presque
écrits
, sinon mis en ordre, et rédigés dans leur forme d
gne, et nous ne l’en laisserons pas partir avant de citer cette page,
écrite
il y a plus de 100 ans, et qui frappera ceux qui,
on pas à Paris, mais dans le midi ? Cette page n’a évidemment pas été
écrite
à Dux en Bohême, lorsque Casanova, vieux, rédigea
lques centaines de florins de ses émoluments. Elle a certainement-été
écrite
quand il avait encore de l’argent, voyageant en c
de la religieuse M. M. et au Casino de l’abbé de Bernis à Murano, il
écrit
constamment Muran ; l’escroc, joueur italien Dell
17, elle accoucha d’un garçon que je fis baptiser le lendemain. Elle
écrivit
elle-même les noms qu’il devait porter ; Jacques-
uit octobre 1767, 7 heures du soir. DORIVAL. Les mots soulignés sont
écrits
à la plume, le reste est en imprimé comme les piè
é dans les bandes carlistes et retenu soi-disant prisonnier à Madrid,
écrirait
qu’on lui envoie deux ou trois mille francs, et q
à Majorque ; quant au comte, il était à Madrid, où nous pouvions lui
écrire
. Nous le fîmes dans une ample lettre relatant le
même, sur « le Guet-Apens de Castelfidardo », était tout désigné pour
écrire
, sous le titre de Pie X intime, cette biographie
plus de dix ans de cela. D’Annunzio, se rajeunissant miraculeusement,
écrivit
ses premiers chants nationaux, sa Chanson de Gari
acomo, avec son sans-gêne habituel, aurait bien pu se laisser aller à
écrire
sur le Comte de Waldstein, sur la vie au château
nture de toute une époque admirablement représentée et qui a pu faire
écrire
à un homme tel que le Prince de Ligne des phrases
’avoue. Il n’était qu’un aventurier, il l’avoue en propres termes. Il
écrivait
des lettres ampoulées et indignées aux souverains
sieurs jours avec lui, se déclarant son élève et son admirateur, il a
écrit
un ouvrage qui n’est qu’une charge, à fond de tra
……… avant l’affaire, Le roi, l’âne ou moi nous mourrons. — J’avais
écrit
cette explication il y a plus de dix ans. Eh bien
res, et j’apporte des affirmations dues à Casanova lui-même. Casanova
écrit
de très bonne foi son titre : HISTOIRE DE MA VIE
’édition de Garnier a VIII volumes. Au VIe volume (il a 552 pages) il
écrit
à la page 484. Aujourd’hui, 1er janvier 1797, il
quième de volume à nous produire. Au VIIe volume (il a 563 pages), il
écrit
à la page 313. Nous sommes aujourd’hui au 1er de
faire la même folie que J.-J. Rousseau publiant ses Confessions, il
écrit
: Malgré cela, il y a sept ans que je ne fais pa
and il est mort au mois d’août. On peut dire que cette page 341 a été
écrite
quelques mois avant sa mort. Cet accident l’a emp
acquisitions sont des plus précieuses pour le Louvre ; Mme Mary Logan
écrit
avec raison15 que c’est là « une des peintures le
nal littéraire le Marzocco. L’auteur est l’abbé Lorenzo da Ponte, qui
écrivait
le 1er mars 1793 à Casanova : « Je suis en train
loups — a baigné dans ce sang et a fécondé les serpents… Casanova a
écrit
de sa main, sur un papier qui accompagnait l’exem
ême mérite toute notre attention. Aux époques de basse latinité, il s’
écrivait
Iscla 26. D’autre part on sait que, dans les noms
tache assez facilement des noms ; c’est ainsi que toute l’antiquité a
écrit
indifféremment Spania ou Hispania27, pour l’Espag
, ne parle de l’Italie que pour regretter « la douceur angevine ». Il
écrit
un volume de plaintes. Rabelais s’en tient à quel
Lettres d’Italie (1730 et 1740) restent le meilleur ouvrage qu’on eût
écrit
jusqu’alors sur le sujet. C’est dans celle consac
grettait de n’avoir emporté avec lui non plus qu’aucun autre ouvrage,
écrit
(p. 147) : « Italie a une seule montaigne, qui es
esprit élevé et poétique, elle a publié plusieurs ouvrages. « C’est,
écrit
-elle, au mois de mars (1893) que nous allâmes vis
it d’une sensation de monochromie générale des objets : « On eût dit,
écrit
Goethe, que le monde s’était tout à coup teint d’
ant de penser que le poète lui-même a été plus indulgent, puisqu’il m’
écrivait
(en français) : « Votre traduction me ravit… Vous
intervenir d’une manière effective — du moins jusqu’à l’heure où nous
écrivons
ces lignes. Et rien n’atteste moins la disparitio
lique de Venise qu’on appelle « les Plombs », M. Salvatore di Giacomo
écrit
ce qui suit : La narration de Casanova ne peut p
scussion. I Dans le Mercure du 1er janvier, page 50, le Dr Guède
écrit
: Casanova, ayant ceint Balbi sous les aisselles
ortante. Trouvaille du morceau de marbre et du verrou. — Le Dr Guède
écrit
, Mercure, p. 37 : … Vers la fin de novembre, le
olontiers un presse-papier, et sous les Plombs, où il était défendu d’
écrire
, on ne peut admettre que, même un patricien, en f
rtant pas trop chicaner, sur les termes qu’il emploie, un Italien qui
écrit
en français. Inutile, croyons-nous, d’insister. §
de l’objection. § Rupture de la Porte de la chancellerie. — M. Guède
écrit
(Mercure, p. 52) : Voici les deux fugitifs réuni
Aussi vais-je essayer de situer, pour eux, les pauvres, la manière d’
écrire
du futuriste, ou des futuristes. « Il faut détrui
mon parti sagement, médisant que ces gens-là finiraient, hélas ! par
écrire
comme tout le monde. On n’échappe guère à sa dest
rarement l’analyse expérimentale est faite avec soin. « L’organisme,
écrit
Jennings, semble agir vers un but défini. » M. Ri
ement sur la valeur de sa transposition poétique, l’illustre jugement
écrit
du poète lui-même. Je considère une lettre ou une
dont il eut à me parler à Settignano, il y a plusieurs années, et à m’
écrire
le 3 janvier de cette année même. G. d’Annunzi
e cela, en Italie, mais à tort, je crois. Arcachon, où le livre a été
écrit
, est loin de Francfort, de l’Ombrie, et aussi d’O
ar Beethoven à l’heure où il eut la vision de la Xe Symphonie qu’il n’
écrivit
pas, a été chez M. d’Annunzio ce mélange assez he
elle-là est « l’attitude » qu’il s’était proposée, pour laquelle il a
écrit
ce livre. Elle est belle. Elle est riche de sons,
ébralement ni sentimentalement. Et s’il nous plaît que le poète l’ait
écrit
, à cause de certaines pages d’une si belle littér
par le poète Arrigo Boïto, son ami, il reprend soudain la plume pour
écrire
Otello (1887) et enfin Falstaff (1893). On ne sau
ntient quelques pages des plus harmonieuses et des plus fortes qu’ait
écrites
le musicien, mais sa polyphonie coulante ne songe
ivante, plus complète que la langue italienne, en particulier celle «
écrite
», momifiée par les classicisants. Mais c’est l’e
de songer en même temps au romantisme vécu du Tasse et au romantisme
écrit
de Manzoni, à propos de deux volumes, force nous
ges spéciaux, les argots et les parlers magiques, M. Alfredo Niceforo
écrit
ces lignes qu’il est nécessaire de transcrire pou
chose appelée la Chambre jaune à propos de quoi M. Ernest La Jeunesse
écrivait
: « L’auteur a dépassé Edgar Poe et Wells, Conan
isaient… Dans la seconde pièce, mon cabinet, — tout juste une table à
écrire
et une chaise. Mais le dallage de la chambre, des
lle n’eût pas à se protéger contre moi. J’avais transporté ma table à
écrire
dans ma chambre ; je m’y asseyais, je feignais de
regardant de loin avec regret. Je passai une partie de la nuit à lui
écrire
. Je recommençai ma lettre plusieurs fois ; je ne
rnée. Je songeais qu’elle avait lu toutes les folies que je lui avais
écrites
, et maintenant, je me demandais si elle les suppo
, entrer dans sa chambre, elle dit à mi-voix : « Non scriva. » « Ne m’
écrivez
pas. » En réponse, je lui montrai une nouvelle le
l ne fût pas trouvé par une servante. Je pris ainsi l’habitude de lui
écrire
tous les jours, et il fallut bien qu’elle s’y pli
demain, quand je l’aperçus, je lui jetai un billet sur lequel j’avais
écrit
: « Ce soir j’irai chez vous, une heure après la
’Espagne. Elle me demanda ce que je faisais : elle me voyait toujours
écrire
. Elle portait à tout ce qui est littéraire la con
nçue sur un plan nouveau, sérieux, extrêmement intéressant, et nous y
écrivons
. Il vient à Paris avec une petite troupe de peint
artie, et notamment p. 352 et suiv. 26. Le plus ancien des documents
écrits
qui désignent ainsi l’île est une lettre du pape
e journal par la copie d’une lettre d’amant malheureux que je viens d’
écrire
à la comtesse Simonetta. Mais la copier serait en
Simonetta. Mais la copier serait encore beaucoup plus ennuyeux que l’
écrire
, et c’est beaucoup dire. Le ciel m’est témoin que
x que l’écrire, et c’est beaucoup dire. Le ciel m’est témoin que j’ai
écrit
hier à A. une lettre d’amant malheureux pleine de
oir la nature ! Cette lettre a paru détestable à A. « Est-ce que vous
écririez
comme cela si vous étiez malheureux ! me disait-e
e idée paraît l’avoir frappée. Elle m’a dit ce soir qu’à Novarre elle
écrirait
notre histoire. Ce matin, elle était vraiment ala
mentaire d’une légende (légende qui, du reste, bien souvent n’est pas
écrite
par lui). L’autre, plus recherché, plus subtil, p
a recherche scientifique ; un siècle aussi avant le second, quelqu’un
écrivait
sur son cahier de notes : « il sole non si move »
ge similaire. Les premiers déchiffreurs ont eu grand labeur : Léonard
écrivait
de droite à gauche, à l’orientale, en qualité de
it chaque jour devant un autel dédié à Romulus. Le cardinal Bessarion
écrit
, à la mort de Gemiste Pléthon : « Notre père et m
aîtresse de leurs maîtres (132). » Pour la première fois, ce mot est
écrit
antithétiquement à l’Écriture sainte ou profane.
intelligence se manifeste en dehors de la caste sacerdotale. Wagner a
écrit
la musique de l’Évangile et l’abbé Pérosi les plu
l n’y a qu’un texte, l’homme et son ambiance phénoménale ; ce qu’on a
écrit
, sacré ou profane, n’a qu’un rang d’annotation en
nt les bons ouvrages et les mettront en pratique et facétieusement il
écrit
: « D’autant plus on parlera avec les peaux vêtue
’elle choisit alors, en modelant son propre habitacle. » L’homme qui
écrit
pour lui-même ou pour des disciples se trouve dan
vents disciples et de domestiques dévoués. La duchesse de Mantoue lui
écrit
en des termes de bien grand respect et le roi de
ise l’inculte, naturellement. Lorsque notre contempteur de l’humanité
écrit
: « Tous les maux qui sont et qui furent, mis en
ce cauchemar ; on le voit dans le Nigromant de l’Arioste, et Bandello
écrit
à un ami : « Vous souvient-il d’un de nos camarad
usicales. Il ne faudrait pas croire qu’il dédaignât son art ; il en a
écrit
l’apologie et, le comparant à la sculpture, à la
el. Nous sommes arrivés collectivement au point où il était, quand il
écrivit
ces cahiers ignorés longtemps. Nous cherchons la
de la quantité et de l’espèce. Lorsque l’illettré des Rougon-Macquart
écrivit
la théorie du roman expérimental, il ignorait jus
i-ci. Les manuscrits rédigés en français m’échurent en partage ; ceux
écrits
en italiens furent le lot de M. d’Ancona. J’en pu
on d’un instrument d’expression nouveau et riche, les Poètes italiens
écrivent
tous à peu près une langue impeccable. Ils montre
1-732]. C’est pour un album du même genre, mais fort coûteux, que fut
écrite
l’étude de M. Émile Gebhart sur Botticelli. On a
’autres causes : « Si la langue française est maintenant triomphante,
écrivait
un Italien, Caraccioli, en 1776, c’est que, natur
autre époque très civilisée de l’humanité ; mais quant à croire qu’on
écrit
la véritable histoire en inventoriant ces saletés
sées, aideront à compléter la physionomie de certains personnages. Il
écrit
sur Lannes : « Brave des braves, jeune, jolie tou
t, etc., ce qu’il est toujours agréable de découvrir. M. A. Chuquet a
écrit
une substantielle introduction qui est une étude
-329]. Sur Gênes, M. Jean de Foville, de la Bibliothèque Nationale, a
écrit
un des volumes les plus remarquables de la collec
s parvienne, je supprime les commentaires et les épithètes. — Je vous
écrivais
dimanche que Calzado n’oserait, avant le jugement
ait des origines de l’art, pour l’Italie surtout. À l’époque où Taine
écrivait
, on ne soupçonnait pas encore l’importance de l’É
ue je sais », ne devient pas un maître de l’avenir. Léonard, dans ses
écrits
, parle avec indifférence de la mort de Ser Piero,
d’un homme vivant, tant les jeûnes l’ont amaigri. Dans sa cellule, il
écrit
des canzoni exaltés où son rêve de destruction se
. Franz Riffel sur Eusebio Ferrari forment à peu près tout ce qu’on a
écrit
sur ce groupe, si l’on met à part Gaudenzio Ferra
L’esprit de Dante animait toute la maison des Rossetti. Le père avait
écrit
un commentaire de la Divine Comédie : dans chaque
aminer l’importance de Rossetti en tant que peintre, quoique, comme a
écrit
un de ses biographes, M. Knight, il soit chez lui
u’ils lui parlaient de ses vers. Ses vers ! pour elle ils avaient été
écrits
, elle les aimait, et il en avait pieusement dépos
une tragédie admirable, ce n’est pas un chef-d’œuvre. Alfieri n’a pas
écrit
de chefs-d’œuvre, dans le sens universel du mot ;
la partie où il discute la phrase de Maeterlinck qui déclarait avoir
écrit
Ariane et Barbebleue pour offrir au musicien « un
aine. Francesco Chiesa, Liriche. Nuova Antologia, Rome J’ai déjà
écrit
ici même sur un poème vaste et beau, Calliope, de
cepte, enfin, après les avoir nouvellement découverts, M. Chiesa peut
écrire
ce rêve étrange de la pierre, Minute tragique, où
de ces histoires que Stendhal avait annotées et qu’il se préparait à
écrire
lorsqu’il mourut : « Pour moi, écrit-il, le récit
nnotées et qu’il se préparait à écrire lorsqu’il mourut : « Pour moi,
écrit
-il, le récit de ces procès et de ces supplices me
nt une esquisse des lois de constance de M. Quinton. « Naturellement,
écrit
Léonard, toute chose désire se maintenir en son e
uand il lui chantera d’en faire. Ayant un but précis et déterminé, il
écrira
même lorsqu’il n’aura rien à dire, comme on fait
« On soignera uniquement le détail ; on ne s’occupera pas du fond »,
écrit
-il. C’est mal préjuger des poètes. Mais il se rep
nt la perfection, mais elle l’a dépassée. Beaucoup d’hommes de talent
écrivent
, mais ils ne savent pas se servir de leur talent.
au temps d’Horace : Ce peuple ne brûle aujourd’hui que de la rage d’
écrire
; jeunes gens et graves vieillards, le front cein
nous prouve que la Vita nuova n’est pas un livre vécu : Après avoir
écrit
, au hasard de son cœur, des sonnets et des canzon
illustré de 6 planches hors texte, 7 fr. 50. Hachette Boccace, qui
écrivit
une Vie de Dante, ne fit que recueillir les témoi
e Boccace se partageait entre les deux poètes ». Brantôme, incrédule,
écrivait
: « Je crois qu’il n’a jamais eu tant de faveurs
me (elle passait pour la fille naturelle du roi Robert) comme il en a
écrit
et qu’il s’est forgé en sa cervelle et fantaisie
t qu’il s’est forgé en sa cervelle et fantaisie ce beau sujet pour en
écrire
mieux, ainsi que volontiers font les poètes et au
ntre guère et la seule où généralement on le cherche ». Pétrarque lui
écrivait
à propos de cet ouvrage : « … Certains passages u
passages un peu libres qui s’y trouvent ont pour excuse l’âge où vous
écriviez
, le genre de style, l’idiome, la légèreté du suje
que l’éditeur a su donner à ces Mémoires ainsi présentés. À côté, cet
écrit
donne une idée bien vivante, et d’une précision s
des origines au xvie siècle : je me bornerai à dire que ce travail,
écrit
avec soin et goût, est un des plus précieux manue
irlandaio l’emporte encore en puissance réaliste ; c’est que, comme l’
écrit
M. Henri Hauvette, Ghirlandaio est, avec Botticel
des grandes dates de révolution doctrinale. Chateaubriand lui-même n’
écrit
-il pas : « La réformation porta l’homme à s’enqué
. S. Paul ne se plaint-il pas des dissensions ; S. Justin le martyr n’
écrit
-il pas contre les hérésies ; et n’avons-nous pas
nnu, même à côté de saint Thomas, a tenté dans son Miroir universel d’
écrire
une véritable Encyclopédie, le miroir le plus fid
pendant. Chaque créature est une lettre : en combinant les lettres on
écrit
des mots et on s’exprime : c’est dans la création
ole du plus grand des sommistes. Il y aurait un magnifique discours à
écrire
sur la vie du dogme : nous considérons trop la ré
r que la vérité presque tout entière se trouve par fragments dans les
écrits
des philosophes », dit Lactance. Admirable éclect
rait aujourd’hui un homme de gouvernement. Il ne pense, ne parle et n’
écrit
que pour ses pairs ; jamais il ne jettera à la fo
caricature tragique. Par ses mœurs, par sa foi, par ce qu’il a dit ou
écrit
, frère Jérôme est un saint et cependant sa condam
avoir comparé Rodrigues Borgia à l’Antechrist, mais parce qu’il avait
écrit
au roi de France pour lui demander de déposer le
es de ses œuvres, enfin une bibliothèque renfermant tout ce qui a été
écrit
en toutes langues sur le maître. Tome LXXV, n
t rien fait qu’une restitution esthétique et, passant sa courte vie à
écrire
une somme théologique, il n’aurait pas économisé
gneurs, le diable sera bientôt l’abbé du monastère. » D’une main, il
écrit
aux nobles : « Si les paysans ne s’étaient pas le
e nullement de commander les pires hécatombes, et cela suffit à faire
écrire
cette billevesée : Un crapaud secouru pèse un mo
irituel. Son fondateur, qui n’est pas Galilée, mais Léonard de Vinci,
écrivait
, avant 1500 : « Je laisse à part les lettres cour
purifier les rites, en les supprimant. Le protestantisme n’a plus su
écrire
, dès qu’il s’est agi de faire œuvre de paix ; auc
it en partie Il Pilota cieco, de Giovanni Papini, et M. Albert Verwey
écrit
une Préface à cette traduction. Échos. Nietzsc
aient aux côtés de Masséna dans Gênes assiégée, Napoléon lui-même ont
écrit
sur ce siège, le plus terrible peut-être qu’une p
atro neo-idealistico, Sandron, Milan M. Bruno Villanova d’Ardenghi
écrit
un volume sur le Théâtre néo-idéaliste. Le but en
itude une justification de sa théorie du bovarysme : Le bovarysme, m’
écrivait
-il récemment, m’est apparu depuis la guerre comme
uteur Pasquale Villari qui, au dire de son bibliographe Baldasseroni,
écrivit
quatre cents ouvrages en soixante ans. Et ce ne f
oixante ans. Et ce ne fut pas un précoce, car s’il publie son premier
écrit
après la trentaine, c’est de 1859 à 1861 qu’il pu
ord à ce sujet avec un critique militaire anglais : « Pour le moment,
écrit
M. Lovat Fraser, le vrai et unique point dangereu
soit fausse. Mais ce n’est assurément pas sans motif que M. Piérard a
écrit
ces choses qui n’avaient rien à voir avec la ques
traduction dans le Journal du Peuple, du 15 décembre 1917, M. Piérard
écrit
: « Le traducteur ne serait-il pas M. Mesnil, col
instruits et habitent généralement depuis longtemps le pays d’où ils
écrivent
; chacun d’eux s’intéresse spécialement au peuple
la grande Guerre, qui contiennent les plus belles pages que l’on ait
écrites
sur la résistance des Belges à l’invasion et à la
de l’effigie de Bartolomeo Colleoni : « Andréa Verrocchio florentin,
écrit
Ciampi, un des plus célèbres artistes dans la scu
mars, parue dans votre numéro du 1er avril. Je m’abstiendrais de vous
écrire
et laisserais M. Mesnil tout à la joie d’un triom
èse n’avait rien de particulièrement saugrenu, si j’en crois ce que m’
écrit
, à la date du 8 mars dernier, un écrivain françai
is en cause dans mon article du 16 janvier. Il ne vous en a pas moins
écrit
, à mon sujet, une lettre agressive, pleine de sou
Basile n’a jamais prononcé cette phrase. Un mot pour finir. M. Mesnil
écrit
: « Je ne suis pas de ceux qui envoient les autre
es exilés qui n’a pas encore été mobilisée ; 2° Jamais je n’ai dit ni
écrit
: jusqu’au bout ! Seuls auraient le droit de le f
Victor-Emmanuel Ier. La roche tarpeïenne est allemande. Deutsche Rom,
écrivait
Hermann Noack, et Mgr Wilpert expliquait naguère
1er mai 1918, p. 182-192 [190]. Domenico Lenzi dit le Biadajuolo, qui
écrivait
au xive siècle, rapporte une curieuse anecdote q
’offensive allemande. Voilà qui complète la pensée de l’article qu’il
écrivit
, après Caporetto, en collaboration avec Turati, d
ans les Bourses de travail. « C’est une nouvelle mentalité politique,
écrivit
alors l’Idea Nationale ; elle se différencie de l
s et l’art d’un grand Italien, le professeur Domenico Fiscali. Vasari
écrit
dans la vie de Sébastien del Piombo : Il tira ve
ougoslavie. Les questions se mirent à pleuvoir. Pourquoi le journal n’
écrit
-il par Vrk pour Veglia ? ou Trst pour Trieste ? E
ne Radolinski, était né à Padoue. Élève du conservatoire de Milan, il
écrivit
tout jeune un mystère : Les Sœurs d’Italie. Trans
d’admiration pour Wagner, il voulut être librettiste et musicien, et
écrivit
Méphistophélès dont la première représentation fu
e il se consacra à la poésie et fit les livrets d’opéras de Verdi. Il
écrivit
encore de la musique et laisse un Néron inédit.
ayait de jeter la suspicion sur cette assemblée. Le Congrès de Rome,
écrivait
l’officieuse feuille viennoise, n’était, à tout p
it à votre mort. Je n’ai pas l’obligation de mourir pour un citoyen,
écrit
Valla, ni pour deux, ni pour trois, ainsi à l’inf
e. Simple ? Point autant qu’on serait tenté de se l’imaginer. Comme l’
écrit
fort bien M. di Belsito, « les facteurs qui ont c
oète de l’Idée Latine, dévoilait-il le péril : L’Italie ressuscitée,
écrivait
-il, a voulu se renouveler et elle s’est dénaturée
nni Segantini, telle qu’elle s’exprime, et de façon si crue, dans ses
écrits
, publiés par sa fille Bianca, particulièrement da
ette polémique est, paraît-il, définitivement close à l’heure où nous
écrivons
, et c’est heureux. « Cette longue discussion, ass
ougoslaves un bon conseil. Il appartient aux nationalités opprimées,
écrivait
-il, de coopérer aussi vaillamment, aussi héroïque
s Tchécoslovaques la cruelle défaite subie sur le Piave. « En Italie,
écrivait
l’Unità, les prisonniers yougoslaves ont présenté
lien de Trieste qui, dans le journal slovène Edinost du 18 août 1918,
écrivait
en italien : Nous autres, Italiens, devons nous
bel artiste. À propos de son maître et de Shakespeare, voici ce qu’il
écrivait
à M. Bellaigue : Être son fidèle serviteur et ce
presque tous les jours, sous la forme d’un véritable remords. Vous m’
écriviez
de si bonnes lettres… si douces et si noblement é
nvoyé de Dieu. France, Belgique, Angleterre, Russie, en avant !… Je t’
écris
peu : la plume ne trouve pas les mots. Les yeux e
d’État concernant l’État florentin. Il y a un grand nombre de lettres
écrites
par Laurent le Magnifique. Tome CXXIX, numéro
A. Vivanti, Zingaresca, Milan, Quintieri Mme Annie Vivanti, qui
écrit
en anglais et en italien, a tâché d’exploiter la
anova, et du Commento della Divina commedia de Giovanni Boccaccio.
Écrits
sur Mazzini et sur Marx Mazzini est à la mode
Ici encore, il convient de citer notre autorité : Les philologues —
écrit
M. Armando Tartarini — de chez nous, par la mesqu
ient précisées les responsabilités afférentes. On demande une réponse
écrite
. À cette question faisait suite un article, où o
et Italiens du Midi. Un Testo Atlante di Geografia, par Assuoto Mori,
écrit
à la lettre que, entre les divers groupements eur
eur de l’Anglo-saxon ! Mais nous ne nous en tiendrons qu’à ce qui est
écrit
dans ces livres : que ce soit science, ignorance
e soit science, ignorance ou pédagogie. Une chose est sûre : quand on
écrit
de cette façon, que l’on juge sur de tels critère
é éducatif, car ne serait-ce pas grotesque de supposer que des livres
écrits
par des gens qui jugent de la valeur de civilisat
ent l’éducation nationale ! Un autre membre de l’enseignement génois
écrivait
, dans le même n° du Sècolo XIX : Les textes de g
n’y a aucun crime plus impardonnable aux yeux d’un auteur raté que d’
écrire
une pièce et d’en obtenir un succès comptant aupr
commence fort justement par un portrait peint, est aussi un portrait
écrit
, portrait minutieux et complexe, d’une touche trè
ses qualités de forte peinture historique, c’est la façon dont il est
écrit
et composé. Beaucoup d’ouvrages d’histoire, savam
de pensum qui gâte ce qu’il y a de meilleur en eux. L’auteur y semble
écrire
à gages et à la journée. De là un air d’ennui et
inée est amusant comme un roman et il est dommage que Pogge n’ait pas
écrit
ses mémoires ; à leur défaut, nous avons les Facé
avoir si la suite des mémoires a été perdue ou si elle n’a jamais été
écrite
. Si elle ne présente pas plus d’intérêt que Le Po
tte carrière en Italie. Sur le fronton du temple de l’Art on pourrait
écrire
en lettres de feu le mot qu’on grave sur les lame
lasé et poseur, je renonçai à le prendre au sérieux : il n’avait rien
écrit
encore, je crois, sinon des préfaces… aux livres
o Pica, sera complète en six fascicules. Ce sont des sensations d’art
écrites
par un artiste nerveux et passionné. Le premier r
nt d’indifférence que, musicien formidable lui-même, il se plaisait à
écrire
des libretti pour ses frères ; et non seulement i
ues : grave et enthousiaste, ardent et attentif, gai et opiniâtre. Il
écrit
, il observe, il voyage à l’étranger, et en dépit
ançais. J’avoue, avec une franchise abominable, que si M. Fogazzaro n’
écrivait
que pour moi, il pourrait bien, à l’heure qu’il e
l y avait alors au ministère l’ineffable Giolitti : et au moment où j’
écris
, le voici encore, mais remis à neuf, plus inconsc
revient à la réalité : les visions prennent une forme visible… Et il
écrit
des pages pleines de parfums, de nuances, de care
ittéraire, encore que, nécessaire et naturelle gradation, tels de ses
écrits
en ces derniers genres paraissent légèrement infé
a prose de l’abbé Galiani, le maître de tous les Italiens qui veulent
écrire
en français. L’esprit et la fougue valent mieux q
ntaires. En 1821, l’ambassadeur de France, marquis de la Tour du Pin,
écrivait
au baron Pasquier : « On ne peut pas, si jeune en
et de l’Allemand E. Mejer, de l’Université de Berlin. Tous les essais
écrits
en langue étrangère sont publiés, et dans leur fo
a Sera publie d’intéressantes « Chroniques économiques de la guerre »
écrites
par Luigi Einaudi. Avec une compétence parfaite e
ste qu’il menait avec vigueur depuis la conquête de la Libye et avait
écrit
de retentissants articles contre la guerre et la
nt à ce maître de la comédie italienne. « Moins excusables peut-être,
écrit
l’auteur américain, sont les écrivains français q
s qui le négligèrent autant que les écrivains anglais, bien qu’il ait
écrit
pour la scène française. » Poussé par M. Chatfiel
lor, se trouve être « la liste la plus complète qui ait été faite des
écrits
de cet auteur ». En effet, elle remplit 40 grande
r éclairer les Français et les étrangers, de multiplier les brochures
écrites
par des gens compétents et tirées à un nombre con
n’est pas sans un certain sentiment de fierté que Giuseppe Prezzolini
écrivait
récemment dans la Voce : « Nous allons à la guerr
mmoralité triomphante : le giolittisme. C’est à peu près ce que j’ai
écrit
moi-même ici lors de la guerre de Tripolitaine. A
prunt anglais dans le Corriere della Sera du 8 juillet, Luigi Einaudi
écrit
ingénument : L’emprunt constitue pour les Anglai
nale l’extraordinaire pauvreté, la prétention ridicule et le vide des
écrits
de quelques académiciens qui, comme les Barrès, l
oute la littérature des quinze dernières années plus de deux ou trois
écrits
où se manifesterait le pressentiment du péril qui
y avait là un des plus curieux chapitres de l’histoire diplomatique à
écrire
, et d’ailleurs, M. Welschinger, dans sa brochure
illeurs, M. Welschinger, dans sa brochure de cent pages, paraît avoir
écrit
sur ce chapitre tout ce qu’on en peut écrire à ce
cent pages, paraît avoir écrit sur ce chapitre tout ce qu’on en peut
écrire
à ce jour. On saura, sans doute, diverses autres
7-549]. Ce livre du député socialiste belge est un recueil d’articles
écrits
de novembre 1914 à juin 1915 et traduisant les im
ationales, à les entraîner dans la lutte contre les empires centraux.
Écrites
par un homme doué d’une grande sensibilité esthét
silence. Cet article de Tosatti est d’autant plus frappant qu’il est
écrit
par un homme qui a été dès le début, comme les au
r article : Adversaires de l’Allemagne sans haine contre l’Allemagne,
écrit
ceci : Je le rappelle volontiers, parce que cet
articulièrement exposées et vivent dans l’angoisse. De Fano, une mère
écrit
à son fils qui réside à l’étranger : Tu ne peux
tière, où se trouve Normato. Si tu entendais les lettres que celui-ci
écrit
! Cela fait pitié ce qu’il souffre de sommeil, de
et un autre poète de talent, M. Marradi, l’ont fait, M. d’Annunzio a
écrit
un grand et beau poème, Laus Vitae, où il chante
d verbal a été passé entre les deux pays. Il allait être consacré par
écrit
, lorsque l’ambassadeur Mouravief expira. L’annexi
st encerclée d’ennemis menaçants, et la seconde a passé trois accords
écrits
ou verbaux avec les trois adversaires de l’Empire
en cafés, en hôtels ; des annonces ont été placardées, des enseignes
écrites
sur les pierres dorées ; de vagues voyageurs ont
t par lui en beauté fixe, en harmonie durable. C’est ainsi qu’il peut
écrire
sur Michel-Ange quelques lignes significatives :
t d’influence qu’elles ont eue sur la civilisation, car les documents
écrits
émanant d’elles et les témoignages directs de leu
nir des pensions promettent aux grands de les immortaliser dans leurs
écrits
. Et c’est aussi dans le même but de vivre dans l’
e Anstalt, M. 4 Au temps où M. Alexandre Ular vivait parmi nous et
écrivait
dans notre langue, nous admirions ses judicieux t
du reste le seul compliment que nous pourrons leur adresser — d’avoir
écrit
leur livre en allemand, car chez nous ils auraien
ero me semble contenir la somme de vérité qui donne du prix aux pages
écrites
. Vous en jugerez d’après celle-ci : Un homme est
otti les achetèrent à la famille Salvadori pour M. Stillmann. Comme l’
écrit
Vasari, le portrait de Cristoforo Madruzzo fut co
un philosophe, un littérateur et un artiste, il n’a été spécialement
écrit
ni pour les philosophes, ni pour les littérateurs
uelques citations nous serviront de preuve : Les Pierres de Venise,
écrit
Ruskin dans le dernier volume de Fors (1877), ens
ux croissent peu et tard. La vigne est aimée de l’ormeau. Théophraste
écrit
que l’on rencontre un amour mutuel entre l’olivie
s : « Tout écrivain à qui j’offre mon livre me donne envie de l’avoir
écrit
autrement. » Art ancien. Jean de Foville, Pisa
ment : entichées de nos modes et de notre élégance, elles conversent,
écrivent
et se confessent dans notre langue ; mais soudain
nte épopée héroï-comique de la misère aventureuse des paysans bretons
écrite
avec autant de truculence réaliste que de généros
à Milan de ce que les Hugo, les Lamartine, les Musset et les Sand ont
écrit
pour la glorification européenne de l’Italie ? On
ns son dialecte triomphant. Mais le volume Ce qu’ils lisent n’est pas
écrit
réellement en une langue synthétique. Il offre au
ans la Préface, qui porte le titre italien : Prefazione, mais qui est
écrite
en français, un écrivain, dont le prénom est ital
qu’il les appelle, des correspondants de l’enquête ? Il n’aurait pas
écrit
les pages de sa préface, et le livre dont il occu
isateurs de l’enquête, qui signent en italien une courte Introduzione
écrite
en français, se réjouissent de leur initiative. S
nner l’explication de son énigme lyrique, la clé du songe qui lui fit
écrire
tous ces poèmes. Il annonce la mort du grand Poèt
que. Cette page de Renan le fera comprendre : Vous ne sauriez croire,
écrit
-il, quelle étonnante placidité respire dans toute
e en Italie demeure l’ouvrage de critique le plus parfait qui ait été
écrit
sur ce sujet : mais l’émotion manque, et c’est à
n a entendu chanter les carillons, et c’est en mémoire d’elle qu’il a
écrit
un de ses plus délicieux poèmes, Frère Pusillanim
à qui il devait porter la lettre, George Sand reprit l’enveloppe et y
écrivit
: « Au stupide Pagello. » Nous avons cette déclar
l’aimait parce qu’il était stupide. Ce n’est pas M. René Doumic qui
écrit
ces derniers mots en italique, c’est moi, — parce
légèretés. Elles s’accordaient si bien à sa bonhomie ! Ce jour-là il
écrivait
: Il s’appelait Pagello. Il eût pu tout aussi bi
du catalogue des livres de M. Dutacq, que Casanova était incapable d’
écrire
en français, n’entendait rien à une œuvre d’imagi
s Capétiens (987-1180) est peut-être le livre le plus fou qui se soit
écrit
sur les débuts de la royauté française. La questi
te clarté à l’intérieur de chaque partie séparée, — très agréablement
écrit
. Mais le critique d’histoire, muni de quelque fin
alisme et le municipalisme romains, une monographie comme en pourrait
écrire
un spécialiste de la Rome médiévale, M. Halphen o
éditeur. Là-dessus, le bon accueil du public a permis à M. Luchaire d’
écrire
les autres volumes ; mais le pli monographique ét
ce (30 mai) accuse le musicien Richard Strauss d’avoir emprunté, pour
écrire
son Elektra, une cinquantaine de thèmes musicaux
en sa langue, traducteur de Heine et de Shelley, M. Corrado Zacchetti
écrit
en apparence un français plus proche de la Renais
eterre, il est connu comme l’auteur de charmantes relations de voyage
écrites
en anglais, du premier dictionnaire italien-angla
cts de la vie de Florence pendant la Renaissance. Mais M. Sem Benelli
écrit
des drames en vers qui, loin d’être des « tragédi
tente d’une orientation précise de la volonté générale, M. d’Annunzio
écrit
ses tragédies. Et après la Nave, tragédie particu
ne devaient point finir. J’avais pris la résolution de ne plus vous
écrire
, disait le serviteur au maître, dans sa lettre du
r mon temps et ma jeunesse. Il est vrai que le même jour notre homme
écrivait
au secrétaire du cardinal, Francesco Gherardino,
etour, et il m’a conté votre étroite et fraternelle amitié. Il vous a
écrit
pour avoir des chevaux de la race des vôtres. S’i
ttre du 4 janvier 1554, en termes fort congrus : Je suis bien marri,
écrit
-il, de n’être pas moi aussi à la cour pour me dél
lire ses lettres, son maître le ferait venir auprès de lui. Il lui en
écrira
donc une chaque jour, de celles qu’il aime. Et ce
ts ! La mère un misérable vieux, la fille une grosse bedaine43 ! Il m’
écrit
toutes ses perfections et il fait des vers en l’h
ar des excuses sa lettre du 15 mai 1558. Ce n’est pas sa faute s’il n’
écrit
pas plus souvent ; il faut s’en prendre à l’extra
ait qu’approuver la décision de son maître : Magnanime seigneur, lui
écrivait
-il le 13 février 1563 — c’est sa dernière lettre
sait ? Tout n’est peut-être pas perdu. Je ferai ce que vous voudrez,
écrit
-il au légat ; je resterai encore quelques jours i
celui de Burckhardt ne s y trouvaient, a J’ai naturellement refusé »,
écrit
Nietzsche à son ami Gersdorff (11 février 1874).
significations essentielles, sentimentales et morales, du mythe, et a
écrit
cet admirable Voyage d’Ulysse, qui demeurera comm
puissamment « seule ». Dans les Poèmes d’Orgueil, Mme de Saint-Point
écrit
: Qu’elle exalte à la cime ou se heurte à l’écue
ent, le chandelier à la main, il entra dans l’un des deux salons pour
écrire
à sa famille. « Mes chers parents… » Il ne put co
on des chefs alliés. Wellington et Blücher choisissent ce moment pour
écrire
à leurs gouvernements et à leurs familiers que le
leuris ensuite en masse, par enchantement, devant le poète qui devait
écrire
la Fille de Jorio. L’entente franco-italienne a s
u’après les contes de la Compagnia della Leggera il a pu concevoir et
écrire
un roman original et puissant, le roman d’un enfa
s, un écrivain dont la jeune force s’est déjà admirablement affirmée,
écrit
maintenant un recueil de nouvelles, Nos Mémoires,
e des œuvres dont le roman italien nouveau doit s’enrichir. M. Ojetti
écrit
des romans élégants et intéressants, et M. Bracco
t que d’Annunzio a repris son labeur de romancier avec le livre qu’il
écrit
: Peut-être que oui, peut-être que non, et M. P.
a hauteur de grande figure littéraire. Après tout ce qui a été dit et
écrit
sur le désastre de Messine, il a su trouver de no
fie amplement. Les calomnies de Franco, le biographe pamphlétaire qui
écrivit
l’immonde Sonnet où il traite d’homosexuel le Div
ît pas cependant avoir eu connaissance de cette lettre. Or, celle-ci,
écrite
quelques jours après les événements, consigne des
in), qui est l’adversaire irréductible et personnelle de M. Giolitti,
écrivait
que son illustre compatriote ne se consolait pas
e littérature contemporaine vraiment perspicaces et fins. Son dernier
écrit
, Examen de conscience d’un homme de lettres, trav
ractéristique. Il commence dans un esprit, et finit dans un autre. Il
écrit
dans une revue d’intellectuels et d’esthètes, se
zione, est une des plus profondes impressions de guerre qui aient été
écrites
jusqu’ici en Italie. Giosuè Borsi avait vingt-cin
vains ou professeurs qui désireraient des renseignements sont priés d’
écrire
à M. le Directeur du Voyage d’Italie, 54, rue des
taine, cette expédition « qui bouleverse si profondément le pays », m’
écrivait
à l’époque M. Ferrero. D’autre part, voici les ca
3, à Paris) contient l’idée-maîtresse qui est au fond de tout ce qu’a
écrit
M. Ferrero sur l’histoire contemporaine. Le monde
d’aujourd’hui. L’auteur, un diplomate russe, le prince Troubetzkoy, l’
écrivait
en prévoyant une guerre européenne. D’autre part,
our nous comme une seconde langue et rien ne nous échappe de ce qui s’
écrit
sur nous en France. La France envoie en Italie tr
changement. Déjà, les dernières années, Albert Dauzat, E. Lémonon ont
écrit
de bons volumes sur l’Italie d’aujourd’hui. La no
Sa connaissance des conditions économiques de notre pays lui permet d’
écrire
des chapitres de lecture facile et intéressante,
ésie allemande parle d’une nébuleuse sans noyau et sans physionomie —
écrivait
M. Borgese — La richesse de l’Allemagne est un co
né le triste impératif : ne plus ultra ». « La politique allemande —
écrivait
-il encore — est toute fondée sur la force du poin
enne dans l’histoire, » Voilà des choses que M. Borgese n’aurait pas
écrit
il y a quatre ans quand il adhérait au parti nati
agonistes de ce drame et il ne se sentait pas de taille. On dit qu’il
écrivit
une lettre angoissée François-Joseph pour retenir
arme autrefois terrible de l’Excommunication ? Le nouveau Pape parle,
écrit
. Sa voix n’est pas celle des prophètes d’Israël,
compagnon inoubliable. Ce n’est pas seulement en écrivant — il a peu
écrit
du reste — qu’il montrait toute la séduction de s
uvre la plus importante, l’œuvre compréhensive et décisive de sa vie,
écrite
après de longs mois de méditation, sur son attitu
science d’un lettré ». L’« Esame di coscienza d’un letterato » a été
écrit
entre le milieu de mars et le milieu d’avril 1915
nge absolument rien dans le monde, même pas la littérature. Tous les
écrits
sortis depuis la guerre, en France comme en Itali
rien ne s’est transformé. Tout est resté comme auparavant ; ce qu’on
écrit
est une suite de la littérature d’hier et nulle p
que dans cette littérature de guerre… Et en Italie, d’Annunzio a-t-il
écrit
quelque chose qui soit digne de la grandeur moral
haque instant, tandis que je parle, tandis que je pense, tandis que j’
écris
, sang et douleur d’hommes pris dans ce tourbillon
beau matin, leur foyer et leurs enfants, au reçu d’un avis personnel
écrit
sur une carte blanche, s’étaient rassemblés dans
e dans le présent. Mais écoutons M. Amedeo Mazzotti : Voilà ce qu’il
écrivit
; et puis un jour, quand en arriva l’ordre, il al
comme sources d’information ; il y en a qui témoignent qu’ils ont été
écrits
par des hommes qui se donnent la peine de penser
e race et un peu allemand de culture, il était surtout italien : il a
écrit
de bonnes pages italiennes, il est tombé pour l’I
de Emilio Cecchi (Milano, Treves), où il y a des chapitres très bien
écrits
, mais où les appréciations ne sont ni très nouvel
rero donne à cette propagande anti-italienne une origine allemande et
écrit
à ce sujet dans le Secolo : À partir du jour où
ictoire. Pour combattre cette propagande il ne suffit pas de quelques
écrits
, ou de discours isolés, qui se perdent dans le tu
VIII, numéro 441, 1er novembre 1916, p. 181-192 [187]. « Nos villes,
écrit
L’Italia futurista, sont extrêmement monotones, t
aillances mondaines pour s’y connaître, — saint Augustin n’a-t-il pas
écrit
que certaines âmes ont le pouvoir de se créer à e
ions et les hommes dans un coupable optimisme ! « La vie des peuples,
écrit
-il, est un drame et non pas une idylle. » Toute u
dont la répétition est monotone. Et puis, de toutes parts, les récits
écrits
ou de vive voix se sont multipliés ; nous connais
é sur le livre. Les lettres de la princesse Palatine sont des lettres
écrites
par une femme, mais ne sont pas des lettres de fe
femmes. Cette sempiternelle écriveuse de Mme de Sévigné n’a de sa vie
écrit
une seule lettre de femme. Ravà, dans son ouvrage
Ravà, dans son ouvrage, a donc publié, en réalité, plutôt des lettres
écrites
à vous par des femmes, à part une seule qui vous
es lettres écrites à vous par des femmes, à part une seule qui vous a
écrit
de vraies lettres de femme. Ah ! pour celle-là, l
re… On ne peut se la figurer qu’en longue chemise de nuit ; elle vous
écrivait
tous les soirs, en cachette de sa mère, après min
soirs, en cachette de sa mère, après minuit, dans son lit. Elle vous
écrivait
comme une petite enfant. Il est difficile de lire
bien votre petite amie. — Bonsoir, je m’endors, vous voyez bien que j’
écris
encore plus mal qu’à mon ordinaire. — Bonsoir, bo
à dormir, mais comme vous savez que ce n’est pas tout à fait moi qui
écris
, je dormirais tout à fait que je vous écrirais en
t pas tout à fait moi qui écris, je dormirais tout à fait que je vous
écrirais
encore et mon cœur veille toujours pour vous. Ja
m’a fait dire des bêtises, le diable soit de lui ! Quand on se mêle d’
écrire
l’histoire, on se reporte aux textes originaux et
ncore de cette lettre d’une page qu’en partant il éprouve le besoin d’
écrire
dans son même style emphatique ? Et cela au momen
j’allais trouver Lina, et nous nous adorions. Tous les matins, elle m’
écrivait
. Une longue lettre, une lettre de passion déborda
il y avait beau jour que je n’avais plus touché une plume, sinon pour
écrire
des lettres d’amour, et que, depuis des semaines,
nt, et le jour du mariage fut définitivement arrêté. Je m’empressai d’
écrire
à mes parents une longue lettre pour leur vanter
use de Charlotte de Stein pour aller passer deux ans en Italie. Là il
écrivit
deux poèmes, deux élégies à propos d’un jeune gar
absolue. Plus tard, dans son « divan oriental », il se laissa aller à
écrire
des poèmes que les uranistes revendiquent comme u
tête de ces Plus Belles Pages de l’Arétin, M. Guillaume Apollinaire a
écrit
une notice critique qui nous apporte quelques pré
ses sonnets, « mais bien grâce à un dialogue en prose qu’il n’a point
écrit
et où on en indique 35 ». Tandis qu’en Italie les
ge, ami du Titien et de Michel-Ange : Dans le palais qu’il habitait,
écrit
M. Apollinaire, se pressait chaque jour la foule
al, ce fut pour des raisons plus politiques que morales : « Celui qui
écrivit
tant d’ouvrages pieux et les ornait avec la repro
italien, qui rendra service aux lettrés. Constatant que beaucoup des
écrits
d’Arétin sont encore obscurs, M. Apollinaire term
ui ». Toutefois, ajoute-t-il, c’est avec justice qu’en son temps on a
écrit
que le divin Pierre Arétin était la règle de tou
, mais que je ne puis que résumer brièvement. — La statuaire grecque,
écrit
l’auteur, commence par des effigies honorifiques,
aire de Sufurs, sur les bords du Rhin. « Toute fierté est donc vaine,
écrivait
-il ; le Monde et la Vie ne finissent certainement
rentin, le siècle de Machiavel et de Guichardin. M. Charles Maurras a
écrit
sa biographie dantesque dans un français net, viv
cente de ce que sera la grande France de demain. M. Charles Maurras a
écrit
un essai net, bref, profond, large de vues et de
ue les plus beaux esprits du grand siècle eussent aimé. Il ne l’a pas
écrit
dans une langue voisine de celle que Dante écrivi
aimé. Il ne l’a pas écrit dans une langue voisine de celle que Dante
écrivit
et parla, il ne l’a pas écrit en provençal ou en
une langue voisine de celle que Dante écrivit et parla, il ne l’a pas
écrit
en provençal ou en vieux français, pas même dans
nçais, pas même dans le français du dantologue Rabelais. M. Maurras a
écrit
une des plus belles biographies, des plus synthét
ns sa royale unité sous ses aspects les plus opposés. « Cette nature,
écrit
M. Maurras, est assez ample pour occuper et pour
e biographie d’un grand Italien : Casanova de Seingalt. Celui qui l’a
écrite
, est un « jeune », mais un jeune écrivain énergiq
on attitude envers le mouvement franciscain. Malgré tout ce qui a été
écrit
à l’encontre, Mr Gardner admet l’authenticité de
le filigrane du papier indiquent cette date, Jacopo, dans ce recueil,
écrit
son érudit éditeur Μ. V. Goloubew, a fixé avec so
Karl Stauffer-Bern. Après les lettres de famille, voici quelques vers
écrits
après la tragédie douloureuse dont le souvenir es
o 380, 16 avril 1913, p. 817-822 [820-821]. On a fini par comprendre,
écrit
M. Aldo Ravà, que le casanovisme n’est pas un tri
i-ci conservait avec le plus grand soin : « C’est une chose certaine,
écrivait
-il lui-même, qu’après mon départ pour l’éternel r
es d’effacer le souvenir de cette liaison avec la mère de Manon. Il a
écrit
sur la vertu de Silvia Benozzi une page émue où i
ices sentimentaux que cela ressemble, au moins dans leurs expressions
écrites
, beaucoup plus à des théorèmes qu’à des mouvement
re comme celui d’Artaud de Montor. Je ne sais si Stendhal a connu cet
écrit
: si, l’ayant connu, il n’en a rien daigné penser
lle façon les Princes doivent garder leur foi », — qui fut sans doute
écrit
par Machiavel en ces jours où l’Italie, lui-même,
ses à dire : sur l’économie du livre, sur la mise en œuvre des divers
écrits
de Machiavel, sur l’étude des mœurs italiennes, s
. Ces débuts du plus grand poète italien vivant, qui n’a plus honte d’
écrire
pour un mauvais musicien comme M. Mascagni, mais
musicien comme M. Mascagni, mais qui s’est donné la gloire nouvelle d’
écrire
d’austères tragédies françaises, étaient à rappel
es est moins brillant, et devrait retenir la confiance. M. René Bazin
écrivait
en 1894 : « L’État, les, provinces, les communes
éro 386, 16 juillet 1913, p. 378-383 [381-382]. Que n’a-t-on pas dit,
écrit
, inventé sur cette disparition toujours inexplica
e M. Umberto Boccioni ; cette vérité, j’ai eu le plus vif plaisir à l’
écrire
lors de la première exposition des peintres futur
borné. C’est un homme d’une grande ignorance, sachant à peine lire et
écrire
. On comprend donc que son opinion n’ait point une
e italienne d’aujourd’hui par M. B. Crémieux. M. Benjamin Crémieux
écrit
sur « la poésie italienne d’aujourd’hui et quelqu
re tragédie ; aujourd’hui, au sortir du lycée, un Italien, en veine d’
écrire
, compose plus volontiers un essai critique qu’un
nt et s’en sert pour éclairer les détails techniques ; c’est un livre
écrit
avec soin et tout à fait intéressant. Musées e
r a été la traduction exacte des lettres de Cavour, car, « bien qu’il
écrivit
, nous dit-on, avec une précision remarquable, il
en Angleterre, est une des meilleures autorités. Cette biographie est
écrite
dans un esprit très favorable à Cavour et à l’Ita
in, le noyau grouillant du Vélabre. Un bon juge, Guglielmo Ferrero, m’
écrit
, à propos du Plan de M. Bigot, qu’il a vu et admi
s aux assertions formulées dans l’Histoire de sa vie : È cosa urta,
écrivait
-il, che dopo il mio passaggio agli eterni riposi,
s, il cite des textes. Il ajoute même généralement : « Au moment où j’
écris
, j’ai sous les yeux… » Que sont devenues les épît
tre recommandée suivante, que je traduis : Très cher Soffici, Nous t’
écrivons
très préoccupés de beaucoup d’on-dit qui courent
r attribuer à Stendhal les Mémoires de Casanova. Il semble singulier,
écrit
M. Octave Uzanne, dans l’Intermédiaire des cherch
ésormais être taxé d’imposteur, au point de vue de la véracité de ses
écrits
. Le génie étrange et multiple de ce surprenant sa
peintre Severini. En réalité, ce fut un procès pour rire. Severini m’
écrit
à ce sujet : « L’article procès Lacerba, que nous
andai : — Où est maman ? — Elle est à la maison, dit mon père, tu lui
écriras
quand tu sauras écrire et tu reviendras quand tu
— Elle est à la maison, dit mon père, tu lui écriras quand tu sauras
écrire
et tu reviendras quand tu seras grand. — Mais, ce
nni Papini publia dans le Leonardo un article sur la nécessité de mal
écrire
. — Note de l’Auteur. 77. On peut d’ailleurs s’en
queur de l’action, mais provisoirement. Ce roman intéressant, quoique
écrit
avec une redondance quelquefois fatigante, met l’
arge public homogène, les écrivains italiens songent à l’Europe : ils
écrivent
pour Paris. Leur littérature — si l’on excepte Fo
ilton, Cervantès, Honoré d’Urfé furent touchés par le génie du Tasse,
écrivirent
des pastorales : l’Astrée est une longue et très
de l’âme et de la nature humaine à leur printemps ». M. de Bouchaud a
écrit
une charmante dissertation sur un sujet charmant,
gravurettes, format de carnet), M. Ugo Ojetti publie deux nouvelles,
écrites
en un style élégant, simple et net. Ce sont des h
é de la pensée et la perfection plastique. Le mot « virgilien » a été
écrit
à propos de M. Pascoli. Nous nous sentons, dit M.
salir : et c’est un des leurs qui, vaincu par la grâce de ce génie, a
écrit
son panégyrique en écrivant son histoire. Tom
ple, que j’ai à tort considéré jusqu’ici simplement comme critique, a
écrit
un drame du plus haut intérêt sur ce sujet. (Dome
tes modernes ne répondent pas à son appel, M. d’Annunzio se propose d’
écrire
lui-même quatre tragédies par an, et de les faire
Civita, Isola Bella, le 25 octobre 1811, à 9 heures du soir. Hier, j’
écrivais
ce qui précède avec l’intention de le montrer à A
mon « journal » à Angela pour lui en demander pardon, je viens de lui
écrire
avec encore plus de franchise. Peut-être est-ce l
adre, que je mets une demi-heure à voir. De là, à l’Isola Bella, où j’
écris
ceci. J’ai vu le Palais. Tableaux négligés de Jor
ers venus dans deux pieds de terre, transportée sur des voûtes.] J’ai
écrit
une lettre de 8 pages. Hier mon trouble m’empêcha
— 8 heures. Je n’ai jamais vu d’auberge aussi commode que celle où j’
écris
ceci. C’est le casin de Benati attenant à l’églis
attino. Non più tardi della 7. Mais il me semble que le billet était
écrit
avant les maudites religieuses. Dans ce moment, c
t était écrit avant les maudites religieuses. Dans ce moment, comme j’
écrivais
les dernières lignes de l’autre page, on est venu
arti par un temps de Montcenis à 4 h. 1/4 après une conversation bien
écrite
, mais assez vide d’idées avec M. l’avocat della c
phie ou de stéganographie. Les professeurs officiels n’hésitent pas à
écrire
: « En lisant le traité de l’Éloquence vulgaire,
erait l’œuvre d’un jurisconsulte ou d’un humaniste qu’on y verrait un
écrit
de circonstance et de commande où l’auteur s’inqu
Ce grand poète envisageait toujours la parabole d’une idée avant de l’
écrire
, et pour cela c’est le père du socialisme, qui ne
quatre. En apparence, et pour les frelons, ces quatre livres ont été
écrits
pour expliquer trois chansons. Je résumerai l’ouv
’oublions pas que le commentaire s’applique à la Divine Comédie, déjà
écrite
à ce moment. II. — On nettoie le pain, au moment
il en résulte un enseignement pour autrui : ce qui décida Augustin à
écrire
ses Confessions. Ces deux exemples me justifient
poète parle vraiment de la langue italienne, dans le sens où Musset a
écrit
: J’aime surtout les vers, cette langue immortel
otticelli. Je pense que le critique français va un peu loin lorsqu’il
écrit
qu’il suffit de voir le portrait de Verrocchio te
istophélès, mais à l’Ahriman des Perses. L’Hymne à Ahriman ne fut pas
écrit
. On a pu en retrouver les notes, moitié en prose
le long d’Orphée. C’est sur un pareil manuscrit, accompagné de notes
écrites
aux endroits où les signes ne donnaient qu’une in
as. La Figlia di Jorio n’est réellement plus l’œuvre de l’artiste qui
écrivait
la Gloria, la Ville Morte, Francesca da Rimini. S
aux politiques ; mais les journalistes ne peuvent pas oublier qu’il a
écrit
et qu’il va écrire quelques romans. Sa position e
ais les journalistes ne peuvent pas oublier qu’il a écrit et qu’il va
écrire
quelques romans. Sa position est donc des plus in
m’è il sonno e più l’esser di sasso… Cosimo Giorgieri-Contri a déjà
écrit
, dans sa verte jeunesse, lo Stagno (l’Étang), rom
quel toute une légende menaçait de croître. Ma chronique, ayant été
écrite
avant cette découverte curieuse, il est nécessair
timé et dont le bagage est déjà nombreux, ne s’est pas mis en peine d’
écrire
le livre qu’il était certes capable de nous donne
aine, un livre de promenades et d’observations, informé, agréablement
écrit
et d’une expression presque toujours juste. On y
904, p. 235-240 [239-240]. Tandis qu’en France un auteur dramatique n’
écrit
d’abord que pour un public, celui de Paris, et mê
a Croix ! Pensez donc. À Paris, un auteur dramatique sait pour qui il
écrit
; c’est-à-dire qu’il sait qu’il écrit pour les Pa
eur dramatique sait pour qui il écrit ; c’est-à-dire qu’il sait qu’il
écrit
pour les Parisiens et Parisiennes, public qui sem
maintenant l’infortuné auteur dramatique italien ! Pour quel théâtre
écrira-t
-il ? À quel public devra-t-il s’adresser ? Savez-
nunzio : « c’est un faune un peu triste, revenu à la vie primitive »,
écrit
J. Lemaître, « un taureau triste », disait plus b
leine de lait de chèvre. Quant au « taureau triste »… G. d’Annunzio a
écrit
, avec une complaisance marquée, sur le treizième
. Leurs promesses hantent visiblement le poète. À l’époque même où il
écrivait
ces vers, un autre écrivain, rendu célèbre par un
y vint pourtant, et s’y fixa un jour, et ce fut précisément quand il
écrivit
les Novelle della Pescara. Peut-être ne pourrait-
. Dans la physiologie de l’amour, dont G. de Maupassant a, lui aussi,
écrit
de nombreux chapitres, un autre problème l’a visi
d’édition, l’œuvre complète d’un de ces mêmes conteurs, Morlini, qui
écrivit
en latin. La traduction, qui doit être exacte, pu
nent l’École des Beaux-Arts et la Villa Médicis. M. Eugène Carrière a
écrit
à ce propos sur le Prix de Rome et l’Éducation de
an historique de l’écossais Walter Scott troubla les esprits. Manzoni
écrivit
alors un roman historique, « Les Fiancés », où il
ommerce ne détermina pas un mouvement général des tendances. Ceux qui
écrivaient
le Convito devinrent des poètes et des peintres c
ette rude bataille : démontrer que même sans M. d’Annunzio ils savent
écrire
, ils peuvent s’exprimer, ils ont le talent de pré
le malheur de laisser échapper l’adjectif : imperioso (impérieux). Il
écrivait
à propos du héros de son dernier roman : « Monsie
que M. d’Annunzio, écrivant la Ville morte directement en français, n’
écrivait
pas dans sa langue maternelle, et je sais bien de
, il vaut mieux signaler des passages que, seul, M. d’Annunzio eût pu
écrire
. Dans l’Enfant de Volupté, comme dans l’Intrus et
, ceux qui se battaient étaient des hommes qui aimaient tour à tour à
écrire
, à discuter, à donner ou à recevoir des coups d’é
l’élite intellectuelle, le jugement de la critique désintéressée. Il
écrivait
pour une démocratie littéraire, qui, vis-à-vis pa
, et où nous pensions trouver la vie des premiers chrétiens selon les
écrits
si nombreux des pères de l’Église, ne fut point d
vail ayant cinq ou six cents significations différentes, on ne peut l’
écrire
sans être obscur. Tel travaille en regardant pous
ux faits de l’Histoire d’Abyssinie. — Le volume de M. P. de Lauribar,
écrit
de visu et d’après les témoignages des officiers
é de seize cardinaux, allait visiter alors qu’il tenait le lit et qui
écrivait
les comédies pendant ses convalescences. Qu’étaie
tat, et une grave. § Colbert vient d’acheter la charge de Ratabon. Il
écrit
au Bernin pour lui transmettre le désir du roi d’
ne le satisfaisant pas. Craignant même de ne pas réussir, le ministre
écrit
également à Pierre de Cortone, qui n’arrive à rie
olbert va le chercher de la part du roi, et lui dire, ainsi qu’il l’a
écrit
, que « le roi m’avait choisi pour aller recevoir
ent le « vin de la ville ». Toute la route « fut fraische ». Esbaupin
écrit
à Colbert : « Dans toutte la route jusques icy,
isamment, paraît-il. L’Académie vient le voir, en corps. Et Chantelou
écrit
: « … Puis, ces messieurs s’en sont allés, le Ca
et l’auteur affirme qu’elles sont fidèles. 11. (1) Le duc de Créquy
écrit
à Colbert, de Rome, le 25 novembre 1664 « Le cava
aux mêmes rigueurs. J’omets ces premiers documents. M. de Saint-Mars
écrit
d’Exiles à M. de Louvois, le 11 mars 1682, les pr
d’accommoder les vers de son maître au nouveau style. « Et de faict,
écrit
-il, elle eut la hardiesse de mettre les mains sur
peu corrigé certains passages des Essais ? Elle fut en quelque sorte,
écrit
M. Mario Schiff, « l’exécuteur du testament intel
M. le comte Br…, et que je commence presque à oublier. Ne l’ayant pas
écrite
sur-le-champ, il ne me reste que le squelette. Il
nnés. L’héroïne de ce conte est actuellement dans l’auberge même où j’
écris
ceci, à la Croix de Malle. Elle a quarante-huit a
, au milieu de l’âpre solitude d’un pays des montagnes Apuanes. Là il
écrit
des livres d’histoire, il traduit les annales du
les De même, M. Marino Morelli, dans ses poèmes Scritte col lapis (
écrites
au crayon), se montre divers, en s’écoutant souci
emettre, d’automne en automne, cette histoire de Venise qu’il voulait
écrire
, mais qu’il n’osait plus commencer. Je devinais,
x manches fendues, serré par une corde d’or ? Tiens ! il a une phrase
écrite
sous la doublure de son capuchon… — C’est un joye
n virile que l’acharnement des corps à corps. Ceux dont le rôle est d’
écrire
des chroniques raconteront que Charles VIII fut a
, 1er mars 1911, p. 138-142 [141-142]. Alfred de Vigny avait médité d’
écrire
un poème où serait exprimée la douleur sublime d’
oici quelques-unes des conclusions de M. Ernest Tissot : la femme qui
écrit
cherche d’abord à plaire. Dès qu’elles ont discer
XC, numéro 329, 1er mars 1911, p. 162-167 [163-165]. M. Ed. Gachot a
écrit
, en historien patient, laborieux, les précis des
22e légère pour aller débusquer un parti de fourrageurs ennemis. Pour
écrire
avec une minutie, vraiment attendrissante, l’hist
es à Giorgio. — Sois heureux, ton nom est connu dans Venise… — On m’a
écrit
des lettres et envoyé des messagers. On m’offre j
serrer les liens qui unissaient les deux pays. Bajazet viole le pacte
écrit
en langue italienne et réduit les Vénitiens à l’e
nutilité. Alexandra, Cœcilia affirmèrent envier Cassandra Fedele, qui
écrivait
des sonnets comparables à ceux du cardinal Bembo
’être émus en arrivant ici et j’ai presque honte de ce que je viens d’
écrire
», l’auteur de la Petite Suite italienne s’est pr
Stendhal : Journal d’Italie. Ce sont des carnets de route que Beyle n’
écrivait
que pour lui-même, ce qui en explique les lacunes
pas que Stendhal n’avait, en visitant l’Italie, que le but pratique d’
écrire
son Histoire de la peinture. Ce livre, il ne le c
ssion de la passion, de sa passion à lui, avec toutes ses nuances. Il
écrit
: « Je note pour la voir la Sainte-Thérèse du Ber
J’eus un accès de mélancolie tendre, et je reconnus l’amour. Si je n’
écris
pas, j’oublie tout ; mais si je décris mon sentim
-t-on pas dans ces confessions ce que Beyle a éprouvé de plus vif. Il
écrivait
pour chercher le bonheur, et lorsqu’il l’avait tr
inédites de Stendhal sur Florence, Venise, Padoue. Il visite Padoue,
écrit
M. P. Arbelet, mais ce n’est pas pour vénérer Gio
scandalisé un enfant ! Le bon Théo aurait fait la grimace… « Ce que j’
écris
n’est pas pour les petites filles — dont on coupe
chemins de fer italiens pour empêcher la vente dans les gares de tout
écrit
pouvant, toujours, scandaliser un enfant, et a pr
et a promis à son Parlement de surveiller personnellement les mauvais
écrits
. Vraiment, comme le dit l’auteur, si ministre et
ce à dire qu’il faille se désintéresser complètement delà décence des
écrits
? M. Pareto n’irait pas jusque-là puisqu’il avoue
aurina et de Morto. Il se munit d’argent et, sans songer à laisser un
écrit
à Giorgio, il suivit les fugitifs. Les lettres qu
s écrivains étrangers, sans se douter que la plupart de ces écrivains
écrivent
comme des maçons ou comme des sabotiers. Chez nou
ureux Fogazzaro était fier de son pauvre patois et du reproche de mal
écrire
, dont, disait-il, il ne se repentait pas : Hélas
to, la fantaisie de Guardi : la perspective de Bellotto est correcte,
écrit
-il ; celle de Canaletto aérienne, celle de Guardi
eur bréviaire et l’apostillent au jour le jour… Mais le même auteur a
écrit
Daniel Cortis, un roman qui est une belle œuvre d
ersité de tempérament et d’énergie lui défendait de vouloir penser et
écrire
pour une élite de notre temps. Et rien n’a changé
talienne la plus représentative, lorsque Mme Mathilde Sérao cessera d’
écrire
ou de vivre. La vague rouge des jeunes poètes s’é
iation est la Guarduna (ou Gardugna) espagnole, dont l’histoire a été
écrite
par Guendias dans ses « Mystères de l’Inquisition
qu’il visite et ne veut être qu’un pieux pèlerin : « Si vous saviez,
écrit
-il, quelle joie de se promener à mon âge entre Ra
. Tome XCI, numéro 334, 16 mai 1911, p. 397-404 [403]. M. J. Burel a
écrit
une étude très substantielle sur Isis et les Isia
e en dépit de l’exemple souvent invoqué de Brunetto Latini qui, ayant
écrit
en 1265 son Trésor en français, s’en justifiait d
et d’Olivier se répandent avec nos épopées52. Dante se demande s’il n’
écrira
pas sa comédie en provençal… Puis la littérature
sorte de dicton vérifié sur le premier vers duquel le poète italien a
écrit
une petite variation qui lui donne une sorte de v
oïsme féroce des orgueilleux aristocrates et des papes. « La papauté,
écrit
l’auteur, s’efforçait à ce point de mettre la mai
des raisons obscures à délaisser ici la langue maternelle, se figura
écrire
en français parce qu’il employait les mots de not
point le travail copieux et facile de M. Sem Benelli. Celui-ci croit
écrire
des tragédies « nationales », où l’âme même du pa
dans ses figurations les plus anciennes, les plus profondes. Et il n’
écrit
que des drames néoromantiques qu’un thuriféraire
naliste et impérialiste, M. Giovanni Papini, un des premiers adeptes,
écrivit
que l’Italie ne pouvait pas encore songer à sa gr
IX. Il s’exprime à cet égard avec d’autant moins de ménagements qu’il
écrit
à un révolutionnaire italien, jadis condamné à mo
me, elle arrive dans une humeur à tout massacrer : Hier, maman avait
écrit
à B…, frère du médecin de l’Impératrice, et aujou
faire une robe comme celle de Béatrice de Dante. » Le lendemain, elle
écrit
dans son journal : Samedi 22 janvier. Encore une
e. Je jure que toutes phrases tragiques et de jalousie sur A… étaient
écrites
sous le coup de lectures romanesques et qu’en les
a langue de Goethe et de Schiller. Se trouvant à Trieste, en 1831, il
écrivait
au baron de Mareste : « Je relis l’allemand. Si j
ans doute des difficultés qu’il avait éprouvées à cet égard, Stendhal
écrivait
à Balzac, avec une évidente mauvaise humeur : « L
ture méditerranéenne » était dans les vœux de Gabriel Tarde. Dans ses
écrits
sur le Rythme des peuples latins, le sociologue q
ue la langue littéraire devint une pour ces trois pays », ainsi que l’
écrivit
Littré, un type de culture identique s’imposa aux
de la passion ? Elle [sa Joconde] enseignait cela ! Qu’il en coûte d’
écrire
ce temps de verbe ! Elle enseignait à qui sortait
de musée, ce qu’il fait et le rôle qu’il devrait remplir, M. Péladan
écrit
: Au Louvre, on ne travaille pas : je ne nie poi
comme dans un ministère, et qu’il n’y ait des hommes instruits et qui
écrivent
selon leur spécialité : je dis qu’ils ne conserve
ues arbres millénaires, sous lesquels il s’assied, pleure et prie. Il
écrit
l’histoire d’un homme, évoquée dans une successio
’offrande de soi demeure et se féconde. Ainsi M. Vincenzo Gerace a pu
écrire
un livre qui est un chant d’appel à tous les inqu
s de l’un ou de l’autre. Leur fraternité se montre en poèmes qu’ils s’
écrivent
mutuellement, et qui sont presque toujours très b
la zampagna ; R. Ricciardi, Naples MM. Scaglione et Biagio Chiara
écrivent
une langue très pure. M. Pascoli a raison d’affir
epuis Carducci, dont le premier disciple fut d’Annunzio, en Italie on
écrit
partout mieux, bien mieux, que par le passé, Card
rient est résumée en une page (p. 232) où le nom de Tripoli n’est pas
écrit
. Il est juste d’ajouter que, pour ce qui est du c
e sa correspondance et copiait non seulement toutes les lettres qu’il
écrivait
, mais encore toutes celles qui lui étaient adress
amitié. Quod ipsi facies in mei memoriam faciatis. Portés Vous bien,
écrives
moi et si Vous pouvés l’adresser a quelque honnêt
. C’est pourquoi ses lettres sont d’un intérêt supérieur à ses autres
écrits
, car elles nous révèlent mieux ce qu’il y a de pl
’Arco, contient des poèmes simples, tendrement amoureux, qui semblent
écrits
vraisemblablement par une femme dont la nostalgie
les temps. Elle n’a pas eu de philosophes, car, ai-je eu l’occasion d’
écrire
autrefois, la différence entre un philosophe et u
cardi cite une lettre, publiée pour la première fois par M. A. Zardo,
écrite
par Dondi, le médecin et l’ami de Pétrarque, le l
« La nuit malheureuse qui vient de passer, précédant le jour où je t’
écris
cette lettre, nous a enlevé l’illustre et admirab
mps vint vite où il fallut donner un état à chaque enfant. Sandrart a
écrit
de Claude « Scientia valde mediocri ». Ce qui veu
ausse et au dramatique conventionnel ; il sera l’ami de Sandrart, qui
écrira
: « c’était un excellent homme, excessivement dro
st un type, dans son genre. Il fonde un grand journal politique ou il
écrit
un grand roman comme on boirait un verre d’eau ;
ès la porte du Peuple. C’est ce Scipion, alors cardinal-ministre, qui
écrivit
à François II, capitaine, marquis et duc de Manto
et savoureuses, tout ce qui constitue l’expression lyrique. Pétrarque
écrit
: « Voilà brisés la colonne superbe et le vert la
nsée la suite d’idées qui a passé par la tête de Lombroso lorsqu’il a
écrit
cette phrase. Je crois qu’il est donné à peu de p
aut qu’il leur donne libre essor : et elles sortent pêle-mêle, il les
écrit
telles qu’elles se présentent, associées fortuite
résentent, associées fortuitement au gré de son cerveau surexcité. Il
écrit
comme l’on parle au cours d’une discussion animée
yés par Lombroso à édifier ses théories, en montrant comment Lombroso
écrit
l’histoire. Voici, reproduit in extenso, le parag
oir de l’affection pour sa mère et pour sa patrie. Condamné à mort il
écrivit
, outre l’Épitaphe, ce quatrain : Je suis Françoi
de gens incompétents, de littérature de bas étage, le tout aussi mal
écrit
que possible. La lecture quotidienne du journal h
ès nettes dans son livre Les Anarchistes : « La répression violente,
écrit
-il, a le tort d’enorgueillir les anarchistes, de
i s’annonce comme devant être surtout franciscaine. C’est après avoir
écrit
sa belle Vie de Saint François d’Assise que M. Sa
e recto des feuilles, le côté poil « haarseiten ». Chaque chant a été
écrit
dans le sens de la largeur de la feuille, celle-c
nstruites et lignes sommaires, tout, dans ces dessins, est indiqué ou
écrit
avec une énergie parfois brutale ; on les dirait
mpréhensible par des galbes flamboyants, Botticelli a pris le parti d’
écrire
au-dessous le nom des âmes qu’elles revêtent. Le
igures avec une tendre sollicitude ; par malheur, il n’a pas toujours
écrit
les expressions faciales avec le style désirable.
e peut soulever les consciences, dans l’univers. Aujourd’hui, comme l’
écrit
M. de Souza : « Une patrie d’art éblouissante, un
hants, je ne pourrais que répondre : Je ne les ai pas. — Mais je dois
écrire
à Vienne… — Excellence, écrivez que le ministre F
dre : Je ne les ai pas. — Mais je dois écrire à Vienne… — Excellence,
écrivez
que le ministre Fossombroni est toujours prêt à c
ulable, simplement parce que M. Prévost est un auteur en vue et qu’il
écrit
en français. Il y eut un moment d’anxiété dans le
intenant il est plié en quatre. De son côté, M. d’Annunzio avait tant
écrit
, tant travaillé, tant parlé pour sa petite candid
peintre ne sera capable de l’y égaler. Le 24 novembre 1756, Natoire
écrivait
à Marigny : « … Je viens de recevoir deux nouvea
a pour la peinture fait que j’ay l’honneur de le voir assez souvent,
écrit
Natoire. Il achète de tems en tems quelques petit
effroyable des finances. Natoire en sent tout le prix et s’empresse d’
écrire
: « Je n’y ai point à appréhander que le sr Flag
ut d’attaquer quelque point intéressant du pays. À l’heure où je vous
écris
, il flotte sur ma maison même, située en plein qu
et la critique de Taine, conclut M. Barzellotti, consiste, comme il l’
écrivait
lui-même à Prévost-Paradol en 1852, à « faire de
(Alcan, 1889). 5. Je traduis littéralement de l’italien, au risque d’
écrire
de très mauvais français. Je cite l’Homme crimine
une place dans votre cabinet. » Et le directeur des Bâtiments du roi
écrit
en marge son appréciation : « Coussi, coussi ! »
ce n’est que douze ans après qu’on le remplaça par R. Mariano, qui a
écrit
une douzaine de gros volumes sur toutes sortes de
op féconde. Comment l’auteur de Samson a-t-il osé signer cela et pu l’
écrire
? On reste consterné devant cette exhumation à to
i savoureusement philistin, de Louis-Alexandre-César Bombet : Lettres
écrites
de Vienne en Autriche sur le célèbre compositeur
dans une publication fort rare — puisque non mise dans le commerce8 —
écrit
judicieusement, à notre avis, p. 29, après avoir
ps un de nos meilleurs lettrés. La réunion de ces dons lui a permis d’
écrire
sur Titien un livre unique et incomparable, et ce
femme de son père, que la jeune femme voit se tourner son mari ; elle
écrit
à son père, il accourt de Paris à Taormina, et, i
es a recherchées et comprises ; il a noté de délicieux paysages et su
écrire
, par exemple à propos des Rois Normands et de la
échira ou transporta les âmes jusqu’à la frénésie dont témoignent les
écrits
du temps. Étrange énigme du génie. Art moderne
ais, par bonheur, sa lyre a ses cordes cassées, car elle, je crois, n’
écrit
plus. Vittoria Aganoor-Pompily, qui avait aussi l
lyrique de Vittoria Aganoor-Pompily était toujours très noble. Elle a
écrit
deux livres qui lui assurèrent la popularité : la
), il y a cette élévation d’esprit, sublime, assure-t-on, qui faisait
écrire
à Carducci, dans une préface à une anthologie ita
t son mari, sans enthousiasme. Il fallait vivre. « Venir en Italie18,
écrit
-elle à son amie Mme Pauline Du Chambge, pour guér
ur qui t’aime partout, et je ne peux souvent que penser à toi, sans t’
écrire
. Nous n’avons personne pour nous aider au ménage,
! Angel ! Sur Sur un des cinquante bouquets tombés à ses pieds était
écrit
au crayon : Quando ride, bisogna ridere ; quando
surveillance d’une sentinelle en faction. Milan, 19 septembre. Je t’
écris
et je pense au bruit assourdissant d’une roue qui
G. D’A. (Chant de Fête pour Calendimaggio.) J’
écrivis
un jour ceci : « Gabriele d’Annunzio apparaît étr
fruits. Il n’est plus permis, sans honte, à un littérateur italien, d’
écrire
sans recherche, sans au moins un souci de précisi
l’on peut encore trouver des poètes et des journalistes obstinés à «
écrire
ainsi que l’on parle », convaincus que le dialect
entre son expression quotidienne parlée et l’expression de la parole
écrite
. Il conquit et imposa la stylisation de la pensée
usiaste des suivants attache à la gloire des ancêtres, alors que l’on
écrit
une épopée. Il songe à cette épopée. Qui l’écrira
tres, alors que l’on écrit une épopée. Il songe à cette épopée. Qui l’
écrira
? — se demande-t-il, et il cherche, soucieux et i
nthousiasme qui apparaissent essentiels. C’est ainsi que d’Annunzio a
écrit
un drame en deux épisodes, qui, dans son intentio
, en en donnant les explications. Une autre catégorie enfin, ceux qui
écrivent
les romans-feuilletons et la plupart des pièces d
vers l’inconnu aérien, pour la conquête des espaces. D’Annunzio avait
écrit
l’exaltation du tribun (la Gloire) et celle de l’
es, telles des fleurs au milieu d’un opulent feuillage, ce poète peut
écrire
une idylle émouvante et assez significative, tout
fait. Et il ne faut pas oublier que Gabriele d’Annunzio a puissamment
écrit
, en langue italienne, la Fille de Jorio. Tom
r vers le puissant écrivain méconnu. Et aujourd’hui M. de Frenzi peut
écrire
cette phrase qui s’impose à la réflexion de tous
t quand M. Péladan parle technique, il erre assez facilement. Léonard
écrit
: Il y a beaucoup de gens qui ont le désir et l’
e rationnel qui en rend la lecture plus attrayante. Ce que le Vinci a
écrit
sur la technique de son art est d’une grande inte
mosexualité, littérature de faux malades et de moribonds à la manque,
écrite
de sang-froid entre un bon dîner au « Vapore » et
s Emerson Journals, qui contiennent une quantité de fragments inédits
écrits
de 1833 à 1837. On y trouvera les notes rédigées
riano (octobre 1903) de la Rivista d’Italia complète ce qu’avait déjà
écrit
M. D’Ancona en Italie sur cette matière si curieu
très sûrement qualifiés pour une telle entreprise ; l’un d’eux a même
écrit
sur les Régicides une étude maintenant classique.
les de millions d’individus. » Comme on lui demande un autographe, il
écrit
: « La société est bien gouvernée quand les citoy
s Annales politiques et littéraires du dimanche précédent, il voulait
écrire
auxdites Annales pour protester. Comme on lui rép
cle, parlant du châtiment des criminels par la captivité perpétuelle,
écrivait
en racontant qu’il avait pu jeter un coup-d’œil d
vec la Muse derrière lui. Je n’ai jamais pu regarder cette peinture,
écrivais
-je jadis dans la Revue Bleue, sans ressentir la d
i eu grand plaisir et profit à lire. C’est de l’histoire agréablement
écrite
avec un bel amour de l’art dont parle l’auteur. M
ue doit correspondre à une phrase du texte sacré, il ne cherche pas à
écrire
des morceaux, il réprouve tout ornement inutile e
Cela n’empêche que je me garde d’approuver tout le mal que M. Cecconi
écrit
de Paul Bourget et tout le bien qu’il pense de Fe
glino, — il est mon ami, et j’ai presque le devoir d’en parler mal, —
écrit
sa prose comme de la poésie, en petites périodes
n autre jeune homme, riche, savant, poète et socialiste. Tandis que j’
écris
sur lui, il est aux Indes, sur le retour d’un voy
isanus omnium pictorum hujusce ætatis egregius. » Et à sa mort, Fazio
écrit
: « In pingedis formis rerum sensibusque ingenio
satisfaction. Ce qui est sans poids tombe sans bruit. Au moment où j’
écris
, cette tragédie moderne n’a pas encore paru en vo
mple et révèle une grande puissance de conception chez la femme qui l’
écrivit
, car elle arrive à exprimer tout ce qui n’est pas
ués. Si, au lieu de Sagesse (et cela pouvait arriver), Verlaine avait
écrit
, sous la même inspiration ingénue, quelque « Anné
C’est bien la pure doctrine de Mallarmé, celle d’après laquelle il a
écrit
ses sonnets les plus délicieusement obscurs. De c
épars (à peine), des mots jetés sur des pages. Aurait-elle jamais été
écrite
? On n’en sait rien, mais il est certain que, réa
oigneusement ordonnée, des manuscrits confus de Léonard, curieusement
écrits
de droite à gauche, suivant son habitude, ont ima
ceaux d’armure ; au milieu de tout cela, en gros caractères se trouve
écrite
la devise Infelix Sum : il n’est pas fantaisiste
au degré de l’Angleterre, l’esclave de l’opinion. Stuart Mill, qui a
écrit
des pages si belles et si amères sur la tyrannie
6, elle demeurait à Milan « dans la petite rue San Maurilio. Stendhal
écrit
d’elle, dans Rome, Naples et Florence (ce curieux
e-huit ans. « Métilde mourut : donc, inutile de retourner à Milan »,
écrit
Henri Brûlart dans son autobiographie. Mais trois
age de Villari dispense de lire la plupart des études très nombreuses
écrites
en ce siècle sur le prédicateur dominicain. L’on
ns le royaume de Naples, d’une manière active, a fait quelques notes,
écrites
en quelques instants, pour me faire plaisir. Je l
s dans l’opéra de la Molinara, où un baron, qui ne sait pas trop bien
écrire
dicte une déclaration d’amour à un homme de loi q
du grand papier et en style officiel, aux lettres aimables qu’on leur
écrivait
. À Naples, les hommes sont plus beaux que les fem
Chapitre LXIX Ancône, 19 octobre 1811. Ancône [J’
écris
ces lignes dans la chambre de Livia, sur sa table
de toutes les cheminées d’Ancône. La mer, c’est-à-dire les rivages (j’
écrivais
tout cela avec ennui et lassitude. 1813) ne sont
ter devant moi, et des choses d’amour, l’a certainement occupée. J’ai
écrit
la portée de sa voix pour lui envoyer de la musiq
Luigi Capuana (Catane, M. Giannotta) C’est un recueil de nouvelles
écrites
de 1881 à 1892 par l’auteur de Giacinta et de Sto
ité exagérée, de psychopathie sexuelle et de fanatisme religieux. Ses
écrits
sont incompréhensibles pour qui n’est pas familie
]. M. de Wyzewa a annoncé au public que M. Sabatier s’était proposé d’
écrire
un pendant à la Vie de Jésus de Renan, le pape a
oire au Beau sous toutes ses formes, place à l’Esprit dans son éclat.
Écrit
à Tantah en 1893. Musique. Othello Alfred
ture ? 2. Et voilà cependant ce que vous apprennent tous les manuels
écrits
depuis trois siècles…
Les Revues. Poesia : Des vers de M. Henry Ghéon, le seul poète qui
écrive
avec une épingle Charles-Henry Hirsch. Tome LX
et pires, des Epigrammes de M. Henri Ghéon. On conte que Victor Hugo
écrivait
volontiers avec un bout d’allumette qu’il taillai
ette qu’il taillait. M. Henri Ghéon doit se servir d’une épingle pour
écrire
, à moins qu’il ne pense par points ou ne tende ve
t par l’étoile soir et matin, comme la science par la parole et par l’
écrit
. Le soleil et l’arithmétique servent à tous et l’
’y ont acheminé par les rayons de leur étoile, c’est-à-dire par leurs
écrits
sur la matière. Dans toute cette allégorie, Amour
e contre ceux qui errent, imitant le bon frère Thomas d’Aquin, lequel
écrivit
pour la confession de tous les hérétiques un livr
sé de désertion, il se défend d’être revenu au giron catholique et il
écrit
le Convito en vulgaire, parce que le vulgaire se
Rimini, par Gabriele d’Annunzio Il ne serait pas trop difficile d’
écrire
sur Francesca da Rimini une critique nourrie et s
ce de D’Annunzio souleva des discussions passionnées : au moment où j’
écris
, arrive la nouvelle que les cléricaux de Gênes on
Chopin, par Angiolo Orvieto Georges Sand dans l’Histoire de ma vie
écrivait
à propos de Chopin : « un jour viendra où l’on or
Périès (5 avril) Ce fut sans doute pour se divertir que Machiavel
écrivit
La Mandragore. Le conte que La Fontaine tira de l
s aimable viveur, un noctambule acharné, un enfant plein de verve. Il
écrivait
de temps à autre quelque petite pièce spirituelle
vis-à-vis d’un public difficile comme celui de Milan. Au moment où j’
écris
, on prépare à Rome la première de Giulio Cesare p
l ne se séparera point avant un délai décent et certains papiers bien
écrits
à écouler, où elles vivoteront encore. Il a, j’im
lu faire, dans Francesca da Rimini, Marion Crawford. Le drame qu’il a
écrit
, et qu’a traduit à la perfection M. Marcel Schwob
rre de Bouchaud : Raphaël à Rome, Lemerre, 2 fr. Bien que l’on ait
écrit
sur Raphaël à peu près tout ce qui pouvait être d
ivorce soit en action chez nous, la charmante autrice aura le temps d’
écrire
toute une bibliothèque ! Jolanda, une autre autri
eur manquait totalement d’argent depuis deux mois. Ce pauvre Poërson,
écrit
à Mansart : « … à l’égard des tableaux du petit
un grand Archange, tout vêtu de lumière, dont l’épée d’or flamboyante
écrit
dans l’azur noir : Beauté — Noblesse — Intelligen
! ce Baratieri à la tête en poire ! Ayant vu son portrait, on pouvait
écrire
d’avance l’histoire de l’armée qu’il croyait comm
in-4, Milan, C. Chiesa, 5 fr. Les Modi sont l’œuvre d’un poète qui
écrit
en italien les vers français ; la préface, sous f
Annunzio prépare un drame intitulé La Ville morte, qu’il aurait voulu
écrire
simultanément en français et en italien, car il d
ois tons adroitement emmêlés par un romancier qui connaît son métier,
écrit
proprement d’un style calme, apte à rendre les nu
décadent de Villon et A. Kempis le décadent de Sénèque ? Parce qu’ils
écrivent
d’une langue différente leurs amours ou leurs pen
erais actuellement 5 à 6 pages bonnes pour moi, mais je suis ennuyé d’
écrire
. Me faire prêter à Paris les ouvrages de Cesarott
ation. Cela ne leur paraît pas étrange. Civilisation moins avancée. J’
écris
ceci encore sur sa table le 20, à 20 minutes du m
« sujets » que constituent les Mémoires : « Quel livre il y aurait à
écrire
sur ce drôle ! » Ce livre n’a pas encore été écri
vre il y aurait à écrire sur ce drôle ! » Ce livre n’a pas encore été
écrit
; on attend toujours, entre maints amusants chapi
es, les Mémoires énigmatiques de Legrand de Beauvais n’auront pas été
écrits
en vain. Ceux de Casanova empruntent de même un i
vue d’un cadavre. Il offrit ses services au nouveau maître. Mais il n’
écrivit
jamais à qui que ce soit ce que Michel-Ange put é
re. Mais il n’écrivit jamais à qui que ce soit ce que Michel-Ange put
écrire
à Jules II : « Je suis attaché à toi comme les ra
t en sont même pénétrés de telle sorte que M. Max Nordau a cru devoir
écrire
un livre pour combattre cette tendance, qui prêch
ent faire dévier en tendances littéraires leurs penchants anormaux. »
Écrivez
donc, Messieurs les malades de la littérature, sy
istoire. […] NOTE Ce serait, il nous semble, un oubli grave de ne pas
écrire
ici le nom de la noble famille des Médicis. Je la
la force des choses, des engagements d’honneur. M. Émile Bourgeois a
écrit
, nous l’avons dit, cette partie de l’ouvrage. Il
vêtait une portée bien plus large et bien plus tragique. La pièce est
écrite
en une langue somptueuse et imagée, même trop rec
éritable printemps des aspirations lyriques d’une race, et qui semble
écrit
par un enfant phénoménal dont la jeunesse serait
es d’un livre de mémoires psychopathologiques. Les dérivations de ces
écrits
sont nombreuses. On pourrait nommer les grands id
eopardi, de Baudelaire, de Schopenhauer, assez indépendant pour avoir
écrit
: « À dire vrai, je n’ai jamais senti ni compris
Les Théâtres La Signora di Challant, drame, par Giuseppe Giacosa.
Écrit
pour Sarah Bernhardt, qui devait le jouer en fran
sur son développement. « Je ne saurais dire ce qui resterait de moi,
écrivait
-il près de cinquante ans plus tard, si je pouvais
ns un effort immense, trouve son image parfaite dans la Ville… Et il
écrit
: L’ombre d’un grand siècle aux chants épiques,
souffle : peut-être n’auraient-ils même pas de sang assez rouge pour
écrire
le contrat d’usage. » Malgré cela, quand il s’enn
tée, car les saints et pieux écrivains ont éprouvé de la répugnance à
écrire
trop souvent mon nom et ont laissé dans l’obscuri
res, enveloppé dans mon manteau, l’apparition d’une lumière connue, j’
écrivis
des lettres insensées, je me forçai à verser des
Luigi Capuana, le romancier vériste (notons en passant que ce mot fut
écrit
pour la première fois, en France, par Édouard Rod
vantage avec les dires de Diotime qu’avec les paraboles évangéliques,
écrivit
, aux temps de saint Paul, un livre, le Pasteur, q
its de la journée et pour cela il intéressait. » — « Alphonse Daudet,
écrit
-il dans un autre chapitre, est le Sardou du roman
ples à Rome, second séjour à Rome et route jusqu’à Ancône. Je partis (
écrit
le 20 mars 1813) de Naples le 11 octobre 1811, fa
eux et trop occupé par les jalousies de ces MM. pour avoir le temps d’
écrire
. Je partis de Milan le 13 novembre, arrivai à Par
Elle semble avoir été créée pour faire rire. Beaucoup d’ouvrages sont
écrits
dans cette langue. Les divers quartiers ont des d
r ne pas tomber dans l’erreur de cet homme extraordinaire, je viens d’
écrire
4 pages de phrases plates. Cimbal était à la banq
mier rang des musiciens non inventeurs Vinci, le père de ceux qui ont
écrit
pour la théorie. Son grand mérite est d’unir l’ex
n intérêt fort distrait à tout ce qu’il voit, ainsi qu’il le dit : “J’
écrivais
tout cela avec ennui et lassitude.” Il revient en
Chapitre LXXI
Écrit
à Varèse, le jeudi 24 octobre 1811. J’arrive à Mi
ha leur départ. « Il y a une année et demie de crédits en arrière »,
écrit
Cochin le 26 mai 1761, et Marigny note mélancoliq
e avec la Villa d’Este à Tivoli. — Toutefois, si ce livre abondant et
écrit
avec le même soin que le précédent par M. Schneid
parfaitement noté ce rapprochement. Il y a de grandes ressemblances,
écrit
-il, entre l’art véronais renouvelé et celui de ma
▲