La manière dont Corneille a traitè ce sujet, nous revolte aujourd’hui, celle d’Euripide et de Seneque nous revolterait encor davantage.
Quanto al maramao (parodia di Maramaldo) della vignetta, ne abbiam traccia nel Balduino del Corneille, tradotto dall’abate Gerolamo Gigli, di cui ecco un brano singolare, già riportato dallo Scherillo nella sua Commedia dell’Arte (Torino, Loescher, 1884).
Molière se trouva par rapport à la comédie dans la même situation où était Corneille par rapport à la tragédie. Corneille, pour réformer la tragédie, n’eut à combattre que les dispositions présentes de l’esprit, ou qu’à le ramener au grand et au vraisemblable : et pour y réussir, il n’eut besoin que de la première de ses bonnes tragédies, qui dessilla les yeux, et servit du moins à faire distinguer le bon d’avec le médiocre et le mauvais. […] Si la tragédie française a perdu quelque chose de sa première grandeur, les critiques les plus éclairés prétendent qu’il faut moins s’en prendre au génie des poètes qui ont écrit depuis quelque temps, qu’à Corneille et à Racine qu’ils se sont efforcés d’imiter. […] C’est que, suivant ces critiques, Corneille et Racine ont traité l’amour d’une manière peu convenable à la tragédie ; et voilà selon eux ce qui a produit toutes les parodies qu’on ait vues depuis quarante ou cinquante ans sur différents théâtres.
Le tragedie di Eschilo furono, come quelle di Sofocle e di Euripide, vere azioni drammatiche eroiche, accompagnate dalla musica, e decorate dal ballo; né altra differenza può ravvisarsi fra ’l primo e i secondi, se non quella che vi ha fra Tiziano e Correggio, fra Zeno, e Metastasio, fra Corneille e Racine, cioé quella che si scorge ne’ differenti caratteri degli artefici che lavorano in un medesimo genere.
Si es un vicio (egli dice gravemente) la rima de los pareados, està autorizado con el exemplo de los mejores drammaticos franceses Corneille, Moliere y Voltaire.
Si rappresentarono pure le migliori tragedie di Corneille, di Racine, tradotte in Bologna ed in Roma. […] Corneille e di Moliere quello svilupparono di Baron, che col cominciare del secolo XVIII imprese a riformare, anzi creò la grande e bella declamazione teatrale.