Agustin de Montiano, le quali non si son mai rappresentate.
» Cependant par le lieu où elle fut représentée, et par le temps, qui était les calendes de mai, dans lesquelles on a toujours accoutumé de donner du profane, la jugeant telle, nous ne la mettrons point parmi les fêtes sacrée, et nous ne dirons point que ce soit par elle qu’elles ont commencé . […] Les chroniques de Londres parlent d’une représentation profane que l’on dit généralement dans le pays avoir été la première qu’on ait donné ; voici ce que ces chroniques rapportent : Le septième mai 1520, le roi (37) fit préparer une mascarade, et ordonna qu’on élevât un théâtre dans sa grande salle de Grenwiche, etc. le roi, la reine, et les seigneurs y vinrent à la représentation d’une bonne comédie de Plaute 38().